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276 DBIB Prc4et de parc éolien Maaeif de Sud 6211-24023 Les éoliennes et les oiseaux Revue de la documentation pour les évaluations environnementales VERSION PROVISOIRE DU 2 AVRIL 2007 Sfl 1CC c.LflJLbtfl LIC la t4uiit ( .ansdian \ akflif€. >vn n I Sfl If ‘fllklflcflt C an.tda I fl’b IIOIUN fit C anada 31, boukiard Samt lnscph. Ciatincau Quebec let Phouc slQ’$r l’Y)-’ lette. I .n 6l’3 (,s1 t. ‘urnel t mail e .cf’a ee.gc.ca r

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276 DBIB

Prc4et de parc éolien Maaeif de Sud

6211-24023

Les éoliennes et les oiseaux

Revue de la documentation pour les évaluationsenvironnementales

VERSION PROVISOIRE DU 2 AVRIL 2007

Sfl 1CC c.LflJLbtfl LIC la t4uiit ( .ansdian \ akflif€. >vn nI Sfl If ‘fllklflcflt C an.tda I fl’b IIOIUN fit C anada

31, boukiard Samt lnscph. Ciatincau Quebeclet Phouc slQ’$r l’Y)-’ • lette. I .n 6l’3 (,s1

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Les éoliennes et les oiseaux

Revue de la documentation pour les évaluationsenvironnementales

Préparé par

Andrea Kingsley et Becky WhittamÉtudes d’Oiseaux Canada

le 2 avril 2007

pour

Environnement CanadalService canadien de la faune351, boul. Saint-Joseph • Gatineau (Québec)

Téléphone: 819997-1095 • Télécopieur: 819997-2756Courriel: cws-scfec.gc.ca

Le présent document sera révisé et mis à jour au besoin. Afm de vous assurer que vous avez la

version la plus récente, veuillez consulter notre site Internet à l’adresse http:llwww.cwsLes documents daccompagnement. Les éoliennes et

les otseaux: Document il ‘orientation sur les él’Ldualions environnementales et Protocoles

recommandéspour la surveillance des impacts des éoliennes sur les oiseaux sont également enligne sur ce site Internet.

Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avecHnvironnement Canada/Service canadien de la faune

Service canadien de la fauneiCanadian Wildlilè ServiceEnvironnement Canada/Environment Canada

Couniel : cws-scP)ec.gc.caTéléphone : 819997-1095Télécopieur: 819997-2756

2

1. Résumé

i.e présent document donne les résultats d’une res tac & la documentation approfondie sur lesinteractions entre les éoliennes et le. oiseaux partout dans le monde. Preparé à titre de documentd’accompagnement. il a sen i de tbndement au document ponant sur l’é aluation en ironnementaled I’n ironnement Canada intitulé I n énhiennt’s t’, les oiwaux . Ikieumeni t! ifl’ÎcflicIiIOhl ‘air lesêvaluutioas ent’ironneme,;tale.s.

l.a revue de la documentation a pennis de distinguer deti principaux types d’effins étentuels descouennes sur les Oiseau\ : les risques de collision et les effets les perturbations. Ce documentprésente ces deux types d’elkts. l.a recherche réièle également que les mortalités éleées chei lesehau’ es-souris peuient être causées par des éoliennes, mais ce document ne traite pas expressémentd’une telle incidence.

1k par le monde, on a exploite le ‘ent aec succes pour produire de l’electricite. ce qui estgénéralement consideré comme un moyen écologique et ‘Jable & production d’énergie. 1 outefois.les effets possibles des eolienncs sur les populations d’oiseaux ont suscite des préoccupations. Cespréoccupations ont commencé à être exprimées durant les années 1980. lorsqu’on a décou’en qu’ungrand nombre de rapaces entraient en collision a ec des éoliennes et des lignes de transportd’énergie qui leur sont associées dans deux parc éoliens précis en (.‘alifornic. I es collisions entredes rapaces et des éoliennes à I arifa. en 1 spagne, ont suscité des préoccupations supplementaires.Alors que ces collisions étaient attribuables à une combinaison unique de facteurs locaux dans cesrégions. elles démontrent qu’il exisle des possibilités d’effets négatifs provoqués par des collisionsdirectes et corroborent la nécessité de mieux comprendre les interactions entre les éoliennes et lesoiseaux.

Des études ultérieures menées partout dans le monde laissent penser que. malgré quelquesexceptions importantes, il y a très peu de morts d’oiseaux aux installations éoliennes. I.e choixapproprié de l’emplacement semble être le facteur primordial à prendre en compte si l’on ‘eutpré’ enir les incidences négatiies des éoliennes sur les oiseaux. la mortalité attribuable à cesinstallations qui a été obsenée est également tres faible par comparaison an ec d’autres sources demortalité an iaire causée par les humains. Les critiques soutiennent toutefois qu’on a sous-estimé lamortalite en raison des difficultés inhérentes à trouer les carcasses, particulièrement celles despetits oiseaux. au en irons des eoliennes. De plus. môme un nombre relatiiement petit de mortspar éolienne peut avoir de grandes incidences sur les populations si un parc possede un grandnombre d’éoliennes.

I es rapaces sont sous ent considérés comme les oiseau les plus menaces par les installationseoliennes. esserniellement en raison des accidents mortels qui se produisent encore en ( alifornie eta I aria col spagne. Dans presque tous les endroits. ces oiseaux peux ent toutefois e’ iter leseoliennes. de sorte que les colli.ions sont rares ou inexistantes. I n nombre de facteurs precis ontcpliquc la mortalite des rapaces ohsenee en L alilniie. dont la densite e’ccptaonnelle de lapopulalion dc lupaces. la topographie t peut-être la technologie colicnnc désucte

In \naerique du \ord. ce sont le plus soucnt les oieau chanteurs qui entrent en collision aeedes eohennes. Souent. ces collisions se produitaient la nuit pendant les mimations. bien qu’il) enait également durant le jour. Des facteurs comme la topographe, le balisage lumineux deséoliennes, leur hauteur, la présence de haubans. les conditions metéorologiques et le nombre :d’nis’ri •« m’r’tn ‘e ‘Jép’açan’ ‘lin’ une réginn pe’i’ ‘ ;rn’er ur I; nnmhr. j.’ .“nllL$end’oiseaux migrateurs obsené à un endroit donné.

1

I ‘eflet négatif le plus important des installations éoliennes sur les oiseaux est la perturbation des

oiseaux pendant les périodes de reproduction et d’hivernage, bien que ce problème ait souleé peu

d’attention. I.a perturbation est une prcoccupation particulièrement importante dans l’habitat des

prairies ou se reproduisent certaines especes d’oiseaux sensibles et dans les iones e’tracôtières qui

représentent d’importantes aires d’alimentation ou couloirs de migration

I)epuis quelques années. l’intérêt suscité par les installations éoliennes extracôtières augmente. Bien

qu’aucune installation n’ait tic construite encore en Amerique du Nord. l’l..urope en posède

plusieurs. Il a été difficile d’évaluer la mortalite dans ces secteurs extracôtiers. car les ictime% sont

perdues dans l’eau. (.‘enaines espèces semblent toutefois é’ iter les éoliennes etracôtières. et les

chapelets d’éoliennes peuient faire obstacle à leurs déplacements. Par ailleurs, la présence de parcs

éoliens extracôtiers peut éloigner les oiseaux des aires de recherche de nourriture Il y a encore

beaucoup à apprendre concernant les effets des installations éoliennnes extracôtières sur les

populations d’oiseau.

l’nfin. alors qu’un nombre considérable de recherches ont été menées. relati ement peu de

programmes de recherche globale ont été publiés dans des re tics évaluées par les pairs. et

relathement peu d’études ont été menées au Canada. I)eplus. nos connaissances comportent encore

de nombreuses lacunes, particulièrement en ce qui concerne les migrations d’oiseaux, le balisage

lumineux des éoliennes et les incidences eventuelles des constructions d’éoliennes extracôtières.

Le secteur & l’énergie éolienne au Canada en est à ses premiers balbutiements. On s’attend à une

brusque augmentation du nombre d’installations éoliennes et du nombre global d’éoliennes au cours

des prochaines années. Bien que cette situation risque d’augmenter les effets cumulatifs sur les

oiseaux. elle permettra également de faire en sorte que les constructions d’éoliennes s’effectuent de

manière à réduire le plus possible les eflèts négatits sur les oiseaux par le truchement de recherches

continues et de choix consciencieux de l’emplacement.

4

1 ABLE 1)ES MAl 1ÈRESI l%TRODLCTION 6

1.1 OBJI I.

2. CON TEX1 E .n..n.. ...nn.nn.......nn.n.e

2.1 Li%f R6lI VI Rit—

2.2 I 1 %i.fl1) I ITLSVIRO%\I MI % I C %AI)A 82 LOIS. P01 PIIQIL’ II I\1fl:1IVl S S

3. INFOR%IAIIO% EXISTANTE SUR LFS flTER4CIIO% EN1RI. LYSOISEAL X ET IFSÉOLIEIb%N

ES................. ...... ....... ....... ....... ....n.................._..n._.......n_.......... ... ... ......... 103.! RISL%11 I”3.2 KIl iSl$ki MI\IISDF%I(;II1\%IS 121.2.1 0151M X QL4IIQIIS 123.2.’ SkI t 461M

.. Il3.2.3 0151 U X DI. Rit AGI 143.2.4 RAPACI S DIL:RNLs 153.2.5 CHOLI 111% (1 IIIBOL \ I3.2.6 0151M X 1LRRLSIRIS 17

3. COMMENT LES OISEAL.X SONT FOIS HÉ’, AL COL RS DE L’ANNÉE...................................... -- 194.1 01Sf Al ( RFPROI)LtIfl RÇ 194.2 01SfAI X I N MIGRAi 10% 204.3 01Sf ti F N IIIVLRN AGI 25

5. FACTEURS POl’% 4NT CONTRIBUER AL INC’IDFNCFS SURI1FSOISEAIJX..........n........n.nn..rn...n...255.1 ENVLRG(RI DUS INSTALI.AIIO%S 101 If’NLS 255.2 DEMI NSK)NS IMS i0I’RS II COMI PIlON DES I.OLIItNNES r5.3 BALISA(iI 1IMINEI’X DLSI.0III.NNFS 285.4 VITFSSI DI ROIAIIONDISPAIES II5.5 MORI %I.liI (‘At’Sf I PAR DIS [11.5 125.6 (ONI ICI RAI ION DLS INSIALI ArlOS 135.7 CONSIRUCIION DES INSFALI.AIIONS 145.8 ENPLOIItIIONI I INIRI 1IfNDlSI%SIALLA1I0NS 145.9 CONSIDI RAtiONS MITL ORGE OGIQI 1 S 155)0 CARAC IIRISIIQI ISPHSIQI ISDL PAYSAGI 16

6. ANALYSE DES L kUNES DANS LES (ON%AISSANCES .... 36

-. INFORMATION %LR LE (ANADA... n nn nnt - n n

8. REMERC II’ ‘1F N ES .............................................................._._..._ .................... 319. RFEREM Es LI DOn MflIS CO’%SIl its ......... ...._ ....... ....... ... ...... -

4%NEXI. RE%SEIGNE1LNIS DÉT tILLÉS SI R LES COLLISIONS IYOI%IAL X flEC DIS IOI.IENNLSDE PAR FOL T Dt%S LE 1ON1)F - 611

5

I IntroductionI e changement climatique est une grave menace mondiale à l’environnement. compris a la

biodiersité et a la santé humaine. Le gou\ernement du Canada a ratifie le Protocole de Koto en

2n et a recemment publié son plan de (H)5 sur les changements climatiques. 111e, de / Rai7I

pou) canin r /es t’ha,iements climatiques ( n plan pour honorer noire cngolgenlcn( dL’ O(O. ne

de ses caractéristiques importantes est la promotion de Lénergie renouselahle, dont l’énergie

éolienne.

I e secteur de I’energie éolienne au Canada en est encore a ses premiers balbutiements. mais il est

és ident qu’il se dirige sers une expansion et une erois’ancc rapides. Il s’agit d’un moulent opportun

pour làire en sorte que la croissance de l’industrie n’entraine pas d’incidences sur d’autres secteurs

de l’enironnement. In particulier, les effets négatifs possibles sur lcs oiseaux et les chauses-souris

suscitent des préoccupations a la suite de cas surs enus en (‘alifornie s ers la lin des années 1 9$()

lorsquon aait trous é beaucoup d’oiseaux de proie et certaines espeees d’oiseaux en péril morts à

la suite de collisions asee des éoliennes et des lignes de transport d’énergie qui leur sont associées.

\lors que de tels cas prous eut clairement qui! a des risques d’effets négatifs sur les oiseaux. il

existe des installations éoliennes qui donnent des résultats satisfaisants partout dans le monde.

notamment des installations éoliennes Cil :\frique en Asie. en Europe. Cil :\ustralie, en Amérique du

Sud. aux Ftats—Vnis et au Canada. Le défi porte sur la détermination des caractéristiques.

spécitiques rL1l\ ironnement ou a la technologie, qui augmentent les risques pour les oiseaux, de

façon à és iter ou à réduire au minimum les effets negatif’s.

,\sec cet objectif en tête, ltudes d’Oiseaux Canada a entrepris une analyse de la documentation et

de la recherche existantes. y compris des rapports inedits et des articles é\ alués par les pairs.

Rien qu’un grand nombre d’études aient été menées, relatis ement peu d’entre elles étaient des

études scientifiques approfôndies soumises à la rigueur d’une évaluation par les pairs à des fins de

publication dans des un ues scientifiques. (‘ertains résultats sont contradictoires et. dans bien des

cas. il a des lacunes quant à la disponibilité des renseignements dc hase sur les oiseaux migrateurs

et a notre compréhension des interactions complexes entre les éoliennes et les oiseaux. La majeure

partie des données empiriques relatixes aux effets des installations éoliennes sur les oiseaux

pros ient des recherches eflèctuées aux [‘tais-Lnis et en Europe. Les iras aux menés aux l’tats-I ms

consistaient dans la plupart des cas à ésaluer et à documenter les collisions d’oiseaux asec des

éoliennes, tandis que les recherches en l’urope étaient das antage axées sur les eflèts indirects.

comme les perturbations. Relatis cillent peu de données sont disponibles pour le Canada.

on a obserx e dcu\ t\ pes é effets tondamcntau\ li les cas de mortaliies directes ou de blessures a

la suite Je collisions et 2> la perturbation d’oiseaux et Ics pertes d’habitats. I)ans la plupart des cas.

ls morts accidentelles directes semblent asse! rares, mais les rectifications relatiscs a l’efficaeite dc

l’ohscrs ateui et au taux de lecupération des carcasses ne sont pas toujours apportees. \\ cc la

cioissal ce de l’industrie, les risques des eflèts cumulatif causes par une mortalite directe et des

perwrhations en raison d’une perte d’habitat augmentent egalement.

les renseignements contenus Jans le preselit document ont etc e\aminés par des seiefltiliLlues

«I us ironnement C anada, Ces renseignements sont le fondement permettant dc detcrminer les

C\igCllees eeiiérales conçernani l’e’ aluaiion du risque des etts ens ironnementau\ sur les oiseaux

attribuables u des projets de pares éoliens dans le eonte\le des évaluations eus ironnememales. 1 a

meilleure information disponible a sers i a déterminer quelles caracteristiques d’un milieu pous aient

6

comporter des risques plus grands pour les oiseaux. On a déterminé les exigences en matière derenseignements pour les sites présentant di ers ni veaux de sensibilité. ( )n trouve les lignesdjrectrjcs sur les C\ aluations environnementales dans le document intitulé Le.s co/ielzncs et !( s

• J)oeurn ni / orientation sur les évaluations en’in)nnementales, en ligne sur le sjtesswscss-sccc,gc.cappIications index.cim lanu t. I e present resume de recherche est undocument d’accompagnement des lignes directrices des cx aluations ens ironnemeniales. I es deuxdocuments seront mis â jour au besoin atin de tenir compte des nous eaux renseignements obtenusgrâce â la recherche continue et au suis i des ès aluations environnementales.

1.1 ObjetI e présent document s ise i fturnir une suc d’ensemble de l’information disponible sur lesinteractions entres les éoliennes et les oiseaux. Cette information a été recueillie grâce a un examenapprofondi de la recherche et des documents publiés et non publiés de partout dans le monde. Cedocument contient les renseignements de hase sur lesquels repose le document d’orientation« Lnx ironnement Canada concernant I ‘és aluation des effets ens ironnementaux des parcs éoliens surles oiseaux.

2. Contexte

2.1 L ‘énergie verteI outes les méthodes couramment employées pour produire de l’énergie ont des efPts négatifs surl’environnement, mais certains en produisent plus que d’autres, La puissance nucléaire crée de lapollution thermique dans les plans d’eau, sans compter l’inquiétude qu’elle suscite en ce quiconcerne l’élimination des déchets et le risqtie d’occasionner des dommages â l’environnementcausés par le rayonnement. Les grandes centrales h droélectriques perturbent les éeos stèmesaquatiques et peux ent inonder de sastes étendues de terres, ce qui entraine divers problèmesens ironnementaux. dont une importante perte d’habitat des oiseaux. Les effets négatif des centralesà combustible fossile préoccupent les ens i ronneinentalistes, les organismes de réglementation et legrand public. Le fait que le charbon contribue aux émissions de gai à effet de serre et qu’il réduisela qualité de l’air a rendu nécessaire la recherche de sources d’énergie de remplacement.Le changement climatique peut as oir des incidences mondiales sur la hiodis’ersité et les habitatsnaturels ainsi que sur les oiseaux et d’autres organismes qui dépendent de ces habitats. I ‘énergieéolienne permet de produire de l’énergie a peu de coûts et a peu d’incidences sur l’ens ironnementlorsque l’emplacement des éoliennes est bien choisi. Fn consequence, l’énergie eolienne a connu ungain de populariie considérable ces dernieres années.

Le facteur le plus important a ànt contribue a l’augmentation de la popularité de l’eneigic eolicnneacte un changenwnt relatif a la sensibilisation a l’ens ironnement et un accroissement despreoceupations au sulet de la saute des éties humains et de l’ens ironnement, Orâce a des initiaux esinternationales conune l’adoption du Pi otoc de dc K olo, Li production de [ormes d’énergie dcremplacement u etc placee au premier plan des preoceupations. \ la lumière dc l’engagement qu ila pris au titre du Protocole, le gousernement du ( anada a reconnu l’importance de souieesd’énergie plus propre (gouvernement du Canada. flO5 n. On Lut ressortir l’importante contributiondes technologies emergentes sur l’énergie renoux clable dans la lutte contre le changement

IinidtiqaL, c IL Li iinunt du C’tnada fh L au élargisseniLlit dL. pwgraI1I1nL d’LIIi aeuin1a l’énergie éolienne par le truchement du programme 1 neouragemene à la production d’energieéolienne (I PI I ) gere par Ressources naturelles Canada (R\( an. De plus. le gous ernenient du

Canada s’est donné comme objectif que les sources d’énergie renous elable. dont l’energie éolienne,

représentent au moins I (J p. 100 de la nou elle capacité de production d’électricité en () (J.

2.2 Le mandat d’Environnement Canada

Fin ironnement Canada doit remplir le mandat suis ant : présers er et améliorer la qualité de

l’ens ironnement naturel, dont celle de l’eau. de l’air et du sol: préser\ er les ressources

renouvelables du Canada, compris les oiseaux migrateurs et d’autres espèces de fitune et de flore:

consers er et proteger les ressources en eau au Canada: fournir des sers ices météorologiques: (dire

respecter les regles établies par la (‘ommission mixte internationale du Canada et des I tats- nis

relatis ement aux eaux limitrophes: coordonnei les politiques et les programmes lèdéraux en matiere

d’ens ironnement.

La sision d’Ens ironnement Canada est celle d’un Canada dans lequel les gens prennent des

décisions responsables au sujet de I ‘ens iroimement et dans lequel l’ens ironnement est ainsi

présers é pour le bénéfice des générations présentes et l’utures ainsi que des composalltcs hiotiques

et abiotiques en et pour elles-mêmes.

La mission d’I’ns ironnement Canada est de faire du déseloppernent durable une realité au Canada

en aidant les Canadiens à s ivre et à prospérer dans un ens ironnernent qui doit être respecté, protégé

et sausegardé.

Ens ironnemeni Canada u la responsabilité de protéger les oiseaux migrateurs et les espéces en péril.

Il doit donc s ciller à ce que les populations de ces oiseaux ne subissent pas les effets négatild

d’initiatis es comme les projets de construction d’éoliennes. En vertu de l’engagement du

gous ernement du Canada à l’égard du Protocole de Kvoto, Eus ironnement Canada a aussi des

responsabilités et est déterminé à fasoriser la création de sources d’énergie de remplacement. telles

que l’énergie éolienne. A titre «autorité fédérale experte au sens de la Lof CUfl1LIlt’fl1W ur

I evalualion t’nvirornwnieniule (LCI F ), Fin ironnement Canada fournit aussi à d’autres ministères

fédéraux des conseils concernant les oiseaux migrateurs et les espèces en péril ainsi que d’autres

domaines liés à son mandat au sujet des eflts possibles sur l’ens ironnement attribuables à des

projets sisant des terres publiques et des terres prisées.

2.3 Lois, politiques et initiatives

I a plupart des oiseaux qu’on trous e au Canada n’y passent qu’une partie de l’annee. (‘est pourquoi

on les considère comme des oiseaux migrateurs. I a majoriic des espèces migratrices bénéficient

d’une protection internationale au titre de la Cons ention concernant les oiseaux migrateurs, conclue

en I 910 et nase CII oeus re au Canada l’année suis ante par l’adoption de la Loi dc I Y94 ur la

Convention onccrnan! les oisaua tnigrateur fi (()\1). Il s’agit dc la loi nationale a ant pour objet

de faire appliquer un traite canadnarnericain qui vise a proteger les oiseaux rnigrateur. I ‘article 5

de la I ( O’sl inici dit u quiconque d’as oir en sa possession an oiseau migrateur ou on nid ou encore

d’aehctei, de s endre, d’eehanger où de donner un oïseu migrateur ou son nid, ou d’en tairc le

commerce. I n consequence. il Idut étre titulaire d’un pcrm’ pour manipuler oiseaux migrateurs

ou des carcasses d ‘oiseaux. I n s crtu de l’article O du Rg/cmeni aï les 01 ILauv iii iateur R( )\1 J,

il est interdit de deranger. de detruire ou de prendre un nid. un abri à nid, un ahi i a eidei, une cabane

à canard ou un oeuf d’un oiseau migrateur: il est également interdit d’as oir en sa possession un

oiseau migrateur s is ant, ou la carcasse, la peau le nid ou les oeuC d’un oiseau mittrateur, à moins

d’être titulaire d’un permis délis re à cette fin. Il est important de noter que. en crin du ROs1. aucun

permis ne peut étre délis ré à des fins d’actE dés économiques ni pour l’execution de projets de

construction. I-’n conséquence. on ne peut délixrcr de permis pour la prise accessoire d’oiseauxconséeutie à des activités de d&x eloppement économique. L’article 35 du ROM prohibe egalementle dépôt de suhstance noci\ es pour les oiseaux migrateurs dans des eaux ou une région fréquentéespar ec oiseaux. OÙ que ce soit au Canada.

I n 1996. les gouernements signataires lèderal. pro inciaux et territoriaux ont conclu l’Accordpour la protection des especes en peril et se sont engages à adopter une approche nationale pourprotéeer le espèces en peril. Ils ont cons enu dadoptcr des lois, des règlements, des politiques etdes programmes complémentaires alin de désigner et de protéger les especes en peril et leurshabitats I a foi sur L spcc e s en péril (LI-P) a etc promulguée en juin 2003.

I u I l-P protège les espèces de faune et de Ilore inscrites à son annexe I cia I iste des espèces enpéril). Les interdictions de la I I-P s’appliquent au espèces aquatiques et aux oiseaux migrateursprotégés en ertu de lu Loi de / 994 sur la convention concernant les oiseaux migrateurs (I (‘0M).ou qu’ils se trous ent. ainsi qu’à toutes les espèces sans ages inscrites qui sC trous ent sur desterritoires domaniaux. Pour ce qui est des autres espèces inscrites qui se trous ent à l’extérieur deslimites des territoires domaniaux. les provinces et les territoires s isés sont les premières instancespousant les protéger par le truchement de leurs lois. Si de telles mesures n’existent pas ou sontinsuffisantes, la LFP prés oit un « filet de sécurité » permettant d’imposer certaines interdictions pardecret du gou erneur en conseil. l,es interdictions de la LLP condamnent le fait de tuer un indi idud’une espèce inscrite comme étant en voie de disparition, menacée ou disparue du pays. de lui nuire,de le harceler, de le capturer ou de le prendre ainsi que de posséder. de collectionner, d’acheter. des endre ou d’échanger un indis idu notamment une partie ou un produit qui en pros ient d’uneespèce inscrite comme étant en xoie de disparition, menacée ou disparus du pa\s. De plus. lesinterdictions de la LFP considèrent qu’il s’agit d’une infraction d’endommager ou de détruire larésidence d’un ou de plusieurs individus soit d’une espèce inscrite comme étant en voie dcdisparition ou menacée, soit d’une espèce inscrite comme étant disparue du pas si un programmede rétablissement en a recommandé la réinsertion à l’état saus age au Canada. Cette loi confèreegalement au gouvernement le droit d’inters enir sans délai pour protéger une espèce saus age en casd’urgence. De plus, la 1FP assure la protection de l’habitat essentiel des espèces inscrites à l’aidedc dis ers moYens.

Egalement en s cou de la I I P. toute personne tenue, au titre de la loi. de procéder a une ès al nationeus ironnementalc fédérale. doit : I) signaler à tout ministre compétent tout projet susceptible detoucher une espèce sans age inscrite ou son habitat essentiel, 2) déterminer les efflts négatifs duprojet sur l’especc saus age inscrite et 3) s ciller, si le projet est réalise. a ce que des mesurescompatibles as cc tout programme de retablissement et tout plan d’action applicable soient prises ens ne d’és iter ou d’amoindrir les cfLis ncgatifs ci dc les contrôler

Outre la I (‘0M. le R( )‘sl, la t l-P ci la 1(1 1 .11 laudiait tenir compte d’autres lois, reglements.politiques et initiatises aux nixeaux tederal. pros ineial et territoiial lorsqu’on esalue les effets descoliennes sur les oiseau\ migrateurs. ( cIa pe e signifler la prise en consideration des elcmenissuis anIs

I. • I a f ai ur le e spece s sauvage au ( anada.2. • La [o, sur le s océans,3. • DiI’tèuntcs lois pios iriuldies [ lui I itol laies 19. C\. iCs iuis sOi les cspèeus cli fui iI et

les lois sur la pèche et les espèces sans ages):

4. • I a Politique fi.dcrale sur la conser ation des terres humides:

5. • Le Règlement sur lits reluges d’oiseaux migrateurs:

6. • Initiative de consenation des oiseaux & l’Amérique du Nord (IC’OAN):

7. • 1 es ,ones importantes pour la consertation des oiseau’ (/IC O):

R. • I es projets de (‘anards Illimites Canada:9. • Le Plan nord-américain de gestion de la saut agine.

3. Information existante sur les interactions entre les oiseaux et les

éoliennes

3.1 RésuméSauf quelques exceptions importantes. les etudes menées a ce jour montrent que la mortalité M iaire

est très faible aux installations éoliennes. De plus. la mortalité ohservèe par structure attribuable à

ces installations est très faible par comparaison asec d’autres sources de mortalité asiaire causée par

les humains. Cependant. les données sont souent fondées uniquement sur le nombre de cada res

trou%& ce qui risque ii’entraîner un sous-enregistrement du nombre réel de collisions. 1ême

lorsque les taux de collision par éolienne sont bas. on pourrait considérer que la mortalité à la suite

de collisions est élesée. en particulier dans les parcs eoliens renfermant des centaines ou des miliers

d’éoliennes (Langston et Pullan. 2003. De plus. même des augmentations relatiement petites des

taux de mortalité peux cm influer sur certaines populations d’oiseaux. notamment les espèces en

péril ou les espèces de grande taille, dont la durée de ‘je est longue, la productiite annuelle est

faible ou la maturité est lente, telles que les rapaces (Langston et Pullan. 20031. routefois. dans

certaines situations, les effets des perturbations peu’sent être plus importants que les elïets des

collisions, en particulier au large des côtes et dans l’habitat naturel des prairies.

Plusieurs documents portent sur l’analyse d’études connues et l’éaluation de la mortalilté aiaire

due aux éoliennes en comparaison acc d’autres sources de mortalité, comme les tours de

communications et les lignes de transport d’énergie (C’rockford. 1992: (‘oIson et associés. 1995:

GilI et aL. 1996: Erickson et ut, 2001: Kerlinger. 2001; PerchaI. 2001: Langston et l’ullan. 2002).

Le National Vind Coordinating C’ommittee (NWCC) des États-l ‘nis estime que 2.3 oiseaux sont

tués par des eoliennes chaque année aux lEtats4 ‘nis à l’extérieur de la (‘alifomie. en rectifiant

l’efflcacitt des observateurs et le taux de récupération des carcasses, bien que les taux arient de

0.63 oiseau par éolienne par année dans un site agricole, en Oregon. jusqu’à 10 oiseaux par annee

par éolienne dans un site forestier montagneux fragmenté. au lennesseeNVC’C. 2004 t.

Frickson et aL (2001) e’saluent que Il 000 oiseaux sont tués chaque année par des eoliennes au

I tats-L ni. 1k ce nombre. 26 600 sont tués en (‘alifiirnie. Bien que ces données semblent enomies.

l’incidence est relatheinent faible I l’on considsre les millions d’oiseaux qui pavent pat dc’ parcs

eoliens chaque annee et les millions d’oiseaux qui meurent par suite de collisions aec. des lignes &

transport d’cneigie. des ehiculcs. des cdi lices et des tours de communications: par exemple. on

estime â W) millions le nombre d’oiseaux tues sur les routes au I tas-t nis chaque annee U tickson

cial. 2001: idem. 21X12).

Màme si le nombre de collisions anec d’autres structures est actuellement plus éle%c que les

collisions dans des pares eoliens. cela peut être attribuable en partie â la rareté relati’ie des parcs

éoliens dans IL’ pa’saste U sans. ?OO4tet au methodologies utilisées dans certaines etu&s pour

étaluer le nombre d’oiseaux tués. I a façon dc répartir par btructure les taux de mortalité due â

d’autres structures nous porte à le croire. Par e’iemple. en utilisant les nombres que fournissent

10

Frickson ci al dans leur résumé. il semble que les routes causent la mort de 9 à 12 oiseauxpar kilomètre par année. les édifices et les fenêtres de I à 10 oiseaux par structure par année et lestours de communication de 50 a 625 oiseaux par tour par année. Ftant dinni les taux de mortalitéactuellement recensés d’en’ iron 2 à 10 oiseaux par éolienne par année. l’incidence présue deséoliennes pourrait ‘aria de I à 5 millions d’oiseaux par annee d’ici 2025 si un nombre importantd’éoliennes en tiennent à faire partie du pa>sage (hans. 2004). Même si les taux de collision atecdes éoliennes sont généralement plus bas que ceux atec d’autres structures, la rareté relati’e deéoliennes dans le paysage a une intluence ét idente sur le nombre total d’oiseaux tués. [andis quel’énergie éolienne det ient & plus en plus populaire et que les parcs eoliens det iennentplus nombreux, le nombre & collisions augmente. ce qui fait qu’il sera impentifde bien choisir lesemplacements pour aider a reduire ou à éliminer les collisions d’oiseau’.

Il semble que trois principaux facteurs (soutent interactifs) influent sur le taux de mortalité aviaire aun site spécifique. (‘es trois làcteurs. decrits plus en détail plus loin dans ce document, sont:

I. La çJc’nxfté iks obq’aur glan.s la région. En général. les ri.sques de collision an ec des éoliennessont plus grands lorsqu’il y ii abondance d’oiseaux. En effet. la seule lhçon de garantir l’absencede mortalité atiaire consiste à installer les éoliennes où il n’) a pas d’oiseaux. ce qui estpratiquement impossible. Cela ne ‘.eut pas dire cependant que des densités d’oiseaux eleveescorrespondent nécessairement à des mortalités an iaires plus élevées. I ‘ne seule étude. menée enBelgique (Everaert. 2003 1. a pennis d’établir une relation directe entre le nombre d’oiseaux dansune région et les taux de collision.

2. Les caracléri.sliques du paysage dans k; région, les formes du terrain, comme les crêtes. lespentes fortes et les tallces. qui caractérisent les sites des parcs éoliens peuvent augmenter ledegré d’interaction entre les éoliennes et les oiseaux utilisant ou sunolant la région (p.ex.. les oiseaux migrateurs néotropicaux et les rapaces). bien que l’on débate de ce point. Lapresence d’autres fbnnes de terrain, comme les péninsules et les ritages. peut canaliser lesmouvements des oiseaux durant le jour. ce qui peut aussi influer sur les taux de collision, maiscet aspect reste encore à être étudié. (‘es caractéristiques peut eut s’associer à une forteabondance d’oiseaux et entraîner un grand risque de collision.

3. Wauvai.ses conditions météorologiques. A de nombreux sites. les collisions atcc des migrateursnocturnes ont tendance a se produire par mauvais temps lorsque la tisihilité est réduite. Bienque la plupart des exemples semblent être des cas isolés, il faudrait tenir compte des conditionsmétéorologiques lorsqu’on propose un emplacement dans une region comptant un grand nombrede journées an ec tisibilite teduite ( 200 m) au printemps et a l’automne et possêdant d’autresliicteurs de conIuion ip.e. un grand nombre d’okeau migrateurs nocturnes et les formes durelieL telles que la presence de crêtes).

De plu’. on estime que des dtfterences entre les technologies peinent laite t aria le nombre demortalites at iaircs. Par e’emple. on a saut ent mentionné que des eoliennes plus recentesreduisaicnt les taux de collision, mais três peu de donnees le proutent clairement. I es éoliennesdont les technologies sont plus tieilles peu’ ent faire augmenter les risques de collision en raison dela rotation plus rapide de leurs pales. mais la forte mortalite at iaire signalce a des endroits commele col d’ ltamont n’est pas due seulement à l’âge des eoliennes (Anderson ci aL. 200(h. Il fauttoutcti)is menet d autres zej.he.chcs dams la région nant de tirer des toniJusions fermes, puisquc. iaplupart de l’information concernant les effets de la technologie des éoliennes sur les oiseaux estspéculatite à l’heure actuelle.

V

3.2 Effets documentés des éoliennesPour mettre en contexte ces questions. une analyse est décrite ci-après. laquelle porte sur les effets

des perturbations ob’,enés et les conclusions des liées aux effets des collisions aec des coliennes

documentés air six groupes d’oiseaux. L’annexe renkrme également un résumé plus systématique

des incidences des collision’. (Il coni lent de noter que le. nombre’ indiqués dan’ l’annexe

correspondent au’ nombres bruts de collisions signalées et ne tiennent pas compte des rectifications

de l’efficacité de l’obscnateur et du taux de récup&ation des carcassesi

Bien que les études et la surveillance ef&’ctuées en .mérique du Nord portent principalement sur

les taux de collision, les dMs des perturbations peinent causer une incidence plus grande sur les

oiseaux. Malheureusement. cet aspect est le moins etudié lorsqu’il s’agit des incidences des parcs

éoliens sur les oiseaux. I.e peu d’inlbrmation existant laisse penser que certains groupes d’oiseaux

semblent plus sensibles que d’autres aux perturbations causées par les installations éoliennes. (“est

le cas notamment des oiseaux de mer et des tétras des prairies que les éoliennes en exploitation

dérangent facilement il faut donc leur accorder une attention particuliere au moment de la

conception des installations éoliennes.

Il manque sérieusement de recherches en comportement sur les incidences des perturbations pour

tous les groupes d’oiseaux et. dans bien des cas. aucune étude n’est disponible. De plus. il cons ient

êgalement & noter que de nombreuses études semblent indiquer que les éoliennes ont peu ou pas

d’incidences comportementales sur dii erses espèces d’oiseaux. L)ans certains cas. le manque de

preuve apparent peut être un artéfact quelconque, comme le t> pe de sun eillance et son intensité.

3.2.1 Oiseaux aquatiquesle groupe d’oiseaux aquatiques comprend des espèces t> piques des habitats aquatiques. dont les

milieux marins, les lacs. les cours d’eau et les milieux humides, mais exclut la sauvagine et les

oiseaux de ri’ age. qui font l’objet d’une analyse distincte (sections 3.2.2 et 3.2.3).

Incidences des collisionsIrès peu de mortalités d’oiseaux aquatiques ont été signalées aux installations éoliennes. On a

déterminé que les goélands et les mouettes sont particulièrement ulnérahles au risque de mortalités

causées par des éoliennes, car ils olent sou’i cm dans le rayon de la surface balayée par les pales

(Airola. 1987). Malgre une telle vulnérabilite apparente. on signale tres peu de collisions de ces

oiseaux a’ec les éoliennes, sauf à trois endroits en Belgique (heraert. 2003). Les tableaux A6. A7.

.12. :l3. AIS et l6 de l’annexe renferment des renseignements supplémentaires au sujet des

incidences des collisions des oiseaux aquatiques.

Incidences des perturbationsfi existe très peu d’inlormation concernant les effets comportemcntaux des couennes sur les oisCdU

aquatiques qui peui ‘nt interagir a’ cc dc’ eoliennes estracotiere’ o’z situees a proximite de

plans d’eau ou d’aires de iassemblemnt (ou les oiseaux se iassembknt pour s’alimenter aiant ou

durant la migration).

I ne iaste gamme d’effets negatits peinent se produire dans les pascs coliens extracôtiets. dont des

changement.s dans le regime de sédimentation et la composition des espèces-proies iPerci’al. 2001:

Merck et \ordheim, 1999) De plus. les eoliennes e’ttracôtières peinent entraîner la perte d’habitat

à long terme. car l’utilisation du site par les oiseaux est entra’ et. 111es peinent également faire

obstacle aux migrations saisonnières et aux deplacements à l’échelle locale en séparant des unites

écologiques, comme des çites de recherche de nourriture et de repos (Fxo w ut. 2003 tI» tels problèmes pourraient avoir d’importantes répercussions sur les populations, mai. commeles éoliennes extracôtières sont une réalité récente. ces problèmes sont encore h> pothétiques.Certains signes laissent penser que les oiseaux aquatiques pourraient profiter des installationseolienncs extracôtières dans certains cas. Les fondations des eoliennes peux ent sen ir de récillartificiels et dans certains cas. la baisse des acthités dc pèche par les humains dans le regionpourrait faire augmenter la disponibilité de poissons. de mollusques et de crustaces (c.-à-d. lesproies des oiseau. aquatiques).

Les parcs éoliens pourraient an oir des incidences négati’ es plus importantes sur les oiseauxaquatiques si une partie importante d’une ressource locale était déplacée. I es secteurs situés présdes colonies de nidification ou liés a la répartition d’une source d’alimentation peinent constituerdes /ones potentiellement sensibles (Perchai. 2001). Certaines espèces se nourrissent à proximitéde leurs colonies de nidification, alors que d’autres cherchent leur nourriture sur de grandesdistances.

En résumé, l’effet de la perturbation causée par les éoliennes sur les oiseaux aquatiques n’a pas faitl’objet d’études dans la plupart des endroits. mais pourrait constituer une préoccupation légitimepour certains sites. Il faut mener d’autres études concernant les effets éentuels. en particulier surles hérons nicheurs et sur d’autres d’oiseaux aquatiques coloniaux. l.a plus grande menace queposent les installations éolienneç aux hérons est la perturbation éientuelle des colonies nicheuses siles éoliennes sont situées assez près de sorte qu’elles nuisent à leur reproduction (p. ex.. Bois man etSiderius. 1984).

3.2.2 SauvagineLes effets des éoliennes sur la sausagine (canards. oies et bernaches, cygnes) ont été étudiés àquelques d’endroits. notamment en Europe. On a examiné les interactions dans des en’ ironnementsd’eaux douces et des milieux marins et é’alué les effets causés par des éoliennes situées près desaires de rassemblement. le long des soies de migration ainsi que sur des sites extracôtiers.

Incidences des collisionsI a présence de grands nombres d’oiseaux à proximité des installations éoliennes ne signifie pasnécessairement qu’il a aura un grand nombre d’accidents mortels (brickson w aI. 2002). Danscertains cas, on croit que les canards de mer apprennent û éiiter les éoliennes, si bien qu’il amoins de collisions au fil du temps (PerchaI. 2001). In ce qui concerne les canards de surface. lesendroits ou la mortalité est la plus lhrte sont ceux que la sausagine fréquente toute l’année et où ellecompte pour au moins It) p. 100 du nombre total de mortalités. (‘ependant. e nombre est encoretrès faible, compte tenu surtout du nombre de canards qui utilisent ces zones d rickson cl aL. 2002,.L e tableau .8 de l’annexe contient des renseignements supplementaires sut les incidences descollisions de la sain agine

Incidences des perturbationsIl semble que les perturbations constituent le plus important facteur a ptendre en eonsideration dansle choix de l’emplacement d’eoliennes a prohiimite de zones importantes pour la sausagine. l.’etudela plus e’hausthe concernant l’effet des eoliennes etraeôtières sur les canards a etc menée àI uni’ Knoh. au l)anemark. OÙ on a amenagé un petit pare extracôtier composé de lu éoliennesmodernes dans une région où se nourrissent un grand nombre d’Eiders ii dus et(Snn,alcria mollis simcn et de Macreuses noires ( 1k lanina nigrcn. L)es études ponant sur les eflètsdes perturbations causees par ces éoliennes sur les canards plongeurs ont res 61e que ceu1ci

‘I

adoptaient un comportement d’éitement. qui était plus marqué par main ais temps

(Guillemette et ciL. 1999: lulp e, aL. 1999;. En général. les eiders é’ item de oler ou de se poser

à moins de 100 in des couennes et de oler entre des éoliennes espacées de moins de 200 in:

ils ‘oient plutôt autour des éoliennes eNtérieures (Guillemette U aL. 1998: idem. 1999:

J ulp Li aL. lQ9Qi, Mis h part ce comportement. on n’a décelé aucune autre diiference sur le plan de

l’abondance ou des comportements liés à l’alimentation ou aux mouements.

Des conclusions semblables sont issues d’une étude & i.arsson (1994) menée à Nogersund. en

Suède. et des études de l)irLsen et al. (1998) réalisées à ldy. aux Pays-Bas. A Lei>. on a e”aminé

quatre coliennes de 500 et. durant la nuit. on a subi à l’aide d’un radar deux espèces de canards

plongeurs, le Fuligule milouin tlyihya k rincn et le I’ uligule morillon il. nslgu1cn. pour obsen er

leur comportement de ol autour des éoliennes (l)irksen et aL. 199$;. Les résultats & cette etude

indiquent que la plupart des oiseaux éiitent de oler près des éoliennes et qu’ils preferent passer

autour des éoliennes extérieures plutôt que de oler entre elles. Des études menées en Allemagne

laissent également penser que des alignements d’éoliennes peuent Ihire obstacle aux déplacements

de la sau’agine et d’autres groupes d’oiseau.x (NABI . 2004). t ne telle hypothèse est renforcée par

la réaction de macreuses à la présence du pont de la Confédération. qui relie

l’lle-du-Prince-l’douard et le Nouveau-Brunswick en traersant le détroit dc Northumberland.

pendant les migrations printanière et automnale. On a constaté que les oiseaux hésitaient beaucoup

à approcher le pont et que. après plusieurs tentaties infructueuses, seulement un petit nombre de

macreuses passaient. Au lieu de passer sous le pont où il> a amplement d’espace, elles le

survolaient à très haute altitude (Hieklin et Bunker-Popnia. 2003).

I.e comportement d’é’ itement qui a été obsen é n’est pas limité au études menées aux sites

d’éoliennes extracôtieres. Au Yukon. une seule éolienne a été placée en bordure de la allée du

lieuve Yukon où la sau’agine migre en très grand nombre. dont lOp. 100 de la population mondiale

de Cygnes trompettes (flspu.v buccinalor) [Mossop, 19981. Aucune collision d’oiseaux n’a été

notée, mais on a obsen é que des oiseaux é’ itaient de oler à proximité de l’éolienne

(Mossop. 1998). lI semble que la réaction à la présence d’éoliennes soit très étroitement liée à

l’espèce et que même des espèces très apparentées puissent présenter des réactions très différentes.

Par exemple. les Oies à bec court (Anser hrackirhtnc hu.s hésitent à chercher leur nourriture dans

un rayon d’eniiron 100m des éoliennes, alors que ce rayon se réduit entre 25 et 50 m dans le cas

des Bernaches nonettes (Brama leucop.sis) [Larsen et Madsen, 2000J. \Piekering. en Ontario.

James t2003) a obsene des Bernaches du Canada (Branla canadensi.o qui marchaient et

cherchaient leur nourriture près de la base de l’unique grande eolienne sur le site.

Il se peut egalement que dilferentes espèces de sau’agine réagissent dilferemment à la present’e

d’eoliennes extraeôtiere. ce qui rend difficile la pie’ ision des incidences possibles sur les

populations locales, Cependant. le. meidences e’entuelles des eoliennes e’tracôtières sur les

•‘i’eau aquatiques (section 1,2.1 j s’appliquent d’une maniere semblable a la sau’agine qui utilist

cc t’pe d’habitat.

3.2.3 OIseaux de rivage

Incidences des collisionsI n l’urope. les oiseaux de ri’ age sont le principal suiet des cuides lorsque les éoliennes sont situees

dans des milieux côtiers ou se trous ent de nombreux indi’.idus et ou on obsene beaucoup de

mous ements de ces oiseaux Malheureusement, on n’a pu obtenir les dossiers concernant les

recherches de carcasses effectuées lors de ces cuides. La mortalité en .mérique du Nord est

‘t

très basse (peut-être parce qu’aucun site ne se trouve dans l’habitai des oiseaux de rivage).le tableau Al 4 de [annexe renferme des renseignements sur les incidences des collisions sur lesoiseaux de rivage.

Incidences des perturbationsA 1 installation éolienne de I3lvth I larbour, au Royaume—l ni, un nombre consédérable à l’échellemondiale de l3écasseaux violets (( ulidris mL.’riîima) hivernent 1 oïher. 2000 . Pourtant. ni lestravaux de construction ni les activités d’exploitation des éoliennes n’ont semblé perturber lesbécasseaux (I o\vther, 2000t. Des études menées aux Pa\ s—Bas (Dirksen ci ciL. 1997) et

au Daneniark (Pedersen et Poulsen, 1991) ont examiné l’effet des euliennes situées prèsd’importantes aires de rassemblement sur de nombreux oiseaux de rivage et ont révélé que lesoiseaux évitaient facilement les éoliennes et risquaient peu d’entrer en collision avec elles.

Certaines études ont montré que les oiseaux de rivage évitaient les éoliennes jusqu’a 500 rnà la ronde \Vinkelman. 1995), alors que d’autres ne ré éleni aucun el’flt important attribuable auxéoliennes sur la répartition des oiseaux de rivage ( Thomas, 1999). (in pense intuitivement que leseuil de perturbation varie pour chaque espèce. mais d’autres raisons peuvent expliquer lavariabilité observée. Par exemple, si l’habitat qui convjenl à l’espèce abonde à proximité del’installation, les oiseaux de rivage pourront probablement s’éloigner des éoliennes. Par contre,si l’habitat est restreint, les oiseaux n’auront aucun autre choix et resteront donc près des éoliennesLandscape l)esign Associates. 2000). Une telle situation pourrait aussi s’appliquer à d’autres

groupes d’oiseaux dont les besoins en matière d’habitat sont particuliers.

Il se peut également que différents oiseaux de rivage réagissent diti’éremment à la présenced’éoliennes extracôtières ou à proximité des côtes, ce qui rend difficile la prévision des incidencespossibles sur les populations locales. Les oiseaux de rivage seront probablement les plus touchés parla présence d’éoliennes extracôtières qui font obstacle aux migrations saisonnières et auxdéplacements locaux en séparant des unités écologiques, comme des aires de recherche denourriture ou de repos (Exo ci al.. 2003. [ne vaste uamme d’effets négatifs peuvent se produiredans les parcs éoliens extracôtiers, dont des changements dans le régime de sédimentation et lacomposition des proies (Percival. 2001: Merck et Nordheim, 1999) Même si les parcs éoliens sont

situés bien au large, ils peuvent probablement avoir un effet négatif sur les oiseaux de rivage quicherchent leur nourriture le long de la côte si les changements dans le régime de sédimentationmodifient la composition de la boue (ou d’autres substrats) à cet endroit, ce qui pourrait serépercuter sur la disponibilité ou l’abondance de la nourriture.

3.2.4 Rapaces diurnes

Le groupe de rapaces diurnes se trou ant au Canada comprend les aigles, les buses, les autours etles éperviers, le Busard Saint-Martin ( ‘ircus cyaneus), le Balbuzard pêcheur (Pandion haliactus) etles faucons [‘1 ruhu à tête rouge ((îIiar!es aura) fit aussi partie de ce groupe en raison de saressemblance avec de nombreux rapaces pratiquant le x ol plané et en raison du comportement devol et de I ‘nO lisation de l’habitat. Cependant. pour ce qui est de la taxinomie, les urubus duNuu eau Monde sont plus appal’entes aux eieognes.

Incidences des collisionsLes collisions, plutôt que les perturbations, ont lait l’objet d’études portant sur les rapaces dans lesparcs éoliens, Les incidences des collisions sont résumés aux tableaux A9 et A1() de l’annexe,L’importance accordée au taux de collision des rapaces a cc des éoliennes est attribuable au taux de

collision ciné des rapaces obsené dans un petit nombre de parcs éoliens. 1 e col d’Altamont et le

col de Tehachapi. en (‘alifhrnic. comprennent des milliers d’éoliennes, comptant parmiles plus grands en Amérique du Nord. [n 1989. la Caliibrnia Energ3 (‘ommissioli a publié un

rapport d’analyse de données sur les collisions d’oiseaux a’ec des éoliennes sunenues en (‘alifornie

entre 1984 et 1988 (Califomia I nergy (,‘ommigion. 1989t On a trouié au total 108 indiidus de

sept especes. dont la plupart etaicnt des rapaces protegés par les lois californiennes et américaines.

I ai plupart des collisions ont été signalôes durant l’hier lorsque de nombreux rapaces occupaient la

région pour chasser des mammikres.

Pour donner suite aux conclusions de ce rapport BioS> stems \naly sis Inc. a entrepris une étude

échelonnée sur deux ans (Orloif et Hannery. 1992). In echantillon d’en’ iron 16 p. 10(1

des 700(1 éoliennes au col d’Altamont a Ihit l’objet d’obsenations et de recherches sur la mortalité

durant six saisons. Des 181 oiseaux morts troués durant l’étude. 119 (65 p. 100) étaient des

rapaces. pour la plupart des Buscs à queue rousse (Buiec /amaicensis). des Crécerelles d’Amérique

(&iko span’eriu.s) et des Aigles ro>aux i.lquila cfrtscieto.u. Dans l’ensemble. en iron 55 p. 100 de

la mortalité de rapaces sont attribuables aux collisions a’iec des éoliennes. 8 p. 100 à desélectrocutions. Il p. 100 à des collisions a’ec des haubans et26p. 10(1 à des causes indéterminées

(Orloft’et Flannery. 1992). On a proposé plusieurs facteurs présentant les plus grands risques pour

les rapaces: les éoliennes se trou’iant aux extrémités des rangées. les couennes situces à moins

de 500 m d’un canyon et les éoliennes ayant une tour en treillis (Orloff et J’lannery. 1992).

On signale encore une mortalité de rapaces éleée dans la région du col d’Altamont. Entre 1998

et 2000. on a troué 256 oiseaux morts. dont 139 j54.3 p. 100) étaient des rapaces(Frickson cl aL. 2002: llunt, 2002).

Il existe à tarifa, en Espagne. une autre installation éolienne où la mortalite des rapaces est

considérable. I.e site est situé en bordure du détroit de Ciibraltar et forme un goulot » où

se concentrent les migrations d’oiseaux dans le bassin méditerranéen. I es oiseaux pratiquant le ol

plané sont en général les plus préoccupants. puisque au moins 30000 rapaces et d’énormesquantités de cigognes sun oient la région en automne. Les rapaces et les cigognes qui passent par

tarifa constituent une grande partie des populations nieheuses de l’Furope de l’Ouest qui hivernent

en Afrique. Les plus courantes espèces pratiquant le ‘ol plané qui sun oient la region sont la

Bondrée apiiore (Perms apivorus). le Milan noir ( Ifili’u3 migrans) et la ( igogne blanche

((‘konlu c’konia). mais de nombreuses autres espèces ne pratiquant pas le ol plané sun oient

également la région durant la migration (Marti. 19951. I a région de I an fa a dé reconnue sur le plan

international par Bird I ife international comme une ione importante pour la consen ation des

oiseaux (lICOL déciarce .‘one de protection spéciale par i’L ‘nion européenne et designee parc

naturel par le gouierncmeni de l’Andalousie (Marti. 1995). 11 niste plusieurs installations éoliennes

dans la region: en tout. 268 enliennes plus anciennes y sont en eploitauion i \lani. 1995;, (‘ertaines

des installations sont plu’ ou moins parallèles ai l’axe principal de migration. mais certains

alignements d’eoliennes sont de biais a’iec la soie de migration. Des milliers d’oiseaux planeurs se

posent et se repo%ent au sol ou sur des promontoires de la region. notamment dans des ‘ones ou se

trous ent des enliennes. On a signale de nombreuses collisions d’oiseaus a’ cc des coliennes.

dont 14 especes protegees. On estime qu’un total dc 106 mdi’ idus ont etc tué’ en l’espace d’un an

i’tlarti et i3arrios. I 995t I ai plupart des cas consignés se sont produits lorsque la isihilité était

bonne (Mati et Barrios. 1995;. loutefois. les études n’indiquent pas toutes une telle mortalite

ele ce a I arifa. I ‘ne etude ultenieure echelonnee sur 14 mois. incluant deux migrations automnales.

ai permis d enregistrer plus de .. 1)011 oiseaux au cours de I 111$) heures U or’scflation. On n a uou’e

cependant que deux carcasses d’oiseaux. soit celle d’un Vautour t’aue ryp.’. tuls’u.s parmi les

45 000 obsenés) et celle d’un Cireaete Jean-le-Blanc ((‘ireuelus gallu us parmi les 2 500

36

observes). Cette étude indique que les taux de mortalité peuvent ‘ arier d’une aimée et dune régionà I autre (Janss 2000j.

Il semble que la topographie soit le principal facteur influant sur les collisions des rapaces.I a comparaison des regions de ressources éoliennes (RRE ) du col de fehachapi et du col deSan (iorgonio en donne un bon exemple. I.e col de I ehachapi est situé dans le centre-sud de la(‘alilornie. à une altitude de 1 000 à I (0(J m au—dessus du ni eau de la mer. ( )n trou\ e denombreuses crétes et pentes ainsi qu’cn\ iron 5 000 éoliennes de marques et de tailles di \ erses. Dansle méme Ftai. le col de San ( iorgonio est étroit et situé à une basse altitude de I Xi) à X5() mau-dessus du nieau de la mer il comporte S 750 eoliennes de marques et de tailles dierses.chaque site, on a effectué 830 recherches de carcasses en un an et constaté que les mortsaccidentelles de rapaces etaient beaucoup plus nombreuses au col de I ehachapi qu’au col de SanGorgonio. laissant penser que les carueteristiques de reliel comme les zones de ées. les crétes etles pentes. exercent probablement une grande influence sur le tau\ de mortalité des rapaces là oùceux —ci abondent (Anderson ci aL. 200V).

A des installations éoliennes autres que celles du col d’Altarnont et de Farifa. on signale très peu demorts accidentelles de rapaces. Aux Etats-linis. à l’extérieur de la Californie, les rapaces nereprésentent que 2.7 p. 100 des morts accidentelles causées par des éoliennes (Erickson cl al. 2001:Kerlinger. 2001). Il est donc surprenant que. dans le parc éoliens de IcBride Lake. en Alberta. auCanada. on ait trous é sept Buses de S ainson ( Ruico suainvuni) a ant entrées en collision avec deséoliennes (six en 2003 et une en 2004: 13roii et Flamilton. 2004). Les oiseaux tués étaient desjeunes de l’année ou des juvéniles. ce qui laisse penser que les collisions peux ciii étre attribuables àleur inexpérience. I e nombre moins éle\ e de collisions l’année sui\ alite indique que le taux decollision peut arier d’une année à l’autre (Broxsn et Flamilton, 2004>.

La faible mortalite observée à la plupart des sites éoliens est fort probablement attribuable à unmeilleur choix des sites. loin d’une topographie à risque et des brtes concentrations de rapaces. Onpense que la construction de tours tubulaires (par opposition aux tours en treillis) et une rotation despales plus lentes peut ent aussi avoir contribué à réduire la mortalité des rapaces: cependant. desétudes portant sur les taux de mortalité par rapport aux divers tpes d’éoliennes ne montrent aucunedifférence importante entre les technologies (Anderson ci aL. 2000).

Incidences des perturbationsAucune donnée ne concerne la réaction comportementale des rapaces aux eoliennes,

3.2.5 Chouettes et hibouxIncidences (les collisionsIl existe peu de donnees sur les incidences des collisions sur les chouettes et les hiboux:l’infirmation tonnue est resumee au tableau \ 19 de l’anne\e

Incidences des perturbations\ucune dmnce ne concerne la reaution comportementale de chouettes et des hiboux au couennes.

3.2.6 Oiseaux terrestres

Incidences des collisions

I n Amérique du Nord, à I’exterieur de la (‘alifornie, les oiseaux chanteurs (passériformes)constituent le groupe d’oiseaux parmi les oiseaux terrestres le plus sous ent touche par des

installations éoliennes. Même si la perturbation et la perte d’habitat attribuables à la construction

d’éoliennes sont des effets négatifs, les études ont plus sou’ cm porté sur les morts accidentelles

d’oiseaux chanteurs aant entrés en collision avec des éoliennes. I es oiseaux chanteurs protégés

representent 78 p. 100 des morts accidentelles documentées sunenues à des installations éoliennes

au’ I’tats-Inis (Lrickson cia!. 2001). (‘e pourcentage pourrait même être plus élese si l’on

i incluait des espèces non protégees par la loi, comme Ii tourneau sansonnet iSiurnus i’ulguri.sj et

le Moineau domestique (Passer mmc. siicus?. Par comparaison. les rapaces ne comptent que pour

2.” p. 100 de l’ensemble de’. morts accidentelles attribuables au éoliennes aux l’tats-L nis

(l:ricLson u ut. 2001 j. l.es tableaux U I. Al7. AIS et de A2” à A42 de l’annexe presentent des

renseignements supplémentaires sur les effets des collisions sur les oiseaux terrestres.

1 es espèces d’oiseaux des terres herbeuses qui pratiquent des parades aériennes, comme

l’Alouette hausse-col Œreino’hi1ci ulp’.siri.s). le Bruant s espérai (Ponecties grumhwus) et le

Goglu des prés (i)olicho,çx urpis’orus i. peusent être particulkrenient menacés par les éoliennes.

On sait que ces espèces soIent asse! haut a certains moments durant leurs parades pour risquer

d’entrer en collision sec des éoliennes. Il arrhe sous ent que celles-ci trouvent la mort a la suite de

collisions survenues dans des parcs éoliens de l’Ouest. où elles sont très communes

(Kerlinger et Dowdell. 2003). Au parc éolien de Nine (‘anyon. dans l’Uta de Washington. les

Mouettes hausse-col représentaient slip. 100(17 indhidus)de toutes les sictimes de collision

trous ées dans le cadre de 19 recherches de carcasses effectuées au cours d’une année à la base de

chacune des 37 éoliennes de 1,3 IW et d’une tour météorologique non haubanée

(Erickson el a!., 2003b). Les Alouettes hausse-col comptent également le plus grand nombre de

victimes de collision au parc éolien de Stateline, situé près de celui de Nine (‘an> on

(Jirickson ci ut, 2003). Les tableaux A26. A37 et A39 de l’annexe comprennent d’autres exemples

de collisions connues clie les espèces des terres herbeuses. Le risque élevé pour lesAlouettes hausse-col ne suscite generalement pas d’inquiétude dans les régions OÙ elles sont

communes. mais il faudrait prendre la situation au sérieux dans d’autres régions. comme b

(‘olombie-Britannique. OÙ une sous-espèce locale est inscrite comme étant en soie de disparition

en sertu de b LEP.

Incidences des perturbationsLa perte et la destruction de l’habitat constituent les plus grandes menaces pour les oiseaux

chanteurs migrateurs néotropieaux. I ‘incidence des éoliennes sur les oiseaux forestiers nicheurs n’a

été e’iaminé qu’une fois en Amerique du Nord. lors d’une hrèie étude effectuée à Searsburg. au

‘ermont (Kerlinger. 2003b;. On a constaté que la perturbation était faible pour la plupart des

oiseau’. dont plusieurs nichaient dans la forêt située a moins de 20 à 30 m des éoliennes. I outelbis,

quelques especes évitaient la clairieie ou se trouvaient les éoliennes, et certaine’ semblaient

s’éloigner dan antage dans la Ibrêt (notamment la (ais e à dos olis e [(‘aihurus aLsildalus ». On n’a

pas pu déterminer si un tel comportement sisait a esiter les eoliennes ou la clairiere (kerlinger.

200lb) I)’autres etudes sont naessaires pour determiner t quel point les enliennes touchent le»

oiseaux I”re%tier’ nicheur’..

I n general. il e’iiste as peu de renseignements détailles concernant les effets des des eloppements

d’energie eolienne sur d’autres groupes d’oiseaux terrestres. a l’e’sception des especes des terres

herbeuses t particulièrement les tetras). Il u été montre que les coliennes peusent deplaeer beaucoup

(espèces des terres herbeuses (mais pas la totalité;, I edd> ci ut (1999) ont constate qu’il> as ait

moms d oiseaux mcheurs des terres herbeuses dans un ia>on de 100 a .,00 in des eola’nnes dans le

sud-ouest du Minnesota. 1)ans cette même région. les densités d’oiseaux ont diminue de plus de

50 p. 10f) dans un ra>on d’ens iron 50m des éoliennes. On ne sait toujours pas si les oiseaux

18

nicheurs des terres herbeuses s’habitueront à la présence d’éoliennes et s’ils retourneront dans leszones qu’ils a’.aient quittés aupara’.ant. Le phenomene ne s’ohser’. e pas chez toutes les espèces desterres herbeuses â l’installation éolienne de Ponnequin. au (‘olorad . des oiseaux chanteurs desterres herbeuses, comme l’.\louette hausse-col, cherchent leur nourriture directement au pied dscoliennes: on a \ u des Sturnelles de l’Ouest (!uri?c//u ncglectut qui cherchaient également leurnourriture au site d’ \ltamont. en Califbrnie (Curr et Kerlinger, I I C. etudes en cours, cite dansKerlinizer, 2003b: ‘.oir ci-dessous en ce qui concerne les risqtaes de collision associés aux especesqui pratiquent des ‘.ols nuptiaux).

I a destruction et la lraementalion des habiiat et la perturbation des populations locales d’oiseauxnicheurs constituent probablement les plus grandes menaces potentielles que posent les installationséoliennes pour les oiseaux considerés comme aihier. on se préoccupe en particulier des menacesaux tétras des prairies : le I étras des armoises t ( n1i’ocercti /1rOp//c1 /1112/1 s•) et le létras a queue fineRnipuiiiichu pIhI1Ln1c’!/us). (‘es tétras des prairies et d’autres oiseau\ terrestres des terres

herbeuses se sont montrés très sensibles aux niodifications apportées au pa sage par les humains eté’. itent toute structure éle’.ée (p. ex., des arbres et des poteaux électriques), étant donné que lesrapaces, qui en sont les prédateurs. s’s perchent sou’.’ent, On a montré que le I étras pâle(T pu11idicinciu. ne niche ni ne couve à moins de 400 m d’une route ou à moins de 300 m deslignes électriques et qu’il é’. ite également les zones où il a présence humaine, comme lesdemeures habitées \lanes cf ciL. 2002). Comme les tétras des prairies évitent fermement lesstructures élexées. ils pourraient abandonner de ‘.astes zones autour des éoliennes, même si l’habitats est convenable.

Les diffirentes espéces de tétras des prairies uni besoin de vastes étendues d’habitats con’. enahlescontigus. tels que des prairies à herbe courte, â graminée mixte et à armoises. Les humains ontlongtemps influé sur les terres herbeuses, et l’utilisation des terres à des fins agricoles a éliminé plusde 90 p. 1 (>0 des prairies indigènes (Manes ci cil. 2002>. Il en résulte que les populations denombreux oiseaux des terres herbeuses diminuent rapidement en .\mérique du Nord. ce qui fait quel’habitat restant est très important pour la sur’. ic des espèces sensibles. la majeure partie del’habitat con’. enable qui reste est situé dans des régions éloignées ou dans des zones où l’agricultureest difficilement praticable en raison de la topographie. Cependant. certains de ces endroits peu’. eutposséder des ressources éoliennes satisfaisantes, et il est possible de construire des installationséoliennes dans ces endroits sains et x iergcs. I a construction d’éoliennes et d’autres structures a cesendroits peut nuire 1Il\ oiseaux des terres herbeuses déjà sensibles et ‘. ulnérahles.

4, Comment les oiseaux sont touchés au cours de l’année

4.1 Oiseaux reproducteursInstallations éolidnne% terrestresOn constate geneuilcineut que les taux de collision des oiseaux reproducteurs dans le ‘ecteui deseoliennes sont inteii irs a ceux des oiseaux non-residents (‘cIa est probablement dù au tait que lesoiseaux de la region ‘hahituent â la presence d’eoliennes et sa’. eut comment les e’. iter,contrairement a ceux qui passent dans la regiun ainsi qu’aux mau’. aises conditions meieoroloiques.par exemple â cause du brouillard, les non—residents peu’. eut ne pas detceter les éoliennes ax .inid’entrer en collision a’ cc elles. I a plupart de la documentation colicernani les liets dc l’energiecouenne sur les oise tux traite du nombre d’oise’tux tués et des causes do leur rollision (epen I intles incidences les plus gra’.es sur les oiseaux reproducteurs attribuables aux installations eoliennessont les sui’. anis : la perte d’habitat, la destruction des nids actits, l’obstacle aux trajectoires de ‘. olrégulières, la perturbation causée par les éoliennes ou par les acti’. itès humaines à proximitc des

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sites de reproduction et l’obstacle aux aires d’alimentation importantes (ce qui est particulièrement

considérable dans les rétdons extracôiières et côtières.

À de nombreuses installations éoliennes, le taux de reproduction aiaire (c.-à-d. le succès de

niditication ne semble pas être touché de façon négative, bien qu’il n’ait pas fait l’objet de

beaucoup d’études. .\ un parc comprenant 66 éoliennes, le taux de reproduction mo en des oiseaux

reproducteurs était le méme que celui des regions oisincs ((iuyonne et (iae, 2000) (ependant.

on signale une diminution des populations d’oiseaux reproducteurs dans quelques parcs éoliens où

les tra aux de construction ont détruit l’habitat de reproduction cl où des personnes et des éhicules

étaient constamment presenas t Perci al ci aL. I 99, l)c plus. on a aussi ohser é que les oiseaux des

terres herbeuses é itaient de nicher d moins de 100 à 2U0 m des éoliennes (Leddx LI u! , 1999).

Il faudrait souligner que les résultats des etudes sur la produetis hé en ftnction des éoliennes arient

considérablement d’un endroit à un autre.

Installations éoliennes cxtracôtièresLes installations extracôtières constituent deux menaces principales pour les oiseaux reproducteurs

la perturbation des colonies reproductrices et les changements relatifs aux ressources alimentaires

ou à l’accès a celles-ci, De nombreux oiseaux de mer sont facilement dérangés par les actis ités

humaines à proximité des colonies reproductrices, et la présence d’éoliennes peut entraîner

l’abandon du site. Bien qu’aucune étude de cas ne soutienne actuellement cette théorie en raison du

faible nombre de parcs éoliens extracôtiers). English sature a recommandé que les éoliennes soient

situées à plus de 20 km des colonies d’oiseaux de mer sensibles ou importantes (p. ex., les

pingouins et les puflins) et à plus d’un kilomètre de colonies de goelands et de mouettes ou de

sternes sensibles ou importantes Percial, 20011.

La disponibilité des proies est un autre lIcteur important dont on doit tenir compte pour des projets

extracôtiers. Il se peut que des installations éoliennes extracôtières servent de récifs artificiels.

Ainsi, la disponibilité de poissons et de mollusques et crustacés. leurs proies. peut augmenter en

raison des modifications de l’habitat et de la baisse des actis ités de pêche dans la région. I)es

changements dans le régime de sédimentation et la composition (les proies à proximité du site font

partie des effets négatifs (Merck et \ordheim. 1999: Perci al. 20<) 1 )..\ ce jour. aucun des elïets

potentiellement positifs ou négatifs n’a été documenté à l’egard des parcs éoliens existants. car

l’industrie extracôtière est relatixement récente.

4.2 Oiseaux en migrationInstallations éoliennes terrestresBien que les mou emenis migratoires sm (le longues distances se produisent tout au long

de l’année. les périodes d’affluence maximale de la migration dans la plupart des réglons ont lieu i

printemps et i I automne: le moment de la migration est taiblenk’nt lié à la latitude R ichardson,

2000>, 1 a migration dure plusieurs semaines. particulietement en automne. Dit1erente especes. et

sous ent des mJi idu d’une mème espee d’age et de sexe dilterents. migrent en passant dans la

ménle region i dcs moments diftérents kiehardson. 201 H 1> 1 u nngration peut egalement se

produire en bisai, Pour certaines annees. il est possible que les deplacements sers le sud suient des

periodes inhabituelles de froid ou des penurie de nouirilure p. ex.. les irruptions de chouettes et de

hiboux: Riehardson. 200()>. En été. les oiseaux sous-adultes trop jeunes pour sC reproduire ou les

reproducteurs dont les oeufs n’ont pas eelos peuent egalcment se deplacer s ers des dires de

rassemblement ou d’autres endroits ou ils passeront le reste de l’eté (Richardson. 1000)

Les habitudes et le moment de la migration peux ent être très imprévisibles particulièrement i unepetite échelle. Plus les échelles spatiale et temporelle sont étendues (c.-i—d. une région plus x asic etdes duree’, plus longues), plus les mouvements migratoires semblent préx isibles. Si. tel jour ou

telle heure, on examine une région en particulier, il est ires difficile de preoir la présence d’oiseauxmigrateurs (Mabey, 2004). Plusieurs facteurs déterminent les habitudes de migration des oiseaux.dont seuls quelques-uns dépendent des oiseaux >Mahe. 2004 L Les conditions metéorologiques sontun des Licteurs sur lesquels les oiseaux n’ont aucune influence: mais ils peux ent réagir et ils lefont. Ils ne peux cm non plus influer sur la éoraphie du pa\ sage. 1 andis que les oiseaux réagissentaii conditions météoroloiques te.-à-d. les fronts chauds et froids. la géographie limite leur elioide I ‘endroit où ils s’arrêteront Mahe, 2004 r

Comme un grand nombre (les accidents sont déclares durant les migrations printanière et automnale,les x ictimes des nombreuses collisions signalées dans des parcs éoliens sont soux ent des oiseau\migrateurs. Par exemple, Johnson ci al. (2002) soulignent que 71 p. 100 des 55 carcaseconsignees à Buffalo Ridge entre 1996 et 1999 étaient celles d’oiseaux migrateurs. Dans les sites.l’importance de la migration d’oiseaux et les facteurs qui influent sur celle—ci xarient d’une région al’autre. Par exemple. dans l’ouest de l’Amérique du Nord, il existe peu de preux es sur le lien entreles structures élevées construites par les humains et le nombre considérable de morts accidentelleschei les oiseaux qui migrent la nuit (Evans. 2003 . tandis que le phénomène est bien documentédans l’est du continent. On ne peut expliquer clairement cette différence régionale. même si ellepeut être attribuable à des densites plus faibles d’espèces qui migrent la nuit dans l’ouest ou desconditions météorologiques distinctes entraînant un changement de comportement axiaire. Peuimporte la raison, il faut tenir compte de cette différence lorsqu’on compare les études sur lanioulalité aviaire qui ont été menées à l’extérieur de la région du projet de pare éolien proposé.Par exemple. les études effectuées dans l’ouest des Ltats-(Jnis peuvent axoir peu de rapport axec lamanière dont un parc éolien du nord—est de l’Amérique du Nord aura un effet sur les oiseauxmigrateurs (consulter également la section 6).

Les caractéristiques de relief peux ent augmenter le risque de collision potentiel chei les oiseauxmigrateurs. En pins de fax oriser la concentration d’oiseaux migrateurs diurnes, la topographie peutfaire augmenter la probabilité d’une interaction entre les oiseaux et les éoliennes. Des formes dcrelief qui s’élèvent abruptement dans le pa\ sage. comme les crêtes élexées et les montagnes.peux ent influer sur les mouxements des oiseaux et, si les parcs éoliens sont situés en haute altitude,la hauteur des éoliennes pourrait correspondre a l’altitude à laquelle volent habituellement lesoiseaux migrateurs (bien qu’il soit nécessaire d’etudier davantage un tel phenomène. xoir la section( ). Par exemple. la surface bala\ ée par les pales de tours de 1 00 m de hauteur. lesquelles sontconstruites sur une crête dominant de 200 m le pa\ sage enx ironnant, s’eléx e en réalité i un. soit

une altitude à laquelle les oiseaux qui migrent la nuit peuvent x oler. Il existe peu d’études a ce sujet:

cependant I ennesce \ ailc \uthorit t20U2r .Iohnson cr al 2002> cl Kerus et Kerlinger upresentent des donnees coikernant les sites situes en haute altitude dans l’est des Ltats-( uts

I e temps inclément peut accroitre les risques de collision entre les oiseaux et les structures de paIeseoliens R oir la section S 9) Par exemple. les nuages peux eut influer sur l’altitude de x ol desoiseaux migrateurs en le forçant a xoler plus bas: cela fait augmenter la densite des oiseauxmigrateurs qui x oIent pre’. du sol et les risques de collision ax ce de hautes structures, t n plafondnuageux qui descend presque i la hauteur des eolienncs ou plus bas modifie la migrationen haute altitude et torce les oiseaux a se deplacer a la hauteur de la cime des arbres ou plus basRobbins. 2002). l.a bruine et le brouillard nuisent à la x isihilité et forcent les oiseaux i x oler

a plus basse altitude de sorte qu’ils puissent suix re les repères topographiques. En plus d’être attirés

par les lumieres. les oiseaux migrateurs peux ent entrer en collision ax cc des éoliennes et a cc

d’autres structures se trou\ ant dans les parcs éoliens (dont des anémomètres haubanés>. se heurter

leN uns contre les autres ou tourner autour des structures jusqu’i épui\ement puis tomber sur le sol

ou ils risquent de mourir parce qu’ils Sont ulnérahles ou exposes aux predateurs. Si les jours de

brouillard sont Ires nombreux à l’installation éolienne durant la periode de migration, le risque de

col li sïon peut augmenter.

Oiseaux migrateurs diurnes

\Ième si beaucoup d’oiseau\ qui migrent surtout la nuit (p. ex.. de nombreux oiseaux chanteurs>

migrent aussi le jour, certains groupes d’oiseaux migrent principalement le jour. comme les rapaces,

les autours. certaiHs oiseaux aquatiques (p. c.. les plongeons), les oiseaux noirs, les colibris et les

geais t p. cx,. les (ieais bleus V *amoc/nLl iII\I1(aJ se déplacent soux cm le jour en grandes colonies

et u basse altitude>. I e nombre d’oiseaux terrestres migrateurs qui \ oIent en altitude le jour tend à

diminuer pendant la dernière partie de la matinee et au cours de l’apresmidi.

De nombreux rapaces et \ autours sC servent de l’énergie thermique (courants d’air chaud

ascendants causés par le Soleil qui réchaufl la ferre, notamment là oà il u peu ou pas de

égétation haute). pour prendre de l’altitude. ce qui facilite le ol plané et économise l’énergie.

Selon les conditions météoroloiques et les cai’actéristiques ph siques régionales, des rapaces et

d’autres oiseaux planeurs peuvent migrer a diffirentes altitudes durant la journée. I.e départ des

rapaces planeurs est souent retardé jusqu’au milieu de la matinée au moment où les courants

ascendants thermiques de iennent plus ftwts. I.es rapaces. comme les raucons qui dépendent moins

du vol plané. ont tendance à quitter plus tôt dans la lournée que les espèces planeuses (Richardson.

2000).

Les caractéristiques topographiques limitent davantage les oiseaux migrateurs diurnes que les

oiseaux migrateurs nocturnes. Les oiseaux ont tendance à se rassembler en bordure des modelés

telles que les côtes, les rivières, les crêtes, les allées et les péninsules (Richardson, 2000).

On u montré que les oiseaux dévieront souv ent de leur route préféree » d’env iron 450 aôn de voler

en bordure d’un tel tracé » ( Richardson. 2001>>. I .a plus grande concentration d ‘oiseaux se situe

sous ent dans ces modelés lorsqu’il a un vent latéral par rapport à ce modelé (Richardson. 000).

Oiseaux migrateurs nocturnes

De nomhreu\ oiseaux chanteurs migrent la nuit. en particulier les oiseaux migrateurs néotropicaux

I rois principales raisons (sony ent interdependantes) expliquent lCs collisions de ces oiseaux

migrateurs a cc les col iennes et d’autres structures, notamment la hauteur de lu structure la

hauteur recile de I ‘eolicnne et la hauteur du relief sur lequel elle est située), le balisage lumineux et

les conditions meteorologiques. I e halisag. lumineux est un lacteur tres important de collision

concernant le risque: il sera abordé a la section Ç I e maux ais temps augmente les effets du

balisage lumineux et diminue en outre la hauteur de vol dc oiseaux nagrateurs dc sortc

qu’un plus grand nombre d’entre env volent a la méme hauteui que les eoliennes (voir la

section 5.9)

I es oiseaux ont tendance u surv oler les euu et les terres sur de larges f)onts, mais des mdiv idus de

1’ spêce penv nt ç r issembler dans de couloirs de rnigr i9°n spé fl pies même lorsu l’nemhle

des espèces migratrices (toutes les espèces comhinees) y ole sur un large front ([y ans, 2000), Les

altitudes de vol des oiseaux migrateurs nocturnes sont assez variables et peu comprises. (e qui suit

résume une sélection de recherches disponibles. Able t I 999> a mentionne que la plupart des oiseauxchanteurs qui migrent la nuit sur\ olaient les terres â moins de 604) rn. Ils peux en> touteRis olerbeaucoup plus haut ou plus bas selon la direction du ‘ ent. Kerlinger 3 2003) croit que les oiseaux quimigrent la nuit volent â une hauteur de 92 â 615 m, quoique seulement un petit pourcentage de ceuxqui surolent un parc éolien compose de grandes couennes (l0() m) volera a la hauteur des rotorsdes éoliennes. Cooper (2004) a mené une étude isant une installation éolienne de laVirginie—Occidentale â l’automne 2003 (pendant 45 nuits, de 6 à 9 heures par nuit). Il a utilisé deslaboratoires de radars mohile installés â cinq endroits Il a constaté que 16 p. 1 00 des oiseauxmigrateurs olaient a la même hauteur que les éoliennes ou plus bas 4 125 ni> et que la plupartvolaient â une altitude de 254 à 759 m. Pendant environ I 5 ans. Richardson 424)4>4)> a mené desétudes ‘ isuelles et par radar sur la migration des oiseaux le jour et la nuit. Selon lui. la plupart desoiseau\ migrateurs nocturnes oIent bien au—dessus des couennes (de 50 â 1000 ni au—dessus du solet parfois plus haut). Les altitudes de migration sont toutefois touchées par les conditionsmétéornlogiques. En fait, les oiseaux migrateurs ont tendance â se déplacer plus bas lorsqu’ilssoIent face au vent que lorsqu’ils volent en vent arriere. I e nombre d’oiseaux migrateurs solant âbasse altitude (hauteur des éoliennes) pourrait donc être aussi des é ou plus éles é si ceux-ci volaientface au ‘ ent que s’ils s olaient en ‘ ent arrière, même si le nombre total d’oiseaux en altitude estbeaucoup plus bas lorsqu’ils ‘soient face au vent.

D importantes caractéristiques topographiques p. ex.. des montagnes et des crêtes élesées) peuventconcentrer les oiseaux dans des \ oies de migration relati ement étroites. Les oiseaux migrateurs ont

tendance â soler plus bas qu’à l’habitude lorsqu’ils sursoIent une crête ou un col. la nuit comme lejour, ce qui les place â la hauteur des éoliennes (Richardson, 2000: Evans. 2000:Williams ci al.,2001). Cependant, on ne comprend pas très bien un tel comportement, et la question fait l’objet d’undébat. I)urant la journée. la plupart des oiseaux migrateurs nocturnes ont tendance â se maintenir âune hauteur de 20 â 30 m au-dessus du sol (dans la s écétation ou près de la s égétation) pour és iterles prédateurs, se r’eposer et se nourrir. 1)e nombreux oiseaux migrateurs nocturnes poursuiverontleur trajet durant au moins une partie de la journée, mais ils le feront à de basses altitudes. l)urantune journée de migration t pique. les oiseaux se déplacent entre les hautes et les basses altitudes àl’aube et au crépuscule: durant ces périodes, les oiseaux risquent (1 entrer en collision avec lesstructures des parcs éoliens Riehardson. 2000: Langston et Pullan. 2002).

Au leser du jour ou juste asant, l’altitude de sol ( 200 m) des oiseaux migrateurs nocturnes baisserapidement jusqu’à la cime ou au-dessus des arbres ( 204) m) jusqu’à ce qu’ils trous ent un lieu ouse poser qui cons ient aux conditions environnantes et aux e\igences de chacune des espècestKerlingcr. 1995).

Aire% de repos

Sous eut, lorsque les oiseau\ migrateurs qui surs oIent le terres ou les eaux approchent d’un littoraLil le Lontournent et f ormnt un (lux migratoire euiiLLntrc le long de la côte. (ertains typed’oiseaux migrateurs (p ex . les oiseaux de ris age et la sausagine) se rassemblent dans des airesrestreintes de l’habitat cons enable lorsqu’ils se leposeni et qu’ils se nourissent entre les soIsnugraioiies. Il s’agit souscrit Je lacs ou dc marais interieurs, d’estuaires cotiers, dc s asieres oud’autres rcgions riches en nutriment ou abritant Je’. nombres considérables d’oiseaux 4 Richardson.21)4>0). 1 orsqu’un oiseau décide de s’arrêter, la disponibilite (ou le manque de disponibilité) del’habitai et des ressources du pa sage local limitent les oiseaux migrateurs \1ahe. 2004>. Les airesde repos ne sont pas nécessairement de ‘ astes éienduc où se trous e un habitat de haute qualité.telles que des s asières s ierges ou se rassemblent des milicrs ou des millions d’oiseaux: il peut

également s’agir d’un habitat marginal ou rien «est disponible. Par e\ernple. de très grands

nombres d’oiseaux pourraient être fircés de sarrèter en raison de situation d’urgence. ce qui se

produit généralement près d’une barrière écologique, telle que les Grands Lacs. où la concentration

d’oiseaux est très éle éc par maux ais temps (\lahc\, 2004 t. Ln outre, les oiseaux sont soux ent

harcés d’utiliser des aires de repos de moindre qualité au sein d’une matrice «habitats épars et non

conx enables sur le plan ecologique (Mabe, 2( )04).

I )ans les aires de repos. les x ois d’importants nombres d’oiseaux migrateurs se concentrent sou\ ent

en couloir lorsque les oiseaux s’enxolent ou s’apprètent a se poser (Richardson, 2000). Ces oiseaux

migrateurs xolent souxent a la même hauteur que les éoliennes. De plus. la distance depuis l’aire de

repos au cours de laquelle les altitudes de xol sont suflisamment basses pour qu’il ait risque de

collision avec des éoliennes dépendra de l’espece et de d’autres Iheteurs. Certains oiseaux. comme

les cgnes, prennent géneralement de l’altitude très graduellement et peu’. cnl \ oler à une basse

altitude sur des distances considérables apres leur eux o! à partir de l’aire de repos. lYautres oiseaux

montent (ou descendent) pi us rapidement (Richardson, 2000).

Il existe d’autres eflhts potentiels sur les oiseaux migrateurs que les collisions avec des structures

des parcs éoliens. I es perturbations peuvent influer sur les espèces migratrices lorsque les éoliennes

sont situées à proximité de grandes aires de repos. où se rassemblent de grands nombres «oiseaux

pour se noun’ir ou se reposer p. ex., des plages dans la partie supérieure de la haie de lund\ . en

\ouvelle—Ecosse et au \ou\ eau—Brunswick, où des centaines de milliers de Bécasseaux semipalmés

( u1idri pu.sillaj se rassemblent durant la migration automnale). I)e plus. la modilication ou la

destruction de l’habitat utilisé par les oiseaux en migration peut également entraîner des eflèts

négatifs pour l’enx ironnement (x oir Miiko. I 99$a).

Installations éoliennes extracôtièresComme c’est le cas pour de nombreux endroits terrestres, les éoliennes extracôtières ne sont pas

susceptibles d’entraîner des incidences importantes sur les oiseaux migrateurs nocturnes. Les

oiseaux terrestres en migration survolent en général les eaux à plus haute altitude que les terres

(généralement entre (H) et I 200 in au—dessus de la surface) et ne descendent iue lorsque les

conditions météorologiques sont maux aises ou pour se poser après leurs x ois nocturnes (Kerlinger.

1995). S’ils se rendent compte qu’ils sont encore au-dessus de l’eau au lexer du jour. ils se

dirigeront x ers la terre la plus proche. en demeurant à haute altitude OU en s’élevant dax antage

iusqu’â ce qu’ils arri’. eut près du ri’. age. Les installations éoliennes situées a moins dun kilometre

de la terre. en particul ici des modelés où se rassemblent les oiseaux migrateurs en mou’. ement après

l’aube, peuxent presenter un risque de collision plus élexé que celles situees plus au large

(Percixal, 2001 t.

Contrairement aux ‘iseau\ terrestres, la sau’. ,igine et d’autres oiseaux aquatiques en migrati.’n ont

2enèralement tendance a sur’. oler les eaux a plu’ basse altitude hahituellement de 0 à 60 ni que

les terres de 0t) a 1 X00 ni I Kerlinger. 19951. ils risquent donc d’entrer en collision axec les pales

des couennes. \uLune etude a l’heure actuelle n’indique que la san’. aine et les oiseaux de nier

entreront en collision ,i’ ce les éoliennes. Cependant. il existe très peu d’inthrmation sur les gt1ts

des éoliennes e\tracotieres, et il est extrêmement difficile de recueillir des données sur les oiseau\

x ictimes de collision dans de tels milieux.

I rtuihatiu..2’ t. J,, ut ta a. prhLn. ‘in sérei qa L r;u

de collision dans les mi lieux extracôtiers. I es éoliennes peux ent faire obstacle aux mou’. ements.

particulièrement entre les modelés, ce qui pourrait entrainer des perles d’energie nuisibles aux

espèces attribuables au stress ou au temps de déplacement supplémentaire nécessaire pourcontourner I obstacle. I es macreuses ont réagies de la sorte à la presence du pont de laConiedérauon. qui relie 1’ lle-du-Prince-Ldouard et le Nous eau-J3runsss ick en tras ersant le détroitde Northumherland, pendant les migrations printanière et automnale. On a constaté que celles-cihésitaient beaucoup à approcher le pont et que. après plusieurs tentatis es infructueuses. seulementun petit nombre de macreuses passaient. Au lieu de passer sous le pont. où il a amplementd’espace. elles le surs olaient à très haute altitude (Ilicklin et Hunker-Popma.

43 Oiseaux en hivernageInstallations éoliennes terrestresHabituellement, le nombre et les mous ements d’oiseaux diminuent au cours de l’hiser, Commemoins d’oiseau\ frequentent un site. le nombre de collisions des rail étre moindi e aux installationsterrestres. ( ependani, des caracleri’uiques ph siques ou biologiques. comme des sourcesd’alimentation et lhabitai circonscrit, peuvent fin oriser la concentration d’oiseaux. coniine lasau\ agine. les rapaces et les hiboux et les chouettes.

Installations éoliennes extracôtièresLes installations éoliennes extracôtières ou près des côtes sont plus susceptibles de poser desproblèmes aux oiseaux en hisernage. Par exemple, de grandes concentrations de canards etd’oiseaux de mer en his ernage peuvent fréquenter les eaux libres de glace durant l’his er.Notamment. la perturbation et l’interférence a cc des proies de la région peus eut nuireconsidérablement aux oiseaux en his emage.

5. Facteurs pouvant contribuer aux incidences sur les oiseauxOn trous era ci-après la description de plusieurs aspects clés concernant les installations éoliennesou les sites s’ rattachant qui pourraient avoir des effets négatifs sur l’environnement. La liste n’estpas exhausiise, mais elle permet d indiquer certains des facteurs pouvant contribuer aux effétsens ironnementaux sur les oiseaux en his ernage. en reproduction ou en migration.

5.1 Envergure des installations éoliennesI ntaJ1ations éoliennes terrestresL’ens ergure de l’installation éolienne peut influer sur le taux de mortalité des oiseaux et le degré deperturhation. Autrement dit, dans des conditions comparables. une installation éolienne (le grandeens ergure risque Jas antage d’affi.’ctcr un plus grand nombre d’oiseaux qu’ une de petite CH\ ergure.[e tableau I présente le nombre de carcasses d oi seaux tu ces à di Iïérents pares eoliens auxI tats-l nis en ldnction du nombre J ‘éoliennes échantilh inne. Il dresse les donnees relatis es à desinstallations eolienncs anciennes comme celles du col J’ \ltamonfl et plus récentes, et ces donnéessont présentees en ordre croissant selon le nombre d’eolienrie axant fait l’objet de reles es. Commele tau\ de mortalite n’était pas connu aux eoliennes qui n’ont pas lait l’objet de releses et que lesextraplaPou ont et es itee. l’nsergure du parc eulien n’a pa te indiquee. I n somme. ce tableaumontre que. en géneral, la mortalite obsersee est directement proportionnelle au nombre d’éoliennesechaniillonne. Il est donc permis d’en déduire que. a un endroit donne, on trous eut plus de carcassesd’oiseaux si l’on augmente le nouibre d’eoliennes mou le n mhre echantillonnet. Aucune correctionn’a etc apportée au nombre de carcasses en fonction de l’effleacité de l’ohscrs ateur ou dc larecuperation (par des charognards ou autremenU. mais les données rés dlent que la mortalitéannuelle tend a augmenter proportionnellement au nombre d eoliennes, et ce, menie si celle-ci estsous-estimée. Cela ne signifie pas necessairement qu’un nombre d’éoliennes plus elese se traduirac.k /1çon dzsprojorîionnéc par une plus grande mortalite as iaire par année par éolienne: cela signilie

simplement qu’un nombre plus éleé d’éoliennes risque da antage d’augmenter les collisions

Soiseaux et la mortalité aiaire.

On ne risque pas d’obscrser une grande mortalité asiaire aux petits parcs éoliens dont

l’emplacement a eté bien choisi. Si l’on extrapole le nombre mo>cn estimatifd’oiseaux tués par une

éolienne par année aux Ltats-t ‘ais selon le National ind Coordinating Committcc cN\VCC. 2’ )04.

on peut s’attendre à ce qu’un pare de dix éoliennes cause la mort den iron 23 oiseaux par année.

I e tableau I montre que le nombre de ‘ictimes est inlérieur à cela dans beaucoup de parcs eolien

oûjusqu’à 30 éoliennes ont fait l’objet d’un reIeé. Quoi qu’il en soit. pris en considération dc

laçon kolee. un petit nombre Je morts accidentelles par année à un pare éolien donné ne serait

probablement pas eonsidcre comme un effet négatif important. sauf si certains de ces oiseaux morts

appartenaient a une ou à des especes en péril. 1 outefois. un parc éolien de grande en’ ergure

comptant plus d’une centaine d’éoliennes peut tuer beaucoup plus d’oiseaux et. de ce fait. atteindre

ou dépasser des seuils pouant influer sur la population en général (particulièrement lorsque des

espèces ulnérables sont touchees). Te nombre de parcs éoliens et le potentiel de sites adéquats

actuels et futurs dans une région donnée sont un lhctcur influant sur le risque global pour les

oiseau’. Il ‘audrait mieux. par exemple. aménager un parc éolien de très grande en’ ergure au bon

endroit que de nombreux petits parcs aux main ais endroits. Il est donc important de prendre en

considération l’effet mo>en de chaque éolienne et l’effet cumulé du nombre total d’éoliennes dans

une ione donnée. total qui devrait comprendre les éoliennes existantes et proposées connexes à

d’autres projets dans la même ione.

Plus l’ens ergure de l’installation augmente. plus le risque d’effets négatifii autres que la mortalité

augmente. Les installations de plus grande en’sergurc peinent causer une perte ou une perturbation

plus grande de l’habitat des oiseaux, et les oiseaux à la recherche de nourriture et les oiseau’

reproducteurs sont plus enclins à ii iter les lieux.

Tableau I Nombre de carcasses d’olseau trontes k différents parcs éoliens an États-Unis

larcséoIlens

dfldU%k> n)II)j[flS (W ciA)Buflalo Mountain (IN;Somerset (‘o. (PAlGrcen Shuntain (V nKiondike (OR)

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Installations éoliennes extracôtièresIl n’existe actuellement aucune information concernant l’ampleur des risques de collision cl deperturbation des oiseaux par rapport à l’ens erure des installations liennes extracôtières.

5.2 Dimensions des tours et conception des éoliennesInstallations éoliennes terrestresLe diamètre du rotor des éoliennes, la puissance des génératrices et la hauteur des tours ont tousaugmenté asec l’essor de l’industrie et l’as ancement de la technologie. Au cours des années 198(3,on installait de petites tours éoliennes, et peu excédaient 1 8 m de hauteur. De nos jours, la hauteurmo\enne des tours éoliennes commerciales sarie de 30 à 50 m, certaines étant deux fois plus hautes.Dans le cas des grandes éoliennes modernes, la surface balayée par le rotor peut équisaloir au triplede celle des modèles plus anciens et plus petits. mais il semble que le nombre de s ictimes soitcomparable dans les deux cas (1 lossell. 1995). (‘cIa signifie que si l’on remplace trois petiteséoliennes par une seule grande, la mortalité as iaire par unité de puissance peut être réduite dedeux tiers (Erickson et u!., 1999).

La taille des éoliennes pourra poser un problème aux oiseaux migrateurs si celles-ci de iennentbeaucoup plus hautes. ;\ctuellement. les plus hautes éoliennes au (‘anada (Vestas \‘$O. 1.8 \1W)mesurent ens iron I 2() m de hauteur. depuis le sol jusqu’à l’extrémité de la surface bala\ ée par lespales. Si les tours sont plus éles ées. l’interaction as cc les oiseaux migrateurs peut être plusfréquente. En général. les objets mesurant moins de 1 50 rn de hauteur semblent présenter unmoindre risque pour les oiseaux migrateurs nocturnes (voir la section 3.6). alors que les objets plusélesés pensent causer une mortalité asiaire massive, comme on l’ohserse aux tours decommunications et aux gratte-ciel.

Les éoliennes peusent prendre la forme d’une tour d’acier tubulaire ou en treillis. I es tourséoliennes plus élesées permettent de capter le sent qui est plus constant et moins turbulent. Enraison de leur poids et de leur grande resistance au sent, les tours tubulaires sont ancrées de cinq àdix mètres de profondeur dans une fondation en béton, alors que les tours en treillis nécessitenthabituellement trois ou quatre piliers au lieu (l’une imposante plateforme en béton. Selon le nis eau

de profondeur du substrat rocheux, on peut aussi boulonner directement à celui-ci les deux types detours. nul besoin ainsi d’une plateflrme en béton. En général. il semble que les tours en treillisfax orisent le perehae des rapaces. ce qui peut aucroitre la mortalite (bien que cela demeureincertain).

On utilise sous cm de plus petites eolicnnes dans les regions plus eloignees. La technologie de Ceséoliennes est plulot sanable: de même. e besoins en électricite s arient considerahlement d’unétablissement ou d’une station locale a l’autre. Sous ent, la hauteur de ces eoliennes. montees surdes tours tubulaires ou en treillis, s arie dc I X à 41) m. De plus. ces eoliennes ont en enéral unes i(esse s ariable ï leurs pales tournent rapidement (dc 10 à 0 tnur par minute mais p ‘Usent

atteindre U0 tours par minute, comme c’est le cas des éoliennes l3erg d’une puissance de 10 kW).In règle generale, dans les régions eloignées. on utilise à petite echelle des éoliennes en

complement des génératrices à moteur diesel, et, selon toute vraisemblance. l’efEt sur les oiseaux

est Idible lorsque l’installation est bien shuée. louteibis, les oiseaux qui pratiquent des vols

nuptiaux peuent être particulièrement menacés par ces plus petites éoliennes, car leurs pales sont

plus susceptibles de se trouer à la hauteur à laquelle ce oiseaux effectuent leurs parades.

Installations éoliennes extracôtières

Il n’existe actuellement aucune information anal sant le’, di ftércntes technologies éoliennes en

matière d installation extracotiere. Il est probable que les éoliennes utilisées dans les nous eaux

aménagements extracdticrs soit plus grandes que celles utilisées dans les installations terrestres.

Elles pourraient atteindre une hauteur de près de 200 m au-dessus du nix eau dc la mer d’ici 201 t)

(hauteur preue d’une éolienne de 10 M: OPE], 20t2).

5.3 Balisage lumineux des éoliennesInstallations éoliennes terrestres

Les éoliennes doixent être munies d’un balisage lumineux conftrme aux lignes directrices de

Fransports Canada. I e balisage lumineux est exigé uniquement pour les structures dont la hauteur

totale dépasse 1 50 m (ce qui exclut actuellement toutes les éoliennes). Dans le cas des structures

d’une hauteur de 90 1 50 m. lransports Canada doit procéder à une é aluation pour déterminer les

exigences du balisage lumineux. Le balisage lumineux des structures mesurant moins de 90 ni n’est

requis que dans les cas où elles se situent sur une certaine surl’ace de limitation d’obstacles d’un

aéroport . Les règlements de I ransports Canada permettent également au niinistre des Transports

d’éaluer toute structure de façon indiiduelle et de modifier au besoin les exigences en matière de

balisage lumineux (consulter le site Internet de Transports Canada: section 2.2 intitulée Obstacles à

baliser ou à éclairer du Règlerneni de 1 aviation canadien).

Dans le cas des éoliennes exigeant un balisage lumineux lbndé sur les lignes directrices indiquées

ci-dessus. lransports Canada exige la pose de phares à feux clignotants rouges. on peut toutefois

utiliser le balisage lumineux à feux clignotants blancs à mo enne intensité comme s stème de

remplacement du balisage rouge. Cependant. dans le cas de structures mesurant moins de 60 ni de

hauteur, il est nécessaire de procéder à une éaluation aeronautique pour déterminer si lasubstitution des feux blancs peut nuire aux automobilistes, à l’atterrissage des a’bons. etc. Le I .S.

lish and Wildlife Sers ice recommande d’utiliser seulement des feux clignotants blancs sur les tours

la nuit. Il recommande aussi d’utiliser le moins possible ces fetix et de maintenir au minimum

admissible leur intensité et leur Ifequence de clignotement par minute te—à—d. assurer l’inter aIle le

plus long possible entre les clignotements. Il Ibudrait e”. iter d’emploer des feux rouges clignotants

ou permanent. car, eonlparatcen]ent aux feux clignotants blancs, ils semblent attirer da antage les

oiseaux migrateurs noewrnes (t . I ish and Wildlife Sers ice. 2003). Il semble également que ces

feux perturbent beaucoup plus les oiseaux migrateurs nocturnes (elles les incitent a oler en cercle

ou sur place que le font les feux elianotants blancs (iitithreaux et Belser, I 099: (iauthreaux.

2 )‘ )( t

On dispose actuellement de peu de renseignements sur les risques présentes par le balisage

lumineux des éoliennes pour les oiseaux migrateurs. I a plupart des renseignements concernant le

balisage lumineux des tours ont trait aux tours de communications elles-ci sont géneralement plushautes que Ie eoliennes et sont so’ixent haubanees Il cst egalement beaucoup plus probable que cesstructures soient balisées à l’aide de feux permanents (surtout des lampes a “.apeur de sodium),

lesquels semblent attirer daxantage les oiseaux (Kerlinger. 2004 t. De plus. presque toutes les

collisions signalées aux tours de communications semblent s’être produites à des tours dunehauteur de plus de 152 m (500 pieds. les haubans agissant comme des < grands filets à oiseauxdans le ciel » (Kerlinger. 20P4,). Par ailleurs, les éoliennes ne dépassent pas encore une hauteur de120 m (voir la section 52). sont balisées principalement par des fèux clignotants rouges et ne sontpresque jamais haubanées. Lu conséquence. elles ne tuent pas autant d’oiseaux. La section 5..lpresente de plus amples renseignements sur les incidences du balisage lumineux des tours decommunications sur les oiseaux

Il Idudrait é\ iter d’utiliser dans les parcs éoliens des feux pennancnls. tels que des lampes a apeurde sodium, sur toute structure. compris dans les sous—stations. 1)ans un parc éolien deNlountaineer. en \‘irginie-Occidentale, on u détecté un nombre relativement élevé de mortsaccidentelles, mais ces décès étaient regroupes autour de l’éolienne située le plus près d’unesous—station balisée par des lampes à \ apeur de sodium, ainsi qu’autour de la sous—station. I ‘epaisbrouillard au cours de la même nuit peut i’ oir causé les morts accidentelles Kerns et Kerlinger.

oir plus bas>.

5.3.1 Examen de l’information sur les collisions d’oiseaux liées au balisageOn a enregistré des collisions d’oiseaux en abondance (des milliers d’individus en une seule nuit>dans plusieurs tours de communications dans l’est de I ‘Amérique du \ord. L’ornme il u éteprécédemment mentionné, il y a trois différences principales entre les tours de communications etles éoliennes. Les tours de communications sont généralement plus hautes que les éoliennes, ellessont da antage balisées (ou différemment des éoliennes), et la plupart (en particulier les plus hautesstructures) sont haubanées. Malgré ces difh.’rences. il est important que le présent documentexamine les collisions d’oiseaux avec des tours de communications en ue de faire ressortir lescaractéristiques qu’il faut éviter pour les éoliennes,

Aux Itats-Unis. on a enregistré une mortalité ax iaire massive à des tours de communications: lebalisage des tours est généralement considéré comme la cause des mortalités. Par exemple. en iron30 000 oiseaux de 56 espèces différentes ont été tués dans la nuit du 1 8 au 19 septembre I %3 a latour située à Eau Claire. au Wisconsin (Kemper. 1964). Quatre autres cas de mortalité massie.moins dramatiques mais tout aussi preoccupants, se sont produits a la tour de K UKA- I V. de 439 mde hauteur, dans le comté de Shaxnee. au I exas. I e bilan était le suixant : plus de 2 808 oiseaux de91 espèces différentes ont été tués (soit 919 mdix idus les 25 et 26 septembre 1985, 635 indi idus les0 septembre et l octobre 1986. 834 indiidus les 11 et 12octobre 1986 et 420 indiidusles 8 et 9octobre 1994> jBall et aL. 19951. Bien que de tels cas semblent exceptionnels. il arrisefrequemment que de plus petits nombres d’oiseaux sont tués à des tours de communications, et lesmortalités cumulaties sont souent importantes. Par exemple. on a enregistre une mortulitemoyenne de 1 517 oiseaux par annee sur une periode de 29 ans, soit de 195 u 1983. à une seuletour de communications située à I allahassec. en I bride, la plupart des accidents etant Nurx enus aupi intemps (20 p. I 0(s) et en automne P 1 (B)) t i awfdrd et I ngstrom. 200 lj I es i mI u aumoins un oiseau est mort. la médiane du nombre d’oiseaux tues etait de et la mo enne de I 2,(Crafl tord et I ngstrom. 20011. La mormulitc dcp:mssait 500 oiseaux dans seulement 1), 1 p I desjours etudiés ( ra lord et 1 ngstrom. 2) H) I . I es oiseaux les plus çnu ent touches sont les oiseauxchanteurs. dont les parulines, les ireos, les gri\ es et les bruants 1 (‘asc e aL. 1 965: ( ald\\ cIl et\\allaee, 1966: Cra fird et Fngstromn, 20>

Il sCSI produit quelques cas de collisions multiples d’oiseaux à des pares éoliens, mais aucunn’approche en importance ceux ohser ès u des Tours de communications. Le cas le plus important

2t

en Amérique du Nord s’élevait à 27 oiseaux au parc Mountaineer, en Virginie-Occidcntale. par une

nuit de brouillard à la lin de mai 2003. Les carcasses ont été (roui ées au pied de trois couennes et àune sous-station fortement éclairée. Il semble que les lampes à iapeur de sodium qui eclairaientcelle-ci ai aient attire les oiseaux migrateurs. C. ‘était la principale cause des collisions, car beaucoup

d’autres éoliennes étaient balisées par des lampes stroboscopiques rouges, soit 12 des 44 éoliennes

du pare. Aucune carcasse n’a été trouvée au pied de ces éoliennes: on en a (rouie seulement au pied

des éoliennes adjacentes à la sous-station Kerlinger. 2001). Il importe de noter que. nième s’il n’> a

eu qu’un cas de collisions multiples. on a troui é au total 28 autres oiseaux migrateurs nocturnes

morts durant l’annee (au total 65 oiseaux de 21 especes differentes). \près correction en tbnction de

l’efficacité de rohsenateur et de la récupération des carcasses par des charognards. on a établi un

taux de mortalité de 180 oiseaux par annee ii 44 éoliennes 4 oiseaux par éolienne par année:Kerlinger. 2001,. ce qui est élevé pour un porc éolien. On a également observé qu’aucun autre cas

de mortalité multiple ne s’est produit après que les lumières de la sous-station ont été eteintes(Kerlinger. 2003).

Bien que la migration nocturne se fasse généralement à des altitudes supérieures a la plupart des

structures des parcs éoliens, et même supérieures à celles de nombreuses tours de communications.

des collisions ec des structures mesurant moins de 100 m de hauteur se produisent quand même(soir Mer> et aL 119801 pour un examen). Le 7 octobre 1954. on a trouvé environ 1 000 oiseaux

(22 espèces) à un parc de stationnement à ()ak Ridge. au lennessec (l)unbar. 1954,. les oiseaux

sont entrés en collision avec des lignes aériennes de transport d’électricité, des phares. desautomobiles et la chaussée, et on a trouvé la plupart des carcasses sous les lumières du parc de

stationnement (Dunbar, 1954). Les lumières semblent aussi aoir joué un rôle dans les collisions de

144 oiseaux (30 espèces) a’ec un remonte-pente vivement éclairé à (iatlinburg sunenues les 21 et

22 septembre 1963 (Savage. 1963L Cependant. elles ne sont pas toujours un facteur dans lescollisions en masse mec des structures basses. Par exemple. ‘.lie (1977) a trouvé, après une nuit

de brouillard et de pluie. 73 oiseaux morts de 21 espèces difl!rentes à une tour d’incendie en

Virginie-Occidentale. La tour d’incendie de Sand Springs, dc 30 m de hauteur. se trouie au sommet

de Chesnut Ridge. à en’ iron 800 md’altitude. Elle n’est pas dotée de balises lumineuses, et il n’> aaucune lumière dans la partie de (‘ooper’s Rock Statc Forest où elle es’t située. l)ans ce cas-ci. lemauvais temps et l’emplacement au sommet de la montagne ont augmenté le risque de collision.

même si la tour n’est pas balisée et est relatiiement basse.

Cochran et Graber (1958) ont été les premiers à mener des expériences montrant que les oiseauxsont attirés par les ioyants d’alarme rouges des tours. Leurs dénombrements des appels d’oiseaux

en iol efkctués pendant deux nuits au site d’une tour dc 30 in de hauteur située près deChampaign. en lllinois, ont ré’. élé que les oiseaux migrateurs etaient rassemblés pris de la structure,

tamise hors tension des io3ants d’alarme rouges de la tour a eu pour effet dc dispeiser ces oiseaux

Plusieurs h> pothc’es ont éte proposees pour expliquer l’aurait qu’exercent les signaux lumineux sur

les oiseaux Selon l’une d’elles, lcs oiseaux en migration pe.rçonen? les balises lumineuses rougescomme des etoiles, ce qui les incite a essayer de maintenir continuellement le cap sut celles-ci,

Des lors, ils ‘oIent en spirale touinurs rlus pres de la structure ci finissent par entrer en collision

aiec les haubans (Kcmper. 1964 j.

On estime que le nombre d’oiseaux tues en une nuit donnee est fonction des cnndttions

metéorologiques locales et du nombre d’oiseaux en iol, et que les cas de mortalité niassi’e se

produisent generalenient par Inau’. us temps. pat exemple dans te hiouiilaid. loisqui. j41 cou’. erturi.

nuageuse est basse (Seets et Bohlen. 19T7) ou lorsqu’il y a des précipitations (Case cuit. 1965:

Seets et BoWen, 1977: frlkins, 1988). 1 a réfraction et ha reflexion de la lumière par les gouttelettes

3’,

d’eau présentes dans l’air intensifient le « faisceau lumineux » et finissent par déconcerta lesoiseaux chanteurs en migration iHkins. 1988 1. 1 ne autre h3pothèsc suggère que les oiseauxdeviennent désorientés sur le plan spatial sous l’effet de la réfraction et de la réflexion & la lumièreproduites par les feux d’ai ertissement des aéronefs des hautes tours par temps plu; ieux et brumeuxparce qu’ils perdent les ;eritahles repères visuels par rapport au plan hori’ontal fllerbert. 1970).Selon une autre h>pothèse. les hautes structures ponant des balises lumineuses ont pour effet deeonlhndre les oiseau’. lorsqu’ils sont priés de reperes célestes lorsque le ciel est couert, si bienqu’ils ne peinent plus s’orienter (Jaroslo’v. 19791. la recherche sur les causes et les mécanismes del’attraction par la lumière ur les oiseaux en est encore à ses premiers balbutiements. De nombreuxrapports d’étude du phénomène ont été publiés, niais aucun ne frire de’ données concluantespennettant de pri; ilégier une hypothèse ou une cause en particulier.

Installations éoliennes e’itracêtières

On possède peu d’information concernant les eflèts du balisage lumineux des structuresextracôtières sur les oiseaux. mais il est bien connu que les feux des platefonnes pétrolières etga/ières et des gros na; ires attirent les oiseaux marins et les oiseaux migrateurs. (‘et aspest estparticulièrement important lorsque la visibilité est mauvaise, auquel cas des milliers d’oiseaux enmigration volent en cercle sur de longues périodes amour des objets lbrtenient éclairés. (Des oiseauxperdent beaucoup & leur précieuse énergie. ce qui entraîne parfois des morts prématurées (Wahl etlleinemann. 1979: Bakker. 2001: Wiese e: al.. 2001.

in général. le pc de balisage lumineux requis au large des côtes est particulier au site et dépend del’envergure du projet il est déterminé au ternie d’une évaluation de la (jarde côtière canadienne etd’une éialuation aéronautique faite par Transports Canada. Les articles 8 et 9 du Règlement sur lesouvrage.s construits dans les eaux navigables s’appliqueront probablement de sorte que lesna’ igateurs soient a;ertis de la présence d’éoliennes, (‘e règlement exige que les feux installéssoient blancs et clignotent 60 fois à la minute, qu’ils soient ;isibles au moins 12.8 km à la ronde etqu’ils soient placés à une hauteur d’au moins six mètres au-dessus du niveau de l’eau. I n signalsonore est également requis. Il devrait émettre un son d’une durée de deux secondes (suhi d’uninten aile de 18 secondes & silence au cours dc chaque période de 20 secondes) qui peut êtreentendu à au moins 3.2 km de distance lorsque la tisibilité est inferieure à 8 km. Les effets de cesexigences sur les oiseaux sont inconnus.

5.4 VItesse de rotation des palesIl ciste plusieurs misons au risque de collision d’oiseaux a;ec des éoliennes, une des principales etde plus é; identes étant que les oiseaux ne peu; cm pas détecter les pales du rotor lorsqu’ellestournent. Deux h; pothèses principales sont a;ancees pour expliquer le problème auquel sont surtoutconirontés les rapaces il Iodos et al. 2001: I lodo’%. 2003 i: H le tlou de mou; ement (la perte dedel’inition d’un objet qui st. deplace rapidement) et ‘j l’incapacité des oiseaux de se concentrer à lalois sur la chasse et sur la suneillance de l’hoiion pour euter les obstacles Or. pour ce qui est dcla seconde h>pothese. il semble improbable que les rapaces en chasse soient incapables deconcentrer leur attention a la fi;is ;ers le bas et ;crs l’ai ant. car leurs yeux possedent deux foi cas.l’une senant à la ;ision frontale et l’autre. a la ;ision ;ers le bas (liodos e: ai. 2001: llodos. 20111).li est donc probable que le flou de mou; enient soit la raison principale de l’ineapacite des rapacesset petit—être de d’autre’. niçeanw) de ;oir leç pales di”. éoliennes tourner durant le jour lorsque ii;isihilite est bonne (llodos e, ut. 2(Nl1: Ilodos. 2003: Mclsaac. 20DB. (‘e flou est plus prononceprès de l’extrémité des pales. là oû la ;itesse dc rotation est la plus grande (Hodos e: aL. 2(101:I lodos. 2003).

h

À ce jour. la plupart des études sur la mortalité des oiseaux liée aux effts des pales des éoliennes

ont porté sur d’anciens modèles d’éoliennes à ‘ itesse variable. Les pales de ces modèles peu’ ent

atteindre une très rtrande itesse. soit d’au moins 60 tours par minute ou plus ou jusqu’à 31 0 tours

par minute. comme c’est le cas axec les eoliennes Berg «une puisance de 10 kW), ce qui kut du

flou de mouvement un problème important. I Jeureusement. la technologie des éoliennes s’étant

grandement améliorée, les modèles recents sont dotés de pales qui tournent beaucoup moins itc

(dc 15 à 30 tours par minute). Quoique les extremites des pales tournent très rapidement tjusqu’a

250 km h), les oiseaux les perçoivent daantage, Le risque de collision est donc moindre.

Cependant. il n’existe actuellement aucun rapport «études concernant l’effet de la réduction de la

\ itesse des pales sur les oiseaux, Des études ont porté sur la possibilité de réduire I ‘el’kï du hou de

mouement sur les oiseaux en peignant les pales de différentes couleurs et en diflérents motus,

Aucune conclusion n’a encore etc tirée. l)e plus. pour des raisons d’ordre esthétique et financier,

il ne s’agit probablement pas d’une solution acceptable.

on estime que le mouement des pales des éoliennes n’influe pas sur le risque de collisjon durant la

nuit. H semble que la plupart des collisions se produirait même si les pales ne sont en mous cment.

Par exemple. une nuit, une (irive des bois (IIt/OLiehlu lmtslL’linLl) en migration a heurte Léolienne

Vestas V80 de Pickering pendant que les pales étaient immobiles. (‘ne autre nuit, la même chose est

arrivée à un Viréo de Philadelphie ( Vireo philadelphiens) au même endroit au moment où. semblet—

il, les pales de l’éolienne n’étaient pas en mous ement (James. 201)3) .A Nasudden. en Suède. on a

trouvé 43 oiseaux morts prés d’une éolienne alors que les conditions météorologiques étaient très

maux aises. L’éolienne ne fonctionnait pas à ce moment-là, mais il axait un balisage lumineux à

I t) m au—dessus du sol R iill et aï, I 996 r S’ajoutent à ces exemples des collisions a’ ant causé une

forte mortalité survenues à des tours et à des structures où les pales n’étaient pas en mous ement

(voir la section 3.2.6. Quoi qu’il en soit, dans le cadre de tous les projets de construction

d’éoliennes, on devrait ciller à réduire au minimum la s itesse de rotation des pales afin d’ès iter le

flou de mouvement et ainsi contribuer a améliorer la visibilité des éoliennes durant le jour.

5.5 Mortalité causée par des filsInstallations éoliennes terrestres1)epuis la tin du XlN siècle, les fils à haute tension sont une cause de mortalité as iaire en :\iflérique

du Nord, Le US I ish and Wildlife Sers ice (Mansille, 2000) estime que les collisions asec des fils

entraineni la mort de di aines de milliers d’oiseaux chaque année. I outelois. il pourrait s’agir d’une

sous—estimation si les resultats d’une étude menée par Koops I 0X7) aux Pax s—Bas s’applique au

contexte nord-americain. Si l’on en croit les estimations de Koops t 1987), les fils de transport

d’électricite pourraient tuer en’ iron 174 millions d’oiseaux par annee aux Ltats-L nis

I e problème des collisions d’oiseaux as cc des lignes de transport d’clcctricité et d’autres fil5

aeriens a (hit l’objet de nombreuses etudes, dont très peu d’études quantitatises cependant Plusieurs

gloupes d’oiseaux semblent as oir une plus grande propension a heurtei des fils. tout

particulièrement la saus agine. les oiseaux de L age et les rapaces Stout et (ornss dl. I °‘o. ( urtis.

I 97: Anderson, I 07g: I nderson et Kirs en, I 99: \ I S (‘orporation. I 09: ()lsen et Ulsc’n, I 9$u:

\Ioorehead et J pstein, 1985: 1 aanes, I 9X7. I es rapaces sont des sictimes fréquentes fi nderson et

Kirs cii, I 079: ()tsen et Olsen, 1980j. Par exemple. des collisions as cc des fils neriens seraient, en

Grande-Bretagne. une des principales causes d’accidents entrainant des blessures ou la mort che,

les 1’ iueons emerdl ns Fak o colurnhar/us [()lsen et ()Isen 19801 1 a saus agine et les oiseaux de

ris age peux ent reussir à ès iter les éoliennes, ce qui n’a toutefois pas empêché un nombre

considérable d’oiseaux de heurter des lignes de transport d’eleetricite associées a ces installations.

suitot lorsque ces derniéres se trouvent â proximité de milieux humides t :\nder’on. 1978: t S(‘orporation. 1979: \Ioorehead et Lpstein. l9X5. À une centrale électrique en Illinois. quelque40(3 oiseaux O.4 p. 10(3 du nombre maximum d’indi idus présents) étaient tués chaque automneaprLs étre entrés en collision a’ cc des lignes de transport d’énergie: la plupart des ictimes étaientdes Sarcelles a ailes bleues 4no d1L’or\: -\nderson. 197X3. Chez certaines espéces de sau agine.jusqu’a 64 p. 100 de la mortalite résultent de collisions aec des lignes dc transport d’électricite. etle bilan est egaleinent appréciable chez les oiseaux de ri age. I e 6 mai 1 969, plus de 150Phalaropes â bec étroit (Phalaropus Iohatus) ont trou e la mort en heurtant des fils électriques lelong de la côte a lrinidad, en Califhrnie (Gerstenherg, 1972).

En réduisant le nombre de fils aeriens aux sites d’éoliennes, on fira diminuer le risque de collisiond’oiseaux dans la région. I outelois, il peut se réx éler impraticable d’entuir des câbles là où lesubstrat rocheux est proche de la surface ou l’affleure. dans l’Arctique là où il a pergélisol et dansd’autres regions où la terre ne suffit pas à l’enfouissement. Dans les zones ou le risque de collisiond’oiseau\ est liiible et où il existe des habitats sensibles, l’enfouissement des câbles peut causer plusde dommages aus oiseaux locaux à cause de la destruction (le l’habitat que n’en causeraient des filsaériens en raison (les collisions.

installations éoliennes extracôtièresRien qu’il n’existe aucune infhrmation concernant les effits des lignes de transport d’énergieaériennes sur les oiseaux au large. celles-ci présenteraient probablement un risque de collisionconsidérable. Toutefois, pour bien d’autres raisons. la plupart des promoteurs de projets aimeraientmieux fhire passer les fils sur le fond de la mer ou du lac lorsque les conditions le permettent.

5.6 Configuration des installationsInstallations éoliennes terrestresLa configuration des éoliennes en milieu terrestre dépend le plus sou’ ent de la ressource éolienne.A ce jour. personne n’a étudié à quel point la configuration générale (les pares eoliens poi\aitinfluer sur les oiseaux. En genéral. il faudrait espacer les éoliennes d’au moins 20(3 m pour é iterd’entraer les déplacements des oiseaux (Percival. 2001), (‘et espacement recommandé est souentcelui exige par l’industrie pour que soit réduit l’efft de sillage des grosses éoliennes sur leséoliennes oiSifles.

Installations éoliennes extracôtièresLe choix (le la conliguration des eolieimes la moins nuisible à l’as ifaune dans un site extraeôtier faitl’objet de débat. Il existe de nombreuses possibilités, chacune présentant des aantages et desineou\ enients. Par exemple. de longs chapelets d’eoliennes peux cm faire obstacle au ‘. ol desoiseau\ I outefiis, si les éoliennes sont trés dispersces de sorte que soit réduit le risque de nuire auxmou’ cmcnts des oiseaux. on risque d’agrandir la zone de perturbations obligeant ceux-ci àse deplcer. Vaut-il mieux installer les éoliennes en rappcs ‘serrées pour reduire le plus possihlI ‘etendue dc la 7one touchec.’ I )es churcheurs estiniurit jue hi configuration un rappes est plusnuisible a certaines especes que ne l’est la configuration lineaire, mais, dans le premier cas.il se peut qu’on puisse reduire la mortalité ultérieurement (Perci ai, 200! r. Dans le cas des parcs degrande eneigure, on pourrait preoir de larges couloirs entre des grappes d’eoiiennes serrees(I angston et Pullan. 2003).

5.7 Construction des installationsIn%(allations éoliennes terrestres

I e temps nécessaire à la construction d’une installation éolienne dépend de plusieurs facteurs, dont

1 ‘en\ ergure du projet, le terrain et le climat. loutelois. il faut généralement compter de 9 à I X mois

(parfois moins). Pour cette raison. il est probable qu’une partie des tra\ aux de construction

se déroule pendant la saison de reproduction des oiseaux: cependant. la forte perturbation

habituellement associee à ces travaux est temporaire.

I a construction commence généralement par l’amcnagement des \oies d’acces aux emplacemems

des couennes. ce qui implique des traxaux de niellement à l’aide dc materiel lourd, I. me Ibis

I ‘amenagement des oies terminé, on creuse dans le sol et coule le béton potii’ aménager les

lbndations des tours. Puis. si les conditions du sol le permettent. on creuse habituellement les

tranchées destinées a l’enfouissement des câbles electriques. Vient ensuite la construction des

sous-stations et de tout autre bâtiment necessaire (les bâtiments d’entretien par exemple), suis ic

finalement de l’assemblage et des essais des éoliennes. L’érection comme telle d’une colienne

prend normalement une journée.

Comme la plupart des installations éoliennes sont presque entièrement automatisées, les

perturbations anthropiques dans un site sont minimes une fois la construction terminée: seulement

quelques membres du personnel visitent le site occasionnellement. I outefois, certains sites font

l’objet d’une promotion ‘isant à attirer les touristes, ce qui peut entraïner une importante

perturbation d’origine humaine.

Installations éoliennes extracôtièresI a construction extracôtière d’éoliennes peut amener de fortes perturbations lesquelles peux ent

entraîner des incidences. Par exemple. le bruit causé par le forage et l’enfoncement des pieux qui

peut perturber les oiseaux locaux et déranger les populations de poissons—proies. Il faut également

prendre en compte le risque que des matières dangereuses, comme du pétrole, s’échappent du

matériel et de l’équipement utilisé pour l’installation des éoliennes. Les oiseaux de mer en mue.

particulièrement les plongeons et les macreuses, sont très sensibles aux perturbations. Ainsi, dans le

cas du parc éolien de Ilorns Rex. il a été proposé que la pose des câbles électriques ait lieu en

dehors de cette période critique de la mue (l.angslon et Pullan, 2003).

5.8 Exploitation et entretien des installations

I e fonctionnement des éoliennes étant géneralement automatisé. cela reduit la durée necessaïrc de

la présence humaine sur place. atténuant ainsi les perturbations que peux eni subir les oiseau\ dans

la region. I.’énergie éolienne, bien qu’elle soit considérée comme . propre et écologique

implique la production de dechets à tous les stades du c’cle de x ie d’une installation éolienne (la

construction, l’exploitation et la mise hors ser iee . Parmi les polluants potentiels, on retrou e

ers lubrifiants, comme les liquides pour la boite de x itesse. les fluides h drauliques et les

liquides isolants utilises dans les éoliennes I es quantités de ces substances dependent du modele

d’eolienne utilise, mais elles sont generalement mot erieures a 20 litres, ( es substances, si on les

manipule adéquatement, presentent peu dL mnnaee pour les oiscau\. I n plus des de\ ersements qui

peux eut surx cuir au cours des travau\ d’enlrL’iien périodique. une contamination peut egalemeni se

pmoduire si l’on n’inspecte pas les couennes reuliérement pour reduire au minimum les fuites de

liquides.

I ont comme dans le cas de la construction d’une éolienne, les acti\ ites lices à la mise hors scr\ ice

des couennes pourraient perturber les oiseaux sur le sIte, I’n et let. ces actixites produisent beaucoup

de déchets, car ii faut démonter toutes les eoliennes. enle er toutes les lignes de transport denergie

aériennes (les fils enlduis de raient étre laisses tels quels) et tout autre équipement ainsi qu’e\ acuer

les dèchets un endroit approprié.

5.9 Considérations météorologiquesAu Canada, les conditions météorologiques changent d’un jour a Vautre alors que des dépressions etdes antic clones se déplacent dans l’ensemble du pays. généralement de l’ouest sers l’est.\ des latitudes lemperées, le nombre d oiseaux en xol arient souent de dix ou même de cent fois

d’une journee ou d’une nuit l’autre, dependant en grande partie des conditions méteorologiques(Richardson. 2000). Lorsque le temps est clément, un oiseau peut migrer sur plusieurs centaines dekilometres de jour comme de nuit: lorsque le temps ei maux ais, il peut ne pas migrer pendantplusieurs jours Richardson, 2()()t0. (‘haque espèce ditEre. mais le nombre d’oiseaux migrateurssemble parfiis plus éle é lorsque les ‘culs sont légers ou que les x ents les poussent que lorsque lesents sont contraires. ne telle situation permet aux oiseaux de o\ager une distance donnée plusrapidement et en dépensant moins d’énergie que s’ils olaient la même distance dans un xent debout(Richardson, 2000). I)ans l’héniisphere Nord, les ‘Vents soufflent dans ie sens des aiguilles d’unemontre prés des toues où la pression atmosphérique est éleée et dans le sens contraire, pres deszones ou la pression atmosphérique est basse. En conséquence. il est très probable que les xentssout’flent du sud lorsqu’il a un anticclone sers l’est nu une dépression \ ers l’ouest. Au printemps.un pI us grand nombre d’oiseaux migrent dans de tel les conditions météorologiques. En automnetoutelois, il est très probable que les vents soufflent du nord lorsqu’il y a une dépression ‘.ers l’estou un antic’ clone vers l’ouest. l)ans de telles conditions. un maximum d’oiseaux migrateurs oflitendance à x oler (Richardson. 2000). I)’autres variables météorologiques, telles que la température.l’humidité et la pression atmosphérique, réagissent étroitement ensemble. On ne sait pas très bienquelles xariahles suggèrent aux oiseaux de migrer ou de rester au sol (Richardson. 2000).

De nombreuses études indiquent que certaines conditions météorologiques (par exemple unevisibilité réduite augmentent le nombre de collisions a cc des structures artificielles, notammentavec les tours de communications (Case et aL. 1 965: Seets et Bohlen, 1977: Elkins. 1988: oir lasection 5.3.1). Cependant. même par mauvais temps. il convient de noter qu’on a signalé très peu demultiples morts accidentelles d’oiseaux aux installations éoliennes. En Arnérique du Nord, le plusgrand nombre de collisions d’oiseaux en une seule nuit s’éle ait à 27 au parc Nlountaineer,en \‘irginie-Occidentale, par une nuit de brouillard à la lin de mai 2003. Les carcasses d’oiseaux ontété trouvées au pied de trois eoliennes et d’une sous-station fbrtement éclairée (Kerlinger. 2003:soir la section 5.3.1). I a majorite des collisions qui se produisent dans les parcs eoliens mettenten cause un seul oiseau. 1. 1n autre cas de mortalité massi e s’est produit dans un parc eolienen :\mérique du Nord où 14 oiseaux ont été trous ès morts près (le deux éoliennes adjacentespendant un orage ioleni (Erickson et ciL, 2001: Johnson et al . 2002).

I n autre cas de collisions multiples d’oiseaux s’est produit pai maux ais temps dans tin parc éolienau cours de la migration printaniere I n tout. 14 oiseaux sont entres en collision J\ ccdeux eoliennes sans balises lumineuses a Buffttlo Ridge. au \4innesota, la nuit du 1 6 au 1 7 niai 1 999(Johnson LI cil. 2002) \ il lents, on a e alue que I 70 oiseaux au total a aient etc tues a 1 8 eolien ticsa Oosterhierum, aux Pay s-Bas, durant sept nuits consecutis es a l’automne 198$ \\ inkelman, 1 995).[‘n troisième exemple d’un Cds de mortalité a iaire multiple est surenu à une eolienne situee à\asuddcn, en Suède. ou on a trous e 43 oiseaux morts pres d’une couenne lorsque le temps etait tresmati ais: celle-ci ne fonctionnait pas à ce moment-la. mais elle etail éclairée par un seul feu placé aI O u Jcssus du (ijL m’., I 0’)O). I )ans 1enstii L.. Je bilans dL LttL dc] iUi sont

rarement signalés et continuent d’ètre un phénomène raie. mais des cas du genre peux cm se

produire par maux ais temps.

Dans le Dakota du Nord. on n étudié le comportement d oiseaux migrateurs ô une tour de

conununications mesurant 366 in de hauteur sous di erses conditions meteorologiques

\ ers cl u!., 1977). Durant l’automne, la plupart des accidents sont surs enus la nuit par s isihilité

reduite lorsque des oiseaux migrateurs volaient autour des tours. Au printemps cependant. les

accidents se sont surtout produits durant des nuits claires lorsque des oiseau\ ont trappe des

haubans .\ven c,u!.. I 07’ r De plus. le taux de mortalité arie selon le uroupe taxinomique : les

rôles et les roselins sont tues accidentellement surtout la nuit par temps clair, tandis qu’il n

beaucoup plus de morts accidentelles chez les parulines par nuit de temps nuageux

(Aser ci aL. 1977),

Il est intéressant (le constater que les phases de la lune pourraient iouer un rôle aussi important dans

les risques de collision (lue les conditions météorologiques, on a comparé une etude sur les

collisions d’oiseaux axec des tours aux Etats-[nis a une étude sur les mortalités d’oiseaux à un

phare néerlandais : la répartition des oiseaux tués n’était pas uniforme. Ln fait. il y as ait un

reroupement important d oiseaux tués pendant la nous elle lune et aucun oiseau n’a éte tué pendant

la pleine lune Verheijen. 1981).

5.10 Caractéristiques physiques du paysageI es caractéristiques physiques du paysage peux ent fortement influer sur les mouvements et le

comportement des oiseaux (s oir les sections 4. et 6 pour obtenir les détails). Par exemple. les

oiseaux migrateurs diurnes ont tendance ô suivre les ris es des lacs. les cours d’eau. les crêtes et

d’autres formes linéaires. Durant la journée. les peninsules et les îles peuvent héberger des

concentrations d’oiseaux migrateurs nocturnes qui ont surs olé de grands plans d’eau et qui

s’arrêtent sur les îles Situées près des côtes et sur les caps pour se reposer et se nourrir. 1 es îlots

d’habitat, par exemple les terrains boisés. peux eut jouer un rôle semblable: ainsi, des oiseaux

migrateurs peux eni se rassembler dans des milieux par ailleurs hostiles. comme les pa sages

agricoles ouverts et des zones industrielles.

6. Analyse des lacunes dans les connaissancesI.e present document n fait ressortir de nombreux secteurs pour lesquels notre compréhension

actuelle est insuffisante en ce (lui concerne les incidences possibles des éoliennes sur la

consers ation des oiseaux. l.a présente section expose quelques-unes des plus importantes lacunes

dans nos connaissances,

Migration d’oiseaux : li e\iste de nombreuses puhlieations sur la migration des oiseau.comptant

plusieurs milliers de re%,renees. E outefois. la plupart des renseineinents sur la iniration sont tre

generaux. Dc plus, il nous manque des renseignements precis sur les s oies et les temps de migration

d’especs ou de groupes d’espèces spécifiques.

li Liut notamment repondre aux questions suis antc en ce quI on.erne le ( inda et l’est de

I’ \ mci ique du Nord en genera I

I es oiseaux migrateurs suis eut-ils des crêtes ou des montagnes durant leurs sols ou se

rassemblent-ils le lonc (le ces crêtes ou de ces montagnes?

\ quelle altitude les oiseaux migrateurs nocturnes s oIent-ils durant dif’lrentes conditions

mél é wo logiques\ quel moment surs iennent les morts accidentelles?

Quels Sont les effets des différents balisages lumineux sur le comportement des oiseauxmigrateurs nocturnes?Quelle est la « hauteur limite » des tours ou des eoliennes occasionnant des collisions en masse?Quel est le rapport entre cette limite et d’autres facteurs, tels que les balisages lumineu\. lesconditions méteorologiques et le choix d’un emplacement?Existet-il des oies de migration precises et identifiables au (‘anada où l’on dexrait eiter de

construire des parcs eoliens’?

Il est essentiel de désiuner les sites de migration importants au Canada et partout en \mérique duNord). I.e personnel du ser\ ice n téortilogique d I:n ironnement Canada établit actuellement lacarte des couloirs de vent au Canada l’intention du secteur de l’énergie éolienne. I.e Sers ice

canadien de la faune ( SCF d’ F.n ironnement Canada espere egalement évaluer I’ importance de ces

couloirs de vent pour les oiseaux migrateurs gnîee l’un des produits, soit un outil cartographique

serxant l’é\aluation des endroits (le prédilection aux echelles locale et régionale pour les parcs

eoliens. Il espère du même coup réduire au minimum les incidences possibles sur les oiseauxmigrateurs (Mélanie Cousineau, SCF. comm. pers.). Pour un tel projet. les éléments suiants sontnécessaires:

1. In tableau chronologique géographique sur la migration de groupes d’oiseauximportants partout au (‘anada:

. Caractérisation de di\ erses ariables migratoires. plus particulièrement le long decouloirs (le vent, notamment la direction et l’altitude de vols, le nombre relatif d’oiseaux

migrateurs et l’utilisation spéciale (le cas échéant des caractéristiques topographiques.telles que les crêtes et les montagnes.

Il serait possible d’établir une ébauche de la chronologie migratoire i partir des données fournies

par les stations membres du Réseau canadien de surveillance des migrations (\isiler le site

x.bsceoc.org national cmrnn.html, en anglais seulement). f.a caractérisation des xariablesmigratoires est une tâche plus difficile qui exige l’utilisation d’enregistrements sonores, de radars de

marine et de radars météorologiques (c.-à-d. Nexrad ou Doppler). I.es radars de marine peu\ent être

utilisés aux échelles locales ou régionales. en combinaison axec des enregistrements sonores, pour

identifier les espèces et déterminer les altitudes et la direction des vols. I.es radars météorologiquespeux eut sen ir sur une plus grande échelle i déterminer la taille et la dimension relati’ es des

groupes d’oiseaux migrateurs. Idéalement. il faudrait ensuite corréler ces données a cc la mortalitésurvenue dans des parcs éoliens connus.

I e (Jroupe de tra ail en énergie eolienne du S( [• coordonne ces actions parmi di\ ers partenaires.

dont le gous ernement, des organismes non gou’ ernementau\. l’industrie et des chercheurs

unis ersitaires,

Lacunes géographiques : Des etuds sur les collisions d’oiseaux ont éte mcnees dans tics peu deparcs eoliens (le l’est de I’ menque du Nord, n un point tel que l’efficaeite statistique ne suffit paspour en faire des comparaisons aee les resultats des recherches menees dans l’ouest del’.rnérique (lu Nord et en Lurope. Qui plus est, on ne connait pas non plus les rendions des oiseauxdans l’;\rctique. \lènie s’il est probable que l’.\reiique ne connaisse pas une croissance importantede parcs in5 ph» ‘nir ‘ eiyd Je’ r991 ‘s nniner les ‘ftm5 Js permurh ilions et

la mortalite dans les nous eaux sites de sorte gnon s’asure qu’ il n’ ait aucun el’lél négatif

inacceptable.

lechnologie : Il n encore beaucoup i apprendre au sujet des incidences de di erses technologiessur les taux de collision d’oiseaux. Par exemple. le balisage lumineux semble iouer un rôle dans lesrisques de collision, particulièrement par mau’ ais temps. 11 ltut elïctuer des études nOn dedéterminer les el’lèts de la couleur. du t pe de la duree et de l’intensité des balises, t ne étudemenée actuellement dans des conditions contrôlées dans des tours sujettes aux collisions auMichigan ( iehring, 2004 pourrait nous aider à répondre à certaines des questions existantes ausujet des incidences du balisage lumineux (bien qu’il s’agisse d’un point de ue des tours decommumeations ).

IYautres questions sont egalement liées a la technologie, à sa oi r:Avec quelle partie des éoliennesles oiseaux entrent—ils en collision’? La plupart des oiseaux volent—ils directement sers la tour ou se[‘ont-ils toucher par les pales’? Cette question est importante. car on a propose comme mesured’atténuation d’arrêter les éoliennes au plus ftrt de la migration. Si les oiseaux olent directementsers les tours, I’ arrêt temporaire des éoliennes «apportera pas une dif’frence importante au nombrede collisions. Il faut également quantifier le risque pour la faune a iaire relatix ement a la taille del’éolienne. On ne sait pas si les plus grandes installations (c.-à-d. de 750 kW à 2 M\\ ou plus) et lesplus petites (c.-à-d. de 40 kW n 40(3 kW) tuent une quantité semblable d’oiseaux. soit par la surfacede bala age du rotor, soit par les méga\atts (NWCC. 2004). Enfin, les différences entre la mortalitesurxenue aux tours tubulaires et aux tours en treillis n’ont pas été étudiées de ftiçon adéquate. bienqu’on ait SOU\ ent mentionné que les tours en treillis étaient plus dangereuses parce qu’ellespermettaient aux rapaces et à d’autres oiseaux de s’ percher.

Projet d’installations éoliennes extracôtières et terrestres Puisqu’il n’existe en iron qu’unedouzaine d’installations éoliennes extracôtières dans le monde à l’heure actuelle (encore aucune en

Amérique (lu ord). il est é ident qu’il manque beaucoup de renseignements sur les risques posés

par les parc éoliens exiracôtiers. Il faudrait répondre à certaines questions 6ndameniales, à sa oirQuel est le taux mo en de collision d’oiseaux (global et par groupes d’espèces) dans lespares éoliens extracôtiers’? Cette question exige l’adoption d’une technique ‘ isant à mesurerles taux (le collision aux endroits où la recherche de carcasses est impossible.Quelles sont les répercussions des éoliennes extracôtières sur le comportement des canards

(le mer et d’autres oiseaux de mer en migration en ce qui concerne les \ oies de migrationconnues’? I ‘espacement entre les éoliennes extracôtières et leur aménagement sont-ils

acceptab I es’?Quel le serait la distance acceptable de la « zone tampon « t le cas echéant entre les ‘oies demigration connues et les parcs éoliens extracôtiers’?li est possible de construire des éoliennes cxtracôtières beaucoup plus hautes (lue les

cal iennes terrestres ptai sq ne leur transport n’est pas limité par la taille des routes. Quellessont les répercussions des eoliennes extracôtieres plus hautes’?

7. Information sur le Canada

I e Canada Cst relati emeni nou\ eau dans le monde de I ‘energie éolienne: il existe donc tres peud’études e,inadiennes acecessables au public portant sur les incidences des eoliennes sur les oiseaux.1 a presente section expose les quelques études existantes.

Ri icr’c ( astic,1\lbertaI e parc éolien de la rix ière (astle regroupe 60 eolienne a ant un rotor de 47 m de diamètre monteessur une tour tubulaire d’acier mesurant 50 in. On a decouert que ces éoliennes ne presentaient aucun

danuer important pour les oiseaux. Peu d’oiseaux s’approchaient des éoliennes, et la plupart n’a aientpas à changer leurs trajectoires de ol pour é iter une collision. I es canards réagissaient de façon plus

igoureuse en olant au-dessus des éoliennes. m)me s’ il a ait suftisamînenl d’espace pour qu’ilsLI iSSeflt oler sous es couennes ou les contourner I3r n et I larnilton. 2(I((2. on a ohser é peu derapaces au parc éolien: touiefris, sur les 52 rapaces ohser és. seulement O p. 1(H) ii 5 emhlaient setrou’er assei près des eohennes pour changer leur trajectoire de ol afin d’e\ ter une collision ( Bron etI lam ilton, 2002).

On a troué quatre carcasses d’oiseaux au parc eolien de la ri iere Castle au cours de 35 relees menéssur une période de neuf mois (Brosn et Hamilton, 2002, Iïautres rele és ont détermine que les Buses àqueue rousse et les Crecerelles d’Amérique etaient nombreuses, pourtant on a ohsere seulementdeux collisions de rapaces (une Crécerelle d Arnerique. une Buse à queue rousse) au cours des96 relevés de carcasses efietués durant les deux années de l’étude (sur un total de 15 \ ictimes decollision: \V.K. l3m n. comm. pers. 2003: Bro n et I lamilton. 2904>. ( )n n’a pas mesuré le degréd ‘efficacité des ohser ateurs ni les taux de récupération des carcasses, mais les isiies fréquentes deséoliennes effectuées par le personnel du site (tous les jours ou aux deux ours) et l’ohser ation de pistesde charognards potentiels nous font croire que la plupart des oiseaux auraient pu ètre trou\ és ( Bro n etI lam ilion, 2002)

Projet d’exploitation d’énergie éolienne de Sunbridge, à Culi Lake, en SaskatchewanLa construction du projet d’exploitation d’énergie couenne de Sunhridge s’est déroulée au cours del’été et de l’automne 2001. Ce projet peut générer 11.2 MW d’électricité. Chaque saison demigration printanière et automnale. 17 éoliennes ont ftut l’objet de six relevés de la mortalité. On asignalé aucune collision. I es caractéristiques du site facilitaient relati ement bien la recherche de‘ ictirnes. mais on n’a pas mesuré l’efficacité des observateurs ni effectué un tra ail concernant larécupération des carcasses Golder Associates Ltd., 2002>.

North Cape, Île-du-Prince-Édouardl-ii novembre 20() I . le parc éolien de 5.28 méga\ atts situé à xorth (‘ape. à 1’ lle—du—Prince—l’douard.était entièrement lonclionnel. Les composantes principales de cc parc regroupent huit éoliennes de661) kiloatts (\‘-47) utilisées à des fins commerciales fournies par \‘estas-Canada Windleehnolog (PI’I Fnerg Corporation. 2002) en plus de di ers autres t\pes d’éoliennes utilisées âtitre d’essai, lesquelles constituent le I’errain d’essais éoliens de I’ tlantique (ohserationspersonnelles de Kingsle et Whittam). 1)u 14mai2002 au 13 juin 2002. huit éoliennes et quatresites témoins ont fait l’objet d’un reIeé deux fois par semaine de façon à ce que le rele\é coïncidea\ cc la migration printanière. Après cette période, et jusqu’à la fin de no embre 2002. on a effectuédes re des hi-mensuels seulement PI’ I F nergx (‘orporation. 20921. .\u cours de ces rele es. on adecou\ ert quun oiseau non identifié était entré en collision a ce une couenne et on a egalementtroLive un oiseau mort sur le site temoin (PI-l Inerg (‘orporation. 20) )2\u cours de ces re1e és.on n’a pas mesure le degré d’efficacité des obser’ ateurs ni le taux de recupératiun de carcasses. (>11

a décou ert plus tard que ce taux était très elc e (Q)) p I I))) des carcasses a aient disparu apresquatre jours: Raehel Gautreau, comm, pers.)

Le Nordai%, Caspé. QuébecIl s’agit d’un parc eolien moderne compose de 133 eoliennes situé dans la forêt. Des rele\éseffectués au cours de deux saisons isant 26 eolienncs n’ont permis de trouer aucune xictime decollision.

s1c Bride Lake, Altierta

Le parc éolien de \lcBride Lake. en Alberta est composé de 114 éoliennes axant un rotor de 47 m de

diamètre montées sur des tours tubulaires d’acier mesurant 50 m. 1)e juillet 2003 i juin 2()04, on a

effectue 6 releés aux 113 éoliennes. On atroué 41 carcasses d’oiseaux, dont sept Buses de

Suainson. un Grèbe élégant (.lcuhrnophorus ocide nialis), deux I étras à queue fine et deux I liboux

des marais t. 1.fo J’ /u!nnleu%) [Bro\\n et I lamilton. 2004]. 1 e degre d ‘efficacité des obser aleurs etait

d’en\ iron 70 p. 1 00. Les taux de récupération des carcasses doi\ ent étre é\ alués au cours d’études

ultérieures. I outelois. peu de charognards potentiels (ou leurs traces) se trou\ aient pres des

éoliennes (I3rosn et I lamilton. 2004).

Pickering. ()ntario[ne seule éolienne Vestas V80 dc I .8 méga\atts se trou e a Piekering. La vitesse de rotation des

pales est constante à 1 5.3 tours par minute, et la tour mesure en ion 7$ in de hauteur. HIe est située

dans une région comprenant de nombreux habitats. notamment des zones industrielles, des

prairies-parcs et des marais, utilises par un nombre respectable d’oiseaux. On a effectué des

recherches de carcasses en iron toutes les deux semaines de jan\ ier jusqu’au début mars et de la lin

octobre à la mi-décembre. On a effectué des recherches une idis par semaine du 10 mars au 4 mai.

du 2 juin au 17 août et du 22 septembre au 26 octobre. On a augmenté la fréquence des recherches à

trois fois par semaine duS mai au [juin et du 18 août au 21 septembre. (‘es recherches ont permis

de découxrir que trois oiseaux étaient entré en collision aec l’éolienne et que le taux de

récupération des carcasses semblait bas sur ce site ‘James. 2003).

L’éolienne ne semble pas nuire au comportement des oiseaux. Par exemple. les Bernaches du

Canada sont nombreuses pendant la majeure partie de l’année I’ 11es chercheraient leur nourriture

directement sous l’éolienne et s’enoleraient et se poseraient couramment près de l’éolienne sans

quil ne se produise d’incident (,lames. 2003). Les Goélands à bec cerclé (Laïus de’lauaren.sis)

étaient également très communs toute l’année dans la région et volaient régulièrement près de

l’éolienne pour chercher de la nourriture, se trous ani généralement assez loin de l’éolienne par au

moins 75 ni, quoique parfois, ils \olaient à quelques mètres des pales en mouement sans montrer

de signe isible de panique (James, 2003). Un plus petit nombre de Bihoreaux gris (\)cuicorax

nl’c’!icol’nx) occupait le marais pendant la majeure partie de l’été et (le l’automne et olaient

régulièrement près de l’éolienne, habituellement à plus de 100 ni de distance (.lames, 2003>. I. ‘n

couple de Pluviers kildir (( !1U1’LIL/ïil/’ voL’itcrus) ont niche à moins de 60 ni de la tour de l’éolienne

et on suppose que d’autres espèces. telles que les lourterelles tristes /enaida rnarouru). ont

également niche tout près de l’éolienne (.lames, 2003).

Exhibition Place. ()ntarioSur le site de l’I \position nationale Lanadienne ( aiiadimn \aijona/ Exhihuono. à I oronlo. se

trou\e une seule éolienne de 7S0 k mesurant 04 mdc hauteur I lIe acte siluee dans une region

entouree de chaussées reêtues u de prairies-parcs (James et (‘oady. 2003). T)es recherches sur la

mortalite .I\ iaire ont etc ctcetttees deux lois par semaine pendant cinq semaines de la fin ax nI a mai

et tl’iis loi par semaine pendant si\ semaines de la miaoût a la fin septembre. L ne etudc dctaillec

portant sur le taux de recuperation des carcasses par les predaicurs a Ctè menée et a re C1C que. au

printemps. 5 p, 100 des carcasses a\aient etc éliminées par les predateurs en deça de 10 jours et

que seulement 18 p. 100 des carcasses a aient etc eliminees en moins d’une semaine. \ l’automne.

seulement 3 p. 100 des carcasses a aient été eliminees en moins de trois jours plus longtemps que

l’inlcr\ ille de recherche> .James et (‘oad\, 20031 On a trous e seulement deux oiseaux morts. un au

printemps et un à l’automne. l,cs deu\ espèces étaient probablement des oiscau\ dc la région

(James et (‘oady. 2003). 1 a plupart des oiseaux de la région semblent toutefois s’être làcilement

adaptes a la presence de I’eolienne et l’ex dent tout simplement. On a détermine que le taux de

tU

mortalité était peu important si on le compare aux milliers «oiseaux tués chaque année Torontosur de hauts édifices (James et Coadv. 2OO .

8. Remerciements\ous remercions Ln iroimement Canada et la Direction de Fé aluatiun en\ in nnrnentale. plusparticulièrement John Fiseher. Rob Doho. I ouise Kingsle. Diane (ampbell et lise Poulin.

oir financé et super\ isé le présent tra\ ai I.

Les dif1rentes ébauches du présent document ont eté ré isées par des membres dorganismesgou\ ernementaux et non gou ernementaux ainsi que par des inters enants de lindustrie. Descommentaires ont éte formulés ou de Finfiwniation a eté ftrnrnie par : Matt Ilolder et Al I eggett(Jacques Whitford In ironment Limited), Jason l:dxorth et Justin I hornpson (Vision Quest\k indelectric Inc.). Marc l3elisle (I niversite de Sherhrooke. \alI Frickson t\VFSJ [ne).Ansar (iafur (AIN I Pox er( ien). Raiise Hart t Ltudes d( )iseaux Canada L Ross .Iames t Al \lPo\\er(ieHL \Iarc Johnson (Fédération canadienne de la nature). Philippe Juner (Cl Il ( anadaInc.). .\lhert Nianville (I S. Fish and \\ildlife Sers ice et au nom du .\\ jan Suhcommittee duNational Wind (oordinati ng Committee>, Michael Mesure (Fatal I ight Aareness Program[Programmealerte aux lumières meurtrièresi), Murra Paterson (Ontario Poer (ieneration,F ergreen Fnerg’ ). Marc Sheeran, Grietje Van Dijk (lIC Hydro), Edsard Alf (1 ransports Canada>.Keni Bron (1 errestrial and Aquatic Ln ironmental Managemenu. l erett Nlarshall (Nongame andNatural I leritage Program. Fish and \Vildlife I)epaiïment du Vermonu. Richard (urr et PaulKerlinger (au nom de l’Association canadienne de l’énergie éolienne>, deux ré iseurs anonymes deRessources naturelles Canada et du comité des normes de I ‘Association canadienne de l’énergieéolienne (composé de Samit Sharma. (iaia Poer mc; (ilen Estiil, Sk\ (ieneration Inc.: JustinI hompson, Vision Quest \Vindeleetric Inc.: I)aniel Charette, NFG-Nlicon Canada Inc.: DougDuimering, Vestas Canadian Wind I echnologies). Des commentaires ont également été formulespar des membres du personnel d’Ens ironnemeni Canada. à saxoir : Sheila Allan. Madeline Austen.Kevin Blair. Da\ e Broadhurst. Erica Dunn. Richard Elliot. Denise 1e11. \Varren Fenton. LvIeFriesen. A.J. Gasion. Rachel Gautreau. Paul (iregoire. Keith Kedd\ . Serge Lemieux. Jeff Rohinson.Nlichael Sha. Ruth Thoms. les Wclsh et Chip \Veseloh. NIarianne Kingsle a aimablement fournides renseignements sur les études allemandes. .losée 1-léhert. Mélanie (ousineau et Martin Damus(SCF) ont réisé les erions française et ou anglaise dccc document (mise à jour de 2flU7).

Nous remercions également les personnes suis unies. lesquelles nous ont aides à prendre contacta cc des ériIicateur ou qui nous ont flurni de l’information, a sa\ oir : .\hh \rnold tRI SOIVI t.CarI Hrothers t I errain «essais éoliens de l’Atlantique>. Stephen ( ilendinning t ( iolder \ssociatesI td. t. lannick I amirande t Ressources naturelles Canada). Rachel Permut ( )utreach \ssociate.National \Vind Coordonaling (ominiltec) et Samit Sharma tmembre du conseil d’administration de1’ \ssociation canadienne de l’energie éolienne. I nfin. nous remercions tout specialementMalt I Iolder (Jacques V hittord I n ironment I imited) d’aoir aide de façon importante a lareL herche et a lexamen du prcsent document

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ç9

Annexe. Renseignements détaillés sur les collisions d’oiseauxavec des éoliennes de partout dans le monde

ExhibitionPlace, Toronto(Ontario)

:Parc éoliensdeMcBride Lake(Alberta)Pickering(Ontario)

éolienne de1 750 kW

114 éoliennesVestasV47-660

1 éolienneVestas V80(1.8 MW)

96 relevés.D’avril 2001à décembre2002

prairie-parc Recherches/ industriel deux fois par

semainependant5 semainesauprintemps, 6semaines àl’automne200269 relevés.De juillet2003 à juin2004De janvier2001 àseptembre2002

41 BrownetHa milton.2004

3 James. 2003

es signalées

Zone de ressource 5 400 685 parcours De mars 95 Thelander

éoenne du co anciennes naturel et sol 1988 à fèvner et Rugge

dAltamont éoliennes labouré 1999 2000

(Californie)Zone de ressource 5 400 parcours 88 mois 52 aigles California

éolienne du col anciennes naturel et sol munts Energy

dAltarnont éoliennes labouré dun Commisso

(Californie) radio- n, 2002emetteur

Zone de ressource 7 340 359 parcours De 42 Howell et

éolienne du col anciennes naturel et sol septembre Didonato

Alberta —

riviére Castle

Alberta —

rivière Castle

Tableau Al. Liste des études canadiennes ayant signalé des collisions d’oiseaux avec

(les éoliennes et comprenant de linforniation sur l’espèceSite Nombre Echantillon Habitat Durée du Collisions Référence

d’éoliennes, relevé signalées23 a 60 5 terre 35 releves 4 Rrown et

Vestas cultivable sur 9 mois Harnilton.

V47-660 2002

60 Vestas terre 15 Brown,

V47 660 cultivable donneesinédites

2 James etCody. 2003

1

114 pré et terrearable

1 prairie-parc/ centralenucléaire

Tableau A2,des éoliennes

Site

Liste des études américaines ayant signalé des collisions doiscaux avec

et comprenant de l’information sur l’espèceNombre Echantillo Habitat Durée du Collision Référenc

d’éolienn n relevé s e

dAltamont éohennes labouré 1958 à 1991(Californie) septembre

1989Zone de ressource 7 340 parcours 10 Howell etéolienne du col anciennes naturel et so al 1991dAltamont éohennes laboure(Californie)Zone de ressource 7 340 125 parcours De 1989 à 182 Orloff etéolienre du col anciennes naturel et sol 1990 Flanneryd Altamont eoliennes labouré 1992(CalifornieZone de ressource 7 340 parcours 38 aigles Andersonéolienne du col anciennes naturel et sol et 58 et EstepdAltamont éoliennes labouré faucons 1988(Californie)Zone de ressource 7 340 parcours De mai 1998 1 159 Smallwoodéolienne du col anciennes naturel et sol à mai 2003 etdAltamont éoliennes labouré Thelander(Callforniel 2004Buffalo Ridge 73 50 cultures D avril 1994 à 12 Osborne et(Minnesotal éoliennes agricoles. décembre ai 2000Phase 1 de modèle prés 1995

Kenetech33-MVs

Buffalo Ridge 73 21 cultures De mars 13 Johnson et(Minnesota) éoliennes agricoles 1996 à al 2000bPhase 1 de modèle prés novembre

Kenetech 199933-M Vs

Buffalo Ridge 73 21 cultures 7 mois en 6 Strickland(Minnesota). éoliennes agricoles. 1996 etal. 2000Phase 1 de modèle prés 8 mois en

Kenetech 199733-M Vs

Buffalo Ridge 143 40 cultures De mars 20 Johnson et(Minnesota) éoliennes agricoles. 1998 à al 2000bPhase Il Zond Z-750 pres novembre

1999Buffalo Ridge 143 30 cultures De mars 22 Johnson et(Minnesota) éoliennes agricoles. 1998 a al 2000bPhase Il Zond Z-750 prés novembre

1999Buffalo Ridge 216 cultures 55 Johnson etPhases réunies éoliennes agricoles al 2002

présFoote Creek Rm 69 69 parcours De novembre 95 ‘oung etWjming Phase eo1iennes qatjre ‘°9 C 3 20011 tubulaires 3ecembre

Mitsubishi 2000de 600 kW

Foote Creek Rim 36 36 parcours De juillet 13 Young etWyom9g eolennes naturel 1999 a al 2002

Phase Il et III Mitsubishi décembene 600 kV û0u33 NEG750

61

Kiondike (Oregon) 16 16 prairies et 1 an (13 7 Johnson et

eoliennes brousaiNes recherches al 2003

de 1 5 MW par eohenne)

Montezuma HiUs 600 249 terre agricole De 1989 à 30+ HoweIl et

(Californie) éoliennes. 1990 Noone.

anciennes 1992

pour laplupart

Mountaineer 44 44 forêt. D’avril à 69 Kerns et

(Virginie-Occidenta éoliennes sommet de novembre 20 Kerlinger.

lei de 1 5 MW montagne 03 2004(22 recherches paréolienne)

Nine Canyon (État 37 37 champs de De 38 Erickson et

de Washington) eoliennes hIe prairies septembre aI 2003

Bonus de 2002 à août1,3 MW 2003

(19 recherches pareolienne)

Ponnequin 29 (+15 parcours De 1999 à 14 Erickson et

(Colorado) nouvelles naturel 2001 ai. 2001

éoliennesen2001 )[Micon 750J

.......

Zone de ressource 3 750 180 désert 830 40 Anderson

éolienne du col de éoliennes montagneux recherches et aI., 2000

San Gorgonio de divers de carcasses

(Californie) typesZone de ressource 88 mois Un aigle California

éolienne de Solano muni d’un Energy

(Californie) radio Commissioemetteur n 2002

Stateline 181 prairie aride 1162 > 200 West Inc.

(Oregon/État de éoliennes recherches et North

Washington) (OR) et 273 en 2002 West

(WA) (OR) 1176 Wildlife

éoliennes recherches consultants

Vestas en 2002 (WA Inc. 2004

V-47Zone de ressource 5 000 180 crêtes 830 94 Anderson

couenne du col de couennes montagneus recherches et aI 2000

.Tehachapï de divers es et prairies de carcasses

iCalifornie typesSommet du parc Éoliennes 26 terre Du 5 avril 2 Koford.

eoiien de I lowa Lbulars cultivable 2003 a 2033

(Iowa) de 89 x 235 pres decembrepieds dimportante 2003

s réserves (recherchesdespèces tous les 3sauvages Jours)

\asycle Ridge 38 38 culwres Reieves tous 12 S cklard

(Oregon) éoliennes agricoles, les 28 jours. et al

Vestas de prés du le janvier 2000c

31eohennesVestas de660 kW

1999 àdécembre1999

31 terre agricole De 1998 àdécembre2000

21 Erickson etal 2002

Tableau A3. Liste des études espagnoles avant signalé des collisions d’oiseaux avec

Site

Alaiz, Spain

Parc eolienE3, EnergiaEolica delEstrechoEl Perdon(Espagne)

Guennda(Espagne)

Izco(Espagne)

Leitza(Espagne)

Sur(Espagne,Sa ajoncs(Espagne

Nombre Échantillon Habitat Durée durelevé

75 282 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 *

rechercheshebdomadairesDe décembre1993 àdécembre 1994

sommetdemontagne

40 152 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —

rechercheshebdomadaires

145 492 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —

rechercheshebdomadaires

75 192 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —

rechercheshebdomadaires

32 92 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —

rechercheshebdomadaires

34 % sommet De décembredéoliennes de 1993 à

montagne décembre 1994

Collisions Référencesignalées

13 Lekuona2001

90 MartietBarrios1995

25 Lekuona.2001

22 Lekuona2001

22 Lekuona.2001

125 MartietBarrios1995

58 Lekuona.2001

Tableau 4. Liste des études allemandes a3ant signalé des collisions d’oiseaux aecdes éoliennes et comprenant de l’information sur l’espèce

Site Nombre Echantillon Habitat Durée Collisïons Référenced’éoliennes du signalées

Baden-Wurttemberg(Allemagne)

relevé

660 kW

Wisconsin

des éoliennes et comprenant (le l’information sur l’espèce

d’éoliennes

50 éoliennesde 150 kW.16 éoliennesde 180 kW

34 %d éoliennes

Parc éolienPESURParqueEolico dcl

150 éoliennesde 100 kW34 éoliennesde 150 kW

î Lekuona.2001

33 162 collines De mars 2000 àinterieures mars 2001

rechercheshebdomada res

So So. SO SO 1 Durr2004

63

Brandenburg AlJemagne) S O - S.O s.o s 0 90 Durr 2004

Hessen, BVV (Allemagne) S O S O s o s o. 6 Durr 2004

Mecklenburg-Vorpommern S O S O o s o 6 Durr 2004

(Al ernagne)Niedersachsen S O S O S O S 0 35 Durr 2004

(klernagne)Nordrhein-Westfalen S O S O S O S 0 8 Durr 2004

(Allemagne)Sachsen (Allernagne) S O. S O S O S 0 9 Durr. 2004

Sachsen-Anhalt S O S O S O S.O 30 Durr. 2004

(Allemagne)Schleswig-Holstein S O S O S O S 0 28 Durr 2004

(Allemagne)Thuringen (Allemagne) S.O S O S.O S.O 1 Durr. 2004

Tableau AS. Liste eles études néerlandaises avant signalé des collisions d’oiseaux

avec des éoliennes et comprenant de l’information sur l’espèce

Site Nombre Echantillon Habitat Durée du Collisions Référence

d’éoliennes relevé signalées

Canal 5 éoliennes de 5 bâtiments De mai Everaert et

Boudewijn. 600 kW industriels 2000 a al 2003

Bruges décembre2002

Barrage de 23 éoliennes 23 digue le De mai Everaert et

I Est, de 200, 400 et long de 2000 à al 2003

Zeebrugge 600 kW l’eau décembre2002

Kreekrak 5 éoliennes de 5 côtière sur D’avril 1990 26 Musters et

Pays-Bas 250 kW une crête à avril 1991 al 1996

filonienne

Fleuve 3 éoliennes de 3 terre D’avril 2001 Everaert et

Escaut 1 500 kW industrielle à décembre al 20032002

Tableau À6. Liste sommaire des espèces de plongeons et (le grèbes dont on a signalé

les collisions avec des éoliennes dans les étUdes mentionnées aux tableaux I à 5 de

l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux trous és et non le nombre prés u de collisions pour chaque pare éolien. Les

nombres sont clone peu éle és.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesGrèbe a cou noir Podiceps McBride Lake î Brown et Harnton 2004

n,gricollis (Alberta)

Grèbe sp San Gorgomo 1 Anderson et ai 2000

Grebe à bec bgarrè Buffalo Ridge 2 Johnson et ai 2002

Podilymbus podicepsGrèbe à be” b garre Buffalo Rdqe 1 Stnckland et aI 2000

Podilymbus podicepsPlongeon catmarin Gavia Niedersachsen 1 Durr. 2004

64

stellata (Allemagne)Grèbe élégant McBride Lake 1 Brown et Harnilton 2004Aechmophorus occidentalis (Alberta)Grèbe élégant Foote Creek Rrn 1 Johnson et al. 2001Aechmophorus occidentalis

Tableau A7. Liste sommaire des espèces dc pélicans et de cormorans(Phalacrocoracidue) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les étudesmentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque: 1.cs chiffres indiquésreprésentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu decollisions pur chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesPélican brun Pelecanus 2ne de ressource 1 Er)ckson et al 2001occidentalis éolienne du col

— dAltamontCormoran à aigrettes Zone de ressource 1 1Smallwood etPhalacrocorax auritus éolienne du col Thelander, 2004

dAltamont•Grand Cormoran Niedersachsen 2 Durr 2004Phalacrocoraxcarbo Allemagne)

Tableau AS. Liste sonamaire des espèces de canards, d’oies et de cygnes (4iiatidae)

dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées auxtableaux I à 5 (le l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représententuniquement le nombre d’oiseaux troués et non le nombre prévu de collisions pourchaque_pç éolien. Les nombres sont doncu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesBernache nonnette Schleswig-Holstein 6 Durr 2004Branta leucopsis iAllemgneOie des moissons Sachsen Allemagne 1 Durr 2004Anser fabalîs0e des moissons Sachsen-Anhalt 1 Durr 20044nserfabalis AlemagneSarcelle à ailes bleues Buffalo Rdge I Johnson et al 2002Anas discorsSarcelle a ales bleues Castle River (Alberta) I Brown, comm persAnas discorsBernache cravant Kreekrak Pays Bas) I Musters et al 1996Branta berniclaPetit Garrot Bucephala McBnde Lake (Alberta) I Brown et Hamilton 2004albeola

Bernache du Canada Klondike (Oregon) 2 Johnson et al 2003

Branta canadensisFuligule a dos blanc McBrde Lake (Alberta) 1 Brown et Hamilton 2004

Aythya valisineria0e domestique Canal Boudewijn. 1 Everaert et al. 2003

BruoesCanards sp Zone de ressource 2 Er)ckson et al 2001

éohenne du coldAltamont

Canard chipeau Anas McBride Lake (Albertal 1 Brown et Hamilton 2004

streperaCanard chipeau Anas Kreekrak (PaysBas) 1 Musters etal 1996

streperaCanard colvert Anas Schleswig-Holsten 3 Durr 2004

platyrhynchos ±Allemagne)Canard colvert Anas Niedersachsen 3 Durr 2004

platyrhynchos (Allergne)Canard colvert Anas Sachsen (Allemagne) 1 Durr. 2004

platyrhynchos —

‘Canard colvert Anas iZone de ressource 35 mallwood et Thelander

platyrhynchos éolienne du coi 2004d Aitamont

Canard colvert Anas Zone de ressource 1 Thelander et Rugge 2000

platyrhynchos éolienne du coljdAltamont

Canard colvert Anas Zone de ressource 5 Erickson et al 2001

platyrhynchos éolienne du col1dAltamont

Canard colvert Anas Wisconsin 2 Erickson et al 2001

platyrhynchos -

‘Canard colvert Anas Montezuma Hilis 2 Howell et Noone 1992

platyrhynchos owell, 1997

Canard colvert Anas Buffalo Ridge 2 Johnson et al 2002

platyrhynchos:Canard colvert Anas Canal Boudewijn. 1 Everaert et al 2002

platyrhynchos Bruges‘banard colvert Anas 1Canal Boudewjn 8 Everaert et al 2003

platyrhynchos BrugesCanard colvert Anas Escaut 2 Everaert et al 2003

platyrhynchosCanard colvert Anas Kreekrak (PaysBas) 4 TMusters et al 1996

platyrhynchosCanard colvert Anas McBnde Lake Alberta; 1 Brown et Hamilton 2004

platyrhynchosCanard co’vert Anas ‘Stateline iOregon) 1 West Inc et Northwest

platrhyn hs Wi dlife Consultants 2004

Canata cv ert Anas San Gorgonio Anderson et al 2000

platyrhyr?000sCygne tuberculé N edersachsen 5 Durr 2004

Cygnus aloi çAllemagnejCygne tuberculé Sachsen (A(lemagnel 1 Djrr. 2004

Cygnus obiCygne ubec I Saohse” Anhat 1 Durr 2004

Cygnus obi (Aliemagne)Cygne tuberculé Brandenburg 1 Durr 2004

Cygnus_olorFuligule à collierAythya collaris

_______

lAllemagne)Zone de ressourceéolienne du codAltamont

Tadorne de Belon NiedersachsenIadora tadorna lAHerna9pe)Sarcelle dhiver Anas Niedersachsencrecca (Aine)Sarcelle sp Ponnequin (Colorado)Sarcellesp Kreekrak, PaysBasSarcelle sp San GorgonioFuligule morillon Jiedersachsen4ythya fuligula (Allemagpe)Oiseaux aquatiques non Zone de ressourcedenbfiés éolienne du col

AltamontCygne chanteur SchleswigHolsteinygnus cygnus (Allemagne)Canard branchu Aix Mountaineersponsa

1 Smallwood et Thelander

1 Durr 2004

1 Durr 2004

1 Erickson et al. 20011 Musters et al 1996

r 1 Anderson et al 20001 Durr 2004

2 Erickson et al 2001

Tableau 49. Liste sommaire des vautours ((athartidae), des aigles et des éperviers(Accipitridue) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les étudesmentionnées aux tableaux I à 5 dc l’annexe. Remarque: Les chiffres indiquésreprésentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu decollisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentel les2 Marti et Barrios 1995

4 Durr, 2004

1 Leukuona 2001

24 Srnallwood etThelander. 2004

9 Ericksonetal 2001

1 Anderson et aI 200011 Durr 2004

5 Durr 2004

2 Durr 2004

2 fljrr 2004

200L1

1 Durr 2004

I Kerns et Kerlinger, 2004

Milan noir Milvus PESURmigransMilan noir Milvus Brandenburg (AiiemagneirrugransAigle botté lzco (Espagne)Hieraafus permatusBuses sp Zone de ressource éolienne

du col dAltamontBuses sp Zone de ressource eoilenre

du col d AltamontBuses sp col de TehacbapBuse variable Buteo Brandenburg AleaDubuteoBuse variable Buteo Sachsen-Anha(t (AHemagneibuteoBuse variable Buteo Thuringen iAllemagne,buteoBuse variable Buteo Niedersachser (A1 emgnebuteo *

Buse variable Buteo Nordrhein-WestfalenL

1 Durr 2004

buteoAigles sp

Buse rouilleuseButeo regalisBuse rouilleuseButeo regalisBuse rouilleuseButeo regalis

Buse rouilleuseButeo regalisAigle royal AquilachrysaetosAigle royal AquilaçhysaetosAigle royal Aquila[chrysaetosAigle royal AquilaçyaetosAigle royal AquilachrysaetosAigle royal AquilatosAigle royal AquilachysaetosAutour des palombes[Accipiter gen titisVautour fauvefulvusVautour fauvefulvusVautour fauvefutvusVautour fauvefulvusVautour fauvefutvusVautour fauvefutvusVautour fauvefulvusVautour fauvefut’t,sVautour fauvefu0.iusFaucons sp

Busard cendreCucus pygargusBusard SartMârtrCircus cyaneus

Zone de ressource éoliennedu col d AltarnontZone de ressource éoliennedu col d AltamontZone de ressource eoliennedu col d AltamontStateline Oregon)

col de Tehachapi

Zone de ressource éoliennedu col d AltamontZone de ressource éolienne

rdu col dAltamontZone de ressource éoliennede SolanoZone de ressource éolienne4du col d AltamontMontezuma HilIs

Zone de ressource éoliennedu col dAltamontlzco (Espagne)

Brandenburg (Allemagne)

Zone de ressource eoliennedu col d AltamontNordrhein Westfalen(Allemagne)Zore de ressou ce eoiennedu col d Altamont

1 Durr, 2004

38 Anderson et Estep1988

2 Erickson et ai 2001

2 Smallwood etThelander 2004

1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004

1 Anderson et aI 2000

4 Thelander et Rugge2000

52 TCalifornia EnergyCommission 2002

1 California EnergyCommission, 2002

30 Erickson et al 2001

1 HowelI et Noone 1992,HowelI 1997

54 tSmallwood etThelander, 2004

1 Leukuona, 2001

41 Durr, 2004

1 Janss, 2000

67 Marti et Barrios 1995

6 arti et Barrios 1995

53 TeJkna 2001

11 Leukuona 2001

11 Leukuona. 2001

8 Leukuona 2001

Leukuona 2001

4 [eukuona 2001

58 Anderson et Fstep1988

1 Durr 2004

Ercksor eta 2001

buteo — lAllemagne)Buse variable Buteo Hessen BW iAliemagne)

f

Gyps Tarifa

Gyps PESUR

Gyps E3

GypSalajones (Espagne)

Gyps lzco lEspagne)

Gyps Alaiz iEspagnei

Gyps Guennda Espagne

Gvps Letza Espaane

yps El Perdon Espaane

68

Buteo jarnaicensisBuse à queue rousseButeo jarnaicensisBuse à queue rousseButeo jamaicensisBuse a queue rousseButeo jamaicensisBwze a queue rousseB:eu jamaicensis

BuSC queue rousseButeo jamaicensis

Buse a queue rousseButeo jamaicensisBuse à queue rousseButeo jarnaicensisCrcaèteJeanie-Blanc

Mecklenburg-Vorpommern(Allemagne)Thuringen (Allemagne)

Buffalo Ridge

Zone de ressource éoliennedu col d Altamontrivière Castle (Alberta)

Durr 2004

Durr 2004

2000Erickson et al 2001

Smallwood etThelander 2004Brown et Hamilton 2004

Kerns et Kerlinger 2004

West Inc et NorthwestWldlife Consultants2004West Inc et NorthwestWildhfe Consultants2004

Anderson et al. 2000

Janss

Busard SaintMartin Foote Creek RimCircuscyaneusBusard Saint-Ma rtin Zone de ressource éolienneCircus cyaneus du col dAltamontCarcasses de vieux Zone de ressource éoliennerapaces du co dAlta montRapaces spp PESURRapaces spp. Zone de ressource éolienne

du col d AltamontRaøaces spp Zone de ressource éolienne

du col d Alta montRapaces spp. Zone de ressource éolienne

du col dAltamontMilan royal Milvus Brandenburg (Allemagne)milvusMilan royal Milvus Sachsen-Anhalt (Allernagnelrnilvus

_________

Milan royal Milvus Sachsen (Allemagne)milvus

iviilan royal Milvus .Niedersachsen (AHemagne)milvusMilan royal Milvus Hessen, BW (Allemagne)milvusMilan royal Milvusmilvus

______

Milan royal Milvus

milvusMilan royal Milvus Nordrhein-Westfalenmilvus - (Allemagpe)Buse à queue rousse Zone de ressource éolienneButeojamaicensis du col dAltamontBuse à queue rousse Zone de ressource éolienneButeojamaicensis du col dAltamontBuse à queue rousse Montezuma HillsButeo jamaicensisBuse à queue rousse

1 Johnsoneta/ 2001

3 Smallwood etThelander 2004

12 Thelander et Rugge2000

2 Marti et Barrios 199516 Smallwood et

Thelander 200412 Ericksonetal 2001

1 Thelander et Rugge2000

17 Durr 2004

I10 Durr 2004

4 Durr 2004

1 Durr 2004

3 urr 2004

1 Durr 2004

1

19 Rugge.

181

13 HowelI et Noone 1992Howell 1997

1 Johnson etal, 2002

213

2

4

8 Anderson et al 2000

JMountaineer

Stateline Oregon)

Stateline État de Washngton

Col de Tehachapi

San Gorgonio

Tarifa

Circaetus gallicus

ircaèteJean-le-BlancCircaetus gallicusÉpervier dEuropeAccipiter nisusEpervier d EuropeAccipiter nisusBuse de SwainsonButeo swainsoni

rB de SwainsonButeo swa,nsoni

Buse de SwainsonButeo swainsoniUrubu à tête rougeCatharles auraUrubu à tête rougeCathartes auraUrubu à tête rougeCathartes auraPygargue à queueblanche

j Halïaeetus a!bicillaPygargue à queueblancheHaliaeetus albicillaPygargue à queueblancheHai’iaeetus albicillaPygargue à queueblancheHaliaeetus aIbci/IaElanion à queueblancheElanusleucurus

Zone de ressource éoliennedu col d Altamont

tZone de ressource éoliennedu col dAltamontZone de ressource éoliennedu col dAltamontMountaineer

Sachsen-Anhalt (Allemagne)

-4 -

Mecklenburg-Vorpommern(Allemagne)

Schleswig-Holstein(Allemagne)

Brandenburg (Allemagne)

Zone de ressource éoliennedu col d Altamont

1 Everaert et aI. 2002

1 Leukuona 2001

7 Brown et Hamilton 2004

1 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants2004

1 Ericksonet aI 2001

4 Enckson et aI 2001

6 Smallwood etThelander 2004

-t- 2 Kerns et Kerlinger 2004

1 Durr 2004

4 burr, 2004

6 Durr 2004

2 Durr. 2004

-fr

1 Smallwood etThelander 2004

Tableau A1O Liste sommaire des faucons (Falconidae) dont on a signalé les

collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 (le

l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux troués et non le nombre préu de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont donc peu élevés,Espèces Site

Crécerelle d Amérique Zone de ressourceFa/co sparvenus eolienne du col d AltarnontCrecerelle d Arnénque Zone de ressourceFalco sparverius éolienne du col d Altamont

Crécerelle dAmérique Foote Creek RimFalco sparverius

4

Crécerelle d Arnérique Montezuma HilIsFalco sparverius

accidentel les4 Thelander et Rugge 2000

49 Erckson et aI 2001

3 Johnsoneta/ 2001

11 Howell et Noone. 1992HowelI 1997

6 4Marti et Barrios, 1995PESUR

Canal Boudewijn Bruges

Llzco (Espagnei

McBride Lake (Alberta)

Stateline (État de Washington)

Nombre demorts

Référence

Zone de ressourceéohenne de SolanoZone de ressourceéohenne du col dAltamontrivière Casue (Alberta)

•Brandenburg (Allemagne)

Barrage de EstZeebrug9e1’Esca ut

Burgar Hill, Orkney

Montezuma HiUs

Zone de ressourceéohenne du col d AltamontZone de ressourceéolienne du col dAltamontCol de Tehachapi

1 Bryne 1983

59 Srnallwood et Thelander2004

2 Brown cornm pers

1 Enckson et al 2003

3 West Inc et NorthwestWdlite Consultants 2004

1 West Inc et NorthwestWildlite Consultants 2004

7 Anderson et al 2000

1 Durr 2004

24 !Marti et Barrios 1995

5 Durr, 2004

- 4 Durr 2004

1 urr. 2004

2 Everaerteta/ 2003

1 Leukuona 2001

18 IMa et Barrios 1995

1 Durr. 2004

1 — Everaert et al. 2002

1 Everaert et al 2003

1 Meeketal 1993

1 Howell et Noone, 1992Howell 1997

2 Thelander et Rugge 2000

3 Smallwood et Thelander

1 Anderson et dl 2000

Tableau Ail. liste sommaire des oiseaux considérés comme gibier (Phasianidae etOdontoplwridae) dont on a signalé les collisions aec des éoliennes dans les étudesnidntiofluées aux tahleau I ù 5 de lannexe. Remarque Les chiffres indiquésreprésentent uniquement le nombre (I’oiseau troues et non le nombre préu deulIisions pour chaque pr1 éolien. Les nombres sont donc peu éIeés.

Espèces Site Nombre de

Rrandenburg (Allemagne)

‘Crécerelle dAmériqueFalco sparveriusCrécerelle d’AmériqueFalco sparvenusCrécerelle d AmériqueFalco spaiveriusCrécerelle dAmerique Nine Canyon (Wyoming)Falco sparveriusCrécerelle d Amerique Stateline Oregon)Falco sparvenusCrécerelle d Amérique Stateline Etat de

•Falco sparverius Washington)récerelle d Améhque Col de TehachapiFalco spaiveriusFaucon hobereauFalco subbuteoFaucon crécerelle PESURFalco tinnunculus

Faucon crécerelleFalco tmnnunculus1Faucon crécerelleFalco tinnunculusFaucon crecerelleFalco tinnunculusFaucon crécerelle1Falco tinnunculusFaucon crécerelleFalco tinnunculusFaucon crécerellette PESURFalco naumanniFaucon émérillonFalco columbariusFaucon pèlerinFalco peregrinusFaucon pèlerin

‘Falco peregnnus4

Faucon pèlerinFalco peregrinusFaucon des prairies

.Falco rneicariusFaucon des prairiesFalco mCx icanusFaucon des prairiesFalco mc qcanusFaucon des prairiesFaf’o mcxi anus

Brandenburg (Allemagne)

Sachsen-Anhalt(AIle mgpe)Nord rhe i n-Westfalen(Allemagne)

Canal Boudewijn, Bruges

lGuennda (Espagne)

2004

Référence

morts

Colin deCalifornie Col de TehachapiCallipepla californicaPerdrix choukar Alectoris Vansycle (OregonichukarPerdrix chou kar Alectoris Col de Tehachapi

Alectoris îStateline (État deWashii,g,on)

Afectoris Statelne (Oregom

Perdr perdi Vansycle (Oregon)

Perdix perdix rMcBride Lake(Alberta)

Perdi perdix Buffalo RidgePerdix perdix Stateline (Oregon

Perdrix grise Perdix peux tlire (État deWashington)

Perdrix sp. Vansycle (Oregon)

Perdix grise Perdx perdix Brandenburg

Faan de ColchidePhasianus coichicus‘Faisan de CoichidePhasianus colchicusFaisan de ColchidePhasianus coichicusFaisan de ColchidePhasianus coichicus

_____ _____

‘Faisan de ColchidePhasianuscoichicus‘Faisan de ColchidePhasianus colchicusFaisan de ColchidePhasianus coichicusGélinotte huppée BoriasaumbellusTétras a queue fine McBride Lakelympanuchus phasianellus (Alberta)Dindon sauvage Meleagris Zone de ressource

ziallopavo éolienne du cold ‘Altarnon t

accidentelles2 Anderson et aI 2000

1 Strickland et al 2000c

2 Anderson et aI 2000

4 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004

3 West Inc et NorthwestWildlife Consultants. 2004

2 Strickland et al 2000c

1 Brown et Hamilton, 2004

1 1Johnson et aI. 2002

4 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004

3 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants, 2004

1 trickIand et al 2000c

1 Durr 2004

2 ïohnson et al. 2002

3 Everaert et aI, 2003

5 ‘Erickson et al. 2003

3 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004

14 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004

2 Durr 2004

1 Lekuona 2001

1 Kerns et Kerlinger, ‘2004

2 1Brown et Hamilton, 2004

1 Srnallwood et Thelander2004

lableau A12. Liste sommaire des foulques dont on a signalé les collisions aec des

éoliennes tians le% études mentionnées au tableaux I û 5 de lannexe. Remarque

I ,es chiffres indiqués représentent uniquement le nonibre d’oiseaux trous és et flOil le

nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu

éleés.Espèces Site Nombre de Référence

chtikarPerdrix choukarchukarPerdrix chou karchukarPerdrix grisePerdrix grise

Perdrix grisePerdrix grise

(AII,çjgne)Buffalo Ridge

naI BTdewijn.Bes

•Nine Canyon (Étatde WashinonIIstateline (État deWashington> —

Stateline lOregon)

Niedersachsen(AIlemagne)Guennda(Espagn e)Mountaineer

morts

accidentelles

Aigrette sp

Bihoreau grisnycticoraxBihoreau grisnycticoraBihoreau grisnycticoraxCigogne noirenigraCigogne noirenigraHeron gardeboeufsBubulcus ibisHéron cendre 4rdeacinereaGrand Héron 4rdeaherodiasGrand Hercn irdeaber odias

Cigogne blancheCiconia ciconiaCigogne blancheCicooia c corCigogne blancheCiconia ciconia

McBride Lake lAlberta)

Buffalo Ridge

San Gorgonio

rivière Castle (Alberta)

iekrak (PavsBas)

San Gorgonio

Zone de ressource éoliennedu col d AftamontCanai Boudewijn Bruges

.Nine Canon Wyoming

Stateline Etat deWashington

t Brandenburg (Aflemagne

Brandenburg (Allemagne)

Mecklenburg-VorpomrnernAlle magne)

1 Brown et Hamilton 2004

2 Johnsonetal 2002

8 Anderson et aI 2000

1 Brown comm pers

possible 2 Musters et al 1996

1 Everaert et al 2002

6 Everaertet al 2003

1 Anderson et aI 2000

1 tAnderson etJaI 2000

1 JEricksonetal 2001

1 James. 2003

2 Smallwood etThelander 2004

1 Durr, 2004

1 Durr 2004

1 Smallwood etThelander 2004Everaert et al 2003

1 Erickson t o 2003

1 West Inc e:Northwest W dlifeConsultants 2004

1 fDurr 2004

Foulque d AmériqueFulica americanaFoulque d AmériqueFulica americanaFoulque d AmériqueFufica amencanaFoulque d AmériqueFufica americanaFoulque macrouleFufica atra

______

Foulque macroule Canal BoudewijnFulica atra Bru,gesFoulque macroule Canal BoudewijnFulica atra BrugesMarouette de Caroline San GorgonioPorzana carolina

Tableau A13. Liste sommaire des hérons (Ardeidae) et de ciconiidés (aconiidae)dont on a signalé les collisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux

tableaux I û 5 dc l’annexe. Remarque Les chiffres indiqués représentent

uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour

chaquejarc éolien. Les nombres sont donc peu élevés. —

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentelles

Nycticorax Zone de ressource éoliennedu col dAltamont

Nycticorax Pickering

Nycticorax ‘Zone de ressource éoliennedu col d Altamont

Ciconia Hessen (Allemagne)

Ciconia 1essen (Allemagne)

1

1 Durr 2004

1 Durr 2004

Cigogne blanche Sachsen (Allemagne) 1 rDurr 2004Ciconia ciconia

Tableau A14, Liste sommaire des oiseaux de ri age dont on a signalé les collisionsaec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I â 5 de l’annexe.Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtrous és et non le nombre préx u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombressont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentel lesAvocette d Aménque Tzone de ressource 3 Smallwood et ThelanderRecurvirostra americana eolienne du col 2004

AltamontPluvier argente Piuvialis Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters et aI 1996squataroIarPluvier kildir Charadrius Buffalo Ridge 1 Johnson et aI 2002vociferusL +Petit Chevalier Tringa Zone de ressource 1 Smallwood et Thelanderfiavipes éolienne du col 2004

d Altamont

________

uîtrier pie Haematopus Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters et al 1996ostraiegusHuîtrier pie Haematopu4iedersachsen 1 Durr 2004pstraiegus L(Allemagne)Huîtrier pie HaematopusSchleswig-Holstein 2 Durr. 2004ostra)egus (Allemagne)fievalier gambette Canal Boudewijn, 1 fEveraert et ai. 2003Tnnga totanus

_____Brues

Bécassine des marais Mynydd Cemmaes 1 Dulas Engineering LtdGaiiinago gailinago 1995Bécassines sp Kreekrak (Pays-Bas) 1 iusters et aI 1996

Tableau AIS. Liste sommaire des mouettes et goélands et des sternes dont on asignalé les collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux 1 à5 de l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre préxu de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont donc peu éleés. -

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesLMouette rieuse Larus Cana Boudewijn 8 Everatrt et a 2002ridtun Jus BrugesMouette rieuse Larus Canal Boudeijn 47 Ever ert ‘ o’ 2003ridib indus 1BrugesM uette rieuse Laru.s Barrage de I Est 1 Everaert et aI 2003rsd oundus ZeebruggeMouette rieuse Larus Burgar Hill Orkney 3 Meek etaI 1993ridibundusMouette rieuse Larus Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters er al 1996ridîbundus

Mouette rieuse LarusndibundusGoeland de Cahforn eLarus cahfornicus

Goéland de CalifornieLarus californicus

Goéland de CaHfornieLarus caéfomicus

Goéland cendrecanusGoéland cendrécanus

Goeland cendrecanusGoéland cendrécanusSterne pierregarinhirundoSterne pierregarinhirundoSterne pierregarinhirundoGoéland mannmarinusGoéland mannmartnusGoéland argentéargentatusGoéland argentéargentatusGoéland argentéargentatusGoéland argentéLargt8t

Goéland argentéargentatusGoéland argentéargentatusGoéland argente•argentatusGoéland argenteargentatus

Goéland argenteargentatus

Goéland argenteargentatus

Mouette tndactye RissatridactylaGoélan brun Larusfuscus

Goéland brun Larusfuscus

Brandenburg(Aemane)Zone de ressourceéolienne du coldAltamont

Zone de ressourceéohenne du coldAltamontZone de ressourceéolienne du coidAltarnont

Larus •Canal Boudewjn.Brug

Larus TSachsen (Allemagne)

Larus Niedersachsen(Allemane)

Larus JBrandenburgAllemge i

Sterna :Barrage de lEst.Zeebrugge

Sterna Canal Boudewijn.jes

Sterna Barrage de lEst.

arrage de EstZeebruggeNiedersachsen(AliencBarrage de I EstZeebrugge

4 Durr 2004

1 Thelander et Rugge 2000

2 Erickson et al 2001

7 Smallwood et Thelanaer2004

3 Everaert et al. 2003

1 Durr 2004

4 Durr, 2004

2 Durr 2004

3 Everaert et al 2002

1 ;Everaert et al 2003

4 Everaert et al. 2003

1 tErt et aL 2002

T 5 Êveraert et al 2003

1 Enckson et ai, 2001

1 Johnson et al. 2002

34 Everaert et al 2002

TEveraert et al. 2002

97 Jveraert et al. 2003

34 Everaert et al.. 2003

1 Musters et al. 1996

4 Durr. 2004

3 Durr 2004

L1 Strickland et al 2000

1 Everaert et al. 2002

1 Durr 2004

8 Everaert et al 2002

ZeebeLarus Barrage de I Est,

rugeLarus Barrage de I Est

ZeebruggeLarus Wisconsin

Larus Buffalo Ridge

Larus Barrage de I Esteebrugge

Larus Canal BoudewijnJBruges

Larus Canal BoudewijnBruges

Larus Barrage de I EstZeebrugge

Larus Kreekrak Pas-Bas

Larus Sachsen Ailemagne

L arus Niedersachsen(Allemagne

Larus Buffalo Ridge

Goéland brun Larus Canal Boudewijn. 1 Everaert et al 2002

.fuscus _rugesGoéland brun Larus Canal Boudewijn 25 Everaert et al 2003

fuscus BrugesGoéland brun Larus Barrage de lEst. 10 Everaert et a 2003

fuscus ZeebruggeMouette pygmée Larus Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters etai 1996

minutusSterne naine Sterna Barrage de I Est 2 Everaert et al 2002

albifrons ZeebruggeSterne naine Sterna Barrage de I Est 2 Everaert et ai. 2003

aibifrons

_____

Zeebruge ——

Goéland à bec cerclé Zone de ressource 4 Smallwood et Thelander.

Larus delawarensis éolienne du col 2004dAltamont

Goélands sp McBride Lake (Alberta) 2 Brown et Hamilton 2004

:Goélandssp Zone de ressource 4 Ericksonetal 2001

éolienne du coldAltamont

Goélands sp Zone de ressource 18 Smallwood et Thelander

éolienne du col 2004dAltamont

Tableau 16. Liste sommaire des pingouins dont on a signalé les collisions avec des

éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque:

Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux troux és et non le

nombre prévu de collisions pour chaque pare éolien. Les nombres sont donc peu

éle és.

_____

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellest-

Guillemot marmette Niedersachsen I 1 Durr. 2004

Uriaaalge (Allemagne)

Tableau A17. Liste sommaire des columbidés dont on a signalé les collisions aec

des éoliennes (lans les études mentionnées aux tableaux I à 5 dc l’annexe. Remarque

Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trous és et non

le nombre prés u de collisions pour chaque pare éolien. Les nombres sont (1(311e l)CU

élevés.Espèces Site - Nombre de Référence

mortsaccidentelles

Pigeon sp Gennda Espagne - I [ekuona 2001

Pigeon sp lzco Espagne 1 Lekuona 2901

Colombe aomestique Canal Boudewijn 2 Everaert e a 2002

BrugesTourterelle triste îZone de ressource 1 Thelander et Rgge 2000

Zenaida rnacroura eolienne du col

dAltamontTourterelle triste Aloerta — riviere Castie Brown et harnituri. 0O

Zenaida rnactoura

Tourterelle triste Montezuma HillsZenaida macrouraTourterelle triste Zone de ressourceZenaida macroura éol enne du col

J4AltamontTourterelle triste Foote Creek RimZenaida macrouraTourterelle triste Col de TehachapiZenaida macrouraTourterelle triste San Gorgonio t

Zenaida macrouraTourterelle triste Riviere Castle (Alberta)Zenaida macroura

__

Pigeon biset Columba BrandenburgT

livia f domestica (Allemagne)igeon biset Columba Brandenburglivia f domestica (Allemagne)FPigeon biset Columba Canal Boudewijn[livia f domestica BrugesPigeon biset Columba ‘Barrage de lEstlivia f domestica 4ZeebruggePigeon biset Columba Escautlivia f domesticaPigeon biset Columba Stateline (Oregon)livia

T

Pigeon biset Columba Zone de ressourcelivia éolienne du col

dAltamont

_______

Pigeon biset Columba tAlberta— rivière Castle’

jLviaPigeon biset Columba Zone de ressourcelivia éolienne du col

çfAltamontPigeon biset Columba de ressourcelivia éolienne du col

d AltamontPigeon biset Columba Montezuma HilIsliviarPigeon biset Columba trivière Castle (Alberta)liviaPigeon biset Columba TCol de TehachapiliviaPigeon biset Cotumba MountaineerliviaPigeon biset C umba San Gorgonioiivia

Pigeon colombin Canal BoudewijnColumba oenas Bruges jPigeon ramier Canal BoudewijnGo umba palumbus BresPigeon ramier Brandenburg îColumba palumbus (AllemanejP geon ramier SachsenAnhaltColumba palumbus (Allemagne)

tPigeon ramier Sachsen-Anhalt

1 ïiowei et Noone 1992Howell 1997

34 Smallwood et Thelander2004

1 Johnsoneta! 2001

L6 Anderson et al. 2000

1 Anderson et al 2000

2 Brown comm pers

3 Durr 2004

3 Durr 2004

2 Everaert et al 2003

2 Éveraert et al 2003

3 tEveraert et al 2003

1 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants 2004

15 Thelander et Rugge, 2000

1 Brown et Hamilton, 2002

92 Erickson et al., 2001

196 Smallwood et Thelander2004

3 Howell et Noone 1992HoweIl 1997

1 Brown comm pers

9 ‘Anderson et aI 2000

1 Kerns et Kerlinger 2004

8 Anderson et aI 2000

1 Everaert et al 2003

1 ‘Everaert et al 2003

I Durr 2004

I Durr 2004

1 Durr 2004

Columba pa/umhusPigeon ramierColumba palumbusPigeon ramierColumba pa/urnhus

(Allemag neBrandenburg(Allemagne)Guennda (Espagne

1 Durr 2004

1 Lekuona. 2001

Tableau 1S. Liste sommaire des coulicous et de géocoucous (Cuculidue) dont on a

signalé les collisions a cc des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I

5 dc lannexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux trouvés et non le nombre wéu de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont donc peu élevés.Espèces Site

Coulicou à bec noir Coccyountaineererythropthalmusbucou gris Cucuius canorus El Perdon f

L (EspgneGrand Géocoucou Col de Tehachapieococcy californianusCoulicou à bec jauneCoccyzus americanus

Effraie des clochers1Tyto albaEffraie des clochersTyto alba

rÊffrale des clochersTyto a/bdEffraie des clochersTyto albaEffraie des cchersTyto aihaChevéche des terriers Zone de ressourceAtherie cunicularia éolienne du col d AltamontCheveche des terriers Zone de ressourceAthene cuniculana Léohenne du col d AltamontChevêche des terriers Zone de ressourceAthene curucuId;ft éolienne d cc d AitamontChevêche des terriers San Gorgonio

Nombre de Référencemorts

accidentelles2 Kerns et Kerlinger, 2004

1 Lekuona. 2001

2 Anderson et aI. 2000

4 Kerns et Kerhnger. 2004•Mountaineer

Tableau A19. Liste sommaire des strigidés dont on a signalé les collisions avec des

éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque

Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le

nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc l)CU

élevés.Espèces Site

Jone de ressourceéolienne du col d Alta montZone de ressourceéolienne du col d Altamont

tMontezurna Hills

Zone de ress,urceéolienne du or I AitamontCol de Tehacha

Nombre de Référencemorts

accidentelles4 Thelander et Rugge 2000

25 Erickson et aI. 2001

1 Howell et Noone 1992HowelI. 1997

50 Smallwood et Thelander2004Anderson et ai 2Gfl

2 Enckson et aI 2001

4 helander et Rugge 2000

70 SmÏïwood et Thelander2004

1 Anderson et ai 2000

Nordrhein-WestfalentAilemaone)Baden-Wurttemberg(Allemagne)Salajones Espagne)

Tableau A20. Liste sommaire des engoulevents (Caprimulgidae) dont on a signalé lescollisions avec des éoliennes tians les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux troués et non le nombre préu de coLlisions pour chaque parc éolien, Lesnombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentelles

Tableau A21. Liste sommaire des pics (Pkidae) dont on a signalé les collisions aec

des éoliennes clans les études mentionnées aux tableaux I à 5 dc l’annexe. RemarqueLes chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non

le nombre pré4u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peuélcsés

Espèces Site Nombre de Référence

3 Durr 2004

Durr 2004

Athene cunicula riaGrand-duc dEuropeBubo buboGrand-duc d Europe 1Bubo boboGrand-ducd Europe 1 Leukuona 2001Bobo boboGrand-duc d Europe PESUR 2 1Marti et Barnos, 1995Bobo boboGrand-duc d Europe TE3 2 Marti et Barrios 1995Bobo boboPetit-duc nain Otus Col de Tehachapi 1 Anderson et al 2000fia rnmeolusGrand-duc dAmérique Zone de ressource 7 Erickson et ai 2001Bubovirginianus éohenne du col d AltamontGrand-duc dAmérique Montezuma HuIs 2 Howefl et Noone 1992Bobo virginianus Howell 1997Grand-duc dAmérique Zone de ressource 18 Smallwood et ThelanderBubo Vif ?ianus éolienne du col dAltamont 2004Grand-duc d’Amérique Col de Tehachapi 10 Anderson et aI 2000Bobo vlr9lnianusHibou moyen-duc Col de Tehachapi 1 Anderson et al 2000Asiootus —

Hibou des marais McBride Lake (Alberta) 2 Brown et Hamilton, 2004AsioflammeusHibou des marais FooteCreekRim 1 Johnsonetal 2001Asio fiammeus

_____

Hibou des marais Nine Canyon (Wyoming) 1 Erickson et aI, 2003Asio flammeus

______________

Strigidé non identifié Zone de ressource 10éoienne du col dAltamont

Erickson et ai 2001

Engoulevent d AménqueChordeiles minorEngoulevent de NuttaiPhalaenoptilus nutta’;

Foote Creek Rim

Foote Creefr Rrn

Johnsonetai 2001

Johnson et a 2001

morts

Pic épeiche DendrocoposmajorPic de Lewis MelanerpeslevasPic flamboyantauratus

Pic flamboyantauratus —

Pic flamboyantauratusPic flamboyantauratusPic flamboyantauratusPic maculé Sphyrapicusvarius

Tyran tritri TyrannustyrannusMoucherelles sp.Moucherolle tchébecEmpidonax minimusMoucherolle côtierEmpidonax difficilis

Brandenburg(Allemagpe)Vansycle (Oregon)

2one de ressourceéolienne du col

4d’AftamontGobemouche noir Ficedula Brandenburghypoleuca (Aernagpe)

Moucherolle à ventre roux Zone de ressourceSayornis saya éolienne du col

dAltamontTytannu.s Zone de ressource

éolienne du ond Altamont

1 Strickland et al 2000c

6 Smallwood et Thelander2004

1 Howell et Noone 1992HowelI 1997

3 Anderson et al 2000

1 Brown, comm pers

1 West Inc. etNorthwestWildlife Consultants. 2004

1 TErickson eta/.. 2001

morts

accidentelles1 Ericksoneta/.2001

2 Johnson et al. 2002

1 TJohnsonetal. 2002

1 Smaflwoodet Thelander.

1 Durr 2004

1 Srnailwood et Thelander2004

1 Smallwood et Thelanger

Tableau ;23. Liste sommaire des pie%-grieche% (Laniidae) (10111 on a signalé les

collisions aee des éoliennes tians les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 dc

l’annexe, Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

(loiseaux tron és et non le nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont (loflc peu élevés. —

Espèces Site Nombre de Référence

accidente I I es1 Durr 2004

Colaptes Zone de ressourceéolienne du cold Altamont

Colaptes Montezuma Hills

Colaptes ol de Tehachapi

Colaptes riviÈre Castle(Alberta)

Colaptes Stateline (Oregon)

Wisconsin

Tableau A22. Liste sommaire des moucherelles (Tyrannidue) dont on a signalé les

collisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de

l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont donc peu élevés. —

Espèces Site Nombre de Référence

Wisconsin

Buffalo Ridge

tuffalo Ridge

2004

Tyran de I Ouestvertica/is 2004

morts

accidentellesPie-gnèche migratriceLanius Iudov,cianus

Pie-gnêche migratriceLanius ludovicianus

Zone de ressourceéolienne du cold AltamontZone de ressourceéolienne du colci Altamont

1 Erickson et Ai. 2001

5 Smal!wood et Thelander2004

Tableau 24. Liste sommaire des iréos ( ireonidae) dont on a signalé les collisionsaec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I t 5 de l’annexe.Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtrous és et non le nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombressont donc peu élevés.

Espèces Site

Vireo aux yeux rouges MountaineerVireo olivaceus

__________

;Viréo mélodieux Vireo Foote Creek Rimus

___

•Viréo mélodieux Vireo Buffalo RidgegilvusViréo â gorge jaune IowaVireo flavifrons

Pie bavardeP e bavarde

PC ba’arde

Zone de ressourcecouenne du cold Altamont

Pica pica EscautPica pica Sacnsen-Anhalt

Alier’agnePica pica Statelne Oregon

Zone de r55rJfeolenne du cold AitarnontCol de Tehachapi

Sar Go onio

Montezuma HuIs

Nombre de Référencemorts

accidentelles7 Smallwood et Thelander.

2004

1 Everaert et aI 20031 Durr. 2004

I Vest Inc et NortruwestWildlife Consultants 2004

12 Smallwood et Thelander2004

3 Anderson et aI 2000

Arde su et di. 2000

1 Howell et Noone 1992

Nombre de Référencemorts

accidentelles21 Kerns et Kerlinger, 2004

1 Johnson et aI. 2001

1 Johnson et aI 2002

1 7koford. 2003

Tableau A25. Liste sommaire des corneilles et corbeaux et des geais (Corvidue) donton a signalé les collisions a cc des éoliennes dans les études mentionnées auxtableaux 1 à 5 de l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représententuniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu (le collisions pourchaqeparc éolien. Les nombres sont doncpu élevés,

Espèces Site

Corneille d AméruqueCorvus brachyrhynchos

Grand Corbeau Corvusco’a

Grand Corbeau CorvuscotaGra d Corbeau Corwi.coraxGrand Corbeau Corvus

81

coraxrGrand Corbeau Corvuscorax

Ccrvus sp

Corneille noire Corvuscoron eCorneille noire CorvuscoroneGrand Corbeau CorvuscoraxCorbeau freux CorvusfrugilegusGeai buissonnierAphelocoma californica

Alouette hausse-colEremophila alpestrisÀlouette hausse-colErernophila alpestnsAlouette hausse-colEremophila alpestris

Alouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette hausse-colErernophila alpestosAlouette hausse-colErernophifa alpestos

Alouette hausse colEremophila alpestrs

Alouette hausse eiEremophila aIpest’u-Alouette hausse-colEremophila a?pestreAlouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette des champs

TZone de ressourceéolienne du cold Alta montNiedersachsenlAllemagne)Hessen BWAllema9ne)

Brandenburg(Allemagne)Brandenburg(Allemagne)Sachsen-Anhalt(AllemajCol de Tehachapi

TStateline (Oregon)

4Stateline (État deWasj9ton)Zone de ressourceéolienne du coldAltamont -

Nine Canyon (Etat deWashington)McBride LaRe(Alberta)Wisconsin

Zone de ressourceéolienne du cold AltarnontZone de ressourcecol enne du cold AltamontFnote Creek Rm

Ponnequin Colorado

Col de Tehachapi

Vansycle (Oregon)

1Howell 19979 Erickson etal 2001

1 Durr 2004

1 Durr. 2004

1 Durr 2004

3 Durr 2004

1 Durr. 2004

1 Anderson et al. 2000

Tableau A26. Liste sommaire des alouettes (Alaudidae) dont on a signalé les

collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 de

l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont donc peu élevés.Espèces Site Nombre de Référence

mortsaccidentelles

48 lWest Inc et Northwest WildlifejÇonsultants. 2004

33 West Inc et Northwest WildlifeConsultants. 2004

23 :Smallwood et Thelander. 2004

1 Èrickson et al 2003

4 et Hamilton 2004

1 Erickson et al 2001

5 Thelander et Rugge. 2000

14 Ericksnetal 2001

28 Johrsneti/ 2001

5 Erickson et 31 2001

2 Anderson et 3/ 2000

1 Strickland et al 2000c

Brandenburg 1 Durr 2004

Alauda aivensis (Aflemagne)Alouette des champs E! Perdon (Espagne) 2 Lekuona, 2001Alauda arvensisAlouette ulu Lullula Guennda OEspagne) 1 Lekuona. 2001arboreaAIouette ulu LuIIu)a È! Perdon Espagne) 4 Lekuona. 2001arborea

Tableau 27. Liste sommaire des hirondelles (Ilirundinidue) dont on a signalé lescollisions aec (les éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I i del’annexe. Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesHirondelle rustique Wisconsin 1 ÎEnckson et aI 2001-firuncio rustica

4 —

______

Hirondelle rustique Buffalo Ridge 1 Strickland et aI 2000Hirundo rustica

_____ _____

Hirondelle rustique Buffalo Ridge 4 Johnson et aI 2002Hirundo rustica j j —

Hirondelle rustique El Perdon (Espagne) 1 Lekuona. 2001Hirundo rusticaMartinet ramoneur Wisconsin 1 Erickson et aI 2001Chaetura pelagica

_____ ______

Hirondelle à front blanc Zone de ressource 5 Smallwood et Thelander.Hirundo pyrrhonota éolienne du col 2004

_____

dAltamont

__________ _____

Hirondelle à front blanc Zone de ressource 2 Thelander et Rugge. 2000Hirundo pyrrhonota éolienne du col

d AltamontHirondelle a front blanc Zone de ressource 3 Erickson etal 2001Hirundo pyrrhonota éolienne du col

.dAltamontHirondelle à front blanc Foote Creek Rim 1 iohnson et aI 2001Hirundo pyrrhonota *

Hirondelle de fenêtre Brandenburg 1 Durr 2004Delichon urbica (Allemagne) -

Hirondelle de fenêtre Guennda (Espagne) 1 Lekuona 2001Delichon urbicaHirondelle noire Progne Buffalo Ridge 1 Johnson et al 2002subisHironde{k?s spp Foote Creek Rim î Johnson et dl 2001

Martinet nsir Apus apus Brandenburg Durr 2004iAllemagne

Martinet for Apus apus Sachsen-Anhalt Durr 2004iAllemagpei

Martinet noir Apus apus SachsenAnhalt 2 Durr. 2004(Allemagne

Apus apus BandenLurg 3 D 2004(Allernaane i

Martinet noir Apus apus lzco (Espagne) 1 Lekuona 2001

83

2 Everaert et aI 2002

Hirondelle bicoloreTachycineta bcolorHrondele bcoioreTachycineta b’coIorHirondelle bicoloreTachycineta bicolorH rondelle à face blancheTachycineta thalassina

Hirondelle à face blancheTachycineta thalassina

Martinet à gorge blancheAeronautes saxatalisMartinet à gorge blancheAeronautes saxatalisMartinet à gorge blancheAeronautes saxatalis

tW

lowa

JZone de ressourceeolienne du cold AltamontZone de ressourceéolienne du cold AltamonttVansycle (Oregon)

4Ponnequin (Colorado)

San Gorgonio

1 Johnsonetal 2001

2 Erickson et a 2001

1 Koford 2003

1 Erickson et al 2001

1 mallwood et Thelander2004

1 Strickland et al 2000c

L

2 Erickson et al 2001

1 Anderson et al 2000

Tableau A28. Liste sommaire des mésanges (Paridae), des grimpereaux (Certhiidae) etdes sittelles (Sittidae) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans lesétudes mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque: Les chiffresindiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombreprévu de col1isionspour chaque parc éolien. Les nombres sont doncpeu élevés.

Espèces Site Nombre de J Référencemorts

accidentelles2 Johnson et aI 2001Grimpereau brun

Certhia americanaMésange charbonnièreParus majprSittelle à poitrine rousseSitta canadensisSittelle à poitrine rousseSitta canadensis

1 tWest Inc et Northwest Wildlife4Consultants 2fl04

1 Jonson et aI 2003

Martinet noir Apus apus Barrage de l’Est,ZeebruggeFoote Creek Rim

Foote Creek Rim

ndenburg(Allemane)Stateline (Oregon)

tNine Canyon (tatde Washington)

1 TDurr 2004 12 jWest Inc et Northwest

Wildlife Consultants, 20041 jÉickson et aI 2003

Tableau A29. Liste sommaire des troglodytes (Troglodytidae) dont on a signalé lescollisions axec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à S del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux troués et non le nombre préxu de collisions pour chaque parc éolien, Les

nombres sont doncpeu éleés.

Espèces Site Nombre demorts

Troglodyte familierTroglodytes aedonTroglodyte familierTr g’odytes aedonTroglodyte familierTroglodytes aedon

ccidentellesFoote Creek Rim 2

Référence

Johnsonetai 2001

Stateline (Oregon) r

Klondike (Oregon

84

FTrolodyte familierTroglodytes aedonTroglodyte des rochersSalpirictes obsoletusTroglodyte des rochersSalpinctes obsoletusTroglodyte a bec courtCistothorus platensisTroglodyte mignonTroglodytes tioglodytesTroglodyte mignonTroglodytes troglodytesTroglodyte mignonTroglodytes troglodytes

JStateline (Etat deWashington;Foote Creek Rm

Col de Tehachap

Buffalo Ridge

Stateline Etat deWashinqton;Stateline (Oregon

tNine Canyon (Etate Washington)

2 West Inc et Northwest WildlifeConsultants, 2004

4 Johnsonetal 2001

1 Anderson et al 2000

Johnson et al 20022

2 West Inc et Northwest WildlifeConsultants. 2004

2 West Inc et Northwest WildlifeConsultants, 2004

1 Erickson et al 2003

RcteIet triple bandeauRegulus ignicapillusRoiteIet triple bandeau

LRegulus ignicapillus

___

-

Roitelet huppé Regulus ‘Brandenburgregulus (Allemagne)Roitelet huppe Regulus Barrage de lEstregus 4Zeebru9eRoitelet à couronne dorée Wisconsin

[Regulus satrapaRoitelet a couronne doréeRegulus sattapaRoitelet à couronne doréeRegulus satrapa

[Roitelet a couronne doréeRegulus satrapaRoitelet a couronne doreeRegulus satrapaRoitelet a couronne rubisReguius aRoiteiet a cc,ronne rubisReyuius d criduRoitelet a couronne rubisRegulus calndu a

tRoitelet a ourcnne rubisRegulus caieriduia

Roitelet à couronne rubisRegu”is c’c3IntdJl9

Roitelet a couronne rubisRegulus calendula

Tableau A30. Liste sommaire des roitelets (Regu!idae) dont on a signalé les collisions

avec tics éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 dc 1annexe.

Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux

trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres

sont donc peu élevés.

Espèces Site

Brandenburg(Allemag ne)Izco (Espagne)

Nombre de Référencemorts

accidentelles

_____

1 Durr 2004

1 Lekuona, 2001

1 Durr. 2004

1 Èveraert et al. 2003

Î2 tEricksonet al. 2001

1 Brown comm. pers

1 Johnson et al 2003

10 West Inc et NorthwestWildlife Consultants 2004

10 West Inc et NorthwestWildlife Consultants. 2004

1 West Inc et NorthwestWIdlife Consultants 2004

— î Brown et Hamton 2004

1 Strickland et al 2000

1 Johnson et al 2001

1 Johnson et ai 2002

1 Erickson et al 2003

Castle River(Alberta)Kiondike iOregon)

Stateline (Oregon)

Stateline (Etat deWashingtoniStateline Oregon)

McBrde LaeLAlbert1Buffalo Ridge

Foote Creefr Rim

Buffalo Ridge

TNine Canyon t État1de Washingon)

85

Roitelet a couronne rub Klondike (Oregon)Regulus calendula

:Jd et al 2003

lableau 31. Liste sommaire des grives (Turdidae) dont on a signalé les collisionsaec de% éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I i 5 de Fannexe.Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtroués et non le nombre préu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombressont donc peu éleés.

Espèces Site

Foote Creek Rim

Rivière Castle (Albertal

Mountaineer

Exhibition RaceTorontoFI Perdon (Espagne)

4

Sialia Zone de ressourceéolienne du cold Altamont

SiaIiaFoote Creek Rim

Sialia Zone de ressourceéolienne du coldAltamontSchlesiig-HolsteiniAllemaaneBarrage de I Est.ZeebrugaeBarraoe de EstZeebruggeCanal Boudewijn.B rugsBarrage de I Est.ZeeDrugeEl Perdon (Espagnei

erle d AmériqueTurdus migra tonusMerle d AmeriqueTordus migratorius 4rMerle d AmeriqueTurdus migratoriusMerle d AmériqueTurdus migratoriusRougequeue noirPhoenicurus ochrurosMerle noir Turdus Izco (Espagne)merula

______

Merle noir Turdusmerula

_____ _______

Merle noir Turdus :El Perdon (Espagne)merulaMerle noir TurdusmerulaGrive litornepilarisGrive solitaireCatharus guttatusMerlebleu azurécurrucoides

Guennda (Espagne)

Canal Boudewijn.;Brgs

Turdus SachsenAnhalt4Allemagne)

Foote Creek Rim

Nombre de Référencemorts

accidentelles1 Johnsoneta/ 2001

1 Brown. comm pers

1 kerret Kerlinger 2004

1 James et Cody 2003

2 Lekuona. 2001

___

.11 ILekuona 2001

1 ZLekuona 2001

1 Lekuona 2001

1 .Everaert et al. 2003

1 tDurr. 2004

1 ihnson et aI 2001

2 cksoneta/ 2001

2 Johnsonetal 2001

5 Smallwood et Thelander2004

1 Durr 2004

veraert et a 2002

Everaert et o’ 2002

Everaert et ai 2003

1 Everaert et al 2003

1 Lekuona. 2001

Merlebleu azurécurrucoidesMerlebleu azurécurruco,des

Gre auvs Turdus

Rugeoge familierE’’tia as rubeculaGrve musicienneTurdus philomelosGrive r’uscienneTurdus philomelosGrve musicienneJ uruus ph,/orne,osTarier pâtre Sal<icola

torquatusGrive à dos olive Stateline (État de 1 West Inc. et NorthwestCatharus ustulatus Washinon) Wildhfe Consultants. 2004Grive fauve Catharus Mountaineer 1 Kerns et Kerlinger 2004fuscescerisMerlebleu de lOuest Zone de ressource 2 Erickson et aI. 2001Sialia mexicana éolienne du col

d AltamontTarer des prés Brandenburg 1 Durr 2004Saxicoia rubetra i.Allemag ne)Grive des bois Mountaineer 3 Kerns et Kerlinger. 2004Hylocichia mustelina

Tableau A32. Liste sommaire (les moqueurs (Mi,,iidae) dOnt OH a signalé lescollisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I i 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque pare éolien. Lesnombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

_____

accidentelles

_______

Moqueur chat Dumetella Buffalo Ridge 1 Johnson et aI., 2002carolinensis

_____ _____

Moqueur polyglotte ‘Zone de ressource 1 lSmallwood et ThelanderMimuspolyglottos éolienne du col 2004

dAltamontr -

tMoqueur des armoises Foote Creek Rim 1 Johnson et aI. 2001Oreoscoptes montanus

Tableau A33. Liste sommaire des étourneaux (Sturnidae) dont on a signalé lescollisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesitÊtourneau sansonnet Nine Canyon i Etat de 1 Enckson et aI 2003Sturnus vulgaris 1Washiton)Étourneau sansonnet Zone de ressource 67 Smallwood et ThelanderSturnus vulgaris éolienne du col 2004

dAltamontEtourneau sansonnet McBride Lake Aiberta) 5 Brown et Hamilton 2004Sturnus vulgar sÉtourneau sansonnet Col de TehachapT 1 Anderson et aI 2000Sturnus vulga risÉtourneau sansonnet San Gorgonio 1 Anderson et ai 2000Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet Zone de ressource 4 Thelander et Rugge 2000Stuns ;uigas eoiienne du

dAltamontEtourneau sansonnet Zone de ressource 17 Erickson et aI. 2001

Sturnus vulgaris bIienne du coldAftarnont

Étourneau sansonnet WisconsinSturnus vulgaris

________

Etourneau sansonnet Zone de ressourceSturnus vulgaris éohenne de SofanoÉtourneau sansonnet Buffalo RidgeSturnus vulgaris jEtourneau sansonnet Kreekrak (Pays-Bas)Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet Exhibition Place.Sturnus vulgaris

______

TorontoÉtourneau sansonnet MountaineerStuinus vulgarisÉtourneau sansonnet Stateline (Oregon)Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet Stateline (État deSturnus vulgaris Waston)Étourneau sansonnFCanaI BoudewijnSturnus vulgans BrugesÉtourneau sansonnet EscautSturnus vulgaris

_______

Étourneau sansonnet BrandenburgStumus vulgaris - (AlIemane)Étourneau sansonnet Sachsen (Allemagne)Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet NiedersachsenSturnus vulgaris )(AIIernÈtourneau sansonnet Kiondike (Oregon)Sturnus vulgaris

3 Erickson etal 2001

Bryne 1983

1 Johnson etal 2002

Mustersetal 1996

1 IJames et Cody 2003

Kerns et Kerlinger 2004

4 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants 2004

1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants 2004

8 Everaert et aI. 2003

1 Everaertetal. 2003

2 Durr, 2004

1

1

1

Ourr. 2004

Durr. 2004

Johnsonetal 2003

Tableau A34. Liste sommaire des bergeronnettes et (les pipits (Motacillidile) dont on

a signalé les collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I

i 5 de l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le

nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc

éolien. Les nombres sont donc peu élevés. -

Espèces Site Nombre de Référencemorts

Rpit d Amerique AnthuFoote Creek Rim

!UI)esCunsPipit d Amerique Anthus Stateline Etat deruhescur WashngtonPipt n Amerque Montezurna HiHsArthus rubescensPipt oussehne Guennna EspagneiAnthus campestrisBergeronnette grise JBrandenburgMofaulla Iba Jlemagne)Bergeronnette grise Barrage de I EstMotaaIIa alba ZeebruggeBergeronnette printanière BrandenburgMotaciila fla’a (AlIep9ne

1 Johnsonetal 2001

1 WestInc et NorthwestWildlife Consultants 2004Howel! et Noone 1 92Howeli 1997

2 Lekuona 2001

1 Durr 2004

1 Everaert et aI 2003

1 Durr. 2004

laccidentelles

Tableau A35. Liste sommaire des fauvettes (Syftiinae) dont on a signalé les collisions

avec des éoliennes (lans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe.

Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement Je nombre d’oiseauxtrouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres

sont donc peu élevés.Espèces Site Nombre de Référence

mortsccidentelles

Fauvette à tête noire izco (Espagne) 1 ILekuona. 2001Sylvia atricapïllaFauvette a tete noire Aiaiz (Espagne) 1 Lekuona 2001Sylvia atricapiliaFauvette à tête noire Guennda (Espagne) 2 Lekuona, 2001Sylvia_atricapillaRousseroile verderolle !Niedersachsen 1 Durr, 2004

‘Fauvette grisette Guennda (Espagne) f 1 Lekuona. 2001Sylviacommunis

Tableau 36. Liste sommaire des Pouillots siffleurs (Parulidae) dont on a signalé les

collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de

l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre

d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les

nombres sont donc peu élevés.Especes Site Nombre de f * Reference —

: mortsaccidentelles:

,Paruline flamboyante Mountaineer 2 Kerns et Kerlinger. 2004

Setophaga ruticillaParuline noir et blanc MniotiltaBuffalo Ridge 3 Johnson etal., 2002

varia-—----f--- -—

Paruline rayee Dendroica Buffalo Ridge 1 Johnson et al., 2002

striataParuline rayée Dendroica Mountaineer 3 :Kerns et Kerlinger. 2004

‘striata s

Paruline bleue Dendroica sMountaineer 1 :Kerns et Kerlinger. 2004

caerulescensParuline grise Deridroica Zone de ressource 1 jSrnaflwood etnigrescens éolienne du col Thelander, 2004

dAltamontParuline grise Dendrofca 7Zonfessource 1 Thelander et Rugge,nigrescens éolienne du coI :2000

d’AltamontParuline du Canada Vviisonia ‘Mountaineer 1 Kerns et Kerlinger 2004

‘canadensisParuiine à flancs marron MoLintaineer I sKerns et Kerlinger. 2004

Dendroica pensylvanica ..

Paruline masquée Geothlypis Buffalo Ridge j 7 Johnson et al., 2002

trichasParuhne masquee Geothfypis1Mountaineer 1 Kerns et Kerlinger 2004

trichas

Parulne à capuchonVVilsonia citrinaParuline des buissonsOpororms tolmietParuline des bwssonsOporornis tolm,ei

Parune à croupion jauneDendroica coronataParuline à croupion jaune

‘Dendroica coronataParuline à croupion jauneDendroica coronataParuline à croupion jauneDendroica coronataParuline à croupion jaune

• Dendroica coron ata

Paruline a croupion jauneDeridroica coronata

Paruline à croupion jauneDendroica corriataParuline à croun on jauneDendro:ça oonata

Zone de ressourceéolienne du cold Altamont

tFoote Creek Rim

Zone de ressourceéolienne du cold AltarnontFoote Creek Rim

Rivière Castle(Alberta)Foote Creek Rim

Zone de ressourceéolienne de SolanoStateline (Oregon)

tateline tat deWashington)

Buffalo Ridge

Nine Canyon iÉtatde Washingtoni

1 Kerns et Kerlinger 2004

1 Johnson et al 2001

1 West Inc et NortbNestWildlife Consultants2004

1 Johnson et al 2002

5 Kerns et Kerlinger 2004

4 Johnson et al. 2002

1 Thelander et Rugge2000

3 iohnsonetal 2001

1 Smallwood etThelander. 2004

3 Johnson et al 2001

1 SmaIlwood etThelander. 2004

1 Anderson et aI 2000

1 tBrown, comm pers

1 Johnsoneta/.2001

1 ryne 1983

3 West Inc et Northwest•Wildlife Consultants2004

1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004

1 Johnson et al 2002

1 Erickson et al 20

Tableau 3. Liste sommaire des emhériiidés (E,iberizidae) dont on a signalé lescollisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre(Foiseaux troiiés et non le nombre préu de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu éle és.

Espèces Site

accidentelles

Mountaineer

Foote Creek Rim

Stateline (Oregon1

Paruhne à tète cendrée Buffalo RidgeDendroîca magnoliaParuline à tête cendrée MountaneerDendroica magnoliaParuline verdâtre Vermivora Buffalo Ridgecela taParuline de TownsendDendroica tonsendi

Paruline de TownsendDendroica townsendiParuline de TownsendDendroica townsendi

:Paruline à calotte noireWilsonia pusilla

__________

Paruline jaune Dendroica Zone de ressourcepetechia éolienne du col

dAItamontCol de Tehachapi

Nombre dem o ris

Référence

9(1

Bruant de Brewer Spizellarer.eriBruant familier SpizellapasserinaBruant famiiier Spizellapasserina

Bruant proyer EmberizacalandraJunco ardoisé Junco hyernaiisJunco ardoisé Junco hyemalis

Junco ardoisé Jrinco hyernalis

Junco ardoisé Junco hyerna lisJunco ardoisé Junco hyemalisJunco ardoisé Junco hyemalis

Bruant à couronne doréeZonotnchia atricapilla

Bruant à couronne doréeZonotnchia atricapilla

Bruant sauterelleAmmodramus savannarum

Tohi à queue verte PipiloçjjçrurusBruant noir et blancCalamospiza melanoco!ys

Bruant des préssandw,chens,s

Bruant des pres P sserculussdndwlchensis

Bruant spp

one de ressourceeolienne du cold AltamontStateline (État deWashington

Stateline (Oregon

5 ïohnsonetal 2001

L1 Johnson et al 2002

Johnson etal 2001

9 Durr 2004

I Johnson et al 20012 West Inc et Northwest

Wildlife Consultants2004

2 Brown et Hamilton. 2004

Anderson et al 20001 Johnson et al 2003

West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004

1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004

2 West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004

1 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants.2004

2 Johnson et aI, 2001

1 Johnson et al., 01

1 trickland et al. 2000

1 4Johnson et al 02

1 ÎErickson et al 2001

2 Erickson et al 2001

2 Smallwood et Thelander2004

West Inc et NorthwestWila fe Consultants2004West Inc et NorthwestWild!ife Consultants.2004West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004

t Hamiiton. 2002

Foote Creek Rim

Buffalo Ridge

Foute Creek Rim

Brandenburg(AI lemg neFoote Creek RimStateline (État deWashington)

McBride Lake(Alberta)Col de TehachapiKlondike (Oregon)Stateline (Oregon)

Stateline (Oregon)

Stateline (État deWashington)

Stateline (Oregon)

;Foote Creek Rim

Foote Creek Rim

Bruant de Lincoln Mospizuffalo RidgelincoIni,Bruant de Lincoln Melospiza Buffalo RidgelincolniiBruant de McCown CalcariusPonnequinmccownn (Colorado)Bruant des prés Passerculus WisconsinsandrwchensisBruant des présand ichensis

Passerculus

Passe’c uflis 1

Stateline (Oregon( 1

Alberta f ‘ereCastle

9 1

Rosel in famiher Carpodacusmexicanus

Brander h u raAllemagne,

Zone de ressourceeohenne du coldAltamontStatel ne (Etat deWashington)

1 Strickland et al. 2000c

2 tBrown comm pers

3 Brown et Hamilton 2004

1 Anderson et al. 2000

1 Erickson et aL 2003

1 Kerns et Kerhnger 2004

2 Johnson etal. 2002

2 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004

7 Johnsonetal. 2001

3 West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004

2 Johnson et al 2001

4 Stricklandetal 2000c

2 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants

Bruant spp Vansycfe >Oregon)Bruants spp Rivière Castle

(Alberta) *

Bruants spp McBnde Lake(Alberta)

Bruant spp Col de Tehachapi

Tohi tacheté Pipilo maculatusNine Canyon >Etatde Washington)

Bruant des marais Melospiza MountaineergeorgianaBruant vespéral Pooecetes Buffalo RdgegramineusBruant vespéral Pooecetes Stateline (Etat degramineus Washington>

Bruant vesperal Pooecetes Foote Creek Rimgrnineu.sBruant à couronne blanche Stateline >État deZonotrichia leucophrys Washington)

Bruant à couronne blanche Foote Creek Rim Î

Zonotnchia Ieucophrys

______

Bruant à couronne blanche Vansycle (Oregon>•Zonotrichia_Ieucophrys

_____

Bruant à couronne blanche Stateline (Oregon)Zonotrichia Ieucophrys

2004

Tableau A38. liste sommaire des cardinaux ((‘ardinalidue) et des fringillidés

(Fringillidae) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les études

mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués

représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de

collisionpour chajue parc éolien. Les nombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre de Référencemorts

-accidentelles

Chardonneret jaune Carduelis WisconsintristisPinson des arbres Fringilla Izco iEspagnmcoelebsBeccroise des sapins Loia Alaiz EspagnecurvirostraDickcissel d Amérique Spiza Buffa o RdgeamericanaDickcissel dAmerique Spizi Buffln RIQearnericanaVerdier d Europe CarduelisclitorisRoselin familier Carpodacusmexicanus

1 Erickson et al. 2001

1 Lekuona 2001

1 Lekuona 2001

1 Stnckland et al 2000

1 Johnson et al 2002

2 Durr. 2004

3 Erickson etal 2001

1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants

2004Roselin familierrne icanus

uiscale de Brewerphagt1s cyanocephalus:Quiscale de BrewerEuphagus cyanocephalus

Vacher à tête bruneMolothrus ater

Vacher à tête bruneMolothrus ater

Zone de ressourceéoienne du cold AitamontMou n ta n ce r

Zobe de ressourceéolienne du coldAltamont

2one de ressourceéolienne du cold AltamontFoote Creek RimtZone de ressourceéolienne du col

jçiAltamont

________

Col de Tehachapi

Zone de ressourceéolienne du coldAltarnontZone de ressourceéolienne du coldAltamontKlondike (Oregon)

Zone de ressourceeoienne du cold AtamontState! ne tat deWashinato

________

Montezuma Hills

Wisconsin

fRivre Castle

+(Alberta)Zone de ressource

18 Smallwood etThelander. 2004

1 Kerns et Keriinger2004

3 Lekuona 2001

3 Kerns et Kerlinger2004

West Inc et NorthestWildiife Consultants 2004

2 Howe1 et Noone 1992Howeli 1997

1 Erickson et aI 2001

Brow mm pers

12 Smallwood et Thelander

Carpodacus

Passerin indigo PasserinacyaneaLinotte mélodieuse Carduelis El Perdon (Espagne)cannabinaCardinal à poitrine rose MountaineerPheucticus ludovicianus

Tableau A39. Liste sommaire des ictéridés (Icteridae) dont on a signalé les collisionsa ec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe.Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtrouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque pare éolien. Les nombressont doncpeu élevés.

Esjces Site Nombre de Référencemorts

accidentellesfMerle noir spp.

Ïv1ede noir s

1erles noirs sppQuiscale de BrewerEuphagus cyanocephalus

1 iallwood et Thelander,2004

1 Helander et Rugge, 2000

2 îTohnson et aI 200113 Smallwood et Thelander

2004

1 Anderson et aI. 2000

8 Tckson et aI 2001

2 mallwood et Thelander.2004

1 Johnson et al 2003

1 Johnson et ai 2002

2 Erickson t u’ 2001

Quiscale bronzé Quiscalus Buffalo RidgequisculaCarouge a épaulettesAge/aIu5 phOer?!CCI1S

Carojge a epaulettesAgelaius phoeniceusCarouge a epaulettesAgelaius phoenicousCarouge a épaulettesAgelaius phoeniceusCarouge à épaulettesAgelaius phoeniceusCarouge à épaulettes

93

Agelaius phoeniceus

Carouge de CalifornieAgelaius tricolor

Sturnelle de OuestSturnella neglectaSturnelle de OuestSurne!ia neglecta

StumeHe de IOuestSturneila neglecta

Sturnelle de [OuestStumella neglectaSturnelle de lOuestSturnella neglectaSturnelle de OuestSturnella negiectaSturnelle de OuestSturnella neglectaSturnelle de [OuestSturnella neglectaStumefle de OuestSturneila neglectaSturnelle de OuestSturnella neglectaSturnelle de [OuestSturnella neglectaSturnelle de OuestSturnella neglecta

éohenne du cold Altamont

_____

Zone de ressourcecouenne du cold AftamontZone de ressourceéohennede SolanoZone de ressourceéohenne du cold AftamontZone de ressourceéolienne du cold Alta montFoote Creek Rim

Montezuma Huis

Buffalo Ridge

Col de Tehachapi

San Gorgonio

Statehne (Oregon)

Stateline (État deton)

Nne Canyon (Étatde Washington)IZone de ressourceéolienne du coldAltamont

2004

1 Smailwood et Thelander2004

1 Bryne 1983

8 TheIander et Rugge 2000

40 Eruckson et al 2001

1 Johnson et al 2001

1 HoweIl et Noone 1992HowelI 1997

1 Johnsonetal 2002

6 Anderson et al 2000

1 Ànderson et al 2000

5 West Inc et NorthwestWdlife Consuftants. 2004

7 West Inc et NorthwestWildlife Consultants 2004

2 Erickson et al.. 2003

99 aliwood et Thelander,2004

Tableau A40. Liste sommaire des tarangas (Thraupidae) dont on a signalé lescollisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 dclannexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu dc és.

Espèces Site Nombre de Référence

laranga a tête rouge 1Foote Creek RimPiranga ludovic ana

mortsaccidentelles

tableau A41. Liste sommaire des moineaux de l’Ancien Monde (J’as,scridae) dont onai signalé les collisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux Ii 5 de l’annexe. Remarque : Les chiffres indieiués représentent uniquement lenombre d’oiseaux trous és et non le nombre prés u de collisions pour chaque pareéolien. Les nombres sont donc peu élevés.

Espèces Site Nombre demorts

1 Johnsonetal 2001

Référence

) I

accidentel lesMoineau domestiquePasser domesticus

Moineau domestiquePasser domesticusMoineau domestiquePasser domesticusMoineau domestiquePasser dornesticusMoineau friquetPasser monta nus

*Zone de ressourceéolienne du cold AltamontBuffato Ridge

Brandenburg(Allemagne)iMountaineer

Brandenburg(AHemagne)

1

1

Smallwood et Thelander 2004

Johnson et aL 2002

1 Durr 2004

I Kerns et Kerknger. 2004

1 Durr 2004

Tableau A42. Liste soniniaire d’autres espèces dont on a signalé les collisions avec

des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 de l’annexe. Remarque

Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et 11011

le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu

élevés.Èspèces Site Nombre de

mortsRéférence

Passereaux sp.Passereaux sp.Passereaux sp

Passereaux sp

Passereaux sp

Passereaux spPassereaux spPassereaux sp

Passereaux spPassereaux spPassereaux sp

Passereaux sp

éolienne du col d Alta montCol de Tehachapi

ÏSan GorgonoZone de ressourceéolienne du col d AltamonMontezuma HilIs

Zone de ressourceéohenne du col d Aitamont

ÎCoI de TehachapiRivière Castle ,ïcerta

Nine Canyon Etat deWashingtonMcBride Lake Alberta)

Mountaineer•Stateline Oregon)

Stateline (tat deWashington

I mallwood etThelander 2004

16 .Thelander et Rugge 2000

29 Erickson et al 2001

5 Johnsonetal., 2001

1 Erickson et al., 2001

1 Johnson etal, 2002

16 Smallwood et Thelander 2004

16 Anderson et a/ 2000

9 Anderson et al. 2000

11 Erickson et al 2001

1 Howell et Noone 1992Howell 1997

42 Smallwood et Thelander 2004

Anderson et al 2000

Brown comm persErckson et a/ 2003

6 Brown et Hamilton 2004

9 Kerns et Kerlinger 2004

3 West Inc et Northwest WildlifeConsultants 2004

4 West Inc et Northwest Wi dlifeConsultants 2004

accidentellesalopsitte Zone de ressource

éolienne du col d Altamont

Passereaux sp. Zone de ressourceéolienne du col d Altamont

Passereaux sp Zone de ressourceéolienne du col d Altamont

Passereaux spjoote Creek Rim

Passereaux sp Vansycle (Oregon)

assereauxsp. BuffaloRidge jPassereaux sp. Zone de ressource

4

9’S