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UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL RAPPORT FINAL MAI 2014

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Page 1: Résultats du sondage détail québec (2)

UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE

L’INFORMATION DANS LE COMMERCE DE

DÉTAIL RAPPORT FINAL

MAI 2014

Page 2: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

TABLES DES MATIÈRES

Portrait démographique

Portrait des consommateurs

Portrait des détaillants

Sondage en ligne

Recommandations

Page 3: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

INTRODUCTION

Détail Québec, le comité sectoriel de main-d’oeuvre du commerce de détail, est un organisme à but non lucratif

réunissant des représentants d’employeurs et de travailleurs du secteur du commerce de détail. Son mandat est

d’améliorer le développement de la main-d’oeuvre, partout au Québec, en assurant la compétitivité des entreprises.

L’un des aspects de sa mission est de cerner et de faire connaître les défis du secteur.

Par l’entremise de ce rapport, Détail Québec souhaite approfondir sa connaissance des réalités, des enjeux et des

pratiques de gestion qui sont liés à l’utilisation des technologies de l’information du secteur.

La délimitation du secteur du commerce de détail dans cette étude est basée sur les codes du Système de

classification industrielle de l’Amérique du Nord (SCIAN). Le secteur du commerce de détail est représenté par le

code 44-45 comprenant plusieurs sous-secteurs. Détail Québec couvre l’ensemble du secteur du commerce de détail,

à l’exception du commerce de l’alimentation et des concessionnaires automobiles. La présente étude se concentre

sur les 19 sous-secteurs suivants : Sous-secteurs Code SCIAN

Magasins de pièces, de pneus et d’accessoires pour véhicules automobiles 4413

Magasins de meubles 4421

Magasins d’accessoires de maison 4422

Magasins d’appareils électroniques et ménagers 4431

Marchands de matériaux et fournitures de construction 4441 Magasins d’alimentation spécialisée 4452

Magasins de bière, de vin et de spiritueux 4453

Magasins de produits de santé et de soins personnels 4461

Stations-service (avec ou sans dépanneurs) 4471

Magasins de vêtements 4481

Magasins de chaussures 4482

Bijouteries et magasins de bagages et de maroquinerie 4483 Magasins d’articles de sport, passe-temps et instruments de musique 4511

Magasins de livres, de périodiques et d’articles de musique 4512

Grands magasins 4521

Autres magasins de fournitures 4529

Magasins de fournitures de bureau, papeterie et cadeaux 4532

Magasins de marchandises d’occasion 4533 Autres magasins de détail 4539

Page 4: Résultats du sondage détail québec (2)

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MÉTHODOLOGIE

Le présent rapport repose sur des données primaires et secondaires.

Les données primaires ont été recueillies directement auprès des détaillants québécois au moyen d’un

sondage en ligne. Les précisions méthodologiques seront présentées dans la section sur les résultats du

sondage.

Les données secondaires proviennent de différentes sources fiables et valides. Un effort a été consenti

pour utiliser des données les plus récentes possible.

Cefrio

Statistique Canada

Institut de la statistique du Québec

Emarketer

Imarklab

Page 5: Résultats du sondage détail québec (2)

PORTRAIT DÉMOGRAPHIQUE

Page 6: Résultats du sondage détail québec (2)

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PERSPECTIVE DÉMOGRAPHIQUE

Au Québec, la population va être en croissance

pour les prochaines années selon l’Institut de la

statistique du Québec (ISQ).

Cependant, le taux de croissance de la population

passerait de 4,1 % de 2006 à 2011 à seulement

1,8 % en 2026-2031.

Toujours selon les prévisions de l’ISQ, les groupes

d’âge suivants vont décroître :

15-24 ans

25-34 ans

45-54 ans

N.B. La croissance de la population en 2011 a été

de 4,7% au lieu de 4,1% comme prévu par les

prévisions.

Groupes

d’âge

2011 2016 Différence

2011-2016

15-24 ans 992 224 935 815 (56 409)

25-34 ans 1 077 211 1 069 674 (7 537)

35-44 ans 1 039 013 1 098 936 59 923

45-54 ans 1 273 006 1 155 336 (117 670)

55-64 ans 1 073 669 1 185 607 111 938

Source des données : Institut de la statistique du Québec, Perspectives

démographiques du Québec et des régions, 2006-2056

Page 7: Résultats du sondage détail québec (2)

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DENSITÉ DE POPULATION

La densité de population du Canada est de

3,7 personnes/km2.

La densité de population de l’Île-du-Prince-

Édouard et de la Nouvelle-Écosse est élevée

car le territoire est très petit

Le Québec a une faible densité de population

puisque son territoire est très vaste.

À titre indicatif, la densité de population des

États-Unis est de 34,06 personnes/km2.

0

5

10

15

20

25

30

Île-d

u-P

rince

-Édouard

Nouve

lle-É

cosse

Ontario

Nouve

au-B

runsw

ick

Québec

Alb

erta

Colo

mbie

-Britan

niq

ue

Man

itoba

Saskatch

ew

an

Terre

-Neuve

-et-L

abrad

or

Yukon

Territo

ires d

u N

ord

-Ouest

Nunavu

t

Distribution des provinces et territoires

canadiens selon leur densité de population

(en km2)

Source des données : Statistique Canada, Chiffres de population et de

logements, recensement 2006 et 2011

Page 8: Résultats du sondage détail québec (2)

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VENTES

Près du quart des ventes au détail au Canada sont

réalisées au Québec.

En 2013, les ventes au détail au Québec ont

totalisé près de 105 milliards de dollars, soit 22%

de celles réalisées au Canada.

Au Québec, les ventes des épiceries et marchands

d’automobiles ont compté pour 40% des ventes

au détail, tandis que celles des secteurs couverts

par Détail Québec ont compté pour 60% des

ventes au détail.

Reste du

Canada

78%

0%

Épiceries et

marchands

d'automobiles

60%

Tous les autres

détaillants

40%

Québec

22%

Ventes au détail, Québec et Canada, 2013

(En millions de dollars)

376 262 M$

105 480 M$

42 207 M$

63 273 M$

Source des données : Statistique Canada, ventes au détail par province et

territore, 2009-2013

Page 9: Résultats du sondage détail québec (2)

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VENTES

Entre 2001 et 2013, les ventes au détail ont

varié de 3,8% en moyenne par année au

Québec.

Pour le Canada, le taux moyen est de 4,1%

par année.

On remarque que le Québec a moins été

affecté par la crise économique malgré un

taux de variation moyen plus faible.

Par contre, avant et après la crise,

l’augmentation des ventes au Québec est

plus faible que pour le Canada.

-4

-2

0

2

4

6

8

2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013

Variation en pourcentage des ventes au

détail, Québec et Canada, 2001-2013

CAN QC

Source des données : Statistique Canada, commerce de détail vente selon le

SCIAN, 2001-2013

Page 10: Résultats du sondage détail québec (2)

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COMMERCE ÉLECTRONIQUE

En 2012, la valeur des commandes en ligne a

atteint 3,1 milliards de dollars au Québec, ce qui

représentait 16% de la valeur des commandes en

ligne canadiennes.

Forte croissance du nombre de commandes au

Québec (55,7%).

Forte croissance de la valeur des commandes au

Québec (27,2%).

Le Québec occupe la deuxième position pour la

valeur des commandes en ligne au Canada.

L’Ontario est la province dont la valeur des

commandes en ligne est la plus élevée.

15 820 M$ 3 115 M$

2 449 839 $ 3 115 046 $

12 814 359 $

15 819 840 $

0

2 000 000

4 000 000

6 000 000

8 000 000

10 000 000

12 000 000

14 000 000

16 000 000

18 000 000

2010 2012

Valeur des commandes électroniques,

Québec et Canada, 2010 et 2012

(En milliers de dollars)

Québec Reste du Canada

Source des données : Statistique Canada, valeur des commandes électroniques

pour le Canada et les régions, 2010 et 2012

Page 11: Résultats du sondage détail québec (2)

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COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Le commerce électronique représentait 4,5% du

commerce de détail au Canada en 2013.

Il est prédit que cette proportion devrait

augmenter dans les prochaines années.

Le Canada se classe au cinquième rang mondial

pour la perspective de croissance des ventes de

commerce électronique.

Cependant, l’attractivité du marché canadien est

classée en 10e place dans le monde.

L’offre de produits restreinte et les coûts de

livraison élevés sont deux facteurs qui affectent

l’attractivité du marché canadien en ligne.

Rang Pays Attractivité

1 Chine 84.0

2 Japon 83.3

3 États-Unis 82.8

4 Royaume-Uni 75.7

5 Corée du sud 72.2

6 Allemagne 70.4

7 France 65.2

8 Brésil 50.9

9 Australie 50.8

10 Canada 49.7

BRIGGS, Paul, «Canada ecommerce – pedal to the metal», eMarketer webinar,

http://www.emarketer.com/Webinar/Canada-EcommercePedal-Metal/4000078,

février 2014

Page 12: Résultats du sondage détail québec (2)

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CONSOMMATION

Entre 2007 et 2012, le taux de croissance annuel moyen des dépenses de consommation finale des ménages

au Québec est de 3,4% alors qu’il est de 3,5% au Canada.

Dans une industrie hautement compétitive comme le commerce de détail, un taux de croissance plus faible

de la consommation signifie encore plus de compétition pour les parts de marché déjà très contesté.

Année Québec Taux de

croissance

Reste du

Canada

Taux de

croissance

2007 174 223$ 656 995$

2008 182 082$ 4,5% 685 960$ 4,4%

2009 183 997$ 1,1% 688 741$ 0,4%

2010 192 739$ 4,8% 722 532$ 4,9%

2011 200 476$ 4,0% 755 532$ 4,6%

2012 206 291$ 2,9% 781 097$ 3,4%

Source de données : Statistique Canada, Dépenses de consommation finale des

ménages détaillées, 2007-2012

Page 13: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

CONSOMMATION

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

5,0%

6,0%

2008 2009 2010 2011 2012

Croissance des dépenses de

consommation des ménages, 2008-

2012

Québec Reste du Canada

$-

$100 000,00

$200 000,00

$300 000,00

$400 000,00

$500 000,00

$600 000,00

$700 000,00

$800 000,00

$900 000,00

2007 2008 2009 2010 2011 2012

Dépenses de consommation finale des

ménages, 2007-2012

(En millions de dollars)

Québec Reste du Canada

Source de données : Statistique Canada, Dépenses de consommation finale des

ménages détaillées, 2007-2012

Page 14: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

RÉCAPITULATIF :

PORTRAIT DÉMOGRAPHIQUE

La population est toujours croissante mais à un rythme plus lent.

On observe également un vieillissement de la population. Les nouvelles générations d’aînés sont beaucoup

plus technos que les précédentes.

La faible densité de population du Québec est un défi pour la logistique et les frais de livraisons.

La croissance du niveau des ventes et de la consommation est un peu plus faible au Québec qu’au Canada

mais la crise économique à frapper moins dur au Québec.

Alors que le commerce de détail au Québec représente 22% des ventes au Canada, cette proportion est

plus faible pour la valeur des commandes électroniques(16%). Le retard du Québec en matière de

commandes électroniques s’explique probablement par la barrière de la langue.

Le commerce électronique représente 4,5% du commerce de détail au Canada en 2013.

Le Canada est l’un des pays qui devraient connaître la plus forte croissance au niveau du commerce

électronique au cours des prochaines années mais son attractivité est plus faible que plusieurs autres pays

industrialisés.

Page 15: Résultats du sondage détail québec (2)

PORTRAIT DES CONSOMMATEURS

Page 16: Résultats du sondage détail québec (2)

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LES INTERNAUTES QUÉBÉCOIS

Au Québec, 83,8% des adultes utilisent internet.

Le taux d’internautes québécois est relativement

stable depuis les cinq dernières années.

On remarque que les utilisateurs occasionnels

sont moins nombreux mais ils deviennent des

utilisateurs réguliers, c’est-à-dire qu’ils se sont

connectés au cours des 7 jours ayant précédé

l’enquête du Cefrio.

L’âge est un facteur qui influence le taux

d’utilisateurs d’internet mais son effet est

principalement ressenti chez les 65 ans et plus.

0%

20%

40%

60%

80%

100%

18-24 25-34 35-44 45-54 55-64 65-74 75+

Internautes réguliers et occasionnels

selon l'âge, 2012

Internautes réguliers Internautes occasionnels

0%

20%

40%

60%

80%

100%

2008 2009 2010 2011 2012

Internautes réguliers et

occasionnels, 2008-2012

Internautes réguliers Internautes occasionnels

Cefrio, «équipement et branchement internet des foyers québécois», volume 4,

no 2, 2013

Page 17: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

En 2013, 59% des adultes québécois ont effectué

au moins un achat en ligne au cours de l’année.

Les 55 ans et plus sont moins enclins au

commerce électronique que leurs cadets.

Cefrio, «le commerce électronique en pleine croissance au Québec», volume 4,

no 10, 2013

0%

20%

40%

60%

80%

2010 2011 2012 2013

Taux de québécois ayant acheté sur internet au

cours des 12 mois précédant l'enquête

Base adultes Base internautes

0%

20%

40%

60%

80%

100%

18-24 25-34 35-44 45-54 55-64 65 et +

Taux de québécois ayant acheté sur internet en

2013, selon l'âge

Base adultes Base internautes

Page 18: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Lorsqu’on observe les données sur une base

mensuelle, le taux de Québécois achetant en ligne

est plus faible. Cependant, il y a quand même 33%

des internautes qui ont acheté en ligne au cours

du mois précédant l’enquête.

Le montant moyen dépensé en ligne est

pratiquement le même depuis 2011.

Un fait intéressant à considérer, les

consommateurs âgés de 18 à 34 ans ont un

montant moyen dépensé en ligne plus faible que

les 35 à 64 ans.

Cefrio, «le commerce électronique en pleine croissance au Québec», volume 4,

no 10, 2013

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

2009 2010 2011 2012 2013

Taux moyen de québécois ayant acheté sur

internet au cours du mois précédant l'enquête

Base adultes Base internautes

270 $ 295 $

336 $ 333 $ 335 $

2009 2010 2011 2012 2013

Montant moyen dépensé par les cyberacheteurs

au cours du mois précédant l'enquête

Page 19: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Pour le commerce électronique, le niveau de

scolarité et le revenu familial annuel influencent

beaucoup son utilisation.

Les Québécois ayant complétés des études

collégiales ou universitaires sont plus nombreux à

acheter en ligne que ceux ayant un diplôme

primaire ou secondaire.

Le taux de Québécois ayant acheté en ligne

augmente proportionnellement avec le revenu

familial annuel.

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

Primaire Secondaire Collégial Universitaire

Taux de québécois ayant acheté sur internet en

2013, selon le niveau de scolarité

Base adultes Base internautes

Cefrio, «le commerce électronique en pleine croissance au Québec», volume 4,

no 10, 2013 0%

20%

40%

60%

80%

100%

Moins de

20000$

Entre 20000 et

39999$

Entre 40000$

et 59999$

Entre 60000$

et 79999$

80000$ et plus

Taux de québécois ayant acheté sur internet en

2013, selon le revenu familial annuel

Base adultes Base internautes

Page 20: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

85% des internautes consulte au moins une

source d’information en ligne avant d’acheter.

Un internaute sur deux va consulter directement

le site web du fabricant ou du revendeur.

78% des internautes âgés entre 18 et 24 ans

portent attention aux publicités en ligne.

Cefrio, «le commerce électronique en pleine croissance au Québec», volume 4,

no 10, 2013

85%

53%

51%

38%

37%

37%

33%

23%

20%

18%

4%

3%

Au moins une source internet

Site Web du fabriant ou du revendeur

Sites d'annonces classées et sites d'enchères

Comparateur de prix en ligne

Site Web contenant l'avis d'autres

consommateurs

Circulaire en ligne

Site Web d'experts

Réseaux sociaux

Courriels promotionnels

Sites d'achats groupés

Codes QR

Autres sources internet

Sources d'information en ligne consultées par les

internautes québécois en 2013 avant un achat

Page 21: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Catégorie de produits les plus achetés en ligne

par les Québécois :

Billets spectacles et divertissement

Voyage, transport et forfait

Vêtements et accessoires

Produits culturels (livre, musique, film, etc...)

Électronique

25%

21%

20%

18%

17%

15%

14%

14%

6%

6%

6%

2%

56%

47%

45%

41%

38%

34%

32%

31%

14%

14%

12%

4%

Billets spectacles / cinéma / divertissement

Voyages, transport, hébergement, forfaits

Mode et accesoires

Livres, revues et journaux

Musique et films

Appareils électroniques

Jeux vidéo, jeux ou jouets

Matériel informatique

Produits de beauté

Équipement, ameublement, ...

Produits financiers

Épicerie et autre produits alimentaires

Produits et services achetés en ligne par les

adultes québécois en 2013

Base adultes Base cyberacheteurs

Cefrio, «le commerce électronique en pleine croissance au Québec», volume 4,

no 10, 2013

Page 22: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

COMMERCE ÉLECTRONIQUE :

PRIX ET COMMODITÉ

En ligne, la commodité remplace le service

comme critère de sélection lors du magasinage.

Le prix demeure est facteur très important

d’autant plus qu’il est facile de comparer les prix

en ligne.

72% des consommateurs américains affirment que

le prix est un facteur très important lors du

magasinage en ligne.

Le taux de consommateurs pour qui la

commodité est très importante varie entre 41%

(collecte ou retour en magasin) et 66%(livraison

gratuite).

Pour les Canadiens, la livraison gratuite est un

incitatif à l’achat (63%)plus important qu’un prix

inférieur aux magasins physiques (56%).

0% 20% 40% 60% 80% 100%

Bas prix

Livraison gratuite

Politique de retour flexible

Site web facile à utiliser

Collecte ou retour en magasin

Service à la clientèle téléphonique

Proportion des consommateurs

américains dont les facteurs suivants sont

très importants lors de l’achat en ligne

BRIGGS, Paul, «Canada ecommerce – pedal to the metal», eMarketer webinar,

http://www.emarketer.com/Webinar/Canada-EcommercePedal-Metal/4000078,

février 2014

BUSINESSINSIDER, «the future of retail : 2014»,

http://www.businessinsider.com/the-future-of-retail-2014-slide-deck-sai-2014-3#-

1, 2014

Page 23: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

RÉCAPITULATIF :

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

59% des adultes québécois ont acheté au moins une fois en ligne en 2013.

Environ un adulte québécois sur quatre achète en ligne sur une base mensuelle.

Les adultes québécois entre 18 et 54 ans achètent en ligne dans une proportion très similaire. Cela vient contredire le mythe que les nouvelles technologies sont un domaine pour les jeunes uniquement.

L’éducation et le revenu familial annuel sont deux facteurs qui affectent la probabilité d’acheter en ligne.

Les catégories de produits qui sont le plus achetés en ligne sont :

Billets de spectacles et divertissement ;

Voyage, transport et forfait ;

Vêtements et accessoires ;

Produits culturels (livre, musique, film, etc...) ;

Électronique ;

Le prix et la commodité sont deux facteurs importants pour les consommateurs lors du magasinage en ligne.

Un internaute sur deux va consulter directement le site web du fabricant ou du revendeur avant de procéder à l’achat.

Les internautes âgés entre 18 et 24 ans portent attention aux publicités en ligne (78%).

Page 24: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

MÉDIAS SOCIAUX

82,2 % internautes québécois utilisent

les médias sociaux, ce qui représente

62,7% des adultes québécois.

L’utilisation est plus forte chez les plus

jeunes.

Par contre, l’année 2013 est marquée par

une forte croissance chez les 55 à 64 ans

alors que les plus jeunes stagnent.

9% 28%

91% 73%

18 à 44 ans 45 ans et plus

Utilisation des médias sociaux en pourcentage des

internautes, comparaison 18 à 44 ans et 45 ans et

plus

Aucune activité Au moins une activité

0%

20%

40%

60%

80%

100%

18 à 24 ans 25 à 34 ans 35 à 44 ans 45 à 54 ans 55 à 64 ans 65 ans et

plus

Utilisation des médias sociaux en pourcentage des

internautes (2012-2013)

2012 2013

Cefrio, «les adultes québécois toujours très actifs sur les médias sociaux»,

volume 4, no 1, 2013

Page 25: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

MÉDIAS SOCIAUX

Contrairement au commerce

électronique, l’utilisation des médias

sociaux n’est pas influencée par le revenu

et la scolarité des individus.

80% 85% 83%

Primaire et secondaire Collégial Universitaire

Utilisation des médias sociaux en pourcentage des

internautes selon la scolarité

72% 86% 86% 80%

91% 84%

Moins de

20000$

Entre 20000

et 39999$

Entre 40000$

et 59999$

Entre 60000$

et 79999$

80000$ à

99999$

100000$ et

plus

Utilisation des médias sociaux en pourcentage des

internautes selon le revenu

Cefrio, «les adultes québécois toujours très actifs sur les médias sociaux»,

volume 4, no 1, 2013

Page 26: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

MÉDIAS SOCIAUX

Youtube et Facebook sont les plateformes

sociales les plus fréquentés au Québec en

2013.

Il est intéressant de noter que c’est également

ces deux plateformes sociales qui sont le plus

affectées par l’âge.

Linkedin est une plateforme particulière car

son utilisation est très faible chez les 18-24 ans

mais plus élevée chez les 25-44 ans. Cela

s’explique par la nature plus professionnelle de

la plateforme.

Cefrio, «les adultes québécois toujours très actifs sur les médias sociaux»,

volume 4, no 1, 2013

0%

20%

40%

60%

80%

Youtube Facebook Google + Linkedin Twitter Pinterest

Utilisation des plateformes sociales par les

internautes québécois

0%

20%

40%

60%

80%

100%

18 à 24 ans 25 à 34 ans 35 à 44 ans 45 à 54 ans 55 à 64 ans 65 ans et

plus

Utilisation des plateformes sociales par les

internautes québécois selon l'âge

Youtube Facebook Google +

Linkedin Twitter Pinterest

Page 27: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

MÉDIAS SOCIAUX

Suivre une entreprise, une marque, une

organisation ou une personnalité est une action

plus fréquente en 2013. Alors que le taux est

d’internautes québécois est de 51%, il était de

seulement 23% en 2011.

Parmi les utilisateurs des médias sociaux, environ

un sur quatre suit une marque (24%).

Au Canada, parmi les internautes qui suivent des

marques ou des entreprises sur les médias

sociaux, 55% d’entre eux suivent au moins une

marque ou entreprise du secteur de la

restauration ou du commerce de détail. Le

Canada est en 3e place derrière les États-Unis et

l’Australie.

Cefrio, «les adultes québécois toujours très actifs sur les médias sociaux»,

volume 4, no 1, 2013

VAM BELLEGHEM, Steven, Dieter THIJS, Tom DE RUYCK, «social media

around the world 2012», InSites Consulting,

http://fr.slideshare.net/InSitesConsulting/social-media-around-the-world-2012-by-

insites-consulting

0%

20%

40%

60%

80%

100%

2011 2013

Proportion d'internautes ayant suivi des

entreprises, des marques, des organisation ou des

personnalités sur les médias sociaux

Oui Non

Page 28: Résultats du sondage détail québec (2)

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MÉDIAS SOCIAUX

Lorsqu’ils suivent une marque, les attentes des consommateurs sont :

Obtenir de l’information sur les produits ;

Recevoir des promotions et participer à des concours ;

Lire des nouvelles et des événements en primeur;

Pouvoir donner leur opinion sur les produits ;

Consulter du contenu en lien avec leurs intérêts.

En résumé, les consommateurs sont à la recherche d’information et de divertissement.

Trois segments ou profil d’usager des médias sociaux :

Chasseur d’aubaines (Deal hunters)

Fidèles de marque (Brand lovers)

Accro social (Social addicts)

Ces trois groupes utilisent les médias sociaux pour des raisons différentes, mais les médias sociaux demeurent un canal important d’information et d’interaction pour les consommateurs.

Seulement trois utilisateurs des médias sociaux sur dix achètent sur ces derniers au Canada.

Pwc Canada, «Demystifying the online online», http://www.pwc.com/ca/en/retail-

consumer/multi-channel-customer-survey-canadian-perspective.jhtml, 2013

Page 29: Résultats du sondage détail québec (2)

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RÉCAPITULATIF :

MÉDIAS SOCIAUX

En 2013, 62,7% des adultes québécois utilisent les médias sociaux. Il y a donc un peu plus d’adeptes des

médias sociaux que du commerce électronique au Québec (63% VS 59%).

Alors que l’utilisation a stagné chez les 18-44 ans, les 55-64 ans ont connus une forte croissance.

Facebook et Youtube sont les plateformes les plus populaires des québécois.

Google +, Linkedin,Twitter et Pinterest sont des plateformes qui ont une bonne notoriété mais leur

utilisation est plus faible :

Linkedin est un réseau pour les professionnels et il est pertinent pour le B2B ;

Twitter est une plateforme de micro-blogage qui sert principalement à des conversations en direct.

Pinterest est une plateforme qui connait une forte croissance. Les images sont au coeur de cette plateforme puisque les

gens épinglent des images de leurs intérêts.

Parmi les internautes, environ un sur quatre d’entre eux suit une marque sur les médias sociaux.

Ces internautes sont à la recherche d’information et de divertissement.

Page 30: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

Les appareils mobiles sont des technologies relativement récentes qui ont changé le comportement des consommateurs.

Deux types d’appareils méritent particulièrement notre attention : la tablette numérique et le téléphone intelligent.

Ils sont plus compacts que les ordinateurs portables mais tout autant performants.

Particularités importantes :

Format de l’écran

À cause du format plus petit de l’écran, les sites internet très denses en information sont plus difficiles à lire.

Pour remédier à cette contrainte, de plus en plus de sites internet sont disponibles en format mobile.

Un site internet en version mobile est généralement plus léger et sa navigation est simplifiée.

Écran tactile

Afin d’obtenir un appareil plus compact, les fabricants de tablettes numériques ont remplacé le clavier par un écran tactile.

Plutôt que de recourir à une souris, les gens doivent utiliser leurs doigts pour cliquer et se déplacer sur l’écran.

Pour le clavier, des boutons apparaissent lorsque l’usager doit taper du texte puis ils sont camouflés pour maximiser l’espace sur l’écran.

Page 31: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

En 2013, 52% des adultes québécois possédaient

une tablette numérique ou un téléphone

intelligent alors que cette proportion était de

36,2% en 2012.

En 2013, 44,4% des adultes possédaient un

téléphone intelligent, soit supérieur à ceux qui

possédaient un téléphone cellulaire de base

(39,8%). Un an auparavant, les téléphones

cellulaires de bases étaient plus utilisés que les

téléphones intelligents.

En 2013, un adulte sur quatre possédait une

tablette numérique. Le taux d’utilisateur de

tablette numérique a doublé en un an.

Cefrio, «la mobilité au québec : une montée en flèche», volume 4, no 7, 2013

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

2010 2011 2012 2013

Progression du taux d'adultes québécois qui

possèdent un appareil mobile, 2010 à 2013

Téléphone cellulaire de base Téléphone intelligent

Tablette numérique

Page 32: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

La croissance des ventes d’appareils mobiles se réalise aux dépens des ordinateurs de table et portables.

Les tablettes numériques cannibalisent les ventes d’ordinateurs à usage domestique parce que son format et son poids

sont plus attrayants sans sacrifier de puissance.

En plus d’être utilisé par de plus en plus d’individus, l’utilisation des téléphones intelligents est très intense.

42% des Canadiens qui possèdent un téléphone intelligent ont leur appareil à portée de main durant 90 à 100% de leurs

journées!

Business Insider, «the future of digital : 2013»,

http://fr.slideshare.net/usefulideas/the-future-ofdigital-28234939?from_search=1,

2013

Harrisdecima, «Rogers Innovation Report : Tech Trends 2013»,

http://fr.slideshare.net/Rogers/rogers-innovation-report-tech-trends/1 , 13

décembre 2013

Page 33: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

En moyenne, 66% des adultes québécois âgés

entre 18 et 44 ans sont propriétaires d’un

téléphone intelligent.

Le taux de possession diminue très rapidement

pour les tranches d’âge suivantes.

En moyenne, 31% des adultes québécois âgés

entre 18 et 54 ans sont propriétaires d’une

tablette numérique.

Le taux de possession des tablettes intelligentes

selon l’âge est beaucoup plus stable.

68% 66% 65%

51%

23%

9% 29% 29% 33%

29% 21%

13% 0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

18-24 ans 25-34 ans 35-44 ans 45-54 ans 55-64 ans 65 ans et +

Proportion des adultes québécois qui

possède un appareil mobile selon l'âge

Téléphone intelligent Tablette numérique

31%

52% 55%

17%

25%

37%

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

Primaire et secondaire Collégial Universitaire

Proportion des adultes québécois qui

possède un appareil mobile selon le niveau

de scolarité

Téléphone intelligent Tablette numérique

Cefrio, «la mobilité au québec : une montée en flèche», volume 4, no 7, 2013

Page 34: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

Presque la totalité des propriétaires de

tablette numérique se connecte à internet

grâce à celle-ci (90%).

Pour les téléphones intelligents, c’est plutôt le

trois quart des propriétaires qui se connecte

à internet avec l’appareil (77%).

Cela démontre qu’une partie des gens qui

possèdent un téléphone intelligent ne l’utilise

pas à sa pleine capacité.

90%

77%

Tablette numérique Téléphone intelligent

Proportion d'utilisation

d'internet sur les appareils

mobile au cours du dernier

mois

Cefrio, «la mobilité au québec : une montée en flèche», volume 4, no 7, 2013

Page 35: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

38% des Québécois qui ont un téléphone

intelligent effectuent des achats en ligne.

50% des Québécois qui ont une tablette

effectuent des achats en ligne.

Les tablettes numériques sont donc plus

utilisées que les téléphones intelligents pour

le magasinage.

La taille de l’écran favorise la tablette car elle

permet de mieux voir les produits.

Cefrio, «la mobilité au québec : une montée en flèche», volume 4, no 7, 2013

50%

38%

Tablette numérique Téléphone intelligent

Proportion des adultes

québécois qui effectue des

achats sur les appareils

mobiles

Page 36: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

MOBILITÉ

80% des Québécois qui ont un téléphone

intelligent et qui utilisent internet sur cet

appareil se connecte à un ou plusieurs

réseaux sociaux. 1

73% des Québécois qui ont une tablette et

qui utilisent internet sur cet appareil se

connecte à un ou plusieurs réseaux sociaux. 1

Les téléphones intelligents sont donc plus

utilisés que les tablettes numériques pour se

connecter aux réseaux sociaux. 1

20% du trafic relié au commerce électronique

provient des appareils mobiles. 2

1Cefrio, «la mobilité au québec : une montée en flèche», volume 4, no 7, 2013 2Business Insider, «the future of digital : 2013»,

http://fr.slideshare.net/usefulideas/the-future-ofdigital-28234939?from_search=1,

2013

73% 80%

Tablette numérique Téléphone intelligent

Proportion des adultes

québécois qui se connecte à

un ou plusieurs médias

sociaux sur les appareils

mobiles

Page 37: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ

Les applications mobiles de magasinage ne sont pas tellement populaires chez les propriétaires de

téléphones intelligents. Seulement 35% des propriétaires de téléphones intelligents au Canada ont installé

au moins une application de magasinage.

À noter, les propriétaires de iPhone (48%)sont plus nombreux à utiliser ce type d’application que les

propriétaires d’appareil Android (30%).

Les applications de réseaux sociaux sont beaucoup plus populaires, 67% des propriétaires de téléphones

intelligents au Canada ont installé au moins une application de réseaux sociaux.

L’application de Facebook est utilisée par plus de la moitié des Canadiens qui possèdent un téléphone

intelligent (52%).

Harrisdecima, «Rogers Innovation Report : Tech Trends 2013»,

http://fr.slideshare.net/Rogers/rogers-innovation-report-tech-trends/1 , 13 décembre 2013

Page 38: Résultats du sondage détail québec (2)

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RÉCAPITULATIF :

MOBILITÉ

En 2013, 52% des adultes québécois possédaient une tablette numérique ou un téléphone intelligent.

Il y a désormais plus de propriétaires de téléphone intelligent que de téléphone cellulaire de base.

Les tablettes numériques sont d’avantages utilisés pour accéder à internet et pour effectuer des achats en

ligne.

Par contre, les téléphones s intelligents sont d’avantages utilisés pour accéder aux médias sociaux.

Les Québécois de 18 à 44 ans sont plus nombreux à posséder un téléphone intelligent que les 55 ans et

plus.

Pour la tablette numérique, le taux de possession est beaucoup moins sensible à l’âge.

Les téléphones intelligents ont une place particulière dans nos vies, 42% des Canadiens qui possèdent un

téléphone intelligent ont leur appareil à portée de main presque 24 heures sur 24.

En moyenne, 35% des propriétaires de téléphones intelligents ont une application de magasinage alors que

ce taux est de 67% pour les applications de réseaux sociaux.

Page 39: Résultats du sondage détail québec (2)

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LE SHOWROOMING

Le phénomène de salle de montre (le showrooming) se produit «lorsqu’un consommateur effectue un

achat sur internet suite à une visite d’un point de vente physique d’un détaillant».

Ces dernières années, ce phénomène a inquiété les détaillants, particulièrement le secteur des produits

électroniques.

Au Canada, 39% des propriétaires de téléphones intelligents avec un forfait de données utilisent leur

appareil durant le magasinage en magasin.

De ces gens, 37% ont finalement acheté le produit chez un concurrent (en ligne et physique confondu).

Le secteur des produits électroniques est particulièrement affecté, car les produits sont complexes, mais

ils sont facilement retrouvables sur internet. Les consommateurs sont ainsi tentés de se renseigner en

magasin mais d’acheter en ligne à un prix plus faible.

Le phénomène est donc bien réel, et il est important de s’y adapter pour demeurer compétitif.

Consultez la section des recommandations pour des conseils pratiques concernant ce phénomène.

SÉNÉCAL Sylvain, « Comment le showrooming affecte les détaillants et, surtout, comment s’y

adapter! », Le Détaillant, vol 14, no 1, printemps 2013

Page 40: Résultats du sondage détail québec (2)

PORTRAIT DES DÉTAILLANTS

Page 41: Résultats du sondage détail québec (2)

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SITE WEB ET COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Au Québec, trois détaillants sur quatre ont un site

web.

69% des détaillants avec moins de dix employés ont

un site web.

85% des détaillants ayant entre 10 et 24 employés

ont un site web.

95% des détaillants avec plus de 25 employés ont un

site web.

Un peu moins de la moitié de ceux-ci effectue du

commerce électronique

Un peu plus du tiers (36,3%) des entreprises de

détail au Québec ont un site web et effectue du

commerce électronique.

79%

21%

Proportion des détaillants québécois qui

s'affiche par un site internet

Oui

Non

46%

54%

Proportion des détaillants qui s'affiche par

un site internet qui effectue du commerce

électronique

Oui

NonDétail Québec, «Diagnostic sectoriel de la main-d’oeuvre du commerce de détail

au Québec, 2012-2015», Août 2012

Page 42: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

MÉDIAS SOCIAUX

Au Québec, 51% des établissements sont présents

sur au moins un réseau social.

Facebook est le plus utilisé.

L’utilisation des médias sociaux par les détaillants

est d’abord et avant tout publicitaire.

Le recrutement et la communication à l’interne

sur ces plateformes sont exploités par une

proportion moins importante de détaillants.

44%

12%

11%

6%

1%

Facebook

Twitter

Google+

Linkedin

Tumblr

Proportion des établissements présent sur

les réseaux sociaux suivants

88%

83%

71%

35%

33%

À promouvoir l'image de l'entreprise

À annoncer ses produits et services

À fiédliser la clientèle

À recruter du personnel

À communiquer avec ses employés

Proportion des établissements présents

sur au moins un média social qui réalise les

activités suivantes

Détail Québec, «Diagnostic sectoriel de la main-d’oeuvre du commerce de détail

au Québec, 2012-2015», Août 2012

Page 43: Résultats du sondage détail québec (2)

SONDAGE EN LIGNE RÉSULTATS

Page 44: Résultats du sondage détail québec (2)

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MÉTHODOLOGIE

Sondage en ligne du 3 au 18 avril 2014.

Échantillon de 1506 détaillants inscrits au bulletin d’information électronique de Détail Québec.

Cela correspond à 6,2% de la population ciblée, les 24 222 établissements de commerce de détail au Québec.

89 répondants soit un taux de réponse de 5,9%.

23 répondants n’ont pas rempli le questionnaire dans son ensemble.

Page 45: Résultats du sondage détail québec (2)

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PROFIL DES RÉPONDANTS

Sous-secteurs

nombre de

répondants %

Pièces, pneus et accessoires automobiles 0 0,0

Meubles 2 3,0

Accessoires de maison 3 4,5

Appareils électroniques 0 0,0

Matériaux et fournitures de construction 11 16,7

Alimentation spécialisée 2 3,0

Bière, vin et spiritueux 0 0,0

Produits de santé et de soins personnels 3 4,5

Stations-services 1 1,5

Vêtements 7 10,6

Chaussures 1 1,5

Bijouteries, bagages et maroquinerie 2 3,0

Articles de sport, passe-temps et instruments de musique 8 12,1

Livres, périodiques et articles de musique 6 9,1

Grands magasins 2 3,0

Autres fournitures en tout genre 0 0,0

Fournitures de bureau, papeterie et cadeaux 3 4,5

Marchandises d'occasion 0 0,0

Autres magasins de détail 15 22,7

Total 66

Page 46: Résultats du sondage détail québec (2)

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PROFIL DES RÉPONDANTS

Régions administratives

nombre de

répondants %

Abitibi-Témiscamingue 1 1,5

Bas-Saint-Laurent 1 1,5

Capitale-Nationale 8 12,1

Centre-du-Québec 0 0,0

Chaudière-Appalaches 0 0,0

Côte-Nord 1 1,5

Estrie 5 7,6

Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine 0 0,0

Lanaudière 3 4,5

Laurentides 7 10,6

Laval 2 3,0

Mauricie 4 6,1

Montérégie 11 16,7

Montréal 15 22,7

Nord-du-Québec 0 0,0

Outaouais 4 6,1

Saguenay-Lac-Saint-Jean 4 6,1

Total 66

Page 47: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

PROFIL DES RÉPONDANTS

Poste des répondants

nombre de

répondants %

Propriétaire/directeur 36 54,5

Superviseur/gérant 13 19,7

Professionnel des TI 1 1,5

Professionnel du marketing 2 3,0

Professionnel des ressources humaines 10 15,2

Autre (veuillez préciser) : 4 6,1

Total 66

Type de magasin

nombre de

répondants %

Indépendante 38 57,6

Franchisée 11 16,7

Chaîne 17 25,8

Total 66

Taille du magasin (en nombre d'employés)

nombre de

répondants %

Entre 1 et 19 employés 25 37,9

Entre 20 et 99 employés 22 33,3

Plus de 100 employés 19 28,8

Total 66

Page 48: Résultats du sondage détail québec (2)

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SITE WEB : UN INCONTOURNABLE

Presque la totalité des détaillants interrogés utilise

un site web dans le cadre de leurs activités

(92,1%).

La taille de l’entreprise influence l’utilisation d’un

site web :

100% des détaillants avec 100 employés et plus ont

un site web.

80% des détaillants ayant entre 1 et 19 employés ont

un site web. Base : tous; n : 89

92%

8%

Votre entreprise a-t-elle un site web?

Oui Non

Page 49: Résultats du sondage détail québec (2)

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SITE WEB VERSION MOBILE

Seulement un détaillant sur quatre (25%) possède

un site web version mobile.

L’écart entre les détaillants qui possèdent un site

internet(92%) et ceux qui possèdent une version

mobile (25%) est important.

Base : tous; n : 71

25%

75%

Votre entreprise dispose-t-elle d'une version mobile

de son site web, adaptée aux appareils intelligents?

Oui Non

Page 50: Résultats du sondage détail québec (2)

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L’ANALYSE D’AUDIENCE WEB

Un peu plus de la moitié des détaillants (58,4%)

analyse l’activité sur leur site web.

La taille d’une entreprise influence également la

probabilité d’analyser les données web.

48% des détaillants ayant entre 1 et 19 employés

analysent l’activité sur leur site web.

68% des détaillants avec plus de 100 employés

analysent l’activité sur leur site web.

À noter, le logiciel d’analyse d’audience web le

plus utilisé est Google Analytics et il est offert

gratuitement. Base : tous; n : 89

58%

42%

Votre entreprise analyse-t-elle l'activité sur son

site web?

Oui Non

Page 51: Résultats du sondage détail québec (2)

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LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Un peu moins de la moitié des détaillants

interrogés font du commerce électronique

(44,3%).

Il est intéressant de noter que la taille des

détaillants n’a pas d’effet sur le taux d’utilisation

du commerce électronique.

Base : tous; n : 88

44%

56%

Votre entreprise possède-t-elle un site web

transactionnel sur lequel vos clients peuvent

effectuer des achats en ligne?

Oui Non

Page 52: Résultats du sondage détail québec (2)

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RÉSERVEZ ET RAMASSEZ

Près de deux détaillants sur trois qui font du

commerce électronique offrent la possibilité de

réserver un produit en ligne et de venir le

ramasser en magasin.

Il s’agit d’une bonne nouvelle, car ce service

permet de combattre une des faiblesses du

commerce électronique, le délai de livraison.

Base : ceux qui font du commerce électronique; n : 28

64%

36%

Sur votre site web transactionnel, est-ce que votre

entreprise offre l'option de «réservez et

ramassez» les produits commandés?

Oui Non

Page 53: Résultats du sondage détail québec (2)

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VENTES EN LIGNE

En moyenne, 4,14% des ventes totales des

détaillants sont réalisées en ligne.

Ce résultat démontre la validité de ce sondage

puisque 4,5% des ventes dans le commerce de

détail sont réalisées en ligne en 2013. 1

Base : ceux qui font du commerce électronique; n : 28

0

2

4

6

8

10

0 1 2 3 5 6 10 15 20

Distribution des détaillants selon le

pourcentage des ventes totales qui sont

réalisées en ligne

1BRIGGS, Paul, «Canada ecommerce – pedal to the metal», eMarketer webinar,

http://www.emarketer.com/Webinar/Canada-EcommercePedal-Metal/4000078,

février 2014

Page 54: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

LA SATISFACTION DES DÉTAILLANTS

Seulement un détaillant sur cinq se dit satisfait ou

très satisfait des ventes réalisées en ligne.

D’après les données de ventes obtenues à la

question précédente, il est probable que les

détaillants avaient des attentes plus élevées.

0

2

4

6

8

10

12

Pas du tout

satisfait

Peu satisfait Modérément

satisfait

Satisfait Très satisfait

Distribution des détaillants selon leur

satisfaction à l'égard des ventes réalisées

en ligne

Base : ceux qui font du commerce électronique; n : 28

Page 55: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

L’INTÉRÊT DES DÉTAILLANTS

Parmi les détaillants qui n’exercent pas de

commerce électronique, près d’un détaillant sur

deux a un intérêt grand ou très grand envers le

commerce électronique.

0

2

4

6

8

10

12

Aucun intérêt Peu d'intérêt Intérêt moyen Grand intérêt Très grand

intérêt

Distribution des détaillants selon leur

intérêt envers le commerce électronique

Base : ceux qui ne font pas de commerce électronique; n : 45

Page 56: Résultats du sondage détail québec (2)

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PERCEPTION DE POTENTIEL

L’opinion envers le potentiel est un peu plus

mitigé que l’intérêt en général.

Seulement 10% des détaillants ont une opinion

très forte, soit que le potentiel est perçu

comme nul ou très fort.

Cela démontre que les détaillants sont encore

incertains à propos du commerce électronique.

0

2

4

6

8

10

12

14

16

Nul Faible Moyen Fort Très fort

Distribution des détaillants selon leur

opinion du potentiel du commerce

électronique pour générer des ventes

Base : ceux qui ne font pas de commerce électronique; n : 45

Page 57: Résultats du sondage détail québec (2)

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MISE EN PLACE ÉVENTUELLE

Deux grandes tendances sont représentées dans

le tableau suivant. 62% des détaillants ont soit

une probabilité faible ou très élevée d’implanter

un site web transactionnel d’ici les trois

prochaines années.

Pour la moitié des répondants, la probabilité est

élevée ou très élevée.

0

5

10

15

20

Nulle Faible Moyenne Élevée Très élevée

Distribution des détaillants selon la

probabilité d'implanter un site web

transactionnel d'ici les trois prochaines

années

Base : ceux qui ne font pas de commerce électronique; n : 45

Page 58: Résultats du sondage détail québec (2)

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RÉCAPITULATIF :

COMMERCE ÉLECTRONIQUE

Un peu moins de la moitié (44 %) des détaillants ont un site web transactionnel.

Pour les entreprises qui ont mis en place un site web transactionnel :

Plus de la moitié (64 %) offre l’option de «réservez et ramassez».

Le site web transactionnel génère en moyenne 4 % de leurs ventes totales.

La satisfaction de ces détaillants est généralement moyenne, voire même faible.

Pour les entreprises qui n’ont pas mis en place de site web transactionnel :

Près de la moitié de ceux-ci ont une forte probabilité d’implanter un site web transactionnel d’ici les trois prochaines

années.

L’intérêt envers le commerce électronique est généralement élevé.

Page 59: Résultats du sondage détail québec (2)

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PRÉSENCE SUR LES MÉDIAS SOCIAUX

Quatre détaillants sur cinq sont présents sur au

moins un média social dans le cadre de leur

stratégie de communication ou de marketing.

Il y a ainsi plus de détaillants sur les médias

sociaux que de détaillants qui exercent du

commerce électronique.

Base : tous; n : 73

81%

19%

Est-ce que votre entreprise est présente sur au

moins un média social dans le cadre de sa

stratégie de communication ou de marketing?

Oui Non

Page 60: Résultats du sondage détail québec (2)

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PRÉSENCE SUR LES MÉDIAS SOCIAUX

Facebook est le média social le plus utilisé avec

96% des détaillants.

En moyenne, les détaillants sont présents sur

2,9 médias sociaux. Généralement, il s’agit

d’une combinaison de Facebook et d’un autre

média social.

0

20

40

60

80

100

Distribution des médias sociaux selon le

pourcentage de détaillants qui les utilisent

Base : détaillants présents sur les médias sociaux; n : 57

Page 61: Résultats du sondage détail québec (2)

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LES ACTIVITÉS SUR LES MÉDIAS SOCIAUX

Promouvoir l’image de marque et annoncer les promotions sont les deux activités les plus réalisées sur les

médias sociaux.

La moitié des détaillants affirme utiliser les médias sociaux à des fins de recrutement.

Un détaillant sur trois utilise les médias sociaux pour faire du service à la clientèle.

0

20

40

60

80

100

Promouvoir l'image

de l'entreprise

Annoncer les

promotions et les

concours

Annoncer ses

produits

Fidéliser sa

clientèle

Recueillir l'opinion

des

consommateurs

Recruter du

personnel

Communications

personnalisées avec

la clientèle

Gestion de

plaintes/Service à la

clientèle

Communiquer avec

ses employés

Distribution des activités selon le pourcentage de détaillants qui

les réalisent sur les médias sociaux

Base : détaillants présents sur les médias sociaux; n : 57

Page 62: Résultats du sondage détail québec (2)

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RESSOURCES DÉDIÉS AUX MÉDIAS SOCIAUX

Environ deux détaillants sur cinq (38%) ont

recours à des ressources non spécialisées pour

développer leur stratégie sur les médias sociaux.

70% des détaillants ont des ressources à l’interne

pour s’occuper des médias sociaux.

Base : détaillants présents sur les médias sociaux; n : 57

19%

32%

38%

11%

Qui est en charge du développement de vos

stratégies sur les médias sociaux?

Consultants ou

entreprises externes

Personne ou groupes

spécialisés en médias

sociaux

Personne ou groupes non

spécialisés en médias

sociaux

Autre

Page 63: Résultats du sondage détail québec (2)

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RÉCAPITULATIF :

MÉDIAS SOCIAUX

80% des détaillants interrogés sont actifs sur les médias sociaux.

Pour les détaillants qui sont actifs :

Facebook est le média social le plus utilisé avec 96% des détaillants.

En moyenne les détaillants sont présents sur 2,9 médias sociaux.

Le service à la clientèle et le recrutement ne sont pas des pratiques courantes sur les médias sociaux.

Les détaillants sont généralement satisfaits de leur présence sur les médias sociaux.

La majorité des détaillants ont recours à des ressources à l’interne pour gérer l’activité.

Pour les détaillants qui ne sont pas actifs :

L’échantillon de détaillants qui ne sont pas actifs sur les médias sociaux est trop petit pour que les résultats soient

significatifs.

Page 64: Résultats du sondage détail québec (2)

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APPLICATION MOBILE

Les applications mobiles ne sont pas très

populaires auprès des détaillants au Québec.

Seulement 15% des répondants affirment avoir

une application mobile pour leur entreprise.

Base : tous; n : 68

15%

85%

Votre entreprise possède-t-elle une application

mobile?

Oui Non

Page 65: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

APPLICATION MOBILE :

PROBABILITÉ D’ICI TROIS ANS

La moitié des répondants (52%) affirment que la

probabilité qu’ils possèdent une application

mobile d’ici les trois prochaines années est nulle

ou faible.

0

5

10

15

20

25

Nulle Faible Moyenne Élevée Très élevée

Distribution des détaillants selon la

probabilité qu'il possède une application

mobile d'ici les trois prochaines années

Base : détaillants qui n’ont pas d’application mobile; n : 58

Page 66: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

RÉCAPITULATIF :

APPLICATION MOBILE

Très peu de détaillants ont une application mobile au Québec (15%).

De plus, la majorité des détaillants qui n’ont pas d’application mobile ne pensent pas en avoir une d’ici les

trois prochaines années.

Les détaillants veulent probablement attendre de voir comment évolue cette technologie.

Page 67: Résultats du sondage détail québec (2)

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LES FREINS

Base : tous; n : 66

53%

46%

36% 36%

27%

21%

15% 14% 11%

5%

Man

que d

e te

mps

Man

que d

e p

erso

nnel

com

péte

nt o

u sp

écialisé

Accè

s insu

ffisant à d

u

fiance

ment

Difficu

ltés lié

es à l'im

plan

tation

de ce

rtaines T

I

Ince

rtitude q

uan

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énéfice

s

liés à l'im

plan

tation d

e ce

rtaines

TI

Ce n

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as un b

eso

in actu

el

Difficu

ltés à id

entifie

r les

solu

tions ap

pro

prié

es

Pro

duit n

on ad

apté

à la vente

par in

tern

et

Autre

Aucu

n

Quels sont les principaux freins pour votre entreprise dans l'adoption des

technologies de l'information (commerce électronique, médias sociaux,

mobilité)

Page 68: Résultats du sondage détail québec (2)

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LES FREINS

Le manque de temps est le frein le plus important pour les entreprises du commerce de détail lorsqu’il est

question des technologies de l’information.

En fonction de la taille de l’entreprise, certains freins sont plus importants :

Freins Entre 1 et 19

employés

Entre 20 et 99

employés

Plus de 100

employés

Temps x x

Compétence (employé) x x

Coût x

Implantation x

Bénéfice (ROI) x x

Pas un besoin x x x

Identifier solution x

Produit non adapté x x x

Aucun x

Page 69: Résultats du sondage détail québec (2)

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LES SOLUTIONS

Base : tous; n : 66

49%

39% 39%

35% 33%

32%

8%

Accès à un

financement

approprié

Exemples de succès

ou de meilleurs

pratiques

Plus d'informations

sur la rentabilité de

l'investissement

Formations,

conférences et/ou

atelier sur le sujet

Accès à des

consultants

spécialisés

Trousse ou guide

d'adoption des TI

Autre

Parmi les éléments suivants, lesquels vous seraient les plus utilse pour aider votre

entreprise à améliorer son utilisation des TI?

Page 70: Résultats du sondage détail québec (2)

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LES SOLUTIONS

Accéder à financement approprié est la solution qui a été le plus mentionnée par les détaillants pour

améliorer l’utilisation des technologies de l’information.

La taille des détaillants a également influencé la préférence pour les solutions :

Assister à des formations, ateliers ou conférences sur le sujet est une solution qui est attrayante plus la taille d’un

détaillant diminue.

L’accès à du financement approprié est également une solution qui est attrayante plus la taille d’un détaillant diminue.

L’accès à un consultant spécialisé est une solution appréciée par les détaillants avec moins de 100 employés uniquement.

Les autres solutions n’ont pas de différence significative en fonction de la taille du détaillant.

Page 71: Résultats du sondage détail québec (2)

RECOMMANDATIONS

Page 72: Résultats du sondage détail québec (2)

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POSSÉDER SON PROPRE SITE INTERNET :

UN IMPÉRATIF!

En 2014, il est très important pour une entreprise du commerce de détail de posséder son propre site internet et

ce, peu importe la taille de l’entreprise.

Une très forte majorité des Québécois utilisent internet (83,8%) et ce taux est stable depuis les cinq dernières

années.

La recherche d’informations sur internet est un comportement largement adopté par les Québécois. 85% des

internautes consultent au moins une source d’information sur internet avant d’acheter un produit.

De plus, la création d’un site internet est désormais accessible grâce à des logiciels spécialisés. Ces logiciels ont une

interface très intuitive pour les gens qui désirent créer leur propre site internet sans avoir de connaissances en

programmation informatique.

Pour aussi peu que 20$ par mois, il est possible de créer un site internet et de l’héberger sur des serveurs

professionnels.

Page 73: Résultats du sondage détail québec (2)

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COMMERCE ÉLECTRONIQUE :

CANAL DE VENTES EN CROISSANCE

En 2013, un peu plus de la moitié des Québécois (59%) ont acheté au moins une fois en ligne durant

l’année.

Ils sont nombreux à acheter à l’extérieur du pays, car l’offre de produits et les prix sont plus attirants.

Le commerce électronique représente 4,5% de l’industrie du commerce de détail et cette

proportion devrait augmenter au courant des prochaines années.

Au Québec, 36,3% des détaillants ont un site internet et une boutique en ligne.

La bonne nouvelle, le marché québécois en ligne n’est pas encore à maturité et il est encore temps de se

positionner.

Page 74: Résultats du sondage détail québec (2)

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COMMERCE ÉLECTRONIQUE :

FACTEURS À CONSIDÉRER

Lorsqu’un consommateur désire acheter un produit en ligne, il est particulièrement sensible à deux variables : le prix et la

commodité.

Ensuite, les consommateurs ayant un revenu familial et une éducation élevés sont plus enclins à acheter en ligne. Les

produits de luxe ont donc un bon potentiel pour la vente en ligne (ex : les sacs à main Michael Kors).

Les catégories de produits sont également importantes, car certaines d’entre elles sont déjà bien ancrées dans les habitudes

des consommateurs. Les consommateurs québécois achètent déjà amplement les catégories de produits suivantes en ligne :

Vêtements, souliers et accessoires

Voyage, transport et forfait

Produits culturels (livres, musique, films)

Électronique

De plus, les consommateurs âgés entre 35 et 54 ans sont aussi nombreux que les jeunes à acheter en ligne mais ils

dépensent en moyenne plus d’argent. Dans cette tranche d’âge, les consommateurs ont généralement un emploi du temps

chargé, ce qui renforce la valeur de la commodité.

Page 75: Résultats du sondage détail québec (2)

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MÉDIAS SOCIAUX : UN OUTIL DE

COMMUNICATION PRIVILÉGIÉ

Au Québec, six adultes sur dix (62,7%) utilisent les médias sociaux.

Il s’agit donc d’une plateforme privilégiée pour rejoindre les consommateurs, d’autant plus qu’un utilisateur sur

quatre suit une marque.

Lorsqu’ils sont utilisés adéquatement, les médias sociaux sont une excellente source de trafic pour un site

internet. Par exemple, annoncer une promotion peut inciter certains consommateurs à chercher plus d’information

sur le produit en promotion.

Prolonger l’expérience d’achat de votre magasin sur les réseaux sociaux est une technique gagnante. Les gens

vont se reconnaître dans votre page ce qui va stimuler leur engagement.

Il est important de bien connaître vos clients et adapter vos communications pour qu’elles reflètent leurs désirs

et personnalités.

Attention!

Il faut être actif (au moins une publication par semaine).

Il faut répondre rapidement aux questions des consommateurs.

Les bonnes pratiques du service à la clientèle s’appliquent également sur les médias sociaux.

Page 76: Résultats du sondage détail québec (2)

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MÉDIAS SOCIAUX :

CHOISIR UNE PLATEFORME

Est-il nécessaire d’être actif sur tous les médias sociaux? Absolument pas.

Facebook est le média social par défaut puisqu’il est le média social le plus utilisé à travers le monde.

Encore une fois, il est important de bien connaître ses consommateurs. Certains médias sociaux rejoignent

davantage un segment de population que d’autres. Par exemple, Pinterest est fortement utilisé par les

femmes et les adeptes de mode.

Un truc simple, trouvez sur quels médias sociaux vos concurrents directs sont actifs et vous devriez avoir

un aperçu des normes de votre industrie.

N’oubliez pas, être présent sur les médias sociaux est une décision stratégique et vous devez avoir des

objectifs clairs. Créer une page Facebook simplement parce que c’est la mode ne génèrera probablement

pas de résultats intéressants.

Page 77: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ : CANAL DE COMMUNICATION EN

CROISSANCE

En 2013, 52% des adultes québécois possédaient une tablette numérique ou un téléphone intelligent alors que cette

proportion était de 36,2% en 2012.

Les téléphones intelligents sont très utilisés pour se connecter à des réseaux sociaux alors que les tablettes numériques

sont très utilisées pour effectuer des achats en ligne.

Dans les deux cas, si votre site internet n’est pas disponible en version mobile, le risque qu’un consommateur abandonne sa

recherche d’informations rapidement est élevé.

Dans notre sondage, seulement un détaillant sur quatre (25,4%) dispose d’une version mobile de leur site internet.

Pour les applications mobiles, la proportion est encore plus faible (14,7%).

Actuellement, avoir une version mobile de son site internet est un avantage compétitif puisque très peu de détaillants en

ont une.

Les logiciels de création de site internet récents sont généralement équipés d’outils pour créer une version mobile de votre

site en même temps, et ce, inclus dans le même tarif.

Page 78: Résultats du sondage détail québec (2)

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MOBILITÉ : LES APPLICATIONS

Dans le commerce de détail, les applications qui connaissent le plus de succès comportent des

fonctionnalités de fidélisation et de paiement mobile.

L’entreprise qui se démarque le plus sur le plan de la mobilité est Starbucks. Cette application permet

notamment de :

Accumuler et suivre les points de récompenses ;

Recevoir des offres personnalisées (coupons) ;

Payer les achats ;

Localiser l’établissement le plus prêt et obtenir un itinéraire.

Plus près de chez nous, Frank&Oak a développé une application pour Android et IOS qui prolonge

l’expérience de la marque sur les appareils mobiles (magazine et blogue).

Page 79: Résultats du sondage détail québec (2)

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PERSPECTIVE MULTICANAL :

L’utilisation des divers canaux présentés jusqu’à présent est nécessaire pour répondre aux exigences des consommateurs

d’aujourd’hui.

De plus, il est faux de croire que les consommateurs se limitent à un seul canal pour magasiner.

85% des internautes consultent au moins une source d’information sur internet avant d’acheter un produit.

73% des consommateurs européens affirment qu’un site internet attrayant les incite à se déplacer en magasin physique.

Au Canada, 39% des propriétaires de téléphones intelligents avec un forfait de données utilisent leur appareil durant le

magasinage en magasin.

La recherche d’informations est une activité bien ancrée dans les habitudes des consommateurs.

Recourir à plusieurs canaux diminue ainsi le risque qu’un consommateur recherche de l’information ailleurs, chez un

compétiteur en particulier.

Page 80: Résultats du sondage détail québec (2)

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SHOWROOMING : LES SOLUTIONS

L’existence du showrooming a été démontrée précédemment dans ce rapport, voici donc quelques pistes de

solution.

Produits uniques :

Quand un produit est vendu chez plusieurs détaillants, il est très facile pour un consommateur de comparer les prix.

Comparer deux produits similaires demande un effort cognitif plus élevé.

Les produits exclusifs sont moins susceptibles d’être utilisés pour du showrooming.

Adopter une approche multicanal :

En général, les consommateurs recherchent beaucoup d’information avant de procéder à un achat.

Offrir plusieurs canaux augmente les chances qu’un consommateur effectue son achat avec vous.

Politique de prix :

Une politique de bas prix est efficace pour convaincre les consommateurs qui sont sensibles au prix.

Par contre, une telle politique ne peut pas être mise en place par tous les détaillants.

Page 81: Résultats du sondage détail québec (2)

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SHOWROOMING : LES SOLUTION - SUITE

Service à la clientèle :

Un bon service à la clientèle en plus d’augmenter la satisfaction des clients, permet de déclencher le principe de réciprocité.

Le principe de réciprocité est le sentiment de redevance qu’un individu ressent lorsqu’il reçoit quelque chose (donnez, et vous recevrez).

Évidemment, ce principe n’est pas infaillible.

La spontanéité :

Lorsqu’un client semble vouloir acheter un produit ailleurs pour bénéficier d’un meilleur prix, l’argument de la spontanéité est intéressant, car il

va pouvoir prendre possession du produit dès maintenant plutôt que d’attendre après la livraison à son domicile.

Cette solution est efficace lorsque combinée avec un excellent service à la clientèle.

Système de récompense (fidélisation) :

Les systèmes de récompenses sont utilisés afin de stimuler la loyauté chez les consommateurs.

La loyauté d’un consommateur diminue sa sensibilité au prix.

Page 82: Résultats du sondage détail québec (2)

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SHOWROOMING : LES SOLUTION - SUITE

Retour en magasin et ‘’ramassez et collectez’’:

Les consommateurs apprécient acheter en ligne pour la commodité. Par contre, le retour de marchandise est parfois

compliqué chez certains détaillants.

Simplifier le retour de marchandise, en magasin ou par la poste à vos frais, est une excellente méthode pour améliorer

l’expérience d’achat de vos clients.

Offrir la possibilité d’acheter un produit en ligne et de venir le chercher en magasin est également un incitatif qui

améliore l’expérience d’achat.

Essentiellement, la création de valeur ne passe pas uniquement par des bas prix. Le service à la clientèle

et les commodités ont une valeur intrinsèque en soi.

Page 83: Résultats du sondage détail québec (2)

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SITE WEB ADAPTATIF (RESPONSIVE DESIGN)

De plus en plus d’individus naviguent sur internet à partir d’un appareil mobile.

Les sites internet classiques ne sont pas bien adaptés pour la navigation avec les doigts et avec un petit écran.

Les applications mobiles (native app) sont une bonne solution à ce problème. Par contre, le marché des applications

est très chargé et le développement d’une application mobile est coûteux.

Il existe une autre option pour simplifier la navigation à partir des appareils mobiles : les sites web adaptatifs.

Il s’agit d’une manière de programmer un site web de façon à ce que le contenu s’adapte automatiquement à la

grandeur de l’écran.

Pour mieux comprendre qu’est-ce qu’un site web adaptatif, allez sur le site web suivant et changer la taille de la

fenêtre. Vous remarquerez que le contenu se déplace par lui même. http://www.pheromone.ca/fr/

Page 84: Résultats du sondage détail québec (2)

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SITE WEB ADAPTATIF - SUITE

Quelle est la meilleure solution entre une application

mobile (native app) et un site web adaptatif

(responsive design) ?

Les deux solutions ont des forces et des faiblesses, en

voici un bref aperçu :

Un site web adaptatif permet d’économiser de l’argent

puisqu’un seul site devra être programmé et il augmente

la position dans le référencement (SEO).

Une application mobile est idéale lorsque le design est

complexe, car elles sont plus performantes.

Elles sont également plus efficaces pour gérer un volume

élevé de données et les consommateurs se sentent en

sécurité pour effectuer des transactions.

Critères Site web

adaptatif

Application

mobile

Coût x

Design complexe x

Ventes x

Augmenter le SEO x

Mise à jour

fréquente

x

Beaucoup de

données

x

Page 85: Résultats du sondage détail québec (2)

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PLACE DE MARCHÉ EN LIGNE

Une place de marché en ligne est une plateforme virtuelle qui agit en tant que tierce partie pour relier les consommateurs et les détaillants.

Les centres d’achat sont l’équivalent des places de marché en ligne pour le brique et mortier.

La place de marché en ligne la plus connue est ebay.

La force des places de marché en ligne est de regrouper sous le même toit plusieurs détaillants.

Tarif avantageux pour les livraisons ;

Référencement par moteur de recherche plus performant ;

Visibilité accrue pour vos produits grâce au trafic ;

Par contre, il faut payer un montant mensuel et/ou une commission sur les ventes pour être affiché sur une place de marché en ligne.

Les places de marché en ligne sont une option intéressante si vous voulez vendre vos produits en ligne sans devoir vous préoccupez d’attirer des consommateurs sur votre site internet.

Par contre, les consommateurs vont être fidélisés à la place de marché et non à votre magasin/marque.

Page 86: Résultats du sondage détail québec (2)

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PLACE DE MARCHÉ EN LIGNE :

EXEMPLES

eBay.ca

Shop.ca

farmersmarketonline.ca

Produits fabriqués à la main uniquement

runawaycrush.com

Spécialisé dans la mode et les accessoires

lecentredachat.ca

Place de marché en ligne pour le Québec

Ouverture bientôt

Page 87: Résultats du sondage détail québec (2)

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APPROCHE ÉTAPE PAR ÉTAPE

Implanter une nouvelle technologie dans une entreprise est un exercice exigeant qu’il ne faut pas prendre à la

légère.

Si vos objectifs sont trop hauts, il se peut que la tâche vous semble insurmontable et l’envie d’abandonner sera

élevée.

Non seulement il est possible, mais il est recommandé d’implanter une technologie étape par étape.

Pour une boutique en ligne, vous n’êtes pas obligé d’intégrer l’ensemble de vos produits dès la première semaine.

Il en va de même pour les médias sociaux. Il est préférable de développer sa présence sur un média social à la fois.

Une approche étape par étape est idéale pour acquérir de l’expérience et diminuer le risque financier d’un tel

projet.

Page 88: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

ÊTRE CRÉATIF

La créativité est une capacité très utile dans le milieu des affaires.

Dans les technologies de l’information, la créativité est également sollicitée puisque

c’est une excellente façon de créer de la valeur.

Dans le vidéo suivant, une campagne de recrutement hors de l’ordinaire est mise en

place par Heineken. https://www.youtube.com/watch?v=JXTxmtM_aPI#t=104

Cette campagne a été un franc succès pour Heineken :

Augmentation de 317% du nombre de CV reçu ;

Augmentation de 279% pour le trafic du site de ressources humaines de Heineken.

De plus, le vidéo est rapidement devenu viral et a généré 422 millions de

visionnements.

Page 89: Résultats du sondage détail québec (2)

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IMARKSCORE

Imarkscore est une initiative de imarklab, une agence spécialisée en marketing interactif et financé par la Chaire de commerce électronique RBC.

Il s’agit d’un indice de la qualité de la présence interactive.

Jusqu’à présent, trois industries ont été évaluées :

Vêtement

Produits de beauté

Restauration familiale

Le pointage est accordé selon quatre canaux évalués par des experts :

Site web

Mobile

Médias sociaux

Multicanal

Page 90: Résultats du sondage détail québec (2)

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IMARKSCORE – PRODUITS BEAUTÉS

Pour l’industrie des produits de beauté, Sephora a obtenu le meilleur score global.

Lise Watier et Fruits&Passion ont très bien performé mais l’absence du canal mobile a diminué leur score.

Bannière Score global

Yves Rocher 44

Fruits&Passion 49

Dans un Jardins 37

Sephora 74

Lise Watier 48

Incontournables :

Description détaillée des produits (fragrance,

ingrédients, caractéristiques écologiques, conseils

d’expert).

Évaluation et commentaires des consommateurs

(système de classement de produits, filtre, fiche

descriptive du consommateur).

Processus d’achat (estimation frais de livraison et

taxe, deux options de livraison).

Échantillon gratuit.

Page 91: Résultats du sondage détail québec (2)

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INCONTOURNABLES :

PRODUITS DE BEAUTÉ

Fiche descriptive

consommateur

Description

détaillée

Boutons

partage social

Page 92: Résultats du sondage détail québec (2)

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IMARKSCORE - VÊTEMENT

Comme dans l’industrie des produits de beauté, une seule bannière a recourt au canal mobile, Frank&Oak.

Pour les médias sociaux, l’activité de SSENSE est largement supérieure aux autres bannières évaluées.

Les incontournables :

Localisateur de magasins (itinéraire, heures d’ouverture, partage rapide)

Grilles des tailles (quantité d’information et facilité d’utilisation)

Personnalisation (questionnaire et compte usager)

Le partage (importation de contact rapide et rabais)

Service à la clientèle (Clavardage)

Bannière Score global

Le château 52

Frank & Oak 73

Reitmans 51

Simons 50

SSENSE 53

Page 93: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

INCONTOURNABLES :

VÊTEMENT

Personnalisation

Grille de taille

complète

Page 94: Résultats du sondage détail québec (2)

detailquebec.com

IMARKSCORE - RESTAURATION

Pour le site internet, St-Hubert a une interface très simple et riche en information alors que Boston Pizza

et Domino’s offrent plusieurs fonctionnalités pratiques.

Pour la mobilité, la navigation est facile chez St-Hubert tant disque la qualité de l’information est meilleure

chez Boston Pizza.

Pour les médias sociaux, Pizza Hut détient un grand volume d’activité, mais St-Hubert a un ratio de

commentaire positif plus élevé.

Les incontournables :

Historique des commandes ;

Personnalisation ;

Information complète sur la nutrition ;

Autre à venir.

Bannière Score global

St-Hubert 78

Scores 55

Boston pizza 72

Pizza Hut 49

Domino’s Pizza 73

Page 95: Résultats du sondage détail québec (2)

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INCONTOURNABLES :

RESTAURATION FAMILLIALE

Design épuré mais

riche en information

Personnalisation

Page 96: Résultats du sondage détail québec (2)

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TECHNOLOGIE À SURVEILLER

Paiement mobile

Le paiement mobile est une technologie qui existe depuis quelques années déjà mais son

adoption est très lente au Québec.

Beacons (low energie bluetooth)

Voir shelfbuck et thirdshelf

Réalité augmentée

Voir page suivante

Page 97: Résultats du sondage détail québec (2)

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GABOR, Matyas, «Le futur du retail»,

http://fr.slideshare.net/williamfirmeweb/confrencefuturduretailma

tyasgabor201113

Page 98: Résultats du sondage détail québec (2)