relance ou pas relance ? le choix nous appartient !, infor feb 35, 15 novembre 2012

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  • 7/30/2019 Relance ou pas relance ? Le choix nous appartient !, Infor FEB 35, 15 novembre 2012

    1/4

    C

    est lheure de vrit pour les

    ngociations budgtaires au

    sein du gouvernement fd-

    ral. Lanne prochaine, le dfi-

    cit budgtaire doit tre ramen 2,15% duPIB. Il sagit dun engagement que nousavons pris lgard de lEurope. Concrte-

    ment, ceci signifie quil faudra trouver desmesures pour quelque 3,5 milliards EUR.Nous navons dautre choix que de respec-ter cet engagement. Dune part, notre taux

    dendettement flirte avec la barre symbo-lique des 100% du PIB. Dautre part, le cotdu vieillissement, qui sannonce toujoursaussi lev, fera sentir trs prochainementses effets. Notre crdibilit, y compris auxyeux des marchs financiers, dpend durespect de notre trajectoire budgtaire.

    Toute mesure est-elle ds lors bonne prendre ? Non, bien entendu ! Un assai-nissement intelligent est plus que jamaisde rigueur. Les indicateurs conomiques

    parlent deux-mmes. Notre prospritse trouve aujourdhui toujours au niveaudil y a quatre ans. Par tte dhabitant, ellea mme baiss de 2%. La valeur ajoute

    de lindustrie se trouve toujours 8% sousle niveau davant la crise. Les fermeturesdusines et les nombreuses restructurationsqui se sont dj produites mettent lemploi

    sous pression et sapent la confiance desmnages et des entreprises. Nous devonssortir de lornire. Redonner espoir nosentrepreneurs et la population.

    Que faut-il pour cela ? Premirement, ilfaut miser pleinement sur des pouvoirspublics plus efficaces. Avec un ratio dedpenses (soit la part des dpenses pu-bliques, hors charges dintrt, dans le PIB)de prs de 47,6%, il est difficile de nier quilnexiste plus de grandes opportunits ce

    niveau. Ceci ne vaut dailleurs pas unique-ment pour les frais de fonctionnement desautorits fdrales mais aussi pour ceux

    des autres niveaux de pouvoir(les rgions et les pouvoirs lo-caux) ainsi que pour la scuritsociale. Lalternative, savoirune forte hausse des impts(songeons aux rcentes pistes

    en matire de TVA), va en effet touffertoute chance de relance. Sur ce point aus-si, les chiffres sont loquents : notre paysconnat la pression fiscale la plus leve de

    la zone euro et celle-ci pse lourdementnon seulement sur le travail (tout le mondele reconnat), mais aussi sur la consomma-tion et le capital.

    Par ailleurs, il convient de jouer pleinementla carte du renforcement de notre comp-titivit. Nous devons tre bien conscientsdu fait que le monde qui nous entourechange rapidement. Des pays comme lEs-pagne, lIrlande et la Grce sont en trainde redresser de manire acclre leur po-

    sition concurrentielle qui stait dtrioredurant la priode 2000-2007. LAllemagne,elle, profite toujours des rformes quellea menes depuis 2003. Quant la France,

    elle semble aussi avoir compris quil fautfaire quelque chose. Sil ne suivra pas lalettre toutes les recommandations formu-les dans le rapport Gallois, le gouverne-

    ment franais va quand mme donner unballon doxygne aux entreprises fran-aises hauteur de quelque 20 milliardsEUR. Et comme si tout cela ne suffisaitpas, les vritables opportunits de crois-sance se situent de plus en plus en dehorsde la zone euro : selon le FMI, lconomieindienne va dpasser cette anne celle duJapon, et en 2017, la Chine sera devenuela premire puissance conomique aumonde, damant ainsi le pion aux USA !En Belgique, nous ne pouvons plus luder

    la question de lindex. Quelle que soit lapiste choisie, si nous voulons sauvegarderde manire structurelle la comptitivit denos entreprises, une rforme du systmedindexation sera invitable, comme ce futle cas en 1982, 1985 et 1993 !

    Des pouvoirs publics plus efficaces etle renforcement de notre comptitivitdoivent constituer les deux piliers centrauxdes discussions du gouvernement fdralsur le budget et la relance. Il ny a pas detemps perdre. Il faut entrer dans le vif

    du sujet et lever les tabous qui subsistent.Relance ou pas relance ? Le choix nousappartient !

    / / Pieter Timmermans

    administrateur dlgu

    IL FAUDRA TROUVER DES MESURESPOUR QUELQUE 3,5 MILLIARDS EUR

    N 35 15 NOVEMBRE 2012 WWW.FEB.BE

    Inforfebla newsletter pour dcideurs

    03 OCTROI DE CRDIT La crise psesur le financement

    02PLAIN PACKAGINGUne menace pour le droit des

    marques !

    03 GROUPES RISQUE DFINITION Un arrt royal limite lautonomie

    des secteursHebdomadaire bureau de dpt: Gand X p4 099 59

    PINGL

    Relance ou pas relance ?

    Le choix nous appartient !

  • 7/30/2019 Relance ou pas relance ? Le choix nous appartient !, Infor FEB 35, 15 novembre 2012

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    Une menace pour le droit des marques !

    LAssociation belge pour la protection

    de la proprit industrielle (AIPPI) sest

    penche, lors dun lunch causerie, sur

    les risques qui psent sur le droit des

    marques, notamment en raison des

    projets de restrictions rglementaires

    en matire demballage. Le Parlement

    europen, linstar des mesures prisespar lAustralie, voudrait imposer le pa-quet demballage neutre ou plain packa-ging, sans aucun lment distinctif (logo,couleurs, lettrage), aux produits du ta-

    bac. Lemballage serait recouvert enti-rement de mises en garde contre les ef-fets du tabac.

    Au-del de toute prise de position enmatire de lutte antitabagisme, lembal-lage neutre pose de nombreuses ques-tions en matire juridique. Il reprsenteen effet une atteinte la substance dudroit des marques et son rle essentiel,qui est de permettre didentifier et dediffrencier des produits. Il reprsente,

    en outre, un grave prcdent : pourquoine serait-il pas galement impos pourdautres produits considrs comme n-fastes pour la sant ou lintrt gnral,comme lalcool, les fast foods ou les jeuxde hasard, ?

    PLAIN PACKAGING

    //Table ronde avec lesecrtaire dtat WatheletLe 8 novembre dernier, les membresdu groupe de travail nergie et climat

    du Conseil fdral du dveloppementdurable (CFDD) ont t reus au ca-binet du secrtaire dtat lEnviron-nement, lnergie et la Mobilit,Melchior Wathelet. Ils ont eu locca-sion dexposer leurs principaux mes-sages et priorits pour la COP 18, quidmarrera Doha la fin du mois.La FEB a plaid pour une politiqueclimatique favorable aux entrepriseset impliquant tous les pays et acteursde la socit. Vu limpact importantque peut avoir cette politique surlconomie, la FEB a demand tre

    implique dans son laboration toutmoment.

    Pieter-Jan Van Steenkiste

    [email protected]

    //Le prsident de laRpublique de Pologneen visite la FEB

    Lors de sa visite officielle en Belgique,Bronisaw Komorowski, prsident dela Rpublique de Pologne, a souhaitrencontrer les responsables de la FEBet des entrepreneurs belges intres-ss par le march polonais. Une cen-taine de reprsentants dentreprisesont donc assist, mardi soir, lallo-cution de B. Komorowski. Celui-ci anotamment vant la valeur ajoutede certains produits polonais (notam-ment, dans lagro-alimentaire, llec-tronique, le textile et le cosmtique) eta soulign les opportunits daffaireset les potentialits dinvestissementsen Pologne dans les secteurs delnergie, des TIC, de linfrastructure

    et de la construction, etc.Laurent Sempot [email protected]

    (suite p.4) >>

    ACTION FEB

    FEB La FEB considre que la protection

    de la proprit intellectuelle est trs im-

    portante. La rglementation envisage

    par le Parlement vide de son sens le droit

    des marques. Ds lors que celles-ci ne

    pourraient mme plus servir protger

    efficacement leur titulaire, les entrepri-

    ses ne seraient plus motives investir

    et dvelopper des produits nouveaux.

    La FEB souligne par ailleurs les risques

    accrus de contrefaon lis limposition

    dun emballage neutre. Il serait dsormais

    impossible de distinguer les vrais produits

    des faux, ruinant ainsi toute la politi-

    que de lutte contre la contrefaon

    mise en place ces dernires annes.

    / / Nathalie Ragheno [email protected]

    EFFORTS DE FORMATION

    Un mcanismede sanction estcontreproductif

    Chaque anne, les entreprises doi-vent, ensemble, consacrer 1,9% de

    leur cot salarial total la formation.

    partir de 2013, si elles ne le font pas,elles seront sanctionnes. Les entreprisesappartenant des secteurs nayant pasconclu de CCT ou pas atteint les objec-

    tifs au niveau sectoriel se verront infligerune amende. Une entreprise sera dispen-se de la sanction si elle prouve quelle afourni des efforts suffisants. Au cours desderniers mois, le Conseil national du tra-vail a cherch un instrument pour mesurer

    ces efforts sectoriels. Il a conclu que seulsles proxys des bilans sociaux permettentdattribuer approximativement les effortsconsentis. Mais ces proxys donnent, pardfinition, une image quelque peu diff-rente et/ou errone des efforts effective-ment consentis par les secteurs.

    FEB Dans lavis n1825 du CNT (*), la

    FEB met en garde contre les consquen-

    ces dun systme incontrlable, contraire

    aux principes de scurit juridique et

    de prvisibilit du droit pnal. Mme silintroduction dun rgime dexemption

    pour les entreprises est un lment posi-

    tif, il est regrettable que le gouvernement

    ait choisi de renforcer le contrle et les

    sanctions dans cette rforme. De ce fait, >

    Pieter Timmermans accueille BronisawKomorowski, prsident de la Rpublique

    de Pologne

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    les secteurs et les entreprises doivent lib-

    rer des moyens pour remplir les obligations

    administratives, ce qui rduit dautant les

    moyens pouvant tre affects la forma-

    tion. Plutt que dinstaurer ce mcanisme

    de sanctions, le gouvernement eut mieux

    fait dopter pour une politique encourage-ant la formation et se concentrant sur la

    manire dont les entreprises et leurs travail-

    leurs peuvent y participer.

    / / Anneleen Bettens [email protected]

    (*) Avis n1825 du CNT www.nar.be

    GROUPES RISQUE

    DFINITION

    Un arrt royal limitelautonomie des secteursLe 30 octobre dernier, le Conseil national

    du travail a rendu un avis partag (*) sur

    un projet dAR dfinissant les groupes

    risque en faveur desquels 0,05% de

    la cotisation de 0,10% doit tre rser-

    v. Il sagit des travailleurs gs, des ch-meurs de longue dure et des jeunes peuqualifis. 0,025% au minimum doit tre

    affect ces derniers. Depuis 1989, lessecteurs se sont engags fournir desefforts en faveur de groupes risquequils dfinissent eux-mmes. Ainsi,grce leur connaissance du terrain, cesgroupes salignent directement sur lesexigences de qualification et sur les pro-fessions critiques dans les secteurs. Desprojets de formation ne sont mis en placeque si lon en attend raisonnablementquils mneront du travail dans le sec-teur. Cest cette perspective dun emploi

    qui incite en effet les gens prendre part une formation. Les projets sont financsvia une cotisation patronale de 0,10%.

    FEB Lintroduction dune mesure g-

    nrale contrecarre lapproche sectoriel-

    > le, qui apporte satisfaction et permetune affectation efficace des moyens

    sectoriels. Les secteurs qui ont princi-

    palement besoin demplois hautement

    qualifis, comme les banques et la

    chimie, devront ds lors consacrer un

    budget important de longues forma-tions des groupes risque, sans relle

    opportunit demploi la cl. Les sec-

    teurs se voient imposer de plus en plus

    de tches dont les autorits ne peuvent

    sacquitter elles-mmes, comme la for-

    mation et laccompagnement du noyau

    dur de demandeurs demploi. Dans le

    cadre de la problmatique du chmage

    des jeunes, les autorits doivent antici-

    per et sengager davantage dans la lut-

    te contre les sorties de lenseignement

    sans qualification.

    / / Anneleen Bettens [email protected]

    (*) Avis n1820 du CNT www.nar.be >

    x

    La crise pse sur le financementLe suivi minutieux de loctroi de crdit par les banques aux

    entreprises dans la zone euro est lune des tches importan-

    tes de la Banque centrale europenne (BCE). Dans ce cadre,la BCE interroge deux fois par an quelque 7.500 entreprises(principalement des PME) sur leur accs au financement (*).Cette information est indispensable tant donn que les condi-tions peu attractives de loctroi de crdit gnrent dimportantsproblmes en Grce, en Espagne et au Portugal. Ainsi, le tauxde refus des demandes de crdit atteint 37% en Grce !Lenqute rvle que deux facteurs expliquent les problmesactuels du crdit. Premirement, la dtrioration de la conjonc-ture conomique. Elle affecte le chiffre daffaires desentreprises et pousse leurs cots la hausse. Lesmarges bnficiaires sont de ce fait mises sous pres-sion et la situation financire et donc la capacitde remboursement de lentreprise individuelle oumme de lensemble du secteur se dtriore. Cesfacteurs augmentent le risque pris en compte parles banques lors de lanalyse du crdit. La deuximecause des problmes actuels est la restructurationdes banques, comme le montre clairement uneautre enqute de la BCE consacre aux banques, savoir la Bank Lending Survey. Bien que la sol-vabilit de la plupart des banques de la zone eurose soit amliore, leur situation reste fragile (parti-culirement dans le Sud de lEurope). Cette fragilit,associe la situation de crise, dissuade les banques

    de prendre des risques. Il en rsulte un durcissementdes conditions de crdit.

    FEB Loctroi de crdit na cess daugmenter en Belgique. De-

    puis 2008, le volume du crdit a cr de 87,3 milliards EUR. Cest

    plus que laugmentation du montant des livrets dpargne aucours de la mme priode. Toutefois, la position financire af-

    faiblie dun nombre croissant dentreprises, rsultant de la crise

    persistante, entrave leur accs au financement. Une relance

    nergique de lconomie est donc la meilleure solution pour un

    meilleur accs un financement abordable !

    / /Stijn Rocher [email protected]

    (*) Enqute SAFE consulter via www.ecb.int

    OCTROI DE CRDIT

    Octroi de crdit aux socits non financires par lesbanques rsidentes(source : BNB)

    12014

    12

    10

    8

    6

    4

    2

    0

    -2

    -4

    115

    110

    105

    100

    9508/1202/1208/1102/1108/1002/1008/0902/0908/08

    Pourcentage de variation annuelle(chelle de gauche)

    Montant des encours en milliards EUR(chelle de droite)

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    4/4

    FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBL Rue Ravenstein 4, 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15/RdactionAnne Michiels ([email protected]) tl. 02 515 09 44 Thrse Franckx ([email protected]) tl. 02 515 09 50 /diteur responsableStefan Maes rue Ravenstein 4, 1000 Bruxelles /Publication managerStefan Maes ([email protected]) tl. 02 515 08 43 /Annexes publicitairesADeMar bvba ([email protected]) tl. 03 448 07 57/Changements dadresseFEB - Service mailing ([email protected]) tl. 02 515 09 06 fax 02 515 09 55 /CopyrightReproduction autorise moyennant mention de la source / LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte delcosystme forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestier) et est responsable dun point de vue conomique.

    CHAT EN LIGNE

    AVEC PIETER TIMMERMANS

    [#Rservez du tempsle lundi 10/12 !]

    Le lundi 10/12, vous aurez, pour la deu-xime fois, la possibilit de dbattre endirect avec Pieter Timmermans, dansle cadre de son livre Credo pour gagner.Selon les estimations des Nations

    unies, nous devrions tre 9,2 milliards

    dindividus dici 2050. Comment

    offrir prosprit et bien-tre autantdindividus tout en prservant notre pla-nte ? Sommes-nous prts, comme ci-toyens, revoir notre faon de consom-mer afin de participer une gestionplus durable des ressources ? Et quat-tend-on des entreprises : doivent-ellessengager dans ce sens et faire preuvede proactivit ? Les technologies delenvironnement sont-elles lavenir pourlEurope et notre pays ?

    Au lendemain de la Confrence inter-

    nationale sur le climat, qui sest tenue Doha, nous vous invitons partagervotre avis, votre vision des choses ou vospropositions avec Pieter Timmermans.

    Rendez-vous sur www.credopour

    gagner.be et participez la conversa-

    tion en ligne le lundi 10/12 de 12h30

    13h30.

    > BRUSSELS METROPOLITAN

    Lemploi dans lamtropole bruxelloise

    La FEB, VOKA, lUWE et BECI ont orga-

    nis ce 7 novembre le colloque annuel de

    leur ASBL commune Brussels Metropoli-

    tan (BM) (*), qui mne depuis 2008 di-

    verses actions destines stimuler lacti-

    vit conomique dans la mtropole

    constitue de Bruxelles et de son hinter-

    land conomique. Le professeur J. Ko-

    nings, de la KULeuven, y a prsent unetude relative au mismachting sur le marchdu travail de la mtropole. Il en ressort quecelle-ci comporte trois marchs de lemploidistincts, dots dun profil propre. Ungouffre sest ainsi creus entre les chiffresrecord de la Rgion bruxelloise et le taux dechmage relativement modeste de larron-dissement de Hal-Vilvorde ; le Brabant Wal-lon dtenant une position intermdiaire.Prs des deux tiers des chmeurs en mtro-pole bruxelloise sont peu qualifis et 82%dentre eux habitent la Rgion bruxelloise.

    Le march de lemploi en mtropole bruxel-loise souffre dune inadquation croissanteentre loffre et la demande, en particuliersagissant des travailleurs peu qualifis dela Rgion de Bruxelles-Capitale. Il ptit ga-lement dune inadquation considrabledans lespace : la mobilit de chercheursdemploi dune Rgion vers les emplois va-cants dans les autres Rgions laisse encore dsirer, nouveau en particulier pour lamain-duvre qualification rduite.

    //Le financementdes investissementsaujourdhui et demainLa plateforme PME du jeudi 8novembre a runi une dizaine depersonnes du monde des entre-prises, issues tant de PME que de

    grandes entreprises et de banques.Elles ont men un dbat sur l accsau financement externe pour lesentreprises non financires. Parmiles sujets abords, citons la situa-tion actuelle de lentreprise et lesattentes pour lavenir.

    Geert Vancronenburg [email protected]

    Stijn Rocher [email protected]

    //La FEB et le G1000

    La FEB a particip en tant que per-sonne ressource au G1000 afin dyprsenter la vision des employeurssur divers thmes. Comment mieuxfaire correspondre la formation desjeunes aux besoins du march delemploi ? Comment les industries/entreprises peuvent-elles y contri-buer ? Comment favoriser une meil-leure connaissance des entreprisespar les lves, et ce ds le plusjeune ge ? Le transfert de savoirsau travers du parrainage ou men-torship fut galement examin. Lesexposs des diffrents experts ontdonn lieu des dbats trs ani-ms.

    Michle Claus [email protected]

    (suite de la p.2) >>

    AGENDA FEB WWW.FEB.BE > MANIFESTATIONS & SMINAIRES

    22 NOVEMBRE 2012 XFEB, BrusselsBrussels School of Competition - EU Competition Law and Financial MarketsJoint conference of the Brussels School of Competition (BSC) and the Liege Competition and Innova-tion Institute (LCII).

    [email protected], T 02 515 08 36

    27 NOVEMBRE 2012 XFEB, BruxellesLa facturation lectronique: une opportunit saisirEn collaboration avec lAgence pour la Simplification Administrative

    [email protected], T 02 515 09 64

    29 NOVEMBRE 2012 XFEB, BruxellesActive Ageing AwardsUne co-organisation de la FEB et de Business and Society.

    www.businessandsociety.be, [email protected]

    FEB Face ces constats, BM recom-

    mande de renforcer la mobilit des

    travailleurs au sein de la mtropole,

    damliorer en priorit la formation des

    chercheurs demploi et des jeunes etde restaurer une politique qui maintient

    lattractivit de Bruxelles pour les em-

    plois forte qualification, tout en veillant

    au dveloppement de services que des

    travailleurs peu qualifis peuvent assurer

    en priphrie de ces activits forte te-

    neur cognitive.

    / / Olivier Joris [email protected]

    (*) www.brusselsmetropolitan.eu