reconnaissance de la zone À drainer - …infoterre.brgm.fr/rapports/77-sgn-436-bdp.pdfs.n.c.f. f...
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S.N.C.F. fRÉGION PARIS SUD-OUEST
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TUNNEL DE LA FAISANDERIE À VILLENEUVE-LE-ROI
11 (Val-de-Marne) ¡
RECONNAISSANCE DE LA ZONE À DRAINER
par
M . CAILLOL
avec la collaboration de Ch. FREY
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BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45018 Orléans Cedex - Tél.: (38) 63. 80.01
Service géologique régional BASSIN DE PARIS
65, rue du général-Leclerc - B.P. 34 , 77170 Brie-Comte-Robert
Tél.: (1)405.27.07
t y
77SGN436BDP Brie-Comte-Robert, septembre 1977
S.N.C.F.- REGION PARIS-SUD-OUESTTUNNEL DE LA FAISANDERIE A VILLENEUVE-LE-ROI
(Val de Marne)
RECONNAISSANCE DE LA ZONE A DRAINER
-o-o-o-o-o-o-
RESUME
A la suite de notre enquête préliminaire sur l'origine des
venues d'eau dans la partie sud du tunnel (rapport 76 SGN 305 BDP),
l'exécution de 12 sondages à l'extérieur de l'ouvrage a montré que les
niveaux perméables ont une extension limitée et sont situés à une alti-
tude plus élevée que celle qu'on envisageait au vu des documents existants.
Il paraît ainsi difficile d'envisager de forer des drains depuis
l'intérieur du tunnel.
On pourra s'orienter vers un dispositif extérieur à l'ouvrage
consistant en un puits à drains rayonnants foncés à la demande dans les
niveaux sableux et fonctionnant soit le temps de colmater les fissures
de la clé de voûte, soit en permanence, l'écoulement des eaux se faisant
alors au travers d'une conduite perçant le piédroit ouest du tunnel.
77 SGN 436 BDP
S O M M A I R E
RESUME
I. - INTRODUCTION 1
II. - RESULTATS DES TRAVAUX ENTREPRIS 2
2.1 Sondages 2
2.2 Essais 3
III. - DISPOSITIF DE RABATTEMENT 6
IV. - CONCLUSIONS 9
ANNEXES
A.l Coupes des sondages et diagraphies de radioactivité
A.2 Essais de perméabilité
PLANCHES HORS TEXTE
PI. 1 Implantation des travaux à 1/200
PI. 2 Profil géologique à l'amont du tunnel
- 1 -
I. - INTRODUCTION
Les venues d'eau dans la partie sud du tunnel de la Faisanderie
sont occasionnées par la présence de fissures dans l'ouvrage, par lesquelles
s'écoule la nappe superficielle qui règne dans les limons et sables collu-
vionnés reposant sur des marnes plastiques imperméables (Réf. rapport
B.R.G.M. 76 SGN 305 BDP).
Afin de stopper ces arrivées d'eau tout en améliorant la stabilité
de l'ouvrage, il était proposé de foncer des drains à travers le piédroit
de l'ouvrage. Toutefois* l'hétérogénéité des matériaux encaissants apparaissant
sur le profil géologique dressé lors de la réalisation du tunnel imposait de
préciser leur emplacement de manière à ce qu'ils intéressent effectivement
des matériaux perméables.
Le présent rapport présente des résultats de la reconnaissance
qui a été conduite dans ce but.
Elle a consisté en :
- l'exécution de 12 sondages à la tarière implantés pour la plupart selon
un profil amont parallèle au piédroit ouest de l'ouvrage j
- l'enregistrement de la radioactivité naturelle des terrains encaissants ;
- l'équipement des sondages en piézomètres destinés à constituer un réseau
de surveillance de la nappe j
- la réalisation d'essais de perméabilité par pompage ou injection dans les
piézomètres.
- 2 -
II. - RESULTATS DES TRAVAUX ENTREPRIS
2.1 Sondages
Douze sondages ont été réalisés à la tarière B.30 en diamètre
150 mm environ, depuis le terrain de sport qui domine le tunnel. Onze
d'entre eux ont été réalisés à l'amont ; le douzième à l'aval, en des
emplacements précisés au fur et à mesure de l'avancement des travaux en
fonction des résultats recueillis.
Les sondages ont tous été arrêtés dans les argiles vertes ou
les marnes blanches entre 8,3 et 13,2 m de profondeur à l'exception du
S1Q qui a refusé à 7,8 m sur la maçonnerie du tunnel et du S.- qui a
refusé à 13,2 m sur de gros blocs de silex.
Les coupes géologiques de ces sondages, précisées par les
diagraphies de radioactivité, ont permis de dresser le profil de la
planche 2.
Ce document reflète la différence sensible entre le profil
géologique présumé et celui effectivement mis en évidence.
Les terrains colluvionnés superficiels sont constitués en majeure
partie par des limons silteux bruns à gris, localement argileux à très
argileux ou légèrement sableux, dont l'épaisseur passe rapidement de 2,5 à
9 m, et par des intercalations discontinues de sable fin limoneux à argileux,
assez hétérogènes, d'épaisseur décimétrique à métrique.
- 3 -
Ces formations reposent sur des argiles vertes épisodiques,
doht l'épaisseur n'excède pas 3 m, ou directement sur les marnes
blanches calcareuses sous-jacentes qui constituent le substratum du
site. Il s'agit d'un matériau compact dans lequel les sondages ont ra-
pidement obtenu le refus après y avoir pénétré d'un mètre ou deux.
2.2 Essais
Les piézomètres dont ont été équipés les sondages (à l'exception
du S„ qui n'a traversé que des terrains pratiquement imperméables) sont
constitués de tubes en PVC épais, 0 50 mm environ, autour duquel a été
mis en place un massif de graviers roulés. Ils ont été développés à l'air
comprimé et à l'eau sauf les S. et S.~ °.ui s e sont avérés secs.
Compte tenu de la très faible perméabilité des matériaux,
il n'a pas été possible de réaliser d'essais représentatifs en cours
de sondages. Après leur équipement, on a procédé à des essais d'eau
qui ont pour la plupart consisté à mesurer la descente après remplis-
sage du sondage. Seul le sondage SD a permis la réalisation d'un essai
à niveaux stabilisés sous injection de débits constants.
L'interprétation de tels essais est délicate du fait qu'il
est difficile d'appréhender l'épaisseur des terrains effectivement absor-
bants. Les résultats obtenus traduisent ainsi la perméabilité moyenne
des horizons les plus perméables. Les valeurs obtenues sont cependant
homogènes et tout à fait conformes avec celles qu'on obtient dans des
formations analogues.
Le tableau ciraprès récapitule l'ensemble des résultats :
- 4 -
Sondage
VS3
S4
S5
S6
S7
S8
S9
S11
Profondeur(m)
0 / 8.3
6.1/10.1
6.1/10.1
4,3/ 8,3
5 / 9.8
8.2/10.7
7 /10.1
6.2/ 9.5
4.7/ 7
Coefficient deperméabilitéK x 10-8 m/s
2
9
15
9
200
300
2900 à 5000
1500 à 5500
1000
Nature du matériau
Limon, argile etmarne
Argile et marne
• m
Argile et silex
Limon í sableux
Sable argileux
Sable argileux
• m
En définitive, on pourra retenir les valeurs moyennes suivantes :
,-7 m/s- Limons k 10
- Sable ± argileux
- Argiles et marnes : pratiquement imperméables.
— fi5.10 m/s
La piézométrie de la nappe phréatique au moment des travaux
confirme que "1'aquifère" est très hétérogène, le niveau de l'eau ondulant
d'un piézomètre à l'autre au gré de la perméabilité locale du matériau.
On note également une dépression très nette à l'aplomb du.-"áonc|age s implanté
dans la zone des venues d'eau, ce qui est l'indice du drainage local, de la
nappe par le tunnel.
- 5 -
Deux relevés de niveaux statiques ont été réalisés, l'un après la fin
des essais de perméabilité, l'autre au début du mois de septembre.
Piézomètre-
S1 .
S3
S4
S5
S6
S7
S8
S9
S10
S11
S12
Profondeur du piézomètre
SOUS J.B SOI(m)
0.06
0.11
0.13
0,08
0,23
0.22
0.15
0.10
0.19
0,09
0,05
Profondeur de ]
13.7.77
sec à 7,8 m
4,45
4,40
3,58
4.37
8,93
3.92
4,34
5.96
6,00
sec à 10,5 m
t
L'eau sous le sol
7.9.77
sec à 7,8 m
4,86
4.91
4,96
4,60
8.92
4,45
4,62
6,13
6,15
sec à 10,5 m
II sera souhaitable de relever périodiquement le niveau de la nappe de
manière à s'assurer de l'efficacité à terme des travaux qui auront été
entrepris pour supprimer les venues d'eau dans l'ouvrage.
- 6 -
III. - DISPOSITIF DE RABATTEMENT
Le principe de rabattement de la nappe par drainage depuis des
drains latéraux forés au travers du piédroit ouest sous la naissance de la
voûte, avait été dicté par des considérations techniques et au vu du profil
géologique présumé indiquant la présence assez régulière de "sable jaune
argileux mouillé" qu'on pouvait supposer assez perméable.
Les sondages réalisés ont, en fait, mis en évidence une structure
assez différente et, en particulier, n'ont pratiquement jamais rencontré
de niveaux perméables sous la naissance de la voûte. Les niveaux sableux
ont, par ailleurs, une distribution très irrégulière et il ne s'en trouve ,
sous la clé de voûte, que dans la partie nord entre S et S. .
Ainsi, un drainage depuis l'intérieur du tunnel ne serait
éventuellement possible que ponctuellement près de la clé de voûte, ce
qui limiterait la décharge potentielle, rendant le succès de l'opération
aléatoire, et poserait des problèmes de réalisation et de collecte des
eaux au-dessus des caténaires.
En conséquence, il paraît difficile d'imaginer d'autres solutions
que celle consistant à drainer l'ouvrage depuis l'extérieur.
La réalisation d'une tranchée collectrice profonde de 8 m environ
serait difficile à réaliser et mobiliserait une superficie importante du'
terrain de sport.
La réalisation d'une batterie de puits de rabattement entraînerait
des sujétions de fonctionnement et d'encombrement, les risques de colmatage
progressif de ces ouvrages n'étant pas en outre à écarter.
- 7 -
La solution qui nous paraît la plus réaliste consisterait à foncer
Jusqu'à une douzaine de mètres de profondeur un puits duquel partirait vers
8 m de profondeur une série de drains rayonnants.
Cs puits serait réalisé à proximité de la fouille ouverte en 1976.
Le nombre et la longueur des drains devraient être précisés à l'exécution
en fonction de la nature et de la production des niveaux effectivement
traversés. On peut estimer que 6 drains de 6 m de longueur devraient suffire
à rabattre la nappe.
Les eaux ainsi recueillies dans le puits seraient ensuite soit
extraites par pompage le temps de procéder à la réfection des zones fissurées
du tunnel, soit conduites gravitairement à l'intérieur de l'ouvrage par une
conduite débouchant dans le piédroit.
L'estimation du débit d'un tel dispositif est d'autant plus délicate
que l'hétérogénéité des couches est grande tant en ce qui concerne leur répar-
tition que leurs caractéristiques hydrauliques.
De la sorte, l'application des formules théoriques fondées sur
des hypothèses simplificatrices outrancières n'a pas beaucoup de sens.
Disons que pour apprécier très grossièrement l'ordre de grandeur du débit
des drains on pourrait raisonner sur le schéma de principe suivant :
Cote
50
4746 ,
44 I-
Niveau de la nappe au repos
ho
hd
Niveau dynamique de la nappeNiveau des drains
Mur de la nappe
- 8 -
—fi
Avec : K • perméabilité des niveaux perméables = 5.10 m/s
Ra = rayon d'action du puits = 50 m
ç • longueur des drains = 6 m
rd - rayon des drains = 0,05 m
n • nombre de drains = 6
f (n) = donnée par abaque ,
l'application de la formule de Schneebeli
Ç)n « UK ÜSlLl
i_l—7—?-l + f in) — i_n r~Sin - ~
hd
conduit à Q = 0,4 mVh
Profitant des reconnaissances systématiques qui vont être entreprises dans
le tunnel pour contrôler l'état des maçonneries, on pourrait exécuter deux
forages dans les zones de sables mises en évidence à l'aplomb du S entre 7
et 10 m de profondeur et entre le SD et le S.n vers 7 à 8 m de profondeur.O TU
Des mesures continues du débit de ces forages et le contrôle de l'évolution
du niveau de la nappe dans les piézomètres existants permettront de mieux
appréhender les caractéristiques globales des formations encaissantes et
d'apprécier l'efficacité réelle du dispositif proposé.
- 9 -
IV. - CONCLUSIONS
Les sondages et essais réalisés ont mis en évidence une répartition
très hétérogène des formations géologiques à l'amont du tunnel. L'altitude
à laquelle sont situés les niveaux les plus perméables ne permettra pas de
mettre en place à l'intérieur du tunnel une batterie de drains comme cela
avait été initialement envisagé au vu de la coupe géologique schématique qui
nous avait été transmise.
On pourra s'orienter vers un dispositif, de drainage extérieur au
tunnel, consistant en un puits à drains rayonnants fonctionnant le temps
de procéder aux travaux de réfection des zones fissurées, ou recueillant en
permanence les eaux avant qu'elles ne s'écoulent par une canalisation les
conduisant à l'intérieur du tunnel.
PIEZOM. COUPE GEOLOGIQUE
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2.1
3,5
Limon brun à gris silteux
Silex enrobés de limon silteux,argileux et tourbeux
Gros silex, blocs de meulièreet sable très grossier argileux
Marne verte
Arrêt à 8,7 m de profondeur
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.Limon brun clair silteux -Passées de sable gris fin
2,4
Limon brun clair silteux -Passées de sable gris - Petitssilex - Galets de silex vers 3 mSable gris argileux entre 4,6 et5 m
6,7
7.2 Argile grise sableuse à silex7.6 Silex enrobés de limon argileux
Marne verte et silex devenantblanche a lo boae
Arrêt à 6,3 m de profondeur
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Développement àl'air et à-ul'eau
Limon si-lteux brun
1,8
Limon brun à gris, siltaux,très argileux avec nodulesd'oxyde de fer (F 0)
5,5
Argile grise sableuse
7,3776 Arpile brune sableuse à silex
Q . Marne verte
Marne blanche
Arrêt à 1G,2 m da profondeur
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Développement àl'air et à l'eau
Limon brun à gris silteux
1.7
2,5 Limon à silex
Limon brun à gris silteux avecblocs de calcaire + F 0
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Argile sableuse grise
6.26,7 Argile sableuse brune
7 3 Marne verte, silex et meulière
7.7 Arpólo sablñuse brune à silex •
8,2 Marne verte à grise
Marne blanche
Arrêt à 10,2 m de profondeur
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Limon silteux brun + F 0e
1.8
Limon très argileux brun'à passées sableuses grises +F 0e
4,3
Argile sableuse grise
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7,5 Gros silex enrobés de limon brun
Gros silex dans matrice argileus<¡_
Arrêt à 6,3 m de profondeur
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Limon silteux brun à gris
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Argile sableuse grise veinée5,1 de brun
Limon sableux brun
6,7
Silex et sable grossier dansmatrice limoneuse assez argileuse
„ Sable fin à grossier argileux bru, o
11Marne verte
Marne blanche
Arrêt à 13,2 m de profondeur
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Limon silteux brun à gris
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11 Sable brun très argileux à silex
10,7 Sable argileux
11,3 Marne verte
Marne blanche
Arrêt à 13 m de profondeur
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Remblais sablo-argileuxScories noirâtres
Sable très fin brun, argileux*".
Limon brun sableuxassez argileux
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Sable brun, argileux, pluscompact à partir de 9,2 m
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Arrêt à 11 m de profondeur
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Limon silteux brun à gris
argileux
Limon tourbeux
Limon sableux brun clairà silex
Sable argileux brun clair
g 4 Sable brun noirâtre
Sable brun
Sable brun compact trèsargileux
Marne blanche
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Limon sableux brun gris
Limon argileux et sableuxà silex
Sable brun argileux
Sable gris humidB
Arrêt à 7.8 m de profondeur(sur maçonnerie du tunnel ?)
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Limon sableux + Fe0
Sable brun clair à petitespassées argileuses
Sable argileux brun à silex
Marne verte
Marne blanche
Arrêt à 8,7 m de profondeur
Cal. 50
Y RAYCT3 V = 2m/min.
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S.N.C.F.- REGION PARIS-SUD-OUESTTUNNEL DE LA FAISANDERIE A VILLENEUVE-LE-ROI
(Val de Marne)
RECONNAISSANCE DE LA ZONE A DRAINER
-o-o-o-o-o-o-
' RESUME
A la suite de notre enquête préliminaire sur l'origine des
venues d'eau dans la partie sud du tunnel (rapport..76 SGN 305 BDP3,
l'exécution de 12 sondages à l'extérieur de l'ouvrage a montré que les
niveaux perméables ont une extension limitée et sont situés à une alti-
tude plus élevée que celle qu'on envisageait au vu des documents existants.
Il paraît ainsi difficile d'envisager de forer des drains depuis
l'intérieur du tunnel. .
On pourra s'orienter vers un dispositif extérieur à l'ouvrage
consistant en un puits à drains rayonnants foncés à la demande dans les
niveaux sableux et fonctionnant soit le temps de colmater les fissures
de la clé de voûte, soit en permanence, l'écoulement des eaux se faisant
alors au travers d'une conduite perçant le piédroit ouest du tunnel. • .
77 SGN 436 BDP
S.N.C.F.- REGION PARIS-SUD-OUESTTUNNEL DE LA FAISANDERIE A VILLENEUVE-LE-ROI
(Val de Marne)
RECONNAISSANCE DE LA ZONE A DRAINER
-o-o-o-o-o-o-
' RESUME
A la suite de notre enquête préliminaire sur l'origine des
venues d'eau dans la partie sud du tunnel (rapport 76 SGN 305 BOP),
l'exécution de 12 sondages à l'extérieur de l'ouvrage a montré que les
niveaux perméables ont une extension limitée et sont situés à une alti-
tude plus élevés que celle qu'on envisageait au vu des documents existants.
Il paraît ainsi difficile d'envisager de forer des drains depuis
l'intérieur du tunnel. . •
On pourra s'orienter vers un dispositif extérieur à l'ouvrage
consistant en un puits à drains rayonnants foncés à la demande dans les
niveaux sableux et fonctionnant soit le temps de colmater les fissures
de la clé de voûte, soit en permanence, l'écoulement des eaux se faisant
alors au travers d'une conduite perçant le piédroit ouest du tunnel.
77 SGN 436 BDP