rapport de jury 2013 - concours des inspecteurs de l'éducation

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Ministère de l’éducation nationale

Secrétariat général Direction générale des ressources humaines

Concours de recrutement des inspecteurs de l’éducation nationale

Session 2013

Rapport établi par :

Gilles PETREAULT Inspecteur général

de l’éducation nationale Président du jury

Didier MICHEL Inspecteur général

de l’éducation nationale Vice-président du jury

Page 3: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

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SOMMAIRE Introduction 5

Admissibilité

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L'épreuve 5 Les données chiffrées 6 Le bilan qualitatif et critères d’appréciation des dossiers 7 Les conseils aux candidats 9

Admission 11 Les éléments chiffrés 11 Eléments de constat général 12 Les conseils aux candidats 15 Annexes Annexe 1 Composition du jury 16 Annexe 2 Données statistiques 19

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Introduction

Le concours de recrutement des inspecteurs de l’éducation nationale (CRIEN) donne lieu, pour chaque session, à la publication d'un rapport qui a pour objet l’information des candidats sur ses exigences et ses modalités. À cet effet, on trouvera ci-après un bilan et une analyse du déroulement de chacune des deux épreuves du concours 2013, suivis de conseils aux candidats pour leur préparation. Les annexes fournissent les principales données statistiques de la session ainsi que la composition du jury.

La session 2011 du concours a inauguré la mise en œuvre des nouvelles

modalités de recrutement, définies par le décret n° 2010-42 du 12 janvier 2010 et l’arrêté du 22 juin 2010. Ce nouveau concours s’inscrit dans la politique générale de la fonction publique, adossée aux lois du 4 mai 2004 (sur la formation professionnelle tout au long de la vie) et du 2 février 2007 (sur la modernisation de la fonction publique). Le concours s’appuie désormais sur un dispositif de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle (RAEP) et vise, dans ce cadre, deux objectifs majeurs : la professionnalisation du recrutement et la valorisation de l’expérience professionnelle du candidat. Cette nouvelle logique de recrutement conduit le jury à évaluer l’ensemble des savoirs, compétences et aptitudes professionnels des candidats.

L’année 2011 était celle de la rénovation du concours de recrutement des

inspecteurs de l’Éducation nationale qui depuis n’a connu aucune modification importante et a donc trouvé une stabilité effective. Le fonctionnement satisfaisant des épreuves d’admissibilité et d’admission a montré que les candidats, comme les examinateurs, se sont bien inscrits dans ces nouvelles modalités.

Admissibilité L’épreuve

L’épreuve d’admissibilité consiste en une étude, par le jury, d’un dossier de RAEP établi par le candidat au regard du « référentiel métier ». Elle est notée de 0 à 20 et dotée d’un coefficient 2.

Le dossier à remplir par les candidats est resté très stable, seules quelques évolutions concernant la présentation par sous-dossiers et dans certains documents ont été effectuées cette année.

Rappelons que le dossier de RAEP élaboré par le candidat doit comporter les éléments suivants :

• un état des études professionnelles ou universitaires suivies en formation initiale ou continue,

• un état des autres formations suivies quel qu’en soit le domaine, • un état des activités exercées en tant que fonctionnaire,

Page 5: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

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• un état des autres fonctions exercées dans un cadre salarié ou bénévole, • une sélection des activités exercées au regard du profil recherché, avec mise

en lumière des compétences, • un rapport d’activités sur les acquis de l’expérience professionnelle au regard

du profil recherché, • enfin, la présentation de deux travaux que le candidat souhaite porter à la

connaissance du jury.

Les données chiffrées

La répartition des postes 115 postes étaient offerts au concours pour la session 2013, se répartissant comme suit : Premier degré : 75 postes (80 en 2012 et 2011) Information et Orientation : 15 postes (10 en 2012 et 11 en 2011) Enseignement technique : 15 postes (26 en 2012 et 10 en 2011) dont :

- Economie et gestion : 6 postes (6 postes en 2012 et 4 en 2011) - Sciences et techniques industrielles : 9 postes (20 en 2012 et 6 en 2011)

Enseignement général : 10 postes (9 en 2012 et 2011) - Lettres - langues vivantes : 3 postes (4 postes en 2012 et 2 en 2011) - Lettres - Histoire-géographie : 6 postes (3 postes en 2012 et 5 en 2011) - Mathématiques - Sciences physiques et chimiques : 1 poste (2 en 2012 et

2011)

Le bilan de l’admissibilité par spécialité

Spécialités Nombre de postes offerts

Nombre d’admissibles

Seuil d’admissibilité /20

Enseignement du premier degré 75 190 11,60 Information et orientation 15 38 11,00 Enseignement technique, option : économie et gestion

6 20 12,50

Enseignement technique, option : sciences et techniques industrielles, dominante arts appliqués

1 3 13,00

Enseignement technique, option sciences et techniques industrielles, dominante sciences industrielles

8 22 14,00

Enseignement général, option : lettres – langues vivantes, dominante anglais

3 6 11,00

Enseignement général, option : lettres - histoire-géographie, dominante histoire-géographie

4 9 10,00

Enseignement général, option : lettres - histoire-géographie, dominante lettres

2 5 10,00

Enseignement général, option : mathématiques - sciences physiques et chimiques

1 5 13,00

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Le bilan qualitatif

Une qualité globale des dossiers qui se confirme…

L’augmentation de la qualité globale des dossiers constatée l’année dernière se confirme en 2013. Elle s’explique par une meilleure compréhension de ce qui est demandé au concours, et sans doute aussi par un effet d’expérience pour les préparations mises en place dans de nombreuses académies. En effet, le dossier de RAEP ne constitue pas un simple dossier de candidature, mais bien un support d’une épreuve d’admissibilité destinée à départager des candidats par l’évaluation de leur parcours et de leur expérience.

Les dossiers sont donc le plus souvent sérieusement et soigneusement

renseignés et comportent les pièces demandées. Ils témoignent des efforts faits par les candidats pour faire apparaître une connaissance solide du système éducatif et les composantes de leur expérience professionnelle qui les prédisposent à exercer les responsabilités d’IEN.

…mais des insuffisances qui perdurent

Si les dossiers présentés, dans leur ensemble, répondent de façon satisfaisante aux exigences formelles, certains recèlent des incertitudes et des approximations qui ne permettent pas au jury de se prononcer objectivement sur l’adéquation du parcours et de l’expérience du candidat avec les attentes de l’institution.

Plus pénalisant, certains dossiers, malgré les conseils figurant dans le rapport de jury 2012, souffrent de défauts inacceptables au niveau de la présentation, de l’orthographe, de la syntaxe ou encore du soin et de l’écriture. On déplore encore chez certains candidats, certes minoritaires, le recours à un jargon et à des propos trop généraux, qui étalent ainsi une culture sans véritable lien avec la fonction.

On relève toujours des documents incomplets ou même absents, notamment ceux qui concernent les travaux proposés dans la dernière partie du dossier de RAEP, ainsi que des redondances entre les différentes parties du dossier.

Enfin, il est apparu que certains candidats n’avaient pas tenu compte des directives données pour la constitution du dossier, en particulier en ce qui concerne les annexes ; il est bon de rappeler que la profusion de documents, même accompagnés d’un argumentaire nuit à leur exploitation.

Une réflexion et des connaissances à améliorer

Une réflexion et des connaissances insuffisantes sont souvent constatées. Cela témoigne de la difficulté des candidats à développer une réflexion qui se situe au niveau des enjeux du système éducatif et corresponde aux attendus de la fonction d’inspecteur. C’est ainsi que beaucoup de candidats cernent mal, dans le système éducatif, les fonctions d’encadrement en les limitant trop souvent à l’accompagnement des enseignants et à leur formation.

Page 7: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

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Les rapports d’activité ont souvent un caractère très peu personnel. La réflexion y cède le pas à une sorte de discours de conformité et beaucoup d’entre eux ne font pas apparaître une véritable réflexion, de sorte que la projection dans l’exercice des fonctions d’IEN n’est pas perceptible. Ces rapports ne permettent donc pas à la commission de juger de l’intérêt réel d’une candidature.

Pour les disciplines générales, le caractère bivalent de la formation, initiale ou continue, n’est pas souvent attesté dans les dossiers. Or la première compétence d’un inspecteur est celle de l’expertise dans les disciplines de son champ de responsabilité ; c’est ainsi que par exemple les candidats titulaires d’un CAPES ne font que très rarement apparaître les éléments de leur formation qui laissent à penser qu’ils pourront assurer leur mission de pilotage et de conseil dans la ou les disciplines qui ne sont pas celles de leur formation principale.

Enfin, la connaissance du lycée professionnel et plus généralement de l’enseignement professionnel reste insuffisante.

Une structuration du dossier et une sélection des activités qui doivent servir les ambitions des candidats

L’impression qui prédomine, à la lecture de la plupart des dossiers, est une sorte d’empilement d’expériences, de juxtaposition d’actions insuffisamment problématisées et non articulées avec le projet de devenir IEN. Cela est dommageable car les jurys peuvent percevoir de réelles potentialités et compétences mais qui, faute d’être mises en valeur, ne permettent pas de savoir si le candidat est capable de les mobiliser.

Il est donc important de sélectionner avec soin les travaux proposés qui

doivent montrer un travail personnel, dépassant le cadre du métier d’enseignant et valorisant des qualités en rapport avec le métier d’IEN. C’est ainsi que le choix des expériences et des activités devrait permettre au candidat de montrer qu’il est conscient de la diversité des missions d’un inspecteur, et qu’il a réfléchi à l’adéquation de ses compétences aux caractéristiques de ce métier. De même est-il important que les raisons du choix de telle ou telle activité, ou de tel ou tel document, soient bien perceptibles, explicitées sans être présentées de façon trop sommaire.

En effet, si la présentation d’activités d’enseignement, d’animation, ou de

formation, est le reflet d’une activité professionnelle méritante et efficace, elle ne peut cependant suffire au jury pour apprécier les compétences au regard de ce qui est requis pour effectuer des missions d’évaluation, de contrôle et d’impulsion par exemple, qui constituent le cœur du métier d’inspecteur. Les commentaires apportés pour chaque activité citée ont toute leur importance puisqu’ils permettent au jury d’apprécier si le candidat perçoit bien les compétences qu’il a pu en retirer.

De même, une bonne maîtrise du métier et un investissement reconnus au

sein de l’école ou de l’établissement sont d’excellents atouts mais ne sont pas suffisants pour prétendre accéder à la fonction d’IEN ; des expériences en dehors de l’établissement sont nécessaires.

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Enfin, des activités accomplies en dehors du cadre professionnel peuvent être intéressantes dans la mesure où elles témoignent d’une prise de responsabilité, de capacités d’organisation par exemple ; le dossier se doit cependant de valoriser d’abord les activités et l’expérience professionnelles.

Une disparité de profils réunis autour d’une culture commune du métier d’inspecteur

La disparité des profils peut être un atout pour le corps des IEN. Elle ne saurait, néanmoins, conduire à minorer l’importance d’un minimum de « culture commune » propre à chaque spécialité. Il s’agit ici de trouver le juste positionnement entre une vision du métier trop macro-éducative ou au contraire trop enfermée dans les disciplines ou les spécialités.

Les conseils aux candidats

Atteindre une qualité du dossier reposant sur une articulation sans faille entre la forme et le fond

De manière générale, pour élaborer leur dossier, les candidats doivent savoir structurer leurs propos en réalisant une sélection pertinente de leurs activités au regard du profil recherché et en mettant en évidence un projet professionnel fortement mûri et cohérent par rapport à leur parcours antérieur.

Mais tout cela doit reposer sur une forme qui puisse être à la hauteur des

motivations, des arguments et de la réflexion qui nourrissent leur projet de devenir IEN.

Il est d’abord nécessaire de rappeler que la clarté, la simplicité, le style et l’orthographe des rapports d’activités font partie des éléments d’appréciation qui valorisent – ou peuvent fortement pénaliser – la candidature.

Il en est de même des efforts de synthèse qui donnent toujours une meilleure

impression qu’une accumulation de détails, de commentaires personnels, de principes louables ou d’affirmation de sa compétence, voire d’autosatisfaction, que l’on rencontre parfois. Les dossiers qui ont évité ces écueils et adopté une posture de réflexion, suffisamment distancée, avec une lucidité sur soi-même comme sur le système éducatif sont unanimement salués par les membres du jury.

Enfin, les rapports d’activités doivent avoir un caractère authentique et faire ressortir la personnalité du futur IEN.

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« Connecter » les activités et l’expérience professionnelles aux exigences de la fonction d’IEN

Il est également important que les candidats sachent retracer leur carrière de manière à faire apparaître des motivations argumentées et bien construites pour le métier d’IEN ; ils mettent ainsi en évidence la représentation qu’ils ont des missions. Toute situation au cours de laquelle ils ont démontré leur capacité à adopter une posture en adéquation avec les fonctions auxquelles ils aspirent est de ce point de vue pertinente.

Les candidats doivent aussi faire preuve de réflexivité par rapport à leur

expérience professionnelle. Il s’agit donc pour eux de sélectionner soigneusement les activités et les travaux personnels qui témoignent d’une capacité d’analyse critique et de réflexion sur leur pratique professionnelle.

Les dossiers qui mettent en évidence des capacités d’impulsion et d’animation, en particulier au niveau académique, correspondent bien aux exigences du concours ; il en est ainsi lorsque sont valorisées des activités professionnelles riches, variées et attestant d’une capacité à dynamiser une équipe, à piloter des projets pédagogiques, à faire preuve de responsabilité et d’ouverture d’esprit ainsi que d’une curiosité indispensables à un futur inspecteur.

Pour les IEN du premier degré, une connaissance globale des enjeux et du

fonctionnement du second degré est importante. Pour les IEN ET-EG, mais aussi les IEN-IO, la connaissance du lycée professionnel et de ses problématiques propres est à l’évidence nécessaire. C’est ainsi que l’on peut recommander aux candidats qui n’ont jamais exercé en lycée professionnel d’en approfondir la connaissance, de se préparer à l’exercice des fonctions auxquelles ils prétendent en complétant leur expérience par des travaux qui les amènent à se rapprocher de ce milieu professionnel, et d’en rendre compte dans leurs dossiers.

Enfin de manière très générale, sachant que beaucoup de candidats cernent

mal, dans le système éducatif, les fonctions d’encadrement en les limitant à l’inspection, à l’accompagnement des professeurs et à leur formation, on ne saurait trop leur conseiller de mûrir leur projet en se rapprochant des IEN de leur académie.

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Admission

La phase d’admission repose sur une épreuve orale qui comporte deux parties : un exposé de quinze minutes et un entretien de quarante-cinq minutes. Elle est notée de 0 à 20 et dotée d’un coefficient 4.

L’épreuve orale est déterminante dans la mesure où celle-ci correspond à un

coefficient élevé. Il n’est donc pas rare que des candidats qui étaient tout juste admissibles, soient finalement admis dans un bon rang après avoir fait un très bon oral et inversement. On ne saurait ainsi que recommander fortement aux candidats de se préparer à l’épreuve orale d'admission.

Concernant les notes obtenues par les candidats qui ont échoué, rappelons ce

que le jury écrivait déjà antérieurement : " Les notes inférieures à 10 doivent être comprises comme un signal envoyé par la commission aux candidats : leur prestation fait apparaître des insuffisances laissant planer un doute sur la qualité de la candidature. (…) Pour les candidats dont la note est supérieure ou égale à 10 et inférieure à la barre d’admission, le projet est crédible mais doit être retravaillé afin de gagner en maturité ou de permettre au candidat d’approfondir la réflexion sur les enjeux de la fonction et sur les attentes de l’institution ".

Les éléments chiffrés

Le nombre d’admis, le taux d’admis et les seuils d’admission par spécialité

Spécialités Nombre de postes offerts

Nombre d’admis Seuil d’admission /20

Enseignement du premier degré 75 75 11,87 Information et orientation 15 15 13,80 Enseignement technique, option : économie et gestion

6 6 13,17

Enseignement technique, option : sciences et techniques industrielles, dominante arts appliqués

1 1 13,00

Enseignement technique, option sciences et techniques industrielles, dominante sciences. industrielles

8 8 13,33

Enseignement général, option : lettres - langues vivantes, dominante anglais

3 3 11,83

Enseignement général, option : lettres - histoire-géographie, dominante histoire-géographie

4 4 10,00

Enseignement général, option : lettres - histoire-géographie, dominante lettres

2 2 10,33

Enseignement général, option : mathématiques - sciences physiques et chimiques

1 1 15,33

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Éléments de constat général Des candidats mieux préparés… trop préparés ?

Même s’il peut subsister une distorsion entre la qualité des dossiers de RAEP et les prestations orales, les commissions ont constaté dans leur ensemble une bonne préparation pour la majorité des candidats qui se traduit par une meilleure appropriation des exigences du concours notamment en ce qui concerne la connaissance du terrain et du contexte institutionnel. On peut dire que pratiquement tous les candidats auditionnés ont engagé une véritable réflexion même si elle n’est pas toujours aboutie.

Cela n’empêche pas de constater encore chez certains candidats un manque

de préparation de l’exposé qui les conduit ou à l’improvisation ou à une présentation allusive dénuée d’arguments susceptibles de révéler un éventuel changement de posture pour accéder à cette fonction.

À l’inverse les candidats qui ont fait l’effort de réfléchir avec sérieux à leur

présentation ont permis au jury non seulement d’apprécier certaines des compétences requises par le métier mais également d’entrer dans un échange constructif ; c’est ainsi qu’une commission souligne même « avoir eu plaisir d’auditionner des candidats globalement bien préparés à cette seconde épreuve et dont la qualité des prestations laisse penser qu’il existe un véritable vivier de candidats de valeur ».

Les moyennes obtenues à l’épreuve orale et les ratios entre le nombre de

postes et le nombre de candidats révèlent une augmentation de la sélectivité du concours qui se traduit donc globalement par un recrutement de qualité croissante.

La durée de l’épreuve d’admission est adaptée. Elle permet aux commissions

de mener à bien une investigation exigeante et approfondie et aux candidats de mettre en valeur la diversité de leur expérience ainsi que leurs qualités personnelles et professionnelles. Des thèmes importants comme le pouvoir, la loyauté, la responsabilité, ont pu ainsi être abordés avec les candidats, leur fournissant l’occasion de faire preuve de hauteur de vue et d’esprit critique.

Mais une préparation poussée à l’extrême de l’épreuve orale peut conduire à

ce que les entretiens soient marqués par la prévalence d’un discours convenu et simplificateur, et que les candidats produisent une présentation relativement académique, voire stéréotypée, faisant perdre aux propos leur caractère spontané et naturel. L’exposé de présentation donne souvent l’impression d’avoir été appris par cœur et l’effet de récitation peut être très négatif. Par ailleurs, les membres du jury peuvent rencontrer beaucoup de difficultés à amener les candidats à développer une réflexion personnelle et à prendre un peu de hauteur par rapport à leur expérience. Même si l’on peut comprendre que les candidats ne soient pas enclins à prendre des risques en sortant d’un balisage rassurant, il est important que cette épreuve puisse permettre d’apprécier pleinement l’authenticité de la motivation ainsi que la singularité de la candidature.

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Des compétences en matière de communication orale qui ne sont pas que de forme

Certes, il est nécessaire de rappeler les exigences de forme concernant l’oral : débit, gestuelle, posture, niveau de langage, marqueurs sociaux, sans oublier la présentation générale, c’est-à-dire la tenue vestimentaire et le maintien qui doivent d’être à la hauteur de ce que l’on peut attendre d’un futur cadre.

Mais plus encore, c’est la qualité de la relation avec le jury qui doit faire l’objet

de toutes les attentions de la part des candidats. Celle-ci commence dès les premiers contacts et si elle jugée souvent artificielle en début de prestation, elle peut se montrer parfois très (trop) relâchée en fin d’entretien.

Au-delà des aspects formels, les membres du jury apprécient tout

particulièrement la fluidité de la relation avec le candidat ; celle-ci se développe à partir d’un exposé bien structuré avec un discours soigné et spontané. En outre, un effort est demandé au candidat pour aller à l’essentiel, c'est-à-dire son projet professionnel, en étant synthétique et cohérent avec le contenu du dossier. Une erreur souvent relevée consiste en une paraphrase, voire une récitation pure et simple du rapport d'activités.

Les candidats concis, sans être sommaires ou vagues, qui s’engagent et prennent position, avec naturel, sincérité et précision du vocabulaire, sont très appréciés. À l’inverse, ceux qui abusent d’un langage convenu, de formules ronflantes ou simplement à la mode ou encore de citations incertaines, ne mettent pas toutes les chances de leur côté. Le jury apprécie les capacités d’argumentation, le pouvoir de conviction et d’adhésion des candidats.

Enfin, une commission fait remarquer qu’une émotivité excessive annihile

souvent la pertinence des propos, interdisant ainsi de percevoir les qualités réelles du candidat. La présence du jury peut perturber le candidat, c’est pourquoi il est important de maîtriser cette émotivité, et de gérer son stress durant toute la durée de l’entretien. Cette remarque est à rapprocher de l’importance, vue plus haut, accordée à la qualité de la préparation à l’oral.

Des contenus et des attitudes révélatrices de la capacité à exercer la fonction d’IEN

Les candidats qui réussissent démontrent une aisance naturelle faite de visions claires et d’analyses solides, qu’il ne faut pas confondre avec l’aplomb et l’impudence. À l’inverse, la versatilité de certains candidats qui se replient, voire se contredisent à la moindre opposition, réelle ou supposée, n’est pas faite pour convaincre le jury de la pertinence de leur candidature eu égard aux exigences de la fonction.

Page 13: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

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Toujours au niveau de l’attitude, certains candidats peuvent confondre la manifestation de l’autorité institutionnelle et de l’assurance intellectuelle qu’on peut attendre d’un inspecteur avec une sorte de raideur dans l’entretien qui est assurément maladroite.

Sur le fond, nous retrouvons des remarques identiques à l’épreuve

d’admissibilité notamment en ce qui concerne les candidats qui circonscrivent leur présentation à une description de leurs activités, certes en extrayant les compétences qu’ils ont acquises, mais en omettant d’en donner le sens au regard de la fonction visée. De même, les membres du jury attendent un renforcement de la dimension "expertise" dans l’exposé et l’entretien.

De nombreuses commissions déplorent chez la plupart des candidats la

qualité de la réflexion didactique et pédagogique, trop superficielle ; il suffirait selon certains de mettre en œuvre une pédagogie de projets et de diminuer le temps de parole des professeurs au profit du temps de travail autonome des élèves pour régler toutes les difficultés. La projection dans l’exercice concret des responsabilités de pilotage des disciplines et de conseil n’est ainsi guère convaincante. Finalement, si actuellement les candidats peuvent avoir une bonne connaissance de la structure et une compétence administrative réelle, l’analyse des questions d’enseignement reste assez généralement insuffisante. Enfin, pour la plupart des candidats IEN EG, de réelles faiblesses apparaissent dans la discipline qui n’est pas la dominante.

Faire fonction ne constitue pas un sésame pour réussir le concours

Il est utile de préciser que le fait d’avoir été chargé d’une mission d’IEN ou « d’aide IEN », n’est pas un passeport pour l’accès au corps. Cela peut conduire les candidats à n’appréhender la fonction que par le prisme de la situation qu’ils connaissent, sans suffisamment interroger leur positionnement au sein du système et des enjeux éducatifs. Il est cependant bon de rappeler que c’est une expérience très utile, qui peut présager de possibles compétences mais qui en aucun cas n’en atteste la réalité. De même ne peut-on pas se contenter de l’idée que l’accès aux fonctions d’inspecteur de l’éducation nationale est le couronnement naturel d’une carrière d’enseignant, même brillante.

Page 14: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

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Les conseils aux candidats

Percevoir et travailler des éléments qui peuvent être rédhibitoires

Lors des échanges, certains aspects ont paru rédhibitoires aux membres du jury comme :

- l’ignorance du système éducatif, des changements qui l’ont marqué et des réalités du métier ;

- la méconnaissance grave des textes réglementaires et des programmes alors qu’il s’agit pour ces futurs cadres d’assurer des fonctions de pilotage, d’évaluation et d’accompagnement ;

- un projet de carrière et une posture en faible adéquation avec la fonction ; - des compétences insuffisantes ou insuffisamment transférables au regard des

exigences du métier ; - des capacités d’analyse et de réflexion incompatibles avec des missions

d’encadrement pédagogique ; - une insuffisance de préparation de l’épreuve.

Allier motivation, connaissance, compétence et projection dans la fonction

À l’inverse, les jurys apprécient particulièrement des entretiens sobres et constructifs, au cours desquels les candidats révèlent un enthousiasme tempéré par une nécessaire rigueur et une réelle capacité de réflexion ; autant de qualités et de compétences qui caractérisent le métier d’inspecteur. Plus spécifiquement, quelques conseils peuvent être donnés :

- privilégier l’expression de motivations personnelles et authentiques à celles à

caractère plus institutionnel ; - démontrer une capacité à se projeter dans la fonction d’IEN ; - prendre effectivement en compte les questions posées par le jury ; - analyser le fonctionnement des EPLE et de la chaîne hiérarchique ; - s’intéresser aux problématiques de la voie professionnelle et plus

généralement à celles du système éducatif dans son ensemble ; - développer par sa présence une relation fluide et de qualité avec le jury.

Page 15: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

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ANNEXE 1  

Composition du jury – session 2013 Président : M. PETREAULT Gilles, inspecteur général de l’éducation nationale

Vice-président : M. MICHEL Didier, inspecteur général de l’éducation nationale

Membres :

Mme AGBO SONAN Anne-Sophie, inspectrice de l’éducation nationale

M. ATTAL Marco, inspecteur d’académie-inspecteur pédagogique régional

Mme AUPAIX Rita, inspectrice de l’enseignement fondamental en Belgique

M. AUVERLOT Daniel, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme BALLEREAU Anne, sous-préfète

M. BELLIER Jean-Pierre, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme BENOIT-MERVANT Catherine, directrice académique des services de l’éducation nationale

M. BERGMANN Claude, inspecteur général de l’éducation nationale

M. BILLIET Jean-Claude, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme BIROU Béatrice, inspectrice de l’éducation nationale

M. BOULAY François, directeur général adjoint éducation, culture, jeunesse et sport dans un Conseil régional

Mme BOURGUIGNON Marie-Laure, inspectrice de l’éducation nationale

Mme BOUYSSE Viviane, inspectrice générale de l’éducation nationale

M. BRUCHET Pierre, directeur de marketing

Mme BUSSIERE Anne, attachée territoriale, responsable finance

Mme CARAGLIO Martine, inspectrice générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche

Mme CARPENTIER Claude, inspectrice d’académie-inspectrice pédagogique régionale

M. CHUDEAU Roger, inspecteur général de l’éducation nationale

M. CLAUS Philippe, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme COHEN-BACRIE Any, inspectrice de l’éducation nationale

M. CRISTOFARI Yves, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme DECONINCK Martine, inspectrice de l’éducation nationale

M. DELAUBIER Jean-Pierre, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme DENEUVILLE SLOMINSKI Francine, inspectrice de l’éducation nationale

Mme DESBUISSONS Ghislaine, inspectrice générale de l’éducation nationale

Mme DESCARPENTRIES Hélène, inspectrice de l’éducation nationale

M. DODE Jean-Louis, inspecteur de l’éducation nationale

Mme DREYER Nicole, adjointe au maire chargée de la petite enfance, de l’action éducative et de la vie scolaire

Mme DRU Isabelle, inspectrice d’académie-inspectrice pédagogique régionale

M. DURPAIRE Jean-Louis, inspecteur général de l’éducation nationale

M. FONTA Jean-Claude, inspecteur général de l’administration

M. FRIEH René, adjoint au maire chargé du développement durable et de la politique de ville

M. GAILLARD Jean-Paul, inspectrice de l’éducation nationale

M. HOUCHOT Alain, inspecteur général de l’éducation nationale

M. JARDIN Pascal, inspecteur général de l’éducation nationale

M. JELLAB Aziz, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme LAGADEC Brigitte, inspectrice de l’éducation nationale

M. LEBEAUME Joël, professeur d’université, doyen de faculté sciences humaines et sociales

Mme LELEU-GALLAND Eve, inspectrice de l’éducation nationale

Mme LELOUP Marie-Hélène, directrice académique des services de l’éducation nationale

Mme LENGLET Christèle, inspectrice de l’éducation nationale

M. LOARER Christian, inspecteur général de l’éducation nationale

Mme MARTINETTI Françoise, inspectrice de l’éducation nationale

Page 16: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Mme MAS

Mme MAZ

Mme MEG

Mme MEZ

M. MISMA

Mme MON

Mme MON

Mme PRIG

M. RAGE M

M. RAUCY

M. RINGA

Mme ROH

M. SCHMI

Mme SEC

Mme TEM

M. THOLL

M. TISSER

M. TOUPR

M. ULMAN

M. VINARD

M. WALLO

M. WERM

M. YEZNIK

SSART Claudine

ZZONI Claude, d

GARD Marie, ins

ZERAY Isabelle,

ACQUE Laurent

NMARON Véron

NTI Françoise, in

GENT Lorène, c

Michel, inspecte

Y Paul, inspecte

RD-FLAMENT

HEE COBO Mar

TT Jean-Miche

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PEZ Pascale, in

ON Frédéric, in

RANT Stéphane

RY Denis, direct

NN Patrick, cons

D Pierre, inspec

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UTH Jacques, d

KIAN Olivier, pré

e, inspectrice de

directrice territor

spectrice généra

inspectrice de

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nique, inspectric

nspectrice géné

consultante en d

eur général de l

eur général de l’

Jean-Charles, i

ie-Françoise, in

l, inspecteur gé

nspectrice de l’é

nspectrice de l’é

nspecteur génér

e, directeur emp

teur académiqu

sultant en recrut

cteur général de

ecteur de l’éduca

délégué nationa

ésident de cham

e l’éducation na

riale

ale de l’éducatio

l’éducation nati

onal au sein d’un

ce de l’éducation

érale de l’admin

développement

’éducation natio

éducation natio

nspecteur géné

nspectrice de l’é

néral de l’éduca

éducation natio

éducation nation

ral de l’éducatio

ploi, carrière dan

e des services d

tement

e l’éducation na

ation nationale

al de la Fédérat

mbre de cour ad

Femmes47,06%

Répartiti

17

tionale

on nationale

onale

ne société

n nationale

istration de l’éd

des systèmes é

onale

onale

éral de l’adminis

éducation nation

ation nationale

nale

nale

n nationale

ns une société

de l’éducation n

tionale

ion française du

dministrative d’a

on hommes

ucation nationa

éducatifs

stration de l’éduc

nale

nationale

u bâtiment pour

appel

Hommes52,97%

s/femmes

ale et de la reche

cation nationale

l’enseignement

s

erche

e et de la recher

t supérieur

rche

Page 17: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Origin

IGEN

32,35%

Personnalités

extérieures

25,00%

ne professio

18

DASEN

4,41%

%

onelle des

N

% IA-IPR

4,41%

IE

29,4

membres

R

%

EN

41%

IGAENR

4,41%

du jury

Page 18: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

19

ANNEXE 2 

Données statistiques du concours de recrutement des inspecteurs de l’éducation nationale – session 2013 

A – LES DONNEES QUANTITATIVES Le bilan de la session 2013

Postes Inscrits Admissibles Admis Taux de réussite

Taux de rendement

115 943 298 115 12,20% 100% Pour mémoire : résultats de la session 2012

Postes Inscrits Admissibles Admis Taux de réussite

Taux de rendement

125 1028 301 124 12,60% 99,20%

Le graphique ci-dessus est établi depuis la session 1991, année de la mise en application du décret statutaire des inspecteurs de l'éducation nationale.

0100200300400500600700800900

1000110012001300140015001600

Postes Inscrits

Page 19: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Donnée

Taux d

Spéc

1er d

Information

E.T. Econom

E.T. STI Dappl

E.T. STI Indus

Sous-total Etech

EG-Lettrevivantes Do

EG Lettregéographie D

géog

EG Lettregéographie

EG Mathémphysiques e

Sous-total Egén

Total

0

200

400

600

800

1000

1200

1400

1600

es essentie

e réussite

cialités

degré

et orientation

mie et gestion

Dom : Arts iqués

Dom : Sc. strielles

Enseignement nique

es Langues om : Anglais

es Histoire-Dom : Histoire-raphie

es Histoire-Dom : Lettres

matiques Sc. et chimiques

Enseignement néral

2009

Evolution

elles sur le

par spécia

Nombre de postes

Nd

75

15

6

1

8

15

3

4

2

1

10

115

201

sur les 5 deinsp

es 4 derniè

alité

Nombre d'inscrits ins

625

56

72

8

96

176

16

21

21

28

86

943

0 20

ernières annpecteurs de

20

ères sessio

Ratio crits/postes

8,3

3,7

12,0

8,0

12,0

11,7

5,3

5,3

10,5

28,0

8,6

8,2

011

nées du conl'éducation

ons :

Admissibles

190

38

20

3

22

45

6

9

5

5

25

298

2012

ncours de renationale

Ratios admissibles/Po

2,5

2,5

3,3

3,0

2,8

3,0

2,0

2,3

2,5

5,0

2,5

2,6

2013

ecrutement

ostes Admis

75

15

6

1

8

15

3

4

2

1

10

115

des

Pos

Insc

Adm

Adm

Taux de réussite(adm

inscrits)

12,0%

26,8%

8,3%

12,5%

8,3%

8,5%

18,8%

19,0%

9,5%

3,6%

11,6%

12,2%

tes

crits

missibles

mis

mis/

Page 20: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

B – LE Toutes leinscriptio La répa

En 2013précéde

ENS

E

INFOR

ENSEIG

E PROFIL D

es données on et sont do

artition ho

3, la répartitiontes. En 201

0,0%

10,0%

20,0%

30,0%

40,0%

50,0%

60,0%

SEIGNEMENT

ENSEIGNEMEN

RMATION ET OR

GNEMENT DU

R

DES CAND

étudiées danonc déclarativ

ommes-fe

on hommes-f12, les femm

Inscrits

48,5%51

Répartit

0%

TECHNIQUE

NT GENERAL

RIENTATION

1ER DEGRE

Répartition h

DIDATS

ns cette rubrves.

mmes

femmes parmes représent

Admi

48,01,5%

tion homme

% 20%

hommes-fem

Femmes

21

ique sont ren

mi les admis taient 56% d

ssibles

0%

52,0%

es-femmes p

% 40%

27%

20%

mmes des a

Hommes

nseignées pa

s’est inversées lauréats e

Admis

57,4%

42

pour la sess

% 60%

50%

6

50%

40%

admis par sp

ar les candid

ée par rappoet les homme

2,6%

sion 2013

80%

80

60%

73%

pécialité

dats lors de le

ort aux sessioes 44%.

Hommes

Femmes

0%

eur

ons

Page 21: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Le taux dorientatio L’âge d

InscAdmis

Ad La moye

Comme candidat

0

5

10

15

20

25

30

de réussite don (21% en 2

des candiM

crits 4ssibles 4mis 4

enne d’âge d

les années pts (52% des

0,0%

5,0%

0,0%

5,0%

0,0%

5,0%

0,0%

ENSEDU 1E

16,7

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

moins30 a

des femmes 2012).

dats Moyenne

d'âge C

46,1 ans 46,3 ans 44,5 ans

es admis es

précédentesinscrits et 58

EIGNEMENT ER DEGRE E

7%

2

8,5%

Taux d

de ans

31-35 ans

a baissé dan

Candidat le plus jeune

29 ans 32 ans 32 ans

t sensibleme

, la tranche d8% des admi

INFORMATIONT ORIENTATIO

22,2%

28,9%

de réussite h

Ho

36-40 ans

41a

Répartition

22

ns toutes les

Candidat leplus âgé61 ans 61 ans 57 ans

ent identique

d’âge 41-50 is).

N ON

ENSEIGNEGENER

11,6%

%

hommes-fem

ommes Fe

-45 ans

46-50ans

n par âge de

spécialités h

e

à celle de la

ans est celle

EMENT RAL

ENSETEC

9,5%11,6%

mmes par sp

emmes

0 51-55 ans

5e

es candidats

hormis en Inf

a session pré

es qui compo

IGNEMENT CHNIQUE

%6,0%

pécialité

56 ans et plus

s

formation et

écédente (44

orte le plus d

TOTAL

14,4%

10,1%

Inscrits

Admissible

Admis

4,2 ans).

e

%

es

Page 22: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

Enseigneme1er deg

31‐35 an

18%

ent du ré

Infoor

Tra

ns 36‐40 ans

15%

rmation et ientation

anches d'âg

41‐45 ans

13%

Taux de réu

23

Enseignemegénéral

ge des admi

46‐50 ans 5

14%

ussite par tr

ent Enseitec

s par spécia

1‐55 ans 56

7%

ranche d'âge

ignement chnique

alité

6 ans et plus

Tauréuglo

6%

1

e

31-35

36-40

41-45

46-50

51-55

56 an

ux de ssite obal

12%

5 ans

0 ans

5 ans

0 ans

5 ans

s et plus

Page 23: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Le nom Toutes leinscriptio

51% des42% par

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

pa

mbre de pa

es données on et sont do

s inscrits se prmi les admis

%

%

%

%

%

%

%

1ère participat

Répart

1ère rticipation pa

10%

articipatio

étudiées danonc déclarativ

présentent as (44% en 20

tion2èm

particip

ition des ca

2ème articipation pa

12%

Taux

ons des ca

ns cette rubrves.

u concours p012).

me pation

3èpartic

andidats parrecr

Inscrits

3ème articipation p

16%

de réussite

24

andidats a

ique sont ren

pour la 1ère

ème cipation par

r nombre derutement de

Admissible

4ème articipation p

22%

par nombre

au concou

nseignées pa

fois (49% en

4ème rticipation p

e participatios IEN

es Admis

5ème participation p

17%

e de particip

urs IEN

ar les candid

n 2012 et 57%

5ème participation

ons au conc

6ème participation et au-delà

0%

pation

dats lors de le

% en 2011).

6ème participationet au-delà

cours de

Taux de réussite global

12%

eur

Ils sont

n

Page 24: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Répartit

tion par tran

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

70,00%

31-35 a

10,2%

moins de 30 ans

0,2% 0,1

nche d’âge

2010

Pourcentage1ère fois -

ans 36-40 a

% 12,2%

7,0%

1

A

31-35 ans

6,8%

%

4,7%

In

2011

e des candid- comparaiso

ans 41-45

%

30,6%

19,1%

Admis - 1ère

36-40 ans

17,4%

27

%

15,4

scrits -1ère p

25

2012

ats se présenon sessions 2

ans 46-50

% 32,7%

26,1%

Admis

participation

41-45 ans 4

7,2%

%

24,6%

Inscrits

participation

2013

ntant au conc2010, 2011, 20

ans 51-55

%

8,2%

32,2%

Total A

46-50 ans 5

24,5%27,5%

Total in

cours pour la012 et 2013

Ins

Ad

Ad

5 ans 56 anplu

% 6,1%

13,0%

Admis

51-55 ans 56

18,0%

5

%

22,1%

nscrits

a

scrits

dmissibles

dmis

nset us

%2,6%

6 ans et plus

5,8%

%

5,7%

Page 25: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Niveau

Les titulaà la moy

u de diplôm

aires d’un dipyenne.

0,0%

5,0%

10,0%

15,0%

20,0%

25,0%

30,0%

0%

5%

10%

15%

20%

25%

me des ca

plôme de niv

Représent

0% 0% 0

andidats

veau licence

tativité des d

In

0% 0% 0%

Taux de

26

et master on

diplômes au

nscrits Adm

7%

0%

13%

réussite pa

nt globaleme

ux différents

missibles Ad

%

23%

15%1

ar diplôme

ent un taux d

s stades du

dmis

5%14%

20%

de réussite su

concours

%

0%

10%12

upérieur

2%

Page 26: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Un regro Classif

IN

BA

BA

LIC

MA

DO

ADMIS

IN

oupement pa

fication de

NFRA-BAC

AC

AC + 2

CENCE

ASTER

OCTORAT

0,0%

ADMIS

SSIBLES

NSCRITS

ar niveau de

es diplôm

T

% 20,0

diplôme perm

es

BEPBEPCCAPDiplôSansBAC BAC BreveBreveDiplôDEUGDiplôLicenDiplôMaîtrMasteDEA DiplôDiplô

Docto

% 40,0

27

met de mieux

C Brevet d

me homolo Diplômegénéral techno/proet professioet de technme homoloG BTS DUme homolo

nce me homolo

rise er DESS me d'ingénme homolo

orat

0% 60,0

x appréhend

es Collège

ogué au ni

ofessionneonnel nicien ogué au niT ogué au ni

ogué au ni

nieur ogué au ni

0% 80,0

der le niveau

es

iveau V

el

iveau IV

iveau III

iveau II

iveau I

0% 100,0

des candida

0%

ats.

INFRA-BAC

BAC

BAC+2

LICENCE

MASTER

DOCTORA

C

AT

Page 27: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Pour cet Le cor

65%

75%

85%

95%

tte session, 9

ps d’origi

%

%

%

%

20

Repré

92% des adm

ne des ca

010

ésentativité

Enseignanpremier de

52%

Personneld'information

d'orientatio1%

Corps d

mis ont un di

andidats

2011

é des diplô

Inscrits

nt du egré

s n et on

Personnde direct

4%

d'origine des recr

28

plôme au mo

ômes égaux

Admissible

nels tion

Personned'éducati

2%

candidats insrutement des

oins égal à la

2012

x ou supér

es Admis

Enseisecon

4

els ion

scrits au cons IEN

a licence (82

20

rieurs à la l

ignant du nd degré41%

ncours de

% en 2012).

013

icence

Page 28: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Parmi leexclusivecertifiés Les CPE

s lauréats enement admiscomptent de

E ont été adm

Persond'informa

d'orienta1%

Persd'infor

d'orie

C

nseignants ds dans les spes lauréats dmis dans la s

Enseignanpremier de

52%

nels ation et ation

%

Persondirec

9

Corps d'or

Enseignpremie

54

sonnels rmation et entation1%

Persd

Corps d'origin

du second depécialités ensans toutes le

spécialité Info

nt du egré

nnels de ction%

Ped'é

rigine des carecr

nant du r degré

4%

sonnels de irection

8%

Pd

ne des lauréa

29

egré, 50% soseignement tes spécialitésormation et o

ersonnels éducation

1%

andidats admrutement des

Personnels d'éducation

2%

ats du concou

ont PLP et 50technique et s. orientation.

Enseignasecond d

37%

issibles au cos IEN

Enseignsecond

35%

urs de recrut

0% certifiés. général. En

nt du egré

oncours de

nant du degré

%

tement des IE

Les PLP ontrevanche, le

EN

t été es

Page 29: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Corps d’

0%

10%

20%

30%

40%

50%

60%

70%

80%

90%

0%

5%

10%

15%

20%

25%

30%

35%

40%

0

10

20

30

40

50

60

70

80

’origine par s

Inscrits

%

%

%

%

%

%

%

%

%

Inscr

0%

0%

0%

0%

0%

0%

0%

0%

0%

Ins

spécialité :

Adm

rits Ad

crits A

E

issibles

Enseignem

missibles

Inform

Admissibles

Enseigneme

30

Admis

ment du 1er

Admis

ation et orie

Adm

ent techniqu

degré

entation

mis

ue et généra

Enseignant d

Enseignant d

Personnels d

Personnels dd'information

Enseignant du

Enseignant du

Conseiller d'orie

Directeur de CI

Personnels de

Personnels d'éd

al

Agrégé

Certifié

PLP

Personnels

Enseignan

du second degré

du premier degré

de direction

d'éducation, et d'orientation

second degré

premier degré

entation-psycho

IO

direction

ducation

s de direction

nt du premier de

é

é

ologue

egré

Page 30: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Candid

InscritsAdmissib

Admis

0,00%10,00%20,00%30,00%40,00%50,00%60,00%70,00%80,00%90,00%

dats faisan

Total dcandida

s 943 les 298

115

0,00%

5,00%

10,00%

15,00%

20,00%

25,00%

30,00%

35,00%

40,00%

45,00%

%%%%%%%%%%

Admis 200

Ta

nt fonctio

des ats

Candidfaisa

foncti1207330

2008 2

Proportio

07 Admis 20

aux de réussite

Enseigne

Enseigne

n d’IEN

dats ant ion

Sess20

0 12,73 24,50 26,0

2009 2010

on de faisant fo

008 Admis 20

e des candidat

ment du 1er d

ment général

31

sion 13

Ra20

73% 12,50% 25,09% 24,

0 2011 2

onction pour le

009 Admis 2

s faisant fonct

degré

appel 012

Ra2

94% 1358% 2519% 31

2012 2013

es sessions 20

2010 Admis 2

tion, par spécia

Informa

Enseign

appel 2011

R

3,94% 15,66% 21,82% 2

3

008 à 2013

Ins

Ad

Ad

2011 Admis

alité, depuis 20

ation et orienta

ement techniq

Rappel 2010

1,81% 22,10% 225,19% 4

crits

dmissibles

dmis

2012 Admis

007

ation

ue

Rappel 2009

17,18% 28,83% 44,31%

s 2013

Page 31: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

32

Origine géographique des candidats

ACADEMIES INSCRITS ADMISSIBLES ADMIS Pourcentage d'inscrits

Pourcentage d'admissibles

Pourcentage d'admis

Taux de réussite

académique 2013

AIX-MARSEILLE 44 12 5 4,67% 4,03% 4,35% 11,36%

AMIENS 28 10 3 2,97% 3,36% 2,61% 10,71%

BESANCON 9 4 2 0,95% 1,34% 1,74% 22,22%

BORDEAUX 28 16 7 2,97% 5,37% 6,09% 25,00%

CAEN 22 6 0 2,33% 2,01% 0,00% 0,00%

CLERMONT-FERRAND 14 6 3 1,48% 2,01% 2,61% 21,43%

CORSE 2 0 0 0,21% 0,00% 0,00% 0,00%

CRETEIL 64 18 6 6,79% 6,04% 5,22% 9,38%

DIJON 19 6 3 2,01% 2,01% 2,61% 15,79%

GRENOBLE 35 11 3 3,71% 3,69% 2,61% 8,57%

GUADELOUPE 25 7 0 2,65% 2,35% 0,00% 0,00%

GUYANE 16 5 2 1,70% 1,68% 1,74% 12,50%

LA REUNION 27 5 3 2,86% 1,68% 2,61% 11,11%

LILLE 75 21 6 7,95% 7,05% 5,22% 8,00%

LIMOGES 3 3 3 0,32% 1,01% 2,61% 100,00%

LYON 41 15 7 4,35% 5,03% 6,09% 17,07%

MARTINIQUE 18 3 3 1,91% 1,01% 2,61% 16,67%

MAYOTTE 12 2 1 1,27% 0,67% 0,87% 8,33%

MONTPELLIER 41 16 6 4,35% 5,37% 5,22% 14,63%

NANCY-METZ 27 10 5 2,86% 3,36% 4,35% 18,52%

NANTES 34 10 5 3,61% 3,36% 4,35% 14,71%

NICE 24 7 3 2,55% 2,35% 2,61% 12,50%

NOUVELLE CALEDONIE 7 2 1 0,74% 0,67% 0,87% 14,29%

ORLEANS-TOURS 36 12 6 3,82% 4,03% 5,22% 16,67%

PARIS 26 8 2 2,76% 2,68% 1,74% 7,69%

POITIERS 22 8 1 2,33% 2,68% 0,87% 4,55%

POLYNESIE FRANCAISE 13 2 0 1,38% 0,67% 0,00% 0,00%

REIMS 24 7 2 2,55% 2,35% 1,74% 8,33%

RENNES 30 13 6 3,18% 4,36% 5,22% 20,00%

ROUEN 29 4 2 3,08% 1,34% 1,74% 6,90%

STRASBOURG 19 5 2 2,01% 1,68% 1,74% 10,53%

TOULOUSE 48 18 10 5,09% 6,04% 8,70% 20,83%

VERSAILLES 81 26 7 8,59% 8,72% 6,09% 8,64%

Total général 943 298 115 100,00% 100,00% 100,00% 12,20%

Page 32: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

33

Répartition académique des candidats inscrits

Orléans-Tours3.82%

Guadeloupe2.65%

Martinique1.91%

Clermont-Ferrand1.48%

Montpellier4.35%

Nice2.55%

Aix-Marseille4.67%

Reims2.55%

Créteil6.79%

Lille7.95%

Versailles8.59%

Paris2.76%

Rouen3.08%

Besançon0.95%

Bordeaux2.97%

Caen2.33%

Dijon2.01%

Grenoble3.71%

Lyon4.35%

Nancy-Metz2.86%

Poitiers2.33%

Rennes3.18%

Strasbourg2.01%

Toulouse5.09%

Nantes3.61%

Amiens2.97%

Limoges0.32%

Corse0.21%

Guyane1.7%

La Réunion2.86%

Mayotte1.27%

Nouvelle Calédonie0.74%

Polynésie1.38%

Répartition académique des candidats inscrits

3,82 à 8,59% (8)2,86 à 3,82% (8)2,01 à 2,86% (8)0 à 2,01% (9)

Page 33: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

34

Répartition académique des candidats admis

Reims1.74%

Créteil5.22%

Montpellier5.22%

Toulouse8.7%

Bordeaux6.09%

Lyon6.09%Clermont-

Ferrand2.61%

Orléans-Tours5.22%

Rennes5.22%

Guadeloupe0%

Martinique2.61%

Nice2.61%

Aix-Marseille4.35%

Rouen1.74%

Versailles6.09%

Paris1.74%

Lille5.22%

Besançon1.74%

Caen0%

Dijon2.61%

Grenoble2.61%

Nancy-Metz4.35%

Poitiers0.87%

Strasbourg1.74%

Nantes4.35%

Amiens2.61%

Limoges2.61%

Corse0%

Guyane1.74%

La Réunion2.61%

Mayotte0.87%

Nouvelle Calédonie0.87%

Polynésie0%

Répartition académique des candidats admis

5,22 à 8,7% (9)4,35 à 5,22% (3)1,74 à 4,35% (14)0,01 à 1,74% (3)

Page 34: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

35

Taux de réussite par académie

Orléans-Tours16.67%

Guadeloupe0%

Martinique16.67%

Montpellier14.63%

Aix-Marseille11.36%

Nice12.5%

Lyon17.07%Clermont-

Ferrand21.43%

Reims8.33%

Créteil9.38%

Versailles8.64%

Paris7.69%

Rouen6.9%

Besançon22.22%

Bordeaux25%

Caen0%

Dijon15.79%

Grenoble8.57%

Lille8%

Nancy-Metz18.52%

Poitiers4.55%

Rennes20%

Strasbourg10.53%

Toulouse20.83%

Nantes14.71%

Amiens10.71%

Limoges100%

Corse0%

Guyane12.5%

La Réunion11.11%

Mayotte8.33%

Nouvelle Calédonie14.29%

Polynésie0%

Taux de réussite

16 à 100% (10)11 à 16% (8)9 à 11% (3)0,01 à 9% (8)

Page 35: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

36

C – ETUDE SUR LA REPARTITION DES NOTES

0

2

4

6

8

10

12

14

16

18

Enseignement général

Enseignement technique

Enseignement du 1er degré

Information et orientation

Ensemble des spécialités

Admissibilité

moyenne

médiane

note minimale

note maximale

0

2

4

6

8

10

12

14

16

18

20

Enseignement général

Enseignement technique

Enseignement du 1er degré

Information et orientation

Ensemble des spécialités

Admission

moyenne

médiane

note minimale

note maximale

Page 36: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Infé

de

de

de 10

de 12

de 14

de 16

de

d

d

d

d

0%

érieur à 6

6 à 7,99

8 à 9,99

0 à 11,99

2 à 13,99

4 à 15,99

6 à 17,99

e 18 à 20

Inférieur à 6

de 6 à 7,99

de 8 à 9,99

de 10 à 11,99

de 12 à 13,99

de 14 à 15,99

de 16 à 17,99

de 18 à 20

R

Inférieur à

de 6 à 7,9

de 8 à 9,9

de 10 à 11,9

de 12 à 13,9

de 14 à 15,9

de 16 à 17,9

de 18 à 2

5%

Moyen

0% 5%

6

9

9

9

9

9

9

0

épartition d

Moyen

0%

6

99

99

99

99

99

99

20

Répartiti

Moyen

% 10%

Répar

nne des 2 épre

% 10%

des notes

nne des 2 épre

10%

on des not

nne des 2 épre

37

% 15

rtition des

euves Ad

15%

- Enseigne

euves Adm

20%

tes - Inform

euves Adm

5% 2

s notes

mission A

20%

ement du p

mission Ad

30%

mation et o

mission Ad

0% 2

dmissibilité

25% 30

premier deg

dmissibilité

40%

rientation

dmissibilité

25%

0% 35%

gré

50%

30%

Page 37: Rapport de jury 2013 - Concours des Inspecteurs de l'éducation

Inférieur à

de 6 à 7,

de 8 à 9,

de 10 à 11,

de 12 à 13,

de 14 à 15,

de 16 à 17,

de 18 à

Inférieur à

de 6 à 7,9

de 8 à 9,9

de 10 à 11,9

de 12 à 13,9

de 14 à 15,9

de 16 à 17,9

de 18 à 2

0% 5

à 6

,99

,99

,99

,99

,99

,99

20

Répartiti

Moyen

0%

6

99

99

99

99

99

99

20

Réparti

Moyen

5% 10%

ion des no

nne des 2 épre

5% 1

ition des n

nne des 2 épre

38

15% 20

tes - Ensei

euves Adm

0% 15

otes - Ense

euves Adm

0% 25%

ignement t

mission Ad

5% 20%

eignement

mission Ad

30% 35%

echnique

dmissibilité

% 25%

général

dmissibilité

% 40%

30%