question 1

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  Nom et prénom : NEDJAA Chemseddine Gr oupe :3 LMD GC   Module :hydrologie Questi on 1 :  calculer la   moyenne des pluies  ?  La méthode du polygone de Thiessen est la plus couramment utilisée, parce que son application est aisée et qu'elle donne en général de bons résultats. Elle convient notamment quand le réseau pluviométrique n'est pas h omogène spatialement (pluviomètres distribués irrégulièrement). Cette méthode permet d'estimer des valeurs pondérées en prenant en considération chaque station pluviométrique. Elle affecte à chaque pluviomètre une zone d'influence dont l'aire, exprimée en %, représente le facteur de pondération de la valeur locale. Les différentes zones d'influence sont déterminées par découpage géométrique du bassin sur une carte topographique 1 (voir figure 3.8). La précipitation moyenne pondérée P moy pour le bassin, se calcule alors en effectuant la somme des précipitations P i de chaque station, multipliées par leur facteur de pondération (aire A i ), le tout divisé par la surface totale A du bassin. La précipitation moyenne sur le bassin s'écrit :  Avec :  P moy : précipitation moyenne sur le bassin,  A : aire totale du bassin (=å A i  ),  P i : précipitation enregistrée à la station i,  Ai : superficie du polygone associée à la station i. D’apres : http://echo2.epfl.ch/e-drologie

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5/12/2018 Question 1 - slidepdf.com

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 Nom et prénom : NEDJAA Chemseddine Groupe :3 LMD GC

    Module :hydrologie

Question 1 :

calculer la  moyenne des pluies  ? 

La méthode du polygone de Thiessen est la plus couramment utilisée, parce que sonapplication est aisée et qu'elle donne en général de bons résultats. Elle convientnotamment quand le réseau pluviométrique n'est pas homogène spatialement(pluviomètres distribués irrégulièrement).

Cette méthode permet d'estimer des valeurs pondérées en prenant en considération

chaque station pluviométrique. Elle affecte à chaque pluviomètre une zone d'influencedont l'aire, exprimée en %, représente le facteur de pondération de la valeur locale. Lesdifférentes zones d'influence sont déterminées par découpage géométrique du bassin sur une carte topographique 1 (voir figure 3.8). La précipitation moyenne pondérée Pmoy pour le bassin, se calcule alors en effectuant la somme des précipitations Pi de chaque station,multipliées par leur facteur de pondération (aire Ai), le tout divisé par la surfacetotale A du bassin. La précipitation moyenne sur le bassin s'écrit :

Avec : P moy : précipitation moyenne sur le bassin,

 A : aire totale du bassin (=å Ai), P i : précipitation enregistrée à la station i, Ai : superficie du polygone associée à la station i.

D’apres :

http://echo2.epfl.ch/e-drologie

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Question 2 :

1/Le graphique qui fait liaison entre la température et la précipitation ?

Le graphique qui montre les variations de la température en °C (échelle à

gauche) et la précipitation mensuelle en cm (échelle à droite). Il appelle ce graphique unclimatogramme.

2/ A quoi sert ce graphique ?

Un climatogramme, c’est un graphique qui sert pour connaître le climat d’une région

ou pour expliquer les différences de végétation entre les régions.

• Réalisé par Christine Lacas

Dans le cadre du cours

EDU7492 PCPES UQÀM

3/comment interpreter ce graphique ?

4 /Quelle est la condition d’échelle pour mieux visualiser ce graphique ?

  L  e  s  b  a  n  d  e  s  r  e  p  r  é  s  e  n  t  e  n  t l  e  s

  P   R  É   C I  P I  T   A  T I   O   N  S   m  o  y  e  n  n  e  s  a  u

  c  o  u  r  s  d  u   m  o i  s .

  L ’  é  c  h  e l l  e  d  e  s  p  r  é  c i  p i  t  a  t i  o  n  s

  d  o  n  n  e l  a  q  u  a  n  t i  t  é  d ’  E   A   U  t  o   m  b  é  e

 (  e  n   m i l l i   m  è  t  r  e  s ) .  E l l  e  p  e  r   m  e  t  d  e

 l i  r  e l  e  s  b  a  n  d  e  s .

L’échelle des températures donne

les températures moyennes en

DEGRÉS CELCIUS (°C). Elle permet

de lire la courbe des températures.

La courbe des températures

représente la température moyenne

de chaque MOIS.

On doit observer le centre de lacolonne pour lire correctement latempérature d’un mois.

Le nom de la station

météorologique indique le

LIEU (VILLE, PAYS) où les

données ont été enregistrées.

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Un diagramme ombrothermique est un type particulier de diagramme climatiquereprésentant les variations mensuelles sur une année destempératures etdes précipitations selon des gradations standardisées : une gradation de l'échelle des

 précipitations correspond à deux gradations de l'échelle des températures (P = 2T)2. Il a

été développé par Henri Gaussen et F. Bagnouls, botanistes célèbres, pour mettre enévidence les périodes de sécheresses (représentées ci-dessous en jaune) définies par unecourbe des précipitations (ici histogramme bleu) se situant en dessous de la courbe des

températures (ici courbe rouge). Ces diagrammes permettent de comparer facilement les

climats de différents endroits d'un coup d'œil du point de vue pluviosité. Lestempératures sont indiquées à gauche et les précipitations sont indiquées à droite.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Diagramme_climatique

5/ risque présenté dans le phénomène de renard ?

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la charge hydraulique maximale pour les digues non surversées

Plan de Prévention du Risque Inondation de l’Isère,dans la vallée du Grésivaudan,à l’amont de Grenoble

DISPOSITIONS IMMEDIATEMENT OPPOSABLES(art. L.562-2 du CE)

 L'essai Proctor 

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Afin de pouvoir choisir un matériau apte à la réalisation d’un remblai, une entrepriseorganise une campagne d’essais pour déterminer les caractéristiques physiques de

 plusieurs types de sols. Pour ce faire des essais sont réalisés, in situ sur des plates-formestests, et, en laboratoire. Une équipe a été chargée d’une première campagne d’essais sur un sol de granulométrie 0/20 (référencé sol A) et vous transmet les résultats que vous êteschargés d’exploiter. Vous disposez de plus d’un échantillon d’un autre sol (référencé solB). Vous décidez de réaliser (afin de compléter votre rapport) les essais de laboratoiresuivants :Un essai Proctor Normal et détermination du poids spécifique.Principe :

L'ingénieur américain Proctor a montré que pour une énergie de compactage donnée, lateneur en eau du matériau avait une grande influence sur la compacité obtenue. L'essai

Proctor consiste à compacter dans un moule normalisé, avec une énergie de compactagenormalisée (dame de masse normalisée tombant d'une hauteur constante), un échantillondu matériau différentes valeurs de teneur en eau pour en déduire :• La teneur en eau optimale.• La densité sèche maximum correspondante.L’énergie de compactage est égale à :EC = hauteur de chute × poids de la dame × Nb de coups × Nb de couches / volume totaldu moule.L'énergie de compactage dépend de la destination de l'ouvrage. Elle est imposée par les

C.C.T.P.On distingue :• L'essai Proctor normal : Energie de compactage modérée pour remblais en terre(barrages en terre, digues,…)• L'essai Proctor modifié : Energie de compactage intense pour fondation de chaussées,

 pistes d'aérodromes, …). Il correspond au compactage maximum que l'on peut obtenir sur les chantiers avec des engins de compactages puissants.Mode opératoire :

Un échantillon de …… kg

Appareillage :Moules Proctor avec leurs hausses de compactage :· Diamètre du moule : ……cm.· Hauteur du moule : ……..cm.· Volume du moule : ……..cm.3Dame de compactage de caractéristiques :· Poids :……kg.· Diamètre : …….cm.· Hauteur de chute :…….cm.

· Règle à araser.· Balance.

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· Truelle.

Essai :

- solidariser :moule, embase et rehausse- Lubrifier le cas échéant les parois du moule- Placer le disque d'espacement au fond du mouleCBR lorsqu'il est utilisé- Introduire alors la quantité de matériau pour quela hauteur de la première couche aprèscompactage soit légèrement supérieure au tiers ouau cinquième de la hauteur du moulerespectivement pour l'essai Proctor normal et pour l'essai Proctor modifié

- Compacter cette couche avec la damecorrespondante en appliquant respectivement 25coups et répéter l'opération autant de fois quel'exige le nombre de couches à réaliser.-- Après compactage de la dernière couche, retirer la rehausse, le matériau doit alors dépasser dumoule d'une hauteur d'un centimètre au maximum.Cet excédent est arasé soigneusement au niveau dumoule en opérant radialement du centre vers la

 périphérie du moule. Si des éléments > 10 mm sontentraînés dans cette opération, en laissant des videsà la surface de l'éprouvette, combler ceux-ci avecdes éléments fins qui sont lissés- Peser l'ensemble du moule avec le matériau.