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Le pouvoir du rireMode d’emploi pour ne pas bouder son plaisir

Avec cette production, nous avons voulu aborder des questions très sérieuses avec la légèreté d’une bulle de champagne de baptême. Nous avons voulu tracer un portrait du monde que nous observons sans déterminer de gagnants ni porter d’accusation, en vous laissant à vous, public, le soin de prendre parti. Nous avons aussi voulu parler du besoin que nous avons de nous enraciner, de souligner les moments charnières de nos vies et de trouver un sens à notre passage sur terre. Nous avons voulu encore témoigner de la complexité des relations familiales souvent partagées entre l’amour et la haine, la compétition et la tendresse. Enfin, parce qu’on y croit vraiment, nous avons voulu dire sans le dire qu’il est possible, pour

les hommes et les femmes de vivre ensemble, de façon égalitaire, en acceptant les différences de chacun.

Et puis, nous avons voulu rire de tout ça.

En dépit de l’air du temps dicté par les intellectuels et les créateurs qui déprécie la comédie. En dépit des horreurs de notre époque qui n’est pas au rire. En dépit de l’industrie de l’humour qui nous p roposa i t r é c emment d’éteindre notre cerveau. En dépit des préjugés, des étiquettes et des convenances.

Parce que l’humour est un signe d’intelligence (c’est Einstein qui le dit!). Parce qu'étonnamment, sous son maquillage de clown, la comédie propose parfois un visage plus subtil que celui du drame, souvent dessiné à gros traits. Parce

que l’humour amadoue et rapproche dans l’aventure sociale de la vie ; il délie, apprivoise, rend disponible aux sujets les plus difficiles. Et parce qu’il n’y a rien de plus beau que des larmes de rires qui se mélangent aux larmes de tristesse.

Nos conseils, donc, pour profiter au maximum de votre soirée :1- Cessez de vous prendre au sérieux.2- Décidez que vous avez envie de rire.3- Répétez-vous que vous êtes en sécurité.4- Bougez les orteils. Relâchez les épaules. Desser rez la mâchoire.5- Regardez ce qui se cache derrière le gag!6- Profitez!

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2018

Bienvenue au Québec!

Photo: Suzanne O’Neil

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Mot de Eudore BelzileDirecteur artistique et général

J’ai assisté ces derniers temps à certaines cérémonies funèbres et à des mariages qui m’ont laissé perplexe  : mimétisme ridicule du rituel chrétien, célébrants atteints du syndrôme de l’humoriste, multipliant les pitreries, les farces plates et nous infligeant des extraits simplistes tirés d’un vieux Reader’s Digest de 1995, ou d’un biscuit chinois.

Isabelle Hubert, par une simple question qui surgit sans avertissement dans la vie d’un couple (faire ou non baptiser la petite qu’ils vont adopter), ouvre la boite de Pandore de la perte de nos repères collectifs. Des rituels multimillénaires ont été mis à bas par la modernité et remplacé par… quoi? Qu’avons-nous perdu dans le grand ménage tranquille des années soixante.

Grâce à la vérité des personnages et à une formidable mécanique du rire qu’elle maîtrise à la perfection, Isabelle nous amène à s’interroger sur nos valeurs, désormais individuelles, qui s’affrontent, s’entrechoquent e t pe inent à nous rassembler. Sans transcendance, spirituelle ou laïque, que signifie la famille, le couple et les rituels de passage qui sont de plus en plus privés de sens pour les jeunes générations?

Les gestes symboliques sont essentiels pour accéder à un autre niveau d’humanité. Voilà l’enjeu principal de cette cérémonie théâtrale, portée par une redoutable équipe de concepteurs, d’interprètes, dédiés à leur art et habités par le désir de vous faire passer une soirée inoubliable. Où la réflexion s’est invitée, dans un cocktail explosif qui s’adresse à la tête, au cœur et à la rate!

Mot de lsabelle HubertDirectrice artistique et autrice

Le baptême est un rite de passage. Dans la religion catholique, on verse l’eau sur la tête des bébés. Dans le monde de l’aviation ou de la marine, on fracasse des bouteilles de champagne sur des coques ou des fuselages. Pour le nouvel arrivant, qu’il soit enfant adopté ou réfugié, le baptême du Québec peut causer un certain choc. Ne sommes-nous pas reconnus pour nos élans démesurés d’enthousiasme, pour notre accueil chaleureux, notre force brute, notre manque de finition parfois et nos perpétuelles contradictions?

Ce sont les repères religieux et la société québécoise tout ent ière qui sont questionnées dans notre production (rien de moins) symbolisée par la maison familiale traditionnelle qu’on traverse de part en part au fil de l’intrigue, du grenier au sous-sol. La maison où on se réunit, la maison refuge qu’on se lègue de génération en génération, qu’on tente de rénover, au propre comme au figuré, sans planification, sans plan d’avenir, avec ses fondations tantôt solides, tantôt fragiles, ses souvenirs, beaux , déchirants, marquants, ses traditions, son intimité et son ouverture sur le monde. Dans la pièce, comme au Québec, les questions de fertilité et d’héritage sont émotives et jouent dans les recoins les plus sensibles de nos esprits (voilà pourquoi il est si intéressant de s’y attarder!). Dans la pièce, comme au Québec, l’arrivée d’une culture étrangère force le changement, inquiète,

met à mal un système de valeurs établi, donne le sentiment de fragiliser les racines.

Truffés de small talking, les dialogues portent les couleurs du quotidien, mais cachent des couches de niveaux sous-jacents. Notre théâtre fait appel à l’intelligence du spectateur. Le public doit décoder dans les échanges, dans les mot ivat ions et les s t ra tég ies des personnages ce qui appartient à la superficial i té (ce qu’i ls disent) , à l’hypocrisie (ce qu’ils cachent) et à la vérité (ce qu’ils vivent). Entre les blagues de mauvais goût, les messes basses, les

conspirations, les secrets et les cris du cœur, il y a toujours l’expression de la solitude, de la jalousie, de la trahison, de la tristesse, de la rage et de tous ces sentiments qui déchirent les personnages.

Merci, ami public, de partager cette nouvelle aventure avec nous. Merci de libérer, pour le théâtre, un peu d’espace dans votre vie sursollicitée. Merci de croire avec nous qu’il fait partie, avec tant d’autres, de ces petits gestes qui, modestement, change le monde.

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Catherine De Léan et Maxime DenomméePhoto: Suzanne O’Neil

Illustration : Richard Vallerand

QUIZZ

Trouvez l’intrus parmi les 7 sacrements de la religion catholique.

Le baptême L’eucharistie La confirmation Le mariage L’onction des malades L’ordination Le réconciliation L’extrême-onction

La réponse sera donnée juste avant la représentation. Promis.

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Compagnies›LaCompagniedrama0queduQuébecetleThéâtreLesgensd’enbasTexte›IsabelleHubert

Miseenscène›Jean-Sébas0enOuelleFeAssistanceàlamiseenscène›AnnePlamondon

Distribu0on›CatherineDeLéan,MaximeDenommée,Jean-MichelDéryetMarie-HélèneGendreauDécor,costumesetaccessoires›MarilouBois

Lumière›AndréRiouxMusique›AndréeBilodeauetPatrickOuellet

ISABELLE HUBERTElle est née en Gaspésie, voulait être maîtresse d’école, comédienne, informaticienne, religieuse et officier dans la marine. Elle a finalement étudié en théâtre. Formée à l’École Nationale de théâtre du Canada, Isabelle Hubert a la plume libre et polyvalente. Ses textes, créés sur les scènes de et du Québec, se sont mérités plusieurs prix. Parmi elles, on compte À tu et à toi, La robe de Gulnara, Laurier Station, 1000 répliques pour dire je t’aime et Le cas Joé Ferguson, qui ont toutes été jouées au Théâtre du Bic. Elle a également adapté des romans pour la scène, scénarisé pour le cinéma, la télévision et les musées et réalisé plusieurs résidences d'écriture, entre autres, à Londres, à Villeneuve-lès-Avignon et en Guadeloupe. Depuis 2005, elle enseigne l’écriture dramatique à l’Université Laval.

JEAN-SÉBASTIEN OUELLETTEJean-Sébastien Ouellette a participé comme comédien à plus d’une cinquantaine de productions théâtrales : Le Cid (Rodrigue), L’opéra de quat’sous (Mack-the-Knife), Jocaste reine (Œdipe), Macbeth (Macbeth), Quills (Docteur Royer-Collard) et Charbonneau et le chef (prix des abonnés du Théâtre du Trident pour Monseigneur Charbonneau). En 2017 il remporte le prix Jeannine-Angers pour son interprétation de Paul dans Les marches du pouvoir de Beau Willimon. Il a également réalisé une quinzaine de mises en scènes : Dom Juan de Molière, Détour de chant d’après Réjean Ducharme ainsi que à tu et à toi, La robe de Gulnara (prix de la critique 2010), Laurier-Station, Frontières et Le cas Joé Ferguson de Isabelle Hubert. Pendant 10 ans, il a prêté sa voix à César, l’homme qui parle au chien et à César à la rescousse à Canal Vie. Il est également professeur d’interprétation au Conservatoire d’art dramatique de Québec.

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Isabelle Hubert et Jean-Sébastien OuellettePhotos: Nicola Franck-Vachon et Isabelle Hubert

«Rien n’est plus sérieux en ce

bas monde que le rire.»

-Gustave Flaubert

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Catherine De Léan - Marie-ÈveDiplômée du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 2005, Catherine De Léan a fait rapidement sa marque au cinéma, à la télévision et au théâtre. Au grand écran, elle a obtenu une quinzaine de premiers rôles, dont récemment dans Le Fils de Jean (réal. Philippe Lioret). À la télévision, le public a pu la voir dans Les hauts et les bas de Sophie Paquin, Mémoires Vives et L’Imposteur. Au théâtre, elle a été notamment de Thérèse et Pierrette à l’école des Saint-Anges, mis en scène par Serge Denoncourt, et La Femme qui fuit d’Anaïs Barbeau-Lavalette, mis en lecture par Brigitte Haentjens. Le baptême de la petite est sa première collaboration avec La Compagnie dramatique du Québec et le Théâtre Les gens d’en bas. Cet automne, on la verra dans la série Demain des Hommes de même que dans le film GOLD (réal. Éric Morin). Elle dirigera également une mise en lecture de l’Avalée des avalés de Réjean Ducharme à la Maison de la littérature de Québec en novembre.

Maxime Denommée - AntoineDiplômé du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 1998, Maxime Denommée s’est illustré aussi bien au théâtre qu’à la télévision et au cinéma. Récipiendaire d’un Masque, catégorie interprétation, pour Howie le Rookie, il a brillé sur de nombreuses scènes montréalaises, puis en tournée à travers le Canada. On a pu le voir, notamment, dans plusieurs productions de La Manufacture (Trick or Treat, Les points tournants, Après la fin, dont il signait aussi la mise en scène, Des arbres), ainsi que dans Britannicus (Théâtre Denis-Pelletier), L’importance d’être constant (TNM), Le chemin des passes-dangereuses (Duceppe). À la télévision, Maxime s’est fait remarquer dans les séries Grande Ourse, Rumeurs et Aveux. Récemment, on a pu le voir dans District 31, Ruptures et O’. Au grand écran, il

s’est entre autres illustré dans les films Idole instantanée, Cheech et Jaloux. Le baptême de la petite marque sa troisième collaboration avec le Théâtre Les gens d’en bas, après L’Hôtel des Horizons et Danser à Lughnasa.

Jean-Michel Déry - RémiJean-Michel Déry obtient en 2005 son diplôme du Conservatoire d’art dramatique de Québec. Depuis, il s’est notamment illustré sur la scène théâtrale de la Capitale. On a pu le voir dans plus d’une trentaine de productions, dont On achève bien les chevaux (Théâtre Niveau Parking), pièce pour laquelle il est récipiendaire du Masque de la révélation de l’année et du Prix Nicky-Roy (2007), qui souligne un jeune talent particulièrement prometteur. Récemment, on a pu le voir dans Act of God (Théâtre Niveau Parking), Five Kings (Théâtre du Trident) et Lucky Lady (La Bordée).

Marie-Hélène Gendreau - MaudeMarie-Hélène Gendreau a gradué en 2005 au Conservatoire d’art dramatique de Québec et mène depuis une carrière de comédienne et de metteure en scène. En tant qu’actrice, on a pu la voir dans le film Les 3 p’tits cochons ainsi que dans de nombreuses séries télévisées dont 30 Vies, Complexe G et Les hauts et les bas de Sophie Paquin. Toutefois, c’est au théâtre qu’elle se démarque le plus, donnant vie à plusieurs personnages singuliers, issus aussi bien du répertoire classique que contemporain. En 2018, elle était à l’affiche du Théâtre du Trident dans le remarqué Incendies. Par ailleurs, son talent pour la mise en scène, qu’elle exerce depuis une dizaine d’années, lui a valu de remporter de nombreux prix, notamment pour sa vision de Trainspotting. Elle a monté entre autres Tom à la ferme, de Michel Marc Bouchard, et Bienveillance, de Fanny Britt, au Théâtre La Bordée. Elle assure la coordination artistique du Théâtre Périscope depuis 2016.

Les comédiensLE

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Marie-Hélène Gendreau et Jean-Michel DéryPhotos: Suzanne O’Neil

«Je ne cesserai de rire que

lorsqu’on me fera pleurer.»

-Sophie Arnould

Marilou Bois, décors et costumesEn 2011, Marilou entame son parcours artistique au Cégep de Sainte-Foy en Techniques de Design de présentation. En parallèle à cette technique, elle participe à deux product ions de spectac les pour enfants comme conceptrice de décor : Les Schtroumpfs et Histoire de Jouets au Collège Jésus-Marie de Québec. En 2014, elle débute sa formation en scénographie au Conservatoire d’art dramatique de Québec où elle participe à plusieurs productions, d’abord comme stagiaire de décors et de costumes. Finissante, elle fait la conception du décor de À matin, le soleil s’est levé, la conception du graphisme et de l’éclairage de la création des finissants Entre Autres, la conception des costumes dans Méphisto et les accessoires dans Avec Éric. Elle débute sa carrière de scénographe en participant à la réalisation des accessoires et la patine du décor du spectacle de cirque Mâts et cordages ainsi que la réalisation de la scénographie du festival Jamais Lu Québec 2017.

André Rioux, lumière et direction techniqueAutodidacte, André a conçu, depuis ses débuts en 1980, plus de deux cents éclairages, principalement pour le théâtre. Il a assuré la direction technique au Théâtre du Bic pendant 22 ans. Aujourd’hui, il travaille sur la plupart des scènes théâtrales de Montréal et de Québec, en plus de signer la majorité des éclairages du Théâtre Les gens d’en bas. Son métier l’amène régulièrement en tournée au Canada et en Europe. L’Académie québécoise du théâtre lui a décerné, en 1994, un Masque dans la catégorie « Meilleurs éclairages » pour Le Cygne (TGB). Il est également récipiendaire du prix du public 1998-1999, pour les éclairages du spectacle Des souris et des hommes (Théâtre Denise Pelletier). Les lumières de Tête première (Théâtre de la Manufacture) lui ont valu, en 2005, une nomination au Gala des Masques. Carte Prem1ère lui décernait, lors du Gala des Cochons d’or 2010, le prix Cochon Intouchable pour les éclairages de Morceau de peur (Magnifique Théâtre).

Andrée Bilodeau, compositions et arrangementsActive sur la scène musicale et culturelle de Québec, Andrée est violoniste, altiste et chanteuse. Elle a étudié le classique, la musique traditionnelle avec Les Batinses, la musique actuelle avec Interférence Sardines, sans oublier son rôle de capitaine dans la Ligue d’improvisation

musicale de Québec. Elle crée avec Patrick Ouellet la musique de La robe de Gulnara, Laurier- Station, Frontières et Le cas Joé Ferguson.On a pu la voir dernièrement à La Bordée dans la pièce Ici et l’entendre dans les productions Incendies, Une bête sur la lune et La détresse et l’enchantement. Notons que les pièces Show de Vaches au Bitch Club Paradise, La robe de Gulnara et Frontières ont été en nomination pour le Prix Bernard-Bonnier aux Prix d’excellence des arts et de la culture, qui récompense un environnement sonore mémorable.

Patrick Ouellet, compositions et arrangementsDepuis sa sortie du Conservatoire d’art dramatique en 2000, Patrick a participé à plus de 50 productions, soit comme acteur, acteur-musicien ou comme compositeur. Il a obtenu cinq nominations aux Prix d’excellence des arts et de la culture de Québec et a remporté le Prix Bernard- Bonnier en 2014 pour sa musique de Détour de Chant, produit par sa compagnie, Campe. Son partenariat avec Andrée Bilodeau etLa Compagnie dramatique du Québec fêtera bientôt ses dix ans puisqu’ils ont composé les musiques de La Robe de Gulnara en 2009. Ont suivi les musiques de Laurier-Station, Frontières, Le cas Joé Ferguson et Le baptême de la petite. Depuis 2004, Patrick enseigne la voix et la formation auditive et vocale au Conservatoire d’art dramatique de Québec.

Anne Plamondon, assistance à la mise en scène et direction productionAprès avoir complété une formation en production à l’École nationale de théâtre, Anne Plamondon a assumé la régie, la direction technique, la direction de production ou de tournée, l’assistanat ou l’éclairage de plus d’une vingtaine de productions, en plus d’avoir été directrice technique et/ou de production à la Licorne, au Théâtre du Rideau Vert et à Espace Libre. Collaboratrice de longue date du Théâtre les gens d’en bas, elle était des productions : Le Cygne, Deux sur une balançoire, Le Visiteur, Liberty, Une heure etdemie de retard, Raphaël à Ti-Jean, Le cas Joé Ferguson et Ti-Marc (le grand!). Elle est directrice de production au Conservatoire d’art dramatique de Québec depuis 2010.

Les concepteursLE

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Catherine De Léan et Marie-Hélène GendreauPhotos: Suzanne O’Neil

«Rire, c’est être malicieux, mais avec une bonne

conscience.»-Friedrich Nietsche

LA COMPAGNIE DRAMATIQUE DU QUÉBEC

Direction artistique : Isabelle HubertDirection administrative : Caroline MartinConseil d’administration : Joëlle Bond, Lina Bond, Véronique Côté, Jean-Sébastien Ouellette, Laurent Patenaude

THÉÂTRE LES GENS D’EN BAS

Direction artistique et générale : Eudore BelzileDirection administrative : Marjorie MauryDirection à la programmation et aux communications : Stéphanie TherriaultDirection technique : Olivia GirouxAdjointe à la direction générale et gérance de salle : Diane BergerAgente de développement de public et adjointe aux communications : Cynthia BoudreauAccueil : Stéphanie Brillant, Emmanuel PilonTechniciens au montage :Marc-Antoine Desjardins, Philippe Dick, Thomas Gueutal

REMERCIEMENTS

Milles mercis à François Gagnon qui, grâce à son appui constant à la Compagnie dramatique du Québec, a permis la présentation de ce spectacle.

* * *

Merci aussi à Mathieu Vachon, Richard Vallerand, Charles-Étienne Beaulne, Eudore Belzile et toute l’équipe du Théâtre du Bic, les familles Frenette et Ouellette (pour les vidéos d’archive), Manon Morin, Martin Pelletier, Lynda Plourde et l’équipe du Théâtre Périscope.

* * *Les projets de la Compagnie dramatique du Québec sont rendus possibles grâce, entre autres, au programme Mécénat Placements Culture du Ministère de la Culture et des Communications. Ce projet en particulier est réalisé grâce au soutien financier du gouvernement du Québec et de la Ville de Québec dans le cadre de l’Entente de développement culturel.

Nos équipesLes gens qu’on aime

«Dieu voulait créer l’Univers en dix jours. Chuck Norris lui en a laissé six.»

-Auteur anonyme sur Facebook

«Qui ne sait pas rire ne doit pas être pris au sérieux.»

-Thomas Bernhard

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Photos: Suzanne O’Neil