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Vendredi 11 novembre 2011Palais des congrès de Montréal

201, avenue Viger Ouest5e étage – Foyer VigerMétro Place d’Armes

Cette activité est admissible aux allocations de ressourcement de la RAMQ.

Aucune inscription sur place

PROGRAMME FINAL

LA FÉDÉRATION DES MÉDECINS SPÉCIALISTES DU QUÉBEC ET SES ASSOCIATIONS AFFILIÉES

VOUS INVITENT À LA

2 4e JOURNÉE DE FORMATION INTERDISCIPLINAIRE

PARTENAIRESCette journée a été réalisée en collaboration avec les associations médicales affiliées suivantes :

Comité de planification de la 4e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ

Pierre Assalian, psychiatre, responsable du DPC,

Association des médecins psychiatres du Québec

Marc Beltempo, R2, Fédération des médecins résidents du Québec

Bernard Bissonnette, rhumatologue et secrétaire, conseil d’administration, FMSQ

Mario Ducharme, neurologue, Association des neurologues du Québec

Diane Francœur, obstétricienne-gynécologue et vice-présidente, conseil

d’administration, FMSQ

Lise Guindon, adjointe de direction, Office de développement professionnel, FMSQ

Gilles Hudon, directeur, Politiques de la santé

et Office de développement professionnel, FMSQ

Réjean Laprise, Ph. D., conseiller, Office de développement professionnel, FMSQ

Nicole Pelletier, ARP, directrice, Affaires publiques et Communications, FMSQ

Nathalie Saad, R6, Fédération des médecins résidents du Québec

Hoda Sayegh, coordonnatrice-logistique, Office de développement professionnel, FMSQ

Robert L. Thivierge, pédiatre, Association des pédiatres du Québec

Direction scientifique

Gilles Hudon, directeur, Politiques de

la santé et Office de développement

professionnel, FMSQ

Réjean Laprise, Ph. D., conseiller, Office

de développement professionnel, FMSQ

Coordination et logistique

Lise Guindon, adjointe de direction,

Office de développement professionnel,

FMSQ

Hoda Sayegh, coordonnatrice-logistique,

Office de développement professionnel,

FMSQ

AMHOQAssociation des médecins hématologues et oncologues du Québec

4e JOURNÉE DE FORMATION INTERDISCIPLINAIRE 3

MOTS DE BIENVENUEChères collègues, chers collègues,

Je vous souhaite la plus cordiale bienvenue à cette 4e édition de la Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ.

Cette activité fédérative de développement professionnel continu vise à réunir annuellement nos collègues de toutes les disciplines dans un contexte d’échanges professionnels et scientifiques, en lien avec la mission de la Fédération. Cette innovation a reçu le plein soutien des membres du conseil d’administration de la Fédération qui ont voulu y consacrer les ressources humaines, matérielles et monétaires nécessaires à sa création et à sa pérennité. Je suis convaincu de la

valeur de cette activité qui nous permet de mieux nous connaître, d’échanger sur des sujets d’intérêt commun et de mieux intégrer nos cultures respectives d’associations.

La JFI permet de démontrer à la population québécoise que les médecins spécialistes sont soucieux de la qualité des soins qu’ils prodiguent et travaillent constamment à les améliorer. La JFI est un autre exemple qui montre bien que la Fédération des médecins spécialistes du Québec est un partenaire incontournable dans l’organisation des soins de santé au Québec et désire continuer d’être régulièrement consultée sur le sujet.

J’invite tous les participants à venir fraterniser et à rencontrer les membres du conseil d’administration de la Fédération en assistant au cocktail de fin de journée, dans le hall d’accueil à 16 h 30. C’est un rendez-vous!

Le président,

Gaétan Barrette, MD

Chères collègues, chers collègues,

C’est avec fierté et grand plaisir que nous vous présentons le programme de la 4e Journée de formation interdisciplinaire (JFI) de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ). Son contenu scientifique est le fruit d’une collaboration entre l’Office de développement professionnel de

la FMSQ et les responsables des unités de développement professionnel de onze des trente-quatre associations affiliées, regroupées dans cinq sessions d’intérêt commun. À cela s’ajoutent treize sessions de sujets plus généraux et susceptibles d’intéresser tous les médecins spécialistes. Le nombre d’associations participantes et de sessions d’intérêt général est en progression d’année en année : 240 participants la 1re année en 2008, 320 en 2009 et 430 en 2010, chaque médecin participant à une ou deux activités. La JFI vise à donner l’occasion aux médecins spécialistes de différentes disciplines de se rencontrer, d’échanger, de partager leur expertise et leurs expériences, de discuter des patients qu’ils soignent et de leurs autres responsabilités professionnelles. Nous croyons que cette rencontre annuelle favorisera l’émergence de solutions novatrices pour les soins médicaux et améliorera les conditions d’exercice des médecins spécialistes tout en démontrant au public leur souci de contribuer à l’amélioration du système de santé du Québec.

Le financement de la JFI est assuré principalement par les frais d’inscription des participants. Cette 4e édition jouit encore une fois des subventions de la FMSQ, de la Financière des professionnels, de Sogemec Assurances et du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC). Nous les remercions chaleureusement. Des espaces de kiosque ont également été loués à la Financière des professionnels, à Sogemec Assurances, au CRMCC et à l’Institut canadien pour la sécurité des patients. Aucune sollicitation n’a été faite auprès de l’industrie pharmaceutique ou des compagnies d’équipements médicaux.

La réalisation de cette journée implique de nombreux intervenants : pour les associations participantes, ce sont les responsables des unités de développement professionnel et leur personnel administratif ; pour la Fédération, ce sont les membres du comité de planification de la JFI ainsi que le personnel des directions des Affaires publiques et des Communications, des Services administratifs et surtout de l’Office de développement professionnel. Nous les remercions tous sincèrement et sollicitons dès maintenant leur collaboration pour la JFI 2012 au Palais des congrès de Montréal.

Au nom du comité de planification de la 4e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ,

Le directeur des Politiques de la santé et de l’Office de développement professionnel,

Gilles Hudon, MD, FRCPC


DE L’ADOLESCENCE À LA MÉNOPAUSE : SANTÉ MENTALE CHEZ LES FEMMES

SESSION

AJournée conjointe :

› Association des obstétriciens et gynécologues du Québec › Association des médecins psychiatres du Québec

8 h 30 à 16 h 30

Durée de la formation : 6 heures

Pour qui ?

Obstétriciens et gynécologues, psychiatres, résidents et autres médecins intéressés

Résumé

Cette activité vous permettra de connaître les moments critiques de la vie reproductive féminine et de les relier aux différents troubles de santé mentale. La physiologie reproductive, les troubles alimentaires de l’adolescence et les troubles dépressifs périménopausiques seront abordés, sans oublier les troubles dysphoriques menstruels (ou le fameux syndrome prémenstruel !). Une approche pratique de prise en charge de ces troubles de santé sera privilégiée, tant du point de vue gynécologique que du point de vue psychiatrique.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Décrire les liens entre les diverses étapes de la vie reproductive féminine et les différents troubles de santé mentale ; › Énumérer les principaux traitements des différents troubles communs en obstétrique et gynécologie et en psychiatrie ; › Reconnaître les situations cliniques où une collaboration entre obstétriciens et gynécologues et psychiatres sera utile.

Méthodes pédagogiques :

Conférences et périodes de questions

HORAIRE

7 h Accueil et petit-déjeuner

8 h 30 Mot de bienvenue

8 h 35 Les besoins de recherche en santé mentale reproductive – M.-J. Poulin

Objectifs d’apprentissage : › Connaître les principales recherches

dans le domaine de la santé mentale reproductive ;

› Reconnaître les besoins de parfaire nos connaissances dans ce domaine ;

› Explorer les différents types de recherche possible dans ce domaine.

8 h 50 Période de questions

ATELIER POUR LES PSYCHIATRES

9 h La contraception – M. Leboeuf

Objectifs d’apprentissage : › Énumérer les principales méthodes de

contraception disponibles au Canada ;

› Connaître les contre-indications des différentes méthodes de contraception ;

› Reconnaître le défi que représente l’observance en contraception.


9 h 30 Le suivi des grossesses normales et compliquées - I. Lévesque

Objectifs d’apprentissage : › Se familiariser avec le calendrier du

suivi de grossesse ;

› Décrire les différentes modalités de dépistage prénatal des maladies chromosomiques et autres anomalies fœtales ;

› Connaître les principales maladies associées à la gestation et leur prise en charge.


10 h Les nouvelles techniques de reproduction – B. Carranza-Mamane

Objectifs d’apprentissage : › Définir l’infertilité et connaître son

incidence ;

› Décrire l’investigation médicale du couple infertile ;

› Énumérer les principaux traitements disponibles pour les couples infertiles.


10 h 30 Pause-santé

11 h L’interruption volontaire de grossesse – M. Leboeuf

Objectifs d’apprentissage : › Décrire les différentes méthodes d’interru-

ptions volontaires de grossesse (IVG) ;

› Connaître l’incidence des IVG au Québec ;

› Énumérer les complications potentielles des IVG.


11 h 30 La ménopause - L. Granger

Objectifs d’apprentissage : › Décrire les changements physiologiques

associés à la ménopause ;

› Énumérer les différents traitements des symptômes ménopausiques ;

› Connaître les effets secondaires et complications potentielles de ces traitements.



ATELIER POUR LES OBSTÉTRICIENS ET GYNÉCOLOGUES

9 h Neurotransmetteurs 101 - M.-F. Demers

Objectifs d’apprentissage : › Connaître les principaux

neurotransmetteurs impliqués en thérapie psychiatrique ;

› Décrire les effets des différentes classes de médication psychiatrique sur ces neurotransmetteurs ;

› Énumérer les effets secondaires de ces différentes thérapies.


9 h 30 Les troubles affectifs et anxieux - S. V. Tourjman

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître les différentes pathologies

affectives et anxieuses ;

› Connaître l’incidence de ces diverses pathologies ;

› Décrire les différents traitements possibles de ces pathologies.



11 h Les troubles de la personnalité ‑ Conférencier à confirmer

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître les différents troubles de

personnalité ;

› Connaître l’incidence de ces différents troubles ;

› Décrire les différents traitements possibles de ces troubles.


11 h 30 La schizophrénie et les psychoses apparentées - A. B. Baki

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître les différents types de

psychoses ;




12 h Lunch et allocution du président de la FMSQ, Dr Gaétan Barrette

ATELIER CONJOINT PSYCHIATRES, OBSTÉTRICIENS ET GYNÉCOLOGUES

13 h 15 Le trouble dysphorique prémenstruel – M.-J. Dupuis

Objectifs d’apprentissage : › Diagnostiquer le trouble dysphorique

prémenstruel ;

› Connaître l’incidence de ce trouble ;

› Décrire les différents traitements possibles de ce trouble.


13 h 45 Les troubles psychiatriques périnataux - M.-J. Poulin

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître les différents troubles

psychiatriques périnataux ;





14 h 45 Les troubles psychiques à la ménopause - M.-J. Poulin, T. V. Nguyen

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître les différents troubles

psychiques associés à la ménopause ;




15 h 30 Promouvoir ensemble l’amélioration des services et des ressources : stratégies et mise en place d’un plan d’action concerté – Modérateurs : M. Leboeuf, M.-J. Poulin

Objectifs d’apprentissage : › Élaborer des stratégies de consultation

interdisciplinaire entre psychiatres, obstétriciens et gynécologues ;

› Développer des liens interdisciplinaires entre psychiatres, obstétriciens et gynécologues.

16 h 20 Mot de la fin et évaluation

16 h 30 Fin de l’activité

16 h 30 Cocktail du Président

Conférenciers et animateurs

Amal Abdel Baki, psychiatre, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Belina Carranza-Mamane, obstétricienne et gynécologue, Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke

Marie-France Demers, pharmacienne, Institut universitaire en santé mentale de Québec

Marie-Josée Dupuis, obstétricienne et gynécologue, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Louis Granger, obstétricien et gynécologue, Hôpital Maisonneuve-Rosemont

Mathieu Leboeuf, obstétricien-gynécologue, Centre hospitalier universitaire de Québec

Isabelle Lévesque, obstétricienne-gynécologue, Centre hospitalier universitaire de Québec

Tuong Vi Nguyen, R5, Centre universitaire de santé McGill

Marie-Josée Poulin, psychiatre, Institut universitaire en santé mentale de Québec

Smadar Valérie Tourjman, psychiatre, Hôpital Louis-Hippolyte Lafontaine

Comité scientifique

Mathieu Leboeuf, obstétricien-gynécologue, Association des obstétriciens et gynécologues du Québec

Marie-Josée Poulin, psychiatre, Association des médecins psychiatres du Québec


DOCTEUR, J’AI MAL PARTOUT !

SESSION

BJournée conjointe :

› Association des médecins psychiatres du Québec

› Association des médecins rhumatologues du Québec

8 h à 16 h 30

Durée de la formation : 6,25 heures

Pour qui ?

Psychiatres, rhumatologues, résidents et autres médecins intéressés

Résumé

Croyez-vous que tout a été dit sur la fibromyalgie ? Lors d’un récent sondage, la majorité des rhumatologues et des psychiatres ont répondu « non » à cette question, parce qu’ils sont conscients que la prestation des soins aux patients porteurs de ce diagnostic est souvent difficile. Quels devraient être les rôles des différents professionnels de la santé ? Comment s’assurer d’un diagnostic exact ? À qui revient la prise en charge ? Cette activité propose une réflexion collective sur l’élaboration d’une stratégie qui permettra à la fois aux patients et aux professionnels d’en bénéficier.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Identifier les lacunes empêchant une prise en charge globale des patients ;

› Expliquer le rôle des différents intervenants ;

› Esquisser une solution pour améliorer les soins aux patients atteints de fibromyalgie.


Conférences magistrales avec périodes de questions, table ronde et discussion en grand groupe

HORAIRE


8 h Mot de bienvenue

8 h 15 Plénière : Le médecin de famille peut-il, à lui seul, prendre en charge la fibromyalgie ? – A. Lalonde

Objectifs d’apprentissage : › Apprécier les aspects

multidisciplinaires et interdisciplinaires (physiques, psychologiques et sociaux) de la fibromyalgie ;

› Reconnaître le rôle principal du médecin de famille compte tenu de sa polyvalence ;

› Identifier les lacunes dans le système actuel pour optimiser la prise en charge du patient ;

› Élaborer des stratégies afin de combler ces lacunes.

9 h Période de questions

9 h 15 Plénière : La fibromyalgie: mythe ou réalité ? - M. Hazeltine

Objectifs d’apprentissage : › Expliquer la physiopathologie de la

douleur dans la fibromyalgie ;

› Poser un diagnostic en utilisant les nouveaux critères diagnostiques ;

› Employer une approche thérapeutique en fonction du profil clinique du patient ;

› Définir le rôle du rhumatologue dans le suivi.


10 h Plénière : Fibromyalgie : j’ai peur de bouger, car j’ai mal ! [1re partie] – M. Hachala

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître que les patients atteints

de fibromyalgie sont physiquement déconditionnés ;

› Identifier le rôle du kinésiologue.



11 h Plénière : Fibromyalgie: le psychologue a-t-il un rôle à jouer ? - C. Bélanger

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître l’importance du volet

psychologique chez les patients fibromyalgiques ;

› Identifier les lacunes dans la prise en charge actuelle ;

› Intégrer le rôle du psychologue ;

› Résumer les différentes approches pouvant améliorer la dimension psychologique.




13 h 15 Plénière : Fibromyalgie : j’ai peur de bouger, car j’ai mal ! [2e partie] – M. Hachala

Objectif d’apprentissage : › Élaborer une stratégie de remise en

forme.


14 h Plénière : Fibromyalgie et dépression : comment s’y retrouver ? – B. Des Roches

Objectifs d’apprentissage : › Poser un diagnostic différentiel :

fibromyalgie, dépression avec symptômes douloureux, fibromyalgie avec dépression majeure ;

› Questionner son patient en moins de 15 minutes ;

› La médication: faire le ménage en toute sécurité.


15 h Plénière : La fibromyalgie est-elle une maladie psychosomatique ? - P. Verrier

Objectifs d’apprentissage : › Mieux définir le concept de médecine

psychosomatique ;

› Dégager une compréhension globale de la fibromyalgie ;

› Aménager des thérapeutiques adaptées aux différentes problématiques.



15 h 45 Plénière : La fibromyalgie est-elle invalidante ? - J. R. Turcotte

Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître quels sont les

déterminants de l’invalidité en matière de douleur chronique ;

› Décrire pourquoi l’évaluation de l’invalidité n’est pas différente lorsqu’il s’agit de la fibromyalgie.


16 h Table ronde : Comment améliorer la prise en charge du patient atteint de fibromyalgie – A. Lalonde, M. Hazeltine, M. Hachala, C. Bélanger, B. Des Roches, P. Verrier, J.R. Turcotte et P. Assalian (animateur)





Claude Bélanger, psychologue, président, Matrix service de réadaptation, professeur adjoint, département de psychiatrie, Université McGill

Benoit Des Roches, psychiatre, Clinique médicale Mont-Saint-Hilaire

Michael Hachala, kinésiologue, spécialiste en réadaptation, Matrix service de réadaptation

Mark Hazeltine, rhumatologue, Centre de rhumatologie de Laval

André Lalonde, omnipraticien, Clinique médicale Duvernay ; Clinique de la douleur, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal

Jean-Robert Turcotte, psychiatre, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal

Pierre Verrier, psychiatre, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal


Pierre Assalian, psychiatre, Association des médecins psychiatres du Québec

Mark Hazeltine, rhumatologue, Association des médecins rhumatologues du Québec


JOURNÉE QUÉBÉCOISE SUR LA TUBERCULOSE : MIEUX COMPRENDRE POUR MIEUX COMBATTRE

SESSION

CJournée conjointe :

› Association des médecins microbiologistes infectiologues du Québec

› Association des pneumologues de la province du Québec

› Association des médecins spécialistes en santé communautaire du Québec

8 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?

Microbiologistes infectiologues, pneumologues, médecins spécialistes en santé communautaire, résidents et autres médecins intéressés

Résumé

La tuberculose est l’une des premières causes de mortalité à l’échelle mondiale. Cette activité a pour but de permettre aux médecins spécialistes responsables du diagnostic, du traitement et du suivi des patients porteurs de tuberculose de discuter des données scientifiques les plus récentes, de découvrir des outils pouvant améliorer leur capacité à prévenir la transmission de la maladie et à prendre en charge des patients au quotidien. Ce sera l’occasion pour les professionnels d’échanger sur les multiples problématiques touchant la tuberculose et de proposer des solutions concrètes pour améliorer leur pratique.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Évaluer leur propre pratique en regard du diagnostic et de la prise en charge des patients atteints de tuberculose ;

› Déterminer les actions prioritaires à prendre pour améliorer leur capacité de communication avec les autres intervenants du réseau, optimiser le suivi des patients tuberculeux et rendre leur milieu de travail plus sécuritaire ;

› Consolider leurs liens avec les autres intervenants du réseau qui s’intéressent à la tuberculose.


Conférences magistrales avec périodes de questions, études de cas en grand groupe, claviers de réponses numériques.

HORAIRE


8 h 15 Plénière : Mot de bienvenue – S. Boukhoudmi

Modératrice : S. Boukhoudmi

8 h 20 Épidémiologie de la tuberculose et présentation du nouveau Guide d’intervention québécois – P. Rivest

Objectifs d’apprentissage : › Situer le Québec en ce qui concerne

l’incidence de la maladie, le taux de résistance aux antituberculeux et le taux de succès du traitement par rapport à la situation canadienne et mondiale ;

› Intégrer le nouveau Guide d’intervention québécois pour la tuberculose 2011 à sa pratique ;

› S’engager à mieux connaître le rôle des différents acteurs impliqués et améliorer la communication en utilisant un formulaire standardisé.


9 h 20 Diagnostic et prise en charge de la tuberculose latente – R. Menzies

Objectifs d’apprentissage : › Choisir quelle méthode utiliser dans

son milieu pour poser un diagnostic d’infection tuberculeuse ;

› Prédire, avec l’aide d’un outil en ligne, le risque qu’un patient soit porteur d’infection tuberculeuse latente et son risque de développer une tuberculose active en utilisant les résultats au test cutané à la tuberculine (TCT) ou au test de libération de l’interféron.



Modérateur : À confirmer

11 h Prévention de la tuberculose en milieu hospitalier – E. Nardell

(cette présentation sera donnée en anglais)


Objectifs d’apprentissage : › Évaluer le risque de transmission de

tuberculose dans son établissement de soins ;

› Faire les recommandations nécessaires pour réduire le risque de transmission de la tuberculose dans son milieu de travail.



Modératrice : L. Valiquette

13 h 15 Diagnostic et suivi de la tuberculose : outils disponibles au laboratoire – H. Soualhine

Objectifs d’apprentissage : › Utiliser les tests de biologie

moléculaire disponibles pour le diagnostic de la maladie et la détection de la résistance aux antituberculeux ;

› Décrire les différents services offerts par le Laboratoire de santé publique du Québec et le Laboratoire national de microbiologie à Winnipeg en ce qui concerne le diagnostic de la tuberculose.


14 h Études de cas en grand groupe

• V. Lamarre : pédiatrie

• P. Rivest : multi‑résistance/adhérence

• M. Kelly : VIH

• J. Pépin : effets secondaires

• R. Menzies : immunosuppression

• C. Béliveau : mycobactérioses autres que tuberculosis

Objectifs d’apprentissage : › Sélectionner le meilleur plan de

traitement pour un patient atteint d’infection tuberculeuse latente ou de tuberculose active en fonction de la sensibilité du micro-organisme, des effets indésirables potentiels chez l’hôte et du contexte socio-économique et légal.

15 h Pause-santé

15 h 15 Études de cas (suite)

16 h Mot de la fin et évaluation – S. Boukhoudmi




Claire Béliveau, microbiologiste infectiologue, Hôpital Maisonneuve-Rosemont

Soraya Boukhoudmi, microbiologiste infectiologue, Centre hospitalier régional de Lanaudière

Mirabelle Kelly, microbiologiste infectiologue, Hôpital Jean-Talon

Valérie Lamarre, pédiatre, Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine

Richard Menzies, pneumologue, directeur de la division respiratoire, Université McGill, Direction de la santé publique de Montréal

Edward A. Nardell, Associate Professor Harvard Medical School, Brigham and Women’s Hospital, Division of Global Health Equity, Boston

Jacques Pépin, infectiologue, Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke

Paul Rivest, omnipraticien, Direction de la santé publique, Agence de santé et de services sociaux de Montréal

Hafid Soualhine, spécialiste en sciences biologiques et physiques sanitaires, directeur du laboratoire de mycobactériologie, Laboratoire de santé publique du Québec

Louise Valiquette, médecin spécialiste en santé communautaire, Direction de la santé publique de Montréal


Soraya Boukhoudmi, microbiologiste infectiologue, Association des médecins microbiologistes infectiologues du Québec

Mirabelle Kelly, microbiologiste infectiologue, Association des médecins microbiologistes infectiologues du Québec

Richard Menzies, pneumologue, Association des pneumologues de la province du Québec

Paul Rivest, omnipraticien, Direction de la santé publique de Montréal

Louise Valiquette, médecin spécialiste en santé communautaire, Association des médecins spécialistes en santé communautaire du Québec


COMPLÉMENTARITÉ DE LA CHIRURGIE ET DE LA RADIOLOGIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES PATHOLOGIES CHIRURGICALES COURANTES

SESSION

DJournée conjointe :

› Association québécoise de chirurgie

› Association des radiologistes du Québec

8 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?

Chirurgiens, radiologistes, résidents et autres médecins intéressés

Résumé

Les chirurgiens et les radiologistes sont en constante interaction professionnelle, que ce soit à l’urgence, au bloc opératoire ou aux soins intensifs. Le bilan radiologique est une partie essentielle de l’évaluation préopératoire. Les interventions radiologiques viennent aider, voire remplacer le chirurgien dans la prise en charge de certaines pathologies chirurgicales. Dans cette optique, cette journée de formation comportera deux volets : 1) l’imagerie en chirurgie colorectale ; 2) les effets de la radiation, l’investigation des cholédocholithiases, l’hémorragie digestive et la place de la graphie en 2011.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Expliquer le rôle et les limitations des différentes modalités d’imagerie utiles dans l’investigation et la stadification du cancer colorectal ;

› Reconnaître l’impact des radiations associées aux différentes modalités d’imagerie et décrire les alternatives ;

› Reconnaître l’importance de la prise en charge interdisciplinaire de certaines problématiques comme les cholédocholithiases, l’hémorragie digestive et les pathologies intestinales obstructives.


Présentations magistrales avec périodes de questions, débat et discussion en grand groupe

HORAIRE


8 h 15 Plénière : Mot de bienvenue

8 h 20 L’impact de l’imagerie sur la prise en charge du cancer colorectal – R. Grégoire

Objectifs d’apprentissage : › Expliquer l’importance de l’imagerie

sur la prise en charge du cancer colorectal ;

› Sélectionner les examens appropriés en fonction du contexte clinique ;

› Interprétation des trouvailles radiologiques postopératoires.


9 h 5 Limites et écueils de l’IRM dans la stadification du cancer rectal – S. Morin

Objectifs d’apprentissage : › Expliquer les principes de la

stadification par IRM du cancer rectal ;

› Reconnaître la performance de l’IRM dans la stadification du cancer rectal ;

› Décrire les causes de surstadification et de sous-stadification du cancer rectal à l’IRM.


9 h 30 Limites et écueils de l’échographie endorectale dans l’évaluation du cancer rectal – A. Sahai

Objectifs d’apprentissage : › Identifier les indications de

l’échographie endorectale dans la stadification du cancer rectal ;

› Reconnaître la performance de l’échographie endorectale dans la stadification du cancer rectal ;

› Décrire les causes de surstadification et de sous-stadification du cancer rectal à l’échographie endorectale.


10 h Pause-santé

10 h 30 Prise en charge interdisciplinaire de l’occlusion colique – J. Hallet

Objectifs d’apprentissage : › Identifier les modalités diagnostiques

disponibles dans l’évaluation de l’occlusion colique ;

› Sélectionner l’intervention la plus appropriée pour le patient en occlusion colique ;

› Identifier les avantages et désavantages du tuteur dans la prise en charge de l’occlusion colique.


11 h 15 Mise à jour sur l’utilisation de la colonoscopie virtuelle – G. Brousseau


Objectifs d’apprentissage : › Reconnaître la performance de

la colonoscopie virtuelle dans le dépistage des polypes et du cancer colorectal ;

› Expliquer comment la colonoscopie virtuelle peut s’inscrire dans le dépistage du cancer colorectal en côtoyant les autres modalités ;

› Énumérer les recommandations actuelles quant au suivi versus une exérèse des polypes détectés par cette modalité.



13 h 15 Débat et discussion en grand groupe : La graphie digestive a-t-elle encore une place en 2011 ?

Pour : R. Laplante

Contre : D. Corriveau

Objectifs d’apprentissage : › Réviser les doses de radiation

associées aux examens radiologiques couramment utilisés dans l’évaluation des pathologies abdominales aiguës ;

› Mettre en perspective ces doses de radiation par rapport aux doses cumulatives souhaitables ;

› Décrire les effets reconnus de ces doses de radiation ;

› Discuter d’alternatives en imagerie en vue de réduire l’exposition aux radiations.


14 h 5 Utilisation de l’imagerie dans le diagnostic des pathologies chirurgicales aiguës : effets de la radiation – Y. Patenaude

Objectifs d’apprentissage : › Identifier les modalités diagnostiques

disponibles dans la prise en charge des cholédocholithiases ;

› Concevoir un algorithme pour l’évaluation et la prise en charge des cholédocholithiases ;

› Réviser la place de la cholangiographie rétrograde endoscopique (ERCP) dans l’évaluation des cholédocholithiases.


14 h 40 Évaluation et prise en charge radiologique de l’hémorragie digestive – F. Côté

Objectifs d’apprentissage : › Discuter de la place de l’imagerie

dans l’évaluation de l’hémorragie digestive ;

› Discuter de l’apport de l’angiotomodensitométrie à cet effet, de même que celui des autres examens radiologiques utiles et leur performance respective ;

› Décrire les traitements potentiels offerts en radiologie.



15 h 30 Évaluation et prise en charge des cholédocholithiases – J. Barkun

Objectifs d’apprentissage : › Évaluer les avantages de la graphie

dans la prise en charge des pathologies digestives ;

› Inventorier les alternatives à la graphie dans la prise en charge des pathologies digestives ;

› Sélectionner la modalité diagnostique la plus appropriée dans la prise en charge des pathologies digestives.






Jeffrey Barkun, chirurgien, Centre universitaire de santé McGill

Ghislain Brousseau, radiologiste, Centre hospitalier universitaire de Québec

François Côté, radiologiste, Centre hospitalier universitaire de Québec

Dominic Corriveau, radiologiste, Hôpital Sainte-Croix

Roger Grégoire, chirurgien, Centre hospitalier universitaire de Québec

Julie Hallet, chirurgienne, Centre hospitalier universitaire de Québec

Richard Laplante, chirurgien, Hôpital Sainte-Croix

Stanislas Morin, radiologiste, Centre hospitalier universitaire de Québec

Yves Patenaude, radiologiste, Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke

Anand Sahai, gastro-entérologue, Centre hospitalier de l’Université de Montréal


Jean-Pierre Gagné, chirurgien, Association québécoise de chirurgie

Patricia Noël, radiologiste, Association des radiologistes du Québec


L’IMPORTANCE DU COMITÉ DES TUMEURS : LE MODÈLE BIEN ARTICULÉ DES CANCERS DE LA TÊTE ET DU COU

SESSION

EJournée conjointe :

› Association des médecins hématologues et oncologues du Québec

› Association d’oto-rhino-laryngologie et de chirurgie cervico-faciale du Québec

› Association des radio-oncologues du Québec

8 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?

Hématologues, oncologues, ORL, radio-oncologues, résidents et autres médecins intéressés

Résumé

Cette activité présentera un modèle de fonctionnement d’une équipe interdisciplinaire en oncologie. Au moyen de vignettes cliniques, les membres d’une équipe interdisciplinaire interviendront à tour de rôle et feront une mise à jour sur les traitements de pointe. Les options de soins pour les tumeurs localisées ou localement avancées du nasopharynx, de la cavité buccale, de l’oropharynx et du larynx seront abordées.

Un accent sera mis sur la qualité de vie des patients traités et sur le rôle de la chirurgie maxillo-faciale, de l’oncogériatrie, des soins palliatifs, de l’orthophonie, de la nutrition clinique et des infirmières pivots en oncologie.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Reconnaître et apprécier les avantages du travail interdisciplinaire accompli dans le cadre d’un comité des tumeurs ;

› Agir à titre de référant et de participant dans une équipe de soins interdisciplinaires pour des patients atteints de tumeurs ORL ;

› Utiliser l’expertise de tous les professionnels d’une équipe interdisciplinaire afin de maximiser l’expérience de soins du patient atteint.


Simulation d’un comité interdisciplinaire des tumeurs, échange et discussion de cas complexes de cancers de la tête et du cou.

HORAIRE



Modérateurs : N. Blais, L. Lambert, A. Zeitouni

8 h 30 Équipe interdisciplinaire RUIS McGill

Comité des tumeurs – Cancer de l’oropharynx – A. Zeitouni, N. Bouganim, G. Shenouda


9 h 30 Équipe interdisciplinaire RUIS Montréal

Comité des tumeurs – Cancer du nasopharynx – L. Guertin, D. Soulières, L. Lambert, O. Gologan



11 h Équipe interdisciplinaire RUIS Laval

Comité des tumeurs – Cancer du larynx – F. Thuot, C. Doyle, A. Fortin



13 h 15 Table ronde et questions de l’auditoire : Rôle des intervenants spécialisés

• E. Blouin, infirmière pivot en oncologie

• D. Daunais, nutrition clinique

• A. Baudier, orthophonie

• J. Ghannoum, médecine buccale

Objectifs d’apprentissage : › Utiliser l’expertise de tous les

professionnels d’une équipe interdisciplinaire afin de maximiser l’expérience de soins du patient atteint.



15 h 45 Approche oncogériatrique appliquée aux cancers ORL – F. De Angelis

Objectifs d’apprentissage : › Utiliser les outils nécessaires pour

l’évaluation du patient âgé afin d’adapter les soins globaux d’un patient atteint d’un cancer ORL.






Anna Baudier, orthophoniste, Centre universitaire de santé McGill

Elizabeth Blouin, infirmière pivot en oncologie tête et cou, Centre universitaire de santé McGill

Nathaniel Bouganim, oncologie médicale, Centre universitaire de santé McGill

Danielle Daunais, nutritionniste, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Flavia De Angelis, oncologue médical, Hôpital Charles LeMoyne

Catherine Doyle, hématologue et oncologue médical, CHA Enfant-Jésus

André Fortin, radio-oncologue, Centre hospitalier universitaire de Québec

Julien Ghannoum, pathologiste maxillo-facial, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Olga Gologan, pathologiste, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Louis Guertin, oto-rhino-laryngologiste, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Louise Lambert, radio-oncologue, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

George Shenouda, radio-oncologue, Centre universitaire de santé McGill

Denis Soulières, hématologue et oncologue, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

François Thuot, oto-rhino-laryngologiste, Centre hospitalier universitaire de Québec

Anthony Zeitouni, oto-rhino-laryngologiste, Centre universitaire de santé McGill


Normand Blais, hématologue et oncologue médical, Association des médecins hématologues et oncologues du Québec

Sam J. Daniel, ORL, Association d’oto-rhino-laryngologie et de chirurgie cervico-faciale du Québec

Louise Lambert, radio-oncologue, Association des radio-oncologues du Québec


LA LECTURE CRITIQUE D’UNE ÉTUDE RANDOMISÉE CONTRÔLÉE

SESSION

1Atelier interactif

SESSION PRÉSENTÉE DEUX FOIS, SOIT EN MATINÉE ET EN APRÈS-MIDI

8 h 30 à 12 h ou 13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?

Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés

Résumé

Avec le foisonnement d’articles scientifiques de la littérature médicale, il est nécessaire de savoir bien évaluer la qualité des études publiées afin de juger de la pertinence ou non de modifier sa pratique à la lumière de ces publications. L’objectif de cet atelier est de revoir les principaux éléments qui permettent de juger de la qualité d’un essai clinique et de l’application de ses conclusions. Cet atelier s’adressera à un groupe restreint de participants afin d’assurer une véritable interaction et une discussion à l’aide d’exemples concrets.

Au terme de cette activité, les participants pourront faire une lecture critique d’une étude randomisée contrôlée et :

› Identifier la population randomisée ;

› Comprendre la méthodologie de l’étude ;

› Tirer leurs propres conclusions pour leur pratique.

HORAIRE EN MATINÉE



8 h 35 Début de l’atelier

10 h Pause-santé

10 h 30 Poursuite de l’atelier



HORAIRE EN APRÈS-MIDI

11 h 30 Accueil




15 h Pause-santé






Pierre Larochelle, interniste, Institut de recherches cliniques de Montréal

François Madore, néphrologue, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal




LES HABILETÉS DE GESTION D’UN CHEF DE DÉPARTEMENT OU DE SERVICE / LES COLLÈGUES DIFFICILES

SESSION

2Conférences magistrales avec périodes de questions


8 h 30 à 12 h ou 13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?

Tous les médecins spécialistes chefs de département ou de service et ceux intéressés à le devenir

Résumé

La plupart des centres hospitaliers et des universités nomment les chefs de départements et de services pour des mandats de quatre ans. Pour certains, devenir chef sera une source de satisfaction ; pour d’autres, l’aventure tournera au cauchemar. Avez-vous les attitudes et habiletés de gestion requises ? Quelles sont vos attentes, celles de vos collègues et celles de l’administration ? Cette activité s’adresse à vous si vous voulez connaître le profil d’un bon chef de département et savoir si vous avez le physique de l’emploi. Elle vous aidera aussi à améliorer vos connaissances sur les méthodes de gestion des conflits et des personnalités difficiles.

Au terme de cette activité, le participant sera en mesure de : › Décrire le profil idéal et la fonction d’un chef de département ou de service :

• Attitudes et habiletés de gestion ;

• Connaissances administratives et légales ;

• Rôles et responsabilités eu égard à la gestion de la performance, de la qualité et de l’évaluation de l’acte médical.

› Discuter des notions suivantes :

• Pouvoir par opposition à responsabilités ;

• Mandat réel par opposition aux attentes des collègues et des autorités médico-administratives ;

• Leadership et manières de l’exercer.

› Mieux gérer les conflits et les personnalités difficiles grâce à l’acquisition ou à l’approfondissement des notions suivantes :

• Mécanismes régissant les relations interpersonnelles entre professionnels ;

• Comportements et langage appropriés à la création de relations de travail positives et constructives ;

• Causes sous-jacentes des conflits ;

• Techniques pour désamorcer les conflits ;

• Réorientation d’une agression verbale ou non verbale ;

• Influence sur les comportements d’autrui ;

• Stratégies de communication appropriées selon l’interlocuteur et la nature de la relation ou du conflit ;

• Type de rétroactions favorisant la création de relations productives.

› Apprécier les avantages et les désavantages personnels et professionnels de la fonction de chef .

› Planifier le retour à la vie professionnelle normale en fin de mandat.

HORAIRE EN MATINÉE



8 h 35 Les habiletés de gestion d’un chef de département hospitalier – L. C. Pelletier

10 h Pause-santé

10 h 30 La gestion de collègues jugés difficiles – C. Lemieux




11 h 30 Accueil



13 h 20 Les habiletés de gestion d’un chef de département hospitalier – L. C. Pelletier

15 h Pause-santé

15 h 15 La gestion de collègues jugés difficiles – C. Lemieux





Louis-Conrad Pelletier, chirurgien cardiovasculaire et thoracique, conseiller en gestion de la santé

Carl Lemieux, psychologue industriel




VOS PAPIERS S.V.P. ! : AUTOGÉRER MA FORMATION CONTINUE : DÉMARCHE ET OUTILS PRATIQUES POUR M’ARRIMER AUX PROGRAMMES DE DPC DU CMQ ET DU CRMCC

SESSION

3Atelier interactif

8 h 30 à 12 h


Pour qui ?


Résumé

Au cours de cet atelier interactif et introspectif, les participants saisiront les cinq étapes du cycle de la pratique réflexive qui est connexe à toute pratique clinique ; en particulier, ils s’approprieront les ressources qui les aideront à identifier des enjeux clés concernant leur pratique professionnelle.

Enfin, à l’aide d’un outil simple, ils développeront leur propre portfolio personnel de DPC s’arrimant aux programmes reconnus de DPC, soit celui du Collège des médecins du Québec (CMQ), soit celui du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC).

Ils seront ainsi en mesure de répondre adéquatement aux exigences de ces organismes.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Comprendre le cycle de la pratique réflexive à la base des systèmes d’autogestion

du DPC ;

› Utiliser des ressources qui facilitent la pratique réflexive comme par exemple le portfolio professionnel, les données disponibles sur les actes médicaux et les prescriptions pharmaceutiques (CMQ, ACPM, IMS Brogan) ainsi que les données au niveau des CMDP ;

› Intégrer dans leur DPC la démarche de pratique réflexive.

HORAIRE




10 h Pause-santé




Conférencier et animateur

Robert L. Thivierge, pédiatre, Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine et Direction du DPC, Faculté de Médecine, Université de Montréal




SURVIVRE AUX COMPLICATIONS INATTENDUES, AUX PLAINTES ET AUX POURSUITES / COMMENT TENDRE LA MAIN À UN COLLÈGUE EN DIFFICULTÉ ?

SESSION

4Ateliers interactifs

13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

La première partie de cette session, qui comprend deux ateliers interactifs, s’intéresse à la gestion des complications inattendues, des plaintes et des poursuites. Ces événements, dont personne n’est à l’abri, font partie intégrante de la pratique médicale. Pourtant, lorsqu’ils surviennent, ils sont souvent un véritable cauchemar, une source d’inquiétude et de remise en question. La deuxième partie de cette session concerne les collègues en difficulté. Combien de fois vous êtes-vous dit : « Je le savais, je sentais venir la catastrophe prochaine, j’aurais donc dû intervenir ! Maintenant il est trop tard ». Cette activité donnera aux participants des moyens de surmonter certaines situations professionnelles difficiles, pour eux-mêmes et leurs collègues.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Au niveau des complications inattendues, des plaintes et des poursuites :

• Humaniser l’erreur ;

• Expliquer les impacts de ces événements sur le médecin spécialiste ;

• Identifier les différentes étapes qui suivent ces événements ;

• Développer une stratégie de survie.

› Au niveau des collègues en difficulté :

• Identifier les signaux d’alarme et de détresse ;

• Identifier les situations pouvant provoquer et exacerber la détresse ;

• Prendre action et poser un geste approprié.

HORAIRE

11 h 30 Accueil



13 h 20 Survivre aux complications inattendues, aux plaintes et aux poursuites- S. Collins et D. Francœur


15 h Comment tendre la main à un collègue en difficulté ? C. Rajotte et R. Wassef





Sophie Collins, anesthésiologiste, médecin-conseil, Programme d’aide aux médecins du Québec

Diane Francœur, obstétricienne-gynécologue, Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine

Claude Rajotte, omnipraticien, médecin-conseil, Programme d’aide aux médecins du Québec

Ramses Wassef, chirurgien, Centre hospitalier de l’Université de Montréal




PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME

LES ASPECTS FINANCIERS

SESSION

6aAtelier interactif


8 h 30 à 12 h ou 13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

« Le mot retraite n’a jamais fait partie de mon vocabulaire, mais il faudra bien que j’y pense un jour. »

Croyez-vous avoir suffisamment d’argent pour la retraite ? Connaissez-vous bien les régimes gouvernementaux (RRQ, RPC) ? Utilisez-vous de bonnes stratégies fiscales pour atteindre vos objectifs de retraite ? Cet atelier interactif répondra à ces questions et abordera aussi d’autres sujets reliés tels que les abris fiscaux, les crédits d’impôt et les risques financiers inhérents à la retraite. Traitées avec précision et rigueur, et bien vulgarisées par un animateur possédant plus de 25 ans d’expérience, les explications vous permettront de prendre des décisions éclairées sur votre avenir.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Maîtriser leurs craintes face à la retraite et au décaissement de leurs économies ;

› Comprendre les stratégies fiscales et financières pour leur retraite (période d’accumulation, produits, abris fiscaux, etc.) ;

› Comprendre les implications financières et fiscales de leur retraite (période d’utilisation du patrimoine, produits, crédits d’impôt, etc.) ;

› Éviter les risques financiers inhérents à la retraite ;

› Prendre les décisions financières optimales.

HORAIRE EN MATINÉE




10 h Pause-santé





11 h 30 Accueil




15 h Pause-santé





Conférencier et animateur

Alain Doucet, actuaire et planificateur financier, Financière des professionnels


Bernard Bissonnette, rhumatologue, Fédération des médecins spécialistes du Québec

Marc Billard, directeur adjoint, Direction de l’amélioration de l’exercice, Collège des médecins du Québec

Marie Annick Dell’Aniello, directrice, Communication et marketing, Financière des professionnels

Alain Doucet, actuaire et planificateur financier, Financière des professionnels

François Goulet, directeur adjoint, Direction de l’amélioration de l’exercice, Collège des médecins du Québec

Claude Guimond, directeur adjoint, Direction de la formation professionnelle, Fédération des médecins omnipraticiens du Québec

Diane Francœur, obstétricienne-gynécologue, Fédération des médecins spécialistes du Québec

Gilles Hudon, directeur des Politiques de la santé et de l’Office de développement professionnel, Fédération des médecins spécialistes du Québec

Pierre Raîche, directeur de la formation professionnelle, Fédération des médecins omnipraticiens du Québec


SESSION

X PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME

LES ASSURANCES ET LES ASPECTS JURIDIQUES

SESSION

6bAtelier interactif

SESSION PRÉSENTÉE EN APRÈS-MIDI

13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

Le patrimoine familial s’applique-t-il aux conjoints de fait ? Suis-je trop assuré ? Être inapte sans mandat de protection en cas d’inaptitude, quelles en sont les conséquences ? Ai-je besoin d’une fiducie testamentaire ? Cet atelier interactif répondra à ces questions et abordera aussi d’autres sujets juridiques importants. Les explications d’un notaire chevronné vous permettront de prendre des décisions éclairées sur vos besoins en la matière.

Au terme de cette activité, les participants maîtriseront certaines notions juridiques importantes pour le médecin et ses proches concernant la planification adéquate de la retraite et portant sur le patrimoine, le portefeuille d’assurances, l’inaptitude et le décès. Les sujets traités comprennent notamment :

› Le patrimoine familial et les régimes matrimoniaux ;

› Les conjoints de fait ;

› L’acquisition de biens immeubles ;

› Les besoins en matière d’assurances ;

› Les types d’assurances ;

› Le mandat d’inaptitude ;

› Les régimes de protection ;

› Les différents types de testaments ;

› Le décès sans testament ;

› Le testament fiduciaire ;

› Les stratégies de planification testamentaire.

HORAIRE

11 h 30 Accueil




15 h Pause-santé






Anne-Marie Laporte, notaire, Financière des professionnels

Catherine Felber, planificatrice financière, Sogemec Assurances



Bernard Bissonnette, rhumatologue, Fédération des médecins spécialistes du Québec

Catherine Boily, notaire, Sogemec Assurances



Diane Francœur, obstétricienne-gynécologue, Fédération des médecins spécialistes du Québec


Caroline Morel, directrice, Développement des affaires, Sogemec Assurances

Nathalie B. Poisson, notaire, Financière des professionnels



PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME

LES ASPECTS PSYCHOSOCIAUX, RÉGLEMENTAIRES ET DÉONTOLOGIQUES

SESSION

6cAtelier interactif

8 h 30 à 12 h


Pour qui ?

Tous les médecins spécialistes

Résumé

« J’aimerais réduire mes activités cliniques et prendre une semi-retraite. Mais comment faire ? »

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Apprivoiser le deuil de la reconnaissance des patients lors de la prise de la retraite ;

› Reconnaître l’impact de son départ sur le fonctionnement du service hospitalier ou de la clinique ;

› Juger de l’impact de sa retraite sur sa vie familiale et son entourage ;

› Surmonter son insécurité financière et celle de ses proches ;

› S’adapter à la réduction de la charge de travail ou à la modification de son champ d’activité professionnelle ;

› Utiliser les différents moyens présentés afin de maintenir un équilibre de vie ;

› Discuter des obligations du médecin lors d’un changement de statut en établissement et en cabinet ;

› Envisager différentes options, telles que modification ou réduction d’activités, pour une retraite en douceur ;

› Intégrer le maintien de la compétence à tout âge ;

› Appliquer les aspects réglementaires liés au statut de médecin retraité en ce qui a trait aux ordonnances et à la cession de dossiers.

HORAIRE



8 h 35 Les aspects psychosociaux – R. Ladouceur

10 h Pause-santé

10 h 30 Les aspects réglementaires et déontologiques – M. Deschênes




Mario Deschênes, syndic, Direction des enquêtes, Collège des médecins du Québec

Roger Ladouceur, responsable du Plan de DPC, Direction de l’amélioration de l’exercice, Collège des médecins du Québec



Mario Deschênes, syndic, Direction des enquêtes, Collège des médecins du Québec




Roger Ladouceur, responsable du Plan de DPC, Direction de l’amélioration de l’exercice, Collège des médecins du Québec



SESSION

X LES ORDONNANCES COLLECTIVES - QU’EN SAVEZ-VOUS ?

SESSION

7Conférences magistrales avec périodes de questions

13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

Comment une ordonnance collective peut-elle faciliter la vie du médecin ? La Loi 90 établit un nouveau partage des activités réservées aux professionnels dans le secteur de la santé physique, abolissant la notion de délégation d’actes. Lorsqu’en vigueur, le projet de loi no 21 apportera un nouveau partage d’activités dans le secteur de la santé mentale. Savez-vous à qui vous pouvez permettre l’exercice de telles activités réservées à l’aide d’une ordonnance collective ? Connaissez-vous les possibilités que vous offrent les ordonnances collectives ? Qui peut les rédiger ? Comment les rendre applicables ? Vous trouverez réponse à vos questions au cours de cette activité réunissant trois ordres professionnels.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Définir les ordonnances individuelles et les ordonnances collectives en milieu intra et

extra-établissement ;

› Décrire les différences entre les ordonnances collectives et les anciennes ordonnances permanentes, les protocoles, les règles de soins et les règles d’utilisation des médicaments ;

› Identifier les professionnels ou autres intervenants du réseau de la santé qui peuvent poser des actes à la suite d’ordonnances individuelles ou collectives du médecin spécialiste ;

› Décrire les actes que d’autres professionnels ou intervenants du réseau de la santé peuvent poser à la suite d’ordonnances individuelles ou collectives du médecin spécialiste ;

› Discuter les normes réglementaires du Collège encadrant la rédaction de telles ordonnances par un médecin ou groupe de médecins spécialistes en établissement et en milieu communautaire ;

› Expliquer, à l’aide d’exemples, les avantages pour un patient que le médecin spécialiste se prévale des ordonnances collectives.

HORAIRE

11 h 30 Accueil



13 h 20 Les ordonnances collectives : leur utilité pour le médecin spécialiste – C. Ménard

15 h Pause-santé

15 h 15 Les ordonnances collectives : place à l’efficacité ! – G. Ménard

15 h 45 Les ordonnances collectives : un leadership à prendre – M. Lambert

16 h Rôle du CMDP dans la rédaction et l’approbation d’une ordonnance collective – M. Arata





Martin Arata, président, Association des conseils des médecins, dentistes et pharmaciens du Québec

Manon Lambert, directrice générale et secrétaire, Ordre des pharmaciens du Québec

Claude Ménard, adjoint à la Direction générale et au secrétaire, Collège des médecins du Québec

Geneviève Ménard, directrice-conseil à la Direction des affaires externes, Ordre des infirmières et infirmiers du Québec




MA PRATIQUE ET LA SÉCURITÉ DES PATIENTS

SESSION

8Atelier interactif

13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

Les médias rapportent régulièrement des histoires d’horreur concernant les patients dans nos hôpitaux : à les lire, on pourrait avoir l’impression que les « erreurs médicales » sont plus fréquentes que les soins adéquats… Qu’en est-il vraiment ? Saviez-vous que beaucoup de ces erreurs sont dues au système de fonctionnement en place ? Savez-vous comment les prévenir ? Savez-vous comment les rapporter et les divulguer au patient ? Croyez-vous être responsable des actes que vous déléguez ? Dans cet atelier, vous acquerrez des notions et des outils pour vous aider à évaluer et à gérer les risques à la sécurité des patients dans votre milieu de pratique.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Contribuer à une culture de la sécurité des patients ;

› Décrire les éléments fondamentaux de la sécurité des patients ;

› Travailler en équipe interprofessionnelle de manière efficace pour optimiser la sécurité des patients ;

› Communiquer efficacement dans des situations à risque élevé pour renforcer la sécurité des patients.

HORAIRE

11 h 30 Accueil




15 h Pause-santé






Markirit Armutlu, directrice régionale pour le Québec, Groupe Vigilance pour la sécurité des soins

Louise Samson, radiologiste, Groupe Vigilance pour la sécurité des soins

Micheline Ste-Marie, gastro-entérologue pédiatrique et présidente du Groupe Vigilance pour la sécurité des soins

Lorraine LeGrand Westfall, chirurgienne et directrice des affaires régionales, Association canadienne de protection médicale


Markirit Armutlu, directrice régionale pour le Québec, Groupe Vigilance pour la sécurité des soins

Louise Samson, radiologiste, Groupe Vigilance pour la sécurité des soins

Micheline Ste-Marie, gastro-entérologue pédiatrique et présidente du Groupe Vigilance pour la sécurité des soins


SESSION

XL’EXPERTISE ET LE MÉDECIN SPÉCIALISTE : UNE LONGUE CARRIÈRE FAIT-ELLE DE VOUS UN EXPERT ?

SESSION

9Conférences magistrales avec périodes de questions et de discussion en grand groupe

8 h 00 à 16 h 30


Pour qui ?

Tous les médecins spécialistes

Résumé

Cette session d’une journée entière est destinée aux médecins spécialistes qui font ou qui veulent faire de l’expertise. L’atelier vise à sensibiliser les médecins aux exigences de cette discipline et aux attentes des différents mandants, surtout lorsqu’ils abordent ce secteur d’activité sans aucune formation préalable.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Énumérer les devoirs et compétences des médecins experts ;

› Expliquer les attentes de la SAAQ, la CSST, la RRQ et des juges vis-à-vis les médecins experts et leurs témoignages ;

› Éviter les erreurs les plus fréquentes.

HORAIRE EN MATINÉE


8 h Mot de bienvenue – G. L’Espérance

8 h 5 Éthique et expertise – G. L’Espérance


8 h 50 Les devoirs de l’expert – F. Sestier


9 h 35 Que recherche la SAAQ dans une expertise ? – S. Tremblay



10 h 30 Que recherche la CSST dans une expertise ? R. Lemieux


11 h 15 Que recherche la RRQ dans une expertise ? S. Trempe




13 h 15 Quelles sont les attentes de la CLP vis-à-vis les médecins experts ? P. Bouvier


14 h 15 Quelles sont les attentes du TAQ vis-à-vis les médecins experts ? J. Caron


15 h Pause-santé

15 h 15 Quelles sont les attentes des juges vis-à-vis les médecins experts ? S. Hardy-Lemieux


16 h Discussion générale

16 h 20 Mot de la fin et évaluation – F. Sestier




Philippe Bouvier, juge, Commission des lésions professionnelles du Québec

Josée Caron, juge administratif, Tribunal administratif du Québec

Réal Lemieux, médecin-conseil, Commission de la santé et de la sécurité du travail du Québec

Georges L’Espérance, neurochirurgien, président, Société des experts en évaluation médicolégale du Québec

François Sestier, cardiologue, directeur du programme médecine d’expertise, Université de Montréal

Sylvie Tremblay, médecin-conseil, Société de l’assurance automobile du Québec

Suzanne Trempe, médecin-conseil, Régie des rentes du Québec

Suzanne Hardy-Lemieux, juge, Cour supérieure du Québec




ENHANCING LEARNING, ADVANCING CARE: THE ROYAL COLLEGE’S MOC PROGRAM AND MAINPORT WEB APPLICATION

MIEUX APPRENDRE POUR MIEUX SOIGNER : LE PROGRAMME DE MAINTIEN DU CERTIFICAT DU COLLÈGE ROYAL ET L’APPLICATION WEB MAINPORT

SESSION

10Atelier interactif / Interactive workshop

MORNING SESSION (ENGLISH PRESENTATION)

8 h 30 to 12 h

Duration of the learning activity: 3 hours

SESSION D’APRÈS-MIDI (EN FRANÇAIS)

13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ? / For whom ?

Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés. All medical specialists and residents

Résumé / Summary

Les dernières modifications apportées au Programme de maintien du certificat (MDC) du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada le rendent plus rationnel et flexible et encouragent l’utilisation planifiée de stratégies d’apprentissage multiples qui répondent aux besoins perçus et non perçus des médecins spécialistes. Ces changements découlent des résultats d’une évaluation stratégique qui avait pour but d’élaborer un programme d’apprentissage répondant aux attentes des médecins spécialistes telles que révélées par une enquête nationale et basée sur des faits tirés de la littérature scientifique en DPC.

MAINPORT, l’application Internet utilisée par les participants au Programme de MDC, a été remaniée afin de refléter ces changements et faciliter l’autogestion de l’apprentissage, soit, plus spécifiquement, la planification et la consignation des activités de formation et la réflexion sur la pratique.

The Royal College’s revised Maintenance of Certification (MOC) Program promotes the intentional integration of multiple learning strategies to meet perceived and unperceived needs of specialists ; it is streamlined and more flexible. A MOC Program evaluation strategy combined a comprehensive survey of experiences and perspectives of specialists with key findings from the CPD research literature to develop an evidence-informed framework and credit system.

MAINPORT, a web application used by MOC Program participants, has also been redesigned to reflect the new framework with the goal of becoming an integrated learning space that supports planning, reflection, documentation, and management of learning for practice.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Expliquer les principaux changements apportés au Programme de maintien du certificat

et aux critères d’attribution des unités de formation (crédits) ;

› Décrire au moins trois changements intégrés dans la nouvelle application MAINPORT ;

› Élaborer un plan de DPC spécifique à leurs propres rôles, responsabilités et pratique professionnelle.

At the end of this session, participants will be able to:

› Explain the key changes to the MOC program framework and credit system ;

› Describe up to 3 changes to the functionality of the new MAINPORT application ;

› Develop CPD plan that is specific to their roles, responsibilities and practice context.

HORAIRE / SCHEDULE

7:00 AM Breakfast and registration

8:30 Introduction

8:35 Workshop begins

10:00 Break

10:30 Workshop continues

11:50 Conclusion and evaluation

Noon Lunch and welcoming address from FMSQ’s President Dr Gaétan Barrette

Speakers

Craig Campbell, Director, Professional Affairs, Royal College of Physicians and Surgeons of Canada

Jennifer Gordon, Manager, Continuing Professional Development, Royal College of Physicians and Surgeons of Canada

Scientific Committee

Planning Committee for the 4th Journée de formation interdisciplinaire of the FMSQ

11 h 30 Accueil




15 h Pause-santé





Conférencières et animatrices

Andrée Boucher, professeure agrégée, Département de médecine, Université de Montréal

Nina Verreault, chargée d’enseignement clinique, Faculté de médecine, Université Laval



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SESSION

XPOUR ÉVITER DE FAIRE LA UNE DU JOURNAL : GESTES DE BASE EN RÉANIMATION À CONNAÎTRE ET SURTOUT… À APPLIQUER

SESSION

11Atelier interactif

8 h 30 à 12 h ou 13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

Quelques coroners nous l’ont rappelé : tout médecin doit pouvoir réagir à une situation d’urgence, dans sa clinique, dans sa salle d’attente et même lors de ses loisirs. Des recommandations claires sont d’ailleurs incluses dans une nouvelle publication du Collège des médecins du Québec portant sur les interventions (médicales ou chirurgicales) en milieu extrahospitalier pour toutes nos cliniques. Cet atelier pratique sera d’abord basé sur les dernières recommandations (2010) concernant la réanimation de base pour les professionnels de la santé et permettra aux intéressés d’obtenir une reconnaissance de formation. De plus d’autres gestes essentiels seront revus.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Réagir aux urgences cardiorespiratoires et appliquer l’essentiel des techniques ;

› Manipuler un défibrillateur externe automatisé ;

› Identifier ce que la trousse d’urgence de sa clinique ou son bureau devrait contenir ;

› Comment obtenir la certification ACLS (ou son renouvellement) avec un nouveau logiciel et un nouveau programme.

HORAIRE EN MATINÉE

7h 00 Accueil et petit-déjeuner



10 h Pause-santé





11 h 30 Accueil et petit-déjeuner




15 h Pause-santé






Ernest Prégent, urgentologue, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal

Michel Bélanger, maître instructeur de soins immédiats en réanimation (SIR) et instructeur ACLS




SESSION

XVOUS, VOTRE PATIENT ET LES MÉDICAMENTS : BÉNÉFICES ET RISQUES DE L’APPLICATION INTÉGRALE DES LIGNES DIRECTRICES

SESSION

12Atelier interactif

13 h 15 à 16 h 30


Pour qui ?


Résumé

Il y a maintenant des guides de pratique pour la majorité des pathologies courantes. Cet atelier portera sur l’utilisation des guides de pratique pour l’optimisation de la thérapie. La prescription de médicaments doit se faire à la suite de l’évaluation du bénéfice du traitement par rapport aux risques que celui-ci entraîne pour votre patient. Il faut se rappeler que les guides de pratique se basent sur des données moyennes obtenues dans une large population : ces guides sont donc utiles à titre d’orientation pour individualiser le traitement de chaque patient, mais ne peuvent remplacer le jugement du clinicien. Au cours de cet atelier, des exemples concrets de traitement de maladies cardiométaboliques (hypertension, hyperlipidémie et diabète) seront présentés et discutés.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Identifier et commenter les lignes directrices en hypertension, hyperlipidémie et diabète ;

› Appliquer avec discernement ces lignes directrices en pratique courante ;

› Dévier des lignes directrices lorsque cliniquement indiqué ;

› Comparer les lignes directrices de sociétés de différents pays.

HORAIRE11 h 30 Accueil




15 h Pause-santé






Patrick du Souich, pharmacologue clinicien, Centre hospitalier de l’Université de Montréal

Pierre Larochelle, interniste, Institut de recherches cliniques de Montréal

Rémi Rabasa-Lhoret, endocrinologue, Institut de recherches cliniques de Montréal




L’INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS (ICSP) : DE FOND EN COMBLE. / CAMPAGNE QUÉBÉCOISE : ENSEMBLE, AMÉLIORONS LA PRESTATION SÉCURITAIRE DES SOINS DE SANTÉ

Présentations avec périodes de questions

8 h 30 à 12 h


Pour qui ?


Résumé

Cette activité en deux temps fera connaître aux participants la mission, le rôle et les actions de l’ICSP ainsi que les diverses interventions de la campagne québécoise en format interactif et didactique. Un lien sera fait entre le plan stratégique de l’ICSP et les nombreuses initiatives, les programmes, les outils et les ressources mis à la disposition des professionnels de la santé du Québec dans les domaines de la formation, de la gouvernance, de la divulgation des événements indésirables, de l’analyse des causes souches, de la simulation, de la chirurgie sécuritaire, du contrôle et de la prévention des infections, et de la prévention des événements iatrogènes médicamenteux.

Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de : › Identifier les ressources et outils de l’ICSP pouvant servir à améliorer leur pratique ;

› Reconnaître le rôle du/de la spécialiste dans chacune des interventions de la Campagne – Soins de santé plus sécuritaires maintenant ;

› Promouvoir davantage l’importance d’une prestation sécuritaire des soins de santé ;

› Favoriser l’adoption d’une culture de la sécurité des patients dans leur milieu.

HORAIRE

7 h Accueil


8 h 35 L’Institut canadien pour la sécurité des patients : de fond en comble - R. Bouali

10 h Pause-santé

10 h 30 Campagne québécoise : ensemble, améliorons la prestation sécuritaire des soins de santé – M. Armutlu




Redouane Bouali, intensiviste, Hôpital d’Ottawa et Centre hospitalier de l’Université de Montréal, Officier scientifique, Institut canadien pour la sécurité des patients

Markirit Armutlu, directrice régionale pour le Québec et le Programme de soins de santé plus sécuritaires maintenant, Institut canadien pour la sécurité des patients


Comité de planification de la 4e journée interdisciplinaire de la FMSQ

SESSION

13


REMERCIEMENTSCette journée est rendue possible grâce à une subvention inconditionnelle à visées éducatives de :

EXPOSANTS

Collège Royal des médecins et des chirurgiens du CanadaFinancière des professionnels

Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP) Programme d’aide aux médecins du Québec (PAMQ)

Sogemec Assurances

CRÉDITS DE FORMATION

L’Office de développement professionnel (ODP) de la Fédération des médecins spécialistes du Québec est pleinement agréé à titre de prestataire de développement professionnel continu (DPC) par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC) et par le Collège des médecins du Québec (CMQ).

L’ODP approuve cette activité comme étant une formation collective agréée au sens que lui donne la section 1 du programme de Maintien du certificat du CRMCC.

L’Office de développement professionnel reconnaît 1 crédit de la section 1 par heure de participation, pour un total de 6,75 crédits pour l’activité globale. Une participation à cette activité donne droit à une attestation de présence.

Les participants doivent réclamer un nombre d’heures conforme à la durée de leur participation.

Conception graphique et révision : Direction des Affaires publiques et des Communications ‑ FMSQ

programme final - fmsq...hoda sayegh, coordonnatrice-logistique, office de développement...

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