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Vendredi 21 novembre 2014PALAIS DES CONGRÈS DE MONTRÉAL201, avenue Viger Ouest • 5e étage – Foyer Viger • Métro Place-d’Armes
PROGRAMME FINAL
LANCEMENT DE LA
PLATEFORME D’APPRENTISSAGE
EN LIGNEFMSQ.ORG/PLATEFORME
COMITÉ DE PLANIFICATION DE LA 7E JOURNÉE DE FORMATION INTERDISCIPLINAIRE DE LA FMSQ• Dr Pierre Assalian, psychiatre, responsable du
DPC, Association des médecins psychiatres du Québec
• Dre Noémie Bazinet-Rouillard, Fédération des médecins résidents du Québec
• Mme Marie-Josée Bouchard, agente de projets, Office de développement professionnel, FMSQ
• Dr Sam J. Daniel, ORL et directeur, Office de développement professionnel, FMSQ
• Dr Mario Ducharme, neurologue, Association des neurologues du Québec
• Dre Diane Francœur, obstétricienne gynécologue et présidente de la FMSQ
• Dr Richard Montoro, psychiatre et secrétaire, conseil d’administration, FMSQ
• Dre Lucie Opatrny, spécialiste en médecine interne et conseillère, conseil d’administration, FMSQ
• Mme Nicole Pelletier, ARP, directrice, Affaires publiques et Communications, FMSQ
• Dr Stephen Rosenthal, spécialiste en médecine d’urgence et trésorier, conseil d’administration, FMSQ
• Dr Robert L. Thivierge, pédiatre, Association des pédiatres du Québec
• Mme Brigitte Vinet, adjointe de direction, Office de développement professionnel, FMSQ
• Mme Patricia Wade, conseillère recherche et développement, Office de développement professionnel, FMSQ
DIRECTION SCIENTIFIQUE• Dr Sam J. Daniel, ORL et directeur, Office de
développement professionnel, FMSQ
• Mme Patricia Wade, conseillère recherche et développement, Office de développement professionnel, FMSQ
COORDINATION DE LA LOGISTIQUE• Mme Marie-Josée Bouchard, agente de projets,
Office de développement professionnel, FMSQ
• Mme Brigitte Vinet, adjointe de direction, Office de développement professionnel, FMSQ
PARTENAIRESCETTE JOURNÉE A ÉTÉ RÉALISÉE EN COLLABORATION AVEC LES ASSOCIATIONS MÉDICALES AFFILIÉES SUIVANTES :
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MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE
Quel plaisir d’apprendre ensemble et de retrouver d’anciens collègues! Cette septième édition de la JFI vous propose un programme bien rempli où il sera, encore une fois, difficile de s’arrêter sur un seul choix !
Comme vous le savez, l’objectif premier de la JFI est de vous offrir une approche interdisciplinaire qui permet d’amener les discussions scientifiques à un niveau plus élevé.
Cette année, nous avons modifié la formule traditionnelle du cocktail pour commencer la journée avec le petit-déjeuner de la présidente. En plus de vous présenter les membres de notre conseil d’administration pour que vous puissiez les rencontrer pendant les pauses de réseautage, j’aurai, cette année, l’immense plaisir de vous dévoiler notre plateforme d’apprentissage en ligne. Ce projet, sur lequel nous travaillons tous très fort, devrait vous séduire puisque le DPC ne sera éventuellement qu’à quelques clics de vous !
La mise à jour des activités fédératives sera faite après la remise des prix lors du repas du midi. Avec plus de 850 membres inscrits en 2013, les JFI représentent déjà un succès fédératif. Votre participation nous confirme que la FMSQ est un partenaire incontournable dans l’organisation des soins de santé au Québec. La rigueur avec laquelle nous vous offrons des outils de DPC en fait foi.
En terminant, je vous rappelle que tous les médecins spécialistes peuvent recevoir une allocation de ressourcement pour leur participation à cette journée de formation. N’oubliez pas de la réclamer !
La présidente,
Diane Francœur, M.D.
De gauche à droite, on retrouve : Dr Stephen Rosenthal, Dr Raynald Ferland, Dr Harold Bernatchez, Dr Richard Montoro ainsi que Dr Roger C. Grégoire. Sont assises, Dre Lucie Opatrny, la présidente Dre Diane Francœur ainsi que Dre Karine Tousignant.
SOMMAIRE DES SESSIONS
Session A 5
Session B 7
Session C 10
Session D 12
Session E 15
Session F 17
Session G 19
Session 1 21
Session 2 22
Session 3 23
Session 4 23
Session 5 24
Session 6 25
Session 7 26
Session 8 27
Session 9 28
Session 10 29
Session 11 30
Session 12 (annulée) 31
Prix 32
Présentation des affiches 34
CRÉDITS DE FORMATION
La présente activité est une activité de formation collective agréée (section 1) au sens que lui donne le programme de Maintien du certificat (MDC) du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada, approuvée par l’Office de développement professionnel (ODP) de la Fédération des médecins spécialistes du Québec.
L’ODP reconnaît 1 crédit de la section 1 par heure de participation, pour un maximum de 7 crédits pour l’activité globale. Une participation à cette activité donne droit à une attestation de présence. Les participants doivent réclamer un nombre d’heures conforme à la durée de leur participation.
En vertu d’une entente conclue entre le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada et l’American Medical Association (AMA), les médecins peuvent convertir les crédits obtenus au titre du programme de MDC du Collège royal en crédits de catégorie 1 de l’AMA PRAMC. Vous trouverez l’information sur le processus de conversion des crédits du programme de MDC du Collège royal en crédits de l’AMA à l’adresse ama-assn.org/go/internationalcme.
Conception graphique et révision : Direction des Affaires publiques et Communications - FMSQ – Novembre 2014
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MESSAGE DU DIRECTEUR DE L’ODPChères collègues, chers collègues,
Au nom du comité de planification des JFI, c’est avec plaisir que je vous présente le programme de la 7e Journée de formation interdisciplinaire (JFI) de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ). Le contenu de cet événement scientifique est le fruit d’une collaboration entre l’Office de développement professionnel de la FMSQ et les responsables des unités de développement professionnel des associations médicales affiliées. Les sujets ont été méticuleusement choisis afin de répondre aux besoins des médecins spécialistes. Le nombre toujours croissant de participants d’année en année témoigne du grand succès de cet événement, qui est devenu le plus gros congrès de spécialistes au Québec.
La JFI vise à donner l’occasion aux médecins spécialistes de différentes disciplines de se rencontrer, d’échanger, de partager leur expertise et leurs expériences, de discuter des patients qu’ils soignent et de leurs autres responsabilités professionnelles. Nous croyons que cette rencontre annuelle favorisera l’émergence de solutions novatrices pour les soins médicaux et améliorera les conditions d’exercice des médecins spécialistes tout en démontrant au public leur souci de contribuer à l’amélioration du système de santé du Québec. D’ailleurs, la FMSQ a obtenu le Prix 2013 de l’innovation des prestataires de DPC agréés par le Collège royal. Ce prix national est octroyé afin de reconnaître le travail novateur des prestataires agréés de DPC.
Le financement de la JFI est assuré principalement par les frais d’inscription des participants. Cette 7e édition jouit encore une fois de subventions de la FMSQ, de la Financière des professionnels, de Sogemec Assurances et du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada (CRMCC). Nous les remercions chaleureusement. Aucune sollicitation n’a été faite auprès de l’industrie pharmaceutique ou des compagnies d’équipements médicaux.
La réalisation de cette journée implique un travail d’équipe de longue haleine pour de nombreux intervenants. Nous tenons à souligner le travail assidu des associations participantes, des responsables des unités de développement professionnel, des membres de leurs comités, de leur personnel administratif, ainsi que celui des conférenciers et modérateurs. Du côté de la Fédération, ce sont les membres du comité de planification de la JFI et du conseil d’administration ainsi que le personnel des directions des Affaires publiques et des Communications, des Services administratifs et, surtout, de l’Office de développement professionnel. Nous les remercions tous sincèrement.
Le volet social de cette année inclura un petit-déjeuner avec la présidente de la Fédération au cours duquel Dre Diane Francœur dévoilera une nouvelle plateforme qui révolutionnera le DPC des médecins spécialistes du Québec. À l’heure du lunch, vous aurez aussi l’occasion de rencontrer des pionniers et des champions de la sécurité des soins qui partageront avec vous des idées qui ont des impacts positifs dans leur milieu et qui pourront s’appliquer à votre contexte. Des affiches et une session spéciale seront mises en évidence.
Pour terminer, et à titre personnel, j’aimerais vous remercier de votre participation à ce forum d’échange. Cet événement n’est qu’un volet des activités organisées par votre Office de développement professionnel. Nous sommes toujours à l’écoute de vos suggestions et serons ravis de vous inclure parmi nos collaborateurs si vous désirez vous impliquer davantage en DPC. J’ai hâte de vous accueillir personnellement le 21 novembre. D’ici là, je vous souhaite une journée des plus agréables !
Au nom du comité de planification des JFI,
Le directeur de l’Office de développement professionnel
Sam J. Daniel, M.D.
57e JFIFMSQ
SESSION A LES AFFECTIONS DE LA SPHÈRE ORLOCONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
Journée conjointe :
› Association des médecins ophtalmologistes du Québec
› Association d’oto-rhino-laryngologie et de chirurgie cervico-faciale du Québec
8 h 30 à 17 h Durée de la formation : 6 heures
Pour qui ? Ophtalmologistes et ORL
Résumé
L’ORL et l’ophtalmologie sont deux disciplines connexes et très complémentaires. Elles formaient, il y a plus de 50 ans, une seule spécialité, l’ORLO. Les yeux, dans leurs orbites, sont entourés par les sinus, séparés par le nez et surplombent le nasopharynx. Plusieurs pathologies traversent ces minces frontières. À l’aide de situations cliniques, plusieurs pathologies seront abordées : les cancers, les sinusites et abcès orbitaires, les voies lacrymales, la paralysie faciale, plusieurs maladies systémiques, les vertiges, le nystagmus et la traumatologie.
Cette session s’adresse aux ophtalmologistes et aux ORL, mais sera également très intéressante pour les autres spécialités médicales. Nous avons souvent besoin de l’expertise de l’un et de l’autre pour confirmer un diagnostic, compléter l’investigation ou pour le traitement médical ou chirurgical : ce sera une occasion unique de favoriser les échanges interdisciplinaires.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Reconnaître les symptômes oculaires suggérant une pathologie des sinus et discuter du traitement médicochirurgical ;
› Établir les indications d’une chirurgie orbitaire dans les cas de traumatismes orbitofaciaux ;
› Discuter des diagnostics différentiels, des investigations et des traitements d’atteintes neuro-oto-ophtalmologiques ;
› Évaluer la complémentarité ORL-ophtalmologie dans les atteintes des voies lacrymales.
HORAIRE
7 h Accueil et inscription
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue – M. Harissi-Dagher et A. Mlynarek
8 h 40 Les tumeurs – A. Mlynarek et B. Arthurs
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les signes cliniques de présentation des tumeurs de l’orbite, du sinus et du nasopharynx ;
› Sélectionner les tests pertinents d’investigation ;
› Discuter des traitements disponibles et des pronostics.
9 h 40 Vertiges et nystagmus – I. Saliba et F. Mathieu-Millaire
Objectifs d’apprentissage :
› Évaluer les vertiges ;
› Différencier le nystagmus vestibulaire des autres nystagmus ;
› Rechercher les signes cliniques associés au nystagmus vestibulaire ;
› Discuter des traitements.
10 h 10 Discussion et période de questions
10 h 20 Pause-santé
10 h 50 Sinusites, abcès orbitaires, Gradenigo, mastoïdite – M. Desrosiers et M. Falcao
Objectifs d’apprentissage :
› Discuter du diagnostic différentiel des cellulites orbitaires et de l’investigation ;
› Reconnaître le traitement des sinusites et des abcès orbitaires ;
› Différencier les manifestations cliniques du Gradenigo et de la mastoïdite ;
› Programmer la prise en charge conjointe et le suivi de ces patients.
11 h 55 Discussion et période de questions
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
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SESSION A LES AFFECTIONS DE LA SPHÈRE ORLOCONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
13 h 30 Paralysie faciale – Y. Lacroix, L. Racine et Q. Nguyen
Objectifs d’apprentissage :
› Établir quand et comment investiguer une paralysie faciale ;
› Justifier quand, comment et combien de temps traiter une telle paralysie ;
› Évaluer les risques de complication cornéenne ; développer un protocole de traitement et de suivi ; connaître les critères d’arrêt du traitement topique ;
› Discuter des différentes corrections chirurgicales disponibles s’il persiste une lagophtalmie permanente.
14 h Traumatologie – M. Belzile et P. Boulos
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les différents types de fractures orbitofaciales ;
› Reconnaître les différents signes cliniques localisateurs ;
› Discuter des critères de chirurgie et établir quand opérer.
14 h 40 Discussion et période de questions
14 h 45 Pause-santé
15 h 15 Voies lacrymales et DCR – M. Tewfik et F. Codère
Objectifs d’apprentissage :
› Investiguer les obstructions des voies lacrymales ;
› Discuter des traitements disponibles ;
› Reconnaître la technique de la DCR et ses risques.
15 h 55 Maladies systémiques (mucormycose, Wegener, orbitopathie thyroïdienne) – S. Nadeau, J. Rouleau et Y. Molgat
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les différentes présentations cliniques de ces pathologies ;
› Établir l’investigation appropriée ;
› Discuter des traitements, des suivis conjoints et des pronostics ;
› Expliquer les indications et les techniques des décompressions orbitaires dans les orbitopathies associées à la thyroïde.
16 h 45 Discussion et période de questions
16 h 55 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Bryan Arthurs, ophtalmologiste, CUSM - Hôpital général de Montréal
Dr Mathieu Belzile, ORL, CHUS - Hôtel-Dieu
Dr Patrick Boulos, ophtalmologiste, CHUS - Hôtel-Dieu
Dr François Codère, ophtalmologiste, Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Dr Martin Desrosiers, ORL, CHUM - Hôtel-Dieu
Dre Marcele Fonseca-Falcao, ophtalmologiste, CHUS - Hôtel-Dieu
Dre Yolène Lacroix, ORL, CUSM - Hôpital de Montréal pour enfants
Dre Francine Mathieu-Millaire, ophtalmologiste, Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Dre Yvonne Molgat, ophtalmologiste, CHU de Québec - Hôpital de l’Enfant-Jésus
Dr Alex Mlynarek, ORL, Hôpital général juif - Sir Mortimer B. Davis
Dre Sylvie Nadeau, ORL, CHU de Québec - Hôpital de l’Enfant-Jésus
Dre Tuan Quynh Tram Nguyen, ophtalmologiste, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dr Louis Racine, ophtalmologiste, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dre Jacinthe Rouleau, ophtalmologiste, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dr Issam Saliba, ORL, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dr Marc-Antoine Tewfik, ORL, CUSM - Hôpital Royal Victoria
Comité scientifique
Dre Mona Harissi-Dagher, ophtalmologiste, Association des médecins ophtalmologistes du Québec
Dr Alex Mlynarek, ORL, Association d’oto-rhino-laryngologie et de chirurgie cervico-faciale du Québec
SUITE
77e JFIFMSQ
SESSION B LA GROSSESSE… UNE HISTOIRE DE CŒUR !CONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET TABLES RONDES
Journée conjointe :
› Association des anesthésiologistes du Québec
› Association des cardiologues du Québec
› Association des obstétriciens et gynécologues du Québec
› Association des spécialistes en médecine interne du Québec
8 h 30 à 17 h 15 Durée de la formation : 6,25 heures
Pour qui ? Anesthésiologistes, cardiologues, gynécologues, internistes, omnipraticiens, obstétriciens et résidents
Résumé
Les grossesses compliquées par des pathologies cardiaques maternelles sont de plus en plus fréquentes et source d’inquiétudes pour la mère et son médecin. La prise en charge par une équipe interdisciplinaire composée de l’obstétricien, du cardiologue, de l’anesthésiologiste et d’autres acteurs de la médecine obstétricale est essentielle. Cette équipe, nous l’avons réunie pour vous afin de discuter conjointement de thèmes divers, tels que : l’évaluation préconception, la prise en charge de lésions communes, les manifestations physiologiques fréquentes, le syndrome coronarien aigu, les arythmies, la cardiomyopathie du péripartum, et plus encore. Une journée à ne pas manquer !
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Poser le diagnostic et prendre en charge, tant au niveau obstétrical, médical, qu’anesthésiologique, diverses conditions cardiaques courantes rencontrées chez la femme enceinte et son bébé ;
› Reconnaître l’importance et la contribution des différentes équipes disciplinaires gravitant autour des soins mère-bébé ;
› Améliorer leur collaboration avec les autres spécialités dans ces cas complexes.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue – N. Sauvé
Modératrice : N. Dayan
8 h 35 Palpitations, lipothymies, syncope. Normal ou pathologique ? – F. Weber
Objectifs d’apprentissage :
› Expliquer les changements physiologiques du système cardiorespiratoire durant la grossesse ;
› Distinguer les symptômes et les signes qui sont associés à la physiologie normale de la grossesse tels que les palpitations, les lipothymies et la dyspnée des manifestations pathologiques ;
› Identifier les patientes avec des symptômes qui pourraient être associés avec une pathologie cardiaque sous-jacente et procéder à l’investigation appropriée en grossesse.
9 h 10 Médication cardiaque et grossesse : lesquels éviter ? – E. Ferreira
Objectifs d’apprentissage :
› Choisir et prescrire les classes de médicaments sécuritaires pendant la grossesse et balancer les avantages et les risques de ceux qui nécessitent des précautions en grossesse : bêtabloqueurs, bloqueurs des canaux calciques, anti-arythmiques, digitales, les traitements de l’insuffisance cardiaque (IECA, hydralazine, nitrates, diurétiques), antiplaquettaires et anticoagulants ;
› Surveiller les effets indésirables rencontrés spécifiquement en grossesse chez la mère et le fœtus.
9 h 45 Pause-santé
Modératrice : C. Anku-Bertholet
10 h 15 Évaluation préconception et prise en charge en grossesse des patientes avec cardiopathies
Volet cardiologie : A. Dore
Objectifs d’apprentissage :
› Procéder à l’évaluation préconception d’une patiente avec maladie cardiaque en reconnaissant les contre-indications absolues, les facteurs de mauvais pronostic, les scores de prédiction du risque (Carpreg, WHO, etc.) ;
› Procéder à l’investigation nécessaire pré-grossesse pour préciser les risques ;
› Prendre en charge certaines lésions spécifiques courantes en grossesse pour la mère (sténose aortique, sténose mitrale, cardiomyopathie hypertrophique, sténose pulmonaire), anticiper l’évolution en grossesse, ajuster les traitements, proposer le suivi clinique et paraclinique approprié, recommander l’antibioprophylaxie contre l’endocardite lorsqu’indiqué.
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SESSION B LA GROSSESSE… UNE HISTOIRE DE CŒUR !CONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET TABLES RONDES
Volet obstétrical : L. Leduc
Objectifs d’apprentissage :
› Évaluer les risques de maladies cardiaques en grossesse pour le fœtus (complications obstétricales, malformation cardiaque, etc.) ;
› Prendre en charge, au niveau obstétrical, les patientes avec maladies cardiaques en grossesse (surveillance fœtale ante partum, échographie cardiaque fœtale au besoin) ;
› Recommander un plan de prise en charge obstétrical pour certaines lésions spécifiques (sténose aortique, sténose mitrale, cardiomyopathie hypertrophique, sténose pulmonaire) en ante partum, lors de l’accouchement et du post-partum ;
› Proposer le mode d’accouchement approprié chez ces patientes (reconnaître la place de l’accouchement vaginal et les rares indications de césarienne pour des raisons maternelles).
Volet anesthésiologique : C. Crochetière
Objectifs d’apprentissage :
› Utiliser les grands principes pour proposer un plan d’anesthésie approprié lors d’un accouchement ou d’une césarienne chez une patiente souffrant de maladie cardiaque en grossesse, incluant la surveillance requise, l’endroit à privilégier, le mode d’analgésie et ses particularités ;
› Tenir compte des bénéfices et des risques des différents types d’anesthésie (régionale ou générale) et leurs implications chez une patiente avec maladie cardiaque ;
› Utiliser les utérotoniques en tenant compte de leurs effets cardiovasculaires ;
› Déterminer les particularités d’un plan d’accouchement ou de césarienne pour une patiente présentant une sténose aortique, une sténose mitrale, une cardiomyopathie hypertrophique ou une sténose pulmonaire.
11 h 35 Période de questions
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
Modératrice : N. Sauvé
13 h 30 Cardiomyopathie péripartum : l’essentiel
Volet cardiologie : A. Dore
Objectifs d’apprentissage :
› Poser un diagnostic de cardiomyopathie péripartum (CMPP) en tenant compte de sa physiopathologie, des facteurs de risque et du diagnostic différentiel ;
› Proposer la thérapie appropriée (anticoagulothérapie), la prévention primaire et secondaire de l’arythmie maligne et éventuellement des thérapies novatrices (bromocriptine).
Volet obstétrical : R. Brown
Objectifs d’apprentissage :
› Discuter avec sa patiente du pronostic de récupération et évaluer le risque de récidive de CMPP et de mortalité lors de grossesses ultérieures ; reconnaître les contre-indications à une prochaine grossesse.
14 h Période de questions
14 h 10 L’anticoagulation d’une patiente porteuse d’une valve mécanique en grossesse
Volet médical : F. Morin
Objectifs d’apprentissage :
› Exposer à sa patiente porteuse d’une valve mécanique les différentes options thérapeutiques d’anticoagulation en grossesse ;
› Expliquer les risques et les avantages maternels et fœtaux associés aux différentes options thérapeutiques ;
› Prescrire les héparines de bas poids moléculaires et le monitorage approprié dans cette population.
Volet obstétrical : L. Leduc
Objectifs d’apprentissage :
› Proposer un plan d’accouchement au niveau obstétrical et pour la prise en charge de l’anticoagulothérapie pour minimiser les risques maternels et fœtaux en péripartum (accouchement vaginal et césarienne).
Volet anesthésiologique : A. Lavoie
Objectifs d’apprentissage :
› Proposer un plan d’accouchement anesthésique pour une patiente porteuse d’une valve mécanique sous anticoagulothérapie (accouchement vaginal et césarienne) ;
› Proposer des solutions de rechange à la péridurale.
14 h 50 Questions en table ronde
15 h 05 Pause-santé
Modératrice : A. Lavoie
15 h 35 Aortopathies
Volet cardiologie : F.-P. Mongeon
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les pathologies aortiques conférant un risque de dissection aortique durant la grossesse (bicuspidie, coarctation réparée, Marfan, Ehlers-Danlos, syndrome de Turner) et reconnaître les contre-indications spécifiques à une grossesse pour chaque entité ;
› Proposer un plan de prise en charge (indications de bêtabloqueurs, cible de tension artérielle, suivi requis, moyen diagnostic privilégié si suspicion de dissection).
Volet obstétrical : R. Brown
Objectifs d’apprentissage :
› Proposer un plan d’accouchement pour les patientes souffrant d’aortopathies (analgésie, mode d’accouchement, gestion du 2e stade).
16 h 05 Période de questions
16 h 10 Arythmies et grossesse
SUITE
97e JFIFMSQ
SESSION B LA GROSSESSE… UNE HISTOIRE DE CŒUR !CONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET TABLES RONDES
Volet cardiologie : J.-M. Raymond
Objectifs d’apprentissage :
› Diagnostiquer les arythmies les plus fréquentes en grossesse (tachycardie sinusale, extrasystoles, tachycardie supraventriculaire et les plus rares, mais d’importance : fibrillation auriculaire et tachycardie ventriculaire) ;
› Sélectionner l’investigation appropriée ;
› Prescrire un traitement pharmacologique (antiarythmique, anticoagulation) et non pharmacologique (manœuvres auto-abortives, électrophysiologie) sécuritaire et approprié ;
› Planifier le monitorage requis et le lieu recommandé pour l’accouchement.
16 h 40 Syndrome coronarien aigu en grossesse ou en post-partum : les particularités
Volet cardiologie : E. Bédard
Objectifs d’apprentissage :
› Tenir compte de l’épidémiologie et des facteurs de risque dans l’évaluation d’une patiente avec syndrome coronarien aigu (SCA) en grossesse ;
› Procéder à l’investigation appropriée pour un SCA en grossesse, incluant les risques et les bénéfices de la coronarographie ;
› Proposer les traitements appropriés pour un SCA chez la femme enceinte ou qui allaite en post-partum.
17 h 10 Mot de la fin et évaluation
17 h 15 Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dre Catherine Anku-Bertholet, gynécologue obstétricienne, CHUS - Hôpital Fleurimont
Dre Élisabeth Bédard, cardiologue, Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec
Dr Richard Brown, gynécologue obstétricien, spécialiste en médecine fœto-maternelle, CUSM - Hôpital Royal Victoria
Dre Chantal Crochetière, anesthésiologiste, CHU Sainte-Justine
Dre Natalie Dayan, interniste, CUSM - Hôpital Royal Victoria
Dre Annie Dore, cardiologue, Institut de Cardiologie de Montréal
Mme Ema Ferreira, pharmacienne, centre IMAGe, CHU Sainte-Justine
Dre Anne Lavoie, anesthésiologiste, CHUM - Hôpital Saint-Luc
Dre Line Leduc, gynécologue obstétricienne, spécialiste en médecine fœto-maternelle, CHU Sainte-Justine
Dr François-Pierre Mongeon, cardiologue, Institut de Cardiologie de Montréal
Dre Francine Morin, interniste, Médecine Interne Obstétricale et Gynécologique (MIGO), CHU Sainte-Justine
Dr Jean-Marc Raymond, cardiologue, CHUM - Hôpital Saint-Luc
Dre Nadine Sauvé, interniste, CHUS - Hôpital Fleurimont
Dre Florence Weber, interniste, Médecine Interne Obstétricale et Gynécologique (MIGO), CHU Sainte-Justine
Comité scientifique
Dre Catherine Anku-Bertholet, gynécologue obstétricienne, Association des obstétriciens et gynécologues du Québec
Dr Paolo Costi, cardiologue, Association des cardiologues du Québec
Dre Natalie Dayan, interniste, Association des spécialistes en médecine interne du Québec
Dr François Donati, anesthésiologiste, Association des anesthésiologistes du Québec
Dre Line Leduc, gynécologue obstétricienne, Association des obstétriciens et gynécologues du Québec
Dre Nadine Sauvé, interniste, Association des spécialistes en médecine interne du Québec
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SESSION C FIÈVRE AU SOMMET : RENCONTRE ENTRE MICROBIOLOGISTES INFECTIOLOGUES ET NEUROLOGUESPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
Journée conjointe :
› Association des médecins microbiologistes infectiologues du Québec
› Association des neurologues du Québec
8 h 30 à 17 h 15 Durée de la formation : 6,25 heures
Pour qui ?Microbiologistes infectiologues et neurologues
Résumé
Au cours de cette session, les défis diagnostiques et thérapeutiques des infections neurologiques seront discutés par des neurologues et des microbiologistes infectiologues. Plusieurs experts canadiens viendront enrichir ces échanges. Il sera question des nouvelles infections apparues au cours des dernières décennies à la suite de la mondialisation (Lyme, virus du Nil) ou encore de l’arrivée sur le marché d’immunosuppresseurs puissants (virus J-C, par exemple).
Il sera également question de sujets de santé publique, tels que la maladie de Creuzfeldt-Jakob et les complications neurologiques des vaccins chez les adultes.
Finalement, des cas de patients sans facteurs de risque qui ont souffert d’infections rares du système nerveux central, dont : Nocardia, cryptocoque, Bartonella ou thrombose du sinus caverneux, seront abordés.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Identifier, diagnostiquer et prendre en charge différentes infections du système nerveux tels le virus du Nil occidental, la maladie de Lyme, la leucoencéphalopathie multifocale progressive chez l’immunosupprimé, la nocardiose, la cryptococcose, la bartonellose, la thrombose septique du sinus caverneux et la maladie de Creutzfeldt-Jakob ;
› Reconnaître l’importance de l’interdisciplinarité, notamment entre neurologues et microbiologistes infectiologues, pour une meilleure collaboration et, ultimement, l’amélioration de la qualité des soins.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
Modérateurs : M. Ducharme et A. Lauzon-Laurin
8 h 30 Gestion des risques infectieux des nouveaux agents thérapeutiques pour la sclérose en plaques – S. Charest et P. Lebel
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire les effets sur le système immunitaire des nouveaux agents thérapeutiques pour la sclérose en plaques ;
› Discuter des risques infectieux de ceux-ci ;
› Prendre les précautions appropriées afin de prévenir ces complications infectieuses.
9 h 15 Les arboviroses en émergence au Québec : l’expérience du virus du Nil occidental (VNO) et de ses complications neurologiques au CHUM - Hôpital Notre-Dame – N. Bélanger et C. Therrien
Objectifs d’apprentissage :
› Énumérer les manifestations neurologiques du VNO à partir de cas cliniques ;
› Reconnaître l’importance des arboviroses en émergence au Québec ;
› Se familiariser avec le sérodiagnostic des arbovirus.
10 h La méningite à Cryptococcus chez le patient immunocompétent (MCIC) – C. Lemieux
Objectifs d’apprentissage :
› Mieux connaître l’épidémiologie du Cryptococcus ;
› Différentier la réponse immune chez l’hôte avec immunité normale de la réponse de l’hôte avec immunité déficiente ;
› Reconnaître les particularités cliniques de la MCIC ;
› Rappeler les méthodes diagnostiques de la maladie ;
› Relever les aspects du traitement particuliers à la MCIC.
10 h 30 Pause-santé
117e JFIFMSQ
SESSION C FIÈVRE AU SOMMET : RENCONTRE ENTRE MICROBIOLOGISTES INFECTIOLOGUES ET NEUROLOGUESPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
Modératrice : J. Bestman-Smith
11 h La maladie de Creuzfeldt-Jakob (MCJ) – G. Jansen (conférence donnée en anglais)
Objectifs d’apprentissage :
› Résumer les causes et le mode de transmission de la MCJ ;
› Décrire la présentation clinique et l’approche diagnostique de la MCJ ;
› Discuter de la prévention de cette infection chez les professionnels de la santé.
11 h 40 La thrombose septique du sinus caverneux – M.-E. Arsenault
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire la présentation clinique de la thrombose septique du sinus caverneux, à partir d’un cas clinique ;
› Résumer le traitement de cette condition.
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
Modérateurs : F. Evoy et S. Poulin
13 h 30 Les complications neurologiques liées à la vaccination – K. Lacroix
Objectifs d’apprentissage :
› Revoir dans la littérature les complications neurologiques liées à la vaccination ;
› Mettre en pratique les résultats de l’étude épidémiologique portant sur les engourdissements et autres symptômes après le vaccin H1N1 au Québec.
14 h Les méningo-encéphalites à herpes simplex de type 2 – M.-E. Arsenault et M. Goyette
Objectifs d’apprentissage :
› Réviser la présentation clinique, le diagnostic et le traitement des méningo-encéphalites à herpes simplex de type 2, à partir de cas cliniques.
14 h 30 Une histoire bien ramifiée – A. Lauzon-Laurin
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire l’épidémiologie québécoise des infections cérébrales à Nocardia ;
› Identifier les particularités concernant le diagnostic de cette infection ;
› Discuter des traitements de première ligne et les solutions de rechange en cas d’allergie ou d’intolérance.
15 h Les complications neurologiques de la bartonellose – J. Prévost et C. Therrien
Objectifs d’apprentissage :
› Énumérer les manifestations neurologiques de la bartonellose ;
› Se familiariser avec le sérodiagnostic de la maladie des griffes de chat.
15 h 30 Pause-santé
Modératrice : M. Kelly
16 h 00 Pour y voir plus clair dans la maladie de Lyme ! – M.Girard et C. Tremblay
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les caractéristiques épidémiologiques et microbiologiques propres à la maladie de Lyme ;
› Énumérer les raisons qui rendent la maladie de Lyme maintenant plus menaçante au Québec et les moyens pour la prévenir ;
› Nommer les caractéristiques cliniques associées à cette infection et la traiter lorsque scientifiquement justifiée.
17 h Mot de la fin et évaluation
17 h 15 Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dre Marie-Ève Arsenault, neurologue, CSSS de Trois-Rivières - Centre hospitalier affilié universitaire régional
Dre Nao Bélanger, résidente en neurologie (R4) CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dre Julie Bestman-Smith, microbiologiste infectiologue, CHU - Hôpital de l’Enfant-Jésus
Dr Stéphane Charest, neurologue, CSSS de Trois-Rivières - Centre hospitalier affilié universitaire régional
Dr Mario Ducharme, neurologue, CSSS Pierre-Boucher
Dr François Evoy, neurologue, CHUS - Hôpital Fleurimont
Dr Marc J. Girard, neurologue, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dre Monique Goyette, microbiologiste infectiologue, CSSS de Trois-Rivières - Centre hospitalier affilié universitaire régional
Dr Gerard H. Jansen, neuropathologiste, Système de surveillance de la maladie de Creutzfeltd-Jakob, Agence de santé publique du Canada
Dre Mirabelle Kelly, microbiologiste infectiologue, Hôpital Jean-Talon
Dr Kevin Lacroix, neurologue, CSSS de Trois-Rivières - Centre hospitalier affilié universitaire régional
Dre Anais Lauzon-Laurin, microbiologiste infectiologue, CH régional de Lanaudière
Dr Pierre Lebel, microbiologiste infectiologue, CUSM - Hôpital général de Montréal
Dr Claude Lemieux, microbiologiste infectiologue, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dr Sébastien Poulin, résident en microbiologie infectiologie, (R5), Université de Sherbrooke
Dre Julie Prévost, neurologue, Hôtel-Dieu de Saint-Jérôme
M. Christian Therrien, microbiologiste, Laboratoire de santé publique du Québec
Dre Cécile Tremblay, microbiologiste infectiologue, Laboratoire de santé publique du Québec
Comité scientifique
Dre Marie-Ève Arsenault, neurologue, Association des neurologues du Québec
Dre Monique Goyette, microbiologiste infectiologue, Association des médecins microbiologistes infectiologues du Québec
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SESSION D LE TROUBLE DU SPECTRE DE L’AUTISMEPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
Journée conjointe :
› Association des médecins psychiatres du Québec
› Association des médecins spécialistes en santé communautaire du Québec
› Association des pédiatres du Québec
8 h 30 à 17 h Durée de la formation : 6 heures
Pour qui ? Pédiatres, psychiatres, spécialistes en santé communautaire
Résumé
L’augmentation spectaculaire des taux de prévalence du trouble du spectre de l’autisme (TSA) combinée à l’importance de la recherche et l’évolution fulgurante des connaissances au cours des récentes années, commandent un changement de vision de cette pathologie neurodéveloppementale, tant en milieu clinique qu’en santé publique.
Le TSA mérite d’être considéré activement sous l’angle de la prévention, du dépistage et du diagnostic précoce, de l’intervention et d’une prise en charge optimale, ainsi que dans une optique populationnelle de santé publique.
C’est avec grand plaisir que les associations des pédiatres, des psychiatres et des spécialistes en santé communautaire vous invitent à participer en grand nombre afin de permettre des échanges constructifs visant à favoriser la collaboration des médecins spécialistes.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Favoriser un processus d’apprentissage conjoint des spécialistes concernés ;
› Rechercher des consensus sur la pratique ;
› Améliorer la collaboration entre les spécialités médicales et les autres professionnels de la santé afin d’optimiser la qualité des soins.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue et mise en bouche – R.-C. Duval
Format : 3 plénières de 20 minutes chacune sans périodes de questions individuelles
Modératrice : N. Pigeon
8 h 45 Épidémiologie, statistiques et disparités régionales – A. Lesage
Objectifs d’apprentissage :
› Citer le taux de prévalence du TSA ;
› Résumer l’évolution de la prévalence au cours des années ;
› Discuter de la validité des données épidémiologiques en lien avec la prévalence et son augmentation ;
› Décrire les disparités internationales et régionales.
9 h 5 Évolution du visage clinique de l’enfance à l’adulte – S. Bégin
Objectifs d’apprentissage :
› Résumer l’évolution propre au TSA selon les différentes facettes du développement (langage, motricité, autonomie) ;
› Décrire différentes trajectoires cliniques du TSA, de l’enfance à l’âge adulte ;
› Identifier les facteurs de risques pouvant moduler négativement les trajectoires.
9 h 25 DSM-5 : Changement de nomenclature et impacts sur la pratique – F. Ouellet
Objectifs d’apprentissage :
› Rapporter les changements de nomenclature diagnostique du DSM-5 concernant le TSA ;
› Identifier les résultats de la recherche sur lesquels s’appuient ces changements ;
› Présenter les impacts sur la pratique de cette nouvelle nomenclature.
9 h 45 Panel de discussion avec les experts et période de questions
10 h 15 Pause-santé
10 h 45 Format : mini-sessions de 75 minutes
VEUILLEZ SÉLECTIONNER 1 CHOIX PARMI LES 3 SESSIONS SUIVANTES :
MS-1 : Comment et par qui se fait le diagnostic du TSA pédiatrique – F. Ouellet. Collaborateur : Y. Tremblay
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire l’ensemble du processus d’évaluation diagnostique en tenant compte des expertises professionnelles pertinentes et des modalités adaptées aux divers contextes cliniques ;
› Identifier les avantages et les inconvénients d’outils d’évaluation diagnostique du TSA ;
› Utiliser judicieusement les examens paracliniques disponibles.
137e JFIFMSQ
SESSION D LE TROUBLE DU SPECTRE DE L’AUTISMEPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
MS-2 : Diagnostic du trouble du spectre de l’autisme à l’âge adulte – M. Bolduc
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire les modes de présentation clinique du TSA chez l’adulte ;
› Développer une démarche clinique permettant de confirmer ou d’infirmer le diagnostic du TSA chez l’adulte ;
› Élaborer le diagnostic différentiel ;
› Énumérer les outils facilitant la distinction malgré une symptomatologie souvent confondante ;
› Résumer les interventions appropriées pour l’adulte ayant un TSA.
MS-3 : Le TSA, une problématique en émergence : point de vue de la santé publique – R. Morin
Objectifs d’apprentissage :
› Analyser l’augmentation de la prévalence du TSA et de ses disparités régionales ;
› Situer l’importance de la problématique dans une perspective de santé publique ;
› Discuter des niveaux d’interventions possibles et de leurs limites à partir d’un cadre d’analyse populationnelle ;
› Proposer des pistes de collaboration entre les spécialistes en santé publique et autres spécialistes concernés.
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Plénière - Interventions et prise en charge : données probantes – C. Caron
Objectifs d’apprentissage :
› Énumérer les diverses méthodes d’interventions précoces chez le TSA ;
› Analyser la pertinence des interventions basées sur la communication ;
› Comparer les différences dans les interventions auprès des enfants avec TSA par rapport à celles utilisées chez les adultes avec TSA.
13 h 50 Discussion et période de questions
14 h Premier choix d’atelier
VEUILLEZ SÉLECTIONNER 1 CHOIX PARMI LES 6 ATELIERS SUIVANTS :
A1 : Dépistage précoce et « red flags » au bureau – D. Cousineau
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les enfants à risque de présenter un TSA ;
› Identifier les éléments à rechercher à l’anamnèse des deux premières années de vie de l’enfant ;
› Décrire les signes cliniques évoquant un possible TSA à l’observation et à l’examen du jeune enfant ;
› Faire un survol des tests de dépistage à utiliser en 1re intention.
A2 : Approches thérapeutiques non médicamenteuses et modes d’intervention efficaces – Y. Tremblay. Collaboratrice : C. Jacques
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire les interventions efficaces non médicamenteuses s’adressant aux atteintes neurodéveloppementales du TSA (ex. : trouble de langage) ;
› Discuter des interventions favorisant l’amélioration des habiletés déficitaires (ex. : communication sociale, habiletés sociales) ;
› Résumer les modalités d’intervention s’adressant aux problèmes fréquemment associés au TSA (ex. : troubles de comportement, sommeil, anxiété) ;
› Identifier les conditions environnementales favorables pour les enfants ayant un TSA (ex. : milieux de garde, conditions de scolarisation, loisirs).
A3 : Particularités des comorbidités neuropédiatriques du TSA – M. Sylvain
Objectifs d’apprentissage :
› Énumérer les principales conditions médicales, neurologiques ou génétiques associées à une prévalence plus élevée de TSA chez les enfants ;
› Identifier les comorbidités neurologiques plus spécifiques au TSA ;
› Discuter de la pertinence diagnostique, du diagnostic différentiel et du traitement spécifique des comorbidités neurologiques associées au TSA.
A4 : Approche pharmacologique des comorbidités psychiatriques associées au TSA dans l’enfance et l’adolescence – F. Charland
Objectifs d’apprentissage :
› Cibler les particularités du traitement du trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH) chez les enfants ayant un TSA ;
› Proposer une approche pharmacologique pour le traitement des troubles du comportement et des troubles du sommeil dans le TSA ;
› Discuter de la prise en charge pharmacologique de l’anxiété chez le patient TSA.
A5 : Comorbidités psychiatriques plus spécifiques à l’adulte avec un TSA – S. Bégin
Objectifs d’apprentissage :
› Élaborer le diagnostic différentiel du TSA chez l’adulte ;
› Décrire les problèmes psychiatriques et comportementaux pouvant rendre difficile l’identification du TSA chez l’adulte ;
› Discuter des comorbidités psychiatriques fréquemment associées au TSA chez l’adulte (ex. : états psychotiques, troubles de l’humeur, troubles anxieux) ;
› Identifier les problèmes d’adaptation et de comportement (relations interpersonnelles et sexualité) pouvant être associés au TSA chez l’adulte.
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SESSION D LE TROUBLE DU SPECTRE DE L’AUTISMEPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
A6 : Facteurs expliquant les disparités régionales – A. Lesage. Collaboratrice : F. Binta Diallo
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire les différentes causes explorées du TSA en lien avec son épidémiologie ;
› Identifier les facteurs pouvant expliquer la hausse de la prévalence du TSA chez les enfants ;
› Citer les facteurs explicatifs des différences de prévalence régionale ;
› Soulever les implications pour la pratique collaborative entre la pédiatrie, la pédopsychiatrie et la santé publique.
15 h Pause-santé
15 h 30 Deuxième choix d’atelier
VEUILLEZ SÉLECTIONNER 1 CHOIX PARMI LES 6 ATELIERS DÉCRITS CI-HAUT
16 h 30 Quittons le passé… regard vers l’avenir du TSA et ses défis ? – F. Charland
Objectifs d’apprentissage :
› Synthétiser les renseignements obtenus lors de la Journée de formation interdisciplinaire ;
› Élaborer un modèle de collaboration interdisciplinaire dans le diagnostic et le traitement des TSA ;
› Discuter des enjeux médicaux, administratifs et sociaux en lien avec les changements au niveau de la nomenclature et du diagnostic du TSA.
16 h 50 Mot de la fin et évaluation – R.-C. Duval
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Simon Bégin, psychiatre, Service de psychiatrie infantile et juvénile (SPIJ), CH régional de Rimouski
Mme Fatomata Binta Diallo, Ph. D. en santé publique, Institut universitaire en santé mentale de Montréal, coordonnatrice de projet (IRSC, INSPQ)
Dr Michel Bolduc, psychiatre, Institut universitaire en santé mentale de Québec
Dre Chantal Caron, psychiatre (Hôpital de jour Pas à pas et Hôpital Rivière-des-Prairies). Psychiatre coordonnateur du Réseau de psychiatrie pour Trouble du spectre de l’autisme. Professeure adjointe de clinique, Université de Montréal
Dr Frédéric Charland, psychiatre de l’enfant et de l’adolescent, Centre de pédopsychiatrie, CHU de Québec
Dre Dominique Cousineau, pédiatre, professeure agrégée, Université de Montréal, chef de section, pédiatrie du développement, CHU Sainte-Justine
Dre Renée-Claude Duval, pédiatre, Centre mère-enfant Soleil, CHU de Québec
Mme Claudine Jacques, Ph. D., psychoéducatrice, chercheure à l’hôpital Rivière-des-Prairies, professeure en psychoéducation, Université du Québec en Outaouais
Dr Alain Lesage, psychiatre, Institut universitaire en santé mentale de Montréal, expert auprès de l’INSPQ
Dr Réal Morin, spécialiste en médecine communautaire, directeur scientifique et directeur du développement des individus et des communautés, INSPQ
Dre Francine Ouellet, pédopsychiatre et médecin spécialiste en médecine communautaire, Clinique de pédopsychiatrie Irma-Levasseur, Québec et équipe TSA de l’Institut de réadaptation en déficience physique de Québec (IRDPQ)
Dr Michel Sylvain, neurologue pédiatrique, CMES du CHU de Québec
Dr Yves Tremblay, spécialiste en médecine communautaire, pédiatre, Clinique régionale d’évaluation des troubles complexes du développement (CRETCD)
Comité scientifique
Dr Frédéric Charland, psychiatre, Association des médecins psychiatres du Québec
Dre Renée-Claude Duval, pédiatre, Association des pédiatres du Québec
Dre Nicole Pigeon, pédiatre, Association des pédiatres du Québec
Dr Yves Tremblay, médecin spécialiste en médecine communautaire, Association des médecins spécialistes en santé communautaire du Québec
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157e JFIFMSQ
SESSION E LA PRISE EN CHARGE DES SYNDROMES AORTIQUES AIGUS EN 2014 : UNE APPROCHE MULTIDISCIPLINAIRECONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET TABLES RONDES
Journée conjointe :
› Association des anesthésiologistes du Québec › Association des cardiologues du Québec › Association des chirurgiens cardiovasculaires et thoraciques du Québec › Association des chirurgiens vasculaires du Québec › Société canadienne-française de radiologie
8 h 30 à 17 h Durée de la formation : 6 heures
Pour qui ? Anesthésiologistes, cardiologues, chirurgiens cardiovasculaires et thoraciques,
chirurgiens vasculaires et radiologistes
Résumé
Cette activité conjointe propose aux participants de mieux comprendre les défis diagnostiques et thérapeutiques liés aux syndromes aortiques aigus. Les soins optimaux de ces pathologies complexes demandent la collaboration de différents spécialistes. À l’aide d’ateliers, de discussions de cas et de plénières, les conférenciers experts provenant de plusieurs spécialités médicales et chirurgicales discuteront de la classification des lésions, de l’approche diagnostique, de la prise en charge à l’urgence, aux soins intensifs et à long terme, en plus des différentes stratégies de traitement : médical, chirurgical et endovasculaire. Les innovations récentes, les sujets de controverses et les situations les plus complexes seront analysés et discutés en groupe.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Reconnaître la présentation clinique et différencier les différentes maladies de l’aorte thoracique pouvant causer un syndrome aortique aigu ;
› Sélectionner la modalité diagnostique la plus appropriée ;
› Établir un plan de traitement optimal pour traiter les différents syndromes aortiques aigus ;
› Définir le rôle et les indications des différentes interventions chirurgicales et endovasculaires dans la prise en charge des syndromes aortiques aigus ;
› Expliquer les considérations anesthésiques aux soins intensifs chez un patient présentant un syndrome aortique aigu ;
› Assurer un suivi clinique approprié à long terme et optimiser la prise en charge des facteurs de risque.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue et objectifs de la journée – F. Dagenais et P. Demers
8 h 45 Présentation clinique : comment éviter de manquer le diagnostic – A. Vadeboncœur
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les diverses manifestations cliniques des différentes pathologies pouvant causer un syndrome aortique aigu.
9 h Quelle modalité d’imagerie utiliser dans le diagnostic des syndromes aortiques aigus – G. Soulez
Objectifs d’apprentissage :
› Choisir la modalité diagnostique appropriée selon la situation clinique;
› Reconnaître les signes radiologiques des différents syndromes aortiques aigus.
9 h 20 Lignes directrices pour le traitement des syndromes aortiques aigus en 2014 – P. Demers
Objectifs d’apprentissage :
› Établir une prise en charge appropriée selon le type de syndrome aortique aigu.
9 h 40 Période de questions et discussion avec groupe d’experts – F. Dagenais, P. Demers, G. Soulez et A. Vadeboncœur
10 h Pause-santé
10 h 30 Identification des patients à risques, prévention et dépistage génétique – F.-P. Mongeon
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les patients potentiellement à risque de développer un syndrome aortique aigu.
10 h 45 Dissection type A aiguë : options chirurgicales – R. Cartier
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les différentes interventions chirurgicales pour traiter les syndromes aortiques aigus impliquant l’aorte ascendante.
11 h 10 Dissection type B aiguë, ulcère pénétrant, hématome intramural : traitement chirurgical et endovasculaire – F. Dagenais
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les différentes interventions chirurgicales et endovasculaires pour traiter les syndromes aortiques aigus impliquant l’aorte descendante.
11 h 40 Période de questions et discussion avec groupe d’experts – R. Cartier, F. Dagenais, P. Demers et J.-P. Mongeon
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
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SESSION E LA PRISE EN CHARGE DES SYNDROMES AORTIQUES AIGUS EN 2014 : UNE APPROCHE MULTIDISCIPLINAIRECONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET TABLES RONDES
13 h 30 Considérations anesthésiques dans le syndrome aortique aigu – J. Villeneuve
Objectifs d’apprentissage :
› Expliquer les considérations anesthésiques lors de la prise en charge d’un patient présentant un syndrome aortique aigu nécessitant une intervention urgente.
13 h 50 Prise en charge aux soins intensifs : monitoring, traitement médical, détection et traitement des complications – Y. Lamarche
Objectifs d’apprentissage :
› Sélectionner le monitoring approprié selon le type de syndrome aortique aigu;
› Reconnaître et traiter les complications des syndromes aortiques aigus pouvant survenir lors du suivi aux soins intensifs.
14 h 10 Évaluation de la coagulation, traitement de la coagulopathie et transfusion massive – A. Rochon
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les modalités d’évaluation de la coagulation;
› Énumérer les options thérapeutiques pour traiter une coagulopathie.
14 h 30 Traitement de la malperfusion – O. Steinmetz
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les options thérapeutiques dans la prise en charge de la malperfusion.
14 h 45 Rupture traumatique de l’aorte thoracique : quoi faire en 2014 ? – F. Dagenais
Objectifs d’apprentissage :
› Décrire les recommandations pour la prise en charge d’une rupture traumatique de l’aorte thoracique.
15 h Pause-santé
15 h 30 Anévrisme de l’aorte abdominale rompu : quoi faire en 2014 ? – P. Rhéaume
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les recommandations pour la prise en charge d’un anévrisme de l’aorte abdominale rompu.
15 h 45 Recommandations pour la prise en charge des patients à long terme – I. El-Hamamsy
Objectifs d’apprentissage :
› Établir une prise en charge des facteurs de risque et un plan de suivi par imagerie;
› Énumérer les critères de « réinterventions » pendant le suivi en phase chronique.
16 h 10 Période de questions et discussion avec groupe d’experts – F. Dagenais, I. El-Hamamsy, Y. Lamarche, P. Rhéaume, A. Rochon, O. Steinmetz, J. Villeneuve
16 h 40 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Raymond Cartier, chirurgien cardiaque, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr François Dagenais, chirurgien cardiaque, Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec
Dr Philippe Demers, chirurgien cardiaque, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr Ismail El-Hamamsy, chirurgien cardiaque, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr Yoan Lamarche, chirurgien cardiaque-intensiviste, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr François-Pierre Mongeon, cardiologue, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr Antoine Rochon, anesthésiologiste, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr Pascal Rhéaume, chirurgien vasculaire, CHUQ - Hôpital Saint-François d’Assise
Dr Gilles Soulez, radiologiste d’intervention, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dr Oren Steinmetz, chirurgien vasculaire, CUSM - Hôpital Royal Victoria
Dr Alain Vadeboncœur, spécialiste en médecine d’urgence, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr Jacques Villeneuve, anesthésiologiste, Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec
Comité scientifique
Dr François Dagenais, chirurgien cardiaque, Association des chirurgiens cardiovasculaires et thoraciques du Québec
Dr Philippe Demers, chirurgien cardiaque, Association des chirurgiens cardiovasculaires et thoraciques du Québec
Dr Yoan Lamarche, chirurgien cardiaque-intensiviste, Association des chirurgiens cardiovasculaires et thoraciques du Québec
Dr François-Pierre Mongeon, cardiologue, Association des cardiologues du Québec
Dr Antoine Rochon, anesthésiologiste, Association des anesthésiologistes du Québec
Dr Pascal Rhéaume, chirurgien vasculaire, Association des chirurgiens vasculaires du Québec
Dr Gilles Soulez, radiologiste d’intervention, Association des radiologistes du Québec
Dr Jacques Villeneuve, anesthésiologiste, Association des anesthésiologistes du Québec
SUITE
177e JFIFMSQ
SESSION F CHIRURGIENS ET URGENTISTES, COLLABORATEURS OBLIGÉS ?CONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET CONFRONTATION DE TYPE POUR OU CONTRE
Journée conjointe :
› Association québécoise de chirurgie
› Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec
8 h 30 à 17 h Durée de la formation : 6,25 heures
Pour qui ? Chirurgiens généraux, spécialistes en médecine d’urgence, résidents en chirurgie générale, résidents en médecine d’urgence et autres professionnels de la santé.
Résumé
Les chirurgiens généraux et les médecins œuvrant à l’urgence sont en constante interaction pour apporter des soins chirurgicaux optimaux aux patients s’y présentant. Ces soins exigent une collaboration de tous les instants. Les données quant à la gestion et la prise en charge de ces patients sont en constante évolution. Finalement, la gestion médicale et administrative de l’hôpital et du bloc opératoire est un exercice ardu dont les processus restent à définir et qui peut, à certains égards, avoir des répercussions médicolégales. C’est dans cette optique que nous avons mis sur pied cette journée conjointe de formation interdisciplinaire, qui traitera des volets suivants : la performance à l’urgence, la prise en charge de l’appendicite et la responsabilité médicolégale partagée.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Expliquer les problématiques de gestion à l’urgence et les moyens possibles pour une gestion optimale des patients ;
› Identifier l’importance de l’investigation des pathologies chirurgicales courantes rencontrées à l’urgence ;
› Expliquer l’approche optimale pour la prise en charge de l’appendicite à l’urgence ;
› Indiquer la responsabilité de chacune des deux spécialités dans la prise en charge des patients présentant une condition abdominale et ses impacts médicolégaux ;
› Indiquer le rôle de l’échographie au chevet dans la prise en charge des patients chirurgicaux.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Performance et roulement à l’urgence – D. Lefrançois
Objectifs d’apprentissage :
› Définir la problématique des délais d’attente à l’urgence ;
› Énumérer les facteurs de performance et les processus qui permettent d’améliorer le séjour des patients à l’urgence ;
› Définir le rôle de l’observation à l’urgence, de son impact sur la performance et sur les listes d’attente en chirurgie.
9 h 15 Règles d’observation des patients à l’urgence – Débat : J. Ouellet contre S. Legault
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier le rôle du spécialiste en médecine d’urgence et du chirurgien dans la prise en charge des patients à l’urgence ;
› Identifier l’impact des règles d’observation sur la prise en charge du patient et sur la durée de séjour à l’urgence ;
› Formuler les conditions qui permettent d’assurer un suivi sécuritaire du patient et de réduire le séjour du patient à l’urgence.
10 h Pause-santé
10 h 30 L’imagerie médicale dans le cas de douleur abdominale – J. Bédard
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier l’algorithme optimal dans l’évaluation et la prise en charge des pathologies suivantes : appendicite aiguë, cholécystite aiguë, occlusion intestinale et diverticulite aiguë ;
› Réviser les doses de radiation associées aux examens radiologiques dans les pathologies aiguës ;
› Discuter des alternatives en imagerie en vue de réduire l’exposition aux radiations chez les patients aux urgences.
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SESSION F CHIRURGIENS ET URGENTISTES, COLLABORATEURS OBLIGÉS ?CONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET CONFRONTATION DE TYPE POUR OU CONTRE
11 h 15 Prise en charge de l’appendicite aiguë – S. Carignan
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier le rôle du traitement médical dans la prise en charge de l’appendicite ;
› Définir l’approche optimale dans le traitement de l’appendicite aiguë (timing) ;
› Reconnaître l’impact du délai d’attente pour un traitement chirurgical sur l’évolution de l’appendicite aiguë et ses impacts à long terme.
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Responsabilité médicolégale partagée – C. Bellavance
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier le rôle et les responsabilités des spécialistes en médecine d’urgence et des chirurgiens à l’urgence ;
› Définir les responsabilités et l’imputabilité des spécialistes en médecine d’urgence et des chirurgiens dans la pratique reliée au travail à l’urgence incluant l’observation des patients ;
› Reconnaître l’importance de la communication interprofessionnelle en salle d’urgence.
14 h 15 L’usage de l’échographie au chevet dans les urgences abdominales – Débat : C. Topping contre J. Péloquin
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les avantages et les limites de l’échographie au chevet à l’urgence ;
› Identifier le rôle potentiel de l’échographie au chevet dans la prise en charge des pathologies aiguës de l’abdomen à l’urgence ;
› Définir la place de l’échographie au chevet dans la prise en charge des pathologies abdominales à l’urgence.
15 h Pause-santé
15 h 15 La prise en charge des pathologies fréquentes rencontrées à l’urgence
Occlusion intestinale – M. Lalancette
Pneumothorax – J. Dion
Drainage d’abcès – N. McFadden
Corps étrangers – M. Lalancette
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier et définir la prise en charge des patients se présentant avec une occlusion intestinale ;
› Définir la prise en charge du pneumothorax à l’urgence et les critères permettant un congé précoce et un suivi en externe ;
› Illustrer la prise en charge et le traitement des abcès pilonidaux et des abcès périnéaux ;
› Définir la prise en charge des corps étrangers intrarectaux et intragastriques et les méthodes sécuritaires d’exérèse.
16 h 45 Retour sur l’activité, mot de la fin et évaluation
17 h 00 Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dre Justine Bédard, radiologiste, CHUS - Hôtel-Dieu
Dre Colette Bellavance, spécialiste en médecine d’urgence, CHUS - Hôpital Fleurimont et Hôtel-Dieu
Dr Sébastien Carignan, chirurgien, Hôpital de Chicoutimi
Dr Jean Dion, spécialiste en médecine d’urgence, CHU de Québec - Hôpital de l’Enfant-Jésus
Dr Mathieu Lalancette, chirurgien, Hôpital Sainte-Croix
Dr Daniel Lefrançois, spécialiste en médecine d’urgence, Direction des services préhospitaliers
Dr Serge Legault, chirurgien, Hôpital de la Cité-de-la Santé de Laval
Dre Nathalie McFadden, chirurgienne, CHUS - Hôtel-Dieu
Dr Jacques Ouellet, spécialiste en médecine d’urgence, Hôpital de la Cité-de-la Santé de Laval
Dr Jean Péloquin, chirurgien, CHU de Québec - CHUL
Dr Claude Topping, spécialiste en médecine d’urgence, CHU de Québec - Hôpital de l’Enfant-Jésus
Comité scientifique
Dre Karine Sanogo, spécialiste en médecine d’urgence, Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec
Dr Richard Ratelle, chirurgien, Association québécoise de chirurgie
Dr André Bégin, chirurgien, Association québécoise de chirurgie
Dr François Dufresne, spécialiste en médecine d’urgence, Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec
Dr Jean-Pierre Gagné, chirurgien, Association québécoise de chirurgie
Dr Michel Garner, spécialiste en médecine d’urgence, Association des spécialistes en médecine d’urgence du Québec
SUITE
197e JFIFMSQ
SESSION G ÉVALUATIONS PRÉ ET POST OPÉRATOIRES DU PATIENT VASCULAIRE : COMMENT FAIRE MIEUX ?PRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET PANEL D’EXPERTS
Journée conjointe :
› Association des anesthésiologistes du Québec
› Association des cardiologues du Québec
› Association des chirurgiens vasculaires du Québec
› Association des spécialistes en médecine interne du Québec
8 h 30 à 17 h 15 Durée de la formation : 6,50 heures
Pour qui ? Anesthésiologistes, cardiologues, chirurgiens vasculaires, internistes, infirmières des centres vasculaires québécois et autres professionnels de la santé
Résumé
Organisée par les associations d’anesthésiologie, de cardiologie, de chirurgie vasculaire et de médecine interne, cette journée vise à discuter des évaluations pré et post opératoires des quelque 10 000 patients vasculaires opérés électivement chaque année au Québec par approche ouverte, endovasculaire ou hybride. Les défis sont nombreux : évaluer le risque opératoire ; prévenir les complications cardiaques, infectieuses, pulmonaires et neurologiques ; réduire la mortalité ; préciser le niveau de soins des patients ; améliorer la communication entre les intervenants ; et faciliter l’évaluation de la qualité. Des cas réels seront présentés afin de stimuler la discussion.
Lors de cette journée, Dr Devereaux de l’Université McMaster, médecin chercheur expert, investigateur principal de VISION, POISE-1 et POISE-2, se joindra aux nombreux conférenciers.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Décrire les différentes approches de la chirurgie vasculaire moderne ;
› Mesurer l’impact de l’évaluation et de l’optimisation préopératoire sur la planification et la réalisation d’une anesthésie sécuritaire en chirurgie vasculaire ;
› Déterminer les facteurs prédictifs de complications chez le patient gériatrique ;
› Identifier et estimer les risques de complications cardiaques en fonction du type d’intervention vasculaire ;
› Apprécier les champs d’applications potentielles de l’échographie ciblée dans l’évaluation préopératoire ;
› Identifier les facteurs favorisant la néphropathie aux produits de contraste ;
› Déterminer le risque hémorragique selon l’antiplaquettaire ou l’anticoagulant en cause ;
› Identifier les facteurs prédictifs de complications respiratoires dans l’évaluation préopératoire du patient obèse.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 L’ABC de la chirurgie vasculaire et des endoprothèses - Standardisation de l’évaluation préopératoire : comment y parvenir – S. Elkouri
Objectifs d’apprentissage : › Décrire les différentes approches de la chirurgie vasculaire moderne ;
› Discuter des approches ouvertes, endovasculaires et hybrides ;
› Décrire les défis actuels de l’évaluation préopératoire du patient vasculaire ;
› Discuter des avantages de la standardisation de l’évaluation préopératoire.
8 h 55 Période de questions
9 h 5 Perioperative evaluation in 2014. State of the art – P. J. Devereaux (conférence donnée en anglais)
Objectifs d’apprentissage : › Discuss whether preoperative risk prediction is worthwhile ;
› Review methods of preoperative risk prediction ;
› Present data on prognostic value of NT-proBNP prior to surgery ;
› Evaluate preoperative assessment of hip fractures prior to surgery ;
› Discuss evidence regarding postoperative monitoring.
9 h 50 Période de questions
10 h Pause-santé
10 h 20 Considérations anesthésiques (régionale opposée à générale, gestion de la douleur postopératoire) – S. Garneau
Objectifs d’apprentissage : › Mesurer l’impact de l’évaluation et de l’optimisation préopératoire sur la planification et la réalisation d’une anesthésie sécuritaire en chirurgie vasculaire ;
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SESSION G ÉVALUATIONS PRÉ ET POST OPÉRATOIRES DU PATIENT VASCULAIRE : COMMENT FAIRE MIEUX ?PRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS ET PANEL D’EXPERTS
› Discuter des principaux avantages et inconvénients de l’anesthésie régionale et générale chez le patient vasculaire et être en mesure d’identifier les contre-indications aux différents types d’anesthésie ;
› Gérer la douleur en postopératoire d’une façon optimale selon la chirurgie effectuée.
10 h 45 Période de questions
10 h 50 Le patient âgé : une évaluation préopératoire pertinente et complète. Prévention et traitement du délirium postopératoire – F. Gaba Idiamey
Objectifs d’apprentissage :
› Déterminer les facteurs prédictifs de complications chez le patient gériatrique ;
› Établir les mesures susceptibles de diminuer le risque périopératoire chez cette population ;
› Prévenir, détecter et soigner le délirium postopératoire.
11 h 20 Période de questions
11 h 30 Questions au panel d’experts
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 L’évaluation cardiaque préopératoire. Détection et gestion des complications cardiaques postopératoires – C. Pilon
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier et estimer les risques de complications cardiaques en fonction du type d’intervention vasculaire ;
› Choisir l’investigation la plus appropriée et commenter sur sa valeur pronostique ;
› Reconnaître précocement les complications cardiaques postopératoires et justifier les choix de traitements appropriés.
14 h 10 Période de questions
14 h 20 L’échographie ciblée en postopératoire – A. Denault
Objectifs d’apprentissage :
› Définir l’échographie ciblée ;
› Apprécier les champs d’applications potentielles dans l’évaluation préopératoire ;
› Comprendre son rôle incontournable dans l’évaluation du patient en état de choc.
14 h 50 Période de questions
15 h Pause-santé
15 h 30 La néphropathie aux produits de contraste – P. Ayoub
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les facteurs favorisant la néphropathie aux produits de contraste ;
› Choisir les mesures préventives appropriées afin d’en minimiser l’incidence ;
› Discuter du rôle de l’hémofiltration et des nouveautés dans le domaine.
15 h 55 Période de questions
16 h Gestion des anticoagulants et antiplaquettaires en chirurgie d’urgence – J. Kassis
Objectifs d’apprentissage :
› Déterminer le risque hémorragique selon l’antiplaquettaire ou l’anticoagulant en cause ;
› Prescrire les mesures thérapeutiques nécessaires et les antidotes disponibles pour traiter ou prévenir une hémorragie.
16 h 25 Période de questions
16 h 30 Évaluation périopératoire du patient obèse – considérations respiratoires – P. Mayer
Objectifs d’apprentissage :
› Identifier les facteurs prédictifs de complications respiratoires dans l’évaluation préopératoire du patient obèse ;
› Discuter de l’indication de procéder à certains tests préopératoires plus ciblés comme la polysomnographie, l’échographie cardiaque et les tests de fonctions respiratoires ;
› Prendre les mesures nécessaires afin de prévenir les complications secondaires à l’hypoventilation, à l’apnée-hypopnée et à l’hypertension pulmonaire.
16 h 55 Période de questions
17 h Retour sur l’activité, mot de la fin et évaluation
17 h 15 Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Paul Ayoub, néphrologue, CH de Verdun
Dr André Denault, anesthésiologiste-intensiviste, Institut de Cardiologie de Montréal
Dr Philip James Devereaux, médecin chercheur expert, Université McMaster (Ontario)
Dr Stéphane Elkouri, chirurgien vasculaire, CHUM - Hôtel-Dieu
Dre Francine Gaba Idiamey, gériatre, CHUM – Hôpital Notre-Dame
Dr Sébastien Garneau, anesthésiologiste, CHUM - Hôpital Notre-Dame
Dre Jeannine Kassis, hémato-oncologue, Hôpital Maisonneuve-Rosemont
Dr Pierre Mayer, pneumologue, CHUM - Hôtel-Dieu
Dr Claude Pilon, cardiologue, CHUM - Hôtel-Dieu
Comité scientifique
Dr Marc-Michel Corriveau, chirurgien vasculaire, Association des chirurgiens vasculaires du Québec
Dr Paolo Costi, cardiologue, Association des cardiologues du Québec
Dr François Donati, anesthésiologiste, Association des anesthésiologistes du Québec
Dr Stéphane Elkouri, chirurgien vasculaire, Association des chirurgiens vasculaires du Québec
Dre Josée Fafard, interniste, Association des spécialistes en médecine interne du Québec
Dre Nadine Lahoud, interniste, Association des spécialistes en médecine interne du Québec
SUITE
217e JFIFMSQ
SESSION 1 COMMENT DÉVELOPPER UNE ACTIVITÉ DE SECTION 3 : PRENDRE LE VIRAGE DE LA PRATIQUE RÉFLEXIVE CONFÉRENCES MAGISTRALES AVEC ATELIERS PRATIQUES EN PETITS GROUPES
8 h 30 à 17 h Durée de la formation : 6 heures
Pour qui ?Tous les médecins spécialistes
Résumé
Présentée sous forme d’atelier interactif, cette session offrira aux participants l’opportunité de revoir les normes et les critères de développement et d’accréditation d’une activité de section 3. Les participants travailleront en petits groupes interdisciplinaires afin de développer un modèle d’activité de section 3 qui pourrait être intégré tant dans les congrès annuels de leur association que dans les activités de DPC dans leur département clinique ou leur centre hospitalier. Finalement, les participants mettront en application les processus d’accréditation et compléteront une demande d’accréditation pour leur activité.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Distinguer les normes et critères d’accréditation d’une activité de section 3 ;
› Intégrer des activités de section 3 dans leurs activités d’apprentissages collectifs ;
› Appliquer les normes et les critères d’accréditation d’une activité de section 3 dans le développement d’une activité de groupe.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue et déroulement de la journée – S. J. Daniel
8 h 45 Situer les activités de section 3 dans son DPC – R. L. Thivierge
Objectifs d’apprentissage :
› Discuter du contexte des activités d’auto-évaluation (PAE et simulation) dans leur DPC ;
› Énumérer et appliquer les quatre phases du cycle des apprentissages dans le développement de leur activité de DPC.
9 h 45 Travail d’équipe
Objectifs d’apprentissage :
› Introduction des participants et élection d’un responsable ;
› Partage des expériences dans le développement ou la participation dans des activités de section 3.
10 h Pause-santé
10 h 30 La revue des normes administratives, éducatives et éthiques des activités de section 3 – P. Wade
Objectifs d’apprentissage :
› Reconnaître les normes et les critères de développement d’un PAE du CRMCC ;
› Appliquer les normes d’accréditation.
11 h Comment intégrer des activités de section 3 dans vos activités d’apprentissages collectifs – S. Daniel
Objectifs d’apprentissage :
› Énumérer des approches pédagogiques appropriées aux activités de section 3 ;
› Sélectionner les approches appropriées pour atteindre les objectifs d’apprentissage.
11 h 30 Travail d’équipe
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Politique et procédures pour compléter une demande d’accréditation avec l’ODP – P. Wade
Objectifs d’apprentissage :
› Différencier les deux types de demande d’accréditation d’une activité de section 3 ;
› Compléter une demande d’accréditation d’une activité de section 3 (PAE) ;
› Reconnaître et éviter les erreurs les plus fréquentes.
14 h 15 Pause-santé
14 h 45 Travail d’équipe
Objectifs d’apprentissage :
› Terminer le développement de son activité ;
› Compléter une demande d’accréditation de PAE.
15 h 45 Revue des activités des groupes de travail – S. J. Daniel, R. L. Thivierge et P. Wade
16 h 45 Mot de la fin et évaluation – S. J. Daniel
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Sam J. Daniel, ORL, directeur, Office de développement professionnel, FMSQ
Dr Robert L. Thivierge, pédiatre, CHU Sainte-Justine et Direction du DPC, Faculté de médecine de l’Université de Montréal
Mme Patricia Wade, Office de développement professionnel, FMSQ
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
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SESSION 2 POUR ÉVITER DE FAIRE LA UNE DU JOURNAL : GESTES DE BASE EN RÉANIMATIONATELIER TECHNIQUE
NOUVEAUTÉ EN 2014 : 3 HEURES DE CRÉDITS EN SECTION 3
8 h 30 à 17 h 15 Durée de la formation : 6,25 heures
Pour qui ?Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Quelques coroners nous l’ont rappelé : tout médecin doit pouvoir réagir à une situation d’urgence, dans sa clinique ou dans sa salle d’attente. Des recommandations claires sont d’ailleurs incluses dans une récente publication du Collège des médecins du Québec portant sur les interventions (médicales ou chirurgicales) en milieu extrahospitalier. Cet atelier pratique sera basé sur les dernières recommandations (2010) concernant la réanimation de base pour les professionnels de la santé et permettra aux intéressés d’obtenir une reconnaissance de formation.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Réagir aux urgences cardiorespiratoires et appliquer les techniques de base ;
› Effectuer les techniques de base selon les standards de l’American Heart Association
› Manipuler un défibrillateur externe automatisé ;
› Identifier ce que la trousse d’urgence de leur clinique ou de leur bureau devrait contenir ;
› Identifier d’autres situations telles que « Y a-t-il un médecin à bord, prière de s’identifier… »
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 Formation didactique
10 h Pause-santé
10 h 30 Atelier de soins de réanimation
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Poursuite de l’atelier de soins de réanimation (crédits de section 3)
15 h Pause-santé
15 h 30 Poursuite de l’atelier de soins de réanimation (crédits de section 3)
17 h Mot de la fin et évaluation
17 h 15 Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Ernest Prégent, spécialiste en médecine d’urgence, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal
M. Michel Bélanger, maître instructeur de soins immédiats en réanimation (SIR) et instructeur ACLS
Instructeurs certifiés invités
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
237e JFIFMSQ
Conférenciers et animateurs
Dr François Goulet, directeur adjoint, Direction de l’amélioration de l’exercice, Collège des médecins du Québec
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
SESSION 3
LA LECTURE CRITIQUE DE LA LITTÉRATURE MÉDICALEPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
8 h 30 à 12 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ?Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Avec le foisonnement d’articles scientifiques dans la littérature médicale, il est nécessaire de savoir bien évaluer la qualité des études publiées afin de juger de la pertinence ou non de modifier sa pratique à la lumière de ces publications. L’objectif de cet atelier est de revoir les principaux éléments qui permettent de juger de la qualité d’un essai clinique et de ses conclusions. Cet atelier visera un groupe restreint de participants afin d’assurer une véritable interaction et une discussion à l’aide d’exemples concrets.
Au terme de cette activité, les participants pourront faire une lecture critique de la littérature et :
› Reconnaître la méthodologie de l’étude ;
› Identifier les principaux éléments qui permettent de juger de la qualité d’un essai clinique ;
› Tirer leurs propres conclusions pour leur pratique.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 Début de l’atelier
10 h Pause-santé
10 h 30 Poursuite de l’atelier
11 h 50 Mot de la fin et évaluation
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
SESSION 4
LA GESTION DU TEMPSPRÉSENTATION DE CAS FICTIFS
8 h 30 à 12 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Les participants auront, au début de l’atelier, la tâche d’analyser les activités qu’ils ont effectuées au cours de la précédente semaine. Ils pourront, en équipe de deux, discuter des éléments qui leur posent un problème. Par la suite, l’animateur présentera à l’aide de vignettes, des trucs pour la gestion du temps et la gestion des appels téléphoniques, des courriels, des réunions, des formulaires et des rendez-vous cliniques. Finalement, en équipe de deux, les participants échangeront entre eux sur les actions qu’ils entreprendront afin d’améliorer leur gestion du temps.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Faire concorder leur emploi du temps à leurs valeurs en utilisant des aides à la gestion du temps ;
› Développer des habiletés dans la gestion des dossiers, des appels téléphoniques, des courriels, des réunions, des formulaires et des rendez-vous cliniques ;
› Faire plus avec le temps, pour donner du temps aux activités personnelles et professionnelles ;
› Acquérir des trucs de gestion du temps.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 Début de l’atelier
10 h Pause-santé
10 h 30 Poursuite de l’atelier
11 h 50 Mot de la fin et évaluation
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affichesConférenciers et animateurs
Dr Pierre Larochelle, interniste, CHUM et Institut de recherches cliniques de Montréal
Dr François Madore, néphrologue, directeur du Centre de recherche, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
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SESSION 5 iPAD, iPHONE ET AUTRES GADGETS AU SERVICE DE NOTRE PRATIQUE QUOTIDIENNEPRÉSENTATIONS AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
8 h 30 à 12 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ?Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Les technologies de l’information sont omniprésentes et les aides numériques sont partout à portée de main. Que ce soit avec un téléphone intelligent, une tablette ou un ordinateur portable, les applications et les logiciels pour faciliter la quête d’information ou la prise de décision se multiplient sans arrêt. Quels sont donc les moyens pour rentabiliser au mieux nos iBidules ? Quels sont les pièges à éviter ? Quelles applications mobiles facilitent vraiment la vie du médecin spécialiste ? Ces applications sont diverses et nombreuses : l’atelier permettra d’échanger sur les expériences de tout un chacun. Depuis les outils qui permettent d’assurer le développement professionnel jusqu’aux pharmacopées électroniques, en passant par les applications cliniques, des plus sérieuses aux plus ludiques, nous discuterons de nos expériences et des pièges à éviter.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Améliorer leur utilisation d’un outil informatique mobile (tablette ou téléphone intelligent) ;
› Reconnaître les limites des outils informatiques mobiles ;
› Maximiser l’obtention d’information médicale sur le champ ;
› Schématiser le concept d’informatique en nuage ;
› Jumeler les utilisations professionnelles et ludiques ;
› Expérimenter des applications testées, suggérées et présentées par leurs pairs.
IMPORTANT :
Les participants sont invités à apporter leurs appareils mobiles. Ainsi, ils pourront les utiliser en temps réel et partager avec les autres participants leurs applications préférées. Un système permettra la projection des écrans d’un iPhone ou d’un iPad.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 Début de l’atelier
10 h Pause-santé
10 h 30 Poursuite de l’atelier
11 h 50 Mot de la fin et évaluation
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
Conférencier et animateur
Dr Marc-Yvon Arsenault, obstétricien gynécologue, Hôpital de LaSalle
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
257e JFIFMSQ
SESSION 6 LA PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME : LES ASPECTS FINANCIERSATELIER INTERACTIF
Invitez votre conjoint
8 h 30 à 12 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
« Le mot retraite n’a jamais fait partie de mon vocabulaire, mais il faudra bien que j’y pense un jour. » Croyez-vous avoir suffisamment d’argent pour la retraite ? Connaissez-vous bien les régimes gouvernementaux (RRQ, RPC) ? Utilisez-vous de bonnes stratégies fiscales pour atteindre vos objectifs de retraite ? Cet atelier interactif répondra à ces questions et abordera aussi d’autres sujets reliés comme les abris fiscaux, les crédits d’impôt et les risques financiers inhérents à la retraite. Traitées avec précision et rigueur et bien vulgarisées par un animateur possédant plusieurs années d’expérience, les explications vous permettront de prendre des décisions éclairées sur votre avenir.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Décrire les éléments importants d’une planification financière de base et les réunir en prévision d’une éventuelle rencontre avec un planificateur financier ;
› Définir les principaux produits financiers d’épargne et différencier les différents véhicules de placements ;
› Démystifier le phénomène de décaissement et de planification et fragmentation des revenus de retraite.
HORAIRE
7 h Accueil et inscriptions
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 Début de l’atelier
10 h Pause-santé
10 h 30 Poursuite de l’atelier
11 h 50 Mot de la fin et évaluation
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
Conférencier et animateur
M. Mathieu Huot, fiscaliste et planificateur financier, Financière des professionnels
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
267e JFI
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SESSION 7 LA PLANIFICATION DE LA RETRAITE, À COURT ET À LONG TERME : LES ASSURANCES ET LES ASPECTS JURIDIQUESATELIER INTERACTIF
Invitez votre conjoint
13 h 30 à 17 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Le patrimoine familial s’applique-t-il aux conjoints de fait ? Suis-je trop assuré ? Être inapte sans mandat de protection en cas d’inaptitude, quelles en sont les conséquences ? Ai-je besoin d’une fiducie testamentaire ? Cet atelier interactif répondra à toutes ces questions et abordera aussi d’autres sujets juridiques importants. Les explications d’un notaire vous permettront de prendre des décisions éclairées sur vos besoins en la matière.
« J’aimerais réduire mes activités cliniques et prendre une semi-retraite. Mais comment faire ? »
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Évaluer leurs besoins actuels et futurs en assurances ;
› Décrire les objectifs recherchés pour l’élaboration d’un testament, d’un contrat d’union de fait, d’un mandat en cas d’inaptitude et d’une procuration ;
› Planifier la succession au décès, y compris le besoin de fiducie testamentaire, le cas échéant ;
› Réaliser l’impact de leur statut familial dans leur planification financière et de retraite.
HORAIRE
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Mot de bienvenue
13 h 35 Début de l’atelier
15 h Pause-santé
15 h 30 Poursuite de l’atelier
16 h 45 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférencières et animatrices
Mme Roxane Rondeau-Daoust, conseillère en sécurité financière, Sogemec assurances
Mme Nathalie Poisson, notaire, Financière des professionnels
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
277e JFIFMSQ
SESSION 8 ÉTHIQUE PRATIQUE POUR LE CLINICIEN : GÉRER UNE DEMANDE DE SOINS QUI SEMBLE NON REQUISE PAR L’ÉTAT DE SANTÉATELIER INTERACTIF ET PRÉSENTATIONS DE CAS
13 h 30 à 17 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ?Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
L’évolution de la médecine permet d’offrir beaucoup plus que l’essentiel lié à la santé. Il arrive que médecin et patient soient en désaccord sur ce qui constitue un état de santé ou une intervention acceptable. Certaines demandes semblent non requises par l’état de santé et provoquent plusieurs questions pour le clinicien. D’autres interventions souhaitées par les patients ou leurs familles peuvent sembler futiles pour les équipes médicales et mènent parfois à la détresse morale des soignants.
Comment répondre à une requête de stimulants motivée par l’enseignant et les parents, alors qu’à votre avis, l’enfant ne remplit pas les critères d’hyperactivité ni de déficit de l’attention ? Que faire devant une demande d’un certificat de virginité d’une jeune femme qui veut se marier ? Faut-il accepter d’offrir une chirurgie bariatrique à votre patient qui ne remplit pas les critères hospitaliers parce qu’un service privé l’a accepté ? Que répondre à une demande de procréation médicalement assistée pour une femme de plus de 40 ans qui a déjà des enfants ? Comment gérer un refus de non-réanimation pour un patient en phase terminale ?
L’objectif général de l’atelier sera de discuter des approches de réflexion éthique relatives à plusieurs situations concrètes et d’élaborer une réflexion sur les interactions entre la médecine et la société : qui définit la norme, comment définir la futilité, comment se situer comme clinicien quant à de telles problématiques et comment gérer la relation médecin-patient lors de désaccords.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Discuter des différentes approches de réflexion éthique relatives à des situations concrètes ;
› Définir la futilité et « l’utile » à la santé ;
› Élaborer une réflexion sur les interactions entre la médecine et la société ;
› Gérer la relation médecin-patient lors de désaccords entre professionnels et soignants.
HORAIRE
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Mot de bienvenue
13 h 35 Début de l’atelier
15 h Pause-santé
15 h 30 Poursuite de l’atelier
16 h 45 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Mme Marie-Ève Bouthillier, chef de l’unité d’éthique clinique, Direction des affaires universitaires, corporatives et de la qualité, Hôpital de la Cité-de-la-Santé de Laval
Dr Antoine Payot, pédiatre, directeur du Bureau de l’éthique clinique et directeur de maîtrise en éthique clinique de l’Université de Montréal, chef de l’Unité d’éthique clinique, CHU Sainte-Justine
Dre Annie Janvier, pédiatre, co-directrice de l’Unité d’éthique clinique, CHU Sainte-Justine, co-directrice de la maîtrise en éthique clinique de l’Université de Montréal, chercheuse en éthique clinique
Dre Nathalie Gaucher, pédiatre, CHU Sainte-Justine
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
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SESSION 9 LE CONSENTEMENT ET LA DIVULGATION ATELIER INTERACTIF
13 h 30 à 17 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Cet atelier hautement interactif sera divisé en deux parties :
A) Consentement :
Plusieurs situations se présentent et remettent en question la notion d’un consentement éclairé. Quels sont les éléments importants pour obtenir un bon consentement ? Quel est le rôle du patient lors d’un consentement ? Des vignettes cliniques viendront vous faire réfléchir sur les nuances et les précisions en pédiatrie, en gériatrie, en soins de fin de vie, pour la personne inapte, etc.
B) Divulgation :
Par le biais de situations cliniques, les participants auront l’opportunité de distinguer leurs obligations et leurs responsabilités en matière de gestion des risques, d’étudier de récents événements afin d’éviter les récidives et maximiser la sécurité des patients ainsi que de revoir la rédaction des notes au dossier.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
A) Consentement :
› Énumérer les éléments d’un consentement valide ;
› Différencier les nuances et les précisions avec les clientèles pédiatrique, gériatrique, en fin de vie et avec les personnes inaptes ;
› Identifier les points importants à consigner au dossier lors de la prise d’un consentement.
B) Divulgation :
› Distinguer entre leurs obligations déontologiques et leurs responsabilités réglementaires auprès des comités de gestion de risques dans les établissements ;
› Se servir de leurs événements pour maximiser la sécurité des patients et réduire les éventuelles récidives ;
› Divulguer au patient de façon empathique et rédiger une note au dossier.
HORAIRE
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Mot de bienvenue
13 h 35 Consentement : que dire encore sur le consentement que vous n’avez jamais osé demander ? – J. Dubé, F. Goulet et L. LeGrand Westfall
15 h Pause-santé
15 h 30 Divulgation : et si ça vous arrivait… que voudriez-vous savoir ? – J. Dubé, F. Goulet et L. LeGrand Westfall
16 h 45 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dre Julie Dubé, physiatre, Centre hospitalier Pierre-Boucher
Dr François Goulet, directeur adjoint, Direction de l’amélioration de l’exercice, Collège des médecins du Québec
Dre Lorraine LeGrand Westfall, chirurgienne, directrice des affaires régionales, Association canadienne de protection médicale
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
297e JFIFMSQ
SESSION 10 LA SIMULATION 101 : APPRIVOISER ET UTILISER LES OUTILS DE SIMULATION POUR MON DPCPRÉSENTATIONS MAGISTRALES AVEC PÉRIODES DE QUESTIONS
13 h 30 à 17 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés par la simulation
Résumé
Au cours de la dernière décennie, on a assisté à une prolifération du nombre de centres de simulation dans les facultés de médecine et dans les hôpitaux. Ces centres sont surtout utilisés dans un but de formation, tant pour les individus que pour les équipes multidisciplinaires, avec un rôle plus restreint en évaluation. La session a pour but de familiariser les participants à la simulation et comporte deux volets : le premier donne des exemples de formations en différentes spécialités et le second explique comment se réalisent les évaluations de la pratique, notamment en anesthésiologie.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Décrire l’évolution des centres de simulation depuis leur début ;
› Donner des exemples de formations d’individus ou d’équipes utilisant les centres de formation ;
› Expliquer comment ces centres peuvent être utilisés pour l’évaluation de la pratique.
HORAIRE
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Introduction - historique et objectifs poursuivis en simulation – P. Drolet
13 h 45 La simulation pour la formation en anesthésiologie – comment ça se fait – G. Chiniara
14 h 25 La simulation pour la formation pour les spécialités autres que l’anesthésiologie – I. Tanoubi
15 h Pause-santé
15 h 30 Le programme de la Direction de l’amélioration de l’exercice – P. Champagne
16 h 10 La simulation pour l’évaluation - comment ça se fait – A. Robitaille
16 h 45 Conclusion - le rôle croissant de la simulation pour les médecins en exercice – P. Drolet
16 h 45 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Pierre Champagne, inspecteur, stages et EOS, Collège des médecins du Québec
Dr Gilles Chiniara, anesthésiologiste, professeur adjoint et directeur, Centre Apprentiss, Université Laval
Dr Pierre Drolet, anesthésiologiste, Hôpital Maisonneuve-Rosemont, professeur, Université de Montréal
Dr Arnaud Robitaille, anesthésiologiste, CHUM - Hôpital Notre-Dame, Centre d’apprentissage des attitudes et habiletés cliniques (CAAHC), Université de Montréal
Dr Issam Tanoubi, anesthésiologiste, Hôpital Maisonneuve-Rosemont, Centre d’apprentissage des attitudes et habiletés cliniques (CAAHC), Université de Montréal
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
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SESSION 11 LES HABILETÉS DE GESTION D’UN
CHEF DE DÉPARTEMENT - LEADERSHIP MÉDICAL : POURQUOI LES MÉDECINS SPÉCIALISTES DOIVENT S’Y INTÉRESSERATELIER INTERACTIF
8 h 30 à 12 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Jusqu’à maintenant, dans les centres hospitaliers du Québec, les membres d’un département ou d’un service sont souvent appelés à tour de rôle à assumer la fonction de chef, et ce, avec des mandats souvent mal définis. Pour certains, devenir chef sera une source de satisfaction ; pour d’autres, l’aventure tournera au cauchemar. Avez-vous les attitudes et habiletés de gestion requises pour devenir chef ? Quelles sont vos attentes, celles de vos collègues et celles de l’administration ? Votre Fédération est sur le point de signer une entente financière qui vous permettra de protéger du temps dans votre horaire pour accomplir cette tâche et être payé adéquatement. Cette présentation s’adresse à vous si vous voulez connaître le profil d’un bon chef de département et savoir si vous avez le physique de l’emploi. La rémunération ne saurait venir sans obligations !
Le médecin spécialiste œuvrant en centre hospitalier devrait plutôt réaliser qu’il jouit d’une grande capacité d’influence pour apporter des améliorations ou des modifications aux pratiques cliniques et organisationnelles. Pourquoi n’y aurait-il pas une plus grande cogestion dans nos hôpitaux ?
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Définir le rôle et la fonction d’un chef de département ou de service ;
› Revoir les obligations légales et les droits du chef de département par rapport au centre hospitalier ;
› Identifier des situations cliniques difficiles à gérer lorsqu’on est seul au combat !
HORAIRE
7 h Accueil et inscription
7 h 30 Petit-déjeuner et allocution de la présidente, Dre Diane Francœur
8 h 30 Mot de bienvenue
8 h 35 Les habiletés de gestion d’un chef de département ou de service
10 h Pause-santé
10 h 30 Le leadership médical dans la gestion du changement pour améliorer sa situation et celle de ses patients
11 h 50 Mot de la fin et évaluation
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
Conférencières et animatrices
Me Mélanie Champagne, Borden Ladner Gervais
Dre Michèle Drouin, radiologiste, directrice des Affaires économiques, FMSQ
Dre Diane Francœur, obstétricienne gynécologue, présidente de la FMSQ
Me Patrick Trent, Borden Ladner Gervais
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ
317e JFIFMSQ
SESSION 12 DÉBUT DE CARRIÈRE : BIEN CONNAÎTRE
SES CHOIX ET SES OBLIGATIONSATELIER INTERACTIF
SESSION SPÉCIALE À L’INTENTION DES MÉDECINS RÉSIDENTS
13 h 30 à 17 h Durée de la formation : 3 heures
Pour qui ? Tous les médecins spécialistes et résidents intéressés
Résumé
Savez-vous comment obtenir un poste dans un établissement ? Cet atelier fournit aux résidents les outils nécessaires pour adopter une approche systématique à la planification de leur carrière afin d’éviter les nombreux pièges qu’ils peuvent avoir à affronter lors de leur cheminement initial. Un plan qui aidera les résidents à faire un choix de carrière, à trouver un emploi, à établir une pratique, à obtenir une base de références et à mettre en place un cabinet ou une clinique est présenté.
L’atelier offre une perspective académique et non académique, tant en pratique hospitalière que privée. Les participants recevront aussi des conseils quant à leurs droits et obligations.
Au terme de cette activité, les participants seront en mesure de :
› Identifier les différents modèles de pratique académique ou non académique, en centre hospitalier ou en cabinet, seul ou en groupe ;
› Établir une liste de buts à utiliser comme guide dans leur processus de décision lors de l’établissement d’une pratique basée sur une analyse de leurs intérêts, leurs préférences et leur situation personnelle ;
› Employer des méthodes utilisées par des pratiques établies pour développer, optimiser et faire croître une pratique et la gérer durant cette évolution. Ceci inclut bâtir une base de références, faire croître une pratique et la guider dans la direction ou la spécialité de leur choix ;
› Reconnaître les droits et les obligations ainsi que les moyens d’action du médecin dans la structure de l’hôpital.
HORAIRE
12 h Lunch et allocution de la présidente de la FMSQ, Dre Diane Francœur
13 h Présentation d’affiches
13 h 30 Mot de bienvenue
13 h 35 Début de l’atelier
15 h Pause-santé
15 h 30 Poursuite de l’atelier
16 h 45 Mot de la fin et évaluation
17 h Fin de l’activité
Conférenciers et animateurs
Dr Yanick Larivée, ORL, Hôpital de Granby
Dr Mark Samaha, ORL, CUSM - Hôpital Royal Victoria
Comité scientifique
Comité de planification de la 7e Journée de formation interdisciplinaire de la FMSQ SESSION A
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PRIX
RÉCIPIENDAIRES DES PRIX D’EXCELLENCE EN SÉCURITÉ DES SOINS
Dr Daniel Chartrand
Anesthésiologiste, président du Groupe Vigilance pour la sécurité des soins au MSSS, directeur adjoint du Département d’anesthésiologie de l’Université McGill et coprésident du comité de sécurité des soins de la FMSQ.
Dr Chartrand porte depuis plus de 30 ans un grand intérêt à la sécurité des patients. Il est un défenseur infatigable et passionné de la sécurité des soins. Il milite sans relâche pour le développement d’une « culture de sécurité » dans le milieu médical tant par son travail administratif que par son travail clinique.
En plus d’exercer un rôle primordial pour la sécurité des soins par une implication institutionnelle, provinciale et nationale, il demeure aussi un clinicien hors pair dont la pratique clinique est en tout point conforme aux règles de l’art tant par sa compétence que par son approche chaleureuse et empathique auprès des patients. Il est donc un exemple de compétence, de rigueur et d’humanisme pour ses collègues, les résidents et tout le personnel de la salle d’opération.
Dr Ernest Prégent
Spécialiste en médecine d’urgence, directeur à la Direction de l’amélioration de l’exercice du Collège des médecins du Québec et coprésident du comité de sécurité des soins de la FMSQ.
Dr Prégent cumule plus de 30 ans de carrière comme médecin spécialiste en médecine d’urgence à l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal. Depuis le début de sa carrière, Dr Prégent a été impliqué dans le développement et la mise en place de plusieurs formations telles que l’ACLS, l’ATLS et bien d’autres. Il a été très impliqué dans l’implantation du Programme ASPIRE du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. Dr Prégent compte aussi plus de 30 ans d’enseignement universitaire et a maintenant la chance d’avoir comme mandat la protection et la sécurité des patients au Collège des médecins du Québec. Tout au long de sa carrière, il a toujours priorisé la sécurité des patients. Sa qualité d’éducateur est reconnue à tel point que son atelier à la JFI affiche complet d’année en année.
Dre Josée Dubois
Spécialiste en radiologie diagnostique au Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine et vice-doyenne aux études médicales postdoctorales à l’Université de Montréal.
En août 2013, Dre Dubois a été responsable de la mise en place du stage de nuit visant principalement l’amélioration de la sécurité des patients par un horaire favorisant la continuité des soins. Le programme visait aussi l’amélioration de l’encadrement pédagogique des résidents et la collaboration intersectorielle, en plus de dépister plus précocement les résidents en difficulté ou les problèmes de supervision de la part des professeurs.
En favorisant la stabilité des équipes de travail, le programme a permis aux individus de tisser des liens de confiance entre eux ainsi qu’avec les membres des équipes de soins de nuit. La continuité des soins et le développement d’un climat de confiance ont permis d’améliorer la sécurité des soins aux patients. Par ce projet, Dre Dubois s’est démarquée dans la sécurité des soins au Québec.
Équipe de soins intensifs de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal : Projet SECUREX
Dr Martin Albert, spécialiste en médecine interne
Dr Francis Bernard, chercheur régulier et spécialiste en médecine interne
Mme Mélanie Bérubé, infirmière
L’équipe des soins intensifs de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal a mis en place un programme universel chez les patients des soins intensifs visant à réduire les incidents reliés aux fréquents transports durant leur épisode de soins. Différents incidents peuvent survenir notamment lors de la manipulation inhabituelle de l’équipement imposant que nécessite un patient de soins intensifs ou par un manque d’accès aux ressources requises pour composer avec l’état clinique des patients une fois hors des soins intensifs.
En s’inspirant de leurs données et de la littérature, l’équipe a développé un outil de dépistage énumérant différents facteurs de risques qui prédisposent aux incidents pouvant survenir lors du transport. L’outil permet de quantifier les risques et de mettre en place différentes mesures ciblées aux problèmes dévoilés.
L’évaluation du programme a permis de démontrer une diminution importante (de 20 % en valeur absolue) et soutenue des incidents survenant durant le transport. Depuis cette étude, l’équipe poursuit ce programme d’excellence en sécurité des soins qui démontre une efficacité remarquable à améliorer la sécurité de tous les patients de soins intensifs de l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal.
337e JFIFMSQ
RÉCIPIENDAIRES DU PRIX GILLES-HUDON
Dr Richard RatelleChirurgien général au CHUM – Hôpital Saint-Luc Président du comité de développement professionnel continu (DPC) de l’Association québécoise de chirurgie (AQC)
Au sein du comité de DPC de l’AQC, Dr Ratelle fait preuve de leadership et d’avant-gardisme dans la planification et l’organisation des activités de DPC. Une de ses priorités est de répondre adéquatement aux besoins de formation de tous les membres de l’AQC, tant en centres urbains qu’en régions éloignées. Les membres du comité de DPC de l’AQC sont toujours très motivés de participer à l’élaboration d’activités de formation en sa collaboration.
Il reste à l’affût des tendances en apprentissage et en technologie afin de surpasser les attentes des membres lors des activités. Il oriente ses efforts dans le développement de la formation en ligne et a instauré des capsules de formation qui sont disponibles aux membres sur le site internet de l’AQC.
Dr Ratelle est l’un des pionniers dans le développement d’activités de Section 3. Il a élaboré des scénarios et des formulaires d’évaluation de la performance pour un atelier pratique de laparoscopie très apprécié des participants. Il préconise la multidisciplinarité dans l’élaboration d’activités ; d’ailleurs, les résidents en chirurgie générale, les infirmières et les autres professionnels de la santé sont invités aux formations jugées pertinentes.
Dr Michel Y. RouleauPneumologue au CHU de Québec – Hôpital du Saint-Sacrement
Dr Rouleau pratique la médecine depuis plus de 35 ans. À la FMSQ, Dr Rouleau a présidé le comité de DPC de l’Association des pneumologues de la province de Québec et, au niveau national, il préside le comité de DPC de la Société canadienne de thoracologie. Il siège actuellement au comité de DPC du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
Son engagement à aider à la diffusion et à la mise en œuvre de guides de pratique a contribué à l’adoption de pratiques professionnelles exemplaires dans le domaine de la pneumologie, contribuant à la qualité et à l’amélioration de la santé des populations.
Par son engagement, Dr Rouleau a participé à la mission d’excellence et à la renommée de la Faculté de médecine de l’Université Laval. Il a fait preuve de leadership que ce soit dans les milieux universitaires ou professionnels où il a évolué. Son intérêt et son engagement en matière de développement professionnel ont contribué et contribuent toujours à la renommée des universités, de la FMSQ et de la profession médicale.
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PRÉSENTATION DES AFFICHES
Titre : Barrières à l’implantation d’un protocole de transfert de patients entre médecins à l’urgence
Le transfert de la responsabilité des patients entre médecins a été identifié comme la première cause d’erreurs évitables et d’atteinte à la sécurité des soins. Notre étude vise à identifier les barrières à l’implantation d’un protocole de transfert de patients entre médecins à l’urgence basé sur des données probantes.
Nous avons procédé à une revue systématique de la littérature, et les principales barrières à l’implantation sont la crainte de la complexification (100 %) et de l’alourdissement des transferts (96 %).
De plus, nos résultats démontrent que les médecins d’urgence sont conscients des risques associés aux transferts et qu’ils sont prêts à changer leurs pratiques. La méthode standardisée proposée devra cependant être rapide et couvrir l’ensemble des éléments jugés essentiels.
Présentateur :
Dr Jean-Marc Chauny, chercheur régulier et médecin spécialiste en médecine d’urgence, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal
Titre : Séance de simulation interdisciplinaire aux urgences du CHUM
L’équipe de simulation de l’urgence du CHUM a conçu, depuis décembre 2012, une série de simulations cliniques haute-fidélité (SCHF) impliquant les intervenants des principales disciplines œuvrant aux urgences. Les objectifs de ces formations étaient d’accroître les compétences de communication et de leadership au sein d’une équipe de travail, au bénéfice de la qualité et sécurité des soins.
Les professionnels impliqués ont reconnu la pertinence de cette formation. Tous les participants estimaient qu’ils seraient en mesure d’appliquer les compétences développées dans leur pratique et affirmaient que la méthode pédagogique employée favorisait l’apprentissage. Ces formations pilotes ont permis aux participants de développer leurs compétences interdisciplinaires tout en abordant des situations basées sur
la réalité, traitant d’enjeux ayant une incidence sur la sécurité des patients.
Présentateurs :
Dr David Fortier, médecin spécialiste en médecine d’urgence
Brigitte Sgariglia, conseillère en soins infirmiers
Jérôme Milette, spécialiste en simulation
Daniel Payette, conseiller en développement de programmes et projets d’apprentissage
Titre : Changement de pratique et qualité des soins : raccourcissement de la durée de séjour des césariennes électives au CHUM
Afin de diminuer les débordements de patientes accouchées dans d’autres unités et d’améliorer la qualité des soins qui leur sont prodigués, nous avons raccourci, le 1er avril 2014, la durée de séjour des patientes ayant subi une césarienne élective de trois jours à deux jours. Ce changement de pratique s’est orchestré avec l’aide de l’équipe multidisciplinaire d’obstétrique. Des indicateurs de débordements ont été élaborés et un questionnaire expérience-patient a été développé dans un but d’amélioration continue de la qualité de nos services.
Présentatrice :
Dre Laurence Simard-Émond, obstétricienne gynécologue, CHUM – Hôpital Notre-Dame
Titre : Formation ASPIRE au Québec : la sécurité des patients et nos milieux de formation
En collaboration avec plusieurs partenaires, la formation ASPIRE (Advancing Safety for Patients in Residency Education) sera adaptée aux aspects organisationnels du réseau de soins au Québec et sera disponible en français. Dans cette formation seront inclus les aspects suivants : contexte québécois et sécurité des soins, assurance d’une juste culture, habiletés de communication, facteurs humains, façon de faire coexister sécurité des
patients et formation, rôle des différents intervenants, incidents et accidents, amélioration de la qualité comme processus d’amélioration, gestion de risques et revue des sources disponibles.
Cette formation sera mise à la disposition de tout médecin impliqué dans la formation, que ce soit en formation pré et postdoctorale, dans un modèle de distribution au sein de tous les milieux cliniques.
Présentateurs :
Dr Ernest Prégent, spécialiste en médecine d’urgence, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal
Dr Julien Poitras, spécialiste en médecine d’urgence, Hôtel-Dieu de Lévis
Titre : Approche patient personnalisée pour l’optimisation de la trajectoire de service de la clientèle vulnérable : sécurité, efficacité et collaboration
L’objectif de cette initiative est d’améliorer l’accompagnement des personnes vulnérables et d’optimiser les séjours hospitaliers à l’Hôpital Charles-Le Moyne.
La progression des maladies chroniques associées au vieillissement de la population représente un défi majeur pour les établissements de santé. L’évolution des besoins de ces clientèles rend plus complexe l’épisode de soins aigus, tout en créant une pression sur les services comme l’urgence, les soins à domicile, l’hébergement et les services de réadaptation et de convalescence. En 2012, l’Hôpital Charles-Le Moyne, nouvellement fusionné dans un CSSS, vivait un engorgement chronique de son urgence et de son accès à l’hospitalisation. Une mobilisation organisationnelle a permis d’agir concrètement sur la trajectoire des patients vulnérables et de constater une réduction majeure des séjours en milieu hospitalier.
Présentatrice :
Dre Julie Dubé, physiatre et représentante du CMDP, du comité gestion des risques de l’Hôpital Charles-Le Moyne et du comité stratégique de la gestion des séjours
357e JFIFMSQ
Titre : L’équipe d’intervention rapide au CHUM
Une équipe d’intervention rapide (EIR), composée d’une infirmière, d’un inhalothérapeute et d’un médecin, apporte le savoir-faire des cliniciens des soins intensifs au chevet des patients instables. Les objectifs de cette EIR sont d’agir le plus tôt possible pour prévenir les complications et les arrêts cardio-respiratoires, de soutenir les équipes traitantes sur les étages et d’assurer la promotion des pratiques sécuritaires.
L’EIR est une « activité » de soins intensifs hors unité qui permet d’intervenir rapidement et efficacement auprès des patients instables. Lors de sa conception et de son implantation, ce projet a fait appel à l’esprit de travail en interdisciplinarité. Il a eu un impact sur toute l’institution comme modèle pour une approche à la sécurité des patients.
Présentatrice :
Dre Louise Passerini, pneumologue intensiviste, Hôpital Charles-Le Moyne
Titre : Systématisation informatique de la gestion des interruptions involontaires de traitements de radiothérapie
Plusieurs études ont démontré l’importance de minimiser les interruptions de traitements de radiothérapie pour atteindre de meilleurs résultats de contrôle local et de survie. Le but de cette étude est de vérifier l’impact de la mise en service d’un logiciel adapté pour tenir compte de règles internes de tolérance aux interruptions de traitements basées sur les recommandations du Royal College of Radiology.
La systématisation informatique de la gestion des interruptions involontaires de traitements de radiothérapie augmente la sécurité en maximisant le nombre de patients traités dans des délais optimaux tout en diminuant les ressources utilisées en heures supplémentaires à personnel réduit.
Présentatrice :
Dre Myriam Bouchard, radio-oncologue, CHUS – Hôpital Fleurimont
Titre : Programme national d’amélioration de la qualité des soins chirurgicaux (NSQIP)
Le NSQIP est une initiative élaborée par le Collège américain des chirurgiens dans le but de diminuer la morbidité et la mortalité des patients chirurgicaux au 30e jour postopératoire.
Il se démarque par deux caractéristiques particulièrement importantes : les résultats ajustés en fonction des risques et la fiabilité des données. Il permet une analyse comparative avec tous les autres hôpitaux inscrits au programme.
Le processus d’amélioration de la qualité débute par la cueillette et l’entrée des données dans la base de données du NSQIP. Les données sont ensuite analysées par une équipe statistique du NSQIP et des rapports ajustés en fonction des risques sont remis aux hôpitaux quatre fois par année. Les résultats sont présentés aux équipes chirurgicales ainsi qu’aux différents comités de l’hôpital. Des initiatives d’amélioration de la qualité sont ensuite développées et mises en place.
Présentateur :
Dr Lawrence Rosenberg, chirurgien général et directeur général, Hôpital général juif
Titre : 50 nuances de soins sécuritaires !
Cette initiative de l’Hôpital général juif vise à renforcer l’interdisciplinarité, le travail d’équipe et la communication par rapport à l’identification et à la prévention des risques. En 10 minutes, les équipes de soins identifient le plus de brèches de sécurité possible. On favorise ainsi un climat de reconnaissance des risques et de revue des meilleures pratiques. Cette approche collaborative permet le développement d’initiatives d’amélioration de la qualité des soins.
La participation du personnel de jour et de soir ainsi que des parties prenantes a été encouragée. La compétition entre les membres des équipes ainsi qu’entre les équipes elles-mêmes a ajouté un sentiment de fierté dans l’identification des risques et dans la mise en place des initiatives d’amélioration des soins.
Présentateurs :
Dr Joseph Portnoy, microbiologiste infectiologue, et l’équipe du Programme de la qualité, Hôpital général juif
Titre : Le traitement conservateur des pneumothorax de trois centimètres et plus : pourquoi s’acharner sur un patient asymptomatique – une étude pilote rétrospective
Les sociétés de pneumologie et de chirurgie thoracique ont publié des lignes directrices concernant le traitement des pneumothorax spontanés, mais elles ne s’entendent pas sur le rôle du traitement conservateur des pneumothorax avec un décollement apical de trois centimètres et plus.
L’objectif principal de cette étude est de déterminer le taux d’échec du traitement conservateur des pneumothorax de trois centimètres et plus en apical chez les patients de 16 ans et plus. De plus, il est important de poser un regard critique sur la sécurité du traitement conservateur, soit l’urgence d’intervenir dans le cas d’un échec à ce traitement et de déterminer les facteurs associés à cet échec.
Alors que cette étude demeure rétrospective, elle démontre la sécurité du traitement conservateur. Une étude prospective future suivra pour confirmer nos résultats.
Présentateurs :
Dr Adam Frenette, R4, chirurgie générale
Dr François-Charles Malo, R3, chirurgie générale
Dr Sandeep Mayer, chirurgie générale
Dre Chantal Sirois, chirurgie thoracique, Service de chirurgie thoracique, Département de chirurgie générale, Université de Sherbrooke
REMERCIEMENTSCette journée est rendue possible grâce à une subvention à visées éducatives de :
EXPOSANTS
COLLÈGE ROYAL DES MÉDECINS ET CHIRURGIENS DU CANADADESJARDINS
FINANCIÈRE DES PROFESSIONNELSPROGRAMME D’AIDE AUX MÉDECINS DU QUÉBEC
SOCIÉTÉ DES EXPERTS EN ÉVALUATION MÉDICOLÉGALE DU QUÉBECSOGEMEC ASSURANCES
UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL