programme du 18 avril au 1er mai 2018 · rait qualifier de film d’apprentissage, avec ce que cela...

De Samuel Maoz. France, Israël, Allema-gne, Suisse. 2018. 1h53. VOST. Avec Lior Ashkenazi, Sarah Adler … Michael et Dafna vivent dans un grand et bel ap-partement de Tel Aviv. Leur fils, Jonathan, fait son service militaire à un poste frontière en plein dé-sert avec trois autres gaillards. Tout commence lorsque des soldats sonnent à la porte du domicile familial, porteurs d’une nouvelle qui va replonger le père dans des souvenirs qu’il avait tenté d’ou-blier… Le foxtrot est une danse à quatre temps, d’origine nord-américaine, caractérisée par une suite de pas rapides et rythmés, très en vogue dans les années 1920. Littéralement, le « pas du renard ». Des ani-maux, dans Foxtrot, on en rencontre plusieurs : du calme chameau passant la frontière d’un pas lent au chien sautant frénétiquement devant la porte de l’appartement dans l’incompréhension de l’atmos-phère pesante qui l’entoure. C’est ce rythme bi-naire qui donne le ton de Foxtrot. Déjà remarqué en 2009 grâce à son précédent film, Lebanon,

Grand Prix du Jury à la Mostra de Venise, Samuel Maoz nous livre un film étonnant qui crée un dialo-gue entre deux univers en huis clos : celui du père et celui du fils, permettant un retour sur les histoi-res croisées de deux générations d’hommes. Polé-mique en Israël pour sa représentation de l’Armée jugée mensongère, le film a fait l’objet d’une de-mande de boycott de la part de la Ministre israé-lienne de la Culture, Miri Regev. �

Programme du 18 avril au 1er mai 2018

De Jean-Paul Civeyrac. France. 2018. 2h17. Avec Andranic Manet, Gonzague Van Bervesseles, Corentin Fila… Étienne monte à Paris pour faire des études de cinéma à l’université. Il y rencontre Mathias et Jean-Noël qui nourrissent la même passion que lui. Mais l’année qui s’écoule va bousculer leurs illusions… Mes Provinciales est ce que l’on pour-rait qualifier de film d’apprentissage, avec ce que cela comporte de romanesque et d’essentiel dans les sujets qu’il aborde. Un âge où se mêlent sans distinction les grandes aspirations et la découverte de l’amour, les utopies et leur lot d’hésitations, les amitiés véritables et les premiers compromis. En somme, tout ce que l’avenir réserve d’espoirs, fussent-ils incertains, et de déceptions aussi. Et il est tout aussi fascinant de les voir élaborer des réponses au gré de leurs rencontres, au contact d’œuvres d’art qui les marquent ou dans des ex-

traits de pages de la littérature. Jean Paul Ci-veyrac a su trouver à son film une forme limpide et apaisée – héritière d’un cinéma à la première per-sonne, de Eustache à Truffaut – qui parvient à saisir quelque chose d’infiniment beau dans cette jeunesse empreinte d’absolu, confrontée pour la première fois à l’épreuve des ambitions qu’elle s’est fixée. �

www.cinema-eldorado.fr À L’AFFICHE

> MES PROVINCIALES de Jean Paul Civeyrac

> FOXTROT de Samuel Maoz

> TRANSIT de Christian Petzold

> KINGS de Deniz Gamze Ergüven

> THE THIRD MURDER de Hirokazu Kore-eda

> LA MORT DE STALINE d’Armando Iannucci

> DON’T WORRY, HE WON’T GET FAR ON FOOT de Gus Van Sant

> NUL HOMME N’EST UNE ÎLE de Dominique Marchais

> MADAME HYDE de Serge Bozon

> THE RIDER de Chloé Zhao

SÉANCES SPÉCIALES > PIED DE BICHE de Matthieu Quillet

> LA CIOCIARA de Vittorio De Sica

> Le meilleur suffit de Denis Piningre

> Festival Play it again - 4 films à voir et à revo ir

> Rétro R. W. Fassbinder (Partie 1) : 7 films

CINÉ-MÔMES

> CONTES SUR MOI 5 courts-métrages

> PAT ET MAT DÉMÉNAGENT de M. Beneš

> LE PROFESSEUR BALTHAZAR de Grgic & Kolar

De Christian Petzold. All. 2018. 1h41. VOST. Avec Franz Rogowski, Paula Beer…

Vendredi 27 avril : soirée allemande !

Bières, wurst, bretzel, et autres réjouissances avant et après la séance

20h15 : présentation du film par Ursula Hurson

(en partenariat avec La Maison Rhénanie Palatinat et Le Comptoir Allemand)

Ni reconstitution, ni transposition : c’est la brillante idée qui rend si intrigante cette adaptation du ro-man d’Anna Seghers, publié en 1944 et largement

inspiré de sa propre expérience. L’histoire d’Alle-mands – résistants, artistes, opposants – fuyant le nazisme, bloqués à Marseille en attente d’un em-barquement possible pour les Amériques. Chris-tian Petzold choisit délibérément de déplacer cette trame dans l’époque actuelle sans pour autant changer quoi que ce soit de la temporalité du récit. Fresque vibrante sur l’exil, doublée d’une romance vécue par deux êtres en transit vers des destinées qu’ils savent séparées, l’histoire de ces migrants d’un autre temps crée un effet miroir saisissant sur les problématiques de notre époque. Voilà le trou-ble semé… De quel ère, au juste, ces Européens pourchassés au sein leur propre territoire sont-ils en fuite ? Faut-il voir en eux des fantômes du pas-sé venus nous alerter des dangers de nos sociétés contemporaines ? Christian Petzold – dont on se souvient notamment du splendide Barbara – pour-suit ici sa réflexion sur l’histoire européenne en embrassant toute l’envergure romanesque et politi-que de ce récit palpitant. Le film évite soigneuse-ment les analogies simplistes entre l’Occupation et l’actualité. En creusant au contraire une zone atemporelle où les époques résonnent l’une dans l’autre sans jamais s’emboîter.�

SEMAINE DE RÉSISTANCE QUARTIER LIBRE DES LENTILLÈRES

Pour cette première journée de la semaine nous vous proposons :

Pied de biche De Matthieu Quillet. 80 min. 2018.

Jeudi 19 avril à 20h15

Bienvenue dans le quotidien d’occupant-e-s à l’énergie folle de cette ‘‘friche’’ triangulaire située tout près du centre-ville de Dijon. Toutes et tous luttent depuis 8 ans contre un projet d’éco-quartier voulu par la SPLAAD (Société Publique Locale d’Aménagement de l’Agglomération Dijonnaise) et Dijon Métropole. Et comme une lutte n’est pas iso-lée et en appelle d’autres, Mathieu Quillet filme également les trajectoires collectives, toujours ins-crites ici à Dijon, des migrant-e-s qui s’organisent pour habiter des lieux vides dans la ville, des derniers moments de vie des Tanneries I déménageant pour les Tanneries II… Bref, des mondes joyeux, riches et pleins, aux imaginaires multiples, qui s’organisent et tiennent bon face à l’austérité promise par la métropole dijonnaise.

Séance suivie d’une discussion collective Entrée à prix libre

De Deniz Gamze Ergüven. États-Unis. 2018. 1h27. VOST. Avec Halle Berry, Da-niel Craig...

Situé dans les derniers jours d’avril 1992 à Los Angeles, le film suit les journées de fortes tensions puis d’émeutes dans le quartier afro-américain de South Central. C’est le trajet de Millie que l’on suit, maman d’une large famille composée pour la plu-part d’enfants qu’elle accueille en attendant leur adoption. Tous vivent comme ils peuvent autour de cette mère aimante qui déborde d’énergie. Flanquée d’un voisin blanc (le seul du quartier manifestement), sorte d’animal misanthrope qui finit par s’adoucir, la grande famille semble couler des jours plutôt heureux malgré la tension qui rè-gne dans la rue. La vie de la maison est magnifi-quement filmée, la caméra est légère, les pièces sont pleines de biberons, de jouets en vrac et de bisous matinaux, comme si l’endroit était dans l’œil

du cyclone. Une zone de calme, d’une poignante fragilité au milieu d’un monde en train de craquer. Car en effet les images du passage à tabac de Rodney King, et la retransmission du procès des policiers l’ayant agressé, occupent les écrans de télé et tous les esprits. La mécanique de l’embra-sement se met en place. L’étincelle viendra le jour de la relaxe des policiers, inconséquente décision de justice guidée par un racisme institutionnel. Une émeute éclate. Kings montre tout cela, de l’escalade des tensions à l’explosion d’une com-munauté poussée à bout, en entremêlant les er-rances de Millie, celles de son fils aîné (lui qui va devenir adulte en une nuit et en payer le prix) et l’anarchie de la foule révoltée. La question que pose Ergüven est cruciale : comment rendre compte d’événements passés sans en altérer l’ac-tualité politique et sans les embaumer ? Et, c’est aussi une originalité du film, comment faire du cinéma à partir d’un événement qui a déjà été abondamment filmé et documenté ? Kings trouve des réponses très belles, grâce à ce subtil entre-lacs de fiction et d’images d’archives. De la victime Rodney King, nous spectateurs, nous glissons soudain aux « kings » du titre, assoiffés de re-conquête, rois souverains de nous-mêmes, gran-dis des combats d’hier et pleins de la révolte qui s’ouvre là-bas comme ici. Une révolte pour adoucir et soigner un peu le monde, à l’image des bienfaits de Millie.�

TOUJOURS À L’AFFICHE

MADAME HYDE De Serge Bozon. France. 2018. 1h35. Avec Isabelle Huppert, Romain Duris… Une timide professeure de physique dans un lycée de banlieue est méprisée par ses élèves. Un jour, elle est foudroyée pendant une expérience dans son laboratoire et sent en elle une énergie nouvelle, mystérieuse et dangereuse... �

THE RIDER De Chloé Zhao. États-Unis. 2018. 1h45. VOST. Avec Brady Jandreau…

Le jeune cowboy Brady, étoile montante du rodéo, apprend qu'après son tragique accident de cheval, les compétitions lui sont désormais interdites. De retour chez lui, il doit trouver une nouvelle raison de vivre... �

NUL HOMME N’EST UNE ÎLE De Dominique Marchais. Fr. 2017. 1h36.

Dominique Marchais entreprend un voyage de part et d'autre des Alpes, de la Sicile à l'Autriche en passant par la Suisse, à la rencontre d'agriculteurs, d’architectes, de menuisiers, d’élus, qui expérimen-tent de nouvelles manières de produire et d'habiter leur territoire. �

DON’T WORRY, HE WON’T GET FAR ON FOOT De Gus Van Sant. Etats-Unis. 2018. 1h53. VOST. Avec Joaquin Phoenix, Jonah Hill, Rooney Mara...

Même après avoir failli mourir dans un accident de la route lors d’une nuit de beuverie, John Callahan n’a pas la moindre intention d’arrêter de boire. Il finit pourtant par suivre une cure de désintox, et se découvre alors alors un don inattendu… �

MEKTOUB MY LOVE D’Abdellatif Kechiche. France. 2018. 2h55. Avec Shaïn Boumedine, Ophélie Sau…

Cette ode aux corps libérés se déroule dans le midi de la France au milieu des années 1990. Mektoub my love est un incroyable torrent visuel de soleil et de sensualité. �

D’Armando Iannucci. Etats-Unis/France/Grande-Bretagne. 2018. 1h48. VOST. Avec Steve Buscemi, Simon Russel Beale…

Dès les premières images de cette mort annon-cée, la messe est d'ailleurs dite. Nous sommes dans un de ces temples soviétiques dressés à la gloire de la culture, où se donnent des concerts de musique classique. La représentation vient de se terminer et déjà le public se disperse. A la régie, deux techniciens somnolent en attendant d'aller se coucher. Nous sommes le 3 mars 1953 et soudain le téléphone sonne : au bout du fil, une voix impé-rieuse annonce que le camarade Staline exige que lui soit livré dans les plus brefs délais l'enregistre-ment du concert. Panique à bord. Nos deux las-cars, quasiment assoupis derrière leur console, n'ont pas enregistré la moindre note. L'ombre du goulag se profile… À la même heure, après avoir réuni au Kremlin le présidium pour évoquer une nouvelle affaire de

complot – la routine, quoi –, Staline emprunte une des trois limousines devant le mener à sa datcha de Kontsevo près de Moscou, les deux autres étant des leurres occupés par des sosies, chaque voiture prenant chaque soir des chemins diffé-rents. Pendant ce temps, le concert et son enre-gistrement ont repris dans l'angoisse générale alors que, derrière la porte blindée, va se jouer le destin de l'URSS…�

De Hirokazu Kore-eda. Japon. 2018. 2h05. VOST. Avec Masaharu Fukuyama, Koji Yakusho, Suzu Hirose…

The Third Murder est un film policier réalisé par devinez qui… Le champion japonais du drame intimiste et familial, auteur des très beaux Still Walking, Tel père tel fils ou encore Notre petite soeur ! Le moins que l’on puisse dire est que nous ne l’attendions pas dans le genre policier ! Et pour-tant, dans cette sombre trame de film noir, où un jeune avocat défend un vieux meurtrier, Kore-eda parvient à faire ce qu’il sait le mieux faire…du Kore-eda. De nombreuses scènes dialoguées, de subtils champs / contre-champs scrutant les visa-ges nous rappellent bien la délicatesse de l’inti-misme du cinéaste japonais. Sans dévoiler quoi-que ce soit des rebondissements du scénario, sachez juste que tout se noue autour de trois per-sonnages. Un jeune et réputé avocat de la grande ville décide de défendre un ancien meurtrier de la campagne au nord du pays, là où il fait froid et où l’on mange des poulpes, ce qui semble être le comble de la ringardise au Japon… Ce vieil

homme est aujourd’hui suspecté d’un terrible se-cond assassinat. Il avait été défendu, 30 ans plus tôt, par le père du jeune avocat. Vous voyez déjà comment Kore-eda est fidèle aux thèmes qui l’agi-tent depuis longtemps : les relations entre généra-tions, entre tradition et modernité, entre urbanité et ruralité. Et bien entendu, la troisième figure du drame qui se joue est la plus importante et la plus mystérieuse. C’est une jeune femme qui tente d’échapper aux catégories de victime ou d’objet que lui assignent les hommes, mais qui part de loin puisqu’elle est la fille de l’assassiné... �

De Denys Piningre. France. 2017. 52 min.

Tout commence en 1844 lorsque des ouvriers de Rochdale (près de Manchester, GB), lassés de se faire abuser par les commerçants locaux, se re-groupent pour former la toute première coopérative et en édictent les principes. Se répandant d’abord à travers le Royaume-Uni puis en Europe et dans le monde, les coopératives représentent un mode d’organisation du travail et de la consommation en opposition avec le système capitaliste dominant.

Jeudi 26 avril à 20h15

Projection suivie d’une discussion sur le film et d’une présentation du magasin

coopératif « Court-Circuit 21 ».

Tarifs habituels. 4,50€ pour les adhérents de « Court-circuit 21 ».

Pré-vente des places à l’Eldo

À partir du 25 avril au 22 mai venez (re)découvrir 14 films majeurs de R.W. Fassbinder tournés entre 1974 et 1981 en version restaurée inédite (+ surprise à suivre dans le prochain programme) :

L’amour est plus froid que la mort 1969. RFA. 1h29. N&B. VOSTF. Avec Ulli Lom-mel, Hanna Schygulla, Katrin Schaake... Après avoir refusé de rejoindre un groupe de crimi-nels, Franz est poursuivi par Bruno. Très vite, les deux hommes se lient d’amitié et trouvent en Joanna la femme idéale. Mais se lassant trop vite de Bruno, elle le dénonce à la police…

Le bouc 1969. RFA. 1h29. N&B. VOSTF. Avec Hanna Schy-gulla, Lilith Ungerer... Jorgos, un jeune travailleur immigré grec, loue une cham-bre dans la banlieue de Mu-nich chez Elisabeth, et ren-contre un petit groupe de jeu-nes gens désœuvrés et désa-busés. Ils ont tôt fait de haïr Jorgos, lui qui ne comprend pas l’allemand et dont le charme et la timidité opèrent trop bien sur les femmes…

Prenez garde à la sainte putain 1970. RFA. 1h44. VOSTF. Avec Lou Castel, Ed-die Constantine, Hanna Schygulla, Rainer Wer-ner Fassbinder... E Espagne, dans un hôtel en bord de mer, l’équipe d’un film attend le réalisateur, l’acteur et le matériel nécessaire pour débuter le tournage. L’ambiance est ternie par les jalousies, la rivalité et le déses-poir qui, petit à petit, se sont installés au sein du groupe. Pourtant, le film doit se faire…

Le marchand des quatre saisons 1971. RFA. 1h28. VOSTF. Avec Hans Hirs-chmüller, Irm Hermann, Hanna Schygulla... Dans les années 1950, Hans, ancien policier al-coolique devenu vendeur de fruits et légumes, se voit rejeté par sa famille. Une attaque cardiaque l’oblige soudainement à engager un associé. Les affaires reprennent, et sa famille voit en lui l’homme qu’il est réellement…

Les larmes amères de Petra Von Kant 1972. RFA. 2h04. VOSTF. Avec Margit Carsten-

sen, Hanna Schygulla, Irm Hermann... Styliste de mode très réputée, Petra von Kant vit une vie de femme libre et indépendante, assistée de Marlene, qui est à la fois sa secrétaire, sa dessi-natrice et sa bonne à tout faire entièrement soumise. Petra tombe folle amoureuse de Karin, une jeune prolétaire dont elle décide de faire son mannequin vedette. La pas-sion se transforme en jalousie maladive….

Martha 1973. RFA. 1h57. VOSTF. Avec Margit Carsten-sen, Karlheinz Böhm, Barbara Valentin... Martha Heyer, trentenaire et célibataire, vit avec ses parents. Lors d’un voyage à Rome entrepris avec elle, son père décède soudainement.

Tous les autres s’appellent Ali 1973. RFA. 1h33. VOSTF. Avec Brigitte Mira, El Hedi Ben Salem, Irm Hermann... Dans un café fréquenté par des travailleurs immi-grés, Emmi, veuve d’une soixantaine d’années, fait la connaissance d’Ali, un Marocain plus jeune qu’elle.

De Vittorio De Sica. 1961. Italie. 1h40. VOST. Avec Sophia Loren, Jean-Paul Bel-mondo, Renato Salvatori...

A l’été 1943, Cesira et sa fille Rosetta fuient les bombardements de Rome pour retourner dans le village natal de la jeune veuve, la Ciociara. Toute-fois, elles n’y trouveront pas le répit escompté puis-qu’une troupe de soldats français y abusent d’elles, les laissant en proie à un fort traumatisme que même le gentleman Michele aura du mal à estom-per. �

Présentation du film et des actions de l’association par des membres de

Collectif Eldo.

Tarifs habituels. Préventes à la caisse de l’Eldo Séance ouverte à tous et offerte aux adhérents de

Collectif Eldo (sur présentation de la carte d’adhérent).

Gardez bien votre ticket de cinéma, un tirage au sort avec une surprise à la clef

aura lieu à l’issue de la projection !

Les courts-métrages présentés avant votre film

Du 18 au 24 avril Les indes galantes de Clément Cogitore 5'

Du 25 avril au 1er mai Aspirational de Matthew Frost 3'

� Tous les jours à 12h00 & 14h00 : 4,50€

� Groupes (scolaires...) : 4€

� Carte Culture Étudiant : 3€50

� Jeunes (jusqu’à 18 ans) : 4,50€

� Cartes d’abonnement 10 places : 52€

� Tarif réduit : 6,50€

� Tarif Plein : 8€

CONTES SUR MOI Courts métrages. Iran, Russe, Mexique, États-Unis. À partir de 3 ans 5 histoires ! 5 techniques d’animation différentes ! Compter sur l’autre quelle que soit la situation, quels que soient les évènements ! �

PAT & MAT DÉMÉNAGENT De M. Beneš. Rép. Tchèque. 2018. 0h40. VF.

Pat et Mat décident de déménager pour s’installer sur un terrain où tout est à construire. Mais comme rien n’arrête nos deux bricoleurs, ils se lancent gaiement dans les travaux pour se bâtir une toute nouvelle maison ! À l’Eldo, on adore Pat et Mat ! �

PROFESSEUR BALTHAZAR De Grgic & Kolar. Croatie. 2018. 0h45. VF. Tout est imaginable avec le Professeur Balthazar : fabriquer des arcs-en-ciel, conduire un tramway volant ou acheter des nuages Inventeur génial, il aide en permanence les habitants de Balthazarville à réaliser leurs rêves les plus fous. Savoureux !�

Nous participons cette année au festival Play it again qui permet de revoir les plus beaux classi-ques ressortis récemment en version restaurée. Parmi la large sélection du festival, nous avons choisi 4 films qui n’avaient pas été (re)montrés à Dijon lors de leur ressortie. Du 18 au 24 avril 4 films restaurés :

Au long de rivière Fango de Sotha Dumoulin. 1975, 1h55 avec Patrick Dewaere, Emmanuelle Riva, Romain Bou-teille… Quelques dizaines d'individus, insatisfaits par la société capitaliste, vivent en communauté dans une terre lointaine.

Le Bel Antonio de Mauro Bolognini. 1960, 1h42 avec Marcello Mastroianni, Claudia Cardinale, Pierre Bras-seur… Après avoir longtemps vécu à Rome, le séduisant Antonio Magnano revient dans sa ville natale, à Catalane. Là, sa beauté lui vaut une réputation de véritable Don Juan

Le Trou de Jacques Becker. 1960, 2h12 avec Marc Mi-chel, Jean Kéraudy, Michel Constantin… Accusé de tentative de meurtre sur sa femme, Claude Gaspard est enfermé à la prison de la San-té. Ses quatre compagnons de cellule lui font part de leur désir d'évasion et creusent, avec une éner-gie farouche, un tunnel qui les mènera à la liberté. Leur plan aboutira-t-il ?

Notre pain quotidien de King Vidor. 1934, 1h34 avec Tom Keene, Karen Morley, John Qualen… En 1929, alors que les États-Unis traversent une crise économique historique, John et Mary, dont la situation financière est critique, se voient proposer de reprendre une petite ferme hypothéquée.

Mer

18

12h00 Notre pain qu...

12h00 Nul homme…

12h00 Mme Hyde

14h00 La mort de Stal.

14h00 Mes provinciales

14h00 The Third Murder


16h30 Balthazar

16h15 Kings

18h15 Kings

17h30 Le trou




20h15 Kings


22h00 The rider

Jeu

19


12h00 Mme Hyde ●

11h45 Don’t worry… ●



14h00 Kings


16h00 Kings

18h15 Kings


18h00 Le bel Antonio



22h00 Au long de r...

Ven

20


12h00 Mme Hyde ●




14h00 Kings


16h00 The rider

18h15 Kings


18h00 Notre pain q...

20h00 Kings



Sam

21


12h00 Mme Hyde





16h00 The rider

16h30 Balthazar

16h15 Kings

18h00 Kings





20h15 Kings


22h00 Don’t worry...

Dim

22

12h00 Notre pain qu...

12h00 Nul homme…






16h30 Balthazar

16h15 Kings

18h00 Kings

17h30 Le trou



20h00 The rider

20h15 Kings

Lun

23


12h00 Kings




14h00 Kings


16h00 The rider

16h00 Notre pain q...

18h15 Kings

18h00 Mektoub my l.●





Mar

24


12h00 Mme Hyde ●




14h00 Kings


16h00 The rider

15h45 Le trou

18h15 Kings





20h00 Kings

Mer

25


12h00 Nul homme…

12h00 Pied de biche

14h00 Transit


14h00 Foxtrot


16h30 Contes sur moi !

16h15 Kings


17h30 Les larmes...


20h30 Foxtrot

20h00 Transit

20h15 Kings


21h50 L’amour est...

Jeu

26


12h00 Nul homme…

12h00 Prenez garde...

14h00 Transit

14h00 Kings

14h00 Foxtrot


16h00 Transit


18h00 Kings

18h00 Foxtrot

18h30 Le bouc



Ven

27


12h00 Nul homme…

11h45 Martha

14h00 Kings


14h00 Foxtrot


16h15 Transit


18h00 Foxtrot

18h15 Kings

18h30 Tous les autres...



Sam

28


12h00 Nul homme…


14h00 Transit


14h00 Foxtrot



16h15 Kings



18h00 Les larmes...

20h30 Foxtrot

20h00 Transit

20h15 Kings



Dim

29


12h00 Nul homme…

12h15 Le marchand...

14h00 Transit


14h00 Foxtrot



16h15 Kings

18h00 Foxtrot

17h30 Tous les autres...


20h15 Transit


20h15 Kings

Lun

30


12h00 Nul homme…

12h00 Kings

14h00 Transit


14h00 Foxtrot



16h15 Kings

18h00 Martha


18h00 Transit

20h15 Foxtrot



Mar

01


12h00 Nul homme…

12h15 Le marchand...

14h00 Transit


14h00 Foxtrot



16h15 Kings



18h00 Transit

20h15 Foxtrot


20h00 Kings

Les ● in

diqu

ent le d

ernier p

assage d

’un film

/ Les ind

iquen

t les séan

ces avec d

es sous

-titres pou

r les sourd

s et ma

lent

endan

ts / Les ●

indiq

uent le d

ernier p

assa

ge d’un

film

Imp

ression : IC

O

Cinéma ELDORADO / 21 Rue Alfred de Musset 21000 DIJ ON Pour se rendre à l’Eldo : Lignes 5 et 12 arrêt Alfred de Musset / Station Vélodi www.cinema-eldorado.fr / [email protected] / @CinmaEldorado & CinemaEldorado

PROCHAINEMENT : La révolution silencieuse de Lars Kraume (2 mai) - Takara, le jour où j’ai nagé de Manivel & Igarashi (2 mai) - Everybody knows d’Asghar Farhadi (9 mai) - Rétrospective Fassbinder Partie 2 (9 mai) - Mes frères de Bertrand Guerry (rencontre le mardi 22 mai) - Reprise d’Hervé Le Roux (30 mai) - Rencontre avec Jean-François Stévenin (30 mai à 20h00) - Una questione privata de Paolo & Vittorio Taviani (6 juin) - Madame Fang de Wang Bing (13 juin)…

La révolution silencieuse

à partir du 2 mai

16h Balthazar 17h Pat & Mat

16h Balthazar 17h Pat & Mat

programme du 18 avril au 1er mai 2018 · rait qualifier de film d’apprentissage, avec ce que cela...

Documents