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CHEF DU LABORATOIRE DE RECHERCHE
REPUBLIQUE TUNISIENNE
Ministère de l’Enseignement Supérieur
et de la Recherche Scientifique
Ministère de l’Agriculture et de l’Environnement
PROGRAMME DE RECHERCHE 2011-2014
«Le laboratoire de recherche (L.R) est la structure de base pour la réalisation des activités de recherche scientifique et de
développement technologique dans tous les domaines des sciences et de la technologie, et ce, dans le cadre des priorités
nationales fixées par les plans de développement et les programmes nationaux établis par les parties compétentes» (décret
n°2009-644 du 2 mars 2009).
http://www.mes.tn/francais/divers/decret_2009_644_fr.pdf
Le dossier de candidature doit être déposé en 5 exemplaires avec une copie numérique
IDENTIFICATION DU LABORATOIRE DE RECHERCHE
ETABLISSEMENT : Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM)
UNIVERSITE (en cas de cotutelle) : ……………………………………………………….......…………….……
DENOMINATION DU LABORATOIRE DE RECHERCHE PROJETE : Aquaculture
DOMAINE SCIENTIFIQUE CONCERNE : Biologie / Elevage / Zootechnie / Pathologie / socio-économie
Nom et Prénom : KSOURI Jamel Spécialité : Aquaculture/Biotechnologie..…
Grade : Maître de recherche agricole Fonction (s’il y a lieu): …………………………..
Etablissement de rattachement : INSTM Université (en cas de cotutelle):…………..……..
E-mail : [email protected]……. Signature : ………………………………
I– PRESENTATION DU LABORATOIRE DE RECHERCHE
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I-1- RESSOURCES HUMAINES
Masse critique : 6 enseignants-chercheurs du corps A, 12 du corps B et 10 entre doctorants et cadres ayant un grade équivalent ou homologue au grade d’assistant de l’enseignement supérieur.
a- Enseignants-chercheurs permanents (corps A et B) et doctorants
- Corps A :
Grade(1) Nom et prénom N° C.I.N(2) Etablissement
Professeur KRAIEM Mohamed
Mejdeddine 00144762 INSTM (Salammbô)
Directeur de Recherche
Maître de Conférences
ALOUI Néji 03702467 INSTM (Salammbô)
ATTIA EL HILI Hedia
0263403
INSTM (Salammbô)
Maître de Recherche
KSOURI Jamel 00200839 INSTM (Khéréddine)
MEDHIOUB Med Néjib 01015781 INSTM (Monastir)
MEDHIOUB Amel 04060754 INSTM (Monastir)
(1) : Nombre total des enseignants-chercheurs du corps A : 6
- Corps B :
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(1) et grades équivalents. (2) Obligatoire.
(2): Nombre total des enseignants-chercheurs du corps B : 12
- Doctorants (Préparant une thèse de doctorat es-sciences): Tout doctorant doit fournir obligatoirement une attestation d’inscription au titre de l’année universitaire en cours.
Nom et prénom
N°C.I.N(3)
Etablissement Université
Année de la première
inscription(*)
Nom et prénom de l’encadreur
Mechri Badreddine
04690307
ISBM/INSTM 2007-2008 M. EL AOUNI A. MEDHIOUB
MEHIOUB Walid 06831912 FST/INSTM 2007-2008 M. KRAIEM P. SOUDANT
DEROUICHE Emna 05455718 FST/INSTM 2009-2010 M. KRAIEM
Imen Rezgui 07117526 Fac.Phar.
Monastir/INSTM 2010-2011 Aouni Mahjoub
* Doctorants inscrits à partir de l’année universitaire 2008/2009.
(3) : Nombre total de doctorants : 4
b- Cadres ayant un grade équivalent ou homologue au grade d’assistant de l’enseignement supérieur(4)
Grade(1) Nom et prénom N° C.I.N(2) Etablissement
Maître Assistant
Sebai Elamri Dorsaf 04624871 INSTM-la Goulette
Maatouk Kaouther 02959944 INSTM-Monastir
Ben KHEMIS Ines 05148386 INSTM (Salammbô)
KAMMOUN Fethi 01097040 INSTM (Monastir)
M’HETLI Mohamed 01802460 INSTM (Salammbô)
TOUJANI Rachid 02263451 INSTM (Salammbô)
ZAFRANE Sami 04135888 INSTM (Monastir)
Chargé de Recherche
BESBES Raouf 02872822 INSTM (Monastir)
DJEMALI Imed 04601313 INSTM (Salammbô)
AZAZA Med Salah 06122471 INSTM (Béchima)
Assistant
Attaché de Recherche
HAMZA Neila 05191205 INSTM (Salammbô)
ZOUITEN Dorra 05555912 INSTM (Monastir)
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Nom et prénom N° C.I.N(3) Qualité (4) Etablissement
EL OUAER ALI 00060004 Ing. En chef INSTM (Monastir)
BENSEDDIK-BESBES Amina 08429054 Ing. principal INSTM (Monastir)
GUETTAT Karima 01301152 Ing. principal INSTM (Salammbô)
LIMAYEM Younes 04159030 Ing. principal INSTM (Monastir)
GUEDELLI Leila 06818745 Ing. principal INSTM (Monastir)
CHERIF NADIA 05444205 Virologue (contractuelle)
INSTM (La Goulette)
(3)Obligatoire.
(4) Ingénieurs principaux, médecins vétérinaire, résidents en médicine vétérinaire et autres.
(4) : Nombre total des cadres : 6
TOTAL GENERAL (1)+(2)+(3)+(4) : 28 c- Etudiants en mastère de recherche
Nom et prénom
N°C.I.N(5)
Etablissement Université
Année de la première
inscription
Nom et prénom de l’encadreur
MELLITI Ghada 04563032 Fac Sc. Bizerte 2008-2009 TOUJANI Rachid
NEFFATI Ridha Fac Sc. Bizerte
2010-2011 ALOUI Neji
HAMMOUDI Jihène Fac Sc. Bizerte
2010-2011 ALOUI Neji
BEN HAMIDA Saoussen 06883596 ISBM 2010 Sami Zaafrane et Kaouthar Maatouk
Moez El Mabrouk 05460445 INAT 2010 Sebai Elamri Dorsaf
Anissa Belhadj Fac. Sc. Tunis 2010 Monia El Bour
(5)Obligatoire.
I-2-COMPOSITION DU CONSEIL DU LABORATOIRE
Nom et prénom Grade /Qualité Etablissement
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KSOURI Jamel Maître de recherche
Chef du Laboratoire d’Aquaculture INSTM
KRAËM Med Mejdeddine Professeur INSTM
ALOUI NéJI Maître de conférences INSTM
GUERBEJ Hamadi Maître de recherche INSTM
MEDHIOUB Med Néjib Maître de recherche INSTM
MEDHIOUB Amel Maître de recherche INSTM
Ben KHEMIS Ines Maître assistant INSTM
KAMMOUN Fethi Maître assistant INSTM
M’HETLI Mohamed Maître assistant INSTM
TOUJANI Rachid Maître assistant INSTM
ZAFRANE Sami Maître assistant INSTM
BESBES Raouf Chargé de recherche INSTM
DJEMALI Imed Chargé de recherche INSTM
AZAZA Med Salah Chargé de recherche INSTM
Attia El Hili Hédia Médecin Vétérinaire Inspecteur Régionale
INSTM
Sebai Elamri Dorsaf Maitre assistant INSTM
Cherif Nadia Docteur (Virologue contractuelle) INSTM
BENDAG Mustapha Ingénieur en chef Sté BIOMAR
TRITAR Slim Ingénieur/Gérant Sté FMB
DEROUICHE Emna Doctorante INSTM/FST
Imen Rezgui Doctorant INSTM/Fac. Phar. Monastir
Le président du conseil scientifique pourra inviter aux réunions une compétence nationale en la matière, notamment un membre du Centre Technique d’Aquaculture (CTA).
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I-3- LOCAUX OCCUPES ACTUELLEMENT
Dans l’établissement même
Ailleurs
Nombre Superficie Nombre Superficie Etablissement
Bureaux occupés 14 145
Salles de manipulation, d’analyses, d’essais
5 198
Salles de réunion, de Documentation
1 60
Magasins, ateliers 3 50
Terrains d’expérimentation, champs de culture
1 100
Halls ou hangars de stockage, dépôts
Stations pilotes et autres facilités
3 2000
I-4- MOYENS LOGISTIQUES ACTUELS DISPONIBLES
-Voitures ou engins dont pourrait disposer le personnel du laboratoire projeté; -Transport assuré au personnel du laboratoire projeté par l’établissement dont il relèverait ; -Autres facilités logistiques potentielles :
.........................................................................................................................……......................................................................
1 voiture 1 embarcation à moteur pour retenues de barrage ........................................................................................................................................................................................................................
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I-5- EQUIPEMENTS SCIENTIFIQUES OPERATIONELS DEJA DISPONIBLES (dont la valeur est supérieure à 50 mille dinars)
Nature de l’équipement utilisable Lieu d’affectation
1 Compteur de particules INSTM Monastir
1 échosondeur INSTM Salammbô
1 Hotte à flux laminaire INSTM Monastir
1 Chromatographe en Phase Gazeuse INSTM-Monastir
1 Chromatographe en Phase Liquide à Haute Performance INSTM-Monastir
3 congélateurs (-30°c) (1 à Khereddine et 2 à Monastir)
2 Appareils de fabrication d’aliments (1 à Monastir et 1 à Bechima)
4 Microscopes de recherche (1 à Salammbô, 1 à Khéreddine et
2 à Monastir)
5 loupes binoculaires (1 à Salammbô, 1 à Khéreddine, 2
à Monastir et 1 à Bechima)
3 Etuves (1 à Salammbô, 2 à Monastir)
6 Balances de précision (1 à Salammbô, 1 à Khéreddine, 3
à Monastir et 1 à Béchima)
3 équipements de mesure de qualité des eaux
(oxymètre, pH mètre, conductimètre-salinomètre)
(1 à Khéreddine, 1 à Monastir et 1
à Béchima)
I-6- DOCUMENTATION SCIENTIFIQUE
-Les membres du laboratoire projeté ont-t-ils déjà accès à une unité d’information et de documentation? -Le nombre de livres, de revues scientifiques reçues régulièrement y est-il : insignifiant, moyen, important? -Quelles sont les bases de données accessibles par Internet les plus utiles au laboratoire projeté?
- Bibliothèques de l’INSTM, Universitaires - PUBMED - le nombre de revues reçues dans le domaine de l’aquaculture est assez important (12) - Bases de données accessibles par internet : INTER-RESEARCH http://www.int-res.com/journals/open-access ; AGORA <http://www.aginternetwork.org/fr/> Access to Global Online Research in Agriculture / OARE www.oaresciences.org Online Access to Research in the Environment Base de données bibliographiques ASFA <www.csa.com>
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Biology Image Library http://www.biologyimagelibrary.com
II– PRÉSENTATION DES ACTIVITES DE RECHERCHE DU LABORATOIRE DE RECHERCHE (2011-2014)
Il est à noter que conformément au Décret n° 2009-644 du 2 mars 2009, les activités de recherche d’un laboratoire sont structurées en programme(s) de recherche. Chaque programme de recherche se subdivise en projets de recherche exécutés par des équipes de recherche.
II-1- IDENTIFICATION DE(S) PROGRAMME(S) DE RECHERCHE
Intitulé(s) de(s) Programme(s) de recherche Responsable du programme (1) (nom, prénom, grade et spécialité)
Programme 1 : Aquaculture marine KSOURI Jamel
(Maître de Recherche, aquaculture/Biotechnologie)
Programme 2 : Aquaculture continentale
MEDHIOUB Med Néjib (Maître de Recherche,
Conchyliculture)
(1) Ayant le grade de Professeur de l’enseignement supérieur, Maître de Conférences, Directeur de recherche, Maître de recherche et
grades équivalents.
II-2- PRESENTATION DE(S) PROGRAMME(S) DE RECHERCHE (à remplir pour chaque programme)
PROGRAMME DE RECHERCHE 1
AQUACULTURE MARINE
1- OBJECTIFS SCIENTIFIQUES DU PROGRAMME DE RECHERCHE a- Objectif général du programme de recherche
L’objectif général visé par ce programme est de contribuer à relancer le secteur aquacole en Tunisie (qui vit depuis quelques années une crise de croissance, due notamment à la grande concurrence méditerranéenne) et qui commence à connaître, avec les nouveaux projets « off shore », un regain en production et en volonté d’investissement. Cette relance ne pourra se faire que par une diversification des espèces : Muges (Mugil cephalus et Chelon labrosus), Soles (Solea aegyptiaca et S. sinegalensis), Moule (Mytilus galloprovincialis, Palourde (Tapes Decussatus) et Artémie (Artemia tunisiana), par l’adaptation de nouveaux systèmes de production (repeuplement, filières pour les bivalves et cages off shore pour les poissons) et en accordant l’intérêt qu’il se doit aux aspects sanitaires. Tout ceci devra être mené en adéquation avec la
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sauvegarde de l’environnement marin pour assurer un développement durable du secteur.
b- Quels seraient les objectifs spécifiques du programme de recherche ?
(Insérer autant de lignes que nécessaire)
1er objectif Spécifique : Contribution de la recherche à l’effort national collectif accordé à l’activité aquacole, pour son développement par notamment l’élevage de nouvelles espèces d’intérêt économique, destinées aussi bien au marché local et au soutien du stock naturel, qu’à l’exportation.
Résultats attendus : - Maîtrise de la reproduction et de l’élevage larvaire du mulet et de la sole - Maîtrise de l’élevage expérimental de l’Artemia locale ainsi que l’étude de son cycle de reproduction en milieu contrôlé.
2ème objectif Spécifique : - Contribution au maintien et au développement durable de la filière aquacole de production du loup et daurade en Tunisie en intégrant les volets santé animale et recherche
d’indicateurs de disfonctionnement
environnemental.
- Etude des pathologies infectieuses chez les mollusques bivalves : utilisation des outils conventionnels et moléculaires - Etude des pathologies infectieuses chez les poissons d’élevage
Résultats attendus : - Mise au point de techniques de diagnostics pathologiques les plus rapides, les plus efficaces et les moins coûteuses. - Mise en place et validation des techniques de diagnostic des principales pathologies chez les mollusques bivalves - Identification et caractérisation des agents pathogènes détectés - Diagnostiquer les maladies les plus fréquentes en fonction des données chronologiques (saison), zootechniques (environnement) et spécifiques (espèce) - Adapter les techniques de diagnostics génétiques et moléculaires pour diagnostiquer et caractériser les bio agresseurs
3ème objectif Spécifique : - Mise en place d’une technique d’élevage
larvaire des bivalves en système continu - Sauvegarde des moules et des palourdes par la mise en place d’une technique de stockage. - Appui au privé pour le développement de la filière des moules en mer ouverte.
Résultats attendus : - Mettre au point un système d’élevage à flux continu - Comparer les deux systèmes d’élevage (ouvert et fermé) sur le plan zootechnie. - Réaliser le conditionnement avec maturation - Effectuer les élevages larvaires et post larvaires
- Réaliser des opérations de repeuplement - Concevoir un procédé de stockage valable
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pour la moule et la palourde. - Comparaison des aspects biotechniques (rendement de croissance, mortalité, prédation, période de ponte), et environnementales de l’élevage des moules entre lagunes et mer
c- Ces objectifs sont- ils compatibles avec la mission de l’établissement auquel se rattache le laboratoire
Oui car ce programme de recherche est établi suite à des opinions et des demandes retenues au cours d’entretiens, de réunion et de débats avec les principaux acteurs publics et privés du secteur piscicole en Tunisie. Il constitue une complémentarité logique aux travaux réalisés auparavant au sein de laboratoire d’Aquaculture à l’INSTM, durant la période 2007-2010. Les objectifs spécifiques des différents projets de ce programme permettront de contribuer au soutien et à l’optimisation des filières de production existantes en Tunisie des poissons (loup, daurade) et des bivalves (moules, palourdes) et participent de ce fait à maintenir d’une manière durable l’activité aquacole dans notre pays. Ces objectifs s’insèrent parfaitement dans la stratégie générale de l’établissement de l’INSTM, intéressent directement les intérêts des promoteurs aquacoles et sont destinés à renforcer davantage la relation existante entre la recherche et le développement.
d- Quels sont les 4 mots clés qui caractérisent le mieux l’orientation générale du programme de recherche et la spécificité des compétences des chercheurs ?
1/-........Diversification des espèces..... 3/-................Pathologie.......................….....
2/-.......Nouvelles technique...... 4/-..............Exploitation durable........................….....
PROGRAMME DE RECHERCHE 1
AQUACULTURE CONTINAENTALE
1- OBJECTIFS SCIENTIFIQUES DU PROGRAMME DE RECHERCHE a- Objectif général du programme de recherche
L’objectif global du programme est d’améliorer la valorisation et la gestion de la ressource halieutique des plans d’eau continentaux (retenues des barrages et eaux géothermales) en vue d’une exploitation rationnelle et durable.
b- Quels seraient les objectifs spécifiques du programme de recherche ?
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(Insérer autant de lignes que nécessaire)
1er objectif Spécifique : Une meilleure connaissance des potentialités d’exploitation halieutique des eaux continentales tunisiennes
Résultat attendu : - Exploitation raisonnée des ressources halieutiques continentales en adéquation avec le potentiel spécifique des plans d’eau.
2ème objectif Spécifique : Développer l’exploitation des espèces ichthyques allochtones valorisantes déjà introduites en Tunisie (Sandre, Black-bass et Tilapia) par leur ensemencement dans les barrages
Résultat attendu : - Amélioration des performances de reproduction et d’élevage larvaire en captivité des espèces carnassières ciblées (Sandre, Black-bass) afin d’élaborer un protocole de production massive d’alevins pour l’ensemencement et le soutien d’effectif - Sélection de souches de tilapia résistantes aux conditions hivernales des plans d’eau tunisiens - Augmentation du nombre de plans d’eau ensemencés en espèces ichthyques valorisantes carnassières (sandre et black-bass) et omnivores (tilapia) - Contribuer à l’augmentation et à l’amélioration de la valeur de la production halieutique continentale.
3ème objectif Spécifique : La diversification de la production des projets aquacoles déjà existants dans le sud tunisien (aquaculture géothermale) par l’introduction du Pangasius hypophthalmus
Résultat attendu : - La constitution et le maintien d’un stock de géniteurs et sa reproduction en captivité. - Réussite de l’élevage larvaire du P. hypophthalmus
c- Ces objectifs sont- ils compatibles avec la mission de l’établissement auquel se rattache le laboratoire d- Quels sont les 4 mots clés qui caractérisent le mieux l’orientation générale du programme de recherche et la spécificité des compétences des chercheurs ?
1/-........Ressources halieutiques.......... 3/-...................Espèces ichthyques valorisantes ...
2/-..........Barrages... 4/-.................. Aquaculture géothermale...................….....
2- ETAT DES CONNAISSANCES RELATIVES AUX PROBLEMATIQUES A PRENDRE EN CHARGE PAR LE PROGRAMME DE RECHERCHE
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a- au niveau national Projet 1 : Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
Action Mulets : Les muges sont des poissons qui présentent tous les avantages requis chez les espèces à potentialités aquacoles. Ils sont entre autre, très appréciés par le consommateur tunisien et offrent un potentiel important sur le marché européen, par la valorisation de leurs gonades qui après salage et séchage, sont vendues sous la fameuse appellation de « Boutargue », au prix de 100 euros le kg. La Tunisie qui pratique depuis une bonne décennie leur élevage extensif dans certaines retenues de barrages à partir d’alevins collectés du milieu naturel. Ce choix stratégique qui vise la valorisation de ce produit, a cependant besoin de l’appui de l’écloserie marine, pour assurer la durabilité et la régularité de l’approvisionnement en alevins.
Action Sole : Dans un objectif de diversifier la production aquacole à la demande de la profession, de préserver les stocks naturels, et de soutenir le secteur de la pêche, la reproduction de la sole et l’élevage larvaire pour l’obtention d’alevins font l’objet d’action de recherche au sein du laboratoire d’aquaculture. Cette action a été initiée durant le programme de recherche DEMARC par la collecte des premiers géniteurs sauvages et la réalisation des premiers essais d’élevage larvaire à partir d’œufs importés. La poursuite de ces travaux de recherche pour la prochaine période 2011-2014 vise à atteindre les objectifs escomptés. Action Artémie : L’alimentation de toutes les espèces de poissons maintenues en élevage constitue un poste clef au niveau de l’activité piscicole en générale et plus particulièrement l’alimentation larvaire. Toutefois, l’Artemia constitue un aliment de choix pour les premiers stades larvaires. Cet aliment importé à des prix élevés ne fait qu’augmenter le coût de production de l’alevin produit en écloserie. Ainsi, dans l’optique de réduire ce coût, nous avons procédé à la valorisation de l’Artemia locale (Artemia tunisiana). Par ailleurs, nous rappelons que les résultats de nos recherches relatives à l’exploitation des cystes d’Artemia dans les sites plus productifs (salines) ont montré que les potentialités naturelles des salines en Artemia sont faibles devant les besoins de la pisciculture en Tunisie. Aussi, nos résultats ont montré que l’Artemia locale est de bonne qualité. Pour cela, nous orientons les recherches actuelles vers des recherches expérimentales qui visent la maîtrise de l’élevage expérimental de l’Artemia locale (Artemia tunisiana) en vue de passer par la suite à une phase pilote.
Projet 2 : Etude et caractérisation des bios agresseurs dans des sites aquacoles (ECBASA)
Le secteur de l’aquaculture en Tunisie a notablement évolué depuis la dernière décennie. En effet, la production nationale a passé de 1566 tonnes en 2000 à 4468 tonnes en 2009 et le
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nombre de ferme aquacole s’est multiplié par à peu près cinq. Actuellement on compte aux environ 30 fermes aquacoles : une dizaine de stations conchylicoles et une vingtaine de fermes piscicoles. Sans oublier l’activité d’élevage extensif dans les retenues d’eau douce représentée essentiellement par les barrages. La majeure partie de la production provient essentiellement des élevages des poissons marins (2800 tonnes en 2009) et concerne essentiellement le loup (Dicentrarchus labrax) et la daurade (sparus aurata). La production de mollusques bivalves est d’environ 158 tonnes en 2009 et elle est représentée essentiellement par deux espèces la moule (Mytilus galloprovincialis) et l’huître creuse (Crassostrea gigas). Ces élevages rencontrent souvent des problèmes pathologiques qui entrainent parfois des mortalités massives. la moyenne des mortalités normales dans les élevages sont situées généralement entre 10 et 20% du stock initial mais peuvent en certaines conditions engendrer des risques économiques importants et non maîtrisables surtout en absence de contrôle rigoureux et périodiques du cheptel en élevage. La diminution de ces taux peut être minimisée notablement en identifiant et en prévoyant les risques dus aux bio- agresseurs. Dans ce cadre, l’INSTM s’est chargé depuis une vingtaine d’année d’étudier ces problèmes afin de déterminer les causes et diagnostiquer les maladies. Toutefois, les outils d’analyses utilisés jusqu’à nos jours sont en général classiques et ne permettent pas le diagnostic de certaines maladies notamment virales et la caractérisation des agents pathogènes. Les mollusques bivalves peuvent être sujets à des infestations parasitaires, bactériennes et virales. Le dépistage des maladies à déclaration obligatoire chez les mollusques bivalves représente l'une des directives nationales et européennes (Directive 91/67/CEE, 95/70/CE et décision n° 2003/804/CE). Les travaux menés au sein du réseau national de surveillance zoo-sanitaire des mollusques bivalves, ont permis d'identifier des parasites tel que Perkinsus sp. chez la palourde Ruditapes decussatus (Attia et al, 2004, 2005et 2007). Il est également bien connu que les mollusques bivalves peuvent être contaminés par les virus. Cependant, il faut distinguer entre les pathogènes propres à l'homme mais véhiculés par les coquillages tel que les virus entériques et les pathogènes propres aux bivalves tel que le virus OsHV1. Ce virus peut être responsable de cas de mortalité massive de mollusques bivalves, plus particulièrement aux stades larvaires et juvéniles. L’OsHV1 est responsable de l’infection d’espèces différentes telles que l’huître, la moule, les palourdes ou les coquilles Saint-Jacques. Les viroses ainsi que les bactérioses en pisciculture (principalement loup et daurade) sont parmi les pathologies les plus importantes dans les élevages intensifs de ces poissons. Pour permettre des échanges commerciaux sur des bases saines, la plupart des pays ont promulgué une législation des normes et une réglementation fixant les modalités du contrôle sanitaire des produits de la pêche. Ainsi, l’UE a exigé (de la Tunisie) la mise en place de programme de surveillance et de contrôle de ses produits de la pêche basés sur un système d’accréditation et de mise à niveau de laboratoires d’analyses et d’essais. Pour répondre à ces exigences, la mise en place de techniques de pointe pour la surveillance de l’état de santé des poissons dans leurs milieux avant commercialisation et la continuation à approfondir nos connaissances en termes de virologie, de bactériologie et de biologie moléculaire des virus et des bactéries aquatiques permettront l’établissement d’un protocole de prévention des maladies Ainsi, l'avenir en Tunisie des activités piscicoles et conchylicoles repose sur la santé de ces organismes. En effet, la santé de ces animaux aquatiques est importante pour le développement et la rentabilité aussi bien pour les entreprises de production que de commercialisation. Ainsi l'amélioration de la santé est un atout majeur qui consiste non
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seulement à traiter les maladies lorsqu'elles apparaissent, mais aussi à prévenir ces maladies en mettant sur pied un protocole de biosécurité adéquat.
Projet 3 : Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTSAF)
Action 1 : Filière moules
En Tunisie, la mytiliculture et l’ostréiculture sont pratiquées dans la lagune de Bizerte et reposent sur l’élevage de la moule Mytilus galloprovincialis et l’huître creuse Crassostrea gigas. Deux techniques sont utilisées, l’élevage sur table et l’élevage sur filière de surface. Toutefois, la commercialisation de ces coquillages varie d’une année à l’autre. Elle coïncide avec: i) la présence des toxines de type DSP (Diarrhetic Shellfish Poisoning) produites par des microalgues de genre Dinophysis limitant ainsi la commercialisation, ii) la mortalité estivale liée probablement à l’élévation de la température pendant le mois d’août. Pour pallier à ces contraintes, il est proposé de diversifier les sites de production principalement de grossissement sur filières en mer ouverte des espèces citées ci-dessus.
L’adaptation de la conchyliculture sur filière (long line) en Tunisie, action réalisée dans le cadre du projet ANTESSAB (2006-2009) du laboratoire d’Aquaculture, en collaboration avec la DGPA et la profession et dont l’objectif est la caractérisation des sites à vocation conchylicole pour contribuer à la mise en place d’un pilote de filière sub-surface de moule en mer ouverte avec le privé.
L’analyse des données et d’observations a permis la sélection de sites potentiels d’élevage de la moule dans la région de Bizerte et Nabeul. Ces données sont basées sur des critères biologiques (présence et croissance des coquillages, micro algues toxiques, chlorophylle a et matière organique), physiques (dynamique de l’eau et exposition aux vents dominants), logistiques (accès aux sites) et de volonté du développement du secteur conchylicole (octroi des concessions). Ce travail a permis de repérer quelques sites [Cap Zebib (N : 37°, 16’,15,3’’ ; E : 10°, 04’, 6,59’’), Ghar el Melh (N : 37°, 09’,4’’ ; E : 10°, 15’, 53,08’’) , Rimel et port princes (N : 36°, 53’, 5,14’’ ; E : 10°, 37’, 12,9’’) ] qui sont les plus en mesure de fournir les conditions de développement de cette activité. Le premier site a été éliminé à cause de la présence des microalgues toxiques. De même, le deuxième site car il est classé zone d’abri de bateaux. C’est seulement le dernier qui est retenu et qui a fait l’objet d’une étude. L’étude, réalisée pendant une période de 5 mois du mois du juin à octobre, a nécessité la conception, le dimensionnement et la mise en place d’une structure expérimentale qui est un modèle réduit d’une filière à une seule corde.
Les travaux réalisées ont permis de montrer une croissance de moules dans trois niveaux de profondeurs (2, 4 et 6 mètres). En effet, à la fin d’élevage, la longueur moyenne des moules est passée d’une valeur initiale de 27,9 ± 2,19 mm à une valeur finale supérieure à 50 mm. La meilleure longueur finale se trouve à la profondeur de 4 mètres pour une valeur moyenne de 56,02±4,18 mm et une croissance mensuelle de 5,6 mm. De même, cette profondeur présente la meilleure croissance pondérale pour une valeur moyenne de 16,14±4,07 g et une croissance mensuelle de 2,8 g. Concernant le milieu de culture, il est considéré riche pour les valeurs moyennes en chlorophylle a de 1,57±0,79 µg/l à 2,55±0,88 µg/l et en matière organique de 4,5±0,95 mg/l à 6,53±3,88 mg/l. Contrairement, la profondeur de 2 mètre présente les plus
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faibles valeurs de croissance et de concentrations en chlorophylle a. L’étude, des conditions dynamiques, réalisée du 6 mai au 10 juin 2008, même si elle est incomplète, contribue à montrer la variabilité des courants de la région. Les séries de données enregistrées au large de port prince a révélé un courant relativement faible (4,3 cm.s-1), qui peut s’intensifier sous l’effet du vent et atteindre 13 cm.s-1. La direction privilégiée est celle qui est parallèle à la côte.
Les suivis de phytoplanctons toxiques ont montré l’absence des mico algues toxiques dans le site notamment les genres les plus redoutables : Dinophysis et Prorocentrum. De même, l’analyse des toxines sur les grosses moules à la fin d’élevage a montré l’absence des biotoxines de type PSP (toxines paralysantes) et DSP (toxines diarrhéiques).
En conclusion, le site de port Prince peut être considéré comme site potentiel pour une installation d’un projet de filière subsurface.
Action 2 : Sauvegarde des bivalves la Tunisie exportait en 1992, environ 1200 t de palourdes vers les pays de la communauté européenne (principalement l’Espagne, l’Italie, la France et le Portugal). En 1994, les premières proliférations de Karenia selliformis, responsable de contaminations de bivalves, en particulier la palourde Ruditapes decussatus avaient lieu dans le Golfe de Gabès (lagune de Bou-Ghrara et les environs de Sfax) L’exportation des palourdes est donc passée de 1200t en 1992 à 600 t en 2008 ce qui a entraîne des préjudices économiques importants du fait de suspension d’exportation ou de mise en marché locale des bivalves. Dans ce contexte, l’INSTM en collaboration avec lfremer envisage la mise au point d’un procédé, à terre, pour permettre la poursuite de la commercialisation des animaux lors des efflorescences toxiques. Ce procédé pourrait être utilisé avant la contamination des bivalves s’appelle la sauvegarde des bivalves de tailles marchandes. Par définition, la sauvegarde consiste à préserver les coquillages destinés à la vente en période de crise (efflorescence des microalgues toxiques) dans des structures à terre, pendant quelques semaines, dans de l’eau en circuit fermé, dans des sites sans présence au préalable de microalgues toxiques, ou en dehors de l’eau ,à sec, dans un milieu au degré hygrométrique élevé. Action 3 : Nouvelles techniques La technique d’élevage larvaire de Ruditapes decussatus utilisée à l’INSTM de Monastir est commune à toutes les écloseries du monde. Elle est basée sur l’utilisation d’une méthode standard. Il s’agit d’un système statique avec un changement, tous les deux jours, de l’eau de mer. Ce système présente deux contraintes : i) confinement du milieu et stress des larves au cours du renouvellement de l’eau ii) une présence quasi-continu et un soin particulier.
Projet 4 : Mise en Valeur Halieutique des plans d’Eau Continentaux (MIHEC)
1 - La technique d’évaluation des ressources halieutiques dans les lacs de barrage par la méthode acoustique est, à présent, applicable au contexte tunisien......................................................................................................................................................... 2 - Evaluation de la biomasse piscicole de 18 barrages
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3 - Mise au point de plusieurs nouvelles techniques de pêche applicable aux lacs de barrages (poissons benthiques…)
Projet 5 : Elevage d’Espèces Ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture Continentale (ELEIVAC)
Du fait des modestes ressources en eau et de leur irrégularité saisonnière et annuelle, un grand
nombre de barrages ont été construits en Tunisie afin de stocker les eaux de ruissellement et
garantir l’approvisionnement en eau du pays. De ce fait, le pays dispose d’un potentiel
hydrique relativement important (1900 Million de m3 en 2010). Celui-ci est prioritairement
destiné à l’eau potable et à l’irrigation. Néanmoins, il peut aussi donner lieu, sans altération de
qualité, à une valorisation complémentaire par l’exploitation des ressources halieutiques qui
s’y développent. Cependant, la faune ichthyque autochtone est peu diversifiée et peu
d’espèces sont commercialement valorisables. Dès la fin des années 60, plusieurs espèces ont
été introduites et acclimatées dans quelques retenues de barrage. Parmi ces espèces, le sandre
(Sander lucioperca) et le black bass (Micropterus salmoides) se sont révélées être des espèces
particulièrement intéressantes. Plus récemment, le tilapia (Oreochromis niloticus), initialement
introduite pour l’aquaculture dans les eaux géothermales, a fait l’objet d’introduction dans
quelques retenues de barrages et des populations ont pu se maintenir sur plusieurs
générations quand les conditions thermiques hivernales n’atteignaient pas les seuil létaux
pour l’espèce.
L’ensemencement de ces espèces dans les lacs contribue à la mise en valeur halieutique et
aquacole de ces plans d’eau continentaux. Deux des espèces ichthyques sélectionnées, sont
carnassières (le sandre et le blackbass) tandis que la troisième est omnivore (le tilapia). Elles
sont déjà introduites en Tunisie, elles occupent des niches écologiques différentes et elles
peuvent assurer naturellement le maintien de populations une fois introduites dans un milieu
(caractéristique essentielle pour une exploitation durable). Elles permettent la transformation
de petits poissons, crustacés et autres biomasses non commercialisables en biomasses
exploitables et de bonne qualité nutritionnelle et gustative. De plus, dans le contexte tunisien,
elles se caractérisent par une croissance relativement rapide ainsi qu’une valeur marchande
locale des plus élevée (pour le sandre notamment) parmi celles des espèces d’eaux douces.
Leur introduction dans les plans d’eau, permet d’améliorer considérablement les potentialités
d’exploitation halieutique et aquacole des ressources aquatiques continentales. Ainsi, sur le
plan macro-économique et en termes de biomasse, le sandre contribue déjà à prés de 20% de la
production halieutique continentale totale (1100 tonnes). Le blackbass et le tilapia ne donne
pas encore lieue à une pêche commerciale importante car pour l’instant ils ne sont présents
que dans un nombre restreint de lacs exploités (Lebna et Oued El Abid) mais ces deux espèces
sont très appréciées par les concessionnaires exploitants.
Néanmoins, il est à savoir qu’au niveau national, le potentiel piscicole est considéré comme
largement sous exploité car un grand nombre de barrages sont encore non ensemencés avec
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ces espèces ichthyques valorisantes. D’où l’intérêt de poursuivre les recherches sur ces
espèces. En vue d’une part d’améliorer les performances de reproduction et d’élevage larvaire
du sandre et du black-bass afin de permettre l’amélioration des protocoles d’élevage et
permettre l’élaboration de programme d’ensemencements à grande échelle pour les soutiens
d’effectifs. La qualité très variable des pontes obtenues en captivité ainsi que les problèmes
sanitaires causés par le développement de saprolégnioses sur les œufs typiquement
benthiques et adhésifs des espèces carnassières ciblées, constituent aussi des axes importants
de recherche. D’autre part, en ce qui concerne le tilapia, la sélection de souches capables de
s’acclimater aux conditions hivernales des régions les plus froides en période hivernale ouvre
des perspectives prometteuses en termes de potentiel de production. En effet, à l’exception des
quelques barrages proches des côtes, la majorité des barrages tunisiens sont justement situés
dans les régions les plus pluvieuses qui sont aussi celles où les conditions hivernales sont les
plus rigoureuses.
A travers la maîtrise de l’élevage intensif du tilapia dans les eaux géothermales du sud tunisien, l’INSTM dispose à la fois d’un outil expérimental (station de Béchima) et d’un savoir-faire capable de soutenir un développement local de la pisciculture du tilapia dans les eaux géothermales du Sud Tunisien. En effet, les résultats de nos recherches et les implications pratiques qui en résultent ont permis de déboucher (jusqu’à maintenant) sur 3 unités pilotes de production (projets privés), intégrées avec les activités agricoles déjà existantes (capacité totale de production : 60-70 tonnes). Dans le but de développer et diversifier la production de ces projets, la possibilité d’introduire une nouvelle espèce omnivores et de haute valeur nutritive (p.ex. le Pangasius hypophthalmus) est envisageable. C’est une espèce herbivore moins exigeante en protéines que le tilapia; l’aliment utilisé pour la phase de grossissement (de 100 g à 1 kg) contient 20 % de protéines en quasi-totalité d’origine végétale (Huang et al., 2003). Ce poisson est élevé en eau douce ou légèrement salée. Il présente une température optimale variant de 22 à 27 °C (Lazard, 2007; Rostang, 2008). Cette espèce est caractérisée par sa grande tolérance vis-à-vis de la teneur en oxygène dissous qui permet en élevage d’avoir à la fois une forte densité et un renouvellement d’eau limité (Lazard et Legendre, 1993). En élevage intensif, cette espèce atteint sa taille commerciale (1 à 2 kg) en 6 à 8 mois (Cacot et lazard, 2004).
b- au niveau international Projet 1 : Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
Action Mulets : La diversification des poissons d’élevage est à l’ordre du jour dans tous les programmes de recherche-développement des pays méditerranéens dont la production piscicole marine continue depuis des années à se limiter aux seuls loup et daurade et à un degré moindre au turbot. Certaines espèces dites nobles sont considérées par diverses équipes de recherche,
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comme candidats potentiels dans la diversification. Mais aucune production significative n’est jusqu’à maintenant obtenue et toutes les équipes de recherche engagées depuis une dizaine d’années sur les nouvelles espèces sont au même niveau de connaissance et de maîtrise. Concernant les muges hormis les quelques travaux réalisées dans les années 1980 en Italie et en Egypte, aucune autre référence bibliographiques récente mises à part les nôtres (INSTM) n’est actuellement disponible. Dans le bassin méditerranéen les muges sont une spécificité scientifique « propre » à la Tunisie pour le moment. Action Soles : Certains pays comme l’Espagne le Portugal l’Italie et la Hollande focalisent leurs efforts pour intensifier la production aquacole du genre Solea qui est encore au stade de démarrage. Pour notre action sole nous nous sommes limités à l’étude des deux espèces les plus répandues sur nos cotes tunisiennes : Solea aegyptiaca et Solea senegalensis.. Dans les dix dernières années, plusieurs articles de synthèse ont été publiés soit pour faire le point plus spécifique sur l’état des recherches concernant l’élevage de S. solea (Howell, 1997) ou de S. senegalensis (Dinis et al, 1999), soit sur la comparaison des potentialités des deux espèces (Howell et al, 2006 ; Imsland et al, 2003). Le groupe de travail européen sur la sole, réuni pour la troisième fois à Cadiz (Howell et al, 2006), a défini comme principales priorités de recherche pour les besoins du développement industriel de la sole: la gestion des géniteurs pour obtenir des pontes toute l’année, l’amélioration de la qualité de la nourriture, la mise au point de systèmes d’élevage en recirculation, La prévention des pathologies Action Artémie : Au niveau international, l’activité piscicole s’est bien développée grâce aux projets industriels réalisés par des sociétés et par des privés et dont l’outil principal est l’écloserie. Au niveau de cette structure, s’effectue l’une des phases les plus importantes à savoir celle de l’élevage larvaire qui nécessite des proies vivantes (nauplii d’Artemia). Ces nauplii issus de cystes d’Artemia qui pour l’instant sont monopolisés par certains pays et sont commercialisés à des prix élevés. Pour cela, tous les pays qui se sont lancés dans la pisciculture essayent d’effectuer des recherches sur le sujet en vue de résoudre cette problématique d’importation de ce produit et le substituer par un produit local. D’ailleurs, c’est dans cet ordre d’idée que nous collaborons avec nos collègues français et belges qui travaillent sur ce même thème. .
Projet 2 : Etude et caractérisation des bios agresseurs dans des sites aquacoles (ECBASA)
L’intérêt international accordé à la santé des animaux aquatiques a connu un accroissement rapide au cours des dix dernières années, en raison de l’augmentation du volume et de la diversité des poissons et fruits de mer frais et vivants transigés sur le marché mondial. L’Organisation mondiale de la santé animale (ou Office International des Epizooties – OIE), organisme de services vétérinaires chargé de fixer des normes pour les programmes de gestion de la santé des animaux aquatiques et terrestres, impose des lignes directrices sévères visant à réduire les risques de transfert de maladies graves par suite des déplacements d’animaux aquatiques vivants ou de produits de la mer. Les maladies à déclaration obligatoire par l’OIE
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sont décrites chez les larves et les juvéniles d’une trentaine d’espèces marines faisant nouvellement l’objet d’un élevage d’un élevage intensif. A l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement contre les viroses de poissons, et aucun vaccin n’a encore été mis sur le marché bien que plusieurs laboratoires aient obtenu des résultats encourageants à l’aide de protéines recombinantes. La prophylaxie s’appuie donc sur la mise en place de mesures sanitaires dans les élevages : traitement de l’eau, contrôle des lots de poissons ou des œufs, ainsi que la sélection des géniteurs à l’aide de différentes techniques diagnostiques. L’amélioration de la lutte contre cette maladie reposera sans doute également sur les progrès qui seront réalisés en épidémiologie concernant la conservation du virus dans ses sources et les facteurs modulant la réceptivité des hôtes. Les autres maladies infectieuses bactériennes et parasitaires sont fréquentes et parfois elles engendrent des pertes considérables au niveau du cheptel. Les outils de diagnostic de ces maladies infectieuses utilisés dans les laboratoires étrangers de référence sont plus sensibles et plus rapides que les techniques classiques. Elles sont fondées sur des procédés moléculaires qui bien qu’elles sont onéreuses elles sont rentables et nous estimons qu’il est impératif de nos jours d’adopter ces méthodes dans nos laboratoires nationaux.
Projet 3 : Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTSAF)
Action1 : filière moules
Dans le monde, les techniques sur filières se sont développées depuis les années 1970. Leurs expansions ont fait preuve et ceci pour résoudre en partie le problème des mortalités estivales et pour assurer une augmentation de la production des coquillages. Elles sont au nombre de trois : la filière de subsurface immergée en général à 5 m de profondeur pour la protéger de l’action de la houle et des courants, la filière subflottante mise sous la surface de l’eau avec des flotteurs élancés placés perpendiculairement à la surface de l’eau et la filière de surface.
Les conchyliculteurs dans le monde ont pris des mesures pour éviter l’apparition des maladies. Elles imposent en particulier de ne pas surcharger les sites d’élevage. La production y a gagné en sécurité et aussi en qualité. En effet, certains exploiteurs ont été persuadés qu’il leur faut produire mieux, même s’ils obtiennent déjà de très bons résultats. Pour eux, cela veut dire mettre sur le marché, en produit de très haute qualité qui aura poussé plus vite. Ils ont pensé être capables d’améliorer encore cette qualité, de raccourcir les temps d’élevage et d’étaler plus de ventes. Comment ? Pour eux, il a fallu s’éloigner des sites traditionnels et aller plus au large. C’est avec cette idée que, dés le début des années 70, des hommes ont été partis à la conquête de la pleine mer.
L’idée était simple : profiter de l’espace de la pleine mer ; échapper à l’emprise des estrans et des zones abritées. Sa mise en pratique s’est heurtée à des conditions très rigoureuses : la houle, le vent, le courant… étaient évidemment plus forts.
La recherche de technologies adaptées à la conquête d’espaces nouveaux, sur une côte exposée, où peu de baies et de sites protégés permettent de développer facilement des techniques d’élevage en pleine eau, n’a eu lieu que progressivement.
Donc les exploiteurs sont passés à des structures souples, appelées" filières "(à cause d’une vague ressemblance avec l’engin de pêche qui porte ce nom) ou encore " longues-lignes " (dérivé de l’anglo-saxon "Long-line"). Elles ressemblent à des grandes cordes à linge de 100 à 200 mètres de long. Ancrées sur des blocs de béton, elles sont soutenues par une série de flotteurs. Des supports, garnis de coquillages, y sont suspendus. ( Bompais. X, 1991). L’avantage des élevages en pleine mer est d’exploiter des couches d’eau importantes, ce qui,
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par les conditions optimales d’accès à la nourriture, accélère la croissance. D’un autre point de vue, les structures d’élevage en suspension suivent les oscillations dues à la houle ou se couchent sous l’effet des courants et se subissent sans dommage les tempêtes. (Barnabé.G,
1985).
La technique d’élevage sur filière s’est développée dans le monde depuis les années 1970 Les nombreux projets s’installent plutôt dans des sites abrités (Chine, Canada, Nouvelle Zélande). Mais des projets en haute mer sont également en cours de réalisation (Massachusetts, USA). La technique de l’élevage en suspendu a une origine asiatique. Elle existe depuis le 16e siècle au Japon (Mérino, 1998). Elle s’est développée sur structures fixes en l’absence de marée dans l’étang de Thau dans les années 1920 (Hamon et Coatanea, 1991) mais également sur radeaux flottants en 1947, dans les sites protégés de Galice en Espagne (Figueras, 1988). L’élevage sur filière est utilisé au Japon depuis les années 1936 (Doumenge, 1989) pour l’élevage des pectinidés. En effet, le Japon a été longtemps classé parmi les premiers pays qui ont contribué au développement de l’aquaculture et de la culture des mollusques dans le monde. Un développement fulgurant des techniques de culture a fait que, en 1969, environ 560.000 tonnes de coquillages ont été cultivés (Japanese Fisheries Association, 1971). Les principales espèces cultivés étaient les huîtres (Crassostrea gigas) . L’apparition des nouvelles technologies de cultures à savoir filière et radeau a entraîné une augmentation considérable de la production des huîtres. A titre d’exemple, entre les années 1958 et 1968 , la production des huîtres a presque doublé en passant de 151,894 tonnes à 265,881 tonnes (Furukawa,
1971).L’expansion des techniques de culture sur filière a fait son preuve et ceci pour résoudre essentiellement le problème des mortalités des huîtres cultivés dans le site de Matsushima. L’intérêt pour l’élevage sur filière est mondial. On l’enregistre au début des années 1970 en Chine (Qisheng et al. 2002) pour Mytilus galloprovincialis, Mytilus corusus et Perna viridis et depuis les années 1980 au Canada (Scaratt, 2000) sur Mytilus edulis et Mytilus trossulus. La Nouvelle Zélande avec ses filières flottantes en double ligne atteignait 25 000 tonnes de production en 1988 pour la moule verte : Perna canaliculus. (Hickman, 1992). Selon Davies
(2002), en Italie cette pratique culturale existe depuis de nombreuses années le long de la côte de Trieste où elle permet d’éviter les crises de dystrophie des élevages lagunaires (Ceschia, http). Elle s’est développée récemment en Irlande dans les sites abrités. La production normale est de 40 tonnes hectares et par an dans ces sites d’élevage. En France, Les techniques d’élevage conchylicole sur filières a débuté à partir de l’année 1980 et ils étaient directement dépendantes de l’environnement disponible. En effet, l’élevage sur filière de surface a nécessité des zones protégées peu disponibles sur le littoral atlantique mais il était possible de le mener dans des sites abrités à Bretagne, la filière de sub-surface a fait sa preuve en site semi abrité tels que les Pertuis charentais. L’élevage en filières immergées a permis d’envisager la recherche de nouveaux espacex en mer ouverte comme en Languedoc Roussillon. A Bretagne, à titre d’exemple, Magaldi (1985) recense 14 sites de projets en mer ouverte dont 8 restent opérationnels en 1985 en Bretagne. Les surfaces concédées restent peu importantes (15 ha au Guilvinec, 4 ha à Morgat). La production de moules de filières est estimée à 100 tonnes en 1984 (Omnes, 1985). Les techniques employées, les filières de sub-surface et de surface. En 1991, Bompais estime que 567 hectares à Languedoc Roussillon sont occupés sur les 1719 concédés. Il indique une production de 5000 tonnes de moules pour cette région, en 1990. Cependant Sheffer (2002) souligne que le potentiel de 8000 tonnes n’a jamais été atteint. La technologie filière a permis à la France d’atteindre des productions considérables en
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coquillages, notamment en Mytilus edulis en Atlantique et Mytilus galloprovincialis en méditerranée : - Production de 60000 tonnes, (Méditerranée : 8000 tonnes, Aiguillon : 11500 tonnes, Bretagne : 18000 tonnes et en Normandie : 22000 tonnes) (communication personnelle jean Prou, 2006) - Sites d’élevages sur filières sont les suivants : Bretagne, pertuis breton, et méditerranée
Action 2 : Sauvegarde des bivalves La conchyliculture française représente un marché de prés de 630 millions d’euros avec une production moyenne de 200000 tonnes de coquillages, principalement d’huîtres, par an. Le développement d’efflorescences toxiques dans les écosystèmes conchylicoles sur le littoral français d’une façon répétitive, limitant ainsi la production et la vente par les fermetures de zones de production, a encouragé les entreprises conchylicoles et les scientifiques à mettre en œuvre une stratégie pour maintenir une activité commerciale pendant les périodes de fermeture des bassins conchylicoles à savoir la sauvegarde des coquillages. Différents essais à échelle expérimentale sont en cours de réalisation par Ifremer dans le cadre du projet COMSAUMOL au niveau de la station expérimentale de Bouin. Cette étude concerne la sauvegarde hors de l’eau, et dans l’eau des moules (Mytilus edulis) et des huitres (Crassostrea gigas) et dont les objectifs sont : - La Mise au point de système de recirculation de l’eau - L’étude de sauvegarde, des moules et des huîtres, hors de l’eau et dans l’eau - Le maintien de la qualité de la chair - Le traitement de l’eau en amont et en aval (rejets) - La production en masse de microalgues fourrage. Les travaux réalisés, par Buzin et al., en 2009 sur la sauvegarde des moules et des huîtres hors de l’eau, à sec, à 3°C et à une humidité de 100%, montrent, après 22 jours de stockage, un comportement différent pour les deux espèces. Alors que les poids frais restent constants, la salinité inter valvaire et l’eau inter valvaire diminuent de 10,8 et 50% respectivement pour la moule et les huîtres entraînant des taux de survie qui sont de 96,5% pour l’huître et de 85 % pour la moule. Ainsi, on peut conclure qu’on peut stocker à sec pendant une et trois semaines respectivement les moules et les huîtres. Les résultats concernant la sauvegarde, dans l’eau, des moules et des huîtres ne sont pas encore publiés.
Projet 4 : Mise en Valeur Halieutique des plans d’Eau Continentaux (MIHEC)
L’évaluation de la potentialité piscicole et le suivi de la qualité et la biodiversité des plans
d’eau douce se basent sur des critères abiotiques à même d’influencer les communautés
piscicoles (physique, géomorphologie, bathymétrie, substrat, climatologie) et sur les pressions
anthropiques locales et liées aux usages du bassin versant (agriculture, industrie...). Cette
approche globale s’effectue aussi bien par la réalisation de campagnes d’hydroacoustique et
de pêche aux filets de norme CEN que par l’acquisition des informations sur le terrain ou par
la consultation de bases de données.
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Projet 5 : Elevage d’Espèces Ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture Continentale (ELEIVAC)
Les travaux concernant les espèces ichthyques carnassières ne sont pas exclusivement spécifiques au contexte Tunisien. En effet, les espèces concernées ont un intérêt international et plusieurs laboratoires y consacrent des efforts de recherche, notamment les partenaires belges (FUNDP) et français avec lesquels l’équipe collabore de longue date sur les problématiques commune et justifie d’ailleurs de publications et communications nationales et internationales. A l’échelle de production aquacole mondiale, au cours des 5 dernières années, le pangasius se situe au premier rang en terme de vitesse de l’accroissement de sa production. 70 % de la production est destinée au marché européen (notamment la France). Cette espèce, originaire du delta de mékong (Vietnam), a été introduite pour un but aquacole dans plusieurs pays Asiatique (Thaïlande, Chine, Indonésie, Inde …) suite à la maitrise de sa reproduction en captivité par l’équipe de l’IRD et du CIRAD (Montpellier). Elle fait maintenant l’objet de nombreux programmes et projets de recherches par diverses équipes de recherche (belge : station de Tihange ; français : IRD de Montpellier ; la Pologne ; la Hongrie… .
3- REFERENCES DES DIX (10) PUBLICATIONS LES PLUS RECENTES (DE MOINS DE 5 ANS) ET SIGNIFICATIVES DES CHERCHEURS AYANT UN RAPPORT AVEC LES PROBLEMATIQUES A PRENDRE EN CHARGE PAR LE PROGRAMME DE RECHERCHE
1/ Wafa Gam Haouas, Nesrine Zayene, Hamadi Guerbej, Mohamed Hammami & Lotfi Achour, 2010 : - Fatty acids distribution in different tissues of wild and reared Seriola dumerili. International Journal of Food Science and Technology 2010, 45, 1478–1485 2/ ZOUITEN D., BEN KHEMIS I., MASMOUDI A.S., HUELVAN C., CAHU C., 2010: Comparison of growth, digestive system maturation and skeletal development in sea bass larvae reared in intensive or mesocosm system. Aquaculture Research (doi:10.1111/j.1365-2109.2010.02773.x)
3/ Medhioub W., Gueguen M., Lassus P., Bardouil M., Truquet P., Sibat M., Medhioub N., Soudant P., Kraiem M., and Amzil Z., 2010. Detoxification enhancement in the gymnodimine-contaminated grooved carpet ShellRuditapes decussatus (Linné); Harmful Marine Algae 9:200-207
4/ Fathallah S., Medhioub M.N., Medhioub A., and Boussetta H., 2010: Biochemical indices (RNA/DNA ratio and protein content) in studying the nutritional status of Ruditapes decussatus (Linnaeus 1758) juveniles Aquaculture Research.42:139-146.
5/ Wafa GAM Haouas, Hamadi GUERBEJ, Nesrine ZAYENE, Mohamed HAMMAMI & Lotfi A., 2009 : - Effect of dietary lipid on fatty acid composition of the muscle of reared Tunisian greater amberjack Seriola dumerili. Cybium (proofs : Cyb. 609, 7-12-2009).
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6/ BESBES R., BESBES-BENSEDDIK A., BEN KHEMIS I., ZOUITEN D., ZAAFRANE S., MAATOUK K., EL ABED A. & R. M’RABET, 2009 : - Développement et croissance comparées des larves du mulet lippu chelon labrosus (Mugilidae) elevées en conditions intensives : eau verte et eau claire. Cybium : 648, 7-12.
7/ Medhioub A., Medhioub W., Amzil Z., Sibat M., Bardouil M., Ben Neila I., Mezghani S., Hamza A., et Lassus P., 2009. Influence of environmental parameters on Karenia selliformis toxin content in culture Cah. Biol. Mar 50 :333-342.
8/ Zouiten D., Ben Khemis I., Besbes R. & Cahu C., 2008. Ontogeny of the digestive tract of thick lipped grey mullet (Chelon labrosus) larvae reared in “mesocosms”. Aquaculture 279 (2008) 166–172.
9/ Jebali J., Banni M., Guerbej H., Boussetta H., Lopez-Barea J. & J. Alh, 2008 -Metallothionein induction by Cu, Cd and Hg in Dicentrarchus labrax liver: Assessment by RP-HPLC with fluorescence detection and spectrophotometry. Marine Environmental Research, 65 : 358-363. 10/ El Abed M.M., Marzouk B., Medhioub M.N., Helal A.N., Medhioub A., 2008 - Microalgae: a potential source of polyunsaturated fatty acids, Nutrition and health vol. 19, n°3 p 221- p226.
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4- STRUCTURES ET AUTRES ORGANISMES D’APPUI a- Quels sont les laboratoires et organismes étrangers ou internationaux avec lesquels des relations de collaboration régulières ont déjà été établies ?
-1erorganisme : IFREMER (France)…………………..………………………………………………………
-2 erorganisme : CNRS UMR 8180 Institut Lavoisier Versailles France
- 3ème organisme: Université de Bretagne Occidentale (France) - 4ème organisme : CEMAGREF (France)…………………………………………………………………
- 5ème organisme : IRD (France) - 6ème organisme :
INRA (France) - 7ème organisme : CIRAD (France) - 8 ème organisme : FUNDP (Belgique)
b-Des conventions particulières ont elles déjà été signées avec certains d’entres eux ? Lesquels?
IFREMER, IR
c- Des relations avec les universitaires et chercheurs tunisiens établis à l’étranger ont-elles été initiées ou développées ?
- BAATI Tarek : Chercheur post-doc Contractuel, Laboratoire des solides poreux, CNRS UMR 8180 Institut Lavoisier Versailles France ..............................................................................................................................................................................................................
d- Des coopérations de travail existent–elles déjà avec des universitaires étrangers ou tunisiens établis à l’étranger en terme de co-tutelle de doctorants en particulier ?
- Cotutelle avec Université de Bretagne Occidentale/IFREMER
- Cotutelle avec Université de Bordeaux I/CEMAGREF
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e- Des relations de collaboration formalisées ou régulières ont elles été établies avec d’autres laboratoires de recherche tunisiens, d’autres institutions ou organismes nationaux ? Lesquels ?
- Faculté des Sciences de Tunis - Faculté des Sciences de Sfax - Faculté des Sciences de Bizerte - Faculté de Médecine de Sousse - Faculté de Médecine de Monastir - Institut Supérieur des Sciences Appliquées et de Technologie de Mahdia - Institut Supérieur de Biotechnologie de Monastir (ISBM) - Institut National Agronomique de Tunisie (INAT), - Faculté de Pharmacie de Monastir - Institut de Recherches Vétérinaires de Tunisie - Institut Supérieur Agronomique de Chott- Mariem - Direction Générale de la Pêche et de l’Aquaculture (DGPA) - Centre Technique de l’Aquaculture (CTA) - Ecole Nationale de Médecine Vétérinaire - Centre National des veille zoo sanitaire
5- METHODOLOGIE DE REALISATION DU PROGRAMME DE RECHERCHE
5.1. Programme Aquaculture marine
Projet 1 : Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
Action Mulets : Pour atteindre les objectifs tracés, la méthodologie proposée consiste à poursuivre les travaux entrepris dans la phase 2006/2009 par notamment : - l’optimisation et le contrôle des facteurs environnementaux, sanitaires et nutritionnels au niveau de la stabulation des géniteurs, des espèces ciblées - l’optimisation des rendements zootechniques au niveau des pontes, de l’incubation et des élevages larvaires, - l’étude de la croissance spécifique à chaque stade de développement, - l’étude de l’écotoxicologie (rôle des perturbateurs) et l’éco-tolérence (limites écologiques) - l’étude des besoins nutritionnels et l’optimisation de l’alimentation au niveau des différents stades physiologiques, - l’élaboration de fiches zootechniques permettant un transfert technologique, fiable, simple et rapide. Action Soles : - Constituer des stocks de géniteurs captifs (pêche et transport) - Acclimater et maîtriser la reproduction artificielle
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- Optimiser les paramètres d’élevage larvaire (intensif) et de production d’alevins. Action Artémie : Le projet présenté ici constitue une première phase qui sera effectuée au laboratoire. Dans un premier temps, nous commençons par la constitution d’un stock d’Artemia adultes, des expériences de laboratoire concernant l’action des acteurs externes et internes seront effectuées en vue de déterminer les conditions optimales d’un élevage expérimental d’Artemia. Ensuite, un élevage expérimental sera conduit pendant un cycle annuel sous les conditions optimales déterminées plus haut pour s’assurer de la maîtrise de l’élevage expérimental de l’Artemia locale. Dans un second temps, nous étudions pendant un an le cycle de reproduction de l’Artemia sur des animaux en élevage expérimental, ce qui va nous renseigner sur les périodes de reproduction et de repos sexuel. A la fin de cette première phase, des expérimentations faisant intervenir les facteurs externes seront effectuées sur des Artemia en élevage expérimental pour orienter leur reproduction vers l’oviparité (obtention des cystes)
Projet 2 : Etude et Caractérisation des Bios Agresseurs dans des Sites Aquacoles (ECBASA)
Ce projet comporte deux principales actions
1) Etude des pathologies chez les poissons en élevage Cette action concerne essentiellement l’étude de certaines maladies bactériennes, parasitaires et
virales.
a- Les maladies bactériennes et parasitaires
En Tunisie les principales maladies bactériennes rencontrées dans les élevages des poissons
marins, notamment du loup et de la daurade, sont les Pseudomonoses, les Vibrioses, les
Aéromonoses et les Pasteurelloses. Dans le cadre de ce projet, nous envisageons d’effectuer :
* Le monitoring et la dynamique des bios agresseurs bactériens accompagnant les élevages du
loup et de la daurade dans le contexte climatique Tunisien notamment de : Vibrio algynoliticus,
Vibrio anguillarum, Flexibacter sp. et Photobactérium sp.
* L’étude des myxozoaires responsables de certaines maladies parasitaires en élevage
* La caractérisation moléculaire et l’évolution des facteurs génétiques de résistance aux antibiotiques et de virulence chez les principales souches virulentes b- Les maladies virales Cette partie consiste principalement à étudier le nodavirus et le virus de la lymphocystis, à définir leur mode de transmission et à mettre en place des moyens de détection précoce afin de maîtriser le contrôle de ces deux maladies. Dans ce cadre, nous envisageons de développer un outil de virologie moléculaire applicable au diagnostic et à la lutte contre le Nodavirus chez les poissons en élevage intensif. 2) Etude des pathologies chez les mollusques bivalves
a- Les maladies parasitaires
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Compte tenu des directives de l’Union Européenne, l’INSTM est appelé à spécifier le parasite Perkinsus sp. dépisté chez les palourdes et les autres parasites à déclaration obligatoire Marteilia sp. et Bonamia sp. qui seront éventuellement dépistés chez la moule (Mytilus galloprovincialis) et l’huître creuse (Crassostrea gigas) et ce en utilisant des techniques moléculaires (PCR, PCR-RFLP et séquençage).
b- Les maladies virales
L’action consiste à maîtriser et à adopter les techniques moléculaires pour le diagnostic et la caractérisation de l’herpès virus (OsHV1) chez les mollusques bivalves. En effet, Des épisodes de mortalités anormales et importantes de mollusques bivalves enregistrés pendant les saisons chaudes de ces dernières années pourraient être liés à la présence de ce virus. Dans cette action, nous envisageons d’effectuer le dépistage, la caractérisation moléculaire et l’isolement sur culture cellulaire de L’herpès virus (OsHV1) chez les mollusques bivalves.
c- Les maladies bactériennes
Divers bactéries pathogènes ont été isolées chez les mollusques bivalves et dans le cadre de ce projet, nous envisageons de les identifier et de les caractériser en utilisant des techniques moléculaires.
La méthodologie consiste à effectuer : - l’échantillonnage des poissons et des mollusques bivalves dans les élevages qui présentent des problèmes pathologiques d’ordre infectieux. - l’isolement des différents bios agresseurs. - l’identification et la caractérisation de ces agents pathogènes en appliquant des techniques de biologie moléculaire chez les poissons et les mollusques bivalves - la recherche des gènes de virulence et de résistance aux antibiotiques des souches bactériennes pathogènes. - l’évaluation de l’évolution de la qualité environnementale de l’eau et du sédiment des sites aquacoles. Cette partie se fera en parallèle avec l’étude des pathologies des poissons.
Projet 3 : Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTESSAF)
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Action 1 : Filière moules Il s’agit de suivre une unité conchylicole en cours d’installation et de production de moules en décrivant le système de production adapté au site et en la comparant à la lagune. Le suivi englobe les paramètres techniques, zootechniques, environnementaux. - Paramètres techniques : Décrire les contraintes existantes concernant le climat (vent, houles, pollution, stabilité du système, nombre de sortie par an). - Paramètres zootechniques : Comparer la croissance dans ce site avec celui de la lagune, relation croissance – profondeur, suivi du rendement/m², de la densité optimale, de l’indice de condition, du cycle de reproduction (avec éventuellement des pontes et des fixations dans ce site de grossissement). Détermination de la prédation avec énumération des espèces potentiellement nuisible pour cette activité. Evaluer la mortalité. Etude comparative des cycles de production (taille initiale et période 3, 4, 6 saisons) - Paramètres environnementaux : Déterminer l’état initial du site (niveau d’envasement) suivi des conditions du milieu (température, salinité, turbidité, MES, MES org, ammoniaque, nitrite, nitrate, phosphate, silicate, chlorophylle, phaeopigments, flore totale. Identification des microalgues notamment celles toxiques avec détermination de la capacité trophique de la zone. Action 2 : Sauvegarde Il s’agit de stocker des bivalves en circuit ouvert et fermé avec recirculation d’eau et de déterminer les différents paramètres (physiologiques : IC protéines, lipides, carbohydrates, environnementales : nitrites, nitrates, matière organique). Action 3 : Nouvelle technique d’élevage larvaire - Elevage en circuit fermé (CF) et en circuit continu (CC) avec variation de la densité et de la ration alimentaire avec barrière bactériologique. - Etude comparative du système en continu et le système statique sur le plan zootechnie. - Elaboration d’une fiche d’élevage avec tous les paramètres (densité, température, renouvellement eau ration alimentaire) pour le CC.
5.2. Programme Aquaculture continentale Projet 4 : Mise en Valeur Halieutique des plans d’Eau Continentaux (MIHEC) Cette action concerne 4 retenues de barrages nouvellement prospectées (Kessab, Ghézala, Bezirk et Barbra) et la mise à jour de 4 autres retenues déjà prospectées (Bir Mcherga, Sidi Salem, Nebhana et Mellègue). Ceci à raison de 2 retenues par an.
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Projet 5 : Elevage d’Espèces Ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture Continentale (ELEIVAC)
Espèces ichthyques carnassières : - Etude pour l’amélioration de la qualité des pontes - Programmation des pontes des reproducteurs de blackbass - Evaluation des traitements sanitaires pour améliorer les taux d’éclosion des pontes et traiter le développement de saprolegnioses (champignons responsables de grandes pertes) - Poursuite de la détermination des besoins nutritionnels des larves, avec une attention particulière sur les besoins en acides gras essentiels pour le sandre
Axe 1 : Typologie physique et bio systémique des plans d’eau continentaux tunisiens. - Des campagnes saisonnières de mesures physico-chimiques, d’échantillonnages de phyto et zooplancton et de pêche aux filets maillants, aux nasses et aux cordeaux (palangres), associés aux campagnes d’estimation de la biomasse globale (prospections acoustiques multiples) pour les poissons, seront effectuées. Les caractéristiques des engins utilisés (mailles et types) devront compléter l’image du peuplement donné par le suivi de captures réalisées par les pêcheurs professionnels sur les plans d’eau où celles-ci existent. Axe 2 : Connaissances des peuplements ichtyques et dynamique des populations des espèces ciblées. - Analyses de dynamique de population des principales espèces soumises à pression de pêche (évolution démographique, mortalité par pêche…). La construction de modèles de fonctionnement de population, dans un premier temps par exemple sur le sandre et le mulet, sur certains plans d’eau devrait permettre de mieux gérer ces espèces et de mieux évaluer les leviers permettant de les gérer (par exemple : volume des alevinages nécessaires, modulation de la pression de pêche…..). - Analyse des pêcheries professionnelles par :
* Suivi des statistiques des captures (DGPA) * Enquête auprès des pêcheurs (recueil d’informations sur : lieu, date, espèce, taille ou
poids, engin….)
Axe 3 : Analyse de la qualité des habitats et de l’état sanitaire des populations de poissons des plans d’eau.
* Surveillance de la qualité des habitats piscicoles (étude des anomalies, détermination des espèces d’algues toxiques et inventaire de leur présence, surveillance et mise en place d’indicateurs et de biomarqueurs de contamination et /ou toxicité, analyses des causes des efflorescences, moyens d’y remédier),
* Diagnostic pathologique (bactérioses et parasitoses) et analyse épidémiologique conduisant aux mortalités (types de pathologies, caractéristiques d’apparition, niveaux d’importance, problèmes consécutifs, moyens d’y remédier)
* Analyse des niveaux de contamination des poissons (teneurs en métaux lourds et en pesticides, analyses des origines de ces contaminations si elles existent et des moyens pour y remédier), Axe 4 : Evaluation socio-économique du potentiel de développement de pêche et d’aquaculture continentales
La base de cette évaluation conduite sur l’ensemble des plans d’eau concernés par les 2 activités, sera constituée par des inventaires réalisés à partir d’enquêtes sur le terrain (groupements de pêcheurs, concessionnaires, administration…)
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- Elaboration de protocoles pour la production en masse d’alevins à l’aide de sevrage précoce (dès la première alimentation - Ensemencement de sandres et de blackbass dans des lacs vierges en carnassier et suivi pour la confirmation de l’introduction des populations Espèces ichthyques omnivores
Pour le Tilapia - Identification et caractérisation génétique des souches du tilapia disponibles.
- Evaluation du degré de divergence entre les souches en fonction des générations
(polymorphisme enzymatique).
- Réalisation des ensemencements dans les retenues de barrage.
- Sélection de souches tolérantes à des basses températures pour alevinage des plans d’eau
Pour le Pangasius - l’aménagement de structures pour la reproduction (préparation et stabulation des géniteurs) - contrôle de la maturation et de la ponte - réalisation des premiers essais d’élevage larvaires (évaluation des paramètres zootechniques : sevrage, survie, croissance, cannibalisme…) - Réalisation des essais de pré-grossissement (en eaux géothermales) à la station de béchima.
6- MISE EN ŒUVRE DU PROGRAMME DE RECHERCHE SOUS FORME DE PROJETS
(Le chef de projet devrait avoir au moins le grade de Maître Assistant ou grades équivalents)
a- Les projets répondant aux objectifs scientifiques du programme de recherche à financier sur des
crédits publics
Projet 1 : Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
Nom du chef du projet : Raouf BESBES
Grade : Chargé de Recherche
Nom des chercheurs impliqués : Grade :
Fethi Kammoun Jamel KSOURI
Maître Assistant Maître de recherche
Amina BESBES BENSEDDIK Ingénieur Principal
Sami ZAAFRANE Maître Assistant
Kaoutha MAATOUK Vétérinaire
Dora ZOUITEN Attaché de Recherche
Leila GUERDELLI Ingénieur
Néji ALOUI Maître de Conférences
Nadia MZOUGHI Maître Assistant
Mohamed M’HETLI Maître Assistant
Lassaad CHOUBA Chargé de Recherche
Rafik BEN SAID Chargé de Recherche
M’hamed El Cafsi Professeur
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Tahar GHARRAD Maître Assistant
Zouhour OUANNES Maître Assistant
Chantal CAHU Directeur de Recherche
Marc SUQUET Maître de Recherche
Tarek BAATI Maître Assistant
Christian SERRE Directeur de Recherche
Patricia AISSA Professeur
Jérôme HUSSENOT Directeur de Recherche
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet :
Date de démarrage prévue du projet : 2011
(Insérer autant de blocs et lignes que nécessaire)
Projet 2 : Etude et caractérisation des bios indicateurs dans des sites aquacoles (ECBASA)
Nom du chef du projet : Attia El Hili Hédia
Grade : Médecin Vétérinaire Inspecteur Régionale
Nom des chercheurs impliqués : Grade :
Attia El Hili Hédia
ZAFRANE Sami
MAATOUK Kaouther
Sebai Elamri Dorsaf
Cherif Nadia
Boussaid Béchir
El Bour Monia
Hammami Salah
Ouni Mahjoub
Docteur Vétérinaire Inspecteur Régionale
Maître Assistant
Docteur vétérinaire
Maître Assistant
Docteur (Virologue contractuelle)
Maître Assistant
Maître Assistant
Pr
Pr
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet : Imen Rezgi
Date de démarrage prévue du projet : Date de l’accord du financement du projet
Projet 3 Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTSAF)
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Nom du chef du projet : Amel MEDHIOUB Grade : Maître de recherche
Nom des chercheurs impliqués : Grade : Amel MEDHIOUB Maître de recherche Med Mejdeddine KRAIEM Néjib MEDHIOUB Mahjoub AOUINI Othman JARBOUI Asma HAMZA Saloua SADOK Patrick LASSUS Zouher AMZIL
Professeur Maître de recherche Professeur Directeur de recherche Maître assistant Maître de conférences Chercheur Chercheur
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet : Badreddine MECHRI Doctorant Walid MEDHIOUB Doctorant
Date de démarrage prévue du projet : 2011
Projet 4 : Mise en valeur Halieutique des plans d’Eau Continentaux
(MIHEC)
Nom du chef du projet : Imed Djemali Grade : Chargé de recherche
Nom des chercheurs impliqués : Grade :
Imed Djemali Chargé de recherche
Rachid Toujani Mejededdine Kraiem
Maître assistant Professeur
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet : Emna dérouiche
Date de démarrage prévue du projet : 2011
Projet 5 Elevage d’Espèces ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture Continentale (ELEIVAC)
Nom du chef du projet : Med Salah AZAZA Grade : Chargé de recherche
Nom des chercheurs impliqués : Ines BEN KHEMIS Med Mejdeddine KRAIEM
Grade : Maître assistant Professeur
Med Néjib MEDHIOUB Jamel KSOURI
Maître de recherche Maître de recherche
Mohamed M’HETLI Neila HAMZA Med Salah AZAZA
Maître assistant Attaché de recherche Chargé de recherche
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Fehi MENSI Karima GUETAT Naceur DHREIF Brahim TURKI
Attaché de recherche Ing. Principal Ing. Ing.
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet :
Date de démarrage prévue du projet : 2011
b- Les projets répondant aux objectifs du monde économique et financés par des crédits privés (entreprises et autres organismes)
(Insérer autant de blocs et lignes que nécessaire)
Projet 1 :
Entreprise ou organisme concerné :
Nom du chef du projet : Grade :
Nom des chercheurs impliqués : Grade :
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet :
Date de démarrage prévue du projet :
Le projet fait-il l’objet d’un contrat entre le laboratoire et l’entreprise ou l’organisme concerné?
Projet ... :
Entreprise ou organisme concerné :
Nom du chef du projet : Grade :
Nom des chercheurs impliqués : Grade :
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet :
Date de démarrage prévue du projet :
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Le projet fait-il l’objet d’un contrat entre le laboratoire et l’entreprise ou l’organisme concerné?
c- Les projets à exécuter dans le cadre de la coopération internationale et financés par des organismes étrangers
Projet 1 : Pro-Eel (FP7 KBBE-2009-3 N°245257)
Nom du chef de projet tunisien : Pr. Mejdeddine KRAÏEM
Nom du bailleur de fonds : Union Européenne
Noms des partenaires institutionnels étrangers : Technical University of Denmark ; Leiden University ; CNRS ; Polytechnic University of Valencia ; Universiteit Gent ; University of Copenhagen ; INRA ; IFREMER ; Wageningen University ; Institute of Marine Research ; Norweigian University of Science and Technology
Type de coopération : bilatérale multilatérale
Nom des chercheurs impliqués : Grade : Mejdeddine KRAÏEM Med Salah AZAZA
Professeur Chargé de Recherche
Dora ZOUITEN Attaché de Recherche
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet : Asma HIZEM Emna DEROUICHE
Date de démarrage prévue du projet : Avril 2010
Durée prévue du projet : 4 ans
Projet 2 : AQUAMED ( FP7 KBBE-2009-3 N° 244999)
Nom du chef de projet tunisien : Pr. Mejdeddine KRAÏEM
Nom du bailleur de fonds : Union Européenne
Noms des partenaires institutionnels étrangers : IFREMER, CNRS, IOR Croatie, INRH Maroc, IOP Liban, SFRI Turquie, NIOF Egypte, Université d’ANNABA, AquaTT, ISTM
Type de coopération : bilatérale multilatérale
Nom des chercheurs impliqués : Grade : Mejdeddine KRAÏEM Med Salah AZAZA
Professeur Chargé de Recherche
Jawhara CHAHBANI Ingénieur
Nom des doctorants à mobiliser dans le cadre du projet :
X
X
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Date de démarrage prévue du projet : juin 2010
Durée prévue du projet : 3 ans
7- ECHEANCIER DE MISE EN ŒUVRE DES PROJETS DE RECHERCHE
Projet 1 : Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
- 1ère année : Action Mulets :
- Renforcement de l’effectif actuel des stocks des reproducteurs (2 espèces) - Gestion et stabulation du stock de géniteurs - Suivi de la maturation gonadique - Pontes et élevages larvaires
Action Soles : - Consolidation de l’effectif des géniteurs - Acclimatation des géniteurs - Suivi de la maturation
Action Artémie : - Constituer un stock d’Artemia adulte qui sera capturé dans le milieu naturel et acclimaté
aux infrastructures d’élevage. - Etudier l’action de la température pour déterminer la valeur optimale pour un élevage
expérimental. - Etudier l’action de la salinité pour déterminer la valeur optimale pour un élevage
expérimental.
- 2ème année : Action Mulets :
- Renforcement de l’effectif actuel des stocks des reproducteurs (2 espèces) - Gestion et stabulation du stock de géniteurs - Suivi de la maturation gonadique - Pontes et élevages larvaires - Suivi de la croissance (optimisation) - Travaux éco-tolérence / eco-toxicologie
Action Soles : - Consolidation de l’effectif des géniteurs. - Acclimatation des géniteurs - Suivi de la maturation - Premiers tests d’induction de la ponte
Action Artémie : - Etudier l’action de l’oxygène dissous pour déterminer la valeur optimale pour un
élevage expérimental. - Etudier l’action de la lumière pour déterminer la valeur optimale pour un élevage
expérimental.
- Etudier l’action du régime alimentaire pour choisir l’aliment adéquat pour un élevage expérimental.
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- 3ème année : A1- Action Mulets :
- Renforcement de l’effectif actuel des stocks des reproducteurs (2 espèces) - Gestion et stabulation du stock de géniteurs - Suivi de la maturation gonadique - Pontes et élevages larvaires - Suivi croissance - Travaux éco-tolérence / eco-toxicologie - Travaux nutrition et prévention pathologique
Action Soles : - Suivi de la maturation - Premiers test d’élevage larvaire - Sevrage et prégrossissement
Action Artémie : - Maîtriser l’élevage expérimental de l’Artemia locale et ce en conduisant l’élevage
pendant un cycle annuel sous les conditions optimales arrêtées en haut pour s’assurer de la maîtrise de la technique.
- Etudier le cycle de reproduction de l’Artemia locale sur des animaux en élevage expérimental et ceci pour connaître d’abord les périodes de reproduction et de repos sexuel et arrêter ensuite les modalités de la reproduction (ovoviviparité et oviparité) de l’Artemia en élevage expérimental.
- 4ème année Action Mulets :
- Gestion des élevages (2 espèces) - Elaboration de fiches techniques d’élevage
Action Soles : - Confirmation des résultats obtenus Action Artémie :
- Faire une série d’expérimentations faisant intervenir les facteurs externes en vue d’orienter la reproduction de l’Artemia en élevage expérimental vers une modalité de reproduction ovipare.
- Expérimenter dans des volumes plus grands que l’échelle expérimentale dans le cas de la réussite de toutes les expérimentations planifiées ci-dessus.
Projet 2 : Etude et Caractérisation des Bios Agresseurs dans des Sites
Aquacoles (ECBASA)
- 1ère année : Poissons : * Etudes des pathologies rencontrées chez les poissons marins en élevage * Installation et adaptation des outils moléculaire de diagnostic. * Evaluation quantitative et qualitative de certains paramètres chimiques et biologiques des eaux d’élevage (azote, phosphore, carbone, pH, Turbidité, Matière en suspension,…). * Isolement des isolats viraux sur cultures cellulaires adaptées.
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* Séquençage des régions génomiques virales amplifiées. * Etude phylogénétique et classification des isolats viraux Bivalves :
* Caractérisation moléculaire des parasites du genre Perkinsus présents dans les principaux sites de production et d’exploitation de palourdes en Tunisie
* Diagnostic et caractérisation moléculaire de l’Herpes virus (OsHV1) chez les bivalves. * Etude des infestations virales des cas de mortalités anormales chez les mollusques bivalves * Développement de primoculture de cellules de Bivalves * Diagnostic des principaux germes pathogènes isolés. * Typage moléculaire des principales bactéries
- 2ème année : Poissons : * Diagnostic moléculaire des principaux bios agresseurs isolés. * Etude des gènes de virulences et d’antibirésistance des souches bactériennes pathogènes isolées * Evaluation quantitative et qualitative de certains paramètres chimiques et biologiques des eaux d’élevage (azote, phosphore, carbone, pH, Turbidité, Matière en suspension,…) * Comparaison des gènes impliqués dans l’immunité chez les cas cliniquement malade * Obtenir les séquences génomiques non codantes des extrémités 3’ et 5’ de chaque segment viral amplifié. * Essais de séquençage complet des génomes viraux isolés de poissons infectés en culture pour ce virus. Bivalves : * Dépistage des parasites chez Crassostrea gigas et Mytilus galloprovincialis et caractérisation moléculaire de Marteilia et de Bonamia * Séquençage des souches d’OsHV-1 isolées chez les mollusques bivalves * Identification des facteurs responsables ou favorisant l’expression de l’OsHV-1 chez les mollusques bivalves tunisiens * Etude spatio-temporelle du virus OsHV-1 dans les bivalves en milieu naturel * L’effet cytopathique de l’OsHV-1 sur les primocultures * Caractérisation des principaux germes pathogènes isolés. * Typage moléculaire des principales souches
- 3ème année : Poissons : * Etude des pathologies du loup et daurade en élevage. * Diagnostic moléculaire des principaux germes pathogènes isolés. * Typage moléculaire des principales bactéries * Mettre au point une méthode de diagnostic sensible et quantitatif au Nodavirus : PCR en temps réel. Application à la quantification des gènes viraux chez les cas cliniques et les porteurs sains. * Mise en place d’un plan de prophylaxie et réflexion sur les moyens de lutte contre ces pathologies.
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Bivalves : * Dépistage des parasites chez Crassostrea gigas et Mytilus galloprovincialis et caractérisation moléculaire de Marteilia et de Bonamia * Adaptation et validation de l’outil moléculaire pour le diagnostic rapide, * Etude de la distribution et de la prévalence des maladies présentes chez les mollusques bivalves en Tunisie, en particulier, palourdes, huîtres et moules * Contribution à la mise en place de plans de prévention en milieux aquatiques (signaux précoces à la pathologie proprement dite), * Répondre aux directives de l’Union Européenne en matière de vigilance envers les animaux aquatiques des pays tiers destinés à l’exportation. * Diagnostic moléculaire des principaux germes pathogènes isolés
- 4ème année Poissons : * Synthèse des résultats et élaboration des principales maladies bactériennes du loup et de la daurade dans les conditions environnementales de la Tunisie. * Indiquer les indices biologiques reflétant les changements de qualité dans la colonne d’eau et du sédiment. * Déterminer et caractériser l’anti-biorésitance au niveau de la communauté bactérienne isolée. * Etablissement du rapport final du projet * Validation de la reproductibilité des résultats. * Bilan des résultats et publications Bivalves : * Bilan et synthèse des résultats relatifs aux maladies parasitaires, bactériennes et virales
Projet 3 : Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTSAF)
- 1ère année : Action 1 : filière de moules - Caractérisation du site sur le plan : bactériologique, statut phytoplanctonique - Choix de l’échantillon à suivre Action2 : Sauvegarde Stockage de la palourde en circuit ouvert avec et sans alimentation/suivi des paramètres (IC, protéines, lipides, carbohydrates) Action 3 : Nouvelles techniques d’élevage mise en place d’une structure en continu/barrière bactériologique
-
- 2ème année : Action 1 : filière de moules Comparaison des deux sites étudiées (lagune et en mer ouverte) : zootechnie, croissance, qualité sensorielle, phytoplancton, bactériologique, coût de production). Action2 : Sauvegarde mise en place d’un système de recirculation de l’eau
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Stockage de la palourde en circuit fermé/maintien de la qualité de la chair/production d’algue fourrage. Action 3 : Nouvelles techniques d’élevage effet de la densité sur la croissance et la mortalité en circuit continu (CC) avec répétition saisonnière.
- 3ème année : Action 1 : filière de moules Comparaison des deux sites étudiées (lagune et en mer ouverte) : zootechnie, croissance, qualité sensorielle, phytoplancton, bactériologique, coût de production). Action2 : Sauvegarde mise en place d’un système de recirculation de l’eau Stockage de la palourde en circuit fermé / maintien de la qualité de la chair / production d’algue fourrage. Action 3 : Nouvelles techniques d’élevage Détermination de la ration alimentaire avec répétition saisonnière.
- 4ème année : Action 1 : filière de moules Bilan de deux années d’étude Action2 : Sauvegarde constitution de fiches pour la sauvegarde / bilan Action 3 : Nouvelles techniques d’élevage Bilan : établissement de fiche zootechnique pour le CC
Projet 4 : Mise en Valeur Halieutique des plans d’Eau Continentaux (MIHEC)
- 1ère année : Volet 1 : Hydrobiologie des retenues de barrages tunisiens Volet 2 : Evaluation du stock de poissons dans les retenues de barrages Volet 3 : Evaluation socio-économique de l’activité de la pêche continentale Pour ces volets : Deux barrages Volet 4 : Caractéristiques et évaluation des stocks d’échappement des populations d’anguille des hydrosystèmes littoraux
- Echantillonnage des anguilles dans les 3 sites considérés - Caractérisation des stades biologiques et estimation de leur abondance relative
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- 2ème année : Volet 1, 2 et 3 : Deux barrages Volet 4 : - Echantillonnage et marquage - Délimitation des périodes de dévalaison
- 3ème année : Volet 1, 2 et 3 : Deux barrages Volet 4 : - Echantillonnage et caractérisation - Evaluation de l’action de marquage - Estimation de la biomasse globale
- 4ème année : Volet 1, 2 et 3 : Deux barrages Volet 4 : - Evaluation de l’action de marquage suite - Estimation de la biomasse globale - Estimation de la biomasse d’échappement
Projet 5 : Elevage d’Espèces Ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture
Continentale (ELEIVAC)
- 1ère année : Espèces ichthyques carnassières - Programmation des pontes des reproducteurs de blackbass - Etude de la qualité des pontes de sandre et de blackbass - Effet des conditions zootechnique sur la qualité de l’ostéogenèse des alevins de sandre - Ensemencement des alevins produits à l’issue des élevages expérimentaux Espèces ichthyques omnivores - réalisation des opérations d’ensemencement des alevins de tilapia - Identification et caractérisation génétique des souches du tilapia disponibles - Aménagement de structures pour l’élevage du Pangasius - Constitution de stock de géniteurs du Pangasius (Acclimatation, alimentation…)
- 2ème année : Espèces ichthyques carnassières - Poursuite de l’étude de la qualité des pontes de sandre et de blackbass - Evaluation des traitements sanitaires des pontes pour améliorer les taux d’éclosion - Poursuite des travaux sur les besoins nutritionnels des larves, avec une attention particulière sur les besoins en acides gras essentiels pour le sandre et le blackbass - Ensemencement des alevins produits à l’issue des élevages expérimentaux
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Espèces ichthyques omnivores - Réalisation des opérations d’ensemencement des alevins de tilapia - Etude de la capacité de thermotolérance des souches identifiées du tilapia et évaluation de leurs performances de croissance. - Constitution de stock de géniteurs du Pangasius (Acclimatation, croissance, suivi de la maturation)
- 3ème année : Espèces ichthyques carnassières - Essais de protocoles zootechniques et compléments pharmaceutiques pour la réduction du cannibalisme chez les larves de sandre - Etude des possibilités de sevrage précoce pour les larves de blackbass - Ensemencement des alevins produits à l’issue des élevages expérimentaux -Analyse intégrative de la base de données concernant la qualité des pontes de sandre Espèces ichthyques omnivores - Suivi de la maturation et programmation des pontes du Pangasius - Tentative de pontes - Premiers essais d’élevage larvaire, sevrage et prégrossissement du Pangasius
- 4ème année : Espèces ichthyques carnassières - Finalisation des protocoles zootechniques pour la production en masse d’alevins avec de bonnes productivité tant en terme de qualité que de quantité pour le sandre. - Ensemencement des alevins produits à l’issue des élevages expérimentaux - Bilan des suivis d’ensemencement d’alevins de carnassiers Espèces ichthyques omnivores - Suivi de la maturation et programmation des pontes du Pangasius - Mise au point de protocoles expérimentaux pour l’élevage larvaire du Pangasius
- Réalisation des essais de pré grossissement en eaux géothermales.
8- CONSISTANCE DES RESULTATS ATTENDUS DES PROJETS DE RECHERCHE a- La pertinence des résultats attendus des projets recherche Par rapport à la problématique posée au départ et aux objectifs spécifiques visés par les activités programmées dans le cadre de chacun des projets prévus, explicitez la plus value identifiable et évaluable de chaque projet :
Projet 1 : Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
Nom du chef de projet : Raouf BESBES
Résultat attendu :
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Action Mulets : - Mettre à la disposition de la communauté scientifique, de l’administration et des décideurs de nouvelles données, non disponibles à nos jours sur la faisabilité d’élevage des mulets en Tunisie à partir d’alevins produits artificiellement en écloserie. - Contribuer à la diversification aquacole tunisienne, par la proposition de nouvelles espèces et technologies, permettant un apport supplémentaire de protéines animales de haut de gamme, au consommateur tunisien - Soutenir la pêche continentale par le renforcement des effectifs halieutiques et la création d’emploi supplémentaire sur les retenues de barrages. Action Soles : -Maîtrise de la gestion des stocks de reproducteurs et obtention de pontes spontanées annuelles. - Maîtrise des techniques de production en masse d’alevins de soles dans un premier temps et ensuite transfert du savoir faire aux écloseries privées qui sont intéressés. - Mise au point d’une technique de prégrossissement et ensuite de grossissement. - Etude de la qualité d’alevins de sole obtenus en écloserie - Etablir les bilans zootechniques dans les conditions d’un élevage de soles en Tunisie Action Artémie : - Parvenir à maintenir vivant un stock d’Artemia adulte pêché dans le milieu naturel et acclimaté aux infrastructures de l’élevage. - Connaître les conditions optimales d’un élevage expérimental d’Artemia. - Maîtriser l’élevage expérimental de l’Artemia locale. - Maîtriser la reproduction de l’Artemia locale en milieu d’élevage expérimental. - Moduler et orienter cette reproduction vers le mode ovipare (obtention des cystes) en agissant sur les facteurs externes. - Maîtriser l’élevage de l’Artemia locale dans de grands volumes ainsi que son cycle de reproduction vers l’obtention des cystes. - En quoi consisterait la pertinence scientifique ou l’originalité des résultats attendus du projet? - Ces résultats visent-ils à améliorer la connaissance scientifique? - Ces résultats visent-ils une innovation technologique? - En quoi le projet peut-t-il contribuer au développement économique et/ou ou culturel du pays? - En quoi ses résultats seraient-ils socialement pertinents?
Projet 2 : Etude et Caractérisation des Bios Agresseurs dans des Sites Aquacoles (ECBASA)
Nom du chef de projet : Attia El Hili Hédia
Résultat attendu :
- Dresser une liste des maladies spécifiques aux conditions environnementales de la Tunisie. - Installer des outils de diagnostic rapides et efficaces. - Limiter l’utilisation des produits thérapeutiques et répondre ainsi aux exigences et aux normes de plus en plus strictes du marché mondial des produits aquacoles. - Caractériser les agents pathogènes présents dans nos élevages sur le plan génétique et moléculaire. - Corréler l’évolution de la qualité environnementale de l’eau et du sédiment des sites
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d’élevage avec les pathologies. - Recommander quelques indicateurs de disfonctionnement de l’écosystème exploité en élevage. - Caractériser l’évolution de l’antibio-résistance chez la communauté bactérienne qui accompagne les élevages.
Projet 3 : Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTSAF)
Nom du chef de projet : Amel MEDHIOUB
Résultat attendu :
La deuxième action du projet INTESSAF qui consiste à la Sauvegarde des bivalves notamment la palourde trouvera son originalité dans les résultats attendus puisque la palourde est le bivalve modèle pour notre pays, contrairement en France (ifremer) les travaux qui concerne ce thème sauvegarde sont particuliers aux moules et huîtres. l’INSTM vise à terme dans le cadre de ce projet la mise au point de procédés, à terre, pour permettre la poursuite de la commercialisation de ce bivalve lors des blooms toxiques et de ce fait ce projet contribue au développement économique et social du pays. De même, l’action filière de moules où on contribue à mettre à la disposition des décideurs et de la communauté scientifique d’un maximum d’informations sur la biologie, sur les paramètres d’élevage et l’adaptation des moules en haute mer, permet de développer et soutenir le secteur aquacole.
Projet 4 : Mise en valeur Halieutique des plans d’Eaux Continentaux (MIHEC)
Nom du chef du projet : Imed DJEMALI
Résultat attendu : Volet 1 : Hydrobiologie des retenues de barrages tunisiens - Suivi des paramètres physico-chimiques de l’eau (température, pH, conductivité, teneur en O2, sels nutritifs, transparence, chlorophylle a, métaux lourds et pesticides). - Analyse des productions primaire (phytoplancton) et secondaire (zooplancton).
Volet 2 : Evaluation du stock de poissons dans les retenues de barrages - Suivi quantitatif de la biomasse piscicole par hydroacoustique - Suivi qualitatif de la biomasse ichtyque par analyse des pêcheries et des pêches aux engins scientifiques (filets multimailles, palangres, nasses…) Volet 3 : Evaluation socio-économique de l’activité de la pêche continentale
Il s’agit ici d’évaluer dans un premier temps la rentabilité de l’exploitation piscicole des lacs de barrages tunisiens et d’en estimer également le potentiel de développement soit par l’installation de concessions de pêches sur les sites adaptés à cela, soit l’installation d’un tourisme pêche, soit une association des deux sur les sites les plus appropriés.
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Volet 4 : Caractéristiques et évaluation des stocks d’échappement des populations d’anguille des hydrosystèmes littoraux
- Déterminer les caractéristiques éco-biologiques des fractions de populations d’anguilles des lagunes de l’Ichkeul, de Ghar El Melh et de Tunis.
- Estimer la biomasse des populations d’anguille présentes dans les lagunes de l’Ichkeul, de Ghar El Melh et de Tunis.
- Estimation du stock d’échappement des anguilles dévalantes.
Ceci en vue de rationaliser l’exploitation de cette ressource qui est devenue vulnérable et classée « espèce menacée » par l’IUCN et dans l’annexe 2 de CITES..
Projet 5 : Elevage d’Espèces ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture Continentale (ELEIVAC)
Nom du chef du projet : Med Salah AZAZA
Résultat attendu : Espèces ichthyques carnassières - Perfectionnement des stratégies de gestion des stocks de géniteurs captifs de sandre et de blackbass . - Amélioration des performances zootechniques des élevages larvaires du sandre et du blackbass - Introduction d’espèces ichthyques carnassières valorisantes dans de nouveaux plans d’eau tunisiens vierges en ces espèces - Elaboration de fiches zootechniques pour le transfert des technologies acquises - Augmentation de la valeur économique des ressources ichthyques exploitées Espèces ichthyques omnivores - caractériser et sélectionner une souche tolérante aux basses températures. - la constitution et le maintien d’un stock de géniteurs et sa reproduction en captivité (stabulation, maturation et ponte). - Réussite de la phase de l’élevage larvaire du P. hypophthalmus. - caractériser les paramètres zootechniques de ces phases. - Diversifier la production des projets aquacoles du sud tunisien (régions défavorisée et mal desservies en poissons) - Améliorer la rentabilité économique des projets agricoles/aquacoles (l’élevage des poissons est intégré avec l’activité agricole).
b-La consistance des résultats attendus du programme de recherche en termes de formation diplômante (habilitations, thèses, mastères)
- Liste nominative des enseignants-chercheurs du corps B susceptibles de soutenir leurs habilitations au terme du mandat de 4 ans du laboratoire.
Rachid Toujani Imed Djemali Mohamed Mhetli
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Neila Hamza Ines Ben Khemis Mohamed Salah Azzaza Dorsaf El Amri
- Liste nominative des doctorants susceptibles de soutenir leurs thèses de doctorat au terme du mandat de 4 ans du laboratoire.
Emna Dérouiche Mechri Badreddine
Walid Medhioub
Imen Rezgui
Melliti Ghada
Neffati Ridha
Hammouda Jihene
Ben Hamida Saoussen
El Mabouk Moez
Belhadj Anissa
- Nombre estimatif d’étudiants susceptibles de soutenir leurs mémoires de mastère au terme du mandat de 4 ans du laboratoire. 15
c- La consistance de la production scientifique du programme de recherche
- Nombre estimatif d’ouvrages individuels ou collectifs et autres publications spécifiques.
- Nombre estimatif d’articles scientifiques dans les revues indexées, à comité de lectures.
20
- Nombre estimatif de communications à des manifestations scientifiques internationales et nationales avec actes.
30
d- Nombre estimatif de brevets d’invention ou d’obtentions végétales du programme de recherche
(sur les 4 ans)
01 (projet MIHEC)
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III – MOYENS DEMANDES POUR LA MISE EN OEUVRE DES PROGRAMMES DE RECHERCHE
NB : Il est strictement demandé de remplir cette partie pour chaque projet de recherche à financier sur des crédits publics
PROJET DE RECHERCHE 1
Maîtrise de l’Elevage d’Espèces Marines d’Intérêt Aquacole (MEEMIA)
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Année budgétaire : 2011
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Equipements d’observation microscopique (caméra vidéo + moniteur + logiciels d’analyse d’image)
01 5000
Loupe binoculaire 01 3000 Equipements de filtration de l’eau 01 3000
Pompes rechange circuit fermé 02 1600 Oxymètre 01 1800
Matériel d’aquariophilie 01 5000 Ordinateur de Bureau 01 3000
Ordinateur portable 01 2000 Imprimante 01 1000
Total :
25 400
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Chargé de Rech.
01 Stage Mise au point de protocole coopération (Reproduction)
Brest / France (15 jours)
Ing.. Princ. 01 Stage Protocoles expérimentaux éco-tolérence
Palavas / France (15 jours)
Dir. Rech 01 Mission Reproduction poissons Monastir / Tunisie (07 jours)
Maître de Conf.
01 Mission Participation à un Séminaire France (7 jours)
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Agent tech. 01 Ecloserie/ mulet 12 3600
Total : 3 600
Année budgétaire : 2012
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 48
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Bloc minéralisateur Kjeldhal 6 postes 01 10500
Petit matériel de labo 01 1500
Lampe UV de Recharge 02 1000
Matériel d’aquariophilie 01 5000
Total :
18 000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Chargé Rech. 01 Stage Solides poreux/application aquacole
Paris / France (15 jours)
Ing. Princ. 01 Stage Reproduction/Nutrition Brest / France (15 jours)
Dir. Rech. 01 Mission Technologies larvaires
Monastir /Tunisie (07 jours)
Dir. Rech.
01 Mission Reproduction/Nutrition Monastir / Tunisie (07 jours)
Doctorant
02 Stage Elevage Artemia France / Belgique
Maître de Conf.
01 Mission Participation à un Séminaire France (7 jours)
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Agent tech.
01 Ecloserie/ mulet 12 3600
Doctorant 2 Bourse de Recherche /Artemia
12 6000
Mastère
2 Bourse de Recherche /Artemia
12 4800
Total : 14 400
Année budgétaire : 2013
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation Quantité Coût total (DT)
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 49
Ordinateur bureau + imprimante 01 2500
Equipements divers de labo 01 5500
Equipement de recyclage de l’eau d’élevage 01 3500
Balance de paillasse 01 1000
Petit matériel 01 1000
Total :
13 500
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Char. Rech. 01 Stage Technologies larvaires Palavas / France (15 jours)
Ing. Princ. 01 Stage Analyses d’hormones HPLC
Paris / France (15 jours)
Dir. Rech 01 Mission Solides poreux /application aquacole
Monastir / Tunisie (07 jours)
Doctorant
2 Stage Elevage Artemia France / Belgique (15 jours)
Char. Rech.
01 Mission Participation à un congrès France / Belgique
Maître Rech. 01 Mission Participation à un congrès France / Belgique
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Agent tech
01 Ecloserie/ mulet 12 3600
Doctorant 2 Bourse de Recherche 12 6.000
Mastère 2 Bourse de Recherche 12 4.800 Total : 14 400
Année budgétaire : 2014
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Ordinateur de Bureau avec imprimante 01 2500
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 50
Equipements divers de labo 01 4500
Petit Matériel 01 1500
Frigo 01 1000
Total :
9 500
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Char. rech 01 Mission Participation à un Séminaire France / Europe (07 jours)
Maître rech. 01 Mission Manifestation Scientifique France / Europe (07 jours)
Ing. Princ. 01 Mission Participation à un Séminaire France / Europe (07 jours)
Doctorant
01 Stage Elevage Artemia France / Belgique (15 jours)
Doctorant
02 Mission Participation à un congrès France / Belgique (07 jours)
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Agent tech.
01 Ecloserie/ mulet 12 3600
Doctorant
2 Bourse de Recherche 12 6.000
Mastère 2 Bourse de Recherche 12 4.800
Total : 14 400
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Budget demandé pour le projet n°1
Montants demandés (DT)
Rubriques
1ère année
(2011)
2ème année
(2012)
3ème année
(2013)
4ème année
(2014)
Equipements Scientifiques
25 400 18 000 13 500 9 500
Sous-traitance
2 000 2 000 2 000 2 000
Consommables et petits matériels
25 000 25 000 25 000 25 000
Missions : Tunisiens allant à l’étranger : frais de transport, timbre et frais de séjour. Etrangers invités en Tunisie : frais de voyage et frais de séjour.
6 000 6 000 6 000 10 000
Stages à l’étranger : frais de voyage, timbre et subventions de séjour.
2 000 6 000 8 000 2 000
Déplacement et hébergement en Tunisie
1 000 1000 1000 1 000
Organisation de rencontres scientifiques
- 2 000 - 4 000
Rémunération des contractuels
3 600 14 400 14 400 14 400
Documentations et frais d’accès aux réseaux et banques de données
600
600
600
600
Divers et frais de maintenance
2 000 2 000 2 000 2 000
Total par année
67 600 77 000 72 500 70 500
Total 2011-2014
287 600
PROJET DE RECHERCHE 2
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 52
Etude et Caractérisation des Bios Agresseurs dans des Sites Aquacoles (ECBASA)
Année budgétaire : 2011
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Four micro-onde 1 200 Distillateur d’eau économique (3.5L) 1 1500
Cuve d’électrophorèse+ Accessoires 1 1000
Thermocycleur à gradient de température 1 12000
Transillumunateur UV-Visible 1 12000
Congélateur horizontal (-30°C) 2 1600
Etuve normale 1 4500 Four poupinel 1 4500 Nanodrop + système d’exploitation 1 20000
Pipteur automatique 1 800 Cryoconservateur 1 3 000
Micro pipette volume variable monocanal 1 1 200 Système de pipetage 1 600
Poste de sécurité microbiologique de type II b 1 14 000 Microscope 1 10000 Multisonde 1 18000
Total :
104 900
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Maître assistant
1 mission Séminaire
Europe 5 jours
Doctorant 1 stage PCR en temps réel en virologie des mollusques
France 1 mois
Dr Vétérinaire 1 mission Séminaire Europe 5 jours
Tech. Sup 1 stage Caractérisation moléculaire des parasites
France 1 mois
Cherch. contractuel
1 mission Diagnostic moléculaire des viroses de poissons
Europe 7 jours,
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Nombre Qualité Objet du contrat/vacation Durée Rémunération
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 53
(en mois) totale (DT)
1 Tech. sup. Analyses de laboratoire 12 7000
1 Doctorant bourse 12 3000
1 Chercheur Développement du diagnostic viral chez les poissons
12 10000
Total : 20 000
Année budgétaire : 2012
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Etuve bactériologique réfrigérée 01 8000
Ordinateurs et accessoires 02 5000
Spectrophotomètre 01 8000 distillateur 01 4000 autoclave 01 6500
Gel doc 1 25000
Batterie de micropipettes 1 2000
Micro centrifugeuse 1 1 800
Etuve réfrigérée 1 2 500
Micro pipette multicanaux 1 800
Thermocycleur pour PCR 1 12 000
Réfrigérateur 1 1000
Total :
76 600
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Médecin vétérinaire
02
Stage
Diagnostic des principales maladies
15 jours France/Espagne
Maître Assistant
01
Stage
Diagnostic moléculaire des espèces bactériennes
15 jours France/Espagne
Doctorant 1 Stage Caractérisation moléculaire
de l’herpes virus France 1 mois
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Nombre Qualité Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
1 Tech. sup. Analyses de laboratoire 12 7000
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 54
1 Doctorant bourse 12 3000
1 Chercheur Développement du diagnostic viral chez les poissons
12 10000
Total : 20 000
Année budgétaire : 2013
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Bain marie agité 1 4500 Batterie de micropipettes 1 2000
Cross linker 1 3000 Micro centrifugeuse 1 1 800
Etuve réfrigérée 1 2 500 Micro pipette multicanaux 1 800 Thermocycleur pour PCR 1 12 000
Four micro-onde 1 200
Distillateur d’eau économique (3.5L) 1 1 500
Cuve d’électrophorèse+ Accessoires 1 1 000
Total :
29 300
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Maître Assistant
1 mission séminaire
Europe 5 jours
Chercheur contractuel
1 mission séminaire
Europe 5 jours
Médecin vétérinaire
02
stage
Diagnostic des principales maladies
15 jours France/Espagne
Maître Assistant
01
stage
Diagnostic moléculaire des espèces bactériennes
15 jours France/Espagne
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Nombre Qualité Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
1 Tech. sup. Analyses de laboratoire 12 7000
1 Doctorant bourse 12 3000
1 Chercheur Développement du diagnostic viral chez 12 10000
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 55
les poissons Total : 20 000
Année budgétaire : 2014
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES (Insérer autant de lignes que nécessaire)
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Total :
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Médecin vétérinaire
1 mission Séminaire Europe 5 jours
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Nombre Qualité Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
1 Tech. sup. Analyses de laboratoire 12 7000
1 Doctorant bourse 12 3000
1 Chercheur Développement du diagnostic viral chez les poissons
12 10000
Total : 20 000
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 56
Budget demandé pour le projet n°2
Montants Demandés (DT)
Rubriques
1ère année
(2011)
2ème année
(2012)
3ème année
(2013)
4ème année
(2014)
Equipements Scientifiques
104900 76600 29300 -
Sous-traitance
Consommables et petits matériels
30000
30000
30000
30000
Missions : Tunisiens allant à l’étranger : frais de transport, timbre et frais de séjour. Etrangers invités en Tunisie : frais de voyage et frais de séjour.
6000 - 4000 2000
Stages à l’étranger : frais de voyage, timbre et subventions de séjour.
4000 8000 6000 -
Déplacement et hébergement en Tunisie
500
500
500
500
Organisation de rencontres scientifiques
2000 2000 4000
Rémunération des contractuels
20000 20000 20000 20000
Documentations et frais d’accès aux réseaux et banques de données
600
600
600
600
Divers et frais de maintenance
500
500
500
500
Total par année
166 500 138 200 92 900 57 600
Total 2011-2014
455 200
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 57
PROJET DE RECHERCHE 3
Introduction de Nouvelles Techniques et Suivi d’Animaux Filtreurs (INTSAF)
Année budgétaire : 2011
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
1 Sonde multiparamètres
1 25000
Total : 25000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour
(mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Maître de
recherche
1 Mission
Procédés de stockage des bivalves Nantes/Bouin
15 jours
Maître de
Conférence
1 Mission
Procédés de stockage des bivalves Monastir
15 jours
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée
(en mois)
Rémunération
totale (DT) Technicien 1 Conchyliculture 12 7000
Etudiant
(mastère)
2 Conchyliculture 12 4800
Total : 11800
Année budgétaire : 2012
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 58
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
1 Spectro photomètre enregistreur 1 20000
Total :
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Etudiant 1 Stage Elevage/Bivalves France 15 jours
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nomb
re
Objet du contrat/vacation Durée
(en mois)
Rémunération
totale (DT)
technicien 1 12 7000
Etudiant
(master)
2 12 4800
Total : 11800
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 59
Année budgétaire : 2013
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Total :
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour
(mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Maître de
recherche
1 Mission
15 jours
Procédés de stockage des bivalves Nantes/Bouin
Maître de
Conférence
1 Mission
15 jours
Procédés de stockage des bivalves Monastir
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nomb
re
Objet du contrat/vacation Durée
(en mois)
Rémunération
totale (DT)
technicien 1 12 7000
Total : 7000
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 60
Année budgétaire : 2014
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Total :
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour
(mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Maître de
Conférence
1 Mission
Procédés de stockage des bivalves Monastir
7 jours
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée
(en mois)
Rémunération
totale (DT) technicien 1 12 7000
Total : 7000
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 61
Budget demandé pour le projet n°3
Montants
Demandés
(DT)
Rubriques
1ère année
(2011)
2ème année
(2012)
3ème année
(2013)
4ème année
(2014)
Equipements Scientifiques
25000 20000
Sous-traitance
3000 3000
Consommables et petits matériels
8000 8000 6000 6000
Missions : Tunisiens allant à l’étranger : frais de transport, timbre et frais de séjour. Etrangers invités en Tunisie : frais de voyage et frais de séjour.
4000 4000 2000
Stages à l’étranger : frais de voyage, timbre et subventions de séjour.
2000
Déplacement et hébergement en Tunisie
Organisation de rencontres scientifiques
Rémunération des contractuels
11800 11800 7000 7000
Documentations et frais d’accès aux réseaux et banques de données
600 600 600 600
Divers et frais de maintenance
500 500 500 500
Total par année
49 900 45 900 21 100 16 100
Total 2011-2014
133 000
PROJET DE RECHERCHE 4
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 62
Mise en valeur Halieutique des plans d’Eaux Continentaux (MIHEC)
Année budgétaire : 2011
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Hors bord 01 7000 Matériel de pêche électrique 01 15000
Ecran PC (LCD) Ordinateur
03 01
3000 2000
Filet à plancton 01 5000
Réfrigérateur 01 1 000
33000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
CR 01 Stage Perfectionnement 15 j
MA 01 Stage Perfectionnement 15 j
Pr 01 Mission Mise en place d’un programme d’action et prospection de sites
7 j
Etudiante 01 Stage Techniques de marquage et Formation sur logiciel
d’analyse de populations et Traitement et analyse des
données collectées
15 j
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre
Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tec. Sup 01 Campagne de pêche et maintenance matériel 12 7000
Etudiant 01 Mastère 12 2400
Doctorant 01 Bourse de stage 12 mois 3000
Total : 12400
Année budgétaire : 2012
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 63
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Congélateur (-30°) 01 1 500
Balance de précision 01 1 500 Appareil photo numérique 01 1 000
Consommables 2 000
Total :
6000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
CR 01 Stage Perfectionnement 15 j
MA 01 Stage Perfectionnement 15 j
Corps A 01 mission Suivi de l’avancement des actions
Tunisie 7J
Doctorants 01 stage Traitement et analyse des données collectées et élaboration d’articles
France 1 mois
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre
Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tec. Sup 01 Campagne de pêche et maintenance matériel 12 7000
Etudiant 01 Mastère 12 2400
doctorant 01 Bourse de stage 12 mois 3 000
Total : 12400
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 64
Année budgétaire : 2013
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Total :
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
CR 01 stage Perfectionnement 15 j
MA 01 stage Perfectionnement 15j
Corps A 01 mission Suivi de l’avancement des actions
Tunisie 7 j
Doctorant 01 stage Traitement et analyse des données collectées et élaboration d’articles
France 1 mois
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tec. Sup 01 Campagne de pêche et maintenance matériel 12 7000
Etudiant 01 Mastère 12 2400
doctorant 01 Bourse de stage 12 mois 3 000
Total : 12400
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 65
Année budgétaire : 2014
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Total :
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
CR 01 Stage Perfectionnement 15 j
MA 01 Stage Perfectionnement 15 j
Corps A 01 missions Suivi de l’avancement des actions
Tunisie 7 j
Doctorant 01 stage Traitement et analyse des données collectées et élaboration d’articles
France 1 mois
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tec. Sup 01 Campagne de pêche et maintenance matériel 12 7000
Etudiant 01 Mastère 12 2400
doctorant 01 Bourse de stage 12 mois 3 000
Total : 12400
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 66
Budget demandé pour le projet n°4
Montants
Demandés
(DT)
Rubriques
1ère année
(2011)
2ème année
(2012)
3ème année
(2013)
4ème année
(2014)
Equipements Scientifiques
33000 6000 - -
Sous-traitance
Consommables et petits matériels
1000 2000 2000
Missions : Tunisiens allant à l’étranger : frais de transport, timbre et frais de séjour. Etrangers invités en Tunisie : frais de voyage et frais de séjour.
2000 2000 2000 2000
Stages à l’étranger : frais de voyage, timbre et subventions de séjour.
6000 6000 6000 6000
Déplacement et hébergement en Tunisie
500 500 500 500
Organisation de rencontres scientifiques
Rémunération des contractuels
12400 12400 12400 12400
Documentations et frais d’accès aux réseaux et banques de données
600 600 600 600
Divers et frais de maintenance
500 500 500 500
Total par année
5 6 000 28 000 24 000 24 400
Total 2011-2014
132 000
PROJET DE RECHERCHE 5
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 67
Elevage d’Espèces ichthyques Valorisantes pour l’Aquaculture Continentale (ELEIVAC)
Année budgétaire : 2011
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Equipements hydrauliques 1 6000
Equipements zootechniques 1 4000
Oxymètre 1 3000 Balance 1 2000 Circuits et accessoires 1 7000
Bassins (stabulation géniteurs) 4 4000
Total :
26 000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Chercheur 1 mission Reproduction France 7 jours
Pr 1 mission Reproduction Tunisie 7 jours
A définir As Stage Reproduction France 15 jours
Marc Legendre Pr Mission Reproduction Tunisie 7 jours
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tech. 3 Maintenance des cheptels 3x12 21000
Ouvrier 3 Maintenance des structures 3x12 14400
Bourse 2 Etudiant (mastère) 2x12 mois 4800
Total : 40 200
Année budgétaire : 2012
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation Quantité Coût total (DT)
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 68
Equipement de biofiltration 1 5000
Stérilisateur UV grande capacité (50 W) 1 6000
Surpresseur 1 2000 Sonde pour oxymètre 1 2000 Sonde pour pH mètre 1 1 000
luxmètre 1 1 000 Kit pour analyse de la qualité de l’eau 1 2000
Total :
19000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Etudiant 1 stage génétique Bélgique – 15 j
Pr 1 mission nutrition Tunisie – 7 j
Etudiant 1 stage génétique France – 15 j
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tech. 3 Maintenance des cheptels 3x12 21000
Ouvrier 3 Maintenance des structures 3x12 mois 14400
Bourse 2 Etudiant (mastère) 2x12 mois 4800
Total : 40 200
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 69
Année budgétaire : 2013
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES (Insérer autant de lignes que nécessaire)
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Equipements de terrain 1 6000
Equipements zootechniques 1 3000
Congélateur 1 1000 Incubateurs 1 500
Balance de précision 1 1000
Total : 11500
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Chercheur 1 mission Ethologie France – 7 j
Pr 1 mission Ontogénèse Tunisie – 7 j
Etudiant stage Cannibalisme France – 15 j
Dir. recherche 1 mission Elevage larvaire et cannibalisme
1 semaine
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tech. 3 Maintenance des cheptels 3x12 14000
Ouvrier 3 Maintenance des structures 3x12 14400
Bourse 2 Etudiant (mastère) 2x12 4800
Total : 40200
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 70
Année budgétaire : 2014
III-1- EQUIPEMENTS DEMANDES
N° Désignation
Quantité Coût total (DT)
Equipement d’imagerie 1 4000
Réfrigérateur 1 1000
Equipement : PVC 4000
Total : 9000
III-2- SEJOURS SCIENTIFIQUES (en Tunisie ou à l’étranger)
Grade Nombre
Type du séjour (mission/stage)
Objet du séjour Lieu et durée
Etudiant 1 stage génétique France – 15 j
Pr 1 mission génétique Tunisie – 15 j
Etudiant 1 stage - France – 15 j
III-3- CONTRATS ET VACATIONS
Qualité Nombre Objet du contrat/vacation Durée (en mois)
Rémunération totale (DT)
Tech. 3 Maintenance des cheptels 3x12 21000
Ouvrier 3 Maintenance des structures 3x12 14400
Bourse 2 Etudiant (mastère) 2x12 4800
Total : 40200
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 71
Budget demandé pour le projet n°5
Montants
Demandés
(DT)
Rubriques
1ère année
(2011)
2ème année
(2012)
3ème année
(2013)
4ème année
(2014)
Equipements Scientifiques
26000 19000 11500 9000
Sous-traitance
Consommables et petits matériels
4500 4500 6000 6000
Missions : Tunisiens allant à l’étranger : frais de transport, timbre et frais de séjour. Etrangers invités en Tunisie : frais de voyage et frais de séjour.
6000 2000 6000 2000
Stages à l’étranger : frais de voyage, timbre et subventions de séjour.
2000 4000 2000 4000
Déplacement et hébergement en Tunisie
1500 1500 1500 1500
Organisation de rencontres scientifiques
Rémunération des contractuels
40200 40200 40200 40200
Documentations et frais d’accès aux réseaux et banques de données
600 600 600 600
Divers et frais de maintenance
2000 2000 2000 2000
Total par année
82800 73800 69800 65300
Total 2011-2014
291 700
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 72
BUDGET TOTAL DEMANDE POUR LE LABORATOIRE
Montants
Demandés
(DT)
Rubriques
1ère année
(2011)
2ème année
(2012)
3ème année
(2013)
4ème année
(2014)
Equipements Scientifiques
214 300 139 600 54 300 18 500
Sous-traitance
2 000 5 000 5 000 2 000
Consommables et petits matériels
68 500 67 500 69 000 69 000
Missions : Tunisiens allant à l’étranger : frais de transport, timbre et frais de séjour. Etrangers invités en Tunisie : frais de voyage et frais de séjour.
24 000 10 000 22 000 18 000
Stages à l’étranger : frais de voyage, timbre et subventions de séjour.
14 000 26 000 22 000 12 000
Déplacement et hébergement en Tunisie
3 500 3 500 3 500 3 500
Organisation de rencontres scientifiques
- 4 000 2 000 8 000
Rémunération des contractuels
88 000 98 800 94 000 94 000
Documentations et frais d’accès aux réseaux et banques de données
3 000 3 000 3 000 3 000
Divers et frais de maintenance
5 500 5 500 5 500 5 500
Total par année
422 800 362 900 280 300 233 500
Total 2011-2014
1 299 500
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 73
IDENTIFICATION DU LABORATOIRE DE RECHERCHE
- Etablissement (où sera créé le laboratoire) : Institut National des Sciences et Technologies de la Mer (INSTM) - Université(en cas de cotutelle) : ………………………………..…………………………………………………………………………… - Dénomination du laboratoire : Laboratoire d’aquaculture
CHEF DU LABORATOIRE DE RECHERCHE
Nom et Prénom : KSOURI Jamel Grade : Maître de recherche
Fonction administrative (s’il y a lieu) : ……………………………………………………………………………………..………………
Etablissement de rattachement : INSTM……………………………………….
Université : ……………….…………………………………………………………………………………………………………..…….…………..
CASE RESERVEE A L’ETABLISSEMENT
Avis du chef de l’établissement et recommandations du conseil scientifique :
1- Eligibilité du laboratoire (masse critique)
2- Adéquation avec les orientations de recherche de l’établissement
3- La nomination du chef du laboratoire Le chef de l’établissement : (Date, signature et cachet)
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 74
ANNEXE 1
Liste des sujets de thèses en cours de préparation (Thèse de doctorat es-sciences)
(Doctorants inscrits à partir de l’année universitaire 2008/2009)
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 1
Liste des sujets de thèses
N° Nom et prénom du
doctorant
Etablissement (où
l’inscription est effectuée)
Année de la première
inscription(*)
Nom et prénom de l'encadreur
Grade
Etablissement (de
rattachement) Intitulé du sujet de thèse
Avancement (%)
1 Mechri Badreddine ISBM 2007-2008 M. EL OUNI
A.MEDHIOUB
Pr Ch.
Rech.
FST INSTM
Etude des pathologies d’origines bactériennes
chez la palourde Ruditapes decussatus en écloserie
70%
2 Medhioub Walid FST 2007-2008 M.KRAIEM P.SOUDAN
Pr INSTM
UBO (France)
Etude des mécanismes de contamination des
mollusques bivalves par des neurotoxines à action
rapide (FAT) et développement de
procédés de détoxification
95%
3 Emna Derouiche FST 2009-2010 M.KRAIEM Pr INSTM
Suivi des fraction de populations d’anguilles et évaluation des stocks dans la lagune de Ghar El Melh
et le lac de Tunis.
30%
4 Iméne Rizgui FSB 2010-2011 Mahjoub AOUNI
Pr Faculté de
pharmacie de Monastir
Diagnostic et caractérisation moléculaire de l’herpes virus OsHV-1 chez les mollusques bivalves
20%
5
* Doctorants inscrits à partir de l’année universitaire 2008/2009.
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 1
ANNEXE 2
Fiches individuelles des enseignants chercheurs et doctorants
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 2
REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de : Agriculture et environnement Université …………………….………. Etablissement : INSTM
FICHE INDIVIDUELLE
(Obligatoire pour les enseignants chercheurs et les doctorants)
NB : - Tout chercheur, faisant partie d'un LR ou d'une UR, ne peut faire partie d’une autre structure de recherche. -Tout doctorant doit joindre obligatoirement une copie de son attestation d’inscription délivrée au titre de l’année universitaire en cours.
1- IDENTIFICATION DE L’ENSEIGNANT CHERCHEUR OU DU DOCTORANT
Nom et Prénom : …………………… vvvJ….JjJaù.......................................…………….......
Nom de jeune fille : .....................................................
Date et lieu de naissance : a ………………………......………................................
Sexe : Féminin Masculin
N° CIN (tunisien) : N° Passeport (étranger) : .....................……….................
- Grade: ……………… Etablissement : ……………………………
- Téléphone : E-mail : ……..………
- Dernier diplôme obtenu : Date : ….….……
Etablissement : ……….........................................
2- IDENTIFICATION DU LABORATOIRE DE RECHERCHE (de rattachement)
- Dénomination du L.R :
- Etablissement : ……………………………….………………………
Université : ………………………………
-Responsable du L.R : ………………………….…
3- CASE RESEVEE AU DOCTORANT
- Intitulé du sujet de recherche : …………………………………………………….
- Taux d’avancement …….... %
- Année universitaire de la première inscription :
- Etablissement universitaire (où est effectuée l’inscription) : .............................
- Nom et prénom du directeur de thèse :
Signature de l’enseignant chercheur ou
du doctorant
Date : ……... /.......... / …….
Signature du chef du L.R
Date : ......... /........... / …….
NB : Les deux signatures sont obligatoires .
Formulaire LR 2011-2014 Page : / 3
ANNEXE 3
Attestations d'inscription des doctorants
pour l’année universitaire en cours