pour une utilisation individuelle ou familiale. il ne peut … · ... la biologie des comportements...

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Ce diaporama a été conçu pour illustrer la conférence de Serge KERNILIS au salon KIDEXPO de 2016. Les diapositives sur fond mauve donnent un aperçu minimal de l’intervention verbale. Il est mis en ligne pour une utilisation individuelle ou familiale. Il ne peut être utilisé en diffusion publique (conférences et salons) ou durant une action de formation qu’avec l’autorisation écrite de l’auteur.

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Ce diaporama a été conçu pour illustrer la conférence deSerge KERNILIS au salon KIDEXPO de 2016.

Les diapositives sur fond mauve donnent un aperçuminimal de l’intervention verbale. Il est mis en lignepour une utilisation individuelle ou familiale.

Il ne peut être utilisé en diffusion publique (conférences et salons)

ou durant une action de formation qu’avec l’autorisation

écrite de l’auteur.

Avant de rencontrer la Kinésiologie, Serge Kernilis a été enseignant (instituteur, puis directeur d’école élémentaire).

Cette activité l’a sensibilisé au mal-être denombreux enfants, mal-être auquel les réponsesofficielles de l’époque n’apportaient pasvraiment de solution satisfaisante.

D’où son intérêt pour la Kinésiologie et sespossibilités concrètement vérifiables, que ce soitauprès des enfants ou des adultes.

Serge Kernilis

est depuis 1993

Praticien en kinésiologie

Enseignant en kinésiologie

Auteur et conférencier

Et modeste en plus!...

LA KINÉSIOLOGIETransPersonnelle

Des clés pour accéderau meilleur de soi

par Serge Kernilis

Voici Thomas, 9 ans, fils aîné d’une sympathique famillle :

Maman, papa et Julie…

Tout pour être heureux,

comme dit papy Michel…

… sauf que, trop souvent…

Thomas fait des bêtises…

Comme beaucoup d’enfants,

mais peut-être plus que les autres !

« Je ne fais que des bêtises…

… mais j’fais pas exprès ! »

Pourquoi ?

Papy Jacques

Quandon veut,on peut!

« Moi, je me fais plein de promesses,mais ça ne marche pas toujours… »

« Peut-être que mon cerveaun’est pas assez fort ! »

A la sortie de l’école, maman raconte à son amie Christelle les dernières mésaventures de Thomas.

« Peut-être que tu pourrais emmener Thomas consulter un kinésiologue. Je pense que ça pourrait l’aider, lui dit Christelle. »

« Un kiné

Zio Log ?

Mais qu’est-ce

que c’est ? »

Un kiné, Thomas sait ce que c’est.

Son cousin Paul en a consulté un après sa fracture de la jambe, pour retrouver la force de ses muscles.

Mais moi, se dit-il, je ne me suis rien cassé…

«Un kiné, c’est quand on s’est cassé quelque chose…

Peut-être qu’il va me montrer comment renforcer mon cerveau? »

Kinési = le mouvement (musculaire)

Logos = le discours

La KINESIOLOGIE permet de

communiquer en passant par le muscle,

en utilisant un langage binaire :

* Muscle verrouillé

ou * muscle non verrouillé

La science commence juste à comprendre comment fonctionne notre cerveau.

Des repères scientifiquespour tenter de comprendre…

• Paul MacLEAN : le cerveau triunique

• Hans SELYE : le stress et ses conséquences

• Henri LABORIT : la biologie des comportements

• Roger SPERRY : les spécialisations hémisphériques

• JOHN ECCLES : la conscience contrôle le cerveau

• Antonio R.DAMASIO : le cortex pré-frontal

• Marcus PEMBREY, Olof BYGREN, Bruce LIPTON :

les recherches en épigénétique

Le cerveau triunique

selon Paul MacLean (années 50-60)

Repris par Henri LABORIT (années 70)

Le cerveau triunique,selon Paul MacLean

A la base, nous avons un cerveau reptilien, issu de nos lointains ancêtres les reptiles :

Il gère la mémoire de l’espèce, la capacité àmaintenir la structure biologique : les fonctionscorporelles, la motricité pour chercher sanourriture, fuir devant le danger, lutter contreles adversaires ou s’inhiber (s’immobiliser entension) si aucune solution n’est possible…

Le cerveau limbique est hérité des mammifères

Il mémorise les expériences vécues par chaque individuen termes de plaisir ou de douleur.

Ainsi, de façon automatique et généralementinconsciente, il va chercher à renouveler les situationssources de plaisir et éviter celles qui sont sources dedouleur.

Le problème vient de ce que plaisir ne signifie pas toujours « bénéfique » (exemple : manger beaucoup de sucreries)

et que douleur n’est pas toujours synonyme de « néfaste » (exemple : apprendre ses leçons ou aller se coucher à l’heure convenable)

Le néo-cortex, particulièrement développé chez les humains, devrait nous rendre raisonnables…

C’est une structure associative, donc capable d’associer entreelles différentes expériences pour engendrer des processuscréatifs. Mais il est aussi relativement instable et peut se trouverdéconnecté en situation de stress :

C’est ce que l’on appelle communément « perdre ses moyens »…moyens que l’on retrouve généralement une fois la situationstressante passée.

Trop souvent, les décisions seront prises aux niveauxprimitifs, et le mental, censé être raisonnable, ne fera quejustifier a posteriori ce que nous avons fait ou dit…

(ce que Henri LABORIT nommait les « alibis langagiers »)

LE STRESSUne des définitions originelles du mot :

Le stress est une contrainte exercée sur un matériau et qui en provoque la déformation.

Selon Hans SELYE : (physiologiste canadien),

Le stress est à la fois :

1 La modification dans l’environnement d’un être vivant. Phase d’alarme… suivie d’une phase de réaction :

2 La réaction d’adaptation de l’individu.Cette réaction nécessite une dépense d’énergie.

(Eventuellement suivie d’une phase d’épuisement si le stress est très intense ou répétitif)

Douleur et punition - Plaisir et récompense

Henri LABORIT

Cette remarque très judicieuse ne signifiepas qu’il y a toujours une intentionvolontaire et mauvaise de conditionner unenfant : toute éducation estconditionnante, de façon bénéfique ounéfaste.

Mais toute expérience et tout environnementégalement (famille, relations, école, culture…) peutcréer des conditionnements.

La bonne nouvelle est que nous disposonsaujourd’hui d’outils efficaces pour nous affranchirde ces conditionnements et donc trouver de plusen plus de liberté intérieure.

Selon de nombreuses sources, notre partieconsciente ne représenterait que 5% de notrepotentiel général.

Vouloir agir sur la part consciente au moyen dumental serait comme « parler à une machine »selon Bruce LIPTON*

*biologiste, enseignant en universités aux USA,chercheur en épigénétique, conférencier etauteur – entre autres- de « La nouvelle biologiecellulaire »

Le conscient : 5%

Le non-conscient : 95%

Le conscient : compréhensiondéduction, logique & rationalitécréativité…

Le non-conscient : mémoires (plaisir & douleur)conditionnementshabitudescroyances

Mais aussi, heureusement : ressources insoupçonnées

Deux types de MEMOIRESIci, mémoire ne veut pas dire souvenir

* Mémoires cérébrales issues de nos expériences

* Mémoires épigénétiques issues des expériences stressantes de nos ascendants (vécues dans la peur, la douleur ou l’inhibition de l’action… ou des plaisirs dépendants)

Le but supposé de la nature :

éviter le retour de la douleur

ou renouveler le plaisir

Les mémoires épigénétiques

Il est à présent scientifiquement établi que lesstress vécus par les êtres vivants ont desconséquences au niveau de leur génome, sousforme de molécules-mémoires dont la présenceactive ou inhibe certains gênes. Ces mémoiresse transmettent sur plusieurs générations,provoquant ainsi des comportements ousymptômes en rapport avec le stress originelauxquels les descendants n’ont jamais étéconfrontés.

Un exemple parmi d’autres :

Soumis à l’attaque de prédateurs, les pucerons(qui en temps ordinaire ne possèdent pasd’ailes) émettent une phéromone d’alarme dontle but est de faire choir de sa branche le groupede pucerons. Si ce type d’attaque se renouvellesouvent, les pucerons engendreront desdescendants qui, adultes, possèderont des ailes

(le gêne correspondant ayant été activé par lamémoire du stress vécu par les ascendants).

Source : Sciences et Avenir 2005 – Selon les travaux de l’Institut Max Planck, Iéna)

Les conséquencesde nos conditionnements

Comment la KINÉSIOLOGIE peut-elle nous aider à sortir de ces

conditionnements?

L’outil majeur de la kinésiologie :le TEST MUSCULAIRE

NOS MUSCLES REFLÈTENT NOS ÉMOTIONS

« Ça m’a coupé les jambes! »

« Les bras m’en tombent! »

« Avoir le visage défait… »

L’innovation a consisté à utiliser

les variations subtiles du tonus

pour identifier :

* Des perturbations énergétiques (méridiens)

* Des situations de conflits présentes ou passées

* Des mémoires de stress en général

L’évolution des KINESIOLOGIES

La KINESIOLOGIE APPLIQUÉE (George GOODHEART)

Issue de la chiropractie et de l’énergétique chinoise (1964),

réservée aux praticiens de santé (USA)

Le TOUCH FOR HEALTH (John THIE – années 1970)

Une approche destinée au grand public et surtout aux familles (USA)

Les méthodes PSYCHO-ÉMOTIONNELLES ont commencé à émerger au début des années 1980, sur les 5 continents

En fait, que testons-nous?

On peut supposer que le test reflète nos mémoires de stress… * qu’il nous aide à identifier des engrammes perturbateurs cachés… * nous permettant par là de comprendre…

… au niveau du mental.

Mais je peux avoir tout compris et rien changé!

Alors, quelle partie du cerveaudétiendrait les solutions?

Cette question, qui était présente dès ledébut de mes formations en Kinésiologie,n’avait toujours pas trouvé de réponseaprès 5 ans de pratique professionnelle,jusqu’à ce qu’un article de magazineéveille mon intérêt pour les conclusionsdes travaux d’un chercheur américain enneurophysiologie : Antonio R. DAMASIO.

La lecture de son livre « L’erreur deDescartes » m’a amené à poser unehypothèse personnelle pouvant (peut-être) répondre à la question…

ETUDES SUR LE CORTEX PRE-FRONTAL

LE CORTEX PRÉ-FRONTALjoue un rôle majeur dans les prises de décisions

selon les études de

Antonio R.DAMASIO

Mon

Hypothèse

personnelle…

Cette structure relativement modeste de notre encéphale serait impliquée très fortement dans nos prises de décisions et donc dans la conduite de notre vie.

Ce qui m’a permis de compléter mon précédent schémas, en attribuant à cette structure le siège neuronal de :

Notre identité véritableou

Notre moi essentielou encore

Notre nature profonde…

Peu importent les mots…

Et je tiens à souligner ici un point essentiel dontje peux vérifier la pertinence au quotidien àtravers ma pratique professionnelle :

La différence essentielle entre :

L’IDENTITÉ d’un être humain(ce qu’il est vraiment au fond de lui)

Et sa PERSONNALITÉ* : (ce qu’il manifeste par ses comportements,

ses actes, ses paroles)

(*du latin persona : le masque)

IL IMPORTE DE DIFFÉRENCIER DEUX ASPECTS DE LA RÉALITÉ HUMAINE

Mon IDENTITÉ

Ma véritable nature, ma sagesse innée,

« QUI JE SUIS VRAIMENT » au fond de moi…

… même si je n’en suis pas conscient!

et

Ma PERSONNALITÉ

Ce que je manifeste par mes comportements,

par mes actes et mes paroles…

Car le décalage entre les deux peut être énorme !

Les habitudes de la vie font que, le plus souvent,nous prenons les comportements des autrespour leur véritable réalité…

Il ne travaille pas : c’est donc un paresseux*…

Elle est dans la lune : c’est une rêveuse*…

Il ne dit pas la vérité : c’est un menteur*…

* Sous entendu : c’est sa nature… alors, c’est terrible : on ne peut rien y faire !

Et nous pensons la même chose de nous –même!

LE STRESS, facteur de « déformation »Lorsqu’il est animé par son IDENTITÉ, l’être humain agitde manière juste :La PERSONNALITÉ est alors en harmonie avec le MOI VÉRITABLE

Face à un stress, il réagit instinctivement pour s’adapter :

Les structures primitives prennent le pouvoir.

« C’est plus fort que moi! J’fais pas exprès! »

Cette réaction d’adaptation va être déterminée par des mémoires dont l’origine est parfois très lointaine dans le temps (interrupteurs épigénétiques)

LE DÉROULEMENT D’UNE SEANCE

* La demande de la personne > son OBJECTIF

** La phase de COMPRÉHENSION:

comme des pièces d’un puzzle que les tests vont nous permettre d’identifier.

*** La phase d’ÉQUILIBRAGE : elle permet d’éliminer des mémoires périmées et néfastes qui entravent la réalisation de l’objectif

La Kinésiologie fonctionne de façongénéralement remarquable… maisnous ne pouvons pas en comprendreles modes d’action sur les différentsplans qui constituent l’être humain.

Ce qui se passe à des niveaux sous-jacents et qui amène des changements parfois très étonnants les plans psychologiques, comportementaux et même physiques n’est simplement pas explicable en l’état actuel des connaissances scientifiques.

DEUX POINTS TRÈS DÉRANGEANTSinexplicables en l’état actuel des connaissances scientifiques

• Les tests nous orientent à travers une base de données qui contient d’innombrables informations inconnues du testeur comme du testé.

• Les équilibrages se font de multiples manières :* Physiques : mouvements, points réflexes…* Energétiques : points de méridiens, élixirs floraux…* Visuelles : symboles, lumière…* Sonores : sons ou musiques… ou autres…

Et cela fonctionne remarquablement …

bien que de façon incompréhensible!!!

À moins que…

Tentatives d’explications…basées sur les philosophies de Socrate et Platon

CONCERNANT L’ACCÈS AUX INFORMATIONSinconnues du mental conscient :

Selon SOCRATE, la vérité, la connaissance de la vraie nature des choses et de nous-même est enfouie au fond de nous. Elle est gravée en nous, avant même notre naissance.

Pour y accéder, la personne doit se plongerdans sa nature profonde et s’élever au dessusde ses peurs, de ses émotions, de sesconditionnements… ou consulter un kinésiologue?

CONCERNANT LES MOYENS D’ÉQUILIBRAGE

Comment… le toucher d’un point réflexe,

ou l’écoute d’un son déterminé par le test,

ou encore le contact avec un tube-test contenant un simple élixir floral…

…peut-il avoir pour effet d’annuler des mémoires perturbatrices non conscientes?

Si nous cherchons la réponse uniquement sur un plan physico-chimique, matérialiste, nous ne la trouverons probablement pas.

Alors où est-elle?..

Tentatives d’explications provisoires…à partir des avancées de la physique contemporaine…

Au niveau ultime de la réalité,

tout ne serait qu’

ÉNERGIE et INFORMATION

Si les stress nous ont déformés…(contraintes environnementales)

des informations* nous aideraient à retrouver…

notre forme originelle, notre nature profonde ?

(* informare : donner forme à…)

Retrouver notre nature profonde…(toujours selon Socrate)

« L’égalité absolue, la beauté absolue, sont des essences pures et simples, gravées en nous, avant même notre naissance, mais nous les oublions en naissant. »

Socrate est convaincu qu’un être éclairé, un être qui se connaît lui-même, ne peut pas choisir délibérément le mal.

De nombreuses philosophies ou métaphysiques,orientales en particulier, postulent le mêmeprincipe…

Dans la culture judéo-chrétienne, il est dit quel’Etre humain a été créé à l’image et à laressemblance de Dieu.

Le philosophe Blaise PASCAL a repris cela enécrivant : « La nature a des qualités car elle està l’image de Dieu (l’identité parfaite), et desdéfauts parce que ce n’est qu’uneimage (l’apparence, la personnalitémanifestée)».

Mais revenons à notre ami Thomas

Le kinésiologue demande à Thomas pourquoi ilvient le voir.

Puis il lui demande quel résultat il veut obtenir.

C’est la partie communication verbale quis’adresse au mental, au néo-cortex.

Ensuite, c’est le test musculaire qui permettrad’affiner la formulation avec une précisionsouvent étonnante.

L’OBJECTIF DE THOMAS

« Ne plus faire de bêtises ?»Ou bien :

« Etre sage ?»Mais le test oriente vers la définition :

« J’ai ma place parmi les autres . »

LA RECHERCHE D’INFORMATIONSUn « retour en arrière » à l’âge de 4 ans et 1 mois

« Je suis digne d’être aimé. »

? ? ?

Papa réfléchit :« 4 ans et 1 mois… Julie était juste née…C’était le mois de septembre… la rentrée… »

?Puis Thomas se souvient :

« Oh oui! papa m’a

abandonné à l’école… »

Bien sûr, papa n’a pas

abandonné Thomas !

Ce qui a vraiment créé la mémoire du stress n’est

donc pas l’événement réel, objectif, mais la façon

dont il a été perçu par la personne, le ressenti

subjectif – même s’il est totalement erroné.

Presque aussitôt, Thomas tomba malade et retrouva sa place auprès de maman.

Thomas a réellement été malade, il n’a passimulé.

C’est la façon que son instinct de gestion dustress a utilisé pour gérer la douleurémotionnelle.

La maladie présente en plus des avantagessecondaires pour Thomas : retrouver la maisonet la présence de maman.

Cette mémoire de « plaisir » risque de seremettre en action à la prochaine occasion unpeu similaire.

Un autre retour en arrière :mémoire épigénétique venant de papy Michel

« Besoin de ???

se faire Pourtant,

remarquer » il est gentil,

papy Michel…

Papa connaît l’histoire depuis peu…

A un moment de son enfance,

son comportement a changé :

il s’est mis à faire beaucoup

de bêtises. C’était après lanaissance de son petit frère.

Le comportement programmé automatique-ment visait à montrer qu’il était toujours là, à nepas disparaître au profit du nouveau venu.

Absurde? Pas tant que ça : la biologie descomportements montre que des marquesd’attention négatives (punitions) sontpréférables à l’indifférence…

LA PHASE D’ÉQUILIBRAGE :

Annuler les mémoires

=La mise à jour des

programmes !

Par les outils divers « d ’équilibrage »,c’est comme si on envoyait àl’ensemble du système corps-cerveauun message de « mise à jour » quiélimine les mémoires périmées.

On ne sait pas comment fonctionnent ces outils,ce que l’on sait, c’est que cela donne desrésultats bien concrets, de manière durable etsans « effets secondaires négatifs ».

Alors, pourquoi s’en priver?

Thomas ne changera pas :

Il va pouvoir manifester sa vraie nature,

montrer qui il est vraiment au fond de lui.

Vous retrouverez l’histoire de Thomas avec denombreuses explications dans le livre :

« J’fais pas exprès! »

À lire en famille pour mieux comprendre lescomportements automatiques des petits… et desgrands, pour prendre du recul et découvrir qu’il existedes moyens efficaces

* Pour retrouver plus de liberté intérieure

• Pour s’affirmer dans toute la richesse

de sa nature véritable.

Chez votre libraire, chez l’auteur

ou chez l’éditeur : Le Souffle d’Or