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La bohme

La bohme

Je vous parle d'un tempsQue les moins de vingt ansNe peuvent pas connatreMontmartre en ce temps-lAccrochait ses lilasJusque sous nos fentresEt si l'humble garniQui nous servait de nidNe payait pas de mineC'est l qu'on s'est connuMoi qui criait famineEt toi qui posais nue

La bohme, la bohmea voulait dire on est heureuxLa bohme, la bohmeNous ne mangions qu'un jour sur deux

Dans les cafs voisinsNous tions quelques-unsQui attendions la gloireEt bien que misreuxAvec le ventre creuxNous ne cessions d'y croireEt quand quelque bistroContre un bon repas chaudNous prenait une toileNous rcitions des versGroups autour du poleEn oubliant l'hiver

La bohme, la bohmea voulait dire tu es jolieLa bohme, la bohmeEt nous avions tous du gnie

Souvent il m'arrivaitDevant mon chevaletDe passer des nuits blanchesRetouchant le dessinDe la ligne d'un seinDu galbe d'une hancheEt ce n'est qu'au matinQu'on s'asseyait enfinDevant un caf-crmeEpuiss mais ravisFallait-il que l'on s'aimeEt qu'on aime la vie

La bohme, la bohmea voulait dire on a vingt ansLa bohme, la bohmeEt nous vivions de l'air du temps

Quand au hasard des joursJe m'en vais faire un tourA mon ancienne adresseJe ne reconnais plusNi les murs, ni les ruesQui ont vu ma jeunesseEn haut d'un escalierJe cherche l'atelierDont plus rien ne subsisteDans son nouveau dcorMontmartre semble tristeEt les lilas sont morts

La bohme, la bohmeOn tait jeunes, on tait fousLa bohme, la bohmea ne veut plus rien dire du toutLa Foule (Piaf)

Je revois la ville en fte et en dlireSuffoquant sous le soleil et sous la joieEt j'entends dans la musique les cris, les riresQui clatent et rebondissent autour de moiEt perdue parmi ces gens qui me bousculenttourdie, dsempare, je reste lQuand soudain, je me retourne, il se recule,Et la foule vient me jeter entre ses bras...

Emports par la foule qui nous traneNous entranecrass l'un contre l'autreNous ne formons qu'un seul corpsEt le flot sans effortNous pousse, enchans l'un et l'autreEt nous laisse tous deuxpanouis, enivrs et heureux.

Entrans par la foule qui s'lanceEt qui danseUne folle farandoleNos deux mains restent soudesEt parfois soulevsNos deux corps enlacs s'envolentEt retombent tous deuxpanouis, enivrs et heureux...

Et la joie clabousse par son sourireMe transperce et rejaillit au fond de moiMais soudain je pousse un cri parmi les riresQuand la foule vient l'arracher d'entre mes bras...

Emports par la foule qui nous traneNous entraneNous loigne l'un de l'autreJe lutte et je me dbatsMais le son de ma voixS'touffe dans les rires des autresEt je crie de douleur, de fureur et de rageEt je pleure...

Entrane par la foule qui s'lanceEt qui danseUne folle farandoleJe suis emporte au loinEt je crispe mes poings, maudissant la foule qui me voleL'homme qu'elle m'avait donnEt que je n'ai jamais retrouv...

MON AMANT DE SAINT JEAN1 - Je ne sais pourquoi j'allais danserA Saint-Jean au musette,Mais quand un gars m'a pris un baiser,J'ai frissonn, j'tais chipeComment ne pas perdre la tte,Serre par des bras audacieuxCar l'on croit toujoursAux doux mots d'amourQuand ils sont dits avec les yeuxMoi qui l'aimais tant,Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,Je restais griseSans volontSous ses baisers.

2 - Sans plus rflchir, je lui donnaisLe meilleur de mon treBeau parleur chaque fois qu'il mentait,Je le savais, mais je l'aimais.Comment ne pas perdre la tte,Serre par des bras audacieuxCar l'on croit toujoursAux doux mots d'amourQuand ils sont dits avec les yeuxMoi qui l'aimais tant,Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,Je restais griseSans volontSous ses baisers.

3 - Mais hlas, Saint-Jean comme ailleursUn serment n'est qu'un leurreJ'tais folle de croire au bonheur,Et de vouloir garder son cur.Comment ne pas perdre la tte,Serre par des bras audacieuxCar l'on croit toujoursAux doux mots d'amourQuand ils sont dits avec les yeuxMoi qui l'aimais tant,Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,Il ne m'aime plusC'est du passN'en parlons plus.

DIRTY OLD TOWNI Met my love, by the gas yard wallDreamed a dream, by the old canalKissed my girl, by the factory wallDirty old town, dirty old town

Heard a siren from the docksaw a train cut the night on firesmelled the breeze on the smokey winddirty old town, dirty old town

I'm going to make a big sharp axshining steel tempered in the fireI'll cut you down like an old dead treedirty old town, dirty old town

Clouds are drifting on the streetCats are prowling on their beatsSprings a girl on the streets at nightdirty old town, dirty old town

I Met my love, by the gas yard wallDreamed a dream, by the old canalKissed my girl, by the factory wallDirty old town, dirty old townArmstrong:

Armstrong, je ne suis pas noirJe suis blanc de peauQuand on veut chanter l'espoirQuel manque de potOui, j'ai beau voir le ciel, l'oiseauRien rien rien ne luit l-hautLes anges... zroJe suis blanc de peau

Armstrong, tu te fends la poireOn voit toutes tes dentsMoi, je broie plutt du noirDu noir en dedansChante pour moi, Louis, oh ouiChante chante chante, a tient chaudJ'ai froid, oh moiQui suis blanc de peau

Armstrong, la vie, quelle histoire?C'est pas trs marrantQu'on l'crive blanc sur noirOu bien noir sur blancOn voit surtout du rouge, du rougeSang, sang, sans trve ni reposQu'on soit, ma foiNoir ou blanc de peau

Armstrong, un jour, tt ou tardOn n'est que des osEst-ce que les tiens seront noirs?Ce serait rigoloAllez Louis, allluiaAu-del de nos oripeauxNoir et blanc sont ressemblantsComme deux gouttes d'eauOh yeay !

Foule Sentimentale:Oh la la la vie en roseLe rose qu'on nous proposeD'avoir les quantits d'chosesQui donnent envie d'autre choseAe, on nous fait croireQue le bonheur c'est d'avoirDe l'avoir plein nos armoiresDrisions de nous drisoires car

Foule sentimentaleOn a soif d'idalAttire par les toiles, les voilesQue des choses pas commercialesFoule sentimentaleIl faut voir comme on nous parleComme on nous parle

Il se dgageDe ces cartons d'emballageDes gens lavs, hors d'usageEt tristes et sans aucun avantageOn nous infligeDes dsirs qui nous affligentOn nous prend faut pas dconner ds qu'on est nPour des cons alors qu'on estDes

Foules sentimentalesAvec soif d'idalAttires par les toiles, les voilesQue des choses pas commercialesFoule sentimentaleIl faut voir comme on nous parleComme on nous parle

On nous Claudia SchiefferOn nous Paul-Loup SulitzerOh le mal qu'on peut nous faireEt qui ravagea la moukreDu ciel dvaleUn dsir qui nous emballePour demain nos enfants plesUn mieux, un rve, un cheval

Foule sentimentaleOn a soif d'idalAttire par les toiles, les voilesQue des choses pas commercialesFoule sentimentaleIl faut voir comme on nous parleComme on nous parle

Emmenez-moi:

Vers les docks o le poids et l'ennuiMe courbent le dosIls arrivent le ventre alourdiDe fruits les bateaux

Ils viennent du bout du mondeApportant avec euxDes ides vagabondesAux reflets de ciels bleusDe mirages

Tranant un parfum poivrDe pays inconnusEt d'ternels tsO l'on vit presque nusSur les plages

Moi qui n'ai connu toute ma vieQue le ciel du nordJ'aimerais dbarbouiller ce grisEn virant de bord

Emmenez-moi au bout de la terreEmmenez-moi au pays des merveillesIl me semble que la misreSerait moins pnible au soleil

Dans les bars la tombe du jourAvec les marinsQuand on parle de filles et d'amourUn verre la main

Je perds la notion des chosesEt soudain ma penseM'enlve et me dposeUn merveilleux tSur la grve

O je vois tendant les brasL'amour qui comme un fouCourt au devant de moiEt je me pends au couDe mon rve

Quand les bars ferment, que les marinsRejoignent leur bordMoi je rve encore jusqu'au matinDebout sur le port

Emmenez-moi au bout de la terreEmmenez-moi au pays des merveillesIl me semble que la misreSerait moins pnible au soleil

Un beau jour sur un rafiot craquantDe la coque au pontPour partir je travaillerais dansLa soute charbon

Prenant la route qui mneA mes rves d'enfantSur des les lointainesO rien n'est importantQue de vivre

O les filles alanguiesVous ravissent le curEn tressant m'a t'on ditDe ces colliers de fleursQui enivrent

Je fuirais laissant l mon passSans aucun remordsSans bagage et le cur librEn chantant trs fort

Emmenez-moi au bout de la terreEmmenez-moi au pays des merveillesIl me semble que la misreSerait moins pnible au soleil...

Les Champs-lyses:

Je m'baladais sur l'avenueLe coeur ouvert l'inconnuJ'avais envie de dire bonjour n'importe quiN'importe qui ce fut toiJe t'ai dit n'importe quoiIl suffisait de te parlerPour t'apprivoiser

Aux Champs-lysesAux Champs-lysesAu soleil, sous la pluie midi ou minuitIl y a tout ce que vous voulezAux Champs-lyses

Tu m'as dit "J'ai rendez-vousDans un sous-sol avec des fousQui vivent la guitare la mainDu soir au matin"Alors je t'ai accompagneOn a chant, on a dansEt l'on n'a mme pas pens s'embrasser

Aux Champs-lysesAux Champs-lysesAu soleil, sous la pluie midi ou minuitIl y a tout ce que vous voulezAux Champs-lyses

Hier soir deux inconnusEt ce matin sur l'avenueDeux amoureux tout tourdisPar la longue nuitEt de l'toile la ConcordeUn orchestre mille cordesTous les oiseaux du point du jourChantent l'amour

Aux Champs-lysesAux Champs-lysesAu soleil, sous la pluie midi ou minuitIl y a tout ce que vous voulezAux Champs-lyses

Elle A Les Yeux Revolver:

Un peu spciale, elle est clibataireLe visage ple, les cheveux en arrireEt j'aime aElle se dessine sous des jupes fenduesEt je devine des histoires dfenduesC'est comme aTell'ment si belle quand elle sortTell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tueElle a tir la premire, m'a touch, c'est foutuElle a les yeux revolver, elle a le regard qui tueElle a tir la premire, elle m'a touch, c'est foutu

Un peu largue, un peu seule sur la terreLes mains tendues, les cheveux en arrireEt j'aime aA faire l'amour sur des malentendusOn vit toujours des moments dfendusC'est comme aTell'ment si femme quand elle mordTell'ment si femme, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tueElle a tir la premire, m'a touch, c'est foutuElle a les yeux revolver, elle a le regard qui tueElle a tir la premire, elle m'a touch, c'est foutu

Son corps s'achve sous des draps inconnusEt moi je rve de gestes dfendusC'est comme aUn peu spciale, elle est clibataireLe visage ple, les cheveux en arrireEt j'aime aTell'ment si femme quand elle dortTell'ment si belle, je l'aime tell'ment si fort

Elle a les yeux revolver, elle a le regard qui tueElle a tir la premire, m'a touch, c'est foutuElle a les yeux revolver, elle a le regard qui tueElle a tir la premire, elle m'a touch, c'est foutu

Ballade Irlandaise:

Un oranger sur le sol irlandaisOn ne le verra jamais.Un jour de neige embaum de lilasJamais on ne le verra.Qu'est-ce que a peut faire ?Qu'est-ce que a peut faire ?Tu dors auprs de moiPrs de la rivireO notre chaumireBat comme un coeur plein de joie.

Un oranger sur le sol irlandaisOn ne le verra jamais.Mais dans mes bras, quelqu'un d'autre que toiJamais on ne le verra.Qu'est-ce que a peut faire ?Qu'est-ce que a peut faire ?Tu dors auprs de moi.L'eau de la rivireFleure la bruyreEt ton sommeil est moi.

Un oranger sur le sol irlandaisOn ne le verra jamais.Un jour de neige embaum de lilasJamais on ne le verra.Qu'est-ce que a peut faire ?Qu'est-ce que a peut faire ?Toi, mon enfant, tu es l !

Ambalaba:Moi ti n'a mon ti femme dans mon la caseMoi ti n'a princesse, tu vas guetterDans ma tte, j'entends le grand cinAvec son gros anneau dans son zoreille

Tout c'que ti besoin moi donne toiTi robe fleurs, moi donne toiChapeau la paille, tu peux gagnerTu fais toucatacata dans mon la case

Ambalaba, ambalaba, ambalabaTu mouses mon salade, ambalabaAmbalaba, ambalaba, ambalabaTu mouses mon salade, ambalaba

Moi ti n'a mon bateau Marie-ThrseTi n'a l'hameon numro unMoi ti n'a la ligne pendantsQui pche poissons dans les brisants

Tout c'que ti besoin moi donne toiTi robe fleurs, moi donne toiChapeau la paille, tu peux gagnerTu fais toucatacata dans mon la case

Ambalaba, ambalaba, ambalabaTu mouses mon salade, ambalabaAmbalaba, ambalaba, ambalabaTu mouses mon salade, ambalaba

Moi ti n'a mon ti femme dans mon la caseMoi ti n'a princesse, tu vas guetterDans ma tte, j'entends le grand cinAvec son gros anneau dans son zoreille

Tout c'que ti besoin, moi donne toiTi robe fleurs, moi donne toiChapeau la paille, tu peux gagnerTu fais toucatacata dans mon la case

Ambalaba, ambalaba, ambalabaTu mouses mon salade, ambalabaAmbalaba, ambalaba, ambalabaTu mouses mon salade, ambalaba

Les Amoureux Des Bancs Publics:Les gens qui voient de traversPensent que les bancs vertsQu'on voit sur les trottoirsSont faits pour les impotents ou les ventripotentsMais c'est une absurditCar la vritIls sont l c'est notoirePour accueillir quelque temps les amours dbutants

Les amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'fouttant pas mal du regard obliqueDes passants honntesLes amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'disant des "Je t'aime" pathtiquesOnt des p'tit's gueul' bien sympatiques

Ils se tiennent par la mainParlent du lendemainDu papier bleu d'azurQue revtiront les murs de leur chambre coucherIls se voient dj doucementEll' cousant, lui fumantDans un bien-tre srEt choisissent les prnoms de leur premier bb

Les amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'fouttant pas mal du regard obliqueDes passants honntesLes amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'disant des "Je t'aime" pathtiquesOnt des p'tit's gueul' bien sympatiques

Quand la saint' famill' machinCroise sur son cheminDeux de ces malapprisEll' leur dcoche hardiment des propos venimeuxN'empch' que tout' la familleLe pr', la mr', la filleLe fils, le Saint EspritVoudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux

Les amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'fouttant pas mal du regard obliqueDes passants honntesLes amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'disant des "Je t'aime" pathtiquesOnt des p'tit's gueul' bien sympatiques

Quand les mois auront passQuand seront apaissLeurs beaux rves flambantsQuand leur ciel se couvrira de gros nuages lourdsIls s'apercevront musQu' c'est au hasard des ruesSur un d'ces fameux bancsQu'ils ont vcu le meilleur morceau de leur amour

Les amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'fouttant pas mal du regard obliqueDes passants honntesLes amoureux qui s'bcott'nt sur les bancs publicsBancs publics, bancs publicsEn s'disant des "Je t'aime" pathtiquesOnt des p'tit's gueul' bien sympatiques

Belle:BelleC'est un mot qu'on dirait invent pour elleQuand elle danse et qu'elle met son corps jour, telUn oiseau qui tend ses ailes pour s'envolerAlors je sens l'enfer s'ouvrir sous mes pieds

J'ai pos mes yeux sous sa robe de gitaneA quoi me sert encore de prier Notre-Dame ?QuelEst celui qui lui jettera la premire pierre ?Celui-l ne mrite pas d'tre sur Terre

Lucifer !Oh ! Laisse-moi rien qu'une foisGlisser mes doigts dans les cheveux d'Esmeralda

Frollo:

BelleEst-ce le diable qui s'est incarn en ellePour dtourner mes yeux du Dieu ternel ?Qui a mis dans mon tre ce dsir charnelPour m'empcher de regarder vers le Ciel ?

Elle porte en elle le pch originelLa dsirer fait-il de moi un criminel ?CelleQu'on prenait pour une fille de joie, une fille de rienSemble soudain porter la croix du genre humain

Notre-Dame !Oh ! Laisse-moi rien qu'une foisPousser la porte du jardin d'Esmeralda

Phoebus:

BelleMalgr ses grands yeux noirs qui vous ensorclentLa demoiselle serait-elle encore pucelle ?Quand ses mouvements me font voir monts et merveillesSous son jupon aux couleurs de l'arc-en-ciel

Ma dulcine laissez-moi vous tre infidleAvant de vous avoir men jusqu' l'autelQuelEst l'homme qui dtournerait son regard d'elleSous peine d'tre chang en statue de sel ?

Fleur-de-LysJe ne suis pas homme de foiJ'irai cueillir la fleur d'amour d'Esmeralda

Les trois:

J'ai pos mes yeux sous sa robe de gitane quoi me sert encore de prier Notre-Dame ?QuelEst celui qui lui jettera la premire pierre ?Celui-l ne mrite pas d'tre sur terre

Lucifer !Oh ! Laisse-moi rien qu'une foisGlisser mes doigts dans les cheveux d'EsmeraldaEsmeralda

Coeur De Rocker:Cur de rocker, cur de rocker

1 - J'n'tais encore qu'un enfant d'churQu'j'avais dj un cur de rockerJ'n'aimais pas beaucoup l'coleJe n'vivais qu'pour mes idoles y y y

2 - J'n'tais encore qu'un teenagerQu'j'suis parti vivre ma vie en outsiderMon pre voulait me ret'nirTout c'qu'il a trouv m'direC'est : "tu vas faire mourir ta mre"

[Refrain] :Avec mon cur de rockerJ'ai jamais su dire je t'aimeOui, mais maman, j't'aimais quand mmeComme personne t'as jamais aimeAvec mon cur de rockerJ'ai jamais su dire je t'aime2 - Oui mais Baby j't'aimais quand mmeComme personne t'a jamais aime3 - Oui mais Baby j't'aimais quand mmeComme j'pourrai plus jamais aimer.

3 - De toutes les filles qui m'ont fait craquerLa seule que j'ai vraiment aimeC'est celle qui m'a quittJ'ai t bien embt h h h

4 - C'est vrai qu'j'tais pas trs fidleMais j'tais totalement fou d'elleJ'ai voulu la retenirTout c'qu'elle a trouv me direC'est : "Tu vas finir ta vie tout seul"

[Refrain]

Avec mon cur de rocker, cur de rocker.

Couleur Cafe:Que bonito tu .....Tan negrito como el cafe

J'aime ta couleur cafTes cheveux cafTa gorge cafJ'aime quand pour moi tu dansesAlors j'entends murmurerTous tes braceletsJolis bracelets tes pieds ils se balancent

Couleur cafQue j'aime ta couleur cafCouleur cafQue j'aime ta couleur caf

C'est quand mme fou l'effetL'effet que a faitDe te voir roulerAinsi des yeux et des hanchesSi tu fais comme le cafRien qu' m'nerverRien qu' m'exciterCe soir la nuit sera blanche

Couleur cafQue j'aime ta couleur cafCouleur cafQue j'aime ta couleur caf

L'amour sans philosopherC'est comme le cafTrs vite passMais que veux-tu que j'y fasse ?On en a marre de cafEt c'est terminPour tout oublierOn attend que a se tasse

Couleur cafQue j'aime ta couleur cafCouleur cafQue j'aime ta couleur caf

Dans Les Prisons De Nantes:Dans les prisons de nantes,y'avait un prisonnier,y'avait un prisonnier,personne ne vint l'voure que la fille du geolier,la fille du geolier!un jour il lui demande,que dit-on de mou?que dit-on de mou?on dit de vous en ville, on dit de vous en ville, vous serez pendu...mais s'il faut qu'on me pende,mais s'il faut qu'on me pende dliez moi les pieds,dliez moi les pieds!la fille etait jeunette,la fille etait jeunette, les pieds lui a dli,les pieds lui a dli!le prisonnier alerte,le prisonnier alerte, dans la loire s'est jet,dans la loire s'est jet!ds qu'il fut sur les rives,ds qu'il fut sur les rives,il se mit a chanter,il se mit a chanter...je chante pour les belles,je chante pour les belles, surtout celle du geolier,surtout celle du geolier,si je reviens a nantes,si je reviens a nantes, oui je l'pouserait,je l'pouserait!dans les prisons de nantesdans les prisons de nantes, y'avait un prisonnier,y'avait un prisonnier!

Hasta Siempre:Aprendimos a quererteDesde la historica alturaDonde el sol de tu bravuraLe puso cerco a la muerte

REFRAIN :Aqui se queda la claraLa entranable transparenciaDe tu querida presenciaComandante Che Guevara

Vienes quemando la brisaCon soles de primaveraPara plantar la banderaCon la luz de tu sonrisa

REFRAIN

Tu amor revolucionarioTe conduce a nueva empresaDonde esperan la firmezaDe tu brazo libertario

REFRAIN

Seguiremos adelanteComo junto a ti seguimosY con Fidel te decimos :Hasta siempre , comandante

REFRAIN

Le Vent Nous Portera:Je n'ai pas peur de la routeFaudrait voir, faut qu'on y goteDes mandres au creux des reinsEt tout ira bien

Le vent l'emportera

Ton message la grande ourseEt la trajectoire de la courseA l'instantan de veloursMme s'il ne sert rien

[Refrain] :Le vent l'emporteraTout disparatraLe vent nous portera

La caresse et la mitrailleCette plaie qui nous tirailleLe palais des autres joursD'hier et demain

Le vent les portera

Gntique en bandoulireDes chromosomes dans l'atmosphreDes taxis pour les galaxiesEt mon tapis volant dis?

[Refrain]

Ce parfum de nos annes mortesCeux qui peuvent frapper ta porteInfinit de destinOn en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?

Le vent l'emportera

Pendant que la mare monteEt que chacun refait ses comptesJ'emmne au creux de mon ombreDes poussires de toi

[Refrain]

Les Copains D'abord:Non, ce n'tait pas le radeauDe la Mduse, ce bateauQu'on se le dise au fond des portsDise au fond des portsIl naviguait en pr' peinardSur la grand-mare des canardsEt s'app'lait les Copains d'abordLes Copains d'abord

Ses fluctuat nec mergiturC'tait pas d'la litteratureN'en dplaise aux jeteurs de sortAux jeteurs de sortSon capitaine et ses mat'lotsN'taient pas des enfants d'salaudsMais des amis franco de portDes copains d'abord

C'taient pas des amis de luxeDes petits Castor et PolluxDes gens de Sodome et GomorrheSodome et GomorrheC'taient pas des amis choisisPar Montaigne et La BoetieSur le ventre ils se tapaient fortLes copains d'abord

C'taient pas des anges non plusL'vangile, ils l'avaient pas luMais ils s'aimaient tout's voil's dehorsTout's voil's dehorsJean, Pierre, Paul et compagnieC'tait leur seule litanieLeur Credo, leur ConfiteorAux copains d'abord

Au moindre coup de TrafalgarC'est l'amiti qui prenait l'quartC'est elle qui leur montrait le nordLeur montrait le nordEt quand ils taient en dtresseQu'leurs bras lancaient des S.O.S.On aurait dit les smaphoresLes copains d'abord

Au rendez-vous des bons copainsY avait pas souvent de lapinsQuand l'un d'entre eux manquait a bordC'est qu'il tait mortOui, mais jamais, au grand jamaisSon trou dans l'eau n'se refermaitCent ans aprs, coquin de sortIl manquait encore

Des bateaux j'en ai pris beaucoupMais le seul qu'ait tenu le coupQui n'ai jamais vir de bordMais vir de bordNaviguait en pre peinardSur la grand-mare des canardsEt s'app'lait les Copains d'abordLes Copains d'abord

San Francisco:C'est une maison bleueAdosse la collineOn y vient pied, on ne frappe pasCeux qui vivent l, ont jet la clOn se retrouve ensembleAprs des annes de routeEt l'on vient s'asseoir autour du repasTout le monde est l, cinq heures du soirSan Francisco s'embrumeSan Francisco s'allumeSan Francisco, o tes vousLiza et Luc, Sylvia, attendez-moi

Nageant dans le brouillardEnlacs, roulant dans l'herbeOn coutera Tom la guitarePhil la kena, jusqu' la nuit noireUn autre arriveraPour nous dire des nouvellesD'un qui reviendra dans un an ou deuxPuisqu'il est heureux, on s'endormiraSan Francisco se lveSan Francisco se lveSan Francisco o tes vousLiza et Luc, Sylvia, attendez-moi

C'est une maison bleueAccroche ma mmoireOn y vient pied, on ne frappe pasCeux qui vivent l, ont jet la clefPeuple de cheveux longsDe grands lits et de musiquePeuple de lumire, et peuple de fousElle sera dernire rester deboutSi San Francisco s'effondreSi San Francisco s'effondreSan Francisco ! O tes vousLiza et Luc, Sylvia, attendez-moi

Le Sud:

C'est un endroit qui ressemble la Louisiane, l'Italie.Il y a du linge tendu sur la terrasseet c'est joli.

On dirait le Sud,Le temps dure longtemps,et la vie surement,plus d'un million d'anneset toujours en t.

Il y a plein d'enfants qui se roulent sur la pelouse,il y a plein de chiens.Il y a mme un chat, une tortue, des poissons rouges,il ne manque rien.

On dirait le Sud,le temps dure longtemps,et la vie surement,plus d'un million d'anneset toujours en t.

Un jour ou l'autre, il faudra qu'il y ait la guerre,on le sait bien.On n'aime pas a, mais on ne sait pas quoi

faire,on dit : " c'est le destin ".

Tant pis pour le Sud,c'tait pourtant bien,on aurait pu vivre,plus d'un million d'anneset toujours en t.

Santiano:C'est un fameux trois-mts fin comme un oiseau.Hisse et ho, Santiano!Dix huit noeuds, quatre cent tonneaux:Je suis fier d'y tre matelot.

REFRAIN:

Tiens bon la vague tiens bon le vent.Hisse et ho, Santiano!Si Dieu veut toujours droit devant,Nous irons jusqu' San Francisco.Je pars pour de longs mois en laissant Margot.Hisse et ho, Santiano!D'y penser j'avais le coeur grosEn doublant les feux de Saint-Malo.

REFRAIN

On prtend que l-bas l'argent coule flots.Hisse et ho, Santiano!On trouve l'or au fond des ruisseaux.J'en ramnerai plusieurs lingots.

REFRAIN

Un jour, je reviendrai charg de cadeaux.Hisse et ho, Santiano!Au pays, j'irai voir Margot.A son doigt, je passerai l'anneau.Tiens bon la vague tiens bon le vent.Hisse et ho, Santiano!Sur la mer qui fait le gros dos,Nous irons jusqu' San Francisco.

Tri Martolod:Tri martolod yaouank... la la la... Tri martolod yaouank i vonet da veaji (bis)

E vonet da veaji, g! E vonet da veaji (bis)

Gant 'n avel bet kaset... la la la... Gant 'n avel bet kaset beteg an Douar Nevez (bis>

Beteg an Douar Nevez, g! Beteg an Douar Nevez (bis)

E-kichen mein ar veilh... la la la... E-kichen mein ar veilh o deus mouilhet o eorio (bis)

O deus mouilhet o eorio, g ! O deus mouilhet o eorio (bis)

Hag e-barzh ar veilh-se... la la la... Hag e-barzh ar veilh-se e oa ur servijourez (bis)

[interlude musical]

Pelec'h on-oa konesas, g ! Pelec'h on-oa konesas (bis)

En Naoned er marc'had... la la la... En Naoned er marc'had on-oa choajet ur walenn (bis)

Vesoul:T'as voulu voir VierzonEt on a vu VierzonT'as voulu voir VesoulEt on on a vu VesoulT'as voulu voir HonfleurEt on a vu HonfleurT'as voulu voir HambourgEt on a vu HambourgJ'ai voulu voir AnversEt on a revu HambourgJ'ai voulu voir ta soeurEt on a vu ta mreComme toujours

T'as plus aim VierzonEt on a quitt VierzonT'as plus aim VesoulEt on a quitt VesoulT'as plus aim HonfleurEt on a quitt HonfleurT'as plus aim HambourgEt on a quit HambourgT'as voulu voir AnversEt on n'a vu qu'ses faubourgsTu n'as plus aim ta mreEt on a quitt sa soeurComme toujours

Et je te le disJe n'irai pas plus loinMais je te prviensJ'irai pas ParisD'ailleurs j'ai horreurDe tous les flons flonsDe la valse musetteEt de l'accordeonT'as voulu voir ParisEt on a vu ParisT'as voulu voir DutroncEt on a vu DutroncJ'ai voulu voir ta surJ'ai vu le mont ValrienT'as voulu voir HortenseElle tait dans l'CantalJ'ai voulu voir ByzanceEt on a vu Pigalle la gare Saint-LazareJ'ai vu les Fleurs du MalPar hasard

T'as plus aim ParisEt on a quit ParisT'as plus aim DutroncEt on a quitt DutroncMaintenant je confonds ta surEt le mont ValrienDe ce que je sais d'HortenseJ'irai plus dans l'CantalEt tant pis pour ByzancePuisque j'ai vu PigalleEt la gare Saint-LazareC'est cher et a fait malAu hasard

Et je te le redis chauffe MarcelJe n'irai pas plus loinMais je te prviens ka kaLe voyage est finiD'ailleurs j'ai horreurDe tous les flons flonsDe la valse musetteEt de l'accordon

Bis