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Paris 17 juin 2016 Nouvel environnement économique : comment gérer les risques assurantiels dans la durée ? MARRIOTT RIVE GAUCHE HOTEL & CONFERENCE CENTER La revue du congrès SUPPLÉMENT DE L’ACTUARIEL N°20 OUVERT AUX NON ACTUAIRES

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Paris � 17 juin 2016

Nouvel environnement économique : comment gérer les risques

assurantiels dans la durée ?

MARRIOTT RIVE GAUCHE HOTEL & CONFERENCE CENTER

La revue du congrès

SUPPLÉMENT DE L’ACTUARIEL N°20

OUVERT AUX NON

ACTUAIRES

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 3

Ce supplément de l’Actuariel n°20, intitulé La revue du congrès,est édité par la Société des actuaires.

Maison des actuaires - 4 rue Chauveau-Lagarde - 75008 ParisTél : 01 44 51 72 72 - Fax : 01 44 51 72 73Publicité : Institut des actuairesRéalisation : Kokoro Expression, Éditions 360.Impression : Imprimé en France.

www.institutdesactuaires.com

La revue du congrès

ÉDITORIAL - Par Arnaud Cohen ...................................................................................................................... 5

COMITÉ D’ORGANISATION DU CONGRÈS ........................................................................................................... 6

SOUTIENS INSTITUTIONNELS ............................................................................................................................ 7

PROGRAMME DU CONGRÈS .............................................................................................................................. 8

LISTE DES INTERVENANTS ................................................................................................................................. 10

ALLOCUTIONS :– Allocution de M. Nicolas Moreau, Président-Directeur général d’Axa France .............................. 11– Allocution de M. Denis Kessler, Président-Directeur général du groupe SCOR ............................ 11

ATELIERS :

Atelier 1 – Pourquoi utilisons-nous des modèles faux ? ............................................................................... 12

Atelier 2 – Impact des GSE sur le Best Estimate – cas des risques de long terme ....................................... 14

Atelier 3 – Une gestion pérenne des risques par la réassurance ................................................................... 16

Atelier 4 – Générateurs de Scénarios Économiques : quelles adaptations face à la baisse des taux ? ......... 18

Atelier 5 – Stress testing ............................................................................................................................... 20

Atelier 6 – Innovations sur les marchés de la réassurance structurée et de la réassurance alternative ........ 22

Atelier 7 – Déclinaison opérationnelle de l’appétence au risque : faut-il tout encadrer par les risques ? ..... 24

Atelier 8 – Sélection et calibrage des modèles financiers pour la construction du bilan économique : problématiques et méthodologies .......................................................... 26

Atelier 9 – Protection des plus-values latentes et des profits futurs de l’activité assurance-vie épargne (Euro, UC) dans le cadre d’une politique active de gestion des risques ........................ 28

Atelier 10 – Nouvel axe stratégique : la digitalisation ............................................................................... 30

Atelier 11 – IFRS4 phase 2 : le bout du tunnel ? ............................................................................................. 32

TABLES RONDES :

Table ronde 1 – Évolution de l’offre en assurance vie dans le nouveau contexte économique .................. 34

Table ronde 2 – Perspectives d’évolution du marché de l’assurance dans le nouvel environnement économique ........................................................................ 36

Table ronde 3 – Les actuaires dans le monde - Un monde pour l’actuariat ................................................... 38

INFOS PRATIQUES ............................................................................................................................................. 40

REMERCIEMENTS PARTENAIRES ........................................................................................................................ 42

Sommaire

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Édito

L es taux d’intérêt de marché sontdepuis quelques temps historique-

ment bas, avec en fonction des pays etdes périodes, des incursions en territoirenégatif. Cette situation, issue des poli-tiques monétaires très accommodantesdes banques centrales des pays occiden-taux dans un contexte de faible croissance,apporte un soutien aux banques et pluslargement à l’activité économique, maispose problème aux assureurs. La persis-tance d’une situation de faible croissance économique,dans un contexte de dettes publiques qui demeurentélevées, pourrait conduire à ce que les taux d’intérêtdemeurent durablement bas, voire très bas. Comment,dans un tel contexte, les conditions d’exercice du métierd’assureur pourraient-elles devoir s’adapter ?

Tel est le thème qu’a retenu l’Institut des actuairespour son 15e Congrès qui se tiendra le 17 juin prochainau Marriott Saint-Jacques à Paris : « Nouvel environ-nement économique : comment gérer les risquesassurantiels dans la durée ? »

Naturellement, cette question n’épuise pas l’actualité,et d’autres thèmes seront également abordés au coursde cette journée.

Le 15e Congrès proposera ainsi un programme varié,que vous pourrez découvrir en détail dans ces pages.Pour alimenter notre réflexion et nos échanges, unecinquantaine d’intervenants viendront animer onzeateliers, trois tables-rondes, et deux conférences.Citons, notamment, M. Denis Kessler, Président-Direc-teur général du groupe SCOR, M. Nicolas Moreau,Président-Directeur général d’Axa France.

Cette journée aura également une dimen-sion internationale grâce à la présencede M. CHEN Dong Sheng, Présidentde l’Association des actuaires chinois,M. Philip Shier, Président de l’Associa-tion Actuarielle Européenne.

Convivial et fort de la qualité de sesdébats, lieu d’échanges essentiels entreprofessionnels, le Congrès des actuairesest le plus grand rendez-vous de la

profession. Il a accueilli l’année dernière près de 600participants. Il doit aussi son succès à ses nombreuxpartenaires institutionnels et professionnels, que nousremercions vivement de leur soutien. Je tiens égalementà remercier celles et ceux qui, à mes côtés et grâce àleur engagement au sein du Comité d’organisation, ontdonné à notre Congrès sa dimension actuelle. Je souhaiteassocier à ces remerciements les permanents del’Institut des actuaires qui, en lien avec le Comité d’or-ganisation, sont également les acteurs de la réussitede nos événements.

Cette année, pour la première fois, le Congrès des ac-tuaires sera suivi des Assemblées générales du Centred’études actuarielles et de l’Institut des actuaires etaccueillera les élections visant à renouveler pour moitiéleurs conseils d’administration jumeaux. Je vous donnedonc rendez-vous le 17 juin prochain pour cet événementcentral dans la vie du mouvement actuariel, et me réjouispar avance, avec l’ensemble du Comité d’organisation,de vous y accueillir nombreux.

Arnaud COHEN,Président du Comité d’organisation

Nouvel environnement économique : comment gérerles risques assurantiels dans la durée ?

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Comité d’organisation

Le 15e Congrès des actuaires est organisé par :

LaurenceBAUDUIN

Sylvie BIAUSQUE

AudreyHASSAM

VoahiranaRANAIVOZANANY

Agnès OBRADORS

Régis de LAROULLIÈRE

ArnaudCOHEN

VincentDUPRIEZ

Chloé PARFAIT

Claire BOUTIN

Pierre MICHAUD

Nathalie LE BRAZIDEC

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Soutiens institutionnels

La Fédération bancaire française (FBF)est l'organisation professionnelle qui re-présente toutes les banques installéesen France. Elle compte 383 entreprisesbancaires adhérentes de toutes origines(commerciales, coopératives ou mutua-listes), françaises ou étrangères.Elle a pour mission de promouvoir, dans l'intérêt de sesmembres, l'activité bancaire et financière aux niveaux fran-çais, européen (la FBF a une implantation à Bruxelles et àFrancfort) et international, et de définir les positions, pro-positions ou préoccupations de la profession vis-à-vis des

pouvoirs publics et des autorités dudomaine économique et financier.Elle est également l'intermédiaireentre la profession bancaire et tousles publics de la banque : mondepolitique et institutionnel, médias,consom mateurs, associations profes-

sionnelles, enseignants,...La FBF a aussi pour mission d'informer les banques adhé-rentes de l'actualité de la profession et des évolutions ré-glementaires, et de répondre à toute question relative àleurs activités.

L'Association française de l’assurance (AFA)est née, en juillet 2007, de la volonté com-mune de la FFSA et du GEMA de garantirla représentativité du secteur de l’assu-rance. L’association constitue un lieu detravail collectif, avec un regroupement demoyens, une mise en commun d’outils d’études et d’ana-lyses et des commissions de travail axées sur les problé-matiques clés du secteur.

En juillet 2016, la FFSA et le GEMA fusion-neront pour donner naissance à une nou-velle institution : la Fédération Françaisede l’Assurance (FFA). La création de la FFAva permettre au secteur de l’assurance demieux faire face aux défis qui l’attendent et

de porter encore plus efficacement la voix de la professionauprès de ses interlocuteurs publics et privés, en Francecomme à l’international.

Organisation professionnelle des insti-tutions de prévoyance, le CTIP est l’undes acteurs de la protection socialecomplémentaire en France. Il fait partie des membres fondateurs del’Union nationale des organismes com-plémentaires d’assurance maladie (UNOCAM) au même

titre que la Fédération nationale de la mu-tualité française (FNMF) et la Fédérationfrançaise des sociétés d’assurances(FFSA). Il est également membre du Haut-Conseilpour l’avenir de l’Assurance Maladie (HCAAM)

et du Conseil de surveillance du Fonds CMU.

Présidée par Étienne Caniard, la MutualitéFrançaise fédère la quasi-totalité des mu-tuelles santé en France, soit près de 500. SixFrançais sur dix sont protégés par une mu-tuelle de la Mutualité Française, soit près de38 millions de personnes et quelque 18 mil-lions d’adhérents. Les mutuelles sont desorganismes à but non lucratif, des sociétésde personnes : elles ne versent pas de divi-dende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquentpas la sélection des risques. Elles interviennent commepremier financeur des dépenses de santé après la Sécuritésociale. En 2012, leur chiffre d’affaires en assurance depersonnes représentait 20,1 MD€ répartis comme suit :

16,6 MD€ en complémentaire santé et 3,5MD€ en prévoyance retraite. Les mutuelles dis-posent également d’un réel savoir-faire médicalet exercent une action de régulation des dépen -ses de santé et d’innovation sociale au traversde près de 2 500 services de soins et d’ac-compagnement mutualistes : établissementshospitaliers, centres de santé médicaux, cen-tres dentaires et d’optique, établissements

pour la petite enfance, services aux personnes âgées etaux personnes en situation de handicap, etc. La MutualitéFrançaise contribue aussi à la prévention et à la promotionde la santé à travers son réseau d’unions régionales etses services de soins et d’accompagnement.

L’Institut des actuaires remercie ses soutiens institutionnels :

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Programme Nouvel environnement économique : comment gérer les risques assurantiels dans la durée ?

08h00-08h30 CAFÉ D’ACCUEIL

08h30 OUVERTURE DU CONGRÈS

08h30-09h00 ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE DE L’INSTITUT DES ACTUAIRES : PRÉSENTATION DES LISTES DE CANDIDATS

09h00 SUSPENSION DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE

09h00-09h30 PAUSE

09h30-10h30 ATELIERS 1 à 6

10h30-11h00 PAUSE

11h00-12h00 ATELIERS 7 à 11

12h00-13h45 DÉJEUNER

13h45-14h00 INTERVENTION DE M. Thomas BÉHAR, Président de l’Institut des actuaires

14h00-14h30 ALLOCUTION DE M. Nicolas MOREAU,Président-Directeur général d’Axa France

14h30-15h30 TABLE RONDE 1 animée par Agnès CANARELLIÉvolution de l’offre en assurance vie dans le nouveau contexte économique Avec la participation de :Jean BERTHON (Président - FAIDER)Romain DURAND (Directeur Général - Barents Re)Thomas GROH (Sous-directeur des assurances à la Direction générale du Trésor) Valéry JOST (Directeur Général adjoint - Forsides) Pierre de VILLENEUVE (Président de BNP Paribas Cardif)

15h30-16h00 ALLOCUTION DE M. Denis KESSLER,Président-Directeur général du groupe SCOR

16h00-16h30 PAUSE

16h30-17h30 TABLE RONDE 2 animée par Agnès CANARELLIPerspectives d’évolution du marché de l’assurance dans le nouvel environnement économiqueAvec la participation de :Éric BERTHOUX (Directeur délégué Administratif et Financier - Maif)Lotfi ELBARHDADI (Senior Director - Standard & Poor’s)Grégory ERPHELIN (Directeur Financier - Crédit Agricole Assurances)Pierre MICHEL (Délégué Général FFSA)

17h30-18h30 TABLE RONDE 3 Les actuaires dans le monde – Un monde pour l’actuariatAvec la participation de :Thomas BÉHAR (Président de l’Institut des actuaires - France)CHEN Dong Sheng (Président de l’Association des actuaires chinois)Philip SHIER (Président de l’AAE, Association Actuarielle Européenne)

18h30-19h30 REPRISE DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE DE L’INSTITUT DES ACTUAIRES

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ORDINAIRE DU CENTRE D’ÉTUDES ACTUARIELLES

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE DE L’INSTITUT DES ACTUAIRES

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE DU CENTRE D’ÉTUDES ACTUARIELLES

19h30 CLÔTURE DE L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ET DU CONGRÈS

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17 juin 2016

ATELIER 1Pourquoi utilisons-nous des modèles faux ?Pierre FRANÇOIS (Science Po), Sylvestre FREZAL (ENSAE - LFA), Virak NOU (Actuaris)

ATELIER 2Impact des GSE sur le Best Estimate – cas des risques de long termeThomas ANGLADE (Sia Partners), Romain LOMBARDO (Moody’s Analytics)

ATELIER 3Une gestion pérenne des risques par la réassuranceArnaud CHEVALIER (Aon Benfield), Laurent JACQUES (SMACL Assurances),Maxence SAUNIER (Aon Benfield), Pierre VALADE (Aon Benfield)

ATELIER 4Générateurs de scénarios économiques : quelles adaptations face à la baisse des taux ?Alexis BAILLY (Moody’s Analytics), François BEUGIN (PwC France), Blaise BOURGEOIS (Allianz France),Michel DACOROGNA (Groupe SCOR), Jean-Baptiste MONNIER (PwC France)

ATELIER 5Stress testingSerge KOUAO (LPBSAM), Wayne RATCLIFFE (Groupe SCOR), Idriss TCHAPDA DJAMEN (BNP Paribas)

ATELIER 6Innovations sur les marchés de la réassurance structurée et de la réassurance alternativeThierry BERTHOLD (Natixis), Julien CHARTIER (RGA)

ATELIER 7Déclinaison opérationnelle de l’appétence au risque : faut-il tout encadrer par les risques ? Johan ATTAL (Ageas France), Tristan PALERM (Optimind Winter)

ATELIER 8Sélection et calibrage des modèles financiers pour la construction du bilan économique : problématiques et méthodologiesLaurent DEVINEAU (Milliman), Zorana GRBAC (LPMA), Peter TANKOV (LPMA), Julien VERDANI (Milliman)

ATELIER 9Protection des plus-values latentes et des profits futurs de l’activité assurance-vie épargne (Euro, UC) dans le cadre d’une politique active de gestion des risquesBlaise BOURGEOIS (Allianz France), François MARMION (EY), Ludovic MOREAU (EY)

ATELIER 10Nouvel axe stratégique : la digitalisationCédric CAUDERLIER (Mountainview), Patrick DE BAETS (Forsides - Belgique),Jean-François HANNOSSET (Président de l’Institut des actuaires en Belgique), Mathieu LAMBERT (AXA - Belgique)

ATELIER 11IFRS4 phase 2 : le bout du tunnel ?Baptiste BRÉCHOT (Deloitte), Claude CHASSAIN (Deloitte),Jean-Michel PINTON (CNP Assurances)

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Thomas BÉHAR, Président de l’Institut des actuaires, Arnaud COHEN, Président du Comité d’organisationet Vice-Président de l’Institut des actuaires, et les membres du Conseil d’administration, seront heureuxd’accueillir le 17 juin 2016, pour le 15e Congrès des Actuaires, 47 intervenants. 

Les ALLOCUTIONS de :

M. NICOLAS MOREAU, Président-Directeur général d’Axa FranceM. DENIS KESSLER, Président-Directeur général du groupe SCOR

Les TABLES RONDES s’enrichiront de la présence de :

Éric BERTHOUX, Directeur délégué administratif et financier - MaifJean BERTHON, Président - FAIDERPierre de VILLENEUVE, Président de BNP Paribas CardifCHEN Dong Sheng, Président de l’Association des actuaires chinoisRomain DURAND, Directeur général - Barents ReLotfi ELBARHDADI, Senior Director - Standard & Poor’sGrégory ERPHELIN, Directeur Financier - Crédit Agricole AssurancesThomas GROH, Sous-directeur des assurances à la Direction Générale du TrésorValéry JOST, Directeur général adjoint - ForsidesPierre MICHEL, Délégué Général FFSAPhilip SHIER, Président de l’Association Actuarielle Européenne

Les ATELIERS seront animés par :

Liste des intervenants

Thomas ANGLADE, Sia PartnersJohan ATTAL, Ageas FranceAlexis BAILLY, Moody’s AnalyticsThierry BERTHOLD, NatixisFrançois BEUGIN, PwC FranceBlaise BOURGEOIS, Allianz FranceBaptiste BRÉCHOT, DeloitteJulien CHARTIER, RGAClaude CHASSAIN, DeloitteCédric CAUDERLIER, MountainviewArnaud CHEVALIER, Aon BenfieldPatrick DE BAETS, Forsides - BelgiqueMichel DACOROGNA, Groupe SCORLaurent DEVINEAU, MillimanPierre FRANÇOIS, Science PoSylvestre FREZAL, ENSAE - LFAZorana GRBAC, LPMA

Jean François HANNOSSET, Président de l’Institut des actuaires en BelgiqueLaurent JACQUES, SMACL AssurancesSerge KOUAO, LPBSAMMathieu LAMBERT, AXA - BelgiqueRomain LOMBARDO, Moody’s AnalyticsFrançois MARMION, EYJean-Baptiste MONNIER, PwC FranceLudovic MOREAU, EYVirak NOU, ActuarisTristan PALERM, Optimind WinterJean-Michel PINTON, CNP AssurancesWayne RATCLIFFE, Groupe SCORMaxence SAUNIER, Aon BenfieldPeter TANKOV, LPMAIdriss TCHAPDA DJAMEN, BNP ParibasPierre VALADE, Aon BenfieldJulien VERDANI, Milliman

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M. Denis KESSLERPrésident-Directeur général du groupe SCOR Actuaire agrégé membre de l’Institut des actuaires 

De nationalité francaise, Denis Kessler, diplômé d’HEC, Docteur d’État en sciences économiques,agrégé de sciences économiques, agrégé de sciences sociales et membre agrégé de l’Institut

des actuaires, a été Président de la Fédération francaise des sociétes d’assurance (FFSA), Directeurgénéral et membre du Comité exécutif du groupe AXA, Vice-président délégué du MEDEF. Il a rejointSCOR le 4 novembre 2002 en tant que Président Directeur général.

Allocutions

15h30 -16h00

M. Nicolas MOREAUPrésident-Directeur général d’AXA France  Actuaire certifié membre de l’Institut des actuaires

Diplômé de l’Ecole Polytechnique et du Centre d’Etudes Actuarielles. Auditeur chez ArthurAndersen de 1988 à 1991, il rejoint le Groupe AXA en 1991 en qualité de Vice-Président de la

Direction Centrale des Finances, avant d’en prendre la Direction en 1994. En 1997, il est nomméDirecteur Général d’AXA Rosenberg. En 2000, il devient Directeur des Opérations d’AXA Invest-ment Managers et en 2001 Vice-Président d’AXA Rosenberg. En 2002, il est nommé Directeur Gé-néral d'AXA Investment Managers. En 2006, il devient Directeur Général d'AXA UK & Ireland. En2010, il est nommé Président Directeur Général d’AXA France et assure, depuis 2012, la supervisiond’AXA Assistance et d’AXA Global Direct puis d’AXA Strategic Ventures et d’AXA Partners depuis2015. Membre du Comité Exécutif d’AXA depuis 2003, il siège au Comité de Direction du GroupeAXA depuis 2010. Il est également membre du bureau de la FFSA.

14h00 -14h30

LIEU, ACCÈS, STATIONNEMENT, INSCRIPTIONS... :

RETROUVEZ TOUTES LES INFOS PRATIQUES P. 40

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REVUE DU CONGRÈS - 201612

L’atelier

T ant d’un point de vue théorique (économie, mathéma-tiques financières) que d’un point de vue opérationnel

(ALM, régulation, etc.), les technologies statistiques degestion des risques sont employées au-delà de leur champde pertinence, dans des domaines où leurs limites ont étémises en évidence. Ainsi, elles se sont progressivementrépandues au cours des dernières décennies et continuentleur extension en dépit des carences mises en valeur parla crise de 2008. Nous analyserons différentes hypothèses afin d’expliquerce phénomène. Ceci nous permettra de comprendre lasource de leur légitimité intellectuelle, de mettre en évi-dence le fait que les vices de pertinence de ces outils sontprécisément leurs vertus en termes de fonctionnalité, et

de montrer comment leur légitimité s’articule avec leurcaractère fonctionnel, l’un et l’autre s’étayant de façonrétroactive pour favoriser leur essor.

Plan de l’atelier :

1. Les modèles faux que nous utilisons

2. Le cadre intellectuel (approche historique)

3. Les vertus opérationnelles (approche sociologique)

Pourquoi utilisons-nous des modèles faux ?

Atelier 1

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 13

9h30 -10h30

Les intervenantsPierre FRANCOISDirecteur du département de sociologie de Sciences PoActuaire Qualifié membre de l’Institut des actuairesAncien élève de l’ENS de Cachan et de SciencesPo, Pierre François est directeur de recherche auCNRS (Centre de sociologie des organisations).Directeur du département de sociologie deSciences Po, il enseigne à Sciences Po et à Poly-technique, où il est professeur chargé de cours.

Sylvestre FREZALIngénieur des Mines et chercheur à DatastormActuaire qualifié membre de l’Institut des actuairesIngénieur des Mines et chercheur à Datastorm,Sylvestre Frezal est affilié au Laboratoire de Fi-nance et d’assurance du CREST. Ancien élève del’Ecole polytechnique, statisticien économiste de

l’ENSAE et actuaire qualifié, il a notamment étéCommissaire contrôleur des assurances à l’ACPRet Directeur des risques d’assurance et financiersde Generali France.

Virak NOU Associé - Responsable du pôle vie d’Actuaris (référent du comité)Actuaire Associé membre de l’Institut des actuairesPolytechnicien, diplômé de l’ENSAE et actuaire IA,Virak Nou est Associé du cabinet ACTUARIS encharge du pôle assurance vie. Il a débuté sa car-rière en tant que commissaire-contrôleur des as-surances puis a été analyste quantitatif en hedgefund avant de rejoindre le conseil en actuariat.

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REVUE DU CONGRÈS - 201614

L’atelier

Une diminution continue des taux depuis près de 30 ansconfronte aujourd’hui le milieu de l’assurance à une

réalité longtemps inavouée : l’environnement économiqueest maintenant extrêmement volatile avec des taux histori-quement bas, voire négatifs. Ce contexte pousse aujourd’huiles compagnies d’assurance à repenser l’ensemble de leursproduits et à revoir en profondeur la façon dont ils ontfonctionné jusqu’à présent.

De fait, un actuaire doit prendre en compte ce nouvel envi-ronnement économique qui passe par une maîtrise desGénérateurs de Scénarios Economiques (GSE) et leur cali-bration sur l’évaluation des Provisions Techniques (notam-ment le Best Estimate) en particulier dans une perspectivede long terme.

Cet atelier a donc pour vocation de rappeler les différentsmodèles de taux alimentant les GSE dans le cas d’engage-ments longs. Une étude de cas analysera ensuite l’impactdurable de ces différents modèles sur le Best Estimate.L’objectif de l’atelier sera de s’interroger sur les écarts liésà des changements de modèles de taux et de savoir si cesécarts peuvent être considérés comme négligeables ou nondans le nouvel environnement économique et dans uncontexte de dérive de risque.

Plan de l’atelier :

1. Problématique de déformation liée aux modèles de taux sur la durée : Rappels

2. Analyse d’impact sur le Best Estimate en fonctiondes modèles : Focus sur les risques de long terme

3. Conclusions et perspectives

Impact des GSE sur le Best Estimate :cas des risques de long terme

Atelier 2

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 15

9h30 -10h30

Les intervenantsThomas ANGLADEConsultant Senior Sia PartnersActuaire associé membre de l’Institut des actuairesThomas est Senior consultant et actuaire au seinde la Business Unit Sia Partners Actuariat à Lon-dres et témoigne de nombreuses années d’expé-rience dans les domaines de l’assurance et del’actuariat. Il a pu collaborer sur des projets àforte composante internationale et fait égalementpartie de l’équipe Recherches et Développementsur les sujets de modélisation ALM et GSE. Qua-lifié de la Faculté des actuaires anglaise (IFoA),il est également un contributeur actif au dévelop-pement d’applications Big Data innovantes pourles compagnies d’assurances.

Romain LOMBARDOArea sales Manager Moody’s AnalyticsActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesRomain est responsable du développement desactivités de modélisation financière et des mo-dèles de capital économique au sein de Moody‘sAnalytics pour la France et le Benelux. D’abordspécialiste en charge de fournir l’expertise en mo-délisation économique et modèle interne auprèsdes sociétés d’assurance européennes, Romainpossède également une expérience de consul-tant dans les risques financiers et vie, l’ALM et lescalculs de la MCEV. Romain est actuaire qualifiéde l’IA, ingénieur diplômé de l’EISTI et de l’EN-SAE.

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REVUE DU CONGRÈS - 201616

L’atelier

L ’assurance et la réassurance sont largement détermi-nées par l’environnement économique, démographique

et réglementaire. Le marché des Assurances de Personnesévolue dans un environnement dont les mutations s’accé-lèrent. Nous illustrerons le thème « gestion des risquesd’assurance dans la durée » à l’appui d’un exemple prischez une cédante.

L’accompagnement du cycle de vie d’un portefeuille d’assurance

• Phase 1 : développement du portefeuille– Assureur : lancement dans une nouvelle branche– Réassureur : tarification, sélection des risques, partage du

sort par le biais d’une réassurance proportionnelle

• Phase 2 : maturité et mutualisation du portefeuille– Assureur : trajectoire vers la taille critique du portefeuille.

La mutualisation se fait dans le temps et/ou avec les autresactivités de l’assureur

– Réassureur : évolution du programme de réassurance :transfert des compétences et ajustement de la réassu-rance par une réduction de la cession du traité basée surl’expérience et l’historique

• Phase 3 : stabilité du portefeuille– Assureur : taille critique atteinte et gestion des effets ciseaux.– Réassureur : calibrage d’une réassurance non-proportion-

nelle qui transfert les risques extrêmes.

La mouvance des cycles de marché économiques et réglementaires

• Notion de cycleDéfinition et principaux cycles identifiés (boursiers, taux,chômage, inflation, monétaires, matières premières, ca-pitaux en réassurance, souscription en en Non-Vie...)� Pour la suite de la présentation cycle = fluctuation

des conditions d’activité• Exemple 1 : réassurance et cycle de marché

� Présentation des phases du cycle� Présentation des stratégies de réassurance géné-

riques : pro-cyclique, contra-cyclique, opportuniste,a-cyclique ...

• Exemple 2 : réassurance et évolution réglementaire� Présentation des impacts du changement, par phase� Les enjeux de la réassurance (en tant que fonction)

Plan de l’atelier :

1. Introduction

2. L’accompagnement du cycle de vie d’un portefeuilled’assurance Phase 1 : développement du portefeuillePhase 2 : maturité et mutualisation du portefeuillePhase 3 : stabilité du portefeuille

3. La mouvance des cycles de marché économiques et réglementaires- La notion de cycle- Exemple 1 : réassurance et cycle de marché- Exemple 2 : réassurance et évolution réglementaire

4. Conclusion

Les intervenantsArnaud CHEVALIERDirecteur de clientèle Traités Vie Aon Benfield France Arnaud a rejoint Aon Benfield en 2008 en qualitéde Producteur Traités. Arnaud a à son actif uneexpérience de 8 ans dans le Conseil et 8 ans encourtage de réassurance Assurances de Per-sonnes.

Laurent JACQUESDirecteur Général Délégué SMACL AssurancesActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesAprès des études à l’Ecole polytechnique et auCorps des Mines, Laurent Jacques a été respon-sable de la Division de Paris de l’Autorité de Sû-reté Nucléaire. Il a ensuite rapidement rejointl’assurance, à la direction technique IARD desparticuliers du groupe AXA, chez AXA Global P&C.Il a alors suivi en parallèle la formation d’actuairedu CEA. Il a ensuite été manager chez OliverWyman Financial Services. En 2012, il a rejointl’équipe de direction de SMACL Assurances, oùil est aujourd’hui Directeur Général Délégué en

Une gestion pérenne des risques par la réassurance

Atelier 3

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 17

9h30 -10h30

charge du développement et de la solvabilité. Ilest récemment diplômé du CHEA et exerce lesfonctions d’administrateur de l’Institut des ac-tuaires.

Maxence SAUNIERChargé de clientèle Traités VieAon Benfield France Actuaire qualifié membre de l’Institut des actuairesMaxence Saunier a rejoint Aon Benfield en 2009,avec une année au siège à Londres. Maxenceest spécialiste de la modélisation des risques Vie.Il vient de publier Decisional optimality in lifereinsurance modeling (BFA n°28) et a présentéson article au Congrès International des Actuairesà Oslo.

Pierre VALADEChargé de clientèle Traités VieAon Benfield France Actuaire certifié membre de l’Institut des actuairesPierre a rejoint Aon Benfield en 2015. Il a 14 ansd’expérience en actuariat. Il a été responsable desétudes et de l’analyse transverse des risques àl’ACPR et responsable de la stratégie des risques,du pilotage et du SCR dans le cadre de l’ORSA deBNP Paribas Cardif. Il est actuaire expert ERMaccrédité CERA.

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REVUE DU CONGRÈS - 201618

L’atelier

Cet atelier aura pour objectif de faire le point sur le re-cours aux ESG en assurance vie pour les besoins de

Solvabilité II.

Dans le contexte de taux bas actuel, quel choix de modèlede diffusion, quelles méthodes de calibrage associées etquelle sensibilité du capital disponible et du SCR à ces choix ?Quelles méthodes peuvent être déclinées pour limiter lessources d'instabilité statistique et numérique des calculsdérivés à partir des générateurs de scénarios ?

Cet atelier permettra de recueillir l’avis d’experts sur les meil-leures pratiques de places utilisées en assurance, et de lescomparer aux dernières évolutions observées dans la banqueen la matière.

Les intervenantsAlexis BAILLYDirecteur, spécialiste secteur assurance Moody’s AnalyticsActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesAlexis est responsable du rayonnement des acti-vités d’assurance EMEA de Moody’s Analytics. Ilcontribue au développement des propositionscommerciales liées à Solvabilité II, en particuliersur les modèles internes et l’ORSA.Avant de rejoindre Barrie & Hibbert en 2008 – troisannées avant l’acquisition de cette dernière parMoody’s Analytics – il avait acquis une grande ex-périence en ALM et modélisation en capital éco-nomique chez Towers Watson à Londres et avaitprécédemment travaillé en gestion des risques etvalorisation chez Zurich Financial Services. Alexisest membre certifié des associations d’actuairesanglais, français et suisse, et a un master en fi-nance quantitative Finance de l’ETH Zurich.

François BEUGINAssocié en charge de l’Actuariat Franceco-responsable de la Finance QuantitativePwC FranceActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesFrançois a une expérience de plus de 17 ansdans le secteur de l’assurance dont 5 ans passéscomme actuaire en cabinet (Towers Watson) oudes directions techniques (BNP Paribas Cardif etAXA) ainsi que 9 ans en tant que banquier d’in-vestissement senior (chez Bank of America MerrillLynch puis Nomura) sur le secteur européen del’assurance.François a travaillé sur de nombreuses opérationsstructurantes de haut bilan (fusions, acquisitions,émission de capital), ou des revues et productionsde modèles de valorisation économique ainsi quedes modèles internes Solvabilité II.François est diplômé de l’Ecole polytechnique(promo 1995) ainsi que de l’ENSAE (promo 2000).Il est actuaire certifié et membre de l’Institut desactuaires depuis 2000.

Blaise BOURGEOISDirecteur des RisquesAllianz France Actuaire associé membre de l’Institut des actuairesBlaise a 16 ans d’expérience en finance & assurance.De 2000 à 2002, il exerce chez Goldman Sachs àLondres en tant que Structureur (Dérivés actionset obligations convertibles).Il rejoint le Groupe AXA dans les équipes de Cor-porate Finance & Treasury (2003-2008) puis de-vient Responsable des Risques au sein d’AXAHedging Services (2008-2009).En mars 2009, il est nommé Responsable desRisques des produits d’assurance-vie, puis Directeurdes Risques Vie du Groupe AXA en juillet 2011.Depuis septembre 2014, Blaise est Directeur desRisques chez Allianz France. Actuaire membre del'IA, titulaire d'un DEA en économie financière deParis 1, Blaise est diplômé de l'ESCP et de l'ENSAE.

Générateurs de scénarios économiques : quelles adaptations face à la baisse des taux ?

Atelier 4

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 19

9h30 -10h30

Michel DACOROGNAConseiller scientifiqueGroupe SCOR Michel y dirige depuis 2013 des recherches dansle domaine des mathématiques, de la gestion ducapital et des risques, et présente aux dirigeantset aux clients de SCOR les modèles et techniquesde gestion de capital.Auparavant, Michel a été responsable de l'analysefinancière et de la modélisation des risques deConverium (ensuite devenu SCOR) puis DirecteurAdjoint des Risques de SCOR. Il a commencé sacarrière chez Olsen & Associates comme Respon-sable R&D. Michel est diplômé de l'Université deGenève en Physique théorique. Il a été élu RiskManager Assurance de l'année 2009.

Jean-Baptiste MONNIERManager en actuariat financier PWC FranceJean-Baptiste a plus de 9 années d’expériencedans l’industrie des services financiers. Il a rejointPwC Paris en avril 2014 où il intervient sur des mis-sions d’actuariat financier (Générateurs de Scéna-rios, bilan économique, bilan prudentiel, capitalprudentiel en modèle interne et formule standard).Avant de rejoindre PwC, il faisait partie de l’équipede contrôle spécialisé sur les modèles internes Sol-vabilité II à l’ACPR et du Comité Modèles Internesà l’EIOPA. Il a auparavant travaillé comme ingénieurfinancier pour une banque d’investissement. Jean-Baptiste a publié plusieurs articles scienti-fiques et de vulgarisation en actuariat financier,au sujet notamment des fonctions de perte enassurance vie et de l’extrapolation de smile devolatilité implicite.Jean-Baptiste est ancien élève de l’École CentraleParis (P2006). Il est diplômé de la London Schoolof Economics et titulaire d’un doctorat en mathé-matiques appliquées à la finance de l’universitéde Paris.

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REVUE DU CONGRÈS - 201620

L’atelier

L ’objectif de cet atelier est de présenter les principauxenjeux sur les stress tests dans 3 principaux secteurs

d’activité, à savoir, l’assurance à travers les problématiquesdes compagnies d’assurance, la gestion d’actifs et lesbanques. Nous discuterons comment les stress tests s’in-tègrent dans la réglementation de ces entreprises, com-ment ils sont utilisés comme outils de gestion des risqueset d’aide à la décision.

Contexte

L’industrie financière fait face à de profonds changementsqui rendent les méthodes actuelles d’analyse des risquesinadaptées. La nature des dernières crises financières a mo-difié la manière avec laquelle les banques et les compagniesd’assurance gèrent leurs portefeuilles. Ces acteurs cher-chent à se doter d’outils d’analyse et de modélisation leurpermettant d’implémenter des solutions de gestion activedes risques.Par ailleurs, dans le cadre de la surveillance des établisse-ments bancaires, les instances de supervision demandentde plus en plus d’informations notamment sur des tests derésistance qui prennent en compte l’évolution de l’environ-nement économique sur une durée qui peut couvrir plusieursannées.

Un test de résistance bancaire, ou « stress test », est unexercice consistant à simuler des conditions économiqueset financières extrêmes mais plausibles afin d’en étudier lesconséquences sur les banques, compagnies d’assuranceou encore des portefeuilles et de mesurer leur capacité derésistance à de telles situations. Les chocs étudiés doiventêtre importants mais réalistes. Ils ont une probabilité faiblemais non nulle. C’est le cas dans le cadre des stress tests américains orga-nisés annuellement conformément à la réforme Dodd-Frankde la régulation financière pour lequel les grandes banquesaméricaines sont soumises à des tests de résistance. Ils’agit d’étudier non seulement les risques pouvant peser surune banque soumise au test mais aussi les risques systé-miques ou risques de contagion pouvant générer une insta-bilité du système financier. Les résultats de ces exercicessont révélés au marché, les banques pouvant échouer à cestests soit pour des raisons qualitatives – rejet du scénariode distribution des dividendes – ou quantitatives – la mesuredes fonds propres par rapport à l’exposition aux risques estinsuffisante. La réussite à ces tests de résistance est unecondition indispensable pour être autorisé à relever son divi-dende ou encore à procéder aux rachats d’actions. Pour les

banques, à la sortie de la crise financière et face à un envi-ronnement macroéconomique de plus en plus volatile, il estimportant de s’interroger sur la vulnérabilité de leurs diffé-rentes divisions et activités. Il s’agit d’intégrer dans la gestiondes risques, des scénarios adverses qui pourraient remettreen cause des stratégies de développement d’une activitédans un secteur économique ou encore une région dumonde. De manière proactive à cette interrogation, il s’agitde se préparer en mettant en place des actions de pilotagequi vont permettre d’atténuer les conséquences de cesévènements adverses.

Dans le secteur de la gestion d’actifs, les stress tests se sontsurtout développés sur des portefeuilles utilisant des pro-duits d’investissement à forte valeur ajoutée dont le suivi enterme de Risk Management se fait avec des indicateurs detype Value at Risk ; c’est le cas par exemple des portefeuillesqui utilisent des produits dérivés ou encore des stratégiesd’arbitrage.

Un scénario va décrire de manière cohérente un état dumonde résultant d’évènements ou série d’évènementsplausibles qui peuvent être adverses. Dans le cadre descompagnies d’assurance et des banques, une des recom -man dations des régulateurs est que les résultats des stresstests et la conception des scénarios soient décrits en in-cluant une analyse des phénomènes qui peuvent entraînerces événements. Il est aussi requis qu’une attention particu-lière soit portée à leur compréhension par le senior manage-ment. L’une des problématiques liée aux stress tests est lagénération des scénarios, parce que le futur est incertain, lenombre de scénarios possibles n’est pas limité. De plus, les scénarios peuvent être très complexes, impli-quant des interactions entre variables macroéconomiqueset de marchés ou encore entre facteurs de risques. Dans lecadre de cet atelier, nous présenterons les principaux enjeuxliés à la conception des scénarios.

Stress testing

Atelier 5

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 21

9h30 -10h30

Les intervenantsWayne RATCLIFFEHead of Group ManagementGroupe SCORActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesHead of Group Risk Management, membre del’Institut des actuaires, Fellow du ‘Faculty and Ins-titute of Actuaries’ (UK) et diplômé de l’Universitéde Cambridge. Il a commencé sa carrière dans lesecteur de l’Assurance Vie en 1981 au Royaume-Uni. En 1994, il était à la fondation du bureau deScor Vie à Londres avant de rejoindre Paris audépartement Actuariat en 1998. En 2007, il a éténommé Head of Group Risk Management.

Serge KOUAODirecteur des risques LBPSAM Adjoint au Directeur des Risques LBPAM et ac-tuaire (en cours d’inscription à l’Institut des ac-tuaires) ; il présentera les enjeux pour les sociétésde gestion d’actifs.

Idriss TCHAPDA DJAMENHead of CCM Stress TestingBNP ParibasActuaire associé membre de l’Institut des actuairesHead of CCM Stress Testing, membre de l’Institutdes actuaires et membre du bureau BFA au seinde la SFdS.

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REVUE DU CONGRÈS - 201622

L’atelier

RGA et Natixis Corporate & Investment Banking vousinvitent à découvrir deux outils d’optimisation du ca-

pital qui sont nés aux États-Unis : la réassurance structu-rée et la réassurance alternative.La réassurance structurée est un outil de pilotage du hautde bilan pour les compagnies d’assurance. Les besoinsgrandissants du marché de l’assurance, poussés par ledéveloppement de l’ERM, la multiplication des réformescomptables et réglementaires ainsi que la crise finan-cière, associés à la relative bonne santé du marché de laréassurance, sont les principales raisons de l’accélérationdes opérations de réassurance structurée observée surles marchés européens ces dernières années.

Le marché de la réassurance alternative ou plus commu-nément appelée Insurance Linked Securities (ILS) sedistingue par sa forme juridique et par la typologie despreneurs de risque. Les preneurs de risque sur le marchédes ILS sont majoritairement des hedge funds qui ontpour mandat de gestion d’investir exclusivement sur lemarché des ILS, constituant ainsi une capacité de couver-ture dédiée complémentaire aux réassureurs. À l’origineutilisés comme rétrocessionnaires par les réassureurs,les ILS se sont progressivement adressés directementaux assureurs parvenant même, en 2013, à contribuer àfaire infléchir les prix sur le marché de la réassurancetraditionnelle des risques de catastrophe naturelle.

Plan de l’atelier :

Introduction :– Présentation du parcours des speakers– Chiffres clés du marché de la réassurance structurée

et des Insurance Linked Securities

Partie 1 : La réassurance structurée– Exemples d’opérations SI : épargne, VIF– Innovations SII : épargne, VIF au-delà de la frontière

des contrats, longévité

Partie 2 : La réassurance alternative– Opérations majeures sur le marché français :

SPARC, Mortality bonds, Cat tempête– Une technicité croissante des investisseurs

Partie 3 : Complémentarité de nos solutions– Démarches similaires– Des preneurs de risque très différents notamment

dans leur appréhension des risques– Illustration de la complémentarité de ces deux marchés

dans le passé et dans le futur (VIF, longévité)

Innovations sur les marchés de la réassurance structurée et de la réassurance alternative

Atelier 6

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 23

9h30 -10h30

Les intervenantsThierry BERTHOLDCredit & Insurance SolutionsNatixis L’équipe assurance de Natixis est composée de6 professionnels basés à Paris et à New York,dont deux actuaires et un spécialiste Solvency II.Dédiée aux opérations structurées d’assurance,l’équipe agit pour les (ré)assureurs tant du côtéactif que passif. Son champ d’intervention couvredes domaines tels que transfert de risque alter-natif/cat bond, repackagings d’actifs et optimisa-tion Solvency II, lettres de crédit structurées(règlementation...), financement de fonds d’assu-rance, de portefeuilles en run off…Après dix années en financement structuré cré-dit / titrisation chez HSBC et Société Générale,Thierry rejoint l’équipe assurance de Natixis en2005, avec pour mission de développer les tech-niques financières et les investissements demarché pour les opérations d’assurance.

Julien CHARTIERSouscripteur Solutions Financières, RGA International Reinsurance Company Limited Actuaire certifié membre de l’Institut des actuairesRGA contribue à l'édification du marché de laréassurance structurée depuis 1983. Moins dedeux ans après l'ouverture du bureau de Paris,RGA réalisait ses premières opérations en France.Julien a rejoint l'équipe en 2012 pour accompa-gner la forte croissance de cette activité, richede ses expériences sur le marché des ILS et dansle conseil sur l'intégration de la future règlemen-tation Solvabilité II.

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REVUE DU CONGRÈS - 201624

L’atelier

A vec l’entrée en vigueur de Solvabilité II depuis le 1er

janvier, le lien entre l’appétence au risque, compo-sante principale de l’ORSA, et l’encadrement opérationneldes activités d’un organisme assureur, est au cœur destravaux des assureurs. Idéalement, l’assureur se doted’indicateurs de performance et de risques, qui, relevés etanalysés régulièrement, permettent de contrôler et piloterl’activité, en conformité avec le cadre général de l’appé-tence au risque.

Cette démarche est souvent abordée par le biais de la défi-nition de budgets de risques, ou de limites opérationnelles,transmises aux différents preneurs de risque au sein del’entreprise. Pourtant, il n’est pas évident de faire le lienentre un concept volontairement global et agrégé (l’appé-tence au risque) et des indicateurs à portée essentielle-ment « locale », i.e. propre à une dimension de l’activité(souscription, marché …) voire à une partie d’un porte-feuille. Ainsi la définition de budgets ou de limites opéra-tionnelles s’accompagne d’un nombre important deconventions qui peuvent constituer autant de limites à ladémarche.

L’objectif de l’atelier est de mettre en évidence les oppor-tunités mais aussi les difficultés, voire les limites, qui peu-vent être rencontrées en pratique dans la déclinaison del’appétence au risque. Sur la base de quelques exemplesconcrets (exemple d’un portefeuille d’épargne, exempled’un portefeuille de prévoyance), l’atelier permettra de pré-senter quelques indicateurs simples sur lesquels déclinerl’appétence au risque, puis de mettre en évidence les li-mites de la démarche d’allocation de budgets de risques.À titre d’exemple : comment piloter une activité d’épargne,à la fois exposée significativement aux risques de marchéet aux risques de souscription, lorsque l’évolution rapidedes marchés financiers modifie en profondeur les exposi-tions aux risques de l’assureur ?

Ces exemples seront mis en perspective, lorsque cela serapossible, à l’aide d’exemples observés sur le marché.

Déclinaison opérationnelle de l’appétence au risque : faut-il tout encadrer par les risques ?

Atelier 7

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 25

11h00 -12h00

Les intervenantsJohan ATTAL Directeur Technique et ProduitsAgeas France Actuaire certifié membre de l’Institut des actuairesDiplômé de l’Institut de Statistique de l’Universitéde Paris, Johan Attal (38 ans) est également titu-laire d’un Master Probabilités et Finance del’Université Pierre et Marie Curie (Paris 6). Il a dé-buté sa carrière en 2001 chez Axa France où il aexercé diverses fonctions et responsabilités ausein de la Direction Technique Vie. En janvier 2012,il devient Directeur Technique et Produits d’AgeasFrance, où il a notamment la responsabilité de laFonction Actuarielle. Johan Attal est membrequalifié et certifié de l’Institut des actuaires et asuivi en 2011 le cycle de formation Managementet Communication de l’Institut des actuaires.

Tristan PALERM Directeur métier actuariat conseilOptimind Winter Actuaire certifié membre de l’Institut des actuairesDiplômé de l’École Nationale des Ponts etChaussées, Tristan Palerm, 40 ans, a débuté sacarrière en 2000 au sein d’AXA France où il anotamment exercé au sein de la DirectionTechnique Vie Individuelle. Il a rejoint Winter &Associés en 2005 pour accompagner et déve-lopper l’activité d’actuariat conseil auprès desorganismes assureurs. Il est aujourd’hui direc-teur métier en charge de l’actuariat conseil ausein d’Optimind Winter. Tristan Palerm estmembre qualifié et certifié de l’Institut des ac-tuaires et a suivi en 2009 le cycle de formationActuaire Expert ERM de l’Institut des actuaires.Au sein de l’Institut des actuaires, il est égale-ment membre du bureau du Club ERM.

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REVUE DU CONGRÈS - 201626

L’atelier

P our la construction de leur bilan économique, les com-pagnies d’assurance ont recours à des générateurs de

scénarios économiques « market consistent » leur permet-tant de projeter l’ensemble des flux futurs à l’aide de mo-dèles ALM et d’en déduire un montant de Fonds Propres etde Best Estimate des Passifs.

Or en pratique, la construction du bilan économique peuts’avérer relativement sensible aux modèles financiers sélec-tionnés ainsi qu’aux processus de calibrage associés, cecicompromettant le caractère objectif des quantités étudiées.Il convient ainsi de mettre en évidence divers critères per-mettant de justifier à la fois le choix des modèles financierset les techniques de calibrage considérées.

Dans cet atelier il sera présenté, de manière succincte,plusieurs modèles standards de taux d’intérêt et d’indicesactions en mettant en exergue leurs spécificités. Seront en-suite détaillées différentes méthodologies de calibrageenvisageables. Enfin seront présentées des mesures d’im-pacts sur une valorisation de bilan économique liées auxproblématiques de choix de modèle et de processus decalibrage associés.

Plan de l’atelier :

1. Notion de market consistency et bilan économique– Qu’entend-on par market consistency ?– La construction du bilan économique

2. Modèles de taux d’intérêt et d’indices actions– Spécificités des modèles de taux d’intérêt

et d’indices actions– Techniques de calibrage mises en œuvre en pratique

3. Processus de sélection des modèles financiers et objectivation des méthodes de calibrage– L’argumentation des choix des modèles de l’ESG– Vers un processus de calibrage customisé

4. Mesures d’impacts sur le bilan économique

Les intervenantsLaurent DEVINEAUDirecteur Scientifique et PrincipalMilliman Actuaire certifié membre de l’Institut des actuairesILaurent Devineau est Directeur Scientifique et Prin-cipal au sein du cabinet Milliman. Il est impliquédans de nombreux projets de construction de Mo-dèles Internes Solvabilité II. Laurent a égalementdéveloppé une véritable expertise dans le domainede la modélisation financière et travaille régulière-ment sur les problématiques liées au choix et aucalibrage des modèles risque-neutre pour l’objec-tivisation des valorisations économiques.

Sélection et calibrage des modèlesfinanciers pour la construction du bilan économique : problématiques et méthodologies

Atelier 8

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 27

11h00 -12h00

Zorana GRBACMaître de conférencesLPMA IZorana Grbac est maître de conférences à l’Uni-versité Paris Diderot - Paris 7, où elle enseigneau Master ‘’Modélisation aléatoire’’ et MasterISIFAR. Sa recherche porte sur des probléma-tiques diverses de la modélisation financière.Ses domaines d’expertise sont les modèles detaux d’intérêt, de risque de crédit et le calcul desajustements de valeur (CVA, DVA, FVA). Elle estauteur d’une douzaine d’articles et d’un livre surla modélisation de taux d’intérêt après la crisefinancière.

Peter TANKOVProfesseur de mathématiques financièresLPMAIPeter Tankov est professeur de mathématiquesfinancières à l’Université Paris Diderot - Paris 7où il dirige le master “Modélisation Aléatoire” quia formé plusieurs générations de quants. Il estspécialiste de modélisation financière et auteur

d’un livre et d’une trentaine articles sur les sujetsallant des problématiques de gestion de porte-feuille aux méthodes de calibrage de modèles.Il réalise régulièrement des missions d’expertiseen finance de marché auprès des institutions fi-nancières.

Julien VEDANIConsultant R&D MillimanActuaire associé membre de l’Institut des actuairesIJulien Vedani est consultant R&D au sein du cabi-net Milliman et Doctorant en actuariat au sein duLaboratoire SAF – Université Lyon 1. Il a développéune expertise des approches Modèles Interneset des différentes méthodologies implémentéesdans le dispositif ORSA. Julien est régulièrementimpliqué sur des problématiques de modélisationfinancière market consistent dans les calculs ré-glementaires.

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REVUE DU CONGRÈS - 201628

L’atelier

L a protection des plus-values latentes et des profits futursde l’activité assurance-vie épargne (euro, UC) constitue

un élément important d’une politique active de gestion desrisques axée sur :

– La réduction de la volatilité et protection du capital (via laréserve de réconciliation) ;

– La réduction de l’exigence en fonds propres (via la priseen compte des techniques de réduction de risque dansle calcul du SCR)

– La capacité à maintenir une exposition aux actifs risqués(actions, crédit, immobilier) mais avec contrôle de l’expo-sition aux risques (risk overlay, volatility targeting/control,macro couverture)

Cela suppose :– un renforcement des capacités de modélisation et de

gestion dynamique des risques financiers et hybrides (ou-tils, ressources spécialisées), ainsi que de la gouvernance(définition des politiques, formation des conseils d’admi-nistration, risk monitoring, stress scenarios, contrôle/mai-trise des risques opérationnels induits),

– l’utilisation de tous les outils Solvabilité II disponibles pouren optimiser le traitement prudentiel,

– la maîtrise des impacts comptables résultants du non-ali-gnement des traitements (y compris impact de la PB encomptabilité sociale, normes IFRS, bilan Solvabilité II)

– le traitement des impacts sur la gestion des liquidités (liéà l’utilisation accrue de dérivés en juste valeur)

– le développement d’une communication financière adaptée

Cette présentation mixera des solutions et retours d’expé-riences sur les approches mises en œuvre.

Plan de l’atelier :

1. Présentation des différentes solutions et des enjeux pour les assureurs

2. Retours d’expériences sur les approches mises en œuvre ou envisagées au sein d’Allianz

Les intervenantsBlaise BOURGEOISDirecteur des RisquesAllianz France Actuaire associé membre de l’Institut des actuairesBlaise a 16 ans d’expérience en finance & assurance.De 2000 à 2002, il exerce chez Goldman Sachs àLondres en tant que Structureur (Dérivés actionset obligations convertibles).Il rejoint le Groupe AXA dans les équipes de Cor-porate Finance & Treasury (2003-2008) puis de-vient Responsable des Risques au sein d’AXAHedging Services (2008-2009).En mars 2009, il est nommé Responsable desRisques des produits d’assurance-vie, puis Directeurdes Risques Vie du Groupe AXA en juillet 2011.Depuis septembre 2014, Blaise est Directeur desRisques chez Allianz France. Actuaire membre del'IA, titulaire d'un DEA en économie financière deParis 1, Blaise est diplômé de l'ESCP et de l'ENSAE.

Protection des plus-values latentes et des profits futurs de l’activité assurance-vie épargne (Euro, UC) dans le cadre d’une politique active de gestion des risques

Atelier 9

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 29

11h00 -12h00

François MARMIONExecutive DirectorEY Diplômé d’HEC en 1990, François a passé 23ans sur les marchés de capitaux chez BNP Pa-ribas, UBS, Société Générale, Deutsche Banket Nomura, en Europe (Londres, Paris) et enAsie (Tokyo).François a une très forte expertise dans les dé-rivés actions et hybrides et s'est spécialisédans le développement et l'exécution de solu-tions de couverture, de financement et d'inves-tissement pour les entreprises d'assurancesen Europe, intégrant les aspects juridiques, ré-glementaires et fiscaux.

Ludovic MOREAUManagerEY Docteur de l'université Paris-Dauphine en ma-thématiques financières et contrôle stochas-tique, Ludovic travaille depuis 7 ans sur desproblématiques de couvertures de risques fi-nanciers et les problématiques ALM associéespour les assureurs chez Crédit Agricole Assu-rances, l’école Polytechnique de Zürich (ETH)et EY. Ludovic est expert en modélisation finan-cière, stratégies d'investissement et gestionALM. Il a par ailleurs publié de nombreux arti-cles scientifiques dans des revues de renom-mée internationale sur des sujets liés àl'optimisation de portefeuille et à la couverturefinancière.

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REVUE DU CONGRÈS - 201630

L’atelier

L a digitalisation fait partie du nouvel environnement éco-nomique et une partie de la souscription passera par

ce biais : comment intéresser les clients à certains produitsnon-life et comment les fidéliser dans la durée. En assurance,un nouveau virage s’impose : la transformation digitale etle développement de nouveaux produits.

La digitalisation est une évolution que les assureurs doiventréussir :

– Les clients aspirent à la mobilité, à des échanges sanspapier et adoptent des comportements d’achat non li-néaires que les assureurs ne savent pas gérer ; cf confé-rence de Mountainview.

– La baisse de la rentabilité des activités traditionnellesobligent les assureurs à optimiser leurs coûts sans oublierde renforcer la relation client => en répondant à leursbesoins en termes de nouveaux produits.

– Le renforcement de la concurrence sur tous les marchéspousse à la transformation du réseau et des méthodescommerciales habituelles.

La digitalisation doit permettre de :

– Améliorer la relation client et la performance commerciale.

– Améliorer le partage et le traitement d’informations (Big Data).

– Mieux aborder son client en répondant de manière idoineà ses besoins.

Les intervenantsCédric CAUDERLIERSenior Digital Strategist & Co-founder Mountainview

Nouvel axe stratégique : la digitalisation

Atelier 10

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 31

11h00 -12h00

Patrick DE BAETSChief Executive Officer Forsides BelgiquePatrick a plus de 20 ans d’expérience dans desfonctions de direction de compagnies d’assu-rances et d’entreprises actives dans le secteurde l’assurance : membre de comités de direction,administrateur et CEO de compagnies d’assu-rances, de bureaux de courtage, d’un secrétariatsocial et d’une entreprise active en solutions I.T.Il a notamment exercé des fonctions de directiondans les entreprises suivantes : BNP ParibasAssurances Belgique et Luxembourg, AXA Bel-gium, Touring Assurances, P&V-Vivium.

Jean-François HANNOSSET Président de l’Institut des actuaires en Belgique

Mathieu LAMBERTHead of Non-Life Pricing and Product development Axa BelgiumActuaire qualifié de l’Institut des actuaires en Belgique

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REVUE DU CONGRÈS - 201632

L’atelier

Cet atelier permettra d’aborder :

– Le projet de norme assurance– Les impacts de la norme sur les états financiers et le pi-

lotage– La cohérence avec les autres référentiels et en particulier

Solvabilité II– Les enjeux opérationnels de mise en œuvre

Au cours de cet atelier, nous commencerons par résumerles dernières évolutions du projet de norme IFRS 4 phase 2avant sa publication.

À partir d’un exemple quantitatif appliqué à l’assurance viel’atelier abordera les principaux impacts de la norme sur lesétats financiers et le pilotage des compagnies d’assurance,en particulier :

– lien avec IFRS 9 (juste valeur par capitaux propres, pertesde crédit attendues,…)

– impact sur la volatilité du résultat et des capitaux propres,– cohérence avec d’autres référentiels (Solvabilité II, MCEV).

En conclusion, la présentation abordera les enjeux opéra-tionnels de mise en œuvre.

Les intervenantsJean-Michel PINTONDirecteur de la ComptabilitéCNP Assurances Actuaire associé membre de l’Institut des actuairesDepuis 2007, Jean-Michel Pinton est Directeur dela Comptabilité Groupe de CNP Assurances. Di-plômé du Mastère Techniques Financières del’Essec (1989), actuaire (1998), il débute sa car-rière en tant qu’analyste financier chez Oddo &Cie. En 1993, il rejoint l’agence IBCA (désormaisFitchRatings) pour créer et développer le secteurAssurances à Paris. De 1995 à 1998, il est fondéde pouvoir au sein de la Direction financière dugroupe AGF puis, entre 2001 et 2007, Directeuradjoint en charge des affaires économiques etfinancières à la FFSA. Il est également membrede l’Insurance accounting working group del’EFRAG, de la Commission comptable de l’Ins-titut des actuaires et de la Commission desnormes comptables internationales de l’Autoritédes normes comptables.

IFRS4 phase 2 : le bout du tunnel ?

Atelier 11

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REVUE DU CONGRÈS - 2016 33

11h00 -12h00

Baptiste BRÉCHOTSenior ManagerDeloitte Actuaire associé membre de l’Institut des actuairesBaptiste Bréchot est Senior Manager chez De-loitte. Actuaire, diplômé d’un DEA de finance,Baptiste a été successivement en charge desnormes IFRS puis des modèles et des méthodesactuarielles à CNP Assurances. Il a auparavanttravaillé à AXA France et à la FFSA où il étaitchargé des négociations de place financière etcomptable.

Claude CHASSAINResponsable de l’activité Actuariat Assurance Deloitte Actuaire certifié membre de l’Institut des actuairesClaude Chassain est Associée de Deloitte depuis2011. Elle est membre qualifiée de l’Institut desactuaires français et Fellow de l’Institut des Ac-tuaires britannique (FIA). Elle a débuté sa carrièrechez Bacon & Woodrow en 1997 à Londres. Ellea ensuite rejoint le Groupe Aviva en 2004 où ellea occupé différentes fonctions liées principale-ment au reporting financier (embedded value,IFRS, etc.), à l’audit interne et à la gestion desrisques au Royaume Uni et en France. Au sein deDeloitte elle dirige l’activité Actuariat Assurance.

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REVUE DU CONGRÈS - 201634

14h30 -15h30Table ronde 1

Les intervenants

Jean BERTHONPrésidentFAIDER Actuaire agrégé membre de l’Institut des actuairesJean Berthon est né en octobre 1945, il est diplômé de Polytechnique et de l’Institut des actuaires français. Il a exercédiverses responsabilités dans la banque et l’assurance avant d’être élu en 1994 à la présidence de l’Institut des actuairesfrançais puis en 1998 de l’Association actuarielle internationale. Il a par ailleurs créé en 1997 la Fondation du risquedont il est actuellement vice-président. Elu en 2009 à la tête de la Fédération des associations indépendantes de dé-fense des épargnants pour la retraite (Faider), Jean Berthon siège depuis avril 2009 à la Commission épargnants del’AMF et depuis 2010, à la Commission des pratiques commerciales de l’ACPR. Il est également Président de la Fédé-ration européenne des épargnants et usagers des services financiers (Better Finance) depuis 2013.

Pierre de VILLENEUVEPrésident Exécutif BNP Paribas CardifActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesActuaire, Pierre de Villeneuve est diplômé de l’Institut de Science Financière et d’Assurances (ISFA) de Lyon.Pierre de Villeneuve a participé au développement de Cardif depuis sa création en 1973 et a eu en charge, tour à tour,les grandes fonctions du métier.Directeur Général délégué (1992-2005) puis Directeur Général (2005) de Cardif Assurance Vie, il devient DirecteurGénéral de Cardif Assurances Risques Divers en 2005. Il est nommé Directeur Général (1997-2002) puis DirecteurGénéral délégué (2002-2004) de Cardif SA (holding du Groupe).Il préside l’Association des actuaires diplômés de l’ISFA de 1988 à 1991.Il est membre et administrateur de la Fédération Française des Actuaires (FFA) de 1994 à 1998.De 1996 à 2013, Pierre de Villeneuve est Président du Comité Technique, puis du Comité Vie des assurances de personnesà la Fédération Française des Sociétés d’Assurances (FFSA).De 2004 à 2013, Pierre de Villeneuve exerce la fonction d’administrateur Directeur Général délégué de BNP ParibasCardif et est membre du Comité Exécutif.De 2013 à 2015, Pierre de Villeneuve est Président-Directeur général de BNP Paribas Cardif.Depuis janvier 2016, Pierre de Villeneuve est Président Exécutif de BNP Paribas Cardif.Il est Président du Groupement Français des Bancassureurs depuis juin 2015.

Romain DURAND Directeur GénéralBarents ReActuaire qualifié membre de l’Institut des actuairesRomain Durand est aujourd’hui responsable des opérations vie de Barents Re.Il était auparavant Directeur Général délégué du Groupe Matmut et Président d’Inter Mutuelles Assistance.Il travaille depuis plus de 25 ans dans le secteur des assurances.Il a commencé sa carrière dans le secteur comme Directeur administratif puis commercial chez GMF Vie en 1983.Il a ensuite rejoint Norwich Union France en 1986 en qualité de Directeur marketing direct avant d’en devenir leDirecteur commercial.En 1992 il est nommé PDG du Groupe Baloise en France.En 1996, il devient Directeur Général de SCOR Vie, société de réassurance vie du Groupe SCOR, société qu’il dirigerajusqu’en 2006. À ce titre il a exercé des fonctions internationales, comme Président de SCOR Life Reinsurance USou comme Président de SCOR Deutschland ou encore administrateur de SCOR Italia. Il a participé activement àla fondation de MutRé sur le marché français.

Évolution de l’offre en assurance vie dans le nouveau contexte économique

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Romain Durand est diplômé d’HEC, de Sciences Po Paris, licencié es Sciences Economiques de l’Université deParis et diplômé du Centre des Hautes Etudes d’Assurances. Il est membre qualifié de l’Institut des actuaires etmembre associé de L’institut des actuaires en Belgique.

Thomas GROHSous-Directeur des assurances Direction générale du TrésorM. Thomas Groh est licencié d'histoire et diplômé d'HEC, de Sciences-Po Paris et de l'ENA.Sous-directeur des assurances depuis septembre 2013, il a auparavant occupé diverses fonctions au sein de laDirection générale du Trésor et de l'Agence des Participations de l'Etat autour des questions énergétiques et definancement du développement. Il a été dernièrement chef du bureau en charge de l'AFD et de l'Afrique subsaha-rienne de 2009 à 2011 puis du suivi d'AREVA, de GDF Suez et d'ERAMET.Il a auparavant également été de 2007 à 2009 conseiller de la Présidente du Fonds pour l'Environnement mondial(GEF) à Washington.

Valéry JOSTDirecteur Général adjoint ForsidesActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesValéry Jost, PhD, ancien élève de l’Ecole Normale supérieure et ingénieur des Ponts et Chaussée a exercé à la Di-rection générale du Trésor au sein de l’Agence des participations de l’Etat et de la sous-direction des Assurances,où il a été en charge de la réglementation des produits et marchés d’assurance. En 2005, il a rejoint AXA Franceen tant que Directeur des Comptes et de l’Actuariat Vie. En 2009, il est devenu Directeur Technique et Marketingde l’AGIPI, association partenaire d’AXA spécialisée en épargne, retraite et prévoyance, avant d’occuper à partir defin 2013, la fonction de Délégué Général de l’AGIPI. Il rejoint le groupe Forsides en 2015 en qualité d’associé.

14h30 -15h30

Paris � 17 juin 2016

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Table ronde 2

Les intervenants

Éric BERTHOUXDirecteur délégué Administratif et Financier MaifActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesÉric Berthoux est actuaire ISFA, promotion 1981. Il a occupé différents postes dans le domaine des Assurances dePersonnes avant de rejoindre le Groupe MAIF en 2000. Après avoir participé à la direction de Parnasse-MAIF, filiale Viedu Groupe, il est devenu en 2006 responsable de la Gestion Économique pour ses principales sociétés IARD avantd’être nommé à la direction générale de la MAIF en 2008, en tant que Directeur Administratif et Financier.

Lotfi ELBARHDADISenior DirectorStandard & Poor’sActuaire qualifié membre de l’Institut des actuairesLotfi Elbarhdadi est Senior Director et analyste crédit Assurance au sein de Standard & Poor’s Ratings Services.Ses domaines d’expertise portent sur les secteurs des assurances en Europe, Afrique et Moyen Orient.Lotfi est membre qualifié de l’Institut des actuaires. Il a rejoint Standard & Poor’s en juin 2006, après avoir passé dixannées dans le secteur de l’assurance en France, notamment au sein de la firme internationale d’audit et de conseilErnst & Young ainsi qu’au groupe Azur-GMF. Lotfi est basé à Paris.

Grégory ERPHELINDirecteur FinancierCrédit AgricolePolytechnicien, ingénieur des ponts, des Eaux et de forêts, et titulaire d’un MBA du Collège des Ingénieurs, GrégoryErphelin a commencé sa carrière au Ministère de l’Agriculture en 2001, comme responsable du bureau du créditet de l’assurance. Il est alors chargé de la mise en œuvre des politiques publiques d’appui au financement bancairedes secteurs agricole, agroalimentaire et forestier. En 2005, il est nommé à la Direction générale du Trésor au seinde laquelle il est en charge de la régulation des assurances de biens. En 2008, il intègre le groupe Crédit Agricoleen tant que Directeur de la gestion financière de Predica avant d’être promu en 2012 au poste de Directeur financierde Crédit Agricole Assurances.

Pierre MICHELDélégué Général FFSAActuaire certifié membre de l’Institut des actuairesDiplômé de l’Ecole polytechnique, de Sciences Po, de l’Ensae et de l’Institut des actuaires, il commence sa carrièrecomme commissaire-contrôleur des assurances en 1993. Il est ensuite détaché auprès de l’Inspection générale desFinances, puis auprès de la Commission européenne (Bruxelles) de 1995 à 1998, au sein de la direction générale duMarché intérieur et des services financiers, où il négocie entre autres l’adoption de la directive sur la surveillance com-plémentaire des groupes d’assurance. Il entre alors dans le groupe PartnerRe, dont il dirige notamment l’actuariat vieglobal (Paris et Zurich), puis l’ensemble de l’activité vie pour les marchés France, Europe du Sud, Scandinavie et Asieet enfin, pendant quatre ans, l’activité de dommages et responsabilité au Canada (Toronto). Il rejoint la Caisse Centralede Réassurance (Paris) en 2007 pour y diriger la réassurance des catastrophes naturelles en France et l’informatique,tout en occupant les fonctions de secrétaire du conseil d’administration, avant d’être nommé Directeur Général adjointen charge des finances.

Perspectives d’évolution du marché de l’assurance dans le nouvel environnement économique

16h30 -17h30

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Pour plus d’informations :datascience institutdesactuaires.com - Tél : 01 44 51 77 / 79

Data Science pour l’actuariatL’activité des actuaires est directement concernée par l’impact de la révolution numérique etdu développement des données massives sur les différents niveaux de la chaîne de valeurdes métiers de l’assurance. Dans ce contexte, l’Institut du Risk Management (IRM), sous l’égidede l’Institut des actuaires, propose depuis 2015 une formation opérationnelle en extraction,gestion et analyse des données massives et hétérogènes.

Objectifs pédagogiques

� Développer les compétences techniques des actuaires en informatique permettant d’aborderde façon opérationnelle les problématiques liées aux nouveauxusages du numérique et à la nouvelle typologie des données : diversité et volumétrie.

� Acquérir les éléments de la chaîne de traitement de donnéesmassives : stockage, filtrage, analyse prédictive, validation, visualisation, valorisation.

� Identifier des enjeux économiques(valeur client, tarification person nalisée, prévention ciblée des risques) dans un cadre juridique et déontologique en évolution

� Public visé : Collaborateurs ayant au moins 3 années d’expérience,maîtrisant les techniques de la fonction actuarielle et de gestiondes risques. Une forte attirance vers le traitement informatique des données est requise.

Modalités

� 12 mois de formation de Mars à Avril

� 168 heures de formation

� Immersion dans le monde de la data, via la participation à des concours de type datascience.net/Kaggle

� Les interventions sont assurées par des professionnels du traitement de données massives et des universitaires

� Formation dispensée à temps partiel via des sessions mensuelles de 2 jours consécutifs (hors Juillet-Août).

Programme

� Éléments logiciels et programmation Python

� Datamining et programmation R

� Fondements théoriques de l’apprentissage statistique

� Machine Learning distribué et applications

� Extraction, utilisation, visualisation et valorisation données

� Algorithmique du machine learning et participation à un concours Kaggle

� Études de cas : application de méthodes statistiques sur données massives à des problématiques principalement actuarielles

� Réalisation d’un projet sur un sujet actuariel, sous le tutorat d’un membre du corpsprofessoral de la formation.

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REVUE DU CONGRÈS - 201638

17h30 -18h30Table ronde 3

Les intervenants

Thomas BÉHARPrésident de l’Institut des actuaires - FranceActuaire agrégé membre de l’Institut des actuairesThomas Béhar, 47 ans, actuaire agrégé, membre de l’Institut des actuaires dont il est Président depuis 2012, est diplôméde l’Ecole polytechnique (promotion 1990) et de l’ENSAE. Ingénieur Général des Mines, Thomas Béhar a débuté sacarrière à la Commission de contrôle des assurances. En 1999, il intègre le Groupe Caisse des Dépôts. En 2002, ilrejoint CNP Assurances, dont il est Directeur Technique Groupe depuis octobre 2011, et membre du Comité exécutifdepuis septembre 2013. Il a précédemment présidé l’Institut des actuaires de 2006 à 2010. Il est Président du ComitéScientifique et membre de différents comités de l’Association Actuarielle Internationale (AAI). Il est enseignant enactuariat au CEA, à l’ISUP (Paris VI), à l’ENSAE et à Paris Dauphine. Il est coauteur de Assurance : Comptabilité, Régle-mentation, Actuariat (éd. Economica) paru en 2002. Thomas Béhar est Chevalier de l’Ordre National du Mérite.

CHEN Dong ShengPrésident de l’Association des actuaires chinois (CAA)Dr. CHEN Dong Sheng est le Président du Conseil d'administration et le Président Directeur Général de TaikangLife Insurance Co, Ltd en Chine. Il est par ailleurs le Président de l’Association des Actuaires Chinois (CAA). Docteuren économie de l’Université de Wuhan, il est sorti major de sa promotion. Dr. CHEN est le fondateur de Taikang Life Insurance Co. Ltd, de la China Guardian Auction Company internationaleet Zhaijisong Home Delivery Company.

Philip SHIERPrésident de l’Association Actuarielle Européenne (AAE)Philip Shier est Président de l’Association Actuarielle Européenne (AAE) depuis le 25 septembre 2015. De 1999 à 2014,il a représenté la Société des Actuaires en Irlande (SAI) dans la Commission Retraites de l’AAE, dont il a assuré laprésidence de 2005 à octobre 2011. Philip Shier représente également la SAI au Conseil de l’Association ActuarielleInternationale (IAA) et est Vice-Président de la “Pensions and Employee Benefits Committee” de l’AAI. Il est aussimembre du Comité de Nominations de l’AAI.Président de la Société des Actuaires en Irlande de 2007 à 2009, Philip Shier a également été membre du 1er EIOPAOccupational Pensions Stakeholder Group (OPSG) et l’a présidé lors de son second mandat qui s’est achevé en 2015.Il est Actuaire Senior chez Aon Hewitt (Dublin). Il a plus de 30 ans d’expérience en tant que consultant et conseilleren actuariat auprès d’une grande variété de clients du régime de retraite en Irlande et au Royaume-Uni.

Les actuaires dans le monde - Un monde pour l’actuariat

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Objectifs pédagogiques

� Concevoir, utiliser et mettre à disposition les outils et modèlesd’identification des risques financiers et assurantiels

� Évaluer, analyser et effectuer la synthèse des risques financiers et assurantiels de l’entreprise

� Concevoir et mettre en œuvre la politique de management des risques de l’entreprise

� Diffuser la culture du risque en veillantà la bonne intégration de l’ensembledes collaborateurs et des organes de gouvernance de l’entreprise

� Définir et diffuser les bonnes pratiquesde management des risques

� Public visé : Actuaires qualifiés IAayant au moins 5 années d’expérienceprofessionnelle

Modalités

� 157 heures de formation réparties sur 10 mois

� Les sessions se déroulent dans Paris intramuros

� Les sessions sont assurées par des professionnels de la gestion des risques et par des universitaires

� Les compétences acquises sont évaluées à l’occasion d’une session écrite ainsi que par la rédaction et la soutenance d’un rapport de projet ERM (novembre).

Programme

Conformes au core syllabus établi dans le traité CERA sous l’égide de l’Association actuarielle internationale (AAI, www.actuaries.org) disponible soushttp://www.ceraglobal.org/syllabus :

� Concepts et cadre méthodologique de l’ERM

� Structuration de la fonction ERM

� Identification et catégorisation des risques

� Modélisation et agrégation des risques

� Mesures de risque

� Outils et Techniques du management des risques

� Capital économique

Expert(e) en Management des Risques Financiers et AssurantielsLa gestion des risques est un ensemble d’activités qui permet de maximiser la valeur d’une entreprise oud’un portefeuille en réduisant les coûts associés à la volatilité des flux attendus. Ces activités visent à identifier,évaluer et prioriser les risques pour les traiter méthodiquement. La gestion des risques s’est imposée entant que composante essentielle de la stratégie d’entreprise, en apportant un cadre de référence permettantd’affronter efficacement le risque et l’incertitude.

La création des départements « Gestion des risques » au sein des entreprises répond aux évolutions réglementairesprogressives mais soutenues depuis le début des années 2000 mais aussi aux attentes des parties prenantes.Plus récemment, Solvabilité II a introduit l’obligation d’une fonction clé « gestion des risques » indépendanteau sein des organismes assureurs (à côté d’une fonction actuarielle, d’une fonction de conformité et d’une fonctionaudit interne).

L’Institut du Risk Management (IRM), sous l’égide de l’Institut des actuaires, a mis en place dès 2009, une formationdédiée à la gestion des risques. La validation des compétences donne accès au diplôme de l’IRM ainsi qu’à la quali-fication internationale « CERA » reconnue comme un standard mondial de compétences en gestion des risques.

Pour plus d’informations :formation institutdesactuaires.com - Tél : 01 44 51 72 80http://www.institutdesactuaires.com > La formation > Expert ERM

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REVUE DU CONGRÈS - 201640

Infos pratiques

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Paris � 17 juin 2016

LIEU DU CONGRÈS

HÔTEL MARRIOTT RIVE GAUCHE17 Boulevard Saint-Jacques75014 ParisTel : 01 40 78 79 80

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Notes

ACCÈS

MÉTRO - RER :Ligne 6 (Glacière, Saint-Jacques), Lligne 4 (Denfert-Rochereau)RER B (Denfert-Rochereau)

BUS :n° 21 (arrêt Glacière-Auguste Blanqui)n° 68 (Denfert-Rochereau) Navette Orly Sud (Denfert-Rochereau)

STATIONNEMENT

Stationnement parking de l’hôtel : Tarif : 25 euros par jour

Stationnement en extérieur  : Tarif : 3,00 euros par heure, 21 euros par jour

INSCRIPTION

Le Early Bird 2 est ouvert jusqu’au 15 avril !Réservé aux membres, aux partenaires et aux académiques.Inscrivez-vous vite et profitez du tarif préférentiel !

POUR PLUS D’INFORMATIONS

Rendez-vous sur le site de l’Institut des actuaireswww.institutdesactuaires.com

Abonnez-vous à la newsletter du Congrès !

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