par b. apparu - cerenicimo.fr · et pour les français, qu’il s’agisse de se loger ou de se...
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Economie & Marchés
Logement à Paris : quatre décennies de performances
Economie & Marchés
Crise économique et recomposition du paysage immobilier
Métier & Etude
Etude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager
CerinewsMars / avril 2013 L’Epargne Immobilière par
Quelle politique du logement en période de crise ? Par B. APPARU
Actualité & Rendez-vous
ActualitéRetour sur les évènements du trimestreRendez-vous
P. 27P. 28P. 29
EditoSommaire
Par Benjamin NICAISE
Président de CERENICIMO
Les informations ou photographies figurant dans ce document vous sont communiquées à titre d’information et n’ont pas valeur contractuelle - Crédits photos : Fotolia - V. Joncheray - Manu Molle - OT MenuiresImages de synthèse : Images Créations - mars 2013.
Focus Produit
« La Perle de l’Océan », interview de Serge Blanco P. 14
Métier & EtudeEtude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager
P. 12
Compte-rendu du Comité Consultatif Stratégique du 13 février 2013
Zoom
P. 30
Economie & MarchésQuelle politique de logement en période de crise ?Logement à Paris : quatre décennies de performancesCrise économique et recomposition du paysage immobilier
P. 4P. 6
P. 10
Catalogue Produits
Résidences de TourismeRésidences AffairesRésidences EHPADRésidences SeniorsRésidences Dispositif DuflotOpportunités revente CERENICIMO ASSET Suivi des Acquisitions
P. 16P. 18P. 19P. 20P. 21P. 23P. 24
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 3
Au plan économique, les raisons de se réjouir sont, il faut bien l’avouer,
peu nombreuses. La France va connaître en 2013 une croissance quasi-
nulle, le chômage vient de franchir de nouveaux records avec 11 %
d’inactifs, les finances publiques continuent à être affectées par un
profond déséquilibre et les orientations prises ne semblent pas de nature
à améliorer la situation à court terme.
Notre pays continue de plus à vivre au dessus de ses moyens : le déficit
budgétaire s’imposant en effet comme une habitude de gestion et
rendant ainsi le respect de l’objectif de 3 % de déficit fixé par les traités
européens totalement impossible.
En matière budgétaire, un chiffre sonne comme une sentence : l’évolution
du ratio dette/PIB de la France et de l’Allemagne. Identique pour les
deux états à hauteur de 82 % en 2010, il suit depuis des trajectoires
opposées. Nos voisins sont en effet parvenus à une réduction à hauteur
de 78 % alors que nous poursuivons quant à nous l’escalade pour
atteindre 95 % en 2014.
Seuls les politiques semblent ignorer cette réalité affichant un déni
incompréhensible. Quand l’heure devrait être à la gestion de l’urgence,
une énergie colossale est développée sur des sujets il est vrai, intéressants
(rythmes scolaires, hausse de la fiscalité du diesel…) mais mineurs eu
égard à la situation économique et sociale de notre pays.
Un mot résume malheureusement notre actualité : la crise. Chacun de
nous doit, dès lors, à titre individuel, composer avec cette réalité et
l’intégrer dans ses arbitrages patrimoniaux.
Nous avons ainsi souhaité vous accompagner dans cette démarche en
vous proposant, dans ce numéro, une analyse du support immobilier en
période de crise. Une conclusion s’impose, l’actif immobilier combine
de nombreux atouts : résilience, performances financières, résistance
à l’inflation et accessibilité avec des taux d’emprunt inférieurs aux
rendements des investissements. En un mot : un indispensable des
portefeuilles de vos clients.
celle des mises en chantier. Nous nous retrouvons aujourd’hui dans
une situation quasi similaire et il nous faut donc relancer la dynamique et
préserver le secteur de l’immobilier. Pour cela, le Gouvernement doit se
montrer réactif et pragmatique et ce, par des outils incitatifs, mais surtout,
par la mise en place d’une politique globale en faveur de la construction.
Contrairement aux apparences, immobilier et conjoncture économique
ont des relations pour le moins ambivalentes. Il n’y a pas, à l’évidence, de
lien systématique de cause à effet. Pourtant, il ne faut pas oublier que le
logement représente un enjeu économique considérable. Car relancer
l’immobilier, c’est aussi sauvegarder des emplois, un logement construit
représentant l’équivalent de 1,5 emploi.
A titre d’exemple, le plan de relance que nous avions lancé dès 2008 avait
permis de sauver près de 60 000 emplois dans le secteur de l’immobilier
Nous traversons aujourd’hui une période de crise qui n’épargne pas le
secteur de l’immobilier. Sa fragilité se traduit notamment par la chute de la
construction : pour l’année 2012, la production était de 345 000 contre
435 000 en 2011. Elle sera probablement en dessous des 300 000
logements pour cette année 2013.
Soutenir et préserver le secteur du logement
Après la crise de 2008, nous avons rapidement disposé d’une
construction dynamique grâce notamment aux effets du plan de relance.
Les premiers effets de cette dynamique, à l’époque, se sont retrouvés
dans l’augmentation des permis de construire et, dans son sillage, sur
Quelle politique de logement en période de crise ?
Par Benoist APPARU
Député de la Marne, ancien Ministre chargé du Logement
Economie & Marchés
4 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
et du bâtiment ! Rappelons d’ailleurs que le secteur du logement a été un
des premiers postes de dépense de l’Etat : l’effort de la Nation en faveur
du logement ayan atteint près de 40 milliards d’euros en 2011, cela en
faveur des producteurs comme des consommateurs.
Un besoin spécifique en logement : de nombreux enjeux et des défis
Mais l’immobilier ne peut se penser qu’à un seul niveau. Le logement
n’est pas un bien comme les autres. Derrière tous les équilibres macro-
économiques, derrière tous les dispositifs, n’oublions jamais qu’il y a des
gens. Le logement, la maison, c’est la particule élémentaire de nos vies,
familiales, sociales et professionnelles, un besoin partagé par tous ; une
aspiration légitime de chacun.
Parce que le marché du logement est un marché atypique, il est
indispensable de prendre en compte la dynamique des territoires, de
densifier nos villes pour améliorer les possibilités de construction sur
l’existant, tout en luttant contre l’étalement urbain. Notre mode de
vie, notre société, connait des changements profonds et la politique du
logement doit s’y adapter.
Construire pour tous, oui, mais construire des logements qui répondent
aux réalités sociales et familiales de notre société. Notre monde change, les
attentes des Français évoluent et croissent. Mettre en place une politique
d’envergure dans le domaine de la construction est indispensable, et
cela doit se faire en accompagnant ces changements et en cherchant à
répondre aux exigences nouvelles de nos concitoyens. Afin de répondre
à ces demandes, le secteur de l’immobilier et l’Etat doivent se montrer
ambitieux et relever de nombreux défis. Notamment pour accompagner
les efforts de construction dans tous les territoires et les développer dans
les zones tendues, là où les besoins sont les plus prégnants. Au-delà de
surmonter la crise, il s’agit de rééquilibrer la construction.
Reconnaître qu’il faut construire davantage, c’est accepter l’aide de
tous les acteurs, mobiliser tous les leviers pour y arriver. Comme je le
mentionnais, cela peut passer par des mesures incitatives. L’investissement
locatif en est une. Ces dispositifs ont un impact positif sur le marché du
logement à court terme, ils permettent de soutenir la construction et
nous en avons aujourd’hui besoin. Nous devons soutenir l’investissement
dans le domaine de l’immobilier.
Surtout, la réalisation de tous les actes de construction doit être facilitée.
Mais comment construire lorsque le foncier disponible manque ?
La mobilisation du foncier doit donc être un des piliers de la politique du
logement de notre pays. Mieux utiliser l’espace implique également une
prise en compte de la nécessité de restreindre les freins qui bloquent
souvent un projet.
Il ne faut pas avoir peur de se poser les bonnes questions sur un sujet
aussi important et sur un secteur aussi essentiel pour notre économie
et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un
revenu complémentaire (pour les retraités notamment).
C’est en effet avec des mesures fortes que nous permettrons au
secteur de se projeter dans l’avenir avec un peu plus de confiance.
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 5
estime à 500 000 le nombre de logements à construire, dont
150 000 à vocation sociale.
Mais l’immobilier est bien plus encore. Il est aussi la réponse à
un autre besoin impérieux : celui de se constituer des revenus
complémentaires, notamment en vue de la préparation à
la retraite. Au-delà de ses performances reconnues, il
dispose là encore d’un atout unique : sa résilience. Si
sa valeur patrimoniale peut être passagèrement
impactée en cas de crise, lorsque la situation se
normalise, elle progresse de nouveau. De plus,
pendant tout ce temps, le bien continue à
produire des revenus. Il s’impose donc
comme un support d’investissement
particulièrement opportun, à
privilégier notamment en période
de crise.
Plus qu’un support d’investissement, l’immobilier est la réponse à un
besoin fondamental.
Cette composante peut être illustrée par la Pyramide de Maslow, un
modèle qui distingue cinq grandes catégories de besoins et considère
que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand
le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait.
Le logement, situé à la base de la pyramide, au rang
des besoins de sécurité, s’impose ainsi comme une
nécessité et une charge budgétaire incontournable
pour tout un chacun.
A ce titre, notre pays connaît encore
un profond déséquilibre entre offre
et demande. Rappelons ainsi que
l’actuelle équipe gouvernementale
L’immobilier, un actif "hors catégorie"Un toit sur nos têtes
Des revenus complémentaires pour nos retraites
Accomplissementpersonnel
Estime de soi
Besoins d’appartenanceet de liens sociaux
Besoins de sécurité
Besoins physiologiques
Economie & Marchés
Le logement est le premier actif patrimonial des Français. Qu’il s’agisse
de la résidence principale ou d’un investissement locatif, ils le considèrent
comme un placement. En toute rigueur, c’est un placement de type
Si, de 2002 à 2012, le logement en région parisienne a été le meilleur
des placements – excepté l’or –, entre 1972 et 2002 son rendement
n’a pas toujours été en première position. Pourtant, sur les quarante
dernières années, force est de reconnaître que l’attachement des
Français à la pierre est légitimé par sa performance.
Article publié dans Constructif N° 34 (mars 2013), revue éditée par la Fédération Française du Bâtiment et disponible intégralement sur www.constructif.fr
Par Guy MARTY
Directeur général de l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF), Paris
assez particulier, puisqu’il intègre des considérations liées à la propriété
d’un bien et à la sécurité qui en découle, et qu’il est généralement
l’objet d’un attachement affectif. De plus, il est souvent acquis à l’aide
d’un crédit, et la décision d’acheter un logement repose parfois sur la
simple comparaison entre une mensualité de remboursement et un
loyer, ce qui n’est pas le nec plus ultra d’un raisonnement strictement
financier.
Tous ces aspects en font un placement en quelque sorte « hors
catégorie » par rapport à des produits d’épargne plus purs – au sens
d’un objectif de rentabilité – que sont l’assurance-vie, les actions ou
l’or. Mais rien n’interdit de comparer les performances ! Nous allons
reprendre les résultats d’une étude régulière de l’Institut de l’Epargne
Immobilière et Foncière (IEIF) qui compare les principaux placements
Logement à Paris :quatre décennies de performances
6 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui
présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible
séisme de 2008, en est un parfait exemple.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le
logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations
a perdu la moitié de sa « valeur logement », et un portefeuille actions,
40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui
veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement
sur la période.
1992-2012 : des hauts et des bas
Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et
encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement
gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle
Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la
période, la performance a été légèrement inférieure au logement. Les
obligations ont perdu sur ces vingt années la moitié de leur « valeur
logement » et, là encore, tout placement était meilleur que l’inflation.
1982-2012 : vive la Bourse !
sur une longue période – depuis 1972 exactement – en examinant leurs
comportements spécifiques au fil des environnements économiques et
monétaires qui se succèdent.
En revanche, nous allons adopter ici une approche peut-être
surprenante mais instructive. Plutôt que de comparer les placements
en pourcentages de rentabilité, ce que nous avons déjà largement
publié ailleurs, nous allons nous livrer à un exercice inhabituel. Puisque
le logement est le premier investissement des Français, nous allons le
prendre comme référence, comme point fixe, et examiner ce que les
autres placements ont fait par rapport à lui…
Quelques précisions de méthode
Pour les besoins des séries longues, nous nous sommes limités au
logement parisien, ce qui est rendu possible par les données de la
chambre des notaires de Paris Île-de-France, de l’Observatoire des
loyers de l’agglomération parisienne (Olap) et par les travaux de Jacques
Friggit. Les graphiques seraient quelque peu modifiés si nous avions pu
disposer de séries longues sur d’autres grandes villes de France, mais
pas fondamentalement.
Nous avons ainsi calculé la performance du logement – ce qui est
théorique mais répond aux besoins de la comparaison – en supposant
que le loyer (réel ou fictif pour un propriétaire) était réinvesti, après
avoir procédé à un abattement de 25 % pour tenir compte des charges
et des travaux. De même pour les actions et les obligations, nous avons
réinvesti les dividendes en revenus.
Pour le placement en obligations, qui constitue d’ailleurs un bon
« proxy » de l’assurance-vie, nous avons retenu la performance
moyenne des sicav obligataires françaises. La fiscalité n’a pas été prise
en compte. Pour comparer, il fallait donc simplifier. Mais cette limite
apportée à la précision des résultats est largement estompée, comme
nous allons le voir, par l’ampleur des écarts entre placements.
2002-2012 : vive le logement parisien !
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CONSTRUCTIF
Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Source : IEIF.
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Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Source : IEIF.
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tyGraph.1 Performances par rapport au logement sur dix ans
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Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
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Graph.2 Performances par rapport au logement sur vingt ans59
CONSTRUCTIF
Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
����������������������������
Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
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CONSTRUCTIF
Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
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Graph.3 Performances par rapport au logement sur trente ans
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 7
Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions
surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. Mais, à nouveau,
qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?
Les obligations ont fait un parcours inégal, équivalant au logement de
1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont
connu une hémorragie importante. Malgré sa récente remontée, l’or a
perdu près de 90 % de sa « valeur logement » sur la période du fait de
sa chute entre 1982 et 1992 qu’il n’a pas encore rattrapée. Mais, et cela
mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux
que l’inflation.Le graphique 3 est instructif au regard des placements
sur la période et de leurs mouvements intermédiaires, mais il a moins
de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des
portefeuilles actions effectivement détenus.
1972-2012 : le logement, encore
Le graphique 4 est encore plus éloigné des durées de détention des
différents placements, mais il ajoute un éclairage précieux sur les
mouvements de ces quarante dernières années, avec le choc pétrolier
de 1974 et une forte inflation jusqu’au début des années 1980, puis
la chute du mur de Berlin et la poussée de la finance sur fond de
mondialisation.
Bilan
Performances réelles ou virtuelles, à l’issue de ce panorama des résultats
sur quatre décennies, nous devons nous interroger sur le caractère
théorique ou pratique des chiffres présentés.
Il existe en effet une autre hiérarchie que celle des performances, à
savoir celle de l’adéquation entre les performances affichées par un
actif et la possibilité pour des investisseurs de réaliser ces mêmes
performances sur la même période.
Pour l’or, pas de problème, les chiffres publiés correspondent
rigoureusement aux résultats des investisseurs réels.
rarement sur quelques années, très exceptionnel-lement sur le long terme. Là encore, les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) réduisent sensiblement l’écart, mais on sait qu’il subsiste un sérieux éventail de perfor-mances. Certaines sicav et certains fonds communs de placement (FCP) font durablement mieux que l’indice, d’autres moins. Les ordres de grandeur sont cependant préservés, et les performances boursières ont été assez typées : tristesse dans les années 1970, enthousiasme depuis, désespoir à partir de 2000 avant le rebond de ces quatre dernières années, pour que l’investisseur ait géné-ralement pu connaître des performances qui res-semblent aux grands mouvements des indices.
Au total, on peut penser que les particuliers re-trouvent assez bien leurs propres expériences dans les graphiques présentés.
Et maintenant ?
Une première lecture des quarante dernières années montre que le premier investissement des Français… leur a donné raison ! L’attachement à la pierre est ainsi légitimé, par exemple pour les 55 % des mé-nages qui étaient déjà propriétaires au début des années 2000, et qui ont été sur la dernière décennie bien mieux protégés qu’avec tout autre placement, à l’exception de l’or. Toute la question est de savoir si les courbes qui seront publiées dans dix ou vingt ans présenteront la même hiérarchie.Le logement est un actif d’utilité, mais aussi de ra-reté. Ce qu’il y a derrière la robustesse de ses per-formances, c’est un couple étonnant de démographie dynamique et de construction insuffisante. D’où un parcours qui est relativement anormal par rapport à l’actif d’efficacité que sont les actions : mais celles-ci reflètent par ailleurs dans leurs piètres perfor-mances la dureté des effets de la mondialisation sur l’économie française. Une anomalie pour une autre !Le niveau des prix et des loyers est un aspect essen-
-rait s’interroger sur les origines de cette situation, et sur des politiques du logement certes menées avec énergie et bonne volonté mais qui ont abouti à un blocage d’une telle absurdité économique. Nous n’entrerons pas ici dans ce débat.Toutefois, dans une optique de moyen ou long terme, on peut considérer que l’effort de construc-tion finira, tôt ou tard, par alléger la pression et réé-quilibrer le rapport entre l’offre et la demande. En incluant cette hypothèse, somme toute vraisem-blable, on peut sans trop de risques envisager pour l’avenir une remontée des actifs d’efficacité que sont les actions, ce qui serait un retour à l’équilibre. Mais ce même équilibre impliquerait aussi que le logement continue d’afficher des performances su-périeures aux obligations et à l’inflation.Rendez-vous en 2022 pour le graphique suivant ! �
1972-2012 : le logement, encore
Le graphique 4 est encore plus éloigné des durées de détention des différents placements, mais il ajoute un éclairage précieux sur les mouvements de ces quarante dernières années, avec le choc pétro-lier de 1974 et une forte inflation jusqu’au début des années 1980, puis la chute du mur de Berlin et la poussée de la finance sur fond de mondialisation.
GRAPHIQUE 4. PERFORMANCES PAR RAPPORT AU LOGEMENT SUR QUARANTE ANS
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Performances réelles ou virtuelles
À l’issue de ce panorama des résultats sur quatre décennies, nous devons nous interroger sur le carac-tère théorique ou pratique des chiffres présentés.Il existe en effet une autre hiérarchie que celle des performances, à savoir celle de l’adéquation entre les performances affichées par un actif et la possi-bilité pour des investisseurs de réaliser ces mêmes performances sur la même période.– Pour l’or, pas de problème, les chiffres publiés
correspondent rigoureusement aux résultats des investisseurs réels.
– Pour le logement, il y a naturellement des écarts selon la localisation et selon la qualité, mais les tendances ont la particularité d’être très homo-gènes, et l’évolution moyenne est assez fidèle aux performances de chacun.
– Les obligations, en revanche, peuvent susciter des différences. En ce qui concerne les investisseurs qui ont souscrit des sicav obligataires, on ne peut nier en effet qu’il y ait eu des écarts de perfor-mances entre les différentes sicav, mais ces écarts ont été suffisamment faibles pour que les résultats individuels soient assez proches de ceux publiés.
– La distorsion est plus grande pour les actions. -
ticuliers gagnent parfois pendant quelque temps,
59
CONSTRUCTIF
Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la
placement était meilleur que l’inflation.
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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.
sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.
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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
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Source : IEIF.
À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la
actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.
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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations
Source : IEIF.
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Graph.4 Performances par rapport au logement sur quarante ans
Pour le logement, il y a naturellement des écarts selon la localisation
et selon la qualité, mais les tendances ont la particularité d’être très
homogènes, et l’évolution moyenne est assez fidèle aux performances
de chacun.
Les obligations, en revanche, peuvent susciter des différences. En ce
qui concerne les investisseurs qui ont souscrit des sicav obligataires, on
ne peut nier en effet qu’il y ait eu des écarts de performances entre les
différentes sicav, mais ces écarts ont été suffisamment faibles pour que
les résultats individuels soient assez proches de ceux publiés.
La distorsion est plus grande pour les actions. « Faire l’indice » est
un sport dans lequel les particuliers gagnent parfois pendant quelque
temps, rarement sur quelques années, très exceptionnellement sur le
long terme. Là encore, les organismes de placement collectif en valeurs
mobilières (OPCVM ) réduisent sensiblement l’écart, mais on sait
qu’il subsiste un sérieux éventail de performances. Certaines sicav et
certains fonds communs de placement (FCP ) font durablement mieux
que l’indice, d’autres moins. Les ordres de grandeur sont cependant
préservés, et les performances boursières ont été assez typées : tristesse
dans les années 1970, enthousiasme depuis, désespoir à partir de 2000
avant le rebond de ces quatre dernières années, pour que l’investisseur
ait généralement pu connaître des performances qui ressemblent aux
grands mouvements des indices. Au total, on peut penser que les
particuliers retrouvent assez bien leurs propres expériences dans les
graphiques présentés.
Et maintenant ?
Une première lecture des quarante dernières années montre que
le premier investissement des Français… leur a donné raison !
L’attachement à la pierre est ainsi légitimé comme en témoignent par
exemple les 55 % des ménages qui étaient déjà propriétaires au début
des années 2000 et qui ont été, sur la dernière décennie, bien mieux
protégés qu’avec tout autre placement, à l’exception de l’or. Toute la
question est de savoir si les courbes qui seront publiées dans dix ou
vingt ans présenteront la même hiérarchie.
Le logement est un actif d’utilité, mais aussi de rareté. Ce qu’il y a
derrière la robustesse de ses performances, c’est un couple étonnant
de démographie dynamique et de construction insuffisante. D’où un
parcours qui est relativement anormal par rapport à l’actif d’efficacité
que sont les actions, celles-ci reflètant, dans leurs piètres performances,
la dureté des effets de la mondialisation sur l’économie française. Une
anomalie pour une autre !
Le niveau des prix et des loyers est un aspect essentiel de la « crise »
actuelle du logement. On pourrait s’interroger sur les origines de cette
situation et sur des politiques du logement certes menées avec énergie
et bonne volonté mais qui ont abouti à un blocage d’une telle absurdité
économique.
Nous n’entrerons pas ici dans ce débat.
8 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
CREDIFINN, trophée d’argent du Palmarès Gestion de Fortune 2013, dans la catégorie Établissements et courtiers en crédit immobilier
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Economie & Marchés
Crise économique et recomposition du paysage immobilier
10 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Par Christine ROqUIER
Chargée de Missions - CERENICIMO
La crise économique que nous traversons est à l’origine d’une
recomposition profonde et probablement durable du paysage
immobilier. En voici quelques aspects.
Crise, immobilier et fiscalité : vers une nouvelle donne
Tout d’abord sur le terrain de la performance, les solutions d’hier ne
sont manifestement plus celles d’aujourd’hui.
Les difficultés macroéconomiques que notre pays traverse depuis
plusieurs années maintenant ont guidé nos dirigeants vers une
austérité budgétaire sans précédent. La Loi de Finances pour 2013
a en effet marqué le début d’une augmentation massive du poids de
la fiscalité : nouvelle tranche de l’IR, réforme de l’ISF, alignement de
la fiscalité du capital sur celle du travail… La liste est longue et les
sphères préservées de cette tendance peu nombreuses.
La conséquence est ainsi sans appel : s’il était par le passé possible -
quoique peu prudent - d’ignorer le poids de la fiscalité au moment
de réaliser un investissement, cela semble désormais totalement
suicidaire. Et nos concitoyens l’ont bien compris.
Selon l’enquête IFOP sur le comportement d’épargne des Français
réalisée début 2013 pour CERENICIMO, 75 % des répondants
intègrent le niveau d’imposition à l’analyse de la performance d’un
investissement.
Légende :
Avantage au dispositif Censi-Bouvard
Avantage au régime des amortissements classiques (LMNP)
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 11
touché : celui des résidences services seniors.Si ce segment répond
à des besoins avérés, il impose une expertise et une technicité toute
particulière.
Une affaire de spécialistes
De manière générale, l’immobilier géré est une affaire de spécialistes.
Le bail commercial est un support technique qui exige une expertise
particulière. En la matière, le rappel des points de vigilance sonne
pour nous comme un leitmotiv :
• Expérience,savoir-faireetsurfacefinancièrede
l’exploitant
• Architecturejuridiqueetfiscale
• Cohérencedel’équationéconomique…
Seule une approche experte garantira alors la pérennité de
l’investissement.
Ainsi, en matière d’investissement immobilier, la crise introduit la
sortie de l’ère de la défiscalisation pour entrer dans celle de la non
fiscalisation.
Le LMNP, une oasis préservée du durcissement fiscal actuel
A la question posée plus haut, que faire au moment de choisir un actif
immobilier, une réponse s’impose : privilégier le statut de Loueur
en Meublé. A l’origine de la constitution d’une rente non fiscalisée,
il est un véritable rempart contre les réformes fiscales actuelles et
devient un indispensable des portefeuilles de vos clients. Il affiche
par ailleurs des rendements particulièrement attractifs qui finissent
d’emporter la conviction.
Crise et recomposition de l’offre immobilière : attention aux effets de mode.
Si les atouts du support meublé sont multiples, gare aux effets de
mode ! De nombreux opérateurs ont bien compris les atouts de
cet actif et entament, à ce titre, des reconversions plus ou moins
heureuses vers l’immobilier géré. On ne compte en effet plus le
nombre de projets allant dans ce sens et émergeant d’intervenants
novices en la matière. Un marché est d’ailleurs tout particulièrement
La fin de l’ère de la défiscalisation
Dès lors, que faire si l’on se préoccupe de la fiscalité au moment
d’investir ? Opter pour les niches fiscales ?
Malheureusement, elles ont subi un sort peu enviable. Les supports
proposés sous dispositif Duflot offrent, de manière générale,
des rendements limités et imposent de s’en tenir en la matière à
une démarche d’opportunité. Sur le terrain du dispositif Censi-
Bouvard, les conclusions ne sont guère plus réjouissantes. Cette
loi ne présente un véritable intérêt que pour une frange limitée
d’investisseurs : ceux affichant une TMI basse, comme l’illustre le
tableau ci-dessous :
Gain d’impôt théorique constaté après neutralisation d’une partie des revenus locatifs par l’imputation des amortissements sur les différentes durées. Montant total des amortissements imputés sur la durée désirée :
3,30 % x (1 - 10 % [d’amortissemnet terrain])x nombre d’années x (TMI + prélèvements sociaux)
Tranche Marginale d’imposition + prélèvements sociaux
0 +15,5 %
4,60 %
6,90 %
9,21 %
11,51 %
13,81 %
10 ans
15 ans
20 ans
25 ans
30 ans
14 % +15,5 %
8,76 %
13,14 %
17,52 %
21,90 %
26,28 %
41 % +15,5 %
16,78 %
25,17 %
33,56 %
41,95 %
50,34 %
5 % +15,5 %
6,09 %
9,13 %
12,17 %
15,22 %
18,27 %
30 % +15,5 %
13,51 %
20,27 %
27,03 %
33,78 %
40,54 %
45 % +15,5 %
17,97 %
26,95 %
35,94 %
44,92 %
53,91 %
11 %
11 %
A l’origine de la constitution d’une rente non fiscalisée, il est un véritable rempart contre les réformes fiscales actuelles et devient un indispensable des portefeuilles de vos clients.
Métier & Etude
Etude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager
12 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Depuis de nombreux mois, les experts s’accordent à parler de
crise, constatant une croissance en berne et un taux de chômage
en hausse. Selon l’étude IFOP/CERENICIMO menée en 2013,
l’inquiétude persiste mais se double d’une prise de conscience : la
nécessité d’agir et d’anticiper sur le front patrimonial.
Il est urgent d’agir
Si pour plus de 80 % de nos concitoyens(1), les pensions de retraite
sont jugées insuffisantes et seront même à l’avenir inexistantes, il
apparait nécessaire pour près de 90 % d’entre eux de se constituer
des revenus complémentaires dès aujourd’hui ! Tout attentisme
est donc à proscrire en matière de préconisation patrimoniale, la
génération de revenus complémentaires étant une attente forte
exprimée très clairement.
(1) 402 personnes interrogées en novembre 2012, âgées entre 35 et 64 ans disposant d’une capacité minimale d’investissement supérieure à 200 € par mois.
Insuffisantes53 %
Suffisantes19 %
Très insuffisantes23 %
Des pensions retraite jugées...
Inexistantes4 %
Confortables 1 %
Oui, tout à fait43 %
Oui, plutôt46 %
Se constituer des revenus complémentaires dès aujourd’hui, une nécessité ?
Non, pas du tout 1 %
Non, plutôt pas10 %
Projection sur les pensions retraite
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 13
La retraite au cœur du discours commercial
La retraite est un sujet qui parle aux Français et est tout à fait
adéquate pour construire une véritable démarche commerciale,
depuis la prise de contact jusqu’à la préconisation finale. Pour vous
permettre de poursuivre votre développement en capitalisant sur
cette thématique, Cerenicimo vous propose une approche globale
d’accompagnement qui vise à favoriser la prise de décision de
l’investisseur. Elle se décompose en 5 temps.
1/ Obtenir un rendez-vous
Pour cette première étape, Cerenicimo met gratuitement à votre
disposition plusieurs outils de communication : une édition spéciale
retraite de l’Epargne Immobilière, un e-mail dédié à la retraite ainsi
qu’une vidéo, le tout, vous permettant de sensibiliser vos futurs
clients. Les messages sont clairs, concis et interpellent : « La Retraite,
comprendre pour agir », « Et vous, quel montant toucherez-vous
au moment de votre retraite ? »...
Ils ont été conçus comme la base d’une véritable démarche de
prospection/fidélisation.
> Retrouvez ces outils de communication :
http://marketing.cerenicimo.fr
http://retraite.cerenicimo.fr/video
2/ Pousser à agir
Une fois le rendez-vous obtenu, un simulateur retraite vous permet
de dresser un bilan de la situation de votre client. Le constat est
le plus souvent sans appel : l’écart entre le niveau de revenus en
fin d’activité et celui des pensions est très significatif et met en
lumière la nécessité d’agir. Conclusion, pour conserver le même
niveau de vie à la retraite, il faut anticiper pour générer des revenus
complémentaires.
> Accédez au simulateur via notre portail retraite :
http://retraite.cerenicimo.fr
3/ Démontrer la performance de la location meublée : l’approche par le rendement net
D’après l’étude IFOP, les Français intègrent très majoritairement
l’inflation et leur niveau d’imposition lorsqu’ils analysent la
performance d’un placement. Pour répondre à cette attente forte,
Cerenicimo vous propose un outil de comparaison par le rendement
net d’impôt et d’inflation. Les performances de différents actifs sont
ainsi facilement comparables. Cet outil vous permet notamment
d’apporter la preuve par l’exemple de la pertinence de la location
meublée.
> Disposez simplement de cet outil :
http://comparatif.cerenicimo.fr
4/ Présenter la location meublée simplement
Après avoir évoqué la performance, une présentation du
mécanisme de la location meublée s’impose. Notre Guide de la
location meublée vous permet, à ce titre, de gagner en efficacité et
en clarté. Largement méconnu des particuliers, ce montage peut
en effet s’avérer anxiogène en cas de présentation trop technique.
Ce document présente de façon claire et
concise son fonctionnement et en décline
les nombreux atouts.
Disponible via notre interface
marketing, vous avez la possibilité,
en tant que partenaire, de créer
votre support personnalisé et
de l’imprimer pour l’envoyer
à vos clients.
5/ Votre expertise au service des investisseurs
Suite à cette présentation, le choix vous appartient d’opter pour un
marché et de préconiser un produit en particulier. Cette démarche
n’a pas vocation à remplacer votre travail quotidien de conseil, elle
s’inscrit simplement dans la logique d’un partenariat dont le but
est simple : vous apporter des outils innovants et efficaces vous
permettant de poursuivre votre développement.
Pour tout complément d’information, vous pouvez solliciter votre Chargé(e) de Partenariat ou nous contacter par e-mail à l’adresse suivante : [email protected]
Focus Produit
14 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
« La Perle de l’Océan », interview de Serge Blanco
Par Christine ROqUIER
Chargée de Missions, CERENICIMO
« La Perle de l’Océan », c’est un nouveau concept de résidence 4 étoiles, pouvez-vous nous en dire un peu plus ?
« La Perle de l’Océan » est le « premier bébé » né de 3 fortes volontés
- Park & Suites, Océanis et Serge Blanco - de rendre à la nature sa force
et ses valeurs. Le concept : une résidence de tourisme**** proposant des
espaces à vivre haut de gamme, appelant au respect de la nature et au
bien-être, le tout appuyé sur un centre de balnéothérapie répondant au
besoin de se retrouver, de se ressourcer et associé à notre expertise de
20 années à Hendaye.
Quels seront les infrastructures et services proposés dans cet établissement de prestige ?
La résidence propose des piscines intérieure et extérieure, des zones
de soins très complémentaires combinant les bienfaits de l’eau,
des algues, des boues, la détente des modelages et les sensations
parfumées de l’aromathérapie. Ce lieu est parsemé d’îlots au milieu de
la nature et comprend logements, salles de séminaires, restaurant, bar,
balnéothérapie...
Avec la proximité de l’Océan, ces îlots ont évoqué, pour nous, des perles
naturelles que nous avions envie de faire découvrir.
Pourquoi le site du Cap-Ferret a-t-il été retenu ?
Le site du Cap-Ferret a attiré notre attention pour son environnement
protégé, entre le Bassin d’Arcachon et l’Océan, au milieu des pins. Un
des derniers sites autant préservé et si proche de l’agglomération de
Bordeaux. A moins d’1h, le potentiel clients dépasse le million.
Dans la définition de ce projet, quel rôle a joué la préoccupation environnementale et l’intégration au milieu naturel ?
L’environnement a été au coeur de nos réflexions. Il se traduit aujourd’hui
par une implantation réfléchie de l’ensemble des logements et services
répartis par îlots dans la nature.
Une première étape sera la coupe éco-responsable des arbres avec
préservation des zones tampons arborées. La deuxième sera de
pouvoir démontrer la réutilisation des bois coupés. La troisième : notre
engagement à replanter tous les arbres coupés.
Quels seront les avantages concurrentiels de cette résidence ?
La situation de « La Perle de l’Océan », aussi protégée, en pleine nature,
entre le Bassin et l’Océan, en fait pour nous, un vrai argument. Il s’agira
du premier « Resort » de ce niveau, avec services associés, sur le bassin.
Second argument, son amplitude d’ouverture quasi-annuelle de par les
services proposés : balnéothérapie, restaurant, bar, salles de réunions
sera un véritable atout.
L’avantage de la thématique traitée, la balnéothérapie, me semble aussi
un vrai point fort couplé à l’expérience prouvée de notre savoir-faire
depuis plus de 20 ans maintenant. Pour finir, chacun de nos parcours de
soins est étudié pour le bien-être de toutes et tous.
Parlez-nous de l’expertise « Serge Blanco Thalasso et Spa » ?
La Thalasso Blanco à Hendaye, depuis 1991, c’est 4 000 m² de bassins,
de cabines de soins où sont proposés massages et modelages, de
soins humides telle la douche à jets et les bains bouillonnants mais aussi
l’utilisation des nouvelles technologies dans un objectif esthétique. C’est
également un spa de 400 m², un accompagnement en restauration
diététique et une vraie expertise du bien-être.
Pouvez-vous revenir sur la création de la signature « Park & Suites by Blanco » ?
« Park & Suites by Serge Blanco » est née de ma rencontre avec le
Président Patrice Cavalier et de notre volonté à tous deux de construire
un partenariat riche en expériences susceptible d’avancer dans le temps.
« La Perle de l’Océan » est donc une opportunité d’investissement à saisir d’urgence ?
A nos futurs investisseurs, je dirais que l’association des savoirs Océanis,
Park & Suites et Serge Blanco est gage de réussite et de pérennité. « La
Perle de l’Océan » au Cap-Ferret est née après 2 ans d’intenses réflexions
quant à ce que nous voulions proposer : qualité, respect de la nature,
environnement protégé, cocooning, convivialité et sérieux. Des éléments
sur lesquels je me suis toujours construit tout au long de ma carrière de
joueur et capitaine du XV de France.
Résidence ****La Perle de l’Océan
Lège-Cap-Ferret (33)
Un site d’exception entre dunes, pinède et océanUn concept**** unique et novateur avec balnéothérapieUne résidence dédiée à la détente et au bien-être
16 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Catalogue Produits - Programmes à la commercialisation
1
3
Résidence « Les 7 Iles » - PERROS-GUIREC (22)
Résidence « La Forêt » - LA COLLE SUR LOUP (06)
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr
2
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8
6
9
1
4
3
TourismeRésidences
5
2 Résidence « Domaine de la Baie » - AUDIERNE (29)
A partir de 92 400 € HTRendement mobilier inclus 5,00 % HT/HT
Rendement hors mobilier 5,35 % HT/HT (1)
Formule d’occupation possible
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
Cens i -Bouvard
(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche. (2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.
Engagement
Liqu
idité
(2)Engagement
Liqu
idité
(2)
Engagement
Liqu
idité
(2)A partir de 156 300 € HTRendement mobilier inclus 4,70 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,90 % HT/HT (1)
Livré
Livraison 2013
A partir de 119 000 € HTRendement mobilier inclus 4,80 % HT/HT
Rendement hors mobilier 5,00 % HT/HT (1)
Résidence « Les Bergers II » - PRA LOUP (04)4
Un des plus grands domaines skiables des Alpes du SudUn emplacement exceptionnel à 250 m des remontées mécaniquesFormule d’occupation possible
Livré
Classique
Cens i -Bouvard
Engagement
Liqu
idité
(2)
A partir de 122 000 € HTRendement mobilier inclus 4,90 % HT/HT
Rendement hors mobilier 5,10 % HT/HT (1)
Une situation au cœur d’un écrin paysager exceptionnel de 6 hectares, •à proximité du port et des commerces.
Une résidence• *** aux prestations de standing comprenant piscines intérieure et extérieure chauffées, sauna, hammam, salon de massage, fitness...
Une centaine de villas jumelées, du T2 au T4, réparties en hameaux •intimistes et des formules d’occupation pour un investissement plaisir.
Un prix immobilier moyen de 2 553 €/m² • HT particulièrement compétitif au regard du marché local permettant d’obtenir un rendement exceptionnel de 5 % HT/HT.
Le savoir-faire reconnu de NEMEA, fort de son développement •régulier depuis sa création en 1994.
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 17
A partir de 95 800 € HTRendement mobilier inclus 4,80 % HT/HT
Rendement hors mobilier 5,20 % HT/HT (1)
Formule d’occupation possible
Résidence « Les Coteaux de Sarlat » - SARLAT (24)
A partir de 129 000 € HTRendement mobilier inclus 5,00 % HT/HT
Rendement hors mobilier 5,25 % HT/HT (1)
Livré
7 Résidence « de La Plage » - LA BAULE/PORNICHET (44)
A partir de 138 000 € HTRendement mobilier inclus jusqu’à 4,20 % HT/HT
Rendement hors mobilier jusqu’à 4,35 % HT/HT (1)
Formule d’occupation possible
5 Résidence « Le Chastillon » - ISOLA 2000 (06)
(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche. (2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.
8
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
EngagementLi
quid
ité
(2)
Engagement
Liqu
idité
(2)
6 Résidence « Les Mas des Alpilles » - LE PARADOU (13)
A partir de 117 300 € HT Rendement mobilier inclus 4,60 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,80 % HT/HT (1)
Formule d’occupation possible
Classique
Cens i -Bouvard
Engagement
Liqu
idité
(2)
Livraison 2013
A partir de 115 000 € HTRendement mobilier inclus 4,30 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,45 % HT/HT (1)
Résidence « La Perle de l’Océan » - LEG-CAP-FERRET (33)9
Classique
Cens i -Bouvard
Une situation géographique privilégiée à moins d’une heure de Bordeaux, au cœur du bassin d’Arcachon.•
Un produit rare aux conditions particulièrement attractives sur un marché immobilier établi et lisible.•
Un concept unique, axé sur le bien-être et le savoir-faire de Serge Blanco, ancien rugbyman et professionnel de •la thalassothérapie depuis plus de 20 ans.
Une résidence• **** aux prestations haut de gamme implantée sur un site naturel d’exception entre dunes, forêt de pins et océan.
Park & Suites, l’un des leaders français dans l’exploitation de résidences de tourisme à vocation affaires et •loisirs.
Présentation officielle le 2 avril à Paris Cf p. 29
http://www.cerenicimo.fr/perleocean
Livraison 2013
Livraison 2013
Livraison fin 2014
18 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr 1
EtudiantesRésidences
A partir de 84 800 € HTRendement mobilier inclus 4,10 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,20 % HT/HT (1) LOGEMENT et SERVICESÉTUDIANTS
1 Résidence « Le Cerdana » - TOULOUSE (31)
Engagement
Liqu
idité
(2) (3)
Pré-loyers sur les 120 premiers lots calculés sur la base du taux annuel brut de 4,10 % HT du montant de l’immobilier HT débloqué
Classique
Cens i -Bouvard
Un emplacement privilégié dans la 3• ème ville étudiante française à seulement 10 minutes de la place du Capitole et au sein d’un quartier en pleine mutation parmi les plus conviviaux et les plus prisés de Toulouse.
246 studios conçus pour une clientèle étudiante de plus en plus •exigeante à la recherche de confort et de fonctionnalité.
Un prix de vente compétitif tant au niveau du quartier que de la ville à •partir de 84 800 € HT (hors frais d’acquisition).
Un projet ambitieux au rendement attractif de 4,10 % • HT/HT (1).
Une gestion assurée par un expert de la résidence étudiante fort de •plus de 20 ans d’expérience.
(1) Rendement mobilier inclus soit 4,20 % HT/HT hors mobilier (rendement moyen arrondi au dixième le plus proche).
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr
AffairesRésidences
1 Résidence « Parc d’Affaires Vannes-Golfe » - VANNES (56)
A partir de 85 200 € HTRendement mobilier inclus 4,50 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,70 % HT/HT (1)
Classique
Cens i -Bouvard Livré
1
(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche. (2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.(3) Pour les réservations à compter du 2 novembre 2012 et dans la limite des 120 premières reservations.
Catalogue Produits - Programmes à la commercialisation
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 19
1 Résidence « Les Feuillants » - BROSVILLE (27)
(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche.
A partir de 118 700 € HTRendement mobilier inclus 4,90 % HT/HT
Rendement hors mobilier 5,00 % HT/HT (1)
Un cadre exceptionnel au sein du Château de Brosville.Un gestionnaire, acteur historique de la gestion d’EHPAD sur la région.
2 Résidence « du Port » - ST DENIS DE L’HOTEL (52)
A partir de 172 000 € HTRendement mobilier inclus 4,40 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,50 % HT/HT (1)
Zoom sur le groupe
Un acteur historique de la gestion d’EHPAD sur le secteur de haute et basse •Normandie avec 9 établissements, soit près de 540 lits autorisés.
Une expérience et un savoir-faire avérés dans la prise en charge globale de •la dépendance depuis près de 20 ans.
Un groupe en développement avec un chiffre d’affaires en constante •progression et 4 nouveaux projets prévus à court terme.
Un engagement professionnel basé sur les relations humaines et la volonté •d’offrir des lieux de vie agréables et ouverts sur l’extérieur.
Une attention particulière apportée au bien-être moral et physique des •résidents, à leur sécurité et à leur confort.
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
Cens i -Bouvard
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr
EHPADRésidences
2
1
PROCHAINEMENTNouveaux
référencements EHPADen VEFA et en achevé
20 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
4
2
Résidence « Les Résidentielles d’Or » - GRADIGNAN (33)
Résidence « Jardins d’Arcadie » - MAISONS-LAFFITTE (78)
A partir de 158 400 € HTRendement mobilier inclus 4,50 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,60 % HT/HT (1)
1 Résidence « Eugénie » - CHAMBRAY-LèS-TOURS (37)
A partir de 124 000 € HTRendement mobilier inclus 4,50 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,60 % HT/HT (1)
3 Résidence Montana - DEAUVILLE (14)
A partir de 114 000 € HTRendement mobilier inclus 4,30 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,40 % HT/HT (1)
(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche.
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
Cens i -Bouvard
Classique
Cens i -Bouvard
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr
Seniors Résidences
4
2
1
3
A partir de 156 000 € HT Rendement mobilier inclus 4,00 % HT/HT
Rendement hors mobilier 4,10 % HT/HT (1)
Classique
Cens i -Bouvard
Dans un cadre privilégié au cœur d’un quartier dynamique, la résidence Eugénie associe convivialité, sécurité et services de qualité pour le bien-être des seniors. Elle vient par ailleurs compléter le parc de logements créés sur la zone et offre ainsi, avec l’EHPAD jouxtant, la solidité et la sécurité d’investissement propres à un véritable complexe pensé pour les seniors. Enfin, elle bénéficie d’atouts certains :
Un emplacement exceptionnel à 3 minutes à pied du centre de Chambray-lès-Tours et des bords de Loire.
Un prix de vente particulièrement compétitif au regard du marché local, à partir de 124 000 € HT (hors frais d’acquisition).
Un marché porteur et un rendement attractif de 4,50 % HT/HT (1).
Une gestion Primavera, au savoir-faire et à l’expérience avérés.
Catalogue Produits - Programmes à la commercialisation
1 Zoom sur Esprit Mer - Saint-Nazaire (44)
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 21
Dispositif DuflotRésidences 1
Une situation privilégiée à 10 minutes de la Baie de la Baule.
Un quartier novateur à proximité immédiate des commerces et services.
Un prix au m² particulièrement compétitif au regard du marché de l’ancien.
Une définition immobilière attractive et un remplissage optimal.
Un gestionnaire au savoir-faire reconnu dans l’administration de biens de proximité depuis plus de 20 ans.
bbcE n g a g e m e n tP r o m o t e u r Un rendement brut moyen de 4,15 % TTC/TTC
VEFA, livraison 4ème trimestre 2014
A partir de 85 100 € TTC (hors frais d’acquisition)
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr
Au cœur d’un complexe pensé pour les seniors et de l’une des communes résidentielles les plus attractives et prisées de l’agglomération tourangelle
Un rendement séduisant de 4,50 % HT/HT
Un gestionnaire Primavera au savoir‑faire et à l’expérience avérés
Un prix de vente compétitif à partir de 124 000 € HT
Résidence Seniors
EugénieChambray-lès-Tours (37)
Chambray‑lès‑Tours (37)
Tours
Catalogue Produits - Opportunité revente CERENICIMO ASSET
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 23
Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo-asset.fr
Revente d’immobilier géré
Les Opportunités du moment(1)
Résidence « Kermael » - SAINT BRIAC (35)1
Lot 201Prix : 99 344 € HTRendement : 5,50 % HT/HT
Résidence « Val d’Europe » - MONTEVRAIN (77)3
Résidence « Maupertuis Park » - MEYLAN (38)2
Résidence « Le Manhattan » - LE THOLONET (13)4
Lot B 205Prix : 235 707 € HTRendement : 5,75 % HT/HT
Lot B 16Prix : 114 828 € HTRendement : 5,50 % HT/HT
Lot D 204Prix : 65 800 € HTRendement : 5,50 % HT/HT
1
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2
3
(1) Liste non exhaustive, retrouvez l’ensemble des biens à la commercialisation sur www.cerenicimo-asset.fr
Vous souhaitez faire une demande de partenariat et ainsi profiter des produits et services Cerenicimo Asset ainsi que de l’expertise de nos équipes, merci de contacter :François GILLET au 02 28 21 05 10 ou par email à [email protected]
Des lots expertisés offrant des revenus immédiats.
Des rendements très attractifs dans le cadre de baux souvent renégociés.
Suivi des AcquisitionsRésidences
Catalogue Produits - Suivi des Acquisitions
1
12
Zoom sur Les Bergers II - Pra Loup (06)
24 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Vous souhaitez en savoir plus sur ce programme ou avoir un renseignement sur une autre de nos résidences livrées, merci de contacter Isabelle DEVILERS au 02 28 21 05 10 ou par email à [email protected]
Une ouverture à la clientèle en décembre 2012 pour une première saison d’exploitation.
Un emplacement exceptionnel à 250 m des remontées mécaniques et à proximité immédiate des commerces.
Une exploitation assurée par Hôtels du Soleil, gestionnaire au savoir-faire reconnu et acteur historique des Alpes du Sud.
LivraisonDécembre 2012
Soucieux de faire évoluer CERINEWS, nous avons le plaisir de vous proposer, dans le cadre de ce 10ème numéro une nouvelle rubrique
dédiée au suivi des acquisitions. Sa vocation est simple : communiquer sur la vie des opérations que nous avons commercialisées et vous
informer sur l’actualité des livraisons. Aujourd’hui focus sur 2 opérations : Les Bergers II et Primavera Saint-Marc.
2 Zoom sur Primavera Saint-Marc - La Teste-de-Buch (33)
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 25
LivraisonDécembre 2012
Découvrez également la résidence Primavera Eugénie - chambray-Lès-Tours (37)
► Un rendement séduisant de 4,50 % HT/HT
► Un prix de vente compétitif à partir de 124 000 € HT
► Fort d’une expérience de plus de 20 ans avec les grands groupes du secteur de la dépendance, Marc FAUJANET crée Primavera et confère alors à la marque un savoir-faire et une expertise avérés dans la conception et la construction d’établissements destinés à l’accueil de personnes âgées.
► Les Résidences Services Seniors PRIMAVERA constituent une solution alternative de logement, idéale pour des personnes âgées de plus de 60 ans et les personnes handicapées présentant une faible dépendance.
► Avec 6 résidences qui verront le jour d’ici à 2014 et une dizaine de projets actuellement en cours de montage, Primavera compte s’aff irmer comme un acteur majeur de l’hébergement pour seniors autonomes.
Un cadre de vie exceptionnel au sud du Bassin d’Arcachon, au coeur de la forêt landaise et à proximité de l’océan.
Des logements aux finitions soignées et aux équipements complets et adaptés pour faciliter l’autonomie et le bien-être de chacun.
Une gestion Primavera, au savoir-faire et à l’expérience avérés.
Une ouverture à la clientèle en février 2013 pour une première saison d’exploitation.
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 27
Actualité & Rendez-vous
Actualité
Marketing client
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Quels en sont les atouts ?
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Actualité & Rendez-vous
28 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
Formations 2013
Notamment conçus et animés par Me Jean-Louis LE BOULC’H, Avocat Fiscaliste référence sur le secteur et par l’équipe de Cerenicimo, nos modules de formations, après un mois et demi de rencontres et d’échanges, se terminent. Analyse de la nouvelle donne fiscale, juridique et commerciale pour 2013 ou présentation d’outils opérationnels et innovants, voici quelques-uns des sujets traités à cette occasion.
Nous vous remercions de votre présence à ces formations opérationnelles et résolument orientées client et espérons qu’elles vous auront permis de trouver des éléments de réponse à vos problématiques quotidiennes ainsi que des axes de développement de votre activité.
Retour surles évènements du trimestre
Universités Cerenicimo, édition 2013
Les 19 et 20 mars 2013, s’est tenue la 3ème édition des Universités Cerenicimo, à l’Hôtel Hermitage Barrière***** - La Baule. Retour sur cette manifestation exclusive :
Du 12 février au 7 mars 2013, se sont tenues nos formations « Accroître votre activité grâce à la location meublée »et « Apporter des solutions à vos investisseurs à haut potentiel ». Retour sur ces rendez-vous opérationnels :
Près de 200 Professionnels du Patrimoine présents20 intervenants3 Conférences plénières10 thématiques d’ateliers *
600 diapositives powerpoint12 heures de formation validées300 stylos400 appels téléphoniques2 mois de préparation intensive58 cafés1 soirée de Gala196 bouteilles de Champagne
Plus de 700 Professionnels du Patrimoine présents20 villes 15 intervenants
* Thématiques de nos ateliers : « Le cycle de l’immobilier géré : une approche intégrée de l’investissement », « Immobilier direct et pierre papier : les meilleures options pour vos clients », « La sécurité de l’acte notarié : avantage concurrentiel de l’épargne immobilière », « Les solutions pour capter de nouveaux clients et développer votre portefeuille », « Le référencement par CERENICIMO », « Immobilier meublé ou résidentiel classique, neuf ou ancien : les clés d’un arbitrage réussi », « La location meublée non professionnelle : les clés d’une argumentation réussie », « La retraite : entre stratégies patrimoniales et discours commercial », « La Location Meublée Professionnelle en pratique », « Toutes nos réponses aux objections de vos clients ».
Rendez-vous
CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 29
Toute l’équipe de Cerenicimo vous donne rendez-vous à l’occasion du Salon de la Chambre des Indépendants du Patrimoine.
Les 16 et 17 avril 2013 au Palais des Congrès de Paris
Stand n° 79 (niveau 2, porte Maillot)
Le salon de la CIP sera ainsi l’occasion de vous présenter nos derniers référencements et de répondre à toutes vos éventuelles questions.
Convention Annuelle ANACOFI
Congrès de la CIP
Cerenicimo aura le plaisir de vous accueillir lors du Congrès Annuel de l’Association Nationale des Conseils Financiers.
le 28 Mars 2013, de 9h à 22h au Carrousel du Louvre à Paris
28 MARS
16 &17 AVRIL
Présentation officielle Lège-Cap-Ferret 2 AVRIL
Avec la participation exceptionnellede Serge BLANCO
Fondateur de son centre de thalassothérapie à Hendaye, ancien joueur international et
capitaine de l’équipe du XV de France
Découvrez ainsi une opportunité rare,
Un site d’exception entre dunes, pinède et océan,
Un concept unique avec balnéothérapie et thalasso,
Une résidence **** dédiée à la détente et au bien-être...
Cerenicimo vous convie à la présentation officielle de ce produit d’exception situé sur la presqu’île de Lège-Cap-Ferret.
Résidence ****La Perle de l’Océan
Lège-Cap-Ferret (33)
Actualité & Rendez-vous
Le 2 Avril, à 14h00 - Hôtel Pullman Montparnasse, Paris
www.cerenicimo.fr/perleoceanInscriptions sur :
Zoom
Etaient présents : Cerenicimo :Christine ROQUIER (Chargée de Missions)
François-Xavier SéCHER (Responsable
Développement Pôle Immobilier)
Franck BECOTRodolphe BOUTILLONJulie COMPAGNON
Paul Victor DUQUAIRELaurence LAFITEAnne-Marie LAIR
Georges TASQUINFranck VANDENBOGAERDEChristine GOURC
Compte-rendu duComité Consultatif Stratégiquedu 13 février 2013
30 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013
30 % sur les loyers existant en Scellier intermédiaire.
•Etunedécote locative liéeauxnouvellesrèglesdeplafonnementde
loyers à l’origine de rentabilités dégradées.
La conclusion concernant ce dispositif est simple : pas de refus de principe mais l’adoption d’une démarche d’opportunité afin de ne retenir que les supports immobilièrement les plus performants.
A ensuite été abordée la prorogation du dispositif Censi-Bouvard jusqu’en 2016. Cette loi, avec une réduction d’impôt à 11 % ne présente un intérêt que pour une cible limitée d’investisseurs (ceux concernés par les TMI basses). Les élus ont également constaté tout au long de l’année 2012 une désaffection de cette mesure au profit de la Location Meublée classique (régime des amortissements). Support par excellence de ce début d’année 2013, la location meublée impose, de l’avis du collège, un véritable travail de pédagogie à destination des clients qui méconnaissent encore très largement ce statut. Le raisonnement des investisseurs est en effet le plus souvent marqué par une logique de défiscalisation quand le contexte impose de penser non fiscalisation des revenus complémentaires.
Marché immobilier et comportement des acteurs
La conjoncture immobilière actuelle a ensuite été décryptée et quelques tendances fortes ont été dégagées concernant notamment le comportement des promoteurs :
•Tentativedediversificationdecertainsacteursnotammentaubénéficede l’immobilier géré, une tendance qui peut laisser craindre des dérives en l’absence de compétences et de savoir-faire avérés.
•Pourl’immobilierlocatif,unrecentragedespromoteursversleB1etleA au détriment du B2.
•Desprixdefoncierquinebaissentpasetauxquelss’ajoutentdescoûtstechniques = une logique à l’origine d’une stagnation des prix du neuf.
•Unresserrementdescanauxdedistribution.
Comité de référencement et table ronde marketing
Le comité de référencement s’est ouvert sur un bilan du trimestre écoulé et s’est poursuivi par l’étude des dossiers soumis à la vigilance du collège. Enfin, concernant le marketing, ce CCS s’est achevé sur un échange autour des contenus des Universités pendant lequel conférences plénières et ateliers ont été évoqués et optimisés.
CCS 2013 : retour sur l’élection et les missions du collège 2013
En ouverture de ce premier CCS de l’année 2013, a été évoquée l’élection du nouveau collège des élus. Cette dernière a été marquée par des candidatures particulièrement nombreuses (plus de 80), même chose pour le taux de participation qui a atteint des records. Ainsi, après 2 années d’existence, le CCS s’impose comme un élément incontournable de la relation entre CERENICIMO et les Professionnels du Patrimoine. Les missions du Comité sont, chaque année, plus importantes avec notamment une participation active des élus à la politique de référencement immobilier de CERENICIMO et une réflexion sur les supports et outils mis à disposition des Professionnels du Patrimoine. Nouveauté pour 2013, au-delà des élus permanents, a été constitué un groupe de suppléants. Ce collège élargi sera sollicité afin de définir de manière concertée certaines orientations commerciales et marketing.
Bilan d’étape sur la fiscalité immobilière
Les débats se sont ensuite poursuivis autour des dernières évolutions en matière de fiscalité immobilière. Un retour a notamment été fait sur la loi Duflot. Le bilan concernant ce dispositif est mitigé. A l’actif de cette mesure :
•Unemeilleure attractivité pour les locataires sur certaines zones ettypologies de surfaces.
•Lapossibilitéd’acquérir2logementsparan.
•Untauxderéductiond’impôtde18%sur9ans(supérieuraudispositifScellier mais inférieur à celui du Scellier intermédiaire fixé à 21 % sur 15 ans).
Cependant de nombreux bémols ternissent ce dispositif. On peut notamment citer :
•Unemesures’adressantàdesinvestisseursissusdesclassesmoyennes,fortement touchées par la crise et aux anticipations économiques pessimistes.
•Desplafondsderessourcesdulocataireplusbas.Unedimensionplussociale que pour les dispositifs précédents et qui constitue une source d’inquiétude pour les investisseurs (risque d’impayés).
•L’impossibilitédeloueràunascendantoudescendant.
•Desrèglesfiscalespluscontraignantes:absencedelafacultédereportde la réduction d’impôt excédentaire et suppression de l’abattement de
L’a t t r ac t i v i t é de l a 3 ème v i l l e é tud i an te f r ança i se
Un inves t i s sement à par t i r de 84 800 € HT
Un rendement a t t r ac t i f de 4 ,10 % HT/HT
Un ges t ionna i re exper t de l a ré s idence é tud i an te depu i s p lu s de 20 ans
T o u lo u s e
(1) Pré-loyers jusqu’à la livraison du bien, sur une base de 4,10 % du montant immobilier et mobilier HT débloqué et pour toute réservation dans la limite des 120 premières réservations.(2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.
Pré- loyer s (1) Engagement L iqu id i té (2)
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