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VILLE DE MODANE
(SAVOIE)
HOTEL DE VILLE 73500 MODANE
Téléphone (79) 05.11.72
RECHERCHES POUR L'ALIMENTATION EN EAU POTABLE
POUR LA VILLE DE MODANE (73]
par
R. AMAT-CHANTOUX
B. BOCHE
A. PACHOUD
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B. P. 6009 - 45018 ORLEANS CEDEX Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.
Service géoiogique régional RHONE-ALPES
B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX - Tél. (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.
80 SGN 203 RHA AVRIL 1980
VILLE DE MODANE
(SAVOIE)
HOTEL DE VILLE 73500 MODANE
Téléphone (79) 05.11.72
RECHERCHES POUR L'ALIMENTATION EN EAU POTABLE
POUR LA VILLE DE MODANE (73]
par
R. AMAT-CHANTOUX
B. BOCHE
A. PACHOUD
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B. P. 6009 - 45018 ORLEANS CEDEX Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.
Service géoiogique régional RHONE-ALPES
B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX - Tél. (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.
80 SGN 203 RHA AVRIL 1980
REaeaB pour L'ALneiïATiai bi eau
DE LA VILLE DE füDA¤ (73)
R. AfV\T-CHA"iTOUX
A. PAQIOUD80 sm 203 mf\
RESUME
L'E.d.F. envisage de capter des ruisseaux en rive droite de lavallée de l'Arc. La ville de Modane désire connaître les répercussions pos¬
sibles de ces travaux sur le débit de deux sources captées, situées en con¬
trebas et notamment savoir si la zone d'alimentation des deux captages est
inférieure â l'altitude de 2.000 m, côte où doit passer la conduite prévue.
D'autre part, dans l'hypothèse où une baisse de débit se produi¬
rait, un complément de ressources doit être recherché, en rive gauche de
l'Arc, notamment dans la vallée des Herbiers.
Modalités administratives Lettres de la ville de Modane en date du 18.9.79
et du 13.2. 1980.
Résultats :
L'examen du débit des sources et l'étude isotopique de leur eau
montrent que leur surface d'alimentation s'étend au-delà de l'altitude de
2.000 m, et ne peut se circonscrire à une côte basse ponctuelle du bassin
ve rs an t .
Dans la vallée des Herbiers, de nouvelles sources ont été mises
en évidence mais un certain temps d'observation est nécessaire pour savoir
si le débit désiré peut être obtenu.
Responsable de l'étude A, PACHOUD
Etudes sur le terrain par ... R. AMAT-CHANTOUX ET A. PACHOUD
Etude isotopique B. BOSCH
Secrétaire H. MEUNIER
REaeaB pour L'ALneiïATiai bi eau
DE LA VILLE DE füDA¤ (73)
R. AfV\T-CHA"iTOUX
A. PAQIOUD80 sm 203 mf\
RESUME
L'E.d.F. envisage de capter des ruisseaux en rive droite de lavallée de l'Arc. La ville de Modane désire connaître les répercussions pos¬
sibles de ces travaux sur le débit de deux sources captées, situées en con¬
trebas et notamment savoir si la zone d'alimentation des deux captages est
inférieure â l'altitude de 2.000 m, côte où doit passer la conduite prévue.
D'autre part, dans l'hypothèse où une baisse de débit se produi¬
rait, un complément de ressources doit être recherché, en rive gauche de
l'Arc, notamment dans la vallée des Herbiers.
Modalités administratives Lettres de la ville de Modane en date du 18.9.79
et du 13.2. 1980.
Résultats :
L'examen du débit des sources et l'étude isotopique de leur eau
montrent que leur surface d'alimentation s'étend au-delà de l'altitude de
2.000 m, et ne peut se circonscrire à une côte basse ponctuelle du bassin
ve rs an t .
Dans la vallée des Herbiers, de nouvelles sources ont été mises
en évidence mais un certain temps d'observation est nécessaire pour savoir
si le débit désiré peut être obtenu.
Responsable de l'étude A, PACHOUD
Etudes sur le terrain par ... R. AMAT-CHANTOUX ET A. PACHOUD
Etude isotopique B. BOSCH
Secrétaire H. MEUNIER
Table des matières
PAGES
/ INTRODUCTION /
/-PREMIERE _P ARTIE _-_RiyE_DRgiTE_DE_L^ARÇ_-_LES_SOyRÇES_D
"dë'clAr|t2~7
1 - cadre general ^
1.1. - aperçu geographique ^
1.1.1. - Le bassin_yersant du_ruisseau dLj_Povaretl'rÊst
1.1.2. - Le_bassin_yersant_du_ruisseau_de Saint-Bernard
1.2. - APERÇU GEOLOGIOUE ^
1.3. - PROPRIETES DU SOUS-SOL DES DEUX BASSINS VERSANTS 10
2 - CARACTERISTIQUES DES DEUX SOURCES ''"^
2.1. - DEBITS
2.1.1. - Régime_des sources
2.1.2. - Relation_entre_le_débit_et la_superficiedu bassin versant
2.2. - CONSTITUANTS CHIMIQUES
3 - ESSAI DE TRAÇAGE A LA FLUORESCEINE DU TORRENT DU POVARET
13
13
13
14
15
4 - DETERMINATION DES AIRES D'ALIMENTATION DES SOURCES DE 17
COMBA-SILIO ET DU POVARET PAR L'INTERPRETATION DES ANALYSES
ISOTOPIQUES
Table des matières
PAGES
/ INTRODUCTION /
/-PREMIERE _P ARTIE _-_RiyE_DRgiTE_DE_L^ARÇ_-_LES_SOyRÇES_D
"dë'clAr|t2~7
1 - cadre general ^
1.1. - aperçu geographique ^
1.1.1. - Le bassin_yersant du_ruisseau dLj_Povaretl'rÊst
1.1.2. - Le_bassin_yersant_du_ruisseau_de Saint-Bernard
1.2. - APERÇU GEOLOGIOUE ^
1.3. - PROPRIETES DU SOUS-SOL DES DEUX BASSINS VERSANTS 10
2 - CARACTERISTIQUES DES DEUX SOURCES ''"^
2.1. - DEBITS
2.1.1. - Régime_des sources
2.1.2. - Relation_entre_le_débit_et la_superficiedu bassin versant
2.2. - CONSTITUANTS CHIMIQUES
3 - ESSAI DE TRAÇAGE A LA FLUORESCEINE DU TORRENT DU POVARET
13
13
13
14
15
4 - DETERMINATION DES AIRES D'ALIMENTATION DES SOURCES DE 17
COMBA-SILIO ET DU POVARET PAR L'INTERPRETATION DES ANALYSES
ISOTOPIQUES
- 2 -
4.1. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES 17
4.2. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES ANTERIEURES 17
4.3. - DISCUSSION ET INTERPRETATION DES RESULTATS 17
4.4. - TRITIUM 18
4.5. - OXYGENE 18 18
4.6. - DETERMINATION DE L'ALTITUDE MOYENNE DU BASSIN 18D'ALIMENTATION
CONCLUSIONS SUR LES SOURCES DE COMBA-SILIO ET DU CLARET 23
/-DEUXIEME _P ARTIE _-_RI VE _GAUCHE_DE_L^ARÇ_/
B - RECHERCHES DE NOUVELLES EMERGENCES DANS LE VALLON DES 24
HERBIERS ET DE SES AFFLUENTS
CADRE GEOGRAPHIQUE . 26
B - CADRE GEOLOGIQUE
CARACTERISTIQUES DES EMERGENCES ETUDIEES 28
9.1. - SOURCE N° 1 AU LIEU-DIT "LE LAVOIR" 28
9.2. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA 29
9.3. - SOURCE N° 3 30
9.4. - SOURCE N° 4 31
9.5. - SOURCE N° 5 31
9.6. - SOURCE N° 6 31
a.7. - SOURCE DE FONTAINE FROIDE 31
9.8. - SOURCE N° 8 ' 32
9.9. - SOURCE N° 9 AU PLAN MONIN 32
IG - DEBIT D'ENSEMBLE DES SOURCE.S RETENUES 32
- 2 -
4.1. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES 17
4.2. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES ANTERIEURES 17
4.3. - DISCUSSION ET INTERPRETATION DES RESULTATS 17
4.4. - TRITIUM 18
4.5. - OXYGENE 18 18
4.6. - DETERMINATION DE L'ALTITUDE MOYENNE DU BASSIN 18D'ALIMENTATION
CONCLUSIONS SUR LES SOURCES DE COMBA-SILIO ET DU CLARET 23
/-DEUXIEME _P ARTIE _-_RI VE _GAUCHE_DE_L^ARÇ_/
B - RECHERCHES DE NOUVELLES EMERGENCES DANS LE VALLON DES 24
HERBIERS ET DE SES AFFLUENTS
CADRE GEOGRAPHIQUE . 26
B - CADRE GEOLOGIQUE
CARACTERISTIQUES DES EMERGENCES ETUDIEES 28
9.1. - SOURCE N° 1 AU LIEU-DIT "LE LAVOIR" 28
9.2. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA 29
9.3. - SOURCE N° 3 30
9.4. - SOURCE N° 4 31
9.5. - SOURCE N° 5 31
9.6. - SOURCE N° 6 31
a.7. - SOURCE DE FONTAINE FROIDE 31
9.8. - SOURCE N° 8 ' 32
9.9. - SOURCE N° 9 AU PLAN MONIN 32
IG - DEBIT D'ENSEMBLE DES SOURCE.S RETENUES 32
- 3
11 - RECUPERATION DES EAUX SELENITEUSES 33
12 - RECONNAISSANCE HIVERNALE DES SOURCES DU VALLON DES HERBIERS 34
12.1. - SOURCE N° 1 AU PLAN DU LAVOIR 34
12.2. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA 34
12.3. - SOURCE N° 3 34
12.4. - SOURCES N° 4 et 5 35
12.5. - SOURCE N° 9 DU PLAN MONIN 35
13 - INTERPRETATION DES ANALYSES DES SOURCES RECENSEES DU VALLON 35
DES HERBIERS
14 - RESULTATS DE LA RECHERCHE DE NOUVEAUX POINTS DE CAPTAGE 43
DU VALLON DES HERBIERS
15 - EXAMEN DE LA SOURCE CAPTEE DU ROITELET 46
16 - CONCLUSIONS DE LA DEUXIEME PARTIE DU RAPPORT 49
- 3
11 - RECUPERATION DES EAUX SELENITEUSES 33
12 - RECONNAISSANCE HIVERNALE DES SOURCES DU VALLON DES HERBIERS 34
12.1. - SOURCE N° 1 AU PLAN DU LAVOIR 34
12.2. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA 34
12.3. - SOURCE N° 3 34
12.4. - SOURCES N° 4 et 5 35
12.5. - SOURCE N° 9 DU PLAN MONIN 35
13 - INTERPRETATION DES ANALYSES DES SOURCES RECENSEES DU VALLON 35
DES HERBIERS
14 - RESULTATS DE LA RECHERCHE DE NOUVEAUX POINTS DE CAPTAGE 43
DU VALLON DES HERBIERS
15 - EXAMEN DE LA SOURCE CAPTEE DU ROITELET 46
16 - CONCLUSIONS DE LA DEUXIEME PARTIE DU RAPPORT 49
- 4
TABLE DES FIGURES
PAGES
Fig. 1 - CARTE DE SITUATION A 1/50.000 DES BASSINS VERSANTS DES
SOURCES DE COMBA-SILIO ET DU CLARET
Fig. 2 - VARIATION DU DEBIT DES SOURCES DE MODANE (ANNEE 1978)
Fig. 3 - CARTE A 1/25.000 DU RUISSEAU DU POVARET SOUS LA COTE 2.000,
EN AVAL DU PROJET E.d.F.
Fig. A - EVOLUTION DES TENEURS EN TRITIUM DES PLUIES A ORLEANS LA
SOURCE ( 1970 - 1979 )
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
11
16
19
21GRADIENT ALTIMETRIQUE DE TEMPERATURE
PLAN DE SITUATION A 1/25.000 DES SOURCES DU VALLON DES ^^
HERBIERS
CARTE GEOLOGIQUE DE LA VALLEE DES HERBIERS ^^
DIAGRAMME D'ANALYSE DE LA SOURCE N° 1 ^^
«I II " Il yt» 2
rt II II I» M» o
Il II II " N° 5
Il II II I» «o Q
PLAN DE SITUATION A 1/25.000 DE LA SOURCE DU ROITELET ^'^
DIAGRAMME D'ANALYSE DE LA SOURCE DU ROITELET '^^
39
40
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- 4
TABLE DES FIGURES
PAGES
Fig. 1 - CARTE DE SITUATION A 1/50.000 DES BASSINS VERSANTS DES
SOURCES DE COMBA-SILIO ET DU CLARET
Fig. 2 - VARIATION DU DEBIT DES SOURCES DE MODANE (ANNEE 1978)
Fig. 3 - CARTE A 1/25.000 DU RUISSEAU DU POVARET SOUS LA COTE 2.000,
EN AVAL DU PROJET E.d.F.
Fig. A - EVOLUTION DES TENEURS EN TRITIUM DES PLUIES A ORLEANS LA
SOURCE ( 1970 - 1979 )
Fig.
Fig.
Fig.
Fig.
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Fig.
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Fig.
Fig.
Fig.
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21GRADIENT ALTIMETRIQUE DE TEMPERATURE
PLAN DE SITUATION A 1/25.000 DES SOURCES DU VALLON DES ^^
HERBIERS
CARTE GEOLOGIQUE DE LA VALLEE DES HERBIERS ^^
DIAGRAMME D'ANALYSE DE LA SOURCE N° 1 ^^
«I II " Il yt» 2
rt II II I» M» o
Il II II " N° 5
Il II II I» «o Q
PLAN DE SITUATION A 1/25.000 DE LA SOURCE DU ROITELET ^'^
DIAGRAMME D'ANALYSE DE LA SOURCE DU ROITELET '^^
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LISTE DES TABLEAUX
Tableau n" 1 - ANALYSES CHIMIQUES DETAILLEES DES SOURCES DE COMBA- 12
SILIO ET DU CLARET ET DU RUISSEAU DU CLARET (POVARET)
Tableau n" 2 - PRINCIPAUX RESULTATS COMPARES DES ANALYSES DES SOUR- 37
CES DU VALLON DES HERBIERS
TABLE DES PLANCHES PHOTOGRAPHIQUES
Planches 1 - TRAÇAGE DU TORRENT DU POVARET ET RECONNAISSANCE HIVER- 50-51
et 2 NALE DES SOURCES DE LA VALLEE DES HERBIERS
TABLE DES ANNEXES
Annexe 1 - RESULTATS D'ANALYSES COMPLETES DE LA SOURCE N° 1
DU LAVOIR
52 à 55
56 à 59
60 à 63
Annexe 2 - RESULTATS D'ANALYSES DE S. 2
Annexe 3 - " " DE S. 3
Annexe 4 - " " DE S. 5 64 à 67
Annexe 5 - " " DE S. 9 - PLAN MONIN 68 à 71
Annexe 6 - " " DE LA SOURCE DU ROITELET 72 à 75
Annexe 7 - DEBIT DES SOURCES DE CO^fflA-SILIO ET DU CLARETDE 1952 à 1980 - 76 à 80
LISTE DES TABLEAUX
Tableau n" 1 - ANALYSES CHIMIQUES DETAILLEES DES SOURCES DE COMBA- 12
SILIO ET DU CLARET ET DU RUISSEAU DU CLARET (POVARET)
Tableau n" 2 - PRINCIPAUX RESULTATS COMPARES DES ANALYSES DES SOUR- 37
CES DU VALLON DES HERBIERS
TABLE DES PLANCHES PHOTOGRAPHIQUES
Planches 1 - TRAÇAGE DU TORRENT DU POVARET ET RECONNAISSANCE HIVER- 50-51
et 2 NALE DES SOURCES DE LA VALLEE DES HERBIERS
TABLE DES ANNEXES
Annexe 1 - RESULTATS D'ANALYSES COMPLETES DE LA SOURCE N° 1
DU LAVOIR
52 à 55
56 à 59
60 à 63
Annexe 2 - RESULTATS D'ANALYSES DE S. 2
Annexe 3 - " " DE S. 3
Annexe 4 - " " DE S. 5 64 à 67
Annexe 5 - " " DE S. 9 - PLAN MONIN 68 à 71
Annexe 6 - " " DE LA SOURCE DU ROITELET 72 à 75
Annexe 7 - DEBIT DES SOURCES DE CO^fflA-SILIO ET DU CLARETDE 1952 à 1980 - 76 à 80
INTRODUCTION
La ville de Modane a confié au B.R.G.M. - SGR - RHA, l'étude des
captages du Claret et de Comba- Si lio, en rive droite de l'Arc et la recher¬
che de nouvelles sources en rive gauche, dans le vallon des Herbiers, pour
répondre à deux préoccupations liées d'une part, à l'existence d'un projet
E.d.F, qui envisage la capture du torrent du Povaret à la côte 2.000 m, im¬
médiatement à l'amont des sources captées de Comba-Silio et du Claret, et
d'autre part, satisfaire les besoins des aménagements prévus autour de l'ac¬
cès du tunnel routier de Fréjus, ainsi que l'agrandissement de la station de
sports d'hiver du Charmaix.
Pour les captages de Comba-Silio et du Claret, la détermination
de leur aire d'alimentation était utile pour apprécier l'influence que peut
avoir sur leur débit la dérivation des ruisseaux du Povaret et de St. Ber¬
nard, dont les eaux seront conduites par une galerie au barrage d'Aussois.
Le complément de débit recherché dans le vallon des Herbiers est
de l'ordre de 60 1/s. La prospection s'est portée sur des sources d'accès
relativement facile et présentant une pérennité hivernale, période de l'an¬
née oû les besoins sont accrus et les circulations souterraines ralenties
par les rigueurs du froid.
Enfin, nous avons reconnu le captage du Roitelet dont les eaux
sont marquées par une forte turbulence à la distribution. Il était néces¬
saire de préciser les causes de ce phénomène pour y remédier et améliorer
le débit capté.
INTRODUCTION
La ville de Modane a confié au B.R.G.M. - SGR - RHA, l'étude des
captages du Claret et de Comba- Si lio, en rive droite de l'Arc et la recher¬
che de nouvelles sources en rive gauche, dans le vallon des Herbiers, pour
répondre à deux préoccupations liées d'une part, à l'existence d'un projet
E.d.F, qui envisage la capture du torrent du Povaret à la côte 2.000 m, im¬
médiatement à l'amont des sources captées de Comba-Silio et du Claret, et
d'autre part, satisfaire les besoins des aménagements prévus autour de l'ac¬
cès du tunnel routier de Fréjus, ainsi que l'agrandissement de la station de
sports d'hiver du Charmaix.
Pour les captages de Comba-Silio et du Claret, la détermination
de leur aire d'alimentation était utile pour apprécier l'influence que peut
avoir sur leur débit la dérivation des ruisseaux du Povaret et de St. Ber¬
nard, dont les eaux seront conduites par une galerie au barrage d'Aussois.
Le complément de débit recherché dans le vallon des Herbiers est
de l'ordre de 60 1/s. La prospection s'est portée sur des sources d'accès
relativement facile et présentant une pérennité hivernale, période de l'an¬
née oû les besoins sont accrus et les circulations souterraines ralenties
par les rigueurs du froid.
Enfin, nous avons reconnu le captage du Roitelet dont les eaux
sont marquées par une forte turbulence à la distribution. Il était néces¬
saire de préciser les causes de ce phénomène pour y remédier et améliorer
le débit capté.
1 ÈRE. PARTIE
RIVE DROITE DE L'ARC
LES SOURCES DE COMBA-SILIO ET DE CLARET
1, - CADRE GENERAL
11. - APERÇU GEOGRAPHIQUE
La rive droite de l'Arc où se trouvent les sources étudiées
est formée à cet endroit par deux bassins versants torrentiels :
m. - LE BASSIN VERSANT DU RUISSEAU DU POVARET A L'EST
Il est délimité au Nord par la crête Col de Chavière - Pointe de
l'Echelle à plus de 3.000 m d'altitude. A part quelques névés assez réduits,
aucun glacier n'existe sur cette surface. La source du Claret, à l'altitude
de 1.240 m, en rive gauche du Povaret est dans le périmètre de ce bassin.
112. - LE BASSIN VERSANT DU RUISSEAU DE ST. BERNARD
Situé à l'Ouest du précédent, il est un peu plus vaste. Il
culmine au Massif de Peclet Polset vers 3.400 m d'altitude et comprend dans
sa partie haute les glaciers de Chavière et de Polset, ce dernier plus petit
que le premier.
A la base du versant, la limite Ouest de ce bassin est bien mar¬
quée dans la topographie. Par contre, vers l'Est, elle est imprécise du fait
de la présence de plusieurs vallonnements séparés par de petites crêtes.
C'est dans un des vallonnements qu'est située la source de Comba-
Silio, â l'altitude de 1.330 m. Cette émergence est localisée entre le ruis¬
seau de St. Bernard et celui di Povaret.
D'après le relief, il est difficile de déterminer à quel bassin
versant se rattache Comba-Silio. Les caractéristiques de l'eau permettront
de reconstituer son parcours souterrain et par conséquent son secteur géo¬
graphique d'alimentation.
1 ÈRE. PARTIE
RIVE DROITE DE L'ARC
LES SOURCES DE COMBA-SILIO ET DE CLARET
1, - CADRE GENERAL
11. - APERÇU GEOGRAPHIQUE
La rive droite de l'Arc où se trouvent les sources étudiées
est formée à cet endroit par deux bassins versants torrentiels :
m. - LE BASSIN VERSANT DU RUISSEAU DU POVARET A L'EST
Il est délimité au Nord par la crête Col de Chavière - Pointe de
l'Echelle à plus de 3.000 m d'altitude. A part quelques névés assez réduits,
aucun glacier n'existe sur cette surface. La source du Claret, à l'altitude
de 1.240 m, en rive gauche du Povaret est dans le périmètre de ce bassin.
112. - LE BASSIN VERSANT DU RUISSEAU DE ST. BERNARD
Situé à l'Ouest du précédent, il est un peu plus vaste. Il
culmine au Massif de Peclet Polset vers 3.400 m d'altitude et comprend dans
sa partie haute les glaciers de Chavière et de Polset, ce dernier plus petit
que le premier.
A la base du versant, la limite Ouest de ce bassin est bien mar¬
quée dans la topographie. Par contre, vers l'Est, elle est imprécise du fait
de la présence de plusieurs vallonnements séparés par de petites crêtes.
C'est dans un des vallonnements qu'est située la source de Comba-
Silio, â l'altitude de 1.330 m. Cette émergence est localisée entre le ruis¬
seau de St. Bernard et celui di Povaret.
D'après le relief, il est difficile de déterminer à quel bassin
versant se rattache Comba-Silio. Les caractéristiques de l'eau permettront
de reconstituer son parcours souterrain et par conséquent son secteur géo¬
graphique d'alimentation.
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12. - APERÇU GEOLOGIQUE
La géologie des bassins des ruisseaux de St. Bernard et du Po¬
varet est complexe car ils se trouvent à la jonction de plusieurs grandes
unités alpines. Nous en donnerons seulement les grands traits. (On ne peut
que regretter que dans une région aussi importante que Modane, il n'existe
aucune carte géologique précise) .
Sur la vaste zone houillère dite du Briançonnais qui s'étend
â l'Ouest, à partir de Fourneaux, viennent s'appuyer des terrains d'âge
triasique et permien. La limite entre la zone houillère (faciès gneiss du
Sapey) et le Trias suit approximativement le vallon emprunté par le St.
Bernard. Ce Trias est constitué essentiellement par des gypses, des car¬
gneules très caverneuses puis par des quartzites, roches compactes et du¬
res. Celles-ci passent aux quartzites d'âge permien qui forment notamment
l'Aiguille de Doran,
Il faut souligner que c'est dans le bassin du ruisseau St.
Bernard que se trouve la plus grande partie des gypses et des cargneules
le plus souvent recouvert d'éboulis en surface, alors que le bassin du
Povaret, s'il comprend encore un peu de gypse, est essentiellement formé
de terrains quartzitiques.
Les roches du sous-sol sont très plissées, elles sont dispo¬
sées "en écailles", orientées dans leur ensemble dans le sens Nord-Sud,
comme toutes les unités alpines, grandes ou petites, puisque c'est la di¬
rection générale de la Chaîne. Cette constatation un peu théorique est im¬
portante pour le problème qui nous occupe ici car cette orientation géné¬
rale Nord-Sud sera celle des principaux éléments de discontinuité de la
masse rocheuse (joints de stratification, failles, contacts anormaux, frac¬
tures) .
JUiJ:j^jmenJ;_jdJ.J:j_Jjij_Jjjj_n^mbjj;jj^^_s ¿'J-ntj!_rruptJ.ojis "_J>hX?J^^^
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j)rient_atJ.^ji_J^ie__la_J^ent.^:.JLPJlP^JPliiSLPi^.A? » P.âF_i^ on s é^ en t_j _é_t abJ.J-JiJ^J}J^_}^ e
J-JSJ3S'3..JPSAJ33.SJ3.3SASJSA3 ^.¿PJ- ^^ bas_s_in _yersant au Nord et sa base au
Les roches du sous-sol sont recouvertes en surface sur les ver¬
sants et dans le fond des vallons par des éboulis et par d'anciennes moraines,
- 9 -
12. - APERÇU GEOLOGIQUE
La géologie des bassins des ruisseaux de St. Bernard et du Po¬
varet est complexe car ils se trouvent à la jonction de plusieurs grandes
unités alpines. Nous en donnerons seulement les grands traits. (On ne peut
que regretter que dans une région aussi importante que Modane, il n'existe
aucune carte géologique précise) .
Sur la vaste zone houillère dite du Briançonnais qui s'étend
â l'Ouest, à partir de Fourneaux, viennent s'appuyer des terrains d'âge
triasique et permien. La limite entre la zone houillère (faciès gneiss du
Sapey) et le Trias suit approximativement le vallon emprunté par le St.
Bernard. Ce Trias est constitué essentiellement par des gypses, des car¬
gneules très caverneuses puis par des quartzites, roches compactes et du¬
res. Celles-ci passent aux quartzites d'âge permien qui forment notamment
l'Aiguille de Doran,
Il faut souligner que c'est dans le bassin du ruisseau St.
Bernard que se trouve la plus grande partie des gypses et des cargneules
le plus souvent recouvert d'éboulis en surface, alors que le bassin du
Povaret, s'il comprend encore un peu de gypse, est essentiellement formé
de terrains quartzitiques.
Les roches du sous-sol sont très plissées, elles sont dispo¬
sées "en écailles", orientées dans leur ensemble dans le sens Nord-Sud,
comme toutes les unités alpines, grandes ou petites, puisque c'est la di¬
rection générale de la Chaîne. Cette constatation un peu théorique est im¬
portante pour le problème qui nous occupe ici car cette orientation géné¬
rale Nord-Sud sera celle des principaux éléments de discontinuité de la
masse rocheuse (joints de stratification, failles, contacts anormaux, frac¬
tures) .
JUiJ:j^jmenJ;_jdJ.J:j_Jjij_Jjjj_n^mbjj;jj^^_s ¿'J-ntj!_rruptJ.ojis "_J>hX?J^^^
ASi-J.SLSS>A)^3...ÜLA.S3.ySiSJ333.Í^3l3£9Al3333,Í..A3^3l33iJ..3,9i}S3JJ3,j^I}3 , J5n_t_J._a_ mjme
j)rient_atJ.^ji_J^ie__la_J^ent.^:.JLPJlP^JPliiSLPi^.A? » P.âF_i^ on s é^ en t_j _é_t abJ.J-JiJ^J}J^_}^ e
J-JSJ3S'3..JPSAJ33.SJ3.3SASJSA3 ^.¿PJ- ^^ bas_s_in _yersant au Nord et sa base au
Les roches du sous-sol sont recouvertes en surface sur les ver¬
sants et dans le fond des vallons par des éboulis et par d'anciennes moraines,
10
Naturellement celles-ci sont les mieux conservées là oû _el_l^es^_s^on t__les^
plus fraîches c'est-à-dire à l'amont du bassin versant où _s_e__s^i_t_uen^t^_l_es_
moraines récentes du retrait glaciaire ac_tue_l_. Elles sont particulièrement
remarquables, par exemple au fond du bassin du St. Bernard au-dessus de la
côte 2.200, dans la vaste dépression dite du Grand Planey.
De même les éboulis tapissent les flancs des_ sjDmmejts__e_sca_rp_és_
qui ferment au Nord les deux bassins versants . A titre d'exemple nous ci¬
terons uniquement les vastes éboulis qui recouvrent le flanc Ouest de l'Ai¬
guille Doran et du col Noir au-dessus du Lac de la Partie au-delà de 2.400 m
dans le bassin du Povaret.
13. - PROPRIETES DU SOUS-SOL DES DEUX BASSINS VERSANTS
Les terrains quaternaires : éboulis et moraines sont perméables
surtout lorsqu'ils sont récents c'est-à-dire à haute altitude. Ils peuvent
alors constituer pour l'eau souterraine un réservoir servant à régulariser
son débit.
Dans les gypses et cargneules vacuolaires et caverneuses, l'eau
s'écoule également tres tacilement et peut parfois, en suivant ces conduits,
effectuer des parcours souterrains qui ne suivent pas forcément la ligne de
plus grande pente. Elle se charge en sels minéraux et devient très sulfatée.
Les quartzites du fait de leur texture sont très peu perméables,
comme le granite. L'eau y circule lentement par les fissures. Celles-ci ont
une ouverture très variable, elles peuvent être très étroites ou larges de
quelques centimètres et laisser alors passer un débit important. Dans la
galerie E.d.F. Arc-Isère, côté amont, l'eau provenait uniquement des fis¬
sures du granite, lorsque la galerie a atteint une longueur de 2 km, 500, le
débit d'exhaure était de 100 1/sec. , il était de 200 1/sec. pour une lon¬
gueur de 6 kms.
Les quartzites sont siliceux, par conséquent l'eau qui en sort
est faiblement minéralisée.
10
Naturellement celles-ci sont les mieux conservées là oû _el_l^es^_s^on t__les^
plus fraîches c'est-à-dire à l'amont du bassin versant où _s_e__s^i_t_uen^t^_l_es_
moraines récentes du retrait glaciaire ac_tue_l_. Elles sont particulièrement
remarquables, par exemple au fond du bassin du St. Bernard au-dessus de la
côte 2.200, dans la vaste dépression dite du Grand Planey.
De même les éboulis tapissent les flancs des_ sjDmmejts__e_sca_rp_és_
qui ferment au Nord les deux bassins versants . A titre d'exemple nous ci¬
terons uniquement les vastes éboulis qui recouvrent le flanc Ouest de l'Ai¬
guille Doran et du col Noir au-dessus du Lac de la Partie au-delà de 2.400 m
dans le bassin du Povaret.
13. - PROPRIETES DU SOUS-SOL DES DEUX BASSINS VERSANTS
Les terrains quaternaires : éboulis et moraines sont perméables
surtout lorsqu'ils sont récents c'est-à-dire à haute altitude. Ils peuvent
alors constituer pour l'eau souterraine un réservoir servant à régulariser
son débit.
Dans les gypses et cargneules vacuolaires et caverneuses, l'eau
s'écoule également tres tacilement et peut parfois, en suivant ces conduits,
effectuer des parcours souterrains qui ne suivent pas forcément la ligne de
plus grande pente. Elle se charge en sels minéraux et devient très sulfatée.
Les quartzites du fait de leur texture sont très peu perméables,
comme le granite. L'eau y circule lentement par les fissures. Celles-ci ont
une ouverture très variable, elles peuvent être très étroites ou larges de
quelques centimètres et laisser alors passer un débit important. Dans la
galerie E.d.F. Arc-Isère, côté amont, l'eau provenait uniquement des fis¬
sures du granite, lorsque la galerie a atteint une longueur de 2 km, 500, le
débit d'exhaure était de 100 1/sec. , il était de 200 1/sec. pour une lon¬
gueur de 6 kms.
Les quartzites sont siliceux, par conséquent l'eau qui en sort
est faiblement minéralisée.
)'aprës rapport R. 324 E. 767 (avril 1979) Figure 2
D'APRES RAPPORT R. 32A E. 76-?
)'aprës rapport R. 324 E. 767 (avril 1979) Figure 2
D'APRES RAPPORT R. 32A E. 76-?
ANALYSES CHIMIQUES CTTAILLEES
(la valeur des ions est exprimée en mil! i gramme/litre)
o
4^-
w
/-xsa<HH-
Source
Date
Laboratoire
RésistivitéConductivité
pH
TH
TAC
Oxygène
Si 1 ice
Calcium
Magnésium
Sodium
Potassium
Strontium
For
Manganèse
ChorureSulfateBicarbonateAmmonium (N)Nitrate (N)NitriteOrthophosphatePhosphore totalFluorure
RS 110°-
Combacil le
09/78
Chambéry
2.140
8
32°
12°5
0,7
0,02
1
190
0
27/2/79
Thonon
561
8,05
5,68
84,2
27,5
1,15
0,78
..63
0,07
0,0
0,93174
1320,0120,440,0000.0020.0070,09
448
14/3/79
Thonon
562
8,15
5,32
86,6
27,2
1,28
0,80
1,40
0,00
0,0
0,75208
131,80,0110,15
0 ,
0,0020,0080,06
483.
R
Source du Claret
09/78
Chambéry
4.660
13°
12°
0,02
0,68
0
27/2/79
Thonon
250
8,05
5,18
24,7 .
16,8
0,85
0,41
0,20
0,07
0,0
0,6118,5
131,30,0040,16C,00U0,0040,0080,00
140
14/3/79
Thonon
245
8,20
4,88
23,8
16,0
0,97
0,44
0,17
0,01
0,0
0,2816,9130,30,0050,180,0000,0020,0050,00
133
7,4
Ruisseau du Claret(Povaret)
27/2/79
Thonon
215
8,00
3.16
22.4
10,4
0,50
0,22
0,14
0,05
0,0
0,5521,298,60,0060,190,0000.0040,0050,02
107
14/3/79
Thonon
206
8,15
2.86
22,4
9.4
0,51
0,22
0,10
0,01
0,0
0,0918,492,20,0050,160,0000.0030,0050,00
91
19
H0>o*t »
(t,(aC
ANALYSES CHIMIQUES CTTAILLEES
(la valeur des ions est exprimée en mil! i gramme/litre)
o
4^-
w
/-xsa<HH-
Source
Date
Laboratoire
RésistivitéConductivité
pH
TH
TAC
Oxygène
Si 1 ice
Calcium
Magnésium
Sodium
Potassium
Strontium
For
Manganèse
ChorureSulfateBicarbonateAmmonium (N)Nitrate (N)NitriteOrthophosphatePhosphore totalFluorure
RS 110°-
Combacil le
09/78
Chambéry
2.140
8
32°
12°5
0,7
0,02
1
190
0
27/2/79
Thonon
561
8,05
5,68
84,2
27,5
1,15
0,78
..63
0,07
0,0
0,93174
1320,0120,440,0000.0020.0070,09
448
14/3/79
Thonon
562
8,15
5,32
86,6
27,2
1,28
0,80
1,40
0,00
0,0
0,75208
131,80,0110,15
0 ,
0,0020,0080,06
483.
R
Source du Claret
09/78
Chambéry
4.660
13°
12°
0,02
0,68
0
27/2/79
Thonon
250
8,05
5,18
24,7 .
16,8
0,85
0,41
0,20
0,07
0,0
0,6118,5
131,30,0040,16C,00U0,0040,0080,00
140
14/3/79
Thonon
245
8,20
4,88
23,8
16,0
0,97
0,44
0,17
0,01
0,0
0,2816,9130,30,0050,180,0000,0020,0050,00
133
7,4
Ruisseau du Claret(Povaret)
27/2/79
Thonon
215
8,00
3.16
22.4
10,4
0,50
0,22
0,14
0,05
0,0
0,5521,298,60,0060,190,0000.0040,0050,02
107
14/3/79
Thonon
206
8,15
2.86
22,4
9.4
0,51
0,22
0,10
0,01
0,0
0,0918,492,20,0050,160,0000.0030,0050,00
91
19
H0>o*t »
(t,(aC
- 13 -2 - CARACTERISTIQUES DES DEUX SOURCES
2. 1. - DEBITS
2. 1. 1. - RégÍ5}§_des_sources
Rappelons tout d'abord qu'une source ayant un débit
maximal au printemps, a un régime nival, c'est-à-dire, est alimentée
par la fonte des neiges, tandis que si la crue a lieu à la fin de l'été,
en Août, la source est sous l'influence de la fonte des glaciers.
En utilisant les mesures de débit effectuées par
l'E.D.F. en 1978, on pourrait montrer que Comba Silio a un régime glaciaire,
tandis que la source du Claret a un régime nival. Comba Silio serait donc
alimentée en partie par la fonte des glaciers de Chavières. Nous avons
repris toutes les mesures de débit effectuées depuis 1952 pour vérifier
cette première indication.
Si les courbes de débit de la source du Claret démon¬
trent son régime nival, on ne peut rien conclure pour la source de
Comba Silio. Pendant plusieurs années de suite, son débit reste uniforme
(ce qui est très étonnant pour une source de montagne), alors qu'il est
variable pendant d'autres périodes. En 1955, 1958, 1959, 1960 et 1978,
son régime était glaciaire. L'étude du débit de Comba Silio ne fournit
actuellement aucune démonstration probante de son régime. Il serait néces¬
saire de faire des mesures régulières de type classique sur une dizaine
d'années.
2.1.2. - Relation entre le débit et la superficie du bassinversant
La superficie du bassin versant du Povaret, en amont2 2
des sources, est de 13,1 km , dont 5,5 km se trouvent à l'aval de l'alti-2
tude 2.000 m et 7,5 km au-dessus. En prenant une hauteur d'eau de préci¬
pitations infiltrée, comprise entre 300 et 400 mm, le débit moyen au
Le débit moyen additionné des deux sources est de
2km est de 11,5 1/s
30 1/s.
- 13 -2 - CARACTERISTIQUES DES DEUX SOURCES
2. 1. - DEBITS
2. 1. 1. - RégÍ5}§_des_sources
Rappelons tout d'abord qu'une source ayant un débit
maximal au printemps, a un régime nival, c'est-à-dire, est alimentée
par la fonte des neiges, tandis que si la crue a lieu à la fin de l'été,
en Août, la source est sous l'influence de la fonte des glaciers.
En utilisant les mesures de débit effectuées par
l'E.D.F. en 1978, on pourrait montrer que Comba Silio a un régime glaciaire,
tandis que la source du Claret a un régime nival. Comba Silio serait donc
alimentée en partie par la fonte des glaciers de Chavières. Nous avons
repris toutes les mesures de débit effectuées depuis 1952 pour vérifier
cette première indication.
Si les courbes de débit de la source du Claret démon¬
trent son régime nival, on ne peut rien conclure pour la source de
Comba Silio. Pendant plusieurs années de suite, son débit reste uniforme
(ce qui est très étonnant pour une source de montagne), alors qu'il est
variable pendant d'autres périodes. En 1955, 1958, 1959, 1960 et 1978,
son régime était glaciaire. L'étude du débit de Comba Silio ne fournit
actuellement aucune démonstration probante de son régime. Il serait néces¬
saire de faire des mesures régulières de type classique sur une dizaine
d'années.
2.1.2. - Relation entre le débit et la superficie du bassinversant
La superficie du bassin versant du Povaret, en amont2 2
des sources, est de 13,1 km , dont 5,5 km se trouvent à l'aval de l'alti-2
tude 2.000 m et 7,5 km au-dessus. En prenant une hauteur d'eau de préci¬
pitations infiltrée, comprise entre 300 et 400 mm, le débit moyen au
Le débit moyen additionné des deux sources est de
2km est de 11,5 1/s
30 1/s.
14
La partie inférieure du bassin versant, en-dessous
de la cote 2000, pourrait alimenter ces deux sources puisque :
11,5 l/s x 5,6 km " 64,4 litres/seconde
Mais, à l'amont de la cote 2000, le bassin versant
donne : llf5 1/s x 7,5 = 86,2 litres/seconde
Où passent ces 86,2 1/s infiltrés dans le sol, s'ils
ne descendent pas à l'aval, en direction des sources et de la vallée ?
Il faudrait admettre qu'il y a vers la cote 2000 m, un barrage hydraulique,
ce qui est impossible.
En conclusion, le fait que la partie aval du bassin
versant pourrait, à elle seule, alimenter les sources, ne prouve pas que
celles-ci ne sont pas aussi sous l'influence des infiltrations qui se
sont produites plus en amont.
Les deux sources ne drainent qu'une partie de la
totalité de l'eau infiltrée sur le bassin versant, aussi bien à l'amont
qu'à l'aval de la cote 2000 m.
2.2. - CONSTITUANTS CHIMIQUES (voir tableau 1 page 11)
La source de Comba-Silio est très sulfatée (174 à 190 mg/l)
et a un résidu sec important (448 mg/l) -
La source du Claret est très peu sulfatée (18,5 mg/l) et a un
résidu sec réduit (140 mg/l) -
Nous avons vu plus haut que c'est dans le bassin du Saint-
Bernard que se trouve la plus grande quantité de gypse, ce qui prouverait
l'alimentation de Comba-Silio par ce bassin -
14
La partie inférieure du bassin versant, en-dessous
de la cote 2000, pourrait alimenter ces deux sources puisque :
11,5 l/s x 5,6 km " 64,4 litres/seconde
Mais, à l'amont de la cote 2000, le bassin versant
donne : llf5 1/s x 7,5 = 86,2 litres/seconde
Où passent ces 86,2 1/s infiltrés dans le sol, s'ils
ne descendent pas à l'aval, en direction des sources et de la vallée ?
Il faudrait admettre qu'il y a vers la cote 2000 m, un barrage hydraulique,
ce qui est impossible.
En conclusion, le fait que la partie aval du bassin
versant pourrait, à elle seule, alimenter les sources, ne prouve pas que
celles-ci ne sont pas aussi sous l'influence des infiltrations qui se
sont produites plus en amont.
Les deux sources ne drainent qu'une partie de la
totalité de l'eau infiltrée sur le bassin versant, aussi bien à l'amont
qu'à l'aval de la cote 2000 m.
2.2. - CONSTITUANTS CHIMIQUES (voir tableau 1 page 11)
La source de Comba-Silio est très sulfatée (174 à 190 mg/l)
et a un résidu sec important (448 mg/l) -
La source du Claret est très peu sulfatée (18,5 mg/l) et a un
résidu sec réduit (140 mg/l) -
Nous avons vu plus haut que c'est dans le bassin du Saint-
Bernard que se trouve la plus grande quantité de gypse, ce qui prouverait
l'alimentation de Comba-Silio par ce bassin -
15
La source du Claret provient du bassin du Povaret, essentiel¬
lement quartzitique, comme il a été dit plus haut, d'où la faible minéra¬
lisation de l'eau (il y a cependant un peu de gypse que l'on retrouve
dans l'analyse de l'eau).
Ainsi, en établissant une corrélation entre les caractéristiques
de l'eau et la nature du sous-sol, si la source du Claret dépend du bassin
du Povaret, celle de Comba-Silio est davantage liée au bassin du Saint-
Bernard, La plus grande surface de ce dernier, jointe à la présence de
cavités servant de réservoirs dans les gypses et cargneules, explique le
débit plus important de cette source, ainsi que sa régularité. Si les
deux sources avaient une alimentation commune et identique, en contrebas
de l'altitude 2000, on ne peut comprendre pourquoi le débit de Comba-Silio
est environ le double de celui de Claret.
3 - ESSAI DE TRAÇAGE A LA FLUORESCEINE DU TORRENT DU POVARET
Une opération de traçage a été réalisée le 2 Novembre 1979, pour
préciser l'existence éventuelle d'infiltrations du torrent du Povaret vers
les sources captées de Comba-Silio et du Claret (voir planche 1 p. 47 -
photo 1) .
A chaque source, ont été placés quatre fluocapteurs qui furent relevés
6 heures, 30 heures, 54 heures, 78 heures après l'injection de fluorescéine.
La coloration a eu lieu sous le refuge de l'Orgère, à l'altitude de
1940 m (voir figure 3 page 13).
Au cours de ces quatre jours d'observations indirectes, les capteurs
n'ont décelé aucune trace de fluorescéine. Il semble donc qu'il n'existe
pas d'infiltrations du torrent vers les sources, tout au moins dans l'éven¬
tualité d'infiltrations à proximité de la source du Claret. Nous savons
en effet que la fluorescéine, au contact de l'argile, a tendance à s 'y
fixer et, en conséquence, ne peut atteindre des points de surveillance
éloignés.
En conclusion, l'eau de la source du Claret provient bien d'un écoule¬
ment souterrain et n'est pas une résurgence du Povaret - Comba-Silio n'est
pas liée non plus au Povaret, ce n'est qu'une confirmation.
Des mesures isotopiques ont été effectuées pour avoir une autre indica-
15
La source du Claret provient du bassin du Povaret, essentiel¬
lement quartzitique, comme il a été dit plus haut, d'où la faible minéra¬
lisation de l'eau (il y a cependant un peu de gypse que l'on retrouve
dans l'analyse de l'eau).
Ainsi, en établissant une corrélation entre les caractéristiques
de l'eau et la nature du sous-sol, si la source du Claret dépend du bassin
du Povaret, celle de Comba-Silio est davantage liée au bassin du Saint-
Bernard, La plus grande surface de ce dernier, jointe à la présence de
cavités servant de réservoirs dans les gypses et cargneules, explique le
débit plus important de cette source, ainsi que sa régularité. Si les
deux sources avaient une alimentation commune et identique, en contrebas
de l'altitude 2000, on ne peut comprendre pourquoi le débit de Comba-Silio
est environ le double de celui de Claret.
3 - ESSAI DE TRAÇAGE A LA FLUORESCEINE DU TORRENT DU POVARET
Une opération de traçage a été réalisée le 2 Novembre 1979, pour
préciser l'existence éventuelle d'infiltrations du torrent du Povaret vers
les sources captées de Comba-Silio et du Claret (voir planche 1 p. 47 -
photo 1) .
A chaque source, ont été placés quatre fluocapteurs qui furent relevés
6 heures, 30 heures, 54 heures, 78 heures après l'injection de fluorescéine.
La coloration a eu lieu sous le refuge de l'Orgère, à l'altitude de
1940 m (voir figure 3 page 13).
Au cours de ces quatre jours d'observations indirectes, les capteurs
n'ont décelé aucune trace de fluorescéine. Il semble donc qu'il n'existe
pas d'infiltrations du torrent vers les sources, tout au moins dans l'éven¬
tualité d'infiltrations à proximité de la source du Claret. Nous savons
en effet que la fluorescéine, au contact de l'argile, a tendance à s 'y
fixer et, en conséquence, ne peut atteindre des points de surveillance
éloignés.
En conclusion, l'eau de la source du Claret provient bien d'un écoule¬
ment souterrain et n'est pas une résurgence du Povaret - Comba-Silio n'est
pas liée non plus au Povaret, ce n'est qu'une confirmation.
Des mesures isotopiques ont été effectuées pour avoir une autre indica-
Figure 3 - 16 -
BW'-':l-
tMsMMh -/¿¿A
t _f ¿LSÏi-VH5Cy. jK'^Pœrri Brune
ruisseau da "Povaret/ ,
meres yvComba-Silio Claret
„ le Point
•-^ ' .î11 ' -" - - ^ ' ÄT^
,ji*jj..
-, 17Î1 •¡¿^'^¿fíV'
17
tion sur l'alimentation des deux sources, et notamment sur l'influence de la
partie des bassins, au-delà de 2,000 m -
4. - DETERMINATION DES AIRES D'ALIMENTATION DES SOURCES DE COMBA-SILIO
ET DU POVARET PAR L'INTERPRETATION DES ANALYSES ISOTOPIQUES
Des prélèvements ont été effectués le 25.10.79, aux sources
de Comba-Silio, du Claret et du Torrent du Povaret (appelé aussi du Cla¬
ret dans son cours inférieur) à des fins d'analyses isotopiques du Tri¬
tium et de l'oxygène 18 (voir figure 3 p. 13)
41. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES
Source Comba-Silio 25.10.79
Source Claret (A) 25.10.79
" (B) 25.10.79
Torrent du Povaret 25.10.79
-^ H UT 5''*0 %, v.s SMOW
54Í5 - 14,4 0,1
88Í7 - 14,5 0,1
91±8 - 14,4 0, 1
69Í6 - 13,8 0,1
42. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES ANTERIEURES (LABORATOIRE DE
M. FONTES
Source Comba-SilioIl II ri
Source ClaretIl II
Torrent du Povaret
début Février
fin
début Février
fin
fin Février
79
79
79
79
79
^ H UT
52*6
62Í5
64±6
1 13±5
98+5
¿1Í 0 %. v.s,
- 14,16
- 14,50
- 14,23
- 14,36
- 14,58
SMOW
43. - DISCUSSION ET INTERPRETATION DES RESULTATS
Les résultats précédents indiquent de faibles variations isoto¬
piques dans les eaux des sources de Comba-Silio et de Claret prélevées en
Février et Octobre 1979. Ce bilan isotopique constant dans le temps est un
indice d'un important volume de réserve qui amortit les effets saisonniers
de variations des concentrations en oxygène 18 qui sont enregistrées par
les eaux superficielles du Povaret.
17
tion sur l'alimentation des deux sources, et notamment sur l'influence de la
partie des bassins, au-delà de 2,000 m -
4. - DETERMINATION DES AIRES D'ALIMENTATION DES SOURCES DE COMBA-SILIO
ET DU POVARET PAR L'INTERPRETATION DES ANALYSES ISOTOPIQUES
Des prélèvements ont été effectués le 25.10.79, aux sources
de Comba-Silio, du Claret et du Torrent du Povaret (appelé aussi du Cla¬
ret dans son cours inférieur) à des fins d'analyses isotopiques du Tri¬
tium et de l'oxygène 18 (voir figure 3 p. 13)
41. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES
Source Comba-Silio 25.10.79
Source Claret (A) 25.10.79
" (B) 25.10.79
Torrent du Povaret 25.10.79
-^ H UT 5''*0 %, v.s SMOW
54Í5 - 14,4 0,1
88Í7 - 14,5 0,1
91±8 - 14,4 0, 1
69Í6 - 13,8 0,1
42. - RESULTATS DES ANALYSES ISOTOPIQUES ANTERIEURES (LABORATOIRE DE
M. FONTES
Source Comba-SilioIl II ri
Source ClaretIl II
Torrent du Povaret
début Février
fin
début Février
fin
fin Février
79
79
79
79
79
^ H UT
52*6
62Í5
64±6
1 13±5
98+5
¿1Í 0 %. v.s,
- 14,16
- 14,50
- 14,23
- 14,36
- 14,58
SMOW
43. - DISCUSSION ET INTERPRETATION DES RESULTATS
Les résultats précédents indiquent de faibles variations isoto¬
piques dans les eaux des sources de Comba-Silio et de Claret prélevées en
Février et Octobre 1979. Ce bilan isotopique constant dans le temps est un
indice d'un important volume de réserve qui amortit les effets saisonniers
de variations des concentrations en oxygène 18 qui sont enregistrées par
les eaux superficielles du Povaret.
- 18
44, - TRITIUM
Les teneurs en tritium des eaux de sources sont élevées pour des
eaux souterraines et sont comparables aux eaux de surface du torrent et aux
teneurs pondérées annuelles en tritium des précipitations à Thonon-les-
Bains et à Orléans-La-Source pendant ces 10 dernières années (figure 4 p. 16)
Les importantes concentrations en tritium dans les sources in¬
diquent que la proportion d'eaux actuelles dans l'aquifère qui les alimen¬
te est forte et il s'établit un transfert rapide de l'eau entre l'aire d'
alimentation et les émergences à la faveur d'une grande perméabilité du
réservoir et d'une relative proximité entre la zone d'alimentation et les
émergences .
Ces caractéristiques hydrodynamiques doivent notiver une extrê¬
me vigilance sur les travaux de génie civil à entreprendre au niveau du
bassin d'alimentation des sources de Comba Silio et de Claret dont on va
tenter par les isotopes stables de l'oxygène de définir l'altitude moyenne.
45. - OXYGENE 18
Etant donné les faibles variations de composition isotopique
en oxygène mesurées à différentes périodes sur les sources de Comba-Silio
et de Claret, on peut considérer que la moyenne des compositions isoto¬
piques est représentative d'une valeur annuelle enO^^o %oV.s. SMOW .
Ce calcul donne les résultats suivants :
Moyenne de la source Comba-Silio = - 14,35
Moyenne de la source Claret = - 14,37
soit une moyenne générale de - 14,36
qui sera prise comme représentative d'une valeur annuelle en^^ôû des
eaux infiltrées.
46. - DETERMINATION DE L'ALTITUDE MOYENNE DU BASSIN D'ALIMENTATION
L'altitude moyenne du bassin d'alimentation des eaux souterrai¬
nes dans la région de Modane peut être obtenue à partir de la relation éta¬
blie par E. SIWERTZ (1973) entre l'altitude moyenne et la concentration en
- 18
44, - TRITIUM
Les teneurs en tritium des eaux de sources sont élevées pour des
eaux souterraines et sont comparables aux eaux de surface du torrent et aux
teneurs pondérées annuelles en tritium des précipitations à Thonon-les-
Bains et à Orléans-La-Source pendant ces 10 dernières années (figure 4 p. 16)
Les importantes concentrations en tritium dans les sources in¬
diquent que la proportion d'eaux actuelles dans l'aquifère qui les alimen¬
te est forte et il s'établit un transfert rapide de l'eau entre l'aire d'
alimentation et les émergences à la faveur d'une grande perméabilité du
réservoir et d'une relative proximité entre la zone d'alimentation et les
émergences .
Ces caractéristiques hydrodynamiques doivent notiver une extrê¬
me vigilance sur les travaux de génie civil à entreprendre au niveau du
bassin d'alimentation des sources de Comba Silio et de Claret dont on va
tenter par les isotopes stables de l'oxygène de définir l'altitude moyenne.
45. - OXYGENE 18
Etant donné les faibles variations de composition isotopique
en oxygène mesurées à différentes périodes sur les sources de Comba-Silio
et de Claret, on peut considérer que la moyenne des compositions isoto¬
piques est représentative d'une valeur annuelle enO^^o %oV.s. SMOW .
Ce calcul donne les résultats suivants :
Moyenne de la source Comba-Silio = - 14,35
Moyenne de la source Claret = - 14,37
soit une moyenne générale de - 14,36
qui sera prise comme représentative d'une valeur annuelle en^^ôû des
eaux infiltrées.
46. - DETERMINATION DE L'ALTITUDE MOYENNE DU BASSIN D'ALIMENTATION
L'altitude moyenne du bassin d'alimentation des eaux souterrai¬
nes dans la région de Modane peut être obtenue à partir de la relation éta¬
blie par E. SIWERTZ (1973) entre l'altitude moyenne et la concentration en
76D ... .
EVOLUTION Des TEMEuee EMTCITIUM OCS PLUIES A ORt.6AN6.I.».50i;Rce C /tSyo- 1973^
Figure .419
. 600
Sio
Greno&lç CA\e/\^
, p -
¡too . I I .
3<» I iJ
A]
un
M
-L
1 1
1 1
1 M
m
^
ru
i\
Al
A
\ I ' THpMoM ( &LAVOUY l37SJi t-i.otur& lponcierte&y "^nav/elle-ô en rcíh'ijfr)
U
Ü
AT
m
^ 1^ '-lx' 11
rULnJ
v<«?f M^\ >I372. ^375 ^37^ ^^sys" At76 >*37? >1978 ^9?5
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- 20 -
oxygène 18 des eaux infiltrées dans différents bassins versants des Alpes
du Nord :
¿^iO%. = - 2,350 h - 8,1
10
où h est l'altitude moyenne du bassin d'alimentation exprimé en mètres.
1 8Dans la région de Modane, pour une concentration moyenne en 0
de - 14,36, la résolution decette équation donne une altitude moyenne du
bassin d'alimentation de :
2,350 h = (14,36 - 8,1 ) X 10^
soit h = 6260 # 2665 m
2,350
Une autre approche de ce problème peut être faite à partir de
la relation de W. DANSGAARD (1964) qui a établi à l'échelle mondiale une
corrélation linéaire entre les teneurs moyennes annuelles en oxygène 18
des pluies et la température moyenne annuelle au niveau du sol :
<5'«0 = - 0,695 t - 13,6
Dans le cas des sources de Modane, la température annuelle au
sol serait de :
0,695 t = - 14,36 + 13,6
soit t = - 0,76 _ J» c#0,695
Ce qui correspondrait d'après les chroniques météorologiques à
une température sous abri de l'ordre de * 1°. C.
Si l'on compare cette valeur au gradient altimétrique de tempé¬
rature établi à partir de quatre stations de la vallée de la Maurienne :
(Challes les Eaux,) Ste. Marie de Cuines, Avrieux et Termignon ( figures 5 p . 1 8)
on remarque que cette température moyenne annuelle de + 1° C correspondrait
à une altitude de l'ordre de 3.000 mètres.
Il faut signaler que la relation de DANSGAARD établie à partir
de stations océaniques doit être utilisée avec prudence dans le cas de ré-
- 20 -
oxygène 18 des eaux infiltrées dans différents bassins versants des Alpes
du Nord :
¿^iO%. = - 2,350 h - 8,1
10
où h est l'altitude moyenne du bassin d'alimentation exprimé en mètres.
1 8Dans la région de Modane, pour une concentration moyenne en 0
de - 14,36, la résolution decette équation donne une altitude moyenne du
bassin d'alimentation de :
2,350 h = (14,36 - 8,1 ) X 10^
soit h = 6260 # 2665 m
2,350
Une autre approche de ce problème peut être faite à partir de
la relation de W. DANSGAARD (1964) qui a établi à l'échelle mondiale une
corrélation linéaire entre les teneurs moyennes annuelles en oxygène 18
des pluies et la température moyenne annuelle au niveau du sol :
<5'«0 = - 0,695 t - 13,6
Dans le cas des sources de Modane, la température annuelle au
sol serait de :
0,695 t = - 14,36 + 13,6
soit t = - 0,76 _ J» c#0,695
Ce qui correspondrait d'après les chroniques météorologiques à
une température sous abri de l'ordre de * 1°. C.
Si l'on compare cette valeur au gradient altimétrique de tempé¬
rature établi à partir de quatre stations de la vallée de la Maurienne :
(Challes les Eaux,) Ste. Marie de Cuines, Avrieux et Termignon ( figures 5 p . 1 8)
on remarque que cette température moyenne annuelle de + 1° C correspondrait
à une altitude de l'ordre de 3.000 mètres.
Il faut signaler que la relation de DANSGAARD établie à partir
de stations océaniques doit être utilisée avec prudence dans le cas de ré-
21 - Figure 5
GRADlE^^ fMimf^Riqv^ de temperhturê.
.AL-KKwác- en mdres
360*0)
{aoo h)
Aoum
MSo (y)
A sbkohs mekó -ele S/w/oce
<i \ ^ 3l0 m
<3^,J<ev^|- ete /(°^-/XoO
i
/.Mi-s/e-tocjr^ C-^^SSnriJ
\\ . .
va fcoor^ -S^ hvoricc^ ( '61/Sm)
C.^|M\e<s -le-»- E^aoy C-^.^'oiy \ \
\\
Uû
'T*f*l£ttrdfvr^ "Cvr ** <2^(siv&
21 - Figure 5
GRADlE^^ fMimf^Riqv^ de temperhturê.
.AL-KKwác- en mdres
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C.^|M\e<s -le-»- E^aoy C-^.^'oiy \ \
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- 22 -
gions à fort relief et c'est pour cette raison que B. BLAVOUX (1978) pro¬
pose pour les Alpes du Nord, la corrélation suivante qui relie la teneur
mensuelle en oxygène 18 de la pluie à la température sous abri :
<$^« 0 = 0»^05 t - 15,58
Pour la région de Modane, cela donnerait une température sous abri de :
0,405 t = - 14,3 +15,58
soit t = 1,28 # 3° c
0,405
qui correspond à une altitude de l'ordre de 2.350 mètres (figure 5 p. 18)
En conclusion :
Si nous nous référons aux valeurs régionales des Alpes du Nord
proposés par B. BLAVOUX et E. SIWERTZ, la composition isotopique en oxy¬
gène des sources de Comba-Silio et de Claret correspondraient à des pré¬
cipitations infiltrées au-dessus de 2.000 m et vraisemblablement entre
2.350 et 2.650 mètres.
- 22 -
gions à fort relief et c'est pour cette raison que B. BLAVOUX (1978) pro¬
pose pour les Alpes du Nord, la corrélation suivante qui relie la teneur
mensuelle en oxygène 18 de la pluie à la température sous abri :
<$^« 0 = 0»^05 t - 15,58
Pour la région de Modane, cela donnerait une température sous abri de :
0,405 t = - 14,3 +15,58
soit t = 1,28 # 3° c
0,405
qui correspond à une altitude de l'ordre de 2.350 mètres (figure 5 p. 18)
En conclusion :
Si nous nous référons aux valeurs régionales des Alpes du Nord
proposés par B. BLAVOUX et E. SIWERTZ, la composition isotopique en oxy¬
gène des sources de Comba-Silio et de Claret correspondraient à des pré¬
cipitations infiltrées au-dessus de 2.000 m et vraisemblablement entre
2.350 et 2.650 mètres.
!3 -
5 - CONCLUSIONS SURALES SOURCES DE COMBA-SILIO ET DU CLARET
D'après les interprétations des mesures isotopiques effectuées sur
les deux sources captées, l'origine de l'eau se situe au-delà de l'alti¬
tude 2000 m, c'est-à-dire que la totalité des bassins versants contribue
à l'alimentation des deux émergences.
La teneur élevée en sulfate de la source de Comba-Silio prouve que
cette eau emprunte les conduits des gypses et cargneules du Trias,
particulièrement abondants dans le vallon suivi par le Saint-Bernard.
Cet écoulement de type karstique établit la liaison entre le bassin du
Saint-Bernard et Comba-Silio, bien que cette émergence ne se situe pas
exactement dans ce périmètre topographique de surface.
Le bassin du Povaret où se trouve la source du Claret comprend des
terrains principalement quartzitiques d'où la faible minéralisation.
L'eau des deux captages s'écoule donc en grande partie dans le sous-
sol, et non pas uniquement dans les formations superficielles (éboulis et
moraines). Les cavités (gypse) et la fissuration de la rochc"en place"
expliquent un temps de transfert relativement court dans ces deux petits
bassins versants d'altitude, ce qui est le cas général en montagne.
!3 -
5 - CONCLUSIONS SURALES SOURCES DE COMBA-SILIO ET DU CLARET
D'après les interprétations des mesures isotopiques effectuées sur
les deux sources captées, l'origine de l'eau se situe au-delà de l'alti¬
tude 2000 m, c'est-à-dire que la totalité des bassins versants contribue
à l'alimentation des deux émergences.
La teneur élevée en sulfate de la source de Comba-Silio prouve que
cette eau emprunte les conduits des gypses et cargneules du Trias,
particulièrement abondants dans le vallon suivi par le Saint-Bernard.
Cet écoulement de type karstique établit la liaison entre le bassin du
Saint-Bernard et Comba-Silio, bien que cette émergence ne se situe pas
exactement dans ce périmètre topographique de surface.
Le bassin du Povaret où se trouve la source du Claret comprend des
terrains principalement quartzitiques d'où la faible minéralisation.
L'eau des deux captages s'écoule donc en grande partie dans le sous-
sol, et non pas uniquement dans les formations superficielles (éboulis et
moraines). Les cavités (gypse) et la fissuration de la rochc"en place"
expliquent un temps de transfert relativement court dans ces deux petits
bassins versants d'altitude, ce qui est le cas général en montagne.
- 24
1 ÈME. PARTIE
RIVE GAUCHE DE L'ARC
6. - RECHERCHES DE NOUVELLES EMERGENCES DANS LE VALLON DES HERBIERS ET
DE SES AFFLUENTS
Une reconnaissance sur le terrain du bassin versant du ruisseau
du Charmaix a été faite du 8 au 10 Octobre 1979.
Au cours de la première journée, nous avons examiné en compagnie
de Monsieur DALAISON, Ingénieur du Service Technique de la ville de Modane,
les différents vallons pouvant présenter des sources susceptibles de four¬
nir un débit total de 60 1/s, débit qui sera réparti pour moitié entre laville de Modane, et la station de sports d'hiver d'Arondaz.
En outre, les points d'eau doivent être accessibles, proches
d'une piste carrossable, limitant ainsi le coût des travaux de captage et
d' adduction.
Les secteurs prospectés sont : (voir figure 6 p. 22)
Au Sud :
La vallée issue de la Combe de la Grande Montagne, au droit
et en aval de la retenue E.d.F., au lieu dit " La Losa ".
Le ruisseau de Fontaine Froide, en amont et à l'aval de la
retenue E.d.F., jusqu'au barrage E.d.F. du Lavoir.
- Le ruisseau du Fréjus au Pas du Roc.
- Le ruisseau du Grand Vallon (vallée du Seuil) .
et le ruisseau du Charmaix entre le Lavoir et le hameau du
Charmaix.
- 24
1 ÈME. PARTIE
RIVE GAUCHE DE L'ARC
6. - RECHERCHES DE NOUVELLES EMERGENCES DANS LE VALLON DES HERBIERS ET
DE SES AFFLUENTS
Une reconnaissance sur le terrain du bassin versant du ruisseau
du Charmaix a été faite du 8 au 10 Octobre 1979.
Au cours de la première journée, nous avons examiné en compagnie
de Monsieur DALAISON, Ingénieur du Service Technique de la ville de Modane,
les différents vallons pouvant présenter des sources susceptibles de four¬
nir un débit total de 60 1/s, débit qui sera réparti pour moitié entre laville de Modane, et la station de sports d'hiver d'Arondaz.
En outre, les points d'eau doivent être accessibles, proches
d'une piste carrossable, limitant ainsi le coût des travaux de captage et
d' adduction.
Les secteurs prospectés sont : (voir figure 6 p. 22)
Au Sud :
La vallée issue de la Combe de la Grande Montagne, au droit
et en aval de la retenue E.d.F., au lieu dit " La Losa ".
Le ruisseau de Fontaine Froide, en amont et à l'aval de la
retenue E.d.F., jusqu'au barrage E.d.F. du Lavoir.
- Le ruisseau du Fréjus au Pas du Roc.
- Le ruisseau du Grand Vallon (vallée du Seuil) .
et le ruisseau du Charmaix entre le Lavoir et le hameau du
Charmaix.
Figure 6 - 25 -
- \*t-/î»j ííu Grand Fiai
L E G E N D E
1 Source de versant
® source perenne principale,
:< temporaire
r- Source de thalweg
@ source perenne principale
! o source secondaire
S? + prélèvement pour analyse
source secondaire
- 26 -
7. - CADRE GEOGRAPHIQUE
En rive gauche de l'Arc, le ruisseau du Charmaix draine un vaste
bassin versant de la Haute Maurienne qui culmine à une altitude moyenne de
3.000 m. (3129 m à la cime du Grand Vallon) et qui constitue partiellement
la frontière franco-italienne de cette région.
Ce bassin se subdivise en 6 vallons secondaires, dont certains
ont de tout temps constitués des passages relativement faciles vers l'Italie
(Col de la Vallée Etroite 2.434 m. Col de la Roue 2.541 m. Col de Fréjus
2.540 m. )
Ces vallons n'ont pas de véritable système glaciaire; seuls quel¬
ques névés peuvent assurer, en période d'étiage, la pérennité des ruisseaux
qui sont captés par 1 'E.d.F. pour alimenter la retenue de Bissorte.
Ces vallons n'offrent pas tous des sites d'émergences favorables
à un captage, et certains d'entre eux présentent des difficultés particu¬
lières d'accès.
Aussi la reconnaissance sur le terrain a-t-elle retenu les val¬
lons du Plan de la Losa, du Lavoir, et du ruisseau du Charmaix dans sa par¬
tie supérieure comme sites susceptibles d'apporter les débits recherchés
et méritant par la suite une surveillance périodique de leur régime et de
leur qualité.
8. - CADRE GEOLOGIQUE
L'ensemble des terrains sur lesquels la reconnaissance a été
effectuée se rattache à l'unité alpine de la zone briançonnaise qui com¬
porte d'Ouest en Est et selon une orientation subméridienne, les formations
du Houiller, du Trias et des Schistes Lustrés (voir figure 7 p. 24)
Ce sont les conglomérats, grès et schistes du Carbonifère sur¬
montés de quartzites et verrucano du Permien, puis les calcaires, dolomie,
cargneules et gypses du Trias en affleurements discontinus, enfin les cal-
schistes de la nappe des Schistes Lustrés.
Les dépôts quaternaires (éboulis, moraines) sont largement re¬
présentés sur les pentes et les fonds des vallons supérieurs. Leur épais-
- 26 -
7. - CADRE GEOGRAPHIQUE
En rive gauche de l'Arc, le ruisseau du Charmaix draine un vaste
bassin versant de la Haute Maurienne qui culmine à une altitude moyenne de
3.000 m. (3129 m à la cime du Grand Vallon) et qui constitue partiellement
la frontière franco-italienne de cette région.
Ce bassin se subdivise en 6 vallons secondaires, dont certains
ont de tout temps constitués des passages relativement faciles vers l'Italie
(Col de la Vallée Etroite 2.434 m. Col de la Roue 2.541 m. Col de Fréjus
2.540 m. )
Ces vallons n'ont pas de véritable système glaciaire; seuls quel¬
ques névés peuvent assurer, en période d'étiage, la pérennité des ruisseaux
qui sont captés par 1 'E.d.F. pour alimenter la retenue de Bissorte.
Ces vallons n'offrent pas tous des sites d'émergences favorables
à un captage, et certains d'entre eux présentent des difficultés particu¬
lières d'accès.
Aussi la reconnaissance sur le terrain a-t-elle retenu les val¬
lons du Plan de la Losa, du Lavoir, et du ruisseau du Charmaix dans sa par¬
tie supérieure comme sites susceptibles d'apporter les débits recherchés
et méritant par la suite une surveillance périodique de leur régime et de
leur qualité.
8. - CADRE GEOLOGIQUE
L'ensemble des terrains sur lesquels la reconnaissance a été
effectuée se rattache à l'unité alpine de la zone briançonnaise qui com¬
porte d'Ouest en Est et selon une orientation subméridienne, les formations
du Houiller, du Trias et des Schistes Lustrés (voir figure 7 p. 24)
Ce sont les conglomérats, grès et schistes du Carbonifère sur¬
montés de quartzites et verrucano du Permien, puis les calcaires, dolomie,
cargneules et gypses du Trias en affleurements discontinus, enfin les cal-
schistes de la nappe des Schistes Lustrés.
Les dépôts quaternaires (éboulis, moraines) sont largement re¬
présentés sur les pentes et les fonds des vallons supérieurs. Leur épais-
- 27 - Figure 7
CARTE GEOLOGIQUE DE LA VALLEE DES HERBIERS
&77À
LZZ3
Mouiller : conglomérat schistes / gresTrías rnf-Permien : Quar¿zites/ verracanoTrias : cargneulesJ qypTrias moyen. : calcaire et cfolornieSchistes iustrés ; cakschistes .Q va r ternaire : cfe'bots super fi creis-/noraine e¿ rocK- giacierfailk r , . L if.-
front cíe ta nappe des oc/j/sùes tusues
- 28 -
seur parfois considérable et leur bonne perméabilité peuvent constituer
un excellent réservoir aquifère, tel celui qui alimente la source de
Fontaine Froide.
Les Gypses du Trias favorisent une circulation d'eau souterrai¬
ne par conduits ou chenaux de dissolution. Ces terrains constituent un ré¬
servoir de bonne perméabilité à l'origine de sources intéressantes mais
souvent inexploitables par l'excès de sulfates de chaux qu'elles contien¬
nent (Sources 1 et 9) .
Quant aux autres formations du Trias, du Houiller et des Schis¬
tes Lustrés, elles présentent une perméabilité par fissures, pouvant donner,
par le jeu de fracture drainante ou de discontinuité lithologique, des émer¬
gences dont les débits et la qualité sont appréciables ( Sources 2 - 3 - 4 -
et 5 ) .
9. - CARACTERISTIQUES DES EMERGENCES ETUDIEES
91. - SOURCE N° 1 AU LIEU DIT " LE LAVOIR "
Il s'agit d'une source bien localisée, à l'altitude de 1950 m.,
à 50 m plus haut que la retenue E.d.F. du Lavoir. Son débit était de 1,5
litre/seconde; elle sourd à la base d'éboulis de quartzites et s'écoule
en amont du barrage d'où elle est récupérée.
Les résultats d'analyses donnent une eau sulfatée calcique en
teneur trop élevée de SO, , Ca ++ et Mg , pour être utilisée telle quelle.
Cette source séléniteuse devra-t-être mélangée aux eaux des
sources 3 - 4 et 5, afin d'abaisser les teneurs trop fortes de S 0^~et Ca
L'analyse relève une légère contamination fécale due probable¬ment aux moutons qui pâturent sur ce versant.
Les périmètres de protection réglementaires devraient supprimer
cette pollution.
A même altitude, en direction N.E. et à moins de 100 mètres,
existe une autre source diffuse de débit sensiblement égal.
- 28 -
seur parfois considérable et leur bonne perméabilité peuvent constituer
un excellent réservoir aquifère, tel celui qui alimente la source de
Fontaine Froide.
Les Gypses du Trias favorisent une circulation d'eau souterrai¬
ne par conduits ou chenaux de dissolution. Ces terrains constituent un ré¬
servoir de bonne perméabilité à l'origine de sources intéressantes mais
souvent inexploitables par l'excès de sulfates de chaux qu'elles contien¬
nent (Sources 1 et 9) .
Quant aux autres formations du Trias, du Houiller et des Schis¬
tes Lustrés, elles présentent une perméabilité par fissures, pouvant donner,
par le jeu de fracture drainante ou de discontinuité lithologique, des émer¬
gences dont les débits et la qualité sont appréciables ( Sources 2 - 3 - 4 -
et 5 ) .
9. - CARACTERISTIQUES DES EMERGENCES ETUDIEES
91. - SOURCE N° 1 AU LIEU DIT " LE LAVOIR "
Il s'agit d'une source bien localisée, à l'altitude de 1950 m.,
à 50 m plus haut que la retenue E.d.F. du Lavoir. Son débit était de 1,5
litre/seconde; elle sourd à la base d'éboulis de quartzites et s'écoule
en amont du barrage d'où elle est récupérée.
Les résultats d'analyses donnent une eau sulfatée calcique en
teneur trop élevée de SO, , Ca ++ et Mg , pour être utilisée telle quelle.
Cette source séléniteuse devra-t-être mélangée aux eaux des
sources 3 - 4 et 5, afin d'abaisser les teneurs trop fortes de S 0^~et Ca
L'analyse relève une légère contamination fécale due probable¬ment aux moutons qui pâturent sur ce versant.
Les périmètres de protection réglementaires devraient supprimer
cette pollution.
A même altitude, en direction N.E. et à moins de 100 mètres,
existe une autre source diffuse de débit sensiblement égal.
29
92. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA
c'est une source importante de thalweg localisée entre les re¬
tenues E.d.F. du Lavoir et de la Losa.
Elle apparaît diffuse entre les blocs qui encombrent le lit du
cours d'eau; son débit passe progressivement de 5 à 15 1/s. , mais c'est
surtout à partir de la côte 2.000 m environ qu'elle se caractérise, c'est-
à-dire à l'aplomb d'une source temporaire du versant rive gauche située80 m plus haut.
On peut schématiser ainsi les débits successifs observés de
l'amont vers l'aval, en notant que du barrage de la Losa s'échappe un pe¬
tit débit de l'ordre de 2 1/s. 5_
retenue £dF du Plan cíe lo Losa
Source rt*2
Í. -fof^
A/",
retenue £df ilu Lavoir
-Confluence ruisseau de fontaine Froi'iJs
Les terrains affleurants sont des grès houillers pentes faible¬
ment vers l'Est. Le ruisseau draine l'eau des 2 versants et c'est environ
vers l'altitude de 2.000 mètres que le débit devient intéressant ( 10 1/s.)
Par sa situation en fond de talweg, il existe un risque élevé
de contamination par mélange d'eau de surface. Une protection s'avère dé¬
licate à réaliser.
Sous la retenue de la Losa, le lit réceptionne les coulées de
neige du versant Est de la montagne des Sarrasins.
Cette source ne peut donc être utilisée qu'en débit complémen¬
taire et nécessite une surveillance obligatoire et un traitement approprié.
29
92. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA
c'est une source importante de thalweg localisée entre les re¬
tenues E.d.F. du Lavoir et de la Losa.
Elle apparaît diffuse entre les blocs qui encombrent le lit du
cours d'eau; son débit passe progressivement de 5 à 15 1/s. , mais c'est
surtout à partir de la côte 2.000 m environ qu'elle se caractérise, c'est-
à-dire à l'aplomb d'une source temporaire du versant rive gauche située80 m plus haut.
On peut schématiser ainsi les débits successifs observés de
l'amont vers l'aval, en notant que du barrage de la Losa s'échappe un pe¬
tit débit de l'ordre de 2 1/s. 5_
retenue £dF du Plan cíe lo Losa
Source rt*2
Í. -fof^
A/",
retenue £df ilu Lavoir
-Confluence ruisseau de fontaine Froi'iJs
Les terrains affleurants sont des grès houillers pentes faible¬
ment vers l'Est. Le ruisseau draine l'eau des 2 versants et c'est environ
vers l'altitude de 2.000 mètres que le débit devient intéressant ( 10 1/s.)
Par sa situation en fond de talweg, il existe un risque élevé
de contamination par mélange d'eau de surface. Une protection s'avère dé¬
licate à réaliser.
Sous la retenue de la Losa, le lit réceptionne les coulées de
neige du versant Est de la montagne des Sarrasins.
Cette source ne peut donc être utilisée qu'en débit complémen¬
taire et nécessite une surveillance obligatoire et un traitement approprié.
30 -
93. - SOURCE N° 3
Cette source à 2.200 m d'altitude, bien localisée, fait partied'un groupe de sources ( 4 - 5 et 6 ) dont les conditions d'émergence sont
assez semblables (altitude, géologie)..
Son débit est proche de 5 1/s., elle apparaît au niveau d'un
placage d'éboulis sur les grès houillers et en limite des calcaires tria¬
siques affleurant 20 m. plus haut.
W,
I 1 \ ..Calcaire tt dolomie du TriasAIALAa
qre's Aou/ //ers
Coupe géologique simplifiée
du site des émergences.
£ée,u//s de tente t^vec b/ocs.
retenue ^d Fc/u Pian de /a Losa
Les eaux sont bicarbonatées calciques, elles ont de bonnes
caractéristiques physico-chimiques; néanmoins, il existe une légère
contamination fécale qui pourrait s'expliquer par la présence de trou¬
peaux de moutons .
A 2.830 m , cette eau est dérivée par l'E.d.F., vers la retenue
de La Losa.
30 -
93. - SOURCE N° 3
Cette source à 2.200 m d'altitude, bien localisée, fait partied'un groupe de sources ( 4 - 5 et 6 ) dont les conditions d'émergence sont
assez semblables (altitude, géologie)..
Son débit est proche de 5 1/s., elle apparaît au niveau d'un
placage d'éboulis sur les grès houillers et en limite des calcaires tria¬
siques affleurant 20 m. plus haut.
W,
I 1 \ ..Calcaire tt dolomie du TriasAIALAa
qre's Aou/ //ers
Coupe géologique simplifiée
du site des émergences.
£ée,u//s de tente t^vec b/ocs.
retenue ^d Fc/u Pian de /a Losa
Les eaux sont bicarbonatées calciques, elles ont de bonnes
caractéristiques physico-chimiques; néanmoins, il existe une légère
contamination fécale qui pourrait s'expliquer par la présence de trou¬
peaux de moutons .
A 2.830 m , cette eau est dérivée par l'E.d.F., vers la retenue
de La Losa.
31
94. - SOURCE N° 4
Belle émergence de même altitude que S. 3, bien localisée,
elle se situe 80 m environ au Sud; son débit est de l'ordre de 10 1/s.
Cette source se déverse dans la retenue de la Losa.
95. - SOURCE N° 5
Légèrement plus élevée que S. 4 et à moins de 30 m au Sud,
cette émergence donne un débit intéressant - compris entre 5 et 10 1/s.
Ainsi l'ensemble des sources 3 - 4 et 5 fournit un débit au
moins compris entre 20 et 25 1/s. Néanmoins cette valeur demanderait à
être confirmé par d'autres jaugeages répartis sur une période au moins
égale à une année.
Les résultats d'analyses sont très favorables et démontrent
la bonne qualité physico-chimique et bactériologique de l'eau - qui se
classe comme bicarbonatée calcique - .
Leur captage ne poserait pas de difficultés particulières,
pouvant être toutes branchées sur la même adduction, cette zone étant
pâturée (moutons) un périmètre de protection s'impose entre les sources
et la falaise calcaire qui domine.
96. - SOURCE N° 6
Il s'agit d'une source diffuse qui sourd dans les
éboulis et blocs calcaires. Son débit est de 2 1/seconde environ; par
sa position inférieure aux autres sources et ses conditions d'émergence,
on ne peut raisonnablement envisager son captage.
97. - SOURCE DE FONTAINE FROIDE
Cette source se situe à l'altitude de 2.070 m, à l'extrémité
d'une importaiite moraine au pied de laquelle a été construite la retenue
E.d.F. . L'émergence se déverse directement dans la retenue qu'elle ali¬
mente ainsi que le torrent de la Roue.
Le débit de Fontaine Froide était de 4 1/s environ.
31
94. - SOURCE N° 4
Belle émergence de même altitude que S. 3, bien localisée,
elle se situe 80 m environ au Sud; son débit est de l'ordre de 10 1/s.
Cette source se déverse dans la retenue de la Losa.
95. - SOURCE N° 5
Légèrement plus élevée que S. 4 et à moins de 30 m au Sud,
cette émergence donne un débit intéressant - compris entre 5 et 10 1/s.
Ainsi l'ensemble des sources 3 - 4 et 5 fournit un débit au
moins compris entre 20 et 25 1/s. Néanmoins cette valeur demanderait à
être confirmé par d'autres jaugeages répartis sur une période au moins
égale à une année.
Les résultats d'analyses sont très favorables et démontrent
la bonne qualité physico-chimique et bactériologique de l'eau - qui se
classe comme bicarbonatée calcique - .
Leur captage ne poserait pas de difficultés particulières,
pouvant être toutes branchées sur la même adduction, cette zone étant
pâturée (moutons) un périmètre de protection s'impose entre les sources
et la falaise calcaire qui domine.
96. - SOURCE N° 6
Il s'agit d'une source diffuse qui sourd dans les
éboulis et blocs calcaires. Son débit est de 2 1/seconde environ; par
sa position inférieure aux autres sources et ses conditions d'émergence,
on ne peut raisonnablement envisager son captage.
97. - SOURCE DE FONTAINE FROIDE
Cette source se situe à l'altitude de 2.070 m, à l'extrémité
d'une importaiite moraine au pied de laquelle a été construite la retenue
E.d.F. . L'émergence se déverse directement dans la retenue qu'elle ali¬
mente ainsi que le torrent de la Roue.
Le débit de Fontaine Froide était de 4 1/s environ.
32
Comme à la source n° 2, la réalisation d'un captage s'avère dé¬
licate; c'est une eau de surface qui demande à être traitée (présence de
carcasses de moutons dans le ravin) .
A noter que le débit de la source de Fontaine Froide pouvait
s'estimer à 3 ou 4 1/s. lors de notre passage (8.10.79). Cette source
alimente en partie la retenue E.d.F.
98. - SOURCE N° 8
Ce point d'eau a été relevé par suite de sa situation en berge
et en rive gauche du ruisseau du Charmaix où pourrait passer une éventuelle
adduction des sources 1 - 3 - 4 et 5; elle serait alors récupérée, son dé¬
bit était de 1 1/s environ.
99. - SOURCE N° 9 AU PLAN MONIN
Cette émergence à l'altitude de 1.690 m, se localise, en bor¬
dure immédiate et à l'aval de la piste du Lavoir. Son débit moyen était
de 3 1/s, ( 5 1/s le 31.10.79 ), les drains de captage ont été perdus lors
de l'élargissement du chemin. Sur le talus amont, affleurent des Gypses du
Trias.
Malgré ses bonnes caractéristiques bactériologiques, l'eau sul¬
fatée calcique, très séléniteuse est impropre à la consommation humaine.
Si les eaux séléniteuses ne peuvent être traitées pour modifier
leur chimisme, on pourrait envisager de les mélanger avec des eaux bicar¬bonatées calciques potables dans une proportion suffisante pour abaisser
sensiblement les éléments en excès.
10. - DEBIT D'ENSEMBLE DES SOURCES RETENUES
Les sources de versant n° 1 - 3 - 4 et 5, fournissent un débit
probablement minimum compris entre 25 et 30 1/s.
La source de thalweg n° 2 devrait pouvoir apporter un débit
complémentaire de 10 à 15 1/s, mais nécessite une purification préalable.
32
Comme à la source n° 2, la réalisation d'un captage s'avère dé¬
licate; c'est une eau de surface qui demande à être traitée (présence de
carcasses de moutons dans le ravin) .
A noter que le débit de la source de Fontaine Froide pouvait
s'estimer à 3 ou 4 1/s. lors de notre passage (8.10.79). Cette source
alimente en partie la retenue E.d.F.
98. - SOURCE N° 8
Ce point d'eau a été relevé par suite de sa situation en berge
et en rive gauche du ruisseau du Charmaix où pourrait passer une éventuelle
adduction des sources 1 - 3 - 4 et 5; elle serait alors récupérée, son dé¬
bit était de 1 1/s environ.
99. - SOURCE N° 9 AU PLAN MONIN
Cette émergence à l'altitude de 1.690 m, se localise, en bor¬
dure immédiate et à l'aval de la piste du Lavoir. Son débit moyen était
de 3 1/s, ( 5 1/s le 31.10.79 ), les drains de captage ont été perdus lors
de l'élargissement du chemin. Sur le talus amont, affleurent des Gypses du
Trias.
Malgré ses bonnes caractéristiques bactériologiques, l'eau sul¬
fatée calcique, très séléniteuse est impropre à la consommation humaine.
Si les eaux séléniteuses ne peuvent être traitées pour modifier
leur chimisme, on pourrait envisager de les mélanger avec des eaux bicar¬bonatées calciques potables dans une proportion suffisante pour abaisser
sensiblement les éléments en excès.
10. - DEBIT D'ENSEMBLE DES SOURCES RETENUES
Les sources de versant n° 1 - 3 - 4 et 5, fournissent un débit
probablement minimum compris entre 25 et 30 1/s.
La source de thalweg n° 2 devrait pouvoir apporter un débit
complémentaire de 10 à 15 1/s, mais nécessite une purification préalable.
33
11. - RECUPERATION DES EAUX SELENITEUSES
Nous remarquons que les teneurs moyennes enregistrées par les
analyses sont :
S. 1
S. 9
S. 2-3-4-5
S04Ca ++
Mg ++
so¡-
Ca ++
Mg ++
so¡-
Ca ++
Mg ++
310 mg/l )
120 mg/l )
30 mg/l )
1250 mg/l )
531 mg/l )
45 mg/l )
20 mg/l )
30 mg/l )
10 mg/l )
eau sulfatée calcique
eau bicarbonatée calcique
Le mélange des eaux des sources retenues (exclusion faite de S. 2.)
nous amène à une concentration théorique moyenne en SO4 de 231 mg/l, cal¬
culée de la façon suivante :
Pour 1
II
M
a source n° 1
" n° 3-4-5
" n° 9
mg/l
310
20
1250
débit en 1/s.
2
20
4
Soit une concentration
totale de :
620 mg/l
400 mg/l
5000 mg/l
Valeur totale de : 6020 mg/l pour 26 1/1 ce qui correspond à 231 mg/l.
Sur les mêmes bases de calculs nous avons :.
en Ca ++ : 114 mg/l et Mg ++ : 16,9 mg/l.
Ces valeurs restent dans les limites du seuil de potabilité
qui est pour les SO^ de 200 mg/l (seuil souhaitable) à 250 mg/l (maximum
admis), pour le Ca ++ de 75 mg/l (seuil souhaitable) à 200 mg/l (maximum
admis) et pour les Mg ++ de 30 à 150 mg/l, selon les teneurs de SO^.
Ainsi le captage des sources sulfatées calciques du Plan Monin
(S. 9) et du Lavoir (S.l.) pourrait se réaliser, à condition que les rapports
entre les débits restent les mêmes ou inférieurs à ceux observés au cours
de cette première reconnaissance.
33
11. - RECUPERATION DES EAUX SELENITEUSES
Nous remarquons que les teneurs moyennes enregistrées par les
analyses sont :
S. 1
S. 9
S. 2-3-4-5
S04Ca ++
Mg ++
so¡-
Ca ++
Mg ++
so¡-
Ca ++
Mg ++
310 mg/l )
120 mg/l )
30 mg/l )
1250 mg/l )
531 mg/l )
45 mg/l )
20 mg/l )
30 mg/l )
10 mg/l )
eau sulfatée calcique
eau bicarbonatée calcique
Le mélange des eaux des sources retenues (exclusion faite de S. 2.)
nous amène à une concentration théorique moyenne en SO4 de 231 mg/l, cal¬
culée de la façon suivante :
Pour 1
II
M
a source n° 1
" n° 3-4-5
" n° 9
mg/l
310
20
1250
débit en 1/s.
2
20
4
Soit une concentration
totale de :
620 mg/l
400 mg/l
5000 mg/l
Valeur totale de : 6020 mg/l pour 26 1/1 ce qui correspond à 231 mg/l.
Sur les mêmes bases de calculs nous avons :.
en Ca ++ : 114 mg/l et Mg ++ : 16,9 mg/l.
Ces valeurs restent dans les limites du seuil de potabilité
qui est pour les SO^ de 200 mg/l (seuil souhaitable) à 250 mg/l (maximum
admis), pour le Ca ++ de 75 mg/l (seuil souhaitable) à 200 mg/l (maximum
admis) et pour les Mg ++ de 30 à 150 mg/l, selon les teneurs de SO^.
Ainsi le captage des sources sulfatées calciques du Plan Monin
(S. 9) et du Lavoir (S.l.) pourrait se réaliser, à condition que les rapports
entre les débits restent les mêmes ou inférieurs à ceux observés au cours
de cette première reconnaissance.
34
12. - RECONNAISSANCE HIVERNALE DES SOURCES DU VALLON DES HERBIERS
Nous avons effectué le 13 Février 1980, en compagnie de Monsieur
DALAISON, une reconnaissance hivernale des sources de Fontaine Froide, du
Plan de Losa, du Lavoir et du Plan Monin.
(voir planches 1 et 2, p. 47 - 48, photos de 2 à 5) .
Ces émergences ont pu être observées, grâce à la fonte partielle
de la neige au droit du site, ou par leur écoulement aérien en berge du
ruisseau (S.l. et S. 9) et par leur déversement dans les retenues E.d.F.
(Fontaine Froide et S.3.).
Toutes ces sources sont apparues perennes en période d'étiage
hivernal et leur débit n'accuse pas une baisse très sensible par rapport à
celui d'automne.
Mais la plupart d'entre elles sont sur la trajectoire des ava¬
lanches ce qui rend précaire la maintenance du matériel de jaugeage et dan¬
gereux le déplacement du personnel.
121. - SOURCE N° 1 AU PLAN DU LAVOIR
L'émergence était masquée par une importante avalanche, toute¬
fois, on pouvait relever à proximité et en aval d'un pylône E.d.F., en
bordure du torrent de La Losa, une venue d'eau latérale, située dans l'a¬
lignement de la source. Son débit pouvait s'estimer à + 2 1/s.
122. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA
Le ravin était remblayé par des coulées de neige jusqu'à l'al¬
titude de 1940 m environ, soit immédiatement au N,W. du chalet E.d.F.
A partir de cette altitude, le ruisseau s'écoule à l'air libre,
son débit de l'ordre de 15 1/s, est équivalent à celui du ruisseau issu du
ravin de Fontaine Froide (planche 1 - photo 2 ) .
123. - SOURCE N° 3
Cette source était recouverte par la neige. Dans son écoulement
inférieur elle est canalisée jusqu'à la retenue du Plan de La Losa.
34
12. - RECONNAISSANCE HIVERNALE DES SOURCES DU VALLON DES HERBIERS
Nous avons effectué le 13 Février 1980, en compagnie de Monsieur
DALAISON, une reconnaissance hivernale des sources de Fontaine Froide, du
Plan de Losa, du Lavoir et du Plan Monin.
(voir planches 1 et 2, p. 47 - 48, photos de 2 à 5) .
Ces émergences ont pu être observées, grâce à la fonte partielle
de la neige au droit du site, ou par leur écoulement aérien en berge du
ruisseau (S.l. et S. 9) et par leur déversement dans les retenues E.d.F.
(Fontaine Froide et S.3.).
Toutes ces sources sont apparues perennes en période d'étiage
hivernal et leur débit n'accuse pas une baisse très sensible par rapport à
celui d'automne.
Mais la plupart d'entre elles sont sur la trajectoire des ava¬
lanches ce qui rend précaire la maintenance du matériel de jaugeage et dan¬
gereux le déplacement du personnel.
121. - SOURCE N° 1 AU PLAN DU LAVOIR
L'émergence était masquée par une importante avalanche, toute¬
fois, on pouvait relever à proximité et en aval d'un pylône E.d.F., en
bordure du torrent de La Losa, une venue d'eau latérale, située dans l'a¬
lignement de la source. Son débit pouvait s'estimer à + 2 1/s.
122. - SOURCE N° 2 DU RUISSEAU DE LA LOSA
Le ravin était remblayé par des coulées de neige jusqu'à l'al¬
titude de 1940 m environ, soit immédiatement au N,W. du chalet E.d.F.
A partir de cette altitude, le ruisseau s'écoule à l'air libre,
son débit de l'ordre de 15 1/s, est équivalent à celui du ruisseau issu du
ravin de Fontaine Froide (planche 1 - photo 2 ) .
123. - SOURCE N° 3
Cette source était recouverte par la neige. Dans son écoulement
inférieur elle est canalisée jusqu'à la retenue du Plan de La Losa.
35
C'est au droit du barrage que son débit a pu être apprécié, il
était de l'ordre de 3 1/s.
124. - SOURCES N° 4 ET 5
Grâce à la pérennité des sources, et malgré les coulées de neige
de ce versant, les sites des émergences se trouvaient partiellement dénei¬
gés. Les débits n'ont pas subi une baisse très importante par rapport aux
observations d'Octobre 1979 (voir photos 3 - 4 - planche 2, page 46)
125. - SOURCE N° 9 DU PLAN MONIN
C'est à mi-distance entre le ruisseau du Charmaix et la piste
du Lavoir que l'eau réapparaît pour donner un débit égal à celui relevé à
l'automne soit : + 5 1/s.
13. - INTERPRETATION DES ANALYSES DES SOURCES RECENCEES DU VALLON DES HERBIERS
Des échantillons d'eau prélevés le 31.10.79, aux sources n° 1 -
2 - 3 et 9, furent analysés par le laboratoire d'Hygiène de la Faculté de
Médecine de Grenoble.
L'analyse demandée est du type 1, et porte sur la qualité physi¬
co-chimique et bactériologique des eaux. Les principaux résultats sont fi¬
gurés sur le tableau 2 , p. 34 et leur représentation graphique aux diagram¬
mes n** 8 à 12 p, 35 à 39).
On constate que les sources n° 1 du Lavoir et celle du Plan Mo¬
nin (S. n° 9) ont une très forte minéralisation (2 g/l pour S. n° 9), les
rendant impropre à la consommation hvamaine. C'est une eau sulfatée calci¬
que, séléniteuse, dont les caractéristiques chimiques sont dues à la na¬
ture gypseuse des terrains qu'elle a traversés.
Les sources n° 2 et 3 sont bicarbonatées calciques, d'une miné¬
ralisation moyenne, elles présentent une légère contamination fécale qui
s'explique bien par l'apport d'eau de surface à la source n° 2 et par les
pâturages à moutons, au droit du site des émergences.
35
C'est au droit du barrage que son débit a pu être apprécié, il
était de l'ordre de 3 1/s.
124. - SOURCES N° 4 ET 5
Grâce à la pérennité des sources, et malgré les coulées de neige
de ce versant, les sites des émergences se trouvaient partiellement dénei¬
gés. Les débits n'ont pas subi une baisse très importante par rapport aux
observations d'Octobre 1979 (voir photos 3 - 4 - planche 2, page 46)
125. - SOURCE N° 9 DU PLAN MONIN
C'est à mi-distance entre le ruisseau du Charmaix et la piste
du Lavoir que l'eau réapparaît pour donner un débit égal à celui relevé à
l'automne soit : + 5 1/s.
13. - INTERPRETATION DES ANALYSES DES SOURCES RECENCEES DU VALLON DES HERBIERS
Des échantillons d'eau prélevés le 31.10.79, aux sources n° 1 -
2 - 3 et 9, furent analysés par le laboratoire d'Hygiène de la Faculté de
Médecine de Grenoble.
L'analyse demandée est du type 1, et porte sur la qualité physi¬
co-chimique et bactériologique des eaux. Les principaux résultats sont fi¬
gurés sur le tableau 2 , p. 34 et leur représentation graphique aux diagram¬
mes n** 8 à 12 p, 35 à 39).
On constate que les sources n° 1 du Lavoir et celle du Plan Mo¬
nin (S. n° 9) ont une très forte minéralisation (2 g/l pour S. n° 9), les
rendant impropre à la consommation hvamaine. C'est une eau sulfatée calci¬
que, séléniteuse, dont les caractéristiques chimiques sont dues à la na¬
ture gypseuse des terrains qu'elle a traversés.
Les sources n° 2 et 3 sont bicarbonatées calciques, d'une miné¬
ralisation moyenne, elles présentent une légère contamination fécale qui
s'explique bien par l'apport d'eau de surface à la source n° 2 et par les
pâturages à moutons, au droit du site des émergences.
36 -
L analyse relève de bonnes caractéristiques physico-chimi¬
ques mais note une légère contamination fécale.
Au cours des prélèvements d'eau effectués le 31.10.79, nous a-
vons remarqué l'existence d'une source temporaire, en rive gauche du thal¬
weg, vers 2.080 m d'altitude, au droit où le débit du torrent s'accroît
sensiblement vers 2.000 m.
Cette émergence n'existait pas lors de notre reconnaissance du
8 au 10 Octobre, son débit était de l'ordre de 10 1/s et peut s'expliquer
par la fonte d'une neige récemment tombée. Etant donné l'alignement selon
la plus grande pente de la source temporaire avec le point du ruisseau où
le débit de ce dernier augmente sensiblement, il serait judicieux d'exécu¬
ter quelques travaux légers de reconnaissance (pelles et pioches) immédia¬
tement au-dessus du lit du ruisseau sur son versant Est (rive gauche) .
Nous pourrions ainsi nous assurer si la circulation aquifère
s'effectue le long d'une fracture drainante.
Si la présence d'un écoulement souterrain est reconnue sur ce
versant, près du ruisseau, son éventuel captage serait à l'abri d'une con¬
tamination possible par les eaux de surface. Néanmoins, il nécessiterait
un périmètre de protection.
36 -
L analyse relève de bonnes caractéristiques physico-chimi¬
ques mais note une légère contamination fécale.
Au cours des prélèvements d'eau effectués le 31.10.79, nous a-
vons remarqué l'existence d'une source temporaire, en rive gauche du thal¬
weg, vers 2.080 m d'altitude, au droit où le débit du torrent s'accroît
sensiblement vers 2.000 m.
Cette émergence n'existait pas lors de notre reconnaissance du
8 au 10 Octobre, son débit était de l'ordre de 10 1/s et peut s'expliquer
par la fonte d'une neige récemment tombée. Etant donné l'alignement selon
la plus grande pente de la source temporaire avec le point du ruisseau où
le débit de ce dernier augmente sensiblement, il serait judicieux d'exécu¬
ter quelques travaux légers de reconnaissance (pelles et pioches) immédia¬
tement au-dessus du lit du ruisseau sur son versant Est (rive gauche) .
Nous pourrions ainsi nous assurer si la circulation aquifère
s'effectue le long d'une fracture drainante.
Si la présence d'un écoulement souterrain est reconnue sur ce
versant, près du ruisseau, son éventuel captage serait à l'abri d'une con¬
tamination possible par les eaux de surface. Néanmoins, il nécessiterait
un périmètre de protection.
- 37
PRINCIPAUX RESULTATS COMPARES DES ANALYSES DES SOURCES DU VALLON DES HERBIERS
(prélèvements du 25 et 30.10.79)
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Pll 'Tk après morÎDre
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Si Oz en mg/t.Co2. Aire ' '
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Les éléments :
Source duRoitelet
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Bonnes car
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fécale.
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7,818, 02.
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2G,89A0/680, 50
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dde
d^OS
actéristi-
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25, G
9,70,60,42
^05d
de0,95
3onnes caract
physico-chi
miques et bac
tériologiquei
Pian lionifLsource /7»^
G"5107,55.
8,56d5, ddS,'4
4;2.9
do, 62000 .
551^5d,8Gd,50
dS83
-iBôOd,05
Eau très séléniteuse. Bac-
tériologique-ment bonne.
Qualité
chimique
non conforme
PO, sont en4
de la méthode.
Tableau 2.
- 37
PRINCIPAUX RESULTATS COMPARES DES ANALYSES DES SOURCES DU VALLON DES HERBIERS
(prélèvements du 25 et 30.10.79)
temperature.résis ti t/l te o/i/njcn
Pll 'Tk après morÎDre
Tk.T.fiO
Si Oz en mg/t.Co2. Aire ' '
Oxygène A'ssousT{éstdu sec dlûS'
C/ITIOI^S en 171^11.
CoA/iq^^AK"-
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Les éléments :
Source duRoitelet
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A5-151987, 98
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Bonnes car
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S""5095
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5"54 9S
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do, 62000 .
551^5d,8Gd,50
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-iBôOd,05
Eau très séléniteuse. Bac-
tériologique-ment bonne.
Qualité
chimique
non conforme
PO, sont en4
de la méthode.
Tableau 2.
MODANE (73) ~ LE LAVOIR - SOURCE N° 1 - PRELEVEMENT DU 31.10.79 - 3f
3 R.G.M .
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43
14. - RESULTATS DE LA RECHERCHE DE NOUVEAUX POINTS DE CAPTAGE DU VALLON DES
HERBIERS
La reconnaissance du vallon des Herbiers et de ses affluents,
permet de sélectionner 6 émergences ( S. 1. - S. 2 - S. 3 - S. 4 - S. 5 et
S. 9 ) susceptibles de foumier à priori, un débit compris entre 30 et 60 1/s,
Ces sources sont pour la plupart regroupées entre la retenue du
Lavoir et celle de La Losa, soit entre 1950 m et 2200 m.
Exceptée la source n° 9, toutes ces émergences sont récupérées
par l'E.d.F.
Par suite des résultats d'analyse, les sources n° 1 et 9, ne sont
pas chimiquement potables, elles présentent des teneurs élevées de SO^*,
Ca ++ et Mg ++ , aussi devront-elles être mélangées à des eaux bicarbonatées
calciques dans une proportion qui semble compatible avec le débit des sour¬
ces situées à l'amont : S.l. - S. 3 - S. 4 - S. 5 -
La source n° 2, qui est une source de ravin, où peuvent se mê¬
ler des eaux de surface, est difficile à capter; elle pourra être utilisée
par dérivation grâce à la construction d'un petit barrage, et fournira ain¬
si un débit complémentaire important, mais nécessitera toutefois un traite¬
ment de purification.
Dans l'alignement de la source temporaire, en rive gauche du
ruisseau où s'individualise la source n° 2, il serait intéressant de recon¬
naître par quelques travaux légers s'il n'existe pas une venue latérale oc¬
culte par le versant à la faveur d'une fracture drainante.
Si c'était le cas, nous aurions la possibilité de capter une eau
qui ne présenterait pas le risque d'une contamination par des eaux de sur¬
face.
Les sources 3 - 4 et 5 sont celles qui nous paraissent, dans
l'immédiat, les plus intéressantes par leur qualité et par les débits qu'
elles présentent (20 à 30 1/s.)
La reconnaissance hivernale des sources a permis de s'assurer
de la pérennité des émergences, à une période qui correspond à des débits
minimum. Ceux-ci ne semblent pas avoir subi de grandes variations depuis
43
14. - RESULTATS DE LA RECHERCHE DE NOUVEAUX POINTS DE CAPTAGE DU VALLON DES
HERBIERS
La reconnaissance du vallon des Herbiers et de ses affluents,
permet de sélectionner 6 émergences ( S. 1. - S. 2 - S. 3 - S. 4 - S. 5 et
S. 9 ) susceptibles de foumier à priori, un débit compris entre 30 et 60 1/s,
Ces sources sont pour la plupart regroupées entre la retenue du
Lavoir et celle de La Losa, soit entre 1950 m et 2200 m.
Exceptée la source n° 9, toutes ces émergences sont récupérées
par l'E.d.F.
Par suite des résultats d'analyse, les sources n° 1 et 9, ne sont
pas chimiquement potables, elles présentent des teneurs élevées de SO^*,
Ca ++ et Mg ++ , aussi devront-elles être mélangées à des eaux bicarbonatées
calciques dans une proportion qui semble compatible avec le débit des sour¬
ces situées à l'amont : S.l. - S. 3 - S. 4 - S. 5 -
La source n° 2, qui est une source de ravin, où peuvent se mê¬
ler des eaux de surface, est difficile à capter; elle pourra être utilisée
par dérivation grâce à la construction d'un petit barrage, et fournira ain¬
si un débit complémentaire important, mais nécessitera toutefois un traite¬
ment de purification.
Dans l'alignement de la source temporaire, en rive gauche du
ruisseau où s'individualise la source n° 2, il serait intéressant de recon¬
naître par quelques travaux légers s'il n'existe pas une venue latérale oc¬
culte par le versant à la faveur d'une fracture drainante.
Si c'était le cas, nous aurions la possibilité de capter une eau
qui ne présenterait pas le risque d'une contamination par des eaux de sur¬
face.
Les sources 3 - 4 et 5 sont celles qui nous paraissent, dans
l'immédiat, les plus intéressantes par leur qualité et par les débits qu'
elles présentent (20 à 30 1/s.)
La reconnaissance hivernale des sources a permis de s'assurer
de la pérennité des émergences, à une période qui correspond à des débits
minimum. Ceux-ci ne semblent pas avoir subi de grandes variations depuis
44
octobre; il s'avère néanmoins nécessaire de juger de la capacité des émer¬
gences sur une période pluriannuelle.
Cette surveillance oblige à prévoir un type de déversoir conçu
pour des jaugeages de sources en terrain enneigé. Dans le cas présent, il
faudra tenir compte que l'installation de ce matériel sur le site même des
émergences, est rendu impossible par les avalanches qui sont à redouter.
Aussi peut-on envisager de réaliser le captage des émergences et amener
l'eau à l'écart des coulées en un point où sera mis le matériel de mesures,
44
octobre; il s'avère néanmoins nécessaire de juger de la capacité des émer¬
gences sur une période pluriannuelle.
Cette surveillance oblige à prévoir un type de déversoir conçu
pour des jaugeages de sources en terrain enneigé. Dans le cas présent, il
faudra tenir compte que l'installation de ce matériel sur le site même des
émergences, est rendu impossible par les avalanches qui sont à redouter.
Aussi peut-on envisager de réaliser le captage des émergences et amener
l'eau à l'écart des coulées en un point où sera mis le matériel de mesures,
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46 -
15. - EXAMEN DE LA SOURCE CAPTEE DU ROITELET
Nous nous sommes rendus, en compagnie de Mr. GARINO, du Service
des Eaux de la ville de Modane, à la source captée du Roitelet pour s'assu¬
rer qu'il n'existait pas de possibilités d'améliorer son débit et d'expli¬
quer la forte turbulence parfois constatée à la distribution.
Nous avons donc remonté depuis la plate-forme d'entrée du tunnel
routier de Fréjus, une petite combe du versant Nord-Ouest du Mont Rond, pa¬
rallèle et à l'Est du ruisseau du Rieu Roux (voir figure 13, page 42)
A l'altitude de 1600 m (près d'une cabane forestière) se situe
la prise d'eau de la ville de Modane qui capte un petit ruisseau dont le
débit est de l'ordre du litre/seconde.
c'est en poursuivant cette reconnaissance le long de ce ruisseau
que nous avons atteint la véritable source à l'altitude de 1.970 m, soit à
peu près de 500 m, en amont de la prise d'eau.
Le débit réel de la source du Roitelet est de 0,5 1/s. Des tra¬
vaux de drainage ont été réalisés mais ne furent suivis d'aucune adduction.
Le site se schématise ainsi :
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46 -
15. - EXAMEN DE LA SOURCE CAPTEE DU ROITELET
Nous nous sommes rendus, en compagnie de Mr. GARINO, du Service
des Eaux de la ville de Modane, à la source captée du Roitelet pour s'assu¬
rer qu'il n'existait pas de possibilités d'améliorer son débit et d'expli¬
quer la forte turbulence parfois constatée à la distribution.
Nous avons donc remonté depuis la plate-forme d'entrée du tunnel
routier de Fréjus, une petite combe du versant Nord-Ouest du Mont Rond, pa¬
rallèle et à l'Est du ruisseau du Rieu Roux (voir figure 13, page 42)
A l'altitude de 1600 m (près d'une cabane forestière) se situe
la prise d'eau de la ville de Modane qui capte un petit ruisseau dont le
débit est de l'ordre du litre/seconde.
c'est en poursuivant cette reconnaissance le long de ce ruisseau
que nous avons atteint la véritable source à l'altitude de 1.970 m, soit à
peu près de 500 m, en amont de la prise d'eau.
Le débit réel de la source du Roitelet est de 0,5 1/s. Des tra¬
vaux de drainage ont été réalisés mais ne furent suivis d'aucune adduction.
Le site se schématise ainsi :
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47
En partant de la source à + 1970 m, vers sa prise d'eau actuelle
à + 1600 m, nous avons fait les observations suivantes :
Le débit de l'émergence s'écoule sur une centaine de mètres avant
de se réinfiltrer vers l'altitude 1900 mètres.
A l'altitude de 1810 m, réapparition du débit infiltré qui passe
à plus de 1 1/s.
A partir de cette cote, l'eau s'écoule en surface, jusqu'à l'al¬
titude de 1600 m, où elle est captée directement et dirigée sur Modane par
une ancienne canalisation en ciment.
L'ouverture récente d'une piste forestière qui recoupe plusieurs
fois le ruisseau issu de l'émergence a déversé sur la pente des terres ar¬
gileuses et des blocs. Ainsi le long de la combe du Roitelet subsiste un
risque d'instabilité des sols accentué par les infiltrations de la source
du Roitelet non captée.
Cette source a fait l'objet d'une analyse complète du type 1
(voir tableau 2, p. 34 , Fig. 14 p. 45 ) Il s'agit d'une eau bicarbona¬
tée calcique de minéralisation moyenne présentant de bonnes caractéristi¬
ques physico-chimiques et bactériologiques, donc potable. Toutefois, sa tur¬
bidité est élevée. Elle peut s'expliquer par l'influence des terres remaniées
qu'elle rencontre dans son cours aérien de plusieurs centaines de mètres a-
vant son adduction.
En conclusion , la prise d'eau actuelle ne se fait pas à la sour¬
ce; elle récupère des eaux de surface qui peuvent présenter un risque de
contamination par mélange d'eau de ruissellement. Si à la source du Roitelet
des drains captants furent réalisés, ils n'ont pas été suivis de travaux
d'adduction.
Il apparaît donc nécessaire de reprendre les travaux de pose de
conduite depuis la véritable source du Roitelet à l'altitude de 1.970 m et
de récupérer au passage les venues d'eau dispersées qui apparaissent vers
1.810 m, on utilisera des conduits souples qui remplaceront les vieilles ca¬
nalisations en ciment.
Il est probable que ces travaux n'apporteraient pas une amélio¬
ration très sensible du débit mais supprimerait le risque d'une contamina-
47
En partant de la source à + 1970 m, vers sa prise d'eau actuelle
à + 1600 m, nous avons fait les observations suivantes :
Le débit de l'émergence s'écoule sur une centaine de mètres avant
de se réinfiltrer vers l'altitude 1900 mètres.
A l'altitude de 1810 m, réapparition du débit infiltré qui passe
à plus de 1 1/s.
A partir de cette cote, l'eau s'écoule en surface, jusqu'à l'al¬
titude de 1600 m, où elle est captée directement et dirigée sur Modane par
une ancienne canalisation en ciment.
L'ouverture récente d'une piste forestière qui recoupe plusieurs
fois le ruisseau issu de l'émergence a déversé sur la pente des terres ar¬
gileuses et des blocs. Ainsi le long de la combe du Roitelet subsiste un
risque d'instabilité des sols accentué par les infiltrations de la source
du Roitelet non captée.
Cette source a fait l'objet d'une analyse complète du type 1
(voir tableau 2, p. 34 , Fig. 14 p. 45 ) Il s'agit d'une eau bicarbona¬
tée calcique de minéralisation moyenne présentant de bonnes caractéristi¬
ques physico-chimiques et bactériologiques, donc potable. Toutefois, sa tur¬
bidité est élevée. Elle peut s'expliquer par l'influence des terres remaniées
qu'elle rencontre dans son cours aérien de plusieurs centaines de mètres a-
vant son adduction.
En conclusion , la prise d'eau actuelle ne se fait pas à la sour¬
ce; elle récupère des eaux de surface qui peuvent présenter un risque de
contamination par mélange d'eau de ruissellement. Si à la source du Roitelet
des drains captants furent réalisés, ils n'ont pas été suivis de travaux
d'adduction.
Il apparaît donc nécessaire de reprendre les travaux de pose de
conduite depuis la véritable source du Roitelet à l'altitude de 1.970 m et
de récupérer au passage les venues d'eau dispersées qui apparaissent vers
1.810 m, on utilisera des conduits souples qui remplaceront les vieilles ca¬
nalisations en ciment.
Il est probable que ces travaux n'apporteraient pas une amélio¬
ration très sensible du débit mais supprimerait le risque d'une contamina-
MODANE (73) - SOURCE DU ROITELET - PRELEVEMENT DU 25.10.1979 - - 4B
B.R.G.M .
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Figure 14
49
tion par des eaux de surface et améliorerait la stabilité des terrains le
long de la Combe du Roitelet.
Remarque :
Les altitudes indiquées sont celles données par l'altimètre et
n'ont, en conséquence qu'une valeur relative.
16. - CONCLUSIONS DE LA 2 ème-, PARTIE DU RAPPORT
En rive gauche de la vallée de. l'Arc, la reconnaissance de nou¬
veaux points de captage a permis d'identifier 5 sources de versant et 1
source de thalweg qui devraient pouvoir fournir les débits recherchés.
En période d'étiage hivernal, ces sources se sont révélées pe¬
rennes dans les conditions actuelles de leur observation. Néanmoins, il
nous semble nécessaire avant d'entreprendre des travaux de captage et d'
adduction de connaître leur régime par des mesures régulières et plurian¬
nuelles de leur débit.
Le captage de la source du Roitelet devrait être amélioré dans
la reprise de l'adduction jusqu'au niveau même des drains captants .
Cette opération supprimerait la forte turbulence de l'eau, cons¬
tatée à la distribution.
On ne négligera pas de récupérer une petite source localisée au-
dessus de la prise d'eau actuelle.
En éliminant ainsi l'eau de ruissellement on assainira une pente
où les terrains remaniés risquent d'être affectés de glissements.
49
tion par des eaux de surface et améliorerait la stabilité des terrains le
long de la Combe du Roitelet.
Remarque :
Les altitudes indiquées sont celles données par l'altimètre et
n'ont, en conséquence qu'une valeur relative.
16. - CONCLUSIONS DE LA 2 ème-, PARTIE DU RAPPORT
En rive gauche de la vallée de. l'Arc, la reconnaissance de nou¬
veaux points de captage a permis d'identifier 5 sources de versant et 1
source de thalweg qui devraient pouvoir fournir les débits recherchés.
En période d'étiage hivernal, ces sources se sont révélées pe¬
rennes dans les conditions actuelles de leur observation. Néanmoins, il
nous semble nécessaire avant d'entreprendre des travaux de captage et d'
adduction de connaître leur régime par des mesures régulières et plurian¬
nuelles de leur débit.
Le captage de la source du Roitelet devrait être amélioré dans
la reprise de l'adduction jusqu'au niveau même des drains captants .
Cette opération supprimerait la forte turbulence de l'eau, cons¬
tatée à la distribution.
On ne négligera pas de récupérer une petite source localisée au-
dessus de la prise d'eau actuelle.
En éliminant ainsi l'eau de ruissellement on assainira une pente
où les terrains remaniés risquent d'être affectés de glissements.
-50- Planche 1
Photo 1 : Traçage à la fluoresceïne du torrent du Povaret
sous le refugs de l'Orgère.
Photo 2 : Entre le Plan de la Losa et le Lavoir - ruisseau issu
de la source n° 2 - vers l'altitude de 1940 m -
Reconnaissance hivernale du 13.2.8G
Reconnaissance hivernale du 13 Février 19BQ
S6 5554 S3
-51 -Planche 2
Retenue E.d.F
de La Losa
Photo 3 - Site des sources 3 - 4 - 5 et B, du Plan de La Losa,
Photo 4 - 'Source n° 3 déversée directement
au barrage du Plan de La Losa
Photo 5 - Source de Fontaine Froide
Photo prise d'hélicoptère
Vue des installations de pompage de
l'E.d.F.
ANNEXE I
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
52 -
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
ACUITÉ DE MÉDECINE
«700 LA TRONCHE'rofesseur Ag R MAGNIN, Directeur
.aboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste ZSSîeorotariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76) 42 05 73
Laboratoire Régional agréépar le Ministère de la Santé
TYPE I : analyse complète
CoMtmu.e MODANE
?oui le compte de ^RGM 18 rue Général Champon GRENOBLE
L.eu de prélèvement: SOUrce 1 - le lavoir
Origine de l'eau SOUrce
f-rolondeur du puits ou du forage
Eau non (*) traitée : {lñtrBT'ch\ans;-arcnvs. etc ..)
Causes evidentes de contamination :
N' 20470
Prélèvement effectué le 31.10.79 à 1^^ heures par ^^^^
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (") rtóant faibles -aboodantes
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 10
Temperature de l'eau : 6*
Mode de transport du prélèvement durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 à
C) Borrar l'il y o lieu.
ANNEXE I
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
52 -
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
ACUITÉ DE MÉDECINE
«700 LA TRONCHE'rofesseur Ag R MAGNIN, Directeur
.aboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste ZSSîeorotariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76) 42 05 73
Laboratoire Régional agréépar le Ministère de la Santé
TYPE I : analyse complète
CoMtmu.e MODANE
?oui le compte de ^RGM 18 rue Général Champon GRENOBLE
L.eu de prélèvement: SOUrce 1 - le lavoir
Origine de l'eau SOUrce
f-rolondeur du puits ou du forage
Eau non (*) traitée : {lñtrBT'ch\ans;-arcnvs. etc ..)
Causes evidentes de contamination :
N' 20470
Prélèvement effectué le 31.10.79 à 1^^ heures par ^^^^
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (") rtóant faibles -aboodantes
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 10
Temperature de l'eau : 6*
Mode de transport du prélèvement durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 à
C) Borrar l'il y o lieu.
53 -
RÉSULTATS
1* Analyse physique :
7,9Température : pH :
Turbidité : 8 gouttes de mastic
Résistivité : 1610 ohms/cm à 20 *> C
Couleur incolore saveur: sélém'teuse oireur nulle
Pouvoir eolmsííant :
2* - Analysa bactériologique :
A - Dénombrement total des bactéries sur gélose nutritive :
n 2nombre de colonies à 37° " par ml, au jour
ion 4nombre de colonies à 20° ''-^ par ml, au ' jour
B - Coiirnélrie ; a) Escherichia coli 1 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 24 par 100 ml
(tecfiniqus utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)O
D - Streptocoques fécaux : par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a) bflctériophages coll : dans 50 ml
b) bfictérlophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
53 -
RÉSULTATS
1* Analyse physique :
7,9Température : pH :
Turbidité : 8 gouttes de mastic
Résistivité : 1610 ohms/cm à 20 *> C
Couleur incolore saveur: sélém'teuse oireur nulle
Pouvoir eolmsííant :
2* - Analysa bactériologique :
A - Dénombrement total des bactéries sur gélose nutritive :
n 2nombre de colonies à 37° " par ml, au jour
ion 4nombre de colonies à 20° ''-^ par ml, au ' jour
B - Coiirnélrie ; a) Escherichia coli 1 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 24 par 100 ml
(tecfiniqus utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)O
D - Streptocoques fécaux : par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a) bflctériophages coll : dans 50 ml
b) bfictérlophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
- 54ANNEXE 1 -
3° - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O4 à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . .0.>.5. . . . .
Dureté totale (degré hydrotimètrique) . î . ....8 6Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) ! 4 3Silice, en mg par litre, de Si O, ..;?.....
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, ..'.....
Hydrogène sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, r ? Í . ?. ?? ^
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105° HO" 350. mg/l..
Résidu sec à 500* Recherche de Tagressivitej evant marbra
P H à 10' 7.9
sores rmrore
7,94
filcsîinifé au méthylorange, en mg/l de Ca OpH A3- s'atMratiop (n-iéthode'diî ¡..aingelier) 8,0 à 6'
i?3!j ir,ert.i?Dosage des cations : 8,31 meq/l
Calcium, en Ca+ +
Magnésium, en Mg+ +
Ammonium, en NH,+ Irif.ér.i.eut* _à
Sodium, en Na-*"
Potassium, en K*
Fer, en Fe'*^''^ *
Manganèse, en Mn*"^
mg par litre
116,2
29A-0,02 (1)
1,20
0,83
inférieur à 0,05 (1)
inférieur à
Aluminium, en AI + + + .inférieur à
Dosage des anions : 8,21 meq/l
Carbonique en CO,
Bicerbonique en HCO,"
Chicure». CI-
Sulfurique, en SO^" "
Nitreux. en NO,- inférieuj'_à
Nitrique, en NO, , .
Phosphorique en PO^
0,01 (1)
0,02 (1)
105
310
0,015 (1)
0,66
i nféri euF~à 0,03 (1)
me/l
5,7984
A.È1Z3-
0,0522
0,0212
1,7205
0,0282
6,4542
'0,0106
(1) limite de détection de la méthode
- 54ANNEXE 1 -
3° - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O4 à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . .0.>.5. . . . .
Dureté totale (degré hydrotimètrique) . î . ....8 6Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) ! 4 3Silice, en mg par litre, de Si O, ..;?.....
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, ..'.....
Hydrogène sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, r ? Í . ?. ?? ^
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105° HO" 350. mg/l..
Résidu sec à 500* Recherche de Tagressivitej evant marbra
P H à 10' 7.9
sores rmrore
7,94
filcsîinifé au méthylorange, en mg/l de Ca OpH A3- s'atMratiop (n-iéthode'diî ¡..aingelier) 8,0 à 6'
i?3!j ir,ert.i?Dosage des cations : 8,31 meq/l
Calcium, en Ca+ +
Magnésium, en Mg+ +
Ammonium, en NH,+ Irif.ér.i.eut* _à
Sodium, en Na-*"
Potassium, en K*
Fer, en Fe'*^''^ *
Manganèse, en Mn*"^
mg par litre
116,2
29A-0,02 (1)
1,20
0,83
inférieur à 0,05 (1)
inférieur à
Aluminium, en AI + + + .inférieur à
Dosage des anions : 8,21 meq/l
Carbonique en CO,
Bicerbonique en HCO,"
Chicure». CI-
Sulfurique, en SO^" "
Nitreux. en NO,- inférieuj'_à
Nitrique, en NO, , .
Phosphorique en PO^
0,01 (1)
0,02 (1)
105
310
0,015 (1)
0,66
i nféri euF~à 0,03 (1)
me/l
5,7984
A.È1Z3-
0,0522
0,0212
1,7205
0,0282
6,4542
'0,0106
(1) limite de détection de la méthode
55
OEiSERVATIONS
l.T. O r^ O L. U S 1 O ISI S
Analyse chimique : Minéralisation totale très élevée. Eau calcaire,séléniteuse. Turbidité un peu élevée, caractères organoleptiques normaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est faible.Présence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION GENERALE : ' '
Eau dont les qualités chimiques et bactériologiques ne sont pas conformesâ celles d'une eau d'alimentation.
14 novembre 1979
/ Lo Dirov^teur du Laboratoire.
55
OEiSERVATIONS
l.T. O r^ O L. U S 1 O ISI S
Analyse chimique : Minéralisation totale très élevée. Eau calcaire,séléniteuse. Turbidité un peu élevée, caractères organoleptiques normaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est faible.Présence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION GENERALE : ' '
Eau dont les qualités chimiques et bactériologiques ne sont pas conformesâ celles d'une eau d'alimentation.
14 novembre 1979
/ Lo Dirov^teur du Laboratoire.
ANNEXE 2
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
- 5B
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 LA TRONCHE
Professeur Ag R. MAGNIN, DirecteurLaboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52.89 - poste 349
ou (76)42 05.73
Laboratoire Régional «gréépar le Miniatére de U Santé
TYPE I : analyie complète
Commune MODANE
Pour le compte de BRGM 18 rue Général Champon GRENOBLE
Lieu de prélèvement : SOUrce 2
Origine de leau source et eau de torrent
Profondeur du puits ou du forage .
Eau non (') traitée: (filtre, chlore, ozone, etc..)
Causes évidentes de contamination :
N' 204.68
Prélèvement effectué le 31.10.79 ^ 12h30 heures par BRGM
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (*) néaat faibles - aben4»nt-e«
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 7°
Temperature de l'eau : 5
Mode de transport du prélèvement qlace durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 i
A
C) Borrar t'il y a liau.
ANNEXE 2
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
- 5B
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 LA TRONCHE
Professeur Ag R. MAGNIN, DirecteurLaboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52.89 - poste 349
ou (76)42 05.73
Laboratoire Régional «gréépar le Miniatére de U Santé
TYPE I : analyie complète
Commune MODANE
Pour le compte de BRGM 18 rue Général Champon GRENOBLE
Lieu de prélèvement : SOUrce 2
Origine de leau source et eau de torrent
Profondeur du puits ou du forage .
Eau non (') traitée: (filtre, chlore, ozone, etc..)
Causes évidentes de contamination :
N' 204.68
Prélèvement effectué le 31.10.79 ^ 12h30 heures par BRGM
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (*) néaat faibles - aben4»nt-e«
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 7°
Temperature de l'eau : 5
Mode de transport du prélèvement qlace durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 i
A
C) Borrar t'il y a liau.
- 57 -
RÉSULTATS
1* Anslysa phy&ique :
Température : pH : 8,28
Tuibidité : 8 gouttes de mastic
Résistivité : 4290 ohms/cm à 20 ° C
Couleur incolore saveur: agréable odsur nulle
Pouvoir ^)lrrtifLant :
2* - Aneîyso bsctáriologiqua :
A - Dénombrerrient total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° q par ml, au ' jour
nombre de colonies à 20° 49 par ml, au 4 ' jour
B - Colimétrie : a) Escherichia coli 3 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 18 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)
D - Streptocoques fécaux : . 0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a) bnctériophages coli : dans .50 ml
b) boctériophages dysentériques dans 50 m!
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
- 57 -
RÉSULTATS
1* Anslysa phy&ique :
Température : pH : 8,28
Tuibidité : 8 gouttes de mastic
Résistivité : 4290 ohms/cm à 20 ° C
Couleur incolore saveur: agréable odsur nulle
Pouvoir ^)lrrtifLant :
2* - Aneîyso bsctáriologiqua :
A - Dénombrerrient total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° q par ml, au ' jour
nombre de colonies à 20° 49 par ml, au 4 ' jour
B - Colimétrie : a) Escherichia coli 3 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 18 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)
D - Streptocoques fécaux : . 0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a) bnctériophages coli : dans .50 ml
b) boctériophages dysentériques dans 50 m!
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
ANNEXE 2 58 -
3° Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O, à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . .)
Dureté totale (degré hydrotimètrique) I.3 .4. . . .
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) 9.A
Silice, en mg par litre, de Si O, 2,6 _ _
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, 0^9 . -
Hydrogène sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, 1.1. ».l. .9. .v. ,H
Chlore libre, cn mg par litre, de CI,
Résidu sec à 10S° 110° 157 .mg/l
Résidu sec à 500°
Recherche ce Togreiî-ivié :
H
evant mnrbr®
CO AAl
alcalinité su miihylor.nnoe, tr» mg/l de Ce Oeau légèrement agressive pri de saturation (.riâtiicde ó-¿ 1 angel ier) 8,35 à í
après marbre
-S^28_
Dosage des cations : 2,71 meq/l
Calcium, en Ca"^ "^
Magnésium, en Mg+ +
Ammonium, en NH,+ .inférieur, à.
Sodium, en Na"*"
Potassium, en K"*"
Fer. en Fe++* ipferie^T. ?. .
Manganèse, en Mn+-^ inférieur, â. .
Aluminium, en Al + + + 1 PfÇrl ÇUr . à . .
Dosage des anions : 2,64 meq/l
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chlorures. CI
Sulfurique, en SO^" "
Nitreux. en NO,- inférieur -à .
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO^ inférieur- à
mg per litre
_35_,3_
11 o
0,02 (1)
JÛ^£S-
.0.46-
0,05 (1)
0,01 (1)
0,02 (1)
116
1
34
0.015 (1)
0,5
0.03 (1)
m o / I
1,7615
0,9211
1
0
0
0
,9012
,0282
,7079
,0079
(1) limite de détection de la méthode
ANNEXE 2 58 -
3° Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O, à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . .)
Dureté totale (degré hydrotimètrique) I.3 .4. . . .
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) 9.A
Silice, en mg par litre, de Si O, 2,6 _ _
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, 0^9 . -
Hydrogène sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, 1.1. ».l. .9. .v. ,H
Chlore libre, cn mg par litre, de CI,
Résidu sec à 10S° 110° 157 .mg/l
Résidu sec à 500°
Recherche ce Togreiî-ivié :
H
evant mnrbr®
CO AAl
alcalinité su miihylor.nnoe, tr» mg/l de Ce Oeau légèrement agressive pri de saturation (.riâtiicde ó-¿ 1 angel ier) 8,35 à í
après marbre
-S^28_
Dosage des cations : 2,71 meq/l
Calcium, en Ca"^ "^
Magnésium, en Mg+ +
Ammonium, en NH,+ .inférieur, à.
Sodium, en Na"*"
Potassium, en K"*"
Fer. en Fe++* ipferie^T. ?. .
Manganèse, en Mn+-^ inférieur, â. .
Aluminium, en Al + + + 1 PfÇrl ÇUr . à . .
Dosage des anions : 2,64 meq/l
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chlorures. CI
Sulfurique, en SO^" "
Nitreux. en NO,- inférieur -à .
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO^ inférieur- à
mg per litre
_35_,3_
11 o
0,02 (1)
JÛ^£S-
.0.46-
0,05 (1)
0,01 (1)
0,02 (1)
116
1
34
0.015 (1)
0,5
0.03 (1)
m o / I
1,7615
0,9211
1
0
0
0
,9012
,0282
,7079
,0079
(1) limite de détection de la méthode
- 59 -
OBSERVATIONS
..~ O r^ C. U U S I O N S
Analyse chimique : Minéralisation totale moyenne. Eau légèrementséléniteuse. Turbidité un peu élevée, caractères organoleptiques normaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est très faible.Présence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION GENERALE : eau présentant une légère contamination fécale ;elle n'est pas conforme aux normes des eaux potables.
14 novembre 1979
L lr¡ Direuteu r du Laboratoire.
- 59 -
OBSERVATIONS
..~ O r^ C. U U S I O N S
Analyse chimique : Minéralisation totale moyenne. Eau légèrementséléniteuse. Turbidité un peu élevée, caractères organoleptiques normaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est très faible.Présence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION GENERALE : eau présentant une légère contamination fécale ;elle n'est pas conforme aux normes des eaux potables.
14 novembre 1979
L lr¡ Direuteu r du Laboratoire.
ANNEXE 3 60
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 Lfi, TRONCHE
Professeur Ag R. MAGNIN, Directeur
Laboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76)42 05.73
Laboratoire Régional agréépar le Mimtlére da la Santé
TYPE I : analyse complète
Commune
r'oiir le compte de
Lieu de prélèvement : LA LOSA - source 3
Origine de l'eau ; source
f-'rofondeur du puits ou du forage .
Eau non ['] traitée: (fiitie..£bLQr£_Jlzone. etc..)
Causes évidentes de contamination :
NI' 20466
MODANE
BRGM 18 rue Général Champon 38100 GRENOBLE
Prélèvement effectué le 31.10.79 ^ llh30 heures par l'intéressé
Importance des pluies dans les 10 jours précédant C) nésRt - faibles -abondantes
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 10°
Temperature de l'eau : 5°
^/ode de transport du prélèvement glace durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 i
C) Borrar t'il y o liau.
ANNEXE 3 60
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 Lfi, TRONCHE
Professeur Ag R. MAGNIN, Directeur
Laboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76)42 05.73
Laboratoire Régional agréépar le Mimtlére da la Santé
TYPE I : analyse complète
Commune
r'oiir le compte de
Lieu de prélèvement : LA LOSA - source 3
Origine de l'eau ; source
f-'rofondeur du puits ou du forage .
Eau non ['] traitée: (fiitie..£bLQr£_Jlzone. etc..)
Causes évidentes de contamination :
NI' 20466
MODANE
BRGM 18 rue Général Champon 38100 GRENOBLE
Prélèvement effectué le 31.10.79 ^ llh30 heures par l'intéressé
Importance des pluies dans les 10 jours précédant C) nésRt - faibles -abondantes
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 10°
Temperature de l'eau : 5°
^/ode de transport du prélèvement glace durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 i
C) Borrar t'il y o liau.
. . - 61
RÉSULTATS
1* Anulyse phy&ique :
Température : P*^ 7 81
Turbidité : 6 gouttes de mastic
Résistivité : 5095 ohms/cm à 20 ° C
Couleur incolore saveur: agréable o<i«ur nulle
Pouvoir eoîfraftant :
2* - Analyse bactériologique :
A Dénombrement total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° l par ml, au 2 * jour
nombre de colonies à 20° ^q par ml, au 4 * jour
B Colimétrie : a) Escherichia coli 1 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : in pai" 100 ml
(tecfmique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert eî coll.)
D - Streptocoques fécaux : .0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a] bacteriophages coli : dans 50 ml
b) buctériophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
. . - 61
RÉSULTATS
1* Anulyse phy&ique :
Température : P*^ 7 81
Turbidité : 6 gouttes de mastic
Résistivité : 5095 ohms/cm à 20 ° C
Couleur incolore saveur: agréable o<i«ur nulle
Pouvoir eoîfraftant :
2* - Analyse bactériologique :
A Dénombrement total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° l par ml, au 2 * jour
nombre de colonies à 20° ^q par ml, au 4 * jour
B Colimétrie : a) Escherichia coli 1 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : in pai" 100 ml
(tecfmique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert eî coll.)
D - Streptocoques fécaux : .0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a] bacteriophages coli : dans 50 ml
b) buctériophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
62
ANNEXE 3
3* - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O4 à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . 0^7
Dureté totale (degré hydrotimètrique) yy .7. . . . .
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) B.,Bî ...
Silice, en mg par litre, de Si O, 2- -Er '
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, 2 A
Hydrogens sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, .'. . .^. . . ^
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105° 110° U6. .mg/l
Résidu sec à 500°
Recherche de Tagressivité
pH
alcalinité au méthylorange, en mg/l de Ca Oeau très s.gresiiw. pu de satiiratio-^ [rpv.thc'c dc LVngelier) 8,5 â 5^
avant marbre
à in° 7,81
après marbre
8,0?
Dosage des cations : 2,18 meq/l
Calcium, en Ca+ +
Magnésium, en Mg+ +
Ammonium, en NH,+ illférieur .à .
Sodium, en Na"*^
Potassium, en K"*"
Fer, en Fe++ * inférieur à . .
Manganèse, en Mn+"^ inférie -ur -à
Aluminium, en AI + + + inférieur .à . .
Dosage des anions : 2,15 meq/l
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chlorures. CI-
Sulfurique, en SO4- -
Nitreux. cn NO,- i-n-féri¤ur è-
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO. .... 1 Pf.éH eur . à . . .
mg per litre
26,8
AA.0.02 (1)
-ÎLréê-
0,50
0,05 (1)
0,01 dl0,02 (1)
108
16
n.niR (1)
1,05
0,03 (1)
me/l
1,3373
0,7977
-ÙA^ZBS-
Û,0J.?8
1,7701
0,0282
0,3331
0,0169
(1) limite de détection de la méthode
62
ANNEXE 3
3* - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O4 à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . 0^7
Dureté totale (degré hydrotimètrique) yy .7. . . . .
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) B.,Bî ...
Silice, en mg par litre, de Si O, 2- -Er '
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, 2 A
Hydrogens sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, .'. . .^. . . ^
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105° 110° U6. .mg/l
Résidu sec à 500°
Recherche de Tagressivité
pH
alcalinité au méthylorange, en mg/l de Ca Oeau très s.gresiiw. pu de satiiratio-^ [rpv.thc'c dc LVngelier) 8,5 â 5^
avant marbre
à in° 7,81
après marbre
8,0?
Dosage des cations : 2,18 meq/l
Calcium, en Ca+ +
Magnésium, en Mg+ +
Ammonium, en NH,+ illférieur .à .
Sodium, en Na"*^
Potassium, en K"*"
Fer, en Fe++ * inférieur à . .
Manganèse, en Mn+"^ inférie -ur -à
Aluminium, en AI + + + inférieur .à . .
Dosage des anions : 2,15 meq/l
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chlorures. CI-
Sulfurique, en SO4- -
Nitreux. cn NO,- i-n-féri¤ur è-
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO. .... 1 Pf.éH eur . à . . .
mg per litre
26,8
AA.0.02 (1)
-ÎLréê-
0,50
0,05 (1)
0,01 dl0,02 (1)
108
16
n.niR (1)
1,05
0,03 (1)
me/l
1,3373
0,7977
-ÙA^ZBS-
Û,0J.?8
1,7701
0,0282
0,3331
0,0169
(1) limite de détection de la méthode
- 63
OFJSERVATIONS
COtN^OLUSIONS
Analyse chimique : Minéralisation totale moyenne, Turbidité peu élevée,caractères organoleptiques normaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est très faible,Présence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION GENERALE : eau présentant une légère contamination fécale ;elle n'est pas conforme aux normes des eaux potables.
14 novembre 1979
/ ili Directeur du Laboratoire.
- 63
OFJSERVATIONS
COtN^OLUSIONS
Analyse chimique : Minéralisation totale moyenne, Turbidité peu élevée,caractères organoleptiques normaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est très faible,Présence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION GENERALE : eau présentant une légère contamination fécale ;elle n'est pas conforme aux normes des eaux potables.
14 novembre 1979
/ ili Directeur du Laboratoire.
ANNEXE 4
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
64
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 LA TRONCHE
Professeur Ag R. MAGNIN, Directeur
Laboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76)42.05.73
Laboratoire RéQlonal agréépar le Ministère d« la Santé
TYPE I : analyse complète
^sl' 204^7
Commune MODANE
P'our le compte de BRGM - 18 rue Général Champon GRENOBLE
Lieu de prélèvement : SOUrce 5 L*^ LoSil-
Origine de l'eau : sOUrce
Profondeur du puifs ou du forage .
Eau non ['] traitée : (liUce.,-chkwer-o/one. etc ..)
Causes evidentes de contamination :
Prcleventent effectué le 31.10.79 à 12h heures par BRGM
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (*) néant - faibles --abondantes -
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 12°
Temperature de l'eau : ^
(/oóe de transport du prélèvement qlace
Analyse commencée le 31.10.7-/
durée de celui-ci
è
C) Borrar t'il y a liau
ANNEXE 4
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
64
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 LA TRONCHE
Professeur Ag R. MAGNIN, Directeur
Laboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76)42.05.73
Laboratoire RéQlonal agréépar le Ministère d« la Santé
TYPE I : analyse complète
^sl' 204^7
Commune MODANE
P'our le compte de BRGM - 18 rue Général Champon GRENOBLE
Lieu de prélèvement : SOUrce 5 L*^ LoSil-
Origine de l'eau : sOUrce
Profondeur du puifs ou du forage .
Eau non ['] traitée : (liUce.,-chkwer-o/one. etc ..)
Causes evidentes de contamination :
Prcleventent effectué le 31.10.79 à 12h heures par BRGM
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (*) néant - faibles --abondantes -
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : 12°
Temperature de l'eau : ^
(/oóe de transport du prélèvement qlace
Analyse commencée le 31.10.7-/
durée de celui-ci
è
C) Borrar t'il y a liau
- 65
RÉSULTATS
pH: 7,95
gouttes de mastic
ohms/cm à 20 ° C
saveur: agréable o^ur nulle
1* An«ly8« physique :
Température :
Turbidité : 7
Résistivité : 5495
Couleur incolore
Pouvoir 8io!m*ííant :
2* Analyse bactériologique :
A - Dénombrement total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° Q P^r m'. 3U 2 * jour
nombre de colonies à 20° 25 P^"" "^'^ ^^ 4 * jour
B - Coiirnélrie : a) Escherichia coli 0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 18 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
(technique utilisée : méthode de Diénert et coll.)
D - Streptocoques fécaux par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E Bacteriophages fécaux :
a) bacteriophages coli dans 50 ml
b) bacteriophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
- 65
RÉSULTATS
pH: 7,95
gouttes de mastic
ohms/cm à 20 ° C
saveur: agréable o^ur nulle
1* An«ly8« physique :
Température :
Turbidité : 7
Résistivité : 5495
Couleur incolore
Pouvoir 8io!m*ííant :
2* Analyse bactériologique :
A - Dénombrement total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° Q P^r m'. 3U 2 * jour
nombre de colonies à 20° 25 P^"" "^'^ ^^ 4 * jour
B - Coiirnélrie : a) Escherichia coli 0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 18 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
(technique utilisée : méthode de Diénert et coll.)
D - Streptocoques fécaux par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E Bacteriophages fécaux :
a) bacteriophages coli dans 50 ml
b) bacteriophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
ANNEXE 4- 66 -
3° - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O4 à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . . ,0,5.9 . .
Dureté totale (degré hydrotimètrique) . î . . . ,
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) vit. .
Silice, en mg par litre, de Si O, . ?iÇ. . . .
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, 7?T. . .
Hydrogens sulfuré, en mg par litre, de H, S '.
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, fv?v.?. fV
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105°- 110* 123 mg/1
Résidu sec à 500°
Recherche de l'agressivité :
P H
avant marbre
5 10" 7,95
après rrvar bre
8,10
alcalinité au méthylorange, en mg/l dc Ca Oeau agressive pH de saturation (nôthode dé Langelier) 8,5 a 5*
Dosage des cations : 2,11 meo/l
^5 7
infÇrieu) 0,0? (1)
JIA.
Calcium, en Ca+ ''^
Magnésium, en Mg"*^"^
Ammonium, en NH,"*"
Sodium, en Na"*^
Potassium, en K"*"
Fer, en Fe+ + * .inf éHcUi
Manganèse, en Mn+ -^ .infér.ieUV ^ 0,01 (1)
Aluminium, en Al + + ^ ^P-f^T^m « 0,02 (1)
Dosage des anions : 2,05 meq/1
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chlorures. CI
Sulfurique, en S0<
Nitreux, en NO,- itofêrieui^A
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO, an-fÔrleO
mg par litre
25,6
OA?.
_3 0,05 (1.x
0
103
1
.1
15
0,015 (1)
0,95
'_â n,nn (1)
e/l
1,2774
0,7977
o,n?p.i
0,0107
1,6882
0,0282
0,3331
0,0153
(1) limite de détection de la méthode
ANNEXE 4- 66 -
3° - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn O4 à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . . ,0,5.9 . .
Dureté totale (degré hydrotimètrique) . î . . . ,
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) vit. .
Silice, en mg par litre, de Si O, . ?iÇ. . . .
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, 7?T. . .
Hydrogens sulfuré, en mg par litre, de H, S '.
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, fv?v.?. fV
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105°- 110* 123 mg/1
Résidu sec à 500°
Recherche de l'agressivité :
P H
avant marbre
5 10" 7,95
après rrvar bre
8,10
alcalinité au méthylorange, en mg/l dc Ca Oeau agressive pH de saturation (nôthode dé Langelier) 8,5 a 5*
Dosage des cations : 2,11 meo/l
^5 7
infÇrieu) 0,0? (1)
JIA.
Calcium, en Ca+ ''^
Magnésium, en Mg"*^"^
Ammonium, en NH,"*"
Sodium, en Na"*^
Potassium, en K"*"
Fer, en Fe+ + * .inf éHcUi
Manganèse, en Mn+ -^ .infér.ieUV ^ 0,01 (1)
Aluminium, en Al + + ^ ^P-f^T^m « 0,02 (1)
Dosage des anions : 2,05 meq/1
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chlorures. CI
Sulfurique, en S0<
Nitreux, en NO,- itofêrieui^A
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO, an-fÔrleO
mg par litre
25,6
OA?.
_3 0,05 (1.x
0
103
1
.1
15
0,015 (1)
0,95
'_â n,nn (1)
e/l
1,2774
0,7977
o,n?p.i
0,0107
1,6882
0,0282
0,3331
0,0153
(1) limite de détection de la méthode
- 67
OFJSERVATIONS
C O tsi O U U S 1 O N S
Analyse chiminue^ : Minii-zlisàticn toiale ¡.¡oyenne, Turbitjité peuélevée, cliract^res organoleptiques normaux.Analyse hactfiriolocicii'C : le t^o..¡Íjro total dos bactéries est très faible.7\bSGnce' de ";)i^i"r'',;HS test de contamination fécale.p0i^lÇl.ySI_3,^i__^E'í_LJ^.LE: : eau présentant dos caractéristiques physiques,cïi'irrfqu'n's '¿'t "bnct'ir'iologiquss acceptables conformes aux nomes des eauxd'alim&ntatiori. Hais eau âçir-=6àive.
15 novembre 1979
teur du Laboratoire.
- 67
OFJSERVATIONS
C O tsi O U U S 1 O N S
Analyse chiminue^ : Minii-zlisàticn toiale ¡.¡oyenne, Turbitjité peuélevée, cliract^res organoleptiques normaux.Analyse hactfiriolocicii'C : le t^o..¡Íjro total dos bactéries est très faible.7\bSGnce' de ";)i^i"r'',;HS test de contamination fécale.p0i^lÇl.ySI_3,^i__^E'í_LJ^.LE: : eau présentant dos caractéristiques physiques,cïi'irrfqu'n's '¿'t "bnct'ir'iologiquss acceptables conformes aux nomes des eauxd'alim&ntatiori. Hais eau âçir-=6àive.
15 novembre 1979
teur du Laboratoire.
ANNEXE 568
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 LA TRONCHE
Professeur Ag R MAGNIN, Directeur
Laboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76) 42 05 73
Laboratoire Régional agréépar le Ministère de la Santé
TYPE I : analyse complète
N° ?04ñq
Commune MODANE
Pour le compte de BRGM 18 rue Général Champon GRENOBLE
, . ,. . source 9 - plan MONINLieu de prélèvement : '^
Origine de leau . SOUrce
f-'rofondeur du puits ou du forage .
Eau non (') traitée ; (filtre, chlore, ozone, etc ..)
Causes evidentes de contamination :
Preleven,ent effectué le 31.10.79 ^ 14h40 },eures par ^^^^
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (") néant faibles --ebondentes
Temperature atmosphérique du lieu de prélèvement : 15*
Temperature de l'eau : g«
Mode dc transport du prélèvement glace durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 ^
C) Borrar t'il y o liau.
ANNEXE 568
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
LABORATOIRE D'HYGIÈNE
FACULTÉ DE MÉDECINE
38700 LA TRONCHE
Professeur Ag R MAGNIN, Directeur
Laboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 89 - poste 349
ou (76) 42 05 73
Laboratoire Régional agréépar le Ministère de la Santé
TYPE I : analyse complète
N° ?04ñq
Commune MODANE
Pour le compte de BRGM 18 rue Général Champon GRENOBLE
, . ,. . source 9 - plan MONINLieu de prélèvement : '^
Origine de leau . SOUrce
f-'rofondeur du puits ou du forage .
Eau non (') traitée ; (filtre, chlore, ozone, etc ..)
Causes evidentes de contamination :
Preleven,ent effectué le 31.10.79 ^ 14h40 },eures par ^^^^
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (") néant faibles --ebondentes
Temperature atmosphérique du lieu de prélèvement : 15*
Temperature de l'eau : g«
Mode dc transport du prélèvement glace durée de celui-ci
Analyse commencée le 31.10.79 ^
C) Borrar t'il y o liau.
69
RÉSULTATS
1* - Analyse physique
Température :
Turbidité : 8
510
pH : 7,55
gouttes de mastic
ohms/cin à 20 ° C
saveur: Séléniteuse
Résistivité :
Couleur incolore
Pouvoir colrr^iîant :
2* Analysîe bacííriylrsqique :
A - Dénombrement total des bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° ^ par ml. au
nombre de colonies à 20° 0 par ml, au
0
odeurnulle
2 ' jour
4 * jour
B - Colimétrie : a) Escherichia co!i par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)-i
D - Streptocoques fécaux: 0 ^par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a) bacteriophages coli dans 50 ml
b) bnctériophages dysentériques dans 50 m!
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
69
RÉSULTATS
1* - Analyse physique
Température :
Turbidité : 8
510
pH : 7,55
gouttes de mastic
ohms/cin à 20 ° C
saveur: Séléniteuse
Résistivité :
Couleur incolore
Pouvoir colrr^iîant :
2* Analysîe bacííriylrsqique :
A - Dénombrement total des bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° ^ par ml. au
nombre de colonies à 20° 0 par ml, au
0
odeurnulle
2 ' jour
4 * jour
B - Colimétrie : a) Escherichia co!i par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 0 par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : 0 par 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)-i
D - Streptocoques fécaux: 0 ^par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E - Bacteriophages fécaux :
a) bacteriophages coli dans 50 ml
b) bnctériophages dysentériques dans 50 m!
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
70ANNEXE 5
3° - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn 0« à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . r. . . .
15 1Dureté totale (degré hydrotimètrique) ..'...15,4
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) ' , .
Silice, en mg par litre, de Si O, .'. . .
gAnhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O,
Hydrogèr^2 sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, .9». . .^ . . . .^
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105°- llC ?QQQ. 'Pg/l Résidu sec à 500°
Recherche da l'agressivité
. . P Heau inerte
alcalinité au mclhyiorançe, en mg/l de Ca O
avant marbre
±AnA.JAA.
après marbre
8,56
inférieur à
Dosage des cations : 30 .jO nCQ/ .
Calcium, en Ca + +
Magnésium, en Mg"*"^
Ammonium, en NH,+
Sodium, en Na*
Potassium, en K+
Fer, en Fe+ + * infériManganèse, en Mn"*^^ ^PIÇT?
Aluminium, en AI + " *"
eir
etr
inférieir
Dosage des anions : 29,2 meq/l
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chloruros. CI-
Sulfurique, en SO.- -
Nitreux, en NO,- inférlÇVLÀNitrique, en NO., , . .
Phosphorique en PO.
mg par litre
_a_
à
à
inférietjr à
-53L45
0,02 (1)
1,86
1,5
0,05 (1)
0,01 (1)
0,02 (1)
188
1250
0,015 (1)
1,05
0,03 (1)
mc/l
_26..4969_3,7008
0,0809
0,0384
^,0813
0,0846
"26,0250
0,0169
(1) limite de détection de la méthode
70ANNEXE 5
3° - Analyse chimique
Oxygène cédé par K Mn 0« à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . r. . . .
15 1Dureté totale (degré hydrotimètrique) ..'...15,4
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) ' , .
Silice, en mg par litre, de Si O, .'. . .
gAnhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O,
Hydrogèr^2 sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, de O, .9». . .^ . . . .^
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105°- llC ?QQQ. 'Pg/l Résidu sec à 500°
Recherche da l'agressivité
. . P Heau inerte
alcalinité au mclhyiorançe, en mg/l de Ca O
avant marbre
±AnA.JAA.
après marbre
8,56
inférieur à
Dosage des cations : 30 .jO nCQ/ .
Calcium, en Ca + +
Magnésium, en Mg"*"^
Ammonium, en NH,+
Sodium, en Na*
Potassium, en K+
Fer, en Fe+ + * infériManganèse, en Mn"*^^ ^PIÇT?
Aluminium, en AI + " *"
eir
etr
inférieir
Dosage des anions : 29,2 meq/l
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chloruros. CI-
Sulfurique, en SO.- -
Nitreux, en NO,- inférlÇVLÀNitrique, en NO., , . .
Phosphorique en PO.
mg par litre
_a_
à
à
inférietjr à
-53L45
0,02 (1)
1,86
1,5
0,05 (1)
0,01 (1)
0,02 (1)
188
1250
0,015 (1)
1,05
0,03 (1)
mc/l
_26..4969_3,7008
0,0809
0,0384
^,0813
0,0846
"26,0250
0,0169
(1) limite de détection de la méthode
71 -
OBSERVATIONS
ir. O N O L. U S I O rsi S
Analyse chimique : Minéralisation totale tres élevée. Eau très calcaire,très séléniteuse. Turbidité un peu élevée, caractères organoleptiquesnormaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est très faible.Absence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION (GENERALE : eau bactériologiquement potable, mais dont lesqualités chimiques ne sont pas conformes à celles d'une eau de distribution(dureté et sulfates très élevés).
14 novembre 1979
i ln Directeur du Laboratoire.
71 -
OBSERVATIONS
ir. O N O L. U S I O rsi S
Analyse chimique : Minéralisation totale tres élevée. Eau très calcaire,très séléniteuse. Turbidité un peu élevée, caractères organoleptiquesnormaux.Analyse bactériologique : le nombre total des bactéries est très faible.Absence de germes test de contamination fécale.CONCLUSION (GENERALE : eau bactériologiquement potable, mais dont lesqualités chimiques ne sont pas conformes à celles d'une eau de distribution(dureté et sulfates très élevés).
14 novembre 1979
i ln Directeur du Laboratoire.
ANNEXE 672
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
-ABORATOIRE D'HYGIÈNE
ACULTÉ DE MEtXCINE«700 LA TRONCHE
'rofesseur Ag R. MAGNIN, Directeur
aboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 69 - poste 349
ou (76)42.05.73
Laboratoire Régional «gréépar le Ministère de la Santé
TYPE I : analyse complète
Commune MODANE
Pour lf compte de
Lieu de prélèvement :
N' ?n393
SERVICES TECMiilCUES DE LA VILLE DE îiQDANE2 rue Polset fíOHANñ
réservoir - source RoiteletOrigine de I eau .
Profondeur du puits ou du forage
Eau non (") traitée: (fiLUÊ-fblflfi.-OiX'ne. etc..)
Causes évidentes de contamination :
Prélèvement effectué le 25.10.79 ^ 17H beures par BRG'1
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (') néaoL;^ faibles abondantes
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : ]Q»
Temperature de l'eau : gog
Mode dc transport du prélèvement durée de celui-ci
Analyse commencée le «5 Ift 79 *
C) Borrar t'il y a liau.
ANNEXE 672
RÉSULTATS D'ANALYSE D'EAU
-ABORATOIRE D'HYGIÈNE
ACULTÉ DE MEtXCINE«700 LA TRONCHE
'rofesseur Ag R. MAGNIN, Directeur
aboratoires : Tél. (76)42.52 89 - poste 358Secrétariat : Tél. (76)42 52 69 - poste 349
ou (76)42.05.73
Laboratoire Régional «gréépar le Ministère de la Santé
TYPE I : analyse complète
Commune MODANE
Pour lf compte de
Lieu de prélèvement :
N' ?n393
SERVICES TECMiilCUES DE LA VILLE DE îiQDANE2 rue Polset fíOHANñ
réservoir - source RoiteletOrigine de I eau .
Profondeur du puits ou du forage
Eau non (") traitée: (fiLUÊ-fblflfi.-OiX'ne. etc..)
Causes évidentes de contamination :
Prélèvement effectué le 25.10.79 ^ 17H beures par BRG'1
Importance des pluies dans les 10 jours précédant (') néaoL;^ faibles abondantes
Température atmosphérique du lieu de prélèvement : ]Q»
Temperature de l'eau : gog
Mode dc transport du prélèvement durée de celui-ci
Analyse commencée le «5 Ift 79 *
C) Borrar t'il y a liau.
73
RÉSULTATS
Température :
Turbidité :
Résistivité :
15
4315
1* Analyse physique :
pH: 7,93
gouttes de mastic
ohms/cm à 20 ° C
Couleur Incolore saveur: normalC odeur
Pouvoir ©olmtfiant :
2* - Analyse bactériologique :
A Dénombrement total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° .«. par ml, au *> * jour
nombre de colonies à 20° 040 par ml, au ¿j * jour
Nulle
B Colimétrie : a) Escherichia coli par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 135 pa"" 100 nil
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : Q P^r 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)
D - Streptocoques fécaux : Q P^"" ^00 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E Bacteriophages fécaux :
a] bacteriophages coli dans 50 ml
b) boctériophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
73
RÉSULTATS
Température :
Turbidité :
Résistivité :
15
4315
1* Analyse physique :
pH: 7,93
gouttes de mastic
ohms/cm à 20 ° C
Couleur Incolore saveur: normalC odeur
Pouvoir ©olmtfiant :
2* - Analyse bactériologique :
A Dénombrement total dos bactéries sur gélose nutritive :
nombre de colonies à 37° .«. par ml, au *> * jour
nombre de colonies à 20° 040 par ml, au ¿j * jour
Nulle
B Colimétrie : a) Escherichia coli par 100 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 44°test I.M.V.I.C.)
b) Bactéries Coliformes : 135 pa"" 100 nil
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu Tergitol 7 TTC à 37°)
C - Clostridiums sulfito-réducteurs : Q P^r 100 ml
ftechnique utilisée : méthode de Diénert et coll.)
D - Streptocoques fécaux : Q P^"" ^00 ml
(technique utilisée : membranes filtrantes, sur milieu de Sianetz et Bartiey)
E Bacteriophages fécaux :
a] bacteriophages coli dans 50 ml
b) boctériophages dysentériques dans 50 ml
(technique utilisée : méthode au chloroforme et filtration.
- 74
ANNEXE 6
3° - Analyse chimiqua
Oxygène cédé par K Mn O. à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . .i.o. .
Dureté totale (degré hydrotimètrique) .13.,4.
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) j.^ ^. .
Silice, en mg par litre, de Si O, 2- !
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, JZ . . .
Hydrogens sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, dc O, 1.2- !
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105° - 110» 195. nq/}
Résidu sec è 500°
Recherche de Tagressivité
P H
avant marbre
f\ U*» 7.^"
alcalinité au méthylorange, en mg/l de Ca O
eau légürenent agressive pH de saturation (sitóthbíc de Langelier) 3,10 S 5*0
après nr>«rl>re
7. 9"^
Dosage des cations : 2 72 meq/1
Calcium, en Ca+ "^^
Magnésium, en Mg* *
Ammonium, en NH^* Ififfrieur-S
Sodium, en Na"*"
Potassium, en K"*^
Fer, en Fe + + '^
Manganèse, en Mn+ -^ Inférieur .^ .
Aluminium, en Al + + + 'tnf^P^GUr -Se
Dosage des anions : 2,70 r¡eq/1
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chicxurfts. CI-
Sulfurique, en S0<- -
Nitreux, en NO,- ij1.f^r.1fîjur. 5. .
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO, inf f^r.^&üV . S. .
mg par litre
-A^-A-
-M-
n.o? (1)'j . ^.^
o,r4
0,00 (1)
0,01 (1)
o.n? (1)
154
0,015 (1)
±An.01 (1)
me/l
PiFOf:.
0.5131
0^ poro
0.0K4
2^5241
JI,0282
J1A2Í9
0.0210
(1) limite de détection de la néthode
- 74
ANNEXE 6
3° - Analyse chimiqua
Oxygène cédé par K Mn O. à chaud en 10 min, en milieu alcalin, en mg par litre . .i.o. .
Dureté totale (degré hydrotimètrique) .13.,4.
Titre alcalimétrique complet (T.A.C.) j.^ ^. .
Silice, en mg par litre, de Si O, 2- !
Anhydride carbonique libre, en mg par litre, de C O, JZ . . .
Hydrogens sulfuré, en mg par litre, de H, S
Oxygène dissous, en mg par litre, dc O, 1.2- !
Chlore libre, en mg par litre, de Cl,
Résidu sec à 105° - 110» 195. nq/}
Résidu sec è 500°
Recherche de Tagressivité
P H
avant marbre
f\ U*» 7.^"
alcalinité au méthylorange, en mg/l de Ca O
eau légürenent agressive pH de saturation (sitóthbíc de Langelier) 3,10 S 5*0
après nr>«rl>re
7. 9"^
Dosage des cations : 2 72 meq/1
Calcium, en Ca+ "^^
Magnésium, en Mg* *
Ammonium, en NH^* Ififfrieur-S
Sodium, en Na"*"
Potassium, en K"*^
Fer, en Fe + + '^
Manganèse, en Mn+ -^ Inférieur .^ .
Aluminium, en Al + + + 'tnf^P^GUr -Se
Dosage des anions : 2,70 r¡eq/1
Carbonique en CO,
Bicarbonique en HCO,
Chicxurfts. CI-
Sulfurique, en S0<- -
Nitreux, en NO,- ij1.f^r.1fîjur. 5. .
Nitrique, en NO, ,
Phosphorique en PO, inf f^r.^&üV . S. .
mg par litre
-A^-A-
-M-
n.o? (1)'j . ^.^
o,r4
0,00 (1)
0,01 (1)
o.n? (1)
154
0,015 (1)
±An.01 (1)
me/l
PiFOf:.
0.5131
0^ poro
0.0K4
2^5241
JI,0282
J1A2Í9
0.0210
(1) limite de détection de la néthode
75
OFiSETRVATIONS
C. O tN/ O l_ U S 1 O N S
Analyse chinirjq : MlnSralisaticn totale noyenne, TurbiditS troptToy'Lcî. caractères organoleptiques nornaux.Analysq_bic^'rJ^c)Jo''v^ue : le norribre total des bactéries est passable.'AFsence Jb qôr. ¡es'^'s't "de contar lination fr;cale.CON'C^LI[yj)î|J^:Z ;fJ%.^I.£ : e?.u prí'Süntant des bonnss caractéristiques physiques,chTmfques ètTjact^jriologiques conformes aux normes des eaux d'aliniontation.
14 novetibre 1979
i* Le Directeur du Laboratoire.
75
OFiSETRVATIONS
C. O tN/ O l_ U S 1 O N S
Analyse chinirjq : MlnSralisaticn totale noyenne, TurbiditS troptToy'Lcî. caractères organoleptiques nornaux.Analysq_bic^'rJ^c)Jo''v^ue : le norribre total des bactéries est passable.'AFsence Jb qôr. ¡es'^'s't "de contar lination fr;cale.CON'C^LI[yj)î|J^:Z ;fJ%.^I.£ : e?.u prí'Süntant des bonnss caractéristiques physiques,chTmfques ètTjact^jriologiques conformes aux normes des eaux d'aliniontation.
14 novetibre 1979
i* Le Directeur du Laboratoire.