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www.cc.lu de letzebuerger Bulletin de la Chambre de Commerce du Grand-Duché de Luxembourg Rencontre Commission- Gouvernement luxembourgeois à la Chambre de Commerce Présidence de l’UE 01/2005 • janvier/février Commerce extérieur: Calendrier officiel 2005 (dépliant inclus dans ce numéro)

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www.cc.lu

de letzebuerger

Bulletin de la Chambre de Commerce du Grand-Duché de Luxembourg

RencontreCommission-Gouvernement luxembourgeoisà la Chambrede Commerce

Présidence de l’UE

01/2005 • janvier/février

Commerceextérieur:

Calendrierofficiel 2005(dépliantinclus dansce numéro)

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3 • Merkur • Février 2005

EditorialRapport Fontagné:

Une chance à saisir!Lorsque l’Observatoire de la compétitivité de l’éco-

nomie luxembourgeoise du Ministère de l’économieavait dévoilé au public fin novembre 2004 le rapport du professeur Lionel Fontagné sur la compétitivité du Luxembourg, la Chambre de Commerce et l’Union des Entreprises Luxembourgeoises (UEL) avaient salué lerapport pour avoir le mérite de présenter de manièreobjective et critique la situation actuelle et les perspec-tives en matière de compétitivité de l’économie luxem-bourgeoise. Même si la Chambre de Commerce aurait souhaité une analyse plus sectorielle pour mieux décelerles point forts et les faiblesses de l’économie nationale,elle estimait que les dix domaines d’actions proposés enfin du rapport constituaient une bonne base pour les discussions au sein du comité de coordination tripartite,d’autant plus que ces recommandations s’alignent sur celles définies par la stratégie de Lisbonne concernant laformation, la recherche, l’eGovernment, les technologiesde l’information et l’esprit d’entreprise.

Les représentants syndicaux avaient boudé la pré-sentation officielle du rapport en novembre passé etexprimé quelques critiques ponctuelles par la suite.Lorsque la Tripartite s’est réunie en comité restreint le3 février 2005 pour procéder à un premier échange devues approfondi sur le rapport Fontagné, les différents partenaires sociaux ont saisi l’occasion pour exposer, enprésence de l’auteur, leurs points de vues respectifs sur son analyse de la compétitivité du Luxembourg. A cetteoccasion, l’Union des Entreprises luxembourgeoises aouvert des pistes de réflexion pour mettre en œuvre les enseignements du rapport Fontagné. De plus, l’UEL ainsisté qu’un tableau de bord décrivant la compétitivitépuisse être rapidement agréé.

Si les syndicats ont essayé dans le premier tour detable de faire apparaître les faiblesses, insuffi sances et inexactitudes du rapport, le professeur Fontagné n’a paséprouvé de grandes difficultés à défendre ses points devue et à réfuter les principaux arguments avancés par les syndicats tout en acceptant cependant de nuancer

certaines de ses affirmations. Il transmettra ses prises deposition et commentaires additionnels par écrit dans les prochaines semaines.

Même si le rapport Fontagné n’a dans sa premièremouture pas fait l’unanimité au sein du comité de coor-dination Tripartite, il a réussi à poser les jalons pour mesurer la compétitivité du Luxembourg qui suscitedans son sillage un véritable et nécessaire débat surl’orientation future de l’économie du pays. Aussi lesdiscussions qui sont menées au sein du comité de coor-dination Tripartite devront-elles aboutir à alimenter leplan d’action national en faveur de l’innovation et del’emploi que le Gouvernement se propose de finaliser pour la fin de l’année 2005. Le débat doit donc avancerrapidement et ne souffrir aucun retard. La Chambre deCommerce rejoint le professeur Fontagné dans son ana-lyse en soutenant que le concept de la compétitivité n’estpas à considérer comme une fin en soi mais comme unmoyen permettant d’atteindre les objectifs définis dans le cadre de la stratégie de Lisbonne, à savoir de faire del’Europe «l’économie de la connaissance la plus com-pétitive et la plus dynamique du monde» et ce dans lebut d’assurer le développement durable, la compétitivitéet la cohésion sociale du pays. Le Conseil Européen del’UE en mars prochain aura pour objectif de relancer le processus de Lisbonne actuellement en panne fautede mises en œuvre par les Etats membres. La Chambrede Commerce souhaite que grâce au rapport Fontagnéet aux travaux de la Tripartite, le Luxembourg sera enmesure de se doter des instruments nécessaires pourrépondre aux défis de l’économie globalisée.

Il est évident que cet objectif ne pourra pas être atteintsans procéder aux réformes structurelles qui s’imposent.La Chambre de Commerce n’hésitera pas à prendreses responsabilités en proposant des mesures et actions concrètes pour le plan d’action national en faveur del’innovation et de l’emploi, telles que déjà esquisséesdans la réunion Tripartite du 3 février dernier.

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4 • Merkur • Février 2005

Sommaire

N° 1 - 2005Editeur:Chambre de Commercedu Grand-Duché de Luxembourg7, rue Alcide de GasperiAdresse postale: L-2981 LuxembourgTél.: 42 39 39-1Fax: 43 83 26E-mail: [email protected]: http://www.cc.lu

Paraît 10 fois par anTirage: 32 300 exemplairesReproduction autorisée avec mentionde la source. Copie à l’éditeur

Mise en page et impression:Imprimerie Centrale S.A.

Publicité:Imprimerie CentraleService RégieBureaux: 119, rue Adolphe FischerL-1521 LuxembourgTél.: (+352) 40 36 10-1Fax: (+352) 40 36 10-228E-mail: [email protected]

Conception graphique:Millenium - Bertrange

Crédit photographique:MEV, Agence Blitz

■ Mission économiqueen Afriquedu Sudpage 31

■ Stand collectif de la Grande Régionau salon SYSTEMS 2005page 31

■ Un formidable outil pourréussir leJaponpage 32

■ Die Belgischen Steuern:5. stark erweiterte Auflagepage 33

■ Polish-Belgian-LuxembourgChamber of Commerce (Polbelux)page 34

■ Journées d’opportunités d’affaires 2005page 36

■ La responsabilité sociale des entrepri-ses: un enjeu de taille pour la planètepage 38

■ CEBIT: Visite accompagnée et bourse de coopérationpage 39

■ Les citoyens européens argement àl’aise avec l’europage 39

■ Marquage CE: Une nouvelle directivepour faciliter la vie des fabricants dedispositifs électroniquespage 40

■ La nouvelle version de la rubrique«Directives et règlements»page 41

■ Textes européens publiés du 15novembre 2004 – 21 janvier 2005

page 42

■ B2Fair: La méthode simple pour maximiser votre participation aux foires internationales

page 44

Formation■ Comment répartir les travaux en

matière de formation?page 46

■ L’IFCC, l’OLAP et la Chambre des Métiers unissent leurs effortspage 49

■ Séance d’information: IFRS - les enjeux des normes comptables internationales pour les PMEpage 49

Edito■ Enquête Eurochambres 2005:

Timide reprise de confiancepage 3

Dossier

Flash■ RencontreCommission-Gouvernement

luxembourgeois à la Ch. de Commercepage 20

La Chambre de Commerce solidairedes victimes du Tsunami en Asiepage 21

International■ La Turquie – Futur membre de

l’Union européenne?

page 22

■ Le Vice-Bourgmestre de Moscou envisite à la Chambre de Commerce

page 25

■ La Russie: un pays sûr pour investir?

page 27

■ Foire Internationale du Caire

page 29

■ L’endroit idéal de la Grande Régionpour votre entreprise: le Salon àl’Enverspage 29

■ Mission économique en Inde

page 30

■ Visite accompagnée au Salondu Meuble à Milanpage 30

Les articles publiés et signés n’engagent que la respon-sabilité de leurs auteurs et ne reflètent pas forcémentl’opinion de la Chambre de Commerce, qui ne peutdonner aucune garantie expresse ou implicite sur l’exacti-tude, l’exhaustivité, la véracité, l’actualité, la pertinenceou la fiabilité des informations figurant dans le Merkur.

Que sont devenuesles entreprisesnées du réseau 1,2,3,GO?

page 6

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5 • Merkur • Février 2005

■ Lancement de la 2e promotion dela formation en «Management des ressources humaines»

page 50

■ Formation pour conseillers àla sécurité pour le transport demarchandises dangereuses

page 52

Innovation■ 20 bougies pour Luxinnovation!

page 54

■ 2004: une année riche ennouveautés pour les utilisateurs dewww.innovation.public.lu

page 55

■ Appel national à propositions 2005:mesure «mobilité»

page 56

■ TIC, nanotechnologies et matériaux avancés: 1.620 millions EUR pour la R&D

page 57

■ Plus de 2 700 annonces detechnologies en ligne!

page 58

■ La Présidence luxembourgeoisemet en ligne un site d’informationsur la recherche et l’innovation

page 58

■ www.businessplan.lu

page 59

■ Lancement d’un réseau Business Angel au Grand-Duché

page 60

■ Small Business Financial Affairs:Part One, The Business Plan

page 61

■ Maîtriser les besoins decompétences TIC: le projet derecherche INNOSERTION

page 61

■ Séminaire Création et Reprised’Entreprise

page 63

■ Setting Up a Business in Luxembourg:New section on BCC Website

page 64

■ Parution du cahier de la productionpropre pour les installations frigorifiquespage 64

■ Un sixième projet R&D issu de lagrappe technologique SurfMatpage 65

Economie■ Un nouveau souffle pour la

stratégie de Lisbonnepage 66

■ L’esprit d’entreprise sous-développé au Luxembourgpage 67

■ Union européenne: une chargefiscale globale de 41,5%page 69

■ Eurostat: Le Luxembourg en 4eposition pour l’utilisation de l’Internetpage 70

■ Recul de l’excédent courant et croissance des échanges de biens et de servicespage 70

■ Simplification administrative enmatière Intrastatpage 72

■ Le Guichet Unique PME se met en lignepage 72

Législation et avis■ Nouvelles modalités du crédit

d’équipement de la SNCI

page 74

■ La Commission traduit leLuxembourg devant la Cour

page 74

■ Projets de loi soumis pour avis à laChambre de Commerce

page 76

■ La Protection des Données Personnelles

page 77

■ Nouvelles dispositions fiscales

page 77

Commerce■ Le secteur des loisirs culturels

page 78

Fédérations/UEL■ Proposition de directive relative aux

services dans le marché intérieurpage 84

■ La FEDIL en faveur d’un plan d’actionnational pour l’innovation et l’emploi

page 87

■ Réorganisation interne chez la clcpage 88

■ Girls’ Day 2005 – Les filles prennent leur avenir en mainpage 89

■ Le SIGI propose un Guide Internet à l’usage des communespage 90

■ Nouveau look pour www.fedil.lu page 91

Actualités Entreprises■ Nouveaux locaux et nouvelles

initiatives pour MindForestpage 92

■ Erster Marketingpreis für dieGroßregion ausgelobtpage 93

■ Malgré l’amélioration des performances l’équilibre reste fragilepage 94

■ Tailor-Made agréée en matière deprotection des données page 95

■ Une «Dinkel» spécialement brasséepour Euro-Toquespage 96

■ Preisverleihung bei der IEE ehrt Erfinderpage 96

■ Key Inn S.A. lance un serviceAppart-Officepage 97

■ myQualis.com: un nouveau service de gestion des systèmes d’informationpage 98

Bourse d’entreprisespage 100

Liquidationspage 102

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6 • Merkur • Février 2005

DossierQue sont devenues

nées réseau

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7 • Merkur • Février 2005

sss

ces entrepreneurs en quête de con-seils, à élaborer un plan d’affaires.En effet, ce document constitue uneétape incontournable avant la créa-tion d’une entreprise. Il doit être éta-bli dans les règles et selon des critèresdéfinis. La finalisation d’un plan d’af-

Celui qui veut se lancerdans les affaires doit êtresoutenu et encouragé.

La mission du réseau interrégional1,2,3,GO, qui compte aujourd’hui 270coaches, auquel s’associent des par-tenaires privés et publics, est d’aider

L’Association Business Initiative et son

parcours interrégional 1,2,3,GO d’aide à l’élaboration

de plans d’affaires a été créée en avril 2000 pour

promouvoir l’esprit d’entreprise dans la Grande

Région. Aujourd’hui, au vu des résultats, l’initiative a

largement rempli, voire dépassé les objectifs ambi-

tieux qu’elle s’était fixés. En cinq ans, 1,2,3,GO s’est

imposé comme une référence dans le monde de

l’accompagnement à la création d’entreprises nova-

trices ou à fort potentiel économique, et plus par-

ticulièrement, dans l’élaboration de plans d’affaires

gagnants, grâce à une méthodologie rigoureuse et

à une équipe soudée. Si 1,2,3,GO s’est imposé

comme un acteur incontournable en matière de pro-

motion et d’aide à la création d’entreprise, l’heure

est venue de dresser un premier bilan et de passer

en revue le parcours des entreprises ayant participé

au parcours.

les entreprisesdu1,2,3,GO?

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Dossier

faires est une étape difficile dans lelong parcours qui mène à la créationd’entreprise. Il constitue, entre autres,la base de décision pour les investis-seurs potentiels. Un plan d’affairesbien structuré, dont tous les aspects ont été examinés et analysés, faitgagner un temps précieux au por-teur de projet et optimise ses chances de succès lors du lancement de sonactivité. Les coaches du réseau inter-régional 1,2,3,GO utilisent un conceptd’évaluation développé par le cabinetde conseil McKinsey. Ainsi, un pland’affaires professionnel doit compren-dre les volets suivants: résumé de syn-thèse, idée à la base du produit, profilde l’entrepreneur et le cas échéant, deson équipe, marketing, système com-mercial et organisation, calendrier deréalisation, risques et financement.

En juin 2003, les Présidents desChambres de Commerce et d’Indus-trie de la Grande Région ont péren-nisé la démarche de Business Initiativeen acceptant de reprendre le concept 1,2,3,GO et d’en établir le centre decoordination au Luxembourg. Busi-ness Initiative a donc cédé la plupart de ses responsabilités opérationnel-les aux Chambres de Commerce dela Grande Région, à l’exception des orientations stratégiques du projet et des actions de communication. LesChambres de Commerce de chaquerégion frontalière ne sont-elles pas lelieu privilégié de rencontre des por-teurs de projet et de coaches ? Con-crètement, il est proposé à chaque

Chambre de Commerce régionale desuperviser la recherche et la matura-tion de projets innovants. Une cellulerattachée à la Chambre de Commercedu Grand-Duché assure la coordina-tion entre les Chambres. Une fois par an, les meilleurs projets innovants dechaque région à la recherche d’unecroissance rapide et d’ouvertures com-merciales sont mis en commun pour une remise de prix interrégionale orga-nisée à tour de rôle dans chacune desrégions.

Pour bénéficier de l’aide gra-tuite du réseau,les dossiers pré-sentés sont sou-mis à plusieursconditions. Toutd’abord, l ’ idéedoit être inno-vante, c’est-à-direapporter quelquechose de neuf par rapport à ce quiexiste déjà dans la Grande Région.D’autre part, le projet doit être réali-sable d’un point de vue économique,c’est à dire avoir un réel potentiel defaisabilité. Autre condition: les pro-jets doivent être issus de la GrandeRégion, c’est-à-dire que l’entreprisedoit être destinée à y être créée. Enfin,aucun projet ne devra être financé pardu capital à risque. L‘objectif du par-cours 1,2,3,GO reste celui de soute-nir et de récompenser des entrepre-neurs désirant créer une entrepriseinnovante au fort potentiel économi-que en Grande Région.

■ 1,2,3, GO: cinq ans après En Grande Région, 1,2,3,GO a

reçu plus de 1.100 projets et a enca-dré près de la moitié d’entre euxdepuis sa création en avril 2000.Entre 2000 et 2004, 133 projets ontété récompensés par des prix allant de 500 euros à 10.000 euros. Au total,328.000 euros de prix en numéraireont été remis aux gagnants pendant ces quatre années.

126 entreprises economiquesviables ont vu le jour et sont encoreaujourd’hui en activité. Plus de 500emplois ont ainsi été créés. Ces jeunessociétés ont généré un chiffre d’af-faires global de 32 mio. d’euros. Lamoyenne d’âge des créateurs d’entre-prise qui déposent un projet sur le sitede 1,2,3,GO est de 32 ans.

Et au Luxembourg ?Au Grand-Duché, la Chambre

de Commerce et Business Initiativecollaborent étroitement avec Luxin-novation, l’agence nationale pour lapromotion de l’innovation et de larecherche. Impliquée dans le projet1,2,3,GO en tant que membre fonda-teur de Business Initiative, l’agenceassure l’accompagnement et la matu-

ration des projets luxembourgeoisparticipant à 1,2,3,GO.

A lui seul, le Luxembourg totaliseplus de 300 projets déposés entre 2000et 2004. 31 projets luxembourgeoisont reçu des prix en numéraire. 33start-up encore en activité à l’heureactuelle ont été créées depuis 2000et 104 emplois ont été générés. Ces entreprises ont réalisé un chiffre d’af-faires global de 4,5 mio euros.

Les idées de création d’entreprisecouvrent des secteurs d’activités variés tels que: les services, les technologies de la communication, les techniques de construction, l’informatique, l’in-

“Au total, 126 entreprises ont vu le jour et plus de 500 emplois ont été créésgénérant un chiffre d’affaires global de 32 mio. d’euros”

«Au Luxembourg, 33 star t-upoccupant 104 personnes

ont été créées depu is 2000avec le sout ien de 1,2,3,GO.»

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Vous nous connaissiez pourl’express et la logistique.

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Dossierdustrie, la chimie, le bio-médical, lejuridique, la logistique, la géother-mie, les technologies environnemen-tales ou encore la bio-informatique.La plupart des créations d’entrepriseproviennent du domaine des services,de l’informatique, des télécommunica-tions, de l’internet, de la bio-technolo-gie et de l’industrie.

La «Société à responsabilité limi-tée» (Sàrl) représente avec 47.06 % laforme juridique la plus courante parmiles porteurs de projets luxembourgeoisinscrits au parcours 1,2,3,GO. Seuls23,53 % de ces mêmes chefs d’entre-prises ont opté pour une «société ano-nyme» (SA).

■ Les entreprises créées auLuxembourg: portraits

1,2,3,GO pour finir lauréat. Monsieur Sinner a bénéficié de l’expérience de

trois coaches dans le domaine de lafinance, du marketing et de la produc-tion industrielle, pour la rédaction deson plan d’affaires.

«Re-light» exploite les synergiesentre la technologie LED (diode élec-troluminescente), très économe enconsommation énergétique, et celledes cellules photovoltaïques. La bat-terie chargée a une autonomie de dix heures. La gamme de produits a étédéveloppée avec une idée socialederrière l’idée innovante. En effet, lalampe est conçue pour une utilisa-tion dans un environnement rude et exigeant (camps de réfugiés, pays envoie de développement, etc.). Cetteambition sociale ne permettant pasà elle seule de faire vivre la start-up,M. Sinner s’est, dans un premier temps,moins axé sur le projet social et plus sur un produit haut de gamme. Cela neveut pas dire que la société ait oubliél’aspect social, mais il lui faudra attein-dre un certain niveau de productionavant d’y revenir.

La SNCI a accordé un prêt dedémarrage au jeune créateur qui luia permis de procéder à la commer-cialisation de son produit. A l’heureactuelle, les lampes de poche sontvendues au prix unitaire de 50 euros en Europe, avant une prochaine com-mercialisation dans les pays en voie dedéveloppement. Le secteur de la voilesemble également présenter de nou-veaux débouchés commerciaux.

D’après le créateur, 1,2,3,GO luia permis de rédiger un plan d’affai-res qui tient la route. Il a pu profiter des nombreux conseils de profession-nels du terrain. «Se lancer dans la créa-tion d’une entreprise sans plan d’affai-

res solide est un exercice improductifet sans réelles chances de succès. Je

recommande vive-ment de profiter aumieux de l’assis-tance, des conseils et des recomman-dations offertesgratuitement, parles coaches duréseau 1,2,3 GO»,insiste Yves Sinner.La participation au

parcours 1,2,3,GO a augmenté sa cré-dibilité auprès des banques et d’autres institutions et a considérablement faci-lité ses contacts. Mais, le jeune chefd’entreprise ne s’arrête pas en si bonchemin. Une autre nouveauté est déjàen cours d’expérimentation; il s’agitd’une lampe de poche ingénieuse pou-vant se fixer sur un sac à dos. SelonYves Sinner, cette dernière innovationest née du constat que les chauffeurs des ONG veulent avoir les mains librespour changer une roue.

Projet «Re-light»

Nom de la société: NovigoForme juridique: SàrlActivité principale:Production de lampes de pocherechargeables à l’énergie solaireDate de création:22 juillet 2004Fondateur et directeur:Yves SinnerSite Internet:www.re-light.netEmployé: 1Lieu: Bissen

La société Novigo Sàrl s’est spé-cialisée dans le design et le dévelop-pement de produits novateurs d’éclai-rage et de signalisation. Les lampesbrevetées sont rechargeables à l’éner-gie solaire et commercialisées sousla marque «Re-light». C’est également sous ce nom que le créateur a parti-cipé à l’édition 2003-2004 du parcours

Projet «Abyss Partners»

Pascal Dilly,Directeur de Abyss Partners

Nom de la société:Abyss Partners Forme juridique: SàrlActivité principale:Cours de langue sous hyp-nose et prestations de conseilsdans le domaine de la forma-tion et de la gestion du stressDate de création:22 juin 2001Directeur: Pascal DillySite Internet: www.abyss.luEmployés: 6Lieu: Bertrange

«Se lancer dans la créat iond’une entrepr ise sans p lan

d’affa ires solide est un exerciceimproduct if et sans réelles

chances de succès.»Yves S inner

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11 • Merkur • Février 2005

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12 • Merkur • Février 2005

Dossier«Abyss Partners» s’est inscrit dès la

première édition de 1,2,3,GO en 2000-2001. L’activité principale de la sociétéconsiste à faciliter l’apprentissage deslangues étrangères à l’aide de l’hypnose.En règle générale, l’hypnose suscite unecertaine réticence. Pourtant, d’après Pas-cal Dilly, fondateur d’Abyss Partners,elle est cependant un mode de fonction-nement tout à fait normal et habituel ducerveau. «Être sous hypnose ne signifiepas être inconscient ou dormir, l’hyp-nose plonge la personne dans un état de détente et de concentration extrê-mes», explique Pascal Dilly. «L’hypnose«ouvre» l’oreille et aide à supprimer les éventuels blocages ou craintes de la per-

Le projet 4M a été lauréat de1,2,3,GO en 2002 et trouve ses atta-ches en Belgique et au Grand-Duchéde Luxembourg. Une réussite dont sefélicite le réseau 1,2,3, GO! Roger Assa-ker, docteur à l’Université Catholiquede Louvain et Issam Doghri, professeurà l’UCL se sont associés pour créer lasociété e-Xstream engineering, issuedu projet Micro-Macro Material Mode-ling (4M). e-Xstream engineering déve-loppe et commercialise un logiciel desimulation numérique multi-échelledes matériaux composites, ainsi quel’expertise nécessaire pour son utilisa-tion dans la conception de nouveaux matériaux et produits industriels. Lemarché visé de l’entreprise est l’indus-trie de matériaux en plastiques, caout-

choucs, métaux, céramiques, ainsi queles industries utilisant ces matériauxdans les domaines de l’automobile,del’aérospatiale, du sport et des loisirs.

L’entreprise a vécu une véritable«success story». Actuellement, l’en-treprise est située à Foetz au centred’innovation et d’entreprises «Eco-start» et développe en partenariat avecGoodyear SA, l’ancien employeur deRoger Assaker, un projet de recher-che-développement commun. Dansle cadre de ce projet, e-Xstream engi-neering est accompagné par un régimed’encouragement à la Recherche &Développement du Ministère de l’Eco-nomie et du Commerce extérieur.

Le réseau 1,2,3,GO a guidé lesdeux développeurs étape par étape,dans l’élaboration de leur plan d’af-faires. Les deux hommes ont entre-tenu de nombreux contacts et déve-loppé leurs carnets d’adresses lors des manifestations interrégionales organi-sées par 1,2,3,GO. La participation àune plate-forme de financement, orga-nisée par 1,2,3,GO, leur a permis derencontrer des investisseurs privés quiles ont soutenus. Depuis, confianceet crédibilité n’ont cessé de croîtreauprès des investisseurs.

Projet «4M»

Roger Assaker (à dr.) et IssamDoghri, fondateurs dee-Xstream engineering

Nom de la société:e-Xstream engineeringForme juridique: SAActivité principale:Développement et commerciali-sation d’un logiciel de simulationnumérique et services annexespour la conception de nouveaux matériaux et produits industrielsDate de création:mai 2003 en Belgique et mai2004 au LuxembourgFondateurs:Roger Assaker et Issam DoghriSite Internet:www.e-Xstream.comEmployés: 5Lieu:Louvain-la-Neuve (BE)et Foetz (LU)

«1,2,3,GO a facilité notre intégrationdans le milieu économique

luxembourgeois. Nous n’étions jamaisseuls et avions à tout moment des gens prêts à nous écouter, nous conseiller et nous accompagner dans la mise en

œuvre du projet.Pascal Dilly

Projet «CPI»

Nom de la société:CPI (Conseil Programmationet Industrialisation)Forme juridique: SàrlActivité principale:Service technique à l’industrie.Programmation des machinesd’usinage et optimisation destemps de fabrication des piècesDate de création:12 novembre 2004Directeurs:Pascal Dine et Nicolas BrygoEmployés: 2Lieu: Luxembourg

sonne quand elle doit s’exprimer dans une langue étrangère», précise M. Dilly.Une session complète s’articule autour de trois phases: un cours passif soushypnose destiné à travailler la recon-naissance et la découverte des sons et des fréquences, un cours actif hors hyp-nose avec échanges entre le participant et le formateur et enfin, une consolida-tion des acquis sous hypnose. Après quatre années d’existence, l’entrepriseest bien implantée au Luxembourg etoccupe à l’heure actuelle six personnes à plein temps. Toujours en quête d’in-novation, l’entreprise étend aujourd’huison offre en conseil et formation.

«1,2,3,GO a facilité notre intégra-tion dans le milieu économique luxem-bourgeois. Nous n’étions jamais seuls et avions à tout moment des gensprêts à nous écouter, nous conseiller et nous accompagner dans la mise enœuvre du projet. Mon expérience avec1,2,3,GO a été très bénéfique et j’en-courage les futurs créateurs à utiliser ce «tremplin». Leur entrée sur le mar-ché ne s’en trouvera que renforcée»,conclut Pascal Dilly.

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13 • Merkur • Février 2005

La société CPI (Conseil Program-mation Industrialisation) vient d’êtrecréée et participe également à l’édi-tion 1,2,3,GO en cours. L’idée est defournir aux clients une expertise enusinage. L’activité offre deux typesde prestations: l’industrialisation pour des productions nouvelles d’une part;l’amélioration de la productivité par une utilisation optimisée des machi-nes disponibles, d’autre part. L’objec-tif est de mettre en application destechnologies d’usinage de pointe eninvestissant dans du personnel haute-ment qualifié et des systèmes de pro-grammation performants. CPI inter-vient sur les secteurs de la défense,le médical et les sociétés de mécani-que générale.

Les créateurs ont obtenu un prêt auprès de la SNCI, rapidement suivid’un accord pour un prêt bancaireauprès d’une grande banque luxem-bourgeoise. Ces moyens financiersleur ont permis l’achat d’un logi-ciel de simulation d’usinage, garantde prestations de qualité et à hautevaleur ajoutée. La société s’est éga-lement dotée d’un logiciel de CFAOreconnu sur les marchés aéronauti-que et automobile.

Depuis deux mois, l’entrepriseest hébergée au centre d’innovationet d’entreprises «Ecostart», une pépi-nière d’entreprise située à Foetz. CPIprévoit une expansion rapide de ses activités en Grande Région, puis danstoute l’Europe.

Des l ivra isons pour unconstructeur aéronautique de grandeenvergure et des négociations avecdes entreprises de mécanique situéesau Luxembourg et dans la GrandeRégion sont en cours.

«Le soutien et l’écoute deLuxinnovation et des coaches duréseau 1,2,3,GO ont permis unematuration accélérée du projetet le développement d’un pland’affaires solide qui sera, d’ailleurs,présenté à l’édition 2005 du parcoursinterrégional», fait remarquer PascalDine. De plus, au cours des différentesdémarches administratives cruciales,Luxinnovation a servi de relais à lacréation de la société CPI.

A&I Entreprises a participé à l’édi-tion 2000-2001 du parcours 1,2,3, GO.L’entreprise est spécialisée dans ledéveloppement des procédés inno-vants de traitement et revêtementde surfaces et produit des compo-sants de type «Moulded Interconnect Devices» (MID): un principe de fabri-cation de composants plastiques mou-lés qui incorpore un circuit conducteuren 3D et intègre les fonctions méca-niques et électriques. Cette technolo-gie permet d’intégrer des lignes con-ductrices directement dans la formedes pièces, ce qui remplace le circuit imprimé traditionnel. Ce nouveau pro-cédé permet une réduction de coûts,du poids et du volume des compo-sants. De plus, les matériaux thermo-plastiques sont plus facilement recy-clables que les composant utilisés à l’heure actuelle. Le fondateur, IanCresswell, a une expérience de plus de trente années dans le domaine des matériaux et du revêtement de sur-faces. Cette technologie innovantetrouve des applications nouvelles dansplusieurs secteurs, tels que l’équipe-ment automobile, les composants detélécommunications, informatiques

et médicaux. Le procédé utilisé parA&I Enterprises incorpore les étapes de moulage par injection, structura-tion des lignes conductrices par laser et métallisation sélective directe. «Iln’existe actuellement que très peu desociétés qui peuvent à la fois propo-ser du moulage par injection, du traite-ment laser et de la métallisation chimi-que pour fabriquer des composants detype «MID». J’ai eu l’idée de créer uneassociation d’entreprises luxembour-geoises qui réunit ces trois compé-tences», fait remarquer le créateur, M.Cresswell, qui a également bénéficiéd’un prêt de démarrage de la SNCI.

Selon le fondateur d’A&I, le par-cours 1,2,3,GO lui a permis d’envisa-ger la création de sa propre société.«Les critères de Mc Kinsey sur lesquel-les se base le plan d’affaires aident leporteur de projet à clarifier et à déve-lopper ses idées», explique Ian Cres-swell. «De plus, la participation à des événements organisés par BusinessInitiative m’a donnée l’opportunité derencontrer des personnes très bieninformées et très utiles.»

Projet «A&I Entreprises»

Etapes dans la fabricationd’un composant «MID»

Nom de la société:A&I EntreprisesForme juridique: SàrlActivité principale:Traitement de surfaces Date de création: août 2001Directeur: Ian CresswellSite Internet:www.aienterprises.comEmployé: 1Lieu: Ettelbruck

Projet Conostix SA

Yves de Pril, fondateur deConostix (debout)

Nom de la société: ConostixForme juridique: SAActivité principale:Développement de solutions enmatière de sécurité informatiqueDate de création: août 2001Directeur: Yves de PrilSite Internet:www.conostix.comEmployés: 5Lieu: Technoport Schlassgoart

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Rue de la Libération, 37L - 4210 Esch-sur-Alzette

Tél. (+352) 26 53 39 - 1Fax (+352) 26 53 39 - 99

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15 • Merkur • Février 2005

Les créateurs de la société Conos-tix ont déposé leur projet pour l’édi-tion 2001-2002; les deux fondateurssont des professionnels expérimentés en matière de sécurité informatique.Actuellement, la sécurité informati-que comporte des infrastructures desécurité qui ne sont pas centralisées.«Virtuoso», le produit phare déve-loppé par Conostix, permet d’avoirune vue synoptique sur les activités des réseaux informatiques et optimisele temps de réaction face aux mena-ces du réseau Internet. Le logiciel est également compatible aux systèmes existants. En résumé, les technologiesdéveloppées par Conostix augmententle niveau de sécurité global de l’infras-tructure, tout en réalisant une écono-mie importante de coûts.

La société a été financée par des fonds propres. L’activité a démarréavec quatre employés. Après troisannées d’existence un cinquièmeemploi a été créé. La Dexia-BIL, SESet le Ministère de l’Economie sontactuellement clients chez Conostix.Une filiale belge devrait voir le jour dans les mois à venir.

«La participation au parcours1,2,3,GO a contribué au succès de lastart-up. L’aide des coaches dans l’éla-boration du plan d’affaires et l’adop-tion d’une stratégie réaliste sont àl’origine de la croissance que nousconnaissons aujourd’hui», affirme Yvesde Pril, fondateur de Conostix.

■ Le financementdes start-ups:le Père Noël n’existe pasSi le plan d’affaires constitue bien

une première étape essentielle, il n’estpas suffisant pour créer une société.Après l’épreuve du plan d‘affaires,il reste encore au créateur à consti-tuer une équipe de gestion solide et à convaincre des investisseurs pourtrouver du financement! A l’issue des remises de prix annuelles, 1,2,3,GOoffre aux lauréats la possibilité de pré-senter leurs plans d’affaires finalisés auprès d’une plate-forme de finan-cement. Les meilleurs projets sélec-tionnés – 4 ou 5 en moyenne parplate-forme – sont entraînés à se pré-

SOCIÉTÉ ACTIVITÉ SECTEUR

A&IENTREPRISES Activités de revêtement de surfaces (métallisation des plastiques ) Nouveaux matériaux

ABYSSPARTNERS

Cours de langue sous hypnose. Prestations de conseils dans ledomaine de la formation et de la gestion du stress

Services

ALL ABOUTIT Nouveau système anti-spam Informatique

BIOBUS Vente de produits bio via Internet et services de livraison à domicile Services

CPI Service technique à l’industrie. Programmation de machines d’usinageet optimisation des temps de fabrication des pièces

Industrie

CONOSTIX Prestations de services dans le domaine de la sécurisation des réseaux informatiques

Informatique

CONSULTINGASIA/EUROPE Consultance entre pays asiatiques et européens Services

CONTACTWEB CRM

Développement dans le cadre d’une société existante d’un logiciel deCRM (Customer Relationship Management)

Informatique

DALI T.E.C. Agence d’artistes et intermittents du spectacle, agence de communica-tion, production et promotion des métiers d’art et du spectacle

Services

DEVELOPPEMENT3D

Logiciel de conception en 3D développé dans le cadre d’une PMEexistante

Informatique

DOUBLE AGROUP

Conception de logiciels: solutions collaboratives dans les domaines de la logistique, des banques et des assurances; et plus généralement en matière de «cBusiness» (collaborative Business)

Informatique

EMERGENCYSYSTEMS Carte d’assistance médicale Services

F&I ASSETS Conseils dans le domaine de l’héritage et planification des succes-sions pour des clients basés en Europe

Services

GST Développement d’un outil innovant dans le domaine du polissage dela pierre

Construction

HISTRIO Développement d’un nouveau jeu vidéo Médias

ICHTI S.A. Solutions pour personnes handicapées Services

L’ART DUBOIS S.A.

Fabrication de maison utilisant l’énergie renouvelable et les matériaux écologiques

Bio-technologie

LECANDO Projet dans le domaine de l’e-learning: filiale d’une société irlandaise Services

LOGDETECTIVE

Développement d’un nouveau logiciel d’analyse de «logs», développédans le cadre d’une société existante

Informatique

LUXSURPRISE Consultant en création d’événements Services

MYSTARTER.NET

Solutions informatiques pour permettre aux salariés d’une entreprisede se former selon une méthode de e-learning

Informatique

■ Liste des start-ups créées et actuellement en activité au Luxembourg:

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16 • Merkur • Février 2005

Dossier

senter en dix minutes, dans le butde convaincre un panel d’investis-seurs privés et publics. A l’issue des présentations, porteurs de projets et investisseurs ont l’occasion d’échan-ger leurs points de vue sur un éven-tuel partenariat. Quatre plates-for-mes ont déjà eu lieu. Grâce à elles,la moitié des candidats sélectionnés ont pu trouver du financement.

De manière générale, la plupart des entreprises luxembourgeoisessont financées par des fonds propreset/ou des prêts bancaires. Actuelle-ment, 10 sociétés créées au Luxem-bourg sur 25 au total pour la GrandeRégion sont toujours à la recherched’un apport financier.

■ Réduire le risque defaillitesParmi les entreprises créées au

Luxembourg et accompagnées par les coaches du réseau 1,2,3,GO, cer-taines ont dû cesser leurs activités.Depuis 2000, 5 sociétés luxembour-geoises ayant participé au parcours 1,2,3,GO sont actuellement en liqui-dation, ce qui représente 15% des sociétés créées au Luxembourg et4% des sociétés créées en GrandeRégion. Pour la même période decinq ans, le nombre de faillites enre-gistré pour le reste de la GrandeRégion s’élève à 6 start-ups sur les 126 sociétés créées ou dévelop-pées.

Les jeunes entreprises issues duparcours 1,2,3,GO ne sont pas toutes suffisamment autonomes pour être àl’abri de défaillances. L’explication estrelativement simple, outre le manquede moyens financiers qui peut êtreégalement un facteur accélérateur defaillite: le réseau accompagne des pro-jets qui, le plus souvent, sont des pro-jets d’innovation technologique. Ces projets novateurs parmi les plus ambi-tieux de la Grande Région, reposent non pas sur des technologies ou des techniques éprouvées et largementacceptées par le marché, mais sur desproduits ou procédés nouveaux dont le développement reste à finaliser et lafonctionnalité, à démontrer. Il ne fait pas de doute que ces projets les plus prometteurs sur le plan des retom-bées économiques soient aussi lesplus risqués à mettre en œuvre. Mêmesi le soutien des coaches du réseau1,2,3,GO et des organisations parte-naires permet de réduire fortement lerisque de faillite à court terme, il nepeut jamais l’annihiler.

■ Qui sont les sponsorsde 1,2,3,GOau Luxembourg?Aujourd’hui, plusieurs organismes

publics et entreprises privées spon-sorisent l’initiative et apportent à des degrés différents un soutien financier ou logistique à l’association. D’autres sponsors médias soutiennent l’actionen apportant leur aide pour renforcer la visibilité et la médiatisation du par-cours au Luxembourg et en GrandeRégion.

Un grand nombre de coachesluxembourgeois est également fournipar les sponsors de sociétés telles qu’Arcelor, Groupe Ciments Luxembour-geois, Price Waterhouse Coopers, Inter-fiduciaire, Siemens, SES Global, Lux-control et primesphere, pour ne citer que les principaux au Luxembourg. Leréseau 1,2,3,GO compte actuellement plus de 270 coaches dans des domai-nes variés. Ces cadres et dirigeantsd’entreprises, tous issus de la GrandeRégion, se mettent gratuitement au ser-vice du réseau et partagent leur expé-rience avec des porteurs de projets

SOCIÉTÉ ACTIVITÉ SECTEUR

NOVIGOSARL Lampes de poche rechargeables utilisant l’énergie solaire Industrie

PAOKI Développement d’outils de cartographie Informatique

RAPP ROOMBROKER Location immobilière de courte durée Services

ROTOMADE Sous-traitance dans le domaine de la plasturgie utilisant la techniquedu rotomoulage

Construction

SEMANTICA Réalisation d’un logiciel de traitement sémantique Informatique

SOUDAGELASER

Etude et réalisation de nouvelles technologies aux mesures desclients dans le domaine du soudage High Tech (Laser/Plasma)

Industrie

TIPCHANGER

Conception et production d’un nouvel outil utilisé dans le domainedu loisir

Industrie

TWO BAGSIN ONE

Commercialisation d’une machine développée spécialement pour lafabrication de sacs cabas en plastique d’un modèle breveté et déposé- Projet développé dans le cadre d’une société existante

Industrie

UU POST Projet dans le domaine des télécommunications réunissant internet,l’e-mail et le téléphone.

Télécommunication

VPS VENTILATIONPIPE SECURITY

SYSTEMProduit dépolluant pour les installations d’eau potable, développédans le cadre d’une société existante

Industrie

WELTEC Etude, fabrication et développement de torches plasma dans ledomaine du soudage et du rechargement de métal

Industrie

WOTANSOLUTION Logiciel permettant la gestion et le suivi des essais cliniques Informatique

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17 • Merkur • Février 2005

innovants. En fonction de leur emploidu temps et de l’intérêt du projet pré-senté, ces coaches sont mis en contactavec les porteurs de projets. Pour les coaches, cet accompagnement repré-sente également une véritable plus-value et leur permet de saisir les nou-velles tendances du marché.

Le réseau favorise la multiplicationdes contacts et l’échange de conseils grâce aussi à l’organisation de mani-festations interrégionales. Chaque évé-nement rassemble 200 personnes enmoyenne. Ainsi, pendant toute la duréedu parcours, le comité d’accompagne-ment composé du comité de lecture,des coaches et d’un jury encadre deprès l’éclosion d’une idée commercialeet innovante. Il suit son évolution pen-dant une période de six à neuf mois et crée les conditions optimales pour aboutir à un plan d’affaires réaliste.

■ 1,2,3, GO: prochains rendez-vousAu stade actuel, la cinquième édi-

tion 2004-2005 compte plus de 120 ins-criptions d’idées de créations de socié-tés. «52 projets d’entreprise, soit 43 %des dossiers déposés depuis octobre2004, ont été acceptés. C’est un chiffretrès encourageant, surtout si l’on tient compte du fait que 1,2,3,GO concen-tre son action sur un nombre réduitde projets visant essentiellement l’in-novation technologique et les servicesnovateurs», commente Rachel Gaess-ler, Manager et Coordinatrice interré-gionale de l’initiative.

Au niveau régional, le réseau1,2,3,GO, en collaboration avec sespartenaires, organise régulièrementau Luxembourg, mais aussi en GrandeRégion, des séances d’information pra-tiques dans les centres de recherche,dans les universités, au sein des Cham-bres de Commerce et Chambres des Métiers et auprès d’autres acteurs actifsdans le domaine de la création d‘entre-prises. 1,2,3,GO participe également àdifférents salons et foires ayant trait àla création d’entreprise. L’agenda deces séances d’information peut êtreconsulté en ligne sur le site de l’asso-ciation:www.123go.networking.org

De plus, trois rencontres interrégio-nales sont organisées lors de chaqueédition. La dernière a eu lieu le 8 décem-bre 2004 à Sarrebruck, en Allemagneet a rassemblé plus de 150 coaches,porteurs de projet et partenaires.1,2,3,GO a ouvert cette cinquième édi-tion en proposant un nouveau con-cept dit «speed-testing». Cette séances’est déroulée avant la manifestationet était destinée aux futurs créateurs d’entreprises innovantes, désireux detester en temps réel leur projet avectrois coaches du réseau 1,2,3,GO.Une vingtaine de porteurs de projetaux idées originales ont été sélection-nés. Les heureux élus ont pu présen-ter lors de trois entretiens individuels de 7 minutes les aspects principauxde leurs projets: description de l’idée,

marché et profil de l’équipe. Les parti-cipants ont ensuite été invités à échan-ger questions et conseils autour d’unbuffet. Les candidats qui avaient par-ticipé au «speed-testing» ont pu s’en-tretenir directement et en toute con-fidentialité de leurs projets avec lescoaches rencontrés.

Le prochain rendez-vous interré-gional est fixé au 24 mars 2005 et seramarqué par l’organisation au Luxem-bourg d’un «Business Plan Booster»entre 13h30 et 18h00. L’objectif decette rencontre est de permettre aux futurs créateurs d’entreprise inscrits auparcours de finaliser leur plan d’affai-res en travaillant de manière intensive

Premièremani-festationinterré-gionale del’édition2004-2005 àla Chambrede Commerceet d’In-dustrie deSarrebruck– 8 décem-bre 2004

«Business PlanBooster» à laChambre deCommerce et d’Industriedu Luxem-bourg belge- 5 mai 2004

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> 24 mars 2005:«Business Plan Booster»

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18 • Merkur • Février 2005

Dossieret en collaboration directe avec plu-sieurs coaches réunis en même temps,sur un même lieu.

A partir de 19h00, le «Business Plan Booster» sera suivi d’une mani-festation interrégionale en présencede Monsieur Jeannot Krecké, Minis-tre de l’Economie et du Commerceextérieur et de Monsieur Pierre Gra-megna, Directeur de la Chambrede Commerce. Une table ronde et de nombreux témoignages sur lethème de la création d’entrepriseviendront animer la soirée. A l’is-sue de la soirée, tous les partici-pants se retrouveront autour d’uncocktail. Une occasion supplémen-taire de renforcer les liens entre les membres du réseau et d’échanger des conseils utiles.

De plus amples informationssur cette manifestation peuvent êtreconsultées sur le site de l’initiative:www.123go-networking.org. L’ins-cription peut également se faire enligne sur ce site sous «Inscription auxManifestations» ou sur le site de laChambre de Commerce de Luxem-bourg: www.cc.lu, sous «Agenda».

Le 24 mai prochain, chaque créa-teur devra remettre un plan d’affairescomplet pour pouvoir participer à laremise de prix interrégionale qui setiendra le 28 juin en Belgique. Un juryindépendant, composé de trois per-sonnes, évaluera les projets selon unegrille établie par le bureau de Con-seil McKinsey et désignera les lau-réats. Les projets innovants ou à fort potentiel économique sélectionnés pourront gagner des prix en espè-ces pour un montant total de 60.000 euros.

1,2,3,GO offre la possibilité depouvoir s’inscrire tout au long del’année et en toute confidentialitéà son parcours de plans d’affaires.Les idées de projets de créationsd’entreprise peuvent être déposéessur le site www.123go.-networking.org.

Dès acceptation du projet par lecomité de lecture, le candidat auraaccès gratuitement à tous les conseilsdu réseau. Pour le Luxembourg,Luxinnovation, l’Agence nationalepour la promotion de l’innovationet de la recherche assure le suivi des projets luxembourgeois. ■

Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site www.123go-networking.orgou vous adresser auprès de la Chambre de Commerce à Mmes Rachel Gaessler, tél.: 42 39 39-271

ou Michèle Nothum, tél.: 42 39 39-272, E-mail: [email protected] ou auprès de Luxinnovation, relais pour le Luxembourg et partenaire du réseau 1,2,3,GO.

Contact: Monsieur Jean-Michel Ludwig, tél.: +352 43 53 66-1, E-mail: [email protected]

Les lauréats 1,2,3,GO:Remise deprix finaleà Nancy - 28juin 2004

> 28 juin 2005:Remise de prix interrégionale

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niu

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VALORLUX remercie les Responsables d’Emballages,sans qui rien n’aurait été possible ! Le recyclage nous concerne tous.

VILLMOOLS MERCI !

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20 • Merkur • Février 2005

Flash

Al’occasion de l’ouverture dela Présidence luxembour-geoise du Conseil de l’UE,

le gouvernement luxembourgeois

a accueilli le 10 janvier à Luxem-bourg le collège des commissai-res européens. La première réu-nion de travail sous la Présidence

Présidence de l’Union européenne

Rencontre Commission -Gouvernement luxembourgeois

à la Chambre de Commerce

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21 • Merkur • Février 2005

Les membres actuels du Gouver-nement Luxembour-geois lors dela rencontreavec laCommissioneuropéenne

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Chambre de Commerce

La Chambre de Commercesolidaire des victimes du

Tsunami en Asie

Une récept ionpour fêter leNouvel An a ras-

semblé pour la premièrefois toutes les personnestravaillant dans les bâti-ments de la Chambre deCommerce et du Cen-tre Administratif PierreWerner. Pierre Grame-gna (photo), Direc-teur de la Chambre deCommerce, a accueilli

les nouveaux résidents. En guisede solidarité avec les nombreusesvictimes du raz de marée d’Asiedu Sud, la Chambre de Commerceet tout le personnel ont renoncéaux canapés et amuse- bouchesqui étaient prévus. Les 3.000 € cor-respondant au montant de l’éco-nomie ainsi réalisée ont été versés à l’ONG «LIFE» -Luxembourg IndiaFriendship Endeavour- une œuvrecaritative qui vient en aide aux vic-times de la catastrophe en Inde. ■

luxembourgeoise entre les mem-bres de la délégation de la Com-mission européenne s’est dérou-lée dans les locaux de la Chambrede Commerce. Lors d’une con-férence de presse conjointe, le

Président en exercice du Con-seil européen et Premier ministreluxembourgeois Jean-Claude Jun-cker, et le Président de la Commis-sion européenne, José Manuel Bar-roso, ont passé en revue les grandes

priorités de la Présidence luxem-bourgeoise, à savoir la relance du processus de Lisbonne, la réformedu Pacte de stabilité et de croissanceet l’accord politique sur les perspec-tives financières 2007-2013. ■

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22 • Merkur • Février 2005

International

FURNITURE AND LIVINGAusstellung für Möbel undInnenausstattung

1.-6.3.2005Nitra (SK)Tel.: 00421 37 65 72 111

BRITISH TRAVEL FAIRTourismus Fachmesse

2.-3.3.2005Birmingham (UK)Tel.: 0044 20 89 10 79 76

ENERGIESPARMESSEMesse für die Energiewirtschaft

3.-6.3.2005Wels (A)Tel.: 0043 7242 93 920

BEAUTY INTERNATIONALInternationale Fachmesse für professionelle Kosmetik

4.-6.3.2005Düsseldorf (D)Tel.: 0049 211 45 60 01

DETROPInternationale Messe für Lebensmittel, Getränke,Maschinen und Ausrüstung

4.-7.3.2005Thessaloniki (EL)Tel.: 0030 2310 29 11 95

INTERNORGAInternationale Fachmesse für Hotellerie, Gastronomie, Gemein-schaftsverpflegung, Bäckereienund Konditoreien

4.-9.3.2005Hamburg (D)Tel.: 0049 40 35 690

HORECATELFachmesse für die Gastronomieund Hotellerie

6.-10.3.2005

Marche-en-Famenne (B)Tel.: 0032 84 34 08 00

PRO WEINInternationale Fachmesse für Weine und Spirituosen

6.-8.3.2005

Düsseldorf (D)Tel.: 0049 211 45 60 900

SAUDIPACK/SAUDIPRINTInternationale Messe für diePapier- und Druckwirtschaft,Verpackungsmaschinen

6.-10.3.2005

Riad (SA)Tel.: 00996 1 45 41 448

FOODEX JAPANInternationale Nahrungsmittel-und Getränkemesse

8.-11.3.2005

Tokyo (JP)Tel.: 0081 6 62 61 71 51

MIPIMInternationaler Immobilienmarkt

8.-11.3.2005Cannes (F)Tel.: 0033 1 41 90 44 00

WATER CHINAMesse für die Wasserindustrie

8.-11.3.2005Guanghzhou (CN)Tel.: 0049 40 60 87 69 26

Messen undAusstellungen

im März 2005

20 janvier 2005

La Turquie –Futur membre de l’Unioneuropéenne?

En marge de la présidenceluxembourgeoise du Conseilde l’Union européenne, la

Chambre de Commerce et la SacredHeart University ont organisé, le jeudi20 janvier 2005, une conférence sur les enjeux de l’entrée de la Turquieau sein de l’Union européenne.

A cette occasion, trois personna-lités sont intervenues. Dr Steinherr,Chef Economiste à la Banque Euro-péenne d’Investissement et profes-seur de la Sacred Heart University,a notamment insisté sur le fait quel’aide financière à la Turquie pouvait être utilisée non seulement pour les infrastructures mais également, êtreau service du savoir. «La recherche etl’éducation sont deux secteurs impor-tants pour lesquels la Turquie man-que de moyens. Des fonds européenspeuvent servir à leur développementet ainsi à la croissance du pays.» Par ailleurs, Dr Alfred Steinherr soulignele fait que l’entrée de la Turquie peut

être bénéfique à l’Union Européenne,qui selon lui a besoin «d’un jeune et dynamique concurrent pour nousfaire progresser.»

Rebondissant sur les paroles d’Al-fred Steinherr, Madame Senem Aydina insisté sur l’aspect politique de l’en-trée de la Turquie au sein de l’Unioneuropéenne. Pour cette chercheuseau Centre for European Policy Studies(CEPS) de Bruxelles, plusieurs problè-mes risquent de marquer les futures réunions et négociations européen-nes. «Chypre va sans aucun doute êtreau cœur du débat».

Le dernier intervenant, Dr. WalterHagg, Ambassadeur d’Autriche s’est montré préoccupé par cette questiond’adhésion. Il a notamment évoquéla pression morale qui a été souvent exercée sur l’Union européenne.

Cette manifestation s’est tenue enprésence d’une centaine de person-nes. Ce grand sujet d’actualité a pas-sionné l’assemblée qui a largement

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25 • Merkur • Février 2005

MOD’AMONTInternationale Messe für Stoffe,Bekleidungszubehör undAccessoires

9.-12.3.2005Paris (F)Tel.: 0033 1 44 71 71 71

CEBITInternationale Messe für Informationstechnologie,Telekommunikation, Softwareund Dienstleistungen

10.-16.3.2005Hannover (D)Tel.: 0049 511 890

PREMIERE VISIONAusstellung für Bekleidungsstoffe

10.-12.3.2005Paris (F)Tel.: 0033 4 72 60 65 00

JARDIREVEMesse für Landschaftsbau,Gartenbau, Pflanzen undAccessoires

11.-13.3.2005Luxemburg (L)Tel.: 0031 541 66 95 96

ITBInternationale Tourismus-Börse

11.-15.3.2005Berlin (D)Tel.: 0049 30 30 380

IFEInternationale Nahrungsmittel-und Getränkemesse

13.-16.3.2005London (UK)Tel.: 0043 4852 71 290

SALNahrungsmittelmesse

13.-16.3.2005

Madrid (E)Tel.: 0034 91 72 25 000

E-WORLD ENERGY &WATERInternationale Fachmesse für dieEnergiewirtschaft

15.-17.3.2005

Essen (D)Tel.: 0049 201 72 440

SEMICON CHINAFachmesse für Halbleitertechnik

15.-17.3.2005

Shanghai (CN)Tel.: 001 408 94 36 900

EUROPROPREEuropäische Fachmesse für Reinigungstechnik

16.-18.3.2005

Paris (F)Tel.: 0033 1 47 56 50 00

SAIEDUEInternationale Messe für Bauzubehör und Innenausbau

16.-20.3.2005

Bologna (I)Tel.: 0039 02 29 01 71 44

GDSInternationale Schuhmesse

17.-20.3.2005

Düsseldorf (D)Tel.: 0049 211 45 60 900

Messen undAusstellungen

im März 2005

Pour de plus amples informations sur l’élargissement de l’Unioneuropéenne, prière de contacter l’Euro Info Centre -Luxembourg PME/PMI de la Chambre de Commerce

(tél.: +352 42 39 39 – 333, fax: +352 43 83 26, e-mail: [email protected]).

Pour être informé des manifestations de la SHU, prière de contacterla Sacred Heart University (personne de contact:

Monsieur Antoine Rech, Development and Relationship Manager,tél.: +352 22 76 13, fax: + 352 22 76 23, e-mail: [email protected]

participé à l’échange d’idées lors de laséance des questions-réponses.

Madame Louise Courtemanche,Directrice de la Sacred Heart Uni-versity Luxembourg, se félicite de laréussite de la soirée: «Cette théma-tique est essentielle et l’opinion est divisée. Il nous a semblé important,en tant qu’établissement d’enseigne-ment supérieur et de formation conti-nue, de fournir une plate-forme pour

débattre de ces questions. Nous sou-haitons contribuer à la compréhen-sion des différentes cultures et reli-gions en échangeant ces idées avecun respect mutuel».

Cette conférence fait partie d’uncycle initié en 2004 par la Sacred HeartUniversity et dont la prochaine thé-matique sera la nouvelle loi compta-ble «Sarbanes Oxley Act» applicable àtoutes les entreprises américaines. ■

21 janvier 2005

Le Vice-Bourgmestrede Moscou en visite

à la Chambre de Commerce

Le 21 janvier 2005, le Vice-Bourgmestre de Moscou, Mon-sieur Iossif N. Ordjonikidze a

visité le Grand-Duché de Luxem-bourg. En marge de sa visite de tra-vail au Luxembourg, Monsieur Ord-jonikidze a aussi eu l’occasion des’entretenir avec Monsieur PierreGramegna, directeur de la Chambre

de Commerce. Lors de cet entretienMonsieur Ordjonikidze a mis en évi-dence les possibilités commerciales et d’investissement qui existent dans la région de Moscou pour les entre-prises luxembourgeoises.

La Russie constitue un mar-ché important pour l’Union euro-péenne. Cependant, les exportations

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26 • Merkur • Février 2005

International

WIN – WORLD OFINDUSTRYMesse für Investitionsgüter

17.-20.3.2005Istanbul (TR)Tel.: 0090 212 33 46 900

LEIPZIGER BUCHMESSEInternationale Buchmesse

17.-20.3.2005Leipzig (D)Tel.: 0049 341 67 80

FRANCHISE EXPO PARIS– SIFInternationale Franchising Messe

18.-21.3.2005Paris (F)Tel.: 0033 1 47 56 50 00

LIFE 2 – LE SALON SANTE& MIEUX-VIVREMesse für Gesundheit undWohlbefinden

11.-13.3.2005Luxemburg (L)Tel.: 43 99 1

LIVREBuchmesse

18.-23.3.2005

Paris (F)Tel.: 0033 1 47 56 50 00

MIPELInternationale Lederwarenmesse

19.-22.3.2005

Mailand (I)Tel.: 0039 02 58 45 11

MICAMInternationale Schuhfachmesse

19.-22.3.2005

Mailand (I)Tel.: 0039 02 43 82 91

DJAZAGROFachmesse für Nahrungsmittel,Bäckereien, Konditoreien, Hotels und Restaurants

21.-24.03.2005Alger (DZ)Tel.: 0033 1 49 09 61 41

Messen undAusstellungen

im März 2005

du Luxembourg à destination de laRussie n’atteignaient que 40.426.000 EUR en 2003. Les exportations vers

la République tchèque, par exemple,s’élèvent à 76.336.000 EUR (2003).

Etant donné que le marché russeoffre beaucoup d’opportunités d’af-faires pour les entreprises luxembour-geoises, la Chambre de Commercesouhaite que le volume des exporta-tions vers la Russie augmente. Dans ce contexte, la Chambre de Com-merce envisage d’organiser en octo-bre 2005 une mission économiqueen Russie qui offrira aux entreprises luxembourgeoises la possibilité derencontrer des partenaires et clients potentiels russes.

Pour informer les entreprisesluxembourgeoises sur la Russie etdifférents aspects de son économie,la Chambre de Commerce avait déjàorganisé plusieurs activités en 2004,dont notamment la conférence «Thenew Russian custom code and rela-ted developments in the Russian cus-

Pour de plus amples informations sur la Russieet les activités organisées

sur ce pays, prière de contacter le Département International

- Affaires Européennesde la Chambre de Commerce

(tél.: +352 42 39 39 – 360,fax: +352 43 83 26,

e-mail: [email protected])

tom practices» (20 janvier 2004), laJournée d’Information sur les régionsrusses (8 octobre 2004) et la confé-rence «The development of EU-Rus-sia energy relations» (16 novembre2004). La Chambre de Commerce aégalement accueilli une délégationde banquiers russes dans ses locaux le 2 décembre dernier.

En 2005, la Chambre de Com-merce continue à informer les entre-prises luxembourgeoises sur la Rus-sie. Le 26 janvier 2005, un séminaired’information sur la sécurité desinvestissements en Russie a eu lieu.Une Journée d’Opportunités d’Affai-res sur la Russie sera organisée le9 mars 2005. Lors de cette journée,les entreprises auront la possibilitéde rencontrer, dans le cadre d’unrendez-vous personnel, un attachééconomique et commercial de Mos-cou. ■

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27 • Merkur • Février 2005

Messen undAusstellungen

im März 2005

SITLInternationale Messe für Transport und Logistik

22.-24.3.2005

Paris (F)Tel.: 0033 1 47 56 50 00

FOTEG – FOOD TECHNOL-OGY GROUP ISTANBULInternationale Ausstellung für die Nahrungsmitteltechnik,Lebensmittelzutaten, Bäckereiund Verpackung

24.-27.3.2005

Istanbul (TR)Tel.: 0090 212 21 64 010

MARBLEInternationale Fachmesse für Marmor und Marmorbearbeitung

30.3.-3.4.2005

Izmir (TR)Tel.: 0090 232 48 21 270

BASELWORLDWeltmesse für Uhren undSchmuck

31.3.-7.4.2005Basel (CH)Tel.: 0041 58 20 02 020

Um kurzfristigen Änderungen

der Ausstellungstermine

Rechnung zu tragen, sollten

Sie sich diese vom Veranstalter

vor Ihrer Abfahrt bestätigen

lassen. Für weitere Auskünfte

wenden Sie sich bitte an

Frau Bettina Milewski,

Tel.: 42 39 39-372.

La Chambre de Commerce

tient à la disposition des

entreprises luxembourgeoises

intéressées de la documentation

sur les foires et salons pour

consultation sur place.

Pour tout renseignement

complémentaire,

veuillez contacter

Mme Bettina Milewski,

tél.: 42 39 39-372.

26 janvier 2005

La Russie:un pays sûr pour investir?

Le Département Internationalde la Chambre de Commercedu Grand-Duché de Luxem-

bourg, en collaboration avec laChambre de Commerce et d’industriede la Fédération de Russie et DeloitteLuxembourg, a organisé le 26 janvier2005 un séminaire intitulé «Sécuritédes investissements en Russie». Laconférence a réuni près de 50 entre-prises.

Ce séminaire a constitué une«occasion unique pour dialogueravec des professionnels sur la Russie.Une opportunité offerte dont il faut profiter», comme M. Youri Kapralov,Ambassadeur de Russie au Luxem-bourg, a bien affirmé dans l’introduc-tion de la conférence.

Dans son intervention, M. Y. A.Yourchenko, Chef du Départementde la Sécurité Economique auprès de la Chambre de Commerce et d’In-dustrie de la Fédération de Russie, aexpliqué comment certains stéréoty-pes empêchent de voir la réalité. LaCCIFR contribue au développement de l’économie nationale et à son inté-gration dans l’économie mondiale, et

ce notamment par son «Bureau Natio-nal de Crédit».

Au cours du séminaire, différents professionnels de Deloitte sont inter-venus. M. Vafa Moayed et M. CyrilLamorlette ont souligné l’importancede faire appel aux services d’investiga-tion «Forensic» comme une assurancesupplémentaire avant d’entrer en rela-tion avec le monde d’affaires russe.

Une analyse des entreprises est un requis selon M. Manuel Baldauff.Même si l’économie de la Fédéra-tion de la Russie doit être amélio-rée, elle continue à posséder tou-tes les caractéristiques d’un marchéémergent. Cela concerne entre autresla volatilité des taux d’inflation, des taux d’imposition et des taux d’in-térêt. «Il faut employer toute l’intel-ligence indépendante disponible àtravers des agences gouvernemen-tales et des sociétés professionnel-les», conseille-t-il.

Le dernier orateur de la confé-rence, M. Viacheslav Volotovsky afait une présentation sur le régime desimpôts et sur la comptabilité.

Pour de plus amples informationssur ce séminaire, prière de contacter

le Département International- Affaires Européennes

de la Chambre de Commerce,tél.: +352 42 39 39 – 360, fax: +352 43 83 26,

e-mail: [email protected] de contact:

Mme Sabrina Sagramola/M. Niels Dickens.

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28 • Merkur • Février 2005

InternationalVisites accompagnées 1er semestre 2005

Au cours du premier semestre 2005, le Département International, Affaires Européennes, de la Cham-bre de Commerce continuera à organiser des visites accompagnées afin de soutenir les entreprises luxembourgeoises dans leurs efforts d’internationaliser leurs activités professionnelles. La liste en

annexe reprend les foires et salons prévus pour le premier semestre de l’année 2005 et donne une vue d’ensem-ble sur les prochains foires et salons spécialisés.

Les personnes intéressées par l’un ou plusieurs des salons mentionnés ci-dessous, sont invitées à retourner le formulaire par fax au +352 43 83 26 ou d’envoyer un e-mail à [email protected]. Le Département International,Affaires Européennes, de la Chambre de Commerce se tient à disposition pour fournir de plus amples informa-tions relatives aux foires ainsi que sur les conditions de participations respectives.

Entreprise: ..................................................................... Personne de contact:.....................................................

Adresse:.......................................................................... Code postal, Localité: ..................................................

Téléphone: .................................................................... Fax: ...............................................................................

E-Mail: ........................................................................... http:// .............................................................................

Chambre de CommerceDépartement International – Affaires Européennes

Personne de contact: Bettina MILEWSKI

• L-2981 LUXEMBOURGTél.: 42 39 39-333/360 • Fax: 43 83 26 • E-Mail: [email protected]

FOIRE LIEU DATE SECTEUR

CEBIT Hanovre Technologie d’information, télécom-municationVisite avec «matchmaking»

13-15 mars 2005 ❏

SITL Paris Transports et LogistiqueVisite

22-23 mars 2005 ❏

HANNOVER MESSE Hanovre IndustrieVisite et bourse de coopération

10-12 avril 2005 ❏

SALON DES MEUBLES Milan AmeublementVisite

15-17 avril 2005 ❏

INTERPACK Düsseldorf Emballage industrielVisite

21 avril 2005 ❏

IFAT Munich EnvironnementVisite

27-28 avril 2005 ❏

MOTORTEC Madrid AutomobileVisite et «matchmaking»

11-13 mai 2005 ❏

INTEL Milan Electronique, électrotechniqueVisite et «matchmaking»

17-18 mai 2005 ❏

INTERSCHUTZ Hanovre SécuritéVisite

7-8 juin 2005 ❏

PARIS LE BOURGET Paris AéronautiqueVisite

17 juin 2005 ❏

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29 • Merkur • Février 2005

16-20 mars 2005

Foire Internationale du Caire

La Chambre de Commercedu Grand-Duché de Luxem-bourg propose aux entrepri-

ses de participer à la Foire Interna-tionale du Caire du 16 au 20 mars2005 en exposant sur le stand Wallo-nie – Lorraine – Luxembourg réservédans le cadre du programme Inter-reg III. Ce stand est ouvert aux entre-prises luxembourgeoises qui souhai-tent promouvoir leurs services lors decette manifestation commerciale.

La foire Internationale du Caireest une exposition commercialeannuelle incontournable au cœurdu Proche-Orient. Cet événement,qui aura lieu dans le plus grand cen-tre d’exposition du Moyen-Orient,rassemblera 1,2 million de visiteurs,4.700 exposants, dont 1.700 étrangersissus de 70 nationalités différentes.

De plus amples informations con-cernant la foire sont disponibles souswww.cairofair.com. ■

Pour tout renseignement supplémentaire

concernant le stand,ainsi que le coûtde participation,

prière de contacterMadame Viviane Hoor,tél.: +352 42 39 39-315,

e-mail: [email protected].

17 mars 2005

L’endroit idéal de la Grande Région pour votre entreprise: le Salon à l’Envers

Cette année, la 10e édition duSalon à l’Envers se déroulera le17 mars prochain à Thionville.

Unique en son genre de par son con-cept simple et pratique, ce salon cons-titue pour les entreprises de la GrandeRégion un lieu de rencontres originalentre les donneurs d’ordres, d’une part,qui viennent exprimer leurs besoinsen terme d’achats et les fournisseurs,d’autre part, qui proposent leurs offresde produits et/ou de services.

Le Salon à l’Envers en 2004 enquelques chiffres:• 10 donneurs d’ordres luxembour-

geois• 52 donneurs d’ordres au total• 40 entreprises visiteuses luxem-

bourgeoises

• 15 à 23 contacts par donneursd’ordres luxembourgeois

• environ 600 visiteurs.

■ Les donneurs d’ordresviennent recevoir les fournisseursLes entreprises se présentent

en tant qu’acheteur ou en tant quefournisseur. Une participation ausalon en tant que donneur d’ordres (acheteur) vous offrira les avanta-ges suivants:• une participation gratuite• une présentation avec un stand

d’exposition (3 x 3 m cloisonné)offert gratuitement par les orga-nisateurs (organisation et mise enplace du stand incluses)

Les entreprises intéressées à participer à la 9e édition du «Salon à l’Envers»,sont priées de retourner le bulletin d’inscription ci-joint

pour le 11 mars 2004 au plus tard.Pour de plus amples renseignements,

le Département International – Affaires Européennesse tient à disposition (tél.: +352 42 39 39–360/335).

Personne de contact: M. François Nenon

• une publication des coordonnéeset du profil de votre entreprisedans la plaquette d’informationdu salon distribuée aux fournis-seurs

• un enregistrement de votre entre-prise sur le site web officiel dusalon

• une possibilité unique de rencon-trer un grand nombre de four-nisseurs en un seul jour

• une opportunité de trouver des fournisseurs de proximité. Deleurs côtés, les fournisseurs (visi-teurs) pourrons bénéficier desprestations suivantes:

• une rencontre unique avec lesgrands donneurs d’ordres régio-naux en un seul jour

• une mise à disposition des infor-mations sur les besoins détaillés des donneurs d’ordres via la pla-quette d’information du salonainsi que le site web officiel

• une possibilité de trouver des don-neurs d’ordres de proximité à unprix de participation avantageux.

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30 • Merkur • Février 2005

International28 mars-1er avril 2005

Mission économique en Inde

LLa Chambre de Commercedu Grand-Duché de Luxem-bourg en collaboration avec

le Ministère de l’Economie et duCommerce extérieur organisera du 28 mars au 1er avril une mission depromotion économique en Inde.

Elle débutera à New Delhi, conti-nuera par Chennai et se terminera àMumbai, respectivement à Pune. Ladélégation sera présidée par Mon-sieur Jeannot Krecké, Ministre del’Economie et du Commerce exté-rieur.

■ L’Inde, un pays dotéd’un potentiel énormePlus d’un milliard d’habitants,

une économie dynamique dontles fondamentaux sont sains, unecroissance annuelle de 6 % depuis 1991, se rapprochant des critères del’OMC: l’Inde, douzième économiedu monde, ne peut laisser l’exporta-teur indifférent. L’Inde est une puis-sance industrielle reconnue, mais ledéveloppement de son marché inté-rieur et son ouverture aux capitaux étrangers sont récents (les quotas àl’importation sont progressivement supprimés) et ouvrent dès lors d’im-portantes opportunités d’affaires.Les investissements directs étran-gers se sont élevés à 3,6 milliards dedollars l’année dernière, un résul-tat dix fois moins bon que celui de

Pour tout renseignement supplémentaire

concernant la missionéconomique en Inde,prière de contacter

Monsieur David Lutty,tél.:+352 42 39 39-316,

e-mail: [email protected].

la Chine, ce qui démontre que lepotentiel est encore énorme. Selonune étude publiée en août dernier par le groupe bancaire suisse UBS,l’Inde, comme la Chine dépasserad’ici 25 ans les Etats-Unis commepremier marché mondial de con-sommation. En outre, l’Union euro-péenne et l’Inde viennent de signer,le 9 novembre 2004 à La Haye, un«partenariat stratégique» dont l’ob-jectif immédiat, sur le plan écono-mique, est de renforcer les échan-ges commerciaux et d’augmenterles investissements européens. ■

Visite accompagnée au Salon du Meuble à Milan

15-17 avril 2005

Pour de plus amples informations sur cette visite accompagnée,Madame Edith STEIN se tient à votre disposition,

tél.: +352 42 39 39 – 312, [email protected]

Se déroulant tous les ans, leSalon du Meuble de Milanréunit près de 200.000 visi-

teurs et quelque 1.500 exposantssur une surface d’exposition d’en-viron 142.000 m2. Le salon pré-

sente tout genre de meuble à part le mobilier de bureau et les cui-sines. Les amateurs du luminaireont la possibilité de visiter la foireEUROLUCE qui se déroule en paral-lèle. Le Département International

de la Chambre de Commerce orga-nisera pour la première fois unevisite accompagnée de ce salon et propose les dates du 15 et 17 avril2005.

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31 • Merkur • Février 2005

25-29 avril 2005

Mission économiqueen Afrique du Sud

Pour tout renseignement supplémentaire concernantla mission économique en

Afrique du Sud,prière de contacter

Monsieur David Lutty,tél.: +352 42 39 39-316,

e-mail: [email protected].

La Chambre de Commerce du Grand-Duché organisera unemission économique en Afri-

que du Sud du 25 au 29 avril 2005qui aura comme but d’offrir auxentreprises luxembourgeoises undispositif organisationnel suscepti-ble de faciliter l’entrée en relationavec des sociétés locales.

La mission débutera à Johan-nesburg, un centre de redistributionincontournable pour approvision-ner les marchés de la sous-régionet même de l’Afrique centrale(Angola, République démocratiquedu Congo,...) et se terminera à CapeTown qui est devenu le port préférédes transporteurs pour acheminer

des produits vers la Namibie et l’An-gola.

L’Afrique du Sud jouit d’unestabilité politique confirmée, fruitde dix années d’un régime démo-cratique. Le taux élevé du Rand(6,35 R/1USD et 7,80 R/1€) a provo-qué une augmentation des prix des produits locaux (+30 % sur les pro-duits alimentaires, +20 % sur les pro-duits métallurgiques, + 15% sur les produits chimiques, +23 % dans l’im-mobilier). A cela s’ajoute un taux decroissance de 3,2 % au niveau natio-nal (+5,3 % sur Johannesburg et envi-rons). ■

Stand collectif de la GrandeRégion au salon SYSTEMS 2005

24-28 octobre 2005

Suite au grand succès de laGrande Région pour sa pre-mière participation, via le

stand collectif de la Chambre deCommerce du Grand-Duché deLuxembourg et de la ZPT Sarre-bruck, au salon SYSTEMS 2004, ila été décidé d’offrir, une nouvellefois, aux entreprises, la possibilitéde s’y présenter en 2005. En effet,SYSTEMS est le leader des salonsBusiness-to-Business des secteurs

de la technologie de l’informa-tion, de la télécommunication etdes médias. En 2004, SYSTEMS aaccueilli environ 1.300 exposantsde 30 pays et 67.000 visiteurs pro-fessionnels. Une grande partie des visiteurs sont venus d’Autriche, deSuisse, des nouveaux Etats membresde l’Union européenne et de leurs pays voisins. De plus, une enquêteeffectuée auprès des visiteurs dusalon a établi que 55% d’entre eux

n’ont pas d’intérêt direct à visi-ter d’autres salons spécialisés dusecteur, et 59% des visiteurs ontdéclaré ne pas visiter la CEBIT àHanovre. La prochaine édition du salon SYTEMS se déroulera du 24au 28 octobre 2005.

Grâce au système des stands col-lectifs, les entreprises peuvent, d’unepart, réduire leurs frais de participa-tion aux salons, et d’autre part, profi-ter également d’un soulagement dans

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32 • Merkur • Février 2005

Internationalle cadre de l’organisation. Toute lapréparation du stand sera effectuéepar les deux organisateurs du stand.Pendant toute la durée de la foire,les prestations de services suivantesseront garanties: La mise en place d’unstand disposant d’une grande visibi-lité et aménagé professionnellement,des espaces d’exposition séparés pourchaque exposant sur le stand avec lapossibilité de présenter son entreprise,un service d’hôtesses pour servir des boissons et des agapes à votre clien-tèle, la distribution d’une brochureavec une description détaillée du pro-fil de chaque entreprise présente sur lestand, ainsi qu’une assistance-conseiltout au long de la durée du salon.

Ainsi, le stand collectif de laGrande Région aura une surfacecomprise entre 200 et 300 m² (dépen-dant du nombre d’exposants), cettesurface ayant déjà été réservée. ■

Les entreprises intéressées à recevoir de plus amples renseignementssur leur participation éventuelle

comme exposant au stand collectif, sont priées de contacter le Département International, Affaires Européennes,

tél.: +352 42 39 39-360/372, fax: +352 43 83 26 ou par e-mail: [email protected] informations sur le salon sont disponibles sur le site web suivant: www.systems.de.

Un formidable outil pourréussir au Japon

EU Gateway to Japan

Le programme «Gateway toJapan», financé et mis enœuvre par la Commission

européenne, est destine à aider les PME des pays membres à réussir sur le marché japonais.

Ce programme propose une aidelogistique et financière aux entrepri-

ses sélectionnées pour participer auxactions «Gateway to Japan» organi-sées au Japon.

Grâce à une organisation perfor-mante, ce programme permet auxparticipants d’optimiser leur dépla-cement et de nouer un maximum decontacts sur place.

Le programme propose pour 2005entre autres:

Pour tout renseignement supplémentaireconcernant les missions commerciales et l’aide financière,

prière de contacter Monsieur David Lutty,tél.: +352 42 39 39-316, e-mail: [email protected].

Pour des amples informations concernant le programme «Gateway to Japan», veuillez également visiter le site

www.gatewaytojapan.org.

• Une mission commerciale pour lesecteur des matériaux de cons-truction du 12 au 16 septembre2005 à Tokyo, dont la date limitede dépôt des candidatures est le2 mars 2005.

• Une mission commerciale pourle secteur de l’alimentation du 17 au 21 octobre 2005 à Tokyo,dont la date limite de dépôt descandidatures est le 31 mars 2005.■

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33 • Merkur • Février 2005

Die Belgischen Steuern:5. stark erweiterte Auflage

debelux

Aus Anlass der in den letztenJahren vorgenommenen Steu-erreformen in Belgien gibt die

Deutsch-Belgisch-LuxemburgischeHandelskammer ein stark erweitertes und überarbeitetes Handbuch überdie gesamten belgischen Steuern her-aus. Diese Publikation ist die einzigedeutschsprachige umfassende Darstel-lung des belgischen Steuersystems.

Verfasser des über 130 Seiten star-ken Werkes sind Prof. Boudewijn Cal-lens, Wirtschaftsprüfer in der debelux Mitgliedsfirma Callens, Pirenne & Cosowie Frédéric Kransfeld, Steuerbera-ter bei Infiscad & Partners.

Das Werk behandelt ausführlichdie Einkommen- und Körperschaft-steuer nach den Reformen sowie dieSondersysteme für Koordinations-,

Distributions- und Dienstleistungszent-ren, Innovationsgesellschaften und dasbesondere Regime für ausländischeFührungskräfte und Forscher. BreitenRaum nimmt auch die Umsatzsteuerein. Ebenfalls behandelt werden dieErbschaftsteuern sowie das Doppelbe-steuerungsabkommen zwischen Bel-gien und Deutschland.

Das Handbuch kann bei der Ge–schäftsstelle Köln der debelux bezo-gen werden zum Preis von 32 € + 3 €Versand- und Handlingkosten + MwSt.Der Preis für Mitglieder der debelux-Kammer beträgt 24 € + 3 € Versand-und Handlingkosten + MwSt. Bei Lie-ferung nach Belgien oder Luxemburgwird keine MwSt. in Rechnung gestellt,wenn die Umsatzsteuer-Identifikations-nummer des Beziehers vorliegt. ■

Interessenten werden gebetenbei der Geschäftsstelle

Köln einen Bestellcouponanzufordern unter der Fax-Nr.+49 221 257 54 66 bzw. per e-mail: [email protected].

Tarif officiel régissant la vente de formulaires CMR(valable à partir du 1.02.2005)

UNITÉ DE VENTE : BOÎTES À 500 CMRFormulaires standard :

Papier continu : 75,00 EUR la boîte à 500 ex.Jeux à 5 volets : 60,00 EUR la boîte à 500 ex.

Formulaires avec personnalisation : (jeux à 5 volets avec surimpression en noir, cliché existant)

Distribution des formulairesde transport CMR

Tarif des formulaires CMR

La Chambre de CommerceLuxembourg vient d’arrêter ladistribution des formulaires de

transport CMR avec effet au 1er février 2005. Cette tâche a été confiée à l’im-primerie Reka S.A., Leudelange, quiassure dès à présent la distribution àdes conditions inchangées. En complé-ment à notre information relative aunouveau mode de distribution de ces formulaires parue dans la dernière édi-tion du Merkur, nous vous prions detrouver ci-contre la grille de tarificationofficielle de la Chambre de CommerceLuxembourg en la matière, appliquéepar l’imprimerie Reka S.A.. La Cham-bre vient d’adresser un courrier d’unemême teneur à tous les transporteurs affiliés, ensemble avec le tarif officiel,un modèle de bon de commande etun plan d’accès à Reka S.A. La Cham-bre aimerait souligner que dorénavant toutes les commandes de formulaires CMR seront payables à l’enlèvement.

Tout autre mode de paiement néces-sitera un accord préalable et par écrit de Reka S.A.. Les bons de comman-

1 boîte (500 CMR) = 125,50 EUR2 boîtes (1.000 CMR) = 196,41 EUR3 boîtes (1.500 CMR) = 269,69 EUR4 boîtes (2.000 CMR) = 343,37 EUR5 boîtes (2.500 CMR) = 417,21 EUR6 boîtes (3.000 CMR) = 490,79 EUR7 boîtes (3.500 CMR) = 564,47 EUR

8 boîtes (4.000 CMR) = 638,16 EUR9 boîtes (4.500 CMR) = 711,18 EUR10 boîtes (5.000 CMR) = 784,19 EUR12 boîtes (6.000 CMR) = 930,18 EUR15 boîtes (7.500 CMR) = 1.152,61 EUR20 boîtes (10.000 CMR) = 1.543,12 EUR30 boîtes (15.000 CMR) = 2.314,35 EUR

des sont téléchargeables à partir denos sites respectifs www.cc.lu et www.reka.lu. ■

Supplément pour confection dʼun nouveau cliché : 30,00 EURA ces prix sʼajoute : TVA 15%

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34 • Merkur • Février 2005

InternationalPolish-Belgian-LuxembourgChamber of Commerce (Polbelux)

Portrait

The Polish-Belgian-Luxem-bourg Chamber of Commercein Poland, called briefly Pol-

belux, supports Polish companiesthat intend to enter the Belgian andLuxembourg markets.

Poland’s forthcoming accession tothe European Union poses important new tasks. Polbelux now has to lookat the European Union and within it at the Belgian and Luxembourg mar-ket not as an outside market but as aninternal European market of whichalso Poland is a part. This requiresa new thinking and new approachboth by the Polbelux Board and by its members.

The second new, albeit relatedtask is how members of Polbelux canavail of huge opportunities of tradingwithin the European market. Thismay induce Polbelux members tolook at its Belgian and Luxembourgpartners not just as trade partnerswithin these two countries, but alsoas possible facilitators and partners for a wider, pan-European trade.

HISTORYPolbelux is one of the oldest

Polish bilateral chambers of Com-merce. It was created in 1959. Under the communist rule, until 1989 Polbe-lux was part of the state-monopoly ofcentrally planned foreign trade car-ried out by state-owned foreign-tradeenterprises. Since the passage to thedemocracy and to a capitalist eco-nomy in 1989 when the state mono-poly of foreign trade was abolishedand every business could carry freelyits export and import operation withinthe framework of existing permitrequirements. Thus Polbelux concen-trates now on facilitating for privatebusinesses from Poland and Belgianto get to know better respective par-tners and their products.

PROFILEPolbelux has a membership of

50 members. Membership in busi-ness association in Poland is -unlikein numerous EU countries - volun-tary and is not exempt from taxation.

The characteristic feature of Polbe-lux is its concentration on export by its members to Belgium and Luxem-bourg. There are only a few Belgiandirect investors in Polbelux, one ofthem being KBC Bank. Thus mem-bers are interested mainly in export-oriented activities, such as receivingtrade leads from Belgian and Luxem-bourg companies, trade missions toBelgium and Luxembourg and par-ticipation in trade fairs and missions.In line with this Polbelux concen-trates on:• promotion of commercial activi-

ties between Poland, Flanders,Wallonia, Brussels region andLuxembourg;

• creation and facilitation of aware-ness about Poland’s business inBelgian business circles;

• facilitation of contacts betweenPolish and Belgian and Luxem-bourg businesses during visitsof Belgian trade missions inPoland, mainly during Poznatrade fairs.The principal area of activity out-

side of Warsaw is Poznan, the venueof Poznan Trade Fair in which many Belgian, Luxembourg traditionallytake part.

SERVICESPolbelux offers its members fol-

lowing services:• organization of Polish economic

missions to Belgium and Luxem-bourg;

• initiating and preparing bilateralmeetings, seminars and consulta-tions for members of Belgian andLuxembourg economic missions in Poland;

• co-operation in organising train-ing in Poland, Belgium andLuxembourg;

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35 • Merkur • Février 2005

• organization of Polish informationstands and assistance for firms inpreparing their participation ininternational fairs in Belgium,Luxembourg and Poland;

• providing individual assistanceto Polish, Belgian and Luxem-bourg entrepreneurs in seekingand establishing direct commer-cial contacts;

• collecting and providing informa-tion about fairs, exhibitions, mis-sions, seminars and other events designed to promote mutual con-tacts.

• Bepolux members have beenused to the Bepolux stand atmajor trade fairs in the PoznaInternational Fair, such as Budmaconstruction Fair, Polagra agricul-tural and Food fair, Poleko envir-onment fair and technology andinvestment fair. The Bepoluxstand is a focal point for Bepo-lux members and Polish and Bel-gian businessmen taking part inthe fair. Bepolux makes availablefor its members a small meetingarea and an opportunity to makeappointments with a business par-tner to meet there.

Bepolux sends to its membersperiodical bulletins presenting salientdevelopments in the Polish - Belgian- Luxembourg business relations andtrade leads from Belgian and Luxem-bourg companies. Such trade leads appear in particular on the occasionof major trade fairs in Poland suchas above-mentioned Budma, Pola-gra, Poleko and Investment fairs at Pozna.

AFFILIATIONPolbelux is part of KIG- National

Business Chamber of Poland, whichis the successor of the former PIHZ– Polish Chamber of Foreign Trade.Both Bepolux and KIG (and with it Polbelux) occupy the former PIHZbuilding at Tr backa Street. Presidentof Polbelux, Mr Edward Wojtulewicz,is member of the supervisory boardof KIG. Because of the affiliation withKIG Polbelux avails of its many faci-lities and takes part in various com-mittees run by it. An important part ofthe cooperation of its activity is sub-mitting opinions on various drafts ofdocuments sent to KIG by the govern-ment on the legislation of importanceto private business. This allows Pol-

belux to voice opinion of its mem-bers on the legislation considered inthe Parliament.

Under an agreement signed inBrussels the Polish-Belgian-Luxem-bourg Chamber of Commerce co-operates closely with its Belgiancounterpart – Belgian-Luxembourg-Polish Chamber of Commerce basedin Brussels, as well as with regionalchambers: Flanders-Poland in Ghent,Wallonia-Poland in La Louvière andBrussels-Poland in Brussels and withthe Chamber of Commerce of theGrand-Duchy of Luxembourg.

Polbelux Polish-Belgian-Luxem-bourg Chamber of Commerce is afounder of Forum of EU Chambers in Warsaw and it participates in itsactivities and events. Polbelux alsocooperates with the of the BelgianBusiness Chamber located in Warsaw,Poland, formerly Belgian Business Club) and its members participate inits activities. Bepolux maintains regu-lar contacts with the Belgian embassyin Warsaw, with the Export Flanders,Awex and Brussels trade offices inPoland as well as with the Trade Divi-sion of Polish embassy in Brussels.■

The International Department will present

in the following MERKUR publications,

the various bilateral Chambers of Commerce incorporated

in Luxembourg or abroad and representing Luxembourg and/or Belgium business

interest in foreign countries.

Should you conclude that any of the presented Chambers

covers a territory of particular interest to you, we kindly ask you to contact

the person of contact of the respective Chamber

or contact Mrs Viviane Hoor by phone 42 39 39-315,

fax 43 83 26 or e-mail

[email protected].

For further information, please contact:Polish-Belgian-Luxembourg Chamber of Commerce in Poland

PL-00074 Warszawa, ul. Tr backa 4,KIG Building,

Tel (48-2) 630 9600 (Central), 630 9773 (direct),Fax: 48 – 22 630 9974 , e-mail: [email protected].

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36 • Merkur • Février 2005

InternationalJournées d’opportunités

d’affaires 2005DATE PAYS VILLE18-févr IRAK/JORDANIE BAGDAD/AMMAN23-févr KENYA NAIROBI01-mars PAYS-BAS LA HAYE09-mars RUSSIE MOSCOU11-mars TUNISIE TUNIS11-mars EGYPTE LE CAIRE11-mars AFRIQUE DU SUD JOHANNESBOURG18-mars LIBYE TRIPOLI18-mars THAILANDE BANGKOK18-mars SYRIE DAMAS25-mars DANEMARK COPENHAGUE25-mars SUEDE STOCKHOLM25-mars FINLANDE HELSINKI25-mars ROUMANIE BUCAREST25-mars BULGARIE SOFIA31-mars IRAN TEHERAN18-avr PEROU LIMA18-avr CHILI SANTIAGO18-avr ROYAUME-UNI LONDRES18-avr ROYAUME-UNI BIRMINGHAM26-avr ETATS-UNIS ATLANTA26-avr ETATS-UNIS CHICAGO26-avr TURQUIE ANKARA06-mai MEXIQUE MEXICO19-mai CANADA MONTREAL19-mai CANADA TORONTO24-mai ESPAGNE MADRID24-mai ESPAGNE BARCELONE24-mai ESPAGNE VALENCE24-mai PORTUGAL LISBONNE17-juin ITALIE MILAN17-juin ITALIE PADOUE17-juin ITALIE ROME22-juin CHINE BEIJING22-juin CHINE CANTON24-juin ARGENTINE BUENOS AIRES24-juin BRESIL SAO PAULO24-juin BRESIL SAO PAULO26-juin IRLANDE DUBLIN

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Pour tout renseignement supplémentaire concernant les journées d’opportunités d’affaires avec les attachés

économiques et commerciaux,veuillez contacter Madame

Bettina Milewski,tél: 42 39 39-334,

e-mail: [email protected] ou Monsieur David Lutty,

tél.: 42 39 39-316, e-mail:[email protected].

Inscriptions en ligne sous:www.cc.lu.

Afin d’aider les entreprisesluxembourgeoises à péné-trer les marchés étrangers,

la Chambre de Commerce organiserégulièrement des journées d’infor-mation qui ont pour but de faire con-naître les opportunités qu’offrent les marchés et d’aider les entreprises àécouler leurs produits ou services.Ces journées se présentent sousforme d’entretiens individuels avecles attachés économiques et com-merciaux belges. ■

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International

38 • Merkur • Février 2005

La responsabilité sociale des entreprises:un enjeu de taille pour la planète

1er mars 2005

Pour de plus amples renseignements,l’Euro Info Centre de la Chambre de Commerce

se tient à votre entière disposition par téléphone (42 39 39 333),par fax (43 83 26) ou par e-mail ([email protected]), personnes de contact:

Madame Sabrina Sagramola, Monsieur François Nénon.Inscriptions en ligne sous: www.cc.lu.

Entreprise:

Nom: Prénom:

Fonction:

Adresse: Code postal, Localité:

Téléphone: Fax:

E-mail: @ http://

Bulletin de demande d’information- A remplir en lettres majuscules -

Je souhaite recevoir une invitation au symposium précité:❏ par courrier postal ❏ par e-mail.

Je souhaite être tenu informé des activités similaires organisées à l’avenir❏ par courrier postal ❏ par e-mail.

Euro Info Centre – Luxembourg PME/PMI – Chambre de CommercePersonne de contact: M. François Nénon

7, rue Alcide de Gasperi • L-2981 Luxembourg • Tél.: 42 39 39-333 • Fax: 43 83 26 • E-mail: [email protected]

Dans le cadre de la cam-pagne européenne de sensi-bilisation à la responsabilité

sociale des entreprises mise en placeau Luxembourg par la Chambre deCommerce et la Chambre des Métierset leurs Euro Infos Centres respec-tifs, en collaboration avec l’Uniondes Entreprises Luxembourgeoiseset Caritas, le symposium «CorporateSocial Responsability» se déroulera le1er mars dans les locaux de la Cham-bre de Commerce.

Comment assurer, en qualité d’en-trepreneur actif, l’avantage compé-titif à long terme de son entrepriseet la continuité de ses activités? Enoffrant un service aux clients et enprenant soin des nouveaux clients,

en développant de nouveaux pro-duits et services, et – par-dessus tout –en réalisant des bénéfices. La respon-sabilité sociale des entreprises (RSE)peut aider l’entreprise à atteindre cesobjectifs.

La Commission européenne adéfini la RSE comme «un concept envertu duquel les entreprises intègrent volontairement des préoccupations

sociales et environnementales à leurs activités économiques et aux relationsqu’elles entretiennent avec leurs inter-locuteurs.» En encourageant la RSE, laCommission européenne espère favo-riser la compétitivité des entreprises européennes tout en contribuant àpréserver et à améliorer la qualitéde vie et les conditions de travail descitoyens européens. ■

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39 • Merkur • Février 2005

Al’instar des années pré-cédentes, la Chambre deCommerce du Grand-

Duché de Luxembourg organiseune visite accompagnée au salonCEBIT pour faciliter la participationdes entreprises luxembourgeoises àcet salon important de la technolo-gie d’information et de la télécom-munication.

Pour la première fois, le réseau des Euro Info Centres organisera lorsdu salon CEBIT une bourse de coo-

CEBIT: Visite accompagnéeet bourse de coopération

13-15 mars 2005

Les entreprises intéressées à recevoir des informations détailléessont invitées à contacter l’EIC par tél.: 42 39 39 333, par fax: 43 83 26

ou par e-mail: [email protected]. Inscriptions en ligne sous: www.cc.lu.Personne de contact: Mme Sabine SAGRAMOLA

pération qui donnera aux participantsla possibilité de maximiser leurs con-tacts sur la foire et de fixer des ren-dez-vous individuels avec des visi-teurs et des exposants internationauxcherchant des partenaires à l’échelleinternationale. Une liste des partici-pants sera publiée sur Internet avant

la foire afin de soutenir la recherchede partenaires éventuels.

La visite et la bourse de coopé-ration se dérouleront du 13 au 15mars prochain et seront organisées par l’Euro Info Centre de la Cham-bre de Commerce du Grand-Duchéde Luxembourg. ■

Trois ans après l’introductiondes pièces et des billets eneuros, les citoyens de la zone

euro sont désormais habitués à lamonnaie européenne. Ils ne comptentplus mentalement en ancienne mon-naie nationale pour les achats cou-rants et connaissent la valeur approxi-mative de l’euro face au dollar.

La plupart des personnes interro-gées à l’occasion du sondage Euro-baromètre réalisé en novembre 2004ont déclaré n’éprouver aucune diffi-culté à utiliser les pièces: au Luxem-bourg, 77 % des sondés affirment nepas éprouver ce type de problème(UE: 72 %). Pour les billets, tel estle cas pour 93 % des sondés euro-péens et 96 % des sondés au Luxem-bourg. Ce taux place le Grand-Duchéen deuxième position de la classeeuropéenne, après la Finlande (98%)et ex æquo avec la Grèce (96 %).

La majorité des citoyens de lazone euro (52 %) comptent désor-

Les citoyens européenslargement à l’aise avec l’euro

Sondage Eurobaromètre

mais mentalement en euros pourleurs achats quotidiens. Au Luxem-bourg, trois sondés sur quatre (75%)affirment compter mentalement eneuros, l’Irlande affichant le meilleur taux avec 91%. Le nombre de per-sonnes qui continuent à compter enmonnaie nationale pour l’achat d’unemaison ou d’une voiture a diminuéen moyenne européenne de 5 points par rapport au sondage de 2003 pours’établir à 49%, alors que le tauxpour le Luxembourg se situe à 65%,

deuxième place après les Pays-Bas(67 %). Les consommateurs irlandais sont les plus susceptibles de calculer en euros pour leurs achats exception-nels (72 %), les plus réticents étant lesFrançais (14%), les Portugais (13 %)et les Belges (12 %). Le Luxembourgse classe plutôt en queue de pelo-ton avec un taux de 19%. 65% dessondés au Grand-Duché affirmentcompter plus souvent en monnaienationale, un des taux les plus éle-vés de l’UE.

Seulement 38 % des citoyens européens savent qu’unachat effec-tué dans un autrepays de lazone euroau moyend’une cartebancairen’entraînepas plus defrais qu’uneopérationnationale.

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International

40 • Merkur • Février 2005

■ L’euro: une deviseinternationaleLe sondage Eurobaromètre révèle

qu’une grande majorité des citoyens européens (72 %; Luxembourg 83 %)considèrent désormais l’euro commeune devise internationale au mêmetitre que le dollar ou le yen. Près dela moitié des personnes interrogées au niveau européen (48%; Luxem-bourg 55%) estiment correctementle rapport euro/dollar (soit 13 points de plus qu’en 2003), affirmant quececi ne les préoccupe « pas du tout »(51%). Le niveau de préoccupationau Luxembourg est légèrement plus élevé: 43 % des sondés déclarent nepas se faire des soucis quant à ce rap-port, et 55% affirment être «un peu»ou «beaucoup» préoccupés.

Fait surprenant, 38% seulementsavent qu’un achat effectué dans unautre pays de la zone euro au moyend’une carte bancaire n’entraîne pasplus de frais qu’une opération natio-nale. Un sondé sur deux au Luxem-bourg (52 %, taux le plus élevé del’UE) donne une réponse correcte.Ces frais, ainsi que ceux relatifs à un

retrait d’espèces ont été supprimés en juillet 2002.

S’agissant d’un autre aspect prati-que de l’euro, la majorité des person-nes en moyenne européenne (53 %)considère que le nombre de pièces (huit) est adéquat. Au Grand-Duché,60 % des sondés considèrent que lenombre des pièces est trop élevé et 38% pensent qu’il est adéquat. Envi-ron 60 % des personnes interrogées au niveau européen ne seraient pas opposées à l’abandon des pièces de1 ou de 2 cents. Au Luxembourg,81% seraient en faveur de l’abandondes pièces de 1 cent et 74% de celuides pièces de 2 cents. La large majo-rité des sondés craint toutefois unehausse des prix (UE: 65 %; Luxem-bourg: 72 %). 69% des sondés euro-péens et 68% au Luxembourg sontopposés à l’émission d’un billet deun euro. Le taux d’opposants le plus élevé est enregistré en Allemagne(90 %).

En ce qui concerne plus géné-ralement l’Union économique etmonétaire, le sondage montre que55% des personnes interrogées au

niveau européen ont entendu parler du pacte de stabilité et de croissance.Au Luxembourg, 62 % des sondés fontla même affirmation, troisième taux leplus élevé après l’Allemagne (73 %)et l’Autriche (68%). Le pacte estconsidéré comme une garantie d’uneuro fort et stable par 75% des son-dés européens (Luxembourg: 88%,première place), même si la moitiédes sondés européens (Luxembourg:37 %) ne savent pas très bien ce dont il s’agit. Les Allemands sont les mieuxinformés (73 %), tandis que 26 % seu-lement des Irlandais ont entendu par-ler du pacte. Les résultats par paysmontrent en outre que plus de lamoitié des personnes interrogées enItalie (55%), au Luxembourg (54%),en Allemagne (52 %) et en Belgique(51%) sont favorables à une appli-cation stricte du pacte au cours des périodes économiques difficiles, tan-dis qu’elles sont une majorité à pen-ser le contraire en Finlande (59%) et en Irlande (58%) (Communiqué par la Représentation de la Commissioneuropéenne au Luxembourg).

Une directive révisée sur lacompatibilité électromagné-tique (CEM) a été publiée au

Journal officiel. Elle simplifiera con-sidérablement les procédures régle-mentaires et réduira les coûts desfabricants, tout en renforçant l’in-formation et la documentation surle produit pour les autorités de sur-veillance. La directive révisée sup-prime deux procédures lourdesd’évaluation de la conformité quiprévoyaient l’intervention obligatoired’un organisme indépendant de véri-

Marquage CE: Une nouvelledirective pour faciliter la vie des

fabricants de dispositifs électroniques

Marquage CE

fication et de contrôle, réduisant ainsiles coûts. Elle laisse l’entière respon-sabilité aux fabricants d’établir la con-formité de leurs produits et d’appo-ser le marquage CE. La directive CEMréglemente les émissions électroma-gnétiques des appareils électriqueset électroniques et leur résistanceaux interférences. Elle garantit parexemple qu’un four à micro-ondesne parasite pas la réception d’uneémission de radio ou qu’un radio-réveil ne se met pas en marche si onutilise un téléphone portable à proxi-

mité. La directive entrera en vigueur dans les Etats membres dans les troisprochaines années.

■ Un renforcement desexigences en termesde documentation etd’informationLa directive révisée requiert que le

fabricant ou son représentant donnedes moyens de contrôle supplémen-taires aux autorités de surveillancetels qu’une identification claire duproduit (type, numéro de série ...) et

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41 • Merkur • Février 2005

Pour de plus amples informations

sur le marquage CE,nous vous invitons à prendre

contact avec l’Euro Info Centre -Luxembourg PME/PMI

de la Chambre de Commerce,tél.: 42 39 39 – 333,

fax: 43 83 26,e-mail: [email protected].

La nouvelle versionde la rubrique «Directives

et règlements»

Nouveauté

Apartir de ce numéro duMerkur, la rubrique «Textes européens», anciennement

rubrique «Directives et règlements»,vous propose une sélection élargiede textes publiés au Journal Offi-ciel de l’Union européenne: règle-ments et directives, décisions, com-munications et recommandations.Même si ces textes présentent des niveaux d’applicabilité différente,ils peuvent toutefois présenter unintérêt informatif important.

En effet, au titre de l’article 249du Traité CE, le règlement a uneportée générale, est obligatoire et directement applicable à tout Etat membre. La directive lie tout Etat membre destinataire, mais néces-site sa transposition dans le droit

interne de chaque Etat membre.La décision est quant à elle obliga-toire dans tous ses éléments pour les destinataires qu’elle désigne.Ainsi, une décision peut s’adres-ser à un ou deux Etats membresou aux 25 Etats membres.

Les recommandations et les avisn’ont pas d’effet obligatoire, ces tex-tes ne lient en principe pas les Etatsmembres. Ce sont des actes qui paressence informent sur un point par-ticulier, apportent une clarification.Il en va de même des communica-tions, qui peuvent également êtreutilisées par la Commission pourprésenter ses travaux préparatoi-res dans le domaine législatif.

l’indication du nom et de l’adressedu fabricant ou de son représentant,et le cas échéant celui de l’importa-teur établi sur le territoire de l’Unioneuropéenne. Cette meilleure traçabi-lité du produit facilitera la tâche des autorités de surveillance du marché.En éliminant les produits dont l’ori-gine est actuellement difficile à iden-tifier, la concurrence se fera sur des bases plus équitables.

Un régime spécifique pour les ins-tallations fixes. Ces installations seprêtent plus difficilement à une pro-cédure de vérification de conformité(évolution au cours du temps, altéra-tions, difficultés de mise en œuvre).Néanmoins, il est nécessaire que cel-les-ci se conforment aux exigences de protection de la directive afin delimiter les interférences potentielles

et afin d’obtenir un environnement électromagnétique homogène dansl’Union européenne. Ce régime per-mettra notamment de créer un cadreréglementaire harmonisé pour les sys-tèmes localisés importants, comme lescentrales électriques, mais égalementpour les systèmes distribués, tels queles réseaux de télécommunications oude distribution d’électricité, qui sont souvent transeuropéens.

Un respect des concepts de lanouvelle approche. Dix années d’ap-plication de la directive ont démon-tré l’efficacité des concepts de la nou-velle approche dans le domaine dela compatibilité électromagnétique.Ces principes limitent l’harmonisationlégislative aux exigences essentielles qui sont d’intérêt public, permettent aux fabricants d’assurer la conformité

de leurs produits en appliquant des normes dites « harmonisées ». Ces nor-mes, établies par des organismes denormalisation européens, sont mises à jour régulièrement et permettentde maintenir un haut niveau de pro-tection sans modification du cadreréglementaire. Ces principes ont doncnaturellement été repris dans cettedirective. ■

ASSOCIATIONLUXEMBOURGEOISE

DES CONSEILS COMPTABLES ET FISCAUX

Les membres de l’ALCOMFI au service des petites

et moyennes entreprises et des professions libérales.

Visitez notre nouveau sitewww.ALCOMFI.lu

ALCOMFI ASBL • BP 477L-2014 Luxembourg

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International

42 • Merkur • Février 2005

L’Euro Info Centre - Luxembourg PME/PMI vous offre, par le biais du bulletin de la Chambre de Commerce, la possibilité de commandergratuitement des recommandations, communications, décisions, directi-ves et règlements européens. Vous trouverez ainsi dans chaque éditiondu Merkur une liste référentielle contenant une sélection de ces textespubliés lors de la période précédant sa parution. De plus, tous les tex-tes législatifs (règlements et directives) publiés pendant cette périodepeuvent être téléchargés à partir du site web de l’Euro Info Centre -Luxembourg PME/PMI où vous trouverez également une panoplied’autres informations intéressantes sur les affaires européennes.

http://www.eicluxembourg.lu(Rubrique «Téléchargements»)Pour obtenir un ou plusieurs des documents listés, il vous suf-

fit de nous retourner le bon de commande en cochant le numérodu document ainsi que la langue de votre choix. Le(s) document(s)souhaité(s) vous sera/seront transmis gratuitement par courrier nor-mal ou par courrier électronique

Textes européens publiés du 15 novembre

2004 – 21 janvier 2005

Bon de commande- à remplir à la machine ou en lettres majuscules -

Entreprise:

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Localité:

Téléphone:

Fax:

E-mail: @

http://

Nous souhaitons recevoir les textes législatifs

suivants:

❏ en français ❏ en allemand ❏ en anglais

❏ autre (à préciser)

❏ 1 ❏ 2 ❏ 3 ❏ 4

❏ 5 ❏ 6 ❏ 7 ❏ 8

❏ 9 ❏ 10 ❏ 11 ❏ 12

❏ 13 ❏ 14 ❏ 15 ❏ 16

❏ 17 ❏ 18 ❏ 19 ❏ 20

❏ 21 ❏ 22 ❏ 23 ❏ 24

❏ 25 ❏ 26 ❏ 27 ❏ 28

❏ 29 ❏ 30

Chambre de Commerce

du Grand-Duché de Luxembourg

Département International – Affaires européennes

Euro Info Centre – Luxembourg PME / PMI

Personnes de contact:

M. Niels Dickens, Mme Anne-Cécile SADOT

7, rue Alcide de Gasperi • Luxembourg /Kirchberg

Adresse postale: L-2981 Luxembourg

Tél.: 42 39 39-333 • Fax: 43 83 26

E-mail: [email protected]

Recommandations publiées du 15 novembre 2004 – 21 janvier 2005

1 2004/787/CE Echantillonnage et détection des OGM

2 2005/11/CE Carte européenne d’armes à feu

Communications publiées du 15 novembre 2004 – 21 janvier 2005

3 2004/C322/02 Reconnaissance mutuelle de diplômes, certificats etc.d’architecture

4 2004/C299/07 Organismes agréés pour les matériels électriques basse tension

5 2004/C287/02 Lignes directrices 2005-2006 relatives aux projets préparatoires «LIFE-Environnement»

6 2004/C278/02 Autorités nationales compétentes pour les produits cosmétiques 2004/C278/03

Décisions publiées du 15 novembre 2004 – 21 janvier 2005

7 C(2004) 4356 Fournitures de denrées alimentaires provenant des stocks d’intervention au bénéfice des personnes les plus démunies de la Communauté

8 C(2004) 4383 Exemption du droit antidumping pour des parties de bicyclettes,levée de la suspension du paiement du droit antidumping pour d’autres parties provenant de Chine

9 2004/777/CE Périodes transitoires pour la carte européenne d’assurance maladie

10 C(2004) 4028 Certificats sanitaires pour l’importation d’animaux et produits animaux de Nouvelle-Zélande

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43 • Merkur • Février 2005

11 2004/830/CE Fin de réexamen pour un droit compensateur définitifsur les importations d’Inde d’antibiotiques à large spectre

12 2004/869/CE Décision sur le traité international sur les ressources phytogénétiquespour l’alimentation et l’agriculture

13 2004/870/CE Décision sur l’accord de coopération entre la communautéeuropéenne et le Pakistan

14 2004/926/CE Mise en œuvre de certaines parties de l’acquis de Schengenpar le Royaume-Uni

Directives publiées du 15 novembre 2004 – 21 janvier 2005

15 2004/106/CE Modification de la directive 77/799/CEE sur les impôts directs,droits d’accises et taxes sur les primes d’assurance

16 2004/113/CE Egalité entre hommes et femmes dans l’accès à des biens et services et leur fourniture

17 2004/115/CE Teneurs maximales en résidus pour certains pesticides

18 2004/114/CE Conditions d’admission des ressortissants d’Etats tiers à des fins d’études, d’échanges d’élèves, de formation non rémunéréeou de volontariat

19 2004/108/CE Compatibilité électromagnétique

20 2004/109/CE Obligation de transparence pour l’information sur les émetteurs devaleurs mobilières admises à négociation sur un marché réglementé

Règlements publiés du 15 novembre 2004 – 21 janvier 2005

21 1966/2004 Droits d’importation dans le secteur des céréales

22 1975/2004 Extension du droit antidumping sur les importations 1976/2004 de feuilles en polyéthylène téréphtalate originaires d’Inde

ou expédiées du Brésil et d’Israël

23 1987/2004 Coefficient de réduction aux certificats de restitutionpour marchandises hors annexe I

24 2000/2004 Transferts entre les limites quantitatives de produits textiles et d’habillement provenant de Corée

25 2001/2004 Prix communautaires à la production et importation d’œillets 2085/2004 et roses de Chypre, Israël, Jordanie, Maroc, Cisjordanie et Gaza2196/2004

3/2005 71/2005

26 2041/2004 Importation de produits sidérurgiques de Russie

27 2070/2004 Transferts entre les limites quantitatives de produits textiles et d’habillement provenant d’Inde

28 2133/2004 Compostage automatique des documents de voyagedes ressortissants de pays tiers

29 2222/2004 Importations de produits sidérurgiques d’Ukraine

30 2252/2004 Normes pour les éléments biométriques et de sécuritédans les passeports

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International

44 • Merkur • Février 2005

B2Fair: La méthode simple pour maximiser votre participation aux foires internationales

Compte tenu de la compé-tition internationale crois-sante, on a constaté ces der-

nières années un net regain d’intérêt des PME et des PMI pour les échan-ges internationaux. Elles commen-cent à comprendre les avantagespotentiels en matière d’achat, devente et de conquêtes de marchés.Par opposition aux grandes entre-prises, les PME et les PMI manquentbien souvent d’un système distinct de gestion des exportations et dumarketing.

Les foires et salons internatio-naux ainsi que les échanges inter-nationaux restent deux canaux pri-vilégiés pour les petites structuresdésirant trouver des partenaires à

l’étranger. La recherche de nou-velles sources d’achat ou associés étrangers est plus souvent un choix spontané qu’une manœuvre stra-tégique.

Et c’est exactement là que le pro-jet B2Fair se positionne, en combi-nant foires/salons internationaux et échanges de coopération, offrantainsi aux entreprises la possibilitéde profiter de ces deux cheminsmenant aux marchés étrangers. Des conseillers professionnels aident les entreprises à identifier, à l’échelleinternationale, des partenaires adé-quats sur base d’un profil répon-dant à des critères spécifiques publiéen ligne.

Le secteur de la métallurgie est particulièrement bien représenté surl’ensemble du territoire européen.De nombreuses entreprises acti-ves dans ce secteur proposent des produits à l’exportation et se sontadaptées aux marchés internatio-naux depuis de nombreuses années.C’est pour ces raisons que l’initiative«B2Fair» s’est focalisée sur le secteur du métal. («metal cluster»)

«B2Fair» repose sur des pilierssûrs, à savoir 5 foires internationa-les de pointe en matière de métal-lurgie:• l’AMB à Stutttgart (D),

• la MIDEST à Paris (F),• la Foire de Hanovre (D),• la HI Industry à Herning (DK) et • la Elmia Subcontractor à Jonkö-

ping (S).Dans ce cadre, les avantages

des deux formes de développe-ment du marché sont combinées: lalarge gamme de produits offerts et le réservoir de contact potentiel des foires, associés à une sélection sur mesure de partenaires potentiels. LesEuro Info Certes ont pour missionde choisir les partenaires potentiels et les rendez-vous sont planifiés demanière personalisée

Prochain rendez-vous:Foire de Hanovre(11-15 avril 2005)La prochaine mise en relation se

déroulera lors de la Foire de Hano-vre les 11 et 12 avril prochains.

Conditions de participation:Les frais de participation à cet

événement de matchmachins s’élè-vent à 90.00 EUR par entreprise pourle premier participant et à 40.00 EURpar participant supplémentaire. Sontcompris dans ce tarif:• un billet d’entrée à la Foire de

Hanovre valable pour les jour-nées du matchmaking,

Pour plus de renseignements : http://www.b2fair.com/english/hannover.asp

Sabrina Sagramola, EIC LuxemburgTél.: +352/42 39 39 334

Fax: +352/43 83 26E-mail: [email protected]

Chambre de Commercedu Grand-Duché de Luxembourg

7, rue Alcide de GasperiL-2981 LUXEMBOURG

Peter Siebert, EIC BerlinTél.: +49/30 399 80 278Fax: +49/30 399 80 239

E-mail: [email protected]

WirtschaftsförderungBerlin International GmbH

Fasanenstr. 85D-10623 BERLIN

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45 • Merkur • Février 2005

• l’organisation de rendez-vousindividuels,

• l’insertion et la publication duprofil de coopération sur le siteweb www.b2fair.com, etwww.hannovermesse.de

• la participation aux séminai-res d’information se déroulantdans le Global Business Forum(Hall 6)

Entreprise:

Nom: Prénom:

Fonction:

Adresse: Code postal, Localité:

Téléphone: Fax:

E-mail: @ http://

Bulletin de demande d’information- A remplir en lettres majuscules -

Je souhaite recevoir un dossier d’information sur le projet «B2Fair»:❏ Oui ❏ Non.

Je souhaite rencontrer un collaborateur de la Chambre de Commerce pour le projet «B2Fair»❏ dans nos locaux ❏ à la Chambre de Commerce.

Euro Info Centre – LuxembourgPersonne de contact: Mme Sabrina Sagramola

7, rue Alcide de Gasperi • L-2981 Luxembourg • Tél.: 42 39 39-333 • Fax: 43 83 26 • E-mail: [email protected]

Schuler Sàrlc/o Carlo WiltgenTél.: 26 30 96-0Fax: 26 30 96 96

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• l’assistance technique avantet pendant toute la durée dumatch-making,

• la participation à la soirée «WiderEurope» se déroulant le 11 avril2005 (Hall 6),

• une recherche prolongée de parte-naires: les entreprises participan-tes feront l’objet d’un suivi profes-sionnel après le match-making.

En transmettant le formulaired’inscription, vous vous engagezà participer à l’événement de mat-chmaking au cours de la Foire deHanovre 2005. Pour assurer la cohé-rence et la qualité des profils decoopération présents, les donnéesde votre entreprise seront validées par l'euro Info Centre de la Cham-bre de Commerce. ■

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46 • Merkur • Février 2005

FormationComment répartir les

en

Les responsables d’action sont généralement des personnes proches du secteur concerné par l’action ou proches du thème de laformationà mettre enplace.

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47 • Merkur • Février 2005

sss

■ Principalesresponsabilitésexercées

Le montage de l’actionLe responsable d’action prend

contact avec le commanditaire. Aidé sinécessaire du responsable formation,il va réaliser l’analyse de la demande,se faire préciser les objectifs finals del’action, faire écrire le cahier d’objec-tifs et rechercher les solutions appli-cables. Si la formation en fait effecti-vement partie, il fera rédiger le cahierdes charges de celle-ci et rechercherale formateur qui assurera la concep-tion de l’action.

Le responsable d’action joue unrôle d’intermédiaire entre le prescrip-teur initial et le spécialiste formation,interne ou externe, qui va concevoir

Les responsables d’action sont des personnes choisies soit parle directeur (si l’action ne con-

cerne qu’une direction), soit par leresponsable formation (si l’action est transversale) pour superviser la réa-lisation d’une «ligne» du plan de for-mation (on peut d’ailleurs les appe-ler «responsable d’une ligne du plan»).Ce sont généralement des personnes proches du secteur concerné par l’ac-tion ou proches du thème de la for-mation à mettre en place. Elles n’ont en général qu’une seule action duplan sous leur responsabilité, ce quidoit leur permettre d’effectuer unsuivi de qualité. Il s’agit d’une missiontemporaire qui dure le temps de l’ac-tion considérée et qui n’occupe pas lapersonne à plein temps. Elle conserveses attributions antérieures.

Les effectifs des services de forma-

tion sont souvent limités. Ces dernières années,

ils ont été régulièrement revus à la baisse. Com-

ment, dans cette hypothèse, assurer l’ensemble

des travaux à mener avec un bon grade de

qualité? Confier à des opérationnels, certains de

ces travaux est une bonne solution. Cette pra-

tique déclenche une adhésion plus forte que si

les décisions n’étaient prises uniquement que par

des fonctionnels.

travauxmatière de formation?

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48 • Merkur • Février 2005

Formationl’action. Il s’assure que toutes les con-ditions sont respectées pour assurer à l’action sa réussite. Si le cahier des charges précise la mise en place d’ungroupe de pilotage pour la concep-tion et le suivi de l’action, c’est leresponsable d’action qui va prendreen charge l’animation de ce groupe.Il peut toujours se faire aider par unspécialiste formation.

Le lancement de la formationet son suivi

Lorsque l’action est montée, il y alieu de constituer le(s) groupe(s) et deveiller à l’organisation matérielle de laou des sessions; c’est le travail du res-ponsable d’action. Il suivra également la réalisation (ouverture des stages,contacts avec le(s) animateur(s), suiviadministratif, contrôle des présences,évaluation à chaud...). En cas de pro-blème, il en informe la ligne hiérarchi-que qui garde la responsabilité primor-diale et le contrôle managérial.

Le suivi de la miseen pratique sur le terrain

La formation terminée, le respon-sable d’action doit porter toute sonattention sur la qualité de l’accueil,assuré par les managers, aux formés à leur retour de formation. Il aideral’encadrement à faire mettre en pra-tique les enseignements reçus. Si desproblèmes se posent, il les renvoievers la hiérarchie supérieure qui fait alors le nécessaire auprès des mana-gers directs du terrain.

A l’occasion d’une formation dis-tribuée dans le temps, le responsabled’action fait la liaison entre les mana-gers et le(s) animateur(s) de forma-tion pour signaler les éventuels pro-blèmes de mise en pratique. Il suitla mise en place d’actions correctivessoit au niveau de la formation, soit auniveau des postes de travail.

Le suivi de la mesure del’atteinte des objectifs

pédagogiqueset des objectifsde formation

Le responsable d’actioncontrôle l’atteinte des objec-tifs pédagogiques. Si l’actionse poursuit, il fait opérer des modifications dans le mon-tage pédagogique.

Il agit de même vis-à-vis des managers chargés de mesurer l’atteinte desobjectifs de formation. Cettemesure est effectuée quel-ques mois après la fin de laformation, lorsque la phasede mise en pratique est ter-minée. Les résultats sontcommuniqués aux différents acteurs du terrain, au hiérar-chique prescripteur et au res-ponsable formation.

La mesurede l’atteintedes objectifsfinals

La mesure de l’atteintedes objectifs finals peut êtredéléguée au responsabled’action par le commandi-

taire qui garde toutefois la respon-sabilité finale de cette mesure. Il laréalise lorsque toute la populationcible a été formée et lorsque l’ensem-ble du plan de changement, associéà la formation, a été exécuté. Lesrésultats sont communiqués au com-manditaire.

■ Les groupesde pilotaged’actionLorsqu’une action de formation

d’envergure est lancée (enjeux impor-tants, vaste population concernée,formation longue et coûteuse etc.) oulorsque la demande émane d’un éche-lon hiérarchique élevé et qu’il n’y apas eu de participation suffisante desmanagers pour entraîner leur mobi-lisation (ce qui est particulièrement vérifié pour les formations «cultured’entreprise»), il est utile de consti-tuer un groupe de pilotage.

ConstitutionLes groupes de pilotage compor-

tent des managers des unités concer-nées par l’action et quelques futurs formés. Leur animateur en est le res-ponsable d’action qui peut être, pourdes actions stratégiques, soit le res-ponsable formation, soit l’un de ses collaborateurs, c’est-à-dire des spé-cialistes de la formation et de la ges-tion du changement.

MissionsLes missions d’un groupe de pilo-

tage d’une action de formation corres-pondent à celles du responsable d’ac-tion. La différence tient au fait que legroupe suit moins le détail des événe-ments, mais il est consulté pour tou-tes les décisions importantes. Il peut même être groupe de décision si leprescripteur en a décidé ainsi.

L’animateur du groupe (souvent le responsable d’action) doit veiller à ce que chaque membre joue bienson rôle de relais entre le groupe et son unité d’appartenance.

Jacques Soyer, consultant indé-pendant, formateur à l’IFCC (site:www.jsconseil.com)

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49 • Merkur • Février 2005

L ’année 2005 sera marquée par la mise en place d’un nouveaupartenariat entre l’IFCC, l’Of-

fice luxembourgeois pour l’accrois-sement de la productivité (OLAP) et la Chambre des Métiers. Conscients du fait que sur un marché de la for-mation continue de plus en plusconcurrentiel, l’offre de formationsdans certains segments est devenueredondante, au risque de désempa-rer les entreprises, l’IFCC, l’OLAP, et la Chambre des Métiers ont décidéde renforcer leurs liens et de don-ner une nouvelle qualité à leur coo-pération.

La plate-forme commune de forma-tions IFCC-OLAP – Chambre des Métiersa été constituée autour des pôles sémi-naires, d’une part, et de workshops enbureautique, d’autre part.

Pour l’année 2005 les trois parte-naires proposent en commun quel-que 88 séminaires qui s’articulentautour des domaines de formationsuivants:• Marketing et commercial• Développement personnel• Droit• Fiscalité

L’IFCC, l’OLAP et la Chambre des Métiers unissent leurs efforts

Lifelong learning

• BureautiqueLe nouveau partenariat IFCC -

OLAP - Chambre des Métiers vise àatteindre les objectifs suivants:• Offrir dans les domaines de for-

mation communs une offre cohé-rente et coordonnée de séminai-res et workshops

• Elargir la gamme des formations proposées tout en évitant lesrecoupements

• Garantir le déroulement de tou-tes les formations annoncées

• Satisfaire au mieux les besoinsdes clientsLes atouts de cette nouvelle

plate-forme sont ceux de ses troispartenaires:• Qualité des formations offertes

procurant une réelle valeur ajou-tée aux clients

• Longue expérience au plan del’organisation d’actions de forma-tion professionnelle continue

• Capital de confiance auprès deleurs clients, en particulier lesPME

• Infrastructures modernes bienéquipées à la pointe du progrès technologique

Le programme de formation 2005proposé par les trois partenaires est disponible auprès de l’IFCC (www.ifcc.lu), de l’OLAP (www.olap.lu),et de la Chambre des Métiers (www.cdm.lu).

Dans un contexte d’exigenceaccrue de la clientèle ainsi que dela rapide et constante transforma-tion des savoirs et compétences, les trois partenaires encouragent lesentreprises à utiliser la formationcontinue comme moyen de déve-loppement et de compétitivité, carc’est par la performance des hom-mes que l’entreprise construira saréussite de demain.

Photo (de gaucheà droite): M. JeanJunck, membredu comité dedirection del’IFCC; M. PaulEmering, prési-dent de l’OLAP; M. ChristianWeiland, chargéde direction del’OLAP; M. PaulEnsch, directeur de la Chambredes Métiers et M. Paul Krier,conseiller dedirection auprès de la Chambredes Métiers

L ’IFCC, en étroite collaborationavec la société de consultanceDeloitte, organisera le jeudi 17

février 2005 à 15.45 heures au Cen-tre de Conférences de la Chambre deCommerce, 7, rue Alcide de Gasperi,Luxembourg-Kirchberg une séanced’information «IFRS - les enjeux des

Séance d’information: IFRS - les enjeux des normes comptables internationales pour les PME

17 février 2005

normes comptables internationalespour les PME».

Suite aux dispositions du règle-ment européen 1606/2002, le Par-lement Européen et le Conseil del’Union Européenne ont instauré uneobligation pour les sociétés cotées depréparer leurs comptes consolidés en

normes IFRS (International FinancialReporting Standards) à partir du 1er

janvier 2005.Le gouvernement luxembour-

geois s’est mis au travail et plusieurs projets de loi sont actuellement àl’étude pour assurer progressivementl’introduction des normes compta-

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50 • Merkur • Février 2005

Formationbles internationales dans la législa-tion nationale. Si les premiers con-cernés sont le secteur bancaire et les grands groupes, les discussions vont désormais s’orienter vers les sociétés non cotées.

Qu’en est-il donc des petites etmoyennes entreprises?

L’objectif de cette séance d’in-formation consiste à présenter auxdirigeants des PME/PMI un aperçu des développements actuels concer-nant l’introduction des règles IFRS auLuxembourg.

Programme15.45 heures:

Accueil des participants16.00 heures:

Mot de bienvenue,

Renseignements et inscriptions:Institut de Formation de la Chambre de Commerce,

Personne de contact: Doris Thilges, tél.: (+352) 423939-220,fax: (+352) 423939-820, e-mail: [email protected], site Internet: www.ifcc.lu

M. Paul EMERING,Chargé de direction de l’IFCC

16.05 heures:Développements législatifs au Luxembourg,M. Georges KIOES,Partner Cellule IFRS DELOITTE,Président de la Commission DroitComptable auprès de l’Ordre desExperts Comptables (OEC)

16.40 heures:IFRS et PME – mariage,concubinage ou vie séparée?M. Laurent DECAEN,

Directeur Technique de la CelluleIFRS de DELOITTE

17.25 heures:Introduction des normes IFRS –les enjeux fiscaux, Mme SonjaLINZ, Partner fiscal DELOITTEMembre du groupe de travail IFRSauprès de l’Union des EntreprisesLuxembourgeoises (UEL)

18.00 heures:Verre de l’amitié offertpar l’IFCC

IFCC

Lancement de la 2e promotion de la formationen «Management des ressources humaines»

Intitulé Durée

Module 1 La mise en place de la fonction ressources humaines dans l’entre- 20 heures

Module 2 La planification stratégique 20 heures

Module 3 Le processus de recrutement, de sélection et d’intégration 20 heures

Module 4 L’appréciation des ressources humaines 20 heures

Module 5 La politique de rétribution 20 heures

L’Institut de Formation de laChambre de Commerce (IFCC),en collaboration avec son par-

tenaire académique l’Institut Com-mercial de Nancy (ICN), Ecole deManagement, ainsi que les sociétés de consultance Deloitte et Pricewate-rhouseCoopers, lancera le 26 février

humaines de son entreprise. Elle cibleles directeurs et responsables des res-sources humaines, ainsi que les diri-geants de PME/PMI.

Le programme de formation estcomposé de 5 modules qui visent au-delà de l’acquisition du seul savoir, lesavoir-faire du participant.

ples et variés: une documentation étof-fée, des études de cas avec correction,des jeux de rôle, ainsi que des mises en situation.

Le mode d’évaluation prévu per-met de mesurer de manière très con-crète l’efficacité de la formation et devérifier la transformation des acquis encompétences opérationnelles. Il com-prend une évaluation en continue et la présentation d’un mémoire profes-sionnel auprès d’un jury composé dereprésentants de l’Institut de Formationde la Chambre de Commerce, de l’ICNEcole de Management, de Deloitte et de PricewaterhouseCoopers.

La réussite au contrôle des com-pétences acquises est sanctionnée par un certificat de compétence profes-sionnelle en «Management des ressour-ces humaines» émis par l’ICN Ecole deManagement et l’Institut de Formationde la Chambre de Commerce.

La formation d’une durée de 10jours commencera le 26 février 2005 et

2005 la 2e promotion de la formation«Management des ressources humai-nes».

La formation a comme objectif detransmettre au participant les compé-tences nécessaires afin de mettre enplace, de développer ou de perfec-tionner le management des ressources

L’approche pédagogique pragma-tique de cette formation permet dedépasser le stade de la simple trans-mission de connaissances et d’attein-dre celui de l’application des concepts enseignés dans le concret de l’activitéprofessionnelle des participants. Ellemet en œuvre des instruments multi-

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52 • Merkur • Février 2005

Formations’étalera sur 4 mois. Les cours ont lieu en fin de semaine, à savoir du jeudi

au samedi. Le candidat peut s’inscrireau module répondant à ses préoccu-

pations professionnelles du momentou bien au cycle entier.

Afin de préserver un degré d’inte-ractivité élevé, le nombre de partici-pants prévus pour la session 2005 est limité en principe à 15 personnes.

Renseignements et inscriptions:Institut de Formation de la Chambre de Commerce,

Personne de contact: Eliane Theis, tél.: (+352) 423939-220,fax: (+352) 423939-820, e-mail: [email protected], site Internet: www.ifcc.lu

La loi du 24 décembre 1999relative aux conseillers à lasécurité a transposé en droit

luxembourgeois la directive 96/35/CEdu Conseil du 3 juin 1996 concernantla désignation ainsi que la qualifica-tion professionnelle de conseillersà la sécurité pour le transport parroute, par rail ou par voie navigablede marchandises dangereuses.

A l’article 1er de cette loi il est sti-pulé que «les entreprises qui sont éta-blies au Luxembourg, et dont l’activitécomporte le transport de marchandi-ses dangereuses par route, par rail oupar voie navigable ou les opérations de chargement et de déchargement liées à ces transports, doivent dési-gner un ou plusieurs conseillers à lasécurité pour le transport de mar-chandises dangereuses».

Les services de contrôle duMinistère des Transports, qui estl’autorité compétente en la matière

Formation pour conseillers à la sécuritépour le transport de marchandises dangereuses

IFCC

Des détails concernant le programme, le déroulement ainsi que les modalités d’inscription du prochain cycle, qui débutera le 1er mars

prochain, peuvent être demandés au secrétariat de l’IFCC(tél.: 42 39 39–220) et sont disponibles sur Internet sous www.ifcc.lu.

au Grand-Duché de Luxembourg,interprètent cette disposition en cesens que non seulement les entre-prises de transports pour compte detiers, mais également les entreprisesindustrielles et commerciales quifont le transport de marchandises dangereuses, ainsi que les opéra-tions accessoires pour compte pro-pre, tombent sous le champ d’ap-plication de cette loi.

La mission du conseiller est défi-nie à l’article 2 de la façon suivante«Le conseiller à la sécurité a, sous laresponsabilité du chef d’entreprise,pour mission d’aider la préventiondes risques pour les personnes, les biens ou l’environnement inhérents aux activités dont question à l’arti-cle 1er. Sa tâche essentielle consiste àrechercher tout moyen et à promou-voir toute action en vue de faciliter l’exécution des activités de transport ou de chargement et de décharge-ment de marchandises dangereuses visées à l’article 1er dans le respect des réglementations applicables etdans des conditions optimales desécurité. Les fonctions inhérentes àcette mission sont déterminées parrèglement grand-ducal.»

Enfin, en ce qui concerne la quali-fication du conseiller, il est dit à l’arti-cle 5 que «tout conseiller à la sécuritéqu’il s’agisse d’un membre du person-nel d’une des entreprises mentionnéesà l’article 1er ou du chef d’entrepriselui-même, doit être titulaire d’un certi-ficat de formation qui est délivré par leministre après attestation de la réussitepar l’intéressé à un examen.»

Les cours de formation prépa-ratoires à l’examen précité dont lecontenu et le déroulement sont régis par le règlement grand-ducal du 24décembre 1999 relatif aux fonctions et au certificat de formation du con-seiller à la sécurité pour le transport par route, par rail ou par voie navi-gable de marchandises dangereuses sont organisés par l’Institut de For-mation de la Chambre de Commerce(IFCC).

Dans le but de tenir compte des spécificités en la matière dans lesentreprises, trois types de forma-tion sont proposés, qui prévoientchaque fois une partie générale etune partie spécifique pour les sec-teurs du transport par route, par railet par voie navigable.

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54 • Merkur • Février 2005

Innovation13 décembre 2004

20 bougies pour Luxinnovation!

Le 13 décembre dernier, Luxin-novation, l’Agence nationalepour la promotion de l’inno-

vation et de la recherche a fêté ses 20 années d’existence au service des entreprises, organismes de rechercheet porteurs de projets innovants.

L’événement s’est tenu dans les locaux de la Chambre de Commerce,en présence des Ministres JeannotKrecké et François Biltgen et de plus de 300 acteurs de l’innovation et dela R&D au Luxembourg.

Après avoir brièvement rappelél’enchaînement des réflexions qui ontdébouché sur la création de Luxinno-vation en 1984, son Président, MarcoWalentiny, a porté à la connaissancedu public quelques chiffres témoins de l’intense activité menée par Luxin-novation:• en 2004, M. Walentiny a relevé

des contacts avec quelque 280entreprises dont 70 % étaient des PME;

• les 3 grappes technologiques ani-mées par Luxinnovation regrou-pent plus de 50 entreprises dans les domaines des traitements desurfaces et nouveaux matériaux (SurfMat), des nouvelles techno-logies de l’information et de lacommunication (InfoCom), etdes technologies aérospatiales(AéroSpace);

• le Portail luxembourgeois del’innovation et de la recherche(www.innovation.public.lu) mis en place et animé par Luxinno-vation, compte à ce jour près de700 membres.Le Ministre Jeannot Krecké, qui

a la responsabilité de la politiquede recherche, de développement et d’innovation dans le secteur privé, asouhaité que «Luxinnovation puissecontribuer à amener le Luxembourgvers une économie de la connais-sance, compétitive et dynamique,notamment en stimulant les capaci-tés d’innovation des entreprises lux-embourgeoises et plus particulière-ment des PME».

Pour sa part, le Ministre François Biltgen qui a dans ses attributions larecherche scientifique et la recher-che appliquée, a quant à lui insistésur le fait que Luxinnovation devra«poursuivre ses efforts en faveur de lamise en place de partenariats entreles laboratoires des Centres de Recher-che Publics et de l’Université du Lux-embourg, et les entreprises et inciter les ingénieurs et chercheurs luxem-bourgeois à s’investir davantage dansla collaboration internationale».

Enfin, Robert Dennewald, inter-venu en sa qualité de Président de lasociété Chaux de Contern, a témoi-

gné de ses expériences et de ses vuesd’entrepreneur en matière d’inno-vation et de R&D. Il a par ailleursrelevé plusieurs projets de son entre-prise qui ont été accompagnés parLuxinnovation.

Il a exhorté les entreprises luxem-bourgeoises à prendre part à des ini-tiatives telles que celles des grap-pes technologiques, grâce auxquellesdeux de ses projets ont vu le jour:«… Ouvrons nos entreprises à des par-tenariats. Des partenariats entre soci-étés privées, des partenariats avec les structures de recherche publiques et soyons aussi ouverts à des partenari-ats transfrontaliers. L’infrastructureofferte par Luxinnovation a fait sespreuves et offre une excellente plate-forme d’échange et de rencontre».

Les différentes intervenants ontconfirmé combien Luxinnovationassume aujourd’hui pleinement sonrôle de «1er point de contact innova-tion et recherche» défini lors de sacréation. Ils ont reconnu également que l’Agence a su donner une impul-sion indéniable à la recherche et pro-mouvoir les compétences de notrepays. La soirée s’est poursuivie par une réception offerte par Luxinno-vation aux plus de 300 invités pré-sents.

Pour plus d’informations, prière de contacter Mme Caroline LELEU,e-mail: [email protected] , tél.:+352 43 62 63-1

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55 • Merkur • Février 2005

Le Portail luxembourgeois del’innovation et de la recher-che (www.innovation.public.

lu) a été réalisé dans le cadre du pland’action eLëtzebuerg pour offrir uneporte d’entrée électronique entière-ment consacrée aux activités d’in-novation et de recherche-dévelop-pement (R&D). Cet outil proposedepuis un an et demi de multiplesservices gratuits dont une lettre dediffusion hebdomadaire personna-lisée.Pour répondre au mieux à vos atten-tes en termes d’information et d’ac-compagnement dans vos activités d’innovation et de recherche, www.innovation.public.lu a été agrémentétout au long de l’année 2004 de nou-veaux développements éditoriaux et informatiques.

Le contenu du Portail a fait l’ob-jet de mises à jour et d’enrichisse-ments quotidiens. Dans les 5 rubri-ques les plus fréquentées à ce jour,les visiteurs ont consulté sur l’an-née 2004:• une moyenne de plus de 2600

annonces dans le Marché destechnologies;

• un total de près de 400 annoncesdans l’Agenda de l’innovation;

• près de 125 articles A la une;• les données de 75 entreprises/

centres de recherche dans leRépertoire des compétences tech-nologiques

• et plus de 80 textes (Etudes etavis, Formulaires, Périodiques,Rapports, Statistiques, Textes deloi de référence) dans les Publi-cations.L’amélioration de l’ergonomie et

des outils existants a été le deuxième

Internet

2004: une annéeriche en nouveautés pourles utilisateurs de www.innovation.public.lu

point d’orgue de l’année passée. Les utilisateurs bénéficient désormaisnotamment:• de la possibilité de télécharger

des documents depuis la majo-rité des rubriques;

• d’une rubrique Archives dans Ala une;

• et de moteurs de recherche opti-misés.Et bientôt de nouveaux déve-

loppements supplémentaires seront implémentés pour satisfaire lesbesoins des utilisateurs!

■ Nouvel habillagegraphiquepour la lettrede diffusionAujourd’hui, la majorité des 700

membres souhaite recevoir la lettrede diffusion personnalisée. Son gra-phisme et son organisation ont égale-ment été retravaillés pour faciliter salecture. Pour la recevoir, cliquez sur Espace membres > Inscription gra-tuite sur www.innovation.public.lu.

Sa valeur ajoutée réside dans laprise en compte des domaines tech-nologiques et des rubriques choisis par le membre lors de son inscrip-tion gratuite. L’envoi sélectif desnouveautés et des mises à jour pu-bliées chaque semaine dépend ainsidirectement des domaines technolo-giques et des rubriques «Agenda del’innovation», «Répertoire des com-

pétences technologiques», «Appels»,«Marché des technologies» cochés.

Le nouveau graphisme de lalettre de diffusion en version toutHTML propose désormais en plus:• une mise en page colorée

accueillant la «Une» du jour;• un classement par rubriques et

sous rubriques pour une lectureen un coup d’œil des nouveau-tés;

• un accès direct à la Rechercheavancée du Portail pour aller plusloin.Pour recevoir chaque vendredi

en français ou en anglais votre let-tre de diffusion personnalisée dewww.innovation.public.lu, remplis-sez simplement le formulaire de larubrique Espace membre > Inscrip-tion gratuite! ■

Pour plus d’informations,prière de contacter Mme Marie SOUCIET,

e-mail [email protected],tél.: +352 43 62 63-1.

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56 • Merkur • Février 2005

InnovationProgramme LEONARDO DA VINCI II

Appel national à propositions 2005:mesure «mobilité»

La Décision du Conseil del’Union européenne du 26avril 1999 établit la deuxième

phase du programme d’action com-munautaire en matière de formationprofessionnelle Leonardo da Vinci(2002-2006).

Leonardo da Vinci II a pour but de rehausser la qualité, l’innovationet la dimension européenne des sys-tèmes et des pratiques de formationprofessionnelle au moyen d’unecoopération transnationale.

Le Programme poursuit trois ob-jectifs:• Objectif 1: renforcer les aptitu-

des et les compétences des per-sonnes, surtout des jeunes, sui-vant une première formationprofessionnelle quel qu’en soitle niveau, en vue de faciliter leur insertion et leur réinsertion pro-fessionnelles;

• Objectif 2: améliorer la qualitéde et l’accès à la formation pro-fessionnelle continue et l’acqui-sition d’aptitudes et de compé-tences tout au long de la vie;

• Objectif 3: promouvoir et renfor-cer la contribution de la forma-tion professionnelle au processusd’innovation afin d’améliorer lacompétitivité et l’esprit d’entre-prise, notamment en vue de créerde nouvelles possibilités d’em-ploi.

Priorités retenues pour l’appel àpropositions 2005:

Dans le cadre du présent appelà propositions, la priorité sera don-née aux projets faisant clairementétat des éléments suivants:• la préparation linguistique et cul-

turelle;• les objectifs, le contenu et la

durée du placement;

• l’encadrement pédagogique, lesdispositifs de soutien et le tutorat;

• la validation des compétencesacquises durant la période de for-mation.

La mesure «mobilité»L’appel à propositions 2005

concerne uniquement la mesure«mobilité» du programme qui apour objet de soutenir les projetstransnationaux de placement oud’échanges de personnes suivantune formation professionnelle.Cette mesure concerne plusieursgroupes cibles:• les jeunes en formation initiale

ou en voie d’insertion;• les travailleurs;• les étudiants de l’enseignement

supérieur;• les formateurs ou responsables

des ressources humaines et dela formation;

• ainsi que les spécialistes en lan-gues.Des informations supplémentai-

res concernant la mesure «mobilité»figurent sur les pages web consa-crées au programme Leonardo daVinci II à l’adresse suivante:

http://europa.eu.int/comm/edu-cation/programmes/leonardo/new/leonardo2_fr.html

Qui peut présenter un projet?L’accès au présent programme

est ouvert à l’ensemble des organis-

mes et institutions, publics et privés,intervenant dans les actions de for-mation professionnelle, notamment:• les établissements, centres et

organismes de formation pro-fessionnelle de tous les niveaux,y compris les universités;

• les centres et organismes derecherche;

• les entreprises;• les organisations professionnel-

les;• les partenaires sociaux;• les collectivités et organismes ter-

ritoriaux;• les associations sans but lucratif,

les organismes bénévoles et les organisations non gouvernemen-tales.

Date limite de dépôt des candidatures

Il s’agit d’un appel ouvert qui necomporte pas de date limite pour lasoumission des propositions de pro-jet. Toutefois, les experts indépen-dants ne procèdent à une évalua-tion que tous les deux mois. De cefait, les deux 1ères dates limite pourla soumission des propositions deprojet sont fixées aux 11 février et13 avril 2005.

Procédure de soumissionLes promoteurs sont invités à

contacter les Agences compétentesafin de prendre connaissance descritères d’éligibilité et des démarches

Personnes de contact:

Pour les projets transnationaux de mobilité pour étudiantset diplômés universitaires ou de l’enseignement supérieur:

LUXINNOVATION GIE,Mme Delphine DUSSAIN,

[email protected],tél.: +352 43 62 63 1.

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57 • Merkur • Février 2005

Pour les projets transnationaux de mobilitépour des personnes en formation initiale ou continue,

diplômés récents non universitaires,travailleurs et formateurs: FOPROGEST asbl,

Agence Nationale LEONARDO da VINCI Lëtzebuerg,Mme Nathalie SCHIRTZ,

[email protected],tél.: +352 22 02 68.

à respecter. Les propositions sont àrenvoyer à l’Agence Nationale Leo-nardo da Vinci ou à l’agence techni-que Luxinnovation GIE (en fonctiondu groupe cible visé).

(Communiqué par l’Agence Na-tionale LEONARDO da VINCI Lëtze-buerg) ■

6ème PCRD

TIC, nanotechnologies et matériaux avancés:1 620 millions EUR pour la R&D

La Commission européennea publié fin novembre 2004le 4ème appel à propositions

pour des projets dans le domainedes Technologies de l’informationet des communications, et débutdécembre 2004, le 4ème appel dansle domaine des nanotechnologieset matériaux avancés. Dotés de très gros budgets ces deux appels seront l’une des dernières chances pour les acteurs luxembourgeois de partici-per à des projets communautaires«6ème PCRD».

La Commission européenne adéfini les lignes d’action sur lesquel-les devront porter les projets pré-sentés dans le cadre de cet appel.Des programmes de travail détaillés sont disponibles. A titre d’informa-tion, voici quelques-uns des grands titres des actions couvertes:• Dans le domaine des Techno-

logies de l’Information: Nano-electronics, Broadband for All,Mobile and Wireless Systems andPlatforms Beyond 3G, Networ-ked Audio Visual Systems andHome Platforms, Semantic-basedKnowledge and Content Sys-tems…

• Dans le domaine des Nano-technologies, matériaux avan-cés: Technologies associated withthe production, Transformation

and processing of knowledge-based multifunctional Materials,Development of new processes and flexible, Intelligent manu-facturing systems, Technologies associated with the production,transformation and processing ofknowledge-based multifunctionalmaterials…Une participation à des pro-

grammes de recherche internatio-naux permet de se positionner, avecles autres membres du consortium,à l’avant-garde de l’innovation sur leplan européen. En effet, la recher-che internationale facilite l’accès à

de nouvelles technologies, à deséquipements de pointe ainsi que ledéveloppement de nouvelles partsde marchés.

Les acteurs luxembourgeois sont invités à participer à ces appels enprivilégiant la coopération entre lesecteur public et le secteur privé. Celien sera l’une des clés qui permettraau Luxembourg de rester un acteur reconnu dans les projets de recher-che communautaire.

Les conseillers de Luxinnovationse tiennent à votre disposition pour apporter leur expertise dans le mon-tage des propositions. ■

Pour plus d’informations, prière de contacter M. Jean-Michel LUDWIG,e-mail: [email protected], tél.: +352 43 62 63-1.

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58 • Merkur • Février 2005

Innovation

L ’innovation et la recherche sontun des objectifs majeurs de laPrésidence luxembourgeoise

du Conseil de l’Union européenne.En effet, la stratégie de Lisbonne et la volonté de créer un espace euro-

péen de la connaissance confèrentà l’innovation et à la recherche unrôle prépondérant pour l’Union euro-péenne.

C’est dans cette optique queCORDIS (service officiel d’informa-

tion de l’Union européenne sur larecherche et le développement), amis en ligne le site d’informationsur la recherche et l’innovation dela Présidence luxembourgeoise:www.cordis.lu/luxembourg.

Portail luxembourgeois de l’innovation et de la recherche

Plus de 2 700 annonces de technologies en ligne!

Vous recherchez ou possédezune technologie spécifiqueet innovante? Faites-le savoir

dans le Marché des Technologiesdu Portail luxembourgeois de l’in-novation et de la recherche:www.innovation.public.lu.

Cette rubrique propose plus de2 700 annonces d’offres de technolo-gies, de demandes de technologies etde recherches de partenaires techni-ques en Europe. Mises à jour quoti-diennement, les annonces provien-nent notamment du réseau des IRC(Innovation Relay Centres) et du 6e

PCRD (Programme-Cadre européende Recherche et Développement).

Voici deux extraits d’annoncesdu réseau IRC:

Offre de technologie: Dévelop-pement d’un système de bioréacteur pour l’épuration des sources d’eau

Un institut slovaque a déve-loppé un système de bio-réacteurpour l’épuration des sources d’eau.Ce système utilise des isolats bacté-riens adéquats, à savoir des grou-pements de microorganismes obte-nus à partir de la zone contaminée.Les propriétés des levures sont pra-tiques en particulier pour enleverles phénols et les substances organi-ques des eaux usées. L’institut envi-sage un accord de licence et/ou unejoint venture.

Mots clés: biochimie/biophysi-que; ingénierie environnementale;pollution de l’eau/traitement

Date limite: 21 décembre 2005Titre en anglais: Development

of a bioreactor system with immobil-ised microbial degraders of crudeoil substances and phenol-type pol-lutants

Offre de technologie: Collec-teur de données et de signaux aveccommunication sans fil «Bluetooth»

Un centre de R&D suédois adéveloppé un collecteur de données robuste avec communication sans filBluetooth utilisable pour des applica-

tions industrielles. Fonctionnant jus-qu’à une distance de 100 mètres d’unPC ou PDA, l’unité est capable destocker jusqu’à 256 000 échantillons avec une résolution de 14 bits. Saconception physique comporte uneprotection environnementale IP65.

Le centre recherche des parte-naires pour le développement com-mercial de la technologie, le marke-ting, une coopération technique ou un accord de licence. Il peut offrirune formation professionnelle sur latechnologie Bluetooth.

Mots clés: technologies Inter-net/communication (Wireless, Wi-Fi, Bluetooth); IT et applications télé-matiques

Date limite: 20 décembre 2005Titre en anglais: Signal and data

logger with wireless Bluetooth com-munication ■

Pour plus d’informations, prièrede contacter

M. Bertrand DESSART,bertrand [email protected],

tél.: +352 43 62 63-1

www.cordis.lu/luxembourg

La Présidence luxembourgeoise met en ligneun site d’information sur la recherche et l’innovation

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59 • Merkur • Février 2005

Ce site est consultable pendanttoute la durée de la Présidenceluxembourgeoise, du 1er janvier au30 juin 2005.

www.cordis.lu/luxembourgexpose les priorités de la Présidenceluxembourgeoise en matière d’inno-vation et de recherche, qui incluent notamment:• l’EERI (Espace Européen de la

Recherche et de l’Innovation);• le 7ème PCRD (Programme-Cadre

européen de Recherche et Déve-loppement);

• les nanotechnologies;• le futur Programme Spatial Euro-

péen;• la mobilité et le statut des cher-

cheurs.Le site présente également l’ac-

tualité de la Présidence en matièred’innovation et de recherche, les acti-vités et les informations du Luxem-bourg en la matière et annonce les évènements importants à venir. Il

réunit tous les contacts et liens vers les principaux acteurs de l’innovationet de la R&D au Luxembourg.

Le site, conçu et développé con-jointement par CORDIS, Luxinno-vation (l’Agence nationale pour lapromotion de l’innovation et de la

recherche) et le Ministère de la Cul-ture, de l’Enseignement supérieuret de la Recherche, est disponibleen anglais, français et allemand. Ilest un outil majeur non seule-ment pour les chercheurs et déci-deurs politiques mais égalementpour toute la communauté scienti-fique européenne, les petites entre-prises et toute personne intéressée parla recherche et l’innovation .

Pour en savoir plus, consultez le site www.cordis.lu/luxembourg ou contactez Mme Caroline LELEU, e-mail: [email protected],

tél.: +352 43 62 63-1

IUIL

Lancement du site www.businessplan.lu

Www.businessplan.lu est unenouvelle plateforme élec-tronique qui permet aux

futurs créateurs d’entreprise de réa-liser en ligne un plan d’affaires per-sonnalisé et adapté aux spécificités de l’environnement luxembourgeois.Dans le processus de création d’uneentreprise, le plan d’affaires détient en effet une importance cruciale: ilanalyse la pertinence et le besoin du concept commercial élaboré et inter-vient directement dans le processus de décision des investisseurs finan-ciers (institutions bancaires, JointVentures, investisseurs étrangers,subsides et aides financières,…).

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60 • Merkur • Février 2005

InnovationLa spécificité locale

Une des spécificités de cette nou-velle plateforme virtuelle est d’êtreadaptée à l’environnement écono-mique, financier et juridique luxem-bourgeois. Le marché luxembour-geois est un marché à part entièredont les petites et moyennes entre-prises constituent le moteur. La miseà disposition d’outils pragmatiques etperformants permettant la concréti-sation d’une idée commerciale origi-nale et novatrice est importante pourdévelopper les activités commercia-les au niveau national.

L’utilisation interactiveLa plateforme électronique offre

la possibilité d’entrer en contact avecun expert professionnel en matièrede plans d’affaires et de créationd’entreprise. L’utilisateur peut ainsicréer en ligne son plan d’affaires et

le soumettre aussitôt à un consultant externe pour avis. Le coaching réelcomplète ainsi le coaching en ligneoffert par les outils virtuels du site.

L’accompagnement pédagogiqueL’aspect pédagogique de la pla-

teforme électronique sera développédans une deuxième phase par uneoffre de formations spécifiques quipourront être suivies en parallèle àl’utilisation virtuelle du site. L’appren-tissage en ligne est ainsi complétépar un apprentissage réel de face àface via l’intermédiaire de séminaires,de conférences ou d’autres types deformations professionnelles.

Dans une deuxième phase, www.businessplan.lu sera également uti-lisé comme instrument pédagogi-que dans le cadre d’un projet deformations managériales en parte-nariat avec l’Université du Luxem-

bourg et des universités de la GrandeRégion.

Les étapes et servicesLes instruments mis à disposi-

tion à www.businessplan.lu pren-nent en considération toutes lesdifférentes étapes d’un plan d’affai-res tels que l’analyse stratégique del’environnement, le plan marketing(public cible, politique de prix, cou-verture géographique), le plan deproduction et de vente, la planifica-tion financière et l’analyse et la ges-tion des risques. Le site offre égale-ment une variété de services virtuels qui aident le futur créateur d’entre-prise à réaliser son plan d’affaires:simulations, best cases et télécharge-ment de plans d’affaires d’entreprisesexistantes, forum, etc

Plus d’informations: www.businessplan.lu

Esprit d’entreprises

Lancement d’un réseau Business Angel au Grand-Duché

Depuis novembre 2004, latoute nouvelle asbl LBANpour Luxembourg Busi-

ness Angel Network, a élu domicilechez First Tuesday Luxembourg à laChambre de Commerce de Luxem-bourg. L’objectif principal de LBANest de créer un forum destiné à ras-sembler des entrepreneurs en quêtede capitaux et les Business Angels ausein du Luxembourg et de la Granderégion. «Nous avons créé LBAN pour réunir des hommes d’affaires expéri-mentés et des start-ups de manière àpouvoir investir du temps et de l’ar-gent en aidant des idées businesspotentiellement porteuses à péné-trer le marché», souligne Karl Hors-burgh, Chairman LBAN.

Le Luxembourg n’avait pas jus-qu’ici un réseau public de Business Angels actif. Traditionnellement,les investissements dépendaientdes personnes que l’on connaissait.Mais le monde des affaires change.Au Luxembourg, de plus en plus depersonnes répondent au profil duBusiness Angel. L’intérêt a donc étégrand et tant le Ministère de l’Eco-nomie, la Chambre de Commercede Luxembourg y compris 1, 2, 3Go et LuxInnovation, que le centred’incubation Centre de RechercheHenri Tudor, n’ont pas caché leurenthousiasme.

Un Business Angel est une per-sonne privée qui investit dans unestart-up ou un entrepreneur et par-

tage son expérience personnelle(gestion d’affaires) avec ce parte-naire.

Quant au réseau BAN, il s’agitd’une organisation qui vise à ras-sembler des entreprises petites etmoyennes nouvelles ou en déve-loppement et des Business Angels.Cela permet ainsi d’accroître l’effi-cacité du segment de capital à ris-que privé et à combler l’écart entreles fonds propres de l’entrepreneur et ceux qui sont disponibles auprès de venture capitalists gouvernemen-taux. Pour en savoir plus: tél.: +352 40 40 34 455, e-mail: [email protected],site web: www.lban.lu.

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61 • Merkur • Février 2005

For 2005, the “Small BusinessConnecting” events of the Bri-tish Chamber of Commerce

will focus upon the financial aspects of starting and running a small busi-ness in Luxembourg. The BCC willhave experts from the LuxembourgChambre of Commerce, the bankingsector, and a range of other publicand private agencies to present rele-vant information of use to personswho are doing, or want to do busi-ness in Luxembourg.

For the first event in February, theBCC plans to present information onwhat is required in a business planand to provide details on where toget help in preparing or updatingyour business plan. The confirmedspeakers are as follows:

• Guy Koster, Chef du Services Entre-prises, Banque Générale du Luxem-bourg

• Andreas Bladt, Responsable, SectorEntrepreneurial, Institut Universi-taire International de Luxembourg

• Christiane Mangen, Department for Creation and Development of Enter-prises, Chambre de Commerce The planned program of events

is as follows:• Introduction• Three-part Briefing• Questions and Answers• Networking Session with Drink

offered by the SBFG Questions may also be submit-

ted in advance by e-mail to the BCCSecretariat. Follow-up questions willbe welcomed on the evening. The

members of the Small BusinessesFocus Group look forward to seeingyou there and will be available toanswer questions or discuss ideasfor future events.

For your agenda:• Part Two – Obtaining Financing, 29

June 2005• Part Three – Keeping the Books, 26

October 2005

23th february 2005

Small Business Financial Affairs:Part One, The Business Plan

To register,please contact

the Chamber Secretariaton tel: 465 466,fax: 22 03 84,

or e-mail [email protected].

Le succès de la stratégie deLisbonne dépend non seule-ment des investissements en

technologies, mais surtout de l’ap-plication intelligente de ces techno-logies. Leurs impacts sur de nouvel-les idées de produits, de serviceset de procédés de travail effica-ces constituent les facteurs déter-minants pour la compétitivité denotre industrie.

La contribution de ces techno-logies en tant que levier à l’évolu-tion et la performance des processus industriels et d’affaires est directe-ment corrélée à la capacité des res-sources humaines de notre pays à les

transformer en potentiel de producti-vité, de créativité et d’innovation.

Le fondement de la prospéritéd’une nation réside donc dans la dis-ponibilité d’une main-d’œuvre qua-lifiée et compétente, ayant non seu-lement accès, mais utilisant et ayant intégré les compétences liées aupotentiel de ces technologies. Pour se faire, des efforts doivent être réa-lisés pour augmenter la performancedes investissements dans l’éducationet la formation.

Le projet Innosertion, mené auCentre de Recherche Public HenriTudor dans le cadre du programmeFSE Objectif 3 (2001/2004), fait partie

de ces efforts en mettant en œuvreun dispositif d’anticipation et d’éva-luation des compétences TIC parmétier. Ce projet a été accompagnéet soutenu par un ensemble de parte-naires qui ont participé à l’orientationpermanente du projet: l’Administra-tion de l’Emploi, l’APSI (Associationdes Professionnels des Systèmes d’In-formation), la Chambre de Com-merce, la Chambre des Employés Privés, Chambre des Métiers et laChambre de Travail.

L’objectif principal du projet est de mettre en évidence les futursbesoins en compétences TIC, parmétier, à partir desquels des recom-

23 février 2005

Maîtriser les besoins de compétences TIC:le projet de recherche INNOSERTION

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62 • Merkur • Février 2005

Innovation

Si les résultats du projet Innosertion vous

intéressent,une rencontre est prévue

le 23 février 2005au Centre de RecherchePublic Henri Tudor de

16h à19h.Pour toute inscription,vous pouvez contacter le site www.spiral.lurubrique Rencontres

Mensuellesou contacter Claire

Merche([email protected] .

ou 42 59 91 333).

mandations de formations sont for-mulées aux organismes de formation.En support, une plate-forme Internet (www.innosertion.lu) a été dévelop-pée sur laquelle chacun (citoyens,étudiants, salariés et demandeursd’emploi) peut évaluer son niveaude compétences TIC. Il s’agit doncde construire un lien permanententre les besoins des entreprises et les orientations du système éduca-tif, tout en permettant aux individus de mettre à jour leur niveau de com-pétences TIC par rapport aux évolu-tions pour éviter l’exclusion.

En pratique, la plate-forme Inno-sertion permet à l’individu, au moyende questionnaires, de s’autoévaluer en ligne sur son niveau de compé-tences TIC. Ces questionnaires d’éva-luation sont basés sur des référentielsde compétences TIC génériques etmétiers adaptés aux besoins luxem-bourgeois (40 métiers), réalisés dans le cadre du projet. Après avoir répondu aux questions, un rapport d’évaluation propose dans la mesuredu possible, pour chaque faiblesseidentifiée, une ou plusieurs forma-

tions (provenant, pour l’instant, del’offre des partenaires du projet. Ces dernières offrent ainsi aux évalués des pistes pour acquérir ou déve-lopper les compétences identifiées.En complément, l’individu peut faireappel à un service de conseil pourl’accompagner dans la constructiond’un plan de formation personnalisé,c’est-à-dire adapté à sa motivation et à son besoin de développement des compétences TIC.

Afin de garantir l’adéquation per-manente des référentiels aux besoinsde demain, une méthodologie pros-pective d’anticipation des compé-tences TIC, par groupes de travailmétier, a été développée et expé-rimentée au sein du projet. Cetteméthodologie d’anticipation vise àfaire évoluer les référentiels de com-pétences métier et à mettre en évi-dence les compétences qui ne sont pas encore comblées par des forma-tions. Des recommandations seront formulées aux organismes de forma-tion afin qu’ils adaptent leur offre deformation aux futurs besoins en vuede garantir le maintien d’un certain

niveau de compétences au sein del’entreprise et de favoriser l’employa-bilité des salariés et des demandeurs d’emploi. Le site Innosertion permet la consultation de ces rapports d’an-ticipation des compétences TIC par métier: aujourd’hui, le rapport surles métiers de formateur, d’expert-comptable et d’entrepreneur de cons-truction sont disponibles sur le site.D’ailleurs, la Chambre de Commercea favorisé l’organisation de l’expé-rimentation sur le métier d’expert-comptable, notamment par la miseen relation avec l’Ordre des Experts-comptables. En ce qui concerne lemétier d’entrepreneur de construc-tion, c’est la Chambre des Métiers,par l’intermédiaire de l’IFSB (Institut de Formation Sectoriel du Bâtiment)qui a apporté son soutien.

Enfin, le projet, clôturé au31 décembre 2004, a de belles pers-pectives à l’horizon, puisque des ini-tiatives via de nouveaux projets sou-tenus par les partenaires actuels, sonten cours de discussion pour pérenni-ser et enrichir le dispositif ainsi expé-rimenté. ■

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63 • Merkur • Février 2005

Quelles sont les étapes clés de lacréation et de la reprise d’en-treprise? Comment établit-on un

plan d’affaires et quels sont les aspects stratégiques et financiers à prendre enconsidération et à approfondir? Au coursdu séminaire «Création et Reprise d’En-treprise» qui aura lieu à la Chambre deCommerce le 25 et 26 février sur deux demi-journées, les participants recevrontdes avis et conseils précieux de spé-cialistes en matière de création et dereprise d’entreprise. Les chambres pro-fessionnelles donneront des informa-

tions sur leurs activités de soutien etd’assistance. Les participants auront enoutre la possibilité d’entrer en contact avec d’autres entrepreneurs et futursentrepreneurs. Le séminaire est orga-nisé par la FUSE (Fondation des Uni-versitaires en Sciences Economiques)– Esprit d’Entreprise.

Le séminaire sera modéré parMarc Hostert (FUSE, Administrateurdélégué) et se tiendra en français,les questions pourront être poséesen français, en allemand, en anglais ou en luxembourgeois.

Comme frais de participation, laFUSE demande un don de 40 EURminimum (pour les deux jours) à ver-ser sur le compte CCP IBAN LU081111 1904 4433 0000 de la fondationFUSE – Esprit d’Entreprise avec lamention «Création d’entreprise».

Délai et modalités d’inscription:jusqu’au mardi, 22 février 2005 via lesite Internet de la FUSE: www.fuse.lu ou auprès de la Fiduciaire Weber et Bontemps par fax: +352 45 38 29ou par tél.: +352 45 38 78-1.

Programme du vendredi,25 février 2004:16h00

Mot debienvenuepar M.PierreGram-gna, Directeur de la Cham-bre de CommerceMot d’accueil FUSE par MM.Thierry Glaesener et Marc Hos-tert, FUSE- Esprit d’EntrepriseLa phase préparatoire du projet– Le jeune créateur d’entreprise:ses aspirations, son dynamisme etsa stratégie par M. Norbert Friob,Administrateur de sociétés Différentes méthodes de créationde sa propre entreprise: créationnouvelle, reprise, franchising,joint-venture? Aspects juridiques,fiscaux, comparaison des coûts

initiaux par M. Pascal Espen,Fiduciaire Weber-BontempsBest Practice par M. Yves Sinner,Novigo Sàrl

18h00 PauseComment préparer une succes-sion/reprise d’entreprise par M.Claude Faber, Optimise S.A.La phase de réalisation du pro-jet: Le droit d’établissement parM. Gérard Eischen, Chambre deCommerce

20h00Verre de l’amitié et prises de con-tacts

Programme du samedi26 février 2004:8h00

Accueil8h30

Le Business Plan: Présentation descritères McKinsey par Mme RachelGaessler, 1-2-3 GoLes aspects pratiques du finan-cement du projet: l’approche du financier, les aides étatiques parM. Yves Kemp, Banque et Caissed’Epargne de l’Etat, Luxembourg

10h30PauseBest Practice par M. Tom Stei-chenL’assistance et le rôle des deuxchambres professionnelles, lesguichets uniques, les boursesd’entreprises par M. CharlesBassing, Chambre des Métiers,M. Jean-Claude Wirth, Chambrede Commerce

12h00Synthèse

12h30 Fin

Séminaire Créationet Reprise d’Entreprise

25-26 février 2005

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64 • Merkur • Février 2005

Innovation

The British Chamber of Com-merce (BCC) has just addedto its web site a guide for

people wanting to set up a business in Luxembourg. It covers, in the formof frequently asked questions, suchthings as how to obtain a businesspermit, different types of legal entity and their British equivalents (forexample private limited companies or partnerships) and corporate andpersonal tax. It also provides links toall the organisations you may needto contact, such as the LuxembourgChamber of Commerce Espace Entre-prises, who can help you through the

whole process, the Business Register and the tax offices.

Geoff Wakem, Chairman of theBritish Chamber, said “By bringingtogether in one easily accessibleplace this information in English weaim to facilitate individuals and com-panies in the English-speaking com-munity in setting up businesses andhelp make Luxembourg an attractiveplace to do business.”

The website address is http://www.bbc.lu/buslux/.

The initiative is part of the BritishChamber’s actions to support smallbusinesses, for which it has a Small

Business Focus Group (SBFG) whichorganises regular events such as theseminar Starting a Business in Luxem-bourg. Speakers’ papers from thatand other events can be downloadedfrom the Chamber’s website.

As well as a calendar of events,other sections of the website includea notice board on which visitors tothe site can submit online their ownnotices and event details and a mem-bership directory searchable by busi-ness activity. The Chamber organi-ses business and social events opento members and non-members on aregular basis. ■

British Chamber of Commerce

Setting Up a Business in Luxembourg:New section on BCC Website

L ’e Centre de Ressources desTechnologies pour l'Environ-nement (CRTE), une structure

commune du CRP Henri Tudor et leMinistère de l’Environnement, a pré-senté à la Chambre de Commerceleur nouveau cahier de la productionpropre 04 – «La production de froiddans le milieu agroalimentaire, indus-triel et tertiaire – impacts environne-mentaux et applications techniques»en présence des administrations com-pétentes, des artisans frigoristes etdes industriels.

Dans le cadre de la série des«cahiers de la production propre», leCRTE, à la demande de la FEDIL etde la Chambre de Commerce, a été

chargé par le Ministère de l’Environ-nement de réaliser un document con-cernant la production de froid parcompression dans le milieu indus-triel et tertiaire. Ces cahiers de la pro-duction propre ont pour objectif depromouvoir l’application optimiséede procédés techniques et la réduc-tion des émissions de polluants à lasource. Ils ont déjà porté sur la valo-risation énergétique du bois ainsi quesur le revêtement de surfaces de boiset des métaux.

Ce nouveau cahier de la pro-duction propre, prévu pour lesexploitants de systèmes frigorifi-ques, analyse en premier lieu lesimpacts environnementaux prin-

cipaux des installations de pro-duction de froid au Luxembourg(destruction de la couche d’ozone,effet de serre, acidification, pho-tosmog), afin de pouvoir détermi-ner les sources primaires de pol-lution de ces systèmes, ainsi queleur importance. A partir de ces élé-ments, les possibilités de réductiondes effets environnementaux de cesinstallations ont été abordées de lamanière suivante:• Les fluides frigorifiques (présen-

tation de différents types, réduc-tion des fuites, retrofit),

• La consommation énergétique(techniques disponibles, optimi-sation énergétique),

CRP–CRTE

Parution du cahier de laproduction propre pour les

installations frigorifiques

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65 • Merkur • Février 2005

Le cahier ainsi que le guide de la production propre 04«La production de froid dans le milieu agroalimentaire, industriel et

tertiaire», peuvent être demandés auprès du:

Centre de Ressources des Technologies pour l’Environnement (CRTE),Centre de Recherche Public Henri Tudor, 66, rue de Luxembourg,

BP 144 L-4002 Esch-sur-Alzette

[email protected], tél. +352-54 55 80-600, fax: +352-54 55 80-601 ou bien êtretéléchargés sous: www.crte.lu.

• Les eaux de refroidissement(réduction de la consommation,optimisation du traitement),

• Les nuisances sonores (mesures de prévention et d’atténuation),

• La législation (nationale et euro-péenne),

• Le calcul de la valeur TEWI(application concrète).Ce document, réalisé en colla-

boration avec un groupe de travailcomposé d’industriels, d’installateurs et de membres des administrationscompétentes, a de plus conduit àl’élaboration d’un guide de la pro-

duction propre, destiné aux équipes techniques, qui reprend de manièrecondensée les informations concrè-

tes d’améliorations des installations frigorifiques.

Le Ministre de l’Economie etdu Commerce extérieur Jean-not Krecké, Jean Bergh, direc-

teur général du GTC*L, HermannLange, directeur des finances repré-sentant Goodyear S.A., et Jean Geor-ges représentant les Ateliers Geor-ges S.à r.l., Cie et S.e.c.s. ont signédébut février une convention com-mune relative à la réalisation d’unprojet de Recherche et de Dévelop-pement d’un coût total estimé à quel-que 4,3 millions d’euros

Les efforts de R&D, soutenuspar le Ministère de l’Economie etdu Commerce extérieur touchentautant le domaine du pneumatiqueen caoutchouc que celui des mou-les de vulcanisation. C’est ainsi queGoodyear va investiguer des tech-nologies inédites de traitement et derevêtement des parois des moules de cuisson, d’une part, et des flancs des pneus, d’autre part. Ces nou-veaux procédés seront dérivés dusavoir-faire développé par les Ate-liers Georges en matière de nitrura-tion ionique.

Le Goodyear Technical Cen-tre Luxembourg (GTC*L) à Colmar-

Recherche et développement

Un sixième projet R&D issude la grappe technologique SurfMat

Berg est le plus important centre derecherche et de développement deGoodyear en dehors des Etats-Unis.Il emploie près de 900 ingénieurs,scientifiques et techniciens de 25nationalités différentes qui sont char-gés du développement de toute lagamme de pneumatiques pour voitu-res de tourisme, camionnettes, poids-lourds et machines agricoles pourl’ensemble des marchés européens,africains et asiatiques.

Les ateliers Georges sont unePME de 40 personnes, spécialiséedans la nitruration ionique de maté-riaux.

Le projet R&D en question repré-sente la sixième collaboration con-crète, issue de la grappe technolo-gique "SurfMat". Cette grappe dequelque 36 entreprises industrielles et start up technologiques est enca-drée par l’agence nationale de l’inno-vation "Luxinnovation" et se consacreau développement de nouvelles tech-nologies de traitement et de revête-ment de surfaces techniques et dematériaux nouveaux. (Communiquépar le Ministère de l’Economie et du Commerce extérieur, Goodyear S.A.et les Ateliers Georges S.à r.l., Cie. et S.e.c.s.) ■

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Economie

66 • Merkur • Février 2005

Les actions proposées parla Commission pourraientinduire une croissance sup-

plémentaire du PIB de 3 % à l’ho-rizon 2010 et créer plus de 6 mil-lions d’emplois. La nécessité d’agirà ces niveaux est particulièrementcriante, la stratégie de Lisbonne nesemblant pas en mesure, cinq annéesaprès son lancement, de déboucher sur les résultats espérés. Pour pré-server l’avenir du modèle commu-nautaire de développement durable,la compétitivité de l’Union doit êtrerenforcée et son économie doit êtredynamisée. La Commission a définiun programme d’action concret pourl’UE et ses Etats membres visant àassurer une croissance économiquesoutenue et la création d’emploisplus nombreux et de meilleure qua-lité. Elle appelle les Etats membresà lancer un nouveau partenariat del’UE pour la croissance et l’emploi àl’occasion du Conseil européen deprintemps.

La Commission européenne a pré-senté ses recommandations de poli-tique économique en vue de l’exa-men de mi-parcours de la mise enœuvre de l’agenda dit de Lisbonne.Pour passer des mots à l’action con-

La Commission européenne a

présenté le 2 février dernier un nouveau programme

d’action visant à stimuler la croissance et la création

d’emplois. Ce programme d’action entend apporter

un nouveau souffle à la stratégie de Lisbonne, lancée

en 2000

Un nouveau souffle pourla stratégie de Lisbonne

Commission européenne

crète, la Commission est persuadéequ’un élan renouvelé et un recentragesur des objectifs moins nombreux et réalisables s’avèrent nécessaires. L’in-capacité à respecter le calendrier deLisbonne s’explique par l’effet con-jugué d’un environnement économi-que médiocre, des incertitudes inter-nationales et de la lenteur des progrès dans les Etats membres, ainsi que parune dilution progressive des priorités stratégiques.

Face au défi que représente levieillissement des sociétés européen-nes et à l’intensification de la concur-rence internationale de pays commel’Inde ou la Chine, l’Europe doit rele-ver sa productivité et créer plus d’em-plois.

Les principaux axes du pro-gramme d’action concret présentépar la Commission sont les sui-vants:

Une zone plus attrayante pour l’investissement et le travail• Compléter le marché unique

dans les domaines susceptibles d’assurer des gains réels enmatière de croissance et d’em-ploi et qui touchent directement les consommateurs (un accord

équilibré sur les services, pro-fessions réglementées, éner-gie, marchés publics et services financiers, un accord équilibrésur REACH, le nouveau cadrelégislatif pour les produits chi-miques, qui prend en comptel’impact de la compétitivité etde l’innovation, et les PME).

• Veiller à l’existence de marchés ouverts et concurrentiels danset en dehors de l’Europe: réo-rienter les aides publiques versles secteurs à fort potentiel decroissance, créer un environne-ment plus favorable aux PME,assurer l’ouverture des marchés tiers, simplifier la réglementa-tion communautaire et natio-nale.

• Améliorer les réglementationscommunautaire et nationaleen allégeant le poids des con-traintes administratives.

• Étendre et améliorer les infra-structures européennes.

• Poursuivre les efforts dans le dos-sier du brevet communautaire et avancer vers la définition d’uneassiette consolidée de l’impôt surles sociétés.

Mettre la connaissance et l’innovation au service de lacroissance• Réaliser l’objectif de 3 % du

PIB consacrés aux dépenses deR&D.

• Favoriser l’appropriation destechnologies de l’information et de la communication (TIC).

• Promouvoir l’émergence de pôlesd’innovation reliant les centresrégionaux, les universités et les entreprises.

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67 • Merkur • Février 2005

• Donner un nouvel élan aux ini-tiatives technologiques euro-péennes grâce à des partena-riats public-privé.

• Promouvoir les éco-innovations énergétiquement efficaces et àfaibles émissions.

• Contribuer à consolider la baseindustrielle européenne enmobilisant les efforts dans lecadre de partenariats public-privé.

• La Commission propose de créerun Institut européen de techno-logie pour attirer les meilleursesprits, les idées et les entreprises en Europe.

Créer des emplois plus nombreux et de meilleurequalité• Attirer un plus grand nombre de

personnes sur le marché du tra-vail, en particulier par des actionsvisant à réduire le chômage des jeunes (Initiative européenneen faveur de la jeunesse) et àmoderniser les systèmes de pro-tection sociale.

• Améliorer la capacité d’adapta-tion des travailleurs et des entre-prises et accroître la flexibilité desmarchés du travail en levant les obstacles à la mobilité du tra-vail.

• Investir davantage dans le capi-tal humain par l’amélioration del’éducation et des compéten-ces moyennant une réforme des fonds structurels et du fonds decohésion de l’UE .

Un partenariat responsableLa responsabilité dans les princi-

paux domaines politiques, à savoirl’emploi, la politique macroécono-mique et les réformes structurelles,est partagée entre l’Union et les Etatsmembres: un partenariat est doncindispensable. Le programme d’ac-tion établit une claire distinctionentre les actions selon qu’elles sont engagées au niveau des Etats mem-

bres ou à celui de l’Union: s’inspi-rant de l’expérience du programmedu marché intérieur, il identifie lesresponsabilités, fixe les délais etmesurera les progrès réalisés. Lesgouvernements des Etats membrespourraient nommer un «M./Mme Lis-bonne» qui serait chargé du suivi dela mise en œuvre.

Il simplifie les mécanismes demise en œuvre: il n’y aura, après une large consultation, qu’un seulprogramme d’action national et unseul rapport national sur sa mise enœuvre.

L’Union ne sera en mesure deréaliser ses objectifs en matière d’in-vestissement et de cohésion socialeque si les Etats membres sont dispo-sés à doter l’UE d’un budget à la hau-teur de ses priorités économiques et sociales clés et des engagements quiauront été pris en commun.

Pour des informations supplémentaires:Commission européenne - Représentation au Luxembourg,

M. Fons Theis, tél.: +352 4301- 32925,e-mail: [email protected]

L’esprit d’entreprisesous-développé

au Luxembourg

Sondage Eurobaromètre

Une majorité de personnesau Luxembourg (57 %) n’ont jamais pensé à créer leur pro-

pre entreprise. La raison principaleest qu’ils craignent le risque de fairefaillite. Seuls 3 % en moyenne euro-péenne (UE 25) et 2 % des personnesau Luxembourg affirment avoir crééou repris une entreprise au cours destrois dernières années et qui est tou-jours en activité. Ces données témoi-

gnent d’une véritable faiblesse del’esprit d’entreprise.

L’esprit d’entreprise est nette-ment moins développé en Europequ’aux Etats-Unis, comme le mon-tre un sondage Eurobaromètre, réa-lisé par la Commission européenneau printemps 2004. 61% des Améri-cains aimeraient plutôt être leur pro-pre patron, contre seulement 45%des citoyens européens et 48% des

citoyens au Luxembourg. Les chiffressont remarquablement similaires àtravers les 25 Etats membres, anciensou nouveaux. Il semble même queles Européens soient encore moins enclins à devenir entrepreneurs qu’ily a quatre ans. En effet, le même son-dage réalisé en septembre 2000 indi-quait un taux de réponse de 51% decitoyens européens voulant créerleur entreprise, en septembre 2001

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Economie

68 • Merkur • Février 2005

ce chiffre baissait à 48%, un an plus tard à 45%, pour atteindre en septem-bre 2003 47 % des personnes inter-rogées.

■ Trouver un équilibreentre les risques etrécompenses57 % des citoyens dans l’UE 25 et

autant des sondés au Luxembourgn’ont jamais envisagé établir uneentreprise, contre seulement 44%des américains.

La crainte de l’échec semble êtreun facteur important. La moitié desEuropéens interrogés sont d’accordpour dire qu’on ne devrait pas créer une entreprise si l’affaire est suscep-tible d’échouer, comparé à seulementun tiers des Américains. Avec 55%, leLuxembourg se situe au-dessus de lamoyenne UE.

Parmi les autres craintes expri-mées: 37 % des sondés au Luxem-bourg (UE 25: 35%) indiquent le ris-que de perdre leurs biens, 29% (UE25: 34%) l’incertitude de leur revenu,19% (UE 25: 15%) la possibilité devivre un échec personnel et 15%(UE 25: 17 %) l’insécurité de l’em-ploi. La peur de devoir y consacrer trop d’énergie ou de temps est citéepar plus d’un sondé sur dix au Luxem-bourg (12 %, UE 25: 15%).

Trois quarts des entrepreneursau Luxembourg déclarent avoirlancé leur propre affaire parce qu’ils ont rencontré une opportunité, tan-

dis que la moyenne des personnes interrogées au niveau des 25 Etatsmembres ne cite ce facteur qu’à 55%et met en avant la création par néces-sité à 32 %.

■ Un parcours ducombattant pourl’entrepreneurLes difficultés perçues pour éta-

blir une entreprise sont relativement semblables dans l’ensemble de l’Eu-rope et aux Etats-Unis, bien que géné-ralement plus marquées sur le vieux continent. Le manque d’aide finan-cière disponible se classe comme lefacteur le plus important. Néanmoins,le chiffre européen (74%) masquedes variations importantes. Il appa-raît qu’en Finlande (43 %), aux Pays-Bas (45%) ou au Danemark (53 %),cet obstacle est moins décourageant qu’en Pologne (87 %), en Grèce (89%)ou en Lettonie et en Slovaquie (93 %).Le Luxembourg se situe dans la four-chette haute, avec 78% des person-nes interrogées soutenant l’idée d’unfrein financier.

Ces données sur les obstacles et difficultés rencontrés pour créer unesociété – et la voir survivre – s’avè-rent essentielles lorsque la Commis-sion cible ses actions, notamment au travers du programme multiannuel(MAP) pour les Entreprises et l’Esprit d’entreprise.

Les instruments financiers du MAPvisent en priorité à améliorer l’accès

des petites entreprises au crédit et aucapital risque par un effet de levier dans la sphère privée, ce par le biais du Fonds européen d’investissement (FEI). Le programme supporte égale-ment l’accès à l’information au traversdes «Euro Info Centres».

Dans son programme de tra-vail pour 2005, le MAP soutiendraplusieurs actions visant à améliorerles législations européennes et natio-nales et à diminuer la lourdeur admi-nistrative. Même si la perception decomplexité des procédures admi-nistratives semble avoir décliné enEurope, 70 % des Européens considè-rent toujours qu’il s’agit d’un obstaclesignificatif – bien plus important queles 56 % enregistrés aux Etats-Unis.L’Union européenne va poursuivreson action pour réduire cette charge,mais l’efficacité des mesures viendrade l’adoption simultanée d’actionssimilaires au niveau des Etats mem-bres.

Deux questions ont guidé à l’éla-boration du Livre Vert «L’esprit d’en-treprise en Europe»: comment se fait-il que si peu d’Européens se lancent dans la création d’une entreprise et pourquoi si peu d’entreprises euro-péennes sont-elles en croissance? Leplan d’action de la Commission viseà inverser cette tendance et s’articuleautour de cinq axes stratégiques: ali-menter la culture entrepreneuriale,encourager plus de citoyens à deve-nir entrepreneurs, orienter les entre-prises vers la croissance et la com-pétitivité, améliorer les flux de finan-cements et enfin instaurer un cadreréglementaire et administratif plusfavorable aux PME.

Les résultats complets du sondagesont disponibles sous:h t tp : / / eur opa . eu . i n t /comm /en terpr i se /en terpr i se_pol icy/survey/eurobarometrer83.htm

Plan d’action en faveur de l’es-prit d’entreprisehttp://europa.eu.int/comm/enterprise/entrepreneurship/action_plan.htm

(Communiqué par la Représenta-tion permanente au Luxembourg)

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Union européenne: unecharge fiscale globale de 41,5%

Fiscalité

En 2003, la charge fiscale glo-bale (c’est-à-dire le total des impôts et des cotisations de

sécurité sociale) dans l’UE 25 a atteint 41,5% du PIB contre 41,3 % en 2002. Leratio recettes fiscales/PIB est passé de42,4% en 1998 à 42,9% en 1999 pour baisser ensuite de façon constante de1999 à 2002. Dans les dix nouveaux Etats membres, le ratio recettes fis-cales/PIB était inférieur en 2003 à lamoyenne de l’UE15 (41,8%).

La charge fiscale globale variaitfortement selon les Etats membres.En 2003, la Suède enregistrait le ratiorecettes fiscales/PIB le plus élevé(51,4%) suivie du Danemark (49,8%),de la Belgique (48,1%), de la France(45,7 %) et de la Finlande (45,1%). Avec42,3 % (42,1% en 2002), le Luxembourgse situe au-dessus de la moyenne del’UE 25. Les taux les plus bas étaient observés en Lituanie (28,7 %), en Let-tonie (29,1%), en Slovaquie (30,9%),en Irlande (31,2 %) et en Estonie(33,4%).

En 2003, comparé à 2002, la chargefiscale a augmenté dans dix-sept Etats membres, a diminué dans sept et est restée inchangée en Allemagne. Leshausses les plus fortes ont été enregis-

trées à Chypre (de 32,5% à 34,3 %), enIrlande (de 29,8% à 31,2 %) et en Esto-nie (de 32,4% à 33,4%). Les baissesles plus marquées ont été constatées en Slovaquie (de 32,5% à 30,9%), enGrèce (de 39,8% à 38,6 %), et en Fin-lande (de 46,1% à 45,1%).

■ Variation dans lastructure de la fiscalitéentre les Etats membresL’examen des différents types d’im-

pôt révèle des différences notablesentre les Etats membres dans la struc-ture des régimes fiscaux. En 2003, laPologne (19,7 %), la Slovénie (20,8%)et la Slovaquie (23,2 %) ont enregis-tré les parts les plus faibles d’impôts directs dans la charge fiscale totale, parrapport à une moyenne pour l’UE 25 de31,6 % (Luxembourg: 37,7 % en 2003,37,6 % en 2000). A l’autre extrême, leDanemark (59,6 %), le Royaume-Uni(42,0 %) et la Finlande (41,0 %) ont affi-ché les parts les plus importantes d’im-pôts directs.

En ce qui concerne les impôts indi-rects, les parts les plus élevées ont étéobservées à Chypre (49,4%), en Hon-grie (42,3 %) et au Portugal (41,9%),contre une moyenne de 33,8% pour

l’UE 25, tandis que les parts les plus faibles ont été constatées en Belgi-que (28,8%), en Allemagne (29,7 %)et en République tchèque (31,4%).Luxembourg: 32,9% en 2003 (35,4%en 2000).

L’Allemagne (44,4%), la Répu-blique tchèque (41,6 %) et la France(40,2 %) ont enregistré les parts lesplus importantes de cotisations socia-les, comparé à une moyenne de 34,5%pour l’UE 25, le Danemark (5,4%),l’Irlande (19,1%) et le Royaume-Uni(21,0 %) affichant les parts les plus fai-bles. Le régime de sécurité sociale du Danemark est en fait presque exclusi-vement financé par le système générald’impôt. Luxembourg: 29,4% en 2003 (26,9% en 2000).

Ces données sont extraites d’unepublication diffusée par Eurostat,l’Office statistique des Communau-tés européennes. Ce rapport four-nit des informations supplémentai-res sur l’évolution de la charge fiscaledans l’UE et les Etats membres entre1995 et 2003, ainsi que sur la ventila-tion par Etat membre des recettes fis-cales selon les principaux types d’im-pôt. (communiqué par Eurostat)

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Economie

70 • Merkur • Février 2005

Eurostat: Le Luxembourg en 4e positionpour l’utilisation de l’Internet

Société de l’information

Selon les dernières informa-tions communiquées par leSTATEC, l’enquête commu-

nautaire sur l’usage des TIC (Tech-nologies de l’Information et de Com-munication) par les ménages et les particuliers en Europe, fait ressor-tir que 59% des particuliers âgés de 16 à 74 ans utilisaient réguliè-rement (au moins une fois dans lasemaine précédant l’enquête) l’Inter-net en 2004. Par rapport à 2003 celareprésente une augmentation de 11points de pourcentage. Pour la pro-portion des particuliers ayant surfésur la toile dans les trois derniersmois précédant l’enquête, le pour-centage s’élève même à 65%. La pro-portion des ménages ayant accès àInternet s’élève à 59% en 2004 parrapport à 45,4% en 2003.

■ Internet à domicileC’est à domicile que la popula-

tion luxembourgeoise préfère surfer.Ainsi neuf utilisateurs sur dix se con-nectaient dans leurs pénates, contrehuit sur dix en 2003. Arrivent ensuitele lieu de travail avec 41%, les éco-les avec 11% ou encore les Cyberca-

fés avec seulement 3 %. Les moyens de connexion les plus répandus ont été le modem et l’ISDN avec respec-tivement 40 et 36 %. Un peu moins d’un tiers des particuliers se connec-taient moyennant DSL, câble, satel-lite ou téléphone portable.Les raisonscitées pour ne pas utiliser Internet àdomicile étaient par ordre décrois-sant en degré d’importance, la craintede contenus dangereux ou non adap-tés, le manque d’aptitude, les coûts d’équipement ou de communicationtrop élevés ou tout simplement l’ac-cès ailleurs qu’à la maison.

■ UtilisationParmi les usages les plus fré-

quents figuraient l’envoi et la récep-tion de messages électroniques, occu-pation à laquelle s’adonnaient 91%des internautes, suivi de la recher-che d’information sur des biens ou services; 53 % faisaient des opéra-tions de banque électronique et 55%utilisaient Internet pour demanderdes informations auprès des pou-voirs publics. Près d’un internautesur deux (45%) avaient commandéou acheté des biens ou services via

la toile et 35 avaient suivi des cours de formation en relation avec leuremploi.

■ SécuritéEn ce qui concerne l’aspect sécu-

rité informatique, 68% des utilisa-teurs se plaignaient d’inondations de«spams» et 50 % déclaraient avoir étévictimes d’attaques de virus résul-tant dans la perte d’information ou de temps. Environ 10 % des parti-culiers ont rencontré une utilisationabusive d’informations personnelles envoyées sur Internet et seulement 0.6 % ont observé une utilisation frau-duleuse de leur carte de paiement.En conséquence la vaste majorité desutilisateurs ont soit installé en 2004des programmes de protection con-tre les virus (88%) ou mis à jour leursprogrammes de protection (80 %).

L’enquête a été réalisée par l’IL-ReS en coopération avec eLuxem-bourg (ministère de la Fonctionpublique et de la Réforme adminis-trative, Service eLuxembourg) selonles directives méthodologiquesd’EUROSTAT.

Recul de l’excédent courant et croissancedes échanges de biens et de services

Balance des paiements

La BCL et le Statec font savoir qu’au cours des trois premierstrimestres de 2004 la balance

courante du Luxembourg a dégagéun excédent de 1,26 milliards EUR,contre 1,35 milliards pour la mêmepériode de 2003. Cette faible varia-

tion du solde courant contraste avecl’évolution plus accentuée des sol-des partiels. Alors que le solde excé-dentaire de la balance des servicess’est encore apprécié de 900 millions EUR, pour se chiffrer à 6,3 milliards EUR, les déficits respectivement des

échanges de marchandises, des flux de revenus et des transferts courants se sont aggravés.

L’amélioration de l’excédent des échanges des services s’expliqueessentiellement par les évolutionstrès favorables des services finan-

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71 • Merkur • Février 2005

ciers et des services informatiqueset d’information. La reprise des mar-chés financiers et le positionnement favorable des gestionnaires résidents d’organismes de placement collectifs ont ainsi entraîné une croissance dequelque 22% des exportations de ser-vices financiers.

La détérioration du solde com-mercial est due en grande partie au renchérissement des produits pétro-liers et de certaines matières pre-mières notamment métalliques. Les exportations de marchandises se sontaccrues de 8%, principalement sous l’effet de la flambée des prix sidérur-giques (de plus de 20% en moyennesur les neuf premiers mois).

La nette détérioration du soldedes transferts courants ( -827 millionsEUR, contre -363 aux premiers neufmois de 2003) s’explique essentielle-ment par l’accroissement de la réallo-cation de revenus monétaires dans lecadre de l’eurosystème et par les ver-sements nets à la Belgique conformé-ment aux accords belgo-luxembour-

geois sur la répartition des accisescommunes.

■ Hausse des sorties nettesdans le compte financierSur les trois premiers trimes-

tres de 2004, les opérations financiè-res du Luxembourg avec le reste du monde se sont soldées par une expor-tation nette de capitaux de 1,65 mil-liards EUR, en hausse de 457 millions EUR par rapport à la même période de2003. Chaque composante du comptefinancier, à l’exception des avoirs deréserve, a enregistré des flux relative-ment importants qui se sont toutefois mutuellement compensés. Les «inves-tissements directs», les «produits déri-vés» et les «autres investissements» ontainsi enregistré ensemble d’importan-tes sorties nettes (-21 milliards EUR)compensées largement par des entréesnettes (+19 milliards) sur la rubrique«investissements de portefeuille». Lessorties nettes (-4 milliards EUR) enre-gistrées par les «investissements directs»s’expliquent par des prêts intra-grou-

pes octroyés aux sociétés affiliées non-résidentes qui ont largement dépasséles entrées nettes liées aux participa-tions au capital social des entreprises luxembourgeoises.

Pour la rubrique «autres investisse-ments», les sorties nettes de 12,7 mil-liards EUR sont attribuées aux «autressecteurs» et aux «autorités monétaires»dont les avoirs envers les non-rési-dents, respectivement envers l’euro-système, ont largement augmenté. Enrevanche, les «intermédiaires finan-ciers monétaires» ont enregistré des entrées nettes qui ont partiellement réduit les sorties ci-dessus.

En ce qui concerne les «investis-sements de portefeuille», les trans-actions sur titres de participationont dégagé un solde net de 36 mil-liards EUR en faveur des titres émis au Luxembourg. En revanche, pour les titres de créance, des sorties net-tes (près de 17 milliards ) en faveur du reste du monde ont été enregis-trées.

Tableau: Balance des paiements du Luxembourg

Unité : million EUR 2003 – 9 mois 2004 – 9 mois

Crédit Débit Solde Crédit Débit Solde

COMPTE COURANTMarchandisesServicesRevenusTransferts courants

COMPTE DE CAPITAL

61 0707 55715 90835 0622 543

35

59 7249 21210 49137 1162 906164

1 346-1 6555 417-2 053-363-129

68 9118 15319 41838 8312 509

19

67 6529 95113 10041 2653 336112

1 259-1 7986 318-2 434-827-93

Avoirs Engagements Solde Avoirs Engagements Solde

COMPTE FINANCIERINVESTISSEMENTS DIRECTS

Opérations en capital et bénéfices réinvestisAutres opérations, prêts intra-groupes

INVESTISSEMENTS DE PORTEFEUILLETitres de participationsTitres de créances

PRODUITS FINANCIERS DÉRIVÉSAUTRES INVESTISSEMENTSAVOIRS DE RÉSERVEErreurs et omissions

-64 024-55 659-8 365

-57 890-14 860-43 031

-10 740

57 59454 0183 576

56 87547 7499 126

12 558

-1 197-6 430-1 641-4 789-1 01532 890-33 9054 5041 818-73-20

-30 525-23 617-6 908

-44 993-25 968-19 025

-48 244

26 51925 698

82164 32262 1142 209

35 529

-1 654-4 0062 080-6 08719 32936 146-16 816-4 276

-12 71514

488

Source: BCL, Statec

Pour toute information supplémentaire:STATEC, tél.: +352 478 4271, BCL, tél.: +352 4774-4265 /-4243

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Economie

72 • Merkur • Février 2005

Simplification administrativeen matière Intrastat

Echanges intra-communautaires

Le règlement communautairerelatif au système de collecteIntrastat oblige les opérateurs

économiques réalisant des échanges intra-communautaires de marchan-dises d’établir mensuellement unedéclaration statistique. Un dispositifde seuils d’exemption et de simplifi-cation veille néanmoins à établir unéquilibre entre, d’une part, la qualité

bénéficier de cet allègement admi-nistratif.

Concrètement, les redevables du système Intrastat dont le total annuelrespectivement des expéditions et/ou des arrivées intra-communautai-res de biens ne dépasse pas 150.000 EUR en 2004 peuvent solliciter unedispense pour le(s) flux en question.Une demande écrite est à introduire

exemple, au cours de l’année 2005)dépasse le seuil de 150.000 EUR, ily a lieu de communiquer à nouveau les déclarations pour le mois et à par-tir du mois au cours duquel le seuila été dépassé. Le Statec rappelle par ailleurs que des informations sur lefonctionnement du système Intrastat peuvent être trouvées dans la noticeexplicative distribuée annuellement

Les services Intrastat du STATEC(tél.: 478-4246, E-mail: [email protected]) se tiennent volontiers

à la disposition pour d’éventuels compléments d’informations.

FLUX SEUIL D’EXEMPTION 2004 SEUIL D’EXEMPTION 2005Expéditions 100.000 EUR 150.000 EURArrivées 100.000 EUR 150.000 EUR

statistique et, d’autre part, la chargepesant sur les opérateurs intra-com-munautaires.

Soucieux d’alléger davantage lacharge des petites et moyennes entre-prises, le STATEC a pris la décision derelever avec effet au 1er janvier 2005les seuils d’exemption de 100.000 à150.000 EUR. Il est attendu qu’environ12 % des redevables actuels peuvent

auprès du service Intrastat du STA-TEC.

Notons toutefois que dans lamesure où le montant cumulé desactivités intra-communautaires (par

aux déclarants. La version 2005 peut également être téléchargée du siteInternet www.statec.public.lu («Infor-mations pour les déclarants» - «Intra-stat»). ■

Le Guichet Unique PMEse met en ligne

Création d’entreprise

Le Guichet Unique PME, quia ouvert ses portes dans leslocaux de l’administration

communale de Munshausen en datedu 1er septembre 2004, vient de sedoter d’un site Internet www.guiche-tunique.lu.

Le site s’adresse aussi bien auxcréateurs d’entreprises qu’aux entre-prises en voie de développement et se veut être un outil pragmatique et simple d’usage. En effet, le visiteur

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ne sera pas noyé dans une multi-tude d’informations, mais trouverades réponses concrètes à des ques-tions précises.

Ainsi, cinq rubriques du site méri-tent une attention toute particulière,à savoir:1° La rubrique «création d’entre-

prise»: le créateur d’entreprise ytrouvera des informations suc-cinctes et précises sur les forma-lités à effectuer lors de la créationou de la reprise d’entreprise. Par ailleurs, on lui présente les dif-férents moyens de financementpour tout projet de création d’en-treprise. On lui explique égale-ment quelles sont les démarches à effectuer s’il désire s’implanter dans une ZAER ou dans le bâti-ment relais à Hosingen.

2° La rubrique «accompagnementd’entreprise»: cette rubriques’adresse particulièrement aux

entreprises existantes. On y décritles différents types d’aide que leGuichet Unique PME peut appor-ter aux PME, aussi bien au niveaudu développement de leurs acti-vités qu’au niveau de la cessionéventuelle de leur entreprise.

3° La rubrique «zonings industriels»:cette partie est entièrement con-sacrée aux ZAER de la régiondu Nord et à leur fonctionne-ment. On y trouve notammentles coordonnées des entreprises implantées dans les ZAER de larégion.

4° La rubrique «Manifestations»: undes objectifs principaux du Gui-chet Unique PME est l’organisa-tion régionale de séances d’in-formation et de formation ayant pour but la formation des respon-sables d’entreprises sur différentssujets d’actualité. Il est à noterque ces séminaires d’information

et de formation sont organisés conjointement avec la Chambrede Commerce et la Chambre des Métiers.

5° La rubrique «FAQ» (Foire auxquestions): cette partie est pro-bablement la plus intéressante,étant donné qu’on y trouve des réponses concrètes à des ques-tions de domaines aussi variés que le droit d’établissement, lefinancement d’un projet d’entre-prise, les impôts directs et indi-rects, le droit du travail etc.Finalement, il reste à préciser

que toute entreprise issue d’une des 21 communes participantes du Norddu pays peut solliciter l’assistancedu Guichet Unique PME. Comment savoir si votre entreprise est issued’une commune participante? Visi-tez le site www.guichetunique.lu.

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74 • Merkur • Février 2005

Législation et avisDepuis le 1er février 2005

Nouvelles modalités du crédit d’équipement de la SNCI

Apartir du 1er février 2005, lechamp d’application du créditd’équipement de la Société

Nationale de Crédit et d’Investisse-ment (SNCI) change et sera adaptéau niveau:

• des bénéficiaires: le nouveaurèglement ne définit plus les sec-teurs bénéficiaires, mais directe-ment les entreprises susceptibles de bénéficier d’un crédit d’équi-pement. Il s’agit de toutes les per-sonnes morales et physiques ainsique de certaines professions libé-rales disposant d’une autorisationd’établissement, à condition derespecter les critères de petite et moyenne entreprise (PME), c’est-à-dire ayant un effectif inférieur à 250 personnes, un chiffre d’af-faires inférieur à 50 mio d’euros,un total de bilan inférieur à 43mio d’euros et respectant le cri-tère d’indépendance, c’est-à-direqu’aucun actionnaire ou associé

ne doit détenir plus de 25% departs au capital ou de droits devote,

• des investissements financés:de nouvelles catégories d’inves-tissements pourront bénéficierd’un financement par le biaisde l’octroi d’un crédit d’équi-pement, à savoir les terrains etles actifs incorporels amortis-sables comme les brevets, leslicences, ou encore les logiciels spécifiques. De même, il est for-malisé dans le nouveau règle-ment que les investissements enrapport avec les reprises d’entre-prise constitueront désormais desinvestissements éligibles. Tout lereste au niveau des investisse-ments financés (actifs corporels amortissables) ne change pas,

• du montant du crédit d’équi-pement: sauf exceptions à auto-riser par les ministres compé-tents, le montant maximal d’uncrédit d’équipement pour un

même projet d’investissementne pourra dépasser 2.500.000euros. Les autres quotes-partsd’intervention (60 % du coût del’investissement éligible respecti-vement jusqu’à 75% pour le cas d’un premier établissement) res-tent inchangées,

• des intérêts: avec le nouveaurèglement, le taux d’intérêt àpayer par le bénéficiaire d’uncrédit d’équipement est fixé par le conseil d’administration de laSNCI sous réserve de l’approba-tion par les ministres compétents.Ce taux pourra être modulé enfonction de la taille de l’entre-prise bénéficiaire.Le nouveau règlement grand-

ducal du 18 janvier 2005 a été publiéau Mémorial A - N° 9 du 26 janvier 2005 et entrera en vigueur le 1er

février 2005. (source: Portail entre-prises)

Qualifications professionnelles

La Commission traduit leLuxembourg devant la Cour

La Commission a décidé de sai-sir la Cour de justice contrele Luxembourg en raison du

contrôle linguistique qu’il a introduit pour l’établissement des avocats, cequi est incompatible avec la direc-tive 98/5/CE, qui permet à un avo-cat de s’établir dans un autre Etatmembre et de pratiquer le droit du pays d’accueil.

Si le droit européen sur la recon-naissance des qualifications profes-sionnelles n’est pas respecté, lespersonnes qualifiées risquent d’êtreprivées de leur droit d’exercer leurprofession dans tous les Etats mem-bres. De plus, en entravant la recon-naissance européenne des qualifi-cations professionnelles, les Etatsmembres réduisent la possibilité,

pour leurs propres citoyens et leurs propres entreprises, de choisir lesprofessionnels qualifiés d’autres Etatsmembres afin d’obtenir la prestationd’un service sur leur territoire.

La directive 98/5/CE concernant l’établissement des avocats vise àfaciliter l’établissement sous le titreprofessionnel d’origine, l’acquisi-tion du titre professionnel d’accueil

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75 • Merkur • Février 2005

et l’exercice en commun de la pro-fession. En particulier, la directivepermet à un avocat de s’établir dans un Etat membre et de pratiquer ledroit du pays d’accueil immédiate-ment après avoir prouvé qu’il étaitdéjà inscrit en tant qu’avocat dansun autre Etat membre, sans qu’ilsoit besoin ni d’épreuve ni de staged’adaptation.

De plus, après avoir exercé effec-tivement et régulièrement pendanttrois ans une activité faisant interve-nir le droit de l’Etat membre en ques-tion, y compris le droit communau-taire, un avocat a le droit d’accéder à la profession dans l’Etat membred’accueil et d’acquérir ainsi le titreprofessionnel de cet Etat membre.Par exemple, en vertu de la directive,un «Advokat» danois peut s’établir enAllemagne, commencer immédiate-

ment à pratiquer le droit allemanden tant qu’«Advokat» puis, au bout detrois ans, obtenir le titre allemand de«Rechtsanwalt».

La Commission a décidé de saisir la Cour de Justice contre le Luxem-bourg en raison du contrôle linguis-tique qu’il a introduit pour l’établis-sement des avocats sous leur titreprofessionnel d’origine, dans le cadrede la transposition de la directive.Ce contrôle, qui porte sur la con-naissance des langues allemande,française et luxembourgeoise, con-ditionne l’inscription au barreau, cequi va à l’encontre de l’objectif mêmede la directive. Ce titre profession-nel d’origine permet d’ailleurs auxclients de faire la distinction entreces avocats et ceux qui exercent sousle titre professionnel de l’Etat mem-bre d’accueil.

La procédure ouverte par la Com-mission porte aussi sur l’interdictionpour les avocats de pratiquer la domi-ciliation des sociétés, réservée auxavocats luxembourgeois, alors quela directive donne le droit à l’avocat exerçant sous le titre professionneld’origine de pratiquer toutes les acti-vités des avocats. Enfin l’obligationpour les professionnels bénéficiaires de produire chaque année une attes-tation d’inscription auprès du barreaude l’Etat membre d’origine est égale-ment mise en cause par la Commis-sion; en effet le caractère répétitifde cette obligation va au-delà de ceque permet la directive, qui prévoit d’ailleurs une coopération entre lesautorités de l’Etat membre d’origineet celles de l’Etat membre d’accueil.

www.cobelfret.com

SHIPS / TERMINALS / TRAILERS / CONTAINERS / TRAINS / TRUCKS / BARGES / SYSTEMS / PEOPLE

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76 • Merkur • Février 2005

Législation et avisProjets de loi

soumis pour avisà la Chambre de Commerce

Nous reproduisons en annexeles projets de loi et les projetsde règlements grand-ducaux

dont la Chambre de Commerce a étésaisie pour avis. Une copie intégraledes projets sous rubrique peut êtreobtenue sur simple demande auprès de la Chambre de Commerce, tél.:42 39 39-330.

Ministère des FinancesProjet de loi portant modifica-

tion de la loi modifiée du 6 décem-bre 1991 sur le secteur des assuran-ces. (2898BJO)

Projet de règlement grand-ducalmodifiant le règlement grand-ducaldu 24 novembre 2000 concernant l’utilisation de fertilisants azotés dans l’agriculture. (2900MCH)

Projet de loi relative aux abus de marché, portant transpositionde• la directive 2003/6/CE du Parle-

ment Européen et du Conseil du28 janvier 2003 sur les opérations dʼinitiés et les manipulations demarché (abus de marché),

• la directive 2003/124/CE de laCommission du 22 décembre 2003portant modalités dʼapplication dela directive 2003/6/CE du Parle-ment Européen et du Conseil ence qui concerne la définition et la publication des informations pri-vilégiées et la définition des mani-pulations de marché,

• la directive 2003/125/CE de laCommission du 22 décembre 2003portant modalités dʼapplication dela directive 2003/6/CE du Parle-

ment Européen et du Conseil ence qui concerne la présentationéquitable des recommandationsdʼinvestissement et la mention desconflits dʼintérêts,

• la directive 2004/72/CE de laCommission du 29 avril 2004portant modalités dʼapplicationde la directive 2003/6/CE du Par-lement Européen et du Conseil en ce qui concerne les pratiques demarché admises, la définition de lʼinformation privilégiée pour les instruments dérivés sur produitsde base, lʼétablissement de listes dʼinitiés, la déclaration des opéra-tions effectuées par les personnes exerçant des responsabilités diri-geantes et la notification des tran-sactions suspectes. (2901WJE)

Ministère du Travail et del’Emploi

Projet de règlement grand-ducalautorisant le Gouvernement à met-tre en œuvre des travaux extraor-dinaires d’intérêt général au cours de l’année 2005. (2903BJO)

Projet de loi complétant le sta-tut de la Société Européenne pour ce qui concerne l’implication destravailleurs. (2911BJO)

Ministère de l’Economie et du Commerce Extérieur

Projet de règlement grand-ducal actualisant le règlementgrand-ducal du 20 décembre 1999concernant l’établissement de l’in-dice des prix à la consommation.(2904TCA)

Ministère d’Etat –Communications

Projet de loi portant appro-bation des amendements, adop-tés par le Comité des Ministres,à Strasbourg, le 15 juin 1999, à laConvention pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractèrepersonnel (STE n° 108) permettant l’adhésion des Communautés euro-péennes. (2905WJE-BJO)

Ministère de la Sécurité SocialeProjet de règlement grand-

ducal déterminant les valeurs dela réserve de compensation durégime général d’assurance pen-sion pouvant être investies à tra-vers un organisme de placementcollectif. (2906TCA)

Ministre de l’Educationnationale et de la Formationprofessionnelle

Projet de règlement grand-ducalportant organisation de l’examen defin d’apprentissage remplaçant lerèglement grand-ducal du 25 octo-bre 1999 portant organisation del’examen de fin d’apprentissage.(2907KCA)

Ministère de la Famille et del’Intégration

Avant-projet de règlementgrand-ducal portant nouvellefixation des montants du revenuminimum garanti. (2912BJE)

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77 • Merkur • Février 2005

Nouvelle publication

La Protection des Données Personnelles

La loi du 2 août 2002 sur laprotection des données per-sonnelles a suscité et suscite

encore aujourd’hui de nombreusesinterrogations. Cette matière impor-tante, qui se situe à la croisée deschemins de la protection de la vie pri-vée, des libertés publiques et mêmedu droit informatique, est en effetrégie par une législation complexeet technique.

La législation sur les données per-sonnelles a vocation à s’appliquer à denombreuses situations de la vie éco-nomique et sociale. C’est Ie cas parexemple de la tenue par une entre-prise du registre de son personnel ou de ses actionnaires ou encore de laconstitution de fichiers «logs» permet-tant de retracer les accès Internet effec-tués par des salaries depuis leur postede travail.

Certaines catégories de traitements de données, tels que ceux révélantdes informations sur la santé, l’origineraciale ou ethnique, les opinions poli-tiques ou encore l’appartenance syn-dicale des personnes concernées, sont strictement encadrées.

Cette loi a également vocation às’appliquer aux activités de surveillanceou de télé-surveillance (notamment parcameras), en particulier lorsqu’ellesportent sur Ie lieu de travail.

Le champ d’application de la loi esttellement large qu’il est difficile de con-cevoir qu’une quelconque activité éco-nomique ou sociale puisse exister sans avoir pour effet ou pour objet un traite-ment de données personnelles tombantsous Ie coup de cette législation, pour-tant encore largement méconnue.

L’auteur «analyse soigneusement lasignification et les modalités de l’en-

semble des dispositions dela loi du 2 août 2002 rela-tive à la protection despersonnes à l’égard dutraitement des données àcaractère personnel dont ilmet en évidence et com-mente la portée. Il four-nit des réponses précises,claires et pertinentes auxquestions que se posentles professionnels, juristesou non, et tous ceux quis’intéressent aux difficultés soulevées par son application prati-que. Me Cyril Pierre-Beausse proposeici un traité concis et systématique, unvéritable manuel de cette matière com-plexe qui manquait cruellement dans labibliographie luxembourgeoise» (extraitde la préface par Gérard Lommel).

La Protection des Données Personnelles, par Cyril Pierre-Beausse, 384 pages au format 16 x 24 cm, n° ISBN: 2-87974-063-0,prix 88,00 EUR. Disponible dans toutes les librairies et directement chez l’éditeur: Editions Promo culture,

B.P. 1142, L-1011 Luxembourg, fax: 40 09 50. Commandes en ligne sur www.promoculture.lu

Fiscalité

Nouvelles dispositions fi scalesRégime fiscal commun applicableaux paiements d’intérêts et de redevances effectués entresociétés associées d’Etats membres différents

Par règlement grand-ducal du21 décembre 2004 modifiant lerèglement grand-ducal du 26 mai1979 portant exécution de l’article134 bis, alinéa 3, lettre f de la loi du4 décembre 1967 concernant l’impôt sur le revenu,• l’impôt étranger imputable n’est

pas limité aux impôts retenus àla source par un État membre del’Union européenne;

• le droit d’imputer les impôts étran-gers en rapport avec les paiementsde redevances d’origine étrangèren’est pas seulement accordé aux

établissements stables de sociétés associées, résidentes d’un autreEtat membre de l’Union euro-péenne, mais, d’une manière géné-rale, à tout établissement stableindigène.Le règlement sous rubrique finalise

ainsi la transposition en droit nationalde la directive 2004/76/CE du 29 avril2004 modifiant la directive 2003/49/CE du 3 juin 2003 concernant unrégime fiscal commun applicable aux paiements d’intérêts et de redevan-ces effectués entre sociétés associées d’Etats membres différents.

Le texte intégral du règlementgrand-ducal peut être consulté sous:

http://www.legilux.public.lu/leg/a/archives/2004/2113012/2113012.pdf#page=6

Taux multiplicateurs 2005en matière d’impôt commercialet d’impôt foncier

Les taux des impôts communaux pour 2005 sont fixés par l’arrêté grand-ducal du 19 novembre 2004 approu-vant les délibérations des conseilscommunaux aux termes desquellesceux-ci ont fixé les taux multiplica-teurs à appliquer pour l’année d’impo-sition 2005 en matière d’impôt foncier et en matière d’impôt commercial.

Le texte intégral de l’arrêté grand-ducal, ainsi que le tableau récapitula-tif des taux communaux sont repro-duits sous:

http://www.legilux.public.lu/adm/b/archives/2004/0881512/0881512.pdf

Pour plus d’informations:Direction des contributions directes, 45boulevardRoosevelt,Adresse

postale: L-2982 Luxembourg,tél.: (+352)

40 800-1, fax:(+352) 40 800-

2022, www.impotsdirects.

public.lu.

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78 • Merkur • Février 2005

CommerceLes commerces spécialistes

Le secteur des

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79 • Merkur • Février 2005

dans la Grande-Région Saar-Lor-Lux

Dans ce numéro nous présentons la

suite de l’analyse du commerce mondial et luxem-

bourgeois en examinant le secteur des loisirs cul-

turels. La première partie de l’analyse, publiée ce mois,

reprend les librairies, les papeteries, la presse et les

loisirs créatifs. Le mois prochain nous présenterons

les secteurs de la photographie, de la musique, de la

vidéo, des voyages, des souvenirs et des tabacs.

sss

loisirs culturels

Au cours d’une vie, le tempslibre, avec l’accroissement del’espérance de vie, représente

la part la plus importante après lesommeil. L’allongement des études,une cessation d’activité qui intervientplus tôt et le travail à temps partiel

sont des évolutions qui augmentent globalement le temps libre. Ce sont les jeunes seniors à la retraite, sur-tout ceux avec des moyens finan-ciers qui profitent le plus et le mieux de leur temps libre. Deux constatss’imposent:

1) Les activités de loisirs occupent bien plus de temps que le travail.Part du temps libre la semaine et le weekend (ce temps n’intègre pas

celui du sommeil)

Semaine Weekend

27 % Activités de temps libre 44%29% Activités professionnelles ou études 5%11% Travaux ménagers et domestiques 13 %12 % Repas 14%8% Sommeil ou sieste 14%7 % Trajets 4%3 % Toilette 4%3 % Autres 2%

Source: LSA/TEMPS DE CONSO 18 décembre 2004

A cause dela diversitélinguistiqueet du poten-tiel limitédu marchélocal, les grands acteurs ont délaissé leLuxembourg,laissant le champ libre aux-magasins traditionnels généralistes.

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Commerce

Pour l’ensemble des Français,72 % des activités de la semaine(58% le weekend) se pratiquent àdomicile, contre 28% à l’extérieur dela maison (42 % le weekend). Cetterépartition est sensiblement la mêmequ’ils soient actifs ou inactifs.

La société des loisirs faitaujourd’hui partie du langage quo-tidien. De nombreux jeunes en font d’ailleurs une question incontourna-ble lors des entretiens d’embauche.

Le sociologue Gérard Mermet écritque le temps libre n’a cessé de s’ac-croître au cours des vingt dernièresannées, c’est une donnée sociologi-que majeure, il représente aujourd’huiprès d’un tiers de la vie éveillée.

L’on estime que 20 % du bud-get des ménages est consacré auxloisirs. Les commerces qui visent cemarché, sont comme pour les autres secteurs, très variés. Ils vont du petit commerce très spécialisé, en passant par les grandes surfaces spécialisées type FNAC jusqu’à l’hypermarché,sans oublier la vente à distance par correspondance ou via Internet. Cettedernière forme de commerce connaît d’ailleurs ses plus grands succès dansle secteur des loisirs avec comme lea-der mondial AMAZON.

■ Les librairiesLe n°1 mondial du secteur est

l’Américain BARNES & NOBLE avec

un chiffre d’affaires de 5,3 milliards de dollars.

BARNES & NOBLE a diversifiéson activité avec les jeux vidéo ausein de sa filiale GAMESTOP. Au vu des résultats décevants, B.N. commebeaucoup d’autres revoit sa stratégiedans le domaine des jeux vidéo pourmieux se concentrer sur l’édition tra-ditionnelle.

A la différence des USA, avecune langue et une culture, la diver-sité en Europe a empêché l’apparitiondes géants. Des enseignes comme laFNAC et VIRGIN en France ont desimplantations dans un nombre limitéde pays. C’est probablement le mul-ticulturalisme du Luxembourg et sonmarché limité qui a freiné les grands acteurs dans leur volonté d’implan-tation au Luxembourg. De ce fait, les acteurs locaux ont pu conserver unepart importante du marché. Les con-sommateurs luxembourgeois sontcependant friands, lors de leurs dépla-cements à l’étranger, de visites auprès des acteurs précités sans oublier CUL-TURA à Thionville et INTERBOOK àTrèves, ce dernier appartenant cepen-dant à l’évêché. Il est difficile d’éva-luer la pénétration d’AMAZON ou deBERTELSMANN au Luxembourg, maisil est sûr que ces firmes et d’autresmoins connues, connaissent un suc-cès certain auprès des consommateursluxembourgeois.

Il semblerait également que leshypermarchés locaux, AUCHAN,CORA et autres LECLERC et CARRE-FOUR situés à nos frontières tirentbien leur épingle du jeu en matièrede vente de livres, disques et CD.En France, leur part de marché estde 33,5% pour 2,5% à la vente àdistance.

A défaut de chiffres, il n’est pro-bablement pas faux d’affirmer au fee-ling que, même avec les hypermar-chés frontaliers, leur part du marchéest moindre au Luxembourg et cellede la vente à distance plus élevéeque chez nos voisins.

Tout comme les autres produitsvendus en hypermarché, il existe enmatière de livres des best-sellers àrotation rapide et les autres à rota-tion plus lente. Souvent les premiers sont vendus avec des marges réduitespour servir de produit d’appel.

Plus que les hypermarchés qui,par tous les moyens, ont tenté debousculer la formule du prix uni-que en vigueur dans certains pays,ce sont les libraires en ligne qui ont cassé les règles de la profession. Cer-tains éditeurs sont accusés de boycotten refusant la vente à ces libraireset la Commission Européenne luttecontre le prix unique du livre imposépar l’éditeur à son distributeur. EnSuède, la dérégulation du prix dulivre est effective depuis 1970 et l’édi-

2) En semaine et durant le weekend, le temps libre se déroule essentiellement chez soiActivités pratiquées durant le temps libre en semaine et le weekend

Regarder la télévision En semaine: 37 %

Pendant le weekend: 27 %

Loisirs intérieurs(bricolage, jardinage, lecture, vidéos…)

En semaine: 24%

Pendant le weekend: 22 %

Sorties et sports(Promenade, lèche-vitrine, cinéma…)

En semaine: 13 %

Pendant le weekend: 21%

Consulter les autres médias(y compris Internet…)

En semaine: 11%

Pendant le weekend: 7 %

Activités sociales(visite chez des amis, dans la famille, téléphoner…)

En semaine: 10 %

Pendant le weekend: 18%

Activités avec enfantsEn semaine: 5%

Pendant le weekend: 5%

Source: LSA/TEMPS DE CONSO 18 décembre 2004

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tion suédoise est en croissance con-tinue. Au Royaume-Uni, qui plusrécemment a suivi la même voie,l’on constate que la part de marchédes libraires indépendants ne cessede s’éroder. La diversité des taux deTVA, des droits d’auteur s’arrange parles choses pour les libraires luxem-bourgeois, confrontés à des fournis-seurs de divers pays et à des concur-rents de ces mêmes pays.

En Belgique, les prix sont de 10 à12 % plus élevés qu’en France et les prix français déjà imprimés ou deslivres sont artistement surcollés. Les ouvrages distribués au Luxembourgvia la Belgique bénéficient cependantd’un taux de TVA de 3% au lieu de6 %, ce qui atténue certains écarts parrapport à la France. Les libraires indé-pendants sont également inquiets del’importance du groupe HACHETTEdepuis la reprise de VIVENDI UNI-VERSAL PUBLISHING (V.U.P.) qui dece fait contrôle de 40 à 50 % des volu-mes des ventes des librairies fran-cophones et directement 8% de lavente au détail.

Les moments forts pour les librai-res sont les fêtes de fin d’année avecles livres cadeaux, et la rentrée des classes pour ceux qui se sont orientés vers les livres scolaires. Pour ces der-niers, les volumes sont importants,mais les marges sont faibles.

Parmi les principaux acteursdirectement présents sur le mar-ché luxembourgeois, nous citerons,les magasins traditionnels généralis-tes comme ERNSTER avec 4 points de vente et une présence en centreville et dans les centres commerciauxpériphériques et l’enseigne LIBO du groupe Saint-Paul, récemment res-tructurée avec 6 magasins.

Parmi les magasins spécialisés,l’on citera la LIBRAIRIE FRANCAISE,qui comme son nom l’indique estspécialisées dans les ouvrages de lan-gue française, PROMOCULTURE spé-cialisé dans les ouvrages techniques et scientifiques et ALINEA qui sur 400m2 présente des ouvrages littéraires.Comme grande surface spécialiséedans la librairie, l’on peut citer lesMESSAGERIES DU LIVRE du groupe

MPK avec une surface de 1.400 m2

et 390.000 livres au départ.

MPK (Messageries Paul Krauss)Le groupe luxembourgeois MPK

des familles Funck, Faber et Kre-mer a été cédé en 2000 à VALORAHOLDING du Suisse K GROUP quiexploite plus de 1.600 kiosques enSuisse, Allemagne et MPK Shop au Luxembourg.

Le groupe K est également actifdans la distribution et le développe-ment de photos. Le chiffre d’affaires du groupe approche (2,5 milliards deFrancs Suisses), soit plus de 1,6 mil-liards d’euros.

MPK est également actif dansla distribution et vente d’articles depapeterie, jouets, souvenirs, cartesde fantaisie, de vœux…

www.mpk.lu

HACHETTE-VUP (H.D.S.)Le groupe LAGARDERE MEDIA

est à la fois éditeur, diffuseur, distri-buteur et libraire à travers ses ensei-gnes VIRGIN, FURET DU NORD et RELAY.

HACHETTE privilégie ses pro-pres livres dans ses magasins RELAYsitués dans les gares et aéroports. Legroupe français réalise 70 %, de sonactivité à l’international. Il gère 3.600 magasins dont 1.000 en France.

FNACCréé en 1953 par la Fédération

Nationale pour l’achat des cadres, cetadversaire du commerce a été con-fronté à des difficultés de gestion.Les fondateurs ont cédé la FNAC,qui est aujourd’hui devenue le lea-der du secteur culturel français, con-trôlé par le groupe puissant P.P.R.(Merkur n°1/2004) avec un chiffred’affaires de 3,5 milliards d’eurospour 67 magasins en France et 42à l’étranger et un effectif de 15.000 salariés. Les magasins ont une sur-face moyenne de 2.300 m2 et outreles livres, vendent des disques mais aussi de matériel audio, informatiqueet photos. La dernière diversificationde la FNAC est l’ouverture à Parisd’un magasin de 2.500 m2 consacré

aux appareils numériques, audiovi-suels, photos, lecteurs DVD, homecinéma, téléviseurs, CD-ROM…

La FNAC réalise près de 20 % deson chiffre d’affaires à l’étranger soit la Belgique, l’Espagne, le Portugal,le Brésil, la Suisse, Taiwan et l’Italie.Pour ce dernier pays, l’objectif estd’en faire la première filiale après la France.

Le seuil de rentabilité réclameminimum 5 magasins, ce qui expli-que l’absence au Luxembourg. Lesachats sont effectués via P.P.R. Pur-chasing.

La FNAC profite donc des volu-mes de la REDOUTE et de CONFO-RAMA.

FNAC.COM ambitionne de réa-liser 10 % de l’activité totale à court terme et se positionne en deuxièmeposition sur le marché français, der-rière C Discount (CASINO) maisdevant AMAZON qui a des difficul-tés à s’implanter en France.

VIRGINC’est le milliardaire Richard Bran-

son qui, en 1988, a lancé son pre-mier MEGASTORE en France sur les Champs-Elysées. La surface a étéportée de 2.000 à 4.400 m2. Embar-qué dans une guerre des prix avec laFNAC, Richard Branson a cédé ses 18magasins à HACHETTE DISTRIBU-TION SERVICE (H.D.S.) du groupeLAGARDERE MEDIA qui a modi-fié les enseignes de ses magasinset extrapole en VIRGIN pour porter leur nombre à 31 en France avec des surfaces de 1.500 m2 en moyenne. Levaisseau amiral de VIRGIN voit pas-ser 3 millions d’acheteurs par an à sescaisses, soit le quart de la clientèletotale. Contrairement à la FNAC, VIR-GIN ne vend pas de matériel audio,le CD représente 40 % du chiffre d’af-faires.

Les magas ins VIRGIN auRoyaume-Uni, Japon, USA font tou-jours partie de l’empire de Sir RichardBranson. La marque peut cependant être utilisée par H.D.S. en Europe et dans toutes les gares et tous les aéro-ports du monde sauf au Japon et au Royaume-uni. sss

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CommerceH.D.S. projette d’ouvrir 60 à 80

magasins VIRGIN de ± 100 m2 com-plémentaires aux RELAY dans leslieux de transport et compte implan-ter des VIRGIN MEGASTORE de±1.500 m2 dans d’autres pays d’Eu-rope.

Les six VIRGIN MEGASTORE bel-ges avaient été rachetés par le groupehollandais FREE RECORD SHOP quiles a rebaptisés FREE RECORD SHOPMEGASTORE.

L’enseigne VIRGIN, construite àl’origine autour de la musique, subit de plein fouet une chute des ventes des marchés de CD de près de 30 %.Etant donné que ce secteur repré-sentait 40 % des ventes de VIRGIN,l’objectif est de faire du livre et de lapapeterie, le premier métier de VIR-GIN dès 2006.

Avec le FURET DU NORD, VIR-GIN, le n° 2 du secteur en France, aréalisé un chiffre d’affaires de près de 400 millions d’euros en 2003 etce avec 2.000 salariés.

CULTURAAvec 20 magasins de près de

2.500 m2 à fin 2004, l’enseigne CUL-TURA établie à Thionville, et dont lechiffre d’affaires n’est pas commu-niqué, a développé un concept quis’appuie sur les loisirs culturels. Tout comme pour la FNAC, elle proposedes livres, disques, vidéo et multi-médias, mais en plus, un vaste choix de loisirs créatifs avec une initiationpar des professionnels. CULTURAdémocratise également l’art contem-porain, en proposant en libre ser-vice des œuvres d’artistes souventrégionaux.

AMAZONSous l’impulsion de son PDG,

Jeff BEZOS, AMAZON, le cyberli-braire créé en 1995, est devenu len° 1 mondial du commerce en ligne.Après une accumulation de pertes et de dettes, AMAZON vient de sortirdu rouge et réalise un chiffre d’af-faires de 4,3 milliards d’euros avec7.500 salariés.

N° 1 en Grande-Bretagne, enAllemagne, au Japon et au Canada, la

stratégie de Jeff BEZOS était de pren-dre rapidement des parts de marchédans les grands pays européens et ceen vendant à prix cassé, et en inves-tissant massivement dans des outils informatiques performants et dansla construction de centres de distri-bution sophistiqués un peu partoutdans le monde. Utilisés souvent à40 %, ces outils ont coûté beaucoupd’argent et plusieurs centres de dis-tribution ont été fermés.

En France, AMAZON se posi-tionne en 3ème position et n’utilisequ’un tiers de ses capacités. En Alle-magne, AMAZON détiendrait 47 %du marché du livre online et 3 % del’ensemble du marché du livre. AMA-ZON est l’un des rares survivants dela folie Internet, mais sa place sur lemarché, conquise de manière agres-sive lui a coûté très cher. AMAZON arévisé sa stratégie de croissance tous azimuts pour se consacrer prioritai-rement à la contraction des coûts et aux gains de productivité.

Dans le cadre de sa restructura-tion, AMAZON a décidé d’implan-ter sa centrale administrative euro-péenne au Luxembourg.

■ Papeterieou secteur P.B.S.(Papier, Büro, Schreibwaren)Le secteur connaît les mêmes

changements que les autres secteurs,fusions et internationalisation de ladistribution. Le grossiste britanniqueSPICER est devenu le leader en Alle-magne et contrôle les 4.019 magasinsPLEIN CIEL en France. Le regroupe-ment de grossistes allemands et autri-chiens dans le P.B.S.-Holding assureleur présence dans 10 pays euro-péens. Les grandes surfaces spéciali-sées américaines STAPLES et OFFICEDEPOT se développent en Europe etsont présentes à nos frontières alle-mandes et françaises. Ces dernières offrent une gamme complète de four-nitures de bureaux. Ces acteurs, lea-ders sur le plan mondial seront pré-sentés avec les acteurs du secteur desfournitures de bureaux.

Le secteur P.B.S. connaît une sta-gnation et même un recul parallèle-

ment au développement des nou-velles technologies qui nécessitentde moins en moins de fournituresde bureaux classiques. La plupartdes professionnels du secteur visent le client occasionnel qui achète des fournitures scolaires ou des gadgets,et la clientèle professionnelle. Lesleaders du secteur se sont dévelop-pés dans la vente à distance aux pro-fessionnels, via Internet et les cata-logues. Ils réalisent près de 30 % deleurs ventes par ce canal commepar exemple la filiale de OFFICEDEPOT, VIKING DIRECT, active àLuxembourg et dans de nombreuxpays européens.

Les commerçants traditionnelscomme ERNSTER, LIBO et les com-merces de proximités sont doncconfrontés à la concurrence de ces acteurs et comme tous les autres sec-teurs à celle des hypermarchés et dessupermarchés et même de discoun-ters comme TRAFIC.

Le grossiste luxembourgeoisMULLER & WEGENER est un four-nisseur important des entreprises.

■ PresseDans de nombreux pays, la dis-

tribution de la presse avait pendant longtemps un caractère monopolis-tique. A.M.P. en Belgique (Agenceet messagerie de la presse), filialede H.D.S.; N.M.P.P. en France (Nou-velles messageries de la presse pari-sienne) et M.P.K. (Messagerie PaulKraus) au Luxembourg. Depuisquelques années, le marché de lapresse est au mieux stagnant et deplus en plus la part de la pressedans les boutiques s’y réduit au pro-fit du tabac, des friandises, boissonset autres lotto. Au Luxembourg, unedes particularités en dehors de lafaible dimension du marché est lamultiplication des titres étrangersdu fait de la forte présence d’uneclientèle internationale. La majoritédes points de vente M.P.K. Shopde différents formats avec une part plus ou moins importante de librai-rie-papeterie ou autres produitsannexes, sont exploités en directpar M.P.K.

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Les secteurs de la photo, dela musique, de la vidéo et des voyages seront traités dans le

prochain numéro.

Le commerce évolue également dans le sens de la vente de journaux et magazines via des magasins deproximité, stations services, et ensei-gnes spécialisées comme les centres de bricolage, auto-moto, jardinerie.Ces enseignes sont plus à même devendre les magazines spécialisés dans leur domaine. Les magasins deproximité peuvent accueillir un rayonde presse là ou les distributeurs tradi-tionnels ne peuvent s’installer.

L’un des grands acteurs euro-péens est H.D.S., présent dans unedizaine de pays dont les Etats-Unis.Son réseau de distribution en pro-pre, avec 3.600 points de vente, est connu sous l’enseigne RELAY. Avant 2007, RELAY disposera de 150 points

de vente dans les gares et aéroports allemands. Après une période carac-térisée par les monopoles à l’échellenationale, la tendance est aujourd’huià l’internationalisation et à la diver-sification.

Malgré l’introduction de l’euro,l’on constate cependant une tarifica-tion différente selon les pays et ce,tant pour les revues que les jour-naux. A titre d’exemple, le journalLE FIGARO est vendu pour 1 euroà Thionville et 1,2 euros à Luxem-bourg.

■ Les loisirs créatifsLa plupart des magasins sont

orientés vers les beaux-arts, la déco-ration et la fête. A côté de magasins

traditionnels, comme STEINHAUSER,BASTEL-KISTE, ERNSTER JEUX ETDECOUVERTE, différentes enseignesse développent en Europe.

Des succursalistes comme AVA,très orientés vers le papier, touchent largement aux loisirs créatifs. Le mar-ché est également visé par les chaî-nes généralistes comme CACTUS ou des grandes surfaces spécialiséescomme HELA.

Norbert Friob

Samedi 26 mars Pâques

Samedi 30 avril Veille de la Fête du Travail

Mercredi 4 mai Veille de l’Ascension

Samedi 14 mai Pentecôte

Samedi 13 août Assomption

Lundi 31 octobre Veille de la Toussaint

Samedi 3 décembre Fêtes de fin d’année

Samedi 10 décembre Fêtes de fin d’année

Samedi 17 décembre Fêtes de fin d’année

Samedi 7 mai Jour férié en France

ou 1er octobre Jour férié en Allemagne

Heures d’ouverture dans le commerce

Ouvertures prolongées en 2005

Pour l’année 2005, les syndicatsOGBL et LCGB d’un côté etla clc (Confédération luxem-

bourgeoise de commerce) de l’autre,ont réaffirmé leur accord-cadre de2004 concernant l’ouverture desmagasins les samedis et veilles dejours fériés légaux.

La clc sollicitera auprès duMinistre des Classes Moyennes et du Tourisme une dérogation temporaireréglant la fermeture des magasinsafin de pouvoir porter l’heure de fer-meture à 20h00 heures aux jours sui-vants:

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Fédérations/UELUnion des Entreprises Luxembourgeoises

Proposition de directive relativeaux services dans le marché intérieur

A l’heure où la présidence luxembour-

geoise du Conseil européen vient d’émettre une ver-

sion consolidée de la proposition de directive rela-

tive aux services dans le marché intérieur et où elle

s’apprête à mettre quelques accents sur la proposi-

tion de texte en question, l’UEL souhaite alimenter le

débat en faisant part ici de son avis préliminaire en la

matière. L’UEL ne manquera pas de s’exprimer au fur

et à mesure de l’évolution du débat.

La réalisation des objectifs deLisbonne rend indispensable laréalisation d’un véritable mar-

ché intérieur des services. D’après laCommission Européenne, le potentielconsidérable de croissance et de créa-tion d’emplois dans le domaine desservices n’a pas pu être réalisé jus-qu’à présent en raison de nombreux obstacles qui entravent le dévelop-pement des activités de services dans le marché intérieur. Or, les services qui représentent 70 % du PIB et des emplois dans la majorité des Etatsmembres, constituent les moteurs dela croissance économique.

La proposition de directive sepropose d’établir un cadre juridiquequi supprime les obstacles – à la liberté d’établissement des

prestataires de services,– à la libre circulation des services

entre Etats membres et – à la garantie aux prestataires et

aux destinataires de la sécuritéjuridique nécessaire à l’exerciceeffectif de ces deux libertés fon-damentales.

■ I. Considérationsgénérales tenant à lafinalité du texteLa proposition de directive du

Parlement Européen et du Conseil,présentée par la Commission Euro-péenne (CE) le 13 janvier 2004, s’ins-crit dans la logique du processus deLisbonne qui vise à faire de l’UnionEuropéenne l’économie de la con-naissance la plus compétitive et laplus dynamique du monde.

A cet effet, la proposition a pour objet de réaliser un marché intérieur performant pour les services en éli-minant les barrières juridiques exis-tantes et en mettant en place unprocessus de réforme et de moder-nisation des réglementations natio-nales en instituant une coopérationentre administrations compétentesdes Etats membres.

Les principaux moyens déployés à cet effet consistent en une simpli-fication administrative de grandeenvergure doublée d’un échanged’informations intense entre auto-rités compétentes nationales et en

l’institution d’un contrôle de la miseen œuvre des dispositions de la pro-position de directive.

La simplification administrativevisera tant le droit d’établissementen facilitant la constitution d’éta-blissements de toute nature que lafourniture de services transfrontalierspar l’application du principe du pays d’origine soumettant le prestataire deservices, sauf exceptions, aux règles de son pays d’établissement.

La proposition de directive secaractérise encore par sa généralitédans la mesure où la notion de ser-vice telle que reprise par les auteurs englobe toute prestation ne faisantpas déjà l’objet d’une réglementa-tion spécifique de la part de l’UnionEuropéenne et en ce que la proposi-tion vise à la fois les prestations entreopérateurs économiques et les servi-ces aux consommateurs.

L’UEL salue la finalité recherchéepar les auteurs d’accroître les per-formances économiques de l’Unionen posant un cadre réglementairedevant concrétiser et dynamiser un

NOTESL’UEL regroupeles organisations suivantes:Associationdes Banques et Banquiers,Luxembourg;Association des Compagnies d’Assurances; Chambre deCommerce du Grand-Duchéde Luxembourg; Chambre des Métiers du Grand-Duchéde Luxembourg; ConfédérationLuxembourgeoisedu Commerce; Fédération des Artisans; Fédérationdes Industriels Luxembourgeois; Fédération Nationaledes Hôteliers,Restaurateurs et Cafetiers

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marché intérieur des services. Cettedémarche est d’autant plus judicieusequ’elle doit permettre de tirer véri-tablement avantage du potentiel decroissance et de création d’emplois inhérent aux secteurs des services àun moment où le marché intérieur setrouve élargi par l’adhésion des pays de l’Est de l’Europe. Ce qui plus est,une intégration accrue du marchéintérieur constitue un enjeu capitalpour l’économie luxembourgeoisequi historiquement se caractérise par sa forte dépendance des pays avoi-sinants au vu de la taille réduite du marché local.

Aussi l’UEL reconnaît-elle quecette directive, en proposant desmécanismes visant à évaluer et àrationaliser les procédures adminis-tratives, contribuera à alléger subs-tantiellement la charge administrativepesant sur les entreprises dans uncontexte national et transfrontalier.La simplification administrative quidoit en résulter est accueillie favora-blement par l’UEL qui se rallie dès lors fermement à cet objectif.

L’UEL est consciente que l’ap-proche retenue par la Commissionpour atteindre un véritable marchéintérieur des services est ambitieuse.Cette approche qui combine le prin-cipe du pays d’origine lié à unereconnaissance mutuelle avec uneharmonisation ciblée et un méca-nisme d’assistance mutuelle entreEtats membres doit encore être qua-lifiée d’osée. Aussi l’UEL tient-elle àattirer dés à présent l’attention surcertaines réserves qu’elle formulerapar la suite quant à la pertinence des moyens mis en œuvre par les auteursde la proposition de directive pour atteindre les objectifs visés. Elle exa-minera ainsi dans le corps de la pré-sente si les moyens déployés ne sontpas de nature à entraîner des effets non souhaités par les auteurs et quisont de nature à entraver en défini-tive la libre prestation de services,finalité pourtant recherchée par laproposition de directive. L’UEL véri-fiera en particulier si les mesures pré-conisées ne comportent pas d’effets de distorsion de concurrence au

désavantage des entreprises luxem-bourgeoises.

■ II. Considérations portantsur les grandes optionsprises par les auteurs

A. La liberté d’établissement des prestataires

L’UEL souscrit à la propositionde la CE de faciliter l’accès à uneactivité de service et à son exercice.Elle salue notamment la promotionde guichets uniques, le recours aux procédures prenant avantage desmoyens de communication moder-nes, la fixation de délais de réponseobligatoires aux administrations et,d’une façon générale, l’augmenta-tion de transparence recherchéepar les flux d’informations préco-nisées.

L’UEL aimerait par contre queles certificats et attestations à pro-duire dans le cadre des marchés publics et de la reconnaissancedes qualifications professionnelles ne soient pas visés par les allége-ments préconisés tout comme celasemble résulter d’ailleurs de l’inter-action des différents textes applica-bles à laquelle la présente proposi-tion fait référence et dont certains ne revêtent actuellement que le sta-tut de proposition de directive. Tou-jours est-il que les conditions tenantà l’honorabilité professionnelle res-tent régis par le texte sous examen.L’UEL se doit de faire remarquerdans ce contexte que l’organisationde la communication de renseigne-ments entre Etats membres à la suitede demandes à ce sujet émanantd’autorités compétentes en matièred’établissement soit n’est pas pro-pice à ses yeux pour suffire aux exi-gences de rapidité des examens desdemandes d’établissement, soit nepermettra pas d’identifier des per-sonnes faillies ou malintentionnées.Aussi voudrait-elle mettre en gardedans ce contexte devant une appli-cation trop large de l’injonction quiest faite aux Etats membres de sur-seoir à l’exigence de communiquer des pièces sous forme de copie con-

forme ou de traduction certifiéeconforme dans le cadre des autori-sations d’établissement.

Elle note avec satisfaction quecette injonction ne s’applique pas àl’intégralité des documents en ques-tion, alors que certains éléments dedossier sont à identifier comme des éléments clés qui doivent être à l’abride tout soupçon quant à leur véra-cité. La nouvelle réglementation nedoit pas avoir pour conséquence queles autorités compétentes se basent,le cas échéant, sur des documentsentachés de faux ou falsifiés pourétablir des autorisations d’établisse-ment. A défaut de garantir la sécuritérequise en la matière, l’autorité com-pétente se verrait contrainte de pro-céder respectivement à des démar-ches de contrôle auprès de l’autoritécompétente de l’Etat membre d’ori-gine et de recourir à son tour à des services de traduction pour être àl’abri de tels agencements. Ce quiplus est, une approche contraire àcelle préconisée comporterait le ris-que d’un ralentissement des délaisde réponse à toute demande d’auto-risation d’établissement. Une autresolution à cette problématique pour-rait consister en l’institution de docu-ments standardisés au niveau com-munautaire.

L’UEL suggère encore de clarifier la portée de l’article 9, paragraphe1, portant sur les régimes d’autori-sation alors que l’envergure de cettemesure est difficilement appréciableet qu’il n’est pas aisé d’en connaî-tre la portée au regard du droit des Etats membres d’émettre des autori-sations d’établissement à un certainnombre d’activités limitées. Si la viséedes auteurs de la directive consiste àla fois à réduire les domaines d’ac-tivités sujettes à autorisation et à ensimplifier les procédures afférentes,alors cette approche doit être saluéedans la mesure où la directive permetd’identifier, sous réserve de suffire àune triple condition, des domainesd’activités restant soumis à autorisa-tion et d’harmoniser ces exigencesnationales par application de la pro-cédure d’évaluation mutuelle.

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Fédérations/UELB. La libre circulation deservices

Si l’UEL peut comprendre les rai-sons qui ont motivé les auteurs àopter pour le principe du pays d’ori-gine, elle se doit néanmoins de for-muler des réserves par rapport à lagénéralité de l’application de celui-ci.

Ainsi, l’on ne peut qu’adhéreraux raisons qui militent en faveurd’une soumission du prestataire aucontrôle de son pays d’établissement,pour ce qui est de son statut d’en-tité juridique,. Il se pose toutefois laquestion de savoir si cet Etat membreest suffisamment outillé pour effec-tuer également le contrôle des pres-tations lorsque celles-ci ont un carac-tère transfrontalier.

L’UEL considère que l’Etat dedestination est dans une situationbeaucoup plus aisée pour procéder aux contrôles nécessaires à l’exercicedes activités économiques et ce sur-tout en ce qui concerne les activités susceptibles de porter atteinte direc-tement ou indirectement à la sécu-rité et à la santé des destinataires,tout comme cela semble d’ailleursrésulter de l’application du critèretenant aux raisons impérieuses d’in-térêt général.

L’UEL estime qu’il serait judicieuxd’instituer des dérogations transitoi-res, notamment pour le secteur de la

construction et du parachèvement,au principe du pays d’origine con-cernant ces types de prestations pourlesquelles le contrôle par le paysd’origine ne peut se concevoir dans la réalité. L’UEL demande dès lorsde procéder par activité de service àune analyse détaillée sur l’opportu-nité d’appliquer ou non le principedu pays d’origine. Ainsi, la liste desdérogations incluses aux articles 17 et suivants doit être étendue dans lesens préconisé ci-avant – c’est-à-direpour ce qui est de la compétenceen matière de contrôle de l’exécu-tion des prestations – et ce nonobs-tant une standardisation au niveaucommunautaire des différentes acti-vités faisant l’objet de dérogationsau principe général institué par l’ar-ticle 16.

Cette répartition des compéten-ces entre Etats membres selon lesdistinctions proposées ci-dessus etconcernant surtout l’organisation du contrôle de l’exécution des services frontaliers, permettrait d’instituer uncontrôle plus efficace et présente-rait des garanties accrues pour uneexécution optimale des prestationstransfrontalières.

En ce qui concerne les activités qui représentent un risque particulierpour la santé ou la sécurité, l’UEL sedistance formellement de toute vel-léité d’introduction d’une assurance

responsabilité professionnelle obliga-toire. En effet, de telles couvertures ne sont le plus souvent pas disponi-bles vu les capacités de réassuranceinsuffisantes pour ce genre de ris-ques. Par conséquent, l’UEL plaidepour la suppression de toute obli-gation d’assurance dans le cadre del’article 27.

C. Le détachement des travailleurs

L’UEL approuve que les auteurs précisent expressément que la direc-tive 96/71 CE concernant le détache-ment des travailleurs doit trouverapplication. Elle tient néanmoins àsignaler que la proposition de direc-tive «services» heurte la législationnationale ayant transposé la directive«détachement» en ce que la législationnationale prescrit l’institution d’unmandataire résidant au Luxembourgauprès duquel devront être déposés les documents nécessaires au con-trôle des obligations incombant auprestataire en vertu de cette directive.En effet, les points c et d du paragra-phe 1 de l’article 24 semblent inter-dire cette disposition. L’UEL se doit néanmoins de signaler qu’à défautd’une telle obligation, un contrôlede l’application par le prestataire dela directive «détachement» ne peutse faire d’une façon efficace. Aussidemande-t-elle d’instituer une déro-

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gation, en ce qui concerne les points en question, pour les secteurs où lecontrôle paraît particulièrement indi-qué dans l’intérêt d’une concurrencesaine, non faussée par des effets dedumping, en l’occurrence le secteur de la construction, du parachèvementet les activités de déménagement.Au-delà, l’UEL suggère d’instituer uneharmonisation plus poussée du sys-tème de contrôle en Europe pour les secteurs en question.

D. Le programme deconvergence

L’UEL accueille favorablementl’élaboration d’un rapport par lesEtats membres permettant ainsi lacomparaison des différentes légis-lations existantes. Cette évaluationmutuelle constitue par ailleurs unenécessité afin de garantir un «levelplaying field» entre prestataires de

services au sein du marché unique.A défaut de créer un marché uniquequi garantit des conditions de con-currence non faussées, l’effet écono-mique escompté en terme de crois-sance ne sera pas atteint.

En effet, tout avantage non justi-fié (y compris ceux de nature fiscale)qui subsisterait à la suite de l’exer-cice de l’évaluation mutuelle ne man-querait pas de fausser la libre concur-rence entre entreprises résidentes et étrangères et d’avoir comme consé-quence – en dépit des dispositionsde l’article 4 point 5 de la proposition– la création d’établissements fictifs dans certains Etats, phénomène quiconstituerait justement une entravesérieuse à une concurrence saine.

■ III. ConclusionL’UEL voudrait réitérer à cet

endroit son adhésion aux finalités

affichées par la proposition de direc-tive, en l’occurrence de réaliser unmarché intérieur des services vigou-reux et porteur. Le principe de lareconnaissance mutuelle est un ins-trument ayant fait ses preuves dans leprocessus d’ouverture et d’intégrationprogressive de nombreux marchés dans l’UE. Le Luxembourg figure par ailleurs parmi les pays ayant béné-ficié le plus largement de cet acquis communautaire qu’il s’agit de défen-dre et d’étendre au marché intérieur des prestations de services.

Partant de ce constat, il va de soique le Gouvernement luxembour-geois doit selon l’UEL réserver unaccueil a priori favorable à toute pro-position de directive qui est à la basede nouvelles opportunités de crois-sance pour les entreprises luxem-bourgeoises exportatrices. (Commu-niqué par l’UEL) ■

La FEDIL en faveur d’un plan d’actionnational pour l’innovation et l’emploi

Le conseil d’administration dela FEDIL s’est réuni en date du4 février 2005 sous la prési-

dence de Charles Krombach. Au cha-pitre des sujets d’actualité, le conseild’administration a entendu un rap-port sur la dernière réunion en datedu Comité de coordination tripartitequi s’est penché sur le rapport duprofesseur Lionel Fontagné chargéde faire une analyse de la compétiti-vité du Luxembourg et de dresser untableau de bord reprenant les princi-paux indicateurs économiques.Dans ce contexte, le conseil d’ad-ministration a souligné que les tra-vaux du Comité de coordination tri-partite devraient déboucher, dansles meilleurs délais, sur l’élaborationd’un plan d’action national en faveur de l’innovation et de l’emploi. Del’avis de la FEDIL, ce plan d’actionnational doit impérativement propo-

ser des mesures favorables au néces-saire redressement de la compétiti-vité économique du pays.

Par ailleurs, la FEDIL estime tou-jours qu’il faut considérer le concept de la compétitivité non pas commeune ultime fin en soi mais commeun moyen permettant d’atteindreles objectifs définis dans le cadre dela stratégie de Lisbonne et, surtout,d’assurer le développement.

Dans son analyse de la situationconjoncturelle actuelle, le conseil d’ad-ministration a passé en revue les der-niers indicateurs conjoncturels laissant entrevoir des prévisions de croissancedu PIB favorables. Cependant, le con-seil estime que les indicateurs conjonc-turels positifs reflètent mal le contexteéconomique difficile dans lequel évo-luent actuellement certains secteurs ouentreprises confrontés à des problèmesde nature structurelle.

Dans le même contexte, le con-seil d’administration a procédé à unéchange de vues sur la politiquetarifaire. La FEDIL constate que,compte tenu des contraintes écono-miques, certaines entreprises voient leurs marges de manœuvre tarifaires sévèrement réduites, voire inexistan-tes. Partant, le conseil d’administra-tion de la FEDIL lance un appel aux syndicats de tenir compte de la situa-tion concurrentielle dans laquelle setrouvent ces entreprises et de fairepreuve de réalisme et de modérationen vue du renouvellement des con-ventions collectives de travail.

Au chapitre de l’actualité euro-péenne, le conseil d’administration aanalysé les récents rapports publiés par la Commission européenne dont notamment celui sur la revue à mi-parcours de la stratégie de Lisbonne.La FEDIL soutient fortement les prio-

Comité de coordination tripartite

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88 • Merkur • Février 2005

Fédérations/UELrités de la Commission Barroso quivisent à focaliser l’action politiquesur le renforcement des performan-ces dans le domaine de la croissanceéconomique et de la création d’em-plois. Faut-il rappeler que sans éco-nomie compétitive, l’Europe sera, àterme, contrainte à renoncer à sesambitions sociales et environnemen-tales. Dans ce contexte, le conseild’administration invite la Présidenceluxembourgeoise à soutenir la Com-

mission européenne dans son appro-che courageuse.

Finalement, le conseil d’admi-nistration a approuvé les demandes d’affiliation à la FEDIL des trois socié-tés suivantes: ABC LUXEMBOURGS.A. (conception, réalisation et com-mercialisation de toutes solutionsinformatiques; production et com-mercialisation de logiciels; audit enmatière d’informatique, conseil, for-mation et tous services ayant trait à

la communication); INTERACT S.A.(étude, conseil d’assistance, recher-che et prestations de services dansle domaine de la communication,incluant les aspects techniques, éco-nomiques, financiers, de relationspubliques et de publicité); TETRISS.A. (fabrication et commercialisa-tion de tuyaux en béton). (Commu-niqué par la FEDIL)

Confédération luxembourgeoise du commerce

Réorganisation interne chez la clc

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Lors de sa dernière réunion, leConseil d’Administration dela clc (l’organisation faîtière

du commerce, des transports etdes services) aentériné le rap-port final ducomité exécu-tif portant surla révision des missions assu-mées par laclc, des servi-ces offerts aux membres et deson organisa-tion interne.Le comité exé-cutif, composédu Président,Erny Lambo-relle, des vice-présidents Fer-nand Ernster,Gary Kneip etJos Sales ainsique du secré-ta i re géné-ra l Thie r ryN o t h u m ,épau l é pa rl ’équ ipe duse c ré ta r ia t ,implantera pro-gressivementles recomman-

dations et conclusions contenuesdans ce rapport.

Le but déclaré de cet exerciceest d’accroître davantage l’efficiencede la clc tant dans son lobbyingexterne que dans son fonctionne-ment interne.

Une première conséquencedirecte de ce processus de réflexionest l’adoption par le Conseil d’Admi-nistration d’un nouvel organigrammeet, par conséquent, une réorganisa-tion partielle du secrétariat et uneredéfinition des responsabilités. Ledirigeant du secrétariat, M. ThierryNothum portera dorénavant le titrede Directeur. Il sera assisté de MmeChristiane Poos, qui est nomméeDirectrice adjointe.

Adoption du rapport sur le statut social du dirigeant d’entreprise

Après cette réflexion consacréeaux changements à réaliser au cours des prochains mois, les administra-teurs de la clc se sont penchés surle projet de loi N° 5403 modifiant leCode des assurances sociales. La clca comparé le régime des travailleurs salariés à celui des indépendants et s’est penché sur les conséquencesque l’adoption du projet de loi aurait pour un certain nombre de dirigeantsd’entreprises commerciales. (Com-muniqué par la clc). ■

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89 • Merkur • Février 2005

Union des Entreprises Luxembourgeoises

Girls’ Day 2005 –Les filles prennent

leur avenir en main

Depuis 2002, le Girls’ Day, uneinitiative complémentaire àl’orientation professionnelle

axée sur les filles, connaît un succès croissant au Luxembourg. Le 28 avril2005 aura lieu, pour la quatrième fois au Luxembourg, cette journée spé-ciale qui veut rapprocher jeunes fem-mes et monde du travail. En leur per-mettant de vivre une journée pratiquedans une entreprise, le Girls’ Day aideles filles à faire connaissance avec unplus large éventail de professions et demétiers, ceci en vue de mieux prépa-rer leur choix professionnel. En effet,bien que toutes les branches d’étu-des et tous les métiers soient théori-quement accessibles aux jeunes filles,force est de constater qu’elles optent en pratique essentiellement pourdes domaines professionnels forte-ment «féminisés». Le Girls’ Day metl’accent sur le secteur technique ettechnologique, y compris les nouvel-les technologies informatiques et decommunication, branches où la sous-représentation de femmes persistent.Le Girls’ Day permet alors aux entre-prises de prendre contact avec unefuture ressource humaine.

L’initiative est coordonnée parl’asbl Cid-femmes (Centre d’infor-mation et de documentation desfemmes) et le Service à l’Egalité des Chances de la Ville d’Esch-sur-Alzette(le dernier s’occupe de la régionEsch). Pour les années 2005-2006,le Girls’ Day est mené avec le sou-tien du Fonds européen social, leministère de l’Egalité des Chanceset le ministère de l’Education natio-nale et de la formation profession-nelle. Nous travaillons en étroite col-laboration avec les écoles/SPOS, les

organisations patronales et salaria-les. En 2004, presque 400 filles de13 à 20 ans ont profité de l’offre de70 entreprises.

Lors d’une séance de formation«Le Girls’ Day dans notre entreprise»prévue pour fin février/début mars,nous présenterons des exemples debonne pratique et donnerons desidées concrètes qui aideront à pla-nifier et organiser le Girls’ Day dans l’entreprise.

Vous êtes intéressé à participerau Girls’ Day? Vous souhaitez rece-voir plus d’informations pratiques?Votre entreprise pourra accueillirquelques jeunes filles? Alors ren-voyez-nous le coupon-réponse etnous tâchons à vous répondre leplus vite possible.

Plus de renseignements surnotre site web www.girls-day.lu. (Communiqué par l’UEL)

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90 • Merkur • Février 2005

Fédérations/UELCoupon-réponse

❏ Je souhaite/Nous souhaitons recevoir d’autres renseignements et la fiche d’inscription:

❏ Je souhaite/Nous souhaitons participer à la séance de formation «Le Girls’ Day dans notre entreprise».

Nom de l’entreprise ________________________________________________________________________

Nom de la personne de contact ______________________________________________________________

Fonction __________________________________________________________________________________

Adresse ___________________________________________________________________________________

Téléphone ________________________________________________________________________________

Fax ______________________________________________________________________________________

Mail ______________________________________________________________________________________

Envoyez le coupon-réponse à une des adresses suivantes s.v.p.:

Christa Broemmel, Cid-femmes, B.P. 818 L-2018 Luxembourg, Fax: 241095-95Nicole Jemming, Service à l’Egalité des Chances, B.P. 145, L-4002 Esch, Fax: 547383-690

Alors que de plus en plus decitoyens et résidents luxem-bourgeois sont connectés à

Internet, le Syndicat Intercommunalde Gestion Informatique (SIGI) a misau point, en collaboration avec Mind-Forest, un guide Internet commu-nal. Il doit permettre aux commu-nes membres du SIGI de faire deleur présence en ligne un succès.

Un site Web communal constitueune première étape pour améliorer la qualité des services administratifs et pour développer une meilleurerelation entre les communes et lescitoyens, via Internet. Afin d’assister ses communes membres, le SIGI et MindForest S.A. ont rédigé et mis à

disposition des communes un «GuideInternet communal» leur permettant de mieux approcher et comprendrela problématique Internet qui est laleur.

Plus précisément, ce guide seveut un outil au service des responsa-bles communaux dans leur réflexionsur la présence en ligne de leur com-mune: il y est question d’animationdu site, de production de contenude qualité, d’intégration des servi-ces dans les processus organisation-nels de la commune, de sensibilisa-tion des utilisateurs et de mesure del’impact…

Ce guide accompagne donc lescommunes dans leur démarche demise en œuvre et de gestion au quo-

tidien d’un site Internet, en passant en revue les grandes étapes chrono-logiques menant à la réalisation d’unsite: conception du projet, des conte-nus, services, outils et espaces à pro-poser, la prise en compte des con-traintes juridiques et de nombreuxautres éléments.

Pour M. Wengler, Président duSIGI, «il était aujourd’hui importantde mettre à disposition de nos mem-bres un outil pour se constituer unsite Internet via lequel le SIGI sauraoffrir à l’avenir des «Webservices»,c’est-à-dire des facilités de commu-nications et de services aux citoyens.Les sites Internet des communesmembres s’appuyant sur la structureet le cahier de charges du SIGI sau-

Le SIGI propose un Guide Internet à l’usage des communes

Internet

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91 • Merkur • Février 2005

ront certainement profiter de don-nées déjà enregistrées dans l’appli-cation de base, le GESCOM.»

Pour Guy Kerger, Managing Par-tner de MindForest, ce guide est «l’oc-casion pour toutes les communesd’avoir, noir sur blanc, un canevasprécis de ce qu’Internet peut repré-senter pour chacune d’entre elles,

à la fois en termes d’opportunités,mais également en termes d’orga-nisation. Aller en ligne, ce n’est pas se contenter de mettre en ligne unefois un site Internet. C’est mettre enplace une nouvelle organisation etdes processus pour maintenir l’intérêt du citoyen-internaute, via des conte-nus et des services interactifs.»

La table des matières du GuideInternet Communal est consultablesur le site de MindForest à l’adressehttp://www.mindforest.com/insights_internet_communal.htm. ■

Pour plus d’informations:[email protected],

tél.: +352 35 00 99

Internet

Le nouveau site Internet de laFEDIL présente une série de nou-veautés et d’adaptations, dontnotamment un nouveau moteur derecherche par mot-clé au niveau durépertoire des membres, une réduc-tion du nombre des menus permet-tant une navigation plus ciblée,un encart réservé à la Présidenceeuropéenne, un menu séparé pourl’Echo de l’industrie, un menu ras-semblant les prises de positions,les communiqués de presse et les publications de la FEDIL ainsi qu’unmenu rassemblant des informationsutiles destinées aux membres de laFEDIL (paramètres sociaux, liste desjours fériés, etc.). ■

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92 • Merkur • Février 2005

Actualités EntreprisesInformatique

Nouveaux locauxet nouvelles

initiatives pour MindForest

Installée jusqu’à présent dansle quartier de Hollerich, Mind-Forest a choisi pour nouvelle

implantation le quartier de la Gare.Depuis le 24 janvier 2005, l’entre-prise a investi deux étages d’unemaison de maître, dans le voisinagede la BCEE et d’Arcelor. Pour Guy Kerger, Managing Partner de Mind-Forest, ce déménagement «permet de se retrouver plus proche de nos clients. Sans compter que ce nouvelenvironnement apporte aussi beau-coup d’avantages pour nos équipes en termes d’organisation et de qua-lité de travail.» Ces nouveaux locauxpermettront à l’entreprise de con-tinuer son développement les pro-chaines années: plus grands, ils per-mettront d’accueillir les nouveauxcollaborateurs, mais également deproposer aux partenaires de Mind-Forest de nouveaux services et denouvelles initiatives.

Cette installation a égalementété l’occasion pour MindForestd’adopter des solutions matérielles et logicielles innovantes. La sociétéa ainsi opté pour la téléphonie IPpour tous les postes fixes, qui, cou-plée à un accès Internet WiFi pour tous les ordinateurs, permet unesouplesse avérée dans le travailde ses collaborateurs. La mise enplace de l’infrastructure technique aété confiée au Broadcasting Center Europe (BCE), filiale de RTL Group.«Nos consultants sont beaucoup endéplacement et il était importantd’intégrer complètement nos outils de communication dans nos outils de travail pour gagner en efficacité»,

commente Guy Kerger. Pour ClaudeMihnjak, responsable du départe-ment Telecom Solutions du BCE,ce choix prouve que la technologieVoIP arrive à une certaine maturitéet ne concerne plus seulement les grandes entreprises.

D’ici quelques semaines, Mind-Forest va lancer une série de ren-contres – débats mensuels, entredifférents acteurs du marché. Lesrésultats seront diffusés à travers dessupports personnalisés pour permet-tre à chacun de mieux appréhenderet comprendre les règles et nouvel-les perspectives offertes par les tech-nologies. En effet, après les espé-rances irréalistes de la bulle Internetet le pessimisme qui a suivi, le cons-tat est qu’aujourd’hui les techno-logies arrivent à un stade qui per-met de mettre enfin en œuvre des solutions innovantes à des échellesde coûts permettant un retour sur investissement.

Cette initiative s’inscrit dans leprolongement de la publicationdes Repères 2004 conçus commeun outil au service du marché etrassemblant la totalité des chiffres disponibles sur les technologies del’information et de la communica-tion au Grand-Duché. MindForest y prouve sa volonté, encore une fois,d’accompagner le secteur des tech-nologies et les entreprises dans leurdéveloppement.

Pour plus d’informations: www.mindforest.com, nouvelle adresse:8 rue Heinrich Heine, L-1720 Luxem-bourg-Gare, tél.: 43 93 666 770.

EN BREFValorluxSuccès duconcours Valorlux!

Le 5e Concours de Valorlux, quis’adresse comme chaque annéeaux habitants des communes participant à la collecte sélec-tive des déchets d’emballages en porte à porte, a battu unnouveau record. Pas moins de8 352 coupons-réponse ont été renvoyés et 7 628 réponses correctes ont été enregistrées,soit le double de participations et plus de 3 fois le nombre deréponses correctes par rapport à l’an dernier. Un succès iné-galé qui confère tout son sens au nom du concours: «Acteur du Tri». Les gagnants, invités à l’avant-première du film«Espace détente» au cinémaUtopolis, se sont vu décerner leur prix, des chèques cadeaux d’une valeur de 150, au cours de la réception qui a suivi laprojection du film. Par ailleurs,un caméscope numérique aété attribué par tirage au sort parmi les gagnants présents.L’heureux vainqueur, Monsieur Thilmany, a reçu son prix des mains du directeur de Valor-lux, Monsieur Ernest Boever.Plus d’informations sur www.valorlux.lu

VLM AirlinesL’honneur d’avoir son nom sur un avionPour la première fois dans l’industrie de l’aviation, VLMAirlines lance le programme de

motivation «Our Flying Hero»un programme destiné à tous les employés de VLM Airlines qui se sont dévoués de manièreexceptionnelle. Pendant deux mois, un avion de VLM Air-lines est baptisé du nom dela personne récompensée. Ceprogramme unique en songenre donne aux employés l’occasion de désigner un col-lègue au sein de la compagnie.L’honneur revient à la personnequi a réalisé quelque chose despécial ou qui s’est particulière-ment distinguée. Plusieurs qualités sont également à labase de cet honneur, commel’esprit d’équipe, la motivationet la serviabilité. Carol Gallogly,responsable de l’administrationà London City Airport a étéla première à recevoir cetterécompense. «Chez VLM Air-lines, nous pouvons compter sur une fantastique équipe depersonnes consciencieuses (…). Pour une compagnieaérienne, ce programme est un moyen exceptionnel deremercier notre personnelpour ses efforts. (…) Je suis convaincu que cela va encorerenforcer l’esprit d’équipe denotre société» affirme JohanVanneste, Managing Direc-tor de VLM Airlines. Plus d’informations sur www.vlm-airlines.com

Banimmo Real EstateBanimmo Real Estatedéveloppe ses activi-tés au LuxembourgCréé en 1995 Banimmo RealEstate, actuellement animé par une trentaine de personnes, a

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93 • Merkur • Février 2005

EN BREFdéjà à son actif de nombreuses réalisations de taille surtout à Bruxelles et à Anvers. Elleinaugure son premier immeublede bureaux à Capellen et undeuxième projet important au Grand-Duché est en voie dedéveloppement. Banimmo seprésente comme une sociétéqui met à profit et structure des opportunités dans le domainede l’immobilier d’affaires,qu’il s’agisse d’immeubles debureaux ou de commerces.Banimmo collabore de façonflexible – via des partenariats – avec des promoteurs immo-biliers et des investisseurs spé-cialisés. La société est conduitepar M. Didrik van Caloen et 5autres dirigeants qui ont unelongue expérience immobilièreà leur actif. A ce jour, Banimmodétient des investissements dans plus de 30 propriétés dif-férentes, qui lui appartiennent entièrement ou dans le cadre de«joint ventures».

Neu erschienen„LëtzebuergerPanorama“

Unter einem neuen Namenund mit neuen Inhalten stellt sich der 124. Jahrgang des bewährten „Marienkalender“ vor.„Lëtzebuerger Panorama 2005“liefert auf 432 Seiten eineninformativen und unterhaltsa-

men Rückblick auf die Aktualität der vergangenen zwölf Monate.Das Verwaltungsverzeichnis wurde weiter verbessert undwird erstmals zusätzlich auf CD-ROM mitgeliefert. „Lëtzebuerger Panorama“ ist der Nachfolger des bewährten „Luxemburger Marienkalender“, der 1877 zum ersten Mal erschien, undder bereits ein halbes DutzendLesergenerationen zu inform-ieren und zu unterhalten wusste.Der 124. Jahrgang präsentiert sich unter neuem Namen, mit einem neuen Layout und mit neuen Inhalten. Der Jahres-rückblick (2004) wurde ausge-baut und visuell aufgewertet.Ausgewählt wurden Ereignisseaus Politik, Wirtschaft, Kultur,Sport und Gesellschaft, diein einem be-stimmten Monat Schlagzeilen machten.

„Lëtzebuerger Panorama 2005“,432 Seiten, ISSN: 1016-2380,saint-paul luxembourg. Verkauf-spreis: 12 Euro. Erhältlich imBuch- und Zeitschriftenhandeloder per Direktbestellung durchÜberweisen von 12 Euro aufdas Konto BCEE LU61 00191300 6666 4000 von éditions saint-paul.

Etika et BCEEOctroi d’un crédit de 900.000€ à l’asblCOOPERATIONS

L’association de finances solidaires etika– Initiativ fir Alternativ Finanzéierung, et laBanque et Caisse d’Epargnede l’Etat, Luxembourg (BCEE)soutiennent le développement de l’asbl COOPERATIONS àWiltz par le préfinancement de subsides publiques en vuede rénover deux bâtiments et de construire un nouveau lieu de vie pour personnes handicapées. Depuis sa créa-

Marketing AWARD Trier-Luxemburg 2005

Erster Marketingpreisfür die Großregionausgeschrieben

Der Marketing-Club Trier e.V.schreibt in diesem Jahr erst-mals den Marketing AWARD

Trier-Luxemburg 2005 aus. Ausge-zeichnet wird die herausragendeMarketingaktivität der Jahre 2003 und2004, die sich nachweislich positivauf den Erfolg eines Unternehmens ausgewirkt hat. Eingeladen, kreativeKampagnen einzureichen, sind alleUnternehmen, Agenturen, Verbändeund Vereine der Region Trier undLuxemburg.

Dieser Preis ist Symbol für dieInnovationskraft der Unternehmenaus Industrie, Handel, Handwerk undDienstleistung sowie privater undöffentlicher Institutionen. Gleich-zeitig soll der Award dazu beitragen„Marketing als zentrales unternehme-risches Instrument in den Köpfen derregionalen Wirtschaft zu verankern“,so Bernd Neisen, Präsident des Mar-keting-Club Trier.

Prämiert werden kreative Leistun-gen und Ideen, innovative Entwick-lungen, visionäre Pläne und derenUmsetzung. Teilnahmeberechtigtsind alle Unternehmen und Institu-tionen, die ihren Wohnsitz, dauern-den Aufenthalt bzw. eine selbststän-dige gewerbliche oder institutionelleNiederlassung in der GroßregionTrier/Luxemburg haben. Dazu dergeschäftsführende Vorstand, EdwinSteffen: „Wir möchten darauf hinwei-sen, dass dieser Wettbewerb sich anall diejenigen wendet, die sich hier angesprochen fühlen, und die Aus-schreibung sich nicht ausschließlichauf die Mitglieder des Marketing-ClubTrier beschränkt. Vielmehr wollenwir mit dieser Initiative die gesamteBandbreite unternehmerischer Krea-tivität und Vielfalt bedenken, vomgroßen Industrieunternehmen biszum Kleinbetrieb“.

Als kompetente Juroren konntenProf. Dr. Bernhard Swoboda, Lehr-stuhl Marketing und Handel an der Uni Trier, die Wirtschaftsdezernen-tin der Stadt Trier, Christiane Horsch,Hanns Rendenbach, Vorsitzenderder Vereinigung Trierer Unterneh-mer (VTU), Hauptgeschäftsführer derIHK Trier, Arne Rössel, HWK-Präsi-dent Rudi Müller und Pol Goetzinger,Geschäftsführer Concept Factory undVorsitzender der MarkCom, Luxem-burg, gewonnen werden.

Einsendeschluss für die Bewer-bungsunterlagen ist der 15. April2005. Die Verleihung des MarketingAWARD Trier-Luxemburg, die künftigalle zwei Jahre stattfindet, wird am13. September im Rahmen einer Son-derveranstaltung durchgeführt.

Weitere Informationen über:www.mctrier.de. ■

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94 • Merkur • Février 2005

Actualités EntreprisesEN BREF

tion en 1990, COOPERATIONStravaille principalement dans le domaine de la culture, dela formation et de l’insertionsocioprofessionnelle.L’association s’adresse aussiaux jeunes enfants scolarisés.Le crédit octroyé par Etika et la BCEE servira à pré-financer la construction d’un nouveau lieu de vie pour personnes handicapées et la rénovationde deux bâtiments. Les béné-ficiaires des crédits alternatifs,sélectionnés par le comité decrédit de Etika et par la BCEEprofitent de crédits à taux préférentiels car l’épargnant renonce au profit du preneur de crédit à une partie de larémunération usuelle d’uncompte épargne traditionnel.Plus d’informations sur www.etika.lu et www.cooperations.lu

Imprimerie CentraleAccord pour l’agrément PSF(professionnels dusecteur financier)Le Ministre du Trésor et du Budget, Luc Frieden, a autorisél’Imprimerie Centrale, sociétéanonyme ayant son siège au 15, rue du Commerce,L-1351 Luxembourg, à exercer l’activité d’agent de communi-cation à la clientèle, conformé-ment à l’article 29-1 de la loimodifiée du 5 avril 1993 rela-tive au secteur financier. C’est ainsi que l’Imprimerie Centrale,certifié ISO 9001:2000 et spé-cialisée dans le traitement et ladiffusion de l’information sur support papier et électronique,entend élargir ses services au profit des établissements de crédit, professionnels du secteur financier, organismes de placement collectif et fonds de pension, pour l’impression,le façonnage, la mise sous pli

et la diffusion de documents à caractère confidentiel. Plus d’informations sur www.ic.lu

Banque LBLux

Spinning for Help!22.500 Euro für dieTsunami-Opfer inSüdostasien

Eine Schecküberreichung des Radsportevents Spinning for Help fand in der Banque LBLux S.A. statt. Hierbei übergabenHenri Stoffel (Administra-teur-Directeur der BanqueLBLux S.A.) und Rolf Auchter (Geschäftsführer von CitabelSports) zwei Schecks imGesamtwert von 22.500 Euroan UNICEF Luxembourg zu Gunsten der Kinder-Flutopfer in Südostasien. 8.662 Eurowurden im Rahmen des Rad-sportevents Spinning for Helpdurch rund 300 Personen„erradelt“ bzw. gespendet. DieseSumme wurde von der BanqueLBLux S.A. auf 15.000 Euroerhöht. Citabel Sports spendete7.500 Euro. Möglich wurde das Event durch die Initiative vonFränk Schleck, der zusammenmit seinen CSC-Kollegen halb-stündige Trainingsprogrammegab, an denen zahlreicheMitarbeiter der Banque LBLux,anderer Banken sowie Radbe-geisterte teilnahmen. Die Räder wurden von Citabel Sports unddem Fit-Center aus Rumelangegestellt. Weitere Sponsorenwaren Beckerich Wasser undImprimerie Linden, das RoteKreuz, Schreinerei Dostert, deSchnékert und Gigi Design.

Luxair

Malgré l’amélioration des performances l’équilibre reste fragile

Sur l’année 2004, Luxair a trans-porté 1.171.304 passagers.Ceci équivaut à une amélio-

ration de 6,9 % par rapport à 2003.Luxair se rapproche ainsi des perfor-mances de 2002 qui reste une annéede référence avec 1.196.067 passa-gers transportés.

Pour les lignes régulières, lenombre de passagers a augmentéde 6 %. La croissance est encore plusimportante pour le tour-opérateurLuxair Tours qui note une augmen-tation de 9,1 % par rapport à 2003avec 335.817 passagers en 2004. Lahausse du nombre des passagers aaussi des répercussions sur le coeffi-cient d’occupation («seat load factor»)qui augmente de 3,4 points à 61,6 %.Quant au revenu par passager-kilo-mètre, il a diminué de 3,5 %.

Avec la mise en service dedeux Boeing 737-700, qui ont rem-placé deux Boeing 737-400, Luxaira poursuivi la modernisation de saflotte en 2004. Un troisième Boeing737-700 NG a été mis en service le28 janvier 2005 en remplacementd’un Boeing 737-500. La moderni-sation de la flotte sera aussi à l’or-dre du jour lors de l’exercice 2005.Avec la mise en service, en février et en mars, de deux Embraer ERJ 135

– qui remplaceront les Fokker 50 –Luxair possèdera une des flottes les plus modernes en Europe.

L’activité Cargo Handling deLuxair a réussi une très bonne per-formance en 2004. Un volume de762.359 tonnes de fret a été traité au CargoCenter de Luxair, ce qui repré-sente une progression de 17,3 % par rapport aux 650.082 tonnes traitées en 2003.

Après les résultats décevants de2003, le bilan de l’année 2004 seprésente donc sous des aspects pluspositifs pour Luxair. Néanmoins, lasituation financière de la compa-gnie aérienne reste fragile. La baissegénérale du prix moyen d’un billet d’avion et le changement dans leshabitudes des passagers affaires fonten sorte que la croissance du revenune suit pas la hausse du nombre despassagers. Parallèlement, Luxair est confronté à une progression con-tinue de certains postes de char-ges. Après avoir connu un résultat négatif de 4,1 millions d’euros auniveau de son résultat d’exploita-tion en 2003, Luxair devrait cepen-dant réussir à atteindre l’équilibrefinancier de son résultat d’exploi-tation en 2004, grâce surtout à unimportant programme de réduc-

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95 • Merkur • Février 2005

EN BREFSpirit of Paintings

Le leasing depeintures dans les entreprisesluxembourgeoises

Active depuis plusieurs années au Luxembourg, Spirit of Paintings est une associa-tion d’artistes luxembourgeois et étrangers qui offre aux entreprises luxembourgeoises un concept de décorationhaut de gamme et dynamiquevia l’accrochage de peintures d’artistes contemporains.Après quelques années d’expérience et après avoir exposé une multituded’artistes très différents,l’art fait désormais partiede l’univers des cadres et employés de l’entreprise. Dix peintures d’un artiste sélec-tionné sont accrochées tous les deux mois aux endroits définis au préalable dans l’entreprise (salon de récep-tion bureaux individuels,salles de réunion, couloirs,etc.). Tous les deux mois, les peintures sont remplacées par dix autres peintures d’unartiste différent. Chaque fois,un document de présentationdes œuvres avec l’explicationdu style de l’artiste est remis.Depuis quelques années, ceconcept ravit de nombreuses sociétés au Luxembourgqui apprécient cette for-mule vivante de décorationartistique via leasing. Plus d’informations: Spirit of Pain-tings, tél.: 091 233 909.

Victor BuckISO Zertifikat für Qualitäts- undUmweltmanagementDer Druckerei Victor Buckwurde das ISO-Zertifikat für Qualitäts- und Umweltma-nagement ISO 9001:2000 und14001:1996 offiziell überreicht.Der stellvertretende Direktor Markus Floerchinger sowie der Beauftragte für Qualität undUmwelt Ludwig Müller nahmenvon Stefan Zerwes, Direktor der luxemburgischen Zertifi-zierungsgesellschaft ESCEM,das Zertifikat entgegen.Mit dem Ziel, an Attraktivität für qualitätsbewusste Kundenzu gewinnen, hat Victor Buckwährend der letzten Monateintensiv am Aufbau eines umfassenden Managementsys-tems gearbeitet.Mit der ISO-Zertifikationpräsentiert sich nun Victor Buck, über die Landesgrenzenhinweg, als kompetentenAnbieter von qualitativ hoch-stehenden Druckprodukten.Mit dem genormten Qualitäts-und Umweltmanagement solldie Kommunikation mit denKunden verbessert und interneAbläufe weiter optimiert wer-den. Als positiver Nebeneffekt reduziert das Unternehmenden Energieverbrauch und das Abfallaufkommen.

LuxBoxLe mensuel IT lanceune newsletterhebdomadaireLuxBox, le magazine men-suel des technologies de

Conseil en management

Tailor-Made agréé enmatière de protection

des données

La société de conseil en mana-gement Tailor-Made S.A. estla première entreprise au

Luxembourg à avoir obtenu l’agré-ment de «chargé de la protection des données», conformément à la loi du 2 août 2002 relative à la protectiondes données personnelles.

Par décision de la Commissionnationale pour la protection desdonnées du 14 janvier 2005, Tailor-Made peut désormais intervenir entant qu’expert indépendant et inter-médiaire entre les entreprises et les organisations, d’une part, et la Com-mission nationale, d’autre part. Ainsi,les entreprises et les organisationsfaisant appel à Tailor-Made serontexemptées de l’obligation de noti-fication à la Commission nationalede leurs bases de données, conte-nant des informations personnel-les (fichiers clients, fichiers salariés,bases de données marketing, etc.).De ce fait, cette nouvelle procédureconstitue un allègement administra-tif important pour les entreprises et organisations. Pour les besoins deses fonctions, Tailor-Made disposed’un pouvoir d’investigation auprès de ses clients, dans le but d’assurer la surveillance du respect des dis-positions de la loi sur la protectiondes données personnelles, mais aussid’un pouvoir d’information commeauditeur indépendant entre les deux parties.

Les traitements de données per-sonnelles ainsi surveillés par Tailor-

Made seront intégrées dans le registrepublic des traitements de la Commis-sion nationale, qui recense tous les fichiers informatiques, audiovisuels et autres soumis aux procédures clas-siques de notification, respective-ment d’autorisation préalable. «Nous nous réjouissons particulièrement depouvoir offrir comme tout premierprestataire nos services de conseil et d’encadrement pour la mise en con-formité aux dispositions légales enmatière de protection des données»a souligné Carlo Schneider, adminis-trateur délégué de Tailor-Made, avantd’ajouter «Nous finalisons actuelle-ment une procédure type sous formed’audit en la matière, qui pourra rapi-dement trouver son application.»Depuis sa création en 2002, Tailor-Made a pu s’imposer comme leader en matière de conseil en stratégie surles marchés luxembourgeois et de laGrande Région. Soucieux d’offrir desservices de toute première qualité et de répondre aux différents besoins de ses clients en matière de pres-tations de conseil en management,Tailor-Made cherche constamment àdiversifier son expertise. L’agrément de Tailor-Made comme «chargé dela protection des données» s’inscritdans cette même logique.

Pour de plus amples informa-tions: www.tailormade.lu, e-mail:[email protected] oucontacter la Commission nationalepour la protection des données:www.cnpd.lu ■

tion de coûts qui sera continué en2005. En ce qui concerne les activi-tés liées à l’aérien proprement dites,Luxair espère que l’équilibre finan-

cier pourra être atteint à la fin del’exercice 2005.

Pour tout renseignement sup-plémentaire: www.luxair.lu ■

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96 • Merkur • Février 2005

Actualités EntreprisesEN BREF

l’information à Luxembourg alancé depuis quelques semaines une alerte électronique dis-tribuée gratuitement tous les mercredis. Depuis début janvier,le magazine IT propose en effet une compilation d’éléments marquants une semaine detechnologie au Grand-Duché.On retrouve ainsi dans lemailing des cas d’utilisationde la technologie auprès decompagnies grand-ducales, des informations pertinentes sur l’actualité technologique et infor-matique, un agenda complet des manifestations, événements et formations IT à Luxembourg,…«Nous avons développé unelettre électronique hebdomadairequi permet de diffuser les informations importantes plus rapidement. Il s’agit avant tout d’une alerte qui permet en unbref coup d’œil de rester informésur les questions importantes del’IT», explique Raphaël Henry, lerédacteur en chef de LuxBox. Lalettre est gratuite et disponiblesur simple demande par e-mailà [email protected]

ACELDons desolidarité descercles d’étudiants

Sur initiative de l’Associationdes Luxembourgeois aux Uni-versités de Strasbourg (ALUS) et avec le soutien de l’Associationdes Cercles d’Etudiants Luxem-bourgeois (ACEL), 19 cercles se sont réunis afin de soutenir les sinistrés du tsunami qui afrappé l’Asie du sud-est. Les étudiants ont récolté la sommede 7.400€ qui sera versée à laCroix-Rouge luxembourgeoise(6.900€) et à Médecins sans Frontières (500€). Par ailleurs,lors de la dernière édition du Tournoi Universitaire organisépar la Ligue des Associa-tions Sportives Estudiantines Luxembourgeoises (LASEL),l’Association des Cercles d’Etudiants Luxembourgeois

(ACEL) s’était chargée du bar et de la restauration des sportifs.L’intégralité des bénéfices, d’unmontant de 1.200€, sera trans-férée à la Fondation Luxembour-geoise contre le Cancer. Plus d’informations: www.acel.lu

ArcelorPrésentation duPrix Emile et AlineMayrischAu cours d’une conférencede presse, Madame AnnetteSchwall-Lacroix, Présidente du Cercle des Amis de Colpach, et Monsieur Joseph Kinsch, Prési-dent du Conseil d’Administrationd’Arcelor, ont présenté officiel-lement le «Prix Emile et AlineMayrisch». Ce prix a pour objectif de promouvoir «l’esprit de Colpach» caractérisépar l’ouverture aux courants culturels et la promotion del’entente entre les peuples européens. Le prix est doté par Arcelor à hauteur de 14.000€ et est décerné tous les quatre ans.Le «Prix Emile et Aline Mayr-isch» s’adresse aux chercheurs,étudiants, journalistes et autres auteurs résidant en Allemagne,en Belgique, en France ou au Luxembourg et qui sont âgés d’au moins 24 ans. Les travaux présentés au concours porteront sur des recherches dans les domaines de l’histoire, de lapolitique, de l’économie, de lavie sociale et/ou de la culturedans l’espace franco-germano-belgo-luxembourgeois. Les travaux présentés au concours pourront aussi consister endes dossiers relevant de lapresse écrite, radiophonique et audiovisuelle se distinguant par leur intérêt pédagogique. Pour la première promotion, la datelimite pour la remise des travaux par les candidats est fixée au 31 décembre 2006. Le prix seraremis pour la première fois en 2007. Pour de plus amples renseignements: Patrick Seyler:47 92 23 60

Brasserie Simon

Une «Dinkel» spécialement brassée pour Euro-Toques

L’association Euro-Toques apour vocation de promouvoir et d’œuvrer au service d’une

alimentation saine. Ses membres,des chefs cuisiniers et des proprié-taires de restaurants, se sont enga-gés à soutenir l’utilisation de pro-duits alimentaires de haute qualité.Récemment Euro-Toques a choisi laBrasserie Simon de Wiltz pour de-venir l’un de ses fournisseurs privilé-giés, tant ses bières s’inscrivent tota-lement dans la démarche de qua-lité adoptée par ces spécialistes dela restauration.

C’est la «Simon Dinkel» qui aété choisie pour être servie sur lestables des adhérents luxembourgeoisd’Euro-Toques. Elle l’est avec une éti-quette spéciale et dans un verre par-ticulier. Cette bière blonde se com-pose de deux tiers de malt et d’undernier tiers d’épeautre non malté,deux produits cultivés dans le ParcNaturel de la Haute-Sûre. Sa blon-deur naturelle, sa douceur et sa légè-reté, font de la «Simon Dinkel» unebière particulière, au goût unanime-ment apprécié, tant par les femmes que par les hommes.

La «Simon Dinkel» est un produit 100 % naturel. En témoigne son aspectlégèrement trouble lié à la présencede cellules de levure vivante. Bièrenon filtrée, cette «Dinkel», spéciale-ment brassée par l’entreprise fami-liale de Wiltz, est préparée avec unsoin particulier. La Brasserie Simonest à ce jour la seule brasserie grand-ducale reconnue comme «Fournisseurde la Cour». Les plus grands chefsd’Euro-Toques trouveront désor-mais dans cette «Simon Dinkel» uningrédient de choix pour leurs recet-tes, traditionnelles ou innovantes, et une boisson au goût unique pouraccompagner leurs préparations.

IEE

Preisverleihung beider IEE ehrt Erfinder

Kürzlich organisierte dieIEE-Direktion einen Wett-bewerb um den Preis des

besten Patents. Die Preisverleihungfand am 26. Januar im «Cercle Müns-ter» statt.

Den ersten Preis erhielten GuidoBecker, Thierry Mousel und MarcSchmiz für die Erfindung einer neuar-tigen Sicherheitsvorrichtung für Fahr-zeuge. Dabei handelt es sich um einso genanntes 3D-Vision-System.

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97 • Merkur • Février 2005

Aufgabe des Systems ist die Klas-sifizierung der Art der Sitzbelegung(Kindersitz, Person) in einem Kraft-fahrzeug, sowie die Bestimmung der Insassenposition auf dem Beifahrer-sitz. Diese Informationen werden andas Airbagsteuergerät weitergeleitet und ermöglichen somit die optimaleAnsteuerung von Airbags und Sicher-heitsgurten.

Ein zweiter Preis ging an Wer-ner Bieck, Driss Chabach und Yves Decoster für ihr „foil type switchin element with dielectric layer“,oder einfacher der Verbesserungvon druck-empfindlichen Sensor-zellen. Das Patent eines neuartigenTastatursensors, der nur vier Adernbenötigt, als die bisherigen, erhielt

einen weiteren zweiten Preis. Ein-gereicht wurde dieses Patent vonPhilippe Boyer und Bogdan Serban.Das Preisgeld in Höhe von insge-samt 15.000 Euro wurde unter denPreisträgern gestaffelt verteilt.

«Die Verleihung des Patentprei-ses bietet die Möglichkeit, die Inno-vationsfähigkeit unseres Unterne-hmens öffentlich hervorzuheben»,so der IEE Vize-Präsident, MichelWitte, anlässlich der Preisverleihung.„Die mit dem Preis ausgezeichne-ten Bei-spiele innovativen Handelnssollen auch für andere MitarbeiterAnsporn sein. Die große Zahl unddie hohe Qualität der eingereichtenPatente bestätigen, dass es bei IEEnicht an Innovationskraft mangelt.

Innovationen sind Voraussetzung füranhaltenden wirtschaftlichen Erfolgeiner High-Tech Firma“, so Witteabschliessend. Weitere Informatio-nen über: www.iee.lu ■

Immobilier

Key Inn S.A. lance unservice Appart-Office

La société Key Inn S.A. aannoncé l’ouverture d’un nou-veau établissement au 42 rue

Albert 1er à Luxembourg (coin av.Guillaume). La société propose des services d’Appart-Office, uniques àLuxembourg.

Plus qu’un hôtel, Key Inn Appart-Office met à disposition de ses clientsun espace modulaire pour des courts,moyens et longs séjours. Les studios de standing (25 m2 à 53 m2) meu-

blés, peuvent être utilisés,au gré deleurs besoins,en apparte-ments maiségalement enbureau, sallede réunionou lieu deréception pri-vée ou pro-fessionnelle.A cette fin,

chaque studio est équipé d’un mobi-lier modulaire, spécialement conçu ainsi que d’une kitchenette discrèteet bien équipée.

Ce concept convient idéalement à des voyageurs pour qui une utili-sation combinée privée et profes-sionnelle représente un plus; à ceux qui ne se satisfont pas d’une cham-bre d’hôtel et qui souhaitent avoirplus d’espace, d’autonomie ou quiveulent recevoir, de façon privée ou

professionnelle dans leur studio ainsiqu’aux sociétés qui souhaitent loger leurs cadres, visiteurs ou consultants,pendant quelques semaines ou quel-ques mois.

Les studios peuvent être loués àcourt, moyen ou long terme, avecune formule de prix dégressive, enfonction de la superficie et de ladurée. Les communications Internet sont également mises en valeur puis-que chaque studio est équipé de con-nections Internet DSL et d’une TV àécran plat qui peut être connecté àun ordinateur et utilisée pour fairedes présentations Power Point ouautre.

Key Inn offre une solution deflexibilité et de convivialité dansune atmosphère contemporaineet fonctionnelle dans trois ancien-nes demeures entièrement réno-vées à quelques minutes à pied du centre-ville. Plus d’informations:www.key-inn.com, tél.: 276161-1.

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Actualités EntreprisesInternet

myQualis.com : un nouveau servicede gestion des systèmes d’information

Q.O.A.Lux. et Business Pro-cess Automation (BPA) lan-cent, en partenariat sur le

Luxembourg, le nouveau service deportail collaboratif en ligne myQua-lis.com. myQualis.com est un servicede location sur Internet permettantaux très petites, petites et moyennes entreprises (TPE et PME) de parta-ger leur système d’information avecleurs collaborateurs internes et par-tenaires ou clients externes, sans ins-taller de logiciel et sans risque. Uneseule connexion à Internet haut débitsuffit à l’abonné pour accéder à l’in-formation en toute sécurité et depuisn’importe où.

L’entreprise qui s’abonne à ceservice peut partager ses documents et processus avec ses collaborateurs

in ternes e tclients ou par-tenaires exter-nes. Le Sys-tème Qualitéest vécu entemps réel etsans logiciel.m y Q u a l i s .com organiseet centralisel’informationet les docu-ments sur des espaces detravail par-tagés, acces-sibles selondes profils desécurité.

L’applica-tion est unesolution sim-ple mais effi-cace pourpi lo te r lesprojets ou les

séances. Un espace de travail dédiéà un projet ou une réunion rassem-ble les informations sur les parti-cipants, l’agenda, le calendrier, lesobjectifs, les documents, les tâcheset les décisions prises. myQualis.comest une solution prête à l’utilisationet à la portée de tous. Aucune con-naissance informatique n’est néces-saire pour paramétrer le portail à lamesure de l’entreprise. Les collabo-rateurs se forment gratuitement aubureau ou à domicile, à l’aide dedidacticiels en ligne. Le service estnativement interfacé à la bureauti-que Microsoft Office, ce qui en amé-liore l’acceptation par les utilisateurs finaux. myQualis.com est disponi-ble dans toutes les langues. Aucunlogiciel, serveur ou base de données

n’est nécessaire. Aucun spécialisten’est nécessaire puisque la mainte-nance du système est délocalisée.Des professionnels assurent la sécu-rité et la disponibilité totale des don-nées. Le portail de base est disponi-ble dès 95,- par société et par mois pour un nombre illimité d’utilisateurs.Le coût total d’exploitation du serviceest 10 fois inférieur à n’importe quelautre logiciel installé.

Il est possible de tester myQualis.com gratuitement pendant 30 jours.Le service est déjà utilisé avec suc-cès par plusieurs clients et partenai-res de BPA.

La forte croissance du nom-bre d’entreprises connectées et dela vitesse de connexion à Internetexplique le succès des applications hébergées, dont la part de marchépar rapport au logiciel traditionnelne cesse d’augmenter. Ce nouveaumodèle de distribution d’applicationssur Internet réduit les coûts sur toutela chaîne: l’éditeur n’a qu’une versionde son logiciel à gérer et le client fait l’impasse sur le logiciel installé et samaintenance. De plus, l’hébergementlaisse présager un développementexponentiel du télétravail au coursdes prochaines années.

BPA envisage des dévelop-pements pour enrichir le servicemyQualis.com actuel. L’objectif estd’ajouter différentes applications degestion de la relation client, des salai-res, de facturation et de comptabilité.L’application finale permettra à l’en-treprise abonnée de gérer l’ensem-ble de ses processus, sans risque nilogiciel et à faible coût.

Pour plus d’informa t ion :[email protected] - www.myqua-lis.com/web , tél: +352 021146741

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100 • Merkur • Février 2005

Bourse d’entreprisesVous désirez publier une annonce?

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Réf.: C294Vends Centre de Beauté + Fran-chise, 7 cabines. Bon emplacement au sud du pays.

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Réf.: C306Vends agence de publicité, annéede création 2000. Activité à relancer.

Réf.: C309Vends magasin de vêtements enfants au Centre-Ville, zonepiétonne.

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Réf.: C313Vends société de service de nett-oyage-traitements et microsablage.

Réf.: C314Vends commerce d’articles de sport au Nord du pays.

Réf.: C315Vends Camping, Café, Restaurant,+/-5 ha, emplacements fixes,en très bon état.

Réf.: C316Vends fond de commerce d’unrestaurant avec cour intérieure,Centre Gare.

Réf.: C317Vends fonds de commerce d’uneParfumerie au Centre-Ville deLuxembourg.

Réf.: C318Vends société de services enInformatique dans le monde Linux.Produits définis, type routeur WiFiou Serveur de fichier tout intégré.Affaire à lancer.

Réf.: C319Vends petite entreprise dans ledomaine de l’administratif et del’informatique (cadeaux publici-taires).

Réf.: C320Vends fonds de commerce d’unSnack/Cafétéria. Bonne situationau nord du pays.

Réf.: C321Vends fonds de commerce (Agence-ment, mobilier, Stock…) dans l’alimentation, petite restauration,commerce de vins... au centre-ville.

Réf.: C322Vends tout ou partie des contrats d’exclusivités pour la commerciali-sation de distributeurs automatiques de DVD en Tchéquie et Slovaquie.La marque représentée est un des leaders mondiaux de son secteur d’activité. Personnel trilingue( FR, EN, CZ ) faisant déjà partiede l’activité.

Réf.: C323Vends Restaurant, alentours deLuxembourg-Ville, 90 couverts sans terrasse.

Réf.: C324Vends Commerce de BijouterieFantaisie au Centre-Ville de Luxem-bourg, très bonne situation.

Réf.: C325Vends fonds de commerce au centreville de Luxembourg, petite restaura-tion, sandwicherie, boulangerie.

Réf.: C326Vends société avec diverses représentations pour l’industrie et pour collectivités.

Réf.: C327Vends commerce de vêtementspour dames à Echternach danszone piétonne, très bonne situation.

Réf.: C328Vends Café Restaurant avecterrasse à l’Est du pays.

Réf.: C329Vends Horlogerie-Bijouterie fondéeen 1936 dans Ville touristique, zonepiétonne.

Réf.: C330Vends société de transports interna-tionaux de marchandises par route.Location de véhicules inclus.

Réf.: C331Vends salaisons, boucherie sur 270 m2, grands frigos, dans unimmeuble haute finition.

Réf.: C332Vends société de transports demarchandises générales.

Réf.: C333Vends lingerie de luxe hommes et femmes, bon emplacement dans Centre Commercial, bonne clientèle.

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101 • Merkur • Février 2005

Réf.: C334Vends entreprise de jardinage,entretiens plantes.

Réf.: C335Vends société dans la petite res-tauration située au Centre-ville.Clientèle fidèle.

Réf.: C336Vends fonds de commerce d’unrestaurant 100 places, +/- 250 m2

terrasse, Luxembourg-Gare.

Réf.: C337Vends Brasserie-Restaurant centre-ville, parking à proximité, petiteterrasse, cuisine équipée, rénovationfaite en 2002.

Réf.: C338Vends partiellement entreprise deconstruction cléfs en main, agenceimmobilière, commerce de maté-riaux de construction en plein essor.

Réf.: C340Vends centre de bronzage àEsch/Alzette.

Réf.: C341Vends magasin de journaux,tabac, lotto.

Réf.: C342Vends commerce prêt-à-porter dames, chemiserie et lingerie hom-mes dans zone piétonne au sud du pays, surface comm. 90 m2,

réserve et bureau.

Réf.: C343Vends pizzeria-restaurant, entière-ment rénové, à l’est du pays dans cadre exceptionnel, cuisine équipéeen inox, aire pour enfants, terrasse,parking.

Réf.: C344Vends fonds de commerce de gas-tronomie, restauration traditionnelleet pour banquets dans château aproximité de la ville de Luxembourg,bonne clientèle existante.

Réf.: C345A vendre magasin de vêtements complètement rénové, bon emplace-ment au sud du pays.

Réf.: C346Vends Hotel-Restaurant renommé,grands salons, 2 terrasses, jardin,parking, avec 16 chambres dans petite Suisse.

Réf.: C347Vends local de 200 m2 à 2 niveaux,deux bars équipés avec deux styles de musique, terrasse de 68 m2 don-nant sur l’Alzette.

Réf.: C348Vends pour cause de retraite sociétéde distribution et de représentationde produits.

Réf.: C349Vends Société Import-Export,négoce de matériaux, placement et pose, coordination et conseild’entreprises.

Réf.: C350Vends société d’éditeur de produits ludo-éducatifs. Partenariat possible.

Groupe 2 –Cherche

à reprendre:

Réf.: R171Cherche à reprendre fiduciaire,clientèle d’un bureau comptable,partenariat, sous traitance.

Réf.: R181Société de transports luxembour-geoise, filiale d’un groupe français,recherche entreprise de taille moy-enne spécialisée dans le transport routier de marchandises et (ou)dans des activités logistiques.

Réf.: R182Cherche à reprendre café-sand-wicherie à Luxembourg-Ville ou alentours.

Réf.: R185Société belge recherche bureau d’étude (architecture, expertise,topographie, coordination sécurité)pour étendre son activité au Lux-embourg.

Réf.: R228Cherche à reprendre restaurant avec café, alentours centre-ville deLuxembourg, avec parking, event.chambres à louer.

Réf.: R229Entreprise luxembourgeoise chercheà reprendre commerce dans lesecteur de l’automobile.

Réf.: R230Cherche à reprendre petite sociétéde production ou de services.

Réf.: R231Cherche à reprendre cabaret ouclub de nuit à Luxembourg.

Réf.: R232Cherche partenariat avec une entre-prise active dans la vente et répara-tion de voitures toutes marques.

Réf.: R233

Cherche à reprendre Brasserie ou Bar au centre-ville et alentours.

Réf.: R234Cherche à reprendre Restaurant au centre ville et alentours.

Réf.: R235Cherche à reprendre Restaurant,max. 60 couverts, pas dans lecentre-ville.

Réf.: R236Cherche à reprendre petite entre-prise de transport.

Réf.: R237Cherche à reprendre au centre unrestaurant +/- 50 couverts, sipossible avec terrasse et unparking a proximité.

Réf.: R238Cherche restaurant au centre ville(50-60 m2).

Réf.: R239Couple cherche à reprendre hôtel,restaurant, auberge 60 couverts maximum.

Réf.: R193Entrepreneur indépendant chercheà reprendre petite entreprise dans le domaine de conseil entreprises,service informatique, traductions.

Réf.: R196Cherche à reprendre petite sociétéindustrielle de fabrication oude transformation. Participationégalement possible.

Réf.: R203Société luxembourgeoise de distri-bution et de représentations chercheà reprendre des représentations dans les domaines produits/four-nitures industrielles produits/four-nitures pour collectivités biens deconsommation et autres. Ouvert àtoute proposition de reprise totaleou partielle.

Réf.: R205Cherche à reprendre fonds de com-merce pour création d’un magasinde sport.

Réf.: R207Ingénieur cherche à reprendresociété industrielle dans les domaines automation et/ou électro-nique en général.

Réf.: R209Cherche à reprendre commerce demeubles.

Réf.: R210Ingénieur civil de mines cherche àreprendre société industrielle/PMI.

Réf.: R211Créateur d’entreprise, dynamique et motivé cherche à reprendre bar, caféou brasserie à Luxembourg-ville ou alentours.

Réf.: R212Cherche à reprendre fiduciaire,clientèle d’un bureau comptable,partenariat, sous traitance ou partenariat.

Réf.: R213Cherche à reprendre société de pro-duction ou de services à destinationdes entreprises. Marché européenou international

Réf.: R214Cherche à reprendre société deTransport International de marchan-dises par route. Reprise complète ou prise de participation possible.

Réf.: R215Cherche participation, partnariat dans fiduciaire, société d’expertise compt-able ou de conseil économique.

Réf.: R216Cherche bureau comptable pour accroissement (partenariat possible).

Réf.: R217Cherche petit Café, Sandwicherie ou Salon de Thé au Centre-Ville.

Réf.: R218Cherche partenariat avec une entre-prise active dans la vente et fabrica-tion de produits du secteur énergies renouvelables, photovoltaiques,éolienne et accessoires.

Réf.: R219Cherche à reprendre commercede vins.

Réf.: R220Cherche à reprendre Restaurant-Pizzeria au Centre resp. au suddu pays.

Réf.: R221Cherche à reprendre société infor-matique, taille 5-50 personnes.

Réf.: R222Cherche à reprendre commercede vêtements haut de gamme,chaussures, lingerie fine.

Réf.: R223Cherche à reprendre société defabrication, production et de distri-bution de produits fabriqués.

Réf.: R224Cherche à reprendre société deservices informatiques.

Réf.: R225Cherche salle de spectacle avecbar au centre-ville pour un publicd’environ 50 personnes.

Réf.: R226Entrepreneur indépendant cherche àreprendre petite société de consul-ting (industrie, import-export) Cen-tre ou Sud. Partenariat possible.

Réf.: R227Cherche à reprendre petite agenceimmobilière spécialisée dans la ges-tion d’immeubles

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102 • Merkur • Février 2005

Liquidations

La présente liste contient une énumération desventes sous forme de liquidation telles qu’elles ont été autorisées par le Ministère des Classesmoyennes sur la base de l’article 7 de la loi du 30 juillet 2002 réglementant certaines pratiques com-merciales, sanctionnant la concurrence déloyaleet transposant la directive 97/55/CE du Parlement Européen et du Conseil sur la publicité trompeuseet sur la publicité comparative.

Ces données ne sont communiquées qu’à titred’information, l’autorisation officielle délivrée par le Ministère des Classes moyennes prévalant encas de divergence.

Par ailleurs, les dates indiquées renseignent surla période de liquidation autorisée; les commer-çants visés sont toutefois libres de fixer la périodede liquidation effective, en débutant par exemplela liquidation à une date postérieure à celle indi-quée et en terminant à une date antérieure. Situa-tion au 15/02/2004.

VENTES SOUS FORMEDE LIQUIDATION

DALEIDEN S.à r.l

63, Grand-Rue

L-1661 LUXEMBOURG

c95141/2004

30/08/2004 - 28/02/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles de parfu-merie et articles de la branche du coiffeur pour dames

FOURRURES SYBILLE

33, rue de l’Alzette

L-4011 ESCH-SUR-ALZETTE

c95147/2004

01/09/2004 - 28/02/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles de confec-tion, vêtements en fourrure et en cuir et accessoires de modey assortis

CLOPIN-CLOPAN

17A, rue des TilleulsL-8832 ROMBACH

c95149/200406/09/2004 - 05/03/2005

cessation complète de l’activitécommerciale chaussures etarticles de maroquinerie

CONFECTION BERTEMES

43, Grand-RueL-9530 WILTZ

c95150/200401/10/2004 - 31/03/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles de con-fection et accessoires de mode,articles de lingerie, articles demercerie-bonneterie et articles de chapellerie

KRETZSCHMAR

5, rue Alphonse WeickerL-2721 LUXEMBOURG

c95153/200405/10/2004 - 04/04/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles textiles,articles en cuir et en fourrures

WAGNER-PATRON

39, Grand-RueL-8510 REDANGE-SUR-ATTERT

c95152/200405/10/2004 - 04/04/2005

cessation complète de l’activitécommerciale équipements du bâtiment et du foyer, articles d’ameublement, produits deménage, articles horticoles et électroménagers, disques

TIPP TAILLERIE INT, DEPIERRES PRECIEUSES

99, rue de l’Alzette

L-4011 ESCH-SUR-ALZETTE

c95161/2004

03/01/2005 - 30/04/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles de bijoute-rie et d’argenterie, articles d’art de la table et de décoration

GRAAS SIMONE

31, allée St. Christophe

L-5612 MONDORF-LES-BAINS

c95155/2004

01/12/2004 - 31/05/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles deparfumerie

LEISEN ANNE

86, rue de Tétange

L-3672 KAYL

c95154/2004

01/12/2004 - 31/05/2005

cessation complète de l’activitécommerciale vêtements, articles de mercerie-bonneterie, articles de lingerie et articles dechemiserie

BOUTIQUE JOSE

56, rue Zénon Bernard

L-4031 ESCH-SUR-ALZETTE

c95160/2004

25/12/2004 - 24/06/2005

cessation complète de l’activitécommerciale articles textiles,articles en cuir et en fourrures.

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Citroën Champion du Monde des rallyes 2004&

Champion des Offres en février.

1. Citroën2. Ford

3. Subaru4. Peugeot

Classement constructeurs: 1.Citroën (194 pt) - 2. Ford (143 pt) - 3. Subaru (122 pt) 4. Peugeot (101 pt) - 5. Mitsubishi (17 pt)

(1) Offre Fleet réservée aux sociétés (hors frais de contrôle technique et d’immatriculation). Remises calculées sur base du prix catalogue au 01/02/05 etvalable à l’achat d’un véhicule utilitaire neuf commandé en février 2005 hors véhicules transformés et hors offres Easy Pack. Offre non cumulable avec lesautres promotions en cours. Offres Fleet valables dans la limite des stocks disponibles et dans tous les points de venteparticipant à l’opération. Document non-contractuel.

-22%(1)CITROËN

BERLINGO -23%(1)CITROËN

JUMPY -24%(1)CITROËN

JUMPER

www.citroenfleet.be

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P&T Div i s ion des Postes Uni té Commerc ia le L -2998 Luxembourg - Té léphone : 8002 3210 - Fax : 48 83 94 - www.ept . lu

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