Appel à tous les cheminotes et cheminots !

Cher(e) collègue, cher(e) ami(e), cher(e) camarade, Le 19 Novembre prochain, les cheminots des trois EPICS du Groupe Public Ferroviaire sont appelés à s’exprimer par le vote. L’enjeu de ces élections prend en cette année 2015 une importance capitale. Une nouvelle séquence s’ouvre avec l’inscription dans l’agenda social des sujets déterminants pour la qualité de vie des cheminots tant en production qu’en général : gestion des CE/CCE, Convention Collective Nationale (avenir du RH077) , politique de l’emploi à la SNCF, avenir des Intercités, Statut des chemi-nots, droits des contractuels, etc. Face à l’importance des sujets, le score de la CGT sera regardé par le pa-tronat et le Gouvernement. Le renforcement de la CGT sera un signal fort à en-voyer à ceux qui veulent détruire ou diviser la corporation cheminote. Il faut renforcer la seule organisation syndicale qui porte un regard

d’avenir à la SNCF, la CGT ! Et non se tourner vers sur le populisme de cer-

tains avec les chèques en tout genre ou les accords dangereux pour les sala-

riés à l’image des retraites complémentaires …

Soyons-en sûr, le 19 SEPTEMBRE 2015,

aux élections CA/CS et DP/CE, le vote utile, c’est le vote CGT

Syndicat C.G.T. - 14 rue Villey Desmeserets - 14000 CAEN

Directeur de Publication : Pierre AIREY Comité de rédaction : Allan BERTU, Jacky BRIFFAUD, David CARDIN,

Maxime GRANDIN, Claude HIRARD, Daniel LEGENDRE Réalisation : Maxime GRANDIN

Tel : 02.31.82.28.20 - Fax : 02.31.34.39.17 http://www.cgt-cheminots-caen.fr/

Facebook : https://www.facebook.com/groups/cheminotscgt14/ Mail : cgt.cheminots.caen@wanadoo.fr

Octobre 2015

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Allan BERTU, Secrétaire Général du Syndicat CGT

Des Cheminots de Caen

Page n°2 - Traverse - Octobre 2015

Le 19 Novembre 2015, le Groupe Public Ferroviaire organisera 4 grandes élections dans

les 3 différents Epics :

- Les représentants du personnel auprès du Conseil de Surveillance (Epic de tête).

- Les représentants du personnel auprès du Conseil d’Administration (Epic SNCF Réseau &

Epic SNCF Mobilités).

- Les délégués du personnel.

- Les membres des Comités d’Etablissement.

Tou(te)s les cheminot(e)s sont appelé(e)s à se déplacer ou à voter par correspondance pour ces

4 scrutins.

Les enjeux autour de ces votes sont importants, voire cruciaux pour notre avenir, tant au ni-

veau local qu’au niveau national. Chaque voix compte.

Ils détermineront, soyons en sûr, des orientations de l’entreprise dans les prochaines années,

de l’avenir de nos métiers, de nos structures, de nos comités d’établissements, de nos cantines…

C’est pourquoi, ces élections revêtent un caractère primordial !

Malgré les nombreux avertissements qu’à lancé la CGT, la direction a décidé de maintenir ces

4 élections le même jour ce qui va se traduire par de grandes difficultés de production sur cette jour-

née, perturbation du trafic, suppressions de trains, fermetures de gares…

Aujourd’hui les conséquences de la réforme du ferroviaire non financée se font ressentir : gel

des salaires, baisse des effectifs avec des départs en retraite non remplacés, suppressions de postes,

dégradations des conditions de travail, baisse du niveau d’exigence sur la sécurité des circulations

ferroviaires

Bref, les discussions des cheminots entre eux sur leurs chantiers en témoignent tous les jours.

Mais rien n’est inéluctable. L’histoire le prouve et le prouvera encore car il est toujours possible de

faire bouger les choses.

Cette opportunité est donné aux cheminots, le 19 novembre prochain, en votant pour la CGT

afin de la rendre plus forte pour défendre vos intérêts, l’emploi, la revalorisation générale des sa-

laires, les conditions de travail , la sécurité, les activités sociales, le service public…

La CGT pèse de tout son poids dans toutes les instances du Groupe Public Ferroviaire pour

créer les conditions du rapport de force et pour mettre en œuvre d’autres orientations pour le déve-

loppement du service public au service du public.

Alors le 19 Novembre 2015, n’hésitez pas, votez CGT !

Le 19 Novembre 2015

Une conséquence de la réforme ferroviaire qui ne devait absolument rien changer : le décou-page, le morcellement des CE. En fait, à la place des CE régionaux et du CCE nous allons avoir : 22 CE Régionaux pour l’Epic SNCF Mobilités (faisant disparaitre le CER de Chambéry). 5 CE Nationaux pour l’Epic SNCF Réseau dont 3 par activité, 1 multi-activités Ile de France et

1 CE siège. 1 CE Fret 1 CE Gares & Connexions 1 CE Siège 1 CE national pour l’Epic de tête pour les agents disséminés sur tout le territoire. 1 Comité Central du Groupe Public Ferroviaire à la place du CCE. A travers cette décision, c’est la perte de la dimension locale des Activités Sociales et Cultu-relles pour l’ensemble des cheminots travaillant sur un même site géographique qui est posée, avec son lot d’inquiétudes et d’interrogations sur l’avenir des nos emplois et le patrimoine social. L’éclatement des CE engendre une baisse considérable des dotations et inquiète fortement les salariés du CER de Normandie quant à leur avenir et à l’offre des activités sociales. Pour exemple, aujourd’hui, la dotation des activités sociales et le budget de fonctionnement du CER de Normandie sont calculés sur la base de 5800 cheminots. Demain, cette dotation sera ré-duite de plus de 50% par rapport à celle distribuée aujourd’hui. Les répercussions sur le patrimoine et les activités proposées à l’ensemble des cheminots se-raient énormes ainsi que sur l’emploi des 51 salariés du CER de Normandie. La CGT négocie actuellement pour une mutualisation des moyens qui assurerait le maintien et le développement d’activités sociales de proximité accessibles à tous et la pérennité des emplois du personnel du CER de Normandie. Si vous aussi vous voulez des activités émancipatrices portées par des hommes et des femmes expérimentés plutôt que des loisirs marchands et des chèques, votez CGT le 19 novembre 2015.

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Une nouvelle fois, le groupe de Caen de l’Orphelinat National des chemins de fer de France (ONCF) organise sa soirée dansante. Comme chaque année le bénéfice de la soirée et celui de la souscription réalisée en parallèle seront reversés intégralement au siège de l’orphelinat à Montreuil. Pour exemple, les sommes rever-sées sont de 2750 euros en 2013 et 1873 euros en 2014.

Cette soirée aura lieu le samedi 28 novembre à la salle Pierre Sémard à partir de 20 h.

Au menu : pain de légumes, Carbonade Flamande et pomme de terre au four, salade/ Fromage et crème saveur spéculos ou Assiette anglaise, salade/Fromage et crème saveur spéculos. Tarif 15 euros adultes et 7 euros enfants de moins de 12 ans .

La grande majorité du bénéfice étant réalisée grâce à la sous-cription, pensez à acheter les billets au prix d’un euro cinquante.

Contact : Daniel Legendre (06 80 05 70 77)

Autre initiative de notre groupe, et cela pour la deuxième fois, nous vous proposons un après midi récréatif pour les enfants le di-manche 22 novembre, à partir de 14 heures, salle Pierre Sémard à Caen.

Nous vous proposons de venir, avec vos enfants, vos petits en-fants pour préparer des décorations de Noël ou encore jouer à des jeux de société. Un petit goûter clôturera cet après midi. Alors, ve-nez nombreux et , pour une somme modique (5 euros par enfant, 2 eu-ros la part de gâteau), permettez à vos enfants et petits enfants de ve-nir s’amuser tout en développant leur sens du partage et de la solida-rité.

Contact Sandrine Fosse

(06 08 64 20 83)

Vive la solidarité, vive l’ONCF

En BREF :

AGENDA :

Les Agendas 2016 sont en vente auprès de vos correspondants ONCF. Une bonne action pour les pupilles.

JOUETS DE NOËL :

Une permanence aura lieu les 16 & 17 Décembre 2015 au dessus de la cantine pour venir retirer les jouets de vos enfants.

- le 16/12 : 8h30-17h30

- le 17/12 : 8h30-16h00

ATELIER PHOTO :

Le Père Noël vous propose d’im-mortaliser l’événement le mer-credi 16 Décembre à l ‘atelier photo.

SPECTACLE :

N’oubliez pas que cette année le spectacle aura lieu le Dimanche 20 Décembre au Zénith de Caen.

RAPPEL :

N’oubliez pas votre feuillet rose pour retirer les cadeaux de Noël..

Cher(e)s camarades, tout le monde le sait, tout le monde le vit, et surtout la médiatisation qui en a

été faite, ne laisse personne ignorant du projet de simplification du code du travail. Le gouvernement suit

ainsi la feuille de route que lui ont tracé le capital et la commission européenne ; et en agissant ainsi unila-

téralement, fait abstraction de tout ce qui fait l’histoire sociale de notre civilisation dont le code du travail

est un des livres. La mal nommée CFDT fidèle à ses habitudes répond présente et soutient un projet ve-

nant à l’encontre des intérêts des travailleurs qu’elle représente.

Alors, me direz-vous, pourquoi ne pas simplifier le code du travail ? Les textes de loi ne sont-ils pas

d’une manière générale trop copieux, complexes et affaire d’experts juridiques ? Certes, l’idée serait ob-

jectivement recevable si notre expérience syndicale et citoyenne ne nous permettaient pas de comprendre

qu’en fait de simplification, c’est d’érosion de nos droits et de notre protection qu’il s’agit. Si l’on pour-

suit la logique du MEDEF, le travailleur devrait être exploitable par les patrons sans règle et à un niveau

de rémunération lui permettant d’être plus rentable encore sans tenir compte des besoins sociaux de ceux

qui n’ont que leurs bras ou leur cerveau pour vivre. C’est à cause de cette idéologie de profitabilité que le

monde bascule progressivement de la civilisation vers la barbarie ; il n’est pas besoin de citer d’exemple

d’actualité pour illustrer mes propos.

M. Macron et ceux qu’il incarne veulent donc, pour créer de l’emploi, revenir sur le temps de tra-

vail, sur son organisation, sa rémunération, sur la hiérarchie des normes et notamment sur le principe de

faveur déjà attaqué par l’ANI (accord national interprofessionnel) soutenu par la CFDT et la CFTC qui

permet de déroger au code du travail par accord d’entreprise. Ce qui est sûr, c’est que si le travail était

gratuit et sans contrainte pour l’employeur, il n’y aurait certainement plus de chômage. Mais ne leur en

déplaise, il leur faut aussi composer avec la résistance du corps social ; ouvriers, techniciens, cadres, chô-

meurs et d’une manière générale, toute la population qui constituent les véritables forces vives d’une na-

tion et d’un continent. Ce corps social, même affaibli n’est pas résigné et n’a pas d’autre alternative que

de se défendre en tant que classe ; et notre organisation CGT est là pour les y aider, alors continuons et

amplifions notre action.

Chez les cheminots les esprits sont tout autant dans l’expectative pour ne pas dire dans le désap-

pointement suite à la réforme ferroviaire sur laquelle on (pas nous) leur aurait menti. Au lieu de réunifica-

tion on est dans un schéma de fonctionnement en silos séparés avec des conséquences déjà perceptibles au

quotidien. Qu’en sera-t-il si le cadre social harmonisé que veulent mettre en œuvre nos dirigeants suit

l’évolution du code du travail ? Cette question fait partie des enjeux des prochaines élections profession-

nelles dont on ne sait pas à l’heure actuelle les conditions de leur organisation. D’ores et déjà, la CGT et

son UFCM se mettent en ordre de campagne et auront besoin de tous leurs militants pour la mener.

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La liste est longue des reculs sociaux enregistrés au cours des dernières années, malgré l’accroisse-

ment continu des richesses produites : recul de l’âge de départ à la retraite, réduction des systèmes de pro-

tection sociales, casse du code du travail, baisse du pouvoir d’achat, remise en cause des 35h….

Médias, discours patronaux et gouvernementaux, bataillons d’experts en tous genres, éloignés des

réalités voudraient nous faire croire que le progrès social n’est envisageable qu’à la seule condition de re-

noncer à nos droits acquis.

Tout est fait pour accréditer l’idée que le syndicalisme, que l’action collective sont inutiles. Le dis-

cours social est aujourd’hui dominé par une philosophie pernicieuse qui veut que la protection de ceux qui

ont un emploi, soit un handicap pour ceux qui n’en ont pas!

L’opinion publique, à mauvais escient s’est convaincue qu’en France les salariés bénéficient de pri-

vilèges démesurés en raison d’un code du travail trop protecteur, d’une loi sur les 35h trop généreuse, de

trop de salariés en CDI ou protégés par un statut, compte tenu du contexte de mondialisation et de concur-

rence exacerbée.

Avec une telle philosophie, aucun espoir de progrès social, mais des reculs à n’en plus finir; aux-

quels nous assistons malheureusement accompagnés par certaines organisations syndicales, sur les licen-

ciements, le temps de travail, ou la représentativité syndicale, sans effets avérés pour les demandeurs

d’emploi !!!

A contrario, il faut revendiquer pour une réelle réduction du temps de travail, pour un SMIC à

1700€, le maintien du pouvoir d’achat, lutter pour le développement industriel, contre la casse des ser-

vices publics, exiger une protection sociale accessible à tous, un nouveau statut du salarié, faire connaître

nos propositions sur le vrai cout du capital et une nouvelle répartition des richesses produites, gagner de

nouveaux droits pour les salariés au lieu de les amputer!

Le patronat , lui a bien compris les enjeux qui fait « le forcing » pour gagner de nouveaux

droits…..contre le monde du travail! Bien aidé en cela par le gouvernement et « quelques partenaires so-

ciaux » qui méthodiquement s’ingénient à déconstruire le code du travail, à remettre en cause les acquis.

Pour la CGT, porter un nouveau mode de développement économique, social suppose d’écouter les

salariés, de partager avec eux notre cahier revendicatif pour réfléchir avec eux; pour qu’ils soient pleine-

ment les acteurs et constructeurs des évolutions sociales. La barre est haute pour gagner, le progrès social

est à portée de main pour peu que l’on s’en occupe et que l’on ne laisse pas à d’autre le soin de le faire à

notre place, car leur vision n’est pas la notre!

Il faut se syndiquer (ce n’est pas ringard), s’unir pour parvenir au rassemblement de toutes les forces

de progrès. Le vote CGT en est un élément incontournable.

Le recul social ne se négocie pas, il se combat!

Les acquis profitent à tous. Actif aujourd’hui, retraité demain.

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Page n°7 - Traverse - Octobre 2015

« Je suis rentré à la SNCF en 2009 comme ASCT puis ADC, je suis responsable du syndi-

cat CGT des cheminots de Caen depuis 2012 et élu au CER de Normandie

Je suis issu d’une famille cheminote. J’en suis très fier. Je ne veux pas laisser le Gouverne-

ment et le patronat casser cet outil indispensable à notre pays qu’est notre entreprise pu-

blique. Le maintien de notre Statut, de nos conditions de travail et du contenu de nos mé-

tiers sont des éléments indispensables au développement du Service Public ! Tout est lié !

En votant CGT le 19 novembre prochain, vous donnerez du poids à un syndicalisme qui

porte au plus haut ces valeurs. Un syndicalisme de propositions, d’actions, de négocia-

tions. La CGT porte les revendications des travailleurs depuis 120 ans. Vous pouvez lui

faire confiance pour relever les défis d’aujourd’hui et de demain.

La CGT a marqué l’histoire sociale de notre pays, de notre entreprise, ne l’oublions pas ! »

Allan Bertu

Conducteur

TRACTION

« La crise de décomposition du capitalisme mondial se traduit partout par une forte pous-

sée de dérèglement social comme la dérèglementation du travail (lois Macron, rapport

Combrexelles, ANI…) et le chômage de masse. Les visées libérales sur la marchandisation

de ce qui jadis relevait du service public assuré par des entreprises publiques font craindre

à juste titre aux cheminots de se retrouver menacés dans leur avenir professionnel et per-

sonnel. Ce ne sont ni l’UNSA ni la CFDT qui ont accompagné la politique gouvernemen-

tale et de M. PEPY sur la réforme ferroviaire qui entraveront ce processus de privatisa-

tion / disparition de la SNCF.

En opposition à ces organisations, la CGT s’engage avec tous les cheminots au sens large

et dans une unité syndicale non réformiste la plus large possible à défendre une entreprise

et un service public ferroviaire de qualité, un réseau consistant et maillé ainsi qu’un cadre

social garantissant à la fois la sécurité du transport ferroviaire et les conditions d’exis-

tence des travailleurs du rail. Voici en quelques mots la signification de mon engagement

avec la CGT pour ces élections professionnelles. »

Sebastien Dubus

INFRALOG

« Je suis syndiqué à la CGT car c’est pour moi le seul syndicat dans lequel je me recon-

nais, qui fait circuler des valeurs, qui fait mes valeurs ! Des valeurs de partage, de solida-

rité entre les salariés.

Pour moi, la CGT est la seule à défendre intelligemment les intérêts et les droits des sala-

riés !

C’est, entre autres, pour ces raisons que je suis délégué du personnel et membre du

CHSCT dans mon établissement .»

Jacky Briffaud

ELOG

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« C'est tout naturellement que je me suis porté volontaire aux élections professionnelles du

19 novembre prochain après discussions en section technique ADC avec les copains syndi-

qués .

Même si je reconnais avoir une appréhension sur les futures responsabilité que j'aurais à

assumer si les ADC me donnent leur confiance , je sais que je pourrais compter sur leur

soutien ainsi que celui de la structure du syndicat CGT CHEMINOTS afin d'agir pour dé-

fendre et préserver les conditions de travail et l'emploi des cheminots de l'ETN .»

David Cardin

Conducteur

TRACTION

« Je suis syndiqué à la CGT car chacun peut y apporter ses connaissances, son énergie, ses

idées, son expérience, sa différence… Les notions d’égalité, de solidarité, de partage sont

la base de la CGT . Elle est force de propositions dans toutes les situations qui peuvent tou-

cher chaque cheminot et cheminote.

Pour moi, la CGT parle augmentation de salaires et non primes. Elle s’oppose à une ré-

forme injuste pour les cheminots. Elle défend au quotidien nos conditions de travail, notre

RH0077, nos cantines, nos comités d’établissements, nos salaires, nos emplois...»

« Pendant des années, j'ai vu les contraintes du système et les inégalités. J'ai donc voulu

m’investir et aider au mieux mes camarades, j'ai donc rejoint le syndicat CGT Cheminot en

2008, convaincu que la CGT était le seul syndicat digne de ce nom.

J'y ai appris ce que voulait dire solidarité. J'ai donc proposé ma candidature aux élections

professionnelles et j'ai été élu DP.

Durant ces dernières années, je me suis formé, j'ai observé le fonctionnement du CE, CCE,

des syndicats et de la direction, j'ai participé à des négociations (DCI / Audiences) et ac-

compagné les salariés dans leur volonté d'amélioration de leurs conditions de travail et

pris fait et cause pour les défenses de leurs droits collectifs et individuels.

Les camarades m'ont accordé leur confiance en m’élisant. Depuis je reste fidèle à mes en-

gagements et à mes convictions. Quotidiennement, je m'efforce de rassembler le maximum

de Cheminots pour réussir ensemble à créer un rapport de force suffisant pour obtenir et

améliorer nos conditions de travail. Au-delà de l'action purement syndicale, mon engage-

ment au sein de la CGT a conforté les valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité. »

Maxime GRANDIN

Agent Administratif

Fabien L’Hervé

TECHNI-

CENTRE