objectifs n°49

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Professionnels de santé EuroMedtech Des partenariats consacrés aux technologies médicales innovantes Réforme de la santé au travail Ce qui change… ou pas ! Campagne Green KAS Eau Vos idées pour réduire notre consommation d’eau sur le site ! Travaillons ensemble pour leur sécurité nté Pour que chacun vive en bonne santé OBJECTIFS octobre 2012 • n°49 LE MAGAZINE I NTERNE DE BD

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Objectifs N°49

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Page 1: Objectifs N°49

Professionnels de santé

EuroMedtech Des partenariats consacrés aux technologies médicales innovantes

Réforme de la santé au travailCe qui change… ou pas !

Campagne Green KAS EauVos idées pour réduire notre consommation d’eau sur le site !

Travaillons ensemble pour leur sécurité

Pour que chacunvive en bonne santé

Pour que chacunvive en bonne santé

OBJECTIFSoc

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012

• n°

49

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

Page 2: Objectifs N°49

Sécurité au travail

ÉDITO

3 • Nous sommes tous impliqués dans la prévention des Accidents Exposant au Sang

HSE

4 Développement durable

• Campagne Green KAS Eau

5 Tri des déchets à la cafétéria

• C’est parti !

6 Sécurité travaux • Opération héliportage sur le

site de Pont de Claix

7 Processus • Le réfl exe HSE incontournable

SANTÉ

8 Prévention• Diabète, le Service de Santé

peut vous aider

10 Nouveaux produits• BD AutoshieldTM Duo,une révolution pour la sécurité

ENTREPRISE

19 EurMedtech• 4ème conférence annuelle de partenariat consacrée aux technologies médicales innovantes

20 Partenariat• La mission humanitaire de BD

en Haïti

SANTÉ

22 Prévention• Réforme de la santé au travail

23 Evènement• La semaine de vaccination

européenne

ENTREPRISE

24 Aide au logement• Le dispositif Action Logement

28 Partenariat• Des compétences au service de vos projets

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10

20

SOMMAIREn°49 Dossier

Professionnels de santé :Travaillons ensemble pour leur sécurité

page 11

OBJECTIF N°49 - OCTOBRE 2012

Page 3: Objectifs N°49

OBJECTIFS N° 49OCTOBRE 2012

Publication interne deBecton Dickinson France S.A.S.N° ISSN 1270-363 X

Directeur de la publication :Ludovic Tchoulfi an

Pilotage et Coordination :Christine MAISONNEUVEDotCoMi

Les éditorialistes : Agnès Baffoigne Yamina BenkhelilStéphanie ComiottoRaphaelle PottierValérie Vial

Communication& Graphisme : extrem-K • Kem services©fotolia.com, extrem-k, tous droits réservés

BD, le logo BD et toutes les autres marques sont la propriété de Becton, Dickinson & Company.© 2010 - BD, Becton Dickinson France S.A.S. Société par Actions Simplifi ée au capital de 62 823 000 euros.

Chez BD en France, réduisons ensemble notre consommation de papier.Imprimons en recto verso et photocopions nos documents uniquement lorsque cela est vraiment nécessaire. Sauvegardons nos documents électroniquement.

Vivre les valeurs de BDAccepter de prendre des responsabilités

Traiter les autres avec respectChercher à s’améliorer en permanence

Faire ce qui est juste

ÉDITO

24

Hygiène Sécurité Environnement

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

Professionnels de santé :Travaillons ensemble pour leur sécurité

Travailler ensemble pour améliorer la sécurité des professionnels de santé et la vôtre !Chaque année, en Europe, on dénombre un million de blessures par piqûres d’aiguilles, blessures pouvant être à l’origine d’infections, potentiellement mortelles, transmises par le sang.

Pionnière en matière de dispositifs sécurisés, BD a fait de la sécurité des professionnels de santé et des patients l’une de ses priorités, anticipant bien souvent les exigences réglementaires.Le 10 mai 2010, au sein de l’Union européenne, une directive a été publiée. Elle recommande, notamment, la fourniture de dispositifs médicaux sécurisés afi n d’éviter les Accidents Exposant au Sang (AES). Cette directive doit être transposée dans le droit national au plus tard en mai 2013.

Allant dans ce sens, le 27 juin 2012, BD organisait un atelier presse d’information sur les Accidents Exposant au Sang et sur la directive européenne. A cette occasion, plusieurs professionnels de santé intervenaient face à une quinzaine de journalistes.

BD s’est engagée très tôt dans la prévention des Accidents Exposant au Sang. Nous accompagnons ainsi les établissements hospitaliers et les laboratoires de biologie médicale dans leur conversion aux produits sécurisés en leur

proposant de nombreux outils.

En tant que collaborateur BD, comme en tant que patient, vous avez un rôle à jouer dans l’amélioration continue de la qualité de nos produits, privilégiant ainsi la sécurité !

Stéphanie ComiottoResponsable Communic@tion

Page 4: Objectifs N°49

4 développement durableHSE

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

Qu’est-ce qu’une Green KAS ?

❱ KAS… pour Kaizen Action Sheet. Une KAS est un formulaire à dis-position de tous les collaborateurs leur permettant de proposer toute idée d’amélioration sur les processus existants, l’environnement de travail, la productivité etc…

Dans le cadre de la campagne Green KAS eau, nous vous avions demandé de réfl échir à des actions simples qui permettraient de réduire notre consommation d’eau sur notre site .Toutes les Green KAS Eau seront analysées par un comité technique composé du service HSE, des Services

Généraux et des Services Techniques, qui statuera sur la faisabilité de l’action proposée.Chaque initiateur de Green KAS Eau sera tenu informé de la suite donnée à sa proposition.

Les 3 meilleures KAS seront trans-mises au Corporate et seront récom-pensées. Nous partagerons avec vous cette information dans la prochaine édition d’Objectifs. Un grand merci à tous ceux d’entre vous qui ont accepté d’apporter leur contribution à la réussite de cette opération. ◗

Raphaelle Pottier

Vos idées pour réduire notre consommation d’eau sur le site !

Campagne Green KAS Eau

Après deux éditions de la Semaine de la Terre (2011 et 2012) et une première campagne « Green KAS Energie », le département Corporate dédié au développement durable a lancé une nouvelle campagne Green KAS dédiée, cette fois, à la réduction de notre consommation d’eau.

Rappel des objectifs environnementaux du Corporate d’ici 2015* ?

❱ Réduire de 30% la consommation d’énergie des Opérations ❱ Augmenter de 25% la part d’utilisation des énergies renouvelables ❱ Réduire de 15% la consommation d’eau ❱ Réduire de 10% la quantité de déchets dangereux produits ❱ Réduire de 15% la part de déchets éliminés par enfouissement /

incinération.* par comparaison aux données de 2008

Kaizen est la fusion de deux mots japonnais : kai et zen qui signifi ent « changement » et « bon ». On traduit couramment cette expression par amélioration continue.

Le saviez-vous ?

Page 5: Objectifs N°49

développement durable 5

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

C’est avec l’activité de notre cafétéria implantée direc-

tement sur notre site que nous générons une quantité importante de biodéchets (plus d’une centaine de tonnes par an).Pour répondre à la nouvelle régle-mentation, des travaux ont été effectués à la sortie de la cafétéria, au niveau du tapis roulant réservé à la dépose des plateaux.Devant ce tapis ont été installés plu-sieurs collecteurs destinés à recevoir tous les déchets non organiques :❱ canettes métalliques❱ bouteilles plastiques❱ non fermentescibles (pots de yaourt

en plastique ou en verre, serviettes en papier, tickets de caisse…).

Seuls les déchets organiques (restes de nourriture, épluchures…) doivent rester sur les plateaux.Cette nouvelle organisation permet, en salle de plonge, de ne collecter que les biodéchets destinés à être valorisés.

Quel traitement pour ces biodéchets ?Récupérés sur vos plateaux par le personnel de la Cafétéria, les déchets alimentaires sont ensuite collectés par un prestataire en vue de leur valorisation par compostage.

En collaboration avec Sodexo, BD réfl échit actuellement à l’installation d’un déshydrateur. Cet appareil permettrait de réduire de 80% le volume des déchets fermentes-cibles entraînant une diminution des rotations de nos bennes d’ordures ménagères. ◗

Raphaelle Pottier

C’est parti !Le tri des déchets à la cafétéria

En 2012, la réglementation évolue. Un nouveau décret impose le tri à la source des biodéchets, en vue de leur valorisation organique, pour les personnes ou les entreprises qui en produisent ou qui en détiennent des quantités importantes. Notre site de Pont-de-Claix répond depuis la rentrée à cette obligation. Découvrez comment !

Pourquoi ?

Le trides déchetsà la cafétéria

Nous sommestous acteursde ce tri !

La réglementation évolueen 2012.

A partir d’un certain tonnage,les déchets alimentaires doivent être triés pour être valorisés.

Bouteilles plastique

Canettes

comment ?

C’est parti !

A la dépose de vos plateaux, triez tous les déchets non alimentaires selon les collecteurs en place.

Non fermentescibles :pots de yaourt en verre ou plastique, serviettes en papier, tickets de caisse…

Ne laissez sur votre plateau que les

déchets alimentaires.

Que deviennentnos déchetsalimentaires ?

IMPACT POSITIFSUR NOTRE

ENVIRONNEMENT

Récupérés sur vos plateaux par le personnel de la Cafétéria, les déchets alimentaires sont ensuite collectés par un prestataire en vue de leur valorisation par compostage

Par ce tri, nous éviterons

l’incinération de200 tonnes de déchets par an.

C

M

J

CM

MJ

CJ

CMJ

N

Set de Table fabrication.pdf 1 18/09/12 18:09

Qu’est-ce qu’un biodéchet ?

❱ Tout déchet non dangereux biodégradable de jardin ou de parc,

❱ tout déchet non dangereux alimentaire ou de cuisine issu notamment des ménages, des restaurants, des traiteurs ou des magasins de vente au détail,

❱ tout déchet comparable provenant des établissements de production ou de transformation de denrées alimentaires.

Pour nous rappeler que nous sommes tous des acteurs du tri sélectif, ces panneaux nous accompagneront dans nos premiers pas vers un recyclage effi cace à la cafétéria.

Page 6: Objectifs N°49

6 sécurité travauxHSE

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

Opération héliportage sur le site de Pont de Claix

modif de la mise en pageChantier WHITE PHARMA ILPACK

Dans le cadre du chantier White Pharma ILPACK, deux opérations d’héliportage ont eu lieu en juin et en août derniers, le week-end, sur le site de Pont de Claix. Ces opérations exceptionnelles ont demandé une préparation particulière.

L’installation des nouvelles ma-chines ILPACK, machines de

formage des seringues et de mise en tubs automatique, dans un environ-

nement White Pharma au sein de l’atelier Fle-ming, nécessitait le changement de la centrale de traitement d’air couvrant cette zone.

Pourquoi un héliportage ?Nous avons connu, pour d’autres chantiers du même type, des opéra-tions de grutage impressionnantes. Souvenez-vous, en octobre 2011, du chantier Soluvia 2 où l’une des plus grandes grues intervenait rue Aristide Bergès.

Pour ce nouveau chantier, l’option du grutage a été écartée devant les contraintes qu’elle imposait. En effet, l’opération aurait entrainé le blocage de la circulation sur notre site, impli-quant des diffi cultés de livraison et l’évacuation obligatoire de l’usine pendant toute la durée de l’opération.

La solution de l’héliportage a donc été préférée en offrant la possibilité de réaliser les travaux sur deux week-ends (dimanche 17 juin et dimanche 5 août 2012). Pour réaliser cette opération, les responsables du projet, Loïc Le Bon, Pascal Daumeries et le service HSE ont dû défi nir le plan de survol de l’hélicoptère, obtenir les accords de la préfecture et de l’Aviation civile pour le survol, valider par le biais d’un organisme de contrôle la solidité des toitures pour résister au souffl e de l’hélicoptère, fi xer les éléments mobiles en toiture pour éviter toute projection lors du survol et bien entendu interdire le stationnement de tout véhicule sur le parking Nord.Les deux opérations d’héliportage se sont déroulées en présence des responsables de projet, du service HSE et d’un coordinateur sécurité.

Un remerciement à tous ceux qui nous ont aidé à relever ce défi avec succès ! ◗

Loïc Le Bon – Raphaëlle Pottier

Qu’est-ce que White Pharma ?

Un environnement de production White Pharma est déployé sur le site afi n de mettre en place les lignes ILPACK, Soluvia et INCA. Cet environnement de production est aligné avec les exigences GMP et répond ainsi aux attentes de nos clients pharmaceutiques en termes de maîtrise des risques de contamination des produits Biotech ou à forte valeur ajoutée.

Opération héliportage du 17 juin 2012

Opération de grutage en octobre 2011

Page 7: Objectifs N°49

processus 7

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

Une fi che projet HSE… pourquoi ?❱ En fonction des informations que vous aurez renseignées, la fi che projet HSE vous rappelle toutes les obligations réglementaires et normes (françaises, européennes, Corporate BD) inhérentes à la sécurité des machines et des bâtiments, aux conditions de travail, à la gestion des déchets, à l’utilisation des pro-duits chimiques, à la sécurité incen-die… Autant d’éléments qui doivent impérativement être intégrés à vos spécifi cations dès la conception de vos projets afi n que ceux-ci soient menés à bien.

Ce type d’information vous permet-tra également d’éviter, lorsque ces réglementations ont été oubliées, un travail correctif de remise en conformité couteux en terme de temps, de ressources humaines et de dépenses diverses.

Pour qui ?Ce formulaire, tout comme celui de la DI (Demande d’Intervention), est accessible à tous les collaborateurs. Ont obligation de le remplir les équipes projets développant des projets sur les sites de Pont de Claix et de Rungis.

Comment créer une fi che projet ?Simplement en vous rendant sur la base DI-HSE qui se trouve sur votre outil de messagerie Lotus Notes.Un nouveau menu vous attend, vous offrant la possibilité de créer soit une DI, soit une fi che projet.

Une fois la fi che Projet créée, que se passe-t-il ?A réception de la fi che Projet, un référent HSE est nommé pour suivre votre projet.Il émet formellement, via la base DI-HSE, les premières recomman-dations HSE à prendre en compte dans le cadre de votre projet.Le référent HSE suit les évolutions de votre projet et est votre partenaire tout au long de la vie de celui-ci.

Après clôture de votre fi che projet, vous pourrez toujours y accéder et informer le service HSE des modi-fi cations apportées à votre projet (changement de scénario, planning décalé, modifi cation d’implanta-tion etc…). Le service HSE pourra ainsi vous répondre et valider de nouveau avec vous le respect des réglementations. ◗

Raphaëlle Pottier

Le réfl exe HSE maintenant incontournable

Gestion de projet

Nous vous l’avions annoncée, certains l’ont testée… la Fiche Projet HSE arrive enfi n sur la base DI-HSE. A qui s’adresse-t-elle ? Com-ment l’utiliser ? Vous trouverez toutes les réponses à vos questions dans cet article.

Ne confondez pas Demande d’Intervention

et Fiche Projet HSE. Les deux formulaires sont

indépendants.

Cliquez sur nouveau projet HSE pour créer une fi che projet

Les types de projets

Tous les projets, quelle que soit leur taille, sont concernés. Quelques exemples :• Modifi cation d’équipements existants• Installation d’équipements nouveaux• Désinstallation d’équipements • Modifi cation de bâtiments • Aménagements de locaux• Construction de nouveaux espaces/bâtiments• Réorganisation de services• Modifi cation de processus • Nouvelle activité• Modifi cation d’utilités• Modfi cation de stockages• Chimie• Modifi cation de l’organisation du travail• Modifi cation de l’environnement du poste de

travail • Modifi cation des moyens mis en œuvre au

poste (nouveaux outils)…

Opération héliportage du 17 juin 2012

Page 8: Objectifs N°49

8 préventionSANTÉ

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

Le diabète est une maladie incu-rable causée par une carence

ou une mauvaise utilisation de l’insuline, une hormone créée par le pancréas. En temps normal, cette insuline permet au sucre contenu dans les ali-ments de se transformer en énergie pour nourrir les différents organes. Dans le diabète, le sucre ne peut pas servir de carburant aux cellules, il

s’accumule dans le sang et entraîne des complications au niveau de nom-breux organes, notamment le cœur, les vaisseaux sanguins, les yeux, les reins, les nerfs... Ces complications peuvent prendre la forme d’un infarc-tus, de cécité, d’amputations…Cette maladie peut être infl uen-cée par des facteurs génétiques et environnementaux tels qu’hérédité, obésité, grossesse, médicaments …

On distingue différents types de diabète :

❱ Le diabète de Type 1 dit « insu-linodépendant », qui représente 6% des cas* de diabète en France et survient le plus souvent chez l’enfant ou le jeune adulte, non obèse.

❱ Le diabète de Type 2 représente près de 92 % des cas* de diabète en France. Il est lié à un mauvais fonctionnement de l’insuline, qui survient plutôt chez un sujet en surcharge pondérale ou obèse et peut être associé à d’autres troubles. On parle alors de syn-drome métabolique.

❱ Le diabète gestationnel est une forme d’intolérance au sucre qui apparaît chez la femme enceinte, il peut être transitoire ou persister après la grossesse.

❱ Le diabète dit « iatrogène » est causé par certains médicaments, tels que les glucocorticoïdes, les bétabloquants, les traitements antirétroviraux…

* Etude Entred 2007-2010 (inVS)

Le Service de santépeut vous aider

Le diabète est une pathologie invisible et silencieuse qui touche 365 millions de personnes dans le monde. Quelques explications pour un meilleur dépistage et une meilleure prévention.

Diabète

Page 9: Objectifs N°49

9

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

Des outils à votre disposition pour comprendre le diabète.

Vous pouvez nous joindre :Tél : 3660 / 3408

Mail : [email protected] : du lundi au vendredi de 8h à 18h

Le Service de Santé, c’est 1 médecin,3 infi rmières et 1 assistante à votre écoute !

Assistance du Service de Santé

Le Service de Santé réalise régu-lièrement de nombreuses actions pour détecter le diabète et assister les personnes qui le souhaitent : Prise de sang Elle est faite après un jeûne d’au moins 8 heures. La glycémie et les triglycérides sont dosés.

On parle de diabète lorsque la gly-cémie à jeun est supérieure ou égale à 1,26 g/l (7 mmol/l) ou lorsque la glycémie est supérieure à 2 g/l (11 mmol/l) quel que soit le moment de la journée. Les triglycérides sont un refl et de la réserve en sucres, stockés dans le tissu adipeux sous forme de graisse. A cette prise de sang peut être ajouté, sur prescription de votre médecin, un dosage de l’hémoglobine glyco-sylée, une référence majeure dans la mesure de l’équilibre glycémique du patient diabétique.

Glycémie capillaireUne petite goutte de sang préle-vée sur le doigt permet de donner un taux de glycémie en quelques secondes.

Analyse d’urinesLorsque le glucose s’accumule dans le sang, une partie du sucre va être excrétée par les reins et sera retrou-vée dans les urines. Cette analyse est systématiquement réalisée lors de la visite médicale annuelle, à titre de dépistage.

InformationsUne liste de spécialistes ainsi que leurs coordonnées sont à votre disposition en cas de besoin et des informations nutritionnelles sont dispensées à votre demande.

Mise à disposition des locauxLe Service de Santé vous accueille pour effectuer vos soins dans un

environnement calme et propre.Il est proposé, à ceux qui le sou-haitent, de laisser leurs stylos à insuline ou leurs traitements com-plémentaires dans le réfrigérateur.

Le diabète est une maladie lente et silencieuse. Ne vous isolez pas !Si vous avez des questions, n’hésitez pas à venir nous voir ou à nous contacter par téléphone ou par e-mail. Nous serons ravies de vous venir en aide ! ◗

Sophie Gossard

Page 10: Objectifs N°49

11

10 dispositifs de sécuritéSANTÉ

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

BD AutoshieldTM Duo,une révolution pour la sécurité

BD AutoShield™ Duo est la seule aiguille de sécurité avec double système d’auto-verrouillage et de protection auto-matique pour stylo injecteurs. Une révolution pour protéger les soignants comme les patients.

Nouveau produit

BD Medical – Diabetes Care a mis au point l’aiguille BD

AutoShield™ Duo conçue pour diminuer les piqûres accidentelles. Cette aiguille convient à toutes les personnes atteintes de diabète. C’est la première aiguille de sécurité pour stylo qui offre une protection auto-matique côté patient et côté stylo.

L’aiguille de sécurité pour stylo BD AutoShield™ Duo a été couronnée d’une mention honorable pour son extraordinaire design, lors du concours international « reddot design award ».

Une sécurité aussi performante que visuelleEn terme de SÉCURITÉ, côté patient, la protection est confi rmée par une bande rouge. En retirant l’aiguille de la peau, le protège aiguille se verrouille automatique-ment. Côté stylo, la protection est

confi rmée par le capu-chon orange venant recouvrir l’aiguille lors du dévissage de l’aiguille.

Un confort également novateurEn terme de CONFORT, BD AutoShield™ Duo existe en deux lon-gueurs (5 mm et 8 mm). La version 5 mm est, à ce jour, l’aiguille de sécurité pour stylo la plus courte sur le marché. Elle réduit le risque des injections intramusculaires, convient à toutes les personnes atteintes de diabète et permet une technique d’injection simple, à la verticale, sans pli cutané. Si toutefois un risque potentiel d’injection intramusculaire existe,

il est recommandé de pratiquer un large pli cutané.BD AutoShield™ Duo est com-patible avec la plupart des stylos injecteurs pour le traitement du diabète.

Un nouveau pas vers plus de confort lors d’injections d’insuline quoti-diennes ! ◗

http://www.bd.com/fr/diabetes

Stéphanie Comiotto

Page 11: Objectifs N°49

11 LE MAGAZINE INTERNE DE BD

11

DOSSIER

Travailler ensemble

La sécuritédes professionnels de santé

“Chaque année, en Europe, on dénombre plus d’un million de blessures par piqûres d’aiguilles, blessures pouvant être à l’origine d’infections, potentiellement mortelles, transmises par le sang.

Page 12: Objectifs N°49

12 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010 13OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

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DOSSIERLa sécurité des professionnels de santé

Travailler ensemble pour améliorer la sécurité des professionnels de santé

L’Europe se préoccupedu sujet

Enjeux des Accidents d’Exposition au Sang chez les soignants

L’Union européenne a publié une nouvelle Directive spécialement élaborée pour aider

à prévenir les blessures et infections par objets coupants, notamment les aiguilles et les cathéters intraveineux, des professionnels de santé. Des mesures préventives doivent donc être mises en œuvre par l’ensemble des établissements de santé en Europe. La nouvelle directive, qui doit être transposée dans la loi nationale de chaque état membre au plus tard en mai 2013, mentionne spécifi quement la « fourniture de dispositifs médicaux équipés de mécanismes de protection sécurisés ». La directive confi rme la responsabilité des employeurs quant à la protection de leurs em-ployés contre les blessures par objets coupants, et l’obligation de conformité. Elle s’adresse à la fois aux secteurs publics et privés de la santé et est conçue pour « garantir le niveau de sécurité le plus élevé possible au sein de l’environnement de travail hospitalier et partout où des activités de soins sont prodigués ». Le texte de la directive défi nit précisément une meilleure formation, de meilleures conditions de travail et l’utilisation généralisée de dispositifs médicaux plus sûrs avec mécanisme de protection intégrés. ◗

Un Accident Exposant au Sang (AES) est défi ni comme tout contact avec du sang ou un liquide biologique contenant

du sang et comportant soit une effraction cutanée (piqûre ou coupure), soit une projection sur une muqueuse (œil, bouche) ou sur une peau lésée. Lors de ce contact, le risque de transmission d’agents pathogènes existe et concerne l’ensemble des germes véhiculés par le sang ou les liquides biologiques (bactéries, virus, parasites et champignons). Il existe plus de 50 pathogènes qui sont directement transmissibles par le sang.Le risque de transmission après exposition au sang d’un patient infecté est de 0,3% pour le virus du Sida, 2 à 3% pour le virus de l’hépatite C, et 2 à 40% pour le virus de l’hépatite B. Des taux certes faibles mais qui entraînent des risques réels pour les soignants. A noter que 70% des AES ne seraient pas déclarés. ◗

Des chiffres révélateurs

❱ 1 million de blessures par piqûres d’aiguilles chaque année en Europe.

❱ Les infirmiers sont les premières victimes et sont impliqués dans 43% des accidents.

❱ 70 % de ces blessures et des expositions acciden-telles au sang ne seraient pas déclarées.

Page 13: Objectifs N°49

12 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010 13 LE MAGAZINE INTERNE DE BD

13

DOSSIER

L’Ordre des infi rmiers a récemment publié les résultats d’une étude concernant 21 000 infi r-

miers sur la qualité et la sécurité des soins à l’hôpital pour alerter les pouvoirs publics sur les conditions de

travail. Près de la moitié des infi rmiers (41 %) jugent ne pas pouvoir assurer cette sécurité des soins. En cause : la surcharge de travail, le stress mais également un manque de moyens adaptés. Protéger la santé des soignants et par là-même celle des patients, c’est aussi leur donner les moyens de se former et d’utiliser des dispositifs médicaux sécurisés. L’utilisation de ces dispositifs de sécurité est un des éléments essentiels à la prévention des blessures par piqûre d’aiguille. Ces équipements doivent répondre à certains critères, notamment : ❱ Le mécanisme de sécurité est automatique ou peut

être activé d’une seule main❱ Les mains du personnel soignant sont toujours

situées à l’arrière de la partie coupante. La sécurité doit être irréversible et le mécanisme doit être intégré au dispositif. ◗

Les blessures par piqûres d’aiguilles sont considé-rées comme l’un des risques les plus graves dans

le domaine de la santé, sur les lieux de travail en Europe. Elles sont estimées être à l’origine d’un million de blessures chaque année, en Europe, soit environ 150 000 en France. En 2009, 16 472 AES ont été recensés dans 728 établissements participants aux études du réseau français RAISIN, le Réseau d’Alerte, d’Investigation et de Surveillance des Infections Nosocomiales.

Parmi les accidents percutanés (79,7% des AES) les piqures d’aiguilles représentent 70 % des accidents.

Les infi rmiers en première lignePremières victimes des AES, les infi rmiers sont impliqués dans 43% des accidents. Ce qui n’est pas surprenant, puisque les infi rmiers représentent la première profession de santé en France avec près de 550 000 personnes, devant les médecins (200 000). La profession estime avoir du mal à assurer une sécurité de soins optimale. ◗

Travailler ensemble pour améliorer la sécurité des professionnels de santé

Des accidents encore trop nombreux

Protéger la santé des soignants, c’est aussi protéger la santé des patients

Des chiffres révélateurs

❱ 1 million de blessures par piqûres d’aiguilles chaque année en Europe.

❱ Les infirmiers sont les premières victimes et sont impliqués dans 43% des accidents.

❱ 70 % de ces blessures et des expositions acciden-telles au sang ne seraient pas déclarées.

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14 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010 15OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

14

DOSSIERLa sécurité des professionnels de santé

BD communique sur les AES et la directive européenne

Cet atelier d’information réunissait une quinzaine de journalistes de médias professionnels (presse

santé, journalistes santé de télévision et radio, journa-listes en éco-management) et de médias grand public.

Le déroulé de cet atelier presse était axé autour de 4 thèmes défi nis au préalable :❱ La situation à un an de la date limite de la mise

en œuvre de la nouvelle réglementation (11 mai 2013) que prévoit la directive 2010/32/UE sur la prévention des blessures par objets tranchants dans le secteur hospitalier et sanitaire ?

❱ Quelle est la réalité des AES en France et en Europe ? Quelle sont leur origine et leur fréquence ?

❱ Quel est l’impact de ces accidents sur les soignants et sur les établissements de soins ? Y a-t-il un impact sur les patients ?

❱ Comment améliorer la prévention de ces AES ?

Plusieurs intervenants ont ainsi participé à l’événe-ment en démontrant, face à la presse, l’importance de cette directive et de sa mise en place : ❱ Enjeu des AES – Pr Christian Rabaud, Vice-

Président du GERES (Groupe d’Etude sur le Risque d’Exposition des Soignants), Responsable du Cclin* Est, Président de la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Francaise

❱ Témoignage de Marie-Odile Guillon, infi rmière❱ Déclarer et prévenir les AES en milieu hospitalier -

Pr Pierre Parneix, Vice-Président de la Société Française d’Hygiène Hospitalière – Risque infec-tieux et soins, Responsable du Cclin* Sud-Ouest

❱ Responsabilité des employeurs - Dr Philippe Cha-tron, Directeur Général de GEN-BIO

❱ Rôle des industriels - Christian Seux, Président BD – France. ◗

*Centres de Coordination de Lutte contre les Infections Nosocomiales

Le 27 juin 2012, BD organisait un atelier d’information presse sur les Accidents d’Exposition au Sang et la directive européenne, dans les salons de l’aéroclub de Paris.

Marie-Odile Guillon - Infi rmière libérale à Compiègne, victime d’un AES

Dans quelles circonstances avez-vous été victime d’un AES ?Tout simplement sur le trajet du domicile d’un patient à un autre. Je venais de réaliser une prise de sang, j’étais en voiture et j’ai freiné un peu brusquement. Les boîtes à aiguilles que nous utilisons sont difficiles à ouvrir, souvent nous ne les refermons pas complètement. Suite au coup de frein, ma mallette s’est renversée et les aiguilles usagées sont tombées. Je les ai ramassées en faisant attention. Mais au domicile du patient suivant, en plongeant ma main dans la mallette, une des aiguilles avait glissé entre les seringues dans la mallette et m’a transpercé le doigt.

Qu’avez-vous fait ensuite ?J’ai tout de suite contacté le service de pathologies infectieuses de l’hôpital. J’avais remarqué que cette aiguille était celle qui avait servi à faire une prise de sang. Etant donné la température basse et le délai, il n’y avait pas de risque d’exposition au virus du Sida. Une prise de sang et un suivi le mois suivant ont permis de vérifier qu’il n’y avait pas de contamination par le virus de l’hépatite B ou C. Finalement, je m’en suis bien sortie, contrairement à une collègue qui s’est piqué le pouce en dévissant l’aiguille d’une seringue à insuline. Comme le patient était séropo-sitif, elle a dû recevoir une trithérapie en

prévention. Suite au traitement, elle a eu des problèmes hépatiques importants, une grande fatigue, une perte de poids… Cela a été très difficile à supporter.

Quels points améliorer pour éviter ces accidents ?Des actions de formation, des dispositifs sécurisés pour les aiguilles afin qu’elles se rétractent après l’injection sont des choses à mettre en place. Beaucoup d’infirmiers se piquent avec des aiguilles, le rythme de travail est très dense, et il faut aller très vite d’un patient à l’autre. Il serait également important d’avoir un référent local à contacter en cas d’AES.◗ T

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Des solutions de sécurité qui ont fait leurs preuvesLes professionnels dans le domaine la santé ne doivent pas inutilement risquer leur vie pour prendre soin de celle des autres.

Depuis plus de vingt ans, BD contribue à un effort mondial visant à protéger les professionnels de santé contre le risque important d’exposition professionnelle aux agents pathogènes transmis par le sang. Aucun autre fabricant n’a conçu, breveté ou commercialisé autant de produits de sécurité contre les blessures par objets tranchants.

La passion des collaborateurs BD est mise au profit de l’amélioration de la sécurité sur les lieux de travail dans le domaine de la santé. Elle se caractérise par des innovations technologiques, de fabrication mais aussi pédagogiques, ainsi que par des collaborations avec les organisations partageant notre objectif « Pour que chacun vive en bonne santé ».

Pour toute information, www.bd.com/fr

Prévention contre les blessures par objets tranchants dans le secteur hospitalier et de la santéDirective Européenne 2010/32/EU du 10 mai 2010

Becton Dickinson France SASSiège social : 11, rue Aristide Bergès, BP 438801 Le Pont de Claix CedexTél : 04 76 68 36 36www.bd.com/fr

BD, le logo BD et toutes les autres marques sont la propriété de Becton, Dickinson and Company. © 2010 BD - MED/PAS/DC Fr 01/11-157

…chaque année, en Europe, 1 million de blessures par piqûres d’aiguilles…Blessures pouvant être à l’origined’infections, potentiellement mortelles, transmises par le sang

Page 15: Objectifs N°49

14 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010 15 LE MAGAZINE INTERNE DE BD

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DOSSIER

La stratégie de prévention des accidents d’exposition au sang et aux liquides biologiques s’intègre par-

faitement dans une démarche globale d’amélioration de l’organisation des conditions de travail. Toutes les mesures prises pour prévenir des AES doivent s’accorder avec celles mises en place pour la sécurité des patients. Et la défi nition des protocoles de soins doit évidemment prendre en compte l’organisation du travail et les particularités du service.

Protéger❱ Vacciner le personnel soignant, lorsque le vaccin

existe, contre l’hépatite B,❱ Utiliser les dispositifs médicaux de sécurité qui

existent (épicrâniennes, héparines, micro-lances de sécurité, corps de pompe pour hémocultures, collecteurs pour objets piquants, coupants, tran-chants,…).

Informer et former❱ Informer et former le personnel sur les AES et les

protocoles de soins intégrant l’aspect sécurité. Ces étapes pourraient se faire très tôt dans la carrière professionnelle, au niveau même des écoles.

Évaluer❱ Mettre en place un dispositif de prise en charge et

d’enregistrement des AES dans toutes les structures de soins,

❱ Evaluer (au moins annuellement par le biais du Document Unique) les actions entreprises,

❱ Interpréter les données de surveillance pour orienter les axes de prévention. ◗

Des mesures de prévention essentielles

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Des solutions de sécurité qui ont fait leurs preuvesLes professionnels dans le domaine la santé ne doivent pas inutilement risquer leur vie pour prendre soin de celle des autres.

Depuis plus de vingt ans, BD contribue à un effort mondial visant à protéger les professionnels de santé contre le risque important d’exposition professionnelle aux agents pathogènes transmis par le sang. Aucun autre fabricant n’a conçu, breveté ou commercialisé autant de produits de sécurité contre les blessures par objets tranchants.

La passion des collaborateurs BD est mise au profit de l’amélioration de la sécurité sur les lieux de travail dans le domaine de la santé. Elle se caractérise par des innovations technologiques, de fabrication mais aussi pédagogiques, ainsi que par des collaborations avec les organisations partageant notre objectif « Pour que chacun vive en bonne santé ».

Pour toute information, www.bd.com/fr

Prévention contre les blessures par objets tranchants dans le secteur hospitalier et de la santéDirective Européenne 2010/32/EU du 10 mai 2010

Becton Dickinson France SASSiège social : 11, rue Aristide Bergès, BP 438801 Le Pont de Claix CedexTél : 04 76 68 36 36www.bd.com/fr

BD, le logo BD et toutes les autres marques sont la propriété de Becton, Dickinson and Company. © 2010 BD - MED/PAS/DC Fr 01/11-157

…chaque année, en Europe, 1 million de blessures par piqûres d’aiguilles…Blessures pouvant être à l’origined’infections, potentiellement mortelles, transmises par le sang

En France, des chiffres contrastés

Un système de santé public inégal

• Précurseur en Europe, le système de santé public fran-çais utilise largement les dispositifs de sécurité pour les prélèvements de sang veineux, mais moins pour les cathéters intraveineux, et très peu en matière d’injection. Les laboratoires de biologie médicale du secteur privé qui prélèvent une grande partie des échantillons sanguins, commencent à se convertir grâce à l’action de quelques pionniers.

Des dispositifs de sécurité variables

• L’ensemble des dispositifs de sécurité repré-sente en France seulement 6 % du marché total des dispositifs médicaux avec aiguille. Alors que l’utilisation de dispositifs de perfusion sécurisés est plutôt répandue, avec un taux de 36%, celle des dispositifs d’injection sécurisés est quant à elle extrêmement faible : seule-ment 3 % !

Page 16: Objectifs N°49

16 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010 17OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

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DOSSIERLa sécurité des professionnels de santé

Le rôle des industriels,une responsabilité assumée par BD

P ionnière en matière de dispositifs médicaux, BD a fait de la sécurité des professionnels de santé et

des patients l’une de ses priorités, anticipant souvent les exigences réglementaires. Cette priorité a conduit BD à développer une gamme de dispositifs médicaux et de concepts pour limiter le risque infectieux. En partenariat avec les établissements de santé et les organismes de soins à domicile, BD apporte des

solutions (tests moléculaires, dispositifs médicaux de sécurité adaptés, formation des utilisateurs…) et mesure l’effi cacité des actions entreprises. BD s’attache aussi à diffuser les informations autour de la régle-mentation ainsi qu’à diffuser les résultats d’études scientifi ques montrant l’effi cacité des dispositifs de sécurité dans la prévention des AES, notamment via un site internet lancé en juin 2012. ◗

« Les Accidents d’Exposition au Sang (AES) constituent pour notre entreprise une priorité qui va bien au-delà de l’aspect économique. Nous sommes en effet face à un paradoxe éthique : il est profondément anormal et injuste que des personnes qui ont fait le choix de vouer leur vie à sou-lager les autres, tombent malades en administrant un soin.

BD s’est engagée très tôt dans la prévention des AES. Aujourd’hui, nous aidons les structures

hospitalières et les laboratoires de biolo-gie médicale à préparer l’application de la directive européenne. Nous les aidons tout d’abord à prendre conscience du risque que représentent les AES et à l’évaluer. Nous pouvons ensuite les aider à définir la solution qui sera la plus adaptée à leurs besoins, grâce à des modèles économiques interac-tifs et personnalisables. Nous avons également fait plusieurs études pour démontrer l’efficacité de nos produits en matière de sécurité. Cela permet d’avoir des évaluations concrètes en

termes de résultats attendus. Par ailleurs, notre méthodologie inclut un programme de formation très poussé qui nous permet de former le personnel soignant à l’utilisation des produits sécurisés. C’est une étape indispensable que la nouvelle directive rend d’ailleurs obligatoire. Une fois la conversion effectuée, à laquelle nous participons activement, nous restons à l’écoute des besoins de nos clients en faisant évoluer nos produits et en les améliorant continuellement, en liaison avec les besoins des utilisateurs. » ◗ T

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eChristian Seux - Président de BD France

La sécurité des professionnels, un devoir éthique et un terrain de recherche avancée pour les industriels.

Création d’un site web dédié à la sécurité

Pour informer sur les enjeux des AES

et l’impact de la directive européenne,

BD vient de lancer un site internet :

http://www.bd.com/europe/safety/fr/

Page 17: Objectifs N°49

16 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010 17 LE MAGAZINE INTERNE DE BD

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DOSSIER

En Europe, le domaine de la santé se convertit à des pratiques de travail et à des dispositifs plus sûrs. Au sein de BD, nous nous engageons à utiliser notre expérience et notre expertise pour vous proposer le partenariat et les outils essentiels à ce processus de conversion.

La valeur ajoutée de BDBD propose un partenariat basé sur l’expérience qui permet d’assurer la conformité avec la nouvelle Directive européenne, et une transition plus simple, douce et rentable, à des pratiques de travail plus sûres.

BD – optimiser la sécurité des professionnels de santé

Que cela signifie-t-il pour vous?

Everyday Procedure. Everyday Hazard. Everyday Safety.

Helping you to

implement the

EU Directive and to achieve Everyday

Safety in clinical practice

Reducing Needlestick

Injuries

Quelle est cette nouvelle Directive européenne?Que dois-je faire?

Outil de sensibilisation à la Directive européenne

Une explication claire et simple des principales exigences établies par la Directive européenne

1

Outil d’évaluation des risquesUn processus en 3 étapes pour identifier les

dangers et développer les recommandations de réduction des risques

Les professionnels de santé courent-ils un risque?Comment puis-je gérer les risques? Dois-je introduire des dispositifs sécurisés?

2

Que se passe-t-il au sein des autres établissements et pays?Puis-je avoir quelques exemples des bonnes pratiques?

Site Internet BD dédié à la sécurité des professionnels de santé

www.bd.com/europe/safetyUne ressource utile pour aider à améliorer la

sécurité des professionnels de santé en Europe, avec des études de cas de clients BD

7

Combien dois-je investir?La conversion à la sécurité sera-t-elle rentable?

Modèle économiqueUn modèle interactif qui calcule, pour chaque

établissement, les implications financières induites par la conversion aux dispositifs sécurisés

3

Quels sont les produits adaptés aux différentes applications de mon établissement?

La plus large gamme de dispositifs sécurisés BD

Le plus grand choix de produits de sécurité du marché, conformes aux nouvelles normes ISO,

pour prévenir les blessures par piqûres d’aiguilles et les accidents exposants au sang

6

Comment être sûr que mon personnel est formé correctement et que mon investissement est rentable?

Formation et programmes d’éducation à la sécurité

Programmes de formation sur mesure, dans une large variété d’applications cliniques, pour une

utilisation efficace des dispositifs sécurisés

5

Comment développer et mettre en œuvre un programme de sécurité des professionnels de santé?

Outil de gestion de la conversionUn ensemble d’outils pour aider les

établissements à introduire les dispositifs de sécurité de façon efficace, et à réduire le

nombre de blessures par piqûres d’aiguilles

4

22028296 BD A4 Offerings French aw1.indd 1 30/03/2012 11:30

BD accompagne les établissements de santé avec un programme de conversion spécifi que

BD dispose de la gamme de produits de sécurité sans doute la plus étendue du marché, couvrant les domaines de l’injection, de la thérapie par perfusion,

de la prise en charge du diabète et du prélèvement sanguin. BD met ainsi son exper-tise à la disposition des établissements de santé pour les protéger face aux risques d’Accidents Exposant au Sang par piqûres d’aiguilles. Grâce à son expérience en gestion du changement, BD a développé un programme de conversion et des outils de support adaptés.Les programmes de conversion sont organisés par des professionnels qualifi és, avec des spécialistes de l’éducation et de la formation dans le domaine de la santé, qui s’assurent de l’accompagnement des établissements de santé tout au long du processus de transition ainsi que de leur suivi.

Chaque établissement est différent. C’est pourquoi BD travaille en étroite collaboration avec eux pour concevoir un programme adapté à leurs besoins spécifi ques, par exemple :❱ Comment et quand le changement aura-t-il lieu ?❱ Les produits à utiliser❱ Les ressources nécessaires❱ L’éducation et la formation requises❱ Les supports de formations nécessaires et le suivi de formation❱ L’engagement des parties prenantes. ◗

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Création d’un site web dédié à la sécurité

Une plaquette est mise à disposition pour présenter les

différents outils concernant les AES.

BD et DNV accompagnent les soignants dans le cadre de l’évaluation des risques liés aux objets piquants.

En partenariat avec DNV, expert mondial en évaluation et gestion de risque, nous pouvons apporter aux établissements

de santé notre support et les aider ainsi pratiquement à évaluer les risques encourus spécifi quement par l’usage d’objets piquants et ainsi de mettre en place les solutions pertinentes et adaptées. ◗

Page 18: Objectifs N°49

18 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

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La sécurité des professionnels de santé

BD expert en formation à l’utilisation des matériels sécurisés

Depuis 25 ans, BD travaille avec les établissements de santé pour développer des programmes de

formation et d’éducation spécifi ques et personnalisés. BD va au-delà de la formation à l’utilisation des dis-positifs sécurisés en apportant une aide experte en matière de sécurité des personnels de santé, mais aussi sur les applications cliniques quotidiennes telles que les pratiques et techniques optimales dans les domaines de l’injection, du prélèvement sanguin et de la perfusion.Pour BD, l’éducation et la formation à la sécurité des personnels de santé sont des points clés. BD investit non seulement dans la recherche & développement sur les dispositifs sécurisés mais également dans le développement d’outils éducatifs, de documentations et de programmes de formation de qualité, adaptés aux besoins spécifi ques des établissements.

Les professionnels dans le domaine de la santé ne doivent pas inutilement risquer leur vie pour prendre soin de celle des autres.Depuis plus de vingt ans, BD contribue à un effort mondial visant à les protéger contre le risque important

d’exposition professionnelle aux agents pathogènes transmis par le sang. Aucun autre fabricant n’a conçu, breveté ou commercialisé autant de produits de sécurité contre les blessures par objets tranchants.La passion des collaborateurs de BD est mise au profi t de l’amélioration de la sécurité sur les lieux de travail dans le domaine de la santé.Elle se caractérise par des innovations technologiques, de fabrication mais aussi pédagogiques, ainsi que par des collaborations avec les organisations partageant notre objectif « Pour que chacun vive en bonne santé ». ◗

Stéphanie Comiotto

Des formations adaptables

BD propose des programmes de formation modulaires, développés par des experts de la santé, englo-bant de nombreuses applications cliniques, notamment :

• Prélèvement sanguin• Systèmes d’injection• Thérapie par perfusion• Prise en charge du diabète

Travailler ensemble pour améliorer la sécurité des professionnels de santé

VOTRE SOLUTION COMPLÈTE POUR LA CONVERSION À DES PRATIQUES DE TRAVAIL PLUS SÛRES

BD et le Logo BD sont la propriété de Becton, Dickinson and Company. ©2011 BD

27647 BD Portfolio Folder FRE aw1.indd 1 25/01/2012 11:45

Page 19: Objectifs N°49

18 ❘ OBJECTIF N°42 - JANVIER 2010

Le stand BD

À gauche, Jim Keenan, Director of Market Business Devlopment BD - EuropeÀ droite, Kuong Truong, European Marketing Manager / Cell Analysis BD - Belgium

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

19évènementENTREPRISE

À cette occasion, de nombreux leaders et responsables de

grandes compagnies internationales de technologie médicale, de jeunes entreprises innovantes, des sociétés de capital-risque ou d’investisseurs privés s’étaient réunis afi n d’établir des relations privilégiées lors de réunions individuelles en vue d’éta-blir de nouveaux partenariats . ◗

Stéphanie Comiotto

4ème conférence annuelle de partenariat consacrée aux technologies médicales innovantesDu 31 mai au 1er juin 2012, Christian Seux et une dizaine de collaborateurs de BD (France, Belgique et U.S.A.) ont participé à la quatrième conférence annuelle de partena-riat EuroMedtech™ 2012 qui s’est déroulée au Centre des congrès du World Trade Center de Grenoble.

EurMedtech

Une affl uence digne de la propositionde la proposition

❱ 205 entreprises ❱ 22 pays représentés❱ 150 opportunités d’acquisition de licences❱ 9 ateliers❱ 34 présentations ❱ 755 réunions individuelles❱ 18 stands présentant les produits, les projets et

les réalisations.

Des formations adaptables

Christian Seux, Président BD - France

Page 20: Objectifs N°49

Une expérience humaine intense

Servane Pelle et Elodie Romeyer, BD Médical - France, ont participé à la mission humanitaire organisée par BD et les ONG partenaires Heart to Heart International et Partners in Health en Haïti. Elles nous ont confi é…

La mission humanitaire de BD en Haïti

20 partenariatENTREPRISE

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

Sélectionnées en janvier dernier pour rejoindre une des cinq équipes envoyées

en Haiti, et après de nombreuses étapes préparatoires, nous arrivons enfin sur place le 20 mai pour ces trois semaines de volontariat humanitaire.

Equipe des formateurs techniciens de laboratoireEnne - BD Biosciences - USA, Tina - BD Diagnostics - USA et Vaughn - BD Biosciences - USA ont formé 77 techniciens de laboratoire et managers sur l’établissement de procédures d’analyse afi n de garantir la fi abilité des résultats et

leur reproductibilité. « Une partie du personnel formé s’est donné rendez-vous pour élaborer ensemble des procédures et homogénéiser leurs pratiques. C’est notre plus grande récompense ! » soulignait l’équipe.

La clinique de Dufort

Départ de PAP pour Fondwa

Equipe de constructionL’équipe de Construction composée de Jeff A. - BD Medical - Pharmaceutical System - USA, Brian BD Medical – Diabetes Care - USA, Jeff L. - BD Medical - USA, et Johnny -

BD - European Distribution Center - Belgique ont apporté eau chaude et électricité dans 2 centres d’accueil pour les volontaires. «Je suis fi er de ce que nous avons accompli car les prochains volontaires séjourneront dans de meilleures conditions. Ceci leur permettra d’être plus effi caces pour accomplir leurs missions auprès des haïtiens» remarquait Jeff L. Ce projet a pris une toute autre ampleur lorsque les habitants du village, petits et grands, sont venus prêter main forte à l’équipe.

Enne

Tina

Vaughn

Debbie Enzo

Brian, Jeff, Johnny, Jeff et Daisy l’interprète

Page 21: Objectifs N°49

INFOS PAYSLa République d’Haïti, pays des Grandes AntillesSuperfi cie : 27 750 km2 Population : 9,8 millions d’habitantsLangues offi cielles : Français et Créole HaïtienCapitale : Port-au-Prince

Un pays magnifi que, une population courageuse et volontaire qui participe activement à l’amélioration de la qualité des soins proposée par les bénévoles de BD

Une expérience humaine intense

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LE MAGAZINE INTERNE DE BD

« Etre témoins de l’énergie des haïtiens, de l’engagement des volontaires et de l’ONG a été un immense privilège et nous espérons que nous aurons pu retrans-mettre l’essence même de cette aventure et générer de nouveaux engagements et soutiens. Chacun peut agir et apporter sa contribution en Haïti. » ◗

Elodie Romeyer & Servane Pellé Lombardy

Equipe des formateurs paramédicaux60 référents en santé ont été formés par Deb,Enzo et Donna - BD Medical - Surgical Systems - USA. Ils ont été des sentinelles dans leur village pour la prévention des maladies de la mère, de l’enfant et des maladies infectieuses et transmissibles telles que le choléra ou le VIH. En tout, ce sont 10 000 habitants de la région de Pau P et Léogane qui ont pu bénéfi cier de leurs conseils.

Equipe paramédicale de premiers soinsServane et Connie - BD Medical - Surgical Systems - France et Estee - BD Diagnostics - Australie, respectivement infi rmières et technicienne de laboratoire de formation, ont rejoint l’équipe des professionnels de santé dédiés

aux cliniques mobiles. Elles ont épaulé les soignants de l’ONG déjà présents sur place lors des consultations médicales. Malgré la détresse des patients et leurs ressources limitées, Servane réalisait qu’en 3 semaines, elles ont pris en charge plus de 750 patients dans 5 cliniques des régions de Port au Prince et de Léogane.

Equipe de communicationChargés de récolter les témoignages des volontaires BD, des humanitaires de l’ONG et de la population locale, Elodie - BD Medical – Surgical Systems

- France et Joe - BD Corporate - IT USA de l’équipe Communication ont suivi les différentes équipes dans leurs missions quotidiennes. Notre rôle était de rendre compte du travail fournis par nos équipes sur le terrain, à travers des interviews et des reportages photos. Notre but était de susciter l’engouement auprès de

nos collaborateurs BD pour les futurs projets humanitaires et de récolter des fonds afi n de pérenniser l’action des ONG partenaires en Haïti.

Elodie

Joe

Servane Ludnie (ONG)

Estee

Enzo Donna

Connie

Page 22: Objectifs N°49

22 préventionSANTÉ

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

Ce qui change… ou pas !La loi n° 2011-867 du 20 juillet 2011 et les décrets 2012-135 & 137 relatifs à l’organisation de la médecine du travail donnent une défi nition des missions des services de santé au travail, fi xent les modalités de l’aide à l’employeur pour la gestion de la santé et de la sécurité au travail et prévoient les modalités du dialogue entre le médecin du travail et l’employeur.

Réforme de la santé au travail

Pour vous chez BD

Les missions du service de santé restent les suivantes :

❱ Assurer la surveillance de l’état de santé des collaborateurs en fonction des risques au poste de travail

❱ Participer au suivi médico-pro-fessionnel (traçabilité)

❱ Conduire des actions en santé au travail

❱ Eviter toute altération de la santé des collaborateurs du fait de leur travail.

Ces missions sont celle d’une équipe santé au travail (infi rmières, assis-tante, médecin…).

Que deviennent les visites médicales ?

❱ La visite d’embauche est à faire avant la fi n de la période d’essai. Elle permet de préciser les risques au poste et les moyens de s’en protéger.

❱ La visite systématique est portée à 24 mois, sauf en cas de surveillance médi-cale renforcée (voir ci-dessous). Elle peut être parfois espacée dans certaines conditions.

❱ Les visites de reprise sont obligatoires, elles doivent être faites dans les 8 jours qui suivent la reprise, après un arrêt maladie de plus de 30 jours, un arrêt pour accident du travail de plus de 30 jours ou un arrêt pour maladie professionnelle (quelle que soit la durée).

❱ Lorsqu’une diffi culté est à prévoir lors d’une reprise et systématiquement après 3 mois d’arrêt, il est indispensable de faire une visite de pré-reprise, un peu avant la fi n de l’arrêt. Cette visite sera organisée à la demande du collabora-teur, celle du médecin traitant ou du médecin conseil de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie.

❱ Une visite à la demande du collaborateur ainsi qu’à la demande de l’employeur peut également être programmée.

❱ Dans certains cas, des surveillances médicales renforcées sont prévues. Elles concernent les risques ou situations de travail suivants:

• Les travailleurs âgés de moins de 18 ans • Les femmes enceintes • Les travailleurs handicapés • Les salariés exposés aux agents biologiques des groupes 3 et 4 (pathogènes

pour l’homme), au plomb (article R4412-160), au bruit (al2 de l’article R4434-7), au risque hyperbare, aux rayonnements ionisants, aux vibra-tions (article R4443-2), à l’amiante, aux agents cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour la reproduction.

❱ La surveillance des travailleurs postés avec travail de nuit reste identique.

«Je vous fais grâce d’autres précisions médico-juri-diques… et je reste à votre disposition pour toute question que vous souhaiteriez m’adresser !» ◗

Malika Jalbert, Médecin du travail

Vous pouvez nous joindre :

Infi rmières : 3660Assistante Service de Santé : 3250

Médecin : 3320Mail : [email protected] actuels d’ouverture du service :

de 8:00 h à 18:00 h

Page 23: Objectifs N°49

évènement 23

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

Ce qui change… ou pas ! La semaine de vaccination européennePour la quatrième fois, BD a organisé une journée de for-mation sur la vaccination.

BD World Vaccine Day 2012

Du 21 au 27 avril dernier, se déroulait la Semaine de la

Vaccination européenne 2012. À cette occasion, l’ensemble des régions françaises s’est mobilisé pour sensibiliser le grand public sur la vaccination et son actualité.

Le 6 juillet dernier, BD organisait la 4ème édition du BD World Vaccine Day sur son site du Pont-de-Claix. BD a choisi, en tant que maillon de la chaîne de prévention, d’informer ses collaborateurs sur les vaccins, leur raison d’être et leur effi cacité. Claude Dartiguelongue, Président BD Medical – Pharmaceutical Systems, a souligné l’importance

du rôle de chacun d’entre nous en tant qu’acteur de la prévention.

A cette occasion, deux conférences ont été animées par Mr ABRY de la société ISBA Santé Prévention et suivies de sessions de questions-réponses.Différents modèles de seringues utilisés pour la vaccination ont été présentés.Le service de santé a dispensé des informations relatives aux vaccins pouvant être pratiqués sur le site et a présenté la nouvelle carte de vaccination aux couleurs de BD. Cette carte vous sera désormais remise pour toute vaccination à l’infi rmerie.Des quizz ludiques ont également été proposés aux collaborateurs désireux de faire le point sur leurs connaissances.

Une nouvelle fois, un grand nombre d’entre vous avait répondu présent. Un grand merci à tous. ◗

Sophie Gossard

Vous êtes venus nombreux assister aux conférences

Séancequestions-réponses

Page 24: Objectifs N°49

24 aide au logement

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

ENTREPRISE

ACHETER

Ce prêt est consenti afi n de réaliser des travaux d’amélioration avec un prêt à 2,25 % (hors assu-rances), sous condition du respect des plafonds PLI et sous réserve de fonds disponibles.

Action logement

Le logement, indispensable à notre équilibre, est la préoccupation de tous à différents moments de la vie. Le dispositif Action Logement, représenté par ALIANCE, vous accompagne dans vos projets de logement.

Plusieurs volets vous sont propo-sés dans le cadre des dispositifs

Action Logement. Les dispositifs sont soumis à des décisions gouvernementales.

À ce titre, il peut y avoir des modifi -cations. Nous vous recommandons de regarder régulièrement les diffé-rents sites internet pour avoir des informations actualisées, au fur et

à mesure de vos besoins. Nous vous invitons à faire un tour d’horizon de l’offre proposée par Aliance pour vous accompagner au mieux dans vos projets...

De nombreuses aides pour tous vos projets immobiliers

Pour vous aider à fi nancer la construction ou l’acquisition de votre logement neuf ou ancien sans travaux, un prêt à 2,25 % (hors assurances), sans frais de dossier ni garantie, est proposé.

Ce prêt est consenti à hauteur de 7000 € à 15000 € minimum, selon la zone géographique, sous réserve du respect des plafonds de ressources PLI ( Prêt Locatif Intermédiaire - voir tableau en annexe), des normes de performances énergétiques requises et à condition que le montant de l’apport personnel n’excède pas 40% du montant total de l’opéra-tion. Pour ces prêts, un questionnaire devra être complété pour faire l’étude des droits.

Et aussi du Conseil en fi nancement …

ALIANCE Développement 1% propose aux salariés un

service de conseil à l’accession complet et gratuit pour les

aider à réaliser leur projet immobilier dans les meilleures

conditions allant de l’étude du fi nancement au suivi du

dossier jusqu’au déblocage des fonds.

Page 25: Objectifs N°49

25

LE MAGAZINE INTERNE DE BD

LOUER

Le logement, notre préoccupation

De nombreuses aides pour tous vos projets immobiliers Plafonds de ressources PLI au 1er janvier 2012

Nombre de personnes destinées à occuper le logement Zone A Zone B Zone C

1 personne 40 201 31 067 27 1842 personnes 60 080 41 488 36 3023 personnes 72 223 49 893 43 6564 personnes 86 510 60 232 52 7035 personnes 102 411 70 854 61 9986 personnes 115 243 79 853 69 871

Par personne supplémentaire + 12 841 + 8 907 + 7 794Ces plafonds s’appliquent pour le prêt accession,

le prêt travaux et l’aide Mobili

Ce prêt, sans intérêts, est une avance de votre dépôt de garantie dans la limite de 500 €.

Il est ouvert aux salariés des entreprises du secteur privé non agricole, aux jeunes de moins de 30 ans (sauf fonctionnaires titulaires) et aux étudiants, sous certaines conditions. L’aide est remboursable mensuellement à hauteur de 20 € minimum, sur une durée pouvant aller jusqu’à 25 mois. Les mensualités de remboursement démarrent à partir du 3ème mois suivant le début de la location.

Les logements locatifs sociaux

Des logements sociaux à loyers modérés peuvent être proposés sur toute la France, avec des loyers plafonnés accessibles aux employés ainsi qu’à une large catégorie de cadres.

Les Résidences Hôtelières à Vocation Sociale (RVHS) et autres résidences temporaires

Les RHVS meublées (duT1 au T2), louées à la nuit, à la semaine ou au mois, offrent une solution d’héberge-ment temporaire confortable. Sans conditions de ressources ni d’âge, ces résidences sont accessibles aux personnes seules ou avec enfant(s), ou en couple. Certains logements sont adaptés aux personnes à mobilité réduite. D’autres types de rési-dences peuvent être proposés.

Pour la location d’un logement social ouvrant droit à l’APL, ALIANCE 1% Logement se porte caution auprès de votre bailleur pendant les 3 premières années du bail, à hauteur de 9 mensualités de loyers et de charges locatives (nettes d’aides au logement) et dans la limite 2000 € mensuel. La demande doit être faite au plus tard dans les deux mois à compter de l’entrée dans les lieux.

La Garantie Risques Locatifs est réservée à tous les locataires de logements du parc privé dont le loyer est inférieur à 2000 €mensuel, charges comprises. Ce dispositif garantit le règlement de vos loyers et de vos charges locatives à votre bailleur, dans la limite de 70 000 €, pendant toute la durée du bail. Le bailleur doit souscrire volontairement un « contrat GRL » auprès d’un assureur labellisé GRL. Invitez votre bailleur à consulter le site www.grl.fr pour connaître les avantages du contrat GRL.

❱❱

Page 26: Objectifs N°49

26 aide au logement

OBJECTIFS N°49 - OCTOBRE 2012

ENTREPRISE

❱❱

DEMENAGER

L’Aide Mobili-Pass® est destinée aux salariés en mobilité professionnelle (mutation ou embauche), sous réserve du respect des plafonds de ressources PLI (jusqu’à 3 500 € pour un logement situé en zone A ou B1 et jusqu’à 3 000 € �pour un logement en zone B2 et C).

Elle est consentie sous forme de subvention (jusqu’à 2200 € en zone A et B1 et 1900 en zone B2 et C) pour les frais de recherche de logement facturés par une société de mobilité et/ou sous forme de prêt à taux réduit remboursable sur 36 mois maximum pour fi nancer d’autres frais liés au changement de domicile (double charge de logement, frais d’agence …).

L’aide est réservée aux salariés locataires sur le site d’arrivée. La demande doit être déposée dans les 6 mois suivant l’embauche ou la mutation. La distance entre l’ancien et le nouveau domicile doit être supérieure à 70 km. L’aide est accordée une fois tous les 2 ans.

L’aide mobili-jeune® est une aide de 100 € mensuel pour vous permettre d’alléger votre loyer pendant 6, 12 ou 18 mois, soit jusqu’à 1800 € maximum selon les revenus. Elle est destinée aux jeunes de moins de 30 ans, salariés, en formation professionnelle dans une entreprise (contrat d’apprentissage, d’alternance ou de professionnalisation) et prenant un logement en location ou une colocation, dans le secteur immobilier privé ou dans le parc social. L’aide est versée au locataire au début de chaque trimestre. Cette demande est à présenter dans les 3 mois à compter du démarrage du cycle de formation.

Un prêt relais à taux réduit vous est proposé pour vous aider à fi nancer l’acquisition de votre nouvelle résidence principale dans le cadre de votre mobilité professionnelle, en attendant la vente de votre précédent logement devenu incompatible avec votre nouveau lieu de travail.

Des consultants assistent les salariés en mobilité professionnelle pour la recherche d’un logement locatif et pour les formalités à accomplir, aussi bien au départ de l’ancien logement qu’à l’installation dans la nouvelle résidence. L’aide MOBILI-PASS® fi nance cette prestation sous forme de subvention à hauteur de 2 200 € pour un logement situé en zone A ou B1, ou jusqu’à 1 900 € pour un logement situé en zone B2 ou C.

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LE MAGAZINE INTERNE DE BD

ACCOMPAGNER

CIL Pass-Assistance® est une aide aux salariés rencontrant des diffi cultés d’ordre conjoncturel liées au logement, à la suite d’un évènement diffi cile et imprévu (perte d’emploi, réduction d’activité et des ressources, divorce, séparation, maladie, handicap, décès).

Une intervention gratuite est effectuée en toute confi dentialité. Elle va de l’analyse de la situation du salarié à la recherche de solutions adap-tées avec, si nécessaire, l’orientation vers des partenaires spécialisés.

Ce prêt à taux réduit permet de diminuer les mensualités d’emprunts immobiliers des salariés en déséqui-libre fi nancier en refi nançant tout ou partie des prêts immobiliers à taux élevé souscrits lors de l’acquisition de la résidence principale. Il peut aller jusqu’à 40 000 € remboursable, avec ou sans différé, sur une durée à défi nir avec un conseiller ALIANCE Action Logement.

Ce prêt est une avance sans intérêts permet-tant aux salariés en déséquilibre fi nancier de rembourser jusqu’à 100% des mensualités d’emprunt immobiliers de la résidence prin-cipale, hors prêts Action Logement, dans la limite de 850 € par mensualité, pendant 6 mois, renouvelable une fois après examen de la situation du demandeur, soit une avance globale de 10 200 €.

Un prêt sans intérêt destiné aux salariés locataires en situation de déséquilibre fi nancier suite à un évènement diffi cile et imprévu permet de couvrir le paiement total ou partiel des quittances de loyers et des charges, dans la limite de 17 600 € en zone A, 14 400 € en zone B et DOM, 11 200 € en zone C. L’aide doit d’abord servir à alléger les quittances à venir, le fi nancement des arriérés devant être limité à 3 mois d’impayés maximum. Le remboursement, avec ou sans différé, est à déterminer avec un conseiller ALIANCE 1% Logement. Le rembourse-ment anticipé du capital en cas de changement de logement n’est pas applicable.

Pour obtenir des informations sur ces produits, contactez

Aliance Action Logement, Sylvie Lanfranchi au 04.76.51.28.40 ou 06.48.05.99.57 ou envoyez votre demande au mail suivant : [email protected] pouvez également vous rendre sur le site www.aliancelogement.com. Le code « entreprise » à saisir en fi n de parcours est A22001317.

Au sein de BD, des interlocuteurs peuvent également vous renseigner ou faire l’interface avec ALIANCE si besoin : ❱ Le Comité d’entreprise de BD

(04 76 68 37 47 ou 04 76 68 34 93)❱ Guillaume Grunhut❱ Albert Scius❱ Frédéric Duboulet❱ Agnès Baffoigne, Assistante Sociale,

au 9450 ou par mail à [email protected]

Les descriptifs produits des dispositifs Action Logement sont régulièrement mis à jour et consultables sur le site d’ALIANCE 1% Logement, sur le site du CE de BD http://cebdfrance.fr et sur le portail RH www.bd.com/HROne ◗

Agnès Baffoigne

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OBJECTIF N°49 - OCTOBRE 2012

partenariatENTREPRISE

octo

bre

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2 •

n°49

Un partenariat en toute confi ance

Impression, reprographie, tirage de plans

L’intégration des dernières technologies d’impression numérique permet à Esthi

d’apporter une réponse rapide, souple et économique.

Sous-traitance, Assemblage et conditionnement

La certifi cation de leur processus peuvent garantir des opérations d’assemblage

mécanique et de conditionnement.

Informatique, numérisation de documents

La gestion électronique de documents en terme de routage/mailings ou de numérisation de

document peuvent vous accompagner dans la dématérialisation de vos supports papiers.

Mise à disposition

Pour répondre à un projet d’insertion ou à une production sur site, Esthi met à notre

disposition des personnes handicapées qualifi ées.

Des compétences au service de vos projets

Un ESAT, Etablissement ou Ser-vice d’Aide par le Travail, est

un établissement social et médico-social qui accueille des personnes en situation de handicap. Chaque personne est encadrée par des éducateurs techniques diplômés, dans chaque secteur d’activités.

BD souhaite renforcer son par-tenariat avec Esthi, être acteur de l’économie sociale et solidaire et contribuer à développer et à maintenir l’emploi de travailleurs en situation de handicap, en par-ticipant à leur insertion sociale et professionnelle.

Pour vous accompagner dans la réalisation de vos projets, Esthi vous propose différentes solutions en impression, informatique, sous-traitance, assemblage et condi-tionnement et mise à disposition de personnels en situation de handicap.

Pour l’ensemble de ces services, contactez Esthi, Emanuelle Mancino au 06 89 96 30 65, ou consultez leur site internet www.esthi.fr.Dans le cadre d’une mise à dis-potion, prenez contact avec moi

– poste 3344 - pour que je puisse vous aider dans toute vos démarches d’insertion. ◗

Valérie Vial, Coordinatrice Handicap

Faire travailler un ESAT contribue à l’engagement de BD, dans le cadre de l’accord Handicap.