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---'Lord Wavell a •l=u un etstretleii avec gandhi.

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La Standard Motôr Coy: de Grau%.Bretagn &uuloree qu'- elle a e cporté 5OO v-Jitures au tomoblles depuis le ruais de Septeaitbre 1945. Pur-rai les nori •, .brüu- p -y qui, oitt ru _une partie de ce preaTdor -vo i, on. cite es Eta s Unis, 1 A ° i,

ta Suisse, la Suède et la Ma.lai- ele.

-

Li temps normal, la St:an.. dard Motor Coy, aurait con5i déré ce chiffra de 500 cornu:c négligeable; mats devant les dlfficulté>d te uporairc . a etu4 les, l'exportation de 500 autos est un fait méritoire. CCN+ dif-fictdtés, que les industritsldi bri- tanniques sont en train de sur- monter, proviennent ' sur9lout de la transition de l'lndust ie. de guerro à- I'induatrlei. de pa -c. _

Il' faut relever que l'industrie automobile britannique n'a pas fabriqué une seule voitw'e pi-i : vée drrpuie 'les pré nien-s mois de la guerre. C'euit pourquoi la' réorganisation. deS Uaiildü et leur réadaptation . pour la pro- duction . civile, occupent au- jotud'hui lao indiugtrk bien plus que là. pr dW tirnl propre-ment dite. .

1.500.000 tonnes

•Une délicieuse découverte à' Sarabaya : un n1lllon cinq cent mille tonnes- .de sucre abandonnées par les Japo-nal$ viet4lent d'étre découvertes ''-par les aillés. Soit

10 fsls la production des 9ucrerlee d'Egppta

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i dacteus eu Chef

C D. BENEDUCCi

L'Adaninigtration An^;éricai. ne des pétroles dé guerre ' n publié récemment unp étude dans lanur41e il est eatinié qui: la demande mondiale, à l'eatclur lion de la Russio, en ce qui concerne 1 S principaux produits du pétrole atteindra un total de 5.684;000 fûts par jour,

L'étude en queatlon a ^çtiirivé Kea la production mozidials d'aprc3 gt ira en dehors de;

leur u rrit de façon Lr^iilan -' régions :. productrices de ia Rus-t.,- mni sombra rapidement sis sera de 6.591.000 fûts par dans une léthargie presquf_ i° .pour la seconde moitié

de l'2nnka 1346. chu chiffre re-

No. 10 . 860

URNALDu^v^_

SCCrud .ou du t}rlsième trime.. • tro 5C 1916. Ersulte la tiemri.n. d4 augrnzntera régultèrement malgré la . diminution d, plus en plus accentué des extgen-. ec-s militaires, •

t

six MILLIONS ET DEMI DE • FUIS DE PETROLE PAR JOUR

( MARINE MARDI, 11 DECÈMBit.l 194

L'envoyé spécial du gouvernement iranien a été reçu par M. Moiotol.

1.,e pren1ier ministre persan réclame l'évacuation du pays le plus vite possibte. .

Ore, dément que les J3ritannfques exploitent les mines d•é chrome du liefouch' tan.

— M. lievin.. a anl oncé la composition de la commis-sion d enqucte angle-américaine qui devra avoir terminé

.-

sa.lâclu: soins- u,, tlélti de trois mois. — Le générai. de Gaùlle a 'prononcé un discours ra-

thûdiffusé faisant appel à l'unité' nationale pour le relè-vement du pays et disant que la France , se trouvant en• tre deux très grandes puissances, veut maintenir son équilibre. - .

— On dément que la France ait adressé une note aux Trois Grands au sujet de l'Espagne. ,

— Une amnistie. .a été proclamée en Grèce affectant 80.000 personnes.

— Au procès :de Nuremberg, l'accusation expose les Jy:s.paratifs de la guerre contre la Russie et les efforts de l'Allemagne pour pousser le 'Japon à 'intervenir.

— L'état du général Patton demeure grave. -- Les extrémistes indonésiens deviennent plus agres-

si f s. .

Li r<1 Wavell dit que les troupes hindoues n'ont pas sur bot de lutter cosatre les aspirations " indonésiennes niais de rétablir - l'ordre trou blé par des éléments rncon-trôlables. . - -

--- Un accord est intervenu entre la Russie et la Chi-né polir le transport par avion de à forces gouvernemen-taies chinoises en Mandchourie. .

: — La question du siège ' de 1'O .N.U: continue à coule- ver de vives discussions et la . possibiNté d 'une impasse n'est pas 'exclue.

— Le procès des responsables de l'entrée en guerre de la Finlande a repris -

— On s'attend à ce que le projet de loi sur le plan de Bretton Woods et l'accord anglo-américain soient ap-prauvéa aux Cümraunes sans grande opposition bien que dé nonbreusea crltlques soient probables.

-- Une Wa$a -de crntes balaye actuelleioert les Etats. huis.

. - .

é: a-

700.006 fitta di 164E>.

Par aLilelI?s le 1appoct d€ chas que la cûinnution cl£ b1 production quotidlerate aux E- ta.s-Uni:, sera envore plus . grande, le débit passant da 5.071.00 fûts ii (vile moyeiine de 4.119.000 : fûts en 1946.

' n est prévus d'après le rap port que lao exploltations à. l'é-tr5.nger se développe ont au deiâ dés points maxima at-teints pendant h, guerre, par suite de l'installation . d'un nouvel outillage et des répara- tàone de l•ancien équlpeanent dans les dtffértert)4r • régions productrices du Golfe Per'siquè, des Indes' NéèHs daises, de i3ornéo, du Royaumie-Uni .e'c de l'Europe Contfnerttaie.

Considérant les péaupies d'es- sence, et d'autre,, produits , du pétrolo dans les régions trouvent à i'extérieuT-rdes. E- tata-Unis l'on pente que lei3 o pérations de raffinage dan" ees régions seront mainteuueh à tut niveau proche de la calai. cité maximum. Fendant le qua• trtèrne trimestre dd 1P45 et u-u Cours de la prcirtèro moitié ktu 1946 tous les carbui^nts dis-

w IÇous uvoLu -Vt; ceLt5' s. naine un certain • mouvement sur i5 a.CU as fora Ôn2bo. E- tant donné que par suite 4C: certaines cli aoirstaalcep (Cuti poraires, los bénéfieeis :de eeR dernière _années avaient pies v_scirerf?nt dimiitué, il e?t a supposer que sente repriset düe à l'annonce de i'électrifi- cation du réservoir d'Assouan.

11 .paraitrait en effet, - . que lets travaux entrepris dsens la région feront réaliser une Ica vomie do yombustible de L.E. 10 par. feddan. If est donc . in-contestable quo la société , de Kom Ombo est appelêe àz tirer un profit eevta;n.

. Ceat pourquoi, et plue 4u0 jamais, nous relevons, l'a - ma-lie constituée par Te pLX _ aotue^ de l'açtlon ordinaire dt celui d4 la part fondateur u1 simpiF calcul nous de - .cons-

(t.ater que les p :1:'7s fopda. ur. spilt neLtenieuc.- SOU atis..

pas' rapport aux actions: _ : ! En effet Zen a.cËlai, -mon# 3.c-

tuesllemertt cotée4 -à P 2`: - 66O s lors que leur prix ISeminni ebt

i de P.T. 390; ce (lui ncus dorùiil une plus value de -'.T. é,û j isf

I action. Or, le nombre total" des actions étant de 440 .000 ceîu

4Otina aile plus v81 totale

toujours dômiué par des con- présente une diminution gra,' duelie de la ploductlon maxi. sidé1atjons politiques. Quel - num dépa^.nt las 7 million ques titr es se détachèrent de fûts par jour réallsée dans

comme a I '

! .cati ont mai s r# S les lo courant du dernictr trlmes- l'arrêt des • acbitts, les prix tre. etc 1945. Dans son egtima• reculèrent. tion -dative à la, . den;ande eu

- _ pétrole pour 1946, le rapport Les fonds d'Etat britanni- eln question souligne que cette

ques étaient enclins à faiblir d emande dépassera légèrement sur de petites ventes. Les cell e des 1°S4, alors qu'ellu^ at titres étrangers furent cal- teindra dca5 nivedwt bien supé - • mes et soutenus majs les . rieurs a ceux ror.,statés en

1942 et em 1943., poilais furent légèrement en baisse en l'absenc e d'intérêt. Le . rapport dt clave crtï au

trds: s Les besoin,9 mondiaux ; Les Internationales fureYit atteindront probablement leur

fermes à l'unisson avec New- point le plus bas au cours da York tandis que les. Kaffirs frirent soutenus.

Les Diamants avaient ten- dance à faiblir,. de même que.

rv} les Chemins de Fer argen- tins. L'on kit ^, .rua lai _ .

y . . dons de raffinage aer+rnt Vers la im, il eut 4r uférlau sx quel-

;nande, a' luternntioaads attr,.nt a.

c}lie pear ua in le couva.-lt.

cours t rte; s âa

- du mois d'août .3945, eue .6 mll- ^3miUres Indices: lions 800.1100 de fûts par jour. lnduatrielles La réduction rnpréSentera Kaff ira Ferroviaires

1:7-.O 113.8

'?v.8

COTON( New-York, 10 (,Service i'ri-

ve). — Les contrats ;ont ou-vert irréguliers avec 2 p. de bisse .et v p. de hausse.

Le marché continua à évo-luer de 13açon irrégulière au début de la séauce avec des ventes en couverture de mors rapprochés , "et des achats commerciaux dia mois éloi-gnés. -

Par la suite, lz marché fut sans tendance, dans l'attente de nouveaux développements concernant. la situation ou-vrière et ies exportations.

Le sous-ton était .soutenu par suite de la tendance con titruelle à'faire ressortir les facteurs haussiers, notam-ment les grandes exportations en perspective et . les fac- teu s infiationniMes.. -

Vers la fin de la séance, le marché fui trëa soutenu suy des achats -du commerce joints à des couvertures et à une demande appréciable

pour l'exportation. Clôture très soutenue avec

1 p. et G p. de hausse.

DERMERE MINUTE

1_ t :-s cous, fléchirent la sui -

COTON

Bombay, 11 (S.P.). -- Le Janvier a auvert à 430 r, 12 annas..

OR ET ARGENT

poniblets des sources étrangères i,eront probablement néeessai. ras pour faire face aux deraan- dea à l'étranger et pour , com- penseC c*tainey pénurie 'pré vint dans la partie ori€tt&e i, tata.Unis.

Le rapport déclara èn outre que les changements d"opéra-ilons résultant de ia fln cs ia serre a?çon,y t Lista pour La plu-. part aux -0'tats-Unis par., Suite de: la dü,nia rtlon considppa:t ie des beaotns en essence, en aoru- parai,son avec les autros pro- duits. Les' Fltats-Unis ont été les principaux- prod1ictlr, d t. (`.ïfce, soit Cil \'^.ilW1Ç- n;.t

un pourcentage par rappor t aitu proch,dts nCTL raftirés.

En conclusion, le ' rapport déelaro que l'on prévoit que les ( XpOi1atiOa5 total eti de pé-trole brut et de produits' du pé. trois de,. ta;ts-Unii3 dépasse.- - t'ont les importations totale <_ de près de 160.000 fats pen-dant l'année 1946. (UNIS)

EXPORTATIONS •

D'AUTOMOBILES ANGLAIS

Aussi .l'envoi dei 5Q0 auge par une seule firme ' pr•odu .tC'i-ce .West que le signa], avant- coureur dune expo sive, qui ne manquera pas 'de sa r^r lniD . aussft^.t que l'adap-tation des ; usines peuh 'lia pro-- duetion ci'vfe tua accanuplle,. : ,

Je trai-rai dans cet article des gi>atre sujets ci-après

A -- Les Créances Irrécouvra- hies, . . .

B — Les .Frais de Publicité, C — Les Frais d'Automobile, D -- Les Frais de Déplacement

ou de voyage.. - -

.A) Les C' éances Irrécouvrables Bon nombre de . contribuables

chargent leurs comptes - eProfits et Pertes» de mentants qui représen- tent des créances irrécouvrables et l'Administration des Impôts s op7 pose à cette manière de procéder.

En vue de mettre les choseit au point, à ce sujet, nous dirons :

Les créances qui sont nées à partir du les septembre 1936 peu-vent étre considérées irrécouvra- blea sil résulte de 1'easmea des c-ompte5 ri- ctOCu e.nts -- con•es- pr'ndanees échs:agéee e: autres —. qui il . y liP r dé con8idérèr ia créance irrécouvrable ou ' comme teck et il ne peut ,y avoir d'op- position à charger de son montant le corupte «profits et pertes», sous l cs,:rve de ce qui suit :

J. —.-Que le contribuable_ pr& Sente un état aétai 1éom r' ont c eu P les indications suivantes

a) Le nom difdébiteur b) Le montant de la créance et 'La Lute à laquelle elle e çu

lieu d) Les. données Justificatives en

vertu desquelles. la créance e été réputée irrécouvrable.. . .

2 — Que le contribuable pré- sente à l'Admnistration des Iui- pats un état définitif ,dans lequel il indiquera les créances reconnues irrécouvrables par l'Adiminstration et qu'il s'engage par écrit au bas .

de cet état de reporter au compte «profite et Pertes» dans 1eA années à venir k montant de . ces créan-ces qui viendrait à être recouvré par la suite. : .

3 - Que lès créances figurant sur l'état précité soient écartées défiiiitivernént des livres. f

Quant aux créances qui sont nées. avant k Icr septembre 1956, elles ne psi <ent être portées à la chars ge 4i. cstmpte «profits et pertes»: x.

en • honnel nt à titre ex e Cep da c p et dans un espr t eoiiicillailt si le débiteur persivere dans s^s rap- ports avec l'entreprise après le lei' septembre 1936, les règlements a-yant'eu lieu entre le ter septembre et ie ` 31 aovt 1938 pourront être considéras comme fâisaut partie de'l'ancieune créance..

B-----Les- -Frais de Publr 'té - Les laetits..frais de pghl cité .- fit

les .frais . de . publicité périodiques' que l;entrepriie débourse de temps I. autre peuvent etre passés .à la charijc du compte «profits et per -tes» en une seule fois.

Quant aux frais pùblicitaires levés qui peuvent étre considérés comme uiie dépense pa soue de . capital tels que ceux d'une cam-pagne publicitaire menée par l'en- treprse, ils ne peuvent être portés àu . débit du compte «profits et pertes», mais il cgnvient de les répartir. sur plusieurs années, de trois à cinq, à déterminer confor- t: ment à la nature d-e chaque cas.

Quant aux frâis publicitaires qui peuvent être considérés com- me une dépense permanente dei

i!!!!:IIIlli1illll!ltllllll8111lll1ltlllllllll!I

capital tels que ceux ué.essités par. ]`installation de plaques en tôle ou d'enseignes' électriques: au haut des édifices, ils pourront être assujet tis au régime des amortissements annuels suivant les , pourcentages édictés par l'Administration. -

C -- Les Frais d Automobile - Dé nombreuses entreprises en-

registrent dans leurs comptes, des frais`d'automobile[ alors que - tres souvent l'usage de cette automobi-le ne se limite pas à l'objet . ne .

l'entreprise, attenüu que ,le oontri buable s'en sert également pour des buts personnels.

Pour ces - raisons, i'Adminisiia-tion estime qui il y a lieu d'adop' ter les règles suivantes : " ` -

1 -- Si je' contribuable établit -

d'uae manière Rormellè " qu'il. ecr âbsoluraent impc:aible d'e iaize is sage de •la voiture r'° den fins personnelles, roua ha frais y re-ilatifs pourront ':rr portés à la-

- cbare du compte. cprofit et 'per tes»,

2 — En ce qui concerne la voi-ture qui est utilisée aussi bien polir: les Pins de l'entreprise que "pour

f' personnelles. e' cool e lies rsonn 1 3 des P`e Pe profits et pertes uè sera chargé 'en aucun cilS de plus des deux tiers des frais la concernaut. Toutefois le Maamour pourra fixer la . pro-portion selon Soie estimation en conformité des circonstances rela-tives à chaque cas.

D Les frais de déplacement oie de voyage.

Certaines entreprises" grèvent le compte «profits et pertes» de frais de voyage à l'étranger (hors du territoire égyptien). -

D'ans ce cas, avant de:se.pro-noneer sur l'acceptation de tris frais, le Maamour des .Imp, ts de-vra s'assurer de ce qui suit l

1 -- La nature de l'activité de l'entreprise nécessite -telle le voya-^e à l'étranger 7

2 -- La région oi se rend .le contribuble est-elle.. spécialisée 'j dans le genre de travail auquel se i livre l'entreprise ?

s -- Le contribuable a-t-il vo- yagé en compagnie de aa fan i l.t e et l'entreprise a hile supporté tous les fracs

4 — Le travail requiert -il toute la durée pendant laquelle le con-tribuable a .séjourné à l'étranger .I

5 Les frais sont-ils : raison-nablemen't en rapport avec la si tuation.du contribuablé ?

Nous nous devons , - attirer Pat-tention de Messieurs les contHbua-hies sur le fait que %erta ins Mas' mours appliquent cette circulaire aux frais de voyage quel qu'en soit le genre , ' qu'ils se rapportent à • des voyages entrepris à l'inté-reur du territoire :ou -à l'extérieur.

Je suis d'avis qu'une. telle pro' cédure Tee-saurait en aucun cas être appliquée aux frais de voyage à l'hilérieur du territoire égyptien. Ceux--ci ne font l'objet d'aucune instruction administrative et sont légalement acceptés:. comme étant compris dans les frais nécessaires pour la réalisation des bénéfices soumis n l'impôt. .

1BRAHJM EL KATTAN evMaariiour Principal du Lsbbane

8, rue Pouad Ier

?Iiiulllif1HiuI!Ilu11t1llilutlll€IIiIIIIiII

DU SUCRE...

Miami (Floride), u. (R) — M. 'Edward Hoover, chef du Bu-veauFédéral des Investigation et chef des escouades chargées de la ce- pression des crimes, a déclaré 'que l'après-guerre est eu train. d'être marquée par une vague de crimes aux -Etats-Unis epuus réels et plus sanglantsr que mie le décrit méme la presse. .

e Les actes de banditisme ont prix dx telles proportions qu'ils dé- passent tout ce que l'imagination peut concevoir. - Les meurtres ' en' octobre ont accusé une augmenta- tion & 3•l pour cent, es cornpa- raison- dê laminée derniêre• les vols 38 pour cent et les crimes sé- riens 19 pour cent, e-n rlénéral.

•M. 1•ioovert' a révélé que six millions d'Américains avaient. été arrètés et leurs enP rrinteS .digita - les prises, soit un habitant sur chaqué 23 des Etats-Unis.

AUGMENTATION DU SALAIRE DES DOCKERS'

.. - ANGLAIS

Londres, 11 IR) — Le m:nisté- re du travail a aujourd'hui publié- le rapport du comité Eversbed, qui a examiné les revendications des dockers, en ce qui concerne les salaires, et a recommandé que le' salaire minimwa garanti pour les ouvriers travaillant à la piè-ce. devrait être de 19. par }our.

Cela représcnie une augmenta-don de 3,^— en comparaison du taux actuel mais 6/-- au-dessous des demandes des dockers.

Les dockers avaient déclaré la grève depuis le 10 octobre . Jus-qu'au 4 novembre, date . à laquel-le une tr@ve de 30 Jours mit fin

REOUVERTURE DE BANQUES

EN CHINE Shanghai, (.AF.P.). — Sc} t

banques étrangères, qui avaient été fermées peu ap'ré k début des hostilités dans u Pacifique, ont rouvert

leurs portes au public'lutrdi dernier, quatre mois après lu capitulation des Nippons. Ce sont : la National City Bank de Ncw York, la G•hase Bank, l'Underwritters Bank, la Bri-tisl ° ong. Kong aiid Shan-liai Banking Corporation; la

Cliartered Bank of India, la ae.r cantile Bank of India.

La_ Banque Belge pour l'É-tranger vient, :i-près une lon-gue atténte, de recevoir du ministre des finances chinois la perniièsion de reprendre son activité.

La Banque Franco-Chinoisé et la Banque d'Indochine n'ont jamais fermé et n'ont pas çessé de travailler.

Les directeurs des banques étrangères ont déclaré qu'il ne faut pats s'attendre • à cc que les banqùes reprennent les opérations de change tant que le Gouvërnement .chinois n'aura pas publié les 'règle-ments officiels des . changes.

D'autre part, à l'exception des marchandises fournies par l'UNRBA, • le commerce extérieur de Shanghai set pratiquement au point mort; là aussi , on attend la règle- 7nentation officielle des .:ha'.• pe,

AVIS . Toute personne ayant à re-

cevoir une somme quelconque de -r propriétaires de la P,atis-serie - Confiserie « ANGLO-SWiSS » des Sieurs B. Pou -loudis et Valsamis, sis à Ale-xandrie, 9, . Bld. Saad Zagh-loul, sont 'invités d'avoir à se présenter 'au susdit magasin entre 10 h. a.m. à 12 h. à par• tir d'aujourd'hui jusqu'au 24 Décembre 194x. Ce délai passé aucune ré-

clamatiorai ne sera acceptée par les nouveaux propriétal-res:

TAMVACO & CIE. (Succession)

Pour vos complications

r onduteur :

F. 11ti F:ZEI

Plsionomio

CCN é-:

Ii:^ ^c : ^~^

Telle est la quantité nécessxiire au monde, la Russie exceptée

Adinini .tration des - impôts

VAGUE DE CRIMES iynume sérieuse menace contre l'ap- • AUX ETATS-UNIS . provisionnement de la Grande-

Marché assez soutenu -Iaits l'ensemble.

Hausse de la Banque d'A-thènes, de la Bolanachi et Bèlda _ I)yers. •

Pr.• contre ies titre ' eut été uganaeuvrés ces der-fiers temps se dégonflent.

Clôture ferme.

VALEURS L r ir'e& ; .tv _Service 'f ri'

i Le niché :les va-

c mplète. Le marché sembla

Les rokhsas"de détentiou tt de port d'armes à feu xpi-rant fin décembre -courant, conformément à l'art. 2 des réglementa, tous int^ essés désirant renouveler" leur rokhsa sont tenus de la pré-senter d'ores et déjà avec la demande de renouvellement sur papier timbré (30 mille.) et le droit de renouvellement au Gouvernloi at ou à la Mou-dirieh du lieu de sa résiden-ce jusqu'au 3l décembre at: plus tard, i1 défaut de quoi ta 1•okhsa détenue sera considé-rée nulle . conf ,rmément à la icit pat l9ut .. l'aff1r tà .

Bombay, 10 (S. Privé)... —

te du manque d'acheteui et 'ente de haussier$.

Londres, 10 .t.;. Privé).. — 11 y eut une petite d2:nande cununercialé.

LES IMPORTATIONS DE COTON .

- RRITAN^NIQUES

Londres, 1G (Service P3'-. \ -é). \ -é).é). — Interrogé aux Com-

i munes s'il annoncerait sa po- litigtie au stijet de l'lmporta-

tion de coton .brut, le prés: • dent du Board of Trade a ré-

l pondu qùe la question était encore sous examen.

Lnterl'ogé. si l'av air rlu marché des contrats de coton

{ était aussi. sous examen, Sir Stafford Crippe a répondu

f€IlI1lI!€€1!Illiltllliillllitlllltlll!€Ittitiltll:ii€Illtlllt!€Ilt €€ €!i!€Iltlt€li!€€€illlllllll

OPINI ONS

LES PARTS DE FONDATEUR KOM OMBO

des actions de L.E. 2.11tY.000, Logiquement ét normaleme t, .les parts fondateur devraiewt acquérir une plus value identi que, car la; répaa•titfon de l'ac-:w social se sait d'après 1e5 statuts à raison de 50 0/0 pour les actions ordinaires et 4e- 45 0/0 pour les parts fondateur donc la plus value totale des parte fondateur; doit être hi, férieure de 10 0/0 à la -plus value totale des notions ordi -naires. . . .

Cette plus value totale est donc d'un montant l de -L.E. 1.903.500. Cette spmnle doit être Départie encre les 15000 parts fondateur de ih société ee qui mettrait la part à L.E. 126 alors qu'elle est actuelle-. ment cotée dans lui environs de LE. 66; ce qui est anormal.

Au surplus, il est à noter e21 ce qui concerne l'opinion 'pu-bljque que Ie5 prix de la part a atteint dans le passé . plus de L.E. 100, alors gué là livre n'é. tait paa al dépréciée et que 155 .

titres. fonciers oorre&pondants étaient a un prix de btcoQp inférieur

et u r à leur prix acutuel. Et

cette raison n- faveur de la kom Ombo; n'est paa A n4gli. ter, laP,

ration rias- , U SUCRE...

Bretagne. A la suite .de la publication du

rapport dd edmité Evershed, les patrons ont décidé sans réserves de conclure un accord basé sur les recommandations, du comité.

PROTESTATION SOVIÉTIQUE

CONTRE LA TURQUIE Istanboui, 11 . (R).— M. Kino-

gradov, ambassadeur soviétique en Turquie a énergit}uement protesté auprès de M. Hassan Salua, minis- tre des affaires étrdngéres turc, Contre l'activité des étudiants au cours de le violente démonstration du 4 décembre, durant laquelle les' bureaux - de deux-' locr av rnit. de gauche Lurent. brisées et une bou-tique saccagée.

La fl ission commerciale britannique â Alexandrie

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NOS ROTES

PENDANT 4 JOURS

Les membres de 1a mission commerciale britannique sont arrivés !lier . à . Alexandrie, ve-nant de Mehalla E1-Kobra, a-près avoir longuement visité les Usines - de mature et de tissage de la Mier.

Ce matin,. ils ont visité ja Ohi ai-bre de Commerce EgYP tienne, où la section des a retenue longumnent leur. at_ T __..

---'-- – - ---- tendon. lis resteront 4 jours en notre

ville. - . Iia rendront visitè _ aujourd'-

bui au Gouverneur de la ville, au directeur des ports et phu. rés, au directeur de la douane.

Aly 'Yéhla` pacha, président da la chambre de commerce é-gyptkinne, donnera une récep-tion en leur honneur,

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Mardi 18 à. 7 h. — Hommage à Saint-Exupéry, par Mmo. ANDHEE LAFORGE.

Mardi 18 à 7 h. 30 — Présen-tation de. deux romans: Gene- .

viève et Parenthèses de Jac-ques Lemarchand, par •r. REG" NE LTIEMBLE.

Jeudi 20 à 7 h. — Conférence du Dr. HUSSEIN FACUZI. Ln canal de Suez, trait d'Union o-réanographique.

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MARDI, 11 DECEMBRE 1945 »tiatelitii•du coma Ê de ka MARINE ..e.mêm.....tad=0..

L'INDUSTRIE BRITANNIQUE LA PRODUCTION INDUSTRIELLE LA CONFÉRENCE INTERNATIONALE AMÉRICAINE DU CAOUTCHOUC

Les nouvelles perspectives

E PAGE INDUSTRIELLE

Elle marque une reprise Le rapport annuel de l'ins-pecceur en chef des usines de Grande-Bretagne, Sir Wil- fred Gareett; qui vient d'être publié, attire l'attention ses d'importants changements

dads i'industrie britannique. Men que la guerre ait iné-vitablement occasionnée la détérioration de machines et de bâtiments, ou enregistra cependant le renouvellement des vieilles Machines par un matériel plus moderne, et surtout un changement plus important dans les relations des travailleurs avec leurs patrons, ayant pour consé-quence une collaboration plus•étroite, donc, une pro-duction accrue.

Le rapport annuel souligne à ce sujet : « Les nouvelle3 perspectives du travail ou de -la direction dti travail, sont les =résultats de cette siouvel-; le attitude. Plusieurs comi-tés de' travail sont instaurée dans les usines où les ou-vriers demandent et obtien-nent une plus large partici-Pation dans le contrôle des cénditions de travail. Cette étroite collaboration entre les dirigeantà, les syndicats et les ouvriers, n'est que 12 début d'une nouvelle ère qui verra bientôt les ouvriers exercer une supervision efs fective sur les conditions de travail ».

Les comités de travail exa-minent les problèmes rel.atifs aux conditions de travail, à la sécurité, l'hygiène,_ aux soins médicaux, aux fonds de secours, au bien-être des ou-vriers, ainsi que ceux relatifs à certains aspects de .I'édu-cation, de la discipline et dee complaintes.

Le rapport continue : « La! plus grande contribution ap-portée par ces comités ;est

changements projetés, les-quels font l'objet de discus-sions laborieuses et sont ex-pliqués, avant leur adoption

Le rapport mentionne éga-lement l'intérêt qui est ap-porté à l'entrainement des nouveaux ouvriers et es nouveaux inspecteurs d'usi-nes.

Dans cet ordre d'idées il est intéressant de rappeler que le Ministere du 'travail a, en - 1944 instauré un sys-tème « d'entrainement pour l'industrie », système destiné à faire subir des cours d'une semaine, aux inspecteurs d'u-sines, arec te programme suivant: -

'1. — La technique du tra-vail. • s 2. — Les relations entre travailleurs.

3. — Les méthodes de tra-vail.

4. — Les programmes eh développement de la pro-duction.

Plusieurs milliers - d'inspec-teurs et de .surveillants ont déjà achevé l'étude d'une par-tie de ces cours.

Ce système apporte telle-ment d'avantages qu'un grou-pe de puissants industriels a demandé au Ministre du Tra-vail de la généraliser. « Nous pensons, ont dit ces indus-triels, .que le programme en 4 points, instauré par le Mi-nistère du Travail, coreStitue la meilleure stimulation que l'industrie nationale ait ja-mais connue depuis plusieurs années ».

Un autre passage du rap-port annuel de Sir Wilfred Garrett, qui mérite d'être si-gnalé, se réfère à la partici-pation de la main d'oeuvre féminine dans l'industrie. « Les dirigeants se rendent compte, dit le rapport,.que si les conditions du travail to-tal sont observées, cela crée-ra une concurrence pour l'ob-tention 'dee la main d'oeuvre et permettre à la main d'cett-vre d'aller là où les condi-tions sont les meilleures z'.

Enfin le rapport avance une conception moderpe d l'usine suivant laquelle « l'e. sine est plus qu'un lieu. de travail », mais « un endroit où les marchandises sont fai-tes, doivent être faites. dans les conditions les plus avan-tageuses car autrement nous n'aurons ni marchnndises, ni salaires; nous devons aussi considérer l'usine comme un endroit oà les gens passent .

un tiers de leur existence. C'est; pourquoi l'usine doit être dirigée de façon à ass mirer le bien être des ou-. vriere

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3-1

bit des usines et des mines a continué à diminuer en Oc-tobre, reflétant des réduc-tions ultérieures dans la production des armements • ainsi qu'une diminution de la production par suite des dif-férends entre travail et patro-,nat dans certaines industries.

au cours de la première moitié de Novembre, la pro-duction des industries fonda-mentales comme le charbon, le coke, le pétrole, le fer et l'acier, ainsi que l'industrie des automobiles a atteint un niveau supérieur à celui d'Oc. tobre.

Le sous-sol de Madagascar est particulièrement riche eu graphite, et arrive'en tête des producteurs mondiaux. Il produit du graphite cristal-lin, utilisé pour la fabrica-tion des crayons supérieurs, balais de dynamos, électre-lubrifants, du graphite amorphe, qui entre dans la composition des peinturei destinées à la production des

Le port de Marseille a subi pen-dant les hostilités d'importantes destruCtions. Depuis la libération, tous les moyens d'action ont été mis en oeuvre pour le mettre même de retrouver son activité. Il y a deux mois, le port était remis officiellement aux autorités civiles par les autorités américaines.

A l'henire actuelle, le déminage est à peu près achevé. Les plus grands navires peuvent opérer en rade et les plus grands navires à flot susceptibles d'utiliser une pas-

' se de 12 in. 50, de profondeur peuvent maintenant accoster à quai.

Le nombre des postes à quai remis en état et exploitables dans les conditions normales s'élève à 61, dont 23 situés danà la zone réservée aux Américains.

Jusqu'au 4 octobre, l'un de ces postes servait d'ailleurs au débar-quement des passagers en utilisant l'épave du aGouvernetunGénéral-Jonnart>>, aujourd'hui enlevée.

Les surfaces couvertes peuvent être estimées A 215.236 m2, dont 24.236 m2 sont réservés aux tir mées alliées.

Les possibilités de déchargement; sont de l'ordre de 200,000 tomes

Les activités des indus-tries des équipements méca-niques et des transports iront accusé que des diminu-tions limités en Octobre, con-tre des séductions accentuées au cours des mois précédents, au moment où toute la pro-duction de 'guerre dans ce domaine avait pria fin. •

L'activité dans les usines d'automobiles a augmenté d'une manière substantielle en Octobre et l'on a enregis-tré également des augmenta-tions importantes dans la pro. duction d'autres articles des-tinés à la consommation ci-vile, débités par -.d'autres usines converties.

Les différends portant sur les salaires dans les régions occidentales productrices &- bois ont abouti à une réduc-tion de 18 pour cent dans la production totale du bois en Octobre. Le. débit en charbon' et en pétrole brut a diminué d'une manière accentuée au cours • de la première partie dd mois d'Octobre, par suite des différends industiels. A. partir de la dernière se maine d'Octobre la produc tion de ces minéraux a auge

enenté dans une mesure con-sidérable; au cours de la pre-mière partie du mois de No-

- vembre, la production de charbon bitumineux avait at-teint sen niveau le plus haut depuis le printemps de 1944.

fers et aciers, au badigeon-nage des moules de fonderies, et qu'on utilise étalement dans l'électrotypie.

Les principaux centres d'extraction sont Brickville, Morarnanga, Ambatolampy et Tamatave.

Pendant la guerre, la pro-duction et l'exportation de l'île ont été les suivantes:

Production Exportation (en tonnes)

. 8.880 8.722

. 3.316 3.547 9.919 • 9.0'il

• 3.129 2.203 . 11.207 • 3.271

devrait permettre aux indus-triels de la métropole de s'approvisionner entièremeat sur le marché de Cette décision, qui éviterait l'im• portation, en France, de gra-phite italien, allemand ou, norvégien, permettrait l'écov lement d'une partie de la pro-duction malgache. D'autre part, le reste pourrelt trou-ver un débouché intéressant sur le marché américain qui, jusqu'à la dénonciation des accorda de prêt-bail, m'appro-visionnait aussi à Ceylan, dont le produit est d'une qua-lité inférieure au produit

par journée de 24 heures pour les marchandises diverses, et de 2.000 tonnes par jour pour les marchan-dises pondéreuses.

Les possibilités d'évacuation sont de 7.000 tonnes par 24 heu-res par voie ferrée (500 wagons) et de 400 tonnes par voie naviga-ble.

Le poids maximum des colis lourds qui peuvent être chargés et déchargés sur quai ou sur chaland est de 150 tonnes.

Toutes ces manipulations de marchandises nécessitent un outils Tage d'exploitation important. Or, ce dernier était, après les sabota-ges systématiques des Allemands. très fortement endommagé. On peut compter cependant 26 grues à quai en ordre de marche et ap-partenant définitivement au port, 2 grues flottantes qui sont mises à la .disposition des entreprises de manutention, 44 allèges: 5 vedettes à vapeur et 16 remorqueurs, dont 7 utilisés pour les mouvements des -navires.

Les installations spéciales pour les grains peuvent permettre de décharger. par journée de 8 heu-res, 1.500 tonnes en vrac ou 64G tonnes en sacs, Les hydrocarbn•

Etats-Unis étant les pricippux fa-bricats de caoutchouc synthétique) britanniques, français et hollandais (dont les colonies produisent la presque totalité du caoutchouc na-turel. •

A l'issue de la conférence, un communiqué fut publié dont nous sommes heureux de pouvoir don-ner ci-après les points les plus saillants :

Des études complémentaires sur' les perspectives de la situation du caoutchouc dans le monde ont été soumises au nom des gouverne-ments participants. Ces études com-prennent les informations les plus récentes sur l'industrie du caout-chouc synthétique aux Etats-Unis, et les informations teJles qu'elles ont pu être recueillies depuis la 11- bération des territoires de l'Extrè-

i me-Orient producteurs de cacrut-I chaud.

CAPACITE DE PRODUCTION

• La capacité de production des Etats-Unis en caoutchouc synthén-

•-que 'tant pour les, usages -courants que spéciaux, est d'environ 1.055 mille tonnes par an. La capacité totale du monde peut être évaluée de 1.300,000 à 1.400.000 tonnes.

ETAT DE PLANTATIONS

D'après les rapports préliminai-res, les arbres de plantations de l'Indochine n'ont pas subi de dom-

. maues. En Malaisie, le pourcen-tage des arbres détruits ne dépas-serait pas 10%. Aucun renseigne-

• ment confirmé n'a encore été ob-tenu des Indes Néerlandaises.

*Des discussions ont eu lieu sur les mesures en cours pour la re-mise en état des plantations de caoutchouc en Extrême-Orient• Les conditions politiques au :nô-ment, la rareté de la main-d'oeu-vre, de l'équipement, de la noue- riture et des autres biens de con-sommation, une détérioration de moyens' de communication qui né cessitent des réparation.s très éten, dues, et tout un rééquipement Ont pour conséquence que, pendant un Certain temps, il est Impossible de faire autre chose que des conjonc-tures sur les . chiffres de production probable. •.

STOCKS ET DISPONIB1LITES

Les stocks étaient évalués, au moment de la Libération entre 200 mille et 300.000 tonnes, dans les différents pays de l'Extrême-Orient. On ne Sait paS la part qu'il va étre possible de regrouper et de transporter, actuellement. Le Co-mité, tout en soulignant le carnes' tère« conjectural de toute conclu-sion, pense que les ressources de caoutchouc naturel disponibles pour l'industrie et de toutes prove-nances dans le monde, Externe-Orient y compris, pourraient at-

Le Comité estime qu'il n'y a pas lieu de modifier les conclu-sions de sa première réunion, rela-tive à une époque plus éloignée. En cas, de nécessité, la production actuelle de caoutchouc naturel pourrait s'élever, en 3 ou 4 ans, à un chiffre voisin de 1.500.000 tonnes, : Ceci donne un potentiel total de production de caoutchouc naturel et synthétique d'environ 2.700.000 à 2,800.000 tonnes —niais Il faut- souligner que la pro-duction effective n'approchera pro-bablement pas ces chiffres,

Un maximum global de 1.500 mille tonnes annuelles, tant pour les types divers de naturel que de synthétique, avait été avancé au cours de la première réunion du Comité comme répondant flux. quantités dont la production et la consommation étaient"envisagées pour la prcX:1-3ainiu années. Le Comité après un examen complet pense que le chiffre reste raison-nable. Comme il a été déjà dit. cette évaluation . dépend du main-tien d'un niveau soudain et large accroissement dans l'emplo! dit caoutchouc. Le Comité estime que la courbe de la consommation gar-dera par la suite son allure ascen-dante.

PER1ODE

DE DESEQUILIBRE

Lè domité confirmant les vues de sa première . rétinien, estime qu'Un 'déséquilibre entre le poten-tiel de production dans le monde et les besoiriS• de la - consommation est possible, air cours des deux ou trois prochaines années. Pendant la discussion,.le Corinté a estissé qu'il y aura toute une gamme d'u-tilisations pour laquelle le caout-chouc naturel semble mieux qualP fié que le synthétique et une au-tre gamme où le synthétique sera préférable au naturel. Entre celles-cl existent cependant de larges possibilités d'obtenir des résultats' satisfaisants de l'une ou l'autre

`orte de caoutchouc. Les indus-triels seront alors probablement guidés dans leur choix par les prix relatifs des matières premières, les proéédég• de fabrication et azir les propriétés des produits finis.

PRIX DE REVIENT

Les informatiOns données au .

Comité ont montré que les usines de production synthétique aux Etats-Unis ont récemment abaissé, de façon marquée, leur prix de re-' vient. Ce prix de revient serait plus que couvert par la vente à 18 1/2 cents par livre pour la qualité synthétique d'usage cou-rant. La courbe des prix de pro-duction aurait encore tendance à, s'abaisser..

Les Incertitudes de la situation en Extrême-Orient rendaient ira- ,

possible toute conclusion sur ce que seront, en période normale,

est évident que le caoutchouc naturel aura considérable-ment à souffrir de la con-currence du produit synthéti-que en ce qui concerne le prix.

La consommation mondiale de caoutchouc, pendant les quelques années à venir, est estimée à 1.500.0e0 tonnes annuellement, alors que la ca-pacité totale de production de caoutchouc synthétique et naturel est évalué à plus de 2.700.000 tonnes Cependant, de l'avis des experts qui ont pris part à la récente con-férence à Londres, l'excédent qui résulte des Affres pré-vus ne pourra pas devenir apparent avant trois ou qua-tre ans, parce qu'il faudra un certain 'temps pour obte-nir une production normale des régions de l'Extrême- .

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indiscutablement le fait d'a-voir éclairci l'atmosphère morale dans les usines et d'avoir facilité l'acceptation des nouvelles méthodes et des Dans une déclaration pu-

bliée la semaine dermere, le Conseil des Gouverneurs- du Federal Reserve System a an-

! nonce que « la production I américaine concernant les industries fandamentales im-portantes a augmenté au cou-rant de la première partie du mois de Novembre », bien que « la production industrielle eùt décliné dans le courant du mois d'Octobre.

Le total des ventes au dé-tail a continué à augmentez dans une mesure considérable en octobre et au cours des premiers jours de Novembre, reflétant en partie des aug-mentations peu impotentes dans les prix ».

La déclaration en question ajoute notamment : « Le dé-

111111111111111111111111111111111111111111111011101111111111111111111111111111ill1111111111161

LA PRODUCTION DE GRAPHITE A MADAGASCAR

1930 paillettes ... poudre ...

1943 paillettes .•. poudre ..•

1944 paillettes ... poudre ..

Jusqu'en 1944, la presque totalité des exportations a été destinée à la Grande-Breta-gne et aux Etats-Unis. Mais, si depuis 1945 la Métropole a utilisé une partie de la pro-duction malgache : 5.000 tonnes d'importations autori-sées et réaliaées en partie au 15 . Octobre 1945, les ventes aux Etats-Unis et à la Gran-de-Bretagne sont au point mort. De sorte que les stocks disponibles au 31 Décembre seront, de l'ordre de 15.000 tonnes pour lesquels il sera nécessaire de 'trouver dee débouchés.

La variété des qualités, des de Madagascar. graphites de Madagascar

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LE PORT DE MARSEILLE

retrouve peu a peu son activité

bliées par le Groupe des Quatre Puissances pour l'F-tude concernant le Caout-chouc ont révélé que les Etats-Unis • sont actuellement en mesure de produire annu-ellement une quantité de ca-outchouc synthétique égale à la consommation annuelle d'avant-guerre du monde en-

Etats-Unis.

Les prix plus élevés prati-qués dans un avenir rappro-ché en ce qui concerne le caoutchouc naturel, déclare le correspondant, permettront au caoutchouc synthétique américain de faire avanta-geusement la concurrence au

tes disposent d'installations de pompage avec des réservoirs de 40,000 m3 (produits blancs) - et de 66.000 m3 (produits noirs) et de trois pipelines reliant la digue du large aux dépôts de St.-Louis.

Le trafic normal du port (en-trées et sorties) a représenté, en septembre. plus de 133.000 ton-nes, contre 45.500 seulement en juillet. Avec la guerre, il était de l'ordre d'environ 850.000 tonnes 'par mois. D'importants travaux d'amélioration sont en cours d'e-xécution et l'on peut espérer qu'à la fin de 1946, le port de Marsa-

La Conférence Internationale du PERSPECTIVES Caoutchouc, •sur laquelle nous a- vons publié dans nos colonnes plu- DES PROCHAINES ANNEES sieurs informations, vient de pren-dre fin. Tenue à Londres, elle réu-nissait des experts américains (les

teindre environ 600.000 tonnes en les prix de revient du caoutchouc 1946, naturel,

Iii 111 1 1111illMINIMMIIIIIMMR111111

LA PRODUCTION DE CAOUTCHOUC SYNTHÉTIQUE AUX ÉTATS-UNIS

être effectuée à un prix in- *notamment : Le correspondant poursuit tier. Cette production peut

férieur à celui prévu pour le « Lorsque l'on tient corap- caoutchouc naturel livré aux q te des frais d'expédition, il

Le correspondant du «New produit naturel. Bien qu'au- -York 'Times», I'Lichael Hoff- con chiffre concernant les man, mande de Londres à son prix de revient du caoutchouc journal que les données pu- sy-nthétiqué n'ait été publié,

ajoute Hoffman, l'on a décla- ré que e les prix, de revient aux Etats-Unis . ont décliné d'une manière consistante dans les quelques mois »écou-

lés et sont plus que compen- 111111111111111111111111111111111111111111111111 Bée par le prix de vente ac- - tuel the 18 cents et demi par livre-poids a.

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MARDI, 1.I DECEMBRE 1945

Cours Communiqués par NASRI & JOSEPH

TOUTOUNGHI (ex-Comptoir Lyon Alemand)

1, rue Chérif Pacha Téléphone: No. 25492 Alexandrie. R.C.A. 35.

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ARGENT Le kilogramme 900

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Samedi 15 Décembre. * . * Sté. An. de Nettoyage et Pres Sté. An. des Chemins de Fer

sage de Coton. - Le 15 Décem- de la. Basse-Égypte - Le 18 bre à 11 h. a.m., Ass. Gén. Ord., Décembre. à 11 heures arn.,

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JOURNAL; du commtftcu e de la MitletilNE euittsi, 11 indEND3RE 194'

BOURSES DES VALEURS CANAL DE SUEZ

filEMENTO DE L'ACTIONNAIRE

NEW-YORK . Journée du 10 Décembre 1945

L . DU COTON IIIIII1 1I111 1111111 11111 11111111 11111 1111111 119

4 DECEMBRE 1945

DU NORD

WORCESTERSHIRE anglais ANTENOR anglais SAM LOYAL anglais . TAWALI hollandais CELEROL anglais

DU SUD CITY OF SYDNEY anglais EASTGATE anglais EMPIRE KITCHENER sn-

glais SUDERHOLM norvégien HARSTAN WANG américain

7 DECEMBRE 1945 DU NORD

r.:MPIRE AYR anglais _DU SUD

ASCANIUS anglais COULGORN anglais WEBB MILLER américain TREVANION anglais Attendus du Nord:

Fort Nipigon, Wm. M. Evarts, Sanderwent, British Chemist, ._Commandant Deni-se.

améri- .

IRENE S. EMBIRICOS grec

6 DECEMBRE 1945

, DU NORD

FORT MASSAC américain BOISSEVAIN hollandais FORT NASSAN hollandais GOLDMOUTH anglais ORATA italien PANAGIHOTIS grec STRATHECONA PARK an

glais DU SUD

GENERAL MAORI cain

PORT D'ALEXANDRIE ARRIVEES

LE 9 DECEMBRE 1945 FOUADIIEH anglais 784 ton.

de Haifa à la Khedivial Mail

CHAMPOLLION français 7390 ton: de Toulon à la Khe-

divial Mail LE 10 DECEMBRE 1945 Néant.

DEPARTS LE 9 DECEMBRE 1945

CAIRO (ex Camsoun) LE 10 DECEMBRE 1 -945

IROQUOIS anglais 5283 ton. de Haifa à Worms

EAST GAIE anglais 2933 t. à Petsaly.

SAMCALIA anglais 4380 ton. de Haifa à Barker.

„COLORADO américain 4563 ton. à Albert Miassa.

11011AMED M. HANIAD & FILS PALESTINE SYRIE TURQUIE - CHYPRE

SERVICES REGULIERS POUR

de 1934, et ce, dans la cir-coyescription de la Ivloudirieh arMinieh.

Art. 4. - Aussitôt que lui parviendra un avis qu'une contravention a été commise, le Président de' la Commis-sion devra réunir celle-ci dans les trois jours de la date de la réception de l'avis. L devra, en outre, notifier im-médiatement la décision de la Commission à l'agent verbe-lisateur.

Art. 5. - Si Je propriétai-re du coton délangé ou le créancier gagiste veulent si prévaloir du droit accordé par l'art. 6 du Décret Loi No. 61 de 1934, il incombera à la Commission d'évaluer le prix du toton saisi afin qu'il leur soit Possible de déposer à la caisse de la Moudirieh le montant du quart de sa va-leur. •

Art. 6, - Le présent arrê-té entrera en vigueur dès sa publication au « Journal Officiel ».

Fait le 26 Zulkadeh 1364 (1er novembre 1945). (Signé): MARRAM EBEID.

Clôture du 10 Décembre 1945 Ach. Vend.

New-York 4.02b 4.031 Berne. 17.30 17.40 Madrid 44.00 Emp. Franç 1919.87 200.12 Syrie/Liban 881.- 885.- Montréal 4.43 4.46 Hollande 10.68 10.70 Indes Or. Ilol. 7.68 7.62 1naeb Oc. Bol. 7.58 7.62 Stockholm 16.85 16.95 Portugal 99.80 100.2( Rio de Jan. 82.8456 9/16 A Uruguay 7.20 Panama 4.02 4.04 Ileruxelles 176.50 176.76 Copenhague 19.32 19.36 Oslo 19.95 20.05 Prague 201 202

MARCHE LIBRE Australie 125.- 125.50 NI. Zélande 124.37 125.-Afrique/Sud 100.- 100.60 Indes 1/5 63/64 . 1/6 1/32 Chine (D.N.) 2 31/32 d. - 3 1/16 d. Alexan, 97.371 97.62e Téhéran 128 130

TAUX DE COMPENSATION DE LA BANQUE D'ANGLETERRE

Madrid ... ..: 44.00 . Turquie ... 620.00 Italie ••• ••• 71.25

TAUX DU MARCHE Effet à 3 m. 17/32% Effet à 6 m. 9/16 à %%

New-York Ouverture du 10 Décem. 1915 Londres 4.0220f. 4.03D. Il New-York/Paris 2.011 New-York/Berne

(coin.) 23.33 Compte américain en sterl. 4.0310f. à 4.031D.

Clôture du 10 Décembre 1943 Montréal/ Londres 4.480f. 4.45D.

Montréal/New- York Doll. 100 '2!-0 13/16

Cali Money (N.Y.) 1% - New-York/

Londres' 4.0220f. 4.03D. New-York/Paris 2.011 New-York/Berne

(Comm.) 23.33' Compte américain en SOK 4,0210f, h 4,03iD,

Arrêté . portant >composition de la Commission prévue à l'article 10 -du Décret-Loi No. 51 de 1934 pour empê-cher le mélange .des varié tés de coton pour la Mou. dirieh de Minieh pendant la saison 1945-1946

Le Ministre des Finances,

Vu l'article 10 du Decret-Loi No. 51 de 1934 pour em• pêcher le mélange des varié-tés de coton;

Vu le Décret-Loi du 9 no-vembre, 1939 instituant ene Administration de coton;

ARRETE: Art. 1. Pour la Moudi

rieh de Minieh, la Com-mission prévue à l'article 10 du ilécret-Loi No. 51 de 1934, sus-visée, pendant la saison 1945-1946, sera composée de:

PréSident: (1) Matta Abdel Sayed Eff.,

Fonctionnaire technique au Ministère.

Membres: (2) Ahmed Fathi Mohamed

el Sayed Eff., Fonctionnaire technique au Ministère,

(3) Mr. F. W. Sherley, c/o Peel -& Co., Minieh.

(4) M. P.S. Palmer, c/o Anderson '& Clayton, Minieh

• (5) Selim Gindi Bishay Eff., Négociant en coton, Mi-nieh.

Art: 2. - En cas d'absen-ce du Président ou du mem-bre fonctionnaire ou des deux à la fois, le Ministre délé-guera parmi ses fonctionnai-res techniques, celui ou ceux qui les remplaceront au sein de la Commission.

En cas d'absence d'un de.; membres non fonctionnaires, il sera remplacé par un ex-pert suppléant, -d'après l'or-dre ainsi établi:

(1) Mr. Ath. Gounos, c/o Alexandrin Coinmercial, Mi. nieh.

(2) Mr. G. Sotiriadis c/o Vassilopolo Fra., Beni Ma-ur.

(3) Mr. Evan Hadjipanos, c/o Alexandria Commercial, Minieh.

(4) Mr. M. Coutzikos, c/o Reinhart .er Co., Minieh.

( -5) Mr. Antoine Zayan, c/o Sté. Misr, Maghagha,

Art. 3. - Il incombe à cette Commission' d'examiner les cotons mélangés saisis en contravention aux disposi-tions dg Décret-LW No.

pair bâteauz et voiliers à plateau S'adresser:

ALEXANDRIE: 127 Rue El Tatwig. TéL 28240-25944. (R.C.A. 1996b). B.P. 804.

LE CAIRE: 34 Malika Farida. Tél. 58072.13.P. 213.

PORT-RAID: Rue Mohamed Mahmoud Pacha. Tél. 2544. B.P 310.

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AMERICAN PACKAR améri-cain de New-York le 17 crt à l'American lEbcport Lines.

CIHPPEWA PARK anglais de St. John N.B. (Canada) le 22 crt. à Barker &. Cie.

ESPAGNE belge d'Anvers le 20 cri. à la Sté. d'Entre-prises Commerciales.

FERNMOOR norvégien de N.-York le 20 cd. à la Scan- dinavian N. E. S. ( Egypt)

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New-York (voie Haifa) vers fin crt. à la Furness (E-gYpt) Ltd.

Foumirpli anglais de Chy-pre le 19 cit. à la Khe-divial Mail Line.

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IMPIRE TOBAGO anglais de Middlesbrough le 1'7 crt. à Barker & Cie.

LAFONTAINE PARK an-glais de St. John N.B. (Ca-nada) le 22 crt. à a3arker

& Cie. PALAMCOTTA anglais de

Glasgow (voie Haifa) vers ,

fin crt. à R.J. Moss & Cie. SAMTREDY anglais de New-

York vers le 20 crt. à Bar- i ker & Cie. EL NIZAM: égyptien de Tri-

( politaine le 20 crt. à la Me-1 diterranean Sea-Transport.

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SAGITTAIRE français de Marseille, Alger vers fin crt. à la Cie. des Message-ries Maritimes.

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NOMBRES INDICES DES PRINCIPAUX

PRODUITS

Internat. Harvester 99 International Nickel of Canada 381

International Telegraph and Telephone 31%

Kennecott Copper 501 Montgomery Ward 75 Packard Motor 111 Radio Corporation of America 19

Republic Steel 331

Reynolds Tobacco «B» 371 Shell Union Oil 331 Socony Vacuum Oil 181 Standard Oil of New Jersey 671

Studebaker Corporation 331 Texas Corporation 601 United Aircraft 373 United States Steel 841 Woolworth 50t Chase National Bank 44% National City Bank 481

Marché ferme.

Volume: 2.150.000 titres.

5 DECEMBRE 1,,945

DU NORD

MICHURIN U.R.S.S. TITANIA norvégien

DU SUD OCEAN GALLANT anglais CLAN CANtaIRON anglais LACKLAND anglais FORT POPLAR anglais Au Canal:

Mount Helicon, Nicas T., British Virttie, Téméraire, Port Fouad. . Attendus dit Nord:

Retriever, Hartland Point, Fort Nasser, Hapeak, Fort Nipigon, Empire Sitnlet,

Mount M. Evarts, Gamay, Guneysu, Syrien Prince, Bri, tish Integrity, Golmouth.

Navires ayant transité le canal

•BLE ( Chicago ) (Cents par boissea‘i)

DECEMBRE Ouverture 1801 S.C. Clôture 1801 Of. S.C.

MAI Ouverture incoté Ouverture 1801 S.C.

JUILLET Ouverture 1771 + Clôture 177% +

BLE ( Manitoba ) (Cents par boisseau) Ex-St. John Halifax

No. 1 (Décembre) .1691 No. 2 (Décembre) 1661

AUSTRALIEN •

(anc. et nouvelle récolte) Sh. par 480 lbs.

Déc.-Janvier 61/.

MAIS (Chicago ) DECEMBRE

Ouverture incoté Clôture 1181 Of. S.0

- MAI Ouverture incot Clôture 1181 Of. S.C.

JUILLET Ouverture incoté Clôture I181 Of. S.C.

MAIS ( Londres ) ARGENTINE

(récolte 1945-46) Juin•Juillet (480 lbs.) 48/-

TOURTEAUX (Londres) (en £ Sh. d.)

Spot (prix officiel) 71

HUILE DE COTON (Londres)

(en £. Sit d.) Egyeien brut cwt. 31/10/

Ass. Gén. Ord., Cairo. Ordre du bilan, comptes nation adrn, et

rue Maspéro. jour: rapports, 1914,45, noms. commissaires.

e • •

il/exandria Pressing CY. Le 18 Décembre à 4 heures p. m., Ass. Gen. Ord.,- 1, rue Né-bi Daniel, A:cxandrie. Ordre du jour: rapports, approbation comptes 1914-45, élection adm. et censeurs. _

* Société Egypiienne de 11».

dustrie de Bonneterie, S.A.E. Le 18 Décembre à 12. heures (midi), .Ass, Gen.. Ord., •.22, rue Chérif, Alex. Ordre dit Jour. Rapports, bénéfices, approba-tion comptes 1914-45, élection 2 adrn. et - de censeurs.'

Mercredi 19 Déc. 'Frosi,ed Food and Cold Sto,

rage Co. S.A.E, --Le 19 Déc. à 4 heures p.m., Ass. Gén. Con., 34 rue à4alika Farida, Cairo. Ordre du jour: Constatation, constitution régi,ilière société. rapports, approbation, acquisi-tioe établissement au Caire, Alexandrie, Port-S'aid, lia; décharge aux fond. et man-dataires, nomination censeurs.

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PF^S ^E CHÂNGEP^ENTS ^^: ^^iJR1^ïSSEURS

Londres, (A. F.13 .). — 111. 'i`r^-iiteley, au nom du parti gouvernemental, a présent' aux Comn.unes un bill par-tant ratification des accords' monétaires de Bretton-Wo.odss.'

ces accords, qui devra•it^ ètre ratiiYés avant le 31 D^ cambre, prévoient la création ` d'un b''onda monétaire inter-' national et d'ana ]3anquc iVatioltale •de Reconstruction , i.e. montant du F',onds a ét.é' fixé à 2.275 anillions de st^r-lilag, et la.participation bri-tannitlue à 325 millions. La ijrande-Bretagne devra four-nir une somme égale ^, la 13anriue de I{,écoisstruction, mais le versement de ce moi -tant sera réparti sur 5 an-Yiéea. ._.., ..i

M'a.C'i., 4J .

' ; Ilillli9l^llallfi191111i111i111i1lilililéillil 2énld S>l1'ir1I111!F.

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roMMY '..MRI,`,i0'J L +]^•

PERDtlS DANS ^N i^AREM LE TITFE DIT TOUT

lilial€Ilillll!€II € €II!lillli€.III€!€lIIIIIIIIiII

Révisions Comptabilités ^ consultations Fiscales+

BRIiA,NNIC^UE I.e Dr, Baird, secrétaire .iu

comité. dis Reohercl-;es Imtus_ trlellée de la fédération des lti• dustries brita.nniclues, a déclaré que;, dans le domaine. cie' la té-lévision, l^lndustrie brùtaYPni-que a réalisé une avaszce fou-droyante qui d.anne ae .pas à l'AngIeteY•z•e sur les États U- nis,

Un autre expert an tiélrvi-afon, Mx, Bedford, partager le point de vue du Dr, Baird, I;e zetotlr d°un voyage aux États Unis, 1!rIP•. Bedford af211Tt^ que l'AYlzérlque n'est pas P^1lX3Yô aamivée_:à moaYRrer des 1^g^ aussi nettes que celles qui é-taient projetées par la télévi_ acon britannique en 1838.

Le servies britannique d+s té-lévision, gtilr axait kits provdsoL s'fanent a1-r8té, repreaYdla, dans quelques . mois, de , l'^lleksandrta ^l^te ces Irottdr+^a, .

TRAITE TOUTES OPERATiD1^S ®E RANQi/E ,`

^r V3VVJN1`i'PO.9TlJJWfd.Pi.Nf' .APPd d`fI+PJd`d•d.MNd d J`.d"PJ?!'.IMOJ,P®'dFP

^AT.^iJRS alexandrie, le li llécembre 1945.

I

1^^^e ^^1^^ , ^^ternatonale ea F^ ,741 ,i- 1 ^ii,l^l\ 1 ^é^ - .'l'J4T a. C 1 LSI3+1-SY^

Autorlls^ par Igésr^ iltoga3i ' dn grJ JaYSViier 120 CAPITAL :30IISCRIT .., .........' L.1^, 1.064l.C(i4, >rAPITAL VEi 3E ... ......... ... L.B . x.004. SAC}± aOCIAL: AII CAIBI^ 4b, Rue Ittusr ' el Aifil CtiPl7;'. ^.E a3 ^^.LB.SANDIZIIi', ; 141, Ituei l3tt?^bor,d.

I

^• t^ pgg /^ ^ 3 {^^yp y^^, y^ ^ ^y ç I

:4 m$.^.xi^ ."v'. •A 4^^t, ,^^^, T ^â^3@ ,^:e FJ'P2 RCf.4! ^. F.^

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reistrictives irai ont pour ti"?'•

de d6mi'nusr Îe volume du cet :-merce et • dais investissemézPts irt^rnationaux c_t ;t'altéY•er la situationb du pohtt de. vue d^^ paiements intaY'natlonatPv (,'sert senilembnt par la coopea`atio-^x internationale qu'il sera possl-ble d'évltar de l,2.r^aile» mcau-res rn,irictive3 qui ar'fe>ûte.^t d'une manière pt~^judiciable foins les pay9.

(D'aprAs < EcorYOmlc 1?econ:. c3tructlan v édité par yz^„ niouT r:. i^a.rrle. Paragrapür intitüiéj «. ^ior^eta:lÿ ^tâttiii:^-z-taon: q°lte iTnitrri3 t^aüona Prog1•am ç•, p^ r . F;. }4t. t^^in-stein). r^rsls

ACCQRD FI^IANCiER lIEIiE - '^.U.A. -

^y{asltîrgton (AFP) ZYi. Way-ne fiaylor, président dei la =:an-qug d'lmpol•tation et d'Expor-tation, et le Dr, Riontei:os, tun-bassadéur ' du 14Ie!~ciquet ont annoncé la signature d'tm ac-cord financier donnant tPIY cré- dit de 20 millions de do}lar au Me^^fquo, pour ald^r ce^ui-ci à fhlancer ses a.chat:4 aux )^tats.Ünis. pour. l'équip:rneztt rut le matériel niai-1sà dàn.^ le programme d'électri8lcation du 1Vfaxlqua

-^ '

I^^S ^kIAN`I'IERS ^A^^►i.^

I1^I°l`A^i1^I^tJES:

IL8 'IRAi'AIIJLEPTT PLEIN RL`Nl?E&!1.':^T2'

Le^a COnStruCtEttl's C1{7 naüires aux États Unis reCOnnals„e5at que ic+,v chantiers navals bri-tanniques ont non seralePnent dépassé !star pz^dtk^tion rno. yenne! des 16 dern►èreo au^lée>a, mais aussi gtaz la volume ta+a,l d4^ cette produatian art supé- rieur• à celui réalisé dans i^ chantiers amêricains.

Ainsi, d8 l'avéal mélr•e dc-s tL- ntéricains, la Grande^•Iireta,cte demeure le plus grai,d perfs constructeur Ae navires tau monde;

Ii11111i[111IlIlil111lIiIIIl111111i1i11111llfill

Ivlr, I-laraid Hobsar., !:réal- ; dent cru C::mtral EletitEr•icity È3oard, qui ciistribuë les 90 O,iO de 1a FuissdYZCe^ électrique de ` Grande-BrEtagne, a révélé que • Yincius^sie électrique brlt4`nrti- ! que est A' la veille': d' entl`1:p1^.L dre l'exécution d'un p1a11 gt;ira. quennal d'éléctrifica;uon atm: un budget: de 450 raillions de livras, I.,s bars de ce:t ér^crzne+ ttudget: axera eo,rsac,°é euac usi- Yies génératrices.

Lis reste du bud'bc^t. spi°a dé-pensé pour de nouveaux pro-jets de distribution de la puis-^-sance électrique.

Tl eizt estime que ]e plan quisi-quernai aug^nentesa. la prc-duction électrique+ d^^s urarzdé- Sretagne de 8 à 10 millicns d'unités par an, La moitié de ! ^ette quantité sera réserèeE• ^

aux besoins civils.

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Uné ingénieuse

machine à caleulel•

Dces ,savants britiiiuic;,u,:s sont en train. dg-mettre à-.pçi•_:t une machine à calculer qui ;:E^-

1•a est mecsttre non seuleine¢xt de soustraire, de muftipliex et de diviser, mais qui dans ce2`taines apéra.tions compliquées, pourra a pesades, lets .initiativés n sans aucune aida extérieure_

d11 reléve à Ce aUje^ +'^tl'une des machines à calculer en u-, sage. aux LaboraY:oiresY Dei; réalise dP.^ opératiané mathéma- tiques -extraordinaires. Ainsi; un - des dél^a.rtemeaPts g^ouveP•-narneePtaux avait ccmane^tcé tin tzava.il compliqué de chif-frage pour ls résolution d'un problème d'équa*ion. On .estima que pour établir les règles ma-tlzénzatiques . de l'équation et faire .les opérations subséquen- tes, il fallait travailler pendant 300 ans sur les chiffrès, La. ma-ohine â calculdr Dsir parvlrct à résoudre te AtY7bld111^ esl 50 heures, vérification et conte&le des résultats compz^s.

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retenez de suite l'R^ypli,^.ra Directary 1946 aetuell3nle;z: en préparation:" Las érl-tiares 1942, 1913, i9^i4 et a:^:;: ayant é té rapidtainent ép.t <• séss, nous n'avons pu :;:.- tisfaire toutes les d+atnlali des.

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I.e CA.IREa R.P.. 600 o Tdl; as-itit

R.Q 1336 ALBFA1tTDRIR:

R.P. 1200 — Tél. 294-; ï R.t}, 1476`1 .

le m2.i'ntien cl'accorc.^ o^donri=5 otites que .les expédi!tio:ty de

et stable,€ da citargr aR yers 12. taharbon al l'Etlnope^ étaient en

]itrEii^^ d^„ t13s,.sactia;ly sur les ietan-1 dq doua I7[iillialPa de torr

::1larige^. 1.'e.>ti^i+rilcrtca ete .la nom• décade de 1.990 moriir,s r.s;iY•e. nPféiPt quo lg recaûrs à la' .dév'a- ---df^-

ltt<.tler. do~, d2viaes et. stuc pP°a-

1i3u cosr^r.acta]e; 4 ^z Cui. "'électrification i,at..irer pool' &.CSUI^I` d^ F ^^.tt.

agas conrnze,•ciàttt eàte.o'.1t~t:ge in^tviitB.btCYPt^rit dia n,,^ur .:.;

caivTPE LA RA^'al le

Londl•es, (A.F.P.). -- I,;i mutioal déposée au Parlement par les députés conservateurs i3'oothby et Hotlis, tendant ii refuser la ratificaion des ac-' corda financiers angle-améri-tains de Washington, Com-prend deux parties : la pre-i mière demande .que le dép&t; du projet de loi portant rata-I fication des accords de Blet- I ton-bVaods soit ajourné à six mois, ce qui égaivaut prati-quement àson rejet. Là fie- . coude-propose de suhstituèr à la motion du gouvernement ülvitant la Ghâmbre à accep-ter les accords financiers, uné autre déclaration lissait que cep accorda sont inac-cept^ldes parce qu'i.ls impli-gilent notamment le retour à l'étalon-or inteaaiationâl, coni-promettant la prospérité de l'agriculture et de l'industrie, en Grande-Bretagne, et le re-crimination dans le domaine tour du principe de non-dis-

Paris, (A.i".P.}. Du ré- docteur financier de l'A.F.P,

Outre les projéts d'«établir la liberté du commerce - dans le monde.:^et de supprimer le chômage », il s'agit d'abord de mettre fin aux a accorda

E de troc »qui, entre les deux € guerres, faussèrent- l'écono-mie mondiale. Tel est le ca-ractère de l'accord financier angle-américain.

j La Grande-Bretagne obtient

T L^VIS'I®N

^,OCIIJTE EN COf1^I^ NDl 11, i i :i a • FùNI)EE EN 192')

2^

L Capital enitiër^teat versé L.E. 30^1.Od0 ^ Rés^4arves L.E. 100.004

SIF.GE SOCIAL: ABU Gültr.: i^i7, r.:biohrrmed lisp 1%rar•f,•1. I,i (R. C. C.': 4995) ti

SUCCURSALE: A AL1^Vsi.VDJ%i:l.: 17, r. 7'alaai Fiant 1':uclta. (R, C. é. 1,5508).

FONDS i}'ETA7':

,,. ;;0 140

yvuavu,.. ... ... ... ... ... ... ..- .. .. .

Financiért; et Industrielle ,.. . ... 11.40€'. 1141) Oüfields 580 ... ... ••• ••• ... ..; .584 58U Sucreries p.f. 2290 .................. .. 290 2290 Sucreries peau, 640. ... ,,, ...... ^ b40 635 Tissage et Tricotage 1530^^^ .. .:. 1530 1540 Viticole et Vinicole 1140 ^i4 48 40 ...... 1140 1136 Filature Misr 2526 24 22 20 ... .,. ... 2520 2â44 ,Nationale du papier 1610 1600 ... 1600 162tï Tracter and Engineering 26Oti^^ ... ... 2606 2ti10

^11isr d^e Kafr Dewar eBz 2740 ... ... ... 2790, 30'66 Beida llyers 3680 70 80 3700 . ...... ...... 37UG 3576

.Industrie Meunière ...... ......... ... ... '1330A. 1230 iBolanachi 810 12 05 12 10 12 Q2 800

798 90 98 ...••• ... ... 798 785 Gerce 784 782 .... ... ... ......... 782 780

.. ... 'Lieurs! 1766 ...........• ....:...• .....••.• 176fi 1754

NOTELS Egyptian Hotels '868 î 0 65 69 . • • •. • • • • 869 872 Itipper Egypt 820 818 '810 ........• ... ... 810 825

FONC7ERES € Kom Ombo (830) 354 : ................. 850 853 Béhéra (1740) -^-- 1740 TJrbaines .710. .. .,, ... ... 710 730

.. ... ... ... . Union Fonciére 1380 94 i'f ,.. .•• ... ... 138U 1400 'cheikh Fad1 760 755 ... ...... ... ..: ... 755 774 Gharbieh Land ... .. .. 640V: 642 Aboukir Gÿ. 30803 04 42 ^01^ 0302 Ol ^^^ ' 300 299 29x4 ..................

+New Egyptian 236 35 34 33 35 34 33 32 IMMOBILIERES : _

^Hé'liopolis ..:.,, _„ ... ... Héliopolis p.f. €100 2G 8100 &fi50 ... ... Delta Land 486 '84 112 80 ... •.• ... Im'mo'bili Ri'uniti ..: ... ... ... ... ... ... Le Favottm 488 82 80 75....... .•• .•• •.•

TRANSPORfiS ET CANAUX ': New Egy t Levant 214 10 14 ,,, . '.. ... 214V. 216 United N^ile 1720 34+ 20 40 36 40 3f 3'6 1736 1730 Angle-Am. Nile 1.480 ,.. ••• ... ... ... ... 1480 1456 llenzaleb Canal p :f. ... ... ... 122V. 122 La Fluviale ... ... ... ... ... ... ..: ... 1414V. 1434

1111111111111111111111€1 !!Wall111111€111111€1!lIIIIIIN011111i1lII!lIII!lllill(I1111!!li'lIIII I

LE COMMERCE INTERNATIONAL

W Eeaen(l^da doiwne nnW^a^ une polial^que qui vise loin

Pour rémédiér a nue pareil-le situation les nations doivent .

naturellement, et 1a n©ire en .particùliér, combattre contre les restrictions con nécessai-res imposées au commerce.

Le désir dois prévaloir de ré. luire les tarifs, de travailler contre les accords bilatéraux, de faciliter des emprua^s com-merciaux convenables e2 des crédits utilisables, de libérer les niouveménts de la naviga- taon toutes lës lois que cela se-ra possible, en 'd'autres ter-mes nous devons faire preuve' du désïr d'acheter et de ven-du aux réssortissants des au-tres pays:

E.^falheureusement, nous a-vons encore un long etlemin à parcourir dans cette direction; mais si nous désirons instau-, ter chez nous les pleins em-pjois et la prospérité c'est ia seule ^°oie $suivre. Noua de-vons insister pour que le gou-vernemènt consolide son orga-nisat.ion dtuis le domaine du commerce extérieur et de l'é-conomie internationale de ma-

. mère à pouvoir traiter ferme - ment, promptement et d'une

mart^i•ë intelligenté avec les antres gouvernements. tala né-cessitera iii détzrmination d'u-ne politique $Lang terme à 1s-quelle devrozit adYiérer toutes les administrations. (U51S). les administratiàns.r ^.

^^^^^5 ^^S C^®I31CY1.^C

On peut tenir comme certain que le sucre mangtieaa tou-jours dans la liste puisque les familles c'en ont ` jamais de trop.

SACS

Aucun cha:ng^emelit ne+table n'est survenu dans ce mar- thé du point de vite de 1'ar- licité et des prix.

L'accord intervenu antre les• autorisés et les proprié- tairas des huileries, concea•- usai le prix de la graine de coton de la récolte de cati-: année a permis à ces der- niera de prendre livraison dé la marchandise ae trouvant chez eux et de retourner les sacs vides aux usines d'égre-nage qui en avaient grarado-ment besoin.

le «Yemenl». Il y a toujours ; du -fret et par conséquent, da ur. écart d<.. ^ 10 avec Jè «Iïa- i l'approvisionnement des sacs raria^ qui saut dotac g 190 Ita ^ à coton, pour lequel les cor: tonne tif:

^11Gr^ jours les mêmes difficultés.

à signaler dans la questioi:,

sommateurs affrontent tou-

Aucune amélioration n'es€

La ration mensuelle du au• Les importateurs de -: cet crr a été livrée aux consom. article ae plaignent de ce que orateurs ]e G cet. C'est un les autorités ont pria 'hah}- peu plus tôt -.que d'habitude, fade de confier Yimpo7^^.ation mais puisque cet article exil- de sacs à des organismes té toujours sur placè, on étrangers su comrrierce de pourrait s'arrasager de maniè- cet article et de refuser à eux re à pouvoir le distribuer en mêmes rea -permis qu'ils de- même tempe que les coupons mandent. du pétrole. Avant même la Si cette mesure était ph,s fin du - mois les familles n'ont ou moine juatifée pendant la plus un gramme de sucre: alerre alla n'a plus, croyons

Urie récente ordonnance du -nous, sa raison d'être aujour- Ministère de l'Approvision= d'hul. nement rappelle aux détail- Les paix astronomiques at- lante qu'ils sont tenus de teints dans le marché libre fail•e connaitre au bureau du pour les sacs il coton neufs, ravitaillement ce qu 'il leur• devraient décider les autori-reste à la fin de Chaque mois tés à raviser leur politique des articles !lutés pour être su ^stijet de l'importation dP distz•ibtiés il leurs CliaAtB . C8B SmAp:

par Thomas IIr tii'ISODOIvI Un constructeur d'aaitos tira de

son. tiroir quelques plans empous-siérés.- a Voici l'espoir de demain ; l'auto i1 la portée de toutes les bourses ^, dit- iI. •

« La décision du Chancelier de I'1✓chiquier de retenir les 38 1/29(,

' , w .•Ie prix d'achat des autos pr. vés met ces derniers hors de par= téè de l'homme ordiaYaire>, n<t-il a-jouté. «. Main regardez. ceci ^. .Les dessins représentaient une

limousine à deux sièges, double cylindre de 500 centimètres cubes —^ l'auto idéale pour les petites Courses. Cette voiture pourrait é- ire taxée d'après le nouveau plan à cinq livres par année et, avec. une eonsom^ration d'essence de 80 kilomètres au galon, elle réprésen-terait une auto exceptionnellement ban marché.

En tenant comptè de la taxe sur i l'achat, estime l'industriél, et -avec

une production annuelle de 26,000 véhia.ules, le : prix pourrait @tre maintenu au-dessoûs dé 126 li^^res sterling.

Actuellement, l'auto la moins ch^re, produite par les usines ber ' tanniques, voirie 293 livres:

u Avant la guerre, précisa le .constructeur, la production de Bet-te voiture aurait été une perte de temps, des .autos plus grandes pouvant étre obtenues autour de 130 livres, et les gens étaient tout prèts à payer cette somme. Main-tenant, il existe un réel besoin d'u-a:é aûto. réellement bon marché.

« .Jé crois que - nous l'avons Cians ce plan. Lln prototype est déjà en voie de construction. »

Sur le papier la nouvelle voitu- re abonne .apparence. J'en ai commandé une '

C^ RACES Une conférence sera don-

née par le R.P. Zundel au Foyer ^de la Jettnesae Catho-lique 28, Rue Prince Ibrahim Camp de César, le mardi 113 Décembre à 6 h. 1} p.m.

Comme ,titra : « Le ré^ae 1 do l'Inoarm$tio^n ».

L'engagemént de rendre toutev les recettes .des Importations dc. la Grande-Bretagne conversibles en n'importe quelle monnaie, -après. quoi la l'Angleterre voudrait ache-ter sur n'importe quel marché sans considérations de change -- ue doit étre mis à exécution qu'un; année après la ratification de l'ac° corlJ financier, ce qui peut bien signifier en 1947 , Méme après cet- te période la Grande -Bretagne ne sera pas déçhargée du commerce et des achats en gros entrepris per! le gouvernemenC, et par dessus tout, de .ses achats vis-à-vis de ses clients.

Le gouve*nemeat britannique est convaincu yue Washington se tan-ge à cette interprétation

I,e projet cie loi précise qat: l'adhésion aux accords de Bl•etton Woods dois étre ac- compag^née d'un instrument de ratification stipulant que le gouvernement britannique sousçrit à l'accord coluformé-rnent à ria législation et prend toutes les mesures nécessai-res. en vue de l'exécution des obligations découlant de ces accords.

Précisons encore gtxe la convention sera signée au norn de 'toutes les colonies, protectorats et territoires sous mandat uritanniques. truand aux Dominions et i l'Inde, ils pourront a^t_dé^er aux accords chacun séparé-ment. L'Ers n'avait pas pa^•-ticipé i} la conférence do Bretton-Woorls.

TION DE5 ACCORDS f

commercial, ayant un effet' préjudiciable à l'unité de l'Empire. I

Le gouveriielnent ané^n. g moins l'intention d'obteltu ; l'approbation ei la ratifies- I fion 'des accarcls dé B^•etton-Woods, comme des décisions de Washington, d'ici vendredi' prochain. Léa arguments du ^ gôuvelnelnent se baseront nc- ; taninient. sure les difficultés i êeonoirliquos qui résultèr°aient de lai perspecive d'établir un ' orgauisPrié correspondant à l'Office de placements de fonds à l'échelle. internatio-nale. -

^ veraaement est que la ratifi-kas gros, la thèse du gott-

l .^

cation des accorda de Bret-ton-Woods, déjà souhaitable en soi, devient une imparieu-se nécessité lorsque ses avan-tagea^ sont conjugués avec ceux des dispositions relati-ves à .l'emprunt.

3,63, 4,4â. On s'attend, .dans .. les mi-

lieux politiques bien iufor-inéa, qu'une déclaratinn à ce sujet soit. faite au cours ^u débat au Parlement la semai-ne prochaine. Dans les mi-lieux du gouvernement, Cers dément en conséquencé lés bruits concernant une modi-fication dal taux de la livre, qui ,interviendrait ,ayant la ratification .des accords de Brètton Woods, lesquels doi-vent - lier la-livre à l'or et au dollar. • «AUX ACCL^It1JS D^; TROC»

aiaisf la conservation partiel-le des tairais pré:érentie:s impériaux pour le .;ommerce 'avec les membres du C•om-montvealth, mais elle msni•-feste non moins l'intention de rabaisser toutes les bar-rières douanières mondiales, laquelle apparaît ainsi tom me un des.. objectifs essen-tiels de,l'organisation écolio-9nique mondiale qu'on se pro pose de créer.

L'accord répond donc :des objectifs. immédiats du cô-té anglais, reconversion - in-dustrièlle, du 'côté américain acquérir des îacilités nouvel-les sur les marchée mondiaux par l'abaissement des barriè-res douanières, et d'abord sur rea marchés de l`Empire bri-tannique moyennant certains rajustements des accords im-périaux préférentiels.

----^---

i^iCl8^L'^^.iE^

ir+ous apprenons avec plai-sia• le prochain mariage de 11lademoiselle :Edlih 1^Iaratchl i . fille de 11i. et 1tTme Albert ;l?araichi, avec &i. Benjamin E. Tueta

•La bénédiction nuptiale' leur sera donlzée au Grand. Temple Eliahou Haunabi, Di-manche 16 IDléoembre.

1vAS çordial ®s f^li4itdttiela^,

Londres 11 (RI •—• L'accord financier. de Washington n'impli-que aucun chançjement immédiat dans la - politique de la Grande- Bretagne tendant à ,détourner ses achats de coton et autres possibles fournitures des Etats-Unis vers les autres fournisseurs, spécialement ceux de la zone - sterling.

Jusqu 'à ce que l 'â ceord soit ra-tifié, la Grande -Bretagne rie dis-pose pas d 'un surplus de capitaux pour . de plus pesade achats aux États-Ugis; et Bout achat de ce genre .avant la fin de cette année augmenterait apparemment la det-te britannique de prèt-bail de E50 millions de dollârs, écrit Sydney Campai! , ,rédacteur : financier de Reuter,

Loa►dl•es, tA. F: P.). — At; cours des négociations de i^Vashingtou, il a été dtcide que. le cours du change entez la livrë et le dollar, fixé pea:-dant la guerre au taux dz 4,0`LI, 4,03;, .serait maintenu cancane taux de stabilisation initiale prévu dans les ac- cords de 13retton-Woods.

I:es limites entre lesquelles le gouvernement pourra mo-difier ce taux sans le can-sentement du fonds monétai-re international, seront donc

IL FAU°T iyIETTR); FIN

C16tw'e C^ôfure

d'auj. Itréc.

E'rn!pr. Nat, 10800 10 10800 107,90 ,,, ..: 1U7y0 illBE}0 F3.4S'CAIRES ;

Crédit honci^er 1911 2260 ... ... ... ... z?60 B, d'Atfiènes 146 46,5 47 4ï,5 4R 47,3 147,5 ÇomnY. Bank 825 20 18 19 (1.0) 22

^2a s2ÿ 824 .:.......... sil $gis ... ..

Land Bank 1064. 1466 106 .0 ... ... ;,, ... 1USU 1484 &saque biler 2di86 ... .. ... ... .. 268E 2'694 ... Crédit Alexandrin ï85 ... ...... :.. ... ... 78:ï 79U

PRESSAGES ^^^

Pressage et Dépôts 2610 ,,, ,,, ,,, ,,, ,,, 2610 2614 Alexandrie .Pressing ... ... ... ... ...... 1970V. 1970 Cotton Gintters ... ... ... ... ... ... ... ... 162V. 162

INDUSTRIELLES Salt and Soda 415 416 .., ,.. .,. 4d6 417

diafrlayat l:xc. 2026 2.000 ,.. ... :.. •Exc. 2006 2130 Port Saki Salt 580 83 84 85 .......•< .•. 585 5^5

Filature Nationale 2'628 30 26 `'2 20 2620 2636 2tZ50V• 26.50

298 30J 232 236

3400V. 340!0 8.050 8150 480 488 2600x. 2400 475 4S6

Au cours d'une aliocuion proaioncée devant les membres réunis de la Société pour le Nerfectionnement E<conomlquc--, ^1, william L, Batt membre du Conseil Lambiné des MatiBres Premières, et ancien vice-pa+é- aident du Lonseil de la Produc-tion de Guerre, a rocommàndé l'établissement d'uné politique américaine stable . et à longue pariée en ce qui a trait au commerce mondial et a l'éco-nomie internationale.

M. Batt a déclaré, ainsi que le rapporte le «New-York He-raid Tribune>, que les politi-ques poursuivies jusqu'é, main-tenant par les États-Unis n'ont pas donné d'excellents. résul= fats dans le domaine des nc-gociations internationales et tro^ souvent elles ont laisse ;lies• gpuvernements étrangers et leurs ressortissants dans une gave incertitude en ce .gui concerne •la position de notre nation.

IVL Batt a déclaré: «Il n'y a pas de temps • $ pérdre pour mettre au point des •méthodes qui au moins tendront à facili-ter ces négociations internatio-nales et. à éliminer ces incer-titudes dangereuses. Le fait de ne pas encourager tous lés ef-forts en vue du développement d'un commerce $deux direc-tions ne peut relever que d'une philosophie timorée•

Un volai•ne étesldu de coln-anexce^ et d'investissblzlents !n-- térYiT.il.orxauY6 peut constituer une cantrlbutlan airect^ :t la co^.lalidati^on des uoiitlques ë:- coiiomique;, natioYYa gis, l^^ plus, avec fine situation i:onvG nabi© du point d'e vue àv la tralance des paier.'en^ < le c' i veines nations peuva_tt e'^ , ^ Sï;. m.<; que les me,,tlr^' qu'elle.., ar-ttitc^•E?_tt po:tr •..+titrtf:dl'i. mura. objectifs ët,`o:totnlriue^ !nits eu, zr^scront pas can^iaca.ré3 per des contrti-nzesuz^ dans ais aütlt^a p'ay:;, POtlr Gt 5 i'GigvRS,

ll est danE l'iut6m5t die kens bey PdYs de. cc,apére+r• afin i•.'e3`-cou-ragar le commercer intetratfo-nal aillai q'ae les rrlaï;.^maxtt,, ^.. l'étranger• c't af>lt de, fai allie,. ie maintie'n d'un équlib.e. i:n

ça qui a trait ï: la r «1 ^_ca d,^ paiements internationa.^ ;.

C'o1L91dé1°ors cz qutz cette p^;.-litique signifierait perce leu r.;-tttlts-i7nis. Si nos exportatüor^s d8 mal•éhandise^s etI de. srtviccs peùvent atteindP•e 10 milllar^^,„ de douars su amura de la dè-c'ad'e suivant la guai°rq, cola s^i-gnifiera prés d©3 millions d'em-plois au sein,, de 1°industrie, et des marchés étrangers capables ^. d'absor!be(<• la pltldttction agli_' cola d'un million d^, persoYxne. Pour attclydre' un pareil niveau d'exportations il serait néce^ aaire que oe pays isnportitt prés de 8 milliards annuelletnestt de nlarchazidlses e2 de IiiY'^it^ÿ Est

qu'il effèctuât des. plac^;ment^ ^, l'ëtranger de plues d'e 2 arll. liards par an au i atr^ ale 1,1. période de liai ang aui^ ont la. conclusion de la ^^ticrrrei Isos

' 11ripOl^.ritlon:4 ^ Il(tta9 asstu`3raienL des matières pres3nières pour. l'industrie ainsi qu'une variété plus g'raaPde de marchandises et . de servie à l'usage dag consonunatew•s. En méYne temps, nos paaçements à l'é-tranger faciliteraient le dé^^--lOppeament éCOnon^ique^ dans les pays incapables d'obtenir le.: capitaux nécessaires à leur é-conomie en pulsant dans leur propre épargne Courants, '

UiYe pareltle balance de prie • arae¢Pt pour les Etats•`Unis, p^Y.. dont la décade suivant ]a guer- re requerrait de )a part du monde' entier un volume totat de comrrcerçg dépassant de loin cetlui des annéets allant de 1930 à 1938. Autrmnent, là si^i.uatlon du .point de vue des paieYrierts internationaux des autres pays deviemdratt oYtcorer plus s^ns'i ble au.^c fluctuations,. par rap- port il, notre balance de paie- m^nts et le danger d.'1nstabilitê serait accru, De plus, ea consi- dérant noirs b >^^ :de pie`• mestts dans la courant de ia décades d'après guena, ^ asti; devons tlarPir Frésasntetq ; à l'é,^, prit sc^s relations suer les pé-rialey ultérieures. $i les pl{;.ce mania illtetnatiolaawt doivetzt continuer à présenter une . 1z11r

. portance quelconque dans l'é-conomie mondiale, il doit y «-.voir une assula.nCe que leq Xtays créditeaars maisatiendront une balance de palolPtents qui pormHttra atlas natton9 débitri-ces de faim face à leurs abli-gations. Ces absesvatians nt^. sont pas en Contradiction avec 2a conclusion établissant qu'u- ne expansion du oozzzrrYarca at deh ytlaceraterits i`nternat.iosult>rx

1111111{lllillllil'i111WIIIiIWllillllliilllllll

e3t lésait=ble. Elles indirsuent que cette expansion doit , pré-^dl^ier cri caiactére ^gtitilibrë^ f+ritre ua pays ot l'aùtle_ et l'intérAaar de eltaque nation ;

eYVtre, lo présFntt zt l'avenir, L'expansion du comYttel•CC éat_

des investiasen„arts internatio. eaux et le mairtiotY de comptes internatLonaux équiii`Grés sd-t^nt aonsixiéYU.bl;emont :: ; 1L té si les grands pays ci,.YitYt^r-

çallt;t tidoptent une lw][tquŸ monétaire comarure.' Une pd- a+rzile po^itlq^tt, de^Y^it ttro a richiée^ vers l'éf^^uli,>,^:m±^a.t et

CCii^

Le marché .fut dans l'en-semble plus facile avec ur. chiffre d'affaires - assez im- po^a•tànt en café de transit et er, anarchandiae ^Iédouanée. II convient- de noter que les dételitt^urs de café. disponi-ble montrèrent des diapoai- fions de ventes et consenti-rent de légers rasais qui fa-cilitèrent les transactiong,

On. a pu ainsi traiter du «slarari» extra franco lEbu-ded Suez à £ 190 la tonne, du «r amena» à ^ 138 et' du KSidano^ à ^ 180. Pour 3e café dédouané les'

pri4 ont été fermes. Le ^Iia- erra » valait en fin dP semai-

ne à P.T. 1330 le t^a>,tar av le Rio à P.T. 112.T le tan• taY,

Arïen a^ maintient ferme £ 180 la tonne cIf- Suez peur

^+^F,, -- -- POUh ACCELEF.ER LE

lLll^ Il^,>^t Y^^ll^^^ lall^ C^Y^dl1^ ^ ^^I(4e TP,ANS•PORT DE CfiAR80N s p ^ AAlEP,.IC_^.TN A L'ÉTRANGER.

Washington (t1FP) Afin dé stimuler le transport du cltar-bon ve_•s l'isurope en h,^ c ^•, le

l directeur do la Rer•or s ^.`sion 1ltduçtriclle a présenté; - samedi, deux den^andcs urgenteu: d'a-ttcrd uro aiin,iztistration de la navigation, afin d'affe^ctes• da. vântage de cargos au traaYSport du charbon; ensuite, une cEimi-nlstration las carburants, afin dei prendre foutais . lei dlapasi-tlons osl vers de fournir tin caYY.• tangent do ciYarbatt en déc?^^?- bre.

Le directeur dé 1a P.oconv^r-siun Industrie+113 a souligné. en

en ^leter^e lit ^RR Q11111Ef^1

•

`leldYi^

! 11111!11311IIflIIlIIIII'llllil1J11i111!!Illlïll! lilial111l1lüillï111111'lill!l11111111111!lIUII

E^ I^IÂ^G^ I)^S ACCO^i^S AI^TGIJO - A :^^RICAINS

IL4 itATIFICAr3'iON DES ACCORDS niONETAI.ItRS l3!^: BRET7i ON WOODS

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