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Moniteur* d'Jssoir© beaux bénéfices, car la production de sucre est inférieure à la consommation et se fait d'une façon primitive. En Banque, le marché reste indécis. VARIÉTÉ LA MÉDAILLE •"•••• : ,'.;•• .: , -' ï . 7 ; •!"•:'• J'avais perdu de vue, depuis un respectable laps de temps, un bon compagnon avec lequel j'avais au- trefois vécu des années de bohème alternativement grise ou ensoleil- lées, le peintre d'histoire Àlcibiade Lefauché, quand la rumeur publi- que se chargea de m'apprendre que le susdit Lefauché venait d'obtenir, au Salon des Artistes Français, une première médaille pour son tableau : Soir d'Automne; Une Truffière en Périgord. Avec la joie sereine d'une âme exempte d'envie, je fus littérale- ment heureux de ce résultat. Ça y était I Alcibiade Lefauché mettait le cap sur la gloire et au comble de l'allégresse, je frétais « illico » un taximètre à l'effet d'aller présenter au nouveau médaillé, le petit boni- ment aussi ému que laudatif, de rigueur en la circonstance. Sacré Lefauché ! Il perchait tou- jours dans son atelier de la rue des Martyrs, un vrai nid d'aigle auquel donnait accès une échelle, auprès de laquelle la légendaire échelle de Jacob eut semblé un jouet d'enfant La première effusion passée, nous constatâmes sans amertume, mais avec une pointe de mélancolie, que dix années écoulées depuis notre dernière entrevue, avaient tassé nos râbles et rendu nos crânes aussi chenus que le sommet du Mont Pilate. Puis nous causâme du fameux tableau médaillé au Salon et four- rageant sa barbe d'archonte, qu'à l'instar de beaucoup de gens il portait poivre et sel, Lefauché me dit : Le temps de passer ma roupane et je descends avec toi. Nous allons arroser la médaille et faire un bon petit gueuleton à l'ombre du Sacré- Coeur. Et, au dessert, je te conte- rai la genèse de ce chef-d'oeuvre : Soir d'Automne ; une Truffière en Périgord. II \ Alcibiade venait de bourrer une superbe pipe d'écume dont le four- neau artistement ouvragé repré- sentait une scène biblique : la « Chaste Suzanne entre les Deux Vieillards », et tout en lappant son moka à petites gorgées, il attaquait l'histoire du Soir d'Automne ; une Truffière en Périgord. Il y a quatre ans j'envoyais au Salon de peinture une Bataille de Mantinée qui, tu t'en souviens, fit un certain tapage. Pourtant ! pas de récompense ! Sans doute le mâle et altier profil de mon Epaminon- das avait déplu à ces Messieurs du Jury. Sans me décourager, je rem- plaçai quelques casques par des morions et des heaumes, je jetai sur les cuirasses quelques man- teaux agrémentés de vair et d'her- mine, piquai au-dessus de la mêlée quelques pennons fleurdelisés et l'année suivante, la nef de mes es- poirs cinglait vers le Grand Palais, avec cet envoi sensationnel : Le Soir d'Azincourl. Hélas ! les barbes austères de l'aéropage pictural eurent vite fait de reconnaître dans le faciès du roi Henri V d'Angleterre,- le nez grec et compromettant du vain- queur de Mantinée. Le Soir d'Azin- court reçut un accueil plutôt frais, et réintégra mes pénates en me rapportant, en fait de récompense, ce que nous résumons pittores- quement avec l'expression classi- que : Peau de balle et balai de crin ! C'était la guigne ! Mais bah ! j'avais de la bonne humeur et de la philosophie... Je semai sur le Soir d'Azincourt quelques flocons de neige, je complétai les heaumes et les morions avec les bonnets à poils des grenadiers de la Grande Armée, je dressai dans la perspec- tive, un cordon de sapins anémi- ques, et au beau milieu de tout cela je plantai un Murât flamboyant, terrible, suant le courage, la tuënë", et brandissant un cimeterre recour- bé ruisselant de sang moscovite... Avec une exquise désinvolture, j'in- titulai cette formidable machine : Le Soir d'Eylau. En route à nouveau pour le Pont Alexandre... Cette fois encore, ce fut un voyage inutile : Le Soir d'Eylau ramassa une pelle magis- trale... Il n'eut même pas une vul- gaire mention et dut regagner son port d'attache, mon petit atelier actuel où il est remisé maintenant, telle une vieille coque de navire dans un bassin de radoub ! III Une pause... Alcibiade rallumait sa pipe, et continuait, la physio- nomie égayée par une sorte de contentement intérieur : Des potins .d'atelier m'avaient appris que je devais mettre mes échecs successifs au Salon des Artistes Français, sur le compte du Président du Jury de peinture, le gros Mahulot, lequel, en souve- nir des nombreuses farces perpé- trées par moi à son cours de l'Ecole des Beaux-Arts, m'avait voué une haine caraïbe. Je résolus de me venger, et aban- donnant cette fois le pinceau des batailles pour un genre infiniment plus paisible, j'attaquai ce Soir d'Automne : une Truffière en Péri- gord auquel le jury vient d'accro- cher la première médaille de cette année. Tu connais la toile ! Une clairière parsemée de chênes et dans la- quelle un troupeau de cochons à la recherche de truffes, se livre de folles galipettes, sous la conduite d'un porcher auquel mon pinceau perfide a donné les traits de Mahu- lot. Quand ils ont vu cela ils se sont fait une pinte de bon sang, les jurés : il paraît qu'ils détestent tous cette rosse de Mahulot qu'ils se tordaient comme des dieux d'Homère à la pensée du bon tour qu'ils allaient jouer à leur Prési- dent ! Le plus drôle, c'est que Ma- hulot m'a envoyé ses plus chaudes félicitations et que, seul dans Paris, il persiste à ne pas se reconnaître dans Soi?- d'Automne: Une Truffière en Périgord ! Auguste FAURE. AU PUY Assurance Obligatoire C'est assurer sa santé que de prévenir les maladies de reins et leurs terribles ra- vages dès leur début insidieux. Le 27 Mai 1907, Mme Bonjon, 13, rue Chévrerie, Le Puy, nous disait : Je crois que ce sont de grandes fatigues qui m'ont occasionné les inaux de reins dont je souf- frais depuis quatre ans. Tout effort m'était douloureux, je ne pouvais même me bais- ser, j'avais des douleurs dans les articula- tions, principalement aux genoux. Je ne dormais pas, souvent j'avais des vertiges, ma respiration était difïicile, j'avais pres- que perdu l'appétit. Les Pilules Poster me firent le plus grand bien puisque après quelques jours de traitement, j'éprouvais un réel soulagement. Je n'avais plus de maux de tête, mes articulations avaient re- trouvé leur souplesse, et il ne m'a pas fallu trois semaines pour être débarrassée de mes douleurs. » Le 14 janvier 1910, Mme Donjon ajoute : Je suis bien heureuse d'être si totalement guérie; grâce aux Pilules Foster les dou- leurs de reins et les malaises qui les accom- pagnaient n'ont jamais reparu. » Les Pilules Fosler sont souveraines con- tre toutes les affections de reins et de la vessie el. leurs conséquences, telles que : mal de dos, rhumatisme, goutte, sciatique, névralgies, raideur des muscles et articu- lations, teint jaune, nervosité, âcreté et ap- pauvrissement du sang, battementsdecoeur, oppression, élourdissements, abattement général, incontinence, insuflisance et ré- tention d'urine. Toutes pharmacies. (Exiger la signature « James Foster »). 3 fr. Su la boîte, 19 fr. les six ou franco contre mandat : Spécia- lités Fosler, H. Binac, pharmacien, 23, rue Saint-Ferdinand, Paris. SAVON CONGO UN U à tous ceux qui sont atteints d'une maladie de la peau : dartres, eczémas, boulons, démangeaisons, bronchites chroniques ma- ladies "de la poitrine, de l'estomac et de la vessie, de rhumatismes, un moyen infaillible de se guérir promplement ainsi qu'il l'a été radicalement lui-même, après avoir souffert et essayé en vain de tous remèdes préconisés. Celte offre, dont on appréciera le but humanitaire, est la consé- quence d'un voeu. Ecrire par lettre ou carte-postale à M. Vincent, 8, place Victor-Hugo, à Grenoble, qui répondra gratis et franco par courrier et enverra les indications demandées. Franco à l'Essai Spécimen des MONTRES ET BIUOUX TRIBAUDEAU 1«" Prix, Médailles d'Or aux Concours de Chronomètres, a l'Observatoire da Besançon. G. TRIBAUDEAU, hb« prlnelptl a BESANÇON, livre directement &u Publfo chaque année plus de SOO.000 objets : MONTRES. CHRONOMÈTRES, BIJOUX,PENDULES,ORFÉVnEnlE,Mpara(/orcs. Franco IirifsIllDilrii.PRIMEàtoutaobat. Chemins de for do Paris à Lyon et à la Médilerraoée Stations Hivernales (NICE, CANNES, MENTON, etc.) Paris-La Côte-d'Azur en 13heures par train exlra-rapido de nuit ou par le train « Côte d'Azur rapide » (1 r0 classe). (Voir les indicateurs pour les périodes de mise en marche). BILLETS D'ALLER ET RETOUR COL- LECTIFS de 4 ro , 2°, classes, valables 33 jours, délivrés du 15 Octobre au 15 Mai, dans toutes les gares P.L.M. aux familles d'au moins trois personne* pour : Cassis, LaCiotat, St-Cyr-la-Cadière,Bandol, Olliou- les,Sanary, La Seyne,Tamaris-sur-Mer, Tou- lon, Hyôres et toutes les gares situées entre St-Raphaël, Valescure. Grasse, Nice et Men- ton inclusivement. Minimum de parcours simple : ISO kilomètres. Prix : Les deux premières personnes paient le plein tarif, la personne bénéficie d'une réduction de KO %, la i" et chacune des suivantes d'une réduction de 75 °/°. Faculté de prolongation de une ou plu- sieurs périodes de 15 jours, moyennant supplément de 10 % pour chaque période. ARRÊTS FACULTATIFS Demander les billets quatre jours à l'avance à la gare du départ. Des trains rapides et de luxe composés de confortables voitures à bogies desser- vent pendant l'hiver les stations du littoral. Nota. II est également délivré, dans les mêmes conditions, des billels d'aller et retour de toutes gares P.L.M. aux stations hivernales des Chemins de Fer du sud de la France (San Salvadour, Le Lavandou, Cavalaire, St-Tropez, etc). Algérie-Tunisie BILLETS DE VOVAGES A ITINÉRAI- RES FIXES, 1™ et 2 e classes, délivrés à la gare de Paris. — Lyon ainsi que dans les principales gares situées sur les itinéraires. — Certaines combinaisons de ces voyages permettent de visiter non seulement l'Al- gérie et la Tunisie, mais encore des parties plus ou moins étendues de l'Italie et de l'Espagne. Voir la nomenclature complète de ces vo- yages circulaires dans le Livrel-Guide- Ho'raire P.L.M. en venle dans les gares, bureaux de ville, bibliothèques : û fr. îiO ; envoi sur demande au Service Central de 1'Exploitalion, 2U, boulevard Diderot, Paris, contre 0 fr. 70 en timbres-poste. 167 Acrostiche double # # * * * # * i c a a s c a é r i v e h r * * . # # * * # Il conduit au moulin Les eaux du grand bassin. — Une terre argileuse Pour peindre bien fameuse. Réputation charmante : De maladie exempte. Rivière d'eau, bien bonne, Se jette dans la Garonne. Canton près de Loudéac Fabrique de toiles à sacs. Celui-ci en a une dose 11 répète de suite toute chose. Rivière arrosant Albi En Garonne aboutit. En travers nous lirons Deux noms d'illustres Evêques Qui firent de beaux sermons Car ils n'étaient pas deux bègues. Voyages à Itinéraires facultatifs de France en Algérie, en Tunisie, en Corse el aux Echelles du Levant ou vice-versa CARNETS INDIVIDUELS OU COLLEC- TIFS 1'°, 2 U , 3 e classes, délivrés pour voya- ges pouvant comporter des parcours sur les réseaux métropolitains, départemen- taux (réseau de la Corse), algériens et luni- sieus, ainsi que sur les lignes marilimes desservies par la Cie Gle Transatlantique, par la Cie de Navigation mixte (GieToua- che) par la Slé Gle de Transports Mariti- mes à vapeur, par la Cie Marseillaise de Navigation à vapeur (Fraissinet et Cie), ou par la Cie des. Messageries maritimes. Ces voyages doivent comporter, en môme temps que des parcours français, soit des parcours marilimes, soit des parcours ma- ritimes algériens, tunisiens ou corses. Minimum de parcours sur les réseaux métropolitains : 300 kilomètres. Les parcours maritimes doivent être effectués par les paquebots de l'une seule- ment des Compagnies do Navigation parti- cipantes ; ils peuvent cependant être effec- tués à la fois par les paquebots de la Cie des Messageries maritimes ou de la Cie Marseillaise de Navigation à vapeur (Frais- sinet) et par ceux de l'une quelconque des trois aulres Compagnies de Navigation. Validité : 90 jours ; 120 jours lorsque les carnets comprennent des parcours sur les lignes desservies par la Cie des Message- ries Marilimes. Faculté de prolongation moyenaant paiement d'un supplément. Arrôis facultatifs dans toutes les gares du parcours. Demander les carnets o jours a l'avance à la gare de départ. Pendant la saison d'hiver, Paris et Mar- seille sont reliés par des trains rapides et de luxe cuinposés de confortables voitures à bogies. Trajet rapide de Paris à Marseille en 10 h. 1/2 par le train « Côte d'Azur ra- pide » (1™ classe). (Voir les indicateurs pour les périodes de mise en marche). BIBLIOGRAPHIE Nous sommes heureux d'annoncer l'ap- parition de VAlmanacIi Nodot pour 1011 (9 e année). Cet almanach, dont le succès va toujours croissant, conlient celte année des amélio- rations considérables et de nombreuses in- novations. .,' 1° Environ 1.500 illustrations de nos maî- tres humoristiques les plus réputés : Poul- bot, Depaquil, Elioll, Haye, Jean d'Aurian, Vallet, Thomen, etc. Un grand nombre de nouvelles et contes signés de nos auteurs les plus con- nus : Pierre Loti, André Theuriet, Jules Moinaux, d'Esparbôs, René Maizeroy, Cour- teline, Michel Provins, etc. Un album, sur papier de luxe, de pan- tomimes, par Jérôme Doucet, aquarelles de Louis Morin. Un mois illustré de gravures sur bois et similis, tirage en couleurs sur beau pa- pier. " Plusieurs morceaux de musique, piano et chant, de Xaxier Privas, Francjne Lorée, Jean deKerlecq, clc. 6° Unalbumen couleurs pour les enfants. " Les vacances de Frip et Bob ". 7° Un concourt; avec de nombreux prix. Le choix sévère des conseils, recelles, bons mois, travaux de dames, etc.. font de VAlinunach Nodol 1011 le plus beau et le plus Important dus ouvrages de ce genre, • c'est le livre de la famille par excellence, lo véritable ami de la maison. Lo poids de VALiiauack Nodot est de \ kilo, son prix est de 1 fr,'60net broché et de 2 fr. 50 relié : il est en vente chez tous les libraires. .. .•-•• ,. : . , ••'•• | Abonnem' : 3 fr. pair 168 Anagramme Petit siège qui n'a ni dossier ni bras. De Madame Séguierjuge l'immense joie Lorsque Reine Anne d'Autriche lui accorda De s'asseoir dessus en présence du Roy ; Droit que ne possédaientalors ni princesses Et encor bien moins les vulgaires duchesses De ce siège historique dis-moi le nom, Car la gracieuse Reine lui enfitdon ; Puis trouve moi comment elle put l'em- [porler, Danssa chaiseà porteurilnepouvait entrer. Et comment le valet par la si grande boue L'aura su transporter, son char n'a qu'une [roue. Les envois et solutions devront être adressés à M. PANGLOSS, au bureau du journal. Les noms des heureux oedipes avec la réponse juste seront publiés au bout de la quinzaine. Pour les solutions à envoyer par la poste, mettre seulement sous enveloppe ouverte, la solution avec le nom, et alîranchir à 5 centimes. No 163 N° 164 SOLUTIONS Mots en Losange G R O ï ROUET G O U R M E ! T E M P S TES T Charade G H A S S E P O T Un mois d'essai gratuit sur demande " affranchi». tt signait lit Plaotmtnts » douteux et dangereux. l'uieuient gr»tnit de tons coupon». Vérification da Tirant principalement de. Tftres RUB 88 S amorti». Flirt d'un tlmtnaoh un lltn t daui lut qui rtnttrmt à la fols tout In rtJtttlintntntt qu'on trou»* dans et leur* publications tt tutti une huit tt connaissances d'unt utilité prttlqut af lourntllèrt pour tout Iti habitants dtt otmpafnts, un lltrtqu'lls larderont tt qu'ils stront heursut de ooniuttùr i tout Instant, Mit a iti l'Idi» réalisée par L ALMANACH DE U GAZETTE DU VILLAQF. Un joli volume In-)• de 140pttss.Illustré, Imprimé sur 2ooltnnet.Prit:60cent.franco.Rue Jasob,26,Paris, CHEZ TOUS US LIBRAIRES et PANS TOUTES LES CARIS . SOLUTIONS JUSTES DES N OS 163 ET 164. 43-44, Mlle Primevère ; 45-46, Mlle Cy- clamen des Alpes ; 47-48, Mlle Pâquerette ; 49 50, Mlle Louison ; 51-52, J. Le Blanc ; 53-54, Eurêka; 55-56, T. Joli; 57-58, T. M. (ça..mabouleversé); 59-60, Georges Bienfait ; 61-62, Henri Parrain ; 63 64, Mlle Clairette Rouvet; 65 66, Pierre Du- prat; 67-68, J. Foulcamp ; 69-70, Mlle Bluette; 71-72, Henri Giroux ; 73-74, Jean TricotaSt-Alban ; 75 76.EmileBourdurge; 77-78, Jean Culmont à St-Foy (Aisne); 79-80, Mlle Ba-Bayte; 81-82, Paul Baron ; 83-84, Mlle Odette et Georges Fabre ; 85 86, Mlle Mireille ; 87 88, Un cliapdère à Pontgibaud. PANGLOSS. - H . VERMOT. E d i t o u 0 et 8, rue Dujruay-Troain, PARIS SOMMAIRE DU N° 46 (2« année) Le Téléphone haut-parleur à bord des Navires de la Marine italienne (Marcel Guylo). Thé, Café, Chocolat el Arlhritisme (D r II. Gillel). Nouvelle application de la Turbine ma- rine (X.). Les Moteurs à gaz dans l'industrie métal- lurgique (X.). Comment on devient Electricien (Antoine Luzy). Une Locomotive de 1.000 IIP effectifs (D r A. Gradenwilz). Comment on peut utiliser la Chaleur solaire (Marcel Latour). Les Fourgons automobiles aux Manoeu- vres turques (A.G ). L'Océan de Nuages (Albert Constant). Un peu de Floricullure (A. Fleury de la Roche). De Tout et de Partout (X...). enMîDttiiPAPIERd ARMENIE .,% Le meilleur Désinfectant connu. L'emploi du PAPIER CI'ARMÉNIE Ponsot au point de vue de l'hygiène des habitations, est un véritable service public. — Eviter les contrefaçons sans valeur antiseptique. A EH VENTE PARTOUT V.T AU UUHF.AU DU JOURNAL " GROS : A PONSOT, 2C. r. St-Claude. Varia. Echinp"gratis. DANS TOUTES LES LIBRAIRIES ÈRES DU PEUPLE par Eugène SUE Deux uérlos x\ O 9 1£S l>ui* s e m a i n e Librairie du Progrès, 3, r. dos Graails-Angustios, Paris Elude de Me Oalbi-iel IVCAJR,TIIN". avoué à Issoire 3% boulevard de la Manliôre, 32 Suc r de M os FAUIIE et ANNAT. EXTRAIT d'une DEMANDE: en SÉPARATION de Biens D'un exploit du ministère de M 0 Vergnières, huissier à Issoire, en date du quatorze novembre 1910, enregistré ou qui le sera dans les délais légaux. Il résulte : que Madame Marie-Amé- lie JURY, épouse de Monsieur Pierre BOUDON, propriétaire-cultivateur, avec lequel elle demeure à Glgnat. A formé contre ledit Pierre Boudon, son mari avec l'autorisation de Mon- sieur le Président du Tribunal civil d'Issoire, sa demande en séparation de biens. M 0 Gabriel Martin, avoué près le Tribunal civil d'Issoire, est constitué pour la dame demanderesse. Issoire, le quinze novembre 1910.,, Pour extrait conforme, Signé : Gabriel MARTIN, avoué. PORTRAITS O'HIËB Publication Iti-measuolle (les 1 er et 15 do clnqua nuis) • • »tB Ceullmo» lu Numéro pour l'ÉCLAIRAGE au GAZ de la Ville d'Issoire Capital : 85,000 Francs , SIÈGE SOCIAL : 106-108, Rue de Lourmel, PARIS . Messieurs les Actionnaires de la Société Anonyme pour l'Eclairage au Gaz de la Villo d'Issoire sont convo- qués en Assemblée Générale ordinaire le lundi 19 Décembre 1910, à 4 heures de relevée au Siège social. ORDRE DU JOUR: Rapport du Conseil d'Administration sur l'exercice 1909-1910 ; Rapport du Commissaire des Comp- tes ; Approbation des Comptes de l'Exer- cice 1909 1910 ; Nomination du Commissaire des Comptes pour l'Exercice 1910 1911 ; Tirage annuel de trois obligations à amortir. _ ^ s

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Page 1: (NICE, CANNES, MENTON, etc.) LA MÉDAILLEarchives.issoire.fr/content/download/29509/360385/file/1910-11-16-p… · Voir la nomenclature complète de ces vo-yages circulaires dans

Moniteur* d'Jssoir©

beaux bénéfices, car la production desucre est inférieure à la consommationet se fait d'une façon primitive.

En Banque, le marché reste indécis.

VARIÉTÉ

LA MÉDAILLE• " • • • • : , ' . ; • • . : , - ' ï . 7 ; • ! " • : ' • •

J'avais perdu de vue, depuis unrespectable laps de temps, un boncompagnon avec lequel j'avais au-trefois vécu des années de bohèmealternativement grise ou ensoleil-lées, le peintre d'histoire ÀlcibiadeLefauché, quand la rumeur publi-que se chargea de m'apprendre quele susdit Lefauché venait d'obtenir,au Salon des Artistes Français,une première médaille pour sontableau : Soir d'Automne; UneTruffière en Périgord.

Avec la joie sereine d'une âmeexempte d'envie, je fus littérale-ment heureux de ce résultat. Ça yétait I Alcibiade Lefauché mettait lecap sur la gloire et au comble del'allégresse, je frétais « illico » untaximètre à l'effet d'aller présenterau nouveau médaillé, le petit boni-ment aussi ému que laudatif, derigueur en la circonstance.

Sacré Lefauché ! Il perchait tou-jours dans son atelier de la rue desMartyrs, un vrai nid d'aigle auqueldonnait accès une échelle, auprèsde laquelle la légendaire échelle deJacob eut semblé un jouet d'enfantLa première effusion passée, nousconstatâmes sans amertume, maisavec une pointe de mélancolie, quedix années écoulées depuis notredernière entrevue, avaient tassé nosrâbles et rendu nos crânes aussichenus que le sommet du MontPilate.

Puis nous causâme du fameuxtableau médaillé au Salon et four-rageant sa barbe d'archonte, qu'àl'instar de beaucoup de gens ilportait poivre et sel, Lefauché medit :

Le temps de passer ma roupaneet je descends avec toi. Nous allonsarroser la médaille et faire un bonpetit gueuleton à l'ombre du Sacré-Cœur. Et, au dessert, je te conte-rai la genèse de ce chef-d'œuvre :Soir d'Automne ; une Truffière enPérigord.

II \Alcibiade venait de bourrer une

superbe pipe d'écume dont le four-neau artistement ouvragé repré-sentait une scène biblique : la« Chaste Suzanne entre les DeuxVieillards », et tout en lappant sonmoka à petites gorgées, il attaquaitl'histoire du Soir d'Automne ; uneTruffière en Périgord.

Il y a quatre ans j'envoyais auSalon de peinture une Bataille deMantinée qui, tu t'en souviens, fitun certain tapage. Pourtant ! pasde récompense ! Sans doute le mâleet altier profil de mon Epaminon-das avait déplu à ces Messieurs duJury. Sans me décourager, je rem-plaçai quelques casques par desmorions et des heaumes, je jetaisur les cuirasses quelques man-teaux agrémentés de vair et d'her-mine, piquai au-dessus de la mêléequelques pennons fleurdelisés etl'année suivante, la nef de mes es-poirs cinglait vers le Grand Palais,avec cet envoi sensationnel : LeSoir d'Azincourl.

Hélas ! les barbes austères del'aéropage pictural eurent vite faitde reconnaître dans le faciès duroi Henri V d'Angleterre,- le nezgrec et compromettant du vain-queur de Mantinée. Le Soir d'Azin-court reçut un accueil plutôt frais,et réintégra mes pénates en merapportant, en fait de récompense,ce que nous résumons pittores-quement avec l'expression classi-que : Peau de balle et balai de crin !

C'était la guigne ! Mais bah !j'avais de la bonne humeur et de laphilosophie... Je semai sur le Soird'Azincourt quelques flocons deneige, je complétai les heaumes etles morions avec les bonnets àpoils des grenadiers de la GrandeArmée, je dressai dans la perspec-tive, un cordon de sapins anémi-ques, et au beau milieu de toutcela je plantai un Murât flamboyant,terrible, suant le courage, la tuënë",et brandissant un cimeterre recour-

bé ruisselant de sang moscovite...Avec une exquise désinvolture, j'in-titulai cette formidable machine :Le Soir d'Eylau.

En route à nouveau pour le PontAlexandre... Cette fois encore, cefut un voyage inutile : Le Soird'Eylau ramassa une pelle magis-trale... Il n'eut même pas une vul-gaire mention et dut regagner sonport d'attache, mon petit atelieractuel où il est remisé maintenant,telle une vieille coque de naviredans un bassin de radoub !

IIIUne pause... Alcibiade rallumait

sa pipe, et continuait, la physio-nomie égayée par une sorte decontentement intérieur :

Des potins .d'atelier m'avaientappris que je devais mettre meséchecs successifs au Salon desArtistes Français, sur le comptedu Président du Jury de peinture,le gros Mahulot, lequel, en souve-nir des nombreuses farces perpé-trées par moi à son cours del'Ecole des Beaux-Arts, m'avaitvoué une haine caraïbe.

Je résolus de me venger, et aban-donnant cette fois le pinceau desbatailles pour un genre infinimentplus paisible, • j'attaquai ce Soird'Automne : une Truffière en Péri-gord auquel le jury vient d'accro-cher la première médaille de cetteannée.

Tu connais la toile ! Une clairièreparsemée de chênes et dans la-quelle un troupeau de cochons à larecherche de truffes, se livre *à defolles galipettes, sous la conduited'un porcher auquel mon pinceauperfide a donné les traits de Mahu-lot. Quand ils ont vu cela ils sesont fait une pinte de bon sang, lesjurés : il paraît qu'ils détestenttous cette rosse de Mahulot qu'ilsse tordaient comme des dieuxd'Homère à la pensée du bon tourqu'ils allaient jouer à leur Prési-dent ! Le plus drôle, c'est que Ma-hulot m'a envoyé ses plus chaudesfélicitations et que, seul dans Paris,il persiste à ne pas se reconnaîtredans Soi?- d'Automne: Une Truffièreen Périgord !

Auguste FAURE.

AU PUYAssurance Obligatoire

C'est assurer sa santé que de prévenirles maladies de reins et leurs terribles ra-vages dès leur début insidieux.

Le 27 Mai 1907, Mme Bonjon, 13, rueChévrerie, Le Puy, nous disait : Je croisque ce sont de grandes fatigues qui m'ontoccasionné les inaux de reins dont je souf-frais depuis quatre ans. Tout effort m'étaitdouloureux, je ne pouvais même me bais-ser, j'avais des douleurs dans les articula-tions, principalement aux genoux. Je nedormais pas, souvent j'avais des vertiges,ma respiration était difïicile, j'avais pres-que perdu l'appétit. Les Pilules Poster mefirent le plus grand bien puisque aprèsquelques jours de traitement, j'éprouvaisun réel soulagement. Je n'avais plus demaux de tête, mes articulations avaient re-trouvé leur souplesse, et il ne m'a pas fallutrois semaines pour être débarrassée demes douleurs. »

Le 14 janvier 1910, Mme Donjon ajoute :Je suis bien heureuse d'être si totalementguérie; grâce aux Pilules Foster les dou-leurs de reins et les malaises qui les accom-pagnaient n'ont jamais reparu. »

Les Pilules Fosler sont souveraines con-tre toutes les affections de reins et de lavessie el. leurs conséquences, telles que :mal de dos, rhumatisme, goutte, sciatique,névralgies, raideur des muscles et articu-lations, teint jaune, nervosité, âcreté et ap-pauvrissement du sang, battementsdecœur,oppression, élourdissements, abattementgénéral, incontinence, insuflisance et ré-tention d'urine.

Toutes pharmacies. (Exiger la signature« James Foster »). 3 fr. Su la boîte, 19 fr.les six ou franco contre mandat : Spécia-lités Fosler, H. Binac, pharmacien, 23, rueSaint-Ferdinand, Paris.

SAVON CONGO

UNUà tous ceux qui sont atteints d'une maladiede la peau : dartres, eczémas, boulons,démangeaisons, bronchites chroniques ma-ladies "de la poitrine, de l'estomac et dela vessie, de rhumatismes, un moyeninfaillible de se guérir promplement ainsiqu'il l'a été radicalement lui-même, aprèsavoir souffert et essayé en vain de tousremèdes préconisés. Celte offre, dont onappréciera le but humanitaire, est la consé-quence d'un vœu.

Ecrire par lettre ou carte-postale à M.Vincent, 8, place Victor-Hugo, à Grenoble,qui répondra gratis et franco par courrieret enverra les indications demandées.

Franco à l'Essai — Spécimen des

MONTRES ET BIUOUX

TRIBAUDEAU1«" Prix, Médailles d'Or aux Concours de

Chronomètres, a l'Observatoire daBesançon.

G. TRIBAUDEAU, hb« prlnelptl a BESANÇON,livre directement &u Publfo chaque année plus deSOO.000 objets : MONTRES. CHRONOMÈTRES,

BIJOUX,PENDULES,ORFÉVnEnlE,Mpara(/orcs.Franco IirifsIllDilrii.PRIMEàtoutaobat.

Chemins de for do Paris à Lyon et à la Médilerraoée

Stations Hivernales(NICE, CANNES, MENTON, etc.)

Paris-La Côte-d'Azur en 13heures par trainexlra-rapido de nuit ou par le train« Côte d'Azur rapide » (1r0 classe). (Voirles indicateurs pour les périodes de miseen marche).BILLETS D'ALLER ET RETOUR COL-

LECTIFS de 4ro, 2°, 3° classes, valables33 jours, délivrés du 15 Octobre au 15 Mai,dans toutes les gares P.L.M. aux famillesd'au moins trois personne* pour : Cassis,LaCiotat, St-Cyr-la-Cadière,Bandol, Olliou-les,Sanary, La Seyne,Tamaris-sur-Mer, Tou-lon, Hyôres et toutes les gares situées entreSt-Raphaël, Valescure. Grasse, Nice et Men-ton inclusivement. Minimum de parcourssimple : ISO kilomètres.

Prix : Les deux premières personnespaient le plein tarif, la 3° personne bénéficied'une réduction de KO %, la i" et chacunedes suivantes d'une réduction de 75 °/°.

Faculté de prolongation de une ou plu-sieurs périodes de 15 jours, moyennantsupplément de 10 % pour chaque période.

ARRÊTS FACULTATIFSDemander les billets quatre jours à

l'avance à la gare du départ.Des trains rapides et de luxe composés

de confortables voitures à bogies desser-vent pendant l'hiver les stations du littoral.

Nota. — II est également délivré, dansles mêmes conditions, des billels d'aller etretour de toutes gares P.L.M. aux stationshivernales des Chemins de Fer du sud dela France (San Salvadour, Le Lavandou,Cavalaire, St-Tropez, etc).

Algérie-TunisieBILLETS DE VOVAGES A ITINÉRAI-

RES FIXES, 1™ et 2e classes, délivrés à lagare de Paris. — Lyon ainsi que dans lesprincipales gares situées sur les itinéraires.— Certaines combinaisons de ces voyagespermettent de visiter non seulement l'Al-gérie et la Tunisie, mais encore des partiesplus ou moins étendues de l'Italie et del'Espagne.

Voir la nomenclature complète de ces vo-yages circulaires dans le Livrel-Guide-Ho'raire P.L.M. en venle dans les gares,bureaux de ville, bibliothèques : û fr. îiO ;envoi sur demande au Service Central de1'Exploitalion, 2U, boulevard Diderot, Paris,contre 0 fr. 70 en timbres-poste.

N° 167 Acrost iche double

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— Il conduit au moulinLes eaux du grand bassin.

— Une terre argileusePour peindre bien fameuse.

— Réputation charmante :De maladie exempte.

— Rivière d'eau, bien bonne,Se jette dans la Garonne.

— Canton près de LoudéacFabrique de toiles à sacs.

— Celui-ci en a une dose11 répète de suite toute chose.

— Rivière arrosant AlbiEn Garonne aboutit.

En travers nous lironsDeux noms d'illustres Evêques

Qui firent de beaux sermonsCar ils n'étaient pas deux bègues.

Voyages à Itinéraires facultatifsde France en Algérie, en Tunisie,

en Corse el aux Echelles du Levantou vice-versa

CARNETS INDIVIDUELS OU COLLEC-TIFS 1'°, 2U, 3e classes, délivrés pour voya-ges pouvant comporter des parcours surles réseaux métropolitains, départemen-taux (réseau de la Corse), algériens et luni-sieus, ainsi que sur les lignes marilimesdesservies par la Cie Gle Transatlantique,par la Cie de Navigation mixte (GieToua-che) par la Slé Gle de Transports Mariti-mes à vapeur, par la Cie Marseillaise deNavigation à vapeur (Fraissinet et Cie), oupar la Cie des. Messageries maritimes. Cesvoyages doivent comporter, en mômetemps que des parcours français, soit desparcours marilimes, soit des parcours ma-ritimes algériens, tunisiens ou corses.

Minimum de parcours sur les réseauxmétropolitains : 300 kilomètres.

Les parcours maritimes doivent êtreeffectués par les paquebots de l'une seule-ment des Compagnies do Navigation parti-cipantes ; ils peuvent cependant être effec-tués à la fois par les paquebots de la Ciedes Messageries maritimes ou de la CieMarseillaise de Navigation à vapeur (Frais-sinet) et par ceux de l'une quelconque destrois aulres Compagnies de Navigation.

Validité : 90 jours ; 120 jours lorsque lescarnets comprennent des parcours sur leslignes desservies par la Cie des Message-ries Marilimes. Faculté de prolongationmoyenaant paiement d'un supplément.

Arrôis facultatifs dans toutes les garesdu parcours.

Demander les carnets o jours a l'avanceà la gare de départ.

Pendant la saison d'hiver, Paris et Mar-seille sont reliés par des trains rapides etde luxe cuinposés de confortables voituresà bogies. Trajet rapide de Paris à Marseilleen 10 h. 1/2 par le train « Côte d'Azur ra-pide » (1™ classe). (Voir les indicateurspour les périodes de mise en marche).

BIBLIOGRAPHIENous sommes heureux d'annoncer l'ap-

parition de VAlmanacIi Nodot pour 1011(9e année).

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N° 168 A n a g r a m m e

Petit siège qui n'a ni dossier ni bras.De Madame Séguierjuge l'immense joieLorsque Reine Anne d'Autriche lui accordaDe s'asseoir dessus en présence du Roy ;Droit que ne possédaientalors ni princessesEt encor bien moins les vulgaires duchesses

De ce siège historique dis-moi le nom,Car la gracieuse Reine lui en fit don ;Puis trouve moi comment elle put l'em-

[porler,Danssa chaiseà porteurilnepouvait entrer.Et comment le valet par la si grande boueL'aura su transporter, son char n'a qu'une

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Les envois et solutions devront êtreadressés à M. PANGLOSS, au bureau dujournal. Les noms des heureux œdipesavec la réponse juste seront publiés aubout de la quinzaine.

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No 163

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rine (X.).Les Moteurs à gaz dans l'industrie métal-

lurgique (X.).Comment on devient Electricien (Antoine

Luzy).Une Locomotive de 1.000 IIP effectifs

(Dr A. Gradenwilz).Comment on peut utiliser la Chaleur

solaire (Marcel Latour).Les Fourgons automobiles aux Manœu-

vres turques (A.G ).L'Océan de Nuages (Albert Constant).Un peu de Floricullure (A. Fleury de la

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EXTRAITd'une

DEMANDE:en

SÉPARATIONde Biens

D'un exploit du ministère de M0

Vergnières, huissier à Issoire, en datedu quatorze novembre 1910, enregistréou qui le sera dans les délais légaux.

Il résulte : que Madame Marie-Amé-lie JURY, épouse de Monsieur PierreBOUDON, propriétaire-cultivateur, aveclequel elle demeure à Glgnat.

A formé contre ledit Pierre Boudon,son mari avec l'autorisation de Mon-sieur le Président du Tribunal civild'Issoire, sa demande en séparation debiens.

M0 Gabriel Martin, avoué près leTribunal civil d'Issoire, est constituépour la dame demanderesse.

Issoire, le quinze novembre 1910.,,

Pour extrait conforme,Signé : Gabriel MARTIN,

avoué.

PORTRAITS O'HIËBPublication Iti-measuolle (les 1 e r et 15 do clnqua nuis)

• • »tB Ceullmo» lu Numéro

pour l'ÉCLAIRAGE au GAZde la Ville d'Issoire

Capital : 85,000 Francs

, SIÈGE SOCIAL :

106-108, Rue de Lourmel, PARIS .

Messieurs les Actionnaires de laSociété Anonyme pour l'Eclairage auGaz de la Villo d'Issoire sont convo-qués en Assemblée Générale ordinairele lundi 19 Décembre 1910, à 4 heuresde relevée au Siège social.

ORDRE DU JOUR:Rapport du Conseil d'Administration

sur l'exercice 1909-1910 ;Rapport du Commissaire des Comp-

tes ;Approbation des Comptes de l'Exer-

cice 1909 1910 ;Nomination du Commissaire des

Comptes pour l'Exercice 1910 1911 ;Tirage annuel de trois obligations à

amortir. _ ̂ s