Centenaire de la guerre 14/18 à Baiersdorf (Allemagne)

Nouveau statut de Métropolepour Rennes Métropoleau 1er janvier 2015

JOURNAL MUNICIPALDécembre 2014N° 107

Trois équipements sportifs inaugurés

Assurance maladie : à partir du 1er janvierun accueil sur rendez-vous

La Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) fait évoluer son offre de service territorialisée afin de répondre à la diversité des besoins des assurés sociaux. Des permanences vont être mises en place, à Pacé, le mercredi à partir du 1er janvier 2015. Pour rencontrer un conseiller, il sera

nécessaire au préalable de prendre rendez-vous au 36 46. Pour plus de rapidité, vous pouvez faire vos démarches en ligne sans vous déplacer sur www.ameli.fr

Etat Civil Sommaire

Rencontrez vos élus

VIE MUNICIPALE 4-9VIVRE À PACÉ 11-17 et 20-21Inauguration des 3 équipements sportifsLes bons réflexes contre les cambriolagesMulti-accueil Pomme d’Api : un espace doublé

VIE CULTURELLE 27-31

VIE SPORTIVE 33-34

VIE ASSOCIATIVE 24-25Pacé-Konna : 25 ans d’échanges et d’amititéTrois questions à Ibrahima Diakité et Amadou GuindoPacé-Slimnic : succès de la route des jumelages

VIE SCOLAIRE 18-19

L’EXPRESSION DE L’OPPOSITION 35

Le Maire, Paul Kerdraon, reçoit sur rendez-vous

Les adjoints et conseillers délégués : le samedi à la mairie de 10h à 12h

6 décembre Philippe Rouault (développement économique et prospective),

Bertrand Bouffort (évènements, fêtes et cérémonies)

13 décembre Josette Le Gall (affaires scolaires et jeunesse)

Alain Chaize (administration générale et moyens d’information et de communication)

20 décembre Florence Cabanis (vie associative), Michel Garnier (voirie, travaux et bâtiments)

27 décembre Jean-Paul Lefeuvre (sécurité et risques naturels)

10 janvier Alain Chaize (administration générale et moyens d’information et de communication),

Gaëlle Guérin (vie culturelle)

17 janvier Michel Garnier (voirie, travaux et bâtiments),

Jacques Aubert (urbanisme et développement durable)

24 janvier Edwige Coumau-Puyau, (transports),

Philippe Rouault (développement économique et prospective)

31 janvier Florence Cabanis (vie associative), Josette Le Gall (affaires scolaires et jeunesse)

Nathalie Lefebvre-Bertin (animation enfance-jeunesse)

7 février Hervé Depouez, (finances et sports), Mustapha Mokhtari (gestion des déchets)

14 février Michel Garnier (voirie, travaux et bâtiments), Jean-Paul Lefeuvre (sécurité et risques naturels)

Le jeudi de 10h à 11h30 : Agnès Danset (action sociale)

Les élus de l’opposition : à la mairie de 10H30 à 12 H

6 décembre Gil Desmoulin 24 janvier Nelly Béteille

20 décembre Annick Hélias 7 février Bernard Le Méhauté

10 janvier Loïc Le Fur

SEPTEMBRENAISSANCES

Le 13, Valentin Lhuissier

Le 18, Ishoma Anatos

MARIAGE

Le 27, Maxime Legros & Elise Thibaud

DÉCÈS

Le 24, Robert Gouzerh

Le 27, Sylvie Tournevache, épouse Morlais

Le 30, Bernard Malmouche

OCTOBRENAISSANCES

Le 2, Alexis Georgelin

Le 2, Faustine Gauthier

Le 3, Constance Pohon

Le 7, Marie-Liesse Pepin

Le 10, Timéo Peny Truffert

Le 13, Clara Lecomte Froger

Le 15, Ali Le Goffe

Le 17, Ilyas El Aiyssy

Le 17, Maëlie Lesaige

Le 17, Lise Dauvilliers

Le 18, Lana Son

Le 20, Cloé Fénice

Le 28, Augustin Le Lostec

MARIAGE

Le 11, Wilfried Adeux & Anne-Marie Valmy

DÉCÈS

Le 5, Denise Busnel, veuve Fourché

Le 14, Jean Rosselin

Le 14, Aurelio Fraguas Gonzalez

Le 25, Marie Audrain

Le 29, Guy Caudal

NOVEMBREMARIAGES

Le 8, Miguel Guerra & Emmanuelle Barrier

Le 8, Jean-Yves Le Naour & Nathalie Chandellier

Le 22, Erwann Le Berre & Emilie Durand

DÉCÈS

Le 2, Suzanne Touchais

Le 11, Denise Baucher veuve Tronel

Le 11, Odette Drouyer veuve Rouault

Le 12, Maria Froc veuve Cotin

Le 13, Jeanine Busnel épouse Rouault

Le 20, Daniel Lemaire

Directeur de la publication : Paul KerdraonRédacteur en chef : Alain ChaizeMairie de Pacé : 11, avenue de BrizeuxBP 94138 • 35741 Pacé Cedex • Tél. 02 23 41 30 00 Imprimerie GPO - Pacé • ISSN 1269 - 5254Imprimé sur papier 100 % recyclé, encre végétale.

www.ville-pace.fr

EDITOCentenaire de la Première Guerre mondiale113 Pacéens n’en sont pas revenus

VIE ECONOMIQUE 23Il y a 100 ans, s’est déclenchée la guerre 14-18, une

guerre qui allait donc durer 4 ans, cette Première Guerre mondiale qui sera appelée la Grande Guerre.

Une guerre qui se termina le 11 novembre 1918, date de l’Armistice que nous venons de commémorer en France.

Cette Grande Guerre, qui a opposé 72 nations belligé-rantes dans le monde entier, mais surtout en Europe, a été un effroyable conflit, qui a provoqué la mort de 9,4 millions de soldats, dont 2 millions en Allemagne, 1,1 million en Autriche-Hongrie et 1,4 million en France.

Mais il ne faut pas seulement compter les morts. Il faut aussi se souvenir des très nombreux blessés, souvent gravement, parfois défigurés. En France, on les appelait les « gueules cassées ». Plus de 21 millions de blessés ont été recensés, dont 4,2 en Allemagne, 3,6 en Autriche-Hongrie et 4,2 en France.

Le 3 août 1914, le tocsin sonnait au clocher de l’église de Pacé, comme dans tous les clochers de Bretagne et de France. Il annonçait la mobilisation générale,

pour partir à la guerre, de tous les hommes âgés de 21 à 38 ans. Dès septembre 1914, les hommes plus âgés étaient aussi mobilisés, et à la fin de l’année 1914, les jeunes hommes âgés de 19 et 20 ans étaient à leur tour appelés pour rejoindre les rangs des soldats en guerre.

A Pacé, les hommes appelés à partir au front étaient au nombre de 400. 4 millions de français, dont 600 000 de notre région de Bretagne, ont ainsi été mobilisés. Notre commune de Pacé comptait à l’époque un peu plus de 2 000 habitants. C’était une commune rurale, et la population était composée en majorité d’agriculteurs.Tous les hommes dans la force de l’âge, soit un Pacéen sur cinq, sont ainsi partis à la guerre. En 1914, tout le monde en France imaginait que la guerre serait courte. Mais il a fallu vite déchanter, et les soldats se sont trou-vés englués dans une guerre de tranchées qui sembla interminable.

Le conflit est devenu une guerre d’usure, où chaque camp essayait d’épuiser l’ennemi par d’incessants bom-bardements et des attaques souvent tout aussi meur-trières pour les défenseurs que pour les assaillants.Pendant ce temps, au pays, ce sont les hommes plus âgés, les jeunes de moins de 19 ans, et aussi les femmes, qui ont dû suppléer à l’absence des soldats, en particu-lier assurer le dur labeur des travaux des champs.L’agriculture est en effet le secteur économique qui a le plus souffert du départ de ses hommes à la guerre.Bien sûr, ils ont pu bénéficier de permissions agricoles pour revenir chez eux pendant de courtes périodes. Mais elles n’ont évidemment pas suffi à remédier au manque de bras.

Et les travaux des champs, déjà plus difficiles pour les femmes que pour les hommes, ont été rendus encore plus durs du fait que beaucoup d’animaux de trait (che-vaux, bœufs et même vaches) ont été réquisitionnés.

En 1918, quand enfin survint la fin de la guerre, il a fallu panser les plaies physiques et morales, qui étaient nom-breuses.113 Pacéens, morts au combat, ne sont pas revenus de la guerre. Leurs noms sont inscrits en lettres d’or sur notre monument aux morts, réalisé dès 1920 sur un des murs de l’église. La statue du soldat gisant symbolise tous ces morts au champ d’honneur.113 morts, c’était une véritable saignée pour Pacé. Cela représentait 1 Pacéen sur 20. Pire encore : 1 famille sur 5 n’a pas vu revenir l’un des siens, et 1 homme sur 4 a péri dans cet effroyable conflit.

La reconstruction de la vie rurale et de l’économie agri-cole a donc été très difficile, très laborieuse.Mais au moins, chacun vivait dans l’espoir qu’il n’y aurait plus jamais de guerre comme celle-là, de guerre aussi meurtrière. On l’appelait la « der » des « ders » !Hélas, la folie de certains hommes a à nouveau provo-qué, 21 ans seulement après l’Armistice de 1918, une Seconde Guerre mondiale tout aussi longue, tout aussi meurtrière et tout aussi horrible que la Première Guerre mondiale.

Heureusement, quelques années après la fin de cette Seconde Guerre mondiale, quelques hommes de haute valeur, tant en France qu’en

Allemagne, se sont levés pour appeler à la réconciliation entre nos peuples et jeter les bases de la construction européenne dont nous sommes aujourd’hui les heureux héritiers.

N’oublions jamais d’où nous venons. N’oublions jamais que l’entente entre l’Allemagne et la France est le socle de l’Union européenne. N’oublions jamais à quel point l’Europe unie a permis de bâtir une paix qui dure depuis 70 ans. Jamais notre vieille Europe n’a connu une aussi longue période de paix, même si je n’oublie pas que l’Allemagne a subi presque 45 ans de partition, avec ce rideau de fer symbolisé par le mur de Berlin. Ce mur de Berlin qui s’est enfin ouvert le 9 novembre 1989. Nous venons donc de fêter les 25 ans de la chute de ce symbole d’un régime de fer imposé à toute l’Europe orientale.

Espérons que les vieux démons de la guerre et de l’oppression, qui sont hélas à l’œuvre dans cer-tains pays comme l’Ukraine, ne provoquent pas un

retour à la guerre froide tant redoutée.Paul Kerdraon

(Discours prononcé le 15 novembre à Baiersdorf, ville jumelée avec Pacé, lors d’une cérémonie de commémoration du Centenaire du début de la Première Guerre mondiale).

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VIE MUNICIPALE VIE MUNICIPALE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Les enjeux du passage à la Métropole Au 1er janvier 2015, la Communauté d’agglomération Rennes Métropole deviendra l’une des neuf grandes métropoles françaises, en application de la loi de Moder-nisation de l’action publique et d’affirmation des métropoles, dite loi Maptam. A l’invitation du conseil municipal, André Crocq, Maire de Chavagne, Vice-Président de Rennes Métropole (RM) en charge de la prospective et Président du Pays de Rennes, Gilles Gary, membre du cabinet du président de RM et de Noël Philippe, Directeur Général services urbains de RM, sont venus présenter et expliquer la nature de ce projet ainsi que les principaux enjeux. André Crocq a rappelé que la Métropole s’est construite progressivement depuis 44 ans, passant d’un District urbain à une Communauté d’Agglomération, avant de devenir Métropole. Il a indiqué que ce processus avait conduit à renforcer au fil du temps, les compétences délégués par les communes dans des conditions de quasi consensus, pour construire un projet partagé. Il a ensuite présenté les principales compétences transférées ainsi que les différents modes de gestion (Cf. pages 6-7). Concernant la voirie, le personnel affecté à 100% à cette activité ne sera pas trans-féré à la Métropole dans les deux années à venir, a indiqué Paul Kerdraon. Il conti-nuera à être personnel communal et sera rémunéré par la commune qui percevra une contribution équivalente de la Métropole. Evoquant la compétence distribution eau potable et assainissement, André Crocq indique que le souhait de la Métropole est d’obtenir un tarif et un service unique sur son territoire. Concernant le Plan Local d’Urbanisme (PLU) des communes, il précise qu’il n’est pas de la prérogative du tout de la Métropole d’aller s’immiscer dans les affaires communales. Il ajoute « La mise en place d’un PLU intercommunal prendra au minimum 4 à 5 ans. De fait, sur ce mandat, l’initiative d’évolution des PLU et des procédures ad hoc sera menée par la commune. Rien ne sera proposé à l’appro-bation des conseillers communautaires sans que cela ait été validé par la commune.» Sur les aspects financiers, il précise que la gestion des compétences doit être neutre pour les communes et la Métropole. Les montants des attributions de compensa-tion versés actuellement aux communes seront recalculés en 2015 et des réajuste-ments seront faits pour chaque commune. André Crocq finit sa présentation en parlant de la gouvernance de la Métropole. Il indique que lors des échanges, un consensus au niveau des élus communautaires est apparu rapidement pour la mise en place de comités de secteur. Ces derniers, qui ne sont pas encore délimités géographiquement, seront composés de deux re-présentants par commune, indépendamment de la taille. Il pourra s’agir du Maire et d’un conseiller communautaire ou du Maire et d’un adjoint si la commune ne

dispose pas de deux élus communautaires. L’animation politique sera assurée par l’un des maires du secteur, sur un système tournant de 1 à 2 ans et par un vice-président de la Métropole, avec le soutient des équipes techniques des communes et de la Métropole. Paul Kerdraon a remercié André Crocq pour cette présentation qui est issue de nombreux débats et dont les incidences sont importantes. Philippe Rouault in-dique qu’il partage la nécessité que la loi traduit d’aller beaucoup plus loin dans la gouvernance, la gestion de l’eau, les transports… mais qu’il est un peu perplexe sur certains aspects de la simplification administrative. Notamment sur le fait que par moment, cette loi a nié le principe de subsidiarité, qui a pour objectif de faire en sorte que les décisions soient prises au niveau le plus près des concitoyens. « Nous devrons être extrêmement vigilants dans la mise en œuvre pour que nous-mêmes, au niveau de Pacé nous ne disions pas, c’est plus nous c’est la Métropole, de façon à ne pas éloigner nos concitoyens du niveau de décision », dit-il. Au niveau de la sectorisation, Philippe Rouault juge qu’il s’agit d’une réponse intelligente qui reste à mettre en œuvre. Concernant cette nouvelle gouvernance, il souhaite qu’elle permette d’engager rapidement des projets qui nous tiennent à cœur, notamment le renouvellement urbain qui impliquera des compétences en termes de planifications urbaines, de logements et de voieries.Loïc Le Fur souhaite savoir comment, au bout des deux ans évoqués précédem-ment, se feront les arbitrages des demandes nombreuses de toutes les communes du territoire. André Crocq répond que les deux années à venir permettront de tra-vailler dessus. Il ajoute que les comités de secteur, vont être l’instance d’orientation des programmes pluriannuels de travaux sur la voirie notamment. Le secteur étant souvent le bon endroit pour le faire. Jacques Aubert souhaite revenir sur l’acte de programmation des travaux de voirie synchronisé sur les opérations de renouvellement urbain qui, du fait de l’empilage des lieux de décisions, risque de conduire encore à un allongement dans les pro-cédures, les délais. Il craint que les objectifs du Programme Local de l’Habitat ne soient pas tenus car toutes les opérations risquent de dériver dans le temps. André Crocq indique qu’au niveau du Scot, l’un des objectifs est de pousser les feux sur le renouvellement urbain. Les comités de secteur prendront une part entière dans ces choix.Gil Desmoulin souhaite savoir où s’arrête la voirie au sens propre. Il demande s’il sera possible aux communes de compléter ce qui serait décidé par la Métro-pole afin d’avoir quelque chose de plus qualitatif. André Crocq répond que cela a commencé à être abordé et qu’il serait possible que la commune apporte par des fonds de concours, des compléments de financement, mais cela reste à discuter. Nöel Philippe intervient pour dire qu’il ne faut pas penser que la Métropole fera un service minimum et les communes feront au-dessus. Il indique que les budgets alloués par la Métropole aux comités de secteur devront être répartis en fonction des besoins et des programmations retenus.

Baisse sensible des ordures ménagères collectéesMustapha Mokhtari, délégué à la gestion des déchets, a présenté le rapport annuel 2013 sur le prix et la qualité du service public d’élimination des déchets par Rennes Métropole. Il indique qu’au niveau de la Métropole, 196 410 tonnes de déchets ménagers et assimilés ont été collectés et traités l’an passé, soit un ratio de 469 Kg/an/habitant, à comparer à celui de 590 au niveau national. Depuis plusieurs années, les masses collectées, d’ordures ménagères, d’emballages et papiers, de verres, sont en baisse au niveau de Rennes Métropole. Concernant les principales collectes, les masses collectées au niveau de la com-mune, sont passées (kg/an/habitant) :4 de 230 kg en 2008 à 194 kg en 2013, pour les ordures ménagères,

Le 29 septembre, les conseillers ont délibéré sur les 17 points à l’ordre du jour de ce conseil. Plusieurs délibéra-

tions concernaient entre autres la présentation de rapports. Le 17 novembre, les conseillers municipaux ont échangé et débattu sur l‘évolution et les enjeux de la Métropolisation, sur le découpage géographique des comités de secteur, …

Aux conseils municipaux des 29 septembre et 17 novembremise en place de la Métropole au 1er janvier 2015

4 de 72 kg en 2008 à 58 kg, pour le tri sélectif.4 stabilité pour le verre à 38 kg. Concernant les indicateurs financiers, il indique que les recettes de fonctionnement s’élèvent à 42,1 M€ et proviennent principalement de la Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères. Les dépenses de fonctionnement, qui s’élèvent à 39,1 M€, sont constituées principalement par le coût de la collecte (44,6%), l’incinération et stoc-kage (24%) et les déchèteries (15,6%). Les conseillers ont pris acte de ce rapport.

Eau potable : une consommation stableJacques Folschweiller, conseiller délégué aux économies d’énergies et aux dépla-cements doux et Président du Syndicat Intercommunal des eaux de Pacé, Vezin-le-Coquet et Saint-Gilles, a présenté le rapport 2013 relatif au prix et à la qualité du service public de l’eau potable. Ce syndicat dessert, sur les trois communes de son emprise, 8 581 abonnés dont 4 775 sur Pacé. En 2013, 802 270 m3 ont été mis en distribution, dont 716 594 m3 pour les abonnés, ce qui représente une consomma-tion moyenne annuelle par abonné de 84 m3. Hors coût assainissement, la facture d’eau d’un usager consommant 120 m3 s’élève au 1er janvier 2014 à 265,42 € soit un coût au m3 de 2,21 €. Selon l’Agence Régionale de Santé, l’eau distribuée en 2013 était de bonne qualité microbiologique. Elle est restée conforme aux limites réglementaires fixées pour les éléments indésirables et les pesticides recherchés, tout au long de cette année.Les conseillers ont pris acte de ce rapport

Subventions exceptionnelles pour le rink-hockey et le basket-ball

Hervé Depouez, adjoint chargé des finances et des sports, a proposé le versement de deux subventions exceptionnelles, d’un montant chacune de 5000 €. La pre-mière concerne l’équipe masculine de basket-ball qui évolue en Nationale 3 depuis 3 ans. La seconde à l’équipe masculine de rink-hockey qui évolue en Nationale 2 pour la seconde année consécutive. Pour Hervé Depouez ces subventions vont per-mettre d’accompagner le financement de ces équipes dans le sport de haut niveau notamment pour le rink-hockey.Vote à l’unanimité.

Pour un comité de secteur identique au SYRENORPour faire suite aux échanges précédents, Paul Kerdraon propose que la commune de Pacé fasse partie d’un secteur, qui regrouperait les huit communes (Clayes, La Chapelle-des-Fougeretz, Gévezé, Montgermont, Pacé, Parthenay-de-Bretagne, Saint-Gilles, Vezin-le-Coquet) membres du Syndicat de Recherche et d’Études du Nord-Ouest de Rennes (Syrenor), compte tenu des habitudes de travail et des mutualisations de compétences (études de secteur, point accueil emploi, action so-ciale avec multi-accueil et accueil des personnes âgées, école de musique et réseau de médiathèques) fortement ancrées avec ces collectivités. Par ailleurs, la com-mune de Pacé si dit ouverte à un élargissement de ce secteur aux cinq communes (Bécherel, La Chapelle-Chaussée, Langan, Miniac-sous-Bécherel et Romillé), issues de la Communauté de communes de Bécherel, compte tenu de leur proximité géo-graphique, à condition qu’elles le souhaitent et au moment où elles le jugeront opportun.Loïc Le Fur intervient pour dire que le découpage de la Métropole en comités de secteur, va instaurer une gouvernance de proximité indispensable à un bon fonc-tionnement de notre démocratie et qu’il rejoint à ce sujet les propos de Philippe Rouault de tout à l’heure avec lesquels il est en total accord. Le renforcement de

l’intercommunalité a beaucoup d’avantages : équilibre territorial, solidarité, poli-tique publique, mutualisation des moyens et cela nous tient tous à cœur. Mais ce renforcement peut aussi présenter le risque d’éloigner les élus des populations. Concernant le périmètre proposé, il s’agit d’une très très bonne idée, y compris sur l’ouverture aux cinq communes.Vote à l’unanimité.

Préserver l’espace agricole par l’extension et la création de champs urbains

Philippe Rouault a présenté le projet arrêté de révision du SCoT (Schéma de Cohé-rence Territorial) du pays de Rennes, qui regroupe 76 communes. Les principaux enjeux de ce SCoT sont d’assurer l’accueil des habitants qui souhaitent s’installer sur le territoire et de développer des activités, emplois et services, tout en préser-vant la qualité du cadre de vie, en garantissant le maintien de l’agriculture et en économisant les ressources nécessaires à ce développement. Le SCoT fixe aussi les potentiels d’urbanisation maximum par commune en définissant des objectifs de densités minimum différenciées selon les nivaux de l’armature urbaine. Philippe Rouault indique que dans le cadre de la révision du SCoT, la Chambre d’Agriculture d’Ille-et-Vilaine a demandé d’étendre le champ urbain de Champa-laune, afin de permettre le maintien de la ceinture verte entre Rennes et Pacé. Il ajoute qu’une extension du champ urbain sur la zone entre Pacé, Saint-Gilles et l’Hermitage serait fortement souhaitable, afin de protéger l’agriculture et le cadre de vie entre cette zone et les zones urbaines. Annick Hélias affirme qu’elle partage pleinement ces deux de-mandes d’extensions. Paul Kerdraon indique que ces propositions sont des compléments aux observations déjà faites antérieurement.

Elles permettront ainsi de limiter l’étalement urbain et de préserver les espaces agricoles qui sont des objectifs de plus en plus prioritaires.Vote à l’unanimité.

De gauche à droite : Agnès Danset, Noël Philippe, Gilles Gary, André Crocq et Paul Kerdraon.

Ovale bleu : Extension du champ urbain de Champalaune

En rouge : Création du champ urbain de Pacé, Saint-Gilles et l’Hermitage

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VIE MUNICIPALE VIE MUNICIPALE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Rennes devient une Métropole au 1er janvier 2015 une évolution aux conséquences multiples

Depuis le 1er janvier 2014, Rennes Métropole est composée de 43 communes qui totalisent 425 745 habitants sur une aire urbaine de 700 000 habitants. La communauté d’agglomération possède donc les critères de population (plus

de 400 000 habitants sur une aire urbaine de plus de 650 000 habitants) pour se transformer en métropole au 1er janvier 2015, tout comme neuf autres aggloméra-tions (Brest, Nantes, Nice, Toulouse, Lille, Bordeaux, Strasbourg, Rouen, Grenoble).Ces collectivités, aux pouvoirs élargis, absorberont au fur et à mesure une partie des missions des départements et auront la capacité de gérer par convention des compétences dévolues à l’Etat et aux Régions.

Les compétences de la métropole rennaiseLa métropole rennaise exercera des compétences déjà exercées par Rennes Métro-pole mais avec un périmètre élargi. Elle gérera entre autres :4 les zones d’activités,4 les équipements d’intérêt métropolitains,4 le PLU, l’habitat, la politique de la ville,4 les transports,4 les déchets,4 les infrastructures et réseaux de télécommunications,

Elle se verra aussi attribuer des compétences de communautés urbaines :4 l’eau et l’assainissement,4 la voirie, la signalisation, les parcs de stationnement,4 les réseaux (chaleur ou froid), la concession de distribution d’électricité et de gaz

et de nouvelles compétences propres aux métropoles :4 co-pilotage des pôles de compétitivité,4 participation à la gouvernance et l’aménagement des gares,4 contribution à la transition énergétique, soutien aux actions de maitrise de l’énergie,4 gestion des milieux aquatiques.

La démarche de mise en œuvrePour mettre en place cette réforme de taille pour le territoire métropolitain, un comité de pilotage a été constitué. Il regroupe le président et des vice-présidents de Rennes Métropole, le maire de Rennes et les maires et élus des communes. Avec l’appui des directeurs généraux des communes de Rennes Métropole, il valide la démarche de transformation et organise des débats et échanges sur les orientations proposées.Ce comité prépare également les arbitrages qui sont rendus régulièrement par la conférence des maires, composé des 43 maires des communes de Rennes Métro-pole, et qui représente l’organe décisionnel de cette démarche de métropolisation.Depuis le printemps, des réunions d’informations ont été organisées dans les com-

munes afin d’informer les élus municipaux et d’échanger avec eux. Près de 300 d’entre eux ont ainsi pu exprimer leurs attentes. Une réunion a eu lieu le 1er juillet à Pacé. A partir de la mi-juin, des ateliers thématiques, associant élus et direction générale des communes et de Rennes Métropole, se sont régulièrement réunis. Ils avaient pour thème :4 La gouvernance,4 Voirie, réseau, eau, assainissement, mobilité,4 Aménagement et urbanisme,4 Ressources humaines et finances.

Les orientations et le cadre de la métropolisation ont été fixés le 25 septembre dernier par le Conseil communautaire de Rennes Métropole. La priorité s’est portée sur les services collectifs qui ont un impact direct sur les habitants, à savoir :4 La voirie,4 L’eau,4 L’assainissement,4 L’urbanisme.

La gouvernanceDes comités de secteur vont bientôt voir le jour afin que les communes soient asso-ciées à l’élaboration des politiques métropolitaines. Au sein de ces comités, les élus pourront définir les modalités de leur mise en œuvre et coopérer dans un esprit de mutualisation des moyens matériels et humains.Composé de deux représentants des communes (le maire et un conseiller com-munautaire), d’un vice-président de Rennes Métropole en charge de l’animation territoriale, ils seront dirigés par les maires du secteur qui se succéderont à leur tête tous les un à deux ans. Rennes Métropole a sollicité les communes sur leur vision et attente sur le découpage en secteurs de la future métropole. Pacé a donné son avis lors du Conseil municipal du 17 novembre, et a demandé que le secteur retenu soit celui du SYRENOR (lire page 4).

Les conséquences pour les communesyyw VoirieLa compétence voirie de Pacé et des autres communes va être transférée vers la métropole au 1er janvier 2015. Elle inclut le domaine public communal de la voirie et de l’éclairage public ainsi que les liaisons cyclables intercommunales. Les chemi-nements doux, la propreté, les espaces verts, les illuminations, le fleurissement et le déneigement restent du ressort des communes.Au vu des délais très courts de mise en place, une convention de gestion et d’entre-tien transitoire d’une durée de deux ans va être signée entre chaque commune et Rennes Métropole. La commune exercera donc les missions qui lui seront confiées pour le compte de Rennes Métropole et en lien étroit avec ses services. Il n’y aura

en revanche pas de transfert de personnel communal durant cette période et le cadre budgétaire sera fixé en accord avec la commune. Concrètement, il y aura donc peu de changement pour la voirie en 2015 et 2016.yyw UrbanismeLe plan local d’urbanisme intercommunal sera adopté à l’horizon 2019-2020. La délégation du droit de préemption urbain sera transférée de Rennes Métropole aux communes (lire par ailleurs). Si l’initiative des adaptations du PLU reste commu-nale, ces adaptations seront instruites conjointement par Rennes Métropole et les communes.yyw Eau et assainissementRennes Métropole récupérera l’ensemble de cette compétence au 1er janvier. Le syndicat des eaux Pacé - St-Gilles – Vezin-le-Coquet sera alors dissous. La distribu-tion de l’eau et l’assainissement ne seront plus gérés par la commune. yyw FinancesLes compétences dévolues à Rennes Métropole au 1er janvier représentent actuel-lement des coûts de fonctionnement et d’investissement pour la commune. Ces coûts, qui vont devenir des charges transférées, seront déduits de l’attribution de compensation annuelle que Rennes Métropole verse à chacune de ses communes membres. Ces transferts financiers sont très complexes. Ils doivent être les plus neutres possibles pour chaque commune et pour Rennes Métropole. Divers méca-nismes sont en cours de discussion.

La compétence voirie sera transférée à Rennes Métropole qui confiera les missions d’entretien et de gestion des voies communales à la commune de Pacé durant 2 ans.

Au 1er janvier 2015, la communauté d’agglomération de Rennes va se transformer en Métropole en application

de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles, de janvier 2014, votée dans le cadre de l’acte III de la décentralisation. Si le nom de Rennes Métropole sera conservé, cette évolution impliquera de nom-breuses transformations qui impacteront l’organisation de l’ensemble des communes membres.

Les 43 communes qui constitueront la métropole de Rennes au 1er janvier 2015.

Après la Marianne du civisme pour l’élection présidentielle de 2007 et celle des élections présidentielle et législatives de 2012, les

Pacéens ont été une nouvelle fois récompensés pour leur participation aux élections européennes de mai 2014. Avec un taux de 53,08% (participation natio-nale 42,54%), Pacé se classe 1re commune du dépar-tement d’Ille-et-Vilaine dans la strate des communes de 3 501 à 10 000 électeurs inscrits.Alain Chaize, maire adjoint chargé de l’administra-

tion générale et des moyens d’information et de communication, a reçu la récompense des mains de Jean-Luc Chenut, vice président de Rennes Métropole en charge des finances, qui représentait le président Emmanuel Couet, au village des collectivités, le 16 octobre.L’association des anciens maires et adjoints d’Ille-et-Vilaine a mis en place le concours des Mariannes du civisme afin de promouvoir et de récompenser l’esprit civique.

Marianne du civisme : élections européennesPacé récompensée pour son taux de participation

La commune de Pacé a obtenu la Marianne du civisme pour le taux de participation aux élections européennes au niveau départemental.

Alain Chaize a reçu la Marianne du civisme le 16 octobre.

Evolution de la communication de la commune

La mairie mène actuellement une réflexion sur l’évolution de ses outils de communication et souhaite associer la population à cette dé-

marche. Afin de mieux vous connaître et de découvrir vos habitudes et utilisations des différents supports de communication, un questionnaire a été élaboré.

Connaissez-vous L’Etourneau ? Souhaiteriez-vous que le site internet évolue ?... Cette enquête prendra en considération les attentes et besoins de chacun pour

définir une communication à l’image des Pacéens. Le questionnaire, anonyme, sera distribué avec L’Etourneau du mardi 9 décembre. Il devra être déposé en mairie avant le 18 janvier 2015. Il sera également disponible en ligne sur ville-pace.fr. Vous pourrez participer à l’enquête sur le marché les mer-credis 3 et 24 décembre.

Toutes les réponses seront étudiées et prises en compte dans l’évolution des supports de communica-tion de la commune. Votre avis compte, donnez-le !

7 VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

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Le recensement permet de mesurer la vitalité d’une commune, de fournir des statistiques pré-cises sur les logements et les principales caracté-

ristiques des habitants (nombre, âge, sexe, profession exercée, transports utilisés, déplacements quoti-diens...) et ainsi de mieux adapter les infrastructures (salles de sport, maisons de retraite, écoles…) aux besoins des populations.De plus, un recensement sincère présente un grand intérêt pour la commune, donc pour ses habitants, puisque le chiffre de la population arrêté suite au recensement sert au calcul des aides financières de l’Etat.

Après trois phases de test de 2012 à 2014, le recen-sement en ligne se déploie sur toutes les communes. En 2015, la commune de Pacé proposera cette alter-native. Les personnes concernées ont le choix entre le formulaire papier et le formulaire électronique. Lors des tests, environ un ménage sur trois a opté pour le recensement sur Internet. Cette nouveauté vise à offrir plus de souplesse aux personnes recensées et à simplifier la collecte d’informations.A partir du 15 janvier 2015, des agents recenseurs, employés par la municipalité et placés sous sa res-ponsabilité, se rendront chez les Pacéens. Chaque agent recenseur aura suivi une formation pour apprendre à localiser les adresses, à se repérer sur le terrain et aussi à avoir une approche humaine. Il sera identifiable grâce à sa carte officielle tricolore qui portera sa photographie et la signature du maire. Toute personne recensée est en droit d’exiger la pré-sentation de cette carte lors du passage de l’agent recenseur et peut aussi vérifier son identité en télé-phonant à la Mairie de Pacé.

Recensement en ligneSi vous optez pour le recensement en ligne, allez sur le site : www.le-recensement-et-moi.fr et cliquez sur « recensement en ligne ». Utilisez le code d’accès et le

mot de passe qui figurent sur la première page de la notice qui vous sera remise par l’agent recenseur, pour vous connecter au site, puis saisissez les infor-mations renseignées sur cette même première page par l’agent recenseur concernant votre logement. Vous n’avez plus qu’à vous laisser guider.Si vous êtes dans l’impossibilité d’utiliser cette pro-cédure, vous pouvez toujours répondre sur les docu-ments papier qui vous seront remis par l’agent recen-seur : une feuille de logement, un bulletin individuel pour chaque personne vivant dans le logement et une notice d’information. Il peut, si vous le souhaitez, vous aider à remplir les questionnaires. Il les récupé-rera lorsque ceux-ci seront complétés. Les question-naires dûment remplis doivent être retournés au plus tard le samedi 14 février 2015, délai de rigueur. Votre réponse est importante. Participer au recensement est un acte civique mais aussi une obligation légale en vertu de la loi du 7 juin 1951 modifiée.La Ville de Pacé compte sur votre collaboration. Merci de réserver le meilleur accueil aux agents recenseurs qui se présenteront à votre domicile.

Du 15 janvier au 14 févrierrecensement de la population pacéenne

Depuis janvier 2005, la commune de Pacé - en partenariat avec

l’INSEE - organise tous les 5 ans, une enquête exhaustive de recensement de la population sur le territoire com-munal. Pacé fait partie du groupe des communes recensées en 2015. La campagne de recensement aura lieu du 15 janvier au 14 février 2015.

Les résultats des enquêtes de recensement

seront disponibles sur le site www.insee.fr

Les élections départementales et régionales auront lieu respecti-vement les 22 et 29 mars 2015 et

début décembre 2015. Pour pouvoir voter, les Pacéens qui ne sont pas en-core inscrits sur la liste électorale de la commune, doivent le faire avant le 31 décembre 2014.L’administré peut s’inscrire volontaire-ment en se présentant avec les pièces exigées (pièce d’identité en cours de validité et justificatif du domicile datant de moins de 3 mois) au service accueil - population de la mairie ou en envoyant le formulaire d’inscription et copie des pièces demandées à la mai-rie (attention à bien remplir correcte-ment et lisiblement le formulaire, et à joindre tous les justificatifs demandés).Les jeunes ayant atteint l’âge de 18 ans sont inscrits d’office. Toutefois, les

fichiers des jeunes de 18 ans pouvant être incomplets, il est préférable de se renseigner auprès de la Mairie pour vérifier si vous êtes bien inscrit(e). Pour les personnes déjà inscrites à Pacé, il est indispensable de signaler les changements intervenus dans leur situation en transmettant à la Mairie les justificatifs correspondants.

2015 n’étant pas une année de refonte électorale, les cartes d’électeur utili-sées pour les scrutins de 2014 (muni-cipales et européennes) demeurent valables pour ceux de 2015. Seuls les nouveaux électeurs de la commune et les personnes déclarant leur change-ment de domicile, avec changement de bureau de vote, recevront une nouvelle carte électorale qui annule la précédente.

Pour voter en 2015inscrivez-vous sur la liste électorale

Accueil des nouveaux Pacéensinformations et échanges

Une rencontre d’information a été organisée au Ponant avec les nouveaux Pacéens le samedi 9 novembre.

Chaque année, cette rencontre est l’occasion de présenter la commune, ses projets et les différents services aux habitants installés depuis moins d’un an. Les nouveaux Pacéens ont découvert un diaporama sur la vie de la commune commentée par le Maire, Paul Kerdraon. Cette diffusion a été suivie d’échanges entre les nouveaux habitants et les élus présents.

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A l’invitation du maire Paul Kerdraon, de nombreux élus et représentants du monde associatif et sportif étaient présents, au complexe sportif Chasse-bœuf le samedi 22 novembre, pour l’inauguration du stade d’athlétisme

et du terrain de football honneur, de la salle Emeraude réaménagée et du terrain de football synthétique, les nouveaux équipements sportifs de la commune. Pa-trick Strzoda, Préfet de la Région Bretagne et Préfet d’Ille-et-Vilaine, et Emma-nuel Couet, président de Rennes Métropole, retenus par la visite à Rennes de la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, étaient représentés respectivement par Patrice Faure, secrétaire général de la préfecture d’Ille-et-Vilaine, et Hervé Letort, vice-président de Rennes Métropole en charge de la communication et de la citoyenneté. Jean-Louis Tourenne, président du Conseil Général d’Ille-et-Vilaine, était lui repré-senté par Jean-Luc Chenut, conseiller général délégué au sport et maire du Rheu. Les sénatrices d’Ille-et-Vilaine, Sylvie Robert et Françoise Gatel, ainsi que le député François André, s’étaient aussi déplacés pour l’événement tout comme les maires des communes environnantes Brigitte Le Men (Montgermont), Philippe Thébault (Saint-Gilles), Alain Froger (Parthenay-de-Bretagne), Jean Roudaut (Vezin-le-Co-quet).

Pour les associations sportives et les scolairesAprès une visite des trois équipements guidée par Paul Kerdraon et Hervé Depouez, adjoint au maire en charge des finances et du sport, le maire a détaillé les travaux réalisés entre 2013 et 2014. Il a tout d’abord rappelé la construction de la salle Iroise en 2007, « En sept ans, la commune a fait un effort considérable qui met doré-navant ses équipements sportifs à un très bon niveau ».Outre les représentants de la ligue d’athlétisme, du district de football et les res-ponsables du COP et de ses sections d’athlétisme, de football et de rink-hockey, de nombreux sportifs de tous âges s’étaient donné rendez-vous comme chaque

samedi matin pour pratiquer leur discipline. Si le complexe sportif connaît une forte affluence le week-end, il est aussi très utilisé en semaine par les élèves des groupes scolaires et des collèges de la commune. Patrice Faure a d’ailleurs salué au travers de la construction de ces équipements, « une politique communale tournée vers le bien-être et le mieux vivre de ses habitants. Cette inauguration est un événement qui montre la volonté commune de dépasser la morosité qui envahit parfois les investisseurs et les financeurs publics. Cet équipement de grande qualité rayonnera au niveau de l’ensemble de Rennes Métropole et pourra accueillir des grands événements sportifs. »Le maire a vivement remercié le Conseil Général pour les deux subventions impor-tantes accordées pour le stade d’athlétisme, à hauteur de 286 000 euros.

Complexe Jean-Paul Chassebœufinauguration de trois équipements sportifs

Le stade d’athlétisme et le terrain de football honneur, la salle Emeraude réaménagée ainsi que le terrain de football syn-

thétique ont été inaugurés samedi 22 novembre, en présence de nombreux élus et de représentants du monde associatif et sportif.

Terrain de football synthétique : réalisation 2013Remplacement du terrain en herbe en terrain synthétique afin de permettre une utilisation intensive par les scolaires et les clubs sportifs dans toutes condi-tions climatiques tout en réduisant les coûts de maintenance. L’éclairage a aussi été entièrement remis à neuf.Coût : 747 000 €Subvention de la ligue de football : 30 000 €

Nouveaux stade d’athlétisme et terrain de football honneur : réalisation 2014Remplacement de l’ancienne piste devenue obsolète par une piste tout temps et réalisation d’un stade complet d’athlétisme avec aires de sauts et de lancers. Réfection du terrain de football honneur.Coût : 1 237 500 €Subvention Conseil général : 183 000 €Subvention contrat de territoire : 103 000 €

Salle Emeraude : réalisation été 2014Rénovation du sol pour le rink-hockey, le basket-ball, volley-ball, le handball et le badmin-ton et pose d’une rambarde de protection pour la pratique du rink-hockey en conformité avec les normes réglementaires.Coût : 142 000 €

L’inauguration a eu lieu le samedi 22 novembre.

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VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Stéphane Georges

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L’éclairage public est un poste très important de dépense de fonctionnement pour les communes. Avec ses 3 000 luminaires, Pacé n’échappe pas à la règle. C’est pourquoi un important programme de rénovation a été entamé, il y a

quelques années.

Afin de diminuer efficacement les consommations électriques et la pollution lumi-neuse, les luminaires vétustes sont remplacés progressivement. Les objectifs de la rénovation du parc sont multiples :4 Remplacer les appareillages à vapeur de mercure à l’échéance de 2015 confor-mément aux engagements pris lors du Grenelle 2 de l’environnement en 2010.4 Mettre en conformité les installations et remettre en état le patrimoine vétuste. Les luminaires de type «  boules  » et les anciennes lanternes routières sont ainsi remplacés progressivement.4 Améliorer le confort visuel des usagers.4 Réaliser des économies d’énergies en installant des leds.

Grâce à la rénovation continue et aux nouvelles installations, on constate sur la commune une diminution de la puissance moyenne consommée et une améliora-tion de l’efficacité lumineuse. En 2014, cinquante nouveaux matériels ont été déployés  pour un coût total de 43 000 € :

4 26 luminaires ont été remplacés boulevard du Roi Arthur, rue de la Chalotais, chemin Lancelot du Lac et chemin de Morgane,4 8 luminaires remplacés avenue Charles Le Goffic,4 9 candélabres remplacés par des mats de 4m à la Résidence du Parc,4 7 encastrés de sols remplacés par des projecteurs encastrés à leds sur le parking du Ponant.L’éclairage public sur la commune débute à 6h tous les matins. L’extinction en soi-rée a lieu à 23h30 du dimanche au jeudi et à 2h dans les nuits du vendredi au samedi et du samedi au dimanche. L’extinction matinale et l’allumage en soirée varient selon la luminosité. Au 1er janvier 2015, l’éclairage public sera transféré à Rennes Métropole (lire p 6-7).

Illuminations de Noël à partir du 5 décembreLes services de la commune ont installé les illu-minations de Noël dans la seconde quinzaine de novembre. Elles seront allumées le 5 décembre dans le centre-bourg et l’extinction est prévue au plus tard la troisième semaine de janvier. Les vitraux de l’église seront mis en lumière entre 18h et 21h.

L’éclairage sera permanent les nuits du 24 et du 31 décembre. L’ensemble des ampoules ancienne génération ont été remplacées par des ampoules basse consommation. La consomma-tion électrique de ces LED est 20 fois inférieure à celle des ampoules classiques.

Display c’est quoi ?La démarche display est un programme initié par Energy-Cities et proposé aux communes du Pays de Rennes adhérentes à l’ALEC (Agence Locale de l’Energie et du Climat). Cette année, 10 communes participeront à cette opération.

C’est une semaine de mesure d’économie et de réduc-tion de consommation qui peuvent être réalisées en modifiant les comportements. Il s’agit de mesurer avant et pendant la semaine du 1er décembre au 7 décembre de combien nous pouvons réduire la consommation des fluides (eau et gaz) et d’électricité

dans les bâtiments communaux (atelier des services techniques, mairie, salles de sport, écoles).

Display pourquoi ?Parmi le patrimoine communal, les bâtiments sont les plus gros consommateurs d’énergie. Ce sont aussi des lieux utilisés par une large partie des habitants de la commune. Ils sont donc un très bon vecteur de sen-sibilisation de la population sur la problématique de l’énergie et de l’eau. Les économies moyennes réali-sées dans les bâtiments lors de la première campagne intercommunale ont été de :4 23 % de consommation pour l’eau,4 13 % pour le gaz naturel,4 13% pour l’électricité.

Display au final ?Il s’agit de sensibiliser les habitants de la commune, de partager une expérience et de se mettre collecti-vement en action.

L’énergie et l’eau sont les secondes dépenses de fonc-tionnement d’une commune. Réduire la consomma-tion est donc une source d’économie potentielle pour Pacé. Tout le monde fait donc facilement le lien entre ces économies et les leviers pour réduire ces charges par cette action.

Display à PacéLes bâtiments communaux retenus pour cette opé-ration feront l’objet d’un relevé la semaine du 1er au 7 décembre ainsi que la précédente. Le résultat sera obtenu par différence. Les mesures seront enregis-trées lors des deux semaines suivantes afin de vérifier si les efforts se poursuivent.

Tous les Pacéens sont invités à participer à cette opé-ration et à se montrer attentifs à la communication faite autour d’elle durant la première semaine de décembre.

Eclairage publicun important programme de rénovation

La commune participe à l’opération Displayune semaine d’économies d’énergie

La commune possède environ 3 000 luminaires qui sont rem-placés en partie chaque année pour améliorer la qualité

d’éclairage tout en réduisant la consommation d’électricité.

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VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 15

VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Les travaux au cimetière de Beausoleil sont ache-vés. 118 nouveaux emplacements et un colum-barium ont été créés. Ce dernier est composé de

14 stèles de béton de plus de 4 tonnes creusées de six emplacements. Chaque emplacement, fermé par une plaque de granit noir, pourra recevoir deux à trois urnes funéraires. Des bancs ont été installés devant toutes les stèles. Elles seront bientôt équipées d’une tablette sur laquelle des fleurs pourront être déposées.

Le jardin du souvenir a été réalisé par les services techniques communaux qui achèveront les aménage-ments paysagers très prochainement en fonction des conditions climatiques. Il est constitué de trois cercles métalliques dans lesquels 180 dalles de pierre ont été déposées. Les cendres des défunts seront épandues sous ces dalles qui resteront anonymes. Les noms des

défunts seront visibles sur une stèle posée à l’entrée du jardin.Ces nouveaux emplacements seront disponibles dans le courant du premier trimestre 2015. Au printemps, cinquante cavurnes supplémentaires seront instal-lées.

D’importants travaux de voirie ont été entrepris sur la place Carré Dumaine à la fin octobre. Ces travaux ont nécessité de fermer, durant

quelques jours, à toute circulation cette place qui per-met, entre autres, la liaison entre le centre bourg et le rond-point du Ponant. Le chantier a eu lieu durant les vacances de la Toussaint, période où le trafic automo-bile est moins dense. La place a donc fait peau neuve, les dalles du carré central ont été remplacées et l’ensemble de l’enrobé de la place a été refait tout comme le marquage au sol des passages piétons.

La liaison cycliste entre Pacé et Montgermont est ouverte. Les travaux ont été achevés en octobre avec la fin de l’aménagement de la tranche 7 du

quartier de Beausoleil.

Le coût de cette réalisation s’élève à 220  000 €. La commune a investi 63  000 € dans cet équipement. Le reste du financement a été assuré par le Conseil général pour 86  000 €, dans le cadre du contrat de territoire, et par Rennes Métropole pour 71 000 €.

Cimetière paysager de Beausoleilfin des travaux d’aménagement

Travaux de voiriela place Carré Dumaine réhabilitée

Liaison cycliste Pacé – Montgermontça roule !

Le Maire, Philippe Rouault et Michel Garnier dans le jardin du souvenir.

La place Carré Dumaine a fait peau neuve.

La liaison cycliste entre Pacé et Montgermont est ouverte.

> Horaires :

du 1er novembre au 31 mars, de 8h30 à 18h,

et du 1er avril au 31 octobre, de 8h30 à 19h.

> Contact mairie : 02 23 41 30 00

Les témoignages apportés peuvent se révéler capitaux pour l’identification des auteurs et la découverte des objets dérobés notamment en

donnant la description des suspects et du vé-hicule utilisé (immatriculation, couleur, modèle) qui donne bien souvent une orientation d’enquête.Outre les bons réflexes qui vous sont présentés ci-dessous, la lutte contre les cambriolages peut être renforcée avec votre participation. Ces derniers ont lieu autant en pleine journée qu’en pleine nuit, cette situation réclame une vigilance accrue de la part de tous.Pour rappel, quelques minutes suffisent pour fracturer une ouverture et ensuite commettre un cambriolage.

Des gestes de bon sens4 Attention au démarchage en début de matinée (ou dans la journée). Il peut s’agir de repérage pour le soir ou le lendemain,4 Ne claquez jamais votre porte sans la fermer à clé. N’oubliez pas que plus de 50 % des cambriolages ont lieu en plein jour, de préférence l’après-midi, quand on est parti faire des courses, chercher les enfants à l’école, promener son chien ou tout simplement au travail,4 Fermez les fenêtres durant vos absences et équi-pez, les plus faciles d’accès, de barreaux (en sous-sol ou sur rue),4 Renforcez votre porte d’entrée (serrure à 3 ou 5 points de sûreté, porte blindée ...),4 Si vous possédez un système d’alarme, enclen-chez-le chaque fois que vous sortez,4 N’utilisez pas les «cachettes» classiques pour ran-ger vos clés : boîte aux lettres, sous le paillasson, sous le pot de fleurs,…

Les mesures d’anticipation4 Par mesure de sécurité, prenez des photos de vos objets de valeur (hifi, meubles, tableaux, bijoux...) et notez le numéro de série quand il existe. Ces informa-tions faciliteront le remboursement par l’assureur en cas de vol ainsi que le travail des forces de l’ordre.

4 Rangez tout ce qui pourrait tenter un cambrio-leur : bijoux, carte de crédit avec code confidentiel...

Pendant votre absence4 Simulez une présence en utili-

sant des programmateurs élec-triques pour allumer régu-

lièrement une ou plusieurs lampes dans votre loge-ment ! Si possible, installez ces éclairages à l’étage,

pour que le cambrioleur ne puisse pas voir à l’intérieur du

logement,4 Équipez l’extérieur de vos habi-

tations de détecteurs de mouvements qui enclenchent des éclairages,4 Par ailleurs, une radio en marche donnera l’illu-sion que les lieux sont occupés !4 Veillez à ce que la végétation ne soit pas trop haute et ne cache ni porte ni fenêtre.

Pendant une absence prolongée4 Mettez vos objets de valeur à l’abri en changeant vos habitudes et ne mettez pas vos bijoux dans la chambre à coucher ou dans la salle de bains,4 Ne rangez pas parfaitement les abords de votre domicile. Laissez traîner des objets, comme un éten-dage à lessive, des jouets d’enfant, une voiture mal garée. Le but est de faire croire que les habitants ne sont pas loin,4 Verrouillez et videz vos véhicules qui restent sur place !4 Faites relever votre courrier ou faites-le bloquer par la Poste. Cela montre que la boîte aux lettres est relevée régulièrement,4 Avisez vos voisins de votre départ. Cela leur per-mettra de faire preuve de plus de vigilance quant à la surveillance de votre domicile,4 Remplissez un formulaire d’Opération Tranquil-lité Vacances qui permet aux Pacéens qui en font la demande de partir en villégiature l’esprit serein,4 La Police Municipale et la Gendarmerie veillent sur votre domicile. Pour bénéficier de ce service gra-tuit, il suffit aux habitants de se présenter au bureau de la Police Municipale ou de la Gendarmerie ou en

vous rendant sur ville-pace.fr. Un formulaire sera établi. Toutes les déclarations sont mises en commun.

Vous êtes victime d’un cambrio-lage4 Prévenez immédiatement la Gendarmerie en composant le 17,4 Ne cherchez pas à ranger ou à déplacer certains objets avant l’arrivée de la Gendarmerie afin de pré-server les traces et les indices,4 Faites rapidement opposition auprès de votre banque sur les chéquiers, cartes bancaires ou titres dérobés,4 Déposez plainte à la Gendarmerie. Le dépôt de plainte est essentiel. Il permet aux cellules cambrio-lages implantées dans chaque département de faire des recoupements et ainsi d’appréhender les malfai-teurs. Ces unités sont épaulées par des policiers ou des gendarmes formés en police technique et scien-tifique qui se déplacent sur chaque cambriolage pour relever les traces et indices,4 Déclarez le vol à votre assureur.

Soyez des “citoyens vigilants”En projet, l’opération “Participation Citoyenne” est un projet qui devrait être mis en place en 2015. Elle se définit comme un contrat moral entre gendarmes, police municipale et habitants. Ce dispositif, qui repose sur la solidarité et la citoyenneté des Pacéens, consiste à se prémunir contre tout acte malveillant de proximité (cambriolages, vandalisme, repérage, ...).Loin des fantasmes d’espionnage, de délation ou même de milice, il s’agit avant tout d’une opération basée sur un civisme actif qui permet de renforcer, voire de recréer du lien social.Si vous constatez un signe suspect aux abords d’une habitation, informez-en aussitôt un référent de quar-tier, qui sera désigné sur la base du volontariat. Il alertera la gendarmerie et/ou la police municipale.

Recrudescence de cambriolagesles bons réflexes à adopter

La gendarmerie de Pacé a constaté une recrudescence des cambriolages sur la com-mune et ses alentours : restez vigilants et n’hésitez pas à signaler les comportements

que vous jugerez suspects en informant la gendarmerie ou la police municipale. N’in-tervenez pas vous-même.

La police municipale et la gendarmerie peuvent surveiller votre domicile lors de vos absences prolongées dans le cadre de l’opération Tranquillité Vacances .

> Contact Gendarmerie de Pacé : Tél. : 17

Mail : bta.pace@gendarmerie.interieur.gouv.fr

> Contact Police Municipale :

Tél. : 02 23 41 30 33

Mail : police.municipale@ville-pace.fr

Pour se prémunir des cambriolages, il faut avoir les bons réflexes.

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VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 17

VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

La cérémonie militaire, organisée pour l’occasion, a été dirigée par le chef d’es-cadron Laurent de la Follye de Joux, commandant de la compagnie de gen-darmerie départemental de Rennes. Elle a eu lieu en présence d’élus des cinq

communes qui dépendent de la brigade de Pacé, aux abords des locaux de la gen-darmerie. Le lieutenant Stéphane Landry a pris ses fonctions le 1er août dernier (voir VAP de septembre p.7) suite au départ en retraite du capitaine François L’Huillier.

Gendarmerie de Pacéprise de commandement du lieutenant Landry

Le lieutenant Stéphane Landry a officiellement pris le comman-dement de la brigade de gendarmerie de Pacé, le 25 septembre.

La cérémonie de prise de commandement du lieutenant Landry a eu lieu aux abords des locaux de la gendarmerie de Pacé.

La commémoration de l’Armistice du 11 no-vembre 1918 a eu lieu le dimanche 9 novembre en présence de plusieurs d’élus, des présidents

et membres des associations d’anciens combattants, et des Pacéens. Après la messe, une gerbe a été déposée au Monu-

ment aux Morts, puis des enfants de l’école Guy Gérard ont participé à la cérémonie. Cette année de commémoration du centenaire de la Première Guerre mondiale a permis de raviver le devoir de mémoire afin que les millions de combattants morts pour la France ne tombent pas dans l’oubli.

A l’invitation de son homologue Allemand, Andréas Galster, Maire de Baiersdorf, Paul Ker-draon, a participé à la commémoration du cen-

tenaire de la première guerre mondiale, à Baiersdorf, ville jumelée avec Pacé.

En présence de Wilfried Kellermann, Maire d’Ullrichs-berg, ville d’Autriche jumelée avec Baiersdorf, d’élus, d’habitants de Baiersdorf, dont Paul Höll, président de l’association de jumelage « Le Pont pour Pacé », les trois élus se sont recueillis devant le Monument aux Morts, où le Maire de Pacé a déposé une gerbe à la

mémoire des combattants morts lors de cette Grande Guerre, qui fit, tous camps confondus, plus de 9 mil-lions de morts et plus de 20 millions de blessés. Paul Kerdraon a chaleureusement remercié son col-lègue de Baiersdorf d’avoir organisé cette célébra-tion. « Nos jumelages, a-t-il souligné, sont un symbole extraordinaire de réconciliation, de paix et d’amitié. C’est un grand honneur pour moi d’avoir pu vous adres-ser la parole. C’est aussi un grand moment empreint d’une forte émotion. Ce 15 novembre, a-t-il conclu, sera pour moi un très grand jour inoubliable dans ma vie de maire ».

Commémoration du 11 novembreun devoir de mémoire

Centenaire de la Guerre 14-18commémoration à Baiersdorf

Fête de la FoucheraisQue d’eau !

Les parapluies étaient de sortie pour l’édition 2014 de la Foucherais. De mémoire de bra-deurs, on n’avait pas connu pareil déluge

depuis la Foucherais de 2001. Une édition à vite oublier, le Comité d’Animation Pacéen (CAP) se mobilise déjà pour préparer celle d’octobre 2015.

La pluie s’était invitée à la braderie du 12 octobre.

Ancien foyer pour personnes âgées, la Résidence du Parc a été entière-ment reconvertie en quatre structures à vocation sociale. Le multi-accueil Câlin Copain y a ouvert ses portes en mars

au rez-de-chaussée du bâtiment A. Les services admi-nistratifs du Centre d’accueil des demandeurs d’asile (CADA) occupent une extension au rez-de-chaussée de ce même bâtiment et 28 studios meublés ont été construits à l’étage pour loger les demandeurs d’asile. Huit logements pour personnes handicapées, gérés par la SA Les Foyers, ont aussi été créés à l’étage du bâtiment B.Au rez-de-chaussée, on trouve le pôle médical et para-médical. Il fait cohabiter plusieurs professions médicales et paramédicales dans des locaux modernes et adaptés. Ces installations ont permis d’étoffer l’offre de soins sur la commune.

13 professionnels de la santéPlusieurs professionnels de la santé sont arrivés dès le printemps 2014, d’autres plus tardivement : 4 Trois sages-femmes, Anne-Françoise Pelé, Véronique Philippe et Corinne Heudes ont été les premières à s’installer, dès février 2014. Elles reçoivent sur ren-dez-vous uniquement. Elles font de la préparation à la naissance, des consultations de suivi de grossesse et de la rééducation périnéale.Contact : 02 33 41 35 51.

4 Arrivée en juin 2014, Johanna Guilleron est ostéo-pathe et étiopathe. Contact : 02 99 60 69 98. 4 En poste depuis le 1er mars 2014, Anne-Sophie de Bé-lizal est podologue et pédicure. Contact : 02 99 60 15 70.

4 Le cabinet d’infirmiers, situé auparavant près de la pharmacie avenue Pinault, s’est implanté en mars 2014.

Ils sont quatre à recevoir sur rendez-vous  : Mme Céline David, Mme Aude Drahonnet, M. Vincent Mary et M.  Olivier

Michel. Contact : 02 99 60 69 98. 4 Elodie Catier-Guennec, médecin, est arrivée en septembre 2014. Elle fait de

la consultation de soutien à l’allaitement maternel et de la relation d’aide mère-enfant. Elle consulte sur rendez-vous au 06 09 22 57 71. 4 Valérie Chaize est médecin spécialisée en médecine physique et de réadapta-tion (rééducation fonctionnelle). Elle est installée à la Résidence du Parc depuis le 1er avril 2014. Elle reçoit sur rendez-vous au 02 23 22 08 90.4 Deux dentistes, Dominique Berger et son associée ont quitté leur cabinet du centre-bourg pour s’installer à la Résidence du Parc. Ils reçoivent sur rendez-vous au 02 99 60 63 56.

Laura Le Pen a remplacé Delphine Huvé en tant que directrice de l’EHPAD Les Trois Chênes en octobre dernier. Cette jeune femme de 25 ans occupe, à Pacé, son premier poste de direction. Titulaire d’un master 2 en management des

organisations sanitaires et sociales, elle a ensuite intégré BGP Conseil à l’issue de son stage de fin d’études. Ce cabinet d’audit évalue les établissements sociaux qui doivent obtenir une habilitation. Il administre aussi le poste de direction de l’EHPAD pour l’association Les Chenus, qui est le gestionnaire de la résidence Les Trois Chênes. BGP Conseil a donc confié les rênes de l’EHPAD de Pacé à Laura Le Pen. Il accueille plus de 100 pensionnaires en permanence et propose cinq places en hébergement temporaire et six en accueil de jour. « Je suis consciente des responsabilités liées à ce poste et de l’opportunité professionnelle qui s’offre à moi. Je suis très contente de travailler à Pacé au sein de ce bâtiment agréable et moderne. La coordination entre le personnel soignant et l’équipe administrative est très satisfaisante et l’ambiance de travail est bonne. » Originaire de Moëlan-sur-Mer, dans le Finistère, Laura Le Pen est très présente dans la structure. Elle se rend régulièrement au contact des résidents.  «  J’apprécie le

contact avec les résidents et les familles. Je cherche à privilégier les échanges directs et à partager des instants conviviaux. »Présente lors de l’accueil des nouveaux Pacéens, au Ponant, elle a trouvé la com-mune très accueillante et apprécie son dynamisme.

Résidence du Parcun nouveau pôle médical très diversifié

EHPAD Les Trois ChênesLaura Le Pen, nouvelle directrice

Six professions médicales et paramédicales se sont installées à la Résidence du Parc au cours de l’année 2014. Les nouveaux

locaux sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Anne-Sophie de Bélizal a ouvert son cabinet de podologue et pédicure le 1er mars dernier.

Le pôle médical et paramédical de la Résidence du Parc accueille

13 professionnels de la santé.

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VIE SCOLAIRE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 19

VIE SCOLAIRE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Le partenariat entre Saint-Gabriel et le col-lège 27 de Jinan s’est concrétisé lors de la venue de la délégation chinoise au Tournoi

international de basket, en avril 2014. 17 élèves de 3ème du collège Saint-Gabriel ont eu la chance de partager le quotidien de jeunes Chinois du 14 au 25 octobre. Jinan, capitale de la province du Shandong, est une ville de 3,5 millions d’habitants située à l’est de la Chine. Elle est jumelée avec Rennes depuis 2002. Ce séjour a été encadré par Marylise Le Dau-phin (directrice adjointe), Alexis Canto (professeur d’EPS) et Shuo Li (professeur de chinois).

Au moment du départ, les élèves étaient partagés entre l’excitation de découvrir une civilisation très différente et une appréhension liée à la distance avec la France et au fait de se retrouver seul dans des familles inconnues.

Sur place, l’accueil a été très chaleureux. Du fait de la politique de l’enfant unique pratiquée en Chine, chaque collégien a été considéré comme le second enfant de la famille. Leur intégration a encore été facilitée par les attentions des enseignants et des correspondants. Les collégiens pacéens en ont tous été beaucoup touchés.

Cité interdite et grande murailleUn programme dense avait été concocté pour les jeunes Français : des cours dès 7h30 et des sorties culturelles l’après-midi (sources de Bàotu, du tigre noir, lac Dàming, Qufù , musée de la province du Shandong). Les élèves pacéens se sont aussi brillamment illustrés lors de leur participation à un meeting sportif regroupant 1 600 adolescents chinois. A cette occasion, ils ont même fait la « une »  des journaux locaux ! L’échange s’est terminé par deux jours à Pékin pour visiter la cité interdite et la grande muraille.Ce premier déplacement en Chine fut un réel succès et laissera aux élèves un sou-venir inoubliable. C’est avec impatience que les élèves attendent la venue de leurs correspondants chinois avec lesquels ils entretiennent des relations via Skype.

Les témoignages de Mathilde, Samuel, Romain et Timothé, quatre collégiens qui ont participé à ce voyage, sont à retrouver sur ville-pace.fr (rubrique enfance-jeu-nesse/collège)

Collège Saint-Gabriel : échange avec Jinan (Chine)une aventure unique pour 17 collégiens

17 élèves du collège Saint-Gabriel ont vécu une expérience unique

durant une dizaine de jours en oc-tobre. Ils ont été accueillis dans des familles chinoises de Jinan et ont partagé leur quotidien.

17 collégiens de Saint-Gabriel ont été accueillis à Jinan à la mi-octobre.

Depuis plusieurs années les écoles publiques de Pacé se sont engagées dans les Virades de l’espoir afin de récolter des fonds pour lutter

contre la mucoviscidose et sensibiliser les élèves. Cet engagement solidaire se concrétise par une course d’endurance, adaptée aux différentes tranches d’âge, qui a lieu sur le terrain du Bon Pasteur.

Cette année encore, tous les élèves des écoles pu-bliques se sont mobilisés pour trouver des parrains pour leur course. Mission accomplie, car c’est une somme de 1615,50 € qui a été récoltée et remise à l’association « Les Virades de l’Espoir ».

Bravo à tous et le rendez-vous est déjà pris pour l’an prochain !

Les Virades de l’espoir1 600 € pour lutter contre la mucoviscidose

La mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires est intervenue à la ren-trée scolaire de septembre dernier au sein des groupes scolaires Guy Gérard et du Haut-Chemin. Elle avait été votée par le Conseil municipal le 30 juin

dernier. De nouveaux horaires ont été définis suite à une réflexion avec les direc-teurs (trice) d’école. La phase de concertation avec les différents partenaires (asso-ciations, SYRENOR, parents d’élèves, enseignants, élus, personnel communal) a eu lieu de novembre 2013 à mai 2014 afin de définir notamment les Temps d’Activités Périscolaires (TAP).

Les familles ont ensuite été informées, avant l’été, par des journées portes ouvertes, à la rentrée, par la distribution d’un cahier d’information et sur le site internet de la ville, des différents changements que cette réforme allait impliquer.

TAP : un réel engouementDepuis le 15 septembre, les TAP sont organisés de 16h à 17h, les lundis et jeudis à Guy Gérard et les mardis et vendredis au Haut-Chemin. Ils ont pour vocation de

faire découvrir aux enfants des activités sur les thèmes de la culture, du sport, de l’éducation et de la citoyenneté. Environ la moitié des élèves des deux groupes scolaires ont participé à ces activités (50,7 % en élémentaire et 47,2% en mater-nelle) entre la rentrée scolaire et les vacances de la Toussaint. Ces temps d’activités périscolaires sont facturés au même tarif que l’accueil garderie/étude. En effet, un enfant qui participe au TAP de 16h à 17h, peut ensuite rester à l’accueil garderie/étude jusqu’à 18h30 sans surcoût. De plus, une garderie gratuite a été mise en place chaque jour d’école de 15h30 (ou 15h50) à 16h30. Le mercredi la garderie gratuite a lieu de 11h50 à 12h30. Les TAP sont gratuits pour les familles détentrices de la carte « Sortir ».Cinq TAP sont proposés pour les élèves de maternelle (quantre le vendredi au Haut-Chemin) et douze pour ceux de l’élémentaire. Ils sont encadrés par les 25 anima-teurs du service jeunesse (dont 13 ont été recrutés cette année), ainsi que par des intervenants de la médiathèque, de l’école de musique, du COP et de la MJC.Le mercredi, les enfants de Guy Gérard qui fréquentent l’accueil de loisirs l’après-midi sont acheminés en car au Haut Chemin après la classe.Un accueil de loisirs a été créé à l’école Sainte-Anne – Saint-Joseph, où les nou-veaux rythmes scolaires n’ont pas été mis en place. Il accueille entre 30 et 40 enfants chaque mercredi matin. Ils sont encadrés par un directeur et deux à trois animateurs. Un transfert par bus est organisé vers l’accueil de loisirs situé dans le groupe scolaire du Haut-Chemin, le mercredi midi.Les TAP sont organisés par cycle et un second cycle a démarré après les vacances de la Toussaint avec de nouvelles activités (anglais, informatique et dessins d’ima-gination).

En effet, toutes les classes d’élémentaire des deux groupes scolaires possèdent désormais leur tableau blanc interactif. Cet outil pédagogique fonctionne avec un vidéoprojecteur et un ordinateur portable. Il envoie à l’ordinateur

les commandes exécutées par l’enseignant et l’élève sur la surface du TBI à l’aide d’un stylet. L’ordinateur calcule la nouvelle image en tenant compte des actions sur le TBI et l’envoie au vidéoprojecteur. Le vidéoprojecteur transmet l’image au TBI, image sur laquelle l’utilisateur peut de nouveau intervenir et ainsi de suite. Toutes les manipulations sont conservées dans l’ordinateur, il est donc facile de revenir sur ce qui a été fait auparavant.

Groupe scolaire du Haut-Chemin : un nouveau système informatique

Si chaque classe bénéficie d’un PC portable, utilisé notamment avec les TBI, le reste du parc informatique du Haut-Chemin est vieillissant. Cela a pour conséquence la coexistence de systèmes d’exploitation et de versions logiciels très hétérogènes

et obsolètes pour certaines, ce qui entraîne de nombreux dysfonctionnements. La mise à niveau des logiciels, du matériel et des systèmes d’exploitation aurait engendré une dépense substantielle pour la collectivité. Une autre solution technique plus économique a donc été choisie. La commune a investi dans un nouveau serveur et a mis en place un système dit de « client léger ». Toutes les ressources dont ont besoin les utilisateurs se trouvent sur le serveur et les postes de travail se connectent à lui via le réseau informatique. Cette solution a déjà été installée au groupe scolaire du Guy-Gérard à l’été 2011 et donne entière satisfaction à l’équipe enseignante. Elle est basée sur un système d’exploitation et des logiciels libres et a permis de réutiliser tous les anciens postes de travail.

Nouveaux rythmes scolairesun premier bilan positif

Ecoles publiques élémentairesun tableau interactif par classe

La mise en place des nouveaux rythmes scolaires a eu lieu à la rentrée de septembre dans les écoles publiques

de la commune. Un premier bilan positif a été dressé par l’ensemble des partenaires réunis le 14 octobre dernier en comité de pilotage.

La commune a installé quatre nouveaux tableaux interactifs à l’école élémentaire Guy Gérard durant les vacances de la

Toussaint. Cette acquisition clôt le programme d’équipement des groupes scolaires de la commune en TBI qui avait débuté en 2008, à l’école du Haut-Chemin.

Les quatre derniers tableaux interactifs ont été installés à l’école Guy Gérard à la Toussaint.

Le COP judo anime un TAP le lundi à Guy Gérard.

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VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 21

VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Pomme d’Api est un multi-accueil associatif à gestion parentale. Il accueille des enfants de 3 mois à 4 ans dans les locaux du CDAS (rue Jean-Baptiste Guérin). L’établissement associe l’accueil régulier, occasionnel (halte-garde-

rie) et l’accueil d’urgence. Suite au déménagement du multi-accueil Câlin-copain à la Résidence du Parc, en mars dernier, Pomme d’api a récupéré les anciens locaux qui ont été réaménagés durant l’été.

La surface a ainsi été doublée (330 m²) et la capacité d’accueil est passée de 20 à 30 places. Outre les travaux d’aménagements de l’espace, du mobilier spécifique et des équipements pédagogiques ont été achetés. Ces travaux et acquisitions ont été financés par la commune qui a bénéficié d’une subvention de la CAF.

Un encadrement de qualitéLes parents prennent une part active à la gestion et au fonctionnement de la struc-ture. Ils font partie des diverses commissions (animation, courses, entretien…) qui régissent le quotidien de l’établissement.L’enfant et ses parents sont accueillis par une équipe de professionnels composée d’éducatrices de jeunes enfants, d’auxiliaires de puériculture et de personnes titu-laires du CAP Petite Enfance. L’équipe éducative cherche au maximum à préserver le rythme de chaque enfant au sein du groupe, et notamment au niveau du som-meil, de l’alimentation, des acquisitions motrices, affectives et intellectuelles.Elle se réunit régulièrement pour améliorer l’organisation du multi-accueil et éla-

borer de nouveaux projets. Pomme d’Api emploie également une cuisi-nière pour la préparation des repas sur place. Les tarifs varient suivant les revenus et le nombre d’enfants à charge. Le multi-accueil est financé par la participation des familles et des subventions du CCAS et de la CAF.

Les horairesOuverture du lundi au vendredi, de 7h45 à 18h45 en continu, y compris les petites et grandes vacances.4 Fermeture de la structure en fin d’année du 26 décembre 2014 au 31 décembre 2014 inclus.4 Fermeture de la structure trois semaines en août.

Le Centre Communal d’Action Sociale vient d’acquérir un véhicule réfrigéré qu’il met à disposition de l’ADMR (Association d’Aide à Domicile en Milieu Rural) pour assurer le portage de repas à domicile. Les personnes de plus de 60 ans,

et les personnes dépendantes ou handicapées de moins de 60 ans peuvent béné-ficier de ce service.L’ADMR livre chaque matin et sur demande, des repas à domicile du lundi au ven-dredi matin (les repas du samedi et dimanche sont livrés le vendredi). Les repas se composent d’un potage, entrée, plat de résistance, laitage, fruit ou dessert. Il est possible de se faire livrer tous les jours ou seulement certains jours de la semaine.Ce service fonctionne depuis octobre 2009 en « liaison froide », et tient compte des régimes éventuels. En 2013, 8 082 repas ont ainsi été livrés, pour 57 personnes, sur les communes de Pacé, l’Hermitage, La Chapelle-des-Fougeretz, Montgermont, Parthenay-de-Bretagne, Saint-Gilles et Vezin-le-Coquet.

Les objectifs de ce service sont de :4 compléter le dispositif de maintien à domicile des personnes âgées et/ou han-dicapées en perte d’autonomie,4 permettre le maintien ou le retour à domicile dans le cas d’une situation tem-poraire difficile : sortie d’hospitalisation, absence momentanée de l’entourage

assurant le soutien à domicile, perte de mobilité temporaire...,4 proposer une formule souple et adaptée aux besoins des personnes,4 apporter une alimentation variée et équilibrée,4 entretenir le lien social avec les personnes isolées.

Multi-accueil associatif Pomme d’Apiun espace d’accueil doublé

Portage de repas à domicile un nouveau véhicule pour l’ADMR

Le multi-accueil associatif Pomme d’api a récupéré les anciens locaux de Câlin Copain (multi-accueil géré par le SYRENOR) au

rez-de-chaussée du CDAS. La surface d’accueil a ainsi été doublée.

La capacité d’accueil est passée de 20 à 30 places.

> Contact Directrice : Emilie Desdoit

CDAS - 2, rue J.B. Guérin 

Tél. 02 23 41 39 55

Site Internet : www.crechepommedapi.fr

> Contact :

ADMR Pacé 02 99 60 17 83

CCAS Pacé : 02 23 41 30 12

De gauche à droite : Jacqueline Langé (présidente de l’ADMR), Agnès Danset (adjointe à l’action sociale), Sylvie Atchekguezian (qui livre chaque jour des repas à domicile) et Michel Gaislin (vice-président de l’ADMR). Vous avez dû voir fleurir ces dernières semaines

de nombreux champs dans la campagne. De couleur jaune, violette… même si ces fleurs

contribuent à améliorer l’aspect visuel des sols culti-vés en période hivernale, ces couverts ont principa-lement un rôle agronomique. En effet, moutarde, phacélie, avoine, radis fourrager et autres couverts végétaux ont de multiples avantages agronomiques et environnementaux :

4 Limiter le lessivage des nitrates vers les cours d’eau,4 Limiter le développement des adventices en agis-sant comme biocide ou en favorisant la venue d’auxi-liaires de culture,4 Limiter l’érosion des sols, 4 Stocker de la matière organique et du carbone,4 Et assurer dans certains cas une seconde récolte.

Ces couverts sont implantés après une culture, prin-cipalement après le blé et avant une culture de maïs. Des mélanges plus complexes sont parfois utilisés. Ils combinent plusieurs espèces afin d’avoir une meil-leure couverture du sol. Sur les parcelles cultivées par M. Lesaige, situées en bordure de la Flume à Champagne, le choix a été fait d’utiliser ce type de mélanges. Pour cet exploitant de Pacé, pratiquant le non labour depuis de nombreuses années afin de limiter l’érosion des sols, les couverts hivernaux sont indispensables pour la structuration physique du sol.Le mélange utilisé sur ces parcelles est composé de tournesol, radis, phacélie. A sa destruction au prin-temps, le couvert laisse un réseau racinaire facile-ment utilisable par les cultures suivantes.Les champs sont actuellement en pleine floraison et constituent de ce fait un véritable réservoir de bio-

diversité, attirant insectes butineurs et auxiliaires de culture, pour le plus grand plaisir des promeneurs empruntant le circuit des boucles de la Flume.

Pari gagné pour l’accueil de loisirs qui organisait la première fête du jeu sur la commune, le 22 octobre dernier.

Durant tout l’après-midi, les jeunes Pacéens ont pu profiter des attractions ludiques mises gratuitement à leur disposition dans la salle de sport Louison Bobet de l’école Guy Gérard. Initiation au mölkky (jeu de quilles finlandais) et au karaté, structures gonflables, déguisements de sumo, jeux en bois… les stands étaient nombreux et ont attiré environ 300 participants.

Les parents ou grands-parents accompagnateurs n’ont pas boudé leur plaisir et ont aussi testé les diverses activités proposées. Ils ont ainsi pu partager des moments privilégiés avec leurs enfants ou petits-enfants. Au vu de cette réussite, la seconde édition de la Fête du jeu aura lieu en 2015.

La fête des classes 4 s’est déroulée le dimanche 5 octobre. 75 personnes ont participé à cette journée conviviale. Après la messe suivie du dépôt de gerbe et après la traditionnelle photo souvenir, réalisée par Alexandre Staedsbader

de Photo Passion, devant l’espace Le Goffic, un vin d’honneur a été offert.

Les participants se sont ensuite retrouvés pour un repas suivi d’une animation dan-sante au restaurant Le Relais. La bonne humeur de tous et la convivialité intergé-nérationnelle ont marqué cette fête des classes 4 très réussie.

Couverts végétaux hivernauxaméliorer la qualité des sols

Fête du jeuune première réussie

Fête des classes 475 personnes pour une journée conviviale

Des couverts végétaux hivernaux en fleurs à proximité des Boucles de la Flume.

Crédit

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VIE ÉCONOMIQUE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

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Anciens gérants du Huit à huit, pacéens depuis onze ans, Christelle Brinet et Gaël Gerberon ont décidé de changer d’enseigne, «  par commodité, parce qu’on voulait proposer une gamme plus large de produits ».

Le magasin a été fermé deux semaines et a été entièrement restructuré. Sur une surface inchangée, 355 m², il est passé de 4 000 à 6 000 références. Il conserve ses rayons pain et produits frais et s’enrichit d’une partie produits d’hygiène, de papeterie, parfumerie et épicerie pour des courses plus complètes.

Une large gamme de produits bioLe nouveau supermarché de proximité propose en outre une large gamme de pro-duits bio, fruits, légumes, vin, fromages et œufs. « C’est une très belle réussite. On

apprécie de venir ici. Votre magasin va attirer du monde  » a commenté Paul Ker-draon lors de l’inauguration, mardi 21 octobre.Le nouveau Carrefour City sera complémentaire et attractif pour les autres com-merces du centre bourg. « Il est moderne et spacieux. On attendait ça » s’enthou-siasme Marie-Lou, une Pacéenne arrivée sur la commune en…1969. A l’époque, il y avait déjà une épicerie à l’emplacement actuel du Carrefour City.Outre les deux gérants et l’adjointe, cinq employés y travailleront quotidiennement.

Le responsable régional de l’enseigne, Miguel Esnault, mise sur la disponibilité de son équipe de vendeurs pour assurer un conseil et

un accompagnement de qualité auprès des clients.Une borne de e-réservation est mise à la disposi-

tion de la clientèle qui peut ainsi commander sur le site kiabi.com des références non disponibles sur place. Une fois livré en magasin, le client aura alors la possibilité de retirer ce produit après paiement.

Centre-Bourg : galerie commercialele nouveau Carrefour City inauguré

Rive Ouestouverture de Kiabi

La galerie commerciale du centre bourg a pris un coup de jeune avec l’ouverture, le 22 octobre, de Carrefour City, un petit

supermarché urbain.

Kiabi a ouvert ses portes le 14 novembre sur Rive Ouest en remplacement du magasin de mu-sique Milonga. Les locaux ont été totalement rénovés et les rayonnages réadaptés à la vente

de textile, de chaussures et d’accessoires de mode (cosmétique, bijoux…) pour toute la famille.

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CLS Agencement (Christophe Legoupil Services) est une entreprise familiale qui est spécialisée dans l’agencement intérieur de l’habitat.

CLS agencement propose une offre globale et complète d’agencement d’intérieur : cuisines, salle de bains, mo-bilier informatique, dressing… l’offre de cette petite entreprise pacéenne est très étoffée. La marque de fa-brique, très appréciée de la clientèle, est le sur mesure. Le conseil au client fait aussi partie du service rendu par la famille Legoupil, avec des réagencements d’espace dans des budgets très cadrés. Les produits et matériaux utilisés sont tous de qualité professionnelle.

« Il n’y a pas de sous-traitance, tous les chantiers sont réalisés par Christophe et notre fils Florian. Les prix sont ainsi définis de façon globale. Seuls certains tra-

vaux de plomberie ou d’électricité peuvent être confiés à d’autres artisans qui travaillent de longue date avec CLS Agencement », précise Mme Legoupil.

Un show-room de 150 m²Christophe Legoupil est cogérant de cette entreprise avec son épouse qui s’occupe de la comptabilité et de l’aspect commercial. Il a auparavant travaillé en tant que menuisier durant une quinzaine d’années, avant de créer CLS Agencement en 2003, à Bruz. «  Nous recherchions une cellule commerciale. Nous avons fait le choix de Rive Ouest pour sa position et son attracti-vité. L’implantation est primordiale pour notre activité. Le fait de nous retrouver dans un village des artisans a aussi conforté notre décision. » Les locaux de CLS Agencement sont composés d’un

show-room de 150 m² et d’un atelier, qui sert égale-ment de zone de stockage, d’une surface équivalente.

CLS Aménagement : l’aménagement d’intérieur

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Christelle Brinet et Gaël Gerberon

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VIE ASSOCIATIVE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 25

VIE ASSOCIATIVE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Du 10 au 22 octobre, la délégation de Konna, invitée par l’association Pacé-Konna et la commune, a été accueillie dans des familles pacéennes. Diverses visites et rencontres ont été organisées au cours de ce séjour pour cette délé-

gation composée du maire Ibrahima Diakité, du maire-adjoint Amadou Guindo, de la présidente des femmes de Konna, Aissata Samassekou, de Youssouf Nadio, maraîcher et de Boubacar Diallo, responsable des centres d’alphabétisation, ainsi que de Moumini Koné, de l’AIVM à Mopti.Le jumelage entre Pacé et Konna représente un quart de siècle d’échanges, de pro-jets de développement, de chantiers de jeunes. Depuis la signature de la conven-tion de jumelage à Konna le 20 septembre 1990, l’amitié entre les deux villes ne s’est jamais démentie.

« Les Konnois n’oublieront pas »  Au plus fort de la crise et de la menace djihadiste en janvier 2013, Pacé avait réaffirmé son soutien et sa solidarité à l’égard de Konna. «  Cela, les Konnois ne l’oublieront pas » a souligné Ibrahima Diakite, le 16 octobre au cours d’une soirée d’échanges programmée à l’espace Le Goffic. Maire de Pacé en 1990, au moment de la signature de la convention, Frédéric Vénien a rappelé « la richesse humaine et le contact extrêmement chaleureux » qu’il avait reçu à Konna lors de sa première visite, en 1984. « A cette époque, les Konnois n’avaient pas le téléphone. Aujourd’hui, presque tous ont un portable ! »

Parmi les projets de développement réalisés, on retiendra entre autres, la construc-tion et l’équipement d’un jardin d’enfant, la construction d’un centre de santé, la rénovation de la maison des jeunes. Les chantiers de jeunes se sont succédés à un rythme régulier les premières années. Ils connaissent aujourd’hui un essouffle-ment. « Ce sont des expériences inoubliables à vivre. Nous relancerons ces chantiers quand la situation politique sera apaisée. A condition de trouver des candidats  ! », invite Paul Kerdraon.

Un ambitieux projet de maraîchagePour l’heure, c’est le projet de maraîchage qui mobilise les énergies. Avec un bud-get ambitieux de 127 000 euros, l’objectif est de l’achever en 2015. Au programme, la construction de douze puits, de quatre magasins de conservation, la mise en place de grillage de clôture, avec un accompagnement technique et d’alphabétisa-tion. « Aujourd’hui, je suis maraîcher grâce à la pomme de terre et à l’idée lumineuse de Bernard Jouan. Nous produisons beaucoup et nos femmes travaillent aussi sur les parcelles » témoigne Youssouf.

« La pomme de terre est une culture vivrière d’avenir pour le continent africain qui pourrait en produire dix fois plus ! », souligne Bernard Jouan, ingénieur agronome et président de Pacé-Konna. « L’objectif est de développer l’indépendance alimentaire des Konnois. Pour cela, il faut un minimum de protectionnisme. Toutes les agricultures locales méritent d’être protégées pour éviter une concurrence sauvage », conclut Paul Kerdraon.

Jumelage Pacé – Konna25 ans d’échanges et d’amitié sincère

A l’invitation de l’association Pacé-Konna et de la commune, une délégation konnoise a fait le déplacement à Pacé pour

célébrer le 25e anniversaire du jumelage entre Pacé et Konna. Le jumelage entre le département d’Ille-et-Vilaine et la région malienne de Mopti fêtait dans le même temps ses 30 ans.

Visite des services techniques de la ville.

Lors de son arrivée, la délégation konnoise a été accueillie à l’espace Le Goffic.

Près de deux ans après les attaques des djihadistes, quelle est la situation à Konna et au Nord-Mali ?Ibrahima Diakité (Maire de Konna) : la psychose d’une attaque persiste toujours dans certaines parties du Mali. Des rumeurs venues du Nord font état d’exactions commises par les djihadistes. La sécurité revient petit à petit et la population de Konna reste sereine. Elle sait que la zone est très surveillée par le gouver-nement malien. Les problèmes du pays et de Konna sont identiques, la crise économique et la religion que les djihadistes veulent nous imposer. Les djihadistes sont les mêmes que ceux de l’Etat isla-miste, les méthodes sont parfois différentes, mais les objectifs sont les mêmes.

Quelles ont-été les conséquences de la guerre ?Amadou Guindo  (maire adjoint) : l’attaque subie a freiné la vie éco-nomique durant de nombreux mois. Toute activité a été arrêtée, les commer-çants avaient fermé boutique et certains d‘entre eux avaient fui la ville. Les prix ont donc grimpé en flèche du fait de la pénurie des produits. Notre plus grave problème actuellement réside dans l’abandon des cultures sèches à cause des mines dissémi-nées à l’est de la ville. L’élevage aussi a subi les conséquences du conflit. Les troupeaux ont été éparpillés. L’objectif est dorénavant d’engraisser les bêtes et de les vendre.

Enfin, ces événements ont eu une influence néfaste sur l’éducation, les écoles sont restées très longtemps fermées.

Quels sont vos projets et vos besoins ?Amadou Guindo : Dans le cadre de l’échange Konna – Pacé, le projet de maraîchage

est vraiment le bienvenu. Cela permettra à la population d’améliorer son régime alimentaire. Les femmes tirent déjà des revenus de la vente des

légumes et entretiennent ainsi le petit commerce de la ville. Un des objectifs est d’augmenter la production de lait et de développer

l’élevage des poules pondeuses.Nous avons également des besoins d’électrification solaire et d’acquisition d’ordinateurs afin d’initier les plus jeunes à l’infor-

matique. Cette matière est peu enseignée à Konna, par manque de moyens. Enfin, il faut relancer les activités de jumelage dont

nous avons déjà tiré beaucoup d’avantages et qu’un brassage ait lieu entre jeunes Pacéens et Konnois.

Ibrahima Diakité : Je tiens tout d’abord à remercier tous les Pacéens qui ont accueilli notre délégation. Nous lançons un appel à tous les Pacéens de bonne volonté pour venir nous aider à développer notre ville. Nous souhaitons tous que la paix re-vienne définitivement pour que les échanges puissent reprendre entre Pacé et Konna. Nous aimerions créer une maison de Pacé dans les mois à venir pour y accueillir très prochainement une délégation pacéenne.

Une occasion pour ces cyclistes, mais aussi pour les spectateurs, de découvrir ou mieux connaître les jumelages qui, pour certains,

existent depuis plus de vingt ans. La forte mobilisa-tion des clubs de cyclisme a trouvé écho au-delà des communes traversées puisque des personnes venues de Fougères, Montauban, Montgermont, Rennes ont roulé sur ce circuit d’une centaine de kilomètres. Des familles ont aussi participé en parcourant des dis-tances plus courtes.

A Pacé, le calendrier a bien fait les choses puisque le 11 octobre une délégation de Konna (Mali), autre ville jumelée avec Pacé, depuis 25 ans était présente.

C’est donc tout naturellement que cyclistes Pacéens, membres des associations Pacé-Slimnic et Pacé-Kon-

na et Konnois ont posé pour la photo de l’amitié en présence du Maire après une journée ensoleillée qui a donné satisfaction à tous les participants.

Le CAP a apporté une précieuse aide pour la logis-tique en cette veille de braderie de La Foucherais.

Interviewtrois questions à Ibrahima Diakité et Amadou Guindo

Pacé-Slimnicsuccès de la première route des jumelages

Pour sa première édition en France, la route des jumelages, organisée par

Solidarité 35 Roumanie et les associa-tions de jumelages de Pacé, L’Hermitage, La Mézière, Acigné, Corps-Nuds, a connu un franc succès. Plus de 150 cyclistes ont sorti leurs vélos, le 11 octobre dernier, pour relier plusieurs communes du dé-partement jumelées avec des villages du département de Sibiu (en Transylvanie, centre de la Roumanie).

Le maire de Konna Ibrahima Diakité (à droite) et son adjoint

Amadou Guindo.

Membres des associations Pacé-Slimnic et Pacé-Konna et Konnois ont posé pour la photo de l’amitié.

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VIE CULTURELLE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

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Sortir à Pacéla saison culturelle est lancée

La saison culturelle 2014/2015 du Ponant a dé-marré mi-octobre avec le spectacle de l’humo-riste Arnaud Ducret. Son one man show « J’me

rends » a fait salle comble, comme lors de son premier passage en 2013. La troupe des Flagrants Délires a remporté un franc succès avec « Toc, toc », une comé-die déjantée écrite par Laurent Baffie. Les plus jeunes ont pu partager un vrai moment de poésie grâce au spectacle intimiste Couac joué dans le cadre du fes-tival marmaille. En novembre, le collectif d’humoristes Le Woop s’est déchainé lors de son « Stand up ». Le concert d’har-monies de l’école de musique et de danse Accor-dances et du conservatoire de Rennes a mis le com-positeur suisse Mario Bürki à l’honneur. L’humoriste Paulo a fait un retour très apprécié du public qui a pu découvrir les one men show de deux jeunes humo-ristes prometteurs Bérengère Krief et Malik Benthala.

Mustapha El Atrassi, mercredi 10 décembre, 20h30

Chroniqueur sur les plateaux de «On a tout essayé» et «On n’est pas couché» de Laurent Ruquier, Mustapha El Atrassi devient animateur télé sur Comédie et NRJ12 et pour couronner le tout, s’offre un succès total avec son premier one man show ! Bref, il cartonne… et ce n’est que le début. Tarifs : 29 € / réduit : 26 € / sur place le soir du spec-tacle : 30 €.

Norman jeudi 18 décembre, 20h30

Norman, de Norman fait des vidéos, arrive sur scène avec son tout premier one-man show. Cette nouvelle aventure scénique est une suite logique pour ce pion-

nier du «web man show» qui a déjà réussi en quelques années à réunir plusieurs millions de fans, en postant des vidéos qu’il filme lui-même depuis sa chambre.Tarifs : 29 € / réduit : 24 € / sur place le soir du spec-tacle : 30 €.

Label Vamp, jeudi 15 janvier, 20h30

Vous avez aimé les Vamps ? Alors venez retrouver Lucienne dans ce duo qui fonctionne à merveille avec une véritable complicité, Lucienne trouvant chez Solange son nouvel alter ego…Lucienne se voit dans l’obligation d’héberger sa nièce Solange, qui vient de quitter le pensionnat Sainte Cécile de l’Angélus. Solange, son CAP de couture option ourlet en poche, va se lancer dans la vie active sous les conseils avertis de sa tante Lucienne.Tarifs : 35 € / réduit : 32 € / sur place le soir du spec-tacle : 37 €.

Fest-noz Vras samedi 17 janvier, 17h

Avec Skolvan, Dremmwell, Alambig Elektrik, Kanerien Langazell, et les musiciens de La Rassemblée. Tarifs : 7€. Tél: 06 76 61 00 68 – www.larassemblee.com

Line et Régis, hommages à Brel et Barbara dimanche 18 janvier, 15h

Dans ce nouveau spectacle, le duo Line et Régis (accompagné du pianiste Adrien) rend hommage à deux figures emblématiques de la chanson française, Jacques Brel et Barbara, sur un ton décalé, libre et souvent caustique. Tarifs : 10 € / réduit : 6 €

Cauet, vendredi 23 janvier, 20h30Ecrasé sur scène par un bus, Cauet se retrouve au purgatoire. Il remonte le temps et retrace les étapes fortes de sa vie pour prouver qu’il mérite bien sa place au paradis… ou pas. Depuis son enfance, en passant par l’adolescence, les filles, l’arrivée à Paris, la galère, les débuts de la gloire, les femmes et les enfants, Cauet sans concession va rire de tout et surtout de lui-même ! Tarifs : 33 €

Ecole de musique et de danse samedi 31 janvier

4 14h : salon de lutherie et d’archèterie,4 18h30 : Les rencontres d’orchestres à cordes du département,4 20h30 : Interprétation par l’orchestre à cordes du 3e cycle du Conservatoire de Rennes d’une œuvre autour de Don Quichotte, sous la direction d’Alain Brunier.

Après un début de saison rythmé par les spectacles d’humour, la saison culturelle se poursuit avec d’autres d’humoristes confirmés et le Fest-noz de la Rassemblée.

Concert d’harmonies de l’école de musique et de danse.

La troupe des Flagrants délires au meilleur de sa forme.

Arnaud Ducret a ouvert la saison

2014/2015. 

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VIE CULTURELLE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 29

VIE CULTURELLE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

VIE CULTURELLE

19e Semaine des Artsles artistes amateurs mis en exergue

Les artistes de la 19e Semaine des Arts.

La Semaine des Arts constitue toujours un grand événement de la vie culturelle de la commune. Cette manifestation permet au public de ren-

contrer les artistes et d’échanger avec eux sur leur conception de l’art et sur leurs techniques de création.Les artistes ont travaillé durant plusieurs semaines avec Gaëlle Guérin, adjointe au maire chargée de la vie culturelle et Florence Cabanis, adjointe à la vie associatice, afin de mettre en place cette 19e édition. Cette année, pas moins de 150 œuvres de 41 artistes, dont une quinzaine ne résident pas Pacé, étaient pré-sentées au public.Même s’il est délicat de récompenser un artiste plu-tôt qu’un autre au vu de la qualité de l’ensemble des réalisations, le public a voté durant tout le temps de l’exposition pour ses coups de cœur (peinture et sculpture).Ce sont «  la rêveuse » de Patrick Denot et « Sortie du bois » de Jean-Pierre Guénée qui ont recueilli les

suffrages du public, dimanche 9 novembre. Plus de mille personnes ont participé au vote. Le peintre Patrick Denot est pacéen depuis quatorze ans. Sa peinture représente une femme dans une pose alanguie, dans une subtile association de noirs et de blancs. « J’ai voulu un gros plan et une ambiance sug-gestive avec le noir et blanc », a-t-il confié.Le sculpteur Jean-Pierre Guénée a déjà fait plusieurs expositions. Sa «  Sortie du bois  » représente une femme nue dans une pose accroupie. La belle couleur ambrée du noyer a d’emblée séduit le public. « Cette femme a été sculptée dans un seul morceau de noyer. Ça représente un mois de travail », a expliqué l’artiste qui sculpte depuis une vingtaine d’années.

De nombreux concertsLe maire a félicité les deux heu-

reux lauréats dès l’annonce des résultats. Parmi les peintures exposées, le

public pouvait admirer une majorité de portraits et de paysages marins. Parmi les sculptures, de nom-

breux nus féminins mais aussi des animaux, chats, serpent… en terre cuite, béton, bois et résine.

La proclamation des résultats avait été précédée dans l’après-midi par un concert de musique classique de l’ensemble instrumental Ascorda. La musique a d’ail-leurs, comme chaque année tenu une place impor-tante lors de cette 19e édition de la Semaine des Arts. Ainsi, le 6 novembre, dans le cadre de Jazz à l’Ouest, la carte blanche à Sonya Pinçon a ravi le public. L’har-monie de l’école de musique et de danse Accordances a offert un concert le 8 novembre à la Métairie.La Semaine des Arts donne rendez-vous à l’ensemble des Pacéens en novembre 2015 pour fêter ses 20 ans.

L a 19e Semaine des Arts a eu lieu du 1er au 9 novembre. Les artistes amateurs ont exposé leurs œuvres originales au Ponant à la grande satisfaction du nombreux

public pacéen qui a pu admirer la richesse et la diversité des talents.

Les artistes

ABADIE DominiqueBOULE Jean-MarieBRARD-LEMAIRE CatherineBRAULT ThéophileCHANDELIER Pierre CHAURIS MichelCHENARD NellyCODET Marie CODET MichelCUPIF GérardDENOT PatrickDERRIEN MarieDUVERNOY EvelyneFERNANDEZ LuizFOURNEL M-ClaudeGALERNE dite Mari GwalarnGODIER CatherineGUENEE Jean-PierreGUIVARCH AnneHAMON Jean-RenéHATTAIS René

HERVO Véronique

JAN Yves

LEBLAY Dominique

LECOEUR Michèle

LECOURT Daniel

LEDIEU Armelle

LE MIGNON Pierrette

LE ROUZES Yves

LOUARN Jean-Pierre

MAUNY Danielle

MINIOU Claudine

NARDUZZI Philippe

PEIGNE Philippe

PIENON Cyril

REIBAUD Anne-Marie

ROUSSET Alain

RUIZ NAVARRO Marie France

SIMONNEAU Albert

SOSTER Christine

2

LES COUPS DE CŒUR1 • PRIX PEINTURE

> Patrick Denot2 • PRIX SCULPTURE

> Jean-Pierre Guénée

L’’ensemble instrumental Ascorda.

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Médiathèquerencontre-concert avec Benoît Morel

Atelier et rencontre-concert avec Benoît Morel : Samedi 13 décembre à 17h

C’est devenu une habitude depuis quelques années, la Médiathèque organise des rencontres-concerts avec des musiciens locaux ou non. Pour les artistes ces rendez-vous sont l’occasion de parler de leurs sources d’inspiration, du processus de création de leurs chansons, de leur univers tout simplement. Le public quant à lui bénéficie d’une rencontre privilé-giée et intimiste avec un chanteur, un groupe ou un musicien.

Le samedi 13 décembre prochain à 17h, la Média-thèque accueillera donc le chanteur et illustrateur Be-noît Morel. Membre fondateur du groupe La Tordue, le Rennais a fait chanter les guitares durant 15 ans sur toutes les routes de France et de Navarre (à l’Olympia notamment). Cinq albums plus tard, La Tordue a tour-né la page, laissant chacun de ses musiciens voler de ses propres ailes. Après un premier album solo remar-qué, Benoît Morel s’est lancé dans une nouvelle aven-ture avec Le Plan B, un trio à base de violoncelle, de guitares acoustiques et électriques et de bandonéon, le tout porté par des textes poétiques et enchanteurs.Mais parallèlement à sa carrière de musicien, l’artiste a continué à travailler sur son autre passion  : l’illus-

tration. Sous le nom du B du Chat il a participé au collectif Les Chats Pelés, auteur de nombreux livres pour enfants. Avec l’écrivain Thierry Lenain, il a fondé la collection Trimestre aux éditions Oskar jeunesse. Et régulièrement il accueille des enfants lors d’ateliers d’arts plastiques. C’est ainsi que quelques heures avant la rencontre-concert, les enfants à partir de 6 ans (sur réservation) feront chanter le papier, le car-ton ou l’encre à gravure avec le B du Chat et créeront ensemble le décor du concert !Un rendez-vous (en deux temps) original à ne pas manquer !En pratique : entrée libre sur réservation

Monte le décor avec le B du chat, samedi 13 décembre de 10h30 à 12h30, pour les enfants à partir de 6 ans.Rencontre-concert avec Benoît Morel et le Plan B, samedi 13 décembre à 17h.

Centenaire de la Première Guerre mondiale :

Deux expositions sur la Grande Guerre ont été mises en place en novembre dans le cadre de la commé-moration du centenaire de la Première Guerre mon-diale. La première, à la Médiathèque, présentait des planches originales de la BD «  Jean-Corentin Carré, l’enfant soldat  » de Pascal Bresson, Stéphane Duval et Lionel Chouin. La seconde, à la MJC, proposait une version itinérante de l’exposition présentée aux Archives départementales jusqu’au 31 décembre et était articulée autour du front, de la vie des civils et de l’après-guerre.

Voici une sélection de documents sur le sujet :4 « Les Bretons et la Grande guerre » : images et His-toire / Didier Guyvarc’h.4 «  14-18 : une minute de silence à nos arrière-grands-pères courageux » / Dedieu4 « François-Ferdinand, la mort vous attend à Sara-jevo » / Jean-Yves Le Naour4 « Derrière la colline » / Xavier Hanotte.- Belfond4 «  Jours de guerre (1914-1918)  » / Jean-Noël Jeanneney4 « Dans la malle du poilu » / Amanda Favier et Céli-mène Daudet4 « Il s’appelait comme moi » / Jeanne Taboni

Deux expositions sur la Grande guerre ont été présentées au public, à la média-thèque et à la MJC, en novembre dans le cadre de la commémoration du cente-

naire de la Première Guerre mondiale. La Médiathèque vous propose une sélection de documents pour approfondir le sujet. En décembre, place à la musique, avec l’organisation d’une nouvelle rencontre-concert avec le chanteur-illustrateur Benoît Morel, ancien membre de La Tordue.

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VIE CULTURELLE

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VIE CULTURELLE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Maison des jeunes et de la cultureles arts numériques à l’honneur

Assemblée généraleL’assemblée générale de la MJC aura lieu le vendredi 12 décembre à 18h30 à l’Es-pace Le Goffic. Elle offre la possibilité à chaque adhérent d’exprimer son point de vue, ou de partager son questionnement sur l’organisation et le fonctionnement de la MJC, avec les bénévoles et les professionnels qui animent cette association toute l’année.Un repas animé est organisé à l’issue de l’assemblée générale pour les adhérents, bénévoles et personnels. La réservation est obligatoire. Pour ce faire, le coupon-réponse diffusé dans les ateliers et la carte d’adhésion annuelle sont à retourner pour le lundi 8 décembre dernier délai.

Sortie à Disneyland ParisEspaces jeunes pour les 10 - 17 ans. Un accueil sera mis en place le mardi 23 dé-cembre de 9h à 18h30 et le mercredi 24 décembre de 9h à 16h.Le lundi 22 décembre, une sortie en car au parc Disneyland de Paris est proposée pour les adolescents à partir de 10 ans. Le départ est prévu à 4h15 et le retour vers 0h30. Prévoir un pique-nique pour les repas. Tarif: 56 € + adhésion.

Arts numériques: le numérique ludiqueCe grand rendez-vous du numérique se tiendra du mardi 20 janvier au vendredi 6 février. Le programme de cet événement s’annonce très riche. Le public pourra visiter deux expositions à l’Espace Le Goffic : la première « Les jeux vidéo, histoire et évolution des années 70 à nos jours » retrace l’historique des jeux vidéo qui font partie de notre quotidien depuis plus de quarante ans. La seconde « La réalité vir-tuelle, avenir du réel et du virtuel » sera réalisée en partenariat avec l’Espace des sciences de Rennes.Divers ateliers seront aussi proposés pour les jeunes passionnés de numérique : beat box, light painting, création d’avatar, makey makey…Des installations numériques et sonores seront mises en place sur les temps d’ac-cueil.

Enfin, les 24h de jeux vidéo 2.0 seront organisés du vendredi 30 janvier, 18h au samedi 31 janvier, 18h. Cette première à Pacé devrait attirer bon nombre d’accros à toutes sortes de jeux vidéo : session de jeux de combat, d’adresse, de danse, fps. Retrogaming : vieilles consoles. Borne d’arcade. Next Gen : nouvelle console X box One. Espace DS : mario kart, inazuma eleven… Tournois, découvertes. De quoi satisfaire les gamers de tout poil.Petite restauration, bar à eaux et fruits seront mis à disposition des joueurs sur place.

Concert et spectacles en maisonLa chorale A Cappella prépare activement son concert de Noël qui sera donné le vendredi 19 décembre à l’église de Pacé à 20h30 en compagnie de la chorale Si ça vous chante de Saint-Gilles. La chorale donne deux concerts dans l’année, celui de Noël et celui du printemps qui aura lieu le samedi 11 avril en soirée au Ponant, en compagnie d’une autre chorale.A Cappella recrute de nouveaux adhérents même sans connaissances musicales particulières. L’envie de chanter suffit.Contacts : Anne Lesouef chef de choeur : 02 99 60 13 09 – MJC 02 99 60 14 72Trois spectacles en maison sont organisés le 6 décembre à 20h30, en partenariat avec les Chênes de Vergéal : 4 Le cabaret d’improvisation thématisée : les comédiens demandent à la volée des mots, qu’ils transformeront en thèmes pour leurs improvisations. Épiques, sensibles, rocambolesques... Les spectateurs découvriront, avec les comé-diens, une multitude d’univers et d’émotions à travers des sujets qui les concernent et qui les réunissent ! Un moment d’improvisation convivial et interactif.4 Perceval de Grâce : Ce spectacle est la prise de possession par Perceval de l’espace théâtral, du gradin à la scène. Il prend la parole au milieu du public, d’où il apparaît par surprise et à l’insu de tous.4 Gwenn chante Barbara : Également membre du groupe Maïon et Wenn, Gwenn Jouin, accompagnée d’Evelyne Caillet au violoncelle, nous propose un spectacle intimiste autour des chansons de jeunesse de Barbara.Tarif : 10 €. Réservations obligatoires à la MJC. N’oubliez pas d’apporter jus de fruits ou gâteaux pour l’après spectacle.

Outre son assemblée générale qui aura lieu le 12 dé-cembre, la MJC propose aux jeunes Pacéens une anima-

tion autour du thème des arts numériques, du 20 janvier au 6 février. L’équipe des animateurs a concocté un programme alléchant pour cet événement à ne pas manquer : deux expo-sitions, des ateliers, des installations numériques et en point d’orgue, 24h de jeux vidéo, le 30 janvier.Des spectacles en maison seront aussi organisés pour les Pacéens. La chorale A Cappella donnera, quant à elle, son concert de Noël, le 19 décembre.

La chorale A Cappella donnera son concert de Noël vendredi 19 décembre à 20h30 à l’église de Pacé.

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Sur cette carte, vous est proposé :4 Amuse bouche : Les génériques de dessins animés. Vous pourrez vous régaler de ces musiques qui ont accompagné votre enfance puis celle de vos enfants et en même temps découvrir comment la magie fonctionne… Vendredi 12 décembre, à 20h30 à l’espace Evasion de Montgermont.4 Entrée : Les chants de NoëlDes musiques de circonstances avec les orchestres à cordes, les ensembles de gui-tares …Mardi 16 décembre à 20h en l’église de la Chapelle-des-Fougeretz.4 Plat principal : Les Petits et les GrandsLes Petits sous quelque forme que ce soit, agrémenteront votre début de soirée. Ils ne manqueront pas d’originalité pour vous faire savourer ce moment.Les Grands vous serviront des musiques chatoyantes à l’oreille, qui vous régaleront Mercredi 17 décembre au Ponant à 18h30 pour les Petits et à 20h pour les Grands.

4 Desserts : Cocktail et douceursCocktail de musiques actuelles/jazz.Jeudi 18 décembre à 20h à Parthenay-de-Bretagne.Douceurs : Jeudi 18 décembre à 20h en l’église de Gévezé.

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« André Gide disait ‘’Connais-toi toi-même’’, maxime aussi pernicieuse que laide. Si la chenille s’observait, elle ne deviendrait jamais papillon ! La conséquence est qu’au fil de ces années de pratique de cet art-martial si exigeant qu’est le karaté shinkyo-kushinkai, s’insinuent en nous de petits et parfois gros défauts dans nos techniques. Parce que la nature humaine cherche toujours à simplifier les choses, à trouver des raccourcis dans l’exécution des mouvements, nous oublions parfois la genèse de la technique toujours issue du combat et de la self défense. Seul l’expert en la personne de Sensei Pascal Rouxel, spectateur intransigeant, est capable d’apporter la correc-tion essentielle à notre karaté surtout lorsque notre rôle au sein du club est de trans-mettre aux plus jeunes générations et donc de leur transmettre une forme de vérité. » dit Philippe Narduzzi, président de la section, ceinture noire 1er dan fédérale et 1er dan shinkyokushinkai (littéralement : la nouvelle association de l’ultime vérité).

« Une source d’équilibre »« Le karaté que j’ai débuté en 1983 avec Georges Wyckaert à la Garnison de Rennes après avoir joué 25 ans au basket, fait maintenant partie intégrante de mon quo-tidien. C’est une source d’équilibre, outil et moyen transférables pour la santé per-sonnelle. Depuis que j’enseigne dans le club, il me manquait des moments qui me permettent de donner une impulsion nouvelle à ma pratique. Je trouve cet enrichis-

sement dans les cours du jeudi soir. Ce sont désormais des moments de partage avec des camarades d’un niveau de pratique proche. Ces cours renouvellent l’enracine-ment dans les techniques et les valeurs du Kyokushinkai : Sensei Pascal Rouxel nous y transmet sa rigueur et un art du karaté qui lui a été légué par certains des plus éminents représentants de notre école, y compris par Mas Oyama lui-même dont il a suivi les cours au Japon. Le kyokushinkai est respecté. C’est un karaté à part, reconnu, le plus pratiqué dans le monde, qui engendre une ferveur particulière par le haut niveau d’exigence physique et mentale qu’il requiert pour pouvoir être pratiqué dura-blement. » dit Jean-Michel Gérard, instructeur adulte, en charge de la préparation aux ceintures noires fédérales, 3e Dan fédéral et 2e dan shinkyokushinkai (nouveau kyokushinkai).

De nouvelles ceintures noires devraient être promues en fin de saison sportive ce qui renforcera le collège. La section karaté à Pacé est devenue un lieu où le haut niveau sportif et l’excellence de l’enseignement sont reconnus.

Le soleil a accompagné les coureurs durant toute la journée. Les 12 épreuves de la journée ont pu avoir lieu dans d’excellentes conditions grâce à l’implication des bénévoles de Pacé en courant et de son président Loïc Rapinel.

La marche nordique a ouvert les débats, le matin. Cette année, l’épreuve pacéenne avait été sélectionnée pour accueillir la dernière étape du challenge Marche Nor-dique Tour (MNT) mis en place au niveau national, par la Fédération Française d’athlétisme, pour les spécialistes de la compétition.

Record de participation L’après-midi, après les courses des jeunes et les cani-cross, les épreuves des as ont été dominées par les Russes tant chez les masculins que chez les féminines.

Tarantinova (19’54’’) chez les filles et le duo Safronov – Petrov (31’38’’) se sont facilement imposés. Cette 10e édition a battu des records de participation, avec 1 117 coureurs classés toutes épreuves confondues.A noter les bons résultats des coureurs de Pacé en courant. Jackson Onamy se classe 3e dans la course des As. En cadettes, Chloé Hautière et Jasmine Mogis prennent les 1re et 3e places et Kerrian Louapre, 3e en cadet. Nina Cha enlève une belle 5e place chez les As féminines. Gaëlle Houitte a, quant à elle, remporté le canicross chez les féminines avec son chien Candor.

COP Karatéun collège de 10 ceintures noires

Cross national Pacé – Rennes Métropoleun grand succès populaire

Cette saison 2014-2015, la section karaté du Club Olympique Pacéen a mis en place pour la première fois de son histoire (26

ans), le collège des ceintures noires. Avec dix ceintures noires, toutes issues du club, la création de ce collège était une évidence afin de pouvoir les faire travailler à un niveau plus élevé techni-quement dans le but d’acquérir une meilleure maîtrise du geste.

Le site de l’étang à Pacé a accueilli le cross national de Pacé - Rennes Métropole, le dimanche 16 novembre. Un grand

nombre de spectateurs avaient fait le déplacement pour assister aux différentes épreuves qui se sont succédé lors de cette mani-festation de sport nature.

Philippe Narduzzi, Loïc Le Gal (instructeur Body Karaté), Jean-Michel Gérard (instructeur de la préparation aux grades fédéraux),Philippe Hignard (assistant instructeur), Sensei Pascal Rouxel, François Porteu, Michel Hervo (vice-président), Sylvain Lecomte, Stéphane Paul. Absent sur la photo : Bruno Morel (secrétaire).

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VIE SPORTIVE

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014 35

L’EXPRESSION DE L’OPPOSITION

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

VIE SPORTIVE

La 4e édition du Marathon vert a eu lieu sous un soleil radieux le 26 octobre. Plus de 5 000 coureurs ont participé aux quatre épreuves : 250 à la marche nordique et 800 à la féminine Yves-Rocher pour le départ du campus de

Beaulieu, 1 500 au marathon individuel et plus de 2 600 (535 équipes) au mara-thon-relais pour le départ de Cap Malo à Melesse. Les marathoniens ont rejoint le centre-ville de Rennes en passant par Montgermont, Pacé, Saint-Grégoire et Ces-son. Le passage dans la commune a été spécialement animé grâce à la mobilisation des 120 bénévoles présents sur le parcours. Des démonstrations de danse country avaient été programmées sur la place Carré Dumaine et des danseuses de zumba s’étaient installées devant le Ponant. Le groupe rock Maoning Shamans s’est lui produit en concert sur Rive Ouest

Côté performance, le Kenyan Kiprotich et l’Ukrainienne Kotovska ont amélioré les records de l’épreuve avec des chronos respectifs de 2h08’05’’et 2h28’36’’.Cet événement sportif constitue aussi un engagement durable avec l’Ethiopie puisque à l’issue de l’opération « 1 km parcouru = 1 arbre planté », le Marathon vert a planté 82 152 arbres dans le pays en 2014.

La prochaine édition est prévue le dimanche 25 octobre 2015. Au vu de son succès grandissant, elle servira de support au championnat de France de marathon.

Philippe Beillard, coach sportif diplômé d’état exerce sa profession dans la région depuis 20 ans. En septembre dernier, il a lancé une nouvelle activité physique de plein-air le gymjogging, très tendance au Canada.

Activité mêlant sport et nature, le gymjogging allie des séquences cardio-vascu-laires et de renforcement musculaire (gainage, abdominaux…) en utilisant les agrès naturels que sont les arbres, les espaces verts… L’occasion de se rapprocher de la nature et de prendre soin de soi. Plusieurs séances, qui durent en moyenne 1 heure, ont lieu chaque semaine, tout au long de l’année, les mercredis ou jeudis matins. Par petits groupes de 8 à 12 personnes, le coach sportif apporte ses conseils et sa technique. « C’est un moment convivial, permettant de découvrir la commune et de rencontrer du monde », rapporte les participants. Habitant Pacé, Philippe Beillard connait très bien la commune et profite de son environnement (bois de Champagne, sentiers de randonnée …). Les séances sont ouvertes à tous, le coach adapte le programme de la séance à chacun.

Marathon vertplus de 5 000 participants

Gymjoggingune nouvelle activité sportive

> Résultats et renseignements :

www.lemarathonvert.org/

Les animations étaient nombreuses sur la commune, ici les danseuses de zumba devant le Ponant.

Phillipe Beillard et des participantes au gymjogging.

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Nous partageons pleinement les objectifs du schéma de cohérence territorial (SCoT) tel qu’il a été arrêté en janvier dernier par le Syndicat mixte du Pays de Rennes. En fait, il approfondit le projet de territoire de 2007 :

4 par une hiérarchisation des pôles urbains, tout en maintenant une armature urbaine qui irrigue le pays de Rennes et prend en compte la qualité de vie des habitants ; c’est le concept de la « ville archipel » ;4 par une gestion plus économe de l’espace, en fixant des taux de densification pour les opérations nouvelles plus ambitieux et en encourageant les opérations de renouvellement urbain des centres bourgs ;4 par le maintien d’une agriculture de proximité dynamique et d’une trame des espaces naturels réellement structurante.Notre commune de PACÉ est -et sera plus encore dans les années à venir- très impliquée dans la mise en œuvre de ces objectifs.Pacé y est qualifiée de « pôle structurant de bassin de vie ».Cette reconnaissance est aussi une responsabilité. Notre commune devra accueillir de nouveaux habitants, de nouvelles activités. Nous veillerons à ce que les Pacéens soient le plus étroitement associés à ces projets.Nous sommes également convaincus de la pertinence de travailler collégialement et solidairement avec les communes de notre secteur géographique du Nord-Ouest sur lequel nous venons de nous prononcer favorablement. Le SYRENOR verra ainsi sa mission d’études renforcée mais aussi son rôle d’animation ; il pourra être force de propositions au sein du comité de secteur comme de Rennes Métropole.Pacé pourrait devenir un pôle d’échanges multimodal.C’est un chantier en devenir mais important à engager sans tarder. Il participe à l’en-jeu de la maîtrise des déplacements sur le secteur Nord-Ouest du Pays de Rennes.Le concept de « ville-archipel » est en effet un concept de développement urbain

qui exige une politique très volontariste en matière de déplacements pour limiter l’usage de la voiture individuelle. D’où la nécessité de coordonner les différentes autorités organisatrices des transports au-delà de Rennes métropole.Pacé a, par l’importance et la qualité de ses espaces agricoles et naturels, une responsabilité propre en ce domaine :4 par la protection des zones humides du bassin de la Flume et de ses affluents, li-mitant les risques d’inondation en tant que zones d’expansion naturelles des crues ;4 par le maintien, voire le développement, du bocage qui structure notre paysage rural ;4 par la valorisation d’une agriculture périurbaine, viable et non résiduelle, par-ticipant à l’activité économique de notre commune.Aussi sommes-nous favorables à l’extension du champ urbain de Chapalaune et à la création d’un nouveau champ urbain entre les communes de Pacé, Saint-Gilles et L’Hermitage.Ces objectifs sont clairs et ambitieux même si le SCoT renvoie dans de nombreux domaines leur déclinaison concrète et la définition des leviers d’action à d’autres documents comme les plans locaux d’urbanisme (bientôt communautaire), d’ha-bitat et de déplacements urbains ... dont les révisions sont engagées par Rennes métropole.Cette déclinaison nécessitera une vigilance toute particulière dans sa mise en œuvre comme dans son suivi.C’est un véritable enjeu de gouvernance auquel la proposition de Rennes métro-pole de créer des comités de secteur nous paraît de nature à répondre. Nous aurons l’occasion de revenir sur ces nouvelles démarches.

Gil Desmoulin, Nelly Béteille, Annick Hélias, Loïc Le Fur, Bernard Le Méhauté, conseillers municipaux

Le projet de territoire du Pays de Rennes des responsabilités nouvelles pour Pacé

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VIVRE À PACÉ

VIVRE À PACÉ I Décembre 2014

Outre l’augmentation des volumes d’eau transférés vers les cours d’eau par temps de pluie, les eaux de ruissellement pluviales urbaines se chargent en polluants tout au long de leur parcours sur les toitures, voiries, parkings…

entraînant, par temps de pluie, une pollution chronique des cours d’eau récepteurs, en hydrocarbures, matières en suspension, matières organiques, pesticides...En effet, ces eaux pluviales ne sont pas traitées en station d’épuration afin d’éviter la saturation de ces dernières par temps de pluie et donc la baisse de leur capa-cité de traitement. Par conséquent, depuis le milieu des années 80, des bassins de rétention ou d’infiltration ont vu le jour afin de compenser le surplus de volume ruisselé, généré par les surfaces imperméabilisées et ainsi réduire le risque d’inon-dations à l’aval tout en permettant le traitement des eaux pluviales. Les polluants véhiculés par les eaux pluviales étant à près de 90 % sous forme particulaire, les processus de décantation ou de filtration qui ont lieu dans ces ouvrages permettent d’en éliminer la majeure partie avant rejet dans le milieu naturel (cours d’eau ou nappe souterraine).

Ces dispositifs de gestion des eaux pluviales se sont peu à peu diversifiés afin de traiter les eaux pluviales au plus près de la source de ruissellement et de mieux intégrer ces dispositifs dans le paysage urbain (noues, chaussées poreuses, toitures végétalisées…).Néanmoins, dans les zones construites avant les années 90, les eaux pluviales sont principalement acheminées directement au cours d’eau via un réseau souterrain de conduites. Sur la commune de Pacé, seules les eaux pluviales provenant du lotisse-ment de Vergéal, de Mondonin, de la ZAC Beausoleil, de la ZAC de la Teillais et de la ZAC Les Touches sont en partie ou totalement traitées par des dispositifs de réten-tion ou d’infiltration avant rejet dans la Flume ou dans le ruisseau de Champalaune.

En revanche, sur le reste de la commune, tout rejet dans le réseau d’eaux pluviales peut impacter directement la qualité de l’eau du cours d’eau récepteur. La meil-leure façon pour éviter de polluer les cours d’eau est d’éviter le rejet dans le réseau d’eaux pluviales de déchets (peintures, huile de vidange…), des eaux de lavage (voiture…) ou encore l’application de pesticides pour l’entretien des voiries, par-kings ou jardins.

Entretien « zéro phyto » des espaces communauxLa Flume connaît depuis de nombreuses années des problèmes importants de qua-lité de l’eau dus à la présence chronique de pesticides dans ses eaux. Les concentra-tions en certains pesticides utilisés par les collectivités et les particuliers, le glypho-sate et sa molécule de dégradation l’AMPA, sont systématiquement supérieures en sortie des zones urbaines montrant une pollution non négligeable qui n’est pas seulement due à un usage agricole de ces produits.C’est pourquoi, dans un souci d’améliorer la qualité de l’eau de la Flume, la com-mune de Pacé a fait le choix, début 2013, de ne plus utiliser de pesticides pour l’entretien des espaces communaux (voiries, parkings, cimetière, terrains de sport, chemins piétonniers…).

Plusieurs techniques et équipements ont été mis en œuvre depuis de nom-breuses années pour faciliter l’entretien « zéro phyto » (sans produits phytosani-taires) des espaces communaux : 4 Méthode de prévention  : paillage des massifs, balayage régulier des voiries, enherbement des chemins et espaces peu fréquentés…,4 Equipement en matériels d’entretien  : balayeuse équipée de brosses métal-liques ou brûleur au gaz pour le désherbage des trottoirs et des caniveaux, chas-sis-piste pour l’entretien des chemins et terrains sablés (stabilisés) et récemment l’acquisition d’un désherbeur à eau chaude équipé sur un véhicule électrique,4 La réalisation d’un terrain de sport synthétique permettant un usage intensif en période hivernale sans risque de dégradation.

Les particuliers peuvent également contribuer à l’amélioration de la qualité de l’eau de la Flume en évitant les rejets de polluants dans les réseaux d’eaux plu-viales et en adoptant des pratiques d’entretien des espaces privés (jardin, allées, parking) sans pesticide. Il est rappelé à ce titre, que seuls les produits homologués, à usage et dose déterminés sont autorisés pour le désherbage, le démoussage… De même, il est interdit aux artisans de déverser les déchets de ciment dans les caniveaux.

Un arrêté préfectoral de protection de l’eauUn arrêté préfectoral relatif à l’interdiction d’utilisation des produits phytosani-taires à proximité de l’eau a été pris le 4 avril 2005.L’application ou le déversement de tout produit phytosanitaire est interdit pen-dant toute l’année à moins de un mètre de la berge de tout fossé, cours d’eau, canal ou point d’eau. Aucune application ne doit être réalisée sur avaloirs, cani-veaux et bouches d’égoût.Par dérogation, des traitements pourront être réalisés au moyen de produits destinés à une utilisation sur plantes aquatiques ou semi-aquatiques à condi-tion que le traitement soit réalisé par un applicateur. Celui-ci devra laisser à son client une attestation signée et datée.Toute entreprise assurant la distribution de produits phytosanitaires est tenue de mettre à disposition des services chargés des contrôles, la liste des produits achetés par les riverains des zones indûment traitées, comportant les quantités achetées et dates d’acquisition.

Lutte contre la pollution des cours d’eauproscrire les rejets dans les réseaux d’eaux pluviales

L’imperméabilisation des sols, conséquence de l’urbanisa-tion, conduit à une quasi-suppression de l’infiltration des

eaux dans le sol, entrainant de ce fait la production d’un fort ruissellement des eaux pluviales sur les surfaces imperméa-bilisées.

Noue en bordure du bassin d’extension des crues à Beausoleil.

Pollution d’un ruisseau en sortie d’un lotissement