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Mémoire de fin d’étude

professionnelle en Informatique des Systèmes et Réseaux

RAJAONARISOA

Encadreur professionnel Mr RAZAFIMANDIMBILAZA Morafenosoa Encadreur pédagogique Mr BAKARI Maëcha

Mémoire de fin d’études pour l’obtention d’un diplôme de


Intitulé :

Présenté et soutenu par :

RAJAONARISOA Solotiana Odilon

Encadreur professionnel : Mr RAZAFIMANDIMBILAZA Morafenosoa

Encadreur pédagogique : Mr BAKARI Maëcha

diplôme de Licence


Mr RAZAFIMANDIMBILAZA Morafenosoa

CUFP ESSVA

Mémoire de fin d’études ii

REMERCIEMENTS

Ce mémoire a pu être effectué, grâce à la bonne volonté des différentes personnes

auxquelles je ne manquerai pas d’adresser mes plus profondes reconnaissances, plus

particulièrement :

- A Monsieur le Professeur Henri RASAMOELINA, Directeur du Centre Universitaire

de Formation Professionnalisante (CUFP) ;

- A Monsieur Aimé Richard HAJALALAINA, chef du département Informatique ;

- A Monsieur Maëcha BAKARI, notre encadreur pédagogique ;

- A Monsieur RAZAFIMANDIMBILAZA Morafenosoa, notre encadreur professionnel

qui a fait preuve d’une grande disponibilité à notre égard.

- A Monsieur Heritiana Franklin RAZANAKOTO, Directeur Administratif et Financier

de l’ESSVA ;

- A Père Alain André RABARIJAONA, le Recteur, d’avoir bien voulu accorder notre

stage au sein de son école ;

Nous tenons également à remercier le corps professoral et administratif du CUFP qui

n’a jamais cessé de nous faire partager leurs savoirs et aussi nous donner des instructions

afin de parfaire ce mémoire.

De même, nous remercions tout le personnel de l’ESSVA, avec qui nous avons pu

acquérir des expériences professionnelles importantes, tous ont manifesté une conduite

accueillante et chaleureuse, rendant notre séjour dans la société agréable.

Nous destinons également nos remerciements à nos parents et notre famille qui nous

ont beaucoup soutenus autant sur le plan moral que financier.

Un grand merci à nos amis et à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à

l’accomplissement de ce mémoire.

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Mémoire de fin d’études iii

CURRICULUM VITAE

RAJAONARISOA Solotiana Odilon

Né le 19 Avril 1987 à Fianarantsoa

Lot : 0610 X / 0010 E Tambohobe Fianarantsoa

E-mail: [email protected]

Tel: 0330675946

FORMATIONS ET DIPLOMES

2008-2009 : 3ème et dernière année en formation de Licence professionnelle en Informatique des Systèmes et Réseaux au Centre Universitaire de Formation Professionnalisante (CUFP) de l’université de Fianarantsoa. Obtention de diplôme de Licence professionnelle en Informatique des Systèmes et Réseaux.

2007-2008 : 2ème année en formation de Licence professionnelle en Informatique des Systèmes et Réseaux au Centre Universitaire de Formation Professionnalisante (CUFP) de l’université de Fianarantsoa.

2006-2007 : 1er année en formation de Licence professionnelle en Informatique des Systèmes et Réseaux au Centre Universitaire de Formation Professionnalisante (CUFP) de l’université de Fianarantsoa.

2005-2006 : 3ème année (Terminale) au Lycée Technique et Professionnel (LTP) Beravina Fianarantsoa. Obtention de Baccalauréat Technologique en GENIE CIVILE.

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES ET REALISATIONS Décembre 2009 :

Ayant effectué un stage de quatre mois à l’Ecole Supérieur Spécialisé de Vakinankaratra (ESSVA) Antsirabe.

Septembre 2008 : Ayant effectué un stage pratique de trois mois à l’IFIRP Fianarantsoa.

Juin 2008 : Ayant conçu un logiciel, sous VISUAL BASIC, qui a comme thème : «Gestion de note des étudiants » à la 1ère, 2ème et 3ème année au CUFP.

Août 2007 : Ayant conçu un logiciel, sous ACCESS, qui a comme thème : « Gestion de bus » chez les sociétés de transport terrestre.

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Mémoire de fin d’études iv

COMPETENCES EN INFORMATIQUE Système d’exploitation

- Windows (97/98, 2000, XP, …), Unix.

Hardware - Diagnostic des pannes éventuelles d’un micro-ordinateur ; - Notion en maintenances des systèmes informatiques.

Langages de programmation

- Turbo pascal, langage C/C++ ; - Microsoft Visual basic; - Java, JavaScript ; - Flash/Action script; - JSP, PHP.

Réseau

- Installation et configuration des réseaux locaux ; - Conception de site web.

Bureautique

- Microsoft Office (2000 / 2003 / 2007).

CONNAISSANCES LINGUSTIQUES

LANGUES COMPRENDRE PARLER LIRE REDIGER Français Très Bien Bien Très Bien Bien Anglais Mauvaise Mauvaise Mauvaise Mauvaise

SPORT ET LOISIR Foot et musique

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Mémoire de fin d’études v

SOMMAIRE

INTRODUCTION

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE

Chapitre1 : PRESENTATION DE L’ECOLE SUPERIEURE SPECIALISEE DE

VAKINANKARATRA

Chapitre2 : PRESENTATION DE CUFP

Chapitre3 : PRESENTATION DU PROJET

DEUXIEME PARTIE : ETUDE PREALABLE DU PROJET

Chapitre1 : EXPRESSION DES BESOINS D’AUTOMATISATION

Chapitr2 : ETUDE D’OPPORTUNITE

Chapitre3 : ETUDE DE FAISABILITE

Chapitre4 : ETUDE DE L’EXISTANT

TROISIEME PARTIE : LA CONCEPTION

Chapitre1 : PRESENTATION DE « UML »

Chapitre2 : REGLES DE GESTION

Chapitre3 : LES VUES STATIQUES DU SYSTEME

Chapitre4 : LES VUES DYNAMIQUES DU SYSTEME

QUATRIEME PARTIE : LA REALISATION

Chapitre1 : LE DEVELOPPEMENT DU SYSTEME

Chapitre2 : PRESENTATION DE L’APPLICATION

CONCLUSION

BIBLIOGRAPHIE

WEBOGRAPHIE

GLOSSAIRE DES TERMES TECHNIQUES

LISTE DES FIGURES

TABLE DES MATIERES

CUFP ESSVA

Mémoire de fin d’études 1

INTRODUCTION

C’est avec enthousiasme que nous effectuons notre troisième et dernière année de

formation pour l’obtention du diplôme de licence en Informatique des systèmes et réseaux au

sein du Centre Universitaire de Formation Professionnalisante. L’intérêt que nous portons

dans le domaine de développement du système d’information et aux nouvelles technologies,

nous ont permis d’appréhender un nouveau défi : aborder le thème intitulé « Système de

gestion du personnel et enseignants » au sein de l’Ecole Supérieure Spécialisée de

Vakinankaratra dont nous effectuons notre stage de fin d’études.

Pour présenter nos travaux, nous avons retenu pour ce rapport une organisation en

quatre grandes parties :

- Première partie : Présentation Générale ;

- Deuxième partie : Etude Préalable ;

- Troisième partie : Conception ;

- Quatrième partie : Réalisation.

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Première partie

PRESENTATION GENERALE

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Chapitre 1 : PRESENTATION DE L’ECOLE SUPERIEURE

SPECIALISEE DE VAKINANKARATRA (ESSVA)

1.1.HISTORIQUE DE L’ESSVA

L’ESSVA a été créée par le diocèse catholique d’Antsirabe en 1999. Elle a comme

initiateur et responsable moral Monseigneur Félix RAMANANARIVO et comme

cofondateur, Monsieur José RIBEAUD, un retraité suisse ayant commencé sa vie

professionnelle en qualité d’enseignant en Afrique et acceptant d’apporter sa contribution à la

construction tant matérielle que financière de l’ESSVA.

Vu l’urgence de la mise en route de la formation en dépit de l’absence d’infrastructure,

c’est le Lycée Catholique Saint Martin Fifampizarana sis à Antanivao qui a hébergé l’ESSVA

en mettant à sa disposition trois salles de classe et sa bibliothèque pour le compte de l’année

académique 1999-2000. Deux filières ont existé au début : la Communication, l’Ecotourisme

et Hôtellerie. A sa deuxième année, 2000-2001, a été ouverte la Filière Gestion Management

et à sa troisième année, 2001-2002, la Filière Sciences et Techniques de l’Education. La

politique « Renforcement des acquis » adoptée par le Recteur Olivier Donat

ANDRIAMAHEFAPARANY a conduit à la mise en veilleuse de l’ouverture de nouvelles

filières. D’où, c’est seulement en 2005, 3 ans après, qu’a été créée la quatrième filière

Electromécanique. Et en 2007, la formation en lapidairerie est mise sur les rails à l’ESSVA.

Ce qui porte à 7 le nombre de filières.

Démarrage difficile mais décisif

Si la conception de cette école a pris une grande partie du temps pour personnel de la

Direction diocésaine de l’Ecole catholique et de la Caritas diocésaine d’Antsirabe dès l’année

1998 et pendant l’année 1999, c’est le 06 janvier 2000, fête de l’épiphanie, que les cours ont

commencé au Lycée Saint Martin d’Antanivao. C’est un démarrage difficile, il faut le

reconnaître, pour des raisons matérielle, financière et organisationnelle. Quatre personnes ont

assumé la bonne marche de son fonctionnement :

- Le Père RANDRIANASOLO Bernard, Directeur ;

- M RANAIVOSON Jean Paul, coordinateur administratif ;

- Mme RANDRIAMANANJO Emma Chantal, coordinatrice pédagogique ;

- Mlle RAVAONIRINA Saholy, caissière.

- Sans oublier la participation active du personnel de la Caritas qui en a assuré la

comptabilité. Ceci prouve justement que sur le plan gestion, l’école n’était pas

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autonome. Son transfert à Miaramasoandro, en avril 2001, son lieu d’assise actuel, a

été effectué grâce à (au) diocèse catholique d’Antsirabe évidemment qui a offert

gracieusement le terrain d’une surface de ha pour la mise en place des infrastructures

nécessaires.

- La Nouvelle Planète Suisse qui a financé la construction du premier bâtiment d’abord

et des deux autres par la suite. Monsieur Manase RAMANANTSOA en a été le

représentant à Madagascar à l’époque ;

- le peuple italien par la Conférence épiscopale italienne qui a offert un fonds pour

l’ameublement ;

- l’Aide au Développement de Liechtenstein qui a aidé financièrement à la mise en

place des premières infrastructures ;

- la ferme volonté de Monseigneur Félix RAMANANARIVO et l’initiative sans égale

de Monsieur José RIBEAUD. Ils n’ont pas ménagé leur peine pour donner aux jeunes

d’Antsirabe, avant tout, l’opportunité d’acquérir une formation universitaire sur place

sans qu’on repousse pour autant les jeunes venant des autres régions. Ils se sont

intervenus auprès des différentes institutions publiques, internationales et privées dans

le cadre de recherche d’appui surtout financier ;

- le Conseil d’Administration dont le Président était Monsieur RABEFIRAISANA

Rodolphe. Les membres de ce Conseil ont beaucoup contribué à la facilitation du

transfert à Miaramasoandro.

1.2. LA FORMATION

1.2.1. Présentation de la formation

Elle est de type professionnalisant. Ce choix est adopté en se basant sur la synthèse des

résultats d’une enquête effectuée par Madame Stéphanie BONHOMME, ingénieur

agronome français à qui le Père Bernard RANDRIANASOLO, aumônier diocésain de

l’éducation catholique, a confié le travail auprès des jeunes lycéens et des parents en 1999.

La formation est destinée aux candidats titulaires du baccalauréat pour les 6 premières

filières, dure 3ans et est sanctionnée par le Diplôme du Technicien Supérieur Spécialisé,

diplôme ayant obtenu l’Equivalence administrative délivrée par le Ministère de la

Fonction Publique et des lois sociales le 28 avril 2005. Tandis que dans la 7ème filière, le

recrutement est ouvert à toutes les personnes voulant acquérir ou perfectionner ses

connaissances en lapidairerie. L’ « amour du métier » y est le critère essentiel de

recrutement. Mais il est conseillé d’avoir une bonne compréhension du français.

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1.2.2. Les Filières

a) Communication et Journalisme (COMJ)

La filière met l’accent sur les nouvelles technologies de la communication et sur les

attentes de l’économie locale désireuse de s’ouvrir aux marchés internationaux et

d’améliorer son image de marque.

b) Ecotourisme (ET)

La filière a pour but de former des professionnels qualifiés, appelés à jouer un rôle de

premier plan dans le développement d’un tourisme respectueux de la nature et de la

population de Madagascar.

c) Electromécanique (EM)

La filière a comme objectif principal la formation de techniciens polyvalents

maîtrisant les technologies de pointe pour une industrie malgache compétitive avec

spécialisation en fin de formation.

d) Gestion Management (GM)

L’objectif est de former des futurs responsables, décideurs ou entrepreneurs, maîtrisant

les techniques modernes de la gestion et du management.

e) Hôtellerie et Restauration (HR)

Former des futurs professionnels en hôtellerie et restauration conformes aux normes

internationales.

f) Sciences et Techniques de l’Education (STE)

La filière a pour but de former des professeurs qualifiés et compétents répondant aux

besoins, aux obligations et aux profits de l’éducation.

1.3. LA DIRECTION

Quatre personnes se sont succédé à sa tête depuis sa création de :

- 1999 à 2000 : le Père Bernard RANDRIANASOLO, directeur ;

- 2000 à 2004 : Monsieur Olivier Donat ANDRIAMAHEFAPARANY, Recteur ;

- 2004 à 2007 : Monsieur Jacques Sun Hery VESTALYS, Recteur ;

- et du mois d’octobre 2007 jusqu’à présent : le Père Alain André RABARIJAONA,

Recteur.

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1.4. PARTENARIAT

L’école est en partenariat avec :

- La Fondation Avenir Madagascar (FAM), une fondation suisse créée par Monsieur

José RIBEAUD, l’année 2001 ;

- La bibliothèque de l’Université d’Antananarivo, le 14 décembre 2005 ;

- L’IGAM, le 17 février 2006 ;

- La COTONA pour la filière électromécanique, le 15 septembre 2005 ;

- Le SYFIA le 07 mars 2006 (c’est un accord particulier entre la Filière Communication

et la SYFIA) ;

- Tout ceci n’exclut pas les collaborations ô combien importantes ! Apportées par

certains organismes et/ou entreprises tels que l’HOLCIM Madagascar, le Rotary Club

d’Alsace et d’Antsirabe.

1.5. LA CONSTRUCTION DES BATIMENTS

- Première : bâtiment de la GM actuel, à l’Est, avec étage, pose de la première pierre :

06 janvier 2000, construction en 2000, début cours à Miaramasoandro : avril 2001.

Financé par Nouvelle Planète suisse, avec comme Représentant à Madagascar,

Monsieur Manase RAMANANTSOA.

- Deuxième : bâtiment de l’ET, construction en 2001, au sud, entre le bâtiment du

Recteur à l’EST et celui de l’HR(cuisine et cantine) à l’Ouest, financé également par

Nouvelle Planète suisse,

- Troisième : bâtiment de la COMJ et des STE, construction en 2001, au sud, avec

étage, financé par Nouvelle Planète suisse,

- Quatrième : salle d’informatique et de CDI, construction début 2003, inauguration

25/04/03, financé par Holcim et Fondation Avenir Madagascar,

- Cinquième : 1er bâtiment de l’HR, avec cuisine et cantine, construction en 2005,

financé par Fondation Avenir Madagascar

- Sixième : 2ème bâtiment de l’HR, Restaurant, construction en 2006,

- Septième : bâtiment de la lapidairerie, construction en 2006, inauguration le 14

décembre 2006 par Olivier Donat ANDRIAMAHEFAPARANY, ministre du

Tourisme, ancien Recteur de l’ESSVA)

- Huitième : 3ème bâtiment de l’HR, à l’ouest du Restaurant, construction en 2008,

inauguré le 21 octobre 2008,

- et le bâtiment de l’Electromécanique, construction en 2008.

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Avec ses 642 diplômés pendant ses 10 ans d’existence, l’école peut être fière d’avoir apporté

sa contribution dans la formation professionnelle des jeunes malagasy.

Sur le registre matricule, on compte 1380 étudiants ayant suivi les cours jusqu’en juillet 2009.

Le 23 octobre 2009, elle ouvre la célébration de son 10ème anniversaire avec :

- L’initiateur et fondateur, Mgr Félix RAMANANARIVO ;

- Les représentants de la FAM : le Frère Jean Claude CHRISTE, Président, Madame

Clara BLANC, membre et Monsieur Pierre PETIGNAT, Vice Président ;

- Les autorités locales et nationales ;

- La grande famille de l’ESSVA (Conseil d’administration, Rectorat) ;

- Les partenaires.

A partir du février 2010, Monseigneur Philippe RANAIVOMANANA, remplaçant de Mgr

Félix RAMANANARIVO en tant qu’évêque du diocèse d’Antsirabe et initiateur fondateur de

l’ESSVA, devient l’Autorité morale de l’école.

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1.6. ORGANIGRAMME

Figure 1: Organigramme de l’ESSVA

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Chapitre 2 : PRESENTATION DU CENTRE UNIVERSITAIRE

DE FORMATION PROFESSIONNALISANTE (CUFP)

2.1. HISTORIQUE

Suivant l’arrêté rectoral n°99-23/UF/R du 10 Mars 1999, le Centre de Formation Continue

abrégé par C.F.C. a été créé et, a l’époque, dispensait des formations de techniciens supérieurs

en Développement d’Applications Informatiques (DAI) et en Assistance de Direction (AD).

Il a été créé au sein de l’université de Fianarantsoa par le décret N°2005-205 du 26 Avril

2005 sous le nom Centre Universitaire de Formation Professionnalisante (CUFP.) et prépare

le diplôme de licence professionnelle.

2.2. OBJECTIFS PRINCIPAUX DU CENTRE

Le Centre a pour mission, d'abord de dispenser des formations initiales et continues en

informatique et en administration. Ensuite, il offre des services connexes à l'informatique.

Il a pour mission de :

- Former des Techniciens Supérieurs Spécialisés en : « Informatique des Systèmes et

Réseaux », « Administration Economique et sociale », opérationnels immédiatement dans les

Entreprises ;

- Assurer le perfectionnement professionnel des étudiants, des demandeurs d’emploi, des

employés et des cadres d’entreprises ;

- Assurer des prestations de services dont :

o Conception et réalisation de pages web ;

o Conception et Développement d’applications informatiques sur mesure ;

o Installation et Maintenance des systèmes informatiques : matériels et logiciels ;

o Assistance et conseil en Informatique ;

o Bureautique.

Le centre comprend deux départements qui sont : le département Administration et le

département Informatique. Pour chaque département, la durée de formation est fixée à trois

ans et est sanctionnée par un diplôme de Licence professionnelle délivré par l’Université de

Fianarantsoa.

2.3. LES FORMATIONS DISPENSEES

2.3.1. Filière Administration Economique et Sociale

FORMATION INITIALE

Condition d’admission : Test de niveau

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Condition d’accès : Bacheliers toutes séries

Durée de formation : 03 Années universitaires

Stages :

- 1ère Année : Voyage d’études ;

- 2ème Année : Stage de réalisation suivi d’un rapport et d’une soutenance ;

- 3ème Année : Stage de fin d’études suivi d’un mémoire et d’une soutenance.

DIPLOME : Licence en Administration Economique et Sociale

COMPETENCES

Les étudiants titulaires du diplôme de licence professionnelle en Administration

Economique et Sociale doivent être capables de :

- Assister la Direction Générale, la Direction des Ressources Humaines (D.R.H.), la

Direction Administrative et Financière (D.A.F.) ;

- Gérer des Ressources Humaines, Financières, Physiques ;

- Gérer une Entreprise ;

- Gérer un Projet.

FORMATIONS CONTINUE

Pour le département administration, le centre dispose de formations continues en :

- Langues Etrangères ;

- Communication ;

- Gestion Administrative et Secrétariat.

2.3.2. Filière Informatique des Systèmes et Réseaux

FORMATION INITIALE

Condition d’admission : Test de niveau

Condition d’accès : Bacheliers C, D, technologique et professionnel

Durée de formation : 03 Années universitaires

Stages :

- 1ère Année : Stage d’insertion /Voyage d’études en entreprise ;

- 2ème Année : Stage de réalisation suivi d’un rapport et d’une soutenance ;

- 3ème Année : Stage de fin d’études suivi d’une soutenance d’un mémoire.

DIPLOME : Licence en Informatique des Systèmes et Réseaux.

COMPETENCES

Les étudiants titulaires du diplôme de licence professionnelle en Informatique des

Systèmes et Réseaux ont les capacités pour :

- L’administration de Bases de Données ;

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- L’administration de Réseaux et Systèmes Informatiques ;

- Le développement d’Applications Client/serveur ;

- La conception de Système d’information.

FORMATIONS CONTINUES

Pour le département informatique, le centre dispose de formations continues en :

- Système de Gestion de Base de Données sous plusieurs logiciels ;

- Maintenance de Réseaux et Systèmes Informatiques ;

- Administration de Réseaux et Systèmes Informatiques ;

- Bureautique ;

- Autres formations sur demande.

2.4. ORGANIGRAMME

L’organigramme du CUFP est présenté par la FIGURE 2 ci-dessous.

Figure 2: Organigramme du CUFP

2.4.1. Conseil d’établissement

Le conseil d’établissement est présidé par un membre élu en son sein.

Le conseil de l’établissement :

- Définit la politique générale du centre ;

- Assure le suivi et l’évaluation des activités du centre.

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Le conseil de l’établissement se réunit en session ordinaire deux fois par an sur

convocation de son président. Il peut être convoqué en session extraordinaire sur

l’initiative de son président ou de 2/3 de ses membres quand l’intérêt du centre l’exige. Il

peut faire appel à toute personne dont il juge la consultation utile. Le président du conseil

préside la réunion de l’établissement. La durée du mandat du président est de un (01) an,

renouvelable.

2.4.2. Directeur

Le directeur est chargé de :

- Exécuter le budget du Centre Universitaire de Formation Professionnalisante ;

- Exécuter les délibérations du conseille d’établissement ;

- Gérer les biens qui ont été affectés au Centre Universitaire de Formation

Professionnalisante ;

- Assurer le respect de la discipline et du règlement au sein du Centre Universitaire de

Formation Professionnalisante ;

Pour assurer sa mission, le Directeur est assisté par les chefs de département :

- Département en Administration ;

- Département en Informatique.

2.4.3. Chefs de département

Ils sont en collaboration avec le Directeur et font partie des formateurs. Les chefs de

départements travaillent indépendamment mais en coordination.

2.4.4. Collège des enseignants

Le collège des enseignants se réunit en session ordinaire deux fois par an. Il est formé par

l’équipe des professeurs du Centre de Formation Professionnalisante.

2.4.5. Personnel administratif

Le personnel administratif s’occupe seulement de ce qui est administration tels que : les

factures, les courriers …c'est-à-dire le secrétariat et la comptabilité. De plus, le secrétaire

est également réceptionniste.

2.5. RESSOURCES

2.5.1. Ressources humaines

Le centre emploi 9 employés de bureau dont :

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- Directeur ;

- Deux chefs de département ;

- Secrétaire principal (SECPAL) ;

- Chef de scolarité ;

- Comptable ;

- Responsable de ressources matérielles ;

- Un secrétaire de direction et un secrétaire de scolarité.

2.5.2. Ressources matérielles

Le centre dispose de 10 salles dont 3 bureaux, 4 salles de classe et 3 salles de machines.Le

centre utilise 9 ordinateurs en réseaux et connectés sur Internet, deux imprimantes et une

photocopieuse pour l’administration et 24 ordinateurs pour les étudiants dont 8 par salle de

machines.

2.6. PARTENARIAT

Les partenariats du Centre Universitaire de Formation Professionnalisante sont les suivants :

- Ecole National d’Informatique ;

- Institut Halieutique et des Sciences Marines de Tuléar ;

- Alliance Franco-malgache ;

- Telecom Malagasy ;

- Assurances Réassurances Omni-branches (ARO) ;

- Lazan’i Betsileo ;

- MAC et Frères ;

- JIRAMA ;

- Zain Madagascar.

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Chapitre 3 : PRESENTATION DU PROJET

Il convient de signaler que l’ESSVA, avec ses dix années d’expérience, et une des écoles

supérieures existantes à Madagascar qui parviennent à garder sa notoriété et son dynamisme

en matière d’éducation et de formation. Donc, nous avons dû miser sur l’harmonisation de la

gestion des ressources existantes. Cela permet d’améliorer de manière optimale la qualité de

l’enseignement dispensé. D’où la nécessité d’un outil de gestion du personnel et des

enseignants est indispensable.

En prenant conscience de l’existence de cette problématique et dans l’optique d’une

amélioration constante des ses activités, l’ESSVA décide de faire appel à nous de charger la

mise en place d’un système d’information et la réalisation d’un outil de gestion informatisé

qui est à la fois dynamique, fiable et facile à manipuler.

L’objectif principal de notre projet est donc d’harmoniser la gestion du personnel et des

enseignants vacataires de l’ESSVA.

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Deuxième partie

ETUDE PREALABLE DU PROJET

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Cette partie se divise en quatre chapitres : l’analyse des besoins, l’étude d’opportunité,

l’étude de faisabilité et l’étude de l’existant.

Avant de le faire, nous allons essayer de donner une brève explication concernant le cycle

de vie de logiciel.

Chapitre 1 : CYCLE DE VIE DE LOGICIEL

Le « cycle de vie d'un logiciel » (en anglais software lifecycle), désigne toutes les étapes du

développement d'un logiciel, de sa conception à sa disparition. L'objectif d'un tel découpage

est de permettre de définir des jalons intermédiaires permettant la validation du

développement logiciel, c'est-à-dire la conformité du logiciel avec les besoins exprimés, et la

vérification du processus de développement, c'est-à-dire l'adéquation des méthodes mises en

œuvre.

Le développement d'un logiciel se fait suivant un cycle appelé le cycle de vie du logiciel.

Le cycle de vie est décomposé en phases de développement :

- Spécifications des besoins ;

- Conception générale ;

- Conception détaillée ;

- Codage et tests unitaires ;

- Intégration des modules ;

- Intégration du logiciel ;

- Recette (ou qualification).

La séquence et la présence de chacune de ces phases dans le cycle de vie dépend du choix

d'un modèle de cycle de vie entre le client et l'équipe de développement.

1.1.MODELE DE CYCLE DE VIE DE LOGICIEL

C’est l’ensemble séquentiel de phases, dont le nom et le nombre sont déterminés en

fonction des besoins du projet, permettant généralement le développement d’un service ou

d’un produit. Voici quelques exemples de modèle de cycle de vie :

- Cycle en cascade ;

- Cycle en V ;

- Cycle en spirale.

Mais, dans notre cas nous avons choisi le modèle de cycle de vie en V.

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1.2.MODELE EN V

Le modèle de cycle de vie en V part du principe que les procédures de vérification de la

conformité du logiciel aux spécifications doivent être élaborées dès les phases de conception.

Et voilà donc la représentation graphique du modèle en V :

Figure 3 : Représentation graphique du modèle en V

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Chapitre 2 : EXPRESSION DES BESOINS

D’AUTOMATISATION

2.1. ORIGINE DE LA PROPOSITION

L’objectif de l’ESSVA est de mettre en place un nouveau système d’information unique et

à jour qui facilite le suivi des données de l’institut. Le chargement proposé s’inscrit surtout au

niveau de la politique de gestion et suivi des mouvements du personnel et enseignants.

La plupart des travaux effectués à l’ESSVA sont manuels ou semi-automatique, c’est-à-

dire des tâches bureautiques. Cela ne suffise pas si nous voulons que la qualité de

l’enseignement soit meilleure. Alors, nous pensons toute de suite à un système qui permet de

gérer les mouvements du personnel plus précisément l’automatisation des congés et des

permissions et aussi la gestion de la comptabilisation des cours enseignés par les enseignants

de l’ESSVA.

2.2. LES GRANDES LIGNES DE L’APPLICATION

Le projet consiste à concevoir un système d’information. D’après la proposition, voici

donc les fonctions de l’application qu’on peut voir dans ce projet sont :

- La suivie des mouvements du personnel permanents (congé et permission) ;

- Toutes les mises à jour et consultation des informations concernant à un membre du

personnel ;

- La mise à jour et consultation de la comptabilisation de cours (suivie des cours);

- La mise à jour du volume horaire ;

- La mise à jour et consultation de la vacation des enseignants vacataires.

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Chapitre 3 : ETUDE D’OPPORTUNITE

3.1. ORGANISATION DE L’ETUDE

L’ESSVA, par l’intermédiaire d’un étudiant stagiaire est chargée de mettre en œuvre

l’application du début jusqu’à la fin.

L’étudiant assurera :

- La définition et proposition de solutions ;

- L’évaluation de leur faisabilité ;

- La rédaction du rapport de l’étude d’opportunité.

3.2. OPPORTUNITE DE L’APPLICATION

Les informations seront stockées dans une base de données dans le serveur qui se situe au

sein de l’ESSVA, et l’application sera enregistrée dans le même serveur.

Le secrétaire et l’administrateur pourront suivre à tout moment l’évolution de la formation

et mettre à jour toutes les informations nécessaires.

Les informations concernant les comptes des utilisateurs de l’application seront sécurisées

c’est-à-dire elles sont protégées contre les altérations ou les accès non autorisés (protégé,

confidentiel) ; chaque utilisateur a son propre mot de passe pour accéder à la nouvelle

application.

Ils ont le privilège de ne pouvoir accéder qu’aux informations les concertants, pour être un

peut plus claire en se sujet, les données spécialisés pour les RF ne pourront jamais être

accessible par des autres utilisateurs comme les comptables ou les RH.

Les informations concernant le personnel seront disponibles à tout moment pour les

personnes qui en ont le droit d’y accéder.

Convivialité du nouveau système minimum d’effort pour l’apprentissage du nouveau

système grâce à la création des interfaces simples pour les applications conversationnelles.

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Chapitre 4 : ETUDE DE FAISABILITE

4.1. FAISABILITE ORGANISATIONNELLE ET TECHNIQUE

Pour un développement sans risque, les matériels nécessaires pour effectuer la conception et

la réalisation du projet sont :

- Intel Pentium IV de fréquence supérieure ou égale à 2.80 GHz ;

- RAM : au moins 256 MO ;

- Disque dur : à partir de 20 GO ;

- ECRAN 17‘’ ;

- Système d’exploitation : Microsoft Windows XP professionnel.

- Office professionnel XP ;

- Adobe Photoshop, dreamweaver 8 ;

- EASYPHP regroupant apache, PHPMyAdmin ;

- Navigateurs pour tester l’application : Mozila firefox, Internet explorer ;

- MYSQL sera utilisé comme système de gestion de base de données ;

- PHP sera le langage de programmation.

4.2. FAISABILITE ECONOMIQUE

Du point de vue logiciel à utiliser pour la réalisation de l’application, on constate que

l’ESSVA dispose de toutes ces ressources. Elle possède déjà d’un serveur qui comprend un

serveur de base de données MYSQL, un serveur web et PHP 5.0.5.

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Chapitre 5 : ETUDE DE L’EXISTANT

5.1. ORDINATEURS

L’ESSVA possède un parc informatique ayant plus de quatre vingt (80) machines qui ont

chacun leur propre caractéristiques et se repartissent dans différents secteur de

l’établissement.

Voici donc quelques-unes de ces caractéristiques :

MARQUE PROCESSEUR RAM (en Mo) HDD (en Go)

ACER (Lap Top) Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 1.600GHz

1024 80

ANTHENA Intel (R) Pentium(R)

III CPU 800 MHz

256 20

CLONE Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 3.200GHz

1024 360

DELL Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 1.800GHz

512 20

DELL (Lap Top) Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 2.600GHz

512 40

HP COMPAC Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 2.800GHz

512 40

HP VECTRA Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 1.800GHz

512 40

IBM Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 1.600GHz

256 60

MSI Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 2.800GHz

512 120

Sony VAIO (Lap

Top)

Intel (R) Pentium(R)

IV CPU 2.800GHz

512 60

5.2. PERIPHERIQUES

- Imprimante HP laser jet P1005 ;

- Imprimante Canon ;

- Switch ST Lab 16 ports et 24 ports

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5.3. LOGICIELS EXISTANTS

- Système d’exploitation

o Microsoft Windows server 2003 ;

o Microsoft Windows XP professionnel service pack 2 (avec 25 licences).

- Logiciels d’applications

Puisque c’est un enseignement supérieur, l’ESSVA possède presque tous les logiciels

qui servent à tous les domaines en informatique et surtout la bureautique.

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Troisième partie

LA CONCEPTION

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La conception de système d’information d’une application web dynamique n’est pas

évidente car il faut réfléchir à l’ensemble de l’organisation que l’on doit mettre en place. La

phase de conception nécessite des méthodes permettant de mettre en place un modèle sur

lequel on va s’appuyer. La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d’une

réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels on s’intéresse.

Il existe plusieurs types de méthodes d’analyse, mais sur ce projet nous allons utiliser

UML.

Chapitre 1 : PRESENTATION DE « UML »

1.1. PRESENTATION ET JUSTIFICATION DU CHOIX DE UML

La modélisation est donc une des tâches les plus importantes dans le processus de

développement d'un système. La phase consacrée à l'analyse peut être considérée comme plus

stratégique que celles dévolues à la conception et l'implémentation proprement dites. Il faut en

effet fondamentalement représenter, comprendre et identifier les exigences du système afin de

concevoir puis d'implémenter ensuite une application stable et performante.

UML opte pour l'élaboration des modèles, plutôt que pour une approche qui impose une

barrière stricte entre l'analyse et la conception.

D'abord nous allons définir ce qu'est un modèle :

- Un modèle est une simplification de la réalité ;

- Il permet de mieux comprendre le système qu'on doit développer ;

- Les meilleurs modèles sont proches de la réalité ;

- Un modèle est une vue subjective mais pertinente de la réalité ;

- Un modèle définit une frontière entre la réalité et la perspective de l'observateur. Ce

n'est pas "la réalité", mais une vue très subjective de la réalité ;

- Bien qu'un modèle ne représente pas une réalité absolue, un modèle reflète des aspects

importants de la réalité, il en donne donc une vue juste et pertinente.

Caractéristiques fondamentales des modèles

Le caractère abstrait d'un modèle doit notamment permettre de:

- faciliter la compréhension du système étudié ;

- Un modèle réduit la complexité du système étudié ;

- Simuler le système étudié ;

- Un modèle représente le système étudié et reproduit ses comportements.

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Lorsqu'on souhaite réaliser un système logiciel performant, il est aujourd'hui nécessaire de

représenter, de spécifier, de construire et de documenter au préalable ce système à l'aide d'un

langage adapté admis par la communauté des spécialistes du logiciel.

Le langage le plus employé de nos jours, et qui tend à devenir un standard est le langage UML

(Unified Modeling Language, traduit "langage de modélisation objet unifié").

Il ne s'agit pas d'un langage de programmation, ni d'un langage strictement technique : UML a

été créé dans le souci de favoriser à la fois la description, l'analyse et la conception d'un

système logiciel afin de le réaliser aussi bien que possible.

Il devient un triple acteur en permettant de :

- Décrire les plans de construction du système logiciel, en y intégrant tous les

ingrédients conceptuels, toutes les fonctions et toutes les bases de données, toutes les

classes et tous les composants logiciels ;

- Valider ces plans avant de commencer la programmation ;

- Réaliser effectivement le système.

1.1.1. Définition et historique d’UML

UML qui est un langage textuel et graphique a fait l'objet de grands travaux de

recherche.

La modélisation objet consiste à créer une représentation informatique des éléments du

monde réel auxquels on s'intéresse, sans se préoccuper de l'implémentation, ce qui signifie

indépendamment d'un langage de programmation. Il s'agit donc de déterminer les objets

présents et d'isoler leurs données et les fonctions qui les utilisent. Pour cela des méthodes

ont été mises au point. Entre 1970 et 1990, de nombreux analystes ont mis au point des

approches orientées objets, si bien qu'en 1994 il existait plus de 50 méthodes objet.

Toutefois seules 3 méthodes ont véritablement émergé :

- La méthode OMT de Rumbaugh ;

- La méthode BOOCH'93 de Booch ;

- La méthode OOSE de Jacobson (Object Oriented Software Engineering).

UML 1.0 est soumise à l'OMG (Object Management Group) en janvier 1997, mais elle

ne sera acceptée qu'en novembre 1997 dans sa version 1.1, date à partir de laquelle UML

devient un standard international.

UML a évolué très rapidement ainsi respectivement en 2003 et 2004, UML1.5 et UML2.0

ont vu le jour.

Plusieurs enquêtes réalisées sur les sites dédiés au génie logiciel ont montré que UML

constitue le langage par excellence pour la modélisation.

CUFP ESSVA


En l'espace d'une poignée d'années seulement, UML est devenu un standard

incontournable.

Les experts tant en analyse et conception qu'en programmation informatique diffusent

d'innombrables articles au sujet de ce dernier et à en croire certains, utiliser les

technologies objet sans UML relève de l'hérésie.

Les concepts de base de l'approche objet sont stables, largement éprouvés et ne

datent pas d'aujourd'hui. Programmer « objet » c'est donc bénéficier d'une

panoplie d'outils et de langages performants. L'approche objet est une solution

technologique incontournable. Ce n'est plus une mode, mais un réflexe quasi automatique

dès lors qu'on cherche à concevoir des logiciels complexes qui doivent "résister" à des

évolutions incessantes.

Pourquoi avions-nous préféré UML comme langage de modélisation par opposition au

traditionnel cheminement merisien au moment où l'informatique de gestion apparaît de

plus en plus comme un des éléments majeurs de la stratégie des entreprises ?

Notre choix se fonde sur plusieurs critères. D'abord l'émergence soudaine de UML ces

dernières années. Cette émergence se justifie par plusieurs atouts que nous ne manquerons

pas de relater dans ce mémoire. Ensuite ce choix est lié à la complexité du système que

nous devons modéliser.

1.1.2. Justification du choix d’UML

a) Avantages et inconvénients d’UML

Parlant des raisons qui expliquent cet engouement massif pour ce langage, il faut

préciser qu’UML, contrairement à son prédécesseur MERISE qui pourtant est utilisée

de nos jours, donne un sens intéressant à l'approche objet et couvre de plus tout le

cycle de réalisation du logiciel.

Etant donné qu'il est le fruit de la fusion de plusieurs méthodes objets, il utilise

l'approche objet en présentant un langage de description universel.

Il permet grâce à un ensemble de diagrammes très explicites, de représenter

l'architecture et le fonctionnement des systèmes informatiques complexes en tenant

compte des relations entre les concepts utilisés et l'implémentation qui en découle.

UML est avant tout un support de communication performant, qui facilite la

représentation et la compréhension de solutions objet :

- Sa notation graphique permet d'exprimer visuellement une solution objet, ce

qui facilite la comparaison et l'évaluation de solutions ;

- L'aspect formel de sa notation, limite les ambiguïtés et les incompréhensions ;

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- Son indépendance par rapport aux langages de programmation, aux

domaines d'application et aux processus, en fait un langage universel.

UML est donc bien plus qu'un simple outil qui permet de "dessiner" des

représentations mentales... Il permet de parler un langage commun, normalisé mais

accessible, car visuel. Il représente un juste milieu entre langage mathématique et

naturel, pas trop complexe mais suffisamment rigoureux, car basé sur un méta modèle.

Une autre caractéristique importante d'UML, est qu'il cadre l'analyse. UML permet de

représenter un système selon différentes vues complémentaires : les diagrammes.

Un diagramme UML est une représentation graphique, qui s'intéresse à un aspect

précis du modèle ; c'est une perspective du modèle.

Chaque type de diagramme UML possède une structure (les types des éléments de

modélisation qui le composent sont prédéfinis) et véhicule une sémantique précise (il

offre toujours la même vue d'un système).

Combinés, les différents types de diagrammes UML offrent une vue complète des

aspects statiques et dynamiques d'un système. Les diagrammes permettent donc

d'inspecter un modèle selon différentes perspectives et guident l'utilisation des

éléments de modélisation (les concepts objet), car ils possèdent une structure.

Une caractéristique importante des diagrammes UML, est qu'ils supportent

l'abstraction. Cela permet de mieux contrôler la complexité dans l'expression et

l'élaboration des solutions objet.

UML opte en effet pour l'élaboration des modèles, plutôt que pour une approche qui

impose une barrière stricte entre analyse et conception. Les modèles d'analyse et de

conception ne diffèrent que par leur niveau de détail, il n'y a pas de différence dans les

concepts utilisés. UML n'introduit pas d'éléments de modélisation propres à une

activité (analyse, conception...) ; le langage reste le même à tous les niveaux

d'abstraction.

Cette approche simplificatrice facilite le passage entre les niveaux d'abstraction.

L'élaboration encourage une approche non linéaire, les "retours en arrière" entre

niveaux d'abstraction différents sont facilités et la traçabilité entre modèles de niveaux

différents est assurée par l'unicité du langage. Il s'agit d'une tâche très complexe, qui

nécessite une approche itérative, car il est plus efficace de construire et valider par

étapes, ce qui est difficile à cerner et maîtriser.

C'est donc avec beaucoup d'intérêt que nous avons pris connaissance de cette

proposition de notre maître de stage à utiliser comme langage de modélisation UML.

CUFP ESSVA


b) Les points forts d'UML

UML est un langage formel et normalisé, il permet le gain de précision, encourage

l'utilisation d'outils et constitue à cet effet un gage de stabilité.

UML est un support de communication performant, il cadre l'analyse et facilite la

compréhension de représentations abstraites complexes. Son caractère polyvalent et sa

souplesse en font un langage universel.

c) Les points faibles d'UML

La mise en pratique d'UML nécessite un apprentissage et passe par une période

d'adaptation.

Même si l'Espéranto est une utopie, la nécessité de s'accorder sur des modes

d'expression communs est vitale en informatique. UML n'est pas à l'origine des

concepts objets, mais en constitue une étape majeure, car il unifie les différentes

approches et en donne une définition plus formelle.

Le processus (non couvert par UML) est une autre clé de la réussite d'un projet. Or,

l'intégration d'UML dans un processus n'est pas triviale et améliorer un processus est

une tâche complexe et longue. Les auteurs d'UML sont tout à fait conscients de

l'importance du processus, mais l'acceptabilité industrielle de la modélisation objet

passe d'abord par la disponibilité d'un langage d'analyse.

1.2. COMMENT MODELISER AVEC UML ?

UML est un langage qui permet de représenter des modèles, mais il ne définit pas le

processus d'élaboration des modèles. Cependant, dans le cadre de la modélisation d'une

application informatique, les auteurs d'UML préconisent d'utiliser une démarche :

- Itérative et incrémentale ;

- guidée par les besoins des utilisateurs du système ;

- centrée sur l'architecture logicielle.

D'après les auteurs d'UML, un processus de développement qui possède ces qualités

devrait favoriser la réussite d'un projet.

Une démarche itérative et incrémentale :

- L'idée est simple, pour modéliser (comprendre et représenter) un système complexe, il

vaut mieux s'y prendre en plusieurs fois, en affinant son analyse par étapes.

CUFP

Mémoire de fin d’études

- Cette démarche devrait aussi s'appliquer au cycle de développement dans Le but est de

mieux maîtriser la part d'inconnu et d'incertitudes qui caractérisent les systèmes

complexes.

Une démarche pilotée par les besoins des utilisateurs

- Avec UML, ce sont les utilisateurs

- Le périmètre du système à modéliser est défini par les besoins des utilisateurs (les

utilisateurs définissent ce que doit être le système).

- Le but du système à modéliser est de répondre aux besoins de ses utilisateu

utilisateurs sont les clients du système).

Les besoins des utilisateurs servent aussi de fil rouge, tout au long du cycle de

développement (itératif et incrémental) :

- A chaque itération de la phase d'analyse, on clarifie, affine et valide les

utilisateurs.

- A chaque itération de la phase de conception et de réalisation, on veille à la prise en

compte des besoins des utilisateurs.

- A chaque itération de la phase de test, on vérifie que les besoins des utilisateurs sont

satisfaits.

Une démarche centrée sur l'architecture ?

- Une architecture adaptée est la clé de voûte du succès d'un développement.

des choix stratégiques qui déterminent en grande partie les qualités du logiciel

(adaptabilité, performances, fiabilité

- Ph. Kruchten propose différentes perspectives, indépendantes et complémentaires, qui

permettent de définir un modèle d'architecture (publication IEEE, 1995).

Cette vue ("4+1") a fortement inspiré UML :

1.2.1. La vue logique

Cette vue de bas niveau (aussi ap

- L'allocation des éléments de modélisation dans des modules (fichiers sources,

bibliothèques dynamiques

devrait aussi s'appliquer au cycle de développement dans Le but est de


Une démarche pilotée par les besoins des utilisateurs :

Avec UML, ce sont les utilisateurs qui guident la définition des modèles :

Le périmètre du système à modéliser est défini par les besoins des utilisateurs (les

utilisateurs définissent ce que doit être le système).

Le but du système à modéliser est de répondre aux besoins de ses utilisateu

utilisateurs sont les clients du système).


développement (itératif et incrémental) :

A chaque itération de la phase d'analyse, on clarifie, affine et valide les

A chaque itération de la phase de conception et de réalisation, on veille à la prise en

compte des besoins des utilisateurs.

A chaque itération de la phase de test, on vérifie que les besoins des utilisateurs sont

démarche centrée sur l'architecture ?

Une architecture adaptée est la clé de voûte du succès d'un développement.


lité, performances, fiabilité).

Kruchten propose différentes perspectives, indépendantes et complémentaires, qui


Cette vue ("4+1") a fortement inspiré UML :

Cette vue de bas niveau (aussi appelée "vue de réalisation"), montre :

L'allocation des éléments de modélisation dans des modules (fichiers sources,

bibliothèques dynamiques, bases de données, exécutables).

ESSVA

29

devrait aussi s'appliquer au cycle de développement dans Le but est de


qui guident la définition des modèles :

Le périmètre du système à modéliser est défini par les besoins des utilisateurs (les

Le but du système à modéliser est de répondre aux besoins de ses utilisateurs (les


A chaque itération de la phase d'analyse, on clarifie, affine et valide les besoins des

A chaque itération de la phase de conception et de réalisation, on veille à la prise en

A chaque itération de la phase de test, on vérifie que les besoins des utilisateurs sont

Une architecture adaptée est la clé de voûte du succès d'un développement. Elle décrit


Kruchten propose différentes perspectives, indépendantes et complémentaires, qui


L'allocation des éléments de modélisation dans des modules (fichiers sources,

CUFP ESSVA


- En d'autres termes, cette vue identifie les modules qui réalisent (physiquement) les

classes de la vue logique.

- L'organisation des composants, c'est-à-dire la distribution du code en gestion de

configuration, les dépendances entre les composants.

- Les contraintes de développement (bibliothèques externes...).

- La vue des composants montre aussi l'organisation des modules en " sous-systèmes" ,

les interfaces des sous-systèmes et leurs dépendances (avec d'autres sous-systèmes ou

modules).

1.2.2. La vue des composants

Cette vue de haut niveau se concentre sur l'abstraction et l'encapsulation, elle modélise les

éléments et mécanismes principaux du système.

Elle identifie les éléments du domaine, ainsi que les relations et interactions entre ces

éléments : les éléments du domaine sont liés au(x) métier(s) de l'entreprise, *ils sont

indispensables à la mission du système,

1.2.3. La vue des processus

Cette vue organise aussi (selon des critères purement logiques), les éléments du domaine

en " catégories" :

- pour répartir les tâches dans les équipes ;

- regrouper ce qui peut être générique ;

- isoler ce qui est propre à une version donnée.

1.2.4. La vue de déploiement

Cette vue est très importante dans les environnements multitâches, elle montre :

- La décomposition du système en termes de processus (tâches) ;

- Les interactions entre les processus (leur communication) ;

- La synchronisation et la communication des activités parallèles (threads).

1.2.5. La vue des besoins des utilisateurs

Cette vue (dont le nom exact est "vue des cas d'utilisation"), guide toutes les autres.

- Dessiner le plan (l'architecture) d'un système informatique n'est pas suffisant, il faut le

justifier. Cette vue définit les besoins des clients du système et centre la définition de

l'architecture du système sur la satisfaction (la réalisation) de ces besoins ;

CUFP ESSVA


- A l'aide de scénarios et de cas d'utilisation, cette vue conduit à la définition d'un

modèle d'architecture pertinent et cohérent ;

- Cette vue est la "colle" qui unifie les quatre autres vues de l'architecture ;

- Elle motive les choix, permet d'identifier les interfaces critiques et force à se

concentrer sur les problèmes importants.

1.3. COMMENT REDIGER UN MODELE AVEC UML ?

- UML permet de définir et de visualiser un modèle, à l'aide de diagrammes.

- Un diagramme UML est une représentation graphique, qui s'intéresse à un aspect

précis du modèle ; c'est une perspective du modèle, pas "le modèle".

- Chaque type de diagramme UML possède une structure (les types des éléments de

modélisation qui le composent sont prédéfinis).

- Un type de diagramme UML véhicule une sémantique précise (un type de diagramme

offre toujours la même vue d'un système).

- Combinés, les différents types de diagrammes UML offrent une vue complète des

aspects statiques et dynamiques d'un système.

Les diagrammes UML supportent l'abstraction. Leur niveau de détail caractérise le niveau

d'abstraction du modèle. L'abstraction est un des piliers de l'approche objet :

- Il s'agit d'un processus qui consiste à identifier les caractéristiques intéressantes d'une

entité, en vue d'une utilisation précise ;

- L'abstraction désigne aussi le résultat de ce processus, c'est-à-dire l'ensemble des

caractéristiques essentielles d'une entité, retenues par un observateur.

Avant de passer à la représentation des diagrammes UML nous jugions nécessaire la

présentation des concepts objets puisque ces diagrammes se fondent essentiellement sur

l'approche objet.

1.4. LE CONCEPT OBJET

1.4.1. Définition et caractéristiques de l'objet

L'objet constitue le concept fondateur de l'approche du même nom.

- Un objet est une entité aux frontières précises qui possède une identité (un nom) ;

- Un ensemble d'attributs caractérise l'état de l'objet ;

- Un ensemble d'opérations (méthodes) en définissent le comportement ;

- Un objet est une instance de classe (une occurrence d'un type abstrait) ;

CUFP ESSVA


- Une classe est un type de données abstrait, caractérisé par des propriétés (attributs et

méthodes) communes à des objets et permettant de créer des objets possédant ces

propriétés.

1.4.2 Les autres concepts objets

a) Encapsulation

Elle Consiste à masquer les détails d'implémentation d'un objet, en définissant une

interface. L'interface est la vue externe d'un objet, elle définit les services accessibles

(offerts) aux utilisateurs de l'objet. L'encapsulation facilite l'évolution d'une

application car elle stabilise l'utilisation des objets : on peut modifier l'implémentation

des attributs d'un objet sans modifier son interface.

b) Héritage

Une classe peut être déclarée comme héritant d'une autre classe. La classe qui hérite

possèdera toutes les propriétés (attributs, méthodes) de la classe dont elle dérive .Mais

en plus elle aura certaines méthodes particulières.

1.5. MODELISATION DES VUES STATIQUES ET DYNAMIQUES

1.5.1. Les vues statiques

Elles donnent une vue globale sur le système à modéliser mais elles ne rentrent pas dans

les détails d'implémentation.

a) Les cas d'utilisation

- Les cas d'utilisation (ou use cases en Anglais) décrivent les fonctionnalités

employées par les utilisateurs. Il s'agit de la solution UML pour représenter le

modèle conceptuel ;

- Ils permettent de structurer les besoins des utilisateurs et les objectifs

correspondants d'un système ;

- Les use cases permettent de structurer les besoins des utilisateurs et les

objectifs correspondants d'un système ;

- Ils centrent l'expression des exigences du système sur ses utilisateurs :

ils partent du principe que les objectifs du système sont tous motivés.

- Ils se limitent aux préoccupations "réelles" des utilisateurs ; ils ne présentent

pas de solutions d'implémentation et ne forment pas un inventaire fonctionnel

du système.

CUFP ESSVA


- Ils identifient les utilisateurs du système (acteurs) et leur interaction avec le

système.

- Ils permettent de classer les acteurs et structurer les objectifs du système et

servent de base à la traçabilité des exigences d'un système dans un processus

de développement intégrant UML.

Les cas d'utilisation, permettent de modéliser les besoins des clients d'un système

et ne doivent chercher l'exhaustivité, mais clarifier, filtrer et organiser les besoins. Une

fois identifiés et structurés, ces besoins définissent le contour du système à modéliser

(ils précisent le but à atteindre) et permettent d'identifier les fonctionnalités

principales (critiques) du système.

Ils ne doivent donc en aucun cas décrire des solutions d'implémentation. Leur but

est justement d'éviter de tomber dans la dérive d'une approche fonctionnelle, où l'on

liste une litanie de fonctions que le système doit réaliser. Mais un modèle conceptuel

qui identifie les besoins avec un plus grand niveau d'abstraction reste indispensable.

Avec des systèmes complexes, filtrer l'information, la simplifier et mieux l'organiser,

c'est rendre l'information exploitable.

b) Conceptualisation

Le but de la conceptualisation est de comprendre et structurer les besoins du client. On

ne cherche l'exhaustivité, mais clarifier, filtrer et organiser les besoins. Une fois

identifiés et structurés, ces besoins :

- définissent le contour du système à modéliser (ils précisent le but à

atteindre) ;

- permettent d'identifier les fonctionnalités principales (critiques) du

système.

Le modèle conceptuel joue un rôle central, il est capital de bien le définir. Il doit

permettre une meilleure compréhension du système et servir d'interface entre tous les

acteurs du projet. Les besoins des clients sont des éléments de traçabilité dans un

processus intégrant UML.

c) La sémantique

Acteur : entité externe au système qui interagit avec le système.

Use case (cas d'utilisation) : ensemble d'actions réalisées par le système, en réponse à

une action d'un acteur.

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Relation d'utilisation (« include ») : le cas d'utilisation source contient aussi le

comportement décrit dans le cas d'utilisation destination.

Relation d'extension (« étends ») : le cas d'utilisation source étend (précise) les

objectifs (comportements) du cas d'utilisation destination.

Package : regroupe les éléments de modélisation suivant des critères purement

logiques.

Note ou documentation : documente un élément du modèle.

Figure 4: Formalisme de cas d’utilisation

CUFP ESSVA


Chapitre 2 : REGLES DE GESTION

Comme toute application, nous devrons aussi suivre certaines règles de gestion.

Ces règles sont associées au niveau conceptuel et décrivent le « QUOI » de l’entreprise

c'est-à-dire on recueille dans l’interview de l’existant surtout celle de la direction les règles

traduisant soit les objectifs anciens, soient les objectifs nouveaux avec leur contrainte

respective.

Pour commencer la conception de ce système, prenons en compte les règles de gestion

suivantes :

RG1 : Tous les utilisateurs potentiels doivent avoir un compte qui est composé d’un « login »

et un « mot de passe ».

RG2 : Seul la page d’accueil est accessible par tout publique.

RG3 : Les enseignants sont aussi des membres du personnel.

RG4 : Un enseignant enseigne un ou plusieurs matières dans une ou plusieurs filières.

RG5 : Un enseignant peut faire cours à une ou plusieurs classes avec l’intitulé du cours, les

heures effectués et la date du cours.

RG6 : Le vacataire peut prendre son vacation juste après le cours et qui dépend de son heure

déjà effectuée.

RG7 : Chaque matière doit avoir son propre volume horaire.

RG8 : La mise à jour du solde congé est par mois et celle du solde permission est par an.

RG9 : La solde permission n’est pas cumulable.

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Chapitre 3 : LES VUES STATIQUES DU SYSTEME

Dans cette partie, on utilisera les digrammes UML qui représentent les aspects statiques

d’un système d’information. Nous n’allons prendre que deux de ces diagrammes dont : le

diagramme des cas d’utilisation et le diagramme de classes.

Mais avant, on va définir tout d’abord la structure de notre application c’est aussi une vue du

projet qui ne change pas, donc on va la classer dans cette partie statique.

3.1. STRUCTURE DE L’APPLICATION

Voici l’arborescence que nous souhaitons créer :

Figure 5: Représentation de la structure de l’application

CUFP


3.2. DIAGRAMME DE CAS

3.2.1. Formalisme

Comme on a déjà mentionné auparavant, le diagramme de cas d’utilisation est composé de

cas d’utilisation et d’acteurs.

3.2.2. Notion d’héritage

C’est un mécanisme de transmission des propriétés d’une classe vers une sous

évite la duplication et encourage la réutilisation.

La spécification et la généralisation permettent de construire des hiérarchies de classes.

3.2.3. Représentation graphique

SYMBOLES

CAS D’UTILISATION


cas d’utilisation et d’acteurs.

C’est un mécanisme de transmission des propriétés d’une classe vers une sous

évite la duplication et encourage la réutilisation.


Représentation graphique :

SIGNIFICATION

Cas d’utilisation

acteur

ESSVA

37


C’est un mécanisme de transmission des propriétés d’une classe vers une sous classe. Il


CUFP ESSVA


3.2.4. Cas d’utilisation général

En exposant les fonctionnalités attribuées à l’application, nous pouvons en déduire le

diagramme de cas d’utilisation générale suivant :

Figure 6: Diagramme de cas d’utilisation Générale

Pour ce système, on va classer les diagrammes des cas d’utilisation en trois paquetages qui

sont : le paquetage gestion utilisateur, le paquetage gestion personnel et mouvement et le

paquetage gestion enseignant vacataire.

CUFP ESSVA


3.2.5. Le paquetage gestion utilisateur

Etant donné la confidentialité des données traitées par l’application, il nécessite de

privilégier les données pouvant être manipulées par chaque utilisateur en fonction de leur

besoin. De ce fait que fut élaborer le diagramme qui suit :

Figure 7: Diagramme de cas d’utilisation de paquetage Gestion Utilisateur

CUFP ESSVA


Description des cas d’utilisation :

Généralités

Cas d’utilisation Authentification

Acteurs Utilisateur, Admin

But Pour que l’utilisateur puisse s’authentifie auprès du système.

Résumé métier L’utilisateur voulant accéder au système et doit s’authentifier auprès

de celui-ci en lui fournissant un compte et un type d’accès pour

pouvoir bénéficier certains privilèges.

Pré condition Au moins un compte utilisateur existe.

L’utilisateur qui voudrait s’authentifier doit avoir un compte

préalablement crée par l’admin.

Post condition L’utilisateur authentifié est redirigé vers la partie correspondant au

type d’accès et au droit accordé au type de compte.

Scénario nominal

N° enchaînement Action

1 L’utilisateur s’authentifie (saisie de login et mot de passe).

2 Le système vérifie le compte et le type d’accès de ce compte.

3 L’utilisateur a le droit d’accéder au système selon le type d’accès .

4 Le système dirige automatiquement l’utilisateur vers la partie relative

au type d’accès demandé.

Scénario alternatif


Point 2: 2.1 Erreur de login et mot de passe.

2.1.1 Le système informe une erreur.

2.1.2 Reprise du scénario nominal au point 1.

Point 4 :4.1 Erreur d’accès.

4.1.1 Le système informe une erreur.

4.1.2 Redirection au dernière page ouvert.

CUFP ESSVA


3.2.6. Le paquetage gestion personnel et mouvement

Il regroupe toutes les opérations qui sont en relation avec la gestion du personnel et

mouvement.

Les spécifications de ce paquetage permettent au responsable de Ressources Humaines de

mettre à jour les informations du personnel, le congé et la permission.

Les principaux acteurs sont :

- Personnel ;

- Responsable RH.

Nous allons structurer les besoins des utilisateurs et les objectifs correspondants du

système dans le diagramme ci dessous.

Figure 8: Diagramme de cas d’utilisation de paquetage Gestion Personnel et mouvement

Description des cas d’utilisation

Liste des cas d’utilisation :

- Mise à jour :

o Congé et permission ;

o Solde congé et permission ;

o Informations du personnel.

- Consultation et étatisation.

CUFP ESSVA


CAS D’UTILISATION : Demande et mise à jour de congé et permission

Généralités

Cas d’utilisation Demande et mise à jour de congé et permission

Acteurs Personnel, responsable Ressources humaine

But Pour permettre aux membres du personnel de prendre congé ou

permission (Ajout congé ou permission)

Résumé métier Le membre du personnel dépose son demande au responsable RH;

Le responsable RH effectue l’ajout du congé ou permission ;

Commentaire La demande doit être déposée 15 jours avant la date probable de

départ

Scénario nominal


1 Le responsable RH choisie le menu « Mouvement »

2 Le système affiche le formulaire « Ajout permission » et « Ajout

Congé »

3 Le responsable RH effectue la recherche de la personne

4 Le système affiche les résultats de la recherche

5 Le responsable RH effectue la saisie des informations dans les

champs vides avant de les validées

6 Le système envoi les données dans le BD

Exception


Point 5: 5.1 Solde congé ou solde permission insuffisant ou nul

5.1.1 Le système informe

5.1.2 Redirection sur la page Ajout congé ou permission

Point 5 : 5.2 Erreur de saisie et saisie non valide

5.2.1 Le système informe

5.2.2 Reprise du scénario nominal au point 5

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CAS D’UTILISATION : Mise à jour Solde Congé et Permission

Généralités

Cas d’utilisation Mise à jour Solde Congé et Permission

Acteurs Responsable RH

But Pour avoir la cumule du solde congé et la nouvelle solde pour la

permission

Résumé métier Le responsable RH effectue la mise à jour du solde congé par mois et

celle de la permission par an

Commentaire La solde permission n’est pas cumulable

Scénario nominal


1 Le responsable RH choisie le menu « Mouvement »

2 Le système affiche le formulaire avec des sous-menus correspondants

3 Le responsable RH choisi « Mise à jour Solde congé/permission »

4 Le système affiche le formulaire de mise à jour

5 Le responsable RH effectue la saisie des informations dans les

champs vides avant de les validées

CAS D’UTILISATION : Mise à jour des informations du personnel

Généralités

Cas d’utilisation Mise à jour des informations du personnel


But Pour avoir une information exacte et à jour

Résumé métier Ajout, modification, consultation et suppression (mise en archive) du

personnel et leur information

Pré condition Aucun doublon n’est autorisé dans la manipulation des données sur

l’information du personnel

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Scénario nominal


1 Le responsable RH choisie le menu « Mise à jour »

2 Le système affiche le formulaire

3 Le responsable RH choisie une des taches

4 Le système lui envoi une réponse correspondant à sa demande

5 Le responsable RH doit terminer la tache et la validée

6 Le responsable RH vérifie si la mise à jour et bien fonctionnée

CAS D’UTILISATION : consultation et étatisation

Généralités

Cas d’utilisation Consultation et étatisation


But Pour consulter les informations concernant le personnel

Résumé métier Le Responsable RH arrive à la rubrique des consultations et choisit l’option

correspondant à sa demande;

Le système affiche une liste;

Commentaire La consultation de l’information du personnel est réservée au Responsable RH et à

l’administrateur

Scénario nominal


1 Le Responsable RH choisit l’option « consultation»

2 Le système affiche la page de consultation

3 Le Responsable RH choisit une des menus à consulter

4 Le système dresse une liste correspondant à sa demande

5 Le Responsable RH consulte et imprime l’état

Exception


Point 4 : 4.1 Il n’y a aucune liste à afficher

4.1.1 Le système informe qu’il n’y a aucune information

4.1.2 Redirection vers la page « Mise à jour »

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3.2.7. Le paquetage enseignant vacataire

C’est la rubrique qui regroupe les activités liées aux enseignants.

Les spécifications du paquetage enseignant vacataire permettent :

- aux Responsable Compta et Responsable de filière de mettre à jour le fiche de

comptabilisation de cours;

- au responsable compta de mettre à jour, consulter et étatiser le volume horaire et

vacation.

Les principaux acteurs sont :

- Enseignant ;

- Responsable de filière ;

- Responsable compta.

Nous allons structurer les besoins des utilisateurs et les objectifs correspondants du

système dans le diagramme ci dessous.

Figure 9: Diagramme de cas d’utilisation de paquetage Gestion Enseignant vacataire

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Description des cas d’utilisation

Liste des cas d’utilisation :

- Faire cours ;

- Mise à jour :

o Comptabilisation de cours ;

o Vacation ;

o Volume horaire.

- Consultation et étatisation :

o Comptabilisation de cours ;

o Vacation.

CAS D’UTILISATION : Faire cours

Généralités

Cas d’utilisation Faire cours.

Acteurs Enseignant.

But Enseigné les étudiants.

Résumé métier L’enseignant enseigne les étudiants.

Pré condition Le cours doit commencer à l’heure.

Post condition Le cours doit terminer à l’heure.

Scénario nominal


1 Le professeur enseigne les étudiants en suivant correctement les

heures proposées.

2 A la fin du cours, le remplissage du fiche de comptabilisation de

cours et obligatoire pour l’enseignant.

3 C’est l’enseignant même qui dépose la fiche de comptabilisation de

cours au bureau des Responsables de filière.

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CAS D’UTILISATION : Mise à jour Fiche de comptabilisation de cours

Généralités

Cas d’utilisation Mise à jour Fiche de comptabilisation de cours.

Acteurs Responsables de Filière (RF).

But Ajout des heures effectuées par des enseignants dans le nouveau système.

Résumé métier Envoi des données au BD par le RF.

Pré condition La fiche de comptabilisation de cours doit être déjà posée au bureau des RF avant de faire l’ajout des heures effectuées par les enseignants.

Scénario nominal


1 Le RF choisie le menu « Mise à jour ».

2 Le système affiche la page de mise à jour avec les sous-menus correspondant.

3 Le RF choisie le sous-menu «Comptabilisation de cours ».

4 Le système affiche le formulaire d’ajout compta cours.

5 Le RF effectue la recherche de l’enseignant à partirai de son numéro matricule.

6 Le système affiche le résultat de la rechercher avec toutes les informations nécessaires, surtout le volume horaire et l’heure déjà effectuée.

7 Le RF remplit les champs vides à partir des données dans la fiche de comptabilisation de cours.

8 Le RF envois les données en cliquant sur le bouton AJOUTER.

9 Le système informe que les données sont enregistrées.

Exception


Point 6: 6.1 Il n’y a aucune numéro matricule correspondant.

6.1.1 Le système informe aucun numéro ne matricule.

6.1.2 Redirection vers la page d’Ajout prise de fonction.

Point 7 :7.1 La durée d’heure de la dernière cours est supérieure à celle de l’heure restante.

7.1.1 Le système informe l’insuffisance de l’heure restante.

7.1.1 Reprise du scénario nominal au point 7 en modifiant la durée ou Redirection vers le Mise à jour Volume horaire.

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CAS D’UTILISATION : Mise à jour Vacation

Généralités

Cas d’utilisation Mise à jour Vacation.

Acteurs Responsables compta.

But Calcule de Vacation et montant par heure.

Résumé métier Le responsable Compta ajout le montant à tirer pour que système

puisse le calculé.

Pré condition L’enseignant est déjà enseigné au moins une fois.

Scénario nominal


1 Le Responsable Compta choisie le menu « Vacations ».

2 Le système affiche la page avec les sous-menus correspondants

3 Le Responsable Compta choisie le sous-menu «vacation ».

4 Le système affiche le formulaire correspondant au choix.

5 Le Responsable Compta effectue la recherche de l’enseignant à partir de son numéro matricule.

6 Le système affiche le résultat de la recherche avec toutes les informations nécessaires, surtout le volume horaire et l’heure déjà effectuée avec leur montant et le montant déjà retiré.

7 Le Responsable Compta remplit le champ « Montant à retiré » qui dépend à la somme que l’enseignant doit retirer.

8 Le Responsable Compta envoi les données en cliquant sur le bouton AJOUTER.


Exception



6.1.1 Le système informe aucun numéro matricule.


Point 7 :7.1 Le montant à retirer est supérieur à celle de montant restant.

7.1.1 Le système informe que vous ne pouvez pas retirer ce montant

7.1.1 Reprise du scénario nominal au point 7 en modifiant le montant à retirer.

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CAS D’UTILISATION : Mise à jour Volume horaire

Généralités

Cas d’utilisation Mise à jour Volume horaire.


But Modifier le volume horaire.

Résumé métier Le responsable Compta ajout ou soustrait le volume horaire

(augmenté ou diminué).

Scénario nominal


1 Le Responsable Compta choisie le menu « Mise à jour ».

2 Le système affiche la page de mise à jour avec les sous-menus

correspondant.

3 Le Responsable Compta choisie le sous-menu «Mise à jour Volume

horaire».

4 Le système affiche le formulaire de Mise à jour Volume horaire.

5 Le Responsable Compta effectue la recherche de l’enseignant à

partir de son numéro matricule, l’année académique et matière

enseigné.

6 Le système affiche le résultat de la recherche avec toutes les

informations nécessaires, surtout le volume horaire.

7 Le Responsable Compta remplit le champ «Volume horaire à ajouter ».

8 Le RF envoi les données en cliquant sur le bouton AJOUTER.


Exception





CUFP ESSVA


CAS D’UTILISATION : Consultation et étatisation du fiche de comptabilisation de cours et

vacation.

Généralités

Cas d’utilisation Consultation et étatisation du fiche de comptabilisation de cours et vacation.


But Consulté et étatisé le fiche de comptabilisation de cours et la vacation.

Résumé métier Le responsable Compta consulte et après imprime le fiche.

Pré condition L’enseignant est déjà enseigné au moins une fois.

Scénario nominal


1 Le Responsable Compta choisie le menu «Consultation » pour la

fiche de comptabilisation de cours et le menu «Vacations» pour la

vacation.

2 Le système affiche la page avec les sous-menus correspondants

3 Le Responsable Compta choisie le sous-menu «Fiche de comptabilisation de cours » » pour la fiche de comptabilisation de cours et le sous-menu «Vacation» pour la vacation.

4 Le système affiche le formulaire correspondant au choix.

5 Le Responsable Compta effectue la recherche de l’enseignant à partir

de son numéro matricule, année académique et matière enseignée.

6 Le système affiche le résultat correspondant à la personne recherchée.

7 Le Responsable Compta imprime le fiche en cliquant sur le bouton

« Imprimer ».

8 Le système dresse une nouvelle feuille à imprimer avec les données

nécessaires.

Exception




6.1.2 Redirection vers la page de Mise à jour et après comptabilisation de cours et redirection vers la page de Mise à jour de vacation pour la vacation

CUFP


3.3. DIAGRAMME DE CLASSES

3.3.1. Représentation graphique

Figure 10

Dans le cas de la figure ci dessus

- classe A est en relation simple avec classe B, dont une instance de

à une ou plusieurs instances de classe A

- classe C hérite de classe A, c’est à dire que classe C possède toutes les propriétés de

classe A ;

- il y a une relation d’agrégation entre classe D et classe B, ce qui veut dire que classe D

fait partie de classe B.

3.3. DIAGRAMME DE CLASSES

Représentation graphique

10: Formalisme d’un diagramme de classes

Dans le cas de la figure ci dessus :

classe A est en relation simple avec classe B, dont une instance de classe B correspond

à une ou plusieurs instances de classe A ;

classe C hérite de classe A, c’est à dire que classe C possède toutes les propriétés de

il y a une relation d’agrégation entre classe D et classe B, ce qui veut dire que classe D

ESSVA

51

classe B correspond

classe C hérite de classe A, c’est à dire que classe C possède toutes les propriétés de

il y a une relation d’agrégation entre classe D et classe B, ce qui veut dire que classe D

CUFP ESSVA


3.3.2. Dictionnaire des données

C’est un tableau qui recense toutes les données qui seront manipulées dans cette

application.

Rubrique Définition Type Nature Long Remarque/Format

adr_pro Adresse professionnel hors Essva du personnel

AN E 50

abrev_fil Abréviation filière A E 5 annee_acad Année académique N E 10 AAAA-AAAA annee_solde_c Année de mise à jour solde congé N E 4 AAAA annee_solde_p Année de mise à jour solde

permission N E 4 AAAA

clas_pro Classification professionnel d’un membre du personnel

AN E 4

conge_demande Nombre de jour de congé demandé par un membre du personnel

N E 2 En jours

date_embauche Date d’embauche du personnel D E 10 AAAA-MM-JJ date_cours Date du cours adresse D E 10 AAAA-MM-JJ date_depart_c Date de départ congé D E 10 AAAA-MM-JJ date_depart_p Date de départ permission D E 10 AAAA-MM-JJ date_edition Date de mise à jour solde congé ou

permission D E 10 AAAA-MM-JJ

date_maj_volhor Date de mise à jour du volume horaire

D E 10 AAAA-MM-JJ

date_retour_c Date de retour congé D E 10 AAAA-MM-JJ date_retour_c Date de retour congé D E 10 AAAA-MM-JJ date_nais Date de naissance d’un membre du

personnel D E 10 AAAA-MM-JJ

Date_v Date d’édition vacation D E 10 AAAA-MM-JJ debut_cours L’heure de début du cours N E 2 desc Description du groupe d’utilisateur A E 35 diplôme Diplôme du personnel AN E 15 durée Durée du cours N E 2 email e-mail du personnel AN E 25 fil Filière A E 40 fin_cours L’heure de fin du cours N E 2 fonction Fonction du personnel à l’essva A E 40 groups Groupe de l’utilisateur A E 30 heure_effect Nombre d’heure effectué par un

enseignant N Ca 3

heure_rest Dernier heure restante d’un enseignant

N Ca 3 En heures

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heures_dispo L’heure disponible pour enseigner N Ca 3 En heures id_u Identifiant de l’utilisateur N E 2 id_ug Identifiant des groupes d’utilisateur N E 2 login Login de l’utilisateur AN E 25 mat_enseigne Matière enseigné A E 50 modif_volhor Modification du volume horaire N E 3 mois_solde_c Le mois du congé qui doit mettre à

jours A E 10

mont_heure_effect Montant des heures effectuées N Ca 7 En Ariary mont_p_heure Montant de l’enseignement par heure N E 7 mont_rest Montant restant N Ca 7 mont_tire Montant tiré par le vacataire N E 7 motif Motif de la permission A E 60 niveau_fil Niveau de la filière N E 2 niveau_pers Niveau d’un personnel AN E 25 nom_groupe Nom de groupe d’utilisateur A E 15 nom_pers Nom du personnel A E 25 num_matr Numéro matricule du personnel AN E 10 num_tel Numéros téléphones N E 10 pass Mot de passe de l’utilisateur AN E 15 permission_demande Nombre de jour de permission à

demander N E 4 En jours

prenom_pers Prénoms du personnel A E 30 resid_hab Résidence habituel (adresse) AN E 50 solde_conge Solde antérieur congés N E 4 solde_j_c Solde des jours du congé N E 4 solde_j_p Solde des jours de la permission N E 4 solde_permission Solde antérieur permissions N E 4 specialite Spécialité de l’enseignant A E 30 theme_cours Thème du cours A E 50 tot_mont Total montant de la vacation N Ca 7 En Ariary typ Typologie du personnel A E 23 vol_hor Volume horaire N E 3

Légende :

- A : Alphabétique

- AN : Alphanumérique

- E : Elémentaire

- N : Numérique

- AAAA : Année

- MM : Mois

- JJ : Jours

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3.3.3. Le diagramme de classes du système

Le diagramme de classes du système est représenté par la figure ci dessous :

Figure 11: Diagramme de classes

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Chapitre 4 : LES VUES DYNAMIQUES DU SYSTEME

Les modèles dynamiques permettent de comprendre et de décrire les comportements des

objets et leurs interactions. Ils sont utilisés pour définir ou préciser le fonctionnement des

opérations.

Les principaux diagrammes pour la vue dynamique sont :

- Diagrammes d’activités (fonctionnement d’une méthode) ;

- Diagrammes de séquences ou d’interactions (dynamique entre objets) ;

- Diagrammes d’état-transition (dynamique interne à un objet).

Dans notre cas, nous n’allons utiliser que le premier diagramme.

4.1. DIAGRAMMES D’ACTIVITES

Nous allons nous inspirer aux cas d’utilisations et les représenter sous un autre formalisme,

dont les diagrammes d’activités.

Le diagramme d’activités est composé d’activités qui sont des actions et des transitions qui

permettent de passer d’une activité à une autre.

4.1.1. Le paquetage gestion utilisateur

Cas d’utilisation : Authentification

Figure 12: Diagramme d’activité Authentification

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4.1.2. Paquetage gestion personnel et mouvement

Cas d’utilisation : Demande et mise à jours congé et permission

Figure 13: Diagramme d’activité Demande et mise à jours congé et permission

Cas d’utilisation : Mise à jour solde congé et permission

Figure 14: Diagramme d’activité Mise à jour solde congé et permission

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Cas d’utilisation : Mise à jour Information du personnel

Figure 15: Diagramme d’activité Mise à jour Information du personnel

Cas d’utilisation : Consultation et étatisation

Figure 16: Diagramme d’activité Consultation et étatisation

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4.1.3. Paquetage gestion enseignant vacataire

Cas d’utilisation : Faire cours

Figure 17: Diagramme d’activité Faire cours

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Cas d’utilisation : Mise à jour Fiche de comptabilisation de cours

Figure 18: Diagramme d’activité Mise à jour Fiche de comptabilisation de cours

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Cas d’utilisation : Mise à jour Vacation

Figure 19: Diagramme d’activité Mise à jour Vacation

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Cas d’utilisation : Mise à jour Volume horaire

Figure 20: Diagramme d’activité Mise à jour Volume horaire

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Cas d’utilisation : Consultation Fiche de comptabilisation de cours et Vacation

Figure 21: Diagramme d’activité Consultation Fiche de comptabilisation de cours et Vacation

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Quatrième partie

LA REALISATION

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Dans cette dernière partie, nous allons parler des moyens utilisés pour le développement du

nouveau système, et la présentation de l’application.

Chapitre 1 : LE DEVELOPPEMENT DU SYSTEME

C’est l’étape qui consiste à écrire les lignes de code pour arriver aux traitements souhaités

pour les besoins de l’entreprise.

Puisqu’il s’agit d’une application web dynamique, l’utilisation de système de gestion de

base de données est impérative pour stocker les informations dynamiques et on a aussi besoin

de langages qui permettent d’accéder à la base de données.

Donc nous avons utilisé PHP pour la création des pages, MySQL pour la gestion des bases

de données et apache comme serveur web.

1.1. JUSTIFICATION DES LANGAGES DE PROGRAMMATION

Après avoir conçu un algorithme pour les différents modules développés dans cette

application, notre souci secondaire a été le choix du langage de programmation qui devrait

nous permettre de réaliser un logiciel acceptable et répondant aux critères minimum du génie

logiciel.

Quel langage faut-il donc choisir ? C'est ainsi que suite à des recherches sur les nombreux

sites réservés à la programmation, nous avons retenu le PHP et les autres langages tels que

CSS, JavaScript, et HTML sans oublier le système de gestion de base de données MySQL et

le serveur web Apache qui répondent au contexte du « Libre ».

1.1.1. Présentation

a) PHP

Le PHP a été notre principal langage de programmation. Comme définition nous

pourrions retenir que PHP est un langage interprété (un langage de script) exécuté du

côté serveur (comme les scripts CGI, ASP...) et non du côté client (un script écrit en

JavaScript ou une applet Java s'exécute sur un ordinateur...).

b) HTML

Le HTML (« HyperText Mark-Up Langage ») est un langage dit de « marquage » (de

« structuration » ou de « balisage ») dont le rôle est de formaliser l'écriture d'un

document avec des balises de formatage. Les balises permettent d'indiquer la façon

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dont doit être présenté le document et les liens qu'il établit avec d'autres documents. Il

permet en particulier d'insérer des hyperliens du texte, donc de créer l'hypertexte, d'où

le nom du langage.

c) JAVASCRIPT

JavaScript est, comme son nom l'indique, un langage de scripts. De ce point de vue, il

est d'un apprentissage simple et rapide et permet à des programmeurs débutants de

réaliser leurs premières pages Web sous une forme particulièrement attractive et

fonctionnelle.

Mais, JavaScript est aussi un langage de programmation à part entière, permettant de

réaliser des applications complexes dès que l'on a acquis une connaissance suffisante

du langage et de ses diverses possibilités.

1.1.2. Historique

a) PHP

Le langage PHP a été mis au point au début d'automne 1994 par Rasmus Lerdorf. C'est

un langage incrusté au HTML et interprété (PHP3) ou compilé (PHP4).

Ce langage de script lui permettait de conserver la trace des utilisateurs venant

consulter son CV sur son site, grâce à l'accès à une base de données par l'intermédiaire

de requêtes SQL. Etant donné que son code source est ouvert, gratuit et supportant par

surcroît tous les standards du Web, il s'est rapidement répandu sur la toile et est

devenu un projet collectif. C'est justement cet aspect qui fera du PHP un langage

populaire par excellence du Web.

Le fulgurant succès de PHP 1.0 devient donc un gage pour l'auteur .Ainsi, Rasmus

Lerdorf décida d'améliorer ce langage en y intégrant des structures plus avancées telles

que des boucles, des structures conditionnelles, et y intégra un package permettant

d'interpréter les formulaires qu'il avait développé (FI, Form Interpreter) ainsi que le

support de MySQL. C'est de cette façon que la version 2 du langage, baptisée pour

l'occasion PHP/FI version 2, vit le jour durant l'été 1995. Il fut rapidement utilisé sur

de nombreux sites (15000 fin 1996, puis 50000 en milieu d'année 1997).

A partir de 1997, deux étudiants Zeev Suraski et Andi Gutmans rejoignirent

Rasmus pour former une équipe de programmeurs suite). C'est ainsi que le

résultat donna le Zend Engine le tout nouveau cœur de PHP/FI qui devient la version

3.0 de PHP .Il fut disponible le 6 juin 1998. Soulignons que c'est cette version 3 qui a

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été baptisée Hypertext Preprocessor (acronyme maintenu jusqu'à la période de notre

stage).

A la fin de l'année 1999 la version 4.0 de PHP, désignée PHP4, est apparue. Il existe

par ailleurs plusieurs applications Web prêtes à l'emploi (PHPNuke, PHPWebsite,

PHPShop...) permettant de monter gratuitement, facilement et rapidement son portail.

Par cette grande percée non seulement auprès des Web designers PHP s'est imposé

comme le numéro un du Web.

La version 5.0.0 de PHP est sortie le 13 Juillet 2004: elle utilise Zend Engine 2 et

introduit une programmation orientée objet plus efficace et plus complète, ainsi que

fonctionnalités de gestion pour les entreprises.

b) HTML

Le langage HTML a été mis au point par Tim Berners-Lee, alors chercheur au CERN,

à partir de 1989. Celui-ci annonça officiellement la création du web sur Usenet en août

1991. Ce n'est cependant qu'à partir de 1993 que l'on considère l'état du HTML

suffisamment avancé pour parler de langage (HTML est alors baptisé symboliquement

HTML 1.0). Le navigateur Internet utilisé à l'époque était nommé NCSA Mosaïc.

Le RFC 1866, daté de novembre 1995 représente la première version officielle de

HTML, c'est-à-dire le HTML 2.0.

Après la brève apparition d'un HTML 3.0, qui ne vit jamais officiellement le jour, le

HTML 3.2 devint le standard officiel le 14 janvier 1997. Les apports les plus

marquants du HTML 3.2 étaient la standardisation des tableaux ainsi que d'un grand

nombre d'éléments de présentation.

Le 18 décembre 1997, le HTML 4.0 a été publié.

c) JAVASCRIPT

A l'origine, il se nommait Live Script et était destiné à fournir un langage de script

simple au navigateur Netscape Navigator 2. Il a à l'époque longtemps été critiqué pour

son manque de sécurité, son développement peu poussé et l'absence de messages

d'erreur explicites rendant dure son utilisation. Le 4 décembre 1995, suite à une

association avec le constructeur Sun, Netscape rebaptise son langage JavaScript .A la

même époque, Microsoft mit au point le langage Jscript, un langage de script très

similaire. Ainsi, pour éviter des dérives de part et d'autre, un standard a été défini pour

normaliser les langages de script, il s'agit de l'ECMA 262, créé par l'organisation du

même nom (ECMA, European Computer Manufactures Association).

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1.1.3. Avantage

a) PHP

Il est connu de tous que PHP rencontre un succès considérable. Mais qu'est ce qui fait

de PHP le langage Web le plus préféré du moment ? Ses principaux atouts sont:

- L'existence de plusieurs outils libres permettant le développement rapide d'une

application basée sur PHP ;

- La gratuité, le libre accès à son code source et sa programmation intuitive ;

- De nombreux sites lui sont consacrés, on y trouve des astuces, des concours et

des stages ;

- Une grande communauté de développeurs partageant des centaines de milliers

d'exemples de script PHP ;

- La gratuité et la disponibilité du code source ;

- La simplicité d'écriture de scripts surtout avec cette possibilité

permettant d'inclure un ou plusieurs fichier(s) dans un autre fichier ;

- La simplicité d'interfaçage avec des bases de données (de nombreux SGBD

sont supportés, mais le plus utilisé avec ce langage est MySQL, un SGBD

gratuit disponible sur de nombreuses plateformes : Unix, Linux, Windows,

MacOs X, Solaris, etc.) ;

- L'intégration au sein de nombreux serveurs Web.

b) HTML

Un document HTML peut être affiché sur n'importe quel type d'ordinateur, notamment

un Macintosh ou un poste compatible IBM. Conséquence : vous n'avez pas à créer de

documents HTML différents pour les divers types d'ordinateurs (standard). Par

ailleurs, les documents HTML renfermant exclusivement du texte, leur chargement sur

le Web est rapide.

c) JAVASCRIPT

- Il s'intègre facilement aux pages HTML et PHP pour permettre la création des

menus, de petites animations ou interagir avec l'utilisateur ;

- Il s'exécute sur plusieurs navigateurs du côté client ;

- Il permet également d'accroître le taux d'interaction d'une application ou d'un site

web.

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1.2. PRESENTATION ET JUSTIFICATION DU SERVEUR DE BASE DE

DONNEES: MYSQL

Depuis quelques années PHP/MySQL est devenu le couple le plus mythique du Web. Et

ceci pour des raisons très claires et diversement motivées. On doit ce succès sans précédent

dans le monde informatique aux développeurs d'applications libres qui ont su par leur habileté

et leur sens aigu de créativité développer d'un côté PHP et de l'autre MySQL ; mais aussi et

surtout aux utilisateurs qui les ont sus apprécier à leur juste valeur. Ce sont donc ces succès

qui restent en tout point motivant qui ont favorisé cet essor et ce mariage efficace entre PHP

et MySQL dont nous avons usé précieusement dans la réalisation de ce projet. Mais avant

toutes choses il nous parait important de définir préalablement les « Bases de Données » et les

« Systèmes de gestion des Bases de Données ».

1.2.1. Bases de Données et Système de Gestion de Base de Données.

Les Bases de Données sont actuellement le noyau de tous systèmes d'information dans les

entreprises. Les SGBD, initialement disponibles uniquement sur les « mainframes »,

peuvent maintenant être installés sur tous les types d'ordinateurs y compris les ordinateurs

personnels. Mais souvent on désigne, par abus de langage sous le nom de « Base de

Données » des ensembles de données qui n'en sont pas.

Qu'est-ce donc qu'une base de données ? Et que peut-on attendre d'un système de gestion

de base de données ?

Dans un premier temps, et de façon informelle, on peut considérer une base de données

comme une grande quantité de données, centralisées ou non, servant pour les besoins d'une

ou plusieurs applications, interrogeables et modifiables par un groupe d'utilisateurs donc

accessibles en permanence ou non à ces derniers qui travaillent en parallèle. Quant au

Système de Gestion de Base de Données (en abrégé S.G.B.D), il peut être appréhendé

comme un logiciel qui prend en charge la structuration, le stockage, la mise à jour et la

maintenance des données. Autrement dit les SGBD gèrent les bases de données en cachant

aux programmeurs utilisateurs la complexité des implantations physiques en mémoires

secondaires pour leur donner une vision logique permettant un accès facile et contrôlé par

des droits d'accès. C'est en fait l'interface entre la base de données et les utilisateurs ou

leurs programmes.

Les objectifs principaux qui guident la mise au point d'une base de données sont :

- L’indépendance logique et physique des données ;

- La cohérence des données stockées ;

- Le non redondance des données ;

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- Le partage des données ;

- La sécurité des informations.

Pour finir doit-on retenir que la conception des systèmes d'information implique

indéniablement la conception de bases de données modélisant les réalités d'une entreprise

en fonction des besoins utiles du système d'information.

1.2.2. Définition et présentation du système de gestion de base de données: MySQL

Dans le souci de mettre en œuvre une application conciliant les exigences d'une application

à architecture Client/serveur et web notre choix a porté sur MySQL un SGBD libre tant

sous Linux que Windows. Il dérive directement de SQL (Structured Query Language) qui

est un langage de requête vers les bases de données. Il en reprend la syntaxe mais n'en

conserve pas toute la puissance puisque de nombreuses fonctionnalités de SQL

n'apparaissent pas dans MySQL

(Sélections imbriquées, clés étrangères, etc.). Toutefois on note certains manquements : il

ne permet pas la gestion des transactions, des procédures stockées, des intégrités de

références, et ne supporte non plus les requêtes imbriquées, et la charge (40 à 50

connections concurrentes) comme le fait PostgreSQL un de ses concurrents dans le monde

des SGBD.

En dépit de ces inconvénients qui sont masqués la plupart des temps par de multiples

avantages, MySQL demeure un SGBD indiscutable et très réputé pour sa forte présence

dans le domaine des bases de données.

MySQL offre comme avantages principaux :

- Sa compatibilité donc sa fréquente utilisation avec le langage de création de

pages web dynamiques PHP ;

- Sa caractéristique d'être multiutilisateurs et multitraitements ;

- Il possède un optimisateur de jointures. Par conséquent il offre une étonnante

rapidité de traitement des requêtes ;

- MySQL réserve des espaces considérables (jusqu'à 4 Go et même plus) pour la

gestion de données par table ;

- Il existe plusieurs outils tels que PHPMyadmin et Eskuel permettant

d'administrer une base de données MySQL ;

- Plusieurs sites web lui sont consacrés. De ce fait il bénéficie d'une large

documentation et d’importants groupes de discussion qui favorisent les

échanges entre les membres de la communauté qui l'utilise ;

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- De plus il est multilingue et est doté d'un système de droit qui favorise

l'authentification qui relève le niveau de sécurité ;

- En fin, MySQL présente une facilité d'installation puisqu'il est livré avec

beaucoup de logiciel notamment EasyPHP, WAMP, Apache2Triad etc.

1.3. JUSTIFICATION DU CHOIX DU SERVEUR WEB APACHE

1.3.1. Qu’est-ce qu’un serveur web ?

Un serveur web est un logiciel permettant à des clients d'accéder à des pages web, c'est-à-

dire en réalité des fichiers au format HTML à partir d'un navigateur (aussi appelé browser)

installé sur leur ordinateur distant. Il est donc un « simple » logiciel capable d'interpréter

les requêtes HTTP arrivant sur le port associé au protocole HTTP (par défaut le port 80), et

de fournir une réponse avec ce même protocole.

1.3.2. Le serveur web apache ?

Apache est le serveur libre le plus répandu sur Internet. Il s'agit d'une application

fonctionnant à la base sur les systèmes d'exploitation de type Unix, mais il a désormais été

porté sur de nombreux systèmes, dont Microsoft Windows.

Grâce à sa convivialité et sa facilité d'utilisation, il est devenu l'un des piliers du succès du

trio Apache/MySQL/PHP de développement Web.

Apache (ou bien pour les puristes à l'anglophone « Apatchy ») tire son nom de la façon

dont il a été mis au point (« A patchy server » qui veut dire « un serveur rafistolé ») car il

est le fruit d'une multitude de correctifs logiciels afin d'en faire une solution très sûre.

1.4. UN MOT SUR EASYPHP

EasyPHP est un programme qui s’installe et se configure automatiquement un

environnement de travail complet sous Windows permettant de mettre en œuvre toute la

puissance et la souplesse qu’offre le langage dynamique PHP et son support efficace des

bases de données. EasyPHP regroupe un serveur Apache, une base de données MySQL, le

langage PHP, PHPMyAdmin ainsi que des outils facilitant le développement de site ou

d’application.

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Chapitre 2 : PRESENTATION DE L’APPLICATION

L’application se présente sous trois niveaux bien structurés :

- Les tables de stockage ;

- Le programme moteur ;

- L’interface utilisateur.

FIGURE 20: Présentation de l’application

2.1. TABLES DE STOCKAGE DES DONNEES

Depuis le diagramme de classe, nous pouvons en extraire la structure de SGBD suivant :

Figure 22: Tables de stockage des données

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2.2. PROGRAMME MOTEUR

Les tables de stockage mise en place, il nous faut à présent incorporer le cœur de

l’application : « le programme moteur » représenter graphiquement par l’arborescence

suivante :

Figure 23: Tables de stockage des données

2.2.1. Configuration et Accès au SGBD

Constituer principalement par les fichiers : « con_base » et « class.php ». Ces deux fichiers

sont primordiaux dans le fonctionnement de l’application.

a) Extrait de code de : « con_base.php »

<? php

$hostname = "localhost";

$username = "root";

$password = "";

$database = "personnel_essva";

?>

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b) Extrait de code de : « class.php »

<?php

class db {

var $link=0;

var $num_queries=0;

var $query_result;

function db($db_host,$db_user,$db_pass,$db_name) {

$this->link =

mysql_connect($db_host,$db_user,$db_pass,true);

@mysql_select_db($db_name,$this->link);

}

function sql_close(){

if($this->link)

return mysql_close($this->link);

else

return false;

}

function sql_query($query){

unset($this->query_result);

$this->num_queries++;

$this->query_result = mysql_query($query, $this-> link);

if($this->query_result)

return $this->query_result;

else

return false;

}

function sql_numrows($query_id=0){

if(!$query_id)

$query_id=$this->query_result;

return ($query_id)?mysql_num_rows($query_id):fals e;

}

function sql_affected(){

return ($this->link)?mysql_affected_rows($this->l ink):false;

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}

function sql_dataseek($query_id=0, $num_row){

if(!$query_id)

$query_id = $this->query_result;

if($query_id)

return mysql_data_seek($query_id,$num_row);

else

return false;

}

…

?>

2.2.2. Mise à jour

Les fichiers de mise à jour consistent à ajouter, modifier et supprimer des données vers le

SGBD. Ils sont généralement constituer de deux fichiers :

- Le fichier d’envoie ;

- Le fichier de réception.

a) Le fichier d’envoie

A fin que l’accès et la réponse du SGBD soit rapide, toute les fichiers d’envoi sont

restructurés avec l’utilisation de JQuery.

Voila donc un extrait de code avec JQuery :

<script type=’’text/javascript’’ scr=’’../script/jquery.js’’></script>

<script type=’’text/javascript’’>

function ajout() {

num=window.document.getElementById("num_matr").value;

nom=window.document.getElementById("nom_pers").value;

prenom=window.document.getElementById("prenom_pers").value;

datenais=window.document.getElementById("datenais").value;

residancehab=window.document.getElementById("resid_hab").value;

numtel=window.document.getElementById("num_tel").value;

email=window.document.getElementById("email").value;

adressepro=window.document.getElementById("adr_pro").value;

typologie=window.document.getElementById("typ").value;

claspro=window.document.getElementById("clas_pro").value;

fonct=window.document.getElementById("fonction").value;

niveau=window.document.getElementById("niveau").value;

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dipl=window.document.getElementById("diplome").value;

dateambauche=window.document.getElementById("dateambauche ").value;

if(confirm("Voulez-vous enregistrer ces donnes?")){

$.post("../script/recep_pers.php",{

num_matr: ""+num+"",

nom_pers: ""+nom+"",

prenom_pers: ""+prenom+"",

date_nais: ""+datenais+"",

resid_hab: ""+residancehab+"",

num_tel: ""+numtel+"",

email: ""+email+"",

adr_pro: ""+adressepro+"",

typ: ""+typologie+"",

clas_pro: ""+claspro+"",

fonction: ""+fonct+"",

niveau: ""+niveau+"",

diplome: ""+dipl+"",

date_ambauche: ""+dateambauche+""});

}

}

…</script>

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b) Le fichier de réception

Le fichier de réception consiste à recevoir et à envoyer les données vers le serveur de

base de données.

Voila donc un extrait de code :

< ?php

header('Content-type: text/html; charset=ISO-8859-1');

error_reporting(0);

include("class.php");

include("con_base.php");

$num_matr = $_POST['num_matr'];

$nom_pers = $_POST['nom_pers'];

$prenom_pers = $_POST['prenom_pers'];

$date_nais = $_POST['date_nais'];

$resid_hab = $_POST['resid_hab'];

$num_tel = $_POST['num_tel'];

$email = $_POST['email'];

$adr_pro = $_POST['adr_pro'];

$typ = $_POST['typ'];

$clas_pro = $_POST['clas_pro'];

$fonction = $_POST['fonction'];

$niveau = $_POST['niveau'];

$diplome = $_POST['diplome'];

$date_ambauche = $_POST['date_ambauche'];

$db = new db($hostname,$username,$password,$database);

if(!$db) {

echo 'ERROR: Could not connect to the database.';

}

else {

$sql= "INSERT INTO

personnel(num_matr,nom_pers,prenom_pers,date_nais,resid_hab,num_tel,email,adr_pro,typ,clas_pro,fonction,ni

veau,diplome,date_ambauche) VALUES

('$num_matr','$nom_pers','$prenom_pers','$date_nais','$resid_hab','$num_tel','$email','$adr_pro','$typ','$clas_pro

','$fonction','$niveau','$diplome','$date_ambauche')";

mysql_query($sql);

}

?>

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2.3. INTERFACE UTILISATEUR

« L’interface utilisateur » c’est le corps de l’application incorporé, donc c’est l’ensemble des

tables de stockage et le programme moteur.

2.3.1. Structure et rubrique de l’interface utilisateur

Voila donc la structure et rubrique de l’interface utilisateur :

ACCEUIL Règlements intérieur de l’ESSVA

MISE A JOUR

Ajout personnel

Ajout prise de fonction

Ajout Comptabilisation de cours

Suppression personnel

Modification personnel

Mise à jour filière

Mise à jour volume horaire

Mise à jour Utilisateurs

MOUVEMENT

Ajout Permission

Ajout congé

Mise à jour Solde Permission

Mise à jour Solde Congé

Mise à jour Solde Antérieur Permission

Mise à jour Solde Antérieur Congé

VACATION

Mise à jour Montant par heure

Vacation

Consultation Vacation

CONSULTATION

Liste du personnel

Liste permission

Liste congé

Fiche de comptabilisation de cours

Renseignement sur un membre du personnel

Recherche personnel en permission

Recherche personnel en congé

Archive

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2.3.2. Quelques capture d’écran

Afin d’illustrer graphiquement l’application, présentons quelques schémas visuel.

a) Page d’accueil

C’est dans cette page d’accueil que les utilisateurs s’authentifient

Figure 24: Page d’accueil

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b) Page de mise à jour

Figure 25: Page de mise à jour

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c) Page des mouvements

Figure 26: Page des mouvements

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d) Page de vacation

Figure 27: Page de vacation

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e) Page de consultation

Figure 28: Page de consultation

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CONCLUSION

Nous venons par ce stage pratique effectué à l’ESSVA de boucler notre formation.

Ce stage qui nous a permis de rédiger notre mémoire a été décisif et d'une importance capitale

dans notre étude puisqu'il constitue un pont entre le monde professionnel et celui de la

formation. Il nous a paru très utile puisqu'une expérience en matière de réalisation de projet a

été acquise.

Nous avons modélisé avec un langage de modélisation UML et programmé avec

le langage PHP qui nous ont paru tellement intéressants car ils offrent une panoplie

d'avantages. Ce fut pour nous une occasion de confronter nos connaissances aux diverses

réalités du terrain.

Concernant le logiciel réalisé, il faut signaler que certes une base est jetée mais nous

reconnaissons nos faiblesses et lacunes.

A l'heure des bilans, nous nous réjouissons quand même du chemin parcouru et de

l'effort collectif et individuel qui vient d'être fourni.

Pour terminer nous ne manquerons pas d'exprimer une fois encore notre gratitude à

tous ceux qui nous ont aidés durant notre formation.

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BIBLIOGRAPHIE

1. Monsieur BAKARI Maecha.- cours de conduite de projet informatique.-2008/2009

2. Monsieur BAKARI Maecha.- cours de PHP.-2008/2009

3. Monsieur HAJALALAINA Aimé Richard.- support de cours d’UML.-2008/2009

WEBOGRAPHIE

1. fr.wikipedia.org/wiki

2. www.commentcamarche.net

3. www.siteduzero.com

4. www.phpsources.org

5. fr.php.net

6. www.queret.net

7. www.easy-script.com

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GLOSSAIRE DES TERMES TECHNIQUES Acteur : Un acteur est l’idéalisation d’un rôle joué par une personne externe, un processus ou

une chose qui interagit avec un système.

Agrégation : Il s’agit d’une relation entre deux classes, spécifiant que les objets d’une classe sont

des composants de l’autre classe. Une relation d’agrégation permet donc de définir

des objets composés d’autres objets.

Attributs : Il s’agit des données caractérisant l’objet. Ce sont des variables stockant des

informations sur l’état de l’objet.

Authentification : C’est le fait de s’identifier, à l’aide d’un nom d’utilisateur et un mot de passe, avant

d’entrer dans une page réservée.

Base de données : Représente un ensemble structuré de données d’une entreprise.

Cas d’utilisation : Un cas d’utilisation est une unité cohérente représentant une fonctionnalité visible

de l’extérieur. Il modélise un service rendu par le système, sans en imposer le mode

de réalisation.

Classe : C’est un type de données abstrait qui précise des caractéristiques (attributs et

méthodes) communes à toute une famille d’objets et qui permet de créer (instancier)

des objets possédant ces caractéristiques.

Formalisme : C’est une convention utilisée pour représenter quelque chose.

Héritage : C’est un mécanisme de transmission des caractéristiques d’une classe (ses attributs

et méthodes) vers une sous-classe.

Instance : On dit qu’un est une instance de sa classe

Instanciation : On utilisera ce terme à chaque création d’une instance (objet).

Méthodes : Les méthodes d’un objet caractérisent son comportement. Ces opérations permettent

de faire réagir l’objet aux sollicitations extérieures (ou d’agir sur les autres objets).

Objet : C’est une variable de type classe

SGBD : Un Système de Gestion de Base de Données (abrégé SGBD) est un ensemble de

logiciels qui sert à la manipulation des bases de données. Il sert à effectuer des

opérations ordinaires telles que consulter, modifier, construire, organiser,

transformer, copier, sauvegarder ou restaurer des bases de données. Il est souvent

utilisé par d'autres logiciels ainsi que les administrateurs ou les développeurs.

SQL : Structured Query Language (SQL), ou « langage structuré de requêtes », est un

pseudo-langage informatique (de type requête) standard et normalisé, destiné à

interroger ou à manipuler une base de données relationnelle.

Système

d’Information

: Rassemble les données et opérations qui définissent la raison d’être d’une

entreprise.

UML : Unified Modeling Language. C’est un langage de modélisation objet né de la fusion

des trois méthodes et langages : Booch, OMT et OOSE.

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LISTES DES FIGURES ET ILLUSTRATIONS

Figure 1: Organigramme de l’ESSVA .................................................................................................... 8

Figure 2: Organigramme du CUFP ....................................................................................................... 11

Figure 3 : Représentation graphique du modèle en V ........................................................................... 17

Figure 4: Formalisme de cas d’utilisation ............................................................................................. 34

Figure 5: Représentation de la structure de l’application ...................................................................... 36

Figure 6: Diagramme de cas d’utilisation Générale .............................................................................. 38

Figure 7: Diagramme de cas d’utilisation de paquetage Gestion Utilisateur ........................................ 39

Figure 8: Diagramme de cas d’utilisation de paquetage Gestion Personnel et mouvement .................. 41

Figure 9: Diagramme de cas d’utilisation de paquetage Gestion Enseignant vacataire ........................ 45

Figure 10: Formalisme d’un diagramme de classes .............................................................................. 51

Figure 11: Diagramme de classes .......................................................................................................... 54

Figure 12: Diagramme d’activité Authentification ............................................................................... 55

Figure 13: Diagramme d’activité Demande et mise à jours congé et permission ................................. 56

Figure 14: Diagramme d’activité Mise à jour solde congé et permission ............................................. 56

Figure 15: Diagramme d’activité Mise à jour Information du personnel .............................................. 57

Figure 16: Diagramme d’activité Consultation et étatisation ................................................................ 57

Figure 17: Diagramme d’activité Faire cours ........................................................................................ 58

Figure 18: Diagramme d’activité Mise à jour Fiche de comptabilisation de cours ............................... 59

Figure 19: Diagramme d’activité Mise à jour Vacation ........................................................................ 60

Figure 20: Diagramme d’activité Mise à jour Volume horaire ............................................................. 61

Figure 21: Diagramme d’activité Consultation Fiche de comptabilisation de cours et Vacation ......... 62

Figure 22: Tables de stockage des données ........................................................................................... 71

Figure 23: Tables de stockage des données ........................................................................................... 72

Figure 24: Page d’accueil ...................................................................................................................... 78

Figure 25: Page de mise à jour .............................................................................................................. 79

Figure 26: Page des mouvements .......................................................................................................... 80

Figure 27: Page de vacation .................................................................................................................. 81

Figure 28: Page de consultation ............................................................................................................ 82

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TABLE DES MATIERES

REMERCIEMENTS ................................................................................................................... i

CURRICULUM VITAE ........................................................................................................... iii

SOMMAIRE .............................................................................................................................. v

INTRODUCTION ...................................................................................................................... 1

Première partie .................................................................................................................... 2

PRESENTATION GENERALE .................................................................................... 2

Chapitre 1 : PRESENTATION DE L’ECOLE SUPERIEURE SPECIALISEE DE VAKINANKARATRA (ESSVA) .................................................................................... 3

1.1. HISTIRIQUE DE L’ESSVA ................................................................................... 3

1.2. LA FORMATION ................................................................................................... 4

1.2.1. Présentation de la formation .................................................................................. 4

1.2.2. Les Filières ............................................................................................................ 5

1.3. LA DIRECTION ...................................................................................................... 5

1.4. PARTENARIAT ...................................................................................................... 6

1.5. LA CONSTRUCTION DES BATIMENTS ............................................................ 6

1.6. ORGANIGRAMME ................................................................................................ 8

Chapitre 2 : PRESENTATION DU CENTRE UNIVERSITAIRE DE FORMATION PROFESSIONNALISANTE (CUFP) .................................................................................... 9

2.1. HISTORIQUE .............................................................................................................. 9

2.2. OBJECTIFS PRINCIPAUX DU CENTRE ................................................................. 9

2.3. LES FORMATIONS DISPENSEES ........................................................................... 9

2.3.1. Filière Administration Economique et Sociale .................................................... 9

2.3.2. Filière Informatique des Systèmes et Réseaux ................................................... 10

2.4. ORGANIGRAMME .................................................................................................. 11

2.4.1. Conseil d’établissement ...................................................................................... 11

2.4.2. Directeur .............................................................................................................. 12

2.4.3. Chefs de département .......................................................................................... 12

2.4.4. Collège des enseignants ...................................................................................... 12

2.4.5. Personnel administratif ........................................................................................ 12

2.5. RESSOURCES .......................................................................................................... 12

2.5.1. Ressources humaines ........................................................................................... 12

2.5.2. Ressources matérielles ........................................................................................ 13

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Chapitre 3 : PRESENTATION DU PROJET ...................................................................... 14

Deuxième partie ................................................................................................................. 15

ETUDE PREALABLE DU PROJET ......................................................................... 15

Chapitre 1 : CYCLE DE VIE DE LOGICIEL ..................................................................... 16

1.1. MODELE DE CYCLE DE VIE DE LOGICIEL ................................................... 16

1.2. MODELE EN V ..................................................................................................... 17

Chapitre 2 : EXPRESSION DES BESOINS D’AUTOMATISATION ............................ 18

2.1. ORIGINE DE LA PROPOSITION ........................................................................... 18

2.2. LES GRANDS LIGNES DE L’APPLICATION .................................................. 18

Chapitre 3 : ETUDE D’OPPORTUNITE .......................................................................... 19

3.1. ORGANISATION DE L’ETUDE ............................................................................. 19

3.2. OPPORTUNITE DE L’APPLICATION ................................................................... 19

Chapitre 4 : ETUDE DE FAISABILITE ........................................................................... 20

4.1. FAISABILITE ORGANISATIONNELLE ET TECHNIQUE .................................. 20

4.2. FAISABILITE ECONOMIQUE ............................................................................... 20

Chapitre 5 : ETUDE DE L’EXISTANT .............................................................................. 21

5.1. ORDINATEURS ....................................................................................................... 21

5.2. PERIPHERIQUES ..................................................................................................... 21

5.3. LOGICIELS EXISTANTS ........................................................................................ 22

Troisième partie ................................................................................................................. 23

LA CONCEPTION ........................................................................................................... 23

Chapitre 1 : PRESENTATION DE « UML » .................................................................... 24

1.1. PRESENTATION ET JUSTIFICATION DU CHOIX DE UML ......................... 24

1.1.1. Définition et historique d’UML .......................................................................... 25

1.1.2. Justification du choix d’UML ............................................................................ 26

1.2. COMMENT MODELISER AVEC UML ? ............................................................... 28

1.2.1. La vue logique ..................................................................................................... 29

1.2.2. La vue des composants ........................................................................................ 30

1.2.3. La vue des processus .......................................................................................... 30

1.2.4. La vue de déploiement ....................................................................................... 30

1.2.5. La vue des besoins des utilisateurs ..................................................................... 30

1.3. COMMENT REDIGER UN MODELE AVEC UML ? ............................................ 31

1.4. LE CONCEPT OBJET ............................................................................................. 31

1.4.1. Définition et caractéristiques de l'objet .............................................................. 31

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1.4.2 Les autres concepts objets ................................................................................... 32

1.5. MODELISATION DES VUES STATIQUES ET DYNAMIQUES ........................ 32

1.5.1. Les vues statiques ................................................................................................ 32

Chapitre 2 : REGLES DE GESTION ................................................................................ 35

Chapitre 3 : LES VUES STATIQUES DU SYSTEME ..................................................... 36

3.1. STRUCTURE DE L’APPLICATION ....................................................................... 36

3.2. DIAGRAMME DE CAS D’UTILISATION ............................................................. 37

3.2.1. Formalisme ......................................................................................................... 37

3.2.2. Notion d’héritage ................................................................................................ 37

3.2.3. Représentation graphique : ................................................................................. 37

3.2.4. Cas d’utilisation général ..................................................................................... 38

3.2.5. Le paquetage gestion utilisateur ........................................................................ 39

3.2.6. Le paquetage gestion personnel et mouvement .................................................. 41

3.2.7. Le paquetage enseignant vacataire ..................................................................... 45

3.3. DIAGRAMME DE CLASSES .................................................................................. 51

3.3.1. Représentation graphique ................................................................................... 51

3.3.2. Dictionnaire des données ................................................................................... 52

3.3.3. Le diagramme de classes du système ................................................................. 54

Chapitre 4 : LES VUES DYNAMIQUES DU SYSTEME ............................................. 55

4.1. DIAGRAMMES D’ACTIVITES .............................................................................. 55

4.1.1. Le paquetage gestion utilisateur .......................................................................... 55

4.1.2. Paquetage gestion personnel et mouvement ........................................................ 56

4.1.3. Paquetage gestion enseignant vacataire .............................................................. 58

Quatrième partie ............................................................................................................... 63

LA REALISATION .......................................................................................................... 63

Chapitre 1 : LE DEVELOPPEMENT DU SYSTEME ...................................................... 64

1.1. JUSTIFICATION DES LANGAGES DE PROGRAMMATION ............................ 64

1.1.1. Présentation ......................................................................................................... 64

1.1.2. Historique ............................................................................................................ 65

1.1.3. Avantage .............................................................................................................. 67

1.2. PRESENTATION ET JUSTIFICATION DU SERVEUR DE BASE DE DONNEES: MYSQL ........................................................................................................ 68

1.2.1. Bases de Données et Système de Gestion de Base de Données. ........................ 68

1.2.2. Définition et présentation du système de gestion de base de données: MySQL 69

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1.3. JUSTIFICATION DU CHOIX DU SERVEUR WEB APACHE ............................ 70

1.3.1. Qu’est-ce qu’un serveur web ? ............................................................................ 70

1.3.2. Le serveur web apache ? ..................................................................................... 70

1.4. UN MOT SUR EASYPHP ........................................................................................ 70

Chapitre 2 : PRESENTATION DE L’APPLICATION ..................................................... 71

2.1. TABLES DE STOCKAGE DES DONNEES ........................................................... 71

2.2. PROGRAMME MOTEUR ........................................................................................ 72

2.2.1. Configuration et Accès au SGBD ....................................................................... 72

2.2.2. Mise à jour ........................................................................................................... 74

2.3. INTERFACE UTILISATEUR ................................................................................... 77

2.3.1. Structure et rubrique de l’interface utilisateur ..................................................... 77

2.3.2. Quelques capture d’écran .................................................................................... 78

CONCLUSION ........................................................................................................................ 83

BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................... 84

WEBOGRAPHIE ..................................................................................................................... 84

GLOSSAIRE DES TERMES TECHNIQUES ........................................................................ 85

LISTES DES FIGURES ET ILLUSTRATIONS ..................................................................... 86

TABLE DES MATIERES ....................................................................................................... 87

mémoire de fin d’étude s pour l’obtention d’un diplôme de...

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