mise en page 1 - hôpitaux de marseille / centre

24
DOSSIER DOCUMENTAIRE © Sabine Allard 3 èmes rencontres euro-méditerranéennes Samedi 28 mai 2011 « Dis-moi ce que tu manges… Alimentation et santé en Méditerranée »

Upload: others

Post on 16-Jun-2022

2 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

DOSSIER DOCUMENTAIRE

© Sabine Allard

3èmes rencontres euro-méditerranéennes

Samedi 28 mai 2011« Dis-moi ce que tu manges…Alimentation et santé en Méditerranée »

Page 2: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

« L’Ecole de Salerne en Italie du sud a reçu dès le 9e siècle des étudiants de toute l’Europeet du pourtour méditerranéen ; elle fut fondée à une date incertaine mais selon la tradi-tion, par quatre maîtres professant chacun dans sa langue :Salernus en latin, Pontos en grec, Adela en arabe et Helinus en hébreu »

Michèle PorteMémoire de la science, Volume II, La naissance du mètre, l’invention du vide, 1988

Page 3: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Sous le patronage de Frédéric Mitterrand,ministre de la Culture et de la Communicationet de Xavier Bertrand, ministre du Travail, de l’emploi et de la Santé,et avec le label du Conseil Culturel de l’Union pour la Méditerranée

L’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseilleen partenariat avec L’Université de la Méditerranéeet Marseille-Provence 2013

Présente

Dis-moi ce que tu manges…Alimentation et santé en Méditerranée

Les Conversations de Salernerencontres euro-méditerranéennes3ème édition

A l’Alcazar Bibliothèque de Marseille à Vocation RégionaleSamedi 28 mai 2011

Avec la participation des Instituts de Formation en Soins Infirmiers de l’AP-HM, l’unité d’éducation thérapeutique à l’alimentation (Pr. Roccah),Radio Grenouille, l’Association Sourds Interprètes de Provence, la Compagnie Piccola Velocità et le Département Sciences et Techniques de l’Al-cazar, Bibliothèque de Marseille à Vocation Régionale

Page 4: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Les éditions précédentes

Les Conversations de SalerneRencontres euro-méditerranéennes Santé et Culture

En partenariat avec l’Université de la Méditerranée, Marseille-Provence2013 et six Centres Hospitalo-Universitaires du bassin méditerranéen,l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille se fait le promoteur d’unprojet fédérant de nombreuses initiatives sur la thématique santé etculture.

Les Conversations de Salerne, proposition phare de cette démarche, sontdes rencontres publiques régulières à Marseille et dans les pays parte-naires visant à explorer les dimensions culturelles du soin et de la mé-decine.

Les Conversations de Salerne sont conçues comme des rendez-vous ré-guliers programmés chaque année, à Marseille et dans les pays parte-naires du projet Santé e(s)t culture(s), sur les dimensions culturelles dusoin et de la santé.

Elles constituent une première modalité de participation de l’hôpital etde ses partenaires à la Capitale européenne de la culture à Marseille en2013 et à la construction d’un échange euro-méditerranéen sur lethème de la santé, dans le cadre de l’Union pour la Méditerranée.

Objectifs

>>> Promouvoir la place de la culture et de l’humain dans les systèmesde santé.>>> Favoriser le dialogue entre les cultures de la Méditerranée à partiret à propos des problématiques de santé.>>> Créer un espace public avec les usagers, les étudiants, les cher-cheurs et les professionnels sur les enjeux de la médecine et de la santéen Méditerranée : partager avec la population des problématiques defond qui touchent chacun d’entre nous en tant qu’être de culture etcorps potentiellement souffrant.

>>> Salut et santé. Religions et spiritualité àl’hôpital en Méditerranée.

Beyrouth, les 27 et 28 novembre 2010

>>> L’Humain à part-entière. Humanisationet Médicalisation en Méditerranée.

Marseille, le 29 mai 2010

Page 5: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Dépassant la mythologique légende de sa création qui voudrait quel’école ait été fondée conjointement par un grec, un latin, un juif et unarabe, Charles Daremberg dans «Médecine, histoire et doctrine», remeten question la fondation de cette dernière par Constantin l’Africain :

« Il ne serait pas impossible que Salerne, dont Horace vante déjà la salu-brité, ait vu se former, à une époque très voisine de la chute de l’empireromain, une véritable école médicale où dominait l’élément laïque ».

Dès le VI siècle, en effet, la langue grecque cesse de se répandre et lestextes d’Hippocrate, Galien ou Dioscoride sont traduits en latin.

Au carrefour des échanges culturels et commerciaux de la « Mare Nos-trum », l’école de Salerne, devient alors un lieu de transmission desconnaissances où les enseignements théoriques sont fondés sur l’ob-servation et l’examen des malades et de leurs pathologies pratiquées ausein d’un hôpital bénédictin qui progressivement devient laïque.

Accessible aux deux sexes, la médecine salernitaine a été enseignée etpratiquée par un grand nombre de femmes.L’une des plus célèbres d’entre elles, Trotula, a vécu à Salerne vers 1059et a publié le traité des maladies des femmes.

Il n’en reste pas moins que l’arrivée à Salerne de Constantin l’Africainmarque, vers 1077, l’apogée de la célèbre école.

A la suite de ses nombreux voyages et grâce à ses traductions et adap-tations de textes arabes, il a contribué de façon décisive à l'élargisse-ment du savoir médical dans l'Occident latin.

A partir de là, l'Ecole de Salerne acquiert surtout la notoriété par la pu-blication de nombreux ouvrages de proses et de préceptes.

Au delà des contributions effectives de l’Ecole de Salerne et au déve-loppement de la médecine, son histoire témoigne du lien étroit entreculture, cultures et santé qui a permis la rencontre et la synthèse dedifférentes expériences et connaissances en méditerranée, dépassant lesdoctrines religieuses, les langues et les pratiques.

L’école de Salerne ou la « Cité Hippocratique »

Page 6: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Le 21 août dernier, à 21 heures, la scène du Grand Théâtre de Dubrov-nik offrait aux assistants un spectacle sévère : celui d’une dizaine demessieurs en habit (dont j’étais !), stoïques sous une chaleur de tropiqueet s’apprêtant à recevoir la lecture d’une conférence en langue alle-mande égrenée sur deux heures d’horloge sans interruption, sans « bar-fumoir »…

Ces personnages n’étaient autres que les membres de l’ « Académie in-ternationale de la pharmacie » présents au congrès de Dubrovnik. Leconférencier, M. le Dr Lutz, pharmacien et conservateur du musée fondépar Haefliger à Bâle, allait exposer les résultats de son étude d’un ma-nuscrit richement illuminé qui dormait, oublié, dans une bibliothèquebâloise.

On sait, expliqua-t-il, que le Moyen-âge a utilisé de nombreux formu-laires manuscrits dont les éléments proviennent de traités grecs, alexan-drins ou latins, parfois par l’intermédiaire de traductions arabesretraduites à leur tour en latin. Or, la fameuse école de Salerne avaitfait établir, en copiant des formulaires plus anciens et en y apportantson grain de sel, de nouveaux recueils qui allaient bénéficier de sonprestige. L’un d’eux, connu sous le nom d’Antidotarium Nicolai, contientenviron 140 recettes médicales. Mais ce n’est pas celui pour lequel Pla-tearius a écrit ses gloses en 1140 : il commentait une autre compilationbeaucoup plus importante qui sera longtemps connue et utilisée sous lenom de « Grand Antidotaire » et dont on devait perdre la trace à partirdu XVIe siècle.

Ce texte, M. le docteur Lutz croit l’avoir retrouvé parmi les manuscritsde la Bibliothèque Universitaire de Bâle. Il est intitulé Antidotarius mag-nus Galeni secundum ordinem alphabetis. Il aurait eu pour principal au-teur (ou traducteur) un musulman converti au christianisme et formé àla célèbre école de Kairouan, Constantin l’Africain, qui mourut en 1087au monastère du mont Cassin, foyer d’enseignement qui précéda Sa-lerne. La copie de cette œuvre conservée aujourd’hui à Bâle et récem-ment identifiée par M. Lutz, aurait été, d’après lui, exécutée exactementun siècle plus tard en Suisse centrale, au couvent d’Engelberg.

M. le professeur George Edmond Dann, qui présidait la séance du théâ-tre de Dubrovnik, ne ménagea point ses félicitations, très méritées, àl’auteur de cette découverte.

Mais ce n’est là qu’un début. En quelques tableaux synoptiques, l’éru-dit pharmacien bâlois a bien indiqué ce qu’il suppose être la filiationdes formulaires compris entre la littérature hippocratique et le Ricep-tario fiorentino. Mais quel est le courageux médiéviste, à la fois hellé-niste, arabisant, latiniste, hébraïsant et orientaliste, qui, au prix d’uneexhaustive recension de tous les documents disséminés dans le monde,voudra entreprendre une généalogie détaillée et définitive de lointainsancêtres de nos codex ?

1Dr Alfons LUTZ : Traité scientifique…. in Acta pharmaciae historica de l’Académie internationale d’histoire de la Pharmacie,La Haye, 1959, pp. 1-25 (en allemand, avec résumé français).

A-t-on retrouvé le Grand Antidotairede l’Ecole de Salerne1 ?

Page 7: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Parce que l’alimentation est un sujet qui touche aux caractéristiqueset aux savoir-faire d’un territoire, à l’économie locale et mondiale, àla santé et à la culture, aux pratiques sociales et aux échanges affec-tifs, elle implique une approche fortement interdisciplinaire. C’estpourquoi, les Conversations de Salerne 2011 se consacrent à ce thèmeen l’inscrivant dans l’aire méditerranéenne.

Depuis l’antiquité, en passant par le Haut Moyen-Âge et jusqu’àl’époque contemporaine, le régime méditerranéen a inspiré poètes etmédecins. Les premiers en ont célébré les plaisirs de la bouche, les se-conds en ont vanté les vertus sanitaires. Les proses salernitaines fai-sant référence à des régimes particuliers issus des plus hautes autoritésde l’école de médecine de Salerne au Xème et XIème siècle en sont undes exemples.

Aujourd’hui encore, les cancérologues, les diabétologues et autres spé-cialistes de maladies liées à l’alimentation reconnaissent le régime cré-tois comme l’un des meilleurs pour la santé. Si pendant longtemps, lasanté publique s’est préoccupée de la sous-nutrition en Méditerranée,c’est désormais la mauvaise qualité de l’alimentation qui est en cause.La « malbouffe » des industries agroalimentaires est devenue un fac-

teur de risque identifié pour de nombreuses maladies cardio-vascu-laires, le diabète, l’obésité, le cancer.A cet égard, il est important de souligner l’amorce d’un virage dans lesstratégies des grands groupes vers la production d’aliments « sains »,pariant sur le développement du marché des « alicaments ».

Des études ont montré que les cultures fortement organisées autourdu repas comme rituel familial, culturel, collectif ou religieux résis-tent mieux aux effets délétères de la généralisation de l’alimentationindustrielle. Aussi, le capital santé d’un individu relève non seulementde la qualité de ce qu’il mange mais également des conditions sociales,culturelles et affectives dans lesquelles il mange.La Méditerranée peut-elle alors mobiliser son héritage culturel et sesressources naturelles pour échapper aux méfaits de la standardisationalimentaire ?

Dis-moi ce que tu manges…Alimentation et santé en Méditerranée

Page 8: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Manger en Méditerranée…

9H30 - 9H45 : Ouverture.Pr Pierre Fuentès, Président du Conseil Scientifique et Culturel

« Santé e(s)t culture(s) », Vice Président des Relations Internatio-nales, Université de la Méditerranée

9h45 - 11h15 : ...des héritages fécondsRessources naturelles, savoir-faire culinaires, rituels etmodes de partage.

Paul Balta, journaliste, écrivain, ancien directeur du Centre d’étudesde l’Orient contemporain, Paris III, SorbonneGilles Boëtsch, anthropobiologiste, Directeur de recherches au CNRS,

Directeur de l'UMI 3189 Environnement, Santé, Sociétés (UCAD / CNRS/ CNRST / Université de Bamako)

Farouk Mardam-Bey, éditeur, Sindbad-Actes SudMarilyn Nicoud, professeur d’Histoire médievale, Université d’Avi-

gnon

11h30 - 13h00 : ...des mondes bousculésPathologies nouvelles, sociétés poreuses, consommation planétaire

Flora Bat-Pitault, psychiatre, Assistance Publique-Hôpitaux deMarseilleMohamed El Riwini, professeur de chirurgie digestive, Faculté de

Médecine d’AlexandrieKarine Montcerisier, cadre de santé, diététicienne, Assistance Pu-

blique-Hôpitaux de MarseilleSophie-Anne Sauvegrain, chercheur associé, Laboratoire d’anthro-

pologie bio culturelle, Université de la MéditerranéeLuisa Stagi, professeur de sociologie, Université de Gênes, Italie

14h30 – 16h30 : …des savoir-vivre en recompositionHéritiers des traditions, porteurs d’innovations, des méditerranéens bien-mangeant

Yehezkel Ben-Ari, neurobiologiste, directeur de recherche INSERM, fonda-teur et directeur honoraire de l'Institut de neurobiologie de laMéditerranéeFaïka BenMami, professeur, diabétologue, Institut National de Nutrition

et de Technologie Alimentaire, TunisMonique Diano, co-présidente des Paniers marseillais, AMAP BioAbdenour Laraba, Professeur, Chef de service de pédiatrie, CHU de Bab

el Oued, AlgerGérald Passedat, chef cuisinier, le Petit Nice, MarseilleDenis Raccah, professeur nutritionniste, endocrinologue, Assistance Pu-

blique-Hôpitaux de Marseille

16H30 : Clôture.

A l’occasion de cette journée de rencontre, trois promotions d’étudiantsdes Instituts de Formation en Soins Infirmiers de l’AP-HM ont participé àdes ateliers de sensibilisation artistique sur le thème de l’alimentation àl’hôpital et de la prévention.Les travaux réalisés seront exposés dans le hall de l’auditorium et restituésà la fin du livret. Nous les remercions ainsi que les artistes et les forma-teurs pour leur contribution.

L’animatrice

Corrine BlotinDiplômée en journalisme, passionnée par la radio, c’est en tant qu’anima-trice qu’elle entre à Radio France en 1983. De productions de magazinesen reportages sur le terrain, au sein de différentes radios, (Radio 7, Aven-ture FM, RFI, FIP...), elle anime également depuis plusieurs années des dé-bats lors du Festival Science Frontières. Installée àMarseille depuis 20 ans,elle est aujourd'hui journaliste à Radio France (France Bleu Provence).

Tables rondesAnimées par Corrine Blotin, journaliste.

Page 9: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Paul BaltaJournaliste spécialiste des mondes arabe et musulman et de la Mé-diterranée, Paul Balta a été correspondant dans plusieurs pays ettémoin des événements du Moyen-Orient dont le conflit israélo-arabe, les guerres du Kurdistan, la révolution iranienne et la pre-mière guerre du Golfe. Écrivain, il a publié une vingtained'ouvrages.Ancien Directeur du Centre d’Etudes de l’Orient Contemporain àl'Université Paris III-Sorbonne Nouvelle (1988-1994), il est ac-tuellement membre du Conseil d'administration de la FondationSeydoux pour le monde méditerranéen, du Comité internationaldu Forum civil euromed (Barcelone), et Président du FEMEC (Forumeuro-méditerranéen des cultures).

Flora Bat-PitaultPédopsychiatrique, Flora Bat-Pitault est Chef de clinique (CCA)au sein de l’unité d’adolescents Espace Arthur dirigée par le Dr DaFonseca. Depuis novembre 2010, elle conduit l’activité de prise encharge spécifique des « Troubles du comportement alimentaire enHDJ » consistant en une alternance entre prise en charge indivi-duelle multidisciplinaire et prise en charge en groupe thérapeu-tique. Membre de l’Association Française pour le Développementdes Approches Spécialisées dans les Troubles du ComportementAlimentaire (AFDAS-TCA), elle est engagée dans le développementd’un réseau régional TCA. Elle fait aussi partie de la Société Fran-çaise de Recherche et Médecine du Sommeil (SFRMS) et Membredu réseau sommeil PACA-Corse.

Yehezkel Ben-AriNé le 1er décembre 1943 au Caire (Egypte), le Professeur Yehez-kel Ben-Ari est reconnu internationalement dans le domaine dela neurobiologie pour ses travaux sur la maturation cérébrale, lesépilepsies et les accidents cérébrovasculaires, qui lui ont valu d’ob-tenir le Grand Prix de l’American Epilepsy Society (en 2000) et leGrand Prix INSERM pour la recherche médicale (en 2009). Aprèsune formation internationale, il devient en 1986 directeur del'unité INSERM U29 «Neurobiologie et physiopathologie du déve-loppement » à Port Royal. En 1999, il quitte Paris avec son équipepour fonder et diriger l'Institut de Neurobiologie de la Méditerra-née de l'INSERM (Unité 901) situé à Marseille sur le campus deMarseille-Luminy.

Faïka Ben MamiProfesseur Agrégée en Médecine, spécialiste en Nutrition, Diabé-tologie et Maladies Métaboliques à l'Institut National de Nutri-tion de Tunis, Faïka Ben mami Ban miled est aussi vice-présidentede la Ligue Tunisienne de Lutte Contre Le Diabète.Engagée dans l’éducation nutritionnelle, elle a contribué à diversespublications de travaux portant sur la nutrition, le diabète, l'obé-sité, les maladies métaboliques, et a participé à des émissions ra-diophoniques et télévisées.

Gilles BoëtschDirecteur de recherche au CNRS, anthropobiologiste, il a dirigéprécédemment un laboratoire de recherche en anthropologie bio-logique (UMR6578) associant le CNRS, l’Université de la Méditer-ranée et l’EFS. Il a été président du Conseil scientifique du CNRSde 2006 à 2010. Il est actuellement directeur de l’UMI3189 (Envi-ronnement-Santé-Sociétés) (tutelles : le CNRS, l’UCAD de Dakar,l’Université de Bamako et le CNRST de Ouagadougou). Tout enconservant ses intérêts scientifiques pour les recherches sur lesprocessus adaptatifs (démographie, alimentation, croissance etvieillissement), sur la construction sociale du corps biologique, ilse tourne de plus en plus vers une « écologie humaine » globale desvilles africaines en regard des changements qui affectent les zonesrurales.

Monique DianoMonique Diano est coprésidente de l'association Les Paniers Mar-seillais « les PAMA » depuis sa création. Les PAMA est un réseaumarseillais d' « AMAP » (Associations pour le maintien d'une agri-culture paysanne) favorisant l'agriculture paysanne et biologique.

Mohamed El-RiwiniProfesseur de chirurgie digestive (Alexandria Main University Hos-pital, Egypte) et Directeur exécutif de la Filière Francophone Mé-dicale de la Faculté de Médecine d’Alexandrie.

Les intervenants

Page 10: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Abdenour LarabaNé le 13 septembre 1945 à Mila en Algérie, Abdenour Laraba estProfesseur Chef de Service de Pediatrie au CHU Bab El Oued de-puis 1989. Il est Chef de département chargé de la recherche à lafaculté de médecine d’Alger et a été Directeur de la Formation auministère de la santé algérien. Il est Membre de la Société Algé-rienne de Médecine et de la société algérienne de pédiatrie.

Farouk Mardam-BeyNé à Damas en 1944, Farouk Mardam Bey a longtemps exercé lesfonctions de directeur de la publication de la Revue d'études pa-lestiniennes et de conseiller culturel à l'Institut du monde arabe.Il dirige depuis 1995 la collection "Sindbad" chez Actes Sud.

Karine MontcerisierCadre de santé en diététique à l'hôpital de la Conception de l'AP-HM avec une formation en « Education Thérapeutique du Patient »,elle est chargée de coordonner le projet sur l'harmonisation desrégimes selon la typologie des patients, besoins nutritionnels, enintervenant sur une refonte des régimes, des plans alimentaires etmenus, concernant la création d'une nouvelle plateforme logis-tique.

En mars dernier, elle est lauréate du 1° prix branche paramédicalede la Société Francophone du Diabète pour le projet "Optimisa-tion de la compliance des femmes comoriennes présentant un dia-bète gestationnel."

Marilyn NicoudAncienne directrice des études médiévales à l’Ecole française deRome, Marilyn Nicoud est professeur d’Histoire du Moyen Age àl’Université d’Avignon. Elle dirige un groupe de recherche euro-péen (GDRE C3B) sur les cultures de cour et culture du corps duXIIe au XVIIIe siècle. Elle mène des recherches dans le domaine del'histoire de la médecine, entendue dans ses dimensions intellec-tuelles et sociales. Sa thèse de doctorat portait plus particulière-ment sur les régimes de santé, textes diététiques destinés àfavoriser la conservation de la santé.

Gérald PassédatChef cuisinier du restaurant « Le Petit Nice Passédat », Gérald suitle chemin de son grand-père Germain qui achète en 1917 la VillaCorinthe rebaptisée aussitôt Le Petit Nice. Né en 1960, Gérald Pas-sédat intègre la tradition familiale tout en revisitant la cuisine etles produits locaux. En 2008 il obtient la 3ème étoile au Guide Mi-chelin, et en 2011 la 5ème pour la qualité de son hôtel. Il est dé-coré de la médaille de Chevalier de l’ordre de la légion d’honneuren 2010.

Denis RaccahEndocrinologue et Nutritionniste, Denis Raccah est Chef du Ser-vice de Nutrition, maladies métaboliques et endocrinologie à l’Hô-pital Sainte-Marguerite de Marseille et Responsable de l’Unité derecherche clinique et biologique en Diabétologie et Nutrition. Ilest aussi Président des journées francophones de diabétologie dela Méditerranée.

Sophie-Anne SauvegrainNée à Paris en 1978, Sophie-Anne Sauvegrain a développé un par-cours qui associe l’agronomie et l’anthropologie. Dans le cadre deses études doctorales, dans la ville d'Alep en Syrie, elle s’est inté-ressée aux jeunes de certains quartiers et à l'émergence de nou-velles pratiques alimentaires dans l'espace public, en reflet del'évolution de la société. Elle a participé en France à d'autres pro-grammes de recherches sur l'alimentation des jeunes. Elle est ac-tuellement chercheur associée au Laboratoire d’Anthropologie BioCulturelle (UMR 6578 - Université de la Méditerranée-Aix-Marseille II- CNRS -EFS).

Luisa StagiAprès un doctorat de sociologie sur le thème du rapport entrecorps, nourriture et identité féminine centré sur les troubles ali-mentaires, Luisa Stagi est professeur à l’Université de Gênes (Ita-lie). Elle a développé son travail de recherche autour la questiondes troubles et des risques alimentaires, en s’intéressant aux stra-tégies mises en place par la société et par l’imaginaire pour contrerces problématiques. Avec son dernier livre « Anti-corpi » (trad.Anti-corps), elle interroge le concept contemporain du corps en lecroisant avec les problématiques de l’imaginaire, de l’identité et durapport à la nourriture et à l’esthétique.

Page 11: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

« Comprendre et ressentir », un module d’enseignement pédago-gique pour les étudiants des Instituts de Formation en Soins Infir-miers (IFSI) de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille.

Des ateliers de sensibilisation à la création artistique ont été mis enœuvre en amont des Conversations de Salerne sur le thème de l’ali-mentation et à destination des étudiants des 3 IFSI de l’APHM* en in-tégrant pleinement le parcours pédagogique des étudiants, à traversdes modules d’enseignements spécifiques. L’objectif est d’amener lesfuturs acteurs de l’hôpital à construire un point de vue original sur lapratique du soin et son contexte au travers de trois médiums artis-tiques : la photographie, l’illustration et la création sonore.Si la pratique artistique favorise l’expression de la sensibilité et desémotions, elle peut également introduire plus d’humanité dans notrerapport au monde. Les étudiants ont donc eu la possibilité d’imaginerde nouvelles formes de rencontres avec les patients (création sonore),d’inventer d’autres types de langage (illustration) ou encore de poserun regard nouveau sur l’hôpital, leur futur environnement profes-sionnel (photographie).Dans le cadre des rencontres des Conversations de Salerne, une valo-risation des productions est prévue le 28 mai 2010 dans le hall d’ac-cueil de l’Auditorium de l’Alcazar. Un espace sera dédié à laprésentation des travaux (exposition, borne d’écoute, moniteur vidéo).

* IFSI Sud, IFSI Capelette, IFSI Nord

Atelier de sensibilisation à la Création Sonore –IFSI NordCe module de sensibilisation artistique a permit à une promotiond’étudiant de 3ème année de l’IFSI Nord d’aller à la rencontre des pa-tients et des personnels soignants du pôle psychiatrique de l’hôpital dela Conception et de les questionner sur leur rapport à l’alimentationdans leurs parcours de soins. Après une première étape de sensibilisa-tion aux outils de collectage et aux techniques de l’interview, un cor-pus de questions travaillées et élaborées sous la forme de guidesd’entretien, a été élaboré à destination des patients.

L’objectif a été d’imaginer de nouvelles formes de rencontres avec lespatients tout en favorisant la formulation et l’écoute par la prise encompte de paroles et de témoignages.

Cet atelier a conjugué approche sensible et techniques radiophoniquesen prenant en compte « l’autre » celui auquel on s’adresse.

L’intervenante : Nelly Flecher (Radio Grenouille/ Euphonia), réalisa-trice son.La formatrice référente : Françoise Ponet.Les étudiants : Rida Aissaoui, Mohamed Asbar, Marion Bartissol, Fan-nie Claisse, Noëlle Croix, Cécilia De Murtas, Fausto Gaouti, Sandra Hoa-rau, Ouarda Lahouel, Fabrice Lantheaume, Anne Laurito, StéphaneLeon, Sandrine Lemaire, Yannick Limousin, Nathalie Lo Piccolo, SamiraMedjahed, Sébastien Pasero, Franck Rochecouste, Nassim Salmi, Dja-mel Segouat, Magali Subrero, Sihame Wazzani.

Ateliers de sensibilisation artistique

Page 12: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Atelier de sensibilisation à l’IllustrationIFSI SUDIntégrant le module de santé publique, cet atelier a permit à deux pro-motions de 3ème année de l’IFSI Sud d’identifier les différents fac-teurs de risques alimentaires chez les enfants. Puis en explorant lesmodalités de communication des messages préventifs, les étudiantsont pu manipuler le langage de l'image et proposer des dispositifs pé-dagogiques, ludiques et pérennes.

A partir des productions artistiques réalisées dans le cadre de l’atelier(jeux et spectacles participatifs), ils ont pu expérimenter ces disposi-tifs auprès de deux classes de l’école primaire de La Grognarde : l’unsous la forme d’un jeux, l’autre d’un spectacle interactif.

Les intervenants :Aurélien Débat, illustrateur et Patrick Lindsay, graphiste.Les formateurs référents : Sylvain Filiol, Corinne Nackab.Les étudiants : Marie Agnel, Carole Commaux, Pauline Cros, VincentDelezay, Elodie Descouls, Cedric Faure, Virginie Golluccio, Malika Ned-jari, Sébastien Pugliares, Christophe Romeuf, Aude Sacristan.

Page 13: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Atelier de sensibilisation à la PhotographieIFSI CAPELETTEPour les étudiants de 1ère année de l’IFSI Capelette il s’agissait d’ex-plorer l’hôpital à partir de la photographie et à propos de l’alimenta-tion.

Après une première étape de sensibilisation à l’histoire de la photo-graphie et à ses techniques, les étudiants ont pris des images sur lathématique de l’alimentation dans les services où ils effectuaient leurstage. Ces temps de prises de vues ont été ponctués par une rencon-tre avec des professionnels de l’alimentation (diététicien, ingénieuragro-alimentaire), la participation à une séance de dégustation desrepas servis aux hôpitaux et une séance d’analyse collective desimages produites et de finalisation en vue de l’exposition présentée

dans le hall de l’auditorium de l’Alcazar.La question du droit à l’image a amené les étudiants à s’interroger surla manière de photographier l’alimentation et les usagers, en imagi-nant des modes de représentation indirects.

Les intervenants : Pascal Grimaud, Maude Grübel, photographesLes formateurs référents : Stéphanie Combes, Jean Claude Metge,Jean Marc SerafinLes étudiants : Lisa Baudet, Marion Carignano, Aurore Delsaux, Ar-thur Drouadaine, Emilie Garcin, Melanie Kouyoumjian, Leslie Perez,Christelle Quideçon, Marie-Anne Souquet, Selma Touati.

Page 14: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

A l’occasion des Conversations de Salerne un reportage a été réalisé ausein de l’Unité d’Education Thérapeutique à l’alimentation du servicede nutrition, maladies métaboliques et endocrinologie du Pr. Raccah.Trois patients ont témoigné intimement de leur propre rapport à l’ali-mentation en lien avec leur pathologie, leur histoire et leur culture. Laparole des usagers vient ici témoigner du rapport multiple que chacunentretient avec l’alimentation, ses symboles, ses contraintes et ses plai-sirs.

Tout les trois ont participé à l’atelier d’Éducation Thérapeutique enNutrition et Diabétologie qui a été crée en 2008 à l’hôpital Sainte-Marguerite et qui est dédié à la mise en œuvre de 4 programmesd’éducation thérapeutique. Les 4 programmes, autorisés par les ARS,concernent le diabète de type 1, le diabète de type 2, l’excès de poidsou l’obésité et le diabète gestationnel. Pour chaque pathologie, diffé-

rentes thématiques spécifiques sont déclinées, comme la connaissancede la pathologie, la prise en charge psychologique (arthérapie, groupesde paroles, entretien individuel avec une psychologue), l’éducation nu-tritionnelle dont « cuisine éducative » ou insulinothérapie fonction-nelle, l’activité physique adaptée, les conduites à tenir en situationd’urgence ou l’éducation concernant un savoir faire (autocontrôlesglycémiques, injections, traitement par pompe à insuline..).

Reportage : Mikhaele Elfassy, Thierry Lalain, Régis RidolfoRemerciement à Françoise Boulogne, Michel Humbert, Lydie Mélis,aux personnes ayant participé à l’Atelier ainsi qu’aux personnels del’Unité d’Éducation Thérapeutique en Nutrition et Diabétologie

Reportage « Dis-moi ce que tu manges… »

Page 15: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Si la question de la Culture est si importante pour l’hôpital ce n’est pasparce qu’il en serait dépourvu mais au contraire parce qu’il concentreles paradigmes à partir desquels se définit toute culture : la naissance,le corps, la souffrance, la guérison, la mort.

L’action culturelle prend alors tout son sens lorsqu’elle s’articule avecles identités hospitalières et les interrogations profondes qui traversentceux qui y sont soignés et ceux qui y travaillent.

C’est avec cette conviction que le projet culturel de l’Assistance Pu-blique - Hôpitaux de Marseille s’élabore en partenariat avec l’Univer-sité de la Méditerranée, Marseille-Provence 2013 et six CHU du bassinméditerranéen.

Eu égard à la dynamique générée par le label de Capitale européennede la culture et compte-tenu de sa propre logique d’évolution, l’Assis-tance Publique - Hôpitaux de Marseille se trouve à ce jour dans uneconfiguration favorable pour initier un projet culturel novateur. Celui-ci est à l’interface de l’hôpital et de la cité, des professionnels de santéet des usagers, des modèles sanitaires et culturels européens et médi-terranéens. Il offre aux citoyens un espace de compréhension et d’ex-pression sur les évolutions de la santé dans son rapport complexe avecles autres champs social, culturel, environnemental et religieux, dansune ouverture aux cultures méditerranéennes.

Une initiative de l’Assistance Publique-Hôpitauxde Marseille pour :

>>> L’hôpital euro-méditerranéen.

Le projet culturel prévoit une plateforme de rencontres pour les pro-fessionnels de la santé, les universitaires et chercheurs, les usagers etle grand public sur les thèmes relatifs à la santé dans les cultures mé-diterranéennes et européennes.

>>> L’hôpital créatif.

Une politique culturelle ouverte sur le partenariat favorisera l’intro-duction de la création artistique à l’hôpital dans la perspective decontribuer à la qualité des liens interpersonnels et des dynamiquescollectives mais également comme force d’interrogation de l’institu-tion.

>>> L’hôpital radieux.

A l’occasion des nouvelles constructions et des opérations de requali-fications envisagées dans le Projet d’Etablissement, l’hôpital prendra encompte la qualité sensible des espaces hospitaliers en se faisant lecommanditaire de créations exemplaires et significatives auxquellesseront associées les compétences culturelles et artistiques en place.

Le projet Santé e(s)t culture(s)

Page 16: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Les membres du Conseil Scientifique et Culturel

Mr Michel AUTRIC, Directeur Téthys, Université de la Méditerranée, Aix-Marseille IIM. Jean-Marc AVELINE, Directeur de l’Institut Catholique MéditerranéenM. le Pr Yves BAILLE, Président de l’Association des Amis du Patrimoine Médical de MarseilleM. Bernard BELAIGUES, Directeur de la recherche clinique et de l’innovation et des relations internationales, AP-HMMme Sophie BELLON-CRISTOFOL, Attachée Culturelle, AP-HMM. le Pr Younès BENSAID, CHU Ibn Sina, Rabat, MarocM Jean-Pierre BIBOLET, Directeur de l’IFSI Capelette, AP-HMM. Alain BRANCHEREAU, Professeur chirurgie vasculaire, AP-HMMme Nathalie CABRERA, Chargée de mission en charge de la participation citoyenne, Marseille-Provence 2013Mme Anne CAROL, Professeur des Universités, Maison Méditerranéenne des Sciences de l’HommeMme Carine DELANOE-VIEUX, Chef de Projet Affaires Culturelles, AP-HMM. le Pr Mohamed EL RIWINI, Professeur de chirurgie digestive, Directeur Exécutif de la Filière Francophone Médicale, Faculté

d’Alexandrie, EgypteM. Thierry FABRE, Chercheur, Fondateur des « Rencontres d’Averroès »M. le Pr Pierre FUENTES, Président du Conseil Scientifique et Culturel de l’AP-HMM. le Pr Antonio GUERCI, Chercheur, Università Degli Studi di Genova, Gênes, ItalieM. le Pr Karim HAOUET, Chef de Service des Urgences, Hôpital Charles Nicolle, Tunis, TunisieM. le Pr Giancarlo ICARDI, Université de Gênes, ItalieM. Michel KASBARIAN, Président de Tethys, Université de la Méditerranée, MarseilleM. le Pr Abdennour LARABA, CHU de Bab-El-Oued, Alger, AlgérieM. Yann LEBLANC, Attaché culturel, AP-HMDr Perrine MALZAC, Généticienne, Coordinatrice de l’Espace Ethique Méditerranéen, AP-HMM. le Pr. Boudjema MANSOURI, Président du Conseil Scientifique, CHU Bab-El-Oued, Alger, AlgérieMme Elsa NOBLE, Bibliothécaire, Bibliothèque de l’Alcazar, Marseille.M. le Pr Jean-Claude PERAGUT, Professeur de neurochirurgie fonctionnelle, AP-HMM. Julien RODIER, Attaché de la Culture et du Patrimoine, AP-HMM. le Pr Marcel RUFO, Pédopsychiatre, AP-HMM. Jean-Paul SEGADE, Directeur Général de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille.Mme Michèle SEGADE, Directeur des Instituts de Formation, des Ecoles et de la Culture, AP-HMMme Frédérique TOMASINI, Directrice de l’IFSI Sud, AP-HMM. le Pr Roland TOMB, Professeur de dermatologie, Université Saint-Joseph, Beyrouth, Liban.

Le Conseil Scientifique et CulturelSanté e(s)t culture(s)Le conseil scientifique et culturel est un organe de réflexion visant à nourrir le projet institutionnel Santé e(s)t culture(s) dans lecadre de son intégration à Marseille-Provence 2013 et de son ouverture à la Méditerranée.

Ses missions sont les suivantes :>>> Tisser et entretenir des liens avec les communautés médicales, culturelles et scientifiques des territoires entre les rives de laMéditerranée,>>> Alimenter le volet scientifique des actions mises en œuvre (colloque, exposition, édition…) en enrichissant les problématiqueset en proposant des personnes ressources,>>> Contribuer à la cohérence du projet en conciliant les enjeux relevant de la logique interne et externe de l’hôpital,>>> Intégrer le projet dans les territoires de l’hôpital, de la Ville, de Marseille-Provence et de la Méditerranée.

Page 17: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

L’Alexandria Main University Hospital (Alexan-drie, Egypte)La Faculté de médecine d’Alexandrie intègre quatre hôpitaux compo-sés de 109 médecins et 259 résidents pour un nombre total de 3500lits desservis par près de 3000 personnels infirmiers et 165 pharma-ciens. Main University Hospital abrite les départements de chirurgiegénérale, de médecine générale, de radiodiagnostic, radiothérapie, on-cologie médicale, la pathologie clinique et la microbiologie

Le Centre Hospitalo-Universitaire de Bab-El-Oued (Alger, Algérie)Le centre hospitalo-universitaire de Bab el oued est situé au pied dela Casbah, au cœur d'Alger, Alger la blanche, ville millénaire... Il consti-tue une structure hospitalière de 840 lits et dessert un bassin de po-pulation de prés de 1,5 millions d'habitants.

L’Hôtel-Dieu de France (Beyrouth, Liban)L'Hôtel Dieu de France est un hôpital universitaire privé appartenantà l'État français et administré par l'Université Saint-Joseph. Il assure lediagnostic, le traitement et les soins, dans tous les domaines de lasanté, sans distinction de race, de religion ou de condition sociale. Ilorganise la formation des futurs spécialistes dans toutes les disciplinesmédicales et chirurgicales. Des hommes et des femmes au service dumalade L'Hôtel-Dieu c'est plus de 170 médecins spécialisés, plus de300 infirmières universitaires qui placent le malade au cœur de leurspréoccupations et demeurent en formation continue pour se tenir àla pointe du progrès. Reconnu pour son enseignement et ses activitésde recherche, l'Hôtel-Dieu c'est aussi plus de 100 résidents en spécia-lisation et 60 internes en formation, sans compter les personnels desoins et médico-techniques qui contribuent au bon rétablissement dumalade, et le personnel administratif qui veille au bon fonctionne-ment de l'hôpital.

L’Université Saint-Joseph (Beyrouth, Liban)Fondée en 1875, l’Université Saint-Joseph est composée de 4 campusuniversitaires à Beyrouth : sciences médicales et infirmières, scienceset technologies, sciences sociales, sciences humaines. En outre, elle aimplanté trois centres régionaux au Liban-Nord, au Liban-Sud et dansBekaa. Avec ses 12 facultés, elle est accueille plus de 11000 étudiantsencadrés par 1774 enseignants. Les Presses de l’USJ éditent chaqueannée des publications spécialisées.

L’Azienda Ospedaliera Universitaria (Gênes, Italie)L’Azienda Ospedaliera Universitaria « San Martino » est toujours unpoint de référence pour les besoins de santé des citoyens de la régionmétropolitaine de Gênes et de la Ligurie.En cinq siècles d’histoire, la qualité des services offerts ont attiré desgens de toute l’Italie et de l’étranger, contribuant ainsi à faire de cetétablissement l’un des centres les plus importants en Europe et dansle monde entier.

L’Università degli Studi di Genova (Gênes, Italie)Avec plus de 40 000 étudiants, l’Université de Gênes est composée de11 Facultés (Architecture, Economie, Pharmacie, Droit, Ingénierie, Artset Philosophie, Langues étrangères et Littérature, Médecine et Chirur-gie, Education, Mathématiques-Physique, Sciences naturelles etSciences Politiques) et 50 Départements situés dans différents quar-tiers de la ville. Elle dispose aussi de 3 campus en Ligurie. Avec près de100 partenariats bilatéraux et multilatéraux, l’Université de Gênes ac-cueille près de 2600 étudiants internationaux.

L’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille(Marseille, France)Avec près de 3 500 lits et places répartis sur 4 établissements, l’AP-HMest le premier centre hospitalier universitaire de la région PACA. Seséquipes de haut niveau accomplissent au quotidien leurs missions desoins, d’enseignement et de recherche, au plus près des attentes despatients. Pôle privilégié de la médecine d’excellence, l’AP-HM est aussil’un des plus importants centres français de recherche médicale. De-puis plusieurs années, l’AP-HM a amorcé sa restructuration en pro-fondeur, assortie d’une modernisation spectaculaire de ses installationset équipements. L’AP-HM se dote ainsi de structures adaptées aux nou-velles contraintes de la médecine, pour le plus grand bénéfice des ha-bitants de la région. L’AP-HM est aussi un acteur incontournable del’économie régionale et contribue activement à son dynamisme, avecun budget de 1,1 milliard d’euros. L’institution doit son attractivitéimportante à la prise en charge de pathologies qui nécessitent descompétences et des équipements performants dont elle seule disposedans la région. Accompagnant l’évolution des besoins de la populationet des techniques médicales, l’AP-HM intègre l’innovation technolo-gique au sein de ses services en permettant à tous d’accéder à un pla-teau technique de pointe.

Les CHU et Universités partenaires

Page 18: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

L’Université de la Méditerranée (Marseille,France)Avec plus de 22 000 étudiants et 2700 personnels, l'Université de laMéditerranée rassemble 13 composantes : Faculté de Médecine, Fa-culté de Pharmacie, Faculté d’Odontologie, Ecole universitaire deMaieutique, Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, Facultédes Sciences, Facultés des Sciences du Sport, Institut Universitaire deTechnologie, Institut de Mécanique, Institut Régional du Travail, Cen-tre d’Océanologie de Marseille/Observatoire des Sciences de l’Univers,Ecole de Journalisme et de communication de Marseille, Ecoles Supé-rieure d’Ingénieurs de Luminy. Elles sont réparties principalement àMarseille et à Aix-en-Provence, mais aussi à Gap et à La Ciotat.La recherche constitue un des points forts de l’Université de la Médi-terranée qui compte près de 74 laboratoires contractualisés avec lesorganismes (CNRS, INSERM, IRD, INRETS…) 7 Instituts Fédératifs deRecherche et 3 Fédérations de Recherche.

Le Centre Hospitalier Ibn Sina (Rabat, Maroc)Le Centre Hospitalier Ibn Sina (CHIS) est composé de 10 établissementshospitaliers de soins et d’hospitalisation. Le CHIS constitue un niveaude référence tertiaire par la complexité de son plateau technique etla richesse de ses activités. Il fournit à la population, de toutes les ré-gions du Maroc, des soins nombreux et variés dans toutes les spécia-lités médico-chirurgicales.Le CHIS apporte une contribution importante au développement sa-nitaire par la mise sur le marché de travail national, chaque année,plus d’un millier de professionnels de santé de haut niveau. La re-cherche médicale, en collaboration avec la faculté de médecine et depharmacie de Rabat, est l’une des missions principales du CHIS.

Le Centre Hospitalo-Universitaire Charles Nicolle(Tunis, Tunisie)L’hôpital Charles Nicolle qui est de type pavillonnaire, est composéd’une trentaine de bâtiments repartis sur 14 hectares. Cette structurearchitecturale pavillonnaire en dépit des difficultés de gestion qu’elleinduit est plus humaine et plus agréable à vivre que ce soit pour lesmalades ou pour le personnel. Ayant une vocation de caractère na-tional, centre hospitalo-universitaire de premier plan, l’hôpital CharlesNicolle est l’un des établissements de Santé les plus importants de laTunisie. Il accueille des malades venant non seulement du grand Tunis,mais aussi de l’ensemble des régions de l’intérieur de la Tunisie. C’estun hôpital à vocation générale ou presque tous les services d’hospita-lisation sont représentés : 21 services de consultations externes, unservice des urgences, 7 laboratoires, un service de radiologie et unepharmacie.

En plus de son caractère national et de sa polyvalence, l’hôpital se ca-ractérise par sa taille. Il peut être considéré comme le plus grand hô-pital de Tunisie si l’on juge par le nombre de ses lits qui s’élève à 1025dont 900 lits sont actuellement inactifs pour cause de travaux.

Outre sa polyvalence et sa taille, l’hôpital se distingue aussi par sa vo-cation de pionnier de la Tunisie dans certains domaines. En effet ilabrite le premier centre spécialisé dans les examens virologiques,l’unique service des malades congénitales et il est le seul à avoir laspécialité de néphrologie pédiatrique.

Parallèlement aux services de soins, il assure une mission fondamen-tale de formation en collaboration avec la faculté de médecine deTunis qui lui est géographiquement proche.

Page 19: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Michèle SÉGADEDirecteur des Instituts de Formation des Ecoles et de la Culture

Carine DELANOË-VIEUXChef de projet affaires culturelles

Sophie BELLON-CRISTOFOLAttachée culturelleHôpital radieux

Julien RODIERAttaché du patrimoine et de la cultureHôpital euro-méditerranéen

Yann LEBLANCAttaché culturelHôpital créatif

Emmanuelle ANCONAMédiatrice culturelle chargée des écoles

Mikaele ELFASSYRéalisatrice audiovisuelle

Naïma BLIDIChargée d’administration

Raphaelle MULLERSecrétaire

Frédérique MERLESecrétaire

Silvia MANTOVANIStagiaire, Université Ca' Foscari de Venise, Italie

Bruno MOZZICONACCIStagiaire, Paul Cezanne, Aix-Marseille II

Direction des Affaires Culturelles del’Assistance Publique-Hôpitaux de MarseilleHôpital de la TimoneBât B, 1er étage264 rue Saint Pierre13385 Marseille Cedex [email protected]

Organigrammede la direction des affaires culturelles

Page 20: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Bibliographie sélectiveSélection d’ouvrages réalisée en partenariat avec le département Scienceset Techniques de l’Alcazar, Bibliothèque Municipale à Vocation Régionale.

Publications :

Alimentation et nourritures autour de la Méditerranée / MartinePADILLA, B. OBERTIÉd. : Karthala-Ciheam, Paris, 2000

Alimentation et pratiques de table en Méditerranée / Yassine ESSIDÉd. : Maisonneuve et Larose, Paris, 2000

Anti-corpi / Luisa STAGIÉd. : Franco Angeli, Milan, 2008 (en italien)

Bien-manger : vrais et faux dangers / Jean-Marie BOURREÉd. : Odile Jacob, Paris, 2008

Boire et manger en Méditerranée / Paul BALTA, F. SEIGNOBOSÉd. : Sindbad – Actes Sud, Paris, 2004

Du Panier à l’assiette – La cuisine des Paniers Marseillais, Vol. I (Au-tomne-Hiver) et Vol. II (Printemps-Eté) / Les Paniers Marseillais (AA.VV.)Éd. : Gramond, Marseille, 2008-2009

Histoire de l’alimentation / Massimo MONTANARI, J-L. FLANDRINÉd. : Fayard, Paris, 1996

Histoire des peurs alimentaires : du Moyen Âge au l’aube du XXesiècle / Madeleine FERRIÈRESÉd. : Éd. du Soleil, Paris, 2002

Histoire et identités alimentaires en Europe / Bruno LAURIOUX,Martin BRUEGELÉd. : Hachette littératures, Paris, 2002

Individus, famille et sociétés en Méditerranée / Gilles BOËTSCHÉd. : CERES, Grenoble, 2003

La Cuisine de Ziryâb / Farouk MARDAM-BEYÉd. : Sindbad – Actes Sud, Paris, 1998

La naissance du goût / Natalia RIGALÉd. : Agnès Viénot Editions, Paris, 2000

La santé est dans votre assiette / Annie HUBERT,Éd. : Erès, Toulouse, 2007

Le bon vin entre terroir, savoir-faire et savoir-boire / Jean-RobertPITTE,Éd. : CNRS éditions, Paris, 2010

Le choix des aliments. Informations et pratiques alimentaires, dela fin du Moyen Âge à nos jours / Marilyn NICOUD, E. BARLÖSIUSet M. BRUEGELÉd. : PUR, Rennes, 2010

Le corps dans tous ses états. Regards anthropologiques / GillesBOËTSCH, D. CHEVÉÉd. : CNRS éditions, Paris, 2000

Le manger comme culture / Massimo MONTANARIÉd. : Université de Bruxelles, Bruxelles, 2010

Le régime méditerranéen / Edita POSPISILÉd. : Vigot, Paris, 2000

Le régime méditerranéen : 20 recettes de cuisine italienne : pourallier bien-être, santé et plaisir, un régime raisonné et raisonnable/ Salvatore BAIAMONTA, J. PUMAÉd. : EDP sciences, 2010

Les dossiers noirs de la malbouffe / Jean-Claude JAILLETTE,Éd. : A. Michel, Paris, 2000

Les frontières alimentaire / Massimo MONTANARI et Jean-Ro-bert PITTEÉd. : CNRS éditions, Paris, 2009

L'Homme et la Table / Claude FISCHLERÉd. : École des hautes études en sciences sociales, Paris, 1990

L'Orient gourmand / Farouk MARDAM-BEY, D. WAINESÉd. : Sindbad – Actes Sud, Paris, 1998

Manger aujourd’hui, Attitudes, normes et pratiques / Jean-PierrePOULAINÉd. : Privat, Paris, seconde édition 2008

Penser l’alimentation. Entre imaginaire et rationalité / Jean-PierreCORBEAU, J-P. POULAINÉd. : Privat/OCHA, Paris, seconde édition 2008Que mangerons-nous demain ? / Christian RÉMÉSY

Éd. : Odile Jacob, Paris, 2005

Santé et alimentation méditerranéenne au quotidien / MarietteGERBERÉd. : Edisud, Aix-en-Provence, 2004

Santé, mensonges et propagande : arrêtons de manger n’importequoi ! / Isabelle ROBARD, T. SOUCCARÉd. : Seuil, Paris, 2004

Se Nourrir de Plaisir - La Cuisine du Château / Chantal THEVE-NET, Catherine BENMAOR, Martine CHAFFARDÉd. : Solal, Marseille, 2004

Sociologies de l’alimentation, les mangeurs et l’espace socialalimentaire / Jean-Pierre POULAINÉd. : PUF, Paris, 2ème édition 2003

Traité du pois chiche / Farouk MARDAM-BEY, R. BISTOLFIÉd. : Sindbad – Actes Sud, Paris, 1998

Page 21: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Articles :

« Cuisine et médecine au Moyen Âge », Bruno LAURIOUX, dossier desCahiers de Recherches Médiévales, vol. XIII, numéro spécial (2006), p.221-266

« Culture de la nutrition et dérèglement alimentaire : l'orthorexie. »/ Patrick DENOUX, in F. STRIGLER, De la terre à l'humain, technologieet alimentation. Paris : Omniscience

« Identité et image du mangeur » / Jean-Pierre CORBEAU, in Imagesdu goût, Champs visuels n°5,Éd. : Harmattan, 1997, pp. 11-20

« La nourriture - pour une anthropologie bioculturelle de l'alimen-tation », Claude FISCHLER, Communications, n°31, 1979

« La Saveur du monde. Une anthropologie des sens », David LE BRE-TON, Éd. Métailié, Paris, 2006

« Les savoirs diététiques, entre contraintes médicales et plaisirs aris-tocratiques », Marilyn NICOUD, Micrologus, n°16, p. 233-255, 2008

« Manger au Maghreb : approche pluridisciplinaire des pratiquesde la table en Méditerranée du Moyen Âge à nos jours : partie I»,Mohamed OUBAHLI, M.H. SAMRAKANDI, en Revue Horizons magré-bins, n°55, février 2007

« Manger au Maghreb, partie II : approche pluridisciplinaire despratiques de la table en Méditerranée du Moyen Âge à nos jours »,Mohamed OUBAHLI, M.H. SAMRAKANDI, en Revue Horizons magré-bins, n°59, juin 2009

« S’alimenter à l’hôpital: les dimensions cachées de la commensalité »/ Jean-Pierre CORBEAU, in L’appétit vient en mangeant ! Histoire del’alimentation à l’hôpital. Doin/Musée de l’assistance publique et deshôpitaux de Paris, 1997, pp. 101-114

PROCHAINE EDITION DESCONVERSATIONS DES SALERNEJeudi 24 novembre 2011Alexandrie, Egypte

l’Alexandria Main University Hospital accueillera la 4ème édition desConversations de Salerne sur le thème

« Circulation des savoirs et des savants. Une histoire de la santé enMéditerranée »

Renseignements et réservation :[email protected] 91 38 97 44

www.lemangeur-ocha.comL’OCHA (Observatoire CNIEL des Habitudes Alimentaires) est un site res-source multidisciplinaire sur l’alimentation, les cultures et les compor-tements alimentaires en relation avec les identités, la santé et les modesde vie.

www.iehca.euL’objectif de l'Institut Européen d'Histoire et des Cultures de l'Alimen-tation (IEHCA) est de contribuer au développement de la recherche ensciences humaines et sociales concernant l'alimentation et à une meil-leure prise de conscience de l'importance de nos modes alimentaires etculinaires comme éléments de notre patrimoine et de notre culture.L’Institut publie aussi la revue Food & History.

www.cuisinesmed.comLa mission du Conservatoire International des Cuisines Méditerra-néennes (CICM) consiste à maintenir une archive de la mémoire agroa-limentaire, des savoirs, des pratiques et des expressions de la culturematérielle, liés aux ressources, aux productions et aux recettes de laMéditerranée. Sa mission est aussi de conserver et de sensibiliser, maiségalement de reproduire et de promouvoir des cultures, des produits etsurtout des plats dont la dimension locale est assurée par des liens éco-logiques et historiques avec un territoire donné.

www.agropolis.frCette structure innovante de recherche et de formation constitue unimportant réseau de chercheurs dans les domaines de l’agriculture, del’alimentation, de la biodiversité et de l’environnement. Outre son ca-ractère de plate forme scientifique internationale tournée vers la Mé-diterranée et les pays du Sud, Agropolis International est égalementun espace multi-acteurs ouvert à tous les partenaires du développe-ment économique.

www.slowfood.fr/provence/Le Convivium Slow Food Provence Méditerranée est l’association lo-cale de Slow Food France sur le littoral Méditerranéen de la Provence.

www.reseau-amap.org/Le principe des AMAP - Associations pour le maintien d'une agriculturepaysanne - est de créer un lien direct entre paysans et consommateurs,en favorisant l'agriculture paysanne et biologique.

www.agrobiosciences.org/L’objectif de la Mission d’Animation des Agrobiosciences (MAA) est defavoriser les échanges sociétaux sur des sujets à controverses concer-nant les avancées des sciences, le devenir du vivant, de l’agriculture etde l’alimentation.

Sites Internet

Page 22: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre

Les Centres-Hospitalo Universitaires partenaires :Alexandrie, Alexandria Main University HospitalAlger, CHU de Bab-El-OuedBeyrouth, Hôtel-Dieu de France, Université Saint-JosephGênes, Azienda Ospedaliera Universitaria, Università degli studi di GenovaMarseille, Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille, Université de la MéditerranéeRabat, Centre Hospitalier Ibn SinaTunis, CHU Charles Nicolle

Retrouvez toute la programmationdu programme Santé e(s)t culture(s)sur le site de l’AP-HMwww.ap-hm.fr

ContactDirection des Instituts de Formation, des Ecoles et de la CultureAssistance Publique-Hôpitaux de Marseille80 rue Brochier - 13354 Marseille cedex [email protected] 91 38 29 73

Remerciements à tous les membresdu Conseil Scientifique et Culturel de Santé e(s)t culture(s)

Page 23: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre
Page 24: Mise en page 1 - Hôpitaux de Marseille / Centre