maquette de site internet : définition, risques, exemples

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Définition de la maquette D’après le site collaboratif Wikipédia, une maquette est une représentation partielle d’un système ou d’un objet (existant ou non) afin d’en tester et valider certains aspects (maquette virtuelle ou visuelle en 2 ou 3D) et / ou comportements (maquette fonctionnelle). Les premières représentations que l’on se fait des maquettes sont bien sûr les modèles réduits d’avions, bateaux, voitures, ou encore de projets architecturaux ou artistiques. Dans le domaine d’internet, c’est un peu différent, la maquette n’est pas un objet mais seulement une représentation visuelle ou fonctionnelle (partiellement ou non) d’un concept ou d’un projet. Les clients qui évaluent les projets présentés, et dont le métier n’est en général pas le web, apprécient ces maquettes. Elles présentent un visuel ou une expérience concrète qu’ils peuvent évaluer plus facilement. Risques de l’utilisation des maquettes Malheureusement le fait de disposer de ce repère visuel provoque souvent le phénomène qu’une maquette devient ce qui est attendu par le client et ce qui doit être livré. Ceci peut empêcher d’explorer des voies plus différentes. Par exemple, la maquette présente le système de navigation du site alors que l’architecture de l’information n’a pas encore été définie. Lorsque l’on parle de maquette, chacun (professionnel et client) se représente alors sa propre définition de la maquette, allant du « zoning super épuré » au site HTML quasi- finit, en passant par l’image prête à l’intégration HTML. Cet écart de point de vue peut alors poser problème dans la compréhension entre le professionnel et le client et aussi dans les attentes du client.

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Un article sur l’utilisation des maquettes dans le processus de création des sites internet : définition, risques, exemples.

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Page 1: Maquette de site internet : définition, risques, exemples

Définition de la maquette

D’après le site collaboratif Wikipédia, une maquette est une représentation partielle d’un système ou d’un objet (existant ou non) afin d’en tester et valider certains aspects (maquette virtuelle ou visuelle en 2 ou 3D) et / ou comportements (maquette fonctionnelle).

Les premières représentations que l’on se fait des maquettes sont bien sûr les modèles réduits d’avions, bateaux, voitures, ou encore de projets architecturaux ou artistiques. Dans le domaine d’internet, c’est un peu différent, la maquette n’est pas un objet mais seulement une représentation visuelle ou fonctionnelle (partiellement ou non) d’un concept ou d’un projet.

Les clients qui évaluent les projets présentés, et dont le métier n’est en général pas le web, apprécient ces maquettes. Elles présentent un visuel ou une expérience concrète qu’ils peuvent évaluer plus facilement.

Risques de l’utilisation des maquettes

Malheureusement le fait de disposer de ce repère visuel provoque souvent le phénomène qu’une maquette devient ce qui est attendu par le client et ce qui doit être livré.

Ceci peut empêcher d’explorer des voies plus différentes. Par exemple, la maquette présente le système de navigation du site alors que l’architecture de l’information n’a pas encore été définie.

Lorsque l’on parle de maquette, chacun (professionnel et client) se représente alors sa propre définition de la maquette, allant du « zoning super épuré » au site HTML quasi-finit, en passant par l’image prête à l’intégration HTML. Cet écart de point de vue peut alors poser problème dans la compréhension entre le professionnel et le client et aussi dans les attentes du client.

A cause de tout cela certains professionnels estiment qu’il faudrait les supprimer, il ne le faut pas car le besoin de repère visuel est naturel de la part du client et aucune démarche de qualité digne de ce nom ne pourrait demander à un client de ne pas se baser sur un support visuel.

C’est au professionnel d’accompagner son client pour ne pas s’enfermer dans une voie de garage ou une situation compliquée. C’est aussi une marque de qualité de la prestation proposée.

Pour illustrer la complexité du problème voici quelque exemple pouvant tous être appelés maquette. C’est en effet que nous désignons plusieurs réalités différentes sous le même terme de maquette. Il convient de préciser ou de qualifier le terme de maquette pour être précis. Ceci rejoint l’importance d’un vocabulaire clairement défini dans les relations client / professionnels.

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Exemples de maquettes

Maquette dessin

C’est un dessin, réalisé au crayon dans un calepin ou un bloc-notes lors d’un RDV / réunion de départ.

C’est une présentation des grandes lignes ou zones de bases pour orienter ou aider le client à décrire ses envies.

Maquette zonage

Elle permet de déterminer les principaux blocs de contenu et leur hiérarchie informative de manière plus formelle que le croquis.

C’est un outil de travail qui sera en général amené à évoluer.

L’exemple ci-contre montre le site de CNN est sa version en maquette zonage.

Maquette graphique

C’est du graphisme, c’est l’habillage visuel, généralement un fichier PSD, donc statique.

La maquette graphique est en quelque sorte une photo numérique ou une capture d’écran de votre futur site Internet.

Maquette HTML (ou intégration)

C’est de l’intégration HTML, une page internet qu’on ne peut donc consulter que dans un navigateur. C’est un rendu visuel du futur site dans un (ou des) navigateur(s).

Certains la différencient de ce qu’il appelle un prototype par son absence ou manque d’interactivité. Elle est alors un aperçu partiel et non fonctionnel, descriptif et/ou visuel, d’un site ou service web affiché dans un navigateur.