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MAG#12 Bimestriel - Juin - Juillet 2016 - 1,10 €

lavoixletudiant.com��

• ÉTUDES :Dernières inscriptions.

• HELP :Pleins phares sur le permis !

• ÉTUDES : Cap sur l’Aternance.

Couve Vive le bac 2016_Mise en page 1 31/05/16 14:10 Page1

MAG Juin N12 32 p_Mise en page 1 31/05/16 14:15 Page2

NEWSTexteS : KEVIN CARMINA et CAMILLE BIANCARD

Futurs Etudiants !A vous le graal dans quelques jours. C’estmaintenant vous, qui allez choisir votre pro-gramme de formation et votre destinée. Pluspersonne derrière vous, pour vous rappeler àl’ordre. Ces années étudiantes sont merveil-leuses, mais vous allez devoir apprendre àne pas les gâcher. Apprendre, c’est le leitmo-tiv de vos prochaines années. Certes il y a lescours mais aujourdhui, vous ne devez pasvous en contenter, il faut que vous fouinieztoute information complémentaire sur vos su-jets de travail. Les bibliothèques sont là pourcela, internet est un outil extraordinaire quifera la différence entre vous et celui qui se li-mitera au minimum. N’hésitez pas à échan-ger avec vos professeurs qui raffolent desétudiants qui démontrent un intérêt pour leurmatière. Nourrissez-vous, enrichissez-vouset pensez aussi à vos amusements mérités !

QUOI DE NEUF ?SOMMAIREQUOI DE NEUF 3-6VOTRE AVIS SUR LES PLAISIRS DE L’ÉTÉ 7SPORT : LOUISE VANHILLE 8APB : L’HEURE DES CHOIX 10SANS LE BAC : JE FAIS QUOI ? 12DERNIÈRES INSCRIPTIONS 14-16FOCUS : LE BURN OUT ÉTUDIANTS 17CAP SUR L’ALTERNANCE 18-19HELP : PLEINS PHARES SUR LE PERMIS 20ILS S’ENGAGENT : ENACTUS, IAE LILLE 22FILIÈRE : SUPPLY CHAIN 24TEST : ÊTES-VOUS SUPERSTITIEUX ? 25BONS PLANS :ON SE DÉFOULE APRÈS LE BAC 26

C’EST DANS L’AIR 29WEB : BLOGOSPHÈRE 30

LAVOIX-L’ETUDIANT MAG / N#12 JUIN - JUILLET 2016 / 3

Du nouveauà la Catho !

Pour la rentrée, la Faculté de GestionEconomie & Sciences de l’Université ca-tholique de Lille prépare quelques nou-veautés. Côté formations, elle étendra àtous les étudiants de bac à bac+3 laPrépa Grandes Ecoles de Commerce en3 ans et proposera une licence profes-sionnelle «Gestion de Paie et du Social»(à l’ISEA). Autre grande nouveauté : unebourse d’études reconductible de 2 000€qui concerne les admissions parallèlespour certaines licences et masters de laFGES et de l’ISEA (Finance et Audit). ■

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ÉDITO

Bimestriel d’information sur les études - 24, Façade de l’Esplanade - 59000 Lille Tél. 03 20 63 67 17.

Directeur de la publication : Prune Richmond • Directrice de la rédaction : Prune Richmond •Rédaction : Khadija Abouchan, Kevin Carmina, Constance Ostyn, Camille Biancard • Maquette :Audrey Liagre, Mathieu Pype • Publicité : Flavie Descamps, Nathalie Jarzebowski, Sylvie Beau-vois, Natacha Deborde, Corinne Maurier • ISSN N° : 2275-5721 • SA • Principaux actionnaires :La Voix du Nord , Groupe Altice Media • Imprimerie : Imprimerie Léonce Deprez - Ruitz • Abon-nement : 6,60€ - (un an : 6 numéros). Toute reproduction des images ou textes est interdite sansautorisation préalable. Dépôt légal à parution.

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L’IFSI a 40 ans !L’Institut de Formation en Soins Infirmiers(IFSI) Valentine Labbé a fêté le 20 mai der-nier ses 40 ans lors d’une soirée bal depromo regroupant tous les étudiants del’établissement ainsi que les anciennes pro-motions. ■


4 / LAVOIX-L’ETUDIANT MAG / N#12 JUIN - JUILLET 2016

NEWSTexteS : KEVIN CARMINA

CAMILLE BIANCARD

SKEMA &Euratechnologies

Depuis des années, Euratechnologies etSkema Business School œuvrent ensem-ble pour promouvoir l’entrepreneuriat au-près des jeunes, les chefs d’entreprise dedemain. Le 19 mai 2016, ils officialisaientleur partenariat en signant une conventiondans les locaux de Skema afin de péren-niser et développer leurs différentes ac-tions. Fruits de cet accord ? Conférencessur le thème innovation & connaissances,bootcamps et le développement du salon#conext ! ■

Juin• ADMISSION POST BAC : Ouver-

ture le 24 juin de la procédure complé-mentaire pour trouver les dernièresplaces vacantes dans les établisse-ments. Deuxième phase d’admission etréponse des candidats à partir du jeudi23 juin (14 h) jusqu’au mardi 28 juin(14 h).

Juillet• BACCALAURÉAT : Mardi 5 juillet :

proclamation des résultats du bac gé-néral, technologique et professionnel.

• VACANCES : Mardi 5 juillet : fini

les cours, les révisions et les exa-mens, place aux shorts, tongs etmaillots de bain puisque, ça y est onpeut enfin le dire les vacances d’étésont là ! (14 h).

• ADMISSION POST BAC : Troi-sième et dernière phase d’admission etréponse pour les candidats : du jeudi14 juillet (14h) au mardi 19 juillet (14h).

Septembre• SALON DE LA RENTRÉE : Pour

trouver une formation initiale ou en al-ternance en septembre ainsi que desconseils pour bien organiser sa vied’étudiant. Rendez-vous le mercredi

7 septembre à Lille Grand Palais (HallLondres) de 9h30 à 18h. Invitations :www.lavoixletudiant.com

• RECRUT’DAY : CDD, CDI ou inté-rim, ce forum pour l’emploi est l’occa-sion pour les jeunes diplômés de CAPà Bac+5 de rencontrer les recruteurspour des postes commerciaux, tech-niques, administratifs, logistiques...Rendez-vous le mercredi 7 septembreà Lille Grand Palais (Hall Londres) de9h30 à 18h.

• ADMISSION POST BAC : Clôturele 9 septembre de la procédure complé-mentaire, dernière saisie des vœux auplus tard avant 23h59.

AGENDA

Nouvelle licencepro à la FFBC

La Faculté de Finance, Banque, Comptabilité del’Université de Lille, Droit & Santé va proposer àpartir de septembre une nouvelle licence profes-sionnelle intitulée «parcours gestionnaire etconseiller en assurance». Cette première pro-motion sera composée d’une trentaine d’élèvestitulaires d’un bac + 2 tertiaire (BTS, DUT, L2).La licence pro formera en un an des gestion-naires et conseillers en assurance, elle s’effec-tuera en alternance : trois jours en entreprise,deux à l’université. Plus d’informations sur :ffbc.univ-lille2.fr ■

Nouveau cursusinternational àl’EPSI

L’EPSI Lille, l’École d’ingénierie infor-matique, renforce son ouverture à l’in-ternational. À partir de la rentrée 2016,l’établissement va proposer un cursusinternational qui va permettre à ses étu-diants de passer 21 mois sur 60 àl’étranger avec la possibilité de préparerun double diplôme (4e et 5e années)grâce aux partenariats avec les univer-sités de Sydney et Dublin. ■



«On véhicule unmessage de santé

publique avant tout.On se sent utile et on le

sent à travers ce quenous disent les gens.»

Lucas, étudiant en droit à Lille 2 et membre dudispositif NoctaLille pour responsabiliser les

étudiants en soirée.

❚ Mon fils passera sonbaccalauréat technologiqueen France en 2017.Pourra-t-il échapper autirage au sort pour faire lesétudes de kiné en Belgique ?

Pour éviter le tirage au sort il faut quel’étudiant et/ou ses parents soient ins-tallés en Belgique depuis plus de troisans et enregistrés auprès de l’adminis-tration communale. Ce délai est réduità 6 mois lorsqu’un des parents est rési-dent fiscal belge et travaille pour partiesur le sol belge.

❚ J’ai 18 ans, je ne possèdepas le bac, je voudraissavoir s’il était possibled’intégrer une formationdans le social ?

Le DEAES (diplôme d’Etat d’accompa-gnant éducatif et social), le DEME (di-plôme d’État de moniteur-éducateur) oule DETISF (diplôme d’État de techniciende l’intervention sociale et familiale),voici trois formations accessibles sansle bac qui permettent de travailler au-près des familles, des enfants, des per-sonnes en difficulté, des personnesâgées, malades ou handicapées ainsique dans le milieu associatif.

Posez vos questions :www.lavoixletudiant.com/forum/

COURRIERDES LECTEURS

Bac pro : 30 ans déjà ! Créé en septembre 1985, le baccalauréat professionnelest devenu en trente ans le premier diplôme de formationprofessionnelle initiale préparé en alternance école-en-treprise. Tous les ans, près de 700 000 élèves répartisdans 18 filières professionnelles passent par l'un des1600 lycées du pays pour se préparer à exercer dans lavie active. ■

Une formationen robotiqueà l’ENSAM

Le Campus Arts et Métiers de Lille (ENSAM)lance un nouveau Mastère Spécialisé : «Col-Robot : Expert en robotique collaborative pourl’industrie du futur». Cette formation profes-sionnalisante préparera à la conception, lamise en œuvre et la conduite de cellules robo-tiques. Un Mastère adapté aux passionnés derobots et de nouvelles technologies qui sou-haitent se perfectionner. Le MS est accessibleaprès un diplôme d'ingénieur ou un diplômeuniversitaire scientifique de 3e cycle. ■

L’ACTUALITÉ ÉTUDIANTEavec nos journalistes

MENSUEL :

LES JEUDIS :


LAVOIX-L’ETUDIANT MAG / N#12 JUIN-JUILLET 2016 / 7

VOTRE AVIS SUR : LES PLAISIRS DE L’ÉTÉ

MICRO-TROTTOIRTexteS : CAMILLE BIANCARD

UNE GLACE SUR LA PLAGE,BOIRE UN VERRE ENTERRASSE : L’ÉTÉ ESTPROPICE AUX«PETITS PLAISIRS» !

CHARLOTTE, 22 ANS, MASTER 2MÉTIERS DE LA RÉDACTION,UNIVERSITÉ DE LILLE 3L’été, ce que j’aime par dessus tout c’estmanger de la pastèque ! Mon grand-pèrevit au Portugal et quand je lui rends visiteon en mange tranquillement au soleil. Çame permet de passer un peu de tempsavec lui, de discuter, ça rafraîchit et c’estbon ! C’est dans ce genre de momentsque je me sens vraiment en vacancesd’été ! En manger sur la plage c’est bienaussi (rires) ! La nourriture portugaise estvraiment bonne : le bacalhau a bras (platà base de morue, ndlr) et le poulpe, j’adoreça ! Enfin vous l’aurez compris mon petitplaisir de l’été c’est manger et profiter dusoleil au Portugal avec ma famille !

THOMAS, 19 ANS, LICENCE 1DE GESTION, UNIVERSITÉCATHOLIQUE DE LILLEJe ne sais pas trop, je dirais que mon petitplaisir de l’été c’est de boire un verre tran-quillement en terrasse avec mes amis.C’est un plaisir simple qui ne manque pasde charme (rires) ! Je fais mes études àLille mais je suis parisien, donc je retournechez moi pendant les vacances et je pro-fite à fond de mes potes : c’est supersympa ! En plus l’été l’ambiance est plusdétendue, les gens sont plus sympas etmoins stressés ! Le mot d’ordre : détente.

SOPHIE & ÉLISE, 24 ET 23 ANS,MASTER 1 DROIT PÉNITENTIAIRE,UNIVERSITAIRE DE LILLE 2On travaille toutes les deux pendant l’étémais on adore retrouver la bonne am-biance du travail saisonnier, revoir les col-lègues chaque été ça fait vraiment plaisir !Sinon pour moi, Élise, c’est de faire toutesles férias aux alentours de Nîmes ! Il y aune ambiance de folie et quitter Lille pourretrouver mes proches c’est agréable…Pour le reste on est plutôt dans le cliché !On aime beaucoup bronzer à la plage,profiter de la fraîcheur au bord de la pis-cine et aller danser dans les boîtes de nuitavec nos copines ! Même si Lille est unebelle ville, l’été on préfère aller se dorer lapilule au soleil dans le sud de la France…

MAXENCE, 26 ANS, MASTER 2EN COMMUNICATION VISUELLE,ECV LILLEMon petit plaisir de l’été ? Skater au soleil !Je vais souvent faire du skate au SkatePark de Lille l’été. Dès qu’il fait beau jeprends mon équipement et je vais m’en-traîner au soleil. J’aime beaucoup cet en-droit parce que c’est un grand espace, àciel ouvert, où je peux rencontrer desgens, me détendre, profiter du grand airet me dépenser un peu avec ma planche.Mais finalement, toute l’année c’est un pe-tit plaisir pour moi de faire du skateboard,surtout avec l’effervescence des études.Cela dit c’est vrai qu’il n’y a pas de petitsplaisirs de l’été sans soleil !

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SPORTTexteS : KEVIN CARMINA

LOUISE VANHILLE :

CHAMPIONNES !Le sport métropolitain se porte bien !La preuve avec les équipes fémininesdu LUC water-polo et du LMRCV(rugby) qui viennent toutes deuxd’être sacrées championnes de Franceau plus haut niveau. Pour les po-loïstes lilloises, triples tenantes dutitre, c’est presque devenu une habi-tude, en revanche c’est tout nouveaupour les rugbywomen villeneuvoisesqui couraient après le bouclier depuisquatre saisons. En 2013 et 2015, ellesavaient à chaque fois buté sur la der-nière marche, en finale contre Mont-pellier. Elles ont pris leur revanche, le21 mai dernier, toujours face à la for-mation héraultaise (victoire 18-7). Unejuste récompense pour cette banded’amies qui sacrifient chaque se-maine études, boulot, vie personnelleet/ou familiale pour vivre leur passionde l’ovalie.

EN BREF

UNE PASSIONÀ PLEIN TEMPS «J’ai débuté la gym à 7 ans et demi, parhasard, assure-t-elle. Je viens d’un mi-lieu sportif, ma mère faisait du basket,mon père et mon frère du football, j’ai es-sayé pas mal de sports, rien ne me plai-sait forcément. Un jour je suis allée fairede la gym avec une amie, j’ai fait un essaiet ça m’a tout de suite plu.» Dix ans plustard, le coup de foudre dure toujours à telpoint que Louise (17 ans) a mis son an-née de terminale ES entre parenthèsespour se consacrer aux Jeux Olympiques(du 5 au 21 août à Rio). «Elle a un doublecursus, c’est compliqué. Elle fait 30 heuresde gym par semaineplus l’école, troisheures par jour au ly-cée. Elle fait 50 hpar semaine, c’estplus d’heures quenous», s’étonne Ka-rine, sa maman.

DES LARMES AU BONHEURUn rythme effréné qui n’est pas sansconséquence sur son physique. Fin dé-cembre lors d’un entraînement, Louise seblesse aux deux chevilles. Diagnostic :entorse des ligaments et une fin de sai-son sérieusement compromise. «À ce mo-ment-là tout s’effondre. Pendant deux outrois jours, je n’y croyais plus du tout», sesouvient-elle. Mais très vite le mental dela championne va reprendre le dessus :

«Je suis repartie de l’avant ! J’avais kinétous les jours, plein de petits exercices àfaire de côté, mais j’étais à la salle tousles jours.» Et au bout du tunnel la lu-mière avec cette 4e place au TQO (Tour-noi de Qualification Olympique) enavril, dernier synonyme de qualificationpour les Jeux. Cette fois, Louise apleuré... mais de joie !

SES CHANCESPOUR LES JOMême si elle a fait partie de l’équipe quia qualifié (de justesse) la France, la jeuneDunkerquoise n’est pas encore assurée

de sa parti-cipationaux JO. Ladécisiontombera finjuin aprèsles Cham-pionnats de

France à Mulhouse (18,19 juin). «Ça vadépendre aussi de toutes les sortiesqu’on a effectuées depuis le début del’année. Je vis au jour le jour, je ne veuxpas trop y penser ni me projeter, disonsque pour l’instant je suis pas mal», lâche-t-elle du bout des lèvres. «Si je vais à Rio,j’aurais réalisé un de mes rêves. Commeon dit, les JO c’est le Graal de tout spor-tif !» Ne lui manquera plus que le Graaldu lycéen, le baccalauréat, qu’elle pas-sera au mois de septembre du fait de sonstatut de sportive de haut niveau.

“Elle fait 50 heures parsemaine, c’est plusd’heures que nous”

COMME UNPARFUM DE RIOEN ATTENDANT DE SAVOIR SI ELLE SERA DE L’AVENTUREPOUR RIO, LA DUNKERQUOISE A CONTRIBUÉ À LAQUALIFICATION DE LA FRANCE POUR LES JO.


ÉTUDESTexteS : Khadija abouchan

Respectez les délais ! Si vous êtes admis dans l’une des forma-tions demandées, vous en serez cette fois-ci averti par e-mail. Soyez réactif sous peinede voir la proposition s’annuler. À partir du24 juin vous disposez d’une semaine pourrépondre. Ce délai passe à 72 h à partir du20 août, puis il est de 24h entre le 1er sep-tembre et le 9 septembre.

APBet l’apprentissage Vous êtes candidat à une formation encontrat d’apprentissage ? Attention, car vo-tre admission dans la filière est condition-née par l’obtention d’une entreprise d’ac-cueil. Un conseil, jouez la carte de lasécurité en vous inscrivant dans la mêmeformation sous statut scolaire (initiale).

Refuserune propositionLes candidats qui n’ont pas reçu de propo-sition avant la procédure complémentaireou qui sont en attente de résultats peuventpostuler sur l'ensemble des cursus affichés.En revanche, ceux qui ont refusé une pro-position émanant d’une filière sélective tellequ’un BTS, un DUT ou une classe prépa-ratoire lors de la procédure normale nepourront émettre de souhaits que dans desfilières non sélectives, c’est à dire à l’uni-versité.

EN SAVOIR PLUSUn calendrierà respecterLa phase de sélection est à présent ache-vée et vous n’avez pas reçu de réponse fa-vorable des établissements que vousconvoitiez. Rassurez-vous, vous pouvezbénéficier d'une seconde chance avec laprocédure complémentaire. Elle a pourbut de mettre en relation les établisse-ments qui ont encore des places vacanteset les candidats encore en recherched'une place. Elle démarrera le 24 juin à14 heures pour se terminer le 9 septem-bre à 23H59. Elle s’adresse aux candidatsqui n’ont pas participé à la procédureAPB, qui ne se sont pas inscrits ou quin’ont pas validé leurs choix de formation ;aux candidats qui ont refusé la proposi-tion qu’on leur a faite dans la procédurenormale ou qui n’y ont pas répondu ; auxbacheliers qui attendent toujours une ré-ponse à leurs candidatures et sont en troi-sième phase de proposition d’admission ;ou encore à ceux qui espéraient une for-mation sélective et qui se sont vus propo-ser un cursus de la filière non sélective.

Faites vos vœux !La procédure d'admission complémen-taire limite le choix des formations etdes établissements, puisqu'elle neconcerne que les filières qui ont desplaces restées vacantes à l'issue desphases d'admission de la procédure nor-male. Vous ne pouvez formuler quedouze vœux en procédure complémen-taire au lieu des 24 initialement propo-sés. Comme lors de la procédure nor-male, il faut effectuer son inscription surle portail Admission post-bac. Ceux quin’ont pas participé à la procédure nor-male doivent ouvrir un nouveau dossieren ligne. En revanche, les candidats quiont déjà constitué un dossier lors de lapremière phase d’inscription doiventsimplement le compléter avec les résul-tats au bac, la série et l’éventuelle men-tion obtenue au bac. Attention : si vousavez répondu « oui » à la procédure nor-male : vous ne pouvez pas prétendre àla procédure complémentaire. Si vousêtes accepté dans une filière sélective,non plus.

«Je me souviens de cela comme si c’était hier, nous étions enjuin, je passais mon bac STMG et j’étais anxieuse à l’idée desavoir si le lycée du Pays de Condé avait accepté ma candida-ture en BTS Management des unités commerciales» serappelle Sophie. «J’étais admise dans la même filière de plu-sieurs autres lycées de la région, mais je n’étais que sur listed’attente à Condé-sur-l'Escaut. J’ai dû attendre la procédurecomplémentaire et surtout qu’une place se libère pour être enfindéclarée admise. Son conseil : être patient et se connecter tousles jours sur APB car des places se libèrent régulièrement !

Sophie, 19 ans, 1ère année BTS MUCau lycée du Pays de Condé

VOUS N’AVEZ PAS TROUVÉ DE PLACE DANS LA FILIÈREQUE VOUS VISIEZ ? PAS D’INQUIÉTUDE, LA PROCÉDURECOMPLÉMENTAIRE EST FAITE POUR VOUS.


APBl’heure des choix


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En chiffre

Sept diplômes d’État permettentd’évoluer dans le secteur del’animation. Le Brevet profes-sionnel de la jeunesse, de l'édu-cation populaire et du sport(BPJEPS), étant le plus connu.

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SANS LE BACje fais quoi ?

Le bac sinon rien ! Un redoublement peut être un choix trèsjudicieux car la deuxième fois est souventla bonne. De plus, ce sera une chancepour vous d’approfondir vos connais-sances et de démarrer vos études supé-rieures sur de bonnes bases. Vous pouvezsoit vous réinscrire dans le même établis-sement, soit faire une demande auprèsdu rectorat pour trouver une place dansun autre lycée. Autre possibilité : les Mo-dules de repréparation aux Examens enAlternance (MOREA). Ils permettent auxjeunes ayant échoué deux fois au bac depréparer à nouveau l’examen, mais avecune pédagogie différenciée.

L’universitéou une écoleÀ la fac, deux solutions existent. La pre-mière est de suivre un DAEU (diplômed’accès aux études universitaires) litté-raire ou scientifique en deux ou quatreannées d’études. Mais attention : il nes’adresse qu’aux jeunes ayant au moins20 ans et possédant une expérience pro-fessionnelle de 2 ans, ou aux jeunes âgésde 24 ans minimum. Il offre les mêmes

droits que le traditionnel baccalauréat.Autre possibilité, la capacité, en droit ouen gestion qui se prépare en deux ans àl’université. Vous l’ignorez peut-êtremais certaines écoles privées : com-merce, communication, art, tourisme,sport, animation, paramédical, social…recrutent des non-bacheliers. Attention,ces établissements sont parfois onéreuxet pas toujours reconnus. Avant de vousengager, assurez-vous que l’établisse-ment soit au minimum visé. Dans le casd’un titre vérifiez qu’il soit inscrit au ré-pertoire national des certifications pro-fessionnelles (RNCP).

Un emploi Rapprochez-vous de pôle emploi et desMissions Locales, dont l’objectif est jus-tement d’accompagner l’insertion profes-sionnelle des jeunes de 16 à 25 ans.Des concours de la fonction publique decatégorie C sont également accessiblessans le bac. Enfin, pensez à l’alternance :avec un contrat d’apprentissage ou deprofessionnalisation, vous partagerez vo-tre temps de formation entre l'école etl'entreprise.

«J’ai arrêté le lycée juste avant le bac,j’avais besoin de donner du sens à mavie professionnelle». Après quelquesexpériences dans le monde du travail(réceptionniste au Carlton de Lille,conseillère de vente chez Cartier…),Valentine décide de retourner sur lesbancs de l’école pour évoluer plus vite«dans sa carrière». «Il faut être réa-liste, le bac reste un sésame pouraccéder aux études supérieures, maisje ne voulais pas repasser le bac»explique-t-elle. Elle prépare alors, undiplôme d’accès aux études universi-taires à Lille 3. «C’est grâce au DAEUque j’ai pu décrocher mon job actuel !»s'enthousiasme Valentine.

Valentine, 28 ans,assistante commercialedans l’hôtellerie



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DERNIÈRESINSCRIPTIONSVOUS AVEZ EU LE BAC : PROBLÈME, VOUS NE VOUS Y ATTENDIEZPAS ET N’ÉTIEZ PAS INSCRIT SUR APB. QUE FAIRE ?ON VOUS EXPLIQUE TOUT !

ÉTUDESTexteS : CAMILLE BIANCARD


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J’AI LE BAC : ET APRÈS ?L’été suivant l’année de terminale est une pé-riode charnière qui génère beaucoup de stresschez les lycéens. Les études supérieures repré-sentent une suite logique du baccalauréat etc’est le moment de choisir son école ou son uni-versité. Le portail Admission Post Bac permetde s’inscrire au sein d’établissements du supé-

rieur entre les mois de jan-vier et mai : pour diversesraisons, certains ont loupéle coche des préinscriptionset se retrouvent sans pers-pectives d’études pour l’an-née à venir. Pas de panique,

des solutions existent pour vous inscrire à partirdu mois de juillet, certains établissements pri-vés ne sont pas sur APB et acceptent encoredes étudiants jusqu’au mois de septembre. At-tention cependant à ne pas prendre de déci-sions trop rapidement, au risque de vous trom-per d’orientation.

UN PROJET PROFESSIONNELSOLIDEAvant de vous inscrire à la hâte dans une forma-tion qui ne vous conviendrait pas, juste parcequ’ils vous proposent une place, commencezpar vous poser les bonnes questions. «Qui suis-je ? Qu’est-ce qui m’anime ? Ai-je besoin d’unencadrement ? Quel secteur me convient lemieux ?» Car c’est avant tout votre projet pro-fessionnel qui vous poussera à vous inscriredans telle ou telle formation ou dans un établis-sement plutôt que dans un autre. Vous souhai-tez travailler dans le monde du commerce ? Étu-diez un peu le secteur et faîtes une liste desmétiers qui pourraient vous intéresser, celavous aidera à y voir plus clair. Rencontrer desprofessionnels de l’orientation peut égale-ment vous aider à affiner votre projet d’avenir.Mais il faut garder en tête le fait que rien n’estdéfinitif, la solution que vous choisirez peut êtretemporaire et des dispositifs de réorientation enmilieu de semestre existent.

“Il faut se poser lesbonnes questions”


ÉTUDESTexteS : CAMILLE BIANCARD

Notre conseil aux jeunes qui ne sontpas prêts à passer par les procédurescomplémentaires est d’apporter uneplus-value à son parcours en se pré-parant au mieux aux prochainesinscriptions APB : trouver un travailpour découvrir le monde de l’entre-prise, effectuer un séjour à l’étranger…Cette année ne doit pas être uneannée de perdue mais elle doit servir àvaloriser votre parcours. L’erreur à évi-ter serait de ne rien faire au risque dedécrocher du système éducatif. Il fautgarder un œil sur le calendrier et nepas louper les dates d’ouverture dusite APB (décembre) ! Mais, au moisde juillet rien n’est perdu, si le jeune estmobile il trouvera forcément une placedans un établissement.

Zakia Merchi et CélineBontinck, Conseillersd’OrientationPsychologues, CRES

“Il faut valoriservotre parcours”

S’INSCRIRE EN 1ère ANNÉEVous ne pensiez pas avoir votre bac etn’avez pas postulé auprès des établisse-ments du supérieur via la plateforme Ad-mission Post Bac (APB) ? Certaines uni-versités, IUT ou certaines écoles privéesn’étant pas sur APB ont encore desplaces pour accueillir les étudiants dansvotre cas. Ils sont rares à communiquersur le nombre de places restantes, n’hési-tez donc pas à appeler les établissementsdans lesquels vous souhaitez étudierpour leur demander si ils peuvent vousaccueillir et quelle est la procédure àadopter pour s’inscrire. Entre juillet etseptembre beaucoup d'écoles fonction-nent au cas par cas et libèrent des placesselon les désistements des étudiants quis’étaient inscrits via APB. Vous pouvezalors espérer être sur la liste d’attente etprendre la place d’un étudiant ayantchoisi une autre formation. Cette périodede recherche est longue et fastidieusemais il ne faut pas se décourager, mon-trer votre motivation peut jouer en votrefaveur. Les établissements regardent ledossier scolaire mais sélectionnent lesétudiants également en fonction de leurpersonnalité et de leur projet profession-nel. Attention, pour l’inscription en pre-mière année à l’université vous devezobligatoirement passer par les procé-dures complémentaires APB.

NIVEAU BAC + 2 / + 3Si vous souhaitez vous réorienter àbac +2 ou bac +3, les inscriptions àl’université à partir de la deuxième an-née de licence ne passent pas par APB,quel que soit votre parcours. Si vousvoulez changer d'établissement, votrecandidature s'effectuera en ligne auprès

de l'établissement d'accueil et devra êtreaccompagnée d'une procédure de trans-fert. Après un BTS, un DUT ou une CPGE(classe préparatoire aux grandesécoles), pour vous inscrire à l’université,vous devez effectuer une procédured'équivalences pour valider votre précé-dente formation. Des conventions entreétablissements sont là pour faciliter vosdémarches. Pour les écoles hors APB :renseignez-vous directement auprès desétablissements qui vous intéressent afinde connaître les démarches à effectuer.

LE SERVICE CIVIQUEBesoin de plus de temps pour réfléchir ?Cette démarche citoyenne au service del’intérêt général, lancé au printemps 2010est une opportunité pour les jeunes de 16à 25 ans. Le but du service civique est deproposer des missions de 6 à 12 moisdans des associations, des administra-tions ou des collectivités aux jeunes,moyennant une rémunération. Le servicecivique a pour objectif : recevoir des va-leurs citoyennes, acquérir de nouvellescompétences mais aussi aider à définirun projet professionnel.

“Montrer votremotivation peut joueren votre faveur ! ”

• CIO Lille : 11 rue de Thionville, 59000,Lille. Tél : 03 28 53 29 80, [email protected]

• CIO Amiens : 70 boulevard de Saint-Quentin, 80090, Amiens. Tél : 03 22 95 00 25

• SUAIO Lille 1 : avenue Carl Gauss,Villeneuve d’Ascq. Tél : 03 20 05 86 72,[email protected]

• SUAIO Lille 2 : 42 rue Paul Duez, Lille.Tél : 03 20 96 52 80, [email protected]

• SUAIO Lille 3 : Pont de bois, Maison del’Étudiant, Villeneuve d’Ascq. Tél : 03 20 41

62 46, [email protected]

• SAOIP Université d’Artois : 9 rue dutemple, Arras. Tél : 03 21 60 37 15, [email protected]

• SUAIOIP ULCO : 10 rue des carreaux,Boulogne ; 50 rue F. Buisson, Calais ; 280 avde l’université, Dunkerque,Tél : 03 28 23 73 03, [email protected]

• SERVICE CIVIQUE :www.service-civique.gouv.fr

Les services à votre écoute

À savoir

Les procédures complémentaires peuventaussi vous aider à trouver un établisse-ment. Pour en savoir plus rendez-vouspage 10.

APB

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LE BURN OUT ÉTUDIANTSINCERTITUDES QUANT À L’AVENIR, PRESSION DEL’ENTOURAGE ET CONDITIONS DE TRAVAIL PARFOISDIFFICILES, LE BURN OUT EST DÉSORMAIS UNERÉALITÉ COURANTE DANS LA SPHÈRE ÉTUDIANTE.

Bachelier en juillet 2015, Théo aconnu cette période d’incertitude tra-versée par de nombreux jeunes :«En septembre 2015, j’ai fait ce quel’on pourrait appeler un petit "burnout". On va en cours, on apprendplein de choses mais à la fin on nesait pas pourquoi. Et donc on perdpied.». Actuellement en Thaïlandeoù il observe les projets marketingau sein d’une entreprise de glace,Théo a suivi son instinct et choisi devivre une année d’entrepreneuriat :«Il faut s’écouter, assène-t-il. Le pro-blème, c’est l’école et la pressionque mettent les adultes sur notrefutur. Il faut trouver sa voie et y allerà fond !»

Théo, 19 ans

“Il fauts’écouter”

FOCUSTexteS : KEVIN CARMINA

UN ÉTUDIANTSUR CINQ On les imagine jeunes, fougueux, insou-ciants, débordants d’énergie. Mais ilssont aussi stressés, anxieux, instablesvoire mal dans leur peau. La vie étu-diante, qualifiée comme meilleure pé-riode de notre existence, n’est pas tou-jours aussi rose qu’elle y paraît. En toutcas pas pour tout le monde si l’on en croitl’état psychique et moral des 18-24 ans :d’après la dernière enquête de la LMDEdu 30 octobre 2015, 37% affirment souf-frir de symptômes anxieux (dont 46% defilles) alors que plus de 30% sont en dé-tresse psychologique. Usés par unrythme de vie qu’ils doivent – pour cer-tains – appréhender détachés du cerclefamilial et dans lequel ils doivent conci-lier cours, révisions, petits boulots, lesétudiants sont parfois au bord de la rup-ture. Plus d’un sur cinq serait suscepti-ble d’être touché par un burn out (étudeSmerep). Et l’incertitude quant à leur ave-nir professionnel n’arrange rien : elle nefait qu’accroître la pression du résultat.

GARE AUX CONFUSIONSOlivier Loupie, psychologue spécialisédans les risques psychosociaux en entre-prises, constate ce phénomène : «Ça resteà la marge, mais c’est une réalité quiexiste. Les étudiants sont confrontés àdes conditions de travail qui n’existaientpas il y a 20 ou 30 ans.» Il apporte cepen-dant une nuance : «Il faut éviter d’em-ployer le mot burn out trop rapidement.Il s’agit d’un syndrome d’épuisement,précise-t-il, c’est la multiplication desconditions défavorables qui entraîne leburn out. Il faut donc dresser un tableaucomplet de tout ce qui est inhérent à l’en-vironnement de l’étudiant (travail, famille,vie sentimentale...) avant de l’affirmer.»Pas de panique donc si vous ressentez lestress monter, l’appétit et le sommeil dimi-nuer au moment de boucler un dossier oulorsque vous êtes en période de révision, ilpeut s’agir d’une simple surcharge de tra-vail passagère. En revanche, si le phéno-mène persiste, un tri de vos priorités s’im-pose, car un étudiant qui s’obstine àvouloir courir tous les lièvres en mêmetemps est un étudiant qui s’épuise.

Comment ne pas péter les plombsDominique Servant, psychiatre au CHU de Lille est spécialiste des problématiques liées austress et à l’anxiété, voici quelques conseils pratiques pour éviter l’épuisement.

«Il faut savoir se réguler, trouver le bon rythme. C’est de moins en moins facile, avec tous lesobjets connectés, il y a beaucoup de sollicitations, ça stimule. Il y a pourtant des choses simples àfaire, on n’y pense pas quand on est jeune mais la sophrologie, les exercices de respiration, laméditation, ce sont des petits compléments qui permettent de se recentrer sur soi-même.L’hygiène de vie, l’alimentation sont des éléments à ne pas négliger tout comme le sommeil. Lesrythmes de sommeil sont souvent inversés chez les étudiants, à la longue, c’est source d’usure.Enfin, il faut prendre soin de sa santé, on a un peu l’impression quand on est jeune qu’on estdans la toute puissance de l’âge.»

EN SAVOIR PLUS



Alternance :Kezako ?Cette voie de formation vous proposede mixer un enseignement théorique àune expérience professionnelle en en-treprise afin d’obtenir un diplôme, un ti-tre ou une qualification dans presquetoutes les filières du CAP au bac +5.Les centres de formation d'apprentis(CFA) ont pour vocation d’assurer laformation du jeune. Les CFA sont géréspour l’essentiel par des Chambres demétiers, de commerce et d’industrie,des établissements d’enseignementUniversités, CFA Régional Nord deFrance, CFA académique, FORMASUP,IRFA-APISUP...

Quels contrats ?Pour être recruté en alternance, deuxpossibilités : le contrat d'apprentissageou de professionnalisation. Si tous lesdeux affichent des points communs : uncontrat de travail, une rémunération,une formation gratuite… Le premier estdiplômant, le second a un objectif qua-lifiant.

Pépites Vous êtes apprentis ? Vous souhaitezmettre à l’honneur l’entreprise qui vousaccueille et ses bonnes pratiques ?C’est l’occasion de participer auconcours les Pépites de l’Alternance quirécompense chaque années les entre-prises et les tuteurs. www.pepites-alternance.com

EN SAVOIR PLUS


LA RÉGION SE MOBILISE POUR DÉVELOPPER LA FORMATIONEN APPRENTISSAGE. C’EST PEUT-ÊTRE LE BON MOMENTPOUR VOUS LANCER ?

En chiffre

C’est le nombre actueld’apprentis du niveau CAPau diplôme d’ingénieurs quecompte les Hauts-de-France.L'objectif est d'atteindre les50 000 à l'horizon 2020.

33 000

CAPsur l’alternance

Revaloriserl’apprentissage «Atteindre les 50 000 apprentis d’ici lafin de la mandature», c’est le vœu pieuxde Xavier Bertrand. Pour y parvenir, leprésident des Hauts de France et sonvice-président en charge de l’apprentis-sage, Sébastien Huyghe ont décidé delancer un véritable plan Marshall del’apprentissage. Une campagne de com-munication auprès des jeunes et de leursfamilles(principales prescriptrices) seralancée d’ici cet été. Sur le terrain, des«ambassadeurs médiatiques», serontainsi missionnés pour prêcher la bonneparole sur tout le territoire et démontrerque l’apprentissage est une filière d’ex-cellence, un rempart contre le chômagedes jeunes et un levier de développe-ment économique pour les entreprises.«Nous souhaitons revaloriser l’appren-tissage auprès des familles et desjeunes. Les convaincre que ce n’est pasune voie de garage, bien au contraire,c’est un véritable tremplin vers l’em-ploi» rappelle Sébastien Huyghe. «Il faut

également travailler avec les entreprisesafin qu’elles prennent conscience dubien-fondé de l’apprentissage, que celaconstitue une richesse pour eux»conclut le vice-président.

Un Plan apprentissage Celui-ci sera articulé autour de plusieursmesures fortes. Parmi lesquelles, uneprime à l’apprentissage de 3 000€, ac-cordée à un employeur du secteur privéou public qui recrute un apprenti (souscertaines conditions). D’autres disposi-tifs, dont la mise en place d’un numérovert dédié (0 800 02 60 80), en lien avec«Proch’emploi» seront déployés pour ac-compagner les entreprises, sensibiliser legrand public à l’apprentissage et mettreen relation les jeunes et leurs futurs em-ployeurs. Enfin, un soutien spécifiquedes apprentis dans leur parcours de for-mation (aide à l’équipement, la mobilité,l’hébergement …), ainsi qu’une carte desformations par apprentissage adaptéeaux besoins des entreprises et des terri-toires seront mis en place dans la région.



MICRO-TROTTOIRTexteS : Khadija abouchan

et CAMILLE BIANCARD

VOTRE AVIS SUR : L’ALTERNANCEMARGOT, CHARLOTTE,VINCENT ET MARTINREVIENNENT SUR LEUREXPÉRIENCE D’ALTERNANCE.UNE EXPÉRIENCEENRICHISSANTE.

CHARLOTTE, 19 ANSDeuxième année de DUT GEIIIUT Littoral Côte d’Opale /OrangeAu Lycée déjà, Charlotte était gymnastede haut niveau et s’entraînait près de29 heures par semaine : «j’avais déjà l’ha-bitude de combiner les cours et mes acti-vités sportives. Quand on y pense, l’ap-prentissage c’est pareil, ça demandebeaucoup de rigueur et aussi du courage».Après avoir obtenu un Bac S, aidée parl’IUT Littoral Côte d’Opale, elle décrocheun contrat d’apprentissage chez Orangeen 2014. «Établir une corrélation entre lescours et la pratique en entreprise est trèsenrichissant, c’est ce qui m’a attiré dansl’alternance et je ne regrette absolumentpas de m’être lancée dans cette aventure».

MARTIN , 24 ANS Skema Business School /Assistant et responsableFinancier à GIE EurasantéTitulaire d’un Bac ES, Martin s’inscrit en Li-cence de Droit puis en Master 1 Droit desaffaires à l’Université de Lille 2. Désireuxd’entrer dans le monde professionnel ilpasse le concours du programme GrandeEcole de Skema Business School et choisitl’apprentissage : «C’est l’entreprise qui payel’école et ça me permet de construire un ré-seau professionnel». L’apprentissage luipermet d’évoluer dans le monde du travail«je trouve ça plus constructif d’être en im-mersion pour une longue durée que de fairedes stages, je peux mener à bien des pro-jets du début à la fin». Son conseil : «Foncezet essayez d’en faire le plus possible» !

MARGOT, 24 ANSÉtudiante en 5ème année decommunication à l’ISTC /Leroy MerlinAprès un bac S, Margot décide de devenirarchitecte et passe son diplôme en troisans à Tournai. Mais Margot ne se sentaitpas à l’aise avec son orientation «J’adorel’architecture mais le milieu me semblaittrop fermé alors j’ai décidé de faire desétudes de communication». C’est en cin-quième année qu’elle commence à suivrele cursus en alternance, parcours qu’ellerecommande chaudement : «Il ne fautmême pas se poser la question ! Tout çac’est du bonus, outre la rémunération c’estun tremplin vers la vie professionnelle eton y gagne en relations, qu’elles soient in-ternes ou externes. Pourquoi hésiter ?»

VINCENT, 25 ANSElève ingénieur à TélécomLille et alternant EDF«Après un Bac S je suis devenu gen-darme. C’était une bonne expérience maisje voulais changer de voie» explique Vin-cent. Il décide alors de faire un BTS IRIS(Informatique et Réseaux) au lycée Jean-Rostand de Roubaix. «Je n’ai jamais ététrès bon à l’école mais l’alternance a étéune révélation pour moi, j’ai même été ma-jor de promo !». Aujourd’hui en école d’in-génieur il a choisi de continuer sa forma-tion en alternance : «il n’y a rien de mieux,c’est grâce à ça que j’ai une idée précisede ce qui va m’arriver après les étudesalors n’hésitez pas à vous lancer».

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HELPTexteS : Khadija abouchan

PLEINS PHARES sur le permis !VOUS ENVISAGEZ DE PASSER VOTRE PERMIS ? AVANTDE PASSER LA PREMIÈRE, VOICI CE QU’IL FAUT SAVOIR !

1/ ChoixLes premiers critères de sélection d'uneauto-école sont la proximité et le prix. Nenégligez pas pour autant la qualité du ser-vice et le taux de réussite de l’auto-école !

2/ LitigeLe dialogue permet souvent de trouver uneissue favorable à un litige. Si toutefois vousn’obtenez pas satisfaction, sachez que vo-tre dossier d’inscription est votre propriété.L’auto-école ne peut donc pas refuser devous le rendre si vous résiliez votre contrat.

3/ PrixCertains établissements promettent un per-mis à un tarif imbattable, puis mettent laclé sous la porte au bout d’un an. D’autresmettent en avant des forfaits… qui se ré-vèlent incomplets, soyez vigilant !

4/ GratuitL'examen du code de la route est gratuit. Vouspouvez vous préparer seul, et vous inscrireen candidat libre à la préfecture pour passervotre code sans débourser un centime.

5/ AccompagnéeEfficace et économique, la conduite accom-pagnée forme de meilleurs conducteurs.Elle permet aussi d’obtenir de meilleurs ta-rifs d’assurance !

5 CONSEILS

Des disparités Avec le bac et le droit de vote, le permisde conduire représente un rite de pas-sage de l’adolescence à l’âge adulte.Promesse d’une plus grande autonomie,la petite carte en plastique rose a toute-fois un prix. Bien souvent, trop élevé pourles petits budgets étudiants, il fautcompter en moyenne 1 000€ pour un for-fait basique, comprenant des leçons decode illimitées avec 20 heures deconduite et l’inscription aux examens.Mais il existe de très grandes disparitésentre les régions. Selon une enquête del'Association nationale de défense desconsommateurs et des usagers (CLCV) leforfait classique peut être facturé du sim-ple au double. Et si, 20 heures deconduite sont nécessaires pour passerl’examen pratique du permis deconduire, on estime qu’il en faudrait plusde 30 pour le réussir. Facturée entre 30€

et 50€ l’heure de conduite, la note finalepour obtenir le précieux sésame peuttrès vite devenir salée !

Payer moins cher ?Rassurez-vous, il existe des alternativespour passer son permis sans se ruiner. Àl’image des auto-écoles low cost (per-mispascher) ou en ligne (PermiGo, envoiture Simone…) proposant des for-faits à prix cassés (environ 699€ !). Sivous avez moins de 26 ans et souhaitezpasser le permis pour la première fois,vous pouvez bénéficier du dispositif«permis à 1 euro par jour» avec un prêt àtaux 0%. Pour cela, il faut choisir uneauto-écoleconventionnéepuis s’adres-ser à unebanque parte-naire de l’opé-ration. Une fois votre prêt accepté, vousremboursez «1€ par jour» (en réalité 30€

par mois) et c’est l’État qui paie les inté-rêts. Enfin, des aides sont proposéespour alléger la facture, notamment au-près des collectivités locales. Rensei-gnez-vous !

“Permis à1 euro par jour”

En chiffre

C’est actuellement le délaimoyen d’attente pour passerl’examen du permis deconduire. La loi Macron, envigueur depuis peu, prévoit decréer 170 000 placesdisponibles supplémentaires,en confiant notammentl’examen du code de la route àdes organismes privés agréés.

98 jours




LA NAISSANCEDU PROJETLa réflexion est partie d’un constatsimple nourri par Aubry, 21 ans,étudiant en troisième année de Li-cence Management et Sciences So-ciales : «Je viens de Caen, je n’étaisjamais parti de chez mes parents.Mes repas c’étaient : conserves et

pâtes, riende plus !» Uncas «person-nel» partagépar de nom-breux étu-diants,considérésparmi les

spécialistes de la malbouffe. Tempsconsacré au repas souvent réduit,horaires en décalé, budget (très)serré, ils sont des victimes idéales !«Dans le Nord - Pas de Calais et no-tamment à l’IAE, il y a des difficul-tés à se procurer de la nourrituresaine. Autour, nous n’avons pas derestau U, il y a des sandwichs, piz-zas, kebabs, des choses pas trèséquilibrées. D’où la naissance de

ce projet», raconte Ludovic (Mas-ter 1) et chef d’équipe des EnactusIAE Lille.

5€ LE PANIER BIO Lui et sept autres de ses camaradesont ainsi créé Légumes & Co, unprojet visant à améliorer les habi-tudes alimentaires des étudiantsvia les producteurs locaux. Plu-sieurs fois dans l’année ils propo-sent à la vente des paniers defruits et légumes bio directementimportés des circuits courts. Leprincipe est on ne peut plus sim-ple : avant chaque session devente, les étudiants commandentleur panier, les produits sont livrésla semaine suivante dans les locauxde l’IAE. Facile, pratique et en pluspas cher. «On est entre 1,6 et 2,1 kg,pour un prix de vente unitaire de5 euros. Il faut que le maraîcherrentre dans ses coûts et que les étu-diants aussi, explique Aubry, sa-chant que ce ne sont pas ceux quiont le budget le plus développé.»

VECTEUR DECOHÉSION SOCIALEDans leur combat contre la mal-bouffe, les huit étudiants sont allésplus loin en mettant en place desateliers culinaires, histoire de sa-voir quoi faire de tous ces bonsproduits ! «On leur propose de cui-siner deux entrées, deux plats,deux desserts, puis on mange tousensemble», détaille Anna qui voit làun bon moyen pour décloisonner lesmultiples filières de l’établisse-ment. «On a un aspect lien social,reconnaît son acolyte Aubry. Il y apas mal de gens isolés à l’IAE (plusde 2 000 étudiants à Lille), chacunfait son truc de son côté. Il y a demoins en moins d’initiatives col-lectives, ça permet de se retrou-ver.» Ou de se rencontrer. Dans tousles cas, c’est un moyen supplémen-taire de rappeler que mal mangerquand on est étudiant, ce n’est pasune fatalité ! «Ils pensent que man-ger sainement signifie forcémentmanger plus cher ou aller dans desépiceries spécifiques lointaines,alors que non», observe Anna.

ILS s’engagentTexteS : KEVIN CARMINA

“Manger sainementne signifie pasforcément mangerplus cher”

MANGER SAINEMENT TOUT EN ÉTANT ÉTUDIANT, UNE MISSION IMPOSSIBLE ?VRAIMENT ? HUIT MEMBRES DU RÉSEAU ENACTUS IAE LILLE ONT MIS EN PLACEUN ATELIER CUISINE ET UNE VENTE DE FRUITS ET LÉGUMES BIO POUR INCITERLES ÉTUDIANTS À MIEUX S’ALIMENTER. SANS VIDER LEUR COMPTE EN BANQUE !

ENACTUSIAE LILLELeur mission :vous aider à bienmanger


FILIÈRESTexteS : KEVIN CARMINA

DE PLUS EN PLUS COMPLEXE À PILOTER MAISABSOLUMENT VITALE POUR LES ENTREPRISES, LA GESTIONDE LA CHAÎNE LOGISTIQUE A BESOIN DE SPÉCIALISTES.

En chiffre

c’est le pourcentage de salariésembauchés directement enCDI dans la filière de la supplychain. Le CDI est le contrat pri-vilégié dans le secteur de la lo-gistique, qui recherche plusque jamais des jeunes.*chiffre issu du baromètre Fed Supply

47,5 %

FOCUS SUR :LA SUPPLY CHAIN

UN RÔLESTRATÉGIQUEIl fut un temps encore pas si lointain oùles entreprises françaises ignoraientl’importance de la supply chain. Au-jourd’hui, 79% des structures possé-dant une supply chain performante ontconstaté une croissance de leur chiffred’affaires supérieure à la moyenne.Mais au fait, la supply chain, qu’est-ceque c’est ? Elle pourrait se résumer à lagestion de la chaîne logistique permet-tant de rendre efficient et efficace tousles flux de marchandises. Comprenezplus simplement : l’optimisation desapprovisionnements en marchandisespour assurer le meilleur rendementpossible à l’entreprise. «On est entre lemarteau et l’enclume. L’enclume étantla production, le marteau les fournis-seurs», schématise Arthur Bouzianne(lire ci-contre). «D’un côté on a la pro-duction qui veut toujours des piècespour produire, de l’autre on doit chal-lenger nos fournisseurs tout en leur de-mandant d’avoir peu de stock», ex-plique cet étudiant du Master MLISC, àLille 1.

UN TAUX D’INSERTIONDE 100 %Créé à l’Université de Lille 1 il y a 25 ans, leMaster 2 Management Logistique et Ingé-nierie de la Supply Chain permet aux étu-diants de se former sur le terrain grâce àsix mois de stage (+ possibilité d’alter-nance). Ingénieur en méthodes logis-tiques, consultant, approvisionneur ou en-core manager de la chaîne logistique, lespossibilités de métiers sont vastes. Les dé-bouchés certains. À l’issue de la forma-tion, 100% des étudiants trouvent un em-ploi dans les trois mois après l’obtentiondu diplôme. «Les années où la conjoncturese portait bien, les étudiants n’avaientmême pas terminé leur année qu’ilsavaient déjà signé leur contrat», avance Ri-chard Szalkiewicz, le directeur du masterMLISC. Autre possibilité pour travaillerdans la supply chain : l’Université de Picar-die Jules Verne qui propose un master ma-nagement et ingénierie logistique ou l’IAELille qui possède un master Global Sour-cing, Achats Supply Chain. Dans tous lescas, il vous faudra justifier d’un très bon ni-veau d’anglais si vous voulez traiter avecles fournisseurs du monde entier.

«Après un bac+3 en logistique et unmaster en management, j’ai intégréen septembre 2015 le Master MLISCà Lille 1. Je connais bien le secteurpour y avoir fait toutes mes études,ce qui me plaît c’est qu’il n’y a pasvraiment de routine. Je suis actuelle-ment en stage de 6 mois chez unéquipementier automobile françaisqui produit des alternateurs, mon rôleest d’arriver à approvisionner entemps et en heure toutes les piècesde la production tout en tirant lemaximum des fournisseurs. Je gèreles flux des fournisseurs basés àl’autre bout du monde, en Asie ou enEurope, jusqu’à l’usine de productiondans le Pas-de-Calais. C’est à moide tout organiser de A à Z.»

Arthur, 25 ans,stagiaire en ingénieurlogistique

“Tout organiserde A à Z”



TESTTexteS : Khadija abouchan

êTES - VOUSsuperstitieux ?LA SUPERSTITION EST UNE ATTITUDE IRRATIONNELLE FONDÉE SUR LACROYANCE DANS L'EXISTENCE ET DANS L'ACTION DU SURNATUREL.EN RÉPONDANT À CE TEST, VOUS DÉCOUVRIREZ VOTRE PROFIL !

Vous avez un examen important,votre ami vous souhaite bonnechance :● Malheureux, on ne dit jamais bonne

chance, ça porte malheur !■ Je le remercie et je file pour ne pas

être en retard. ▲ La chance n’à rien avoir avec la

réussite aux examens.

Vous brisez un miroir parinadvertance : ■ Vous veillez à ne pas vous couper en

ramassant les débris. ● Sept ans de malheur !

Vous êtes attristé. ▲ Pas de chance, c’était le miroir de

votre grand-mère.

C’était vendredi 13 aujourd’hui, ■ Vous ne vous en êtes même pas

aperçu.● Vous êtes restez barricadé chez

vous !▲ Vous jouez au loto, on ne sait

jamais…

Dans un parc, vous est-il déjàarrivé de chercher des trèfles àquatre feuilles : ● Toujours, vous passez la pelouse au

peigne fin. ▲ D'un œil distrait, vous regardez le

gazon. On ne sait jamais ! ■ Pourquoi faire ?

Dans la salle d’attente de votremédecin, lorsque vous feuilletezun magazine : ● Vous vous précipitez sur la dernière

page pour découvrir votre horoscope. ▲ Vous connaissez votre signe

astrologique et votre ascendantpourtant vous ne croyez qu’à moitiéaux prédictions des astrologues.

■ Vous ne lisez jamais les horoscopes.

Une échelle bloque le trottoir : ■ Vous passez dessous, sans la

moindre hésitation. ● Hors de question, ça porte malheur ! ▲ Vous prenez le trottoir d’en face, pour

éviter les éventuelles chutes d'objets.

Un soir, en rentrant chez vous,un chat noir croise votre route : ■ Il est adorable ce matou. ● Vous n’en dormez pas de la nuit. ▲ Vous rebroussez chemin discrètement.

Vous arrive-t-il de toucher du bois ?● Oui, tout le temps, j'en ai un morceau

spécial dans mon sac. ▲ Oui, ça m'arrive. ■ Non, pourquoi.

Vous est-il déjà arrivé de jeterune pièce dans une fontaine ?● Oui ! Et toujours dos à la fontaine! ■ Non, jamais. ▲ Oui, tout le monde le fait.

L'un de vos invités a ouvert sonparapluie dans votre entrée : ■ Après tout, s'il a besoin que son

parapluie sèche, pourquoi pas? ▲ Ça m'embête un peu, mais je ne lui

dis pas. ● Que fait-il, le malheureux !? Je lui dis

de le plier sur le champ.

Vous avez une majorité de ● vous êtes un superstitieux.Vous ne sortez pas de chez vous sans votre petit trèfle à quatrefeuilles et ne passez jamais sous une échelle, vous êtes superstitieuxet vous l’assumez. Attention, à ne pas trop vous laisser influencer,cela pourrait vous couper de la réalité… et vous gâcher la vie.

Vous avez une majorité de ▲ Vous êtes un superstitieuxdécontracté.Il vous est déjà arrivé de jeter une pièce de monnaie dans unefontaine, ou de toucher du bois, pour conjurer le sort. Vous connaissez

un bon nombre de superstitions et si certaines vous font sourire,d'autres font partie intégrante de votre quotidien.

Vous avez une majorité de ■ Vous êtes cartésien.Vous ne vous embarrassez pas de superstitions, la vie est assezcompliquée comme ça. Vous êtes persuadé que c'est vous quicréez votre chance, en profitant des opportunités et en travaillantdurement et aucune patte de lapin ne pourra vous aider pour yarriver plus vite ni aucun miroir brisé anéantir vos projets, vous êtestrop cartésien !

VOTRE PROFIL Vous souhaitez connaître la filière ou le métier qui vous correspond ?Découvrez des tests d’orientation. www.lavoixletudiant.com - www.letudiant.fr




BONS PLANSTexteS : Constance Ostyn

C’est la méthode qui a fait ses preuves à travers les âges, laplus accessible et la moins coûteuse : profiter du grand air etne rien faire ! En Hauts-de-France, on ne manque pas de beauxendroits : les parcs et citadelles en ville mais aussi la cam-pagne : les marais de Saint-Omer, la Baie de Somme ou lesplages du littoral... autant de lieux à arpenter gratuitementavec ta bande d’amis et vider ton cerveau de toutes ces for-mules de maths, grands auteurs et dates historiques !Retrouve tous les lieux pour flâner près de chez toi sur le sitewww.nordpasdecalaispicardie.fr rubrique «portrait»

Quoi de mieux pour évacuer le stress et les tensions qu’un grandterrain en plein air avec du bon son très fort dans les oreilles ? Larégion Hauts-de-France est riche de festivals de musique et enjuillet, tu pourras écouter les Insus, Ellie Goulding ou Iggy Pop àArras ou bien Selah Sue, Lilly Wood et Mickey 3D à Aulnoye-Ay-meries ! Et pour les bourses plus serrées, le NRJ Music Tour re-vient à Roubaix le 2 juillet pour un grand concert gratuit !Main Square Festival à Arras - 1, 2 et 3 Juillet /www.mainsquarefestival.frLes Nuits Secrètes à Aulnoye-Aymeries – 29, 30 et 31 juillet /www.lesnuitssecretes.com

Flâner au grand air...

Danse et metstes baskets !

Viens, on se défouleaprès le # Bac2016 !

Fais ta Star...Après le stress des exams et la fatigue des révisions, rien de telqu’un moment de folie pour relâcher la pression ! Singing Studio pro-pose des soirées karaoké privées pour les groupes de 4 à 25 per-sonnes. Là-bas, tu trouveras 6 salons à privatiser pour pousser lachansonnette sur les 3000 chansons du répertoire ! Alors foncet’éclater avec tes potes, car Singing Studio t’offre un Cocktail Sin-ging - ou un soft - gratuit sur présentation de ce Mag Vive Le Bac !Singing Studio 185-193 Pont de Flandres à Lillewww.singing-studio.com

Suivez-nous



Les éditionsCalmann-Lévy et La Voix-L'Étudiantvous offrent10 ex de ce livre

Les éditionsMontparnasse et La Voix-L'Étudiant vous offrent10 ex. de ce film.POUR PARTICIPER ETGAGNER VOS CADEAUX :rendez-vous sur le sitewww.lavoixletudiant.comrubrique «En Plus» :Jeux-Concours

CULTURETexteS : Khadija abouchan

C’EST DANS L’AIR

A GAGNER

Dove Attia est de retour avec «La Légende du RoiArthur», une grande fresque musicale avec en toilede fond une belle histoire d’amour. D’Excalibur auxChevaliers de la table ronde, de Merlin l’enchanteurà la quête du Graal, revivez le destin du plus grandRoi de Bretagne et celui de la Reine Guenièvre, dé-chirée entre l’amour qu’elle voue à son époux Ar-thur et la passion qu’elle vit auprès de Lancelot, lechevalier le plus fidèle du Roi.Au Zénith de Lille. www.veroneproductions.com

Le Main Square Festival s’est imposé depuis sacréation comme l’un des grands événements musi-caux de l’année en France. Le Festival qui se dé-roule sur la Citadelle Vauban d'Arras réunit les plusgrands artistes nationaux et internationaux du mo-ment. Cette année ne fait pas exception à la règle.Au programme : les Insus (ex-Téléphone), IggyPop, Nekfeu, Marina Kaye, LEJ… Citadelle d'Arras. www.mainsquarefestival.fr

AGENDA

NaviiAvec son tube «J’écoute duMiles Davis», Navii est la révé-lation musicale du moment.Son premier album «Tout sedonner» (Warner) réalisé avecYoann Malory et Tristan Salvati(Lilian Renaud, Louane, …) estune pépite à découvrir sansplus tarder !

Mourir ?Plutôt crever ! Ce documentaire dresse unportrait complet du dessina-teur, mais c’est aussi un docu-ment pris à chaud au gré du pé-riple de sa vie, de ces annéesdont il n'a eu de cesse de titillerles injustices et les abomina-tions de son trait si particulieret redoutable.

Le jardinde Pétronille En cette fin d’année 1940, Jean-nette, fille adoptive d’un notablede Nancy, est gérante de la bras-serie Lorraine sur la plus grandeartère commerçante de la ville. Sesaffaires sont prospères au pointqu’elle a ouvert un second établis-sement, un salon de thé, Le jardinde Pétronille. De Elise Fischer

Lille Piano(s)FestivalPendant trois jours, 40 artistes, desplus jeunes lauréats des concoursinternationaux aux plus prestigieuxsolistes, sont invités pour ce grandmarathon musical : 30 concertsdans 7 lieux de Lille et du départe-ment Nord, en un week-end !Du 17 au 19 juin.lillepianosfestival.fr

La Fête de l’îlot ! Pour célébrer le retour des beauxjours, les 4 Écluses vous concoctesa célèbre Fête de l’Îlot. Au pro-gramme : un après-midi 100%gratuite et entièrement consacréaux enfants et une programmationmusicale détonante jusqu’au boutde la nuit !Samedi 18 juin aux 4 Éclusesde Dunkerque.

Messmer Le plus célèbre Hypnotiseur deFrance est de retour avec sonnouveau spectacle, Intemporel.Cette fois, Messmer invite lesspectateurs à entrer dans son la-boratoire expérimental pour denouvelles aventures plus éton-nantes que jamais. Samedi 2 juillet au Sceneode Longuenesse.


LU - VU - ENTENDU...À GAGNER

À GAGNER

Spectacle

25 / 06

Festival Main Square

DU 01 / 07 AU 03 / 07


actuOverwatch OriginsLe jeu prend place dans un futur proche, en 2074.Vous incarnez un héros parmi la palette proposée etchaque personnage a des caractéristiques, capacitésparticulières ainsi qu'un rôle défini. L'aspect graphiqueest superbe et le jeu se prend vite en main.(Editeur : Blizzard Entertainment).

WikiHow Si vous cherchez comment réparer un toit qui fuit,préparer un mojito sans alcool ou apprendre à danserle tango, rendez-vous sur WikiHow. Vous retrouverezsur ce site collaboratif fonctionnant sur le même prin-cipe que Wikipédia des conseils pratiques pour ré-pondre à toutes vos questions ! http://fr.wikihow.com

WEBTexteS : Khadija abouchan

EN MOINS D’UNE DÉCENNIE, LES BLOGUEURSSONT DEVENUS DES NOUVEAUX LEADERSD'OPINION. INFLUENTS, ILS SONT DÉSORMAISCONVOITÉS PAR LES MARQUES !

TastyLes recettes de cuisine filmées cartonnent sur latoile. Tasty attire chaque jour des millions de cuisi-niers en herbe sur Youtube et Facebook. La clé deleur succès ? Des micro-vidéos vous expliquent enun temps record comment préparer des cannellonisgratinés ou une charlotte aux fraises. Yummy !

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https://www.youtube.com/watch?v=0zyz0ktjUrI

73 questionsAprès Victoria Beckham, Sarah Jessica Parker ouAnna Wintou, c'est au tour de Taylor Swift de seprêter au jeu des «73 questions» pour le VogueUS. Tout en faisant visiter sa maison cosy, la chan-teuse en profite pour faire quelques confidences.Pleines d'humour et de sincérité.

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https://www.youtube.com/watch?v=XnbCSboujF4

Un business lucratif Une étude réalisée par ODW révèlequ’il existe plus de 200 millions deblogs dans le Monde (dont une ving-taine de millions en France). Parmieux, une majorité de 25 à 34 ans. Lesprincipales thématiques de ces blogssont dans l’ordre, la mode et la beauté,le high-tech, la cuisine et le voyage.Seuls 10% d’entre eux, arrivent à en ti-rer profit. Si certains blogueursavouent des revenus pouvant aller de400€ à 2 000€ par mois grâce aux ban-nières et aux opérations avec desmarques, les stars de la blogosphèresà l’image de l’italienne Chiara Ferra-gni, le britannique Imran Amed,l’américaine Leandra Medine ou lapionnière Garance Doré, peuvent setarguer de gagner un salaire à 6 chif-

fres ! Créer son blog peut être une ac-tivité lucrative, encore faut-il savoircomment s’y prendre.

Je me lance !Avant de vous lancer dans le blog-ging, assurez-vous de trouver un su-jet qui vous passionne et susceptibled'intéresser les internautes ! Choisis-sez bien votre plate-forme de blogging(Wordpress, Blogger, Overblog). Plusvotre contenu est de qualité, plus il at-tire des visiteurs. Vous pouvez mêmereprendre certains de vos articles etles faire remonter aux classements surGoogle. Enfin, exploitez le potentieldes réseaux sociaux (Twitter, Face-book, Instagram…) avec les pagesspécifiques liées à votre blog et sou-mettez vos articles !

Blogosphère

BLOG

Vous n’avez pas eu le temps dechercher un job saisonnier àl’avance ? Pas de panique, vousretrouverez sur «www.blog-etudiant.fr» des pistes pour vousaider à dénicher un job d’été à ladernière minute !

Un Job d’été

on aliké !

30 / LAVOIX-L’ETUDIANT MAG / N#12 JUIN-JUILLET 2016


mag juin n12 32 p_mise en page 1

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