M.A.E., F.S.P. « Sud-Expert-Plantes »Composante 3 : « Projets de recherche »

FICHE RÉSUMÉ

Réservé au Secrétariat exécutifNuméro Recevable Signature Avis CR SCAC Avis Expert 1 Avis308Final K€ Avis CS K€ Rapporteur Avis Expert 2 Avis

Titrecourt :

Montagne et milieux aquatiques

Titre complet :

Flore, végétation et biodiversité des zones montagneuses, humides ordinaires et sacrées du Burkina Faso

Thème Connaissance du patrimoine biologique et culturelMots clés Biodiversité floristique, Montagnes, Zones humides, Valorisation des connaissances

endogènes, Burkina Faso

Région(s) Afrique de l’Ouest Pays Burkina Faso

Coordinateur OUEDRAOGO R. Louis Chargé de RecherchesInstitution Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles- CRREA Centre SariaCourriel Inera.direction@fasonet.bf ;

Crsaria@fasonet.bf Téléphone 226 50 34 02 70

226 50 44 65 09% temps 20

Equipes Pays Nb chercheurs & enseignants

Total chercheurs & enseig. cherch. en équivalent temps plein

Nb étudiants en Master

Nb étudiants en Thèse

1 Dr. BELEM Mamounata Chercheur 10%3 Dr. OUADBA Jean-Marie Chercheur 10%2 Dr. MAIGA Alkasoum Enseignant 10%4 MSc.OUOBA/IMA Sidonie Chercheur 15% X5 MSc. SAWADOGO Boukaré Chercheur 15% X6 MSc. KIEMA Sébastien Chercheur 15% X7 YAMEOGO Joséphine Chercheur 15% X8 Ingr COMPAORE Pascal Chercheur 10% X9 KOURA S. Paulin Technicien sup. X10 KOALA Jonas Technicien sup. X

TOTAL 8 100% 3 4

Budget total (€) Contribution SEP Autres financements44 000 35 000 9 000

Utilisation de la contribution SEP (€)

Total Salaires Bourses Equipement Missions terrain

Autres missions

Fonctionnement hors missions

35 000 PM 8 500 9 500 7 500 6 000 3 500

Durée (années) 3 ans

PARTENARIAT

Noms des autres personnes impliquées dans ce projet

Mr, Mme

Nom Prénom Institution & Laboratoire Courriel % temps

MSc. DIALLO Adama Centre National de Semences Forestières Dial_adama@yahoo.fr 15%

Mr. HONADJA Mamadou Centre National de Semences Forestières cnsf@fasonet.bf 5%

Dr. LABAT Jean Noël Muséum National d’Histoire Naturelle labat@mnhn.fr

Pr. AKOEGNINOU Akpovi Université du d’Abomey Calavy akoegnin@yahoo.fr

Pr. AKPAGANA Koffi Université du Togo kakpagan@tg.refer.org

Pr. SAMBOU Bienvenu Institut des Sciences de l’Environnement Bienvenu_sambou@yahoo.fr

(Insérer autant de lignes que nécessaire)

DESCRIPTION

1. Contexte et justification

Le Burkina Faso suite aux résolutions de la Conférence de Rio de Janneiro en juin 1992 sur la diversité biologique et le développement durable a fait le point sur l’état de sa biodiversité et cela à mis en exergue beaucoup de faiblesses à combler, dont l’insuffisance des connaissances sur le potentiel de diversité biologique (CONAGESE/MEE, 2000). L’Herbier National du Burkina Faso compte actuellement 1350 espèces, ce qui est bien en deçà des potentialités floristiques du pays.

Une analyse statistique des quelques 16 000 spécimen de l’Herbier National du Burkina dont 50 % seulement sont montés selon les normes révèle que l’essentiel des espèces inventoriées correspondent aux zones plates du pays, d’accès facile (60 % des échantillons proviennent du Nord du pays et seulement 40% à l’Ouest, Est et Sud). Les biotopes particuliers comme les zones montagneuses, les falaises, les cascades de l’Ouest, de l’Est et le Sud du Burkina, généralement d’accès difficile et parfois protégées par la tradition, y compris les zones hydrophytiques, restent à peine touchées. En effet environ quatre vingtaines (80) de plans d’eau et de galeries ont été prospectés sur plus de 1300 plans d’eau de surface que compte le pays.

Un inventaire floristique réalisé à la Mare aux Hippopotames, Réserve de la Biosphère située à l’Ouest du pays et au niveau de deux mares sahéliennes du Nord (Oursi et Yomboli) avait permis d’enrichir l’Herbier National de 19 espèces nouvelles (OUEDRAOGO, 1994). La certitude est donc faite que l’étude approfondie des milieux aquatiques et leur zone d’influence (zones humides), des zones montagneuses, des falaises, des vallées et cascades, des sites protégés des incursions diverses de toutes sortes par la tradition, va permettre d’enrichir substantiellement la liste floristique du Burkina Faso et enrichir l’Herbier National de nouvelles espèces et les herbiers partenaires de nouveaux spécimen.

Les deux types de milieux ciblés pour la présente étude sont situés d’une part dans le climat sud-soudanien relativement humide pour les zones montagneuses et d’autre part au niveau des trois zones phytogéographiques du Burkina Faso, pour les plans d’eau et les milieux humides. Il est reconnu que la zone sud-soudanienne humide présente une grande diversité floristique, il en est de même des milieux aquatiques et leur environnement humide qui sont reconnus comme des zones refuges de la plupart des espèces dans le contexte de l’aridification croissante du climat soudano-sahélien.

Le domaine montagneux du Burkina Faso

L’essentiel du territoire Burkinabè est plat. Les régions montagneuses couvrent au Burkina une superficie de 600 000 ha environ, dans les zones sud, Sud-Ouest et Est. Le plus haut sommet est le Mont Ténakourou qui culmine à 749m. Ces zones comprennent de nombreuses vallées humides pourvues de cascades. De nombreux sites de ces zones sont souvent protégés par les traditions, ils sont sacrés, très riches en flore et jamais inventoriées à cause des interdits coutumiers.

Les milieux aquatiques et humides

Les zones humides du Burkina Faso, abritant autrefois des maladies redoutables (Trypanosomiase, onchocercose, paludisme, bilharziose..), donc donc naturellement interdites d’accès sont de nos jours des écosystèmes productifs. Elles sont des zones d’intérêt stratégique du point de vue du développement socio-économique. Leur ceinture hydrophytique conserve une très riche diversité biologique. Ces zones constituent entre autres, des biotopes favoris de l’avifaune, de l’aquafaune et de la faune terrestre. Elles couvrent une superficie comprise entre 60 000 à 200 000 en fonction de la saison et suscitent un intérêt croissant au plan national et international en matière de conservation de la biodiversité. Ce sont des pôles d’activités diverses (Tourisme, pêche, aménagement agricoles, etc..). La gestion durable de ces écosystèmes devrait contribuer à subvenir aux besoins croissants des populations tant rurales qu’urbaines.

2. Objectifs

2.1 Objectif global

Le présent projet vise comme objectif de développement, promouvoir une conservation de la diversité biologique pour sa gestion durable, à travers une connaissance exhaustive de la flore et des biotopes.

Sa réalisation participerait à une évaluation des potentialités en ressources biologiques floristiques du pays, à la connaissance des facteurs participant à la dynamique de l’évolution de ces ressources naturelles (les feux de brousse, les aménagements, la destruction des berges des cours et plans d’eau, l’invasion de certaines espèces envahissantes des plans d’eau, etc.).

2.2 Objectifs spécifiques

1. Inventorier les sites protégés par la tradition dans les régions concernées par l’étude ;2. Identifier les groupes sociaux (groupes lignagers) qui sont impliqués dans la protection

des sites sacrés et l’exploitation des ressources naturelles ;3. Connaître leur savoir-faire traditionnel dans la préservation et l’exploitation des

ressources floristiques ;4. Cerner la période d’exploitation des ressources floristiques et les raisons ;5. Déterminer les différentes destinations des produits de la flore (consommations

humaine et animale, pratiques coutumières, commerce, artisanat …) ;6. Sensibiliser et impliquer les personnes ressources et la population à la gestion durable

des ressources naturelles.7. Mettre en évidence toute la diversité floristique et la végétation des zones montagneuses et des falaises du Sud-Ouest, du Gobnangou à l’Est du Burkina Faso, des plans d’eau et milieux humides du Burkina Faso ;8. Inventorier la flore et la végétation des sites montagneux, plans d’eau et galeries forestières sacrés, avec la contribution et participation des populations concernées, dans un strict respect de leur tradition ;10. Retrouver toutes les espèces du Burkina signalées par plusieurs auteurs (HUTCHINSON, et DALZIEL, TOUTAIN, AKE ASSI, etc.) dont dépôt n’a pas été fait localement pour enrichir le patrimoine floristique et l’Herbier National.

5

11 Enrichir de manière substantielle la collection de l’Herbier National du Burkina par de nouvelles espèces, les herbiers des Universités de Ouagadougou, de Bobo-Dioulasso et du Centre National des Semences Forestières (CNSF), en partage des copies avec les herbiers partenaires du Bénin, du Ghana, du Niger, du Togo, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, et le Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris ;

12 Fournir des outils d’aide à la prise de décision (Identification des zones d’intérêt floristique pouvant faire l’objet de classement) alliant les stratégies modernes et celles valorisant les savoirs faire endogènes, pour une gestion rationnelle et durable de la biodiversité et des écosystèmes ciblés.

13 Mettre en place une base de données interconnectée sur la flore et la végétation (des zones de montagne, des falaises, des cascades et des milieux aquatiques et humides) du Burkina Faso.

14 Elaborer du matériel didactique pour la formation, l’éducation et la sensibilisation pour l’environnement, pour la jeunesse et les adultes.

3. Résumé

La conférence de Rio a donné un regain d’intérêt à la diversité biologique. Le Burkina Faso, pays sahélien y a fortement adhéré. Dans le cadre de la mise en œuvre des résolutions de la dite conférence sur la conservation de la biodiversité, un état des lieux des connaissances sur le sujet a été réalisé (Stratégie et plan d’action national sur la diversité biologique adoptés en 2000). Ce bilan a révélé que les connaissances disponibles étaient bien en deçà des potentialités du pays, notamment dans le domaine floristique. En effet 60% des spécimens récoltés et disponibles au niveau de l’Herbier National du Burkina proviennent des zones plates, d’accès facile du nord du pays. Les 40 % proviennent du reste du pays (Est, Ouest, Sud), ce qui indique une insuffisance de l’exploration du pays. Les plans d’eau qui sont plus de 1300 sont à peine touchés, soit moins d’un dixième, il en est de même des zones montagneuses. Il convient de souligner que certaines des zones humides et montagneuses ciblées par le présent projet sont sacrées, donc d’accès réglementé par des coutumes, nous privant ainsi de connaissances sur leurs potentialités. Le présent projet vise comme objectif, la réalisation d’inventaires exhaustifs de la flore et de la végétation des zones ciblées, qui sont insuffisamment explorées, afin de mettre en évidence toutes les potentialités du pays. Les inventaires prévus seront réalisés par une équipe pluridisciplinaire. Elle va allier méthodes classiques et explorer une approche participative dans l’inventaire floristique des sites sacrés dans le strict respect des savoirs et valeurs endogènes. Les résultats attendus entre autres sont un enrichissement substantiel de l’Herbier National et les herbiers partenaires, mais aussi une meilleure connaissance des différents écosystèmes ciblés et la proposition d’outils de prise de décisions en matière de conservation et de gestion durable de la biodiversité floristique.

4. Méthodologie

La stratégie pour l’étude s’appuiera sur :- Des prospections physiques et des inventaires floristiques des zones montagneuses de

l’Ouest et du Sud (Comoé, Kénédougou, Poni), de l’Est du Burkina Faso (Tapoa), les falaises du Gobnangou, seront réalisées, par des sorties sur le terrain ;

6

- Des prospections d’un échantillon significatif des 1300 plans d’eau de surface du Burkina et les zones humides attenantes  seront réalisées (20% au minimum, soit 260) ;

- Pour les inventaires dans les sites sacrés, la démarche et le plan d’intervention consisteront d’abord à une collecte et analyse des données secondaires (Données sur les sites sacrés existants, la démographie, les différentes statistiques, les monographies, SIG.).

- Il sera utilisé des ISS pour la prospection au niveau des sites traditionnels protégés par la tradition et interdits d’accès, il en sera de même pour les savoirs faire traditionnels dans la gestion des ressources naturelles.

Choix de l’approche et des outils : Après les étapes précédentes, l’approche participative préconisée est la MARP à travers les outils tels que : - les classifications préférentielles ; - la hiérarchisation des contraintes et des solutions. L’approche va privilégier l’animation, la sensibilisation et la participation active de la population. Des négociations seront entreprises auprès des populations ciblées, pour faire comprendre le bien fonder des opérations et requérir leur adhésion. La participation de la population s’exercera dans les domaines suivants : - analyse des contraintes ; - planification des activités ; - formation et valorisation du savoir local ; - réalisation des activités ; - suivi et évaluation des activités.

- Les espèces rencontrées dans ces milieux feront l’objet de récolte systématique, détermination, conditionnement, montage et rangement, pour alimenter les herbiers ; - Les sites d’inventaire seront géoréférencés par GPS, pour la confection d’une carte de distribution des espèces, grâce au logiciel ARC VIEW. Ces données pourront compléter d’autres informations dans le cadre d’une réalisation d’un SIG, utile pour le développement. - Les groupements végétaux spécifiques à ces écosystèmes seront inventoriés par les méthodes traditionnelles (Méthodes des placeaux de BRAUN-BLANQUET, améliorée par plusieurs auteurs dans l’étude de la végétation tropicale, linéaire de POISSONNET et al, 1969, etc.). Les biotopes particuliers où il sera difficile d’appliquer les méthodes sus-indiquées (Rochers, flore et végétation rhéophytiques) feront l’objet d’autres modes de relevés, comme les transects. Les relevés seront analysés à l’aide du logiciel ADE-4 ; - Les paramètres écologiques seront mesurés (Sols, facteurs climatiques, paramètres physico-chimiques de l’eau, etc.) avec un appareillage approprié (Oxymètre, pHmètre, Conductimètre, Colorimètre, etc.).- Parallèlement aux inventaires, des enquêtes ethnobotaniques auprès des dépositaires des connaissances, par des entretiens divers permettront d’identifier les espèces d’intérêt socio-économique (plantes médicinales, produits forestiers non ligneux, etc.) que renferment ces écosystèmes ;

5. Activités

Activité 1

Recherche bibliographique sur la flore et la végétation des zones montagneuses, falaises et cascades, zones protégées traditionnellement (bois sacré) et sur la flore et la végétation des plans, cours d’eau et des zones humides du Burkina Faso.

7

Activité 2

Enquêtes auprès des populations pour repérer les sites sacrés et sur leurs connaissances endogènes sur les milieux ciblés (zones montagneuses et zones humides sacrées) de l’Est, de l’Ouest et le Sud du Burkina, négociations pour requérir leur adhésion et participation aux inventaires.

Activité 3

Enquête socio-économique dans les villages limitrophes des montagnes et des plans d’eaux, et les sites objets de culte.

Activité 4

Synthèse : traitement et analyse des données recueillies sur les deux types de milieux.

Activité 5

Prospection de l’ensemble des zones montagneuses du Sud-Ouest, des falaises du Gobnangou à l’Est (Tapoa et Kompienga), les zones des cascades de Syndou et de Karfiéguéla dans les provinces du Kénédougou et de la Comoé et inventaire de la flore et de la végétation rencontrées.

Activité 6

Prospection et inventaire de la flore et de la végétation d’un échantillon de 20 % des plans d’eau, soit 260 environ.

Activité 7

Evaluation des zones présentant un intérêt floristique apparent plus ou moins évident.

Activité 8

Evaluation de certaines espèces d’intérêt socio-économique pour les populations

Activité 9

Collecte de diaspores sur les peuplements intéressants et pouvant abriter des banques de gènes pour les besoins du Centre National de Semences Forestières. .Activité 10

Tests de germination de certaines diaspores des espèces présentant des problèmes de régénération naturelle

8

Activité 11

Traitement et analyse des données.

Activité 12

Détermination, traitement et montage des spécimens végétaux récoltés sur le terrain, conservation et échanges des copies avec les herbiers partenaires.

Activité 13

Introduction ex-situ d’espèces dans le jardin botanique du CNRST et l’Arboretum de la Station de recherche de Saria.Activité 14

Conditionnement et conservation des graines d’espèces forestières intéressantes dans la banque de semences forestières (CNSF).

Activité 15

Synthèse des résultats obtenus,- Rédaction d’un rapport final,- Rédaction d’articles scientifiques,- Rédaction de fiches techniques de vulgarisation,- Réalisation d’une base de donnée et son interconnexion,- Réalisation de matériels didactiques pour l’Education, Environnementale (Manuels,

Documentaires, posters, etc.).

6. Résultats attendus

R 1 – Une approche participative d’inventaire a été testée avec succès ;

R. 2- Les zones ciblées dans le projet ont toutes été prospectées et inventoriées ;

R.3 - La flore, la végétation et les écosystèmes des zones ciblées (Zones montagneuses, falaises, cascades, et plans d’eau et zones humides) sont bien connus ;

R. 4 – L’étude met en exergue les principales contraintes des milieux prospectés et propose des mode de gestion ;

R. 5 – L’Herbier National est sensiblement enrichi en spécimens et nouvelles espèces du Burkina, il en est de même des herbiers partenaires.

R. 6 – Des espèces sont proposées pour une conservation ex-situ dans le jardin botanique du CNRST et l’Arboretum de la Station de recherches de Saria ;

R. 7 – La banque de gènes du CNSF est enrichie de nouvelles semences forestières ;

9

R. 8 – Une base de données sur la flore et la végétation (zones montagneuses, des falaises, des cascades, des milieux aquatiques et humides) du Burkina est constituée et est opérationnelle ;

R.9 – La banque de donnée créée est connectée et est opérationnelle

R. 10 – Du matériel didactique pour l’information l’éducation et la communication est élaboré et mis en vulgarisation

7. Indicateurs mesurables de succès du projet

Une liste de la flore inventoriée est disponible ;Un répertoire de plantes d’intérêt socio-économique et médicinales existe (Liste de

Plantes médicinales pour les besoins de l’Institut de Recherche en Science de la Santé et d’autres usagers) ;

Des documents (Rapports, articles scientifiques, fiches techniques) sur les principaux groupements et sous-groupements végétaux des écosystèmes étudiés existent ;

Différents rapports du suivi–évaluation du déroulement du projet existent et sont consultables ;

Au moins 4 articles sont publiés sur la flore et la végétation des zones étudiées dans une revue internationale à grande diffusion (Bulletin de l’IFAN, Annales de l’ABAO, Journal du Jardin Botanique de Meize, Bruxelles, Revue de l’Université de Moncton, Sciences et Techniques.CNRST. )

Au moins 4 fiches techniques de vulgarisations sont publiées ;

Un ouvrage (Guide des plantes des milieux particuliers) et un documentaire de sensibilisation et d’éducation environnementale sont réalisés et mis en vulgarisation ;

Une liste de spécimens et de nouvelles espèces rencontrées dans les milieux sont déposés au niveau de l’Herbier National et des échanges réalisés avec des herbiers partenaires (Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris ; Centre de floristique de Côte d’Ivoire ; Herbier du Niger ; Herbier du Bénin ; Herbier de l’ISE de Dakar ; Herbier de l’Université de Lagon au Ghana.) et cela peut être vérifié par les échanges de courriers ;

Des copies de la base de données sont disponibles ;

Une connexion internet opérationnelle est installée et permet à la base de donnée de l’Herbier d’être visitée.

10

Annexe I   : Indicateurs, source de vérification et hypothèse pour les objectifs spécifiques

OBJECTIFS SPECIFIQUES INDICATEURS SOURCES DE VERIFICATION

SUPPOSITIONS

Objectifs spécifiques 1- Connaissance de la flore, de la végétation et des écosystèmes des zones montagneuses et des falaises du Sud-Ouest, du Gobnangou à l’Est du Burkina Faso, des plans d’eau et des zones humides.

- Un rapport sur l’état de la diversité biologique et de la végétation existe ;- Les milieux ciblés sont caractérisés et des rapports existent ;

Rapport d’étapes, de fins de projet, fiches techniques, publication

Le projet a obtenu un financement

Objectifs spécifiques 22 Inventorier la flore et la végétation des sites

montagneux, plans d’eau et galeries forestières sacrés, avec la contribution et participation des populations concernées, dans un strict respect de leur tradition ;

- Un rapport sur l’état de la diversité biologique et de la végétation existe ;- Les milieux ciblés sont caractérisés et des rapports existent ;

Rapports, publications, fiches techniques. Les activités de recherches ont pu être

conduites

Objectifs spécifiques 3Retrouver toutes les espèces du Burkina signalées par plusieurs auteurs (HUTCHINSON et DALZIEL, AKE ASSI, etc.) dont dépôt n’a pas été fait localement pour enrichir le patrimoine floristique et l’Herbier National.

- Des sites de grand intérêt sont répertoriés ; Rapport d’étapes, de fins de projet, fiches techniques, publication

Un financement est acquis

Objectifs spécifiques 4Enrichir la collection de l’Herbier National du Burkina et les autres herbiers, en partage avec les herbiers partenaires (Bénin, du Ghana, du Niger, du Togo, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire, et le Muséum National d’Histoire Naturelle de Paris).

- Un dépôt est fait au niveau de l’Herbier National ;- Des échanges et dons sont réalisés avec les herbiers partenaires ;-

Rapport d’étapes, de fins de projet, fiches techniques, publication

Le projet a obtenu un financement

Objectifs spécifiques 5Fournir des outils d’aide à la prise de décision, alliant les stratégies modernes et celles valorisant les savoirs faire endogènes, pour une gestion rationnelle et durable de la biodiversité et des écosystèmes ciblés.

- Des sites de grand intérêt sont répertoriés ;- Liste de la flore d’intérêt socio-économique ;- Listes des groupements végétaux ;- Liste des vergers à semences forestières

Rapports, publications, fiches techniques. Les activités de recherches ont pu être

conduites

Objectifs spécifiques 6Mettre en place une base de données interconnectée sur la flore et la végétation (montagnes, falaises, cascades et des zones humides) du Burkina Faso.

-Une base de donnée sur les résultats de l’étude existe ;- La base de données est connectée au reste du monde ;- La base de données est opérationnelle ;

Rapports. Un financement est acquis

Objectifs spécifiques 7Elaborer du matériel didactique pour la formation et la sensibilisation pour l’environnement, pour la jeunesse et les adultes.

- Du matériel didactique pour l’information, la formation et la sensibilisation pour l’environnement existe

Rapport, documentaires, posters Le projet a obtenu un financement

11

Tableau 2 : Planning des Activités

ACTIVITES2008 2009 2010

1. Démarrage du projet xx2. Recherche bibliographique sur la flore et la végétation des zones montagneuses, falaises et cascades, zones protégées traditionnellement et sur la flore et la végétation des plans, cours d’eau et des zones humides du Burkina Faso.

xx xx

3. Enquêtes auprès des populations sur leurs connaissances endogènes sur les milieux ciblés, notamment les zones montagneuses sacrées de l’Est et de l’Ouest.

xx

Enquête socio-économique dans les villages limitrophes des montagnes et des plans d’eau, objets de culte et autres. xx4. Prospection dans l’ensemble des zones montagneuses du de l’Ouest, des falaises du Gobnangou à l’Est, et du Sud du Burkina et inventaire de la flore et de la végétation.

xx xx xx

5. Détermination et montage des espèces végétales récoltées sur le terrain et collection dans les herbiers. xx xx xx

6. Catégorisation des formations végétales et collecte de diaspores. xx xx

7. Enquête auprès des populations des zones concernées, contraintes liées au classement de certaines zones ciblées. xx xx

8. Tests de germination sur les diaspores d’espèces présentant des problèmes de régénération naturelle. xx xx

9. Introduction d’espèces vivantes dans le jardin botanique et l’arboretum. xx xx

10. Conditionnement et conservation des graines d’espèces forestières intéressantes dans la banque de semences forestières (CNSF).

xx xx

11. Création d’une base de données sur la flore et la végétation et son interconnexion xx

12. Rédaction d’articles scientifiques.Réalisation de matériels didactiques pour la formation, la sensibilisation et l’information pour l’environnement (Manuels, Documentaires, posters, etc.

xx xx

12

DÉPENSES ET BUDGET

Budget général

Partenaire / Catégorie de dépense Montant total (€) Contribution de Sud Expert Plantes (€)

Institution :DPF/INERAMissions terrain 10 000 6 000Equipement informatique 6 850 5 850Equipements (Ap. photo, Papier) 7 000 6 000Formations 8 500 6 500Mission extérieures 6 000 4 000Communication 500 1 500Partenaire 1 : Centre National de Semences ForestièresMission terrain 3 000 3 000Fournitures 1450 1 450Communication et rapports 700 700Total 44 000 35 000

Dépenses annuelles sur la contribution Sud Expert Plantes

Partenaire Contribution de Sud Expert Plantes (€)Année 1 Année 2 Année 3

Institution :Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles 9 650 12 000 9 400Partenaire 1 1 400 1 400 1 600Total 11 050 13 400 11 000

13

SIGNATURES

Titre Flore, végétation et biodiversité des zones montagneuses, humides ordinaires et sacrées du Burkina Faso

Thème Connaissance du patrimoine biologique et culturelMots clés Biodiversité floristique, Montagnes, Zones humides, Valorisation des connaissances

endogènes, Burkina Faso

Région(s) Afrique de l’Ouest Pays Burkina Faso

Coordinateur OUEDRAOGO Rayaissom Louis Chargé de RechercheInstitution Institut de L’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA)

Nom et fonction du responsable habilité de l’institution porteuse du projet :Pr. KONATE Gnissa Directeur de RecherchesChevalier de l’Ordre NationalChevalier de l’Ordre International des Palmes Académiques

Date, signature et cachet

Nom et fonction du Chef de projetDr. OUEDRAOGO Rayaïssom LouisChargé de RecherchesChevalier de l’Ordre National

Date et signature

14

BIBLIOGRAPHIE DES ÉQUIPES IMPLIQUÉES RELATIVE AU PROJET

OUEDRAOGO R. L., GUINKO S., WITTIG R., 2005. - Etude de la flore et de la végétation aquatique et semi-aquatique de la Mare aux Hippopotame et des mares d’Oursi et de Yomboli. U. de Franckfort/U. de Ouagadougou

OUEDRAOGO R.L., 2004 – Les Plantes envahissantes et solutions envisageables pour leur contrôle CTR Nord-Ouest (Di) INERA/CNRST. 15p.

OUEDRAOGO R.L., DABIRE R., OUEDRAOGO O, BELEM M. 2004 Problématique du contrôle de Eichhornia crassipes ou jacinthe d’eau dans les pays du Sahel. Congrès de l’Association Africaine de l’Eau Accra- Fév. 2004 17p.

OUEDRAOGO R.L., 2002 – Les Plantes aquatiques envahissantes et solutions envisageables pour leur contrôle : Atelier Régional des Décideurs sur la gestion durable des zones humides UICN/BRAO Kompienga Juin 2002

OUEDRAOGO R.L. ; PODA J.N. et DA S. 2001. - Végétation aquatique et population de Bulinus globosus Morelet, 1866, dans la Mare aux Hippopotames au Burkina Faso. Science et Technique, Sc. Nat. et Agronomie. Vol. 28 n°3 111-126.

OUEDRAOGO R.L., 2000 – La valeur économique des zones humides UICN Mission Nationale Décembre 2001

OUEDRAOGO R.L., GANABA S. 1996/1999. – Impact de l’inondation sur la dynamique de la végétation ripicole de la mare sahélienne d’Oursi (Burkina Faso). Bulletin de l’IFAN Ch. A. DIOP tome 50, série A. n°1.

OUEDRAOGO R.L., GUINKO S., BOGNOUNOU O. ; BELEM, M. 1998/1999.--Etude de la dynamique de la végétation aquatique et semi-aquatique, de la Mare aux Hippopotames au Burkina Faso. Sciences et Techniques, Sc. Nat. Vol. 23, n°2pp.44-56.

OUEDRAOGO R.L. ; PODA J.N. et GUINKO, S. 1999. – Etude préliminaire à la mise au point d’une technologie de lagunage à macrophytes aquatiques pour les villes moyennes (Burkina Faso). Ann. De l’Uni. De Ouagadougou, série B, Vol.VII, 1999. pp.303-319.

OUEDRAOGO R.L., GUENDA W., GUINKO S. -- 1999. - La végétation aquatique et semi-aquatique des plans d’eau de la ville de Ouagadougou Bulletin de l’IFAN Ch. A ; DIOP. Tome 50, série A.

OUEDRAOGO R.L., GANABA S. 1996/1999. – Impact de l’inondation sur la dynamique de la végétation ripicole de la mare sahélienne d’Oursi (Burkina Faso). Bulletin de l’IFAN Ch. A. DIOP tome 50, série A. n°1.

OUEDRAOGO R.L., GUINKO S.1998.-- Biodiversité de la flore aquatique et semi-aquatique au Burkina Faso, Worhshop sur Flore, Végétation et Biodiversité au Sahel. UCAD/FAST/ISE, Dakar. Pp. 259-273**.

OUEDRAOGO R.L., DABIRE R., OUEDRAOGO M., BELEM M., BOGNOUNOU O. 1998.--Integrated management of water hyacinth Eichhornia crassipes (Mart) Solm. Laub. In Burkina Faso.

15

Communication in the First Global Working Group Meeting for Biological and Integrated Control of Water Hyacinth / IOBC. Harare – Zimbabwe pp 99 -111.

OUEDRAOGO R.L. 1996. – La propagation de la jacinthe d’eau au Burkina Faso, une menace pour l’environnement. Communication au Forum National de la Recherche Scientifique et des Innovations Technologiques. Actes du 2è FRSIT CNRST Tome 2 PP 106-111.

OUEDRAOGO R.L., KABRE G., ZONGO F., GENDA W 1994. – Ecologie et Biodiversité des zones humides du Burkina Faso. Communication à l’Atelier sur les Zones Humides du Burkina Faso. UICN. Gland Suisse. Pp 81-112.

REDACTION ET EDITION D’OUVRAGES DE VULGARISATION

Livre 1 : Aspects hydrobiologiques et piscicoles des retenues d’eau en zone soudano-sahélienne Etude des Conditions physico-chimiques et biologiques des retenues d’eau du Burkina Faso. Etienne BAIJOT, Sana BOUDA, Louis R. OUEDRAOGO. 1994.-- PP. 37-64 et Annexes 235-238 CTA/CEE.

16

BIBLIOGRAPHIE GÉNÉRALE RELATIVE AU PROJET

BADO J.B. (1991) : Approches et méthodes dans la gestion des ressources naturelles par l’auto-promotion, rapport final de l’atelier régional de Kongoussi, Tome 1 et 2, 110 P.

CEA B. (2006) : plantes médicinales et pharmacoopées : impact de l’exploitation des plantes médicinales sur la réserve de Biosphère de la mère aux hippopotames.

CLOUET Y. (1990) : Formation à la recherche-développement : l’approche système et la gestion des ressources naturelles, rapport de stage, 191 P.

DIBLONI T (2007) : ethnozoologie appliquée à la réserve de la biosphère de la mare aux hippopotames dans la province du Houet en zone sud soudanienne du Burkina Faso.

FAURE A. (1992) : L’approche gestion des terroirs au Burkina Faso, PP. 26-27

KABORE T. (2007) : Volet pêche à la mare aux hippopotames : les indicateurs de suivi de la dynamique et de l’exploitation des populations piscicoles, IDR Bobo-Dioulasso.

KOULA N. (1999) : Gestion des terroirs et gestion des ressources naturelles de l’ouest et du sud-ouest du Burkina Faso, 10 P.

OUEDRAOGO B. ( 2006) : Les galeries forestières de la Réserve biosphère de la mare aux hippopotames du Burkina Faso : caractérisation, dynamique, importance ethnobotanique et gestion participative, thèse de 3è cycle.

SAKANDE : Suivi de l’exploitation des produits ligneux au niveau de la Réserve de Biophère de la mare aux hippopotames.

TOURE K. (2006) : Ecotourisme dans la Réserve de Biosphère de la mare aux hippopotames, état des lieux et perspectives.

TUINA : Valorisation de l’apiculture améliorée au niveau de la Réserve de Biosphère de la Mare aux Hippopotames : enjeux et perspectives.

UCF/H.B. (2006) : Plan de gestion de la Réserve de Biosphère de la mare aux hippopotames.

YAMEOGO U. (1999) : Contribution à l’étude du feu comme outil de gestion des aires protégées : cas des feux tardifs dans le ranch de gibier de Nazinga, 118 P.

MAIGA A. (2007) : «Etude socio-économique des producteurs partenaires à la recherche», Les cahiers du Centre de Recherches en Lettres Sciences Humaines et Sociales (CERLESHS), n° 27.

MAIGA A. (2007) : «Pour un développement durable : culture locale et organisations paysannes comme alternative aux approches classiques.», Les cahiers du Centre de Recherches en Lettres Sciences Humaines et Sociales (CERLESHS), n° 26 pp 301-319 MAIGA A. (2006) : «Usages des ressources naturelles dans le Noumbiel (Burkina Faso). Approche sociologique de l’émergence des conflits et des instances locales de régulation.», 2006, Revue de l’Université de Moncton, Vol. 37, n° 1, pp 51-78

17/28

M. KIEMTORE, J. N. TRAORE/GUE, A. MAIGA, J. S. ZOUNDI, (2005) : «Logiques d'intérêts socio-économiques et participation paysanne à la gestion des ressources naturelles dans le terroir de Ziga», Sciences et Techniques, Sciences naturelles et agronomie, Spécial Hors série n° 1, Ouagadougou, pp. 117-128,

MAIGA A. (2000) : «Les organisations paysannes comme espace de voisinage et champ conflictuel. Approche polémologique de l’environnement rural villageois», Sciences et techniques, 2000

MAIGA A. «La marginalisation des Organisations Paysannes (OP). Analyse des conditions de politisation et de syndicalisation du mouvement paysan au Burkina Faso», à paraître in Revue Vertigo

18/28

CURRICULUM VITAE DES CHERCHEURS ET ENSEIGNANTS-CHERCHEURS

19/28

CURRICULUM VITAE 01

Nom et Prénoms : Dr. OUEDRAOGO Rayaïssom Louis : Coordonnateur du ProjetDate de naissance : 31/12/1950Profession actuelle : Chercheur phyto-écologue ; Chargé de Recherches Chevalier de l’Ordre national

Chef de la Région de Recherches du Centre (CRREA-CENTRE) Station de Saria BP 10 Koudougou Province du Boulkiemdé

Burkina Faso Tél. Serv. 226 50 44 65 09 / 50 44 65 10

1. FORMATION – DIPLÔMES Thèse d’Etat en cours1994 : Doctorat de 3ème Cycle - Université de Ouagadougou 1990 : Diplôme d’Etudes Approfondies Université de Ouagadougou1990 : Certificat d’Aptitude à l’Enseignement du Second Degré INSE - Université de Ouagadougou

2. EXPERIENCE PROFESSIONNELLE

2.1 DANS LA RECHERCHE

Domaine de spécialisation : Biologie et Ecologie Végétales Grade dans la fonction de chercheur : Chargé de Recherche

2.2 FONCTIONS ACTUELLES 

- 1997-2006(Actuelle) Chef du Centre Régional De Recherches Environnementales et Agricoles du Centre/Saria, Koudougou.- Chercheur/Coordonnateur du Projet de Contrôle Intégré de la Jacinthe d’eau au Burkina Faso depuis 1998.

2.3 DANS UN AUTRE ORDRE DE RECHERCHE

- Membre de l’Association des Botanistes de l'Afrique de l’Ouest (A.BA.O)- Membre de l’Association Burkinabè pour la sauvegarde de l’Environnement (ABUSE).- Président du Groupe de spécialistes de la flore aquatique (Sous Groupe de l’ABAO)

2.4 DANS UNE INSTITUTION D’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR

Membre du Groupe de Spécialistes de l’utilisation durable des espèces (UICN) ;Membre du réseau des experts de l’UICN pour une gestion durable des Ecosystèmes ;Membre et Vice Coordonnateur des activités du Comité MAB-Burkina Faso ;

2.5 FONCTIONS ANTERIEUREMENT EXERCEES

1997/1999 : Chef du Programme Protection des Ressources Forestières du Département Productions Forestières de l’INERA/CNRST ;Coordonnateur du Projet de Renforcement des Capacités Scientifiques au Sahel (RCS – Sahel) (1993-1996) ;

3 . ETUDES ET PUBLICATIONS

3. 1 THESE OUEDRAOGO, R.L. –1994.-- Etude de la végétation aquatique et semi-aquatique de la Mare aux Hippopotames et des mares d’Oursi et de Yomboli. Thèse de Doctorat de 3è Cycle. Université de Ouagadougou.

20/28

3.2 ARTICLES ET COMMUNICATIONS DIVERSES

OUEDRAOGO R. L., GUINKO S., WITTIG R., 2005. - Etude de la flore et de la végétation aquatique et semi-aquatique de la Mare aux Hippopotame et des mares d’Oursi et de Yomboli. U. de Franckfort/U. de Ouagadougou

OUEDRAOGO R.L., DABIRE R., OUEDRAOGO O, BELEM M. 2004 Problématique du contrôle de Eichhornia crassipes ou jacinthe d’eau dans les pays du Sahel. Actes du FRSIT/CNRST Ouagadougou. 2004

OUEDRAOGO R. L., GUINKO S., GUENDA, W., 2001 : Etude des Associations et Groupements végétaux aquatiques et semi-aquatiques des plans d’eau de la ville de Ouagadoudou. Bulletin de l’IFAN Ch. A. DIOP tome 50, série A. n°1.

OUEDRAOGO R.L. ; PODA J.N. et DA S. 2001. - Végétation aquatique et population de Bulinus globosus Morelet, 1866, dans la Mare aux Hippopotames au Burkina Faso. Science et Technique, Sc. Nat. et Agronomie. Vol. 28 n°3 111-126.

OUEDRAOGO R.L. ; PODA J.N. et GUINKO, S. 1999. – Etude préliminaire à la mise au point d’une technologie de lagunage à macrophytes aquatiques pour les villes moyennes (Burkina Faso). Ann. De l’Uni. De Ouagadougou, série B, Vol.VII, 1999. pp.303-319**

OUEDRAOGO R.L., GUINKO S., BOGNOUNOU O. ; BELEM, M. 1998/1999.--Etude de la dynamique de la végétation aquatique et semi-aquatique, de la Mare aux Hippopotames au Burkina Faso. Sciences et Techniques, Sc. Nat. Vol. 23, n°2pp.44-56**.

OUEDRAOGO R.L., GANABA S. 1996/1999. – Impact de l’inondation sur la dynamique de la végétation ripicole de la mare sahélienne d’Oursi (Burkina Faso). Bulletin de l’IFAN Ch. A. DIOP tome 50, série A. n°2

OUEDRAOGO R.L., DABIRE R., OUEDRAOGO M., BELEM M., BOGNOUNOU O. 1998.--Integrated management of water hyacinth Eichhornia crassipes (Mart) Solm. Laub. In Burkina Faso. Communication in the First Global Working Group Meeting for Biological and Integrated Control of Water Hyacinth / IOBC. Harare – Zimbabwe pp 99- 111 .

PODA J.N, OUEDRAOGO S., OUEDRAOGO R.L.1996.-- Gestion durable des Ressources Naturelles et Agro-Forestièrse – Communication au séminaire de synthèse du projet RCS – Sahel Nouakchott 20-25 avril 1996 UNESCO/MAB/INSAH.

4 . CONSULTATIONS ET EXPERTISES NATIONALES ET INTERNATIONALES DIVERSES

- OUEDRAOGO R. Louis 2005. – Etude d’impact sur l’environnement de la mine d’or de Essakane. SOCREGE (Burkina Faso).

- OUEDRAOGO R. Louis 2005. – Notice d’impact sur l’environnement de la réalisation de 10 boulis au Sanmatenga. MED/SG/PDL-S/ GRAD-CONSULTING GROUP (Burkina Faso).

- OUEDRAOGO R. L. ; COGELS X .F. DIEME C. 2002/2003 : Etude pour la Restauration du Réseau Hydraulique du Bassin du fleuve Sénégal, volet Biodiversité et Espèces aquatiques envahissantes : Etude de la flore et de la végétation aquatiques OMVS/SOGEG/AGRER Saint-Louis (Sénégal).

Fait à Saria / Koudougou, le 21 Novembre 2006

Dr. OUEDRAOGO Rayaïssom LouisChevalier de l’Ordre National

21/28

CURRICULUM VITAE 02

Dr. Mamounata BELEM Coordonnatrice de l’Equipe

Botaniste/EthnobotanisteInstitut de l’Environnement et de Recherches/Département Productions ForestièresDate/lieu de Naissance : 26 mars 1960, Burkina FasoNationalité : Burkinabè

EXPERIENCEDe août 1993 à ce jour : Chercheur en Botanique/Ethnobotanique et Education EnvironnementaleInstitut de l’Environnement et de Recherches Agricoles/Département Productions Forestières, Burkina FasoDr BELEM a 13 ans d’expérience en foresterie et recherches en sciences Environnementale orientées sur la protection des ressources e la promotion des produits forestiers non ligneux. Elle a conduit plusieurs inventaires floristiques dans différents écosystèmes du Burkina Faso. Elle a un intérêt particulier sur la dynamique des galeries forestières.Elle est aussi associée comme scientifique à beaucoup de projets comme :

- IDRC Biodiversity project où elle travaille sur où elle travaille sur les savoirs traditionnels Desert Margin Program où elle travaille sur les savoirs traditionnels et sur les forêts sacré sacrées ;

- In Situ Project about agricultural biodiversity où elle travaille sur les savoirs traditionnels sur la sélection variétale des cultures ;

- Depuis 2003, elle siège comme Rxpert dans le groupe d’Experts PANA chargés d’élaborer le PANA sur les changements climatiques au Burkina Faso.

QUALIFICATION ACADEMIQUE

Doctorat Es Sciences en préparation à l’Université de Ouagadougou sur le thème « Structure, Dynamique et importance ethnobotanique des forêts galeries de la Bisosphère of Mare aux Hippopotames du Burkina Faso »Doctorat 3è cycle à l’Université de Ouagadougou sur le thème « Contribution à l’étude de la flore et de la végétation de la forêt classée de Toéssin, Province du Passoré » en 1993.

PROJETS FINANCES1. Contrat CONEDD/PANA n° 00038990 du 18/10/2005 pour l’étude de la vulnérabilité et de l’adaptation aux

changements climatiques dans la région du Centre Nord du Burkina Faso2. Financement REAGA, Institut Nord-Sud Canada pour l’étude de « Impact de la dévaluation du franc CFA sur le bien

être des hommes et des femmes de Mogtédo, Burkina Faso, en 1999.3. Bourse UNESCO en 1991 pour l’inventaire floristique des galeries forestières du Kou et de la Réserve de Biosphère

de la Mare aux Hippopotames.

PUBLICATIONSBELEM O. M., SANOU M., 2006 – Evaluation de la vulnérabilité et des capacités d’adaptatrion des populations au changement climatique dans le Centre Nord du Burkina Faso. Rapport CONEDD/PANAABEGG C., BAYALA J., BELEM O. M., 2005 – Facteurs socio-économiques influençant la biodiversité ligneuse des parcs agroforestiers de deux village du plateau central du Burkina Faso, Journal Forestier Suisse, PP 17-23PP.SAWADOGO M., OUEDRAOGO J., BELEM O. M., 2005 – Influence of ecosystem components on cultural pratices affecting the In situ conservation of agricultural biodiversity, Plants genetic Ressources Newletter, N° 141 : 19-25.BELEM O. M., Sita GUINKO, 2002 – Diversité Florsistique de deux forêts galeries de la réserve biosphère de la mare aux hippopotames, Burkina FasoAETFAT, Journal du Jardin Botanique de Meize, BruxellesBELEM O. M., AKE ASSI L. 2002 – Clé de détermination pratique de 13 Asteraceae adventices communes à la Côte d’Ivoire et au Burkina Faso Journal des Sciences de Dakar.

Fait à Ouagadougou le 14 décembre 2006Mamounata BELEM

22/28

CURRICULUM VITAE 03

CURRICULUM VITAE RESUME DE PERSONNEL SPECIALISENom de famille : Prénom : Téléphone :Pr. OUADBA Jean Marie (00226) 50 33 40 98Adresse : 04 BP 8645 Ouagadougou 04, Burkina Faso

Citoyenneté : Champ d’expertise :

Gestion des zones humides (au sens de IUCN et de Ramsar) Applications de la Télédétection et SIG Suivi écologique de la végétation naturelle (remontée biologique) Ecologie et biodiversité (en particulier étude des forêts sacrées) Agroforesterie (parcs agroforestiers traditionnels en particulier)

Formation : Ecologie et aménagement des milieux naturels Doctorat de 3ème cycle, Toulouse (France), 1983. Doctorat d’Etat es Sciences Naturelles, Ouagadougou (Burkina Faso), 2003.

Employeur actuel et postes occupés :- Ministère des Enseignements Secondaires, Supérieurs et de la recherche Scientifique- Centre National de Recherche Scientifique et Technologique (CNRST)- Institut de l’Environnement et de Recherches Agricoles (INERA)- Chef du Département Productions Forestières : Maître de Recherche Expérience pertinente : (résumé de compétences et de l’expérience qui seraient utiles et qui s’appliqueraient à ce projet)Depuis 1983, j’ai fait l’option dans mon cursus universitaire d’aménagiste des milieux naturels. A partir de là, mes compétences en biogéographie et aménagement ont été mises au service de programmes et projets ayant pour objectifs la gestion rationnelle des ressources naturelles. Outre mes activités de recherche liées aux domaines de l’écologie, de la télédétection des ressources naturelles et cartographie, la gestion des ressources naturelles et des terroirs occupent une place prépondérante dans mes expériences. En particulier, j’ai apporté d’importantes contributions à la compréhension de la problématique de la gestion des ressources en eau au Sahel et au Burkina Faso. Ces contributions ont porté entre autres sur l’élaboration de programmes de protection des plans d’eau, l’analyse des problèmes de gestion des ressources en eau et l’identification de stratégies de développement durable. Depuis 2001, je participe à un programme de recherche collaboratif avec l’université suédoise à Umea sur l’utilisation de la télédétection dans l’analyse de la problématique de l’occupation des sols et l’utilisation des ressources naturelles. Les travaux de cette collaboration concernent entre autres : l’aménagement du territoire et SIG, et la socioéconomie des ressources naturelles y compris la dimension Genre.

23/28

Liste pertinente des publications et exposés, s’il y a lieu :  Ouadba, J.M., Lamizana, B. 1999. La problématique de la gestion des ressources en

eau du complexe écologique Guinguette/Vallée du Kou au Burkina Faso. IUCN-BRAO. 13th Global Biodiversity Forum. San José, Costa Rica. Mai 1999.

Acreman, M., Ouadba, J.M., Bergkamp, G. et Pirot, J.Y. 1998. Guidelines for the sustainable management of sahelian floodplains. 2ème Conférence internationale sur les Zones Humides, Wetland International/IUCN. Dakar, Sénégal. Novembre 1998.

Ouédraogo, M. et Ouadba, J.M. 1998. Le lac du barrage de Bagré : Quelle stratégie pour un développement durable ? 2ème Conférence Internationale sur les Zones Humides, Wetlands International/IUCN. Dakar, Sénégal. Novembre 1998.

Ouadba, J.M. 1997. Introduction to inland water systems and biodiversity in arid lands with special reference to sahelainfloodplains. IUCN-BAD. SBSTTA. 3rd Global Biodiversity Forum (GBF8). Workshop on “Inland water systems and biodiversity”. Montréal, Canada. Août 1997.

Bognounou, O., Ouadba, J.M. et Poda, J.N. 1992. Elaboration d’un programme de protection des plans d’eau, des berges et des forêts ripicoles. Plan National d’Action sur l’Environnement (PANE). CNLD/Banque Mondiale. Rapport.

Ganaba S., Ouadba J.M., Bognounou O., 2000 - Sélection des ligneux épargnées dans les champs de cultures en région sahélienne du Burkina Faso. Annales Science et Technique, Sciences naturelles et agronomie, Vol. 24 (1), 2000,125-142.

Ganaba S., Ouadba J.M., Bognounou O., 2005 – Exploitation traditionnelle des végétaux spontanés en région sahélienne du Burkina Faso. VertigO, Vol 6 n° 2, septembre 2005.

Bognounou O., Ouadba J.M., Poda J.N., 1994 : Les aspects globaux des zones humides du Burkina Faso. In compte rendu du séminaire Zones Humides du Burkina Faso. Sous la Direction de L. SALLY et al. Programme Zones Humides de l'UICN.

Associations (membership) Membre et Président du Comité de Coordination du réseau d’Experts sur les Plaines

d’Inondation Sahélienne (SAWEG) Membre du réseau SALWA Membre de la Commission des Ecosystèmes de l’IUCN.

Langues parlées, écrites et lues : Français : Parlé, écrit et lu (Excellent)Anglais : Parlé et écrit (Moyen), lu (Bon)Précisez les activités et le volet du projet sur lesquels vous allez participer.

Coordination scientifique et technique des activités du projet Gestion administrative du projet Organisation des ateliers et capitalisation des résultats des actes d’ateliers Traitement des imageries satellitaires, photo-aériennes et de la cartographie Etude de la biodiversité

J’accepte par les présentes de travailler au projet ci-dessus avec le soumissionnaire en conformité avec les modalités du projet.

Pr. OUADBA Jean Marie

24/28

CURRICULUM VITAE 04

Mme Sidonie Aristide IMA / OUOBA MSc. En sociologie oct. 1991 (U.S.H.S France)Née le 14/04/1963 à OUAGADOUGOU

Fonction

- Chercheur à’ l’Institut de l’Environnement et de Recherche Agricole- Spécialité en sociologie du développement rural. - Travaille en équipe pluridisciplinaire composée d’un zootechnicien, d’un pastoraliste, d’un nutritionniste, d’un économiste, d’un forestier, d’un généticien, d’un vétérinaire et d’un agronome

Attributions

Mes Attributions spécifiques sont : identifier les opportunités et les contraintes de production, les besoins des producteurs, information et sensibilisation des populations rurales ; élaboration, exécution et suivi/évaluation des activités de recherche et rédactions de rapports d’activités. Pour cela, différentes approches sont utilisées  : la MARP, les entretiens de groupe-focus, l’approche individuelle (les enquêtes formelles) et des observations sur le terrain. Je participe également à la planification et à la programmation des activités de recherche.En plus de ces attributions, j’encadre des stagiaires de l’Université de Ouagadougou et ceux de l’ENESA.

J’ai une expérience professionnelle de 17 ans dont   : 10 ans à l’INERA (je suis employée depuis 1996) ; 7 ans (de 1989 à 1996) avec des bureaux d’études (CTS en France ; PROMAGRI ; A.R.C ; GAUFF

INGENIEUR ; SAHEL/CONSULT et BERA).

Mes connaissances informatiques sont : Word, Excel, SPSS et Internet

Je parle plusieurs langues (voir tableau ci-dessous)

Langue Lu Ecrit ParléFrançais Excellent Excellent ExcellentAnglais Bon Bon MoyenAllemand Moyen Moyen Faible

Article publié :

Meilleure connaissance socio-économique des femmes qui s’investissent dans l’élevage de porcs dans la province du SANGUIE, in CERLESHS/Université de Ouagadougou, n° 27, janvier 2007

Articles en cours : Impact des activités socio – économiques sur la durabilité des plans d’eau dans la région de l’Est du

Burkina Faso. Impact social et culturel de l’amélioration de l’élevage porcin à Réo (province du Sanguié) ;

MSc Sidonie Aristide IMA / OUOBAIngénieur de Recherches

25/28

CURRICULUM VITAE 05

NOM  : SAWADOGOPRENOM : BoukaréDATE DE NAISSANCE : 16/08/1959SITUATION MATRIMONIALE : MariéDIPLOMES OBTENUS

1990 : Master of Science en économie (Ingénieur Agro-économiste)1983 : Baccalauréat, série « B » (Economique et Sociale)1978 : Brevet d’Etudes du Premier Cycle (B.E.P.C.)1974 : Certificat d’Etudes Primaires Elémentaires (C.E.P.E.)

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES1990 : Participation à la réalisation d’une étude socio-économique sur le milieu artisan

1991 : Stagiaire au Ministère de l’Environnement et du Tourisme (MET)

TACHESJanvier 1998 : Chercheur au Centre Régional de Recherches Environnementales et Agricoles (CRREA) du Sahel

–Katchari/Dori.Janvier 1998-Décembre 2000 : Chef du programme « Gestion des Ressources Naturelles/Système de Production (GRN/SP

)Février-août 1992 :Participation à la formation et à la sensibilisation des agents de développement et des populations dans le cadre du Projet « Forêt et sécurité alimentaire »Programmation, coordination et suivi des activités de recherche.

Animation et sensibilisation des populations rurales en matière de gestion durable des ressources naturelles 

tude et analyse des systèmes de production ; Séance de travaux et d’échanges d’expérience avec les producteurs, vulgarisateurs et partenaires au développement dans le

cadre des journées Recherche/Développement (RD) ;Formations reçues :

Du 17 au 28 juillet 1995 : Formation sur l’éducation en matière de population (EMP) à Bobo ;Mai-juillet 2000 : participation au cours de spécialisation sur l’analyse des politiques agricoles en Afrique à l’Institut africain de Développement Economique et de Planification (IDEP) à Dakar.Octobre 2002 : Formation sur la méthodologie de dépouillement des données d’enquête et d’évaluation économique de la recherche agricole avec le logiciel « Statistics Packet for Social Sciences » (SPSS) à ICRISAT/Bamako.Décembre 2003 : Formation sur la méthodologie en matière de Recherche ;21 au 25 juin 2004 : Atelier de formation sur la modélisation en matière d’outils d’aide à la décision assuré conjointement par l’ICRISAT, IFDC et le DMP.

Du 12 au 17 Juillet 2004   : Atelier de formation sur l’analyse de l’impact des technologies en Afrique de l’ouest à Samanko (ICRISAT/Bamako).

5 au 10 décembre 2005  : Atelier de suivi ‘’Application des outils d’aide à la décision dans l’agriculture Sahélienne’’ à l’IFDC à Ouagadougou.

6 LANGUES PARLEES : Mooré : Très bien Français : Bien Anglais : Assez bien Dioula : Assez bien+

MSc SAWADOGO BoukaréIngénieur de Recherches

26/28

CURICULUM VITAE N°6

Dr. MAIGA Alkassoum

01 BP 2340 Ouagadougou 01Burkina Faso

Dom : 50 37 48 43 / Cel : 70 26 26 52 Service : 50 36 92 23 E – mail : kasmaig@yahoo.fr kasmaiga@hotmail.com Nationalité : BurkinabèDate de naissance : 1966Lieu de naissance : Markoye/Burkina FasoSituation matrimoniale : Marié/3 enfants

Situation actuelle : Enseignant au département de sociologie de l'Université de Ouagadougou.

Cursus Scolaire

1992/1996 : Université des Sciences Humaines de Strasbourg (Doctorat de

sociologie/Mention Très Honorable avec les Félicitations du jury)

1992/1993 : Université des Sciences Humaines de Strasbourg et Université Louis Pasteur

de Strasbourg (DEA de sciences et théories de l'éducation)

1991/1992 : Université des Sciences Humaines de Strasbourg (DEA de sociologie)

1990/1991 : Service National Populaire

1989/1990 : Université de Ouagadougou (Maîtrise de sociologie/Mention TB)

1988/1989 : Université de Ouagadougou (Licence de sociologie/Mention AB)

1987/1988 : Université de Ouagadougou (DEUG II de sociologie/Mention AB)

1986/1987 : Université de Ouagadougou (DEUG I de sociologie/Mention B)

1983/1986 : Lycée Mixte de Gounghin (BAC A4/Mention AB)

Expériences

2007 : Partcipation à l’étude d’impact environnemental et social du PLCE (Projet de lutte Contre l’Ensablement du Bassin du Niger), au compte de BGB/Méridien et sur demande de l’ABN.

2006 : Evaluation du Programme de Développement Local de la Kompienga, sur demande du Bureau de la Coopération Autrichienne et de la SAEC.

2006 : Evaluation du Programme de Développement Local du CDMRN de Ziniaré, compte de BGB/Méridien.

2005 : Partcipation à l’étude d’élaboration de modules de formations sur la thématique foncière (adressée aux CCTP, sur demande du PNGT 2.

2005 : Partcipation à l’étude d’impact environnemental et social du PAFASP (Projets d’appui aux filières Agro-sylvo-pastorales au Burkina Faso, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PAFASP.

2005 : Coordination de l’élaboration de Monographies départementales dans sept départements du Zoundwéogo, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PDL/Z.

27/28

2005 : Coordination de l’élaboration du plan de gestion intégré environnemental d’un bassin versant dans le Kouritenga (PGIE), au compte de BGB/Méridien et sur demande du PNGT/SILEM.

2005 : Etude de la situation des rappatriés de Côte d’Ivoire dans le Boulkièmdé 2005 : Etude du volet milieu humain du SPAT du Sanmatenga au compte de BGB sur demande de la

DRED/Sanmatenga 2004 : Coordination de l’élaboration de plans de développement villageois (PDV) dans quinze villages

du Bazéga, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PDRDP-B/K. 2004 : Etude de la situation des rappatriés de Côte d’Ivoire au compte du CONAPO (financement

UNICEF). 2004 : Etude de la situation des rappatriés de Côte d’Ivoire dans la province de la Bougouriba. 2004 : Etude de faisabilité d’un marché et d’un parc à vaccination dans la commune de Boulsa au compte

de BBEA sur demande du FODECOL Capacité des acteurs à faire fonctionner les nouvelles unités en projet. Quelle sera la nouvelle organisation à mettre en œuvre pour ces unités de production.

2004 : Etude de faisabilité d’un marché à bétail et d’un abattoir dans la commune de Dori au compte de BBEA sur demande du FODECOL Niveau de structuration et d’organisation des unités d’abattage d’animaux et des commerçants de bétail de la ville et leur capacité à faire fonctionner les nouvelles unités en projet.

2004 : Etude de faisabilité de cooridors de transit des éléphants au compte de BGB Meridien sur demande du PAGEN

2004 : Coordination de l’élaboration de plans de gestion des terroirs (PGT) dans quinze villages du Ioba, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PNGT.

2004 : Coordination de l’élaboration de plans de gestion des terroirs (PGT) dans vingt villages du Nahouri, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PNGT.

2004 : Coordination de l’élaboration de plans de gestion des terroirs (PGT) dans douze villages du Sanematenga, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PNGT.

2003-2004 : Participation à l’étude ECOLOC de la ville de Koudougou, au compte de la mairie de Koudougou. Organisation et relations des entreprises de la localité en tant qu’acteurs à même de participer au développement de la ville et son hinterland.

2004 : Participation à l’étude sur l’impact des lotissements sur les communes rurales au titre de consultant de Sahel Consult.

2004 : Coordination de l’élaboration de plans de gestion des terroirs (PGT) dans dix huit villages du Kénédougou, au compte de BGB/Méridien et sur demande du PNGT.

2003 : Etude du foncier rural à travers le thème « Gestion des Ressources Naturelles et conflit rural : approche sociologique des instances locales de régulation. », dans le Poni, le Nombiel et le Ioba (dans le cadre d’une Collaboration INCO, PDR-Poni et INERA).

1999 : Evaluation des essais exécutés avec les producteurs de mil du village de Kindi. Comment se fait la gestion des unités de production, quels sont leurs niveaux de dotation en ressources et leur dispositif organisationnel.

1999 : Etude socio-économique des producteurs partenaires à la recherche des sites de Namanéguéma et Villy-Moukouan. Comment se fait la gestion des unités de production, quels sont leurs niveaux de dotation en ressources et leur dispositif organisationnel.

1998/1999 : Etude de la problématique foncière dans le Kouritenga avec un groupe de 21 étudiants de l’Université de Ouagadougou (Département de Sociologie avec l’appui du PNGT).

1999 : Etude bibliographique sur les associations urbaines (Bobo, Banfora et Fada avec le CESAO). Une part importante de cette étude était consacrée à des aspects d’organisation, structuration et fonctionnement.

1998 : Etude de la réceptivité paysanne dans les zones de Koudougou, Manga et Tita. 1992/1996 : Etudes doctorales sur le thème : organisations paysannes et promotions rurales. Par-delà le lien

entre structures et développement, il s’agissait de faire ressortir les dimensions organisationnelles

des unités de productions rurales.

MAIGA Alkassoum, M. A. 22/05/2023

28/28