les pÊcheurs de perles - opéra de limoges · 2018. 4. 26. · des coups d’essai au devenir...

LES PÊCHEURS DE PERLESOPÉRA EN TROIS ACTES DE GEORGES BIZET,

LIVRET D'EUGÈNE CORMON ET MICHEL CARRÉ

DIMANCHE 22 AVRIL 2018 - 15HMARDI 24 AVRIL 2018 - 20HJEUDI 26 AVRIL 2018 - 20H

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ORCHESTRE DE L’OPÉRA DE LIMOGES

IDYLLEWagner | Schumann

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Opéra en trois actes de Georges Bizet, livret d’Eugène Cormon et Michel CarréCréé le 30 septembre 1863 au Théâtre Lyrique de Paris

et repris dans une nouvelle version en 1893 à l’Opéra Comique

Chanté en français, surtitré en français - Env. 2h30 avec entracte

Audiodescription le dim. 22/04/2018

Le bar de l’Opéra de Limoges est ouvert et vous propose boissons fraîches, café, bières, vins blanc et rouge ainsi que du champagne. Paiement par CB accepté sans montant minimum.

Robert Tuohy, directionElisabeth Brusselle, cheffe de chant

Bernard Pisani, mise en scène et chorégraphieSergio Simón, assistant à la mise en scène et à la chorégraphieAlexandre Heyraud, scénographieJérôme Bourdin, costumesNathalie Perrier, lumières

Hélène Guilmette, LeïlaJulien Dran, NadirAlexandre Duhamel, ZurgaFrédéric Caton, Nourabad

Guillaume Barre, Damien Bougas, Florent Cardinale, Calogero Cammilleri, Grégoire Lugué, danseurs interprètes

Orchestre de l’Opéra de LimogesChœur de l’Opéra de Limoges | Direction, Jacques Maresch

Réalisation des décors : Ateliers de l'Opéra de Nice côte d'Azur Réalisation des costumes : Ateliers de l'Opéra de Limoges

Nouvelle production de l’Opéra de Limoges, producteur déléguéEn coproduction avec l’Opéra de Reims et l’Opéra de Nice Côte d'Azur

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LES PÊCHEURS DE PERLES


Sur l’Île de Ceylan.

ACTE ISur une plage sauvage, des villageois se préparent à la saison de pêche et choisissent un chef, Zurga, à qui ils jurent obéissance. Nadir apparaît, Zurga reconnaît en lui un ami de jeunesse et l’invite à se joindre au groupe. Tous deux se remémorent la femme si belle qu’ils aimaient jadis, Leïla, prêtresse de Candi. Pour préserver leur amitié, ils jurent de renoncer à cet ancien amour commun. Une embarcation s’approche alors du rivage. A son bord, le grand-prêtre de Brahma, Nourabad et une vierge voilée, Leïla. Comme le veut la tradition, elle doit par ses chants, protéger les pêcheurs et le village des caprices des éléments. Zurga lui fait jurer fidélité à ses vœux : garder le voile, rester chaste et prier. Mais la jeune femme reconnaît Nadir, et alors qu’elle chante les paroles sacrées, Nadir comprend à son tour que se cache sous le voile mystérieux celle qu’il aimait autrefois.

ACTE IIAlors que la nuit tombe, le grand-prêtre Nourabad doit laisser seule Leïla sur le rocher sacré. Leïla lui raconte comment, autrefois, elle avait, au péril de sa vie, sauvé un étranger qui l’avait remerciée en lui offrant

le collier qu’elle garde désormais toujours sur elle. Le grand-prêtre s’éclipse quand surgit Nadir. Les deux jeunes gens se déclarent mutuellement leur amour. Nourabad les surprend et donne l’alerte ; le chef Zurga est prêt à les gracier, jusqu’à ce que le voile arraché révèle à tous le visage de Leïla. Rempli de fureur, Zurga exige alors la mort des deux parjures.

ACTE IIIZurga regrette son cruel verdict. Leïla l’implore de prendre sa vie et d’épargner Nadir. Cette manifestation d’amour attise la jalousie de Zurga qui repousse la supplique de la prêtresse. Leïla, sentant venir la mort, demande à un pêcheur de remettre à sa mère le collier laissé jadis par l’homme qu’elle avait sauvé. Zurga reconnaît son collier.Tandis que l’exécution se prépare, les pêcheurs attendent le sacrifice. Surgit Zurga, annonçant que le feu ravage le camp des pêcheurs qui fuient en abandonnant les deux condamnés. Zurga, qui a déclenché l’incendie pour faire diversion, libère les jeunes amants en montrant le collier à Leïla. Zurga reste seul...

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ARGUMENT


NOTE D’INTENTION

Les Pêcheurs de perles, un conte oriental qui invite à la rêverie à partir de légendes et fables d’autrefois.Une plage sur l’île de Ceylan, la mer, omniprésente, allant jusqu’à la brûlure… Je laisse délicieusement vagabonder mon imagination à l’écoute de cette partition sensuelle, envoûtante et soudain les images hollywoodiennes des films de mon adolescence défilent et se bousculent… Comment Bizet, n’ayant jamais quitté Paris mis à part un voyage à Rome en 1857, peut-il ainsi s’imprégner d’espaces lointains et nous distiller leurs effluves enchanteurs ?Les premières vagues glissent sur le plateau bleuté, cinq hommes du haut de leurs mâts sont en observation ! Ce sont cinq danseurs, cinq danseurs-pêcheurs, omniprésents tout au long de l’ouvrage. Puis un Temple doré dans le lointain se meut tandis que Leïla, irréelle, surgit de l’onde et se hisse au sommet d’un rocher improbable ! L’antre nacré de Zurga, le dégradé ocre orangé des costumes et le camaïeu bleuté du décor sont les tons dominants de cette conception scénographique flirtant avec le baroque. Ainsi mon rêve commence…Et si ce rêve devenait réalité !...

par Bernard Pisani, metteur en scène et chorégraphe


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REPÈRES

Un jeune compositeur qui sort de l’ornière avec audaceBizet, lauréat du prestigieux Prix de Rome en 1857, veut se concentrer sur le théâtre musical, et rêve de s’illustrer par un grand ouvrage lyrique. Après des coups d’essai au devenir incertain et le succès mitigé d’œuvres religieuses, Les Pêcheurs de perles vont constituer un véritable coup de maître. Le directeur du Théâtre-Lyrique le fait bénéficier d’une subvention que le ministère des Beaux-Arts accordera désormais chaque année à son théâtre à condition qu’il donne sa chance à un lauréat du prix de Rome. Il entre ainsi de plain-pied dans la carrière lyrique, dispensé de la dure nécessité d’aller frapper à toutes les portes pour être joué dans une grande salle parisienne !Si Georges Bizet n’est alors qu’un débutant de 25 ans, et même si les critiques de l’époque pointent avec sévérité ce qu’ils appellent les incohérences du livret, il fait déjà preuve de qualités qui sont autant de témoignages d’un génie précoce. Berlioz évoquait à propos de la musique « un nombre considérable de beaux morceaux expressifs pleins de feu et d’un riche coloris ».

Les horizons lointains propices à la passionC’est bien la musique qui fait l’essence même de cet opéra, Bizet y projetant l’ardeur et les couleurs de cette « grève en feu où dort le flot bleu », terre exotique où se dressent les tentes des pêcheurs bravant la mort pour ramener au jour « la perle blonde ». Le pittoresque agit comme un catalyseur. A travers cette musique au pouvoir presque incantatoire, on croit percevoir un peu de la brise tiède qui parcourt l’Ile de Ceylan. Les éléments stylistiques sont au service de ces vives couleurs sur lesquelles se détache la banalité des situations et des sentiments. Le recours à des rythmes ou à des formules harmoniques orientalisantes permet de créer une atmosphère propice au développement de passions qui apparaissent dans leur simplicité originelle, libérées des impératifs de la civilisation corsetée de cette fin du XIXème siècle. L’antagonisme entre devoir et passion, soumission au sacré et affirmation de soi, société et aspirations individuelles, trouve une expression plus directe dans les horizons lointains où avant d’agir, les hommes ont à cœur de saluer « le soleil, l’air et la mer immense ».


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La poésie du souvenirL’œuvre nous entraîne dans le sillage mystérieux de ses captivantes mélodies où la notion du souvenir est omniprésente : souvenir d’un serment, beauté d’une jeune fille, sauvetage... Les techniques musicales et l’orchestration de Bizet ont pour vocation principale de reconstituer les souvenirs des protagonistes dans l’imaginaire des spectateurs. Ces évocations sont rendues concrètes par la technique du leitmotiv, avec la répétition d’un passage musical attaché à une situation ou à un personnage. Le compositeur tisse ainsi un réseau de réminiscences. Le « motif de la déesse », associé au personnage de Leïla traverse la partition et s’épanouit dans le célèbre duo des deux rivaux, Nadir et Zurga (acte I). Le spectateur est d’emblée invité à partager l’amour nostalgique pour la mystérieuse prêtresse. La dimension poétique est également instaurée par le chœur qui prolonge le charme ensorcelant du chant nostalgique du héros dans la « Romance de Nadir ».

La romance de NadirTous les plus grands ténors ont voulu interpréter cette « Romance de Nadir » (acte I) ; c’est un des passages emblématiques de l’œuvre, considérée comme une pièce de bravoure. Une brève introduction au cor anglais accompagné par les violoncelles amorce la romance qui suggère un état de rêve quasi hypnotique. Le rythme ternaire et la récurrence du phrasé donnent un caractère de berceuse

à la romance qui doit s’achever sur le sommeil de Nadir, et révèlent ses sentiments profonds : magnétisé par la voix de Leïla, il ne pourra s’empêcher de la suivre.

La profession critique… qui revoit son jugement à postérioriBien que le livret du premier succès de Bizet ait été abondamment critiqué, l’intrigue répond à une logique qui vise à l’efficacité. Reposant sur un schéma dramatique riche en situations fortes et en passions aussi simples que puissantes, le drame met en scène un traditionnel triangle amoureux agrémenté du parjure d’une prêtresse comme dans La Vestale (1807) de Spontini et La Norma (1831) de Bellini, références évidentes.L’œuvre ne sera pas rejouée du vivant de Bizet, décédé prématurément à l’âge de 36 ans. Dans les années 1880-90, l’opéra réapparaît avec succès en Italie. Puis l’Opéra-Comique le reprend et le donnera régulièrement. Aujourd’hui, il appartient presque au grand répertoire, et l’immense succès de Bizet, Carmen, n’a pas réussi à l’éclipser totalement.


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ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES

Robert TuohyDirection Le chef d’orchestre irlando-américain Robert Tuohy est directeur musical de l’Opéra de Limoges depuis 2013, où il a dirigé Carmen, Der Freischütz, Così fan tutte, Eugène Onéguine et Pelléas et Mélisande, ainsi que de nombreux programmes symphoniques. Il a récemment travaillé au Bolshoi Théâtre, à l’Orchestra della Fondazione dell’Arena di Verona et l’Orchestra del Teatro Lirico di Cagliari, ainsi qu’à l’Opéra de Marseille avec Lakmé, acclamé en mai 2017. Cette saison à l’Opéra de Limoges, il dirigera également en mai prochain la nouvelle production du Château de Barbe-bleu en version concert. Robert Tuohy s’est fait connaître en France comme chef assistant auprès de Lawrence Foster à l’Opéra National de Montpellier. À la tête de l’ONM, il a notamment dirigé des représentations de Rusalka, La Chauve-souris, Lakmé et Manon Lescaut.Après ses études au Cleveland Institute of Music, Robert Tuohy étudie la direction d’orchestre au Royal Academy of Music de Londres. Il obtient son diplôme avec mention très bien et reçoit le prix de direction d’orchestre « Ernest Read » ainsi que le prix DipRAM. Il a étudié auprès de Sir Colin Davis et Kurt Masur, et a eu l’occasion de diriger le London Symphony Orchestra, le BBC Scottish Symphony Orchestra, le Royal Scottish National Orchestra, et le Scottish Chamber Orchestra.

Bernard PisaniMise en scène et chorégraphieBernard Pisani est metteur en scène, chorégraphe, comédien et chanteur. En 1953, à l’âge de 8 ans, il rentre à l’école de danse de l’Opéra de Paris. Il y apprend la danse classique jusqu’en 1960 où il entreprend une carrière de comédien qu’il poursuit encore aujourd’hui.En 1961, sa rencontre avec Jean Anouilh est déterminante et le propulse sur la scène du Théâtre Montparnasse où il interprète ses premiers rôles. Très éclectique, Bernard Pisani s'illustre aussi bien dans la comédie musicale, que dans le théâtre classique, l'opéra ou même le one-man-show. A partir des années 1990, sa notoriété s'affirme dans l'univers du théâtre lyrique. Figurent parmi ses mises en scène : Iphigénie en Tauride (Opéras de Marseille, Angers, Tours), L’Opéra de Quat’ Sous (Opéras de Reims, Metz, Tours, Toulon en 2010), Zémire et Azor (Opéra Royal de Wallonie en 2014), La Belle Hélène (Opéras de Reims, Toulon, Tours, Marseille entre 2014 et 2016), Nabucco au Théâtre musical de Lyon en 2016…L’Opéra de Limoges a accueilli de nombreuses fois le travail de Bernard Pisani avec Le Barbier de Séville (1996), La Fille de Madame Angot (2001), La Grande-duchesse de Gerolstein (2003), Irma la douce (2005 et reprise en 2006), Un Enlèvement au sérail (2006), L’Amour masqué (2008). Bernard Pisani est Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.


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Hélène Guilmette / Leïla – sopranoLa québécoise Hélène Guilmette a étudié le piano à l’Université Laval de Québec avant de suivre sa formation vocale à New-York. Depuis son 2e prix au Concours Reine Élisabeth de Belgique en 2004, elle poursuit une brillante carrière internationale.On a pu l’entendre dans les rôles de Sœur Constance (Dialogues des Carmélites) au Bayerische Staatsoper de Munich, à Nice, au Canadian Opera Company de Toronto ; Pamina (La Flûte enchantée) à Bruxelles ; Susanna (Les Noces de Figaro) à Angers-Nantes, Lille, Montréal, Montpellier et au Théâtre des Champs-Élysées ; Zerlina (Don Giovanni) à Montréal ; Sophie (Werther) à Bruxelles, Strasbourg, Lille et à l’Opéra national de Paris ; Thérèse (Les Mamelles de Tirésias) à Lyon, à l’Opéra-Comique de Paris et en concert avec le BBC Symphony ; Princesse Laoula (L’Étoile) au Dutch National Opera d’Amsterdam et au Royal Opera House Covent Garden ; Mélisande (Pelléas et Mélisande) à Lyon ; Oriane (Amadis de Gaule) à l’Opéra Royal de Versailles et à l’Opéra-Comique ; Andromède (Persée) à Metz, Versailles et au Théâtre des Champs-Elysées ; Eurydice (Orphée et Eurydice) à Angers-Nantes Opéra et au Maggio Musicale Fiorentino ; Hébé, Phani et Fatime (Les Indes galantes) et Télaïre (Castor et Pollux) au Capitole de Toulouse ; Nadia (La Veuve joyeuse) à l’Opéra-Comique ; Musetta (La Bohème) à l’Opéra de Québec ; Mélisande (Ariane et Barbe- Bleue de Dukas) et Amour (Orphée et Eurydice de Gluck) à l'Opéra national de Paris, Hélène (Le Timbre d'argent) à l'Opéra-Comique...

Julien Dran / Nadir – ténorPetit-fils et fils d’artistes lyriques, Julien Dran commence très tôt la musique. Il étudie le chant au CNR de Bordeaux, et est pensionnaire du CNIPAL de Marseille en 2007. Il obtient le 1er prix homme du « Paris Opera Awards » Salle Gaveau à Paris en 2013.Parmi ses rôles : Fenton (Falstaff) à l’Opéra de Metz ; Tamino (La Flûte enchantée) au Festival de Corte, le Comte Almaviva (Noces de Figaro) à l’Opéra de Bordeaux ; le rôle-titre de Fra Diavolo à l’Opéra de Limoges ; Fenton à l’Opéra de Massy ; Borsa (Rigoletto) au Festival d’Aix en-Provence ; Lindoro (L’Italienne à Alger) et Nadir (Les Pêcheurs de perles) à l’Opéra de Massy ; Ruodi (Guillaume Tell) à La Monnaie de Bruxelles ; Edgardo (Lucia di Lammermoor) au Centre Lyrique de Clermont Auvergne et à l’Opéra de Massy ; Bénédict (Béatrice et Bénédict) à La Monnaie de Bruxelles, Arturo (Lucia di Lammermoor) à Avignon. En février 2018, il a chanté Gastone (La Traviata) à l’Opéra national de Paris.


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Alexandre Duhamel / Zurga – barytonAlexandre Duhamel se passionne, adolescent, pour le théâtre avant de découvrir le chant et de rentrer au CNSMD de Paris. En 2009, il entre à l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris. Il est rapidement engagé sur des scènes prestigieuses : Zurga (Les Pêcheurs de Perles) à la Salle Pleyel aux côtés de Roberto Alagna, Panthée (Les Troyens) à la Scala de Milan et à l'Opéra de Marseille, Cithéron (Platée), Mordred (Le Roi Arthus) et Masetto (Don Giovanni) à l'Opéra national de Paris…Cette saison il interprète Cascada (Die lustige Witwe) à l'Opéra national de Paris, Golaud (Pelléas et Mélisande) à l’Opéra national de Bordeaux, Siméon (L'Enfant Prodigue) au Théâtre des Champs-Élysées, Escamillo (Carmen) à l'Opéra national de Montpellier, Jupiter (Philémon et Baucis) à Tours, Le Grand-Prêtre (Samson et Dalila) à Metz.

Frédéric Caton / Nourabad – basseAprès avoir commencé ses études de chant au Conservatoire de Nice, Frédéric Caton rejoint le Centre de Musique Baroque de Versailles, puis l’Opéra national de Lyon, où il intègre l'Atelier lyrique, puis la troupe. Pendant quatre ans, il y interprète de nombreux rôles. Depuis, on l'a entendu dans Werther au Konzerthaus de Vienne et au Barbican Center de Londres, La Damnation de Faust à Francfort, Carmen à Tokyo, L’Amour des trois oranges au festival de Ravenne, Pelléas et Mélisande, Katia Kabanova, Les Troyens et Le Nozze di Figaro au Salzburger Festspiele… Il a interpreté Arkel dans Pelléas et Mélisande à l'Opéra de Limoges en novembre 2016.Cette saison on peut l'entendre dans quelques-uns des plus beaux rôles du répertoire de basse : le Père (L'Enfance du Christ) en Tchéquie, le Marquis de la Force (Dialogues des Carmélites) à l'Opéra Grand Avignon, Frère Laurent (Roméo et Juliette) à l'Opéra de Nice.


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LES ÉQUIPES ARTISTIQUES

ORCHESTRE DE L'OPÉRA DE LIMOGES

Violon solo super soliste : Elina Kuperman

Violons 1 : Albi Binjaku, Violon solo co-soliste / Eve-Laure Benoit / Valérie Brusselle / Alexander Cardenas / Héléna Lyda-Mondésir / Junko Senzaki / Christiane Soussi.

Violons 2 : Louis Da Silva Rosa, chef d’attaque, soliste / Jelena Eskin, co-soliste / Angèle Bonnin-Guiet°/ Jerôme Lys / Sylvie Mériot / Marijana Sipka / Yves Tison

Violoncelles : Julien Lazignac, violoncelle solo, Philippe Deville / Éric Lyda / Antoine Payen

Contrebasses : Mathieu Martin, contrebasse solo / Thierry Barone / Matthias Bensmana*

Altos : Jean-François Salies, Brigitte Bordedebat / Francis Chapeau / Fathia Zelmat

Flûtes : Chloé Noblecourt, flûte solo / Jean-Yves Guy-Duché, piccolo solo

Hautbois : Jacques Zannettacci, hautbois solo, Vincent Arnoult cors Anglais solo

Clarinettes : Filippo Biuso, clarinette solo / Gérard Tricone

Bassons : Frank Vassallucci, basson solo / Maxime Da Costa

Cors : Pierre-Antoine Delbecque, cor solo / Olivier Barry / Éric Hulin / Simon Bessaguet*

Cornets : Grégoire Currit, cornet solo / Pierre Marmeisse

Trombones : Hervé Friedblat*, trombone solo / Patrick Ivagnes / Cyril Bernhard*, trombone basse

Percussions : Pascal Brouillaud, timablier solo / Alain Pelletier 1er percussionniste / Vincent Mauduit* / Benoît Poly*/ Guillaume Séré*

Harpe : Aliénor Mancip*

CHŒUR DE L'OPÉRA DE LIMOGES

Chef de chœur : Jacques Maresch

Cheffe de chant du chœur : Elisabeth Brusselle

Sopranos : Loudmila Boutkova / Véronique Chaigneaud Martinet / Corinne Fructus* / Natalia Kraviets / Nathanaëlle Langlais / Caroline Prigent / Marine Bellen* / Lynda Bisch

Mezzo Sopranos : Floriane Duroure Ammari / Elisabeth Jean / Christine Thoron / Johanna Giraud* / Cristelle Gouffé* /Aurélie Pes*

Altos : Agnès Cabrol De Butler / Maria-Cristiana Eso

Ténors : Martial Andrieu / Jean-Noël Cabrol / Christophe Gateau / Stéphane Lancelle / Julien Oumi / Henri Pauliat / Laurent Cabanel* / Sylvain Deveaux*

Barytons : Jean-François Bulart / Christophe Di Dominico / Xavier Van Rossom / Henri Véronèse*

Basses : Edouard Portal / Grégoriy Smoliy / Fabien Leriche* / Marc Malardenti*

* Artistes surnuméraires o Stagiaire pôle Aliénor


@operalimoges | www.operalimoges.frS’INFORMER, S’ABONNER, ACHETER EN LIGNE SUR OPERALIMOGES.FR

PROCHAINEMENT

LUNDI LUNCH LABORIEPaul Lay invite Eric Le Lann

Piano et trompetteLun. 30/04/2018 à 12h30 au Foyer du publicUne pause musicale et gourmande à l’Opéra

à l’heure du déjeunerSur réservation au Kiosque Billetterie – Nombre de places limité

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LE BARON DE M.Opéra bouffe de Raoul Lay

d’après Le Baron de MünchhausenVen. 04/05/2018 à 20hSam. 05/05/2018 à 20h

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TOUS À L’OPÉRA !Portes ouvertes

Sam. 05/05/2018 de 14h à 19hC

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