les cahiers de l'industrie electronique 76

52
Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 1 de l’industrie électronique & numérique septembre 2013 > N°76 INFORMATIONS COMMERCIALES & TECHNIQUES DOSSIERS > Brasage : Les fumées de brasage (suite et fin) Production : AOI CMS ...

Upload: rannou

Post on 30-Mar-2016

231 views

Category:

Documents


5 download

DESCRIPTION

 

TRANSCRIPT

Page 1: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 1

de l’industrie électronique & numériqueseptembre 2013 > N°76

IN FORMAT IONS COMMERC IALES & TECHN IQUES

DOSSIERS > Brasage : Les fumées de brasage(suite et fin)

Production : AOI CMS...

Page 2: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

2 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

Metcal est une marque deContactez nous par e-mail : [email protected], [email protected] ou par tél au : 01 76 71 04 03

Vos produits sont désormais

La même performance mondialement connuesous le nom de Metcal.

Pour plus d'information,veuillez visiter notre site Web :

www.metcal.com

Les cahiers ad Sept 2013_Layout 1 27/08/2013 14:52 Page 1

Page 3: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 3

Revue d’informations des entreprises de sous-traitance électroniqueéditée pour le SNESE(Syndicat National des Entreprises de Sous-traitance Électronique) par Copilote

de l’ industrie électronique & numérique

RÉDACTION Richard Crétier Dominique Lemière (reporter)

RÉGIE PUBLICITAIRE Les Cahiers - 7 rue Dourig Ar Gueben

F 29510 LANDREVARZEC - Tél. : + 33 (0)2 98 55 04 56 L’envoi des textes ou photos impliquent l’accord de leurs auteurs

pour une reproduction libre de tous droits. Dépôt légal : septembre 2013 - ISSN 1774 - 5438

CONCEPTION & RÉALISATION Les CahiersDIFFUSION Service Abonnements Les Cahiers - 7 rue Dourig Ar Gueben

F 29510 LANDREVARZEC - Tél. : + 33 (0)2 98 55 04 56 Tarif France 1 an ou 4 numéros : 92 euros

Tarif étranger 1 an ou 4 numéros : 129 euros Prix de vente au numéro : 23 euros

CRÉDITS PHOTO Photos de couverture :

Lacroix Electronique - Europlacer - Essemtec

6 Informations

10 GFIE Informations

14 DOSSIERS

•ENOVAPARIS2013

•Lesfuméesdebrasage:ventilation-

extraction - filtration

•AOI:EUROPLACERjouel’alliancegagnante

2D - 3D avec la MV9 de MIRTEC

•EUROPLACERCMSiico:unenouvelle

vie pour d’anciens équipements

•Unelongueurd’avancesurlaconcurrence

•Vernisdeprotectionthixotropiquepour

cartes électroniques

36 Fabricants d’Électronique

42 Informations commerciales & financières

44 Nouveautés Technologiques

Sommaire

33

40

46

28

Metcal est une marque deContactez nous par e-mail : [email protected], [email protected] ou par tél au : 01 76 71 04 03

Vos produits sont désormais

La même performance mondialement connuesous le nom de Metcal.

Pour plus d'information,veuillez visiter notre site Web :

www.metcal.com

Les cahiers ad Sept 2013_Layout 1 27/08/2013 14:52 Page 1

Page 4: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

4 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

I N F OR M AT ION S > SNESE

ÉD I TO

Le crédit d’impôt recherche (CIR) est apparu en 2003 et a connu une profonde réforme en 2008. Depuis il a fait l’objet de nombreux rapports d’évaluation et préconisations et il a été retouché à plusieurs reprises. Attentive à la bonne gestion des finances publiques la Com-mission des Finances de l’Assemblée Nationale a commandé à la Cour des comptes un rapport sur l’évolution et la maîtrise du Crédit d’Impôt Recherche.

Publié le 11 septembre dernier, ce rap-port contient une analyse intéressante dont voici quelques extraits, et de nou-velles préconisations.

Le CIR est victime de son succès puisque fin 2007 on estimait son coût global à 2,7 milliards d’euros. Il est pas-sé à 5,17 milliards et pourrait continuer àcroîtrejusqu’à7milliardsd’euros.Cen’est pas une invention française car il est présent dans de nombreux pays de l’OCDE, mais il atteint en France un record, puisqu’il représente 0,26% du PIB.9 800 entreprises y ont eu recours en 2008 et le nombre des déclarants est passé à 19 700 en 2011, soit 0,5% des entreprises installées en France. Il n’est pas utilisé seulement par les grandes entreprises car 62% des en-treprises utilisatrices emploient moins de 50 salariés. Dans 90% des cas, les frais de recherche sont inférieurs au million d’euros et 25% des entreprises déclarent moins de 55 Ke de frais de recherche. Si le CIR a été utile dans le cadre de la relance des années 2008 et 2009, son efficacité reste difficile à mesurer car les indicateurs d’impact manquent. Toutefois, la Cour des comptes affirme que l’évolution de la dépense n’est pas en proportion avec l’avantage fiscal ac-cordé : les dépenses éligibles croissent plus rapidement que les dépenses de R&D. Elles représentent 90% des dé-penses internes de l’entreprise.Le secteur de l’industrie électrique et électronique est le premier consomma-teur du CIR devant l’automobile et la pharmacie.

La Cour émet de nombreuses critiques sur le CIR, même si des réformes ont limité son importance avec le forfait des dépenses de fonctionnement ramené à 50% ou le taux des dépenses générant le crédit d’impôt. Elle estime que le CIR, combiné au taux de l’impôt sur les sociétés, n’a pas exercé l’effet d’attrac-tivité sur les filiales françaises de socié-tés étrangères puisqu’après avoir aug-menté en 2009 et 2010, les dépenses diminuent depuis.Elle observe que la gestion du CIR reste lourde, tant pour les entreprises que pour les services fiscaux. Pour plus de sécurité, les entreprises ont recours à des consultants extérieurs dans 17% des cas et utilisent de plus en plus la procédure du rescrit.De leurs côté, les services fiscaux ont multiplié les contrôles avec le Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Plus d’une entreprise sur dix a été contrôlée et il y a eu 162 mil-lions d’euros de redressement en 2012. La difficulté est bien celle d’estimer la connaissance, par l’entreprise, de l’état de l’Art et les services du ministère manquent de moyens pour effectuer les contrôles.Des cas de fraudes ont été détectés, rendus d’autant plus faciles que bon nombre d’entreprises peuvent deman-der la restitution et disparaître! Plus généralement, les services fiscaux avouent ne pas pouvoir apprécier avec justesselepersonnelaffectéauxtâchesde R&D éligibles, alors que ce sont les principales dépenses déclarées par les entreprises.

Après un long diagnostic, la Cour des comptes a examiné les différents para-mètres d’évolution du CIR, les dépenses éligibles, les modes de calcul de la dépense, la méthode de constatation et les taux pratiqués. Faut-il revoir les taux, les adapter à la taille des entre-prises, introduire un nouveau plafond, ajuster le pourcentage des frais defonctionnement ou encore supprimer des dépenses qui ne relèvent pas de la R&D comme la veille technologique et les frais de brevets ?

On reparle du crédit d’impôt recherche

Michel De NONANCOURT Président du SNESE

(Villelec - 67)

Page 5: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

www.spdei.fr

INTERNATIONALDISTRIBUTIONOF ELECTRONICSASSOCIATION

« Notre syndicat a pour objet de promouvoir et de supporter les intérêts des Distributeurs Franchisés. Depuis 1972, il représente la profession auprès des pouvoirs publics et des partenaires économiques. »

François Kurek, Président

Le distributeur franchisé est une personne physique ou morale, juridiquement indépendante du fabricant de composants qu’elle représente, qui s’engage par contrat à commercer sous l’enseigne et dans le réseau commercial du fabricant selon les conventions qu’il a établies et sous son contrôle.

Les ingénieurs d’applications de nos adhérents sont habilités par les fabricants qu’ils représentent à supporter leur client.

L’origine des produits est garantie L’approvisionnement de composants en dehors du réseau franchisé rend pratiquement impossible tout recours auprès du fabricant en cas de défaillance en utilisation.

S Y N D I C AT P R O F E S S I O N N E L D E L A D I S T R I B U T I O N E N E L E C T R O N I Q U E I N D U S T R I E L L E

Cré

dits

pho

tos

FO

TOLI

A.

Page 6: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

6 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

INFORMATIONS > SNESE

ADHESIONAUSNESE LECLUBDESPARTENAIRES PARTSERVICEDistributeur indépendant de composants électroniques28300 MAINVILLIERSContactSNESE:M.DominiqueSIOURDTél : +33 (0)2 37 23 37 [email protected]

Force restant au législa-teur, la Cour des Comptes suggère quelques recom-mandations. Certaines portent sur l’évolution du coût du CIR car en l’état actuel, le chiffrage prévi-sionnel est insuffisant et le mode de récupération de l’avantage fiscal, im-médiatement ou au cours des années suivantes ne permet pas d’évaluer la dépense fiscale réelle lors de l’élaboration de la loi Suite page 6de finances. D’autres sont émises sur la mesure de l’impact du CIR en propo-sant d’assurer, aux cher-cheurs en charge de cette étude, l’accès aux don-nées économiques des entreprises et en retenant comme indicateur prin-cipal le ratio dépenses sur PIB. Les recomman-dations qui concernent davantage les entreprises portent sur la gestion, le

contrôle et la maîtrise du régime du CIR.

En conclusion, la Cour des Comptes propose dix mesures phare :- faire d’OSEO le point d’entrée unique pour les rescrits,- clarifier les justificatifsdemandés par les ser-vices fiscaux en cas de remboursement anticipé du CIR,- publier une fiche type commune sur la descrip-tiondesprojetsetdeman-dée lors d’un contrôle fis-cal,- élargir le nombre des experts en donnant des budgets adéquats au ministère de l’enseigne-ment supérieur et de la recherche,- cibler la programmation des contrôles fiscaux,- dématérialiser la décla-ration du CIR,- simplifier l’assiette et la méthode de calcul avec

définition des dépenses éligibles correspondant au manuel international de référence, suppres-sion du forfait de 200% pour l’embauche de doc-teurs et ajustement ducalcul des frais de fonc-tionnement,- clarifier les dépenses d’innovation éligibles et mettre en place un suivi du crédit d’impôt innova-tion,- exclure de l’assiette du CICE les dépenses décla-rées dans le CIR et inver-sement- réserver le bénéfice du CIR aux conventions d’in-tégration fiscale qui pré-voient la rétrocession aux filiales ayant généré les dépenses éligibles.

La Cour, en revanche, n’a pas retenu une recom-mandation pourtant avan-cée dans son analyse : la prise en comptes des dépenses sous-traitées,

non pas chez le donneur d’ordre mais dans l’entre-prise sous-traitante.

On le constate, peu de mesures concernent les critères d’éligibilité. Les recommandations visent surtout à donner aux pou-voirs publics davantage de moyens de contrôle et bien entendu, devant l’augmentation des mon-tants restitués, l’opportu-nité d’exclure certaines dépenses et de réduire à la baisse le pourcentage des dépenses prises en compte.

La France veut-elle reve-nir à un taux, comparé au PIB, plus proche de ce-lui pratiqué par d’autres pays ?Mais dans ce cas, elle doit également tenir compte de l’effet combiné du CIR et du taux de l’impôt sur les sociétés.

OBSERVATOIRE ÉCONO-MIQUE : situation au deuxième trimestre 2013FABRICATION ELECTRO-NIQUE EN FRANCE : CONFIANCE RETROUVEE MAIS INVESTISSEMENTS TOUJOURS EN BERNE

les indicateurs :indicedeconfiance:5.2/10(T4 2012 = 4.92) variation de l’indice CA : 5.65 % (T2 2012 = - 1.72 %) variation de l’effectif : 2.71 (T2 2012 = 7.52 (+) indice de l’évolution du car-net de commande : 0.1(+)

indice des perspectives d’investissement : - 0.03(=)

le point de vue du SNESE : Fin 2012, alors que les chiffres confirmaient labonne tenue du secteur, le SNESE appelait à la pru-dence. Pour ce premier semestre 2013, l’activité reste sur une tendance haussière, près de 70% des entreprises ayant constaté une augmentation de leur chiffre d’affaires et un quart d’entre elles a augmenté son effectif. Les opéra-tions de croissance externe (principalement des achats

d’entreprises hors sous-traitance) représentent une part significative de cetteprogression, confirmant leretrait de certains clients de l’activité industrielle. La confiance revient,confortée par une légère progression du carnet de commande. Insuffisantetoutefois pour débrider les investissements qui restent nécessaires pour faire face aux challenges à venir. Les freins restent l’absence de visibilité et les menaces persistantes sur les approvi-sionnements.

Page 7: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

UN APPORTEUR D’AFFAIRES, POUR QUOI FAIRE ?

L’apporteur d’affaires n’a pasvraimentd’existencejuri-dique délimitée.Il n’empêche que les condi-tions vous liant à un ou plu-sieurs apporteurs d’affaires gagneraient à être consi-gnées dans un contrat en bonne et due forme. Le SNESE a édité une ficheconseil (n°27) qui vous aide-ra à mesurer l’intérêt d’avoir recours ou pas à un appor-teur d’affaires, comment le rémunérer de rédiger un contrat, etc.

Qu’on l’appelle courtier ou apporteur d’affaires, l’usage d’un intermédiaire pour booster son chiffre d’affaires est assez usuel quand on ne dispose pas d’une force de frappe commerciale suf-fisante. Qu’est-ce qu’un apporteur d’affaires ?Que ce soit votre beau-frère qui bénéficie d’un entre-gent utile à vos affaires ou un intermédiaire attitré avec pignon sur rue, un apporteur d’affaires, comme son nom l’indique, est un facilitateur de business qui vous met en contact avec un client ou vous met sur la piste d’un prospect que vous n’auriez pas pu approcher sans son carnet d’adresses.Autrement, Il n’existe pas de définition officielle oujuridique de l’apporteurd’affaires et il peut avoir dif-férent statuts juridiques oucommerciaux (agent com-mercial,courtier,affiliés,etc.)ou même aucun statut lié à son activité d’apporteur d’af-faires.En contrepartie de sa mis-sion, le courtier perçoit une commission, appelée «cour-tage», dont le montant peut être supporté par l’ache-

teur ou le vendeur, selon les usages en vigueur dans le secteur d’activité concerné. En principe, l’activité de courtage est libre : elle ne nécessite pas d’autorisations spécifiques.

Comment le rémunérer ?Un apporteur d’affaires, necoûte rien tant qu’il ne rap-porte rien. Il n’a pas besoin d’être encadré et on lui re-verse un pourcentage d’un chiffre d’affaires que, de toute façon, on n’aurait pas obtenu sans lui.On constate généralement que les rétributions ou com-missions sont assez faibles. Il faut compter de l’ordre de 2 à 5%, puisque l’apporteur d’affaire ne fait que mettre en relation un client poten-tiel et un vendeur. Cela dit, ça dépend des usages de votre secteur et de l’enjeude l’intermédiation pour votre chiffre d’affaires.Comme, le plus souvent, il ne s’agit pas de son activité prin-cipale, il faut tout de même que la commission soit assez attractive pour le mobiliser et l’inciter à engager sa crédi-bilité auprès de ses propres relations professionnelles ou amicales.

Quel est l’intérêt d’un contrat d’apporteur d’affaires ?Etant donné l’absence de règle légale concernant ce statut, le contrat liant les deux parties (l’apporteur d’affaires et l’entreprise) fait foi lors d’un quelconque désaccordL’entreprise devra mention-ner le montant et la nature de ce contrat dans sa compta-bilité. L’apporteur d’affaires devra déclarer cette somme perçue.Afindelégaliserlesrevenus et les dépenses il est fortement conseillé que l’ap-porteur d’affaires établisse une facture, une preuve sur support papier qui stipule une demande de paiement

Simultanément à

19 > 22 NOVEMBREParis Nord Villepinte - France

www.midest.com

Vous…… cherchez une solution performante pour un projet en cours ?… souhaitez référencer de nouveaux sous-traitants ?… voulez rencontrer vos fournisseurs en une journée ?… vous informez des mutations économiques et technologiques ?

Trouvez des réponses efficaces et compétitives en 4 jours de rencontres.

Tous les saVoir-faire de la sous-TraiTance indusTrielle mondiale en un même lieuTransformation des métaux / Transformation des plastiques, caoutchouc, composites / Électronique / Électricité / Microtechniques / Traitements de surfaces / Fixations industrielles / Services à l’industrie / Maintenance industrielle

midesT 2012 en chiffres■ 1 721 exposants, dont 36 % d’étrangers

venus de 46 pays■ 39 347 professionnels de 78 pays

et de tous les secteurs d’activité■ Près de 100 conférences techniques,

stratégiques et économiques.

*Tr

avai

ller

ense

mbl

e

Demandez dès maintenant

votre badge

d’entrée gratuit sur www.midest.com

Code: PZ

Focus 2013Afrique du Sud,

pays invité d’honneurEnergie, secteur à l’honneurLes rendez-vous d’affaires

Le plateau TV

Restez connecté !

www.midest.com

Le N°1 mondial des salons de sous-traitance industrielle

MIDEST2013-100x280-visit.indd 1 03/07/13 17:08

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 7

Page 8: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

8 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

INFORMATIONS > SNESE

des commissions en contre-partie d’une mise en rela-tion. Cette preuve légalisera

aussi la sortie d’argent pour l’entreprise.Unmodèledecontratvous

est proposé en annexe de laficheconseiln°27,dispo-nible dans l’Espace Adhé-

rents du site www.snese.com

Sans titre-1 1 31/05/2012 13:40:08

CALCUL DE VOTRE TAUX HORAIRE Comme cela a été annoncé lors de l’Assemblée Géné-rale du 23 avril, le SNESE va mettre à votre disposition – très prochainement, un outil logiciel personnalisé pour le calcul des taux horaires. La méthodologie qui vous sera proposée sera entièrement adaptable à votre entreprise, ses moyens de productions, ses ressources humaines, ses objectifs.Sivousavezdéjàunoutil de calcul, vous pourrez faire une comparaison.

Si vous n’avez pas d’outil de ce genre, vous disposerez ainsi d’un support indispen-sable au chiffrage précis des différents taux horaires inter-venant dans la composition de votre coût de production. L’objectif du Snese est devous donner les moyens d’augmenter votre pouvoir de négociation par l’élabora-tion de différents scénarios de prix de vente, adossés à une parfaite maîtrise des taux horaires et des coûts de pro-duction.Uneformationendeuxétapes

sera nécessaire pour s’ap-propriercetoutil.Unpremierniveau, phase obligatoire de prise en main, sera dispensé sous forme de formation inter-entreprise. Un programmerégional vous sera proposé.Un second niveau, facultatifet uniquement sous la forme d’une session intra-entreprise, vous permettra de maîtriser complètement cet outil.La mise à disposition de cet outil fera l’objet d’un contratde mise à disposition à titre onéreux – tout à fait compétitif.Informations : [email protected]

Page 9: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 9

Top Qualité des pièces originales WellerSeuls les meilleurs matériaux sont utilisés L‘argent est utilisé dans nos éléments chauffants car il est le meilleur conducteur de chaleur, cela optimise le transfert de chaleur.

Garantie Fabricant La Garantie Weller ne s‘applique que lorsque les pièces originales sont utilisées.

Réduction des coûtsTransfert thermique Rapide et précis, le transfert thermique permet une répéta-bilité des joints avec un gain de productivité jusqu‘à 50%.

Productivité accrue Les pannes HS Weller peuvent transférer la chaleur jusqu‘à deux fois plus rapidement que les pannes standards.

4

Une brasure parfaiteSeules les pannes originales Weller sont parfaitement conçues pour être associées au système de chauffe homogène Weller. Cet ensemble garantit la réalisation des joints de brasure de la plus haute qualité.

Page 10: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

10 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

LES PAGES du GFIE 13 Rue Hamelin - 75783 PARIS CEDEX 16 Tél : +33 (0)6 07 46 54 19 - [email protected] www.gfie.fr - www.lignevirtuelle.com

Éditorial

Verre à moitié vide ou verre à moitié plein?Enfait,qu’importeleflaconpourvu qu’on ait l’ivresse. Mais quelle ivresse ? Cela ne vous aura pas échappé, au regard du bat-tage médiatique qui s’en est suivi, nous sommes passés d’une prévi-sion d’évolution du PIB de -0,3 % à une croissance de + 0,3% pour le 2ème trimestre et que d’encre cela a-t-il fait coulé !… Bon, c’est vrai que quelque soit le calcul, il vaut mieux passer de -0,3% à + 0,3% que de -0,3% à -0,6% mais de là à sombrer dans l’ivresse de la victoire ou plutôt de la perspec-tive éventuelle de la victoire sur la croissance, le chômage et « tutti quanti », il ne faut pas abuser. L’ivresse, tout autant que la colère, n’est pas bonne conseillère et le rapprochement de l’échéance des élections municipales ne va pas arranger les choses, les boules de cristal vont chauffer et heureuse-ment qu’elles ne sont pas RoHS, cela limitera le point de fusion !En tout les cas, ce signe macroé-conomique est en corrélation avec nos indices du 2ème trimestre. Sommes nous « tiré d’affaire » ? Sera-ce durable ? Il faut l’espérer mais ce qui manque dramatique-ment encore c’est la confiance,ingrédient ténu, versatile et volatil

mais indispensable pour investir, embaucher, innover et conquérir. Or, en matière industrielle nous n’avons toujours pas de stratégienationale ou européennes claires, le social reste un facteur de risque et plombe toujours les initiativessurtout au niveau des TPE et des PME pourtant les plus dyna-miques, réactives et contributives à l’effort fiscal. Embaucher c’esttrès facile et très aidé, pour peu que dans nos métiers nous trou-vions encore des compétences, mais tant que débaucher sera aus-si coûteux et compliqué il ne fau-dra pas s’attendre à des miracles à court terme. Voilà une des explications du faible niveau de notre indice de confiance à 4,75 en juin, l’incerti-tude et le manque de visibilité ne permettent pas mieux.En attendant que faire ? Bouger. La période est propice. Cette find’année voit se multiplier les opé-rations portes ouvertes chez nos adhérents et les professionnels de notre secteur. Les salons et congrès foisonnent : - EMPC 2013 Grenoble l’Imaps Eu-ropéensalonetconférences-déjàpassé ; - European Microelectronics Sum-mit le 26 septembre à Paris – les

conférences du SITELESC ; - ENOVA Paris du 8 au 10 octobre notre salon de l’électronique ; -PRODUCTRONICAàMunichdu12 au 15 novembre le salon de référence mondiale pour la pro-duction des cartes électroniques – incontournable ; - MIDEST du 19 au 22 novembre le salon des sous-traitants – nos clients ; etjeremercieceuxquej’aioubliéde me pardonner.Ne passons pas à coté de ces opportunités de rencontres, c’est dans ces occasions que l’on peut avoir des entretiens informels sur des sujets d’affaires qu’on auraitpas traités autrement, c’est dans ces occasions qu’on peut s’enri-chir des autres, sentir les évolu-tions, développer ses idées, en bref préparer son futur..

Pierre-Jean ALBRIEUXPrésident GFIE

Page 11: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 11

G R O U P E M E N T D E S F O U R N I S S E U R S D E L ’ I N D U S T R I E É L E C T R O N I Q U E

PRODUCTION DE CARTES ÉLECTRONIQUES

Sont les éléments clés d’une production associant performance, qualité et coût.

Choisir le bon équipementChoisir le meilleur fournisseur

Découvrez

Lignevirtuelle.comLe moteur de recherche du GFIE

www.lignevirtuelle.com

Assemblage en ligne

Circuits imprimés

copi

lote

.com

03

/ 201

3

Assemblage hors ligne

Page 12: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

12 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

LES PAGES du GFIE 13 Rue Hamelin - 75783 PARIS CEDEX 16 Tél : +33 (0)6 07 46 54 19 - [email protected] www.gfie.fr - www.lignevirtuelle.com

Composition du Comité Directeur : ALBRIEUX Pierre-Jean (IFTEC) - ANGLADE Francis (METRONELEC) - BISMUTH Bernard (BdeB Consulting) - CHAPON Laëtitia (SDEP ACE) - CHARLOT Thierry (ASM Assembly System) - DUPOUX Stéphane (SEICA France) - FRAYSSE Jean-Louis (ELMITECH) - LAUGH Anne-Marie (INVENTEC) - LEGENRE Patrick (ACCELONIX) - LEPAGNOL Jean (CDS ELECTRONIQUE) - MADRANGE Alain (WELLER - APEX TOOLS) - PICHERY Pierre (SOFIDIS) Composition du Bureau :Président : Pierre-Jean ALBRIEUX Vice Présidents : Bernard BISMUTH ; Stéphane DUPOUX Trésorier : Alain MADRANGE Délégué Général : Jean-Pierre VELLY

Liste des adhérents : Membres actifs : ACCELONIX ; ADAPTSYS ; AIR LIQUIDE ; ANTELEC ; ASM Assembly Systems ; AVNET EMG France ; B de B CONSULTING ; CCI EUROLAM ; C.D.S ELECTRONIQUE ; C.I.F ; C.T.S ; DAVUM TMC ; DELTA COMPOSANTS ; ELMITECH ; ESSEMTEC France ; F.T.M ; HUMISEAL EUROPE ; IFTEC ; INVENTEC ; M.B.O/RA-DIEL-FONDAM ; MÉTRONÉLEC ; M.J.B. ; MYDATA AUTOMATION ; PIE DIFFUSION ; S.D.E.P ACE ; SEICA France ; SOFIDIS ; WELLER ; W-TECHMembre associé : FRAMATECH

GFIE : [email protected] - www.gfie.fr - www.lignevirtuelle.comSiège Social : 13, rue Hamelin F - 75783 Paris cedex 16

Tél : (33) 6 07 46 54 19 (Jean-Pierre VELLY)

Ils exposent à Enova Paris du 8 au 10 octobre : ACCELONIX J54 – ADAPTSYS L54 – CCI EUROLAM K54 – CHIMIE TECH SERVICES K54 – DAVUM TMC H58 – ELMITECH J53 – GFIE K56 - HUMISEAL EUROPE K57 - IFTEC J55 – METRONELEC K57 – MJB J83 – MYDATA J63 – STELVIO KONTEK K58 – W-TECH K53

INDICE GFIEMAI 2013Indice GFIE = 218,28Variation/avril=+7,05%Indicedeconfiance(/10)=5,02Book bill = 0,950Commentaire : Y aurait-il une légère em-bellie, un petit frémissement ? Il est vrai qu’en période d’activité compliquée, la tendance est à la recherche des femto signes positifs. Nous nous attendions tous à un mois de mai pourri après un mois d’avril peu dynamique. Or notre indice général progresse de 7% ce qui est mo-deste mais notable pour un mois de mai et l’indicede confiance repasse la barredes5/10cequiestplutôtencourageant,lemaximum des 4 dernières années étant de 5,76. Les fortunes sont diverses parmi les commentairesdesadhérents.Lamajoritéest en légère baisse d’activité mais celle-ci est compensée par la forte progression de 3 adhérents qui tirent l’indice vers le haut. On commence souvent les mois sans visi-bilité avec inquiétude et on les termine avec un léger soulagement voire une sur-prise. Les réticences sont bien illustrées par le commentaire d’un adhérent : « pes-simisme pour les investissements à ne rien comprendrecarnosclientssontsuffisam-ment chargés. »Peut-êtreaurais-jedûfairePsycho?

JUIN 2013Indice GFIE = 287,70Variation/mai=+31,80%Indicedeconfiance(/10)=4,75Book bill = 0,834

Commentaire : Forte progression de notre indicepourcemoisdejuin,présde+32%cela faisait bien longtemps que ce n’était pas arrivé et surtout après un mois de mai en légère hausse. Malgré tout, l’indice de confiance,deplusde5enmai,estretombéà 4,75 et cependant les commentaires des adhérents sont redevenus optimistes… La source de ces craintes, toujours l’incerti-

tude et le manque de visibilité. Incertitudes surlesmarchés,surlefiscal,surlesocialqui pourrissent l’ensemblede la filière etbloquent la plupart des décisions à moyen ou long terme, avec pour corolaire la né-

c e s s i t é de devoir p r o d u i r e au dernier m o m e n t dans l’ur-gence. Le parent pauvre de l’industrie est donc devenu la planifica-tion faute de straté-gie indus-trielle mar-

quée.Sansplanification,sans roadmap,pas d’investissements ni d’embauches. Oui Monsieur le Premier Ministre, pour ne prendre qu’un exemple, ce n’est pas 62 ou 80% de compteurs LINKY qui pourraient être fabriqués en France mais bien 100%, àvousdoncd’endéciderqu’onenfinisseavec ce cercle vicieux.

Page 13: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 13

www.iftec.fr

PbPb

IFTEC - 33, rue Ravon - 92340 Bourg-la-Reine - FranceTél : (33) 01 45 47 02 00 - Fax. : (33) 01 45 47 39 79

E-mail: [email protected]

Pb

”L’ÉTAT DE L’ART ET LA MAÎTRISE DES PROCÉDÉS”

Formation continue - Conseils Techniques Mesures & Analyses - Normes IPC

Formation Professionnelle spécialisée aux technologies et aux techniques de fabrication des cartes électroniques :

Circuits Imprimés, Brasage des Composants, Microélectronique, formations de certification IPC.

Authorized Distributor

®Training Center

®

PUB iftec a4 nov 2011ok.indd 1 18/10/11 15:50:09

04 97 00 03 34www.negotech-electronique.com

Composants obsolètes

Composants militaires

Composants stratégiquesSurplus de stock

Ne cherchez plus !

Sourcing et négoce de composants électroniques

Page 14: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

14 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

DOSSIER > SALON

EnovaPARIS 20138-9-10 octobre

Hall 7.2 Paris expo Porte de Versailles

Rencontres, confé-rences et anima-tions autour de 4 univers où l’innova-tion est reine !Du 8 au 10 octobre 2013, le salon ENOVA Paris regrou-pera les univers Carrefour de l’électronique, RF & Hyper, Mesurexpovision et Opto. Cette année, il accueillera le 16è Congrès internatio-nal de métrologie et le 2è Congrès des applications des fibres optiques.

ELECTRONIQUE SYSTEMES EMBARQUES M2M HYPERFREQUENCES WIRELESS ANTENNES

Espace systèmes communicantsL’IETR (Institut d’électro-nique et télécommunica-tions de Rennes) prend en charge un espace convivial dédié aux systèmes commu-nicants où seront regroupés des laboratoires français de renom et des PME-PMI innovantes du secteur des télécommunications comme AB2E, EMC PARTNER, IETR, M2S, SCORVITECH, TELECOM BRETAGNE - LABSTICC, TELECOM PARIS, UNIVERSITE DENICE,UNIVERSITEPARIS-ESTESYCOM,XXI-LAB.

Trois cycles de conférences renforceront les thématiques présentées sur cet espace (par IETR et LCIE BUREAU VERITAS) : 1. Les antennes miniatures & lebâtimentintelligent 2. CEM : dernières évolutions réglementaires et normatifs 3. Impact sur l’environne-ment électromagnétique

Espace systèmes embarquésCette année, cet espace accueillera des PME et TPE du domaine de l’embar-qué, des centres de com-pétences privés, publics et des grandes écoles : AC6, ADVANSEE, AREA DISPLAY,BMSCIRCUITS,CAP’TRONIC, COMSOFT - INTEL SOFTWARE, EDA EXPERT , E -ENERGIE ,E X P E M B , G O O B I E ,L ’ E M B A R Q U E ,MEED GROUP , N EOELECTRONICS, SERSA E L E C T R O N I Q U E ,STARWAY, VIADESIGN.

Les conférences des « mati-nales de l’embarqué », orga-nisées par Cap’tronic, trai-terontdessujetssuivants: •LogicielembarquéetM2Msous un angle juridique, • M ise en oeuv re deMicrosoft Embedded et développement d’ IHM, • Mise en oeuvre d’OSLinux et Android et leurs contraintes respectives.

Une animation : les ateliers du TestLe test en production, en réparation, en maintenance et métrologie et FPGA et des conférences concer-nant le test en production, le test en réparation, test FPGA et la maintenance et la métrologie comme : ACCELONIX,ACQUISYS,AGILENT TECHNOLOGIES, ANTYCIP TECHNOLOGIES, C A S S I D I A N T E S T & SERVICES, NATIONAL I N S T R U M E N T S ,TECHNICOME.

MESURE VISION METROLOGIE

Présence de deux pavillonsComme lors de chaque édi-tion, le Symop et le RMVO accueillent leurs adhérents sous forme de pavillons. Le Symop organise ses conférences dont le thème général cette année est lié à la campagne Productivez ! : l’amélioration de compétitivité par l’intro-duction de systèmes de mesures et de contrôles.

Page 15: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 15

Le savoir-faire autour du composant

• Inductances / Ferrites / Condensateurs• Relais / Connectique / Thermique• Microcontrôleurs / Diodes / Capteurs

Pour vos marchés industriel / avionique / militaire / ferroviaire et médical

Tél : +33 (0)1 30 79 17 50 - Fax : +33 (0)1 34 81 20 81 [email protected] www.del.fr

Distributeur franchisé Support technique et Services

Membre du SPDEISyndicat Professionnel de la Distribution

en Electronique Industrielle

DEL_AP LES CAHIERS_200x140.indd 1 18/02/13 17:05

Essemtec France . Bogève, France . Tél: +33 (0) 960 10 39 58 [email protected] . www.essemtec-france.com

Des solutions pour une production CMS profitable

Productivité améliorée

Taux de défauts réduit

Investissement protégé

Fonds de roulement réduit

l Gestion multi-OF et équilibrage de ligne

l Dosage intégré aux systèmes de report

l Chargeurs intelligents pour changements de séries rapides

l Intelligence des chargeurs pour réduire les taux d’erreurs

l Eviter les arrêts de production par manque de composants

l Obtenir une traçabilité totale: composants cartes

l Connecter votre ligne de production avec les systèmes ERP

l Contrôle de l’inventaire intégré

l Observation automatique des temps MSL

l Valeur de reprise des machines définie

l Un type de chargeur pour différentes machines

l Logiciel intuitif pour des sessions de formation raccourcies

Page 16: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

16 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

L’essor de la compétitivité française exige avant tout une modernisation de l’équipement de production. C’est en cela que la campagne « Productivez ! » du Symop alerte les décideurs et le gouvernement sur l’enjeucrucialdurenouvellementdel’appareil productif dans son ensemble. Les instruments de mesure et de contrôleontunrôlemajeuràjouerdansce renouvellement.

Le CND sur MesurexpovisionParmi les conférences du salon, une session portera sur le contrôle non destructif, précisément sur ses avan-cées. Elle est organisée par Jean-Luc Bodnar(UniversitédeReims)dontlesprincipaux thèmes sont :

•applicationsindustriellesdelatomo-graphieX(JacquesBouteyre,Astrium)•thermographieinfrarougestimuléeappliquée à la détection du syndrome ducanalcarpien(XuanMaxel,ÉcoleSupérieure d’Ostéopathie) ; •contrôlenondestructifparméthodethermique flux métrique (Franck Brachelet,LGCGE,Universitéd’Artois;

- contrôle non destructif par ultrasons (Henri Walaszek, Cetim) ; •améliorationducontrôlenondes-tructif des oeuvres d’art du patrimoine par thermographie infrarouge stimulée. (KamelMouhoubi,GRESPIUniversitéde Reims). LES TROPHÉES DÉCERNÉS SUR LE SALON

TROPHÉES DE L’INNOVATION Reflet de l’innovation et de la créativité des exposants au travers de 4 catégo-ries : • Ca tégor ie Qua l i t é /Sécu r i t é /Réglementation Les réglementations et les normes de sécurité évoluent rapidemen. Cette innovation en tient compte et per-met aux utilisateurs des outils et ser-vices de travailler dans les meilleures conditions de sécurité

possibles et en conformité avec la réglementation en vigueur (optimisation del’interfacehomme/machine,mana-gement par la performance, descrip-tion des normes…) •CatégorieGreen/Environnement Autour du développement durable, cette catégorie va récompenser une innovation qui soit a été conçue dans un esprit de développement durable à travers sa conception, les matériaux utilisés ou la gestion de sa fin de vie (économies d’énergie, éco conception, zérorejet…) •CatégorieProductivité/Rentabilité Cette catégorie permet de valoriser les outils, les services et les bonnes idées qui ont permis de gagner en productivité (Optimisation des proces-sus, des contraintes de coûts et des difficultés de management, etc.). A travers des exemples chiffrés, on éva-luera les performances de l’innovation. •CatégorieTechnologieembarquée Cette catégorie récompense les outils et composants les plus innovants pour le développement de logiciels et sys-tèmes embarqués.

TROPHÉES CAP’TRONICLes Trophées Cap’tronic, portés par l’association Jessica France, mettent enavant lesprojets innovantsdesPME accompagnées par Cap’tronic. L’objectifdeceprogrammeestd’ai-der les PME françaises, quel que soit leur secteur d’activité, à améliorer leur compétitivitégrâceàl’intégrationdesolutions électroniques et de logiciel embarqué dans leurs produits.

En 2013, cinq PME innovantes qui intègrent des solutions électroniques et logicielles dans leurs produits seront récompensées autour de quatre caté-gories et un Prix spécial : - catégorie produit à usage du grand public, - catégorie industrie & services, - catégorie éco-innovation, -catégoriejeuneentreprise,

- prix spécial des invités à la remise des Trophées le lundi 7 octobre au Palais de la Découverte.

DOSSIER > SALON

VOUS CHERCHEZUN

IL EST

ICI

BON

ACCELONIX > J 54ACTIVE PROGRAMMING SERVICES > G 41

AGILENT TECHNOLOGIES > J 42AODE ELECTRONICS > L 44CANON BRETAGNE > L 38

CIF > J 57CREATIVE EURECOM > K 44

DAVUM TMC > H 58ELMITECH > J 53

ERSA > L 68EURO PROCESS > L 42

EUROPLACER > L 75GERAL SAS > L 48

GOPEL ELECTRONIC GMBH > N 58GTID > J 43IFTEC > J 55

METRONELEC > K 57MYDATA AUTOMATION SAS > J 63

SEPROLEC > J 41

Les adhérents du SNESE et les membres du

Club des Partenaires à enova Paris

SERSA ELECTRONIQUE > F 58W-TECH > K 53

WURTH ELEKTRONIK FRANCE > J 19

Page 17: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 17

Systèmes de GOEPEL electronic – Solution high-tech pour une forte demande

VOTRE LIGNE DE PRODUCTION EST-ELLE PERFORMANTE ?Systèmes novateurs en ligne basés sur le savoir-faire traditionnel pour AOI, AXI, SPI et THT

www.goepel.fr

Venez nous rencontrer au salon enova Paris

le 8 – 10 octobre 2013 à

Porte de Versailles au stand N58!

Page 18: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

18 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

Les fumées de brasage

ventilation - extraction - filtration (suite du n°74)Le brasage, manuel ou automatisé, reste au cœur du métier de fabricant de cartes et de systèmes électroniques. Cette acti-vité dégage des fumées qui peuvent être inhalées par les opérateurs ou les personnes travaillant à proximité. Composées d’un mélange de gaz et de poussières, ces fumées peuvent, selon leur com-position, leur concentra-tion et la durée d’exposi-tion, présenter des effets néfastes pour la santé et être à l’origine de patho-logies professionnelles. La première partie de ce dossier (n°74) a fait le point sur la composition, la formation, la diffusion et la toxicité des fumées émises lors des travaux de brasage. Un rappel de la réglementation a été pré-senté. Ce dossier présente les principes généraux de ventilation ainsi que des solutions d’extraction et de filtration de ces fumées.

Lutter contre la pollution dans les locaux de travail consiste à réduire, à un ni-veau le plus faible possible, la quantité de polluants dont les effets sont recon-nus ou soupçonnés. C’est le rôle de l’installation de ventilation.La conception d’une instal-lation de ventilation est une opération délicate dans la-quelle interviennent de nom-breux facteurs techniques, économiques et humains.

Le facteur énergétique n’est pas à négliger. Dans l’idéal, la conception d’une instal-lation efficace prendra encompte : le poste de travail, la pollution, le captage de cette pollution, son trans-port, l’épuration et le rejet,les prises d’air, la ventilation générale, l’apport d’air et le chauffage.

LE POSTE DE TRAVAILLa mise en place d’un sys-tème de ventilation ou de captage des fumées et polluants est rendue néces-saire lorsque le poste de travail émet des polluants en quantité incompatible avec les conditions nor-males requises de salu-brité, d’hygiène, de santé ou de sécurité vis-à-vis des opérateurs. Une analysedu poste de travail per-mettrad’identifier,outrelessources de pollution, l’éten-due de la zone polluée, la fréquence des émissions et les mouvements d’air autour du poste. C’est indis-pensable pour choisir une solution bien adaptée, bien acceptée par l’utilisateur, respectant les impératifs de production et le confort et la protection du person-nel. Ainsi, par exemple, la bonne solution de captage ou de ventilation ne gênera pas l’opérateur dans son travail par sa disposition, son encombrement, son niveau sonore, les courants d’air induits, etc.

LA POLLUTIONUne connaissance à mini-ma des règles générales en matière d’aération, d’assai-nissement et de renouvel-lement de l’air des locaux de travail est nécessaire. Ces règles sont fixées pardécretsetfigurentaucodedu travail. Des circulaires et des arrêtés complètent les textes de base. Nous citerons les R.4212-1 à 7, R.4222-1 à 22, R.4722-1 et 2 et R. 4724-2 et 3. [1]Il faut savoir également que les locaux dans lesquels s’exercent des travaux de brasage sont des locaux à pollution spécifique quisont soumis à des contrôles périodiques annuels (débit global de l’air extrait, pres-sions statiques et vitesses d’air, examen de tous les éléments de l’installation) et semestriels si il y a un sys-tème de recyclage (concen-trations en poussières dans les gaines de recyclage ou à leur sortie dans un écou-lement canalisé, contrôle de tous les systèmes de surveillance).Cescontrôlesfontl’objetdel’arrêté du 8 octobre 1987 du ministère du travail qui précise que l’employeur

doit tenir à jourun registrecomportant un dossier de valeursderéférencesfixantles caractéristiques quali-tatives et quantitatives de l’installation et une notice comportant un dossier de maintenance où sont men-tionnés :- les dates et les résultats des contrôles périodiques, des différentes opérations d’entretien et de nettoyage,- les aménagements et les réglages apportés aux ins-tallations.

L’objectifminimalàatteindreest de maintenir la salubrité de l’atmosphère pour pré-serverlasanté.Unsystèmede référence consiste à uti-liser les valeurs limites pour les concentrations des subs-tances dangereuses comme la colophane (voir le § LA REGLEMENTATION dans le n° 74 des Cahiers) [2].

LE CAPTAGEIl existe deux techniques utilisables pour la ventila-tion : la ventilation locale par aspiration à la source et la ventilation générale ou ventilation par dilution (fig.1).

DOSSIER > BRASAGE

Par Richard CRETIER

Fig. 1 : exemple de deux principaux types de ventilation (d’après Mc Dermott)

Page 19: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 19

La technologie FUJI pour les PME

Changement dynamique de tête Technologie exclusive FUJI

Grande capacité feeder65 slots face avant / 65 slots face arrière, soit 130 slots 8 mm extensible à 194 (exclusivité FUJI)

Flexibilité Du chip 01005 (0,4 x 0,2 mm) à 74 x 74 mm Jusqu’à 38 mm de hauteurCartes jusqu’à 774 x 686 mm1 ou 2 têtes de placementSimple ou double convoyage

Mode NPI Programmation et mise au point directement sur la machine

Mode multi production 2 productions simultanées et indépendantes (option)

Pour en savoir plus contactez FENWICK au 01 40 10 69 10ou par email : [email protected]

FENWICK • 69 rue du Docteur Bauer • 93400 Saint-Ouen • www.FENWICK.fr

À PARTIR DE

5000€HT/mois*

* Sous réserve de la configuration

finale et de l’acceptation

du dossier

AU

DA

SC

EN

E

annonce_fuji_210x297_v2.indd 1 2/09/13 11:46:17

Page 20: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

20 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

DOSSIER > BRASAGE

La ventilation locale consiste à capter les pol-luants au plus près possible de leur source d’émission, avant qu’ils ne pénètrent dans la zone des voies res-piratoires et ne soient dis-persés dans l’atmosphère du local. Les aspirations localisées maintiennent les substances toxiques dans un volume aussi faible que possible et évacuent les polluants plutôt que de les diluer. La ventilation locale demande un débit d’air beaucoup plus faible que les installations de venti-lation par dilution. Ce sys-tème est plus économique car il permet des gains sur les coûts d’investissement, de fonctionnement et de chauffage.

La ventilation générale opère par dilution des pol-luants à l’aide d’un apport d’air neuf dans le local de travail de manière à réduire les concentrations de subs-tances toxiques. Elle permet de diminuer les concentra-tions mais ne réduit pas la quantité totale de polluants libérés dans l’espace de tra-vail. Il est préférable d’utili-ser cette solution en complé-ment de la ventilation locale, notamment pour assurer un apport minimum d’air neuf et diluer les polluants non cap-tés par les systèmes d’aspi-ration localisée.

Quelle que soit la solution choisie, il est nécessaire de compenser les sorties d’air véhiculant les polluants par des entrées d’air neuf. Le débit minimal d’air neuf à in-troduireestfixédemanièreréglementaire [1].Lerejetdel’airpolluéàl’ex-térieur nécessite également uneétudede la configura-tion générale du bâtimentet de son environnement de manière à éviter tout

recyclage intempestif des polluants [3].

TRANSPORT DES POL-LUANTSL’air pollué capté sur les lieux de travail doit être évacué vers l’extérieur et, selon les cas, épuré confor-mément à la réglementation (installations classées).Les méthodes de calcul des tuyauteries et du ventilateur sont fondées sur la déter-mination de la résistance à l’écoulement de l’air dans les canalisations qui, com-binées avec le débit d’air requis,définitlesconditionsde fonctionnement du ven-tilateur.D’une façon générale, le di-mensionnement des tuyau-teries résulte d’un compro-mis entre les contraintes économiques (investisse-ment – fonctionnement), les diamètres disponibles de tuyauteries, les pertes de charges admissibles, les vitesses minimales de transport, les phénomènes d’abrasion, de bruit, etc.

LE REJETLerejetdel’airpolluéàl’ex-térieurdubâtimentmériteluiaussi une étude sérieuse : hauteur des cheminées, em-placement des sorties des gaines d’extraction selon la configurationdubâtimentetdesonenvironnement.Afind’éviter de recycler une par-tie des polluants, l’air vicié devraêtrerejetéendehorsdes zones de prise d’air neuf. Pour cela on utilisera des cheminées de hauteur suffisanteentenantcomptede la force et de la direc-tion du vent, du relief, etc. (figure2). COMMENT CHOISIR SON DISPOSITIF DE FILTRATIONSauf cas particuliers, les

sites de productions de cartes électroniques ne relèvent pas de la régle-mentation des installations classées. Le traitement des fumées de brasage (ou de collage) est donc à la portée de toutes les entre-prises, quelle que soit leur taille. Dans lamajorité descas, un système efficacede ventilation locale par aspiration à la source sera suffisant. Les outils d’infor-mation de l’INIRS (utilisés pour la réalisation de ce dossier), le soutien opéra-tionnel des CARSAT et le recours à un professionnel reconnu (voir ci-après les Experts du Club des Par-tenaires du SNESE et les adhérents du GFIE) per-mettentaujourd’huidefaireles bons choix conciliant les impératifs économiques et de production, le confort et la protection du personnel.Le facteur humain, dans le choixd’unsystèmedefiltra-tion n’est pas à négliger : il reste surprenant de consta-ter que certains utilisateurs trouvent normal de travailler sur des machines à braser à la vague ou des fours de refusion dépourvues de systèmes efficaces d’ex-tractionetdefiltrationetquisont réticents à pratiquer le brasage manuel alors que le poste de travail est équi-

pé de protections déclare Patrick Amat de Weller Tools. Philippe Albrieux, président de CIF, autre expert en la matière tient le même langage : les dis-positifs de filtration ontencore beaucoup de mal à entrer dans l’industrie électronique,carjugésinu-tiles car non productifs par le dirigeant de l’entreprise ou considérés comme une gêne par l’opérateur qui trouve son poste de travail déjà suffisamment encom-bré !Il faudra donc veiller à ce que le dispositif choisi ne présente pas de gêne pour l’opérateur qui aura alors tendance à ne pas l’utili-ser correctement, et être convaincu que l’investisse-mentd’unsystèmedefiltra-tion est préférable à l’appli-cation d’un code risque professionnel rédhibitoire par la CNAMTS. Certaines régions CARSAT appor-tant des aides financières directes pour ces inves-tissements, ou via des conventions nationales d’objectifs telles que celleen cours de négociation par le SNESE au bénéficede ses adhérents.

Les systèmes les plus effi-caces seront équipés d’un filtre HEPA (acronyme an-glais pour High EfficiencyParticulate Air). La déno-mination HEPA s’applique à tout dispositif capable de filtrer, en un passage, aumoins 99.97% des parti-cules de diamètre supérieur ou égal à 0.3 µm². Ce typede filtre est tout àfait adapté aux polluants particulaires tels que les oxydes d’étain, de cuivre et de zinc, de cadmium et de plomb, mais également à la colophane.

Fig. 2 : rejeter l’air pollué en dehors des zones d’entrée d’air neuf d’après l’ACGIH [5])

Page 21: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 21

Page 22: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

22 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

Pourprotégerefficacementdes polluants gazeux, prin-cipalement issus des fluxde brasage, le système de protection sera équipé d’un filtre contenant des gra-nules de charbon actif et du permanganate de potas-sium. La quantité devra être suffisante pour respecterun temps minimum de pas-sage de l’air vicié dans le filtre.Certains flux, certains al-liages peuvent dégager des polluants gazeux qui ne seront pas captés par le mélange charbon actif + permanganate de potas-sium. Faire le choix d’un bon filtre,c’estd’abordavoirune parfaite connaissance des polluants à traiter. Cette in-formationfiguresurlafichede données de sécurité qui doit être obligatoirement fournie par le fabricant du flux ou du brasage ou deson distributeur (réglemen-tation Reach). Lors d’un essai avant achat, pour vérifier l’efficacité dufiltrage des polluants ga-zeux,ilsuffitderespirerl’airrejeté qui doit être totale-ment inodore.

Bien filtrer, c’est d’abordbien capter ! précise Phi-lippe Albrieux (CIF). En appliquant ce principe élé-mentaire, il sera plus facile de choisir l’appareil le mieux adapté : dispositif de table, centrales autonomes, dispositifs intégrés, …

Les dispositifs de tableLes fumées sont aspirées par un petit tube intégré au fer. Elles sont ensuite filtréesparunecentraledetable.Les + : Le principal avan-tage est l’extraction des fumées à la source. Il existe autant de modèles de tubes d’aspiration que de mo-

dèles de fer à braser.Les - : Le tube d’aspiration alourdit le poids du fer et peut gêner l’opérateur.Efficacité : supérieure à 99%

Les centrales auto-nomesChoisies pour traiter un volume important, les cen-trales peuvent regrouper plusieurs postes de travail et bras d’aspiration. Unegamme importante d’ac-cessoires permet d’adapter le système à l’environne-ment spécifique du postede travail. Plusieurs cen-trales peuvent être raccor-dées à une hotte ou une cabine – la cabine présen-tant l’avantage de confinerl’effluentetdeprotégerdescourants d’airs.Les + : volume traité impor-tant, grande variété d’ac-cessoiresLes - : coût d’acquisition élevéEfficacité : supérieure à 95%

Les dispositifs intégrésIl s’agit le plus souvent de centrales autonomes four-nies (de base ou en option) par le fabricant d’un équi-pement de production tel qu’une machine à graver, un four de refusion ou une cabine de vernissage.Les + : les effluents sontcaptés et traités à la sourceLesfiltresnesontpas tou-jours d’une qualité suffi-sante et l’approvisionne-ment peut être aléatoire.

Lors du choix d’un appareil, un essai en situation réelle et in situ est indispensable. Outre les vérificationsd’usage, il convient d’être particulièrement attentif à l’étanchéité de l’appareil, seule garantie que la tota-litédel’aircaptésoitfiltrée.

Vérifierégalementleniveausonore.Etenfin,nepasselaisser impressionner par des caractéristiques telles que la puissance en watt des moteurs assurant l’as-piration. C’est l’aspiration à la colonne d’eau qu’il faut prendre en compte !

Sources d’information et bibliographieL’institut national de re-cherche et de sécurité (INIRS)C’est un organisme scien-tifique et technique, quitravaille au plan institution-nel, avec la CNAMTS, les CARSAT, CRAM, CGSS et plus ponctuellement pour les services de l’état s’oc-cupant de prévention des risques professionnels.L’INRS élabore et diffuse des documents qui sont distribués par les CAR-SAT de votre région. Pour réaliser ce dossier, nous avons consulté les aides mémoires suivants :Les Cahiers de l’Indus-trie Electronique & Numérique n°74 – mars 2013ED 6132 – les fumées de soudage et des techniques connexesFAR15–soudage/brasagedes métauxED 122 – le brasage tendre Les Cahiers de l’Indus-trie Electronique & Nu-mérique n°76 ED 695 – les principes gé-néraux de ventilation[1] Aération et assainisse-ment des lieux de travail. Aidemémoirejuridique. Paris – INIRS – TJ5, 2004[2] Valeurs limites d’ex-position professionnelle aux agents chimiques en France. Paris – INRS – ED984 – 2007[3] Guide pratique de ven-

tilation n0 1. L’assainisse-ment de l’air des locaux de travail. Paris – INRS – ED 657 - 1989[4] McDermott H.J. – Hand-book of ventilation for contaminant control, 1ère éd. New York Industrial Press - 1963[5] ACGIH. Industrial Venti-lation. A manual of recom-mended practice, 25ème éd. Lansing – American conference of Governmen-tal Industrial Hygienists - 2004

Les Experts du Club des Partenaires du SNESELATEM – spécialiste de la prévention des risquesDominique Segura+33 (0)9 81 43 34 [email protected]

CIF – fabricant d’outils pour les métiers de l’électroniquePhilippe Albrieux+33 (0)1 39 66 96 [email protected]

WELLER TOOLSPatrick Amat+33 (0)1 64 43 22 [email protected]

SDEP ACELaetitia Chapon+33 (0)1 30 90 00 [email protected]

Autres fournisseurs :Privilégier les fournisseurs signataires d’une charte professionnelle comme celle du GFIE – groupement des fournisseurs pour l’in-dustrie électroniquewww.gfie.frwww.lignevirtuelle.com

DOSSIER > BRASAGE

Page 23: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 23

O PTIQ

UE / P

HOTO

NIQ

UE

HYPERFREQUENCE

S / W

IREL

ESS

/ AN

TEN

NES

MESURE / V

ISIO

N / M

ÉTRO

LOG

IE

ELECTRONIQUE / SYSTE

MES

EM

BARQ

UES

/ M

2M

8-9-10OCT 2013 Hall 7.2 - Paris expo

Porte de Versailles

PARIS

MÊMES DATES MÊME LIEU :

Dans

le ca

dre

de enova,l’

évén

emen

t de

l’inn

ovat

ion

pour

la re

cher

che

et l’

indu

strie

Demandez votre BADGE GRATUITwww.enova-event.com

VISITEUR

8-9-10OCT 2013

Paris expo

Porte de Versailles

France - Hall 7.2

enovaParis 210x297h 25/03/13 14:43 Page1

Page 24: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

24 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

AOI:EUROPLACER joue l’alliance gagnante 2D-3D avec la MV9 de MIRTECDans le domaine de l’ins-pection optique auto-matique, la 3D a le vent en poupe. La 2D n’en reste pas moins son com-plément nécessaire et indispensable pour une inspection optimale. C’est le défi relevé par Mirtec en rassemblant les 2 technolo-gies en une seule machine. La 3D a fait une remarquée dans la sphère de l’inspec-tion automatique des com-posants. En cause, la minia-turisation des composants et la densité de ceux-ci sur des cartesàhautevaleurajou-tée. Pour Teddy Chusseau, responsable des produits Mirtec chez Europlacer, l’enjeudela3Destladétec-tion des «faux défauts», alliée à une programma-tion simple et rapide. Les petites séries nécessitent des changements fréquents de programmation, plus complexes compte tenu du nombre et de la diversité des cartes. L’AOI permet de détecter l’absence ou le placement défectueux des composants, l’absence de soudure et de marquage, ainsi que la qualité des sou-dures, et tout particulière-mentdesdéfautsjusquelàindiscernables par les tech-niques classiques, à savoir les «pierres tombales» et les pattes relevées, qui sont des vides entre la patte et la soudure qui génèrent des intermittences dans la connexion. En outre, l’AOI détecte les polarités et l’ab-

sence de condensateurs de découplage. Ainsi, l’AOI est devenue irremplaçable : pour les clients d’un sous-traitant, elle est garante de l’irré-prochabilité du niveau du contrôle qualité, souligne Alain-Michel Ceretti. C’est pourquoi la 3D ne peut se suffireàelle-même:elleestcomplémentaire des équi-pements en 2D.

Des technologies qui vont très viteC’est la force de la MV-9 de Mirtec qui présente la par-ticularité de réunir en une seule machine une inspec-tion en 2D et 3D. Pour ac-complir cette performance la machine est équipée d’une caméra octogonale de 15 millions de pixels pour la vision 2D et en 3D et de 4 caméras inclinées. Pour la 3D spécifiquementelle est dotée de caméras appelées projecteurs, detechnologie identique à celle du cinéma ou de la té-lévision, qui vont permettre de reconstituer l’image, à partir d’une capture des données visuelles et d’une reconstruction numérique en temps réel. Le système de vision comporte des capteurs qui sont en fait des anneaux d’éclairage au nombre de 6 en orientation horizontale et verticale, en lumière rasante et frontale, en blanc et dans les cou-leurs primaires que sont le jaune,levert,lerougeetlebleu. Avec cet arsenal, la

machine est en mesure de générer avec sa caméra et une lentille de 8 micro-mètres l’inspection des composants de 0,1 mm et de 0,2 mm, mais aussi le 0,3mmpourlesfinepix.Ceque l’on ne savait pas faire dans de bonnes conditions avec une machine équipée d’une caméra à 5 millions voir de 10 millions de pixels.Alain-Michel Ceretti consi-dère que les outils de pose de composants sont arri-vés à un niveau satisfaisant dans l’état de l’art. «Par contre, le niveau d’équipe-ment en termes de contrôle qualité est encore faible et fait la différence. Nous sommes sur des technolo-gies qui vont très vite.

Mirtec a démarré en 2006 et c’était un nouveau dans l’industrie électronique, un inconnu. En 6 ans il est de-venu le numéro 1 mondial, avec des clients comme Apple, Bosch, Airbus ...Teddy Chusseau soutient que la 2D a encore toute sa place dans l’AOI, puisque «3/4 des contrôles y sontinclus». La partie 3D est opérante sur les compo-sants comme les BGA ou les boitiers QFN, où l’on doit vérifier que le composantest bien plaqué et copla-naire par rapport à la carte. «Sur une machine 3D, vous pouvez analyser totalement le composant».

DOSSIER > PRODUCTION

Par Dominique LEMIÈRE, reporter.

Page 25: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 25

Pour Teddy Chusseau, la programmation de la MV-9 de Mirtec est facile, car elle s’abstrait de la hauteur de chaque composant : «Ce sont les différences visibles qui lors du contrôle d’un point à un autre du com-posant qui signalent une anomalie. Si le composant est mal plaqué, il n’est pas parallèle à la carte. Cela signifie que vous avez unproblème de soudure».

Le concept du «zéro dé-faut» : oui mais ...Pourtant, à son avis, l’éradi-cation totale du faux défaut n’est pas exactement à l’ordre du jour, 3D ou pas.Ainsi, « la soudure sur un pas fin ressemble grossiè-rement à une boule. Mais si surcepasfinlecomposantest mal plaqué sur la carte, vous verrez aussi une boule, mais ce ne sera pas pour autant un défaut. Dans ce cas, il vaut mieux laisser la carte sortir «en défaut», et la mettre sous la binoculaire, même 10 cartes de suite, ceseratoujoursungaindetempsaufinal.Onseréfèreà l’IPC 2 ou 3, ce sont les limites acceptables qui font la différence». Teddy Chusseau souligne qu’à ce jour, la MV-9 deMirtec est la seule a offrir 15 millions de pixels, «en série, on est plutôt chez les concurrents à 5 millions de pixels». Et Mirtec n’a pas dit son dernier mot, puisque l’entreprise coréenne vient d’acquérir la société pro-ductrice des optiques qu’elle utilise. Le fabri-cant coréen souhaite ainsi proposer des équipements dotés de 25 millions de pixels, sans pour cela se voir disqualifié par un coûtà la vente supérieur à celui pratiqué par ses concur-rents.

Scaelec : retour d’expé-rience sur la MV-9 de Mir-tec Thierry Moreno, est le pre-mier industriel en France, patron d’une PME, SCAE-LEC, a avoir fait l’acquisition d’une AOI 3D. La sienne est une MV-9.«Nous sommes des pion-niers de l’AOI ! Nous en avons fait l’acquisition dès lafindesannées90.C’estun secteur que je surveilledepuis presque 20 ans, à l’époque c’étaient de vraies usines à gaz, mais cela m’a toujourspassionné.Al’oréedes années 2000, il y a eu de grands progrès dans l’ima-gerie et dans l’informatique, et lesAOIontfleuride toutcôté. L’interface utilisateur s’estsimplifiéeetiln’yavaitplus besoin d’être ingénieur pour réaliser la program-mation et faire fonctionner ces machines. Nous avons en conséquence investi dans une machine à cette époque, mais cette pre-mière machine est devenue obsolète très rapidement, car les boitiers se miniatu-risaient et la machine n’était pas conçue pour cela. Il y a 2 ans, nous avons déci-dé d’investir dans une nou-velle machine. Nous avons fait du benchmark et nous avons jeténotredévolusurMirtec. Mais à ce moment, Mirtec a annoncé l’arrivée imminente d’un équipement de 3D. Nous nous étions déjàintéressésàla3D,mais

nous avons constaté que le produit n’était pas encore mûr, il n’y avait qu’un seul acteur sur le marché, nous avions fait un petit bench-mark qui s’était soldé par un échec. Aussi lorsque nous avons su que la machine Mirtec que nous avions rete-nue allait implémenter la 3D en sus de la 2D, nous en avons fait l’acquisition avec lagarantiedebénéficierdela 3D dès qu’elle sortirait.»Thierry Moreno a apprécié les mesures dimension-nelles de hauteur, et tout particulièrement un défaut «mal ou non détecté par les systèmes classiques, la patte levée, qui avec une machine 2D brille normale-ment», la capacité du sys-tème à mesurer la hauteur relative par rapport à la surface du circuit intégré, la précision à 10 microns qui permet de mesurer la copla-narité d’un BGA par rapport au circuit imprimé. «C’est un indicateur très efficacepour la détection d’un dé-faut de brasage d’un BGA d’un QFN ou de tout autre composant en connexion cachée. il y a bien d’autres applications qui requièrent un recours à la 3D, par exemple les tout petits com-posants qui offrent si peu de contraste par rapport à la surface de la carte qu’on va avoir du mal à savoir en AOI 2D s’ils sont bien là, et soudés au bon endroit. Uncertain nombre d’applica-tions permettent de choisir ou non le mesurage en 3D.»Thierry Moreno considère que la mise en œuvre de la 3D ne complique pas le processus de programma-tion. Mirtec est aussi per-formant dans son support client. Ainsi le fabricant peut prendre la main sur la machine pour une opéra-tion de calibrage, une mise à jour logicielle.«Leniveau

d’implication de Mirtec est très positif. Lorsqu’on ren-contre un problème qui nécessite les compétences du constructeur, il est résolu trèsefficacement».

REPERES : LES GRANDES ETAPES DE

L’AOI

- Fin des années 90 : Aug-mentation de la puissance des caméras- 2006 : métamorphose des logiciels : le programme d’une carte standard de 300 X 150 nécessite plusieurs jours de programmation (aujourd’hui 1/2 journée suffit) et amélioration si-gnificative des logiciels de programmation- 2008 : Caméras inclinées, non satisfaisantes pour les QSP avec pour consé-quence le renforcement de puissance des lasers optique- 2012/2013 : Arrivée de la 3D, fin de l’emploi des lasers et des caméras incli-nées, retour à une optique unique

INSPECTION DES CARTES ÉLECTRONIQUES AVEC LES FORMATIONS DE

L’IFTEC

L’IFTEC propose une for-mation en 3 jours sur les «Systèmes d’inspection et de contrôle des cartes élec-troniques» qui synthétise les matériels les plus cou-rants : machines AOI et AXI (Rayons X). Sont abordés : la microscopie acous-tique, le thermographie infrarouge, la microscopie optique et électronique.Prochaine session : du 15 au 17 octobre 2013

Page 26: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

26 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

Europlacer Industries SASRoute de Cholet

85620 RocheservièreTél: 02 5131 0303Fax: 02 5106 5612

Email: [email protected]

Europlacer DistributionAvenue de l’Océanie

91968 Courtaboeuf CédexTél: 01 6446 6265Fax: 01 6446 6257

Email: [email protected] www.europlacerdistrib.com

Depuis plus de 30 ans, EUROPLACER vous accompagne dans vos investissements, grâce à une offre globale d’équipements de production.

Avec 70 personnes en France, réparties entre Nantes, Paris et Lyon, Europlacer vous garanti une proximité de service unique sur le territoire national.

Sérigraphie, Inspection 3D de la sérigraphie, pose de composants CMS, four de refusion, inspection AOI, transitique ou vague sélec-tive, avec plus de 1000 machines en pro-duction en France, Europlacer, constructeur et distributeur, s’impose comme la référence pérenne pour la fourniture d’équipements de production adaptés aux petites et moyennes séries dans l’industrie électronique.

iineo AOI MV3LSP 210avi

XPii

iico SP 710 avi Four de refusion BTU

AOI 2D/3D MV9

Transitique SOVTECH

StandL 75

Pub-cahiers-ST-2013.indd 1 10/09/2013 09:14:24

Page 27: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 27

Europlacer Industries SASRoute de Cholet

85620 RocheservièreTél: 02 5131 0303Fax: 02 5106 5612

Email: [email protected]

Europlacer DistributionAvenue de l’Océanie

91968 Courtaboeuf CédexTél: 01 6446 6265Fax: 01 6446 6257

Email: [email protected] www.europlacerdistrib.com

Depuis plus de 30 ans, EUROPLACER vous accompagne dans vos investissements, grâce à une offre globale d’équipements de production.

Avec 70 personnes en France, réparties entre Nantes, Paris et Lyon, Europlacer vous garanti une proximité de service unique sur le territoire national.

Sérigraphie, Inspection 3D de la sérigraphie, pose de composants CMS, four de refusion, inspection AOI, transitique ou vague sélec-tive, avec plus de 1000 machines en pro-duction en France, Europlacer, constructeur et distributeur, s’impose comme la référence pérenne pour la fourniture d’équipements de production adaptés aux petites et moyennes séries dans l’industrie électronique.

iineo AOI MV3LSP 210avi

XPii

iico SP 710 avi Four de refusion BTU

AOI 2D/3D MV9

Transitique SOVTECH

StandL 75

Pub-cahiers-ST-2013.indd 1 10/09/2013 09:14:24

Page 28: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

28 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

EUROPLACERCMS iico : une nouvelle vie pour d’anciens équipements Indestructibles, les équi-pements de pose de CMS d’Europlacer, retravail-lés pour s’adapter aux contraintes de la techno-logie moderne, reprennent du service

Tout est parti d’un constat : jusque dans les années2000, Europlacer a fabri-qué pendant près de 10 ans des machines de pose CMS EP600 et Progress6. Malgré l’importante évolu-tion des technologies ces équipements sont encore utilisésgrâceà leur légen-daire robustesse. A 15 ans, en électronique, on est très âgé. Songez que ceséquipements n’ont connu pour plus petit boitier, que le 0402, qu’ils sont nés avant l’invasion des BGA, que leur cadence de pose étourdissait avec ses 30000 cp/h.Touteuneépoque!

Petit à petit, beaucoup ont pris leur retraite et sont revenus chez Europlacer, remplacés par des ma-chines plus petites, plus rapides. Chez Europlacer, la mise au rebut de ces jeunes retraités pose pro-blème. Alain-Michel Ceretii a l’idée de leur donner une seconde vie : pourquoi ne pas reconstruire une ma-chine neuve à partir des châssis?«Onm’aprispourun rêveur». Mais le bureau d’études a travaillé sur le projet,etlatechniqueapar-lé : oui, c’était parfaitement concevable.

La plate-forme iico, dé-diée à l’upcyclage* des machines, a vu le jour. Fin2012, cinq machines ont été reconditionnées. Appe-lées CMS iico, elles sont en-tièrement compatibles avec l’ensemble de la gamme. Toutes les pièces méca-niques critiques ont été remplacées et de nouveaux encodeurs installés sur les axes X et Y pour augmen-ter la précision de place-

ment. Le magasin à buses comprend à présent 40 positions et accueille des buses codées. La nouvelle tête, entièrement modifiée,est équipée d’un barillet à 8 positions avec capteurs optiques et caméras nu-mériques haute résolution. En termes de logiciels, les versions les plus récentes sont installées sur un PC neuf. Même le capot de la machine, avec écran plat

et panneau de commande, est totalement différent de celui d’origine.

En allant du boitier 0201 au format 50 X 50 en standard, la gamme de com-posants posés par la ma-chine iico est très étendue : chips, MELFs, condensa-teurs électrolytiques, SO, PLCC, QFP, TSOP, QFN, BGA, BGA, LGA, CSP, connecteurs exotiques, du

DOSSIER > PRODUCTION

Par Dominique LEMIÈRE, reporter.

Page 29: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 29

0201(0,5X0,25mm)à50X50 mm standard.

«Avec une iico, assure Alain-Michel Ceretti, on acquiert tous les avan-tages et les services d’une machine neuve, et comme le carénage a déjà étépayé, elle est moins chère ; c’est une plate-forme tech-nologique à moindre coût que nous proposons.

L’expérience de SystechSystech est une entreprise de sous-traitance d’Eure-et-Loir. Son directeur général, Vincent Fanon, a fait l’ac-quisition d’une machine de pose iico.

«C’est une machine qui est deux fois moins rapide que l’INEO de Europlacer, qui est censée poser les com-posants à la cadence de 15 à 20 000 cp/h. Mais nousfabriquons des cartes pour lesquelles nous n’avons pas besoin d’une telle pro-ductivité. En tant que Beta-testeurs, nous avons du opérer quelques réglages sur la machine, elle a été déboguée et elle marche super bien aujourd’hui. Ilfaut souligner qu’au point de vue des caractéristiques techniques, elle est iden-tique à une INEO, c’est à dire 2 caméras pour poser le composant et l’on peut descendre à des tailles de composants intéressantes, par exemple du 201, le 402 étant sa limite.

Nous utilisons l’iico pour les petites séries. Nous avons un marché de petites quanti-tés de très haute qualité, du prototype et de la présérie, avec des quantités limitées à 10 cartes nous n’avons pas l’utilité d’une machine quipose15000cp/h.Ce à quoi l’on n’est plus ha-

bitués, c’est le convoyage mécanique, qui péche par son absence de souplesse et par son niveau sonore beaucoup plus élevé que celui d’un convoyage pneu-matique.

Nous sommes équipés de 3 machines de placement, et Europlacer nous a toujoursdonné satisfaction, il y a tou-jours quelqu’un pour nousaider à résoudre un pro-blème si l’on en rencontre. EUROPLACER est un vraipartenaire.

Securlite : un choix éclairéCédric Poirier est respon-sable d’une société fami-liale indépendante, située à la Ferté Bernard dans la Sarthe. Le site de produc-tion couvre près de 4 000 m2. On y fabrique des lumi-naires, mais depuis près de 3 ans, Securlite emploie des LED dans sa production.

«Nous avons commencé par sous-traiter nos LED, mais nous avons le souci de maîtriser le process de fa-brication de nos luminaires de bout en bout. Nous n’avions pas les com-pétences humaines sur place et nos avons mis 3 ans à être au point en ce domaine. Ensuite, nous avons décidé d’acheter du matériel pour poser les

composants. Ce qui a été l’élément déterminant, c’est que Europlacer fabrique en France. Nos luminaires sont labellisés «origine France». Nous avions aussi besoin d’un support formation de proximité. Europlacer pré-sente l’avantage de bien connaître les PME, ils ont bien compris nos attentes, comme notre budget et notre souhait de faire l’achat d’une machine polyvalente : nous avions besoin d’un matérieluniqueetefficient.

L’iico répond à notre cahier des charges. Par rapport à nos besoins, elle est bien adaptée car elle est évolu-tive : les luminaires sont de plus en plus gourmands en électronique,etgrâceàcetéquipement nous pouvons apporter davantage de flexibilitéànosproductions,et surtout permettre à notre équipe de R&D de réaliser des prototypes et de les tes-ter sur place. Comme dans beaucoup d’industries, nous nous de-vons, si nous voulons res-ter au top, d’avoir toujoursun cran d’avance sur nos concurrents. Les gains de temps et de productivité ne sont donc pas accessoires pour nous.

La démarche citoyenne d’upcyclage ne m’a pas laissé indifférent et a pesé dans la balance. Je pense que nous avons de très bonnes compétences en France, et nous préférons payer un peu plus cher pour faire travailler un fournisseur français, parce qu’on est sûr d’avoir un produit de qualité.J’apporte aussi de l’impor-tance à la communication, et avec Europlacer cela s’est très bien passé. Nous avons exposé nos craintes, nos doutes, nous avons mis près d’un an à valider notre projet;maisauregarddecequ’Europlacer pouvait nous apporter en termes d’aide au démarrage en service après vente, la balance a penché vers ce fournisseur.Cet investissement est pour nous stratégique, et nous allons en tirer un très bon parti.

*Upcycler est un mot fran-cisé venant de l’anglais «upcycle» qui veut dire recycler, réutiliser vers le haut. Upcycler, c’est donc se réapproprier un objet deve-nu inutile et lui donner une nouvelle vie.

Page 30: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

30 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

Unelongueurd’avance sur

la concurrence SMART Solution optimise systématiquement et efficacement les réductions de coûts de la production CMS

Le marché demande la plus haute flexibilité aux fabricants d’électronique. La vitesse de placement n’est pas le seul paramètre qui influence les coûts de production : il y a aussi la mise en réseau, l’intégra-tion, les possibilités de simulation, la flexibilité de la machine. SMART Solution de Essemtec est le premier système modu-laire qui permet une totale optimisation de la produc-tion CMS.

SMART Solution de Essem-tec est un système holis-tique, modulaire et flexibled’outils à la fois matériels et logiciels s’associant et inte-ragissant ensemble et des-tinés à la production CMS. SMART Solution apporte les fonctions fondamentales re-quises pour organiser une productionflexible,soutenirune croissance et s’adapter rapidement à des besoins d’évolution (Fig. 1).

Plus de productivité pour la même vitesse de ma-chineLa production CMS mo-derne est confrontée à différents challenges. Les marges, les délais de livrai-son et la taille des lots rétré-cissent tandis que la variété des produits augmente. La plupart des fabricants doit également faire face à une demande croissante de tra-

çabilité, de contrôle de l’hu-midité dans les composants et un suivi en temps réel du stock.

Seule, la vitesse de place-ment n’apporte pas la ga-rantiedel’efficacitéetdelarentabilité de l’assemblage CMS. De nombreux autres facteursviennentinfluencerau moins autant la producti-vité et les coûts de produc-tion. De ce fait, de nouvelles méthodes sont nécessaires dans la fabrication élec-tronique car le procédé d’assemblage est seule-ment une partie de l’en-semble des composantes matérielles et logicielles qui peuvent contribuer à amé-

liorer le TRS (Taux de Ren-dement Synthétique). C’est là que SMART Solution fait la différence. Le système fournit les outils et les fonc-

tions nécessaires à l’as-sembleur pour obtenir plus de son investissement, pour réduire encore les coûts et augmenter durablement la qualité.

Eviter les erreurs de l’opé-rateurRendre simple l’utilisation de machines complexes est la clé de la réduction des erreurs humaines. Une in-terface graphique sur dalle tactile telle que la technolo-gie eeZ (easy) d’Essemtec est une solution moderne et efficace. Ilsimplifie l’entréedes données correctes et permet des opérations in-tuitives comme un zoom, un déplacement ou une sélec-tion de données. L’interface utilisateur de SMART Solu-tion est multilingue et inclue des sessions de forma-tion en ligne. La structure

DOSSIER > PRODUCTION

Author : Adrian Kûhnis, Azular GmbH, Switzerland

Exemple d’intégration d’une solution fonctionnelle complexe dans le Seica «CompactMulti»

Fig. 1 La suite logicielle SMART Solution fournit les fonctions fondamentales nécessaires pour gérer une production flexible, soutenir la croissance et s’adapter rapidement à des demandes changeantes.

Fig. 2 : ePlace - l’interface graphique tactile de Essemtec, outil d’une production moderne et efficace.

Page 31: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 31

Industriels de l’électronique, vous générez des déchets, ces déchetssont soit des mines de matières premières réutilisables, soit desdéchets à éliminer. Dans tous les cas et dans votre intérêt, cesdéchets doivent être confiés à une société dont c’est le métier.

Depuis 1985, Chimie Circuit propose une solution à ce besoin degestion globale des déchets.

Chimie Circuit traite et valorisa les déchets contenant des métauxprécieux et non ferreux : circuits imprimés, composantsélectroniques, cartes et équipements électriques et électroniques,étain et étain plomb, etc.

Chimie Circuit vous assiste également dans la gestion (collecte etlogistique) de vos déchets dangereux conditionnés : emballagesvides et/ou souillés, fûts métalliques, pâteux et liquides organiques,résines, silicones, isocyanate, etc.

Parc d’Entreprises La Radio – F28 100 DreuxTéléphone : 02 37 38 30 28

Courriel : [email protected] internet : www.chimie-circuit.fr

En matière de gestion des déchets, vous avez besoin de notre expertise

Page 32: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

32 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

logique et l’aide contextuelle rendent également aisée la prise en main. (Fig. 2).

Les opérateurs retrouvent la même interface et la même structure sur toutes les ma-chines, des machines de report, à celles de dosage ou sur les stations de pro-grammation hors ligne. Ceci garantit une implica-tion élevée des collabora-teursgrâceauxopérationssystématiques et la simpli-cité d’utilisation. De plus les coûts de formation sont minimisés.

La mise en réseau d’une machine présente de nom-breux avantages, comme celui par exemple d’utiliser des outils de prise en mains à distance qui permettent d’apporter une assistance professionnelle au moment où cela est exactement nécessaire. La prépara-tion de la production peut être menée hors ligne sans interrompre celle en cours. Les fichiers de productionpeuvent également être déployés simplement vers

différentes lignes de pro-duction voire différents sites de production.

La production peut com-mencer plus tôt.La flexibilité est de la plushaute importance. Ainsi, un système de chargeurs intel-

ligents pour les machines de report est impératif, des chargeurs qui peuvent aussi être échangés en cours de production (rem-plaçables à « chaud »). Ce type de chargeurs permet à la production de démarrer plus tôt puisque la prépara-tion de la machine peut être terminée en parallèle à la production en cours.

La mise en place d’une identification par codesà barres a augmenté la vitesse de préparation des chargeurs (Fig. 3). Unchargeur est programmé simplement par le scan de deux codes à barres, l’un pour le chargeur l’autre pour la bobine de compo-sants. Après cette opéra-tion, le chargeur peut être monté sur n’importe quelle machine : le bus de com-munication des chargeurs connaitra immédiatement et automatiquement le type de chargeur, le type de composant, le stock restant et les positions de prise.

Le temps de programma-

tion peut être réduit par l’im-portation directe des don-nées CAO. Le convertisseur universel SMART CAD crée les programmes de report et de dosage directement à partir des données CAO de la carte. Une visuali-sation réaliste de la carte

programmée permet éga-lement un contrôle et une correction du programme avant de placer le premier composant.

Réduire l’investissement en associant les procédésLe concept SMART Solu-tion réduitde façonsignifi-cative les coûts d’une ligne de production CMS. Unedes raisons vient de ce que moins de machines sont nécessaires. Une machinede report d’Essemtec pla-cera tous les composants du petit 01005 au très gros gros IC et autres connec-teurs. De plus la machine peut recevoir des valves de dosage. Une seulemachine en remplacement d’un ensemble chip shoo-ter, machine de dosage et machine pour gros compo-sants.

Tout type de valve de do-sage peut être installé tel que Jet-valve, vis d’Archi-mède, temps pression. La valve piezo extrêmement rapide permet de doser jusqu’à120000pointsparheure. La valve de dosage de crème à braser permet d’économiser les onéreux pochoirs étagés puisqu’elle permet l’ajout en ligne de

crème à braser. Grâce àla base de données des différents fluides, les pro-grammes de dosage pour la colle et la crème sont

générés automatiquement à partir des données de report.

Uneautreéconomiepoten-tielle est liée aux chargeurs. Les chargeurs SMART à largeur réglable sont éga-lement très appréciés puisqu’ils peuvent rece-voir différentes largeurs de bandes. Ils améliorent la flexibilité et réduisent lescoûts puisqu’ils n’obligent pas à l’achat de chargeurs dédiés aux différentes lar-geurs et réduisent la quan-tité totale de chargeurs en production. Les chargeurs SMART peuvent être échan-gés en cours de production ce qui rend inutile l’utilisa-tion de chariots. Simuler pour améliorer le rendementLaplusflexibledemachinedevient inefficacesi lapla-nificationestchaotiqueousides composants sont man-quants.Uneplanificationin-telligentedestâchesetdesarrangements de chargeurs tout autant que le contrôle précis des composants en stock offre potentiellement de larges augmentations de rendement.

SMART Solution utilise des algorithmes spéciaux pour simuler et optimiser à l’avanceletravailentâchesmultiples. Les deux para-

DOSSIER > PRODUCTION

Fig. 3 : Identification par codes à barres pour une préparation des chargeurs rapide et sans erreur

Fig. 4 : Ligne de fabrication optimisée pour un rendement amélioré

Page 33: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 33

mètres position optimale des chargeurs et nombre de changement de char-geurs entre les lots peuvent être équilibrés entre eux afin de choisir la meilleurestratégie de production. En simulant et en optimisant la production, les machines peuvent produire sans in-terruption.

L’association de chargeurs intelligents, de la gestion des machines et du stock permet un contrôle total des composants du stock et des dates d’expiration. Les opérateurs peuvent prépa-rer les composants sortants lorsque c’est nécessaire ou préparer des composants spéciaux avant qu’ils ne soient demandés. (Fig. 4).

Suivi MSL en continuLes composants sensibles à l’humidité ne peuvent rester que peu de temps sans protection. Ce temps d’exposition est défini parla norme IPC/JEDEC J-STD-20. L’enregistrement du temps d’exposition est crucial pour de nom-breuses applications de l’électronique médicale ou aéronautique. Le logiciel de SMART Solution enregistre automatiquement les don-nées nécessaires et calcule

le temps d’exposition res-tant. En addition le système de stockage d’Essemtec, Tower, peut fournir une at-mosphère sèche et contrô-lée où les composants sen-sibles peuvent être stockés sans protection (sachets à barrière de vapeur). Selon le principe FiFo (first-in,first-out), le logiciel garan-tit que les composants les plus anciens sont utilisés en priorité.

Sécurité du procédéLe taux de défaut d’un pro-cédé dépend de nombreux facteur et SMART Solutions minimise la plupart d’entre eux. Les erreurs humaines sont éliminées en fournis-sant une interface utilisa-teur très simple d’utilisation avec des niveaux d’accès

protégés par mot de passe et en fournissant des aides en ligne contextuelles. L’uti-lisation de codes à barres pouridentifierleschargeurset les composants élimine les erreurs de chargement. Les positions de prise et de placement sont surveillées et corrigées en continu.

Des caméras offrent un suivi des composants de la prise au placement. Les machines de sérigraphie sont équipées d’inspection

2D et les machines de do-sage intègrent un contrôle en boucle fermée de la taille des points.

Une unité de vérificationdes composants (Compo-nent Verification Unit ouCVU) mesure la valeur (etla polarité) des résistances, condensateurs, diodes et transistors avant le place-ment (Fig. 5). Enutilisant leCVU, la tolé-rance de chaque compo-santpeutêtrevérifiéeavecune très grande précision ou un échantillon peut être testé après un changement de bobine. Voilà quelques unes des caractéristiques et outils qui sont dispo-nibles à partir de SMART Solution afin de garantirun procédé de production contrôlé,stableetfiable.

Communication avec l’ERP SMART Solution commu-nique en temps réel avec les machines et peut re-op-timiser la production auto-matiquement. Il équilibre les modules et distribue les tâches sur d’autres lignesde production.

Cependant, SMART Solu-tion n’est pas seul dans l’univers de la production mais est en contact avec d’autres systèmes de pla-nification. La plupart desconstructeurs de machines dépendent d’interfaces avec des solutions de tierces parties : ce n’est pas le cas de SMART Solution qui prépare automatique-ment les données pour les systèmes ERP externes.

Une interface standardiséepermet l’échange de don-nées avec tous les systèmes ERP modernes. Puisque les priorités et les plans de pro-

ductions peuvent changer rapidement, il est important de maintenir l’inventaire de composants à jour, de ga-rantir un accès rapide aux produits et sauvegarder les données de production pour analyse et optimisa-tion.

Augmenter l’efficacité, rester flexibleAvant que SMART Solution ne soit disponible, augmen-ter l’efficacité n’était pos-sible qu’en investissant plus dans des machines plus rapides ou en réduisant la flexibilitéenseconcentrantsurdestâchesspécifiques.La SMART Solution intégrée d’Essemtec change cela radicalement.

Avec SMART Solution, le fabricant maintient la flexi-bilité tout en livrant les pro-duits plus rapidement et en réduisant les coûts de pro-duction. En addition le sys-tème est modulaire et peut être mis à niveau à souhait en partant d’une machine unique jusqu’à un plateaude fabrication intégré avec des machines multiples. L’investisement initial est toujoursprotégé.

Fig. 5 : Le CVU mesure la valeur (et la polarité) des résistances, des condensateurs, diodes et transistors avant le placement

Contact :ESSEMTEC Georges BOUVIER +33(0)9 60 10 39 58 [email protected] www.essemtec-france.com

Page 34: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

34 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

DOSSIER > PRODUCTION

Vernis de protection thixotropiques pour cartes électroniques

P a r m i l e s n o u v e a u x produ i ts a r r i vés sur le marché, les vernis thixotropes permettent une meilleure couverture des bords que les produits classiques contenant des solvants, en particulier lorsque les structures à couvrir sont fines et complexes. Et ce, sans compromettre la capillarité requise pour rempl i r sous les composants. Ces types de vern is sont par conséquent capables de satisfaire aux exigences énoncées ci-dessus en vue d’une protection permanente d e s e n s e m b l e s électroniques. Les vernis de protection à haute thixotropie - aussi appelés gels – sont de plus en plus util isés pour protéger les structures fines des ensembles électroniques.

Le terme thixotropie ou vis-cosité structurelle décrit un phénomène dans lequel la viscosité d’un système est abaissée par une force extérieure. Si la viscosité continue de chuter sous l’effet d’une force ou d’un cisaillement constant, on parle de thixotropie, mais si elle reste constante, on parle de viscosité structu-relle. Un exemple célèbrede cette baisse de viscosi-

té après un effort de force est la bouteille de ketchup qui doit être secouée vi-goureusement afin d’obte-nir une substance fluide.Dans les applications élec-troniques, les systèmes thixotropiques trouvent leur application avant tout par rapport aux applications de « barrage et remplis-sage»(dam&fill). Tout d’abord, dans le do-maine du revêtement de protection aussi, les sys-tèmes thixotropes présen-tent certains avantages. Le fameux dégarnissage des arêtes ou fuite du ma-tériel sur les bords aigus des broches des compo-sants peut être significati-vement réduite, voire évi-tée. Alors que l’épaisseur de la couche est réduite à quelques microns seu-lement (figure 1) pour lerevêtement par immersion d’un système non-thixotro-pique,unajustementdelathixotropie biendéfini per-met une couche presque uniforme(fig.2).Lesvernisvont également mouiller et protéger toutes les zones difficiles d’accès, tellesque les faces arrières des broches, ou les zones sous les composants. En règle générale, ce résultat est obtenu par capillarité.

En utilisant un vernis de protection spécialement formulé, un bon compro-mis peut être trouvé entre la couverture des bords et un bon étalement. Les ajustements thixotropiquess’appliquent de manière optimale dans toutes les méthodes de vernissage par spray.

Les vernis thixotropes sont également utilisés pour la méthode dite de « barrage et remplissage » (dam & fill) issue en fait de latechnologie de l’encapsu-lation. Considérant que la méthode «glob top» utili-sée pour l’encapsulation

donne une délimitation floue, la méthode de bar-rage et remplissage assure unemeilleuredéfinitiondela frontière. Cette méthode peut également être appli-quée en cas de besoins spécifiquespourunvernis-sage sélectif. Elle est prin-cipalement utilisée pour protéger contre la pénétra-tion des vernis, des zones telles que des plugs ou des composants ne devant pas être enduits. Les vernis thixotropes utilisés pour la méthode barrage et rem-plissage ont un compor-tement d’écoulement cré-meux et par conséquent différent des vernis légère-ment thixotropiques men-tionnés ci-dessus et utilisés pour une meilleure couver-ture des bords. Par l’inter-médiaire d’un dispenseur, un vernis hautement thixo-trope est appliqué pour former un barrage autour de la zone de remplissage ultérieure. L’espace confi-né est alors rempli avec un vernis à basse viscosité et bonne mouillabilité et pé-nétrabilité. Grâce à cettecombinaison, une frontière nette peut alors être déli-mitée en dépit de la bonne fluiditédusystème.Avec cette méthode, des zones ou des composants peuvent être protégés de manière sélective avec une

Dr. Manfred Suppa, Directeur R&D chez Lackwerke Peters GmbH + Co KG, Hooghe Weg 13, 47906 Kempen, Germany

Fig. 1 Revêtement sur broches après trempage avec un vernis de protection classique.

Fig. 2 Revêtement sur broches par spray avec un vernis de protection thixotropique

Page 35: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 35

couche épaisse et une fron-tière nette. Les exigences sur le vernis de barrage thixotrope sont, d’une part, liées à la démarcation nette des contours du barrage et, bien sûr, au séchage com-plet de ces couches remar-quablement épaisses. Il est important d’utiliser unique-ment des produits dévelop-pés spécifiquement pources applications, eux seuls ayants les propriétés d’iso-lation électrique similaires à ceux des vernis de protec-tion car il ne peut être exclu que les potentiels libres soient également recou-verts par ces matériaux. En raison de la forte épaisseur de la couche, le comporte-

ment pendant le cycle ther-mique nécessite également une attention particulière. En raison de leur viscosité, les matériaux de barrages

sont souvent capables d’entourer complètement les broches lorsqu’ils sont enduits.

Contact :CHIMIE TECH SERVICES +33(0)1 55 59 55 75 [email protected] www.chimietech.com

Fig. 2 Application Dam&Fil sur les broches avec un gel hautement thixotropique

Page 36: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

36 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

LES FABRICANTS D’ELECTRONIQUE

ACEA Partenaire local

La réo rgan isa t i on du s i t e de GUNDERSHOFFEN est amorcée.ACEA est partenaire sérieux dans l’activité de sous-traitance électronique. L ’ impl icat ion du personnel est quotidiennegrâceaumanagementparticipatif et visuel.

Nos prestations sont larges : •Prototypage et très petites séries •Fabrication de pré-série •Moyennes séries •Aide au développement et à la conception •Industrialisation et développement de solutions de tests

•Réparation et SAV •Achats et sourcing de la matière

Nous mettons toute notre expérience e n i n d u s t r i a l i s a t i o n e t n o t r e réact iv i té aux serv ices de nos donneurs d’ordre. ACEA répond aux exigences spécifiques de ses clients grâce à ses équipementset ses compétences techniques : •VernisUV •Potting en plusieurs phases (résine transparenteouUL) •Déverminage (étuve programmable High Tech, 98% d’humidité relative) •Développement de moyens de test customisés •Cages de Faraday

N’hésitezpasàconsulterafindevousfairebénéficierdenosservices.Noussaurons vous donner satisfaction et être à votre écoute : le prix, le délai et la qualité sont nos atouts.

Contact :ACEAThierry MOHR+33(0)3 88 09 86 05 [email protected] www.acea-ems.com

SYSTECH Objectif ISO 26000. Le fabricant de prototypes et petites séries - champion de la proximité et de l’excellence opérationnelle vise l’ISO 26000. Afin de mieux servir ses clients pendant la période estivale, l’entreprise est restée ouverte pour traiter les commandes durant leurs congés et faciliter leur reprise.

Depuis peu, SYSTECH est adhé-rentAEROCENTRE.Grâceàcepôled’excellence régionale, la société participe à des projets collaboratifsinnovants et devient plus compétitive. Lafilière,dotéedeprèsde200entre-prises au savoir-faire reconnu, permet de pérenniser, développer et structu-rer l’industrie aéronautique en région Centre.

Parallèlement, SYSTECH a été sélec-tionnée par la région Centre pour participer à une opération collective, l’ISO 26000, responsabilité Sociétale. Pendant 2 ans, la société sera sensibi-lisée et accompagnée dans la mise en œuvre des principes de la responsa-bilité sociétale selon l’ISO 26000. En y participant, SYSTECH optimisera l’utilisation de ses ressources, consoli-dera son développement économique sur un marché concurrentiel et amé-liorera les conditions de travail de ses équipes.

Avec 47 collaborateurs, SYSTECH couvre 5 domaines de compétences,

de l’étude à la réalisation de proto-types, petites et moyennes séries : Etude, conception, CAO, Achat com-posants et CI, production (3 lignes CMS, 2 vagues, 1 atelier filaire, 1atelier traditionnel, 1 service contrôle avec AOI répondant à la norme IPC-A-610E).

Sonatelierfilaireestspécialisédans:•Lemontagemécaniquedechâssis,racks, et armoires,•Laréalisationdecâbles,faisceaux,harnais, et de bancs de test.• L’intégration d’ensembles et sous-ensembles,•La précision et qualité de ces réa-lisations électroniques sont validées par des secteurs exigeants comme le médical, le nucléaire, l’aéronautique et la sécurité.

SYSTECHestcertifiéISO9001,ExpertROHS (niveau 2- SNESE), adhérent au pôle de compétitivité S2E2, Adhérent AEROCENTRE.

Agréé CIR 2008-2011 et 2012-2014.

Contact :SYSTECHDaniel FANONJérôme BOOTZ+33(0)2 37 31 40 00 [email protected] [email protected]

Page 37: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 37

LES FABRICANTS D’ELECTRONIQUE

SGAME La société SGAME obtient la labellisation ISO 26000 et affiche une croissance de 11,5%

Après avoir renouvelé (sans remarques ninon-conformités)sescertificationsISO 9001 et ISO 14001 en avri l 2013 (certification AFAQ), la société SGAME, spécialisée dans la sous-traitance de cartes électroniques petites et moyennes séries, franchit une nouvelle étape en obtenant la labellisationISO26000NIVEAUAquivient récompenser ses engagements en matière de développement durable.

SGAME est ainsi la première entreprise de Métallurgie Rhodanienne à obtenir cette labell isat ion, et l ’une des premières entreprises dans le secteur de l’électronique en France.

Cette labellisation, décernée par BCI, estlerefletdesengagementsfortsdela direction et de toute l’entreprise en matièredeRSE.Eneffet,lacertificationISO 26000 vient récompenser les entreprises qui cherchent à assumer la responsabilité des impacts de leurs décisions et activités, et à en rendre compte.

Obtenir la labellisation ISO 26000 assure que SGAME : •contribue au développement durable y compris à la santé et au bien-être dans la société •prend en compte les attentes des parties prenantes de l’entreprise • respecte les lois en vigueur et est compatible avec les normes internationales des Droits de l’homme • intègre ces paramètres dans l’ensemble de son organisation et dans ses relations

En parallèle de cette labellisation, SGAME annonce une croissance de 11,5 % de son chiffre d’affaires sur l’exercice écoulé entre octobre 2012 et septembre 2013. Ceci correspond à sa croissance annuelle depuis plus de 10 ans et ceci malgré la crise

LAPRATIQUEELECTRONIQUE(LPE),filialetunisiennedeSGAME,vientd’êtrecertifiée QSE par l’AFAQ, devenant ainsi la première entreprise de sous-traitance électronique tunisienne à être certifiéeàceniveau.LPEinaugureradébut octobre ses nouveaux locaux sur une surface de plus de 1 700 m².

A propos de la société SGAME Créée en 1986 par Jean-Claude Gas, Président, la société SGAME est spécialisée dans la sous-traitance électronique (fabrication manuelle de petites et moyennes séries), et propose notamment son expertise dans le secteur des produits à leds. SGAME est présent au Conseil d’Administration du Cluster Lumière.

La société emploie 23 personnes sur son site de Chaponost (Rhône). Depuis 12années,SGAMEacrééLPE,filialetunisienne qui emploie 40 personnes.

SGAME réalise un chiffre d’affaires de 3,9 millions d’euros en 2013, en croissance de 11,5 %. SGAME est certifiée ISO 9001, ISO 14001 et labelliséeISO26000.NIVEAUA

Contact :SGAMEJean-Claude GAS+33(0)4 72 39 94 50 [email protected] www.sgame.fr

RAC ELECTRONIC L’actualité est riche de l’histoire d’entreprises ayant réussi un saut technologique basé sur l’électronique. R A C E l e c t r o n i c c o n ç o i t e t fabrique des cartes électroniques industrielles spécifiques pour des petites et moyennes séries.

Exemple de domaines d’application : •Control Process – Automatisme spécifique • Régulat ion de température & pression, Mesure • S u p e r v i s i o n e t t r a ç a b i l i t é , t é l é s u r v e i l l a n c e - t é l é g e s t i o n -télémaintenance •Interface de communication •Electronique embarquée •IHM, Interfaces de Contrôle-commande •Informatique Industrielle •Commande de moteurs, Asynchrone, Brushless, … variation de fréquence, … •Traçabilité par IRDA (Infra rouge)

Depuis plus de trente ans, RAC E l e c t r o n i c p r è s d e G r e n o b l e accompagne cer ta ins de ces indust r ie ls dynamiques. Not re expérience permet de faire face à toutes les contraintes imposées par les nouvelles technologies et normes, notamment dans le secteur du process industrieletdel’automatespécifique.

- Vous rechercher une excellente réactivité : La proximité géographique de notre entreprise et sont intégration (Etude et fabrication sous le même toit) vouslagarantisse.Vousbénéficierezd’un prototypage rapide sur l’outil de fabrication de série vous garantissant la répétitivité de la qualité.

- Vous recherchez la sécurité : Le mêmeingénieursuivravotreprojetycompris pendant la mise en production et lors d’évolutions ultérieures ce qui vous garantit une parfaite traçabilité à toutes les étapes.

-Vousrecherchezunrésultat:Uneéquipe ayant l’expérience de votre métier vous accompagnera, de la finalisationdevotrecahierdeschargesau passage en laboratoire pour homologation de votre produit final, vous garantissant la réussite de votre projet.Notreentreprisepartageralesrisquesduprojetavecvous.

Contact :RAC ELECTRONICGuy BERTHON+33(0)4 76 84 24 40 [email protected] www.rac-electronic.fr

Page 38: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

38 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

LES FABRICANTS D’ELECTRONIQUE

LACROIX ELECTRONICSLACROIX Electronics, division EMS du Groupe LACROIX, poursuit sa croissance et son développement en Europe.Afinde répondreà la fortedemandede ses clients, LACROIX Electronicsa agrandi son usine de Kwidzyn, en Pologne, pour atteindre 12 000m², soit une extension du site de plus de 3 500m². Le site de Zriba, en Tunisie, consolide également sa forte progres-sion en intégrant de nouveaux clients sur ses lignes de production.Les différentes implantations de LACROIXElectronicset sespartena-riats avec des spécialistes permettent une réactivité et un accompagnement client autour d’une offre complète indispensable en tant que co-traitant électronique performant.

LACROIX Electronics est spécialiséedans le développement, l’industria-lisation, la production et l’intégration d’ensembles et sous-ensembles élec-troniques. sur les marchés aéronau-tique, défense, automobile, domo-tique, industriel et médical. Ses sites de production en France, Allemagne, Pologne et Tunisie, spécialisés par secteur d’activité, sont équipés de lignes de production dédiées aux pe-tites, moyennes ou grandes séries.

Quelques chiffres : •CA 2012 : 168 M€ •Effectif : 1 800 personnes•5 Bureaux d’études (France et Alle-magne) •4 Sites de production (France, Alle-magne, Pologne et Tunisie)•CertificationsISO9001,ISO14001,14001, ISO/TS 16949, EN/AS/JISQ9100, ISO 13485, PART 21G et PART 145 Une offre Contract Design Manufac-turingLACROIXElectronicsSolutions,entitéde sous-traitance d’études électro-niquesdeLACROIXElectronics,pro-pose une offre CDM (Contract Design Manufacturing) permettant une prise en charge complète d’un projet enapportant une solution unique de la conception à la production. LACROIXElectronicsSolutionsestunspécialiste reconnu dans la gestion de puissance, le traitement du signal, l’électronique embarquée, la commu-nication radiofréquence, la concep-tion FPGA en DAL A ou encore la mécatronique.Les équipes de développement s’ap-puient sur de fortes compétences en placementroutage/DfXpourpropo-ser un produit prêt à être industrialisé.

Un savoir-faire en sous-traitanceAfin d’exposer son savoir-faire enmatière de sous-traitance d’étude et

defabricationélectronique,LACROIXElectronics est présent sur les salons spécialisés comme le salon aéronau-tique du Bourget, ou encore le Midest, premier salon mondial de la sous-traitance industrielle.L’offre proposée par LACROIX Elec-tronics permet d’accompagner les clients dans l’optimisation de l’en-semble de la chaîne de valeur sur des cycles de vie produits longs :

Design - Prototypage rapide - Gestion deprojetset industrialisation -Déve-loppement de testeurs - Analyse de la valeur - Solutions logistique adaptées - Maintien en conditions opération-nelles - Support après-ventes.

Retrouvez LACROIX Electronics ausalon du MIDEST du 19 au 22 no-vembre 2013.

Contact :LACROIX ELECTRONICSLaure LE SAUX+33(0)2 41 75 98 63 [email protected] www.lacroix-electronics.com www.lacroix-electronics-solutions.com

EOLANEUn Bureau d’Etudes pour éolane ANGERS. éolane a créé un nouveau bureau d’étude qui est rattaché à éolane ANGERS. Il est localisé à Carquefou en banlieue nantaise. L’équipe initiale de 5 ingénieurs expérimentés, sous la responsabilité de Grégory LIDIN, est issue du monde du service en ingé-nierie électronique embarquée.

L’équipea3objectifs:• acquérir et réaliser des projetsd’étude systèmes électroniques com-plets,• apporter de l’expertise dans la conception et la gestion de projets

automobile,• proposer des solutions logicielles performantes pour l’électronique des objetscommunicantsetdesinterfaceshommes-machines (M2M et H2M).

Par ailleurs, elle est le point d’entrée du groupe pour le développement offshore de logiciels.

L’équipe a mis en place une approche de standardisation du logiciel pour mettreàdispositiondesprojetsetdesclients une boîte à outils de fonction-nalités de base. Robuste et pérenne, cette boîte à outils permet aux clients de se concentrer sur les fonctionnali-tés propres à leur produit tout en assu-rant une mise en œuvre rapide (fast to market).

Autres savoir-faire de l’équipe : le pilo-tage de projets d’ingénierie électro-nique et logiciels lourds et la maîtrise d’une méthodologie de conception rigoureuse et performante pour com-prendre le besoin du client, le traduire en concepts techniques et aboutir ra-pidement au produit fonctionnel.

Contact :ÉOLANE Gael ROUSSEAU +33(0)2 41 19 90 67 [email protected] www.eolane.com

Page 39: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 39

TRONICOTRONICO remporte le prix SPACE « Best Improvement Award 2013 »

A l’occasion du Salon du Bourget, SPACETM a décerné le prix « Best Im-provement Award 2013 » à TRONICO pour son projet d’amélioration desperformances. Ce prix récompense TRONICO sur les actions menées lors de l’année 2012 qui ont permis d’améliorer sa performance de ponc-tualité, notamment la mise en place du processus PIC (Plan Industriel Com-mercial).

Le PIC (Plan Industriel et Commercial) est un processus permettant d’estimer la charge de travail en heures sur les 18prochainsmois.Grâceàceproces-sus, des actions ont pu être anticipées, comme le lancement de plusieurs

sessions de formation d’opérateurs de fabrication, l’investissement d’équipe-ments, le lissage de la charge.

TRONICO poursuit l’amélioration de ce processus par la mise en place en 2013 de l’outil PDP (Plan De Produc-tion). Cet outil permettra d’avoir une vision détaillée de sa charge sur les 6 prochains mois.

Contact :TRONICO Soizig SOULABAIL +33(0)2 51 24 41 73 [email protected] www.tronico-alcen.com

CONTINENTALFigurant parmi les premiers équipementiers au monde, Conti-nental maîtrise les procédés d’indus-trialisation appliqués au secteur de l’automobile. En France, le Groupe élargit désormais son expertise dans la fabrication de cartes électro-niques, à tous les secteurs industriels. Sonobjectif:fabriquerdescartesélec-troniques en sous-traitance, en alliant qualité,flexibilitéetprixcompétitif.

Spécialisé dans l’assemblage de cartes électroniques équipées princi-palement en CMS, pour des volumes de moyennes à grandes séries, avec la possibilité d’intégration en boîtier complet fini, le site de Rambouillet(Yvelines) propose des prestations couvrant toute la chaîne de valeur : de l’industrialisation à la fabrication, en passant par l’approvisionnement, la logistique mais aussi le service après-vente. Autant d’atouts qui garantissent des prestations «sur-mesure» pour indus-trialiser et produire à un prix «série», en bénéficiant des exigences d’unniveau de qualité «automotive» avec, notamment des certifications ISO9000:2000,ISO14001,ISO/TS16949ou ISO 9000:2008.

Grâceàsamaîtrised’ensemble,Conti-nental offre à ses clients la sérénité dont ils ont besoin, pour se concentrer sur le développement de leurs marchés. Les procédés de fabrication, dispo-nibles en standard ou en RoHS, sont principalement : le report de CMS, en boîtier BGA, QFN, la pose des boîtiers jusqu’au0201 ou au pas de 26 µ, le contrôle par vision optique (AOI), le test élec-trique in situ ou fonctionnel en ligne, la soudure locale de composants traver-sants, le marquage laser des cartes et le dégrappage.

Ces procédés de série peuvent être complétés par des contrôles hors ligne de type rayons X ou contrôleélectrique sous pointes (type Takaya). Enfin,sibesoin,Continentalsaitdéve-lopper les moyens de fabrication série pour intégrer les cartes dans leurs boîtiers finis avec test fonctionnel.Ces étapes de fabrication peuvent ré-pondre aux exigences qualitatives de l’automobile par la réalisation d’AM-DEC process. Nos moyens sont à la hauteur des exi-gences de nos clients, avec notam-ment l’exploitation d’un atelier de 3500 m² au sol traité ESD, surpressurisé, contrôlé en hygrométrie et en tempé-rature, par l’utilisation d’un contrôle automatique des personnes aux exi-

gences ESD, et par l’utilisation d’équi-pements de fabrications récents et performants. Nosclientsbénéficient,enfin,deprixcomposantstrèscompétitifs,grâceauservice achat du Groupe Continental qui négocie au niveau mondial. Le Groupe Continental met ainsi toute son expertise électronique au service de votre sous-traitance en restant proche de vous, à la mesure de vos exigences.

Contact :Continental Automotive Rambouillet France SAS Philippe BINEAU +33(0)1 34 83 70 61 [email protected] www.continetal-corporation.com

Remise de prix SPACE par Klaus RICHTER, EVP AIRBUS Procurement & EADS Corporate Sourcing AIRBUS (degauche à droite : A. Guégan-Tronico, S. Blanc-Dassault, M. Perrault-SPACE, P. Coller-Tronico, P. Fontana-Airbus, E. Gensanne-Thales, K. Richter-Airbus

Page 40: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

40 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

LES FABRICANTS D’ELECTRONIQUE

OSEPartenaire en électronique ! Pourquoi faire compliqué ?... Située au sud de l’Isère OSE vous propose de confectionner vos cartes électroniques, sur un site industriel de 3000 m², au cœur des alpes, dans un cadretouristiqueàcouperlesouffle.

Forte de son organisation tournée vers la rigueur et la flexibilité, OSEoffre à ses clients ‘’partenaires’’ une prestation de qualité, 100% fabriqué enFrance,et toujoursenadéquationavec les exigences de ses clients.

Depuis 1985, OSE a su investir dans des outils de production performants pour s’adapter aux évolutions des technologies nécessaires dans le monde de l’électronique de petite, moyenne et grande séries. La formation du personnel fait partie de nos axes stratégiques prioritaires.

OSE sait répondre aux demandes tou-jours plus exigeantes de service, decollaboration d’industrialisation, de logistique, d’achat de composants et donc, de maîtrise du coût global.

Avec ses trois ateliers (CMS, Tradition-nel, Intégration et Test) OSE assure la diversité des besoins, les compéten-ces industrielles et le résultat attendu.

Les certifications, gage de rigueur,ISO 9001, UL, RoHS et notre dé-marche LEAN, mise en place depuis 2008, nous confortent à une place incontournable et pérenne dans le paysage de la fabrication de produit électronique en France.

La mise en place d’un robot de ver-nissage suivant les recommandations ‘’FERROVIERE’’ offre toutes les garan-ties de qualité et de répétabilité de tro-picalisation des cartes électroniques.

Très sensible à la qualité environne-mentale OSE a habillé son toit de 800 m² de panneaux photovoltaïques.

Contact :OSE Philippe PARISOT +33(0)4 76 30 93 20 [email protected] www.ose.fr

ALTRICSAltrics dans le vent des relocalisa-tions asiatiquesLes tendances du marché restent bonnes, avec un potentiel de crois-sance important venant de produc-tions auparavant fabriquées en Asie. Un second semestre sous le signed’une bonne visibilité, malgré une augmentation de délai de certaines fa-milles de composants, voilà comment la société ALTRICS résume le futur.«Nous proposons à nos clients, une capacité de production moyennes et grandes séries à des coûts low cost. Nos atouts sont une qualité qui est celle exigée par l’automobile ou l’aéro-nautique, soit quelques ppm, une ex-pertise d’industrialisation en France, une proximité géographique via la Tunisie pour la production et notre puissance d’achats en France sur certaines familles de composants » explique Damien Rossignon, PDG.Pouraméliorerlesfluxdeproductions

entre l’activité « cartes / sous-ensembles élec-troniques » et l’activité «fils/faisceaux»,maiségalement avec le souci d’alléger son empreinte énergétique, l’activité fils a été transférée surle site de productions de cartes. « Amis prospects, vous voulez augmenter vos marges, vous voulez réduire votre stock de produitsfinis,vousvoulezrecevoirenjuste à temps vos productions, alorsn’hésitez pas, consultez-nous, venez auditer nos sites de productions, cela ne vous engage pas ! » s’enflammePatrick Guérinel…. Contact :

ALTRICSPatrick GUERINEL+33(0)6 52 69 32 35 [email protected] www.altrics.com

Page 41: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 41

MICRONIQUEPartners Electronics et Micronique officialisent leur fusion.L’objectif de cette opération est decréerunacteursignificatifsurlemar-ché de la fabrication électronique en Ile de France. Déjà reconnues dansl’industrie électronique, les deux en-treprises, en associant les moyens in-dustriels de Partners Electronics et les certificationsdeMicronique(Iso9001,EN 9100, Iso 13485) s’inscrivent dans un mouvement d’adaptation d’un sec-teur en croissance depuis 2009. Cette croissance est portée par la forte de-mande d’une clientèle élargie, de plus en plus consommatrice de solutions électroniques et numériques, fournies par des partenaires de proximité. La nouvelle entité porte le nom de MICRONIQUE.

Une consolidation bien en phase avec la demande.En joignant nos forces, cette fusionconfortée par un plan d’investisse-ment de 500.000 e sur l’exercice clôt et 500.000 e sur le nouvel exercice, associant l’acquisition de nouvelles compétences et de moyens de pro-duction très orientés sur l’amélioration de la qualité et de la réactivité, nous permettra de viser un chiffre d’affaires de 10 millions d’euros à horizon 2016 annonce Jean-Pierre Leboeuf le diri-geant.

Unenouvelleopérationdecroissanceexterne fait partie des options de dé-veloppement précise la direction.

Une journée Portes-ouvertes le 19 septembre.L’officialisation de cette fusion a étéconcrétisée par une journée Portes-ouvertes, qui a eu lieu le 19 septembre sur le site de Corbeil Essonnes.Jean-Pierre Leboeuf, créateur de Partners Electronics et initiateur du rapprochement, et ses collabora-teurs, en présence de Monsieur Serge DASSAULT, sénateur de l’Essonne,Monsieur Jean-Claude VOLOT, vice-président du MEDEF, Michel de No-nancourt, Président du SNESE ont reçu la presse, les clients et les four-nisseurs.Cette journée a également donnélieu à la signature du partenariat entre Micronique et IPC, sous la houlette de Pierre-Jean Albrieux, Président de IFTEC.

A propos de MICRONIQUECréation:Novembre1975-Certifica-tions : ISO 9001 – EN 9100 (Aéronau-tique) – ISO 13485 (Médical)Secteurs clients : Aéronautique - Mé-dical - CA 31 Mars 2013 : 4.700.000 e

- Effectifs : 30 personnes. Micronique associe des compétences et une ex-périence permettant de proposer des prestations de fabrication électronique allant du sous-ensemble au produit

fini. ImplantéeàCorbeilEssonnesur2500 m² l’entreprise occupe une posi-tion stratégique en termes de proximi-té avec les marchés à fort potentiel en électronique d’Ile de France.

A propos de PARTNERS ELECTRO-NICSCréation : Mai 1991 à Croissy Beau-bourg (77)Secteurs clients : Industriel - Domo-tique – Transports – Vidéo. Service spécifique : réparation et contrôleBGA « La clinique du BGA » CA 31 Mars 2013 : 1.600.000 e - Effectifs : 8 personnesPartners Electronics dispose de moyens industriels particulièrement adaptés à la réalisation de cartes électroniques de haute technologie. Sa maîtrise du Process BGA, depuis l’année 2000, lui a permis de conforter son image de fabricant high Tech.

Contact :MICRONIQUE Jean-Pierre LEBOEUF +33(0)1 60 88 84 72 [email protected] www.micronique.fr

RASSEMBLER - REPRÉSENTER - AGIR

Les fabricants d’électroniqueadhérent au SNESE

www.snese.com

Page 42: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

42 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

INFORMATIONS COMMERCIALES

ACCELONIX ACCELONIX distribue les solutions d’inspection par Rayon X FEINFOCUS de la société YXLON.ACCELONIX complète sa gammepour l’inspection de produits et cartes électroniquesgrâceauxsolutionsd’undes leaders sur le marché pour l’ins-pection2Det3DparRayonX:YXLONetsagammedeproduitFEINFOCUS.Les produits de la gamme FEINFO-CUSmodèlesCOUGARetCHEETAHse distinguent par la très grande qua-lité d’image obtenue, la possibilité d’acquisition 3D ultra rapide et leur facilité d’utilisation.

Le système d’inspection RX « CHEETAH » sera présenté sur le Stand ACCELONIX de ENOVA 2013(J54). Il permet l’inspection rapide « 1-Click Operation » des cartes élec-troniques avec une résolution Micro ou Nano foyer en fonction des besoins. Il permet également une inspection 2D ou 3D.

Avec ses capacités (grossissement géométrique jusqu’à 3000x), le sys-tème CHEETAH est utilisé pour les applications d’inspection comme :• Cartes électroniques équipées•Boitiersetcâblagesdecomposantssemi-conducteurs• Modules mécaniques et électro-niques• Composants électromécaniques et connectique

• Composants et modules moulés• MEMS, MOEMS• Technologies médicales• Sous-ensembles optiques et phar-maceutiques

Contact :ACCELONIX patrick LEGENRE +33(0)2 32 35 64 80 [email protected]

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

PIE DIFFUSION La solution à vos problèmes de nettoyageLaver plus propre impose d’utiliser des produits de nettoyage plus res-pectueux de l’environnement, mais aussi d’utiliser des machines de la-vageplusefficaces.

Pie Diffusion a développé toute une gamme de nouvelles machines de fa-brication française pour le nettoyage de cartes électroniques.

Nouveau petit modèle compact per-mettant de laver et sécher vos CI à moins de 7 500 euros (avec rejet àl’égout) et moins de 9 600 euros avec le recyclage du produit dans une cuve tampon

Mais aussi toute une gamme de ma-chines plus grandes que vous pouvez visualiser en allant sur le lien ci-des-soushttp://piediffusion.com/piediff/Ma-chine%20de%20nettoyage.html

Machines disponibles immédiatement à la vente et visibles en nos locaux. Essais dans notre salle de démonstra-tion sur rendez-vous.

Contact :PIE DIFFUSION Bernard MERCIER Roland LANFERNINI +33(0)1 39 33 61 62 [email protected]

Page 43: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 43

OK INTERNATIONAL Metcal annonce sa nouvelle image de marque

Metcal, une marque du groupe OK International, annonce le début de son rebranding mondial. En effet, sa marque sœur OKi qui se compose d’équipements de soudage, d’outils de convection à air chaud, de systèmes d’extraction de fumées et de dosage de fluides, sera globalement unifiéesous la marque Metcal. Ce change-ment de logo sur tous les produits OKi seracomplétéfinseptembre2013.

« Ce changement de marque rend la

gamme Metcal encore plus acces-sible de part la valeur créée par la marque OKi désormais renforcée sous le nom mondialement connu de Metcal » explique Gary Stoffer, Direc-teur Global des Ventes et Marketing. « L’extension du portfolio des produits Metcal rend l’équipement du poste de travail électronique attirant pour une clientèle à la fois sensible au prix mais aussi à la recherche de solutions les meilleures pour leurs applications les plus exigeantes »

Metcal est l’un des plus grands four-nisseurs de produits pour l’assem-blage de production électronique offrant performance et fiabilité. La

gamme de produits regroupe des outils de soudage et de dessoudage, des équipements de réparation BGA, des systèmes et accessoires de do-sagedefluides,etdessystèmesd’ex-traction de fumées.

Contact :OK INTERNATIONAL / METCAL Cyril JEHANNE+33(0) 1 76 71 04 03 [email protected] www.metcal.com

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

CSA ELECTRONICS Le fournisseur de vos be-soinsUneautrevisiondeladistri-bution, CSA est capable de : • Répondre rapidement à vos besoins • Approvisionner dans des délais très courts•Regrouper l’ensemble de vos

besoins en composants électroniques•Vous offrir une gamme complète :Passifs - Actifs - Connectiques - Pro-duits obsolescents.

PARTENAIRES EXCLUSIFSCSA distribue pour la France les pro-duits des fabricants suivants : RITEL : fabricant suisse dans la fa-brication des pièces d’injection en plastique ( boutons de commande et capuchons sur mesure en petite quantité ). Les boutons Ritel se ca-ractérisent par leur présentation soi-

gnée, leur grande solidité et par un programme complet d’accessoires de couleurs variées. ARCOL : fabricant de résistances de puissance pour couches épaisses, couchesfines,àfeuilles,montageensurface (CMS), montage en trou tra-versant, de précision, élément nu à haute tension.

Nous sommes également distributeur officieldesplusgrandesmarquesdecomposants électroniques :ANTELEC–APEM–BULGIN–FUSIBLELAC -KF – LEMO -WEIDMULLER–STOCKO – SEEM SETA … Et tous vos composants ACTIFS aux meilleurs tarifs (MICROCHIP – DALLAS – TI etc) CSA ELECTRONICS est membre du club des partenaires du SNESE.

Envoyez-nous vos demandes par mail, nous vous rappellerons dans les plus brefs délais.

Contact :CSA ELECTRONICS Corinne ENCAOUA +33(0)1 48 92 49 25 [email protected]

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

METRONELEC FiconTEC.FiconTEC conçoit et fabrique des équi-pements de test et de production semi-automatiques et entièrement automa-tiques. FiconTEC est leader du marché dans le domaine de la micro-optique, de l’optoélectronique, de la technologie médicale, de la sécurité, de l’ingénierie militaire et des télécommunications.

Avec FiconTEC, Metronelec propose mainenant des solutions individuelles d’automatisation et des microsystèmes qui augmentent l’efficacité et la pré-cision des processus de production

(micro assemblage, Die Bonders auto-matiques, Die Bonders manuels, assem-blage, inspection test des diodes laser, fabricationfibresoptiques,…).

Contact :METRONELEC Emmanuel ANGLADE +33(0)1 30 15 20 00 [email protected] www.metronelec.com

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

Page 44: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

44 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

NOUVEAUTES TECHNOLOGIQUES

MARTIN TECHNOLOGIESUn démonstrateur RFID intégré au pro-cess de fabricationLa technologie d’identification parradio fréquence offre de nombreux avantages par rapport aux étiquettes incrémentées, comportant un code à barres ou un QR code : ces techno-logies d’identifications présentent eneffet, outre une contrainte d’identifi-cationfigée,deslimitesentermesdevision directe ou d’altération du mar-quage.Fabricant d’étiquettes en métal et en plastique, Martin Technologies s’est donc naturellement interrogé, dès 2010 dans le cadre de sa démarche de développement, sur l’intégration de la RFID à ses produits.

Partenaire de la PRI ATRIUM (Plate-forme Régionale d’Innovation sur les objets et solutions communicants),Martin Technologies a pu bénéficierdu conseil et de l’accompagnement (mise à disposition de ressources expertes et d’un laboratoire de re-cherche) autour des technologies de communication sans fil et filairespour intégrer la technologie RFID à ses produits et mettre en œuvre un

démonstrateurRFIDsurunfluxindus-triel.L’objectifestdouble:d’unepartmontrer concrètement une application de cette technologie, et d’autre part acquérir de nouvelles compétences dans ce domaine.

Opérationnel depuis le mois de juil-let dernier, ce démonstrateur permet l’identificationetlesuividesquelques550 écrans de sérigraphie utilisés aujourd’huiparMartinTechnologies: équipé d’un tag RFID durci (haute résistance thermique, mécanique et chimique), chaque écran est désor-maisidentifié.Lesutilisateurspeuvent,dès lors, enregistrer tous les événe-ments de sa vie à l’aide d’un PDA in-dustriel pour réaliser des analyses im-possiblesàcejour:ledémonstrateurpermet une meilleure traçabilité des

causes de non qualité, de la durée de vie des écrans, la localisation d’un écran en aveugle (c’est-à-dire sans repère visuel), etc. Quant à l’inventaire hebdomadaire, il est réduit à quelques minutes au lieu de deux heures aupa-ravant.

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

Contact :MARTIN TECHNOLOGIES Laurent BIZIEN +33(0)2 41 21 41 20 [email protected]

abonnez-vousG R A T U I T E M E N T

http://www.snese.com/fr/Les-cahiers-demande-abonnement-gratuit-78.html

de l’industrie électronique & numérique

Page 45: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 45

INVENTEC Performance Chemicals

Depuis 1970, la société Inventec dé-veloppe et commercialise des solu-tions de soudures à la pointe de la technologie. S’appuyant sur une équipe R&D et application d’expé-rience, nous répondons aux cahiers des charges les plus complexes.Avec de nombreuses références clients dans des secteurs sensibles et à fortes exigences en matière de fiabilité, nous vous faisons part desrécents développements de crèmes à braser Inventec à partir d’alliages spécifiques.

Alliages sans plomb « bas coût »•Suite aux variations des cours des métaux constituant l’alliage SAC 305, Inventec a intégré et développé une gamme de crème à braser à base d’alliage à faible taux d’argent et même sans argent•Deux nouvelles références de crème à braser sans plomb, no clean, ont vu lejour: - Ecorel Free 105 sur une base d’alliage SAC105Ni, - Ecorel Free 007 sur une base d’alliage SnCu0.7 avec dopants,• Ces nouvelles versions de crème à braser sont disponibles avec diffé-rentes chimies adaptées à leur point de fusion et aux comportements spé-cifiquesdecesalliages

Alliage sans plomb « basse tempé-rature »•Sur la base d’un alliage sans plomb SnBiAg, la crème à braser Ecorel Free LT 140-18, no clean, présente un point de fusion à 139 - 140 °C•Les avantages de cette crème sont la minimisation des détériorations sur les composants sensibles, la diminu-tion des consommations d’énergie lors du process de refusion, la sup-pression des process d’assemblage conventionnels à la vague ou en re-prise manuelle

Alliage sans plomb « haute tempé-rature »•Ecorel Free HT 245-16 est une crème à braser sans plomb, no clean, dédiée à des assemblages électroniques ou au semi-conducteur qui, en fonction-nement, peuvent être confrontés à

des températures atteignant 200°C•L’alliage utilisé SnSb8,5 en granulo-métrie 20-38µm présente un point de fusion de 241 – 248 °C

Contact :INVENTEC Performance Chemicals Jonathan CETIER+33(0)6 17 92 76 34 [email protected] www.inventec.dehon.com

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

Page 46: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

ASM Assembly SystemsBientôt PRODUCTRONICATous ensemble avec SIPLACE : Pour être #1 en Production Electro-nique

Chaque jour nous aidons nos clientsà transformer leurs idées en solutions concrètes.Inlassablement nous repoussons les limites du faisable en développant dessolutionstoujoursplusinnovantespour la production électronique, de la flexibilitéauNPI–duwaferàlapuce,de la production de modules au pro-cess complet de placement CMS.PRODUCTRONICA-événementphareau niveau mondial- draine toutes les dernières nouveautés technologiques de la production électronique.A Munich, SIPLACE « joue à domi-cile » et réserve tout son savoir-faire et toutes ses nouveautés à tous nos clients Européens pour ce grand ren-dez-vous. Pour ces raisons, et un calendrier qui voit ENOVA Paris et PRODUCTRO-NICA avoir lieu quasiment au même moment, nous faisons le choix cette année du salon de Munich, en tant que fournisseur Européen et nous invi-tons donc tous les clients Français à venir nous rencontrer sur place.

Venez nous rencontrer sur le stand SIPLACEHall A3, Stand 377, 12-15 Novembre 2013 à MunichVenez découvrir tout le portfolio que SIPLACE vous propose :•SIPLACEX4iS,#1envitesse•SIPLACESXSeries,#1enflexibilité•SIPLACECA,#1enprécision

•SIPLACEDi,#1enrapportprix-per-formance

Cette année, nos nouveautés seront axées sur Industrie 4.0. Ce concept -qui nous vient de l’in-dustrie allemande- promet une nou-velle ère industrielle. Les solutions SIPLACE, qui s’inscrivent dans cette optique d’usine intelligente, vont vous permettre une meilleure gestion des flux de production, pour conjuguerflexibilité, NPI et productivité, pourrenforcer votre rentabilité, et avoir l’adaptabilité nécessaire exigée dans l’assemblage de cartes électroniques. Venez sur notre stand expérimenter tous les produits SIPLACE pour une production intelligente. Autre innovation : SIPLACE démon-trera son leadership technologique en présentant le placement de chips 03015 en live et vous découvrirez

toute l’avance SIPLACE autour de la pose de ce minuscule composant.Suivez nous sur notre blog pour plus de nouveautés et d’informations et pour obtenir votre carte d’entrée.http://www.siplace.com/productroni-cashow2013

46 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

NOUVEAUTES TECHNOLOGIQUES

Contact :ASM Assembly Systems Thierry CHARLOT+33(0)6 13 02 13 86 [email protected] www.siplace.com

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Club des Partenaires

RASSEMBLER - REPRÉSENTER - AGIR

Les fabricants d’électroniqueadhérent au SNESE

www.snese.com

Page 47: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76
Page 48: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

48 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

LES FABRICANTS D'ÉLECTRONIQUE

Page 49: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 49

MECAPARK INDUSTRIES

Des équipements de production à vendre et à acheter : MECAPARK Dpt INDUSTRIE Equipements à vendre : Valises de maintenance Plusieurs armoires de déshumidification - 2 machines CMS EUROPLACER - 1 machine à sertir SERTILEC GEH 50 -1 dérouleur de f i l MAKFIL AF 1000+C1000& - 1 dégaineuse AM-STRIP2 - 1 compresseur WORTHINGTON CREYSSENSAC ROLLAIR 2000 - 1 compresseur WORTHINGTON CREYSSENSAC DX32000 -1 four de refusion convoyeur CIF FC220 + logiciel -1 four CONCEPTRONIC HVA70SE en bon état de fonctionnement - 1 station de soudage KURTZ ERSA ICON1 réf. 01C100A neuve ETC. Equipements recherchés : - 15 chaises protection ESD - 1 analyseur de spectre récent Faire offre à : [email protected]

Job Tronic’S Retrouvez les offres d’emplois et de stages, les demandes d’emplois et de stages de la filière électronique sur www.snese.com/ COMMERCIAL H/F ANNONCE 2013JOB09002 Le Groupe C2E, sous-traitant dans le secteur du câblage électrique pour l’industrie est implanté en France sur 2 sites : 1 en Poitou-Charentes et 1 en Rhone-Alpes (120 pers au total) et en Tunisie (350 personnes). Poste à pourvoir : Commercial H/F Lieu : Airvault (79), déplacement fréquent en clientèle Profil : De formation supérieure Bac+2/3 minimum en commerce + première expérience commerciale souhaitée. Qualité relationnelle et force de négociation Anglais correct exigé Connaissances techniques souhaitées Missions : Au sein de l ’équipe

commerciale (6-7 personnes) : Directeur Commercial, Commerciaux, et Techniciens chiffrage vous aurez pour missions : - Suivi d’un portefeuille clients : réponse aux demandes clients, visites clients, suivi des offres et négociation. - Développement du portefeuille clients, prospection - Intervenir en cas de litiges, proposer des alternatives aux clients. Condition : CDI à compter du 1er novembre 2013, salaire à partir de 1800 € à négocier selon profil. Candidatures à adresser à Marie-Cécile LHOMMEDE : [email protected]

T E C H N I C I E N A S S I S T A N C E CLIENTELE (H/F) ANNONCE 2013JOB09001 Europlacer Industries conçoit, fabrique et commercial ise des machines pick and place pour la pose de CMS et commercialise des machines à sérigraphier. Ces machines sont installées dans les usines de production de cartes électroniques partout en France , en Europe et ailleurs dans le monde. Europlacer Industries recrute un Technicien Assistance Clientèle (H/F)Après une formation initiale de 2 mois, ce technicien d’assistance Clientèle aura pour tâches principales : - l ’ instal lat ion des machines de sérigraphie et de pick and place et des lignes de montage de CMS. - la format ion des ut i l isateurs, p rogrammateurs e t agen ts de maintenance. - le dépannage des équipements. - l’assistance technique auprès des clients pour les process de sérigraphie et de placement. - le suivi des machines sur son secteur.Pour compléter l’équipe actuelle de 6 techniciens, nous recherchons un technicien basé en région parisienne, qui prendra en charge une clientèle principalement située autour de Paris, mais aussi en régions et à l’étranger.Des déplacements fréquents sont indispensables et font partie intégrante de ce poste. Le candidat devra montrer de bonnes dispositions dans des domaines variés : la maitrise de l’anglais est indispensable ainsi que de bonnes connaissances en informatique : réseaux locaux et en Wi-fi. Une expérience dans une domaine du montage de composants CMS et/ou de

la sérigraphie de cartes serait un plus.

Contact: Jean-Michel Cartron [email protected]

CADRE TECHNICO-COMMERCIAL FRANCE (H/F) ANNONCE 2013JOB08002 Depuis 1986, Europlacer Distribution est leader dans la fourniture de solutions globales d’équipements de production pour l’industrie électronique. Aujourd’hui, nous décidons de renforcer nos équipes SAV et commerciales en France. Nous recherchons un cadre technico-commercial France (H/F) Issu(e) de la production ou de la vente, vous connaissez bien les métiers de la fabrication de cartes électroniques et en maitrisez les process. Idéalement, vous témoignez d’une expérience réussie dans le domaine de la vente d’équipements de production. Autonome ambitieux(se) et volontaire, vous intégrerez l’équipe commerciale d’Europlacer et serez en charge de la commercialisation d’une gamme complète d’équipements. Vous aimez convaincre et relever les défis. Très autonome, idéalement vous habitez à proximité de notre clientèle: en région Ouest, Ile de France ou Rhône Alpes Vous serez rattaché(e) au siège en région Parisienne à la Direction commerciale et participerez à l’élaboration et la mise en œuvre de la stratégie commerciale. Votre apt i tude à prospecter de nouveaux clients et fidéliser les clients existants, votre capacité à identifier les décideurs techniques et financiers, votre disposition à savoir écouter pour déceler les atouts que vous saurez mettre en avant pour convaincre et négocier sont nécessaires pour le développement de votre activité. Autonome, vous êtes doté(e) d’un esprit d’initiative, d’un sens du service et d’une grande écoute. Vos facultés de synthèse, d’analyse et d’anticipation sont reconnues. Vous remonterez à la Direction commerciale les informations pertinentes sur les produits, les prix, les tendances du marché e t la concur rence, Afin de garantir le succès de vos missions, vous bénéficierez d’une solide formation interne et externe. Bon niveau d’anglais indispensable. Votre rémunération globale dépendra de vos succès et sera construite autour

OFFRES ET DEMANDES

Page 50: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

50 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

d’un fixe et d’une partie variable. Voiture, ordinateur portable, téléphone portable fournis dans le cadre de la fonction proposée. Contact : Europlacer Distribution Tél. : 01 64 46 62 65 Envoyer Cv et lettre de motivation à : [email protected]

TECHNICIEN SAV FRANCE SUR MACHINES AOI MIRTEC (H/F)ANNONCE 2013JOB08001 Depuis 1986, Europlacer Distribution est leader dans la fourniture de solutions globales d’équipements de production pour l’industrie électronique. Aujourd’hui, nous décidons de renforcer nos équipes SAV et commerciales en France. Nous recherchons un technicien SAV France sur machines AOI Mirtec. (H/F)En vous intégrant dans une équipe déjà existante, votre mission consistera à suivre le parc français de machines AOI installées, réaliser les démonstrations machines sous la responsabilité du responsable produit, former les personnels de nos clients et intervenir sur site client tant pour la formations des personnels qu’en support technique SAV De fo rmat ion techn ique , vous connaissez bien les métiers de la fabrication de cartes électroniques et en maitrisez les process Idéalement, vous êtes familier du contrôle AOI et avez travaillé sur ce type de machines. Organisé(e) autonome et ouvert(e), v o u s s a v e z f a i r e p r e u v e d e pédagogie et avez le sens du service. Les déplacements en région et occasionnellement à l’étranger ne vous posent pas de difficulté. Pour réaliser vos missions, vous bénéficierez d’une solide formation interne et externe. Très autonome, vous serez rattaché(e) au siège en région parisienne, et idéalement, vous habitez à proximité de notre clientèle : en région Ouest, Ile de France ou Rhône Alpes La maîtrise de l’anglais technique est un plus Rémunération motivante selon votre niveau d’expérience et de compétences Voiture, ordinateur portable, téléphone portable fournis dans le cadre de la fonction proposée

Contact : Europlacer Distribution Tél. : 01 64 46 62 65 Envoyer Cv et lettre de motivation à : [email protected]

TECHNICIEN LIGNE CMS H/F ANNONCE 2013JOB07002 Durée : CDI Missions : Programmation des machines qui composent la ligne : - Sérigraphieuse DEK (logiciel DEK) - Pose CMS MYDATA (Logiciels : TPSYS, Assembly Expert ou Fabmaster) - Four de refusion SOLTEC Fabrication de cartes CMS petites et moyennes séries - Constitution des dossiers de production - Exploitation des nomenclatures sur un ERP (Excalibur) - Débugage et Chargement de la ligne - Contrôle en cours et fin de production Amélioration continue et maintenance - Force de proposition pour l’amélioration de la productivité et de la qualité - Entretien de la ligne (niveau 1 et 2) - Développement d’outils de fabrication Profil : - Technicien niveau BTS ou minimum 5 ans d’expérience en conduite de ligne CMS - Conna issance des ou t i l s de programmation DEK, TPSYS, Assembly Expert. - Connaissance d’outil de gestion GPAO ou ERP - Connaissance de la norme IPC A610 - Connaissance des outils informatiques bureautiques Excel, Word. Salaire : entre 21 K€ et 25 k€ en fonction de l’expérience Horaires : 35 heures, en journée avec des périodes en 2x7

Contact : AXIS ELECTRONIQUE 53 CHANGE-LES-LAVAL Saïd ABOUALI Directeur de production 02 43 59 09 96 [email protected]

INGENIEUR MECANIQUE H/F ANNONCE 2013JOB07001 Le groupe ALCEN investit dans des compétences pointues et concentre son développement industriel dans les domaines de la défense, de l’énergie, des machines médicales et de l’aéronautique. Pour accompagner le fort développement de ses activités, le Groupe ALCEN recrute un/une ingénieur mécanique H/F au sein de sa filiale TRONICO pour renforcer son équipe Process / Industrialisation. PME de 720 collaborateurs (400 en France et 320 au Maroc) et 78 M€ de CA, TRONICO est un acteur majeur dans la conception, la fabrication et l’intégration de produits électroniques à forte valeur ajoutée.

Poste et missions : Dans le cadre du fort développement de notre société, nous recherchons un(e) ingénieur mécanique confirmé pour intervenir sur des études d’avant-projet et/ou de rédaction de cahier des charges. Dans ce cadre, vous saurez démontrer, par vos expériences, votre capacité à traiter des lots mécaniques confiés en toute autonomie. Pour cela, vous assurerez les missions suivantes : - Pilotage et animation des études du périmètre Production et Bureau d’études - Réal isat ion de développements sur des équipements mécaniques - Conception et dessin d’ensembles ou de sous-ensembles, outillages et pièces complexes (Utilisation d’Autocad Inventor) - Participation à la mise au point de prototypes - Assurer les évolutions en fonction des retours d ’ informat ion et des d e m a n d e s c l i e n t s s p é c i f i q u e s - Etre le référent en industrialisation mécanique - Maîtriser la relation technique avec nos sous-traitants de fabrication d epièces mécaniques - Savoir évaluer les prix de fabrication des pièces mécaniques suivant différentes technologies

Profi l : De formation ingénieur ou universitaire en mécanique, vous disposez d’au moins 5 ans d’expérience industrielle en conception mécanique d’ensemble complet, intégré et complexe. Organisé, rigoureux et autonome, vous savez gérer les priorités en faisant preuve de bon sens, de créativité et de persévérance. Passionné(e) par la technique et la mécanique, votre sens du relationnel vis-à-vis de vos clients internes et externe et vos capacités organisationnelles seront des atouts nécessaires à votre réussite. La maîtrise de l’anglais est indispensable (lu, écrit et parlé). Rémunération : Rémunération selon profil. Poste basé à Saint Philbert de Bouaine (20 minutes au sud de Nantes). Merci de transmettre votre candidature par mail à : Direction des Ressources Humaines : [email protected] ou par courrier, TRONICO Direction des Ressources Humaines 26, rue du Bocage 85660 ST PHILBERT DE BOUAINE (confidentialité assurée)

OFFRES ET DEMANDES

Page 51: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76 - 51

FORMATION CONTINUE - FABRICATION EN ELECTRONIQUECIRCUITS IMPRIMES - BRASAGE - MICROELECTRONIQUE33, rue Ravon, 92340 BOURG LA REINE – France internet : www.iftec.frTél +33 (0)1 45 47 02 00 – Fax +33 (0)1 45 47 39 79 E.mail : [email protected]

S.A.S. au Capital de 62 500 euros – RCS Nanterre 324 047 174 00028 – Code NAF : 8559A Code TVA : FR 65 324 047 174 – N° Enregistrement Formation Continue : 11 92 00 210 92

RECRUTE UN FORMATEUR H/FMISSIONS PRINCIPALES :

1. Former des professionnels de l’industrie aux technologies de fabrication des cartes électroniques.2. Réaliser des documents d’animation et programmes de formation.3. Mettre à jour des documents d’animation et programmes de formation.4. Conseils techniques faisant suite aux formations réalisées.5. Assurer une veille technologique en rapport avec les formations encadrées.6. Assistance à la traduction de normes IPC.7. Participer aux actions commerciales : participation aux salons et leurs évènements ; assistance pour les devis

formation ; prise de contact et recensement des besoins client ; réalisation du programme, …

MISSIONS SECONDAIRES :1. Assistance pour l’entretien du matériel de formation ;2. Assistance pour l’achat du matériel et des consommables de formation ;3. Assistance pour la partie laboratoire IFTEC : conseils techniques ; manipulation, …

CONDITIONS DE TRAVAIL :• Dans les locaux IFTEC (bureau ; salle de formation ; atelier industriel de fabrication électronique ; laboratoire

d’analyse de carte électronique) et sur sites Clients.• Horaires à IFTEC : 8h30 à 12h30 – 13h30 à 17h20 (39h/semaine – 22 jours de RTT dont 11 imposés)• Horaires formation à IFTEC : 8h30 à 12h – 13h à 17h• Horaires actions sur sites clients : généralement 7h de face à face par jour + déplacement• Déplacements fréquents sur environ 20 à 25 semaines (90% en semaine – 2 à 3 dimanches dans l’année

possibles). Déplacements en France (90%) et à l’étranger (10%).

FORMATION REQUISE :• BAC+2 technique avec 10 ans d’expériences minimum dans le domaine de la fabrication ou de l’expertise des

cartes électroniques • ou très forte expérience dans le domaine.

CONNAISSANCES/COMPÉTENCES PROFESSIONNELLES :• Maîtrise des normes IPC de base : IPC A610 ;

IPC 7711/7721 ; IPC WHMA A620 ; IPC A600 ;J STD 001.

• Maîtrise de l’outil informatique de base : Power Point ; Word ; Excel…

• Aptitude pratique à la réparation des cartes électroniques.

• Aptitude d’encadrement/manager.• Aptitude à la présentation / animation.• Maîtrise de l’Anglais technique écrit (anglais

parlé courant serait apprécié).

QUALITÉS PROFESSIONNELLES :• Dynamisme.• Relationnel.• Autonomie.

• Esprit d’équipe.• Polyvalence.

MOYENS PROPOSÉS :• Tel fixe / mail / Ordinateur PC portable• Carte bancaire professionnelle pour frais divers professionnels.• Déplacements professionnels par train, avion, voiture IFTEC, voiture de location.• Atelier de formation avec parc machine (700m²).

ADRESSER CV, lettre de motivation et prétentions à Pierre-Jean [email protected]

OFFRES ET DEMANDES

Page 52: Les Cahiers de l'Industrie Electronique 76

52 - Les Cahiers de l’Industrie Électronique et Numérique - septembre 2013 - n° 76

La technologie FUJI pour les PME

Changement dynamique de tête Technologie exclusive FUJI

Grande capacité feeder65 slots face avant / 65 slots face arrière, soit 130 slots 8 mm extensible à 194 (exclusivité FUJI)

Flexibilité Du chip 01005 (0,4 x 0,2 mm) à 74 x 74 mm Jusqu’à 38 mm de hauteurCartes jusqu’à 774 x 686 mm1 ou 2 têtes de placementSimple ou double convoyage

Mode NPI Programmation et mise au point directement sur la machine

Mode multi production 2 productions simultanées et indépendantes (option)

Pour en savoir plus contactez FENWICK au 01 40 10 69 10ou par email : [email protected]

FENWICK • 69 rue du Docteur Bauer • 93400 Saint-Ouen • www.FENWICK.fr

À PARTIR DE

5000€HT/mois*

* Sous réserve de la configuration

finale et de l’acceptation

du dossier

AU

DA

SC

EN

E

annonce_fuji_210x297_v2.indd 1 2/09/13 11:46:17