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Le RaconteuxUn ramassage d’actualités de l’Acadie à la France

Le vendredredi 22 mars 2013 Édition no.3

Colloque les 21 et 22 mars 2013

Le vendredi 22 mars 2013Heure Ac'vité Lieu Déléga'on Départ4de4

La4Cité4Moyen4de4transport Statut Notes

8#h#15Rencontre#B2B#UdeM#=#Nantes

La#Cité#(Salle#N)

Éduca7on n.a. n.a. Confirmé

8#h#30 Inauguration#OfOicielle

La#Cité#(Auditorium#450) Tous n.a. n.a. ConOirmé

9#h#30 Table#ronde#H#Éducation

La#Cité#(Salle#200) Tous n.a. n.a. ConOirmé

11#h#15 Table#ronde#H#ÉconomieLa#Cité#(Salle#200) Tous n.a. n.a. ConOirmé

12#h#30 Déjeuner La#Cité#(Espace#R2#H#Foyer#Haut) Tous n.a. n.a. ConOirmé

14#h#15Table#ronde#H#Histoire#et#identité

La#Cité#(Salle#200) Tous n.a. n.a. ConOirmé

15#h#00Rencontres#Immigra7on#NB

La#Cité#=#(Salle#J) Immigra7on n.a. n.a. ConfirméRencontre#sur#invita7on#organisée#par#Immigra7on#Nouveau=Brunswick.

15#h#15 Table#ronde#H#TourismeLa#Cité#(Salle#200) Tous n.a. n.a. ConOirmé

15#h#30Rencontre#B2B#UdeM+SNAHVienne

La#Cité#(Salle#N)

Éducation#+#SNA n.a. n.a. ConOirmé

16#h#15 Table#ronde#H#CultureLa#Cité#(Salle#200) Tous n.a. n.a. ConOirmé

17#h#15 Synthèse#des#RencontresLa#Cité#(Salle#200) Tous n.a. n.a. ConOirmé

17#h#45 Clôture La#Cité#(Auditorium#450) Tous n.a. n.a. ConOirmé

18#h#30Rencontre#avec#des#jeunes#louisianais

La#Cité#/#Café Jeunes#acadiens n.a. n.a. ConOirmé

Rencontre#avec#4#jeunes#louisianais#qui#étudient#en#France#et#qui#seront#à#l’évènement.#Libre#à#vous#d’aller#échanger#avec#eux#au#tour#d’un#café#ou#d’un#verre.

Contact : François Emond 06 13 20 80 85 - Marc-André LeBlanc 06 34 62 57 00 Rencontres France-Acadie 2013 - Nantes

Pour accéder au Wifi de La Cité, connectez-vous au réseau « Culturel » avec le mot de passe « cite ».

Heure Ac'vité Lieu Déléga'on Départ4de4La4Cité4

Moyen4de4transport Statut Notes

18#h#30 Cocktail#de#clôture La#Cité Tous n.a. n.a. ConOirmé

19#h#00 Rencontres#Immigra7on#NB La#Cité#=#(Salle#J) Immigra7on n.a. n.a. Confirmé Rencontre#sur#invita7on#organisée#par#

Immigra7on#Nouveau=Brunswick.

20h30 Concert#H#Les#Hay#Babies#et#Vishtèn

La#Cité#(Auditorium#450) Tous n.a. n.a. ConOirmé

Contact : François Emond 06 13 20 80 85 - Marc-André LeBlanc 06 34 62 57 00 Rencontres France-Acadie 2013 - Nantes

Pour accéder au Wifi de La Cité, connectez-vous au réseau « Culturel » avec le mot de passe « cite ».

2013-03-22 06:45Météo locale - Nantes - Prévisions météo de Météo-France

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2013-03-22 06:13Objectif d'équilibre budgétaire, mais remous politiques | Budget fédéral 2013 | Radio-Canada.ca

Page 1 sur 6http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/21/010-flaherty-budget-plan.shtml

Budget fédéral 2013

Objectif d'équilibre budgétaire, mais remous politiquesMise à jour le jeudi 21 mars 2013 à 23 h 59 HAA | Gaétan Pouliot | Radio-Canada

Marc Godbout donne les grandes lignes du huitième budget Flaherty

Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, ne déroge pas à son objectif : l'équilibre budgétairesera atteint avant les prochaines élections, en octobre 2015, malgré une croissance économiqueplus faible que prévu.

Pour atteindre cet objectif, pas de cure minceur au menu cette année, mais plutôt une chasse auxcitoyens et aux entreprises qui ne payent pas leur juste part d'impôts. C'est ce que détaille lebudget fédéral 2013-2014 déposé à la Chambre des communes jeudi, qui prévoit un déficitbudgétaire de 18,3 milliards de dollars cette année.

Le gouvernement de Stephen Harper prévoit atteindre cet objectif sans aucune hausse d'impôtspour les citoyens. Les transferts aux provinces sont aussi préservés. Et contrairement à ce quiavait filtré plutôt cette semaine dans les médias, le budget ne renferme pas de compressionssupplémentaires à la Défense. La fonction publique devra par contre se serrer encore un peu plusla ceinture.

« Notre gouvernement est déterminé à rétablir l'équilibre budgétaire d'ici 2015. » — Jim Flaherty



Le budget Flaherty comprend aussi des mesures pour revoir en profondeur la formation de la main-d'oeuvre au pays, qui devrait donner lieu à des échanges vigoureux avec les provinces. Il traceaussi les grandes lignes de son programme des infrastructures pour les 10 prochaines années.

L'évasion fiscale dans la ligne de mire d'Ottawa

Afin de s'ajuster à la faiblesse de la croissance économique - 1,6 % plutôt que 2 % en 2013 - legouvernement prévoit aller chercher des revenus supplémentaires en donnant du muscle à sastratégie de lutte contre l'évasion fiscale. Il se fixe l'objectif ambitieux de récupérer près de 450millions de dollars dès cette année.

Le budget propose diverses mesures pour éliminer des échappatoires fiscales et pour s'attaquer àla « planification fiscale agressive » autant au pays qu'à l'étranger.

Ottawa met aussi en place un programme de délation pour inciter les Canadiens à dénoncerl'évasion fiscale internationale.

Gérald Fillion résume le budget fédéral

Avertissement à la fonction publique

La fonction publique est de nouveau appelée à contribuer à l'atteinte du déficit zéro. Si Ottawan'annonce pas de suppressions d'emplois cette année, il compte faire des économies en diminuant



les frais de déplacement de ses fonctionnaires.

Sur les 19 200 postes que le gouvernement veut supprimer dans la fonction publique, déjà 16 220emplois ont été abolis.

Le ministre Flaherty lance aussi un avertissement à ses employés : le gouvernement rencontrerales représentants syndicaux afin de recenser d'autres mesures pour contribuer à l'atteinte du déficitzéro par des « gains d'efficience ». De nouvelles discussions sur les régimes de retraite sont doncen vue. Les relations déjà tendues avec la fonction publique canadienne pourraient encore sedétériorer à la suite de ce budget.

Quelque 125 millions de dollars seront aussi récupérés dès cette année par l'abolition d'un créditd'impôt pour dividendes, une mesure touchant les propriétaires de PME qui se rémunèrentexclusivement de cette manière. Une hausse de la taxe sur le tabac fabriqué, telle que le tabac àmâcher ou le tabac haché fin servant à confectionner ses propres cigarettes, permettra d'allerchercher 75 millions.

Réactions :

Québec grondeL'opposition dénonce la refonte de la formation de la main-d'oeuvreLes avis sont partagés en AtlantiquePrès d'un milliard de dollars pour l'économie du Sud de l'OntarioLes fonctionnaires fédéraux sont appelés à faire un effort supplémentaireMunicipalités : le budget bien accueilliLe nouveau statut de l'ACDI est critiquéAutochtones : beaucoup de mots, pas beaucoup d'argent dans le budgetRéactions en MauricieRéactions dans l'Est-du-Québec



Réduire le chômage sans l'aide des provinces

Le budget 2013-2014 annonce une importante refonte du programme de formation de la main-d'oeuvre. Le gouvernement fédéral transférera la responsabilité de la gestion des fonds dédiés àcette fin des provinces aux entreprises.

« Les gouvernements ne seront plus ceux qui dicteront les choix en matière de formationprofessionnelle, mais bien, pour la première fois, les employeurs et les Canadiens qui veulenttravailler », peut-on lire dans les documents budgétaires.

Les ententes sur le marché du travail avec les provinces viennent à échéance l'an prochain.Ottawa en profitera donc pour les renégocier. Mais comme la formation des travailleurs est unecompétence provinciale, les négociations s'annoncent ardues, notamment avec le Québec quiprotège jalousement ses pouvoirs constitutionnels.

Ottawa veut instaurer une nouvelle formule où le fédéral, les provinces et les employeurs verserontjusqu'à 5000 $ chacun pour outiller les travailleurs.

Un nouveau plan pour les infrastructures

Le ministre Flaherty a profité du dépôt de son budget pour annoncer un nouveau pland'investissement dans les infrastructures du pays.

À compter de 2014-2015, Ottawa injectera 47 milliards de dollars sur 10 ans pour aider à laconstruction de routes, de ponts, d'installation de transports en commun et d'autres infrastructures,grâce notamment à des partenariats public-privé.



Le budget Flaherty n'est pas celui de l'austérité. Mais sa stratégie pour réduire le déficit publicgrâce à la lutte contre l'évasion fiscale est un pari risqué qui pourrait forcer le gouvernement àrevoir ses prévisions dès l'an prochain. Une meilleure croissance économique qu'anticipée pourraittoutefois aider le gouvernement conservateur à respecter sa promesse électorale de renouer avecdes surplus dès 2015.

Un texte de Gaétan Pouliot

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2013-03-22 06:15Budget Flaherty : les avis sont partagés | Radio-Canada.ca

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Budget Flaherty : les avis sont partagésMise à jour le jeudi 21 mars 2013 à 18 h 20 HAA

Le ministre des Finances, Jim Flaherty

Le budget du ministre des Finances du Canada, Jim Flaherty, contient peu de surprises pour larégion de l'Atlantique.

Le fédéral veut réduire le chômage. Il transfère donc la responsabilité de la gestion des fondsdédiés à la formation des travailleurs. Les employeurs pourront demander une subvention tripartited'un montant maximal de 15 000 $.

Les fonds pour cette subvention seront puisés à même les ententes existantes sur la formation dela main-d'oeuvre conclues avec les provinces, d'une valeur de quelque 500 millions $ par année, etqui prennent fin en 2014-2015.

Plusieurs provinces, dont le Nouveau-Brunswick, se sont déjà prononcées contre cette mesure. Deplus, il faudra voir si les entreprises et les gouvernements provinciaux moins nantis auront lesmoyens de contribuer à cette subvention.

Toutefois, l'expert en finances Marc Lalonde croit que le fait que les entrepreneurs s'investirontdans la formation des travailleurs peut avoir du bon.

« Du côté formation, on voit le gouvernement maintenant qui s'en mêle plus directement avec son

2013-03-22 06:15Budget Flaherty : les avis sont partagés | Radio-Canada.ca

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programme tripartite, mais aussi l'employeur s'en mêle. Donc, ce n'est peut-être pas une mauvaisechose de voir ça. Mais bien sûr, les provinces ne vont pas aimer ça. » — Marc Lalonde, expert enfinances

Jean-Claude Basque, du Front commun pour la justice sociale du Nouveau-Brunswick, espérait del'aide pour les démunis, mais il est déçu et inquiet.

« Jusqu'à maintenant, il n'y a rien qu'on parle de programme, de mesures, pour réduire la pauvreté.On sait qu'il y a 900 000 personnes qui vont aux banques alimentaires au Canada, il y a 1,4 millionde chômeurs, mais il n'y a rien qui nous donne une idée qu'il va y avoir de l'aide pour ces gens-là. » — Jean-Claude Basque, Front commun pour la justice sociale du N.-B

Ottawa renouvelle plusieurs programmes d'infrastructures, ce qui va entraîner des investissementsde 47 milliards de dollars sur 10 ans. De ce montant, 10 milliards de dollars seront réservés à desprojets d'envergure régionale ou locale. Au Nouveau-Brunswick, par exemple, on espère que cetargent financera l'élargissement de la route 11.

OTTAWA - Le gouvernement Harper a fait plaisir aux élus municipaux jeudi en renou-velant plusieurs programmes d’infrastruc-ture, ce qui se traduira par des investisse-ments fédéraux de 47,5 milliards $ de 2014 à 2024.

Sylvain LarocqueLA PRESSE CANADIENNE

Dans son huitième discours du budget, le ministre des Finances, Jim Flaherty, a claironné que le nouveau plan «Chantiers Canada» allait être «le plus important engagement fédéral à long terme dans l’infrastructure de toute l’histoire».

Or, les investissements fédéraux n’aug-menteront pas de façon significative. La nouvelle initiative coûtera en moyenne 4,75 milliards $ par année à Ottawa alors que le précédent plan Chantiers Canada, lancé en 2007, était doté de 33 milliards $ sur sept ans, ce qui représente 4,71 milliards $ par année.

Le nouveau plan comprend trois enve-loppes: un Fonds d’amélioration des col-lectivités de 32,2 milliards $, financé à même une taxe sur l’essence et un rem-boursement additionnel de la TPS aux municipalités, un nouveau Fonds Chantiers Canada de 14 milliards $ et un nouveau Fonds PPP Canada de 1,25 mil-liard $.

Des 14 milliards $ du Fonds Chantiers

Canada, 4 milliards $ iront à des «pro-jets d’importance nationale» (routes, transport en commun et ports) et 10 mil-liards $ à des «projets d’envergure natio-nale, régionale et locale» (routes, trans-port en commun, eau potable, eaux usées, Internet à haute vitesse et établis-sements d’enseignement).

Un bloc de 155 millions $ sera réservé pour des projets dans les réserves des Premières Nations.

Cet argent frais s’ajoutera aux 6 mil-liards $ qu’Ottawa prévoyait déjà verser aux provinces, aux territoires et aux mu-nicipalités au cours des prochaines an-nées en vertu des programmes d’infras-tructure existants.

Les documents du budget précisent que pour les demandes de financement de projets devant être réalisés dans le ca-dre de partenariats public-privé, le gou-vernement fédéral s’assurera que ce mode de fonctionnement est le plus avanta-geux.

Ottawa a par ailleurs indiqué son in-tention d’investir 319 millions $ de plus, au cours des deux prochaines années, dans l’infrastructure qui lui appartient. VIA Rail recevra 79 millions $, les bâtiments du Parlement fédéral, 67 mil-lions $, les stations météorologiques, 39 millions $, le projet de passage fron-talier Windsor-Detroit, 20 millions $, et le projet de remplacement du pont Champlain de Montréal, 14 millions $. !

Ottawa fait plaisir aux municipalités: 47,5 milliards $ dans les infrastructures

Ottawa investira 4 milliards $ dans des «projets d’importance nationale», notamment les routes, les ports et le transport en commun. - Archives

ACADIE NOUVELLE | VENDREDI 22 MARS 2013 5ACTUALITÉS

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ACADIE NOUVELLE | VENDREDI 22 MARS 201324 CANADA

OTTAWA - Ottawa souhaite que le secteur privé, et non plus seulement le gouverne-ment, «dicte les choix en matière de forma-tion professionnelle». Et si les provinces veu-lent que leurs citoyens bénéficient pleinement des subventions pour les programmes de for-mation, elles devront se plier aux règles du jeu détaillées dans le budget déposé jeudi par le ministre des Finances Jim Flaherty.

Mélanie MarquisLA PRESSE CANADIENNE

Les négociations entre le gouvernement Harper et les provinces en vue du renouvelle-ment des programmes de formation de la main-d’oeuvre, qui viennent à échéance en 2014, s’articuleront autour d’une nouvelle création d’Ottawa: la subvention cana-dienne pour l’emploi, l’une des pierres angu-laires du budget de 2013. Des 500 millions $ prévus pour ce fonds, 300 millions $ sont conditionnels à la contribution des entrepri-ses et des provinces. Sans elles, la subvention d’Ottawa s’envole en fumée.

On sait déjà que ce volet du huitième bud-get Flaherty sera accueilli avec une brique et un fanal à Québec. La province avait conclu en 1997 une entente particulière avec Ottawa dans ce dossier.

Informé des rumeurs circulant au sujet de la refonte de ces programmes, le gouverne-ment Marois avait prévenu mardi, par la bouche du ministre des Finances Nicolas Marceau, que la formation de la main-d’oeuvre était «un champ de compétence ex-clusif du Québec».

En conférence de presse à Ottawa, le mi-nistre de l’Industrie, Christian Paradis, a af-firmé qu’il ne souhaitait «pas de bataille» en-tre Ottawa et Québec sur cette question, plaidant qu’il ne fallait «pas voir ça comme un rapatriement de pouvoir à Ottawa».

Disant se fier aux réactions glanées lors de consultations avec des associations de manu-facturiers et de regroupements de gens d’af-faires aux quatre coins du pays, Jim Flaherty s’est pour sa part dit confiant que les entre-prises «aimeraient participer» à l’initiative et que la subvention était considérée comme «une chose importante» dans le milieu.

Le Conseil du patronat du Québec (CPQ) - qui a affirmé jeudi ne pas avoir été consulté - ne s’est pas montré convaincu des vertus de cette subvention, et ce, même si le modèle ac-tuel souffre d’un «manque d’adéquation» entre la formation et les besoins en emploi, a exposé Norma Kozhaya, économiste en chef de l’organisation. Le CPQ aurait largement préféré des crédits d’impôt aux entreprises pour encourager la formation continue, a précisé Mme Kozhaya.

Les modalités de ce volet conditionnel de la subvention devront être élaborées avec

beaucoup de doigté. Comment, par exem-ple, un employeur qui débourse les frais de formation d’un potentiel travailleur pourra-t-il s’assurer que celui-ci lui demeurera fi-dèle?

Car selon le modèle préconisé par le gou-vernement conservateur, l’entreprise peut dé-bourser jusqu’à 5000 $ afin de financer la formation d’une personne qui lui semble avoir le potentiel d’occuper un poste qu’elle cherche à combler. Avec les conteparties

équivalentes du fédéral et du provincial, la subvention peut donc atteindre 15 000 $ par personne.

Le secteur privé est appelé à jouer un plus grand rôle dans la formation de la main-d’oeuvre car trop d’entreprises et de tra-vailleurs n’arrivent pas à trouver chaussure à leur pied, selon le gouvernement fédéral.

«Au Canada, la formation professionnelle n’est pas suffisamment liée aux compétences dont les employeurs ont besoin ou aux em-

plois disponibles. (...) Pour renverser cette tendance, il est essentiel d’assurer la concor-dance entre les besoins des employeurs et la formation que reçoivent les Canadiens», peut-on lire dans le communiqué de presse du ministère des Finances.

Le gouvernement Harper estime qu’une fois l’initiative entièrement mise en oeuvre, près de 130 000 Canadiens pourraient suivre une formation à chaque année dans des «éta-blissements admissibles».!

Formation de la main-d’oeuvre: Ottawa met en place une subvention conditionnelle

Le ministre Jim Flaherty a dévoilé jeudi plusieurs mesures économiques. - La Presse Canadienne: Adrian Wyld

L’OPPOSITION DÉNONCE LA NOUVELLE FORMULE OTTAWA - La nouvelle formule d’Ottawa pour la formation de la main d’oeuvre est «un système de commandite conservateur», qui risque de mettre le feu aux poudres avec les provinces, déplorent les partis d’opposition.Pour eux, le noeud du dernier budget fédéral est la proposition du gouvernement Harper de changer toute la donne au sujet de la formation des travailleurs. Jusqu’à maintenant, Ottawa versait 500 millions $ aux provinces qui se chargeaient de la formation. Maintenant, l’argent transmis aux

gouvernements provinciaux demeure, mais viendra avec des conditions. Le fédéral versera un maximum de 5 000 $ par travailleur, uniquement à condition que le provincial et l’employeur participent dans la même mesure. Tous les partis d’opposition ont dénoncé cette ingérence du fédéral dans un champ de compétence provincial.Pour Thomas Mulcair, le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), l’opération vise rien de moins qu’à «estampiller le chèque de formation avec la feuille d’érable canadienne» et aura pour conséquence d’accroître le fardeau financier des provinces.Le fédéral veut régler son problème de déficit sans se préoccuper de ce qu’il envoie dans la

cour des provinces, juge pour sa part le chef libéral par interim Bob Rae.Le chef bloquiste Daniel Paillé dénonce par ailleurs le fardeau bureaucratique qui sera ajouté par le nouveau système aux petites et moyennes entreprises (PME), qui n’auront peut-être pas les employés pour remplir la paperasse requise et profiter des subventions.Du côté des investissements fédéraux dans les infrastructures, le chef néo-démocrate souligne que même si Ottawa annonce 47 milliards $ en nouvel argent, la réalité est moindre parce que l’argent investi est étalé sur 10 ans, sans indexation pour tenir compte de l’inflation.- LA PRESSE CANADIENNE

2013-03-22 06:16Les habitants des Maritimes continuent de quitter la région | Radio-Canada.ca

Page 1 sur 2http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2013/03/21/002-declin-population-nouveau-brunswick-nouvelle-ecosse.shtml

Les habitants des Maritimes continuent de quitterla régionMise à jour le jeudi 21 mars 2013 à 16 h 20 HAA

(archives)

Selon les dernières statistiques, l'exode des résidents des Maritimes se poursuit lentement,mais sûrement.

Depuis janvier 2011, un flot constant de Néo-Brunswickois déménage. Selon Statistiques Canada,plus de 1000 personnes ont quitté la province en 2011, et plus de 3600 l'ont quittée l'an dernier.

« Malheureusement, je vois que ce sera pire dans les années suivantes si on ne prend pas uneaction positive et constructive maintenant », affirme Constantine Passaris, professeur d'économie àl'Université du Nouveau-Brunswick.

Parmi ces actions, le professeur Passaris recommande l'adoption de politiques natalistes. Ilsouhaite aussi voir un plan pour contrer l'exode des jeunes provoqué par le manque d'emplois.

« Il y a un taux de chômage plus élevé avec le jeune francophone et un chômage plus élevé dansle nord de la province », souligne M. Passaris.

Le député libéral de Dieppe Centre-Lewisville, Roger Melanson, avance aussi une explication.« Pourquoi les gens s'en vont à l'extérieur? C'est pour travailler. Les gens veulent rester ici, ils

2013-03-22 06:16Les habitants des Maritimes continuent de quitter la région | Radio-Canada.ca

Page 2 sur 2http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2013/03/21/002-declin-population-nouveau-brunswick-nouvelle-ecosse.shtml

veulent vivre ici, ils veulent y travailler. C'est pour ça qu'il y a un lien direct entre la décroissance dela population et le statut économique du Nouveau-Brunswick », dit-il.

Les libéraux reprochent aux progressistes-conservateurs de ne pas avoir un plan réel pour soutenirla croissance économique.

Il n'a pas été possible d'obtenir des commentaires du ministre responsable desquestions démographiques.

Déclin en Nouvelle-Écosse

La Nouvelle-Écosse pour sa part a perdu 1100 résidents en 2012. Elle compte maintenant moinsde 947 000 citoyens.

Dans cette province aussi, des gens déménagent pour trouver du travail, et il y a peu denaissances comparativement aux décès.

2013-03-22 06:16Des groupes proposent une réforme de l'impôt foncier en N.-.É. | Radio-Canada.ca

Page 1 sur 1http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2013/03/21/003-demande-reforme-fiscale-nouvelle-ecosse.shtml

Des groupes proposent une réforme de l'impôt foncieren N.-.É.Mise à jour le jeudi 21 mars 2013 à 14 h 21 HAA

Des groupes proposent une réforme de l'impôt foncier en N.-.É.

Trois organismes actifs sur la scène sociopolitique en Nouvelle-Écosse demandent une réforme dela taxation municipale.

Le Centre canadien de politiques alternatives forme un front commun avec l'Institut pour les étudesde marché de l'Atlantique et la Chambre de commerce de la Nouvelle-Écosse.

Ces groupes demandent au gouvernement provincial d'étudier la possibilité de passer du systèmede revenus municipaux basé sur la valeur foncière à un autre qui serait surtout basé sur le revenudes résidents ou encore la valeur des services qu'ils utilisent.

Les organismes expliquent que le système actuel basé sur la valeur des propriétés est trop sujet àdes envolées des prix et trop déconnecté de la capacité des gens de payer la facture qu'on leurprésente. Le trio demande qu'on le remplace en tout ou en partie par un impôt local basé surle revenu.

L'idée inquiète plusieurs intervenants qui se demandent qui devrait payer plus et qui en sortiraitgagnant. Par exemple, cela ferait-il encore augmenter les taxes des entreprises qui disent déjàpayer plus que leur part? Ou cela allègerait-il le fardeau d'une classe particulière de la société audétriment des autres?

D'autres craignent qu'une réforme entraîne une nouvelle hausse, car les municipalités n'ont aucuneenvie de se voir imposer un régime minceur.

ACADIE NOUVELLE | VENDREDI 22 MARS 2013 19

L’Espace Jeunesse est produit en collaboration avec la Fédération des jeunes francophones du Nouveau-Brunswick et le média Kboom.ca

Pour soumettre un article, contactez la FJFNB : communications@"fnb.nb.ca 1-877-FJFNB-00 Les propos exprimés dans cette page sont ceux des jeunes et n’engagent en rien la FJFNBou l’Acadie Nouvelle. Les jeunes auteurs qui écrivent des articles pour la page de l’Espace

jeunesse reçoivent une rémunération.

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jeunesse reçoivent une rémunération.

NDLR - L’Acadie Nouvelle, par le biais de la chronique Espace Jeunesse, vous présente aujourd’hui les textes primés dans le cadre d’un concours d’écriture organisé par l’Uni-versité de Moncton dans le cadre de la 24e Semaine provinciale de la fierté française. Chaque gagnant remporte une bourse de 1000 $ au campus de l’Université de Moncton où il est inscrit.

Le français est une langue complexe et belle. Elle a été véhiculée pendant des siècles et évolue toujours afin

d’accommoder les progrès de l’homme. À travers le monde, on retrouve des dialectes et divers accents francophones. Cette di-versité est enrichissante, mais à la base, la langue sert à communiquer les uns avec les autres. C’est la raison pour laquelle à l’école on enseigne une langue standard et uniforme, où tout le monde peut se faire comprendre.

En tant qu’Acadienne, le français m’est précieux. Pourtant, il m’arrive parfois d’oublier un mot ou une expression parce que mon environnement est englouti par la culture anglophone nord-américaine. L’école est parmi l’un des quelques endroits où je peux améliorer mon français et porter mon identité francophone avec fierté.

La diversité ethnique de mon école me permet de rencontrer des gens francophones d’ailleurs dans le monde. Je peux partager des expériences avec une fille française, co-lombienne ou même ivoirienne. D’ailleurs, le CAFI (Le Centre d’accueil et d’accompa-gnement francophone des immigrants du sud-est du Nouveau-Brunswick) a célébré, pour la première fois à l’école L’Odyssée, sa fête de Noël. J’ai eu la chance d’y participer tout en offrant mon aide comme animatrice pour les enfants. C’était merveilleux!

L’après-midi s’est déroulé au son de la musi-que acadienne traditionnelle. Certains en-fants ne parlaient pas le français ni l’anglais, mais ils ont tout de même réussi à s’amuser. Rendus à l’âge scolaire, ils fréquenteront probablement une école francophone.

Grâce à mon cheminement scolaire, j’ai

découvert une nouvelle passion: l’apprentis-sage des cultures internationales. Le fran-çais m’a permis de créer des réseaux qui pourront m’aider dans le futur. J’ai le goût de voyager et mes capacités en français, ainsi qu’en anglais, pourront se prouver im-portantes d’ici peu. Je devrai continuer de

m’exprimer en français pour ne pas l’oublier et encourager mes camarades à faire de même. !

" Jasmine Arsenault École L’Odyssée de MonctonInscrite à l’Université de Moncton

Être fière d’être francophone

La fierté acadienne se conjugue en français. - Archives

Le français, mon coup de cœur aux mille couleurs

Riche et diversifiée, elle fait partie in-tégrante de notre vie. La langue française est connue dans le monde

entier. La Semaine provinciale de la fierté française me paraît une excellente idée pour célébrer le français tous ensemble. Le personnel de mon école fait des pieds et des mains pour souligner cette semaine importante et j’en suis très fière.

La Semaine provinciale de la fierté fran-çaise se conclut. Habituellement, la promo-tion de cette semaine importante se fait de fa-

çon efficace à l’école Marie-Esther de Shippagan, la polyvalente que je fréquente. Des affiches et des annonces publicitaires in-forment les élèves des différentes activités or-ganisées pour célébrer la langue française. L’an passé, un concours visant à parler sans utiliser d’anglicismes avait été mis en place et m’avait beaucoup plu. Les concurrents rece-vaient trois petits drapeaux et pouvaient vo-ler ceux des autres si ces derniers employaient des termes anglais dans leur vocabulaire. À la fin de la journée, la personne qui possédait le plus de drapeaux remportait un prix. En plus

d’activités amusantes et créatives comme cette compétition, les élèves ont été fortement encouragés à participer à des concours d’écri-ture par des enseignants engagés dans la cause. Je crois que tous les efforts et l’énergie que le personnel de ma polyvalente a investis dans cette semaine ont porté fruit et que beaucoup d’élèves ont réalisé l’importance de parler le français.

En conclusion, la Semaine provinciale de la fierté française est très importante pour les écoles. Je crois qu’elle aide beaucoup les élè-ves et les enseignants à réaliser à quel point il

est important de parler le français et de ne pas le perdre. Il est à souhaiter que les autres éco-les de la province accordent autant d’impor-tance à cette semaine que l’école Marie-Esther de Shippagan. La langue française est la nôtre et, durant la Semaine provinciale de la fierté française 2013, laissons-la rayonner dans ses mille couleurs. !

" Gabrielle RobichaudÉcole Marie-Esther de ShippaganInscrite à l’Université de Moncton, campus de Shippagan

EDMUNDSTON - Jacques Paul Couturier succèdera à Paul Albert à titre de vice- recteur de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE).

La nomination a été officialisée par le Conseil des Gouverneurs de l’Université de Moncton, jeudi. M. Couturier entrera en poste pour un mandat de cinq ans le 1er juillet.

Actuel doyen des études, poste qu’il oc-cupe depuis 2004, Jacques Paul Couturier, natif de Saint-Jacques, dans le Nord-Ouest, est le principal responsable des activités d’en-seignement et de recherche au Campus d’Ed-mundston.

Il a la responsabilité de six secteurs acadé-miques, une cinquantaine de professeurs, en-seignants cliniques et superviseurs de labora-toire. Près de 450 étudiants fréquentent l’éta-blissement.

Il est aussi responsable du Registrariat et chapeaute les activités de la bibliothèque Rhéa-Larose. Depuis 2012, il cumule égale-ment les fonctions de doyen par intérim de la Faculté de foresterie, aussi située sur le Campus.

Jacques Paul Couturier est titulaire d’un Ph. D. (1990) et d’une maîtrise en histoire de l’Université de Montréal. Il est bachelier de l’Université de Moncton (baccalauréat ès arts en histoire et baccalauréat ès arts multidisci-plinaire). Il a également fréquenté l’Université de Poitiers, en France.

Avant d’exercer son premier mandat de doyen des Études en septembre 2004, M. Couturier agissait à titre de professeur d’his-toire au Secteur des sciences humaines au Campus d’Edmundston depuis 1992. Il a également cumulé les fonctions de chef du Secteur des sciences humaines de 2001 à 2004.

En coulisses, il était le candidat pressenti pour succéder au vice-recteur Paul Albert, en-

tré à ce poste en 2003.«Grâce aux diverses fonctions cumulées au

fil des ans au Campus d’Edmundston, Jacques Paul Couturier a acquis une expé-rience variée. Son caractère rassembleur et sa connaissance des instances universitaires font de lui un titulaire de choix pour le poste», a souligné le recteur et vice-chancelier, Ray-mond Théberge.

Il a été impossible de parler avec le princi-pal intéressé jeudi, puisqu’il était à l’extérieur

du pays. Il fait partie de la délégation du Nouveau-Brunswick qui séjourne actuelle-ment à Nantes dans le cadre du Rendez-vous France-Acadie. - AN !

UMCE: Jacques Paul Couturier succèdera à Paul Albert

Jacques Paul Couturier - Gracieuseté

ACADIE NOUVELLE | VENDREDI 22 MARS 2013 9ACTUALITÉS

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2013-03-22 06:40Affaire Bettencourt : Nicolas Sarkozy mis en examen

Page 1 sur 3http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/03/21/affaire-bettencourt-sarkozy-confronte-au-majordome_1852256_3224.html

Affaire Bettencourt : Nicolas Sarkozymis en examenLe Monde.fr avec AFP | 21.03.2013 à 17h05 • Mis à jour le 22.03.2013 à01h29

C'est une décision retentissante, judiciaire autant que politique . Confrontépendant plusieurs heures à au moins quatre membres du personnel de LilianeBettencourt, jeudi 21 mars, à Bordeaux, pour vérifier s'il s'était rendu une ouplusieurs fois chez la milliardaire pendant sa campagne en 2007, NicolasSarkozy a été mis en examen dans la soirée par le juge Jean-Michel Gentil .

"Dans le cadre de l'information judiciaire suivie à raison de faits d'abus defaiblesse, d'abus de confiance aggravés, d'escroqueries aggravées au préjudicede Mme Liliane Bettencourt, trois magistrats instructeurs co-saisis, ont, ce jour21 mars 2013, recueilli l'audition de M. Nicolas Sarkozy , lequel était assisté deMaître Thierry Herzog , avocat au Barreau de Paris ", annonce le parquet dansson communiqué. "Au terme de cet acte, M. Nicolas Sarkozy, qui bénéficie de laprésomption d'innocence - s'est vu notifier une mise en examen du chef d'abusde faiblesse commis en février 2007 et courant 2007 au préjudice de MmeLiliane Bettencourt Schuller ", conclut ce communiqué adressé par le parquet deBordeaux. L'abus de faiblesse est passible de trois ans d'emprisonnement, de375 000 euros d'amende et d'une peine d'inéligibilité de cinq ans maximum.

L'avocat de l'ancien président de la République, M Thierry Herzog, a annoncéson intention de "former immédiatement un recours". Il a jugé la décision dujuge "incohérente sur le plan juridique, et injuste". "Je saisirai en conséquenceimmédiatement la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bordeaux pourformer un recours et pour demander la nullité, notamment de cette mise enexamen", a-t-il déclaré.

A lire : La droite dénonce des méthodes au relent politique évident(/politique/article/2013/03/21/mise-en-examen-de-sarkozy-la-droite-denonce-des-methodes-au-

L'ancien président de la République a quitté le palais de justice de Bordeaux à l'arrièred'une Renault Espace peu avant 22 heures. | AFP/PATRICK BERNARD

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2013-03-22 06:40Affaire Bettencourt : Nicolas Sarkozy mis en examen

Page 2 sur 3http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/03/21/affaire-bettencourt-sarkozy-confronte-au-majordome_1852256_3224.html

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DIX-SEPT MIS EN EXAMEN

L'ancien président de la République a quitté le palais de justice de Bordeaux àl'arrière d'un véhicule précédé par une voiture de la police circulant à vive allurepeu avant 22 heures. Son inculpation porte désormais à 17 le nombre depersonnes mises en examen, à des titres variés, dans l'affaire Bettencourtdepuis le 14 décembre 2011.

L'affaire avait été déclenchée par l'ex-comptable des Bettencourt, qui avaitdéclaré à la police en juillet 2010 s'être vu réclamer 150 000 euros en liquidepar l'ancien homme de confiance des Bettencourt, Patrice de Maistre , début2007. Celui-ci lui avait assuré, selon la comptable, vouloir les donner à EricWoerth , alors trésorier de la campagne de Nicolas Sarkozy.

Le juge cherche à déterminer si M. Sarkozy a commis un abus de faiblesse auxdépens de Mme Bettencourt en lui demandant de l'argent pour financer sacampagne présidentielle de 2007. Plusieurs membres de l'entourage de lamilliardaire ont déclaré avoir vu M. Sarkozy à plusieurs reprises pendant cettepériode et ont affirmé qu'il avait rencontré Mme Bettencourt à ces occasions.

"LES BETTENCOURT NE M'ONT JAMAIS DONNÉ UN SOU"

M. Sarkozy a de son côté toujours affirmé s'être rendu au domicile desBettencourt une seule fois pendant sa campagne de 2007, pour y rencontrerbrièvement André Bettencourt, le mari de l'héritière de L'Oréal, décédé ennovembre de la même année.

A la fin de novembre, à l'issue d'une audition marathon qui a duré douzeheures, l'ancien président de la République avait été placé sous le statut detémoin assisté. Selon le journal Sud-Ouest, qui avait consulté l'intégralité desprocès -verbaux de cette audience, l'ancien président aurait déclaré : "LesBettencourt ne m'ont jamais donné un sou et je ne leur en ai jamais demandé."

Lire : Affaire Bettencourt : M. Sarkozy réfute les soupçons pesant surlui (/societe/article/2012/11/24/affaire-bettencourt-devant-le-juge-m-sarkozy-a-nie-les-

soupcons-pesant-sur-lui_1795430_3224.html)

Me Herzog a indiqué que le juge avait laissé M. Sarkozy sous le statut detémoin assisté pour les faits d'abus de faiblesse qui auraient été commis contreMme Bettencourt en 2008, et pour les faits de recel qui auraient été commis les19 janvier et 5 février 2007. Il s'agit, pour 2008, d'une visite de Mme Bettencourtà l'Elysée en compagnie de son ancien homme de confiance, Patrice de Maistreet, en 2007, de rencontres entre l'ancien ministre et trésorier de campagne deM. Sarkozy, Eric Woerth, et M. de Maistre.

M. Sarkozy est donc soupçonné d'avoir abusé de la faiblesse de MmeBettencourt, qui n'a plus toutes ses facultés depuis septembre 2006, pour luidemander de l'argent, à l'occasion du rendez-vous "unique", selon Me Herzog,qu'il a eu chez les Bettencourt en février 2007.

Alex Chiasson rappelé par les Stars

DALLAS, Texas - Les Stars de Dallas ont rappelé l’attaquant Alex Chiasson de leur club-école de la Ligue américaine, jeudi. Chiasson, dont le père est originaire de Saint-Simon, dans la Péninsule acadienne, a récolté 32 points (12-20) en 53

matchs au sein des Stars du Texas cette saison. Le choix de deuxième ronde de Dallas en 2009 a également purgé 41 minutes au cachot. Chiasson, 22 ans, occupait le troisième rang des meilleurs marqueurs du Texas avant son rappel. Le patineur de 6 pi 3 po et 206 lb devait être à Los Angeles jeudi soir alors que les Stars avaient rendez-vous avec les Kings. - AN

Victoire de Bas-Saint-IsidoreSAINT-ISIDORE - Des buts de Pierre-Luc Comeau, Christian Noël et Sébastien Duke ont permis à la formation de Bas-Saint-Isidore de l’emporter 3 à 2 sur les représentants de Bois-Blanc/Paquetville, mercredi soir, en lever de rideau du 18e Tournoi de hockey paroissial Dépanneur Gabriel-Haché ltée de Saint-Isidore. Elzéar Roussel et Éric Godin ont marqué dans la défaite. Dans l’autre partie présentée en soirée, Bois-Gagnon a défait Duguayville par la marque de 6 à 2. - AN

La ringuette à l’honneur à DieppeDIEPPE - Pas moins de 70 formations de ringuette bifurqueront vers Dieppe en fin de semaine afin de prendre part aux championnats provinciaux dans les catégories U9, U10, U12, U14, U19 et senior. «Nous sommes heureux de pouvoir présenter ces championnats provinciaux pour une deuxième année de suite, indique le président du tournoi pour l’Association de ringuette de Dieppe, Ron Arseneau. Les gens de la région auront la chance de voir en action les meilleurs éléments de ce sport dans la province tout en apprenant à mieux le comprendre. Nous avons attiré plusieurs amateurs lors de notre tournoi annuel au début mars et les gens ont pu apprécier le calibre de jeu de nos jeunes filles.» Au total, c’est plus de 140 parties qui seront présentées dans les arénas de Dieppe, de Memramcook et de Cocagne. Les finales auront lieu dimanche, à compter de 10 h. L’horaire et les résultats des matchs seront disponibles sur le site Internet (www.ringuettedieppe.ca). - AN

LE SPORT EN BREF

ACADIE NOUVELLE | VENDREDI 22 MARS 2013 43SPORTS

MONCTON - Le calendrier officiel de la Coupe du monde de soccer féminin, Canada 2015, a été approuvé provisoirement par la FIFA, réunit à Zurich jeudi. Moncton ac-cueillera sept matchs, dont une rencontre de huitième de finale.

Acadie Nouvelle

Le plus important tournoi de soccer fémi-nin sur la planète s’arrêtera au pays du 6 juin au 5 juillet 2015. Les parties présentées au Nouveau-Brunswick auront lieu au Stade Moncton 2010, sur le campus de l’Université de Moncton.

«La Coupe du monde de la FIFA est l’un des événements sportifs les plus prestigieux au monde. C’est un honneur d’accueillir l’événement à Moncton», a indiqué le maire adjoint de la Ville de Moncton, Merrill

Henderson. «Pour nous, c’est une occasion unique de

faire valoir les atouts de notre ville et de no-tre région au monde entier, mais aussi de prouver une fois de plus la réputation de Moncton comme capitale du sport et du di-vertissement dans les Provinces maritimes.»

Canada 2015 regroupera 24 équipes de partout dans le monde, une première pour le soccer féminin qui continue à gagner en po-pularité à l’échelle planétaire.

«Quelle belle occasion pour Moncton et le Nouveau-Brunswick de se présenter devant un auditoire international! Cet événement contribuera également à faire la promotion des avantages d’un mode de vie sain et de l’activité physique, ce qui est essentiel pour rebâtir le Nouveau-Brunswick», a dit la mi-nistre responsable du Sport et des Loisirs, Dorothy Shephard.

«En accueillant la Coupe du monde, nous

continuons à bâtir notre réputation déjà so-lide en tant qu’endroit de classe mondiale pour les événements sportifs et récréatifs.»

La Coupe du monde de soccer féminin 2015 se tiendra dans six villes, soit Moncton, Montréal, Ottawa, Winnipeg, Edmonton et Vancouver.

«Avec ses milliers d’adeptes à travers le monde, un événement de cette envergure crée une excellente vitrine pour notre campus et pour l’Université de Moncton dans son en-semble», a mentionné le recteur et vice-chan-celier de l’Université de Moncton, Raymond Théberge.

Les billets pour l’événement seront mis en vente à l’automne 2014.

Le Canada accueillera également la Coupe du monde féminine U-20, un an avant le grand rendez-vous de 2015. Pour plus de renseignements, vous pouvez visiter Internet (www.FIFA.com/Canada2015). !

Coupe du monde de soccer féminin: Moncton accueillera sept matchs de la FIFA

Moncton accueillera un autre événement majeur de soccer féminin en 2015. - Archives

Alex Chiasson

2013-03-22 06:22Le Canadien bat finalement les Islanders | Marc Antoine Godin | Hockey

Page 1 sur 1http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201303/21/01-4633559-le-canadien-bat-finalement-les-islanders.php#Slide-1-box-0

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Publié le 21 mars 2013 à 21h54 | Mis à jour le 21 mars 2013 à 22h58

Le Canadien bat finalement les Islanders

Marc Antoine GodinLa Presse(Uniondale, N.Y.) Dans un seul match, on a pu voir comment P.K. Subban polarise les opinions et suscite la controverse.

Quarante-huit heures après s'être rendu responsable d'une punition qui a coûté le match au Canadien, le défenseur de 23ans voulait rebondir. Or, il a d'abord été le bouc-émissaire, puis le héros dans une victoire de 5-2 du Tricolore face auxIslanders de New York.

Le défenseur de 23 ans a été cloué au banc durant plusieurs minutes en deuxième période après avoir été impliqué dansune punition pour avoir eu trop d'hommes sur la patinoire.

«C'est une mauvaise communication entre deux joueurs», s'est limité à dire Michel Therrien, qui n'a pas voulu préciser sic'est la punition ou la réaction de Subban qui lui avait déplu.

Chose certaine, lorsque son pensum s'est terminé, au cours d'un avantage numérique, son puissant tir frappé a permis auCanadien d'égaler la marque 2-2.

Subban a ensuite inscrit le but d'assurance en troisième période, ce qui lui permet d'être bien installé en tête des buteurs dela LNH chez les défenseurs avec neuf buts en 24 rencontres.

Or, même au terme d'un cinquième gain consécutif sur les patinoires étrangères, même si l'équipe n'a qu'un revers en tempsréglementaire à ses 19 derniers matchs, Subban n'était pas du tout de bonne humeur après la rencontre.

«Il a mieux joué en troisième période», a commenté Therrien qui, lui non plus, n'avait pas envie d'épiloguer sur le sort de sonjeune arrière.

Opportunisme en troisième

Ce fut un drôle de match au cours duquel le Tricolore a tardé à s'imposer. Mais le réveil de l'attaque en troisième période apu faire de l'ombre sur 40 minutes plus ardues.

«Je ne trouve pas qu'on a particulièrement bien joué lors des deux premières périodes, mais nous sommes revenus en forceen troisième», a résumé Carey Price.

Quelle aura été la différence dans ce match ?

«Nous avons été chanceux, a répondu le gardien. Nous avons capitalisé sur quelques opportunités. Quand tu marques desbuts, c'est plus facile de dire que tu joues mieux...»

À l'instar de Subban, David Desharnais a répondu à l'appel après avoir été secoué par son entraîneur. C'est que le centrequébécois a dû céder sa place à Lars Eller en deuxième période et s'est retrouvé flanqué d'Alex Galchenyuk et GabrielDumont.

«Nous avons voulu lancer certains messages en deuxième périodes parce que je n'aimais pas la chimie que je voyais sur lapatinoire, a expliqué Therrien. Les joueurs ont bien répondu.»

Desharnais, qui a eu son plus faible temps d'utilisation de la saison (13:10), s'est repris en troisième en récoltant deuxmentions d'aide, la première étant son 100e point dans la LNH.

«C'est bien de sentir que quand le match n'est pas encore décidé, notre trio peut s'imposer et aider l'équipe, a soutenuGallagher. Ce serait bien qu'on puisse aussi le faire plus tôt dans le match, mais on nous a placés dans des situationsimportantes en troisième de façon à ce qu'on puisse contribuer.»

2013-03-22 06:44FC Nantes, 70 ans : Monterrubio se souvient - Nantes - Football - ouest-france.fr

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Nantes

Football jeudi 21 mars 2013

FC Nantes, 70 ans : Monterrubio se souvient

Le 21 avril, le FC Nantes aura 70 ans.

Un bel âge pour un club huit fois sacré champion de France, trois fois vainqueur de la Coupe de France, et qui compte pas moins de100 matches européens.

« Le FC Nantes fait partie du patrimoine du football français. » Cette phrase, on l’entend dans tous les stades de l’hexagone etparfois bien au-delà. Ouest-France, qui a vu son éclosion, a vécu les beaux moments et les passages plus délicats aussi, dans lesillage de la maison jaune, célébrera l’événement le moment venu dans le quotidien, avec quelques surprises.

A l'occasion de cet anniversaire donnons la parole aux hommes qui l’ont écrite.

En retournant dans les lieux qui ont fait sa légende. Le FC Nantes a près de 70 ans et il continue de faire rêver. Les jeunes et lesmoins jeunes.

À l’heure où tout porte à croire qu’il pourrait retrouver la Ligue 1, le FC Nantes semble éternel. Nous vous invitons à revivre ses plusbelles heures... en attendant les prochaines.

Le coup d'envoi est donné par Olivier Monterrubio

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