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  • 8/2/2019 Le Nouvel Economiste - Event et digital

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    5 PASSAGE PIVER75011 PARIS - 01 58 30 64 64

    08 MARS 12Hebdomadaire Paris

    OJD : 12154

    Surface approx. (cm) : 936Nde page : 57-58

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    AUDITOIRE5891551300504/GFS/OTO/2

    Elments de recherche : Toutes citations : - AUDITOIRE : agence communication venementielle - CYRIL GIORGINI : prsident de l'agenceAuditoire

    Marketing'^EVENEMENTIEL

    -Pouvoir du rel

    -leasing digital

    - Complmentarit des contenus

    Lancement de produit

    Ping pongQuand virtuelet rel se renvoient la balle

    Web et rseaux sociaux sont devenus des incontournables dans nombre de stra-tgies de lancement de produit. Efficaces, cibls, exclusifs, impossible de s'en pas-ser. Et pourtant, de faon presque paradoxale, les vnements traditionnels ont

    le vent en poupe. La combinaison du rel et du virtuel, un duo gagnant ? Peut-tre.Encore faut-il que l'alliage soit rflchi en termes de contenu et de timing. Unquilibre parfois difficile trouver.

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    Elments de recherche : Toutes citations : - AUDITOIRE : agence communication venementielle - CYRIL GIORGINI : prsident de l'agenceAuditoire

    Par Lotlie Canto

    L'vnement a ete tenu secret, et

    seuls des impratifs d'organisationont contraint la marque a divulguer

    certaines informations La grande

    soiree organise par Axe dans le cadre du lan

    cment de sonnouveaudeodorantAxeAnarchydoit rassembler le 9 mars des centaines de fans

    pour leur faire vivre un evenement aux couleursdu groupe Unilever, recompenser leur fidelite

    sur les reseaux sociaux et dans le mme temps

    jouer sur l'image branche du produitAxe aurait pu se contenter d'alimenter une pageFacebook dj bien fourme La marque a prefere ajouter dans sa recette une dose d'evenemenel Du palpable, du contact, a l'heure ou levirtuel envahit nos vies et les strategies de com

    munication des entreprises Unilever est lomd'tre seul sur ce crneau Malgre la cnse,les

    marques continuent de miser sur les soirees delancement, les happenings et autres evenemems traditionnels Le budget, certes, est

    reduit, mas l'envie toujours la II faut dire que

    la methode continue de faire ses preuves Selon

    une etude ralise par le Cmn auprs de

    127 entreprises, l'vnementiel est le media quioffre le meilleur retour sur investissement en

    termes de notorit et d'image, devant le marketingdirect,leWebetlapresse End'autrester

    mes le consommateur adore

    Pouvoir du rel

    "Toutes les etudes marketing le montrent, autour

    d'hui les gens veulent du reel, assen Cyril

    Giorgmi, president d'Auditoire, l'agence eve

    nementielle du groupeTBWA..Afore que nos rela

    tions se virtualisent, on observe une tendance

    lourde au retour des valeursfarmltales, des valeurs

    de lenteur mme dparta ge Et puis vous auriez

    envie, vous, d'aller a un diner sw Facebook?

    "De fait, s'd est un avantage qu'on ne peut ref u

    ser a l'vnement reel, c'est bien le contact qu'ilpermet avec le produit, experience difficile-mentimagmablesurleWeb "La rencontre phy

    sique est ncessaire quand/produit est nouveauou encore mal connu Le consommateur a besoin

    de le toucher, de l'exprimenter, explique

    Stephane Lecca, directeur general de Publicis

    Events Etputssurtout,l'evenementcreeuneemo

    Renault a\ec Bose, une mise en scene imph

    quant la chanteuse de jazz Melodie Garde SurFacebook, les internautes pouvaient gagner, sur

    concours, des places pour un concert prive auTrocadero "Ici, le digital tait au centre de notre

    strategie, explique Stephane LeccaL'vnementn 'en tait que l'aboutissement "

    leasing digital

    Car complementaire du reeLlevirtueln'enpossede pas moins de nombreux atouts, surtoutquand on sait que la France compte 38 millionsd'internautes, dont plus de 31 millions de visiteurs uniques sur Facebook et 3,6 millions pourTwitter Sur Facebook,les pages de "fans" consa

    Alors que nos relations se virtualisent, il y a une tendance lourde

    au retour des valeursfarmliales et dpartage

    tion quidonneenvied acheter 'La sensonalite de

    la rencontre garantit la puissance de l'impact et

    une empreinte memonelle durable Et cela vaut

    d'autant plus pour les produits alimentaires "LeWeb ne permet pas encore de goter", plaisante

    Nicolas Deluce, directeur marketing pour

    Nescafe

    Element souvent central, l'vnement est aussi

    parfois le prtexte pour une grande campagnemarketing sur les reseaux sociaux Stephane

    Lecca, de Publicis Events, raconte ainsi avoir

    imagine, pour promouvoir un partenariat de

    cres aux marques ne se comptent plus, passage

    incontournable pour les grandes entreprises

    Les bloggeurs spcialises les plus connus cons-

    tituent autant de relais d'influence

    'Le premier avantage du Web et dei reseaux

    sociaux, e 'est leur capacite a faire du leasing a

    moindre cout", avance Maud Bousquet, respon

    sable e-marketmg pour l'agence Web Editoile

    On se souviendra de Free, qui a l'aide de

    qulques tweets avait russi a faire monter lesuspens a l'approche du lancement de son offre

    de telephonie mobile, au mois de janvier

    Premiere alerte, un message crypte de Xavier

    Niel "lafrisee est surlepas de tir" S'en taientsuivi sur le Web un jeu de piste pour geeks,

    qulques autres tweets mystrieux, avant la

    creation d'une page Facebook une semaine

    avant la conference de pressePour le projet AxeAnarchyJ'equipe marketingde la marque a elle aussi largement exploite les

    reseaux sociaux, Facebook en premiere ligne

    Sur la page fan, de nombreux leasings renvoient

    a la grande soiree prvue par la marque le9 mars et voquent le lancement d'un deodorantAxe pour femmes une premiere Le produitseraexdusivementvenduviaFacebooketconstituera un sesame pour accder a la soireeSuspense et exclusivit sur la page du reseau

    social, nombreux sont les commentaires unpatients

    Une strategie digitale s'avre beaucoup moinschere qu'un spot a la television Une video virale

    qui cote 5 DOO euros tout au plus peu t avoir unmaximum d'effet Cette presence sur les

    reseaux sociaux reprsente toutefois un inves

    ssement sur le long terme une page Facebooks'entretient, grace a des posts rguliers

    Indispensable pour maintenir veille l'intrt

    des fans "Riendepirepourrimaged'unemarque

    qu'une page vide ou qui n'a pas ete actualise

    depuis des mois ", souligne Maud Bousquet, de l'a-

    gence Editoile

    Autre atout d'Internet, sa capacite a dcupler

    l'impact d'un evenement reel 'Evidemment,

    dans la vraie me, il est complique de rassembler

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    36 000personnes dans un mme lieu, concde

    Christopher Lemoine, responsable communi-

    cation pour la marque alimentaire Michel et

    Augustin. L'avantage de Facebook, c'est qu'en un

    die, des milliers de personnes seront au courant de

    ce que vous organisez." Et mme si tous les fans

    ne participent pas, l'vnement aura eu un cho

    auprs d'eux. Us pourront donc ensuite consul-

    ter photos et feedbacks posts sur le rseau

    social. "En temps de crise, o nos budgets sontsouvent amputs de 20% par rapport aux annes

    prcdentes, le Web perm et d'amplifier l'impact

    d'un vnement qui, faute de moyens, ne permet-

    tra pas de runir autant de personnes qu'on le sou-haiterait",confirme Stphane Lecca, de Publicis

    Events.

    Cet effet amplificateur des rseaux sociaux pro-

    sa nouvelle gamme Nes, qui vise recruter de

    jeunes consommateurs, a labor une stratgie

    de lancement largement centre sur les rseaux

    sociaux : cration d'une page Facebook cense

    rassembler une communaut de fans, avec l'a-

    chat d'espaces publicitaires sur ce mme rseau

    social. "Pournous, c'taitle moyen leplus e f f i ca ce

    pour toucher des 18-24 ans qui passent davantage

    de temps devant leur cran d'ordinateur que

    devantla tlvision,etquisouventnefontpasleurs

    Deluce, responsable marketing chez Nescaf, il

    est indispensable d'tablir une cohrence entre

    les diffrent s supports. "Quand on lance un pro-

    duit la fois par le biais d'une campagne digitale,

    despots tlviss, et d'vnements rels, il faut que

    lesmessagessoientlesmmes,quel'histoirequeron

    raconte soit identique."

    Combiner et non juxtaposer, tout en veillant

    une complmentarit des contenus. "Chaque

    support doit bnficier d'un contenu exclusif,

    38 millions d'internautes franais, dont plus de 31 millions d visiteurs

    uniques sur Facebook et 3,6 millions pour Twitter :

    Internet et les rseaux sociaux sont dsormais un passage obligatoire

    "L'vnement cre une m otion qui donne envied'acheter." Stphane Lecca, Publicis Events.

    courses eux-mmes",explique Nicolas Deluce,

    directeur marketing chez Nescaf.

    Enfin, les rseaux sociaux ont cette capacit

    d'humaniser l'image de la marque. Un exemple

    probant : celui de la page Facebook d'Oasis et

    ses plus de deux millions cent mille fans. Grce

    des images, des mini-sondages, des vidos

    humoristiques qui mettent en scne des per-

    sonnages sous la forme de fruits et posts de

    faon quasi quotidienne, la marque a su se crer

    une communaut d'adeptes trs actifs, entrete-

    nant ainsi son image jeune et dcale.

    Pour le fabricant de biscuits Michel et Augustin,

    humaniser la marque passe par le rcit des cou-

    lisses de cette petite entreprise. "Sur Facebook,

    nous racontons tout ce qui nous arrive, plein d'a-

    necdotes. Comme notre dernire mission

    New Yorkparexemple,avecdesphotosetdespetits

    textes", confie Christophe Lemoine, responsa-

    estime Maud Bousquet, de l'agence Editoile. Il

    faut que ce qu 'on trouve sur les rseaux sociaux

    vienne complter des spots tlviss ou unecam-

    pagne d'affichage. Sans a, comment inciter l'in-

    ternaute passer du relau virtuel Plldoittrouver

    sur le Net quelque chose en plus, une plus-value."

    Par exemple des vidos qui ne se trouvent nulle

    part ailleurs, des places gagner exclusivement

    sur le Net, ou encore simplement la possibilit

    de donner son avis. Ainsi Oasis, pour sa nouvelle

    boisson aromatise la papaye et l'ananas, a-

    t-elle offert ses fans la possibilit de voter pour

    la meilleure publicit, promettant que celle-ci

    serait ensuite la version diffuse la tlvision.

    Une mthode galement utilise chez Yves

    Saint Laurent, et qui ncessite en amont une

    vision globale de ce que sera la campagne de

    lancement. "Au moment o nous tournons les

    films publicitaires, nous nous demandons ce qui

    fite tous les secteurs, y compris le luxe dont les

    vnements sont pourtant exclusifs par dfini-tion, note Valrie Nowak, directrice de la com-

    munication internationale chez Yves Saint

    Laurent."Chez nous, les vnements se passent

    dans une atmosphre intime, rserve aux happy

    few. Mais grce aux rseaux sociaux et au Web en

    gnral, on rend l'vnement accessible aux autres

    cibles del marque.Tout en gardant ct crin exclu-

    s i f ."

    De f ait, Internet permet de toucher des cibles

    peu permables la tlvision, parfois mme

    absentes des points de vente traditionnels. C'est

    d'ailleurs la raison pour laquelle Nescaf, pour

    Evnementiel et Internet se renvoient mutuellement la balle,

    dans un jeu de ping-pong entre le rel et le virtuel

    ble communication pour le fabricant de biscuits

    et de yaourts. Le tout sur le ton de l'humour.

    Rsultat : une identit virtuelle trs forte, une

    marque incarne et une "tribu" rassemblant

    plus d 36 000 fans sur le rseau social.

    Complmentarit des contenusRel et virtuel ont donc chacun leurs atouts,

    encore faut-il savoir les combiner de faon

    obtenir un rsultat optimal, sans qu'un support

    n'annule l'efficacit de l'autre. Pour Nicolas

    pourra ensuite intresser nos f ans et nos bloggeurs,

    raconte Valrie Nowak, directrice de la commu-

    nication internationale. Cela nous amne donc

    tourner des vidos diffrentes. Nos contenus Web

    n'ont pas le mme ton. Hssontdavan tage un regard

    port de l'intrieur. On s'attache aussi crer

    davantage de connivence."

    C'est donc par ce contenu exclusif disponible

    sur le Web que le consommateur se retrouvera

    sur la page Facebook de la marque, ou bien dci-

    dera de suivre ses actualits sur Twitter. Qu'il

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    Elments de recherche : Toutes citations : - AUDITOIRE : agence communication venementielle - CYRIL GIORGINI : prsident de l'agenceAuditoire

    I"Quand on lance un produit ta foispar le biais d'une campagne digitale,

    de spots tlviss et d'vnements rels,

    il faut que les messages soient (es mmes,

    que l'histoire que l'on raconte soit identique."

    Nicolas Deluce, Nescaf.

    "Grce aux rseaux sociaux et au Web

    en gnral, on rend l'vnement accessible

    aux autres cibles de la marque. Tout en gardant

    cet crin exclusif propre au luxe."

    Valrie Nowak, Yves Saint Laurent.

    dcide de s'abandonner ces flux d'informa-

    tions et le voil transform en ambassadeurauprs de son rseau.

    Ainsi, il pourra la fois partager les contenusmis en ligne par la marque mais aussi se faire l'-

    cho de certains vnements organiss par celle-

    ci et auxquels il aura t convi. Mais pour cela,l'vnement, dans sa nature, doit faire parler de

    lui. "Sil'on veut qu'une soire de lancement par

    exemplesoitrlayesurledigital,lfautuncontenu

    fort, qui demande tre racont, assure CyrilGiorgini, prsident de l'agence Auditoire. Sitout

    se passe trop bien, si tout est trop lisse, les inter-

    nautes ne partageront pas leur exprience. E faut

    du relief. D'o la ncessit de crer un vnement

    original, qui provoque une motion f arte."Des contenus complmentaires donc, mais com-ment les agencer dans le temps ? "Le pas de

    temps est fondamental",assure Caria de Prval,

    directrice de la stratgie digitale chez Yves Saint

    Laurent. Selon Maud Bousquet, de l'agence

    Editoile, une bonne utilisation des rseaux

    sociaux ncessite d'abord de ractiver une com-munaut de fans en amont de la phase de lan-

    cement de produit. Une tche qui peut prendre

    de plusieurs semaines plusieurs mois. C'estseulement partir de l que les rseaux sociaux

    peuvent ensuite permettre de crer une attente.Chez Nescaf, ce schma est bien intgr. "La

    phase d'mergence et de notorit de notre nouvelle

    gamme Nes va se drouler sur le Web", prvoit

    Nicolas Deluce, directeur marketing. On espreainsi toucher trois millions de personnes. Ensuite

    seulement, nousnousrendronssurlescampuspour

    faire connatre leproduit, ce qui devrait nousper-

    mettre de toucherquelque 70 0 D O O tudiants rels."

    Mme une fois pass cette phase primordiale,

    les rseaux sociaux conservent leur fonction de

    haut-parleur de la marque, permettant de faire

    vivre l'vnement en direct grce du live-twit-

    ting par exemple. H va sans dire que l'vne-

    ment rel, de son ct, peut galement renvoyer

    la balle vers son partenaire, en invitant visiter

    sa page Facebook ou son compte Twitter.

    lancement du produit. Ils se pensent de faoncomplmentaire, un puzzle deux pices.

    Pourtant,Thierry Reboul, prsident de l'agence

    Ubi Bene, se refuse parler de recette gagnante.

    "Lekmcementdeproduit,c'estd'abordunehistoire

    d'ide. Web ou pas, partir du moment o l'on

    arrive crer l'vnement grce LA bonne ide,

    afors a remeten question tous les dosages." m

    CHIFFRES REVELATEURS

    Twitter, agent du e-m arketingEncore cl ipse par Facebook, Twitter et ses 3,6 mil-lions d'uti l isateurs franais n'en est pas moins unrservoir de possibi li ts ne pas ngliger. Selon unercente tude ral ise aux Etats Unis, 37 % des abon -ns se connectent p lus ieurs fo is par jour , 33 % aumoins une fois par jour. Seul i uti l isateur sur 10 nedclare suivre aucune marque. 31 % suivent entre ia smarques , 20 % en t re 6 e t 10,18 % e nt re ii et 20.66 %d'entre eux sont d'abord intresss par des rduc-tions.

    unit (Club d e s d i rec teu rs ma rke t in gs e t t e c h n o l o -

    g ie s d e l 'i n fo rma t io n e t d e la co m mu n ica t io n ).

    A lire galement : M A R K E T I N G - C O M M U N I C A T I O N V -N E M E N T I E L L E -"Le lev ier mo t i o n n e l " -1 2 j anv i e r 2 0 1 1

    Chaque support fait la promotion de l'autre,

    dans un jeu de ping-pong entre le rel et le vir-

    tuel o chacun trouve son compte. Aprs l'v-

    nement, les rseaux sociaux continuent de faire

    vivre le dialogue. Le Web permet de recueillir

    les retours des participants d'une part, et sur-

    tout de prolonger l'vnement via photos et

    vidos.

    Rseaux sociaux et vnementiel, rel et virtuel

    se croisent et s'entrelacent donc tout au long du