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Décembre 2003

L'école est au cœur des débats.

Je me demande s'il est possible d'ensei­gner à des enfants qui n'apprennent plus en famille à respecter leurs aînés et leurs maftres ... Je me demande si l'école a raison de se disperser dans des éveils variés qui neper­mettent plus aux enfants de maîtriser la lecture, l'écriture et le calcul à la sortie du primaire ... Je me demande si l'université doit s'ouvrir sur seule présentation d'un diplôme qui n'a plus d'autre valeur que celle de faire croire à tort à leurs détenteurs qu'ils ont tous un bon niveau ... Je me demande si l'entreprise ne doit pas prendre plus de place dans la formation des élèves quand j'observe tous ces jeunes sur­diplômés sans emploi et tous ces jeunes marginalisés au cœur du système scolaire poursuivant une scolarité primaire, secon­daire voire supérieure sans espoir .. . Placer l'intérêt de l'enfant avant la défense des intérêts des adultes, rendre des bases solides à nos enfants, développer la forma­tion en alternance et l'apprentissage épau­lés par des maîtres respectés et exigeants issus de l'éducation nationale et du monde professionnel, ne laisser s'engager dans des formations universitaires que les jeunes , ayant la volonté et les moyens intellectuels ou techniques d'y réussir : voilà peut être des pistes pour mettre fin au gâchis. Ayons le courage d'ouvrir nos cœurs au débat sur l'école.

Bonnes fêtes à tous

Le Sénateur-maire,

_Au.~&~

t Téléthon 2003 MONTIGNY SE SERRE LES COUDES

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t montigny78.~r NOUVEAU VISAGE POUR LE WEB

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t Entreprise BANAN'ILES, COMME SON NOM L'INDIQUE

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t Art de vivre LEGRAND MÉCHANT STRESS

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T ~t CirWft de L' i!J~~JI[~,n, vous stM­Iwit-t de J~ts fttts de firv 'JllMÛ et

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Le journal de Montigny-le-Bretonneux

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et au pied du sapin Le Marché de Noël lance un peu chaque année le début de la trêve des confiseurs

à Montigny. C'est déjà un peu des saveurs et des couleurs de votre fin d'année festive que vous y trouverez le week-end prochain à la Ferme du Manet.

L'école en débat dans les quartiers

L'avenir de l'école, c'est le grand chantier lancé par le gouvernement, qui commence par la prise de parole des citoyens partout en France. A Montigny, les débats sont ouverts en décembre dans les quartiers. Cha­cun est invité à apporter ses arguments et ses idées pour préparer l'école de la République de demain.

page6

Page3

t Au ciné J. Brel LES AFFICHES ÉVÈNEMENTS DE DÉCEMBRE

pages2et 12

t Noël en fête DES ANIMATIONS DANS VOS QUARTIERS

page 10

t Hand-ball TUNISIE-ROUMANIE À COUBERTIN LE 27

page 1S

t Danse sportive GALA INTERNATIONAL LE 13 À COUBERTIN

pagelS

L 'ignymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux- tél : 01 39 30 31 32 -fax : 01 39 30 31 33 • mel : journal®montigny78.fr retrouvez chaque mois l'lgnymontain en tigne sur le site internet de la ville http://www.montigny78.fr

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SOMMAIRE pa9e3 ACTU :

Marché de Noël du s au 7 - téléthon les 5 et 6 - Com­mémoration US du 11 novembre.

page4ACTU: Diplômés du travail - Légion d'Honneur pour Jean-Paul Boisteau- Elections du CMJ.

pages ACTU: Nouveau visage pour l'internet municipal - Au dernier Conseil - La famille Gilbert se souvient de la Ferme du Manet - Nouveau recensement.

page6 ACTU: L'avenir de l'école en débat en décembre - Les tribunes des groupes du Conseil Municipal.

page 7 ACTU :· . Notre dossier : vivre sans stress

page 8 ECONOMIE: Banan11es, comme son nom l'indique - Alter Pro - La Fiesta devient SQY ouest.

page 9 SENAT: Les jardins collectifs en examen au Sénat

pages 10 et 11 QUARTIERS : Noël dans vos quartiers- Concours de nouvelles à la MQ Malraux - Rendez-vous à la MQ Jouvet - Un boulodro­me au Club le Village -Les conteneurs ad hoc de la SCIC aux Prés- Abattage d'arbres au Manet- le site web du Plan de Troux - Beaujolais à la Sourderie-Nord.

pagesuet13 CULTURE: XVI' Salon des Arts - Des sorties nationales au ciné J. Brel - América retient la Noche Cubana - associations : elles jouent le jeu -le programme culturel de décembre.

pages 14 et 15 : SPORT Handball : Tunisie-Roumanie pour le Marrane le 27 à Coubertin - Grand prix international de danse sportive le 13 à Coubertin - Badminton : loin du jeu de plage -Challenge de la ville nouvelle : le SMAC à l'honneur -Basket : un plein panier d'objectifs à I'ASMB -Montigny Squash Club : la 1"' division en point de mire- Football : Kierspe joue et gagne - Cyclisme : Laurent Anguy du VCMB vainqueur UFOLEP 78.

page 16 JEUX- ANNONCES

LE MONDE DE NEMO 1h45 2003 Film d'animation d'Andrew Stanton & Lee Unkrlch des studios Walt Disney, avec les voix de Franck Du­bosc, Céline Monsarrat, Kevin Sommier. D~ :'ls les eaux cristallines de la grande barrière de co­rail, Marin, un poisson-clown, mène une existence paisible avec son fils unique, Nemo. Malgré les conseils et la surveillance de son père, le jeune pois­son Intrépide n'attend qu'une occasion pour aller à la découverte des mystères de son vaste monde. Nemo n'hésite pas : sa curiosité le pousse à s'approcher d'un bateau, près duquel un plongeur le capture sous les yeux horrifiés de son père. Pour retrouver son fils, Marin va malgré lui devenir le héros d'une quête unique et palpitante.

MER 3/12 (1]h et 20h30), VEND 5/12 (20h30), SAM 6/12 (20h30), DIM 7/12 (1411, 17h et 20h30),

LUND 8/12 (1]h et 20h3o)

SPECIALE GALOPINS Samedi 6 décembre 2003 de 14h à 18h3o (voir page 12)

KILL BILL 1h52 2003 Interdit ayx- de 16 ans Film américain de Quentin Tarantino, avec Uma Thurman, David Carradine, Michael Madsen. Une tue11se à gages professionnelle, qui se fait appe­ler •The Bride" décide de mettre fin au contrat qui la lie à une organisation criminelle. Cependant, au cours de sa cérémonie de mariage, son ancien partenaire fait irruption dans l'église et tire sur la foule. Laissée pour morte, la tueuse retrouve ses esprits après un coma de cinq ans. Elle n'a alors plus qu'une seule idée en tête : venger la mort de ses proches en éliminant tous les membres de l'organisation criminelle.

MER 10/12 (20h3o), VEND 1lj12 (21h), SAM 13/12 (17h), DIM 14/12 (20h30)

MICHEL VAILLANT 1h44 2003 (d'après la bande dessinée) Film français de Louis Pascal Couvelaire. Production de Luc Besson, avec Sagamore Stévenin, Peter Young­blood Hills, Diane Kruger. Michel Vaillant pilote virtuose, est le champion in­contesté des rallyes et circuits du monde entier. Ses succès et ceux de son équipe l'écurie Vaillante, provo­quent autant de jalousie chez leurs concurrents ... MER 10/12 (18h), SAM 13/12(20h30), DIM 14/12 (15h et 1]h)

GOOD BYE LENIN VO 1h58 2.002. Comédie dramatique allemande de Wolfgang Becker, avec Daniel Brühl, Katrin Sass, Chulpan Khamato Alex, un jeune Berlinois de l'est, apprend la chute mur <~lors que sa mère est dans le coma à la suite d'un

URGENCE SAPEURS-POMPIERS: 18

POLICE SECOURS: 17

SAMU: 15

CENTRE DE SECOURS ET D'INCENDIE Tél. : 01 30 69 39 oo

POLICE MUNICIPALE Tél. : 01 30 57 57 57

TÉLÉSURVEILLANCE Tél. : 01 34 86 26 oo

COMMISSARIAT DE POLICE Tél. : 01 30 48 26 70 OU 17

GARDES DE NUIT MEDECINS

Tél. : 01 30 57 90 45 OU 15

PHARMACIES Commissariat

de Guyancourt Tél. : 01 30 48 26 70

CENTRE ANTI-POISON Tél. : 01 40 37 04 04

DÉPANNAGE D'URGENCE EDF Tél . : 01 30 50 88 54 GDF Té l. : 01 30 50 8o 72

SOS ENFANTS MARlYRS Tél. : o1 45 83 75 56

Infarctus. Celle-ci a toujours été quelqu'un d'actif. Les mois passent et le coma continue. La ville se transfor­me, les voitures occidentales sillonnent les rues. Au bout de huit mois , elle ouvre les yeux dans une ville qu'elle ne peut connaftre. Alex veut absolument lui éviter un choc brutal que son cœur affaibli ne pour­rait supporter.

Séance unique LUN 15/12 à 20h30

LE SEIGNEUR DES ANNEAUX LE RETOUR DU ROI 3hoo 2.003

{Sortie nationale) Film fantastique de Peter Jackson, avec Elijah Wood, Sean Astin, Vlggo Mortensen, Christopher Lee. Tandis que les ténèbres se répandent sur la terre du milieu et que l'affrontement final entre le bien et le mal approche, les Hobbits Frodon Sacquet, de plus en plus attirés par l'anneau, et Sam continuent leur pé­riple vers le Mont du destin. Quant à Aragorn, il révè­le être l'héritier caché des rois antiques.

MER 17/12 (16h30 et 20h30), JEU 18/12 (17h et 20h30, VEND 19/12 (1]h et 20h30), SAM 20/12 (16h30 et 20h30), DIM 21/12 (16h30 et 20h3o), LUN ll/12 (16h30 et 20h30),

MAR 23/12 (16h30 et 20h30)

SCARY MOVIE 3 1h40 2.003 {SOrtie nationale)

Comédie américaine de David Zucker, avec Charlie Sheen, Denise Richards, Regina Hall. Pour Cindy, jeune et jolie reporter, le compte à re­bours a déjà commencé. Parce qu'elle a visionné la cassette au pouvoir démoniaque, elle sait qu'il ne lui reste plus que sept jours à vivre. Si elle ne veut pas fi­nir comme sa copine Brenda, elle doit absolument dé­couvrir le secret de cette effroyable prophétie.

MER 24/12 (17h), VEND 26/11 (17h et 20h30), SAM 27/12 (20h30), DIM lB/12 (20h30), LUN 29/12 (20h30)

LE CHIEN, LE GENERAL ET LES OISEAUX 1h15 2.003 Film français Dessin animé de Francis Nielsen, avec Philippe Nolret Un jeune général russe a sacrifié les oiseaux pour brO­Ier Moscou et sauver son pays envahi par Napoléon. Désormais à la retraite, il ne trouve pas le repos, han­té par le souvenir des oiseaux en flammes et attaqué chaque jour par tous les volatiles de Saint-Péters­bourg.

MER 24/12 (1411), SAM 27/12 (1]h), DIM lB/12 (15h), LUN 29/12 (15h)

Plein tarif: s€- Tarif réduit : 3,30€ Film longue durée : TP : s,2.o€- TR : 3,70€ Carnet de 10 places : 33€

Rens : 01 30 44 10 11 (répondeur) ou au 01 39 30 31 70 (Direction de la Culture).

L'lgnymontain, le jou mal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Nicolas ABOUT, Sénateur-maire- co-Directeur : Michel LAUGIER, 1~ adjoint au maire Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats -78180 Montigny-le-Bretonneux

Tél.: 01 39 30 31 34 Fax : 01 39 30 31 33 courrlel : joumal@montlgn)78.fr

Directeur de la rédaction : Yann Pasco Rédaction : Y. Pasco, Sandra Duranteau, Elvire Dauberville, Anne-Sophie Parisot Photos : Catherine Maraone, Yann Pasco Conception, mise en page : Y. Pasco Imprimerie: SEMIF HEBDOS : bd des Champs Elysées - 91002. Evry Cédex Distribution PTT .. ;;;;~ ,!,;~~os:~ Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros-contactez le Journal ISSN : 1241-6053 papier recycl~.

2

Mardi 2. Conférence d'histoire de l'art : Edouard Vuillard 20h - Conservatoire des Arts

Vendredi 5 au dimanche 7 M arché de Noêl de M ontigny Ferme du Manet (voir page suivante)

Vendredi 5 et samedi 6 Téléthon :1003 Centre sportif Coubertin (voir ci-contre)

Samedi 6 Cinéma : "Spéciale Galopins" à partir de 14h -Salle J. Brel

Du 6 au 14 décembre Exposition " Instant Arrêté", Annick Langlois Maison Félix

Mardi 9 Coup de coeur de la salle J. Brel : "On ne badine pas avec l'amour", une plke d'Alfred de Musset 20h30 - Salle Jacques Brel

Samedi 13 3' Grand Prix international de danse sportive de Mont igny 21h - Centre sportif Coubertin

Lundi 15 Conseil municipal 19h - Hôtel de Ville

Mardi 16 Conférence d'histoire de l'art :

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ErA r NAISSANCES Le 19 septembre 2003 PERRIN Matthis 6 octobre 2003 LIN Tiffany 8 octobre 2.003 DUCHESNE Louis DURAND Axel EOUZAN Malo FISCHER léna 9 octobre 2.003 VERDUN Paul 12. octobre 2.003 BODIN Natasha 13 octobre 2.003 CHAIGNON Solène GAGA TEK Matthew 14 octobre 2.003 SAILLY Quentin 17 octobre 2.003 KASIMI Wardan KASIMI Wassim MARCHAND Camille 18 octobre 2.003 BRETTE Maëlle 2.0 octobre 2003 OCHS Théo 21 octobre 2003 ARTUS Ziad GUIGNOT Baptiste 2.2. octobre 2003

BENRAHAL An issa 23 octobre 2.003 ANCELY lise GILLET Clara PONSINET Nell 24 octobre 2.003 KHENNOUF Myriam KHENNOUF Sara MÀTIN Carla SUHAS Thomas 25 octobre 2.003 SAÏDI Eva 2.6 octobre 2.003 BELGUEBLI Elyssa 27 octobre 2.003 LAUSSON Julien PERRIN Léa 28 octobre 2.003 SUMERA Orianne 29 octobre 2.003 BEGAIN Anaëlle 30 octobre 2.003 GUILLEMINOT Chloé LAUBERTE Juliette 31 octobre 2.003 BONË Vaéna MUKENDI MPIANA Cynthia ROUSSEAU Mélanie 1"" novembre 2.003 AUDEMAR Tiphaine

L'art dit orient aliste 2oh - Conservatoire des Arts

Mardi 16 Concert : "Plaisi rs de Noël" 20h3o - salle Jacques Brel

lundi 2.2.

Concert : Quartier en live 20h30 - MQ Louis Jouvet

Samedi 27 Hanbdball : Challenge M arrane Tunisie-Roumanie 20h3o - Centre sportif Coubertin

CtVtL 3 novembre 2.003 BOISDET Kristel MARGOTIN Victor MONCEAU Evan 5 novembre 2.003 NONIS Kylian 7 novembre 2.003 ABBOUD Inès FLORIOT Clément

MARIAGES

Emtnlon P«rtlcullare 4 I'H6UI de VIlle le 20 ,,. tembre dernier, ofl Elll«· beth ù(Wre, «4/0int «U m«lre ch«rsi de 1« Jeu· nu1e. offlcl«lt 4 l'union de 1on fils Gulll«ume avec Chrtmlle,

2.0 septembre 2003 LEFEVRE Guillaume et DËCHAMP Christelle 2.5 octobre 2.003 BUISSON Joël et PEREZ Françoise 2.5 octobre 2.003 SANSEN Arnaud et SARAZIN laure 8 novembre 2.003 MARTIN Cyril et DOUSSET Soli ne RIGNON Bruno et HYORDEY Sophie

DECES 17 octobre 2.003 TRI BERT veuve LAM­BERT Olga 2.2. octobre 2.003 AZAN Gilles 2.7 octobre 2.003 DESCHAMPS Jérôme 1"" novembre 2.003 ISSERT Jean-Pierre 5 novembre 2.003 MEl li Werner 11 novembre 2.003 FERRË veuve LONG Simone

Si vous ne souhaitez pas que des informations d'état-civil vous concernant apparaissent dans cette rubrique, contacter L 'ignymontain au : 01 39 30 31 31 ou mel : journal@>montignY78. fr.

collecte sélective des déchets ménagers

Pas du Lac Plan de Troux Le Village La Sourderie QUARTIERS St Quentin Plan de l'Eglise le Manet les Prés

~RDU~ES mardi lundi mardi lundi M NAG RES samedi vendredi samedi vendredi

EMBALLAGES jeudi mercredi jeudi mercredi ~ ~ ~ •• u • • ~

:· .· " ., Les :collectes des 25 décembre et 1 Janv1er sont reportées au lendemain

QUARTIERS

ENCOMBRANTS 1 fois par mois

DËCHETS TOXIQUES

GRAVATS DËCHETS VERTS

Pas du Lac Plan de Troux la Sourderie St Quentin Plan de l ' ~lise Le Village Le Manet

les Prés Rue A. de igny

mercredi 3 jeudi 11 mercredi 17 jeudi 18 vendredi 26 décembre décembre décembre décembre décembre

Collectes : le 3' samedi de chaque mois de gh à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quen­tin, le 3' mardi de chaque mois de 15h à 16h rue des Mouettes, quartier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

ATTENTION réouverture le 1er mars 2004

La permanence gratuite de l'AGENCE LOCALE POUR LA MAfrRISE DE L'ENERGIE se tient le 3' mercredi de chaque mols de 16h à 18h30 :. l'Hôtel de Ville

Au renaez-vous aes saveurs, au renaez-vous ae la qualité, le Marché ae Noël ae Montigny fera encore le plein aes cabas et aes paquets-caaeaux le week-ena prochain à la Ferme au Manet.

Au bonheur des fêtes Comme chaque année, la période de Noël est faite de petits plaisirs, celui des yeux avec les lumières joyeuses et colorées, celui du cœur avec les moments privilégiés par­tagés en famille et les cadeaux échangés, mais aussi celui de l'estomac, bien pourvu, même une fois la bise venue ! Pour tous ces rendez-vous, vous trouverez de quoi vous satisfaire au Marché de Noël du vendredi 5 au dimanche 7, grâce à la soixantaine d'arti­sans de bouche réunis dans la cour de la Fer­me du Manet, ainsi que les 56 artisans, ins­tallés dans la Grange, qui exposeront leurs créations. Devenu une tradition, votre Mar­ché de Noël est désormais un rendez-vous très attendu de la région, reconnu pour sa qualité et son originalité.

www.IIIOtltigttylB.fr

EN BREF Listes électorales .:

inscrivez-vous Vous venez de vous installer sur la com­mune, vous avez 18 ans, ou encore vous serez majeur avant le 28 février 2004, pensez à vous inscrire sur les listes électo­rales. De même, si vous avez changé de quartier, n'oubliez pas de signaler votre changement d'adresse. Vous n'avez plus que jusqu'au 31 décembre prochain pour effectuer ces démarches au service Etat­Civil de l'Hôtel de Ville. Pour ce faire, mu­nissez-vous de votre. carte nationale d'identité et d'un justificatif de domicile, éventuellement d'une attestation manus­crite de l'hébergeant si le nom est diffé­rent.

Pour voter en 2004, ,

inscrivez-vous en 2003.

Fermeture de l'Hôtel de ViJie

Notez-le, pour cause de fêtes de fin d'an­née, l'Hôtel de Ville sera exceptio,nnelle­ment fermé au public les vendredis 26 dé­cembre 2003 et 2janvier 2004.

Le service municipal Événementiel sélec­tionne les artisans sur de nombreuses candi­datures dès le mois de juin, pour vous offrir le meilleur choix possible, tant en diversité qu'en qualité. C'est pourquoi chaque année, vous retrouvez sur le marché vos artisans préférés, mais aussi les nouveautés qui lui donnent son caractère unique. Du côté gus­tatif, champagne, escargots ou foie gras fe­ront toujours recette, mais vos papilles pourront être alléchées par le vin d'Alsace, la bière, le fromage à la louche ou les spé­cialités bretonnes. Tous les ingrédients du terroir pour faire un bon repas de fête en somme. Vous pourrez orner votre table de découvertes qui étonneront vos convives par leur saveur ou leur présentation. Parmi

de métier. Connaissez-vous par exemple la gravure sur résine ? Ce sera également le temps d'acheter votre sapin de Noël et de l'agrémenter de décorations originales. Sa­medi à 11h, l'inauguration sera rythmée par les chants de la chorale du Conservatoire, et l'animateur ventriloque vous guidera au fil des allées grâce à ses commentaires et ses discussions avec les artisans et les visiteurs. Le Père Noël sera là pour tous les enfants sages afin de leur distribuer des bonbons, prendre des photos et surtout récupérer toutes les lettres qui lui sont destinées en main propre. Ce marché et ses artisans sau­ront vous faire plaisir au cours d'une balade sur les airs magiques de l'ambiance de Noël.

17e Téléthon les 5 et 6 décembre

toutes les spécialités présentes, vous êtes sûrs de trouver votre bonheur pour garnir le pied du sa­pin avec des ca­deaux originaux, confectionnés à la main par des gens

Vendredi s et samedi 6 décembfè de 1oh à 20h, dimanche 7 de 1oh à 19h.

Rens. : 01 39 30 31 38.

Une commémoration à l'accent américain

Les anciens combattlurts piYJIIOsaient une re­mise ae méaailles aans leurs rangs au cours de la cérémonie.

C'est comme si les cieux s'étaient excep­tionnellement ouverts à la mémoire des Poilus, ce mardi 11 novembre à Montigny pour la Commémoration de l'armistice de la Première Guerre Mondiale. Entre deux jours de grisaille et de brouillard, ce 11 no­vembre dardait des rayons de lumière et de chaleur pour mieux honorer et cultiver le juste hommage aux héros de la Grande guerre. En ce jour de souvenir, c'est comme si les cieux s'étaient également levés sur les relations franco-américaines. Une équipe de documentaristes américains avait choisi la cérémonie de Montigny pour illustrer le thème d'un prochain reportage destiné à la télévision nationale. Dans les pas de Ri­chard Vasquez, un vétéran de l'armée US installé de longue date à Montigny et qui porte ses couleurs au côté des couleurs na­tionales lors des commémorations, l'équipe dirigée par la journaliste Lynn Green-Ruta­nen et la productrice Sandy Levitz Lunner a écouté avec surprise et émotion retentir

l'hymne amencatn avant la Marseillaise, alors que Raymond Lebon, président de I'UNC Montigny et le Sénateur-Maire Nico­las About avaient prononcé leurs discours. L'équipe de journalistes travaille à un re­portage évoquant les relations franco-amé­ricaines dans le contexte international ac­tuel, ainsi que la situation des quelque 200 vétérans américains installés aujourd'hui en France, à l'approche de la commémora­tion des 6o années du D Day le 8 mai pro­chain. Lynn Grenn-Rutanen s'est avouée surprise de l'engouement suscité par ce jour du Souvenir à Montigny (300 per­sonnes environ ont suivi le cortège), "ainsi que la participation importante des jeunes générations, attentives à la pédagogie du Sénateur-Maire durant les phases de la commémoration.

L'équipe de joumalistes américains a SUIVI

toute la cérémonie, concluant par une inter­view du Sénateur-Maire. Les téléspectateurs américains croiseront ainsi Montigny sur leur petit écran prochainement.

3

La ville ·au diapason de l'élan solidaire

Une fois n'est pas coutume, le centre spor­tif Pierre de Coubertin sera l'épicentre du dispositif prévu à Montigny pour soutenir l'action du Téléthon 2003. Du vendredi 5 à 18h au lendemain samedi à 21h (avec une pose de 23h à 10h), les animations se pour­suivront à l'appel de la Ville et des associa­tions locales impliquées dans le grand élan solidaire annuel au bénéfice de la recherche sur les maladies génétiques. Pour 1€, vous aurez l'occasion de découvrir et même de vous initier à différents sports, individuels comme l'escalade ou le trampoline, ou col­lectifs avec le football, le volley-bali, le ba­se-bali et beaucoup d'autres encore. Vous pourrez assister aux démonstrations propo­sées toutes les demi-heures et choisir entre la danse, la musique, l·a magie ou encore les

La .Lanéthon fait son réseau

Prenez 200 joueurs les yeux rivés sur l'écran de leur PC, happés par des aven­tures virtuelles qu'on peut imaginer rava­geuses tant les acteurs martyrisent la souris et le joystick. Vous êtes devant un réseau, une lan party. Dans une salle, la logistique court et s'enroule de table en table, entre connecteurs, switchs, gros serveurs. Les joueurs en réseau ont avant tout besoin de puissance pour s'affronter à l'arme numérique. L'association Archy­lan, un groupe d'une quarantaine de pas­sionnés de la ville nouvelle allié au Lion's Club local pour l'occasion, peut compter sur l'appui de la société Teldata pour lui fournir la puissance. Du 5 au 6, les joueurs qui se sont inscrits sur le site web de l'association vont débarquer avec les PC et s'affronter pendant 24h. Une per­formance qui n'en est pas tout à fait une puisqu'il leur arrive souvent de pousser le jeu sur tout un week-end non stop. L'in­tégralité de leur droit d'inscription sera reversé au Téléthon. Si vous voulez dé­couvrir un monde virtuel plus pacifique et détendu que les clichés ne l'entendent, venez pénétrer le sein du sein à Couber­tin du vendredi soir au samedi soir. Les aventures virtuelles se joueront dans un cadre très concret. Et pour ceux qui vou­dront s'y essayer, quelques PC disponibles attendront les candidats.

arts martiaux, le tout en musique avec un concert de rap le vendredi, les chants de l'Harmonie municipale et de la Chorale des IV Vents. L'ASMB basket reconduit son concours de lancés francs suite au succès de l'année passéé. Pas besoin d'attendre l'été, le concours de pétanque sera ouvert à tous, Les Vieux Pistons vous feront faire une ba­lade tandis qu'Ar Bernie fera sauter les crêpes. Vous pourrez même faire des em­plettes parmi les confections d'art floral et de poteries. Dans l'une des salles du complexe sp6rtif, la Lanéthon (voir également l'encadré ci­contre) mobilise pour sa part les joueurs en réseau, réunis pour ce we~~:end sous l'égi~ de de l'association Archylan, du Lion's Club Montigny-les Trois Villages et de la société Teldata. Le record de 4160€ récoltés l'an­née dernière est à battre absolument

Briques et puzzle ... D'autres initiatives en faveur du Téléthon émargent également au programme igny­montain pour cette édition 2003. Ainsi l'agence immobilière Orpi, basée rue Mar­cel Proust au Plan-de-Troux participe-t-elle à son niveau à l'opération nationale du groupe visant à construire une réplique de ia basilique de Notre Dame de la Garde sur le quai d'honneur de la mairie de Marseille. Pour ce faire, 40000 briques symboliques sont misés en vente à 5€ dans les agence,s d'Orpi. De 19h à minuit le samedi 6 dans les locaux de l'agence, la construction sera re­transmise _sur écran géant et un cocktail se­ra offert aux participants (Renseignements au 01 39 30 66 99). Le Conseil de quartier du Manet a pour sa part imaginé la réalisation d'un puzzle du quartier, dont les éléments seront proposés ·aux usagers du centre commercial du Ma­net de 10h à 1Îh3o.le samedi 6.

La Lanétlton constJtuera l'IUle aes aniJJrations du programme étllbll ii MOiftigny, princ:ipale­ment au centre sportif Coubutln.

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EN BREF La bourse aux ·projets

2004 est ouverte

Diplômés ès-travail Les dossiers de candidatures pour les bourses aux projets 2.004 sont d'ores et déjà disponibles à I'Hôtel.de Ville (servi­ce Vie des quartiers). Ces bourses peu­vent permettre aux jeunes lgnymon­tains âgés de 16 à 2.5 ans, désireux de mener à bien un projet à caractère humanitaire, sportif, culturel, scientifique ou ci­toyen, de bénéfi­cier d'un coup de pouce financier maximum de 765€. Une commission municipale exa­minera les propositions rendues et se déterminera sur les projets soutenus en mars 2.004. Les retraits de dossier peu­vent être effectués jusqu'au 31 janvier 2.004. Il devront être remplis et déposés ensuite en mairie au plus tard le 2.9 fé­vrier 2.004.

Calcul du quotient familial

Le calcul du quotient familial concernant les prestations périscolaires s'effectue à l'accueil polyvalent de l'Hôtel de Ville jus­qu'au 15 décembre, pour une application au 1•' janvier 2.004. Les pièces standards à fournir sont le livret de famille, la notifica­tion des allocations familiales, l'avis d'im­position 2.002.,le bulletin de salaire de dé­cembre 2.002., le contrat de location ou une quittance de loyer, une attestation certi­fiant l'exactitude des renseignements.

Sur les 159 travaill eurs décorés d'un diplôme du trava il, 88 étaient présents pour lacéré­monie officielle de la remise des médailles d'honneur du travail, le samedi 15 novembre à l'Hôtel de Ville. 69 travailleurs étaient dé­corés d'argent pour 2.0 ans d'effort, 56 por­taient les couleurs du vermeil pour 30 ans de travail, 37 relu isaient d'or pour fêter 35 ans de vie professionnelle, et enfin 10 d'entre eux étaient couronnés de la mé­daille grand or pour 40 ans de bons et loyaux services. "Qui dit 40 ans, dit que c'est bon signe avec une libération au plus tard le 1" janvier" a déclaré le Sénateur-Mai­re, Nicolas About, avant d'ajouter plus sé­rieusement que "dans les difficultés ac­tuelles, cette cérémonie remet le travail à sa place et lui confère toute sa valeur". Un di­plôme attribué par l'Etat, un cadeau et un buffet récompensaient leur carrière, alors que de nombreux élus de la Municipalité as­sistaient à la cérémonie. Un honneur bien mérité pour ces travailleurs qui permet­taient également de découvrir diverses en­treprises et professions. "C'est un encoura­gement pour les années qui restent à faire, et cet accueil très chaleureux est un remer­ciement qui fait plaisir", a souligné Lucette Brunie, médaillée de vermeil. "Encore quelques années et on laissera la place à la jeunesse, mais en attendant, on se sent uti-

le d'avoir rendu ser-Le parfait trieur vice" a-t-elle ajouté,

après 33 ans de car­rière . "On croyait que c'était tombé en désuétude. C'est un peu impressionnant pour la première fois, et c'est aussi

La Légion d'honneur pour Jean-Paul Boisteau

Le 15 oovembre dernier à l'Hôtel de Ville, pour la première fois la médaille de la Lé­gion d'Honneur était décernée à un élu de la municipalité ignymontaine en la person­ne de Jean-Paul Boisteau. Pour cette occa­sion spéciale, le Sénateur-Maire avait revê­tu son écharpe officielle et sa médaille du Parlement pour marquer solennellement l'événement. Lisant la lettre adressée au récipiendaire par Jacques Chirac, Nicolas About déclarait : "j'ai décidé de nommer Jean-Paul Boisteau au grade de Chevalier de la Légion d'Honneur pour son dynamis­me, sa disponibilité et son dévouement". Né le 2.3 mai 1948, Jean-Paul Boisteau re­çoit initialement une formation de maître­nageur-sauveteur, ornée de deux mé­dailles pour sauvetage en mer. Il remplit toutes ses obligations militaires au cours desquelles il montre ses prédispositions de sportif, et devient logiquement professeur d'éducation physique. Lorsqu'il est élu

conseiller municipal pour la première fois en 1983, Montigny compte 16ooo habi­tants et tout son développement reste à faire. Il est adjoint délégué aux Sports jus­qu'en 1995, récompensé par la médaille de bronze et d'argent de la Jeunesse et des Sports. Il travaillera sur le Scolaire et la Fa­mille jusqu'en 2.001, et a en charge depuis lors l'Urbanisme et les Travaux. C'est de­vant une assemblée émue, tout comme lui, que Georges Dreysse son collègue du Conseil municipal lui a épinglé la décora­tion honorifique. · Jean-Paul Boisteau prêche l'humilité et remercie modeste­ment son entourage et l'esprit d'équipe du Conseil municipal. "Je remercie toute l'équipe municipa'le qui a permis de réussir avec brio ses défis. Je suis fier d'avoir par­ticipé à cette aventure qu'a été la construction de notre ville". Il n'a pas ou­blié son épouse en lui rendant hommage pour sa patience.

Jean-Paul Boisteau (au centre) a reçu la méaallle de la Légion d'Honneur des mains de son collègue du Conseil Municipal Georges Oreysse (ik sa gauche), lui-même Officier de la Légion d'Honneur.

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Les récipiendaires de ce millésime de rautomne 2003 des diplômés du travallignymontains.

l'occasion de rencontrer les élus" soulignait Frédéric La Roche, médaillé d'argent.

Une récompense pa rticu 1 ière

Cette cérémonie était teintée d'une émo­tion particulière avec deux médailles très spéciales. Jany Jean recevait la médaille d'honneur communale, départementale et régionale, des mains de Jean-Luc Ourgaud, élu délégué à la Communication, pour ses 30 ans au sein de la fonction communale, dont 2.3 ans au service de la municipalité de

Montigny dans divers secteurs de l'adminis­tration. "En 1981, Montigny était un village, et il a fallu une équipe gestionnaire volon­tariste pour accompagner la croissance de la ville. Je suis fière d'avoir travaillé pour cette ville . Nous avons avancé en transmettant notre expérience aux jeunes". Les anima­teurs du secteur Jeunesse, dont elle a contribué à l'embauche de nombre d'entre eux, lu i offraient une reconnaissance spé­ciale avec une magnifique gerbe de fleurs. "Etre reconnue pour la valeur de son travail , c'est ça la véritable récompense", a-t-elle ajouté.

Le millésime d'automne 2003 méda i lie d'Argent

Yves ARECHAVALETA, Isabelle BARGAIN, Béa­trice BARON, Alain BERTHOUMIEUX, Marie­Claude BORDESSOULE, Philippe BOURDIOL, Jean-Hervé BOURHIS, Laurence BOUVET, Pier­re BRUNET, Philippe CAPARROS, Brigitte CA­PRON, Marie-Christine CASTAGNET, Anne CHAILLOUS, Alain CHAUMIER, Joseph CITRA­TE-HABERLAY, Dominique COUILLIEN, Anto­nio DE PASSOS, Michel DEVILLERS, Jean-Pierre DORMOND, Pascal GERNER, Laurence GOUR­MELON, Pascal GRANDJEAN, Christian GRAN­NEC, Dominique HOTTIER, Claudine HOUSSAIS, Muriel HUBERT, Jeanne-Roberte JEAN, Fran­çois JOLY, Philippe JOUBERT, Christiane KPE­GLI , Frédéric LAROCHE, Vincent LE BART DE LA BROISE, Blanche LE CUNFF, Georges LECHAT, Benoît LECLERCQ, Nelly LEGAND, Gérard MA­RIE, Chantal MARTIAL, Jacques MATUSIK, Elise MOUSTAID, Catherine NEY, Karine NICAUD, Pierrick NOURY, Isabelle PARISOT, Nicole PEL­LETIER, Catherine PEREZ, Dominique PERRET, Michèle PEZZILLO, Camille PHILIPPON, Yveline PILLE DIT DUCAMP, Philippe PORCHERON, Phi­lippe ROCQUE, Loïc SALIOU, May SOLMONT, Ann ick STEPHAN, Isabelle SUCCHE, Véronique TERRASSON, Thi Vinh Lien TRAN, Claude VA­GNER, Jacques VEQUEAU, Patrice VERDURE, Dominique WLECHA.

médaille de Vermeil Françoise ALOI, Ghezala BERREBIHA, Jacques BLUSSON, Yves BONALD, Annette BRASSAC, Gilberte BREMAUD, Jean-Pierre BRIDA, Lucette BRUNIE, Nelly CADIER-PALMADE, Marie-Ma­deleine CARRASCOSA, Alain CHEVALIER, Marti­ne CHEVALIER, Nicole CLAVEAU, Dominique COLLET, Marie-Christine CULLEL, Jean-Guy DE­LAUNAY, Brigitte DEMONCY, Françoise EMILE, Alain FAGET, Christian FOSSE, Pierre FOULE-

TIER, Laurence GLACET, Yves GOURLAY, Marie­Claire GUILLET, Raymond JOLY, Jocelyne JOS­SE, Didier LE GROUYER, Martine LE MAON, Mi­chel LECAMUS, Gérard LEFAGE, Monique LE­FEBVRE, Jean-Pierre LISSE, Martial MAHE, Vi­viane MORET, Patrick MOULIN, Jack PILLON, Bernard RAMOND, Alain ROUSSEAU, Christine SAMARAN, Simone SE DENT, Martine STACCHI­NI, Daniel SILVIE, Belkacem TAMANITE, Michè­le VIGUIER, Evellyne VILLARDRY, Patrick WAG­NER, ainsi que Mustapha BASRI , Hervé GAILLARD, Gérard LECLERCQ, Dung LUU THANH, Michel QUANQUIN, Gilles YVENAT (Vermeil et Argent).

médaille d'Or Amar ADOUINA, Patrick ARCHET, Joël BAR­RAULT, Michel BOTTEREAU, Chantal CAOU­DAL, François CARIOU, Jean-François CASTAN, Guy CHABEAUX, Danielle COLIN, Christian COTTEREAU, Sylvie DAOUDAL, Serge DU­BOUX, Christiane FORGE, Jean-Claude GER­MAIN, Jean-Paul GUILLOUET, André HAMEL, Marie-France HAMOLINNE, Yvon JASNAULT, Michel LANGILLIER, Richard LAVILLAUROY, Danielle LE BRET, Daniel MAVEYRAUD, Nicole MOCAER, Jean-Paul NAVAILLES, Christian PA­SAK, Gilles PENOT, Christian PETEL, Geneviève PICARD, Jean-Pierre SCHIAVINI, Christiane SCO­TE, Alain SIEGFRIED, ainsi que Suzette BACH, Philippe SARAZIN (Or et Vermeil), ainsi que An­dré BALAGUER, Pierre PHILIPPE (Or, Vermeil et Argent).

médaille Grand Or Belkacem BRACI, Michèle BU ROND, Jean-Marie CHARRON, Pierre FILOCHE, Alain GRENON, Michel LANGLOIS, Bernard MEVEL, Monique THIN, ainsi que Annie BOULNOIS, Christian KORN (Grand Or et Or).

Le CMJ s'élisait le 20 Sous la houlette du Service Jeunesse et des collèges de la ville, le Conseil Municipal des Jeunes a procédé au renouvellement de ses membres, pa r élection directe, le jeud i 2.0 novembre dernier. Tout un symbole pou r cette Journée internationa le des Droits de l'Enfant, qu i a permis aux collégiens volon­taires de se présenter aux suffrages de leurs pairs. A l'issue de la journée de scrutin, chaque collège a dégagé un nombre d'é lus qu i sont chargés de représenter à la fo is leur quartier et la jeunesse dynamique de Montigny. Conviés en ma irie, les jeunes Elus ont découvert leur nouveau rôle avec

Elisabeth Lefèvre, adj oint au ma ire. Nous y reviendrons plus en détai ls dans notre pro­chaine édition.

L'internet municipal • •

EN BREF

Contribuez au livre d'histoire de Montigny • un nouveau v1sage La Municipalité réalise actuellement en collaboration avec le SAN, le musée de la Ville et la société Cliorriedia, un beau livre recouvrant f'histoire de Montigny. A cette fin, les éditeurs de la publication sont à la recherche de tous documents photographiques du petit village franci­lien devenu ville nouvelle, pour la pério­de allant de la Révolution aux années 1960. Si vous êtes en possession de do­cuments, en particulier des photogra­phies, dont vous estimez qu'ils mon­trent cette période de la grande ou de la petite histoire communale, contactez le service Communication à l'Hôtel de Vil­le au 01 39 30 31 30 (courriel : commu­nication@montlgnY78.fr).

Le site web officiel de Montigny-le-Breton­neux a changé de forme depuis le 1" dé­cembre. Un évènement souligné par le compte à rebours énigmatique qui s'égre­nait lorsque les utilisateurs le visitaient de­puis trois semaines. Les internautes, qui sont environ 30000 à s'y connecter chaque mois, découvrent donc actuellement une page d'accueil complètement différente, mais surtout dotée de nouvelles fonction­nalités. L'ancienne version du site datait de 1996, autant dire la préhistoire de l'internet grand public, une époque Montigny-le-Bre­tonneux fut dans les dix premières villes françaises à se doter d'un site internet. Les fonctionnalités techniques en vigueur sur le web et l'émergence de l'accès à haut débit permettent désormais d'allier esthé­tisme et ergonomie tout en proposant un nombre croissant de services aux usagers ci­toyens.

L'information au quotidien

L'usage du site internet de Montigny obéit ainsi au principe réaffirmé de trouver l'in­formation en quelques clics et sans se perdre dans les méandres d'un site à plu­sieurs milliers de pages. Dans cet esprit, toutes les rubriques restent apparentes de façon intuitive sur la page d'accueil. Un mo­teur de recherche interne, développé spéci­fiquement pour le site, permet en outre de cheminer de façon transversale en allant au plus court. Il propose plusieurs types de re­quêtes : recherche simple et rapide sur les rubriques essentielles, recherche approfon­die sur l'ensemble des archives du site (6 an­nées d'actualité locale, toutes les délibéra­tions et les arrêtés municipaux ... ), re­cherche dans les sept bases de données (commerces, médecins, associations ... ). L'autre innovation majeure concerne la mi­se en ligne quotidienne de l'information de la ville, qui fidélisera les internautes curieux des évènements locaux, ou simplement ceux qui voudront connaître la météo du lendemain ...

. .......... _____ _ ComPlètement refondue, la nouvelle présentation ae la page d'accueil au site web municipal pro­pose notamment aes pOints d'Informations quotidiens, un moteur ae recherche Interne, ainsi qu'une visite virtuelle ae plusieurs lieux et équipements ae Montigny.

Visitez la ville en photos à 360°

com@montign0S.fr (en cliquant sur le lo­go de la page d'accueil).

Déchetterie · réouverture

le 1er mars 2.004 La déchetterie municipale (8, avenue des Frênes dans la zone d'activités de l'Observatoire), destinée aux dépots de déchets verts et de gravats, est fermée depuis le week-end dernier. Passée la trêve hivernale, elle rouvrira ses portes le ,., mars 2.004.

Cette nouvelle version de l'internet munici­pal inaugure aussi la découverte de la ville en profondeur et en images, par le biais d'une visite virtuelle au moyen de vues en 360° de cinq sites de Montigny, le centre ville, le quartier des Arcades du Lac, l'Hôtel de Ville, le Centre aquatique du Lac et la Ferme du Manet. D'autres suivront l'an pro­chain.

Le recensement change d'époque

Jean-Luc Ourgaud, adjoint au maire chargé de la Communication et de I'Evènementiel, ne compte pas s'arrêter là. "Il s'agit d'un pre­mier coup de peigne significatif, qui précède une refonte plus générale des différentes rubriques en 2.004." De nouvelles téléprocé­dures administratives en ligne, un service accru aux entreprises susceptibles de ré­pondre aux appels d'offres constitueront quelques unes des évolutions programmées pour l'année 2.004. www.montignY78.fr Laissez vos Impressions sur le courrlel

Le recensement évolue et s'adapte aux contraintes et aux évolutions techniques. Pour les communes de 1oooo habitants ou plus, il se déroule désormais chaque année par sondage auprès <l'.un échan­tillon d'adresses évolutif, représentant 8% des logements de la commune. Au bout de 5 ans, l'ensemble du territoire de la commune aura été pris en compte et 40% de la population aura été recensée. Avec le nouveau recensement, il sera pos­sible de produire chaque année, à partir de

2.008, la population légale de toutes les circonscriptions administratives, qui sera authentifiée par décret. De même, à partir de fin 2.008, les enquêtes de recensement fourniront chaque année des résultats sta­tistiques détaillés, comparables à ceux des recensements précédents, pour toutes les zones géographiques. Ce recensement s'effectuera du 15 janvier au 2.1 février 2.004, une lettre d'informa­tion sera diffusée auprès des habitants qui seront concernés.

Au dernier Con sei 1 La famille Gilbert honore ses aÎnés La dernière réunion du Conseil Municipal

proposait notamment à l'ordre du jour le débat d'orientations budgétaires pour le prochain exercice. Armelle Aubriet, adjoint au maire chargé des Finances, s'est livrée de bonne grâce au petit jeu des tableaux et des graphiques pour livrer les priorités affi­chées de la Municipalité pour 2.004. "Dans un contexte marqué par une volonté de maîtriser les coûts et de poursuivre les ef­forts en matière de services aux habitants, les priorités s'adressent principalement au secteur de la Petite Enfance et au secteur de l'Action sociale, sans oublier l'animation de la cité qui connnaîtra la 3• édition de la Cavalcade en juin 2.004". Ainsi, la crèche "Le Chat Botté" qui ouvrira ses portes fin avril 2.004 fera plus que compenser la perte de places consécutive aux fermetures des crèches associatives "Le Manège enchanté" et "le Pays des Lutins". D'un coût annuel de l'ordre de 30000€, elle accueillera 6o en­fants et engendrera 2.4 embauches. Au cha­pitre social, la sub-vention accordée Le parfait trieur au CCAS sera aug­mentée de 2.ooooo€ pour la mise en place d'un projet en faveur des personnes handica­pées. En matière d'investissement,

Armelle Aubriet a rappelé qu'après la prise en compte de projets d'ampleurs ces der­nières années (centre aquatique du Lac, centre Prévert, extension des ateliers muni­cipaux ... ), l'exercice 2.004 mettra l'accent sur l'entretien des infrastructures (espaces verts, bâtiments, voiries), sans recours à l'emprunt. De son côté, le groupe minori­taire a présenté ses propres orientations, en prônant notamment une politique d'in­vestissement plus volontariste. Le Conseil municipal a ensuite validé le ca­lendrier des évènements municipaux pour 2.004. Le toujours attendu Vide-Greniers se déroulera le dimanche 9 mai, la Cavalcade se décalant d'une semaine le samedi 2.6 juin, la veille d'une grande manifestation avec les villes jumelées le dimanche 2.7. Après consultation du conseil, Jean-Pierre Homont, démissionnaire de son siège de délégué à l'instance intercommunale du SAN, est remplacé dans cette fonction par Armelle Aubriet. Enfin, sur proposition de l'organisme ges­tionnaire du centre commercial régional, le mail créé dans la nouvelle galerie marchan­de (correspondant au niveau supérieur de l'hypermarché), où ouvrira prochainement une nouvelle série de boutiques, a été dé­nommé allée des Potiers (dans l'esprit des allées des Tisserands, des Drapiers, des Marchands qui nervurent les autres sec­teurs du centre commercial).

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Le retour aux sources était émouvant le 2. novembre dernier, pour la famille Gilbert, ré­unie dans ses multiples ramifications sur les lieux mêmes du berceau familial. A l'initiati­ve des aînés de la famille, la famille célébrait à cette occasion le centenaire du dernier Gil­bert occupant de la ferme en activité, en l'oc­currence Louis, père de de Marie-Danielle Fié l'organisatrice. "Mon père était le fils et petit-fils d'Ernest et Georges Gilbert, qui diri­gèrent la ferme, alors en pleine activité, de 1860 à 192.2.. Ils furent tous les deux maires de Montigny en leur temps, avant de choisir

de s'éloigner de Paris et de quitter la ferme pour la province dans les années 2.0." Si la fa­mille est désormais parsemée un peu partout en France, voire à l'étranger, ils étaient néanmoins 190 membres à avoir fait le dé­placement pour Montigny, et découvrir pour la plupart ce lieu qui abrita la famille une soixantaine d'années, qui appartenait à l'époque à la famille Notta. En ce dimanche, M. et Mme About sont venus partager le verre de l'amitié en se rappelant le Montigny d'hier à aujourd'hui, l'histoire d'une famille qui se confond avec l'histoire d'un village.

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L'ignymontain www.IIIOIItignyTB.fl' OÎ l t J\lfil?l }00 i

En aroite ligne ae la volonté exprimée par le Présiaent ae la République, le gouvernement lance le aébat national sur ravenir ae récole et la refonte au système éaucatif. Chacun est invité à exprimer ses convictions et ses propositions à roccasion ae aébats organisés ce mois·ci aans les quartiers.

L'avenir de l'école en débat C'est un débat à grande échelle qui va se dérouler en France en dé­cembre, à l'initiative du gouverne­ment. Le thème : l'avenir de l'école. Son objectif est d'inciter la Nation à s'exprimer, afin d'aboutir à un dia­gnostic partagé et une refondation de notre système éducatif. Les outils de ce large espace de dialogue et de propositions, c'est à la fois l'expres­sion de chacun au cours de réunions locales, et c'est auss i l' internet.

Débats tous azimuts

les animateurs. L'objectif est d'asso­cier à la réflexion un maximum de personnes. Il n'y a pas de débats pu­rement internes au système éducatif ou "réservés" aux acteurs du systè­me. Il ne s'agit donc pas d'un débat à proprement parler, conduit sur un mode contradictoire par quelques in­vités spécialistes du domaine de l'en­seignement. Les participants débat­tront sous la houlette d'un anima­teur chargé de distribuer la parole et de garder le cap des trois thèmes fi xés pour la réunion ."

Les débats à Montigny SAMEDI13 DË<EMBRE : • de 9h30 à 11h30 à l'école élém. du Pas du Lac : animateur: Gabriel Méta ut (DDEN) Quelles sont les valeurs de l'École Républicaine et comment faire en sorte que la société les reconnaisse ? Comment améliorer la qualité de la vie des élèves à l'École ? Comment les parents et les partenaires extérieurs de l'École peuvent-ils favoriser la réussite scolaire des élèves ?

• de 9h30 à 11h30 au réfectoire de l'école J. Verne : animatrice: Suzanne Blanc (Adjoint au maire) Quelles sont les valeurs de l'École Républicaine et comment faire en sorte que la société les reconnaisse ?

• de 2oh à 22h au Club le Village : animateur : Xavier Bonvarlet (Adjoint au maire) Comment lutter efficacement contre la violence et les incivilités ? Faut-il redéfinir les métiers de l'École ? Comment motiver et faire travailler efficacement les élèves ? Dans ces six réun ions, des rapporteurs volontaires issus du mon­de enseignant retranscriront le contenu des débats, transmis à la commission nationale

Dans les colleyes et les lycées : A l'heure où nous mettons sous presse, tous les dispositifs ne sont pas arrêtés dans les collèges et les lycées. Néan­moins, dans une majorité d'entre eux, le débat st ouvert avec les parents d'élèves et les partenaires de l'école. Contactez les établissements pour de plus amples informa­tions.

du 13 au 19 décembre Concrètement, les débats autour de des écoles maternelle et élémentaire sont organisés sous l'autorité de l'Inspection Départementale, en par­tenariat avec les communes pour les aspects de logistique. Chantal Cour­taux, inspectrice de circonscription, a prévu un large dispositif avec le ser­vice scolaire municipal pour per­mettre à tous de s'exprimer. "6 dé­bats se dérouleront le samedi 13 et le

Pierre Le Guérinel abonde dans ce sens. " L'idée est de proposer plus que dénoncer. Les propositions des parti­cipants seront consignées par deux rapporteurs, et remontées à la Com­mission nationale chargée de synthé­tiser les débats et de proposer des perspectives d'évolution. Les syn­thèses de tous les débats et de toutes les contributions individuelles seront rendues publiques sur le site internet du débat national. Chacun pourra ainsi en prendre connaissance."

Comment les parents et les partenaires extérieurs de l'École peuvent-ils favoriser la réussite scolaire des élèves ? Comment lutter efficacement contre la violence et les incivilités ?

• de 9h30 à 11h30 à Amphi 1 Fac Saint-Quentin animateur: Marc Ni no (7V Fil 78) Quel socle commun de connaissances, de compétences et de règles de comportement, les élèves doivent-ils prioritairement maîtriser au terme de chaque étape de la scolarité obligatoire ? Comment former, recruter, évaluer les enseignants et mieux or­ganiser leur carrière ? Vers quel type d'égalité l'École doit-elle tendre ?

MARDI16 DËCEMBRE : • de 2oh à 22h à l'école élém. Chénier : animateur: Bernard Bitu (conseiller municipal)

Collège Bergson Tél. : o1 .39.44.14.8o Collège Giacometti Tél. : 01 .3o.g6.61.00 Les débats ont lieu le 13 décembre à partir de 9h et le 19 dé­cembre à partir de 14h15. Les thèmes et les animateurs des débats seront votés en conseil d'administration lundi 24 no­vembre. Collège La Couldre Tél. : 01.30.44.23.30 Les débats se feront le samedi 13 décembre de 9h à 12h30 et le mardi 16 décembre de 15h à 17h suivi d'une synthèse des débats de 17h à wh. Collège Les Prés Tél. : 01.30.57.15.15 Une première date de débat est arrêtée au 13 décembre de 10h30 à 12h30.

Le parfait trieur

mardi 16 dé-cembre (NDLR : voir le programme ci­contre) dans différents quartiers, autour de trois thèmes retenus par

Le débat aura aussi lieu dans les col­lèges et les lycées, sous l'autorité des principaux et des proviseurs.

Comment les parents et les partenaires extérieurs de l'École peuvent-ils favoriser la réussite scolaire des élèves ?

Lycée Descartes Tél : 01.30.43.03.33 Débat le 19 décembre, animé par M . Patrice SALMON, pa­rent d'élève.

Pour participer aux débats, adressez-vous à l'école près de chez vous. Vous pouvez aussi vous inscrire par courriel à : debatnational.montigny@ac-versailles.fr

Comment motiver et faire travailler efficacement les élèves ? Comment l'École doit-elle s'adapter à la diversité des élèves ? • de 2oh à 22h à la maison de quartier L Jouvet: animateur : David Canova (Toutes les Nouvelles) Comment les parents et les partenaires extérieurs de l'École peuvent-ils favoriser la réussite scolaire des élèves ?

Lycée Emilie de Breteuil Tél : 01.30.57.11.33 2 rendez-vous le samedi 13 décembre de 9h à 12h et le ven­dredi 19 décembre de 14h à 17h. Collège et Lycée 5alnt-Françols d'Assise Tél : 01.30.64.99·55 , Réunion le jeudi 18 décembre de 18h à nh au lycée, place '

LE D~BAT NATIONAL SUR LE WEB: www.debatnatlonal.educatlon.fr

Comment scolariser les étèves handicapés ou atteints de mala­die grave? Comment améliorer la qualité de la vie des élèves à l'École ?

~~. ~ Lycée Salnt-Exupéry Tél. : 01.3o.s8.37.00 1

Les débats auront lieu le mardi 9 décembre de 19h3o à nh. :

Les tribunes des groupes du Conseil municipal

Montigny Plurielle Quel budget pour 2004?

Le budget primitif de Montigny sera voté lors d'une prochaine séance du Conseil mu­nicipal. Mais, au préalable, la loi impose la tenue d'un débat d'orientation budgétaire qui permet à l'équipe municipale en place de mettre en avant les orientations géné­"''es à retenir pour l'exercice à venir et _·,entuellement les exercices suivants et aux conseillers municipaux de réagir et for­muler leurs propres propositions. Il s'agit donc d'un moment important de la vie poli­tique locale qui permet aux élus de s'expri­mer sur les choix politiques présentés. Ce débat a eu lieu le 3 novembre 2003. Voici les éléments que nous souhaitions, élus de la minorité, faire ressortir de cette séance. - Le débat est avant tout un droit à l'infor­mation aussi sa qualité dépend-elle de celle des données qui y sont fournies. En la ma­tière il était difficile de ne pas faire mieux que l'année précédente, les conseillers avaient cette fois ci des éléments comp­tables en leur possession leur permettant une appréciation convenable de la situation financière de la commune. :: Nous espérons que les priorités affichées par l'équipe en place ne seront pas que des effets d'annonce et seront bel et bien sui­vies d'efforts budgétaires. Ainsi annoncer la mise en place d'un projet en direction des handicapés sans augmenter l'ensemble de l'enveloppe consacrée à la politique sociale, c'est déshabiller Pierre pour habiller Paul. Nous serons donc vigilants quant à l'évolu­tion budgétaire de l'ensemble du secteur so­cial. - La petite enfance est présentée comme une priorité. Nous nous en réjou issons puisque c'est une de nos demandes depuis le début du mandat. Signalons cependant que l'ouverture, au printemps procha in, d'une nouvelle crèche viendra, pour l'essen­tiel, compenser la fermeture de structures

associatives. Il n'y aura, en définitive, que moins d'une dizaine de nouvelles places. Le problème structurel du déséquilibre entre l'offre et la demande ne sera pas résolu. Nous demandons donc qu'une réflexion soit engagée, en se fondant sur des analyses de l'évolution démographique de la commune, pour financer ou aider au financement de nouvelles structures. - Nous regrettons qu'aucune proposition nouvelle en terme d'investi_ssement n'émer­ge. Nous proposons qu'en concertation avec les lgnymontains, en fonction des be­soins qui sont les leurs, des projets en ma­tière de nouveaux équipements voient le jour (auditorium, nouveaux lieux de vie ty­pe maison de quartier ... )

Deux remarques pour finir : - Bien gérer une ville sans gaspiller l'argent des contribuables est un objectif louable que ne renierait aucun homme politique responsable. Reste que, gérer en "·bon père de famille " en prenant garde de ne pas dé­penser et de ne pas s'endetter, ce n'est pas forcément bien gérer mais, en revanche, peut hypothéquer l'avenir d'une ville en ne permettant pas son développement. Or notre rôle de conseillers municipaux est avant tout de répondre à des besoins, de les hiérarchiser pour dégager des priorités. - Enfin signalons que, pour nous, l'objectif annoncé par la municipalité, en introduc­tion du débat, de "poursuivre les efforts à destination des lgnymontains" n'est, en fait, que la raison même d'exister d'une collecti­vité locale, qui doit en toutes circonstances travailler au service des citoyens.

Sandrine Grandgambe

Pour nous contacter Montigny Plurielle, 2 rue de Bretagne 78180 Montigny le Bretonneux Email : montigny.plurielle@voila.fr

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Montigny Ensemble L'action en faveur des handicapés

La politique de notre commune en faveur des personnes handicapées se réfère avant tout aux traditions culturelles et humanistes dont peuvent s'enorgueillir à juste titre notre pays et notre Centre d'Action Sociale au nom d'une solidarité, version moderne de la fraternité. Elle vise à donner aux personnes défi­cientes (je préfère ce terme) leur juste place, dans l'égalité des droits et des de­voirs de tout citoyen. Seulement, un double écueil menace en effet en matière de politique en faveur des handicapés : une surprotection atten­tatoire à leur dignité, une égalité de faça­de attentatoire à leur différence.

Le Centre d'Action Sociale de Montigny en réalisant par exemple un guichet unique d'accueil pour les handicapés a bien mesuré que les fonctions d'accompa­gnement et de proximité sont essen­tielles. Le travail de la commission de réflexion sur le handicap, auquel participent les dé­ficients, des présidents d'associations concernées, des élus, conduit à une écou­te, une prise en compte, une reconnais­sance des difficultés auxquelles sont confrontés au quotidien les handicapés.

Le CCAS relève le défi important de don­ner une réponse adaptée à toute person­ne handicapée et créer les conditions d'ai­de à un maintien en domicile avec un sou­tien spécialisé d'auxiliaires de vie.

La signature avec Pactarim des conven­tions d'aide à l'aménagement du domicile

des personnes à mobilité réduite répond également aux besoins.

Notre grande réflexion a surtout concer­né les personnes handicapées en fauteuil, et peu à mon sens celles souffrant de dé­ficiences sensitives. C'est pourquoi, je pense qu'une expéri­mentation tournée vers les non-voyants pourrait être à l'étude.

Cet axe sera développé par le CCAS afin de trouver des solutuions permettant à ces personnes de mieux vivre dans leur ville.

Je pense également qu'en plus des stages de prévention routière que la ville organi­se en direction des enfants, qui d'ailleurs rencontrent un grand succès et font par­tie du civisme, il serait souhaitable et in­dispensable, d'assurer des cours de secou­risme. Avec un élargissement à tous les volon­ta ires, de façon à inculquer à nos citoyens les premiers gestes qui sauvent des vies.

C'est avec beaucoup d'humilité que nous abordons ce dossier du handicap et don­nons la mesure de l'engagement de Mon­tigny pour faire du chantier du Président de la République une priorité de nos ac­tions engagées au plan communal par le CCAS et la commission municipale du Handicap. "Essayons de changer notre regard qui questionne, en regard qui comprend ... "

Isabelle Ramain, Conseiller municipal

Nrvosité, do~ leurs chroniques du dos, tensions musculaires, sommeil agité, les maux ne manquent pas qui dénoncent clairement le mal

de notre soc1été moderne : le grand méchant stress. Quand on est partagé entre un métier difficile, une vie trépidante, et les soucis du quotidien savoir gérer son stress constitue aujourd'hui l'une des clés du bien-~tre. Les méthodes de relaxation se sont développées,

s'adaptant à notre mode de vie. La promesse est alléchante : retrouver son équilibre, le dynamisme sans nervosité, en somme l'état zen. La re­laxation les exercices de respiration consciente, les mouvements physiques ou les exercices de concentration ne feront pas de miracle, mais c'est le premier pas vers l'apprentissage d'une meilleure gestion de son corps. Il s'agit en fait de s'accorder un peu d'attention, un temps de dé­tente pour prendre conscience des besoins de son corps. Des besoins que vous avez souvent oubliés, accaparés que vous ~tes par vos multiples obligations. Vous n'~tes pas végéta lien, vous n'avez pas la souplesse d'un yogi népalais, ce n'est pas grave. Plusieurs associations ignymontaines se positionnent sur diverses activités de relaxation. D'autres acteurs surfent aussi sur ce créneau porteur. L 'ignymontain s'est essayé pour vous à la zen attitude.

Vivre sans stress

Le yoga avec YREM Yoga Relaxation Energie Montigny,

I'ASMB Yoga et le Cercle lgnymontain de Yoga

une meilleure maîtrise, un équilibre plus durable et une hygiène de vie. L'apprentissage de la respi­ration peut, par exemple, se répercuter dans plu­sieurs domaines comme la course à pieds ou les conférences en public. "Je travaille dans le com­merce, avec un patron très stressé, et j'avais be­soin d'évacuer mes tensions après le travail. Il m'a fallu un temps d'adaptation, mais j'étais en super forme après les cours, et presque l'énergie pour retourner au travail", souligne Mireille, 50 ans, élève du cours de Yoga Relaxation Energie.

Découvrir la relaxation dynamique avec ARAS

du bien physiquement et moralement, on fait bouger des organes que l'on ne bouge pas habi­tuellement" déclare Christine. " Les cours sont très sympa en petit comité", ajoute-t-elle. En effet, les cours se déroulent avec douze personnes au plus, et sont dispensés par quatre professeurs agrées par l'association Spirale. Les maîtres mots sont le respect du rythme de vie, et comme pour la re­laxation dynamique, il s'agit d'un apprentissage qui passe par le corps pour apprendre à suivre une file d'attente sans se fatiguer.

Sou lager le corps avec la gymnastique

douce et hygiène de vie Ce cours propose une méthode plus médicale, la méthode Mézière, inventée par une kinésithéra­peute française, il y a une centaine d'années. Il s'agit d'apprendre à placer son corps, à se tenir, et à le gérer au quotidien pour retrouver une har­monie corporelle et relâcher les tensions. Les per­sonnes souffrant de problèmes physiques appren­dront à réhabiliter leur corps. En moyenne âgés de 35 à 6o ans, les adhérents se servent du cours comme un outil de santé, en apprenant comment gérer leur corps au quotidien, comment bien se lever le matin par exemple. Au départ, la métho­de s'adressait d'ailleurs aux personnes traumati­sées physiques qui devaient se rééduquer. Assis, debout ou couché, mais toujours de manière confortable, avec des objets pour atteindre les en­droits difficiles, les cours proposent un travail progressif encadré par les deux professeurs de l'association. • J'ai commencé la gym douce il y a 11

ans et mon dos va beaucoup mieux. Les douleurs reviennent quand je ne vais pas au cours", décla­re Martine, 54 ans.

www.lfiOIItiglfY78.fr

Le Qi Cong avec ARAS et

l'Amicale Vietnamienne C'est une sorte de gymnastique douce qui se pratique debout, avec des mouvements cho­régraphiés simples et lents, destinés à rétablir la circulation de l'énergie dans le corps. Cette méthode est basée sur les mêmes principes que l'acupuncture et le parcours des méri­diens chinois. Après l'échauffement fait par des étirements et des automassages, les mou­

Guy Coulet enseigne le Qi Cong à l'Amicale Vietna-mienne.

vements structu­rés respectent la nature et évo­luent selon les cycles, celui des sa isons par exemple. L'été est la saison pour le travail du coeur, le prin­temps pour le foie, l'automne pour le poumon, l'hiver pour les reins et la vessie, alors que la rate, le pancréas et l'estomac sont de toutes les sai-sons. Il s'agit de

nourrir l'i ntérieur, de maintenir le potentiel énergétique, d'améliorer le fonc~ionnement des organes et les défenses naturelles. L'écoute des sensations, le travail de la respi­ration permet de mieux connaître son corps. Cet exercice peut également être bénéfique aux enfants, car il permet de travailler l'at­tention ou encore la coordination. Le cours s'achève par un enchaînement de huit mou­vements, appelé "général de santé". "J 'ai eu besoin de m'occuper de moi après des études supérieures éprouvantes . Puis j'ai voulu transmettre ce qui m'a aidé", déclare Valérie Lacabanne, professeur de l'association ARAS et diplômée de la fédération européenne de Qi Cong (FEQGDA). "Je suis béni par les ma­ris, car les femmes n'ont plus les pieds froids ! " ajoute Guy Coulet, professeur pour l'amicale vietnamienne et également diplô­mé. Avis aux amateurs, le Qi Cong permet de garder une activité physique sans condition physique particulière, et s'adresse aux per­sonnes de tous âges.

" Le stress, c'est la dualité entre le corps qui subit les tensions, et l'esprit qui voudrait être ailleurs, l'équilibre n'est jamais acquis et nécessite un tra­vail régulier. En cours on crée un espace qu'il faut ensuite transposer dans le quotidien, c'est ça le plus difficile". Jany Bailly est professeur de yoga à l'association YREM. Les cours de yoga doivent permettre d'apprendre à s'écouter, à se ressour­cer, se vider par la respiration et surtout, penser à son mieux-être. Grâce à une pratique sérieuse et régulière, le yoga contribue donc à l'épanouisse­ment. Reste à choisir le type de pratique et le pro­fesseur qui vous correspondront au mieux. Il exis­te différentes spécificités de yoga, toutes issues de la Fédération Nationale de Yoga. Le yoga de l'énergie enseigné par I'YREM, à l'écoute des tra­jets d'énergie dans le corps, la méthode de Nil Ha­houtoff, un peu plus gymnique pratiquée par le cercle de yoga ignymontain, et le yoga de Ma­dras, lent et doux. Généralement accessibles à

La relaxation dynamique est une gym lente, ac­compagnée d'un travail mental d'attention, de détente et de respiration. C'est un peu le même principe que le yoga, mais la relaxation dyna­mique cherche la détente dans le mouvement. En travaillant la détente musculaire, les blocages physiques grâce au mouvement spontané par exemple. Les cours respectent le rythme de cha­cun, le temps de la mise en route, de l'apogée et de l'intégration dans le silence nécessaires à chaque participant. Il s'agit d'une véritable écou­te de ses sensations pour apprendre à libérer l'énergie vitale, retrouver l'enfant spontané qui vit l'instant présent. Les professeurs enseignent l'importance du souffle et du son pour pacifier les émotions liées aux organes. La pratique permet de mieux connaître son corps pour l'économiser dans l'action et à terme, la détente physique doit mener au repos nerveux. La fin du cours se passe également allongé, avec un temps d'écoute, de vi­sualisation et de suggestion. " Pendant les cours, je reprends de l'énergie. Les professeurs sont à l'écoute et c'est l'occasion de communiquer avec les gens" souligne Pascale, 42 ans. "J'attendais la reprise des cours avec impartience" ajoute-t-elle.

Un massage pour la pause déjeuner ?

)any BaillY, profeSSeur de yoga à YREM : "t'équilibre n'est jamais acquis et nécessite un travail régulier".

partir de 16 ans, les cours de yoga dans ces trois associations suivent un déroulement similaire. Les pratiquants commencent allongés pour prendre conscience du corps, guidé par la voix du professeur, et se couper des activités extérieures, pour mieux se canaliser sur sa pratique. Elle se constitue de postures dynamiques appelées asa­na, de manière enchaînée ou statique, et du tra­vail assis de la respiration dit pFanayama, durant environ 50 minutes. La séance se termine par une écoute intérieure du ressenti et des émotions, en somme, du travail effectué. Pour I'ASMB Yoga, la pratique du yoga est une philosophie de vie, dont la détente est une conséquence. C'est une re­cherche personnelle pour les professeurs du cercle de yoga ignymontain. En tout cas, les pra­tiquants bénéficient des effets ponctuels, une dé­tente immédiate et la libération des tensions. A long terme, après plusieurs mois de cours, vient

Essayer la relaxation selon Phare

Relaxation Active Les initiales de PHARE signifient présence, har­monie, attention, rayonnement et éveil, un état de bien-être en somme. Phare, c'est aussi un exer­cice de rotation de la tête. Cette méthode a été inventée par Maurice Matenot, musicien péda­gogue, afin de permettre à ses élèves d'être en ac­cord avec eux-mêmes, plus détendus pour être plus réceptifs à l'apprentissage de la musique. Les étirements musculaires, contractions, relâche­ments, et autres exercices sont toujours répétés trois fois. A la différence des autres méthodes, le cours commence debout, travaille l'enracinement des pieds dans le sol, pour remonter aux genoux et jusqu'à la tête. On y retrouve des exercices de décrochage que l'on faisait enfant et qui ne sont plus admis dans le monde adulte, comme le haus­sement d'épaules. Le travail se fait ensuite couché et sans musique avant de finir à nouveau debout pour remettre en circulation les énergies. Au bout d'une heure de cours, les pratiquants ne marchent plus de la même façon qu'à leur arrivée. "Ça fait

Toutes les coordonnées~ horaires et lieux de cours sont disponibles dans le guide pratique ae la ville ou sur le web montigny78.fr~ (ru­briques sport et culture).

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Monique Bonanno a créé l'association Vivre bien naturellement, pour la promotion de la relaxa­tion d'entreprise. A l'image de sa personnalité, attentive et disponible, Monique Bonanno af­fiche sa volonté de partage, "Ce que j'ai appris sur moi-même, j;ai envie de le partager". La dé­marche qu'elle propose est simple et essentielle, de la même manière que les autres méthodes de relaxation, il s'agit de s'octroyer un moment de détente pour son mieux-être. C'est la prise de conscience de son être qui importe. "Il faut de­venir auteur de son bien-être", souligne-t-elle. Mais s'autoriser à se détendre n'est pas toujours facile dans la vie de tous les jours, au rythme des temps modernes. C'est pourquoi elle a créé cette association, et se propose d'intervenir sur le lieu de travail. 15 minutes suffisent pour pratiquer cette méthode de relaxation manuelle.

S'occuper de soi pour travailler mieux

Grâce à un toucher corporel qui se pratique à travers les vêtements, une chaise ergonomique ou une simple chaise de bureau, un coussin et une serviette de toilette, ce massage permet de reprendre contact avec son corps. De manière rapide et efficace, elle sait redonner au corps sa fluidité, sa légèreté sous les tensions qui l'as­saillent. "J'ai l'impression de ne plus sentir mon corps", un commentaire qui illustre bien cette sensation de libération qu'elle apporte. " Le corps est une ville où il faut libérer les embouteillages et remettre les feux au vert" image Monique Bo­nanno. Formée à l'Ecole de Touché-massages de l'Institut Joël Savatovfski, elle offre plus une séance psychocorporelle, par son écoute, elle ef­fectue un travail de communication, selon la méthode Espere de Jacques Salomé. Depuis 1999, elle exerce au sein de l'entreprise Dendrite.

Monique Bonanno intewient dans l'entreprise pour des rapides séance de massage aécontrac­tant cl travers les vêtements. Une activité en ex­pansion et trouve peu à peu ses usagers.

Les employés sont séduits, et 70% d'entre eux la revoient régulièrement. L'entreprise aussi, les di­recteurs sont convaincus et constatent une véri­table amélioration dans l'ambiance de travail. Deux fois deux heures par semaine, avec des cré­neaux d'un quart d'heure par personne, elle mas­se le dos, les pieds ou la tête, et de l'avis de tous, les vacances semblent bien longues sans ses vi­sites. "Merci de m'avoir rappelé à quel point j'ai pu oublier mon corps" remercie Philippe, ou en­core :"merci pour ce vrai cadeau", ajoute Cathe­rine. "Vivement que ce métier soit reconnu en France car on en redemande" espère Pascale. A terme, Monique Bonanno souhaite créer son emploi au sein de l'association. Elle participe également à des événements sportifs, comme les 24 heures du karting en Corrèze, ou des salons. Que du bien-être en perspective.

Renseignement au o6 61 44 61 39.

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www.montigny78.fr

EN BREF

Les PME débattent à l'Hôtel de Ville

Ba na n'Îles, son nom l'indique

Suzanne Blanc, atQoint au les débats aes entrepreneurs tenus en mai­rie le ZO novembre.

A l'initiative du CERF 78, en collaboration avec Profor PME et la ville de Montigny, un débat réunissait des responsables de petites et moyennes entreprises locales, le 20 novembre dernier à l'Hôtel de Ville, autour de Louis Lambel le président du CERF et Suzanne Blanc, adjoint au maire et conseiller régional. Un débat vif et de conviction sur l'objectif développé par le gouvernement de créer 1.500.000 entre­prises en France, qui aura permis égale­ment aux participants d'avancer leurs ar­guments sur les solutions pour conserver les entreprises existantes. Chacun s'accor­de sur le fait que l'emploi repose sur le tis­su des PME, souvent parées de toutes les vertus dans les discours politiques, mais pas forcément très aidées dans la réalité. Autre perspective évoquée au cours de cette soirée, l'incertitude autour de la re­prise nécessaire de 500.000 entreprises en France d'ici 2005, suite au départ à la retraite de patrons créateurs issus du ba­by boom.

Prochainement, la boutique de l'ancienne boucherie située rue Mazière, à proximité de l'église, accueillera un nouveau magasin de produits antillais à base de banane. Mar­cel Louis et sa femme Mylène ont fondé la SARL Framar, et ouvriront en janvier leur magasin sous l'enseigne Banan'îles. Vous y trouverez à emporter des amuse-bouches pour vos soirées, des produits innovants avec un goût de sole il. Le punch banane, le punch nuit d'amour composé de banane, gingembre, coco, cannelle, muscade, girofle ou encore de vanille, le pain à la farine de banane, l'apéritif créole Toasti'nain aux épices, à la banane verte et au poisson fu­mé, à la morue ou à la crevette, la confiture et la gelée à la banane, sont déjà présents sur les marchés.

Ma petite entreprise .. . "Nous avions une petite affaire de vidéo en Martinique. Quand ça a commencé à mar­cher, tout le monde s'y est mis et il fallait se renouveler. C'est là que j'ai rêvé d'un champ de banane", explique Marcel Louis. Ancien élève de l'école hôtelière en Martinique, il s'est associé à Françoise Nero, ingénieur agroalimentaire basée aux Antilles. Il aura fallu sept années de recherche en Marti­nique pour créer la gamme de produits Ba­nan'îles, car la banane est très difficile à transformer et s'oxyde très vite . La produc-

tion a commencé en décembre 2002,

Le parfait tri eur mais la mise en rou­te est longue et dif­ficile, et le parcours du créateur d'entre­prise est semé d'em­bûches. "On n'a pas baissé les bras parce qu'on y croit, et on est venu pour tra-

AlterPro, l'autre voie de la réussite

Un nouveau centre de formation, consacré aux jeunes déscolarisés ou en difficulté avec le système d'enseignement traditionnel, s'est implanté avenue de la gare. Ouvert peu avant l'été, Alter Pro a déjà accueilli 12

jeunes souhaitant s'orienter vers une forma­tion en alternance. C'est la raison pour la­quelle les directeurs du centre, affilié au ly­cée Grandchamp à Versailles, ont choisi de se délocaliser à Saint Quentin, et particul iè­rement à Montigny pour ses nombreuses entreprises.

La remise à niveau Le centre propose deux formations de remi­se à niveau appelées sections passerelles. La passerelle longue (six mois) et la passerelle courte (deux mois) portent bien leurs noms puisqu 'il s'agit de travailler avec le jeune sur ses difficultés afin de pouvoir ensuite accé­der à un contrat d'apprentissage. Le but, permettre au jeune de réintégrer de façon durable une formation, d'élaborer un projet professionnel et de s'y accrocher. Ils peuvent ensuite intégrer un des deux CAP proposés

Les cours d'Alter Pro se déroulent en demi­groupes pour mobiliser l'attention des étudiants.

dans le domaine de la vente, Commerce muf­ti-spécialités pour la gestion de marchan­dises, ou Vente spécialisée qui destine plutôt vers l'accueil.

Une formation spécifique et adaptée

Afin d'atteindre le niveau d'exigence des en­treprises, les jeunes travaillent avec leurs formateurs tant sur les connaissances de ba­se, générales et professionnelles, que sur le plan du savoir être. C'est une collaboration qui prend en compte le niveau préalable du jeune et au besoin, un travail individualisé peut être mis en place pour l'aider à ne pas perdre pied. Une fois en alternance, les jeunes mêlent théorie et pratique, un excel­lent moyen de s'ancrer dans la réalité et de se motiver. À terme, le pôle de formation ignymontain devrait ouvrir en septembre 2004 une classe préparatoire à l'apprentissa­ge pour les plus de 15 ans (CPA) et une clas­se d'initiation pré-professionnelle en alter­nance pour les plus de 14 ans (CLI PA) avec la même optique : permettre aux jeunes de ré­intégrer une formation et d'aller au bout d'un projet professionnel. Parmi les 17 jeunes engagés sur la première passerelle, 6 ont dé­jà signé des contrats d'apprentissage, 4 sont sur le point de le faire, et les autres ont en­core jusqu'à fin décembre.

Alter Pro recherche des entreprises partenaires

Le contrat : consacrer du temps à la formation de jeunes travailleurs en échange d'avantages financiers et de personnel rapidement opéra­tionnel formé aux exigences de l'entreprise. Contactez Véronique Daguin, responsable du centre, au 01 30 43 52 14.

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Spécialistes ae gastronomie créole, à base ae banane notamment, Marcel et Mylène Louis sont ins­tallés au Village rue Mazière.

vailler dur", ajoute-t-il. "La banane n'est pas un fruit noble en Martinique, on a rencon­tré beaucoup de résistance et aucun indus­triel antillais ne transforme la banane". L'étude de marché financée par I'ANVAR, lors du salon de l'agriculture, a démontré que la métropole avait besoin de couleurs. D'ailleurs le punch a été nominé au grand prix 1998 du "Patrimoine Culinaire et Inno­vation". Les bananes et les épices sont di­rectement importées des Antilles, et les pro­duits apporteront un peu d'innovation pour vos soirées ou vos petits-déjeuners par exemple. Si vous n'êtes pas déjà allé à leur rencontre, ils vous proposeront des dégus­tations et vous serez accueillis avec un sou­rire très chaleureux. Vous y trouverez des

coffrets-cadeaux à offrir pour une touche d'originalité. "D'habitude les gens ne se mê­lent pas beaucoup à leurs voisins, c'est tout le contra ire avec la coiffeuse d'à côté qui parle de nous à tous ses clients" remercie Marcel. Quelques voisins de quartier sont déjà devenus des habitués. N'hésitez pas à venir découvrir ces produits. Ce n'est que du soleil ! Marcel et Mylène Louis, Banan11es 7 rue Mazière à Montigny Tel. : 01 61 38 13 40. courriel: banani/es@wanadoo.fr

Banan11es sera présent sur le Marché ae Noëlle week-ena

prochain à la Ferme au Manet

La Fiesta : maintenant dites "SQY ouest"

Au centre ville, le chantier va bon train pour une ouverture ae SQY Ouest fin 1004.

C'est toujours La Fiesta, mais son nouveau nom est "SQY ouest" (prononcez Sky ouest) .

Jean-Louis Salai, créateur de ce pôle de commerce et de loisirs épousant les nou­velles aspirations des consommateurs en matière de centre commercial, associé au promoteur MAB, entend par ce nouveau pa­tronyme "faire évoluer l'ambiance intérieu­re du centre, son nom et sa signature, pour rester en phase avec l'évolution des com­portements et des attentes de ses futurs vi­siteurs. Côté commercialisation, 6oo/o de l'espace du centre est aujourd'hui retenu par UGC et son concept Cité Cinés de 14 salles, qui occupera le niveau supérieur. S'y ajou­tent pour l'heure un bowling, Virgin, Go Sport, Athlete's World, la Grande Récré, Score Games, Cafe Coton, Best Mountain, Jean-Louis David, Lollipops, SFR, Café Muf­fin, Hokkaïdo sushi, Vivre et Savourer.

Plusieurs arrivées à Promopole

La pépinière d'entreprise de Montigny Pri­mopole, basés en bordure de l'avenue des Prés, a enregistré plusieurs arrivées d'en­treprises depuis la rentrée. En septembre : Cave sur Table (grossiste en vins) , Mon fil m à Moi (montage de film et DVD - voir notre édition d'octobre), lnovane (aide au développement des entreprises), Lahaye Conseil (géolocalisation), Net Epaves servi­ce (gestion d'assurances automobiles), R&D Technical Consulting (développement

de produits industriels sur CAO). En octobre : Optics Concept (optique de précision), Da­tasoft (conseil et développement, forma­tion informatique), Broadservice (ingénie­rie et conseil en gestion de sociétés). En novembre : Syntaxe Technologies (vente matériels et logiciels informatiques), E.B.D.C., commer­ce international), Euro-Promoters (assis­tance et conseil au développement des en­treprises).

L

Dans les années 1990~ on estimait à 100 000 le nombre de jardins collectifs en France. Ceux-ci occupe­raient une sur(ace estimée~ au plan national~ à 2500 hectares. Devant leur succès croissant et rappa­rition de nouveaux concepts de jardins (aux objectifs très diversifiés)~ les sénateurs ont souhaité légi­férer dans ce domaine. Objectif affiché : unifier les différents types de jardins existants~ afin de leur donner à tous un statut juridique et de leur faire bénéficier des mêmes avantages fiscaux.

En examen au Sénat

Les jardins collectifs La naissance des jardins collectifs - appelés également "jardins ouvriers" - remonte à la fin du XIXème siècle. On doit leur création à l'abbé Lemire, qui éta it aussi député, et au père Volpette. A l'époque, ces jardins étaient considérés comme un moyen d'assurer l'au­tosubsistance alimentaire des populations aux ressources modestes, et de constituer une "saine occupation" préservant ses béné­f iciaires du vice, fort répandu, de l'alcoolis­me. Généralement sit ués à proxi mité des ag­glomérations, des usines ou des voies fer­rées, les jardins fam iliaux éta ient alors es­sentiellement composés de plantes pota­gères.

La loi du 31 octobre 1941 leur donne un sta­tut ju rid ique, en distinguant les j ardins in­dustriels des j ardins ouvriers et familiaux ( leur principale ca ractéristique étant l'i nter­diction de tout usage commercial des pro­ductions réalisées). Une loi de 1952 opère la fusion de ces différents types de jardins, sous la même appellation de "jardins fami­liaux•, en accordant aux organismes les mêmes exonérations fiscales. Une loi de 1976 favorise leur création et leur apporte une protection supplémentaire en accor­dant aux SAFER (Sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural) et aux col-

lectivit és locales le droit de préemption pour acquérir et aménager ces jardins, et en per­mettant aux associations expropriées d'exi­ger la mise à disposition d'un terrain équiva­lent. Cette législation a favorisé l'émergence d'un

Des jardins familiaux, pour quoi faire ?

Les fonctions des jardins familiaux dépas­sent aujourd'hui largement leur cadre ini­tial. S'ils représentent toujours un ap­point alimentaire non négligeable, pour les ménages qui en bénéficient (en moyenne 760 euros par an, pour une par­celle de 200 m2, soit l'équivalent d'un 13ème mois pour une personne proche des minima sociaux), ils remplissent dé­sormais de nombreuses fonctions : 1°) ils constituent un lieu de vie locale ; 2°) ils jouent un rôle important dans les loisirs et la vie familiale ; 3°) ils représentent un terrain de prédilec-

tion pour l'initiation à la nature et à la protection de l'environnement; 4°) ils favorisent la vie sociale et associa­tive; 5°) ils constituent un moyen efficace de gérer l'espace périurbain et de mettre en valeur le paysage ; 6°) ils contribuent à la réhabilitation de quartiers négligés ou délaissés ; 7°) ils constituent un support de solidari­té et de résistance à la précarisation ; 8°) ils sont un moyen positif de lutte contre l'inactivité forcée (chômage, re­traite).

Les jardins d'insertion, dans quel objectif ?

Face à la montée des situations d'exclu­sion, les jardins d'insertion sont apparus, il y a environ une vingtaine d'années. Plus que la production maraichère, leur objec­t if est avant tout la réinsertion de per­sonnes en difficu lté socia le ou profession­nelle (chômeurs, RMistes, personnes han­dicapées, j eunes en difficulté scolaire, an­ciens détenus, ... ) . Ces " chantiers de réin­sertion " se font sous l'ég ide d'un anima­teur (bénévole ou salarié) chargé de leur accompagnement. S'il n'existe pas de statistiques précises su r ces jardins, on estime leur nombre à quelques milliers. Pour les publics en diffi- . cuité, le jardinage constitue un parfa it ou­til d'insertion. Exigeant patience, labeur, minutie, entraide et responsabilité, il réta­blit le lien entre l'homme et la nature, et contribue à réintégrer les personnes

concernées dans des réseaux de solidarité. On distingue : - les jardins d'insertion "par le social•, qui cherchent avant tout à réintégrer sociale­ment les publics les plus stigmatisés. L'ac­t iv ité de production est accessoire, c'est sa fonct ion thérapeutique qui est privilégiée. Les produits récoltés sont conservés par les jardin iers eux-mêmes, ou offerts à des structures caritatives (Banque alimentai­re, Secours popula ire, Restas du cœur ... ); - les jardins d'insertion "par l'écono­mique•, qui font du jardinage un moyen de réinsertion dans la société, l'objectif étant à terme de retrouver un emploi. L'activité de production y occupe donc une place très importante. Lès produits récoltés sont donc commercialisés. Ils per­mettent aux jardiniers de se constituer des revenus d'appoint.

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grand nombre d'associations locales de j ar­dins familiaux dont un bon nombre se sont fédérées. La Ligue du Coin de Terre, les Jar­dins des Cheminots, la Fédération Nationale des Jardins familiaux, et la Société Nationa­le d'Horticulture de France, sont aujourd'hui les organismes les plus représentatifs des jardins familiaux.

Plus récemment, face aux situations d'exclu­sion, d'autres types de jardins ont vu le jour. Ils sont regroupés sous la dénomination de "jardins d'insertion•. Il s'agit, là aussi, de jar­dins collectifs, mais destinés aux personnes en situation d'exclusion et aménagés pour répondre à différentes catégories de per­sonnes en difficulté (voir encadré). Plusieurs organismes associatifs ont favorisé la créa­tion de jardins d'insertion et développé leurs activités dont notamment les Jardins Cultivons la Solidarité, l'association Lortie, les Jardins de la Solidarité, les Restaurants du Coeur, ou les Jardins d'Aujourd'hui. La nature et le statut des parcelles utilisées dans les jardins d'insertion sont extrême­ment variés. Le caractère préca ire de cer­tains jardins permet de répondre rapide­ment à des situations urgentes et donc d'en­gager sans délais des actions correspon­dantes. Toutefois une certaine stabi lité est nécessa ire pou r f avoriser les investisse­ments, garantir la qualité et renforcer le sentiment de confiance.

Très récemment, une nouvelle catégorie de jardins est apparue : les "jardins partagés", qui visent à améliorer le cadre de vie et à créer un lieu d'échange et de rencontre entre les habitants d'un quartier (on parle auss i de "jardins de quartier", voir ci-des­sous). En pleine expansion, notamment en mi lieu urbain et périurba in, où le désir d'un "retour au vert" se fa it sentir, les j ardins par­tagés sont toutefois limit és, dans leur déve­loppement, dans la mesure où ils ne bénéfi­cient pas d'un régime j uridique adapté.

La réforme actuelle Le texte actuellement débattu au Sénat est une initiative d'origine parlementaire. Il vise à donner une impu lsion nouvelle à la créa­t ion et au développement des jardins co llec­tifs. D'une part, il améliore le statut légal dont bénéf icient déjà les jardins famil iaux. D'autre part, il étend ce statut aux "jardins d'insertion" et aux "jardins partagés". Des aménagements sont apportés au rég ime de location des jardins fam iliaux : la durée des locations passe de un à trois ans, et le congé est porté à six mois, contre trois ac­tuellement, afin de tenir compte des impé­ratifs culturaux. Les collectivités locales sont ajoutées à la liste des bénéficiaires du droit de préemption exercé par les SAFER (Socié­tés d'aménagement foncier et d'établisse­ment rural). Concernant l'exonération de la taxe foncière sur les propriétés non bâties, le seuil de so ooo habitants est supprimé. En effet, la rareté des terrains dans les agglo­mérations conduit fréquemment à créer des jardins à leur périphérie, dans des com­munes moins peuplées.

Insérés dans le code rural, les jardins d'inser­tion bénéficieront désormais des mêmes avantages et subventions que les jardins fa­miliaux. Toutefois, ils pourront garder un objectif commercial. En outre, ils pourront échapper au régime contraignant des loca­tions de jardins familiaux. De cette manière, les propriétaires seront davantage incités à les mettre à la disposition du public. Le tex­te introduit enfin la catégorie des jardins partagés au sein des "jardins collectifs" dans le code rura l, en ins istant sur leur gestion collective ou participative, sur leur large ou­verture au public et sur leurs activités socio­culturelles.

Les jardins partagés, une idée récente

Cette nouvelle catégorie de jardins collec­t ifs, plus récente que les jardins d'insertion, s'inspire d'une expérience orig inale menée aux Etats-Unis. Les habitants de New-York se sont en effet appropriés des terra ins dé­laissés pour en faire des jardins gérés col­lectivement. On compte aujourd'hui 750 jardins de ce type dans la ville de New­York. Leur objectif est moins le jardinage stricto sensu que l'amélioration du cadre.de vie, la création d'un lieu d'échange et de ren­contre entre habitants. Ouverts aux pas­sants, non cloisonnés en parcelles indivi­duelles et fréquentés par toutes les géné-

rations, ces jardins, gérés par des associa­tions de quartier, sont le théâtre d'activités ludiques, festives, éducatives, culturelles ou artistiques qui n'ont de lim ite que l'ima­gination de leurs membres (fêtes de quar­t ier, piques-niques, concerts, fresques, ci­néma en plein air, cafés botaniques, etc.). Appelés aussi "jardins de quartier", ils fleu­rissent aujourd'hui dans les grandes villes de France (Lyon, Lille, Nantes, Marseille, Bordeaux, Brest, ... ). A Paris- où la super­ficie en espaces verts par habitant (0,7 m') est l'une des plus faibles des vil les euro­péennes- une cinquanta ine de projets est actuellement en cours.

Le texte et les comptes-rendus de débats sont consultables sur internet : http:jjwww.senat.frjdossierlegjpplo1-368.html

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( Les Prés ) Le s Prés

Concours de nouvelles de la MQ Malraux

Une 28 édition pour confirmer un succès

La deuxième édition du concours de nou­velles est ouverte à tous les jeunes igny­montains âgés de 13 à 17 ans, ainsi qu'aux adhérents de l'alphabétisation, à la mai­son de quartier André Malraux depuis le 2 septembre. Les copies sont à rendre avant le 12 février, cinq pages dactylographiées maximum à envoyer à la maison de quar­tier, sur le thème des animaux qui parlent. Après lecture, c'est un jury présidé par l'écrivain Daniel Meynard, et composé d'étudiants, des bénévoles de l'aide aux devoirs ou du bibliobus qui remettra les récompenses aux meilleurs écrivains en herbe parmi les jeunes et les élèves de l'al­phabétisation. Mis en place par Sophie Al­lain, titulaire d'un deug de lettres clas­siques et animatrice des 13-17 ans, le concours a eu un franc succès l'année pas­sée avec des travaux de qualité. Les 10 jeunes qui avaient participé ont déjà rem­pilé. "Je voulais une activité où les jeunes soient véritablement auteurs et non pas simplement consommateurs", a-t-elle dé­claré. C'est réussi car ils se sont beaucoup investis l'année passée. Cette fois, le concours s'adresse à toute la ville et reste gratuit bien-sûr. Sophie arpentera aussi les collèges et lycées, alors n'hésitez pas à participer, ce concours pourrait être une expérience enrichissante. Pour la prépara­tion, la maison de quartier a fait appel à Sophie Marvaud de l'association Papier de soi, qui propose des ateliers d'écriture, un samedi par mois jusqu'à mars, au tarif de s€ pour les cinq dates.

Le con sei 1 de quartier fait chauffer le bilic

On se prépare en coulisses au sein du conseil de quartier à faire sauter les crêpes pour les habitant des Prés, le 6 fé­vrier prochain. Le même conseil qui lan­ce l'ordre de mobilisation des associa­tions et des bonnes volontés en vue de la Cavalcade du 26 juin 2004, où toutes les bonnes idées pour animer la matinée dans le quartier sont convoquées. Rens. : 01 39 30 31 34-

L 'ignymontain www.montiBIIYlB.fr

Les fêtes de fin d'année dans vos quartiers

Les Conseils de quartier se mettent au dia­pason des fêtes de fin d'année en proposant leurs animations en faveur des enfants et des familles dans les quartiers.

Au Plan de Troux Le Conseil du Plan de Troux, qui a choisi chaque année de fêter Saint-Nicolas et son sinistre équipier le Père Fouettard, sera le premier sur le pont le samedi 6 décembre entre 1oh et midi. Vous retrouverez di­verses animations festives pour tous les pu­blics sur la place Claudel, en particulier les conteuses de légende, entre deux rasades de chocolat ou de vin chaud et deux bou­chées de brioche.

Au Manet

ra de faire défiler le Père Noël dans un vé­hicule de collection de l'association des Vieux Pistons. Ce curieux cortège s'arrêtera à 11h devant l'école Samain, à 11h30 devant Verlaine, et à 12h devant Dumas avant d'ar­river au terme de son parcours sur la place des Causses, où le conseil de quartier offrira chocolat chaud, café et gourmandises, sous les accords chaleureux du groupe Bleu Aca­jou invité à rythmer cette fin de matinée. Au Plan de l'Eglise, le Père Noël frappera aux portes des riverains à partir de 14h pour collecter (plutôt que distribuer) jouets, livres et lunettes au profit du Secours Ca­tholique, du Secours Populaire et des Res­tas du Coeur. A 16h, le groupe Fok ça Bou­ge interprétera un spectacle tout en sons et feux, avant le tirage de la tombola du quar­tier offerte par les commerçants, assorti comme il se doit de vin chaud, marrons grillés proposés par le conseil de quartier.

·Au ·Pas du 'lac· ............................................................................................................. .......... ............................................................ ;- ':

Le Conseil de quartier du Manet sera pour sa part présent au Marché de Noëlle same­s:Ji 6 d.écem~re de 10h30 à 17,h à,la Ferme du Manet, pour mettre en lumière ses activi­tés. li proposera également un jeu interactif visant à faire découvrir aux enfants les ré­gions visitées et illustrées par les saveurs du Marché de Noël de Montigny. Le conseil se dédoublera en outre sur le centre commer­cial du Manet le samedi 6 pour oeuvrer en faveur du Téléthon (voir page 3).

Le même week-end, c'est aussi du Pas-du­Lac que sonneront les fions fions de la fête, où le conseil de quartier propose un pro­gramme festif sous la direction du Père Noël, avec friandises, marrons chauds, voi­re magie au programme des réjouissances. La SCIC pose ses conteneurs

pour la collecte sélective La SCIC-Habitat a parfaitement joué le jeu des nouvelles modalités de tri sélectif des déchets ménagers, en équipant ses rési­dences de nouveaux conteneurs particuliè­rement bien adaptés à la nouvelle collecte. Installés à l'extérieur au pied des im­meubles, les dispositifs robustes, proches et particulièrement pratiques ont reçu un bon accueil des usagers, qui laisse présager un taux de tri supérieur de la part des rive­rains à l'avenir.

( Le Manet ) ~

Gestion des arbres ~ dans l'a liée des Sept-lies

Les tilleuls se sont clairsemés depuis la se-_.. maine dernière dans l'allée des Sept-lies,

depuis que les services techniques munici­paux font procéder à un abattage sélectif. Cet aménagement de l'environnement fait suite à une doléance exprimée par les rive­rains de l'allée. Réunis le 12 novembre der-

.t-nier sous l'égide de la ville et du Conseil de quartier, les habitants, majo­ritairement gênés par l'ombre et les nuisances engen­drées par les tilleuls, se sont pro­noncés en faveur

de l'abattage de tous les arbres qu i bordent le côté Nord de l'allée, et celui d'un arbre sur deux pour le côté Sud. A l'origine, les arbres avaient été plantés à 7 mètres de distance, soit trop près les uns des autres. Leur croissance a entraîné une densité de feuillage qui nuisait à l'environnement des riverains Dans un second temps, les haies seront renforcées pour border l'allée. L'ex­trémité ouest de l'allée des Sept- lies, qui relie l'école Jules Verne à la route de Trappes, est pour sa part bordée de bali­veaux, des arbres plus petits qui ont égale­ment en leur temps été plantés de façon t rop dense. Les riverains ont également souhaité qu'il soit procédé à leu r abattage, au profit de haies de moindre hauteur.

Au Plan de l'Eglise et i la Sourderie-Nord

Les conseils de quartier de la Sourderie Nord et du Plan de l'Eglise ont coché la da­te du samedi 13 décembre pour organiser leurs réjouissances. Pour le premier, il s'agi-

A la Sourderie-Sud Le vendredi 19, le conseil de quartier de la Sourderie-Sud apportera la dernière touche, en collaboration avec la maison de quartier Louis Jouvet, en conviant le Père Noël à venir offrir ses friandises aux enfants du quartier dans les allées du marché heb­domadaire sur la place Jacques Coeur.

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( La Souraerie-Nora ) m-m .............................. !

Le beaujolais en vedette avec les commerçants

' ! ! Fruits rouges, banane, ou d'autres saveurs ! parfois plus ésotériques étaient en bouche 1 pour les riverains de la place des Causses, ! invités le jeudi 20 novembre à découvrir ! ce sommet de notre patrimoine vinicole ! et commercial que constitue le beaujolais i nouveau. Qu'importe d'ailleurs ses quali­! tés gustatives, l'occasion i éta it belle pour les commer­! çants de la place, réunis au­! tour de leur président Oli-1 v ier Le Coq, et les membres 1 du conseil de quartier d'aller 1 à la rencontre des habitants i du quartier un verre à la

_ i main, pour affermir un dia­! logue sur la vie locale que i les deux partenaires susci­! tent régulièrement (comme i le mois précédent avec la fê­. te des pommes) par des ma-

nifestations de retrou ­vailles. Tour à tour, les com­merçants et les conseillers

de quartiers se sont attelés aux tonnelets, 1

au service des visiteurs et sur les rythmes i traditionnels du duo Pompougnac Bas- ! tringue, alors que les enfants étaient pour i leur part au régime jus de raisin. Rien de 1

tel que deux verres qui tintent pour déve- 1 lopper la communication .. . '

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DANS LES tlUARTlf/{5 L'ignymontain www.IIHIIItignyTB.fr - --

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C Le Village J ( La souraerie-sua )

Montigny et le Vi liage l ont leur boulodrome

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! Allant de le tester boule i la main, le Sénateur-M~ire et la Municipalité ont coupé le ruban inaugural ! ! du premier boulodrome couvert de la ville au Club le Village le 16 novem.re dernier, en compagnie des ! ! membres du conseil de quartier et des boulistes de I'ASMB Pétanque. 1

1 Le boulodrome du Club le Village et ses ! sept pistes de pétanque a été inauguré le i dimanche 16 novembre dernier en présen­i ce du Sénateur-Maire Nicolas About, de ! Michel Laugier, premier adjoint au maire, i d'Elisabeth Lefèvre, déléguée à la Jeunes­! se et responsable du Club le Village ainsi 1 que de Thi Hue Mai Quoc, présidente du ! conseil de quartier du Village qui compte ! désormais une nouvelle attraction. Après ! avoir coupé le traditionnel ruban, ils ont i tiré les premiè'res boi\Jies •sur les pistes l flambant neuves. Les joueurs n'ont pas at-1 tendu longtemps avant de fouler les i pistes, irrésistiblement attirés par le jeu.

l'année. Outre les créneaux horaires réser- 1 vés au Club le Village et aux 70 adhérents ! du club de pétanque, l'accès sera ouvert j gratuitement à tous les lgnymontains. A ! tout âge, de manière conviviale pour ceux ! qui ont envie de jouer tout en discutant, ! ou plus technique pour les joueurs plus as- j sidus, la pétanque peut se jouer en famille ! ou entre amis, et plus besoin d'attendre ! l'été ! Ça démarrait fort avec le premier 1

concours qui comptait 58 participants, ! soit 29 doublettes. Malgré l'e· buffet·cock- j tail d'inauguration, certains réclamaient ! tout de même un peu plus de chaleur, voi- !

re même le traditionnel pastis ! Venez dé- ! couvrir et profiter du seul terrain couvert de pétanque sur la ville nouvelle.

·! "C'est un très bel effort" salué par Jacques ! Gosselin, président de I'ASMB pétanque, i ainsi que par les joueurs, ravis de bénéfi-1 cier d'un terrain d'entraînement couvert, Renseignements au Club le Village qui ! ! qui sera réservé à l'association les lundis et vous délivrera une carte d'entrée gratuite 1

i jeudis soir. Car si certains pratiquent la pé- sur justificatif de domicile. Ouvert de 11h à j

! tan que uniquement l'été, d'autres tra- 22h du lundi à vendredi et de 1oh à 19h le ! i vaillent leur technique tout au long de week-end. · i .......................................................... .. .................................... _, _________ _

( Le Plan-ae-Troux ) -.. -·-·--.-------

le site web du Con sei 1 de quartier est en ligne

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Quentin et sa région (ycentre.net). i Avec ce site agréable, où l'on navigue ! facilement de rubrique en rubrique, qui ! plus est parfaitement tenu et mis à 1

jour, le conseil de quartier parvient à i démontrer que l'internet, contraire- 1

ment à certaines idées reçues, peut aus- i si être l'outil adapté à une communica- 1 tion de voisinage. Les thèmes d'actuali- j té du quartier se retrouvent tout natu- i rellement en bonne place sur le site. i L'aménagement du bois des Marron- 1 niers, le stationnement sur la place Paul l Claudel, la collecte des déchets verts 1 constituent le plat principal d'une ru- 1 brique actualité qui évolue au rythme l

des initiatives proposées par le conseil 1 de quartier. Ces préoccupations des ha­bitants trouvent un prolongement sur 1

Le web encore plus local que celui de la ville (montigny78.fr) existe. Il est pour l'instant l'oeuvre du conseil de quartier du Plan de Troux, qui le premier s'est lancé à l'assaut du Net pour communiquer avec ses concitoyens. Il faut dire que Georges Dreyssé, le président du Conseil de quar­tier, compte dans son équipe un spécialis­te du genre en la personne d'Emmanuel Sénécal, lui-même résident du quartier et initiateur du portail internet de Saint-

les forums modérés par Emmanuel Séné- 'i cal et dans lesquels Georges Dreyssé s'ef­force de répondre à toutes les questions. , · L'agenda mensuel du conseil est aussi dé- 1 sormais en permanence disponible. Enfin, 1 comme l'internet permet aussi de s'ouvrir l'horizon, le site recense les sites créés par les habitants du Plan de Troux. Histoire de se sentir bien dans son quartier, y compris sur le Net. http:jjplandetroux. ycentre.net l

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Un "quartier en 1 ive".........,.... au son rock le 22 décembre

C'est une soirée "Quartier en Live" au son résolument rock que la maison de quartier Jouvet proposera · aux amateurs du genre, le lundi 22 décembre à 20h30. "Ce rendez-vous bimestriel a en premier lieu le mérite de proposer une scène aux groupes qu i répètent du­rant l'année au studio de la maison de quartier". Pa­trick Lhérisset, qui anime le studio et organise ces soirées concerts, ouvre la scène à un groupe igny­montain, ainsi qu'un grou­pe extérieur. Waimea (notre photo ci~contre),

déjà remarqué le 13 septembre dernier à la salle J. Brel, retrouveront une nouvelle fois leurs fans. à 20h30 le lundi 22 décembre Maison de quartier Louis Jouvet Tarif: 2,6€ Rens. : 01 30 64 os 76

La MQ Jouvet vous fait chanter masqué le 12

La maison de quartier Louis Jouvet vous propose un karaoké d'un genre original le vendredi 12 décembre à partir de 19h, puis­qu'il s'agira d'une soirée masquée, enrichie d'un karaoké sur écran géant. Pourquoi pas, nous direz-vous ? Pour parfaire le dis­positif et mettre les artistes d'un soir dans les meilleures conditions, l'équipe de Gianna Belkadi Le parfait trieur propose un atelier de création de vos propres masques le 10 décembre. Tarif: 4,5€

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buffet compris Rens. : 01 30 64 os 76 llfiM, .,., tt }llumlult. ; 1

( Saint-Quentin ) Nouveau concours du Con sei 1 avec les écoles Le Conseil de quartier maintient une pres­sion enthousiaste sur le rendez-vous festif de la Cavalcade le 26 juin prochain, en pro­posant des concours réguliers aux habitants du quartier. Après les anagrammes des Fables de la Fontaine le mois dernier, pour lesquels vous pouvez encore concourir jus­qu'au 15 décembre (voir notre précédente édition), le conseil présidé par Catherine Violy lance un nouveau concours, à voca­tion artistique avec les écoliers de Mansart ·: et Rimbaud. Pour les écoliers de maternelle et de CP, il s'ag tt de créer les plus belles fi­gurines en .. pâte à_modeler, de montrer ses talents en origami pour les élèves de cours élémentaires, et d'écrire sa propre fable pour lès élèves de cours moyens. Les en­fants ont jusqu'au 4 janvier pour livrer leur oeuvre. Le palmarès des lauréats sera offi­ciellement dévoilé à l'Hôtel-de-Ville le ven­dredi 9 janvier à 19h. Rens. : 01 39 30 31 34

Concours 2004

GG ! ffuflt JLnez ;:Mëq~~ Chaque fin d'année au moment des fêtes de Noël, la Municipalité de Montigny pro­pose ses illuminations dans les rues et sur les places des quartiers. Pour votre part, vous êtes aussi de plus en plus nombreux à créer votre propre décor de lumière chez vous, sur le modèle des pays d'Euro­pe du Nord. C'est pour encourager et am­plifier encore cet élan, qui donne des cou­leurs festives à notre environnement, que la ville vous propose à nouveau cette an­née le concours visant à distinguer les plus belles réalisations particulières. Pour participer au concours, les condi-

tions sont extrêmement simples. Il suffit de' créer votre illumination, de préférence originale et de toute façon esthétique, qui devra impérativement être visible de la rue. Il vous reste une dizaine de jours (jus­qu'au 12 décembre) pour remplir le bulle­tin ci-dessous et le renvoyer à l'adresse in­diquée (ou le déposer à l'Hôtel de Ville). Un jury ad-hoc viendra ensuite juger la qualité de vos illuminations et l'originali­té de vos décors, pour constituer le pal­marès de cette cuvée 2004.

LES PRIX: 130€, 1oo€ et 75€ aux 3 premiers de chaque catégorie

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participe au concours dans la ou les catégories suivantes 1

CATÉGORIE 1 : IMM8JIII.E collectif ou ensemble urbain collectif

CATÉGORIE 2: MAISON

CATÉGORIE 3: ETAIIlmfMBIT commercial ou industriel (~titre individuel ou groupé}

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Bulletin à remplir intégralement et renvoyer à: Service Evènementiel · 66, rue de la Mare aux Carats 78180 Montigny le Btx, 1 ou à déposer à l'Hôtel de Ville ou aux mairies annexes. Rens. : 01 39 30 31 35. Date limite: 12 décembre 2003. 1

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F~ BIŒF

CrnA.f de cu-ew furAr M~A-SStt ~ ) . 8 re[

,._, Le deuxième opus de la série des coups de coeur de la salle Jacques Brel est pro­grammé le mardi 9 décembre à 20h3o. La compagnie L'Egale à Egaux présente la pièce "On ne badine pas avec l'amour" d'Alfred de Musset, sur une mise en scè­ne de Jean-Paul Bazziconi. L'occasion de découvrir ou redécouvrir cette comédie sur l'amour, à l'intens,ité dramatiquè permanente. Du sourire aux larmes, une pièce qui montre que la jeunesse n'a qu'un recours : apprendre vite ce que vivre et aimer veulent dire. Tarifs : 14€ (plein) et 12€ (réduit). Rens. : 01 39 30 31 70.

çféciAle G~~w le s~medi 6

Le cinéma Jacques Brel . fête Noël en proposant aux enfants une après-midi de dessins animés. Le samedi 6 dé­cembre de 14h à 18h3o, projection de 3 films : "Des rois qui voulaient plus

. qu'une couronne", série de 4 courts mé­trages à partir de 2 ans, "Un crocodile dans mon jardin", 2 courts métrages et "Le monde de Nemo", le dernier Walt Disney. Les enfants pourront également rencontrer le Père Noël qui viendra par­tager avec eux un goûter à la fin du ::~.•

dessin animé. 2 filmS+goûter : 10€ (plein) et 6,6o€ (réduit) ou 2 tickets abonnés 3 films+goûter : 15€ (plein) et 9,90€ (réduit) ou 3 tickets abonnés Rens.: 01 39 30 31 70.

"Un magicien" mise en scène de Marc Feld

Pierre Edernac, illusionniste, pratique la prestidigitation depuis plus de 70 ans. In­venteur de tours, thé.oricien de la magie, pédagogue, homme de scène complet, il est à la fois le témoin et l'acteur d'une tra­versée du siècle par le spectacle vivant. A travers lui, Marc Feld a bâti un spectacle autour de la magie, de l'illusion, du rêve, de l'apparence. "Un magicien" interroge de manière ludique nos rapports à la réalité, à l'histoire et aux différentes formes de per­ception de la représentation, et cherche à mettre en lumière la part d'enfance et d'imaginaire de chacun de nous. avec Pierre Edernac, magicien - Robin Re­nucci, comédien, Jean-Christophe Feld­handler, musicien.

Du 2 au 7 décembre à 20h30 (sauf jeudi 4 et samedi 6 à 19h30 et

dimanche 7 à 15h3o)

"Les cris de Paris" La chanson parisienne

par l'ensemble Clément Janequin Les. cris de Paris est un concert à s voix consacré à la chanson parisienne du XVI ' siècle. Grossière ou raffinée, paillarde ou

"' élégiaque, la chanson polyphonique XVI ' siècle est un jeu de société partagé en peti­te compagnie.

Le 9 décembre à 20h3o

Danse : Merce Cunningham avec les danseurs de la compagnie

Le 16' Salon des Arts s'est achevé le 23 novembre dernier à la Ferme du Manet sur un nouveau palmarès mettant en va­leur les oeuvres des artistes locaux. Pour cette édition 2003, ils étaient une qua­rantaine d'artistes locaux qui ont partici­pé à l'exposition de 90 oeuvres, saluées par le jury. Muriel Montero, déléguée à la Culture, était accompagnée de Bolivar, l'artiste invité d'honneur, et de Michel Laugier, pour procéder à la remise des di­plômes et des cadeaux aux lauréats. Du 17 au 29 novembre, c'est au Conser­vatoire des Arts que se déroulait l'exposi­tion de peintures et de sculptures de Bo­livar. L'artiste originaire d'Uruguay fait partie de la centaine de créateurs qui composent le mouvement Madi, une for­me d'art construit et abstrait, créé en 1946 par Arden Quin. "La grande idée était de sortir des bordures du cadre tra­ditionnel en peinture, ou de la masse en sculpture", souligne l'artiste. "Ce qui m'intéresse c'est d'aller au-delà de la cho­se classique". C'est lui qui a d'ailleurs

Prix de pastel : France ATA (tressage)

Prix de multi-technlques : Irène CLARA (Trace de mémoire)

Prix du Public : Gabrielle LESPAGNOL (Le Seuil)

La Merce Cunningham Company fête ses so ans. En partenariat avec le Festival d'Automne à Paris, le théâtre de Saint­Quentin présente une soirée dédiée à l'oeuvre d'un pionnier de la danse contem­poraine. Au programme: deux reprises his­toriques "Pictures" (1994), "Suite for five" (1956-1958), ainsi qu'une création : "Fiuid Canvas" (2oo2). Merce Cunningham fête son demi-siècle de carrière avec toujours la même écriture nerveuse, d'une rigueur ma­thématique qui se gorge de poésie et laisse de la place à l'aléatoire.

"Récréation" par le cirque Plume

Le cirque Plume est à Saint-Quentin pour six représentations uniques en région pari­sienne. Avec "Récréation", le cirque Plume revisite ses 18 ans de spectacles à travers les numéros, reprises, climats, musiques qu'i ls ont envie de revoir et de rejouer. Chaque artiste prend un petit espace de pa­role et de geste, de ce qu'il a à dire ou à fai­re, ce qu'il n'a pas pu ou pas su di~ dans le passé. Un spectacle 100% esprit Plume, avec ses acrobates, trapézistes, danseuse sur fil, musiciens facétieux et diva déjan­tée, avec ses jeux d'ombre et ses ombres d'humains. Mise en scène et scénographie : Bernard Kudlak. Composition, arrangements et direction musicale : Robert Miny.

Du 16 au 21 décembre à 20h30 (sauf le 18 à 18h30 et le 21 à 15h3o)

Réservations au 01 30 96 99 oo

L 'ignymontain www.montignylB.fr

conçu la forme originale du guide Sortir à Montigny 2003/2004. Accueillant et très simple, l'artiste restait à la disposition de ses visiteurs pour leur expliquer son tra­vail depuis ses 25 dernières années. Ses réalisations ne ressemblent pas à des masses inertes, mais affichent des formes très aériennes, reflétant le calme de l'ar-tiste et ses interrogations.

Prix du jeune Public : Pierre CHOLET (Paysage gourdon)

Mentions spéciales : Bricia VALETTE-REMBOTTE (pour l'ensemble de ses oeuvres présentées) Jean-Baptiste POISSON (Hommage)

Le cinéma Jacques Brel se met au diapason de vos envies de 7' art pendant tout le mois de décembre. Plusieurs films y seront en ef­fet proposés en même temps que dans les grandes salles parisiennes en sortie nationa­le, comme "Le Seigneur des Anneaux, le re­tour du Roi", largement diffusé du 17 au 23 décembre. D'autres feront l'évènement, comme "le Monde de Nemo", l'incontour­nable dessin animé sorti des studios Disney pour les fêtes, ou encore la dernière produc­tion du revenant Quentin Tarantino ("Pulp Fiction" ... ). En décembre à Jacques Brel, voi­ci les temps forts d'un programme qui vous est proposé, à prix doux. Des tarifs qui vous autori>ent à y aller deux fois plutô.t qu'une seule ailleurs.

Du 3 au 9 décembre : le dernier Disney •Je monde de Nemo". du 10 au 16 décembre, •Km 81/1, volume 1"'; le dernier film de Quentin Tarant/no · le lundi1S décembre, . •Good Bye Lenin" en coup de coeur du 17 au 2,3 décembre, •Je Seigneur des An­neaux, le retour du roi" en sortie nationale. du 24 au 30 décembre, •scary Mov/e 3' en sortie nationale.

00vrrtvl Arnirio(;! retie ~ ruAit de ctAb-(;!

Les plus de 700 visiteurs embarqués dans la Noche Cubana, le samedi 15 novembre à la Ferme du Manet, ont affirmé une fois de plus le succès de la soirée culturelle organi­sée chaque année par l'association América. Il s'agissait donc cette année de plonger dans l'univers cubain. En chanson sur l'esclavage ou le thème afro-cubain, le spectacle allait crescendo avec une seconde partie très ryth­mée, accompagnée par les instruments ty­piques et les percussions. Ponctuée par les in­terventions didactiques de la présidente Yo­lande Marek sur Cuba, sa géographie, son économie, son histoire, et surtout ses spécia­lités, rhum, musique et cigare, la soirée s'est poursuivie jusqu'à plus d'une heure du ma­tin. Les spectateurs ont été initiés à tous les rythmes et les danses de Cuba, comme les

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trois sortes de rumba ! Le repas traditionnel proposait en préambule les empanadas ou l'alfajorès, biscuit à la confiture de lait et à la noix de coco, arrosé d'un verre de vin argen­tin.

L'association remporte de francs succès lors de sa semaine la plus festive de l'année. Le film Soy Cuba a connu aussi son succès émé­rite au ciné J. Brel, et le stage de salsa est une nouveauté qui a séduit tous ses adeptes. Le dimanche 16, les participants, débutants ou plus confirmés, ont ainsi dansé avec un des couples de danseurs cubains de la soirée de la veille qui leur ont montré les pas de base et les différentes figures. "Un cours très bien mené par ce couple qui a le rythme dans la

peau", faisait remarquer Fran­çoise Peren. Un succès tel qu'il s'envisage peut-être une suite pour bientôt. "Ça prend une vé­ritable ampleur, et si ça conti­nue, on devra refuser du mon­de", concluait Yolande Marek.

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Café-Théâtre à J. Brelle jeudi 29 janvier prochain

Une morgue quasi déserte à l'heure du dé­jeuner. Un médecin-légiste rondouillard, medium-voyant amateur, avec un très fort penchant pour l'alcool. Arrive sa soeur, jeune officier de police, fraîche­ment promue "inspecteur stagiaire", ro­mancière à ses heures. Un cadavre embar­rassant, un gros chat mort, un téléphone portable -qui 11e cesse de sonner, des sur­prises, un revolver, des coups de feu, de l'alcool, des coups de théâtre, des fous rires, des jeux de mots, et une avalanche de gags. Vous êtes en plein rififi à la morgue, une comédie de café-théâtre proposée par la Ville le jeudi 2.9 janvier prochain à la salle

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Ces associations aiment jouer chacune dans son domaine spécifique. Décou­verte du milieu des joueurs ignymon­

tains. Un monde codifié et passionné.

Ut D~r~ Na-ire : les f~"tcw-sew-s

Les 128 adhérents à l'association La Dame Noire se retrouvent régulièrement devant l'échiquier depuis sa création en 1992. Affi­liée à la Fédération française des Échecs, l'association dispense des cours du niveau débutant au niveau compétition avec neuf équipes composées de quatre à huit joueurs, jeunes ou seniors, inscrites en compétition et qui font de Montigny le premier club des Yvelines. Le club a aussi ses champions avec Na v id et Kayhan, deux jeunes frères de 13 et 15 ans qualifiés pour le championnat de France. Tout commence sur un échiquier géant avec des pièces magnétiques ou les débutants apprennent le déplacement des pièces. "Ensuite, les joueurs de niveau moyen anticipent trois ou quatre coups à l'avance, et progressent lentement. Logi­ciels, livres, résolutions de problèmes ou études de parties, tout est bon pour pro­gresser'', explique Patrice Couronne, prési­dent du club. La moyenne nationale des joueurs français est de 1650, et les joueurs du club sont clas­sés entre 1250 et 2100. Pour information, Kasparov, premier joueur mondial est classé 2850. Le club dispute différentes parties, longues de deux heures pour les quarante premiers coups et jusqu 'à six heures de jeu, une heure Ko, c'est -à-dire une partie en deux heures, ou 20 minutes pour chaque joueur. Après une partie, la coutume veut que les joueurs passent un moment en­semble pour refaire la partie, étudier les va-

de quinze mois en province, met en scène un duo de comédiens pétillants : Isabelle Parsy et CYominique-Pierre Devers, lequel est également l'auteur de cette pochade prétexte à 70 minutes de rire et de délire. Le Festival Polar dans la Ville, parrainé cette année par la comédienne Yolande Moreau (celle des Deschiens ... ) occupera le terrain culturel de la ville nouvelle du 2.8 janvier au 8 février prochains. 150 ma­nifestations sont programmées dans S4 lieux distincts.

Rens. : 01 39 30 31 70.

riantes qui auraient pu être meilleures. On ne se lasse pas des échecs car les possibilités sont illimitées. Si vous êtes licenciés, il est encore temps de vous inscrire à la 6• édition du tournoi de Noël, du 26 au 31 décembre. http:f jladamenolre. free. fr, Patrice Couronne au o6 21 95 14 29.

Otu~d4 : sw- V% fll'tt-t~tvt La douzaine d'adhérents de Queimada se ré­unit régulièrement pour une après-midi jeu. Ils piochent alors dans les armoires qui contiennent l'accumulation de 10 ans d'exis­tence, et plus de 150 jeux de plateau. César Léal, âgé de 32 ans, faisait partie du bureau lors de la création de l'association en 1991. "On voulait créer une association qui n'exis­tait pas sur la ville nouvelle. On a commen­cé quand on était étudiant, et même si on a moins de temps à cause du travail, on se contacte par mail pour se confirmer au fur et à mesure les après-midis jeux". La vivaci­té et l'interactivité y sont de mise, surtout lors des alliances stratégiques nécessaires pour vaincre l'adversaire. Vous y trouverez toutes sortes de jeux, réflexion, simulation de guerre, jeux de cartes, stratégie ou diplo­matie. La chance n'aura aucune place. "Bien sûr, il y a des classiques qui reviennent régu­lièrement, et quand un jeu nous plait, on peut acheter les extensions", déclare Sébas­tien Cournon, 27 ans. Ils jouent également à des jeux délirants comme Junta dont le but est de renverser le gouvernement d'une ré­publique bananière et de détourner son bud.get ! Les adhérents organisent parfois

des soirées qu'ils passent à dénouer des in­trigues. Venez à leur rencontre lors du Télé­thon sur plusieurs tables de démonstration. Rens. : Stéphane Descrivan, président de l'association au o6 62 49 64 63.

Lts rusew-s dt C~l"tS ~rvt cotrJ~rr

Leur spécialité à eux, c'est le war game or­ganisé le samedi et le dimanche à La Berge­rie, une des salles de la Ferme du Manet. A

13

L 'ignymontain www.IIIOIItigrrylB.fr

Ce mois-ci, la maison Félix accueillait deux expositions, l'une de l'association Le Point d'Esprit consacrée à la dentelle, du 8 au 11 novembre, et l'autre présentant les oeuvres de Roger Alexandre-Alexis, peintre martiniquais invitant les visiteurs à un voyage sous les tropiques. Proche de chez vous, dans une ambiance simple et convi­viale, la maison Félix propose toujours des expositions de qualité permettant de dé­couvrir les activités des associations cultu­relles ignymontaines, et surtout les talents de vos concitoyens.

Lts Stv~"tts dt llf dtN-elk Créée en 1993, l'association de dentelle au fuseau fêtait son anniversaire en grande pompe avec sa quatrième exposition à la

l'aide d'un plateau où sont disposées des fi­gurines qu'ils fabriquent eux-même, les joueurs constituent leurs armées et les dé­placent en échafaudant leurs stratégies. Les parties peuvent durer de 2 à 12 heures, et les règles sont déterminées par des livres spé­cialisés. " Au début je jouais avec des co­pains, puis j'ai découvert l'association et je me suis inscrit. En plus, j'aime beaucoup le modélisme", souligne Guillaume Lanié, 14 ans. "C'est une bonne base pour rencontrer de nouveaux joueurs qui nous initient à de nouveaux jeux", ajoute Denis Buisson, prési­dent de l'association. Le jeu s'enrichit de ses joueurs, c'est le cas de certains adhérents qui ont envie d'introduire un nouveau jeu appelé Necromunda. Dans un univers futu­riste en 3D où la population vit en hauteur pour cause de pollution, les gangs se battent dans les bas fonds. Le vendredi soir est plutôt consacré aux jeux de rôle. Un maître du jeu tient alors le rôle d'arbitre selon une production littéraire qui crée un scénario et tout un monde. Chaque joueur incarne ensuite son personnage. Les joueurs vous invitent à faire un essai, et l'es­sayer c'est l'adopter ! Rens. : Denis Buisson au o6 70 71 64 97, Ber­trand Madet au o6 64 97 65 94, web: http:jjtisseursdechimères.free.fr.

Ut tW!tt-sütt ~rvt cW v~ Volokitin est un club multi-jeux dont le nom est inspiré de celui du grand maître russe, Andreï Volokitin. Les 35 adhérents s'entraî­nent dans l'enceinte du restaurant Pizza Pi­no, tous les mercredis, samedis et di­manches, de 15h à 18h30. Durant ces cré­neaux horaires, qui alternent cours et jeux, les membres du club viennent librement. Volokitin s'adresse à tous, la plus jeune joueuse du club, Marie-Salomé, a 5 ans. 3 professeurs encadrent les cours, Pascal Mal­lécot, président de l'association, François Vareille, seul maître international habitant dans les Yvelines, et Raphaël. Les joueurs suivent la méthode qu'a suivi Volokitin,

maison Félix. 500 pièces ont été réalisées par les 55 dentellières; rappelant l'histoire de l'association, ainsi que l'évolution de cet art. Après les dentelles d'hier et d'aujour­d'hui, dentelle naturellement sur le thème ' . de la nature évi_demment et dentelle de Noël, l'association faisait cette fois l'histo­rique de la dentelle et son inventaire dans le monde. Pour la petite histoire, la dentel-le a d'abord été utilisée en France sous Col­bert et Louis XIV, et ce sont les dentellières italiennes qui ont initié les ·françaises. On pouvait admirer la blonde de Caen faite avec de la soie, la dentelle noire de Gentilly ou encore la dentelle belge. C'était surtout l'occasion de redécouvrir la dentelle et toutes ses utilisations. On connaît le tradi­tionnel napperon, mais beaucoup moins la dentelle en 3D. Grâce à des heures de tra­vail, le résultat était impressionnant aussi bien dans le moderne que dans l'ancien.

V f}1!ft MeN ks r ks Roger Alexandre-Alexis est postier et c'est sur son temps de loisir qu'il peint avec

talent. Ses natures mortes, dont les détails permettraient presque de les confondre avec des photos, et dont les couleurs jaune, verte, ou rose ont apporté le soleil et la chaleur du climat antillais, prennent vie sous ses pinceaux ou sous ses doigts lors­qu'il peint a.vec du pastel sec. Palmiers, plages, fruits et fleurs lointaines étaient à portée de main. Pour sa deuxième exposi­tion, il a réalisé 42. tableaux à partir de pho­tos, et offrait à cette occasion un coup de pouce à une autre artiste, Janine Cann, jeu­ne retraitée ignymontaine qui présentait 4 de ses peintures. "Merci de nous faire dé­couvrir la beauté des Antilles", ajoutait Muriel Montero, élue déléguée à la cultu­re, lors du cocktail de vernissage.

Issue de l'école des Beaux-Arts de Ver­sailles, Annick Langlois présentera ses "ins- •· tants arrêtés" du 6 au 14 décembre, qui ex­plorent l'univers de la nature morte au moyen de l'huile, ! ~acrylique et les pastels.

adaptée et traduite par M arina Castigliola. <

Les joueurs du club s'exercent généralement dans plusieurs disciplines, car le club propo­se divers jeux comme les échecs bien sûr, mais aussi les dames avec Arnaud Cordier, champion de France. Moins connu, le go est un jeu très répandu dans les pays d'Asie. 10 minutes suffisent pour en apprendre les règles. "J'aime ce jeu parce que les combinai­sons et les possibilités sont infinies, tout peut se renverser à chaque seconde", re­marque Jean-Jacques Mok, joueur de go et de magic, un jeu inventé par un mathémati­cien américain et pratiqué au club Volokitin. Le championnat des Yvelines Poussins d'échecs a eu lieu le dimanche 2 novembre à l'hôtel Campanile. En petits poussins, Dimi­tri Brachet et Marie-Salomé Ramphort du club local, ont conquis leurs titres respecti fs. Tél. : o6 65 28 47 sB www. volokitin.com

EN BREF

Football et handball : Courses en tête

L'équipe fanion de I'ASMB football fait _, parler la poudre depuis le début du cham­

pionnat dans sa poule d'Excell~nce. En tê­te pour l'instant, le mois de décembre s'annonce plein d'enseignements pour elle puisqu'ell'e va rencontrer des dauphins di­rects. La route est encore longue vers la Promotion d'Honneur, mais pour l'ins­tant, les joueurs de Stéphane Macheteau impressionnent. A I'ASMB Handball, ce sont les filles de Nationales Ill qui tiennent le haut du pa­vé. Versées dans une poule de l'Est de la France, les joueuses de Bruno Moyon am­bitionnent de grimper en N2 dès la saison

, prochaine. Elles font un sans-faute. pour · l'instant, mais restent sous la pression de

quelques équipes, comme Reims ou l'US Vaires, qu'elles rencontraient le week-end dernier à domicile. En décembre, elles se­ront face à Troyes et Gagny à l'extérieur. le parfait trieur Trois rendez-vous capitaux à un niveau où une seule équipe ac- . cède au niveau supérieur, la se-

~ conde étant ver­sée en barrages.

or L 'Ignymontain www.montignylB.fr DÉCEMBRE 2003

Monti;ny SqoL4Jh Clu1t

uand la p emiere dM ., •

Le Montigny Squash Club a établi ses quartiers dans la salle Marcel Guillon avec ses trois terrains de squash. Pour 8o€ à l'année, les 47 adhérents profi­tent des cours hebdomadaires dispensés les lundis, mardis, jeudis et vendredis, et ont la possibilité de venir ·s'entraîner en réservant les terrains.

"On a beau être maladroit, avec quatre murs, la balle re­vient forcément ! ", explique

u,.,..,.., Sll..sll Ollb, ~a~ Ntlrœl Qfilloll, l'ise r«­assillllar DitlisiOIIl JIOIII' SGR illlfiJie (Miolt œttè SIIÏSOIL

pourquoi deux excellents joueurs se sont inscrits à Montigny cette année. Grâce à Thierry Bulfon, 40' joueur français et Mathieu Briol, au physique et à la moti­vation du triathlète, l'équipe 1 vise la pre­mière division, et pour l'instant, elle n'af­fiche que des victoires. Les joueurs des quatré équipes masculines composées de cinq garçons, dont une en deuxième divi­sion, une en troisième et deux en qua­trième, jouent pour un classement indivi­duel avec des matchs tous les mardis et jeudis au club, dont seul le meilleur ré­sultat du trimestre compte, et des tour­nois par équipe le week-end, où trois joueurs sur cinq doivent remporter leur match pour faire gagner ~ 'équ i pe .

Stéphane Arbizu, joueur de l'équipe fanion . Même une balle mal frappée permet de continuer le jeu et de prendre rapidement plaisir à jouer. "Tout le monde peut frapper la balle, c'est la préparation physique et les capacités de respiration et de récupération qu i feront la différence", ajoute le président du club, Stéfan Cabart. Car le squash exige du souffle sur les déplacements rapides pour aller chercher la balle ou se replacer au centre. Vous évacuerez le stress avec des ef­forts brefs et rapides. Pas seulement phy­sique, il faudra être technique, préparer les combinaisons de jeu et savoir faire courir

l'adversa ire ! C'est un sport plutôt méconnu à l'image agressive, et pourtant les règles sont basées sur le fair-play. Celui qui frappe la balle est prioritaire, car il faut cohabiter sur un petit terra in et les règles permettent -de ne pas se laisser dépasser par le jeu. Le joueur ne peut frapper la balle si l'adversai­re est trop proche ou s'il se trouve entre la balle et le mur frontal. Dans ce cas, la balle let est remise en jeu ou accordée selon la bonne foi du joueur. C'est le triangle de sé­curité.

te l'elit en poupe pour la eo pétition

Un match, c'est 9 points par jeu (on marque uniquement sur son service) et trois jeux pour le match. Douze f illes vien­nent s'entraîner très régulièrement et for­ment l'unique équipe féminine du club, composée de quatre joueuses qui j ouent en deuxième division. Le président souhaite­rait monter une deuxième équipe, alors avis aux amatrices. Venez essayer ce sport qui réunit de nombreux avantages : se faire plaisir, se défouler, et s'entretenir. Saviez­vous que le squash est le sport idéal pour muscler les fessiers, et le deuxième sport pour la dépense des calories après le ski ! "Aussitôt tu joues, aussitôt t'es mordu ! ", conclut Stéphane Arbizu.

Les inscriptions se font en mairie.

Cydisme : eourse sor route Les clubs de squash en région parisienne se font rares et parfois très coûteux, c'est Contact: Stéphane Ca bart au 01 39 38 62 31.

Jean-Marie Couffin est fier de ses poulains en tant que président de la section compé­tition du cyclisme sur route. Au challenge Ufolep 78, Laurent Anguy a obtenu la 1•,.

._,lace en 2' catégorie, et Benoît Kerouan­ton a terminé 3' en 3' catégorie. Un très bon résultat pour ces coureurs qui enta­maient leur première saison en compéti­tion . Grâce à ce résultat, Laurent Anguy s'est qualifié pour le championnat de Fran­ce et est arrivé à l'honorable place de 59'

-sur 120. Pour le championnat départemen­tal, les cyclistes courent une fois par se­maine de mars jusqu'en septembre, dont neuf· courses qui comptent pour le chal­lenge. Ces cyclosportifs s'entraînent au moins quatre fois par semaine et roulent ~ntre 1oooo et 15000 kms par an. "On ne se balade pas comme au cyclotourisme, il faut s'entraîner beaucoup plus et les ef­forts sont plus violents sur de plus courtes distances", explique Laurent. "Au cyclo­tourisme, il faut de l'endurance, on ajoute le rythme en compétition", ajoute Jean-

. ..,

78

Marie Couffin . Depuis 1999, grâce à la création de l'école de cyclisme, de plus en plus de jeunes s'intéressent à la course et viennent gonfler les rangs des compéti­teurs du VCMB. Avec quatre formateurs, et un mécanicien, le club pourra mieux en­cadrer ses 35 coureurs. "Tant qu'il n'y a pas d'argent en jeu, on court juste pour le plai­sir, et l'esprit de compétition n'entache pas l'ambiance très conviviale", achève Be­noît. En tout cas, les rouleurs se placent régulièrement dans les dix premiers, alors avis aux sponsors !

Fermeture du centre aquatique

Fêtes de fin d'année oblige, notez que le centre aquatique du Lac sera fermé les jeudi 25 décembre, jeudi 1' ' et vendredi 2 janvier prochain. Il sera en revanche ou­vert au public le vendredi 26 décembre, pour le week-end des confiseurs.

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FooU.all

Kierspe joue e ~y.e J.allon ied

Du 30 octobre au 2 novembre, la ville ac­cueillait 25 jeunes footballeurs de la ville jumelle allemande de Kierspe. Après une nuit sur la route, ils ont apprécié le petit déjeuner préparé à leur attention à l'Hôtel de Ville, avant de découvrir leurs familles d'accueil recrutées parmi les adhérents de l'Association Montigny International (AMI). Les entraîneurs étant pour leu r part accueillis au Relais-Nature de la Fer­me du Manet. Après un brin de toilette et de repos, direction le château de Versailles pour un prem ier intermède touristique du séj our. Le lendema in, les choses sportives prenaient corps sous la houlette de la mai­son de quartier André Malraux et de Za­charia, chargés de l'organisation du tour­noi franco-allemand au stade Maréchal , hélas dans le gymnase en ra ison de condi­tions météorologiques exécrables. En fina­le, Kierspe l'emportait à l'i ssue d'une ren­contre serrée, chaque équipe recevant néanmoins son trophée. La coupe du fair

play revenait aux plus jeunes, proprement ravis de participer à leu r prem ière ren­contre internationale. Le lendemain samedi, le serv ice des Jume­lages avait mis sur pied un second périple touristique vers la. capitale, les joueurs ou­bliant les courbatures pour monter à l'as­saut de la Tour Eiffel et de la butte Mont­martre. M ichèle Parent, conseillère muni­cipale chargé des Jumelages, a tenu à re­mercier ceux qui ont concouru à la réussi­te du séjour, "notamment Jean-Christophe Graebling, responsable du service Vie des Quart iers mais surtout arbitre cou rageux de tous les matchs, toute l'équipe d'anima­tion de la maison de quartier André Mal­raux, Monika Guillaume, professeur d'alle­mand à la Maison de la Réussite qui a joué sans s'essouffler les traductrices de talent pendant les trois jours. C'est une évidence, nous devons faire des progrès en allemand pour aller jouer le match retour en terre germanique." Ja wohl !

fil visiœ sportive till oct.olft, les jeutreS footballeurs de Kierspe ont dominé balle au pied leurs llollloiOgues (i1Diçllis ae Montigll}' au parc aes sfiOrl;s Jean Maréchal

-+

M9~I~~~y

~

Tunisie-Roumanie à l' aftiehe du Marrane

Le challenge Marrane, tournoi mondial amical qui réunit chaque année en France et depuis 28 ans les meilleures nations de la planète hand-ball, offre aux amateurs saint-quentinois de la discipline l'occasion d'un rendez-vous exceptionnel au centre sportif Pierre de Coubertin à Montigny, où il fait régulièrement étape depuis 8 ans. Cette année ne dérogera pas à une règle clairement entendue avec les organisateurs de l'évènement que sont les clubs de Mon­tigny et de Voisins, épaulés par les munici­palités, le SAN et divers partenaires comme le Conseil Général et la DDJS. "On retrouve­ra le vendredi 27 décembre au centre spor­tig Coubertin de Montigny un match inter-

national entre deux équipes de haut ni­veau, dont une (la Roumanie) a déjà foulé le parquet de Coubertin l'an dernier. La Roumanie semble avoir aujourd'hui une longueur d'avance sur la Tunisie, qui est tout de même championne d'Afrique en titre. de toute façon, le match promet de toute façon d'être spectaculaire." Patrick Chehab, président de I'ASMB Hand, prévoit également un avant programme d'anima­tions à partir de 17h avec un tournoi de hand corpo, une démonstration de l'école de cirque de Voisins, ainsi que de la Gym­nastique Rythmique et Sportive. L'or­chestre habituel sera bien évidemment aus­si de la partie pour rythmer le match et les

gradins de supporters. Le match principal débutera pour sa part à 20h30. Tarifs : 8€ et 4€. Billetterie au centre d'information d la ville nouvelle (Espace St Quentin) les samedi 20, mardi 23, et vendredi 26 de 12h à 19h, ou le soir du match à Cou bertin. Rens. : 01 JO !il 32 22

La Roumanie revient a Montigny, OP· posée aux Champions d'Afrique. Un match spectttcutalre en perspective.

Badminton : loin du jeu de pla;e !

Il ne faut pas se fier aux apparences. Avec sa raquette et son volant plutôt léger, le badminton cache plutôt bien son jeu. Si de­puis 20 ans, ce sport séduit de nouveaux adeptes chaque année, ce n'est pas sans rai­son car le badminton gagne à être connu. Loin de l'image de loisir pour sportifs des plages qu'il véhicule trop facilement, le badminton est un véritable sport athlé­tique, qui nécessite une grande vivacité, et n'est pas sans rappeler l'intensité physique du squash. Les 185 licenciés du Badminton Club de Montigny pourront vous en parler si vous venez découvrir ce sport de raquet­te encore peu répandu, dans une ambiance très sympa. Profitez des prochaines occa­sions qui vous seront offertes par une jour­née de compétition à Montigny le 28 fé­vrier, ou encore la participation du club au Téléthon.

Ludique et lpOIUf eollbRe on ne J• aurait pat eru r

Tous les professeurs qui encadrent les 10 créneaux horaires par semaine, dont les 4 cours réservés aux enfants, sont des joueurs bénévoles du club, qui ont passé un brevet d'Etat, ce qui garantit l'ambiance conviviale et amicale. Les cours se dérou­lent en deux temps avec une partie d'ensei­gnement pour apprendre le bon placement et les bons gestes, suivie d'un temps de matchs où les joueurs tournent au fur et à mesure. Contrairement au tennis, on doit frapper le volant le plus tôt possible, et on peut surtout jouer et s'éclater au bout d'une heure. "J'ai choisi le badminton parce

~'81• A. F 1• Cl. P 1• ct'Q U R C A 1 L L E R .L .T ON NE .T E F 1 C E L E • F A 1 M •v UR TU 0 s 1 T E p E L 1 s s E. ME R .A • T .E R R E • c DU R E R. S E R T 1 •• E • AS T 1 .R E ME c 0 NT EN T E R • T RU c 1 DE E S • L A UR E L. S T 0 p .M E S • TA •u R 1 B 1 s• RO us s 1 N .N .N AN T 1 .E T B E B E s 1. 0 R DR E solution du mot fléché page 16

que je ne m ' amu­sais pas au tennis . Le bad­minton,

c'est du plaisir avant tout car on progresse rapidement, mais c'est aussi très physique", fait remarquer Mathieu Parisot, lui-même classé 65• meilleur joueur français. C'est un sport qui "mêle technique, rapidité et stra­tégie", ajoute le président du club Jean­Marc Rousseau. Sur le terrain, le badmin­ton n'a donc que peu à voir avec le sport "de plage" qu'on pourrait imaginer. La preuve en est que le volant, qui pèse moins de cinq grammes, ne permet pas vraiment de jouer en extérieur ! Il faut être rapide, attentif et avoir du souffle. C'est d'ailleurs un sport olympique, et le seul qui soit mix­te. Les 70 compétiteurs du club forment 5 équipes composées chacune de 3 filles et de 5 garçons, et jouent en matchs simples ou doubles. Le Badminton Club de Montigny est le club qui a le plus d'équipes en compétition dans la région lie-de-France, et la seule équipe qui soit en nationale 3. Pour sa première journée de compétition en nationale 3 à Boulogne-sur-Mer, le BCMB a joué 9

matchs : 3 simples hommes, 2 simples dames, 1 double dame, 1 double homme et 2 doubles mixtes. Il s'est incliné 4 à 5 contre Roubaix et 1 à 8 contre les favoris de Lille. Cette année, le club joue pour son maintien en nationale 3, alors rendez-vous mi-décembre pour la prochaine journée de com­pétition.

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L 'Ignymontain www.lftOIItiBIIYTB.fr

DanAe SJIOrtive le 13 déeembre à CDiibertm

se Grand Prix intematio.nal • Comme nous le précisions dans notre dernière édition, le Grand Prix international de danse sportive se déroulera le samedi 13 dé- · cembre prochain à 21h au centre Coubertin. Initié par l'association Carnet de Bal et la ville de Montigny, en collaboration avec ' l'école de Danse ABC, il s'agit d'abord de ré­pondre à l'envie de ses 400 adhérents et d'accompagner l'essor d'une activité qui sé­duit de plus en plus d'adeptes. Le Grand Prix présentera tout d'abord un tournoi national de danses standard (valse lente, valse viennoise, tango, slow fox trot, quick step) entre les meilleurs français. La compétition se poursuivra par un tournoi international de danses latines (samba, cha cha cha, rumba, paso doble, jive) qui opposera les meilleurs couples européens. La soirée se-ra aussi dansante, puisque les pauses de 2omn entre les compétitions permettront aux spectateurs de profiter de la piste de danse. Après la remise des prix (vers 23h45), la soi-rée dansante se poursuivra jusqu'à 2h du matin. ~

Samedi1J décembre A 21h Rens. : 01 JO 44 23 J6

1e SMAC à l'honneur Le club d'athétisme de Montigny a tenu son rang pour le challenge annuel de Saint­Quentin, qui couronne les participants les plus réguliers au terme des courses pédestres organisées dans les communes de la ville nouvelle au cours de la saison (dont Parcou­rir Montigny bien évidemment). Ainsi au plan collectif, la présidente Véronique Che­vallier a reçu deux trophées sanctionnant la 3• place sur le podium du SMAC parmi tous les clubs participants, puis la seconde place derrière le club intercommunal pour ce qui concerne les clubs de Saint-Quentin. On re­tiendra également en individuel le sacre de Christophe Cuzon en Espoirs, la seconde pla­ce de Christian Portal de Vétéran 1. Quant

aux féminines, on retrouve Véronique Che­vallier (la présidente a donné l'exemple) 3e en Vétéran 1, de même que Séverine Thiery en Senior. Les trophées ont été remis le 19 septembre au SAN, en présence notamment de Michel Laugier (à gauche), 1" adjoint au maire et vice-président du SAN.

Buket

un plein panier d' oJdeetifs à l' ASMB

Si vous entendez les dribbles qui résonnent dans la grande salle du gymnase Alain Co­las, ou si vous croisez quelques maillots à l'effigie de Tony Parker, alors vous êtes bien sur les terrains d'entraînement de I'ASMB basket-bali. De l'échauffement aux matchs, en passant par l'entraînement technique pour le jeu de jambe, les mouve­ments de poignet ou le lancer franc par exemple, les 300 joueurs du club vivent le basket avec passion. Malgré les deux tiers de garçons, le club a fait le plein de joueuses féminines cette année, notam­ment dans la catégorie des 8-9 ans. A partir de cinq ans avec le baby-basket, jusqu'aux anciens, le club affiche cette année un nou­veau visage parmi ses 17 équipes et ses 25 coachs et aides-entraîneurs.

t. f1l&e du tluh : un JIUJit

Toutes t":u:~~!!:e:'t parta-gent leurs expériences. La Gazette du club est d'ailleurs attendue chaque lundi et les joueurs y retrouvent tous les résultats, les infos sur la vie du club ou le calendrier à ve­nir. Chez les minimes (13-14 ans) et les ca­dets (15-16-17 ans), neuf joueurs participent à des stages de formation entraîneur, car

Christian Ufort a pris tes rlMs au tqulpes se­niors masculines et féminines, cu ttemlires en Promotion d'Excellence Régionale

durant les tournois, c'est la participation des joueurs qui permet la mise en place des événements qui font vivre le club, comme la fête du mini basket, les plateaux du di- .­manche, la fête du club ou le Téléthon et son concours de lancers francs, reconduit cette année à la demande générale. Vous aurez donc une minute si vous tentez un record individuel ou une heure pour un re­cord en équipe. Grâce à ses joueurs, le club de basket ignymontain compte parmi les • 20 premiers clubs de France au niveau de l'effectif, et se place à la 9• place en lie-de­France.

Repartit du hon pied dent le& ehamplonnafl •

L'équipe des seniors a retrouvé un nouveau souffle en changeant d'entraîneur. Chris­tophe Lefort fait maintenant partager sa passion du basket aux deux équipes seniors filles et garçons. C'est avec une équipe re­construite grâce au retour d'anciens -. joueurs et d'éléments de haut niveau, que l'équipe seniors garçons, l'année dernière en bas de tableau départemental, repart à la conquête du niveau régional. Les 15 joueurs sont bien partis avec une option sur les victoires, sur les 22 matchs à jouer dans la saison. Le suspens reste entier du côté • des seniors filles qui avaient raté l'excellen-ce région à un point l'année passée, mais qui ont déjà remporté trois matchs sur quatre et passé deux tours en coupe de France cette année. Grâce au bon niveau du club chez les seniors, les jeunes joueurs .,. pourront désormais bénéficier d'un bon ni­veau de compétition et ainsi rester fidèles à leur club de formation . Les gros objectifs du club sont à suivre dans La Gazette du Basket à paraÎtre chaque lundi, ou sur le site http:jjmembres.lycos.frjasmbbasket. ..

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Le parfait trieur Retrouvez dans les pages précédentes les 10 conseils du parfait trieur. Notez-les sur le bulletin ci-dessous

et renvoyez-le à l'Hôtel de Ville

.........................................................................

Nom .................................. . Prénom .. ................ .... Age ........ .

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Les 7 premiers recevront un pack d'objets griffés Montigny et le jeu •em-Tn• Réponses à faire parvenir à l'Hôtel de Ville, Service Communication,

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