le cloud computing pour les experts comptables
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Le cloud computing : levier de performance pour votre cabinet. Comment faire profiter votre entreprise de cette véritable (r)évolution informatiqueTRANSCRIPT
Le Cloud Les bonnes Computing questions
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Le CLOUD COMPUTING :
Levier de performance
pour votre Cabinet
Ou comment faire profiter votre entreprise
de cette véritable (r)évolution informatique
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INTRODUCTION
Cet e-Book a pour objectif de porter un éclairage détaillé sur la notion de Cloud Computing,
à la fois dans ses composantes économiques, sociales, contractuelles, et environnementales.
Au-delà du concept, le Cloud Computing, par un assouplissement des « commodités
informatiques », va amener toute société y faisant appel à davantage d’efficacité et de
sécurité. Il apporte également une agilité dans les services à valeur ajoutée dont les
entreprises ont besoin pour une meilleure productivité et maîtrise de leurs dépenses.
Pour une majorité d’utilisateurs, le Cloud Computing permet de répondre facilement aux
besoins de croissance. Il est en outre une source d’économies, et minimise les
problématiques ainsi que le temps consacré à la gestion de la plateforme informatique
(sauvegardes, surveillance, ….). Outre ces gains de temps, l’entreprise revalorise les
compétences de son département IT en maximisant sa valeur ajoutée sur des fonctions plus
stratégiques et métier que techniques.
Par sa pratique et ses conseils, l’Expert-Comptable accompagne les entreprises dans leurs
différents cycles de vie. La (r)évolution amenée par le Cloud Computing va le conduire d’une
part, à repenser sa façon de partager et accéder à l’information en interne et en externe ;
d’autre part, le Cabinet pourra aussi être force de proposition auprès de ses clients quant à
l’optimisation de ses investissements informatiques.
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LA GENESE DU SUCCES DU CLOUD COMPUTING
Même s’il est illusoire de vouloir généraliser la structuration des Systèmes d’Information (SI)
quel que soit le type et la taille d’une entreprise, certains constats demeurent transverses.
Le système d’information de l’entreprise est indéniablement une fonction clé : la production
de valeur de toute entreprise en dépend. Aussi, face à cette criticité croissante, les postes
de coûts se démultiplient également.
Dans les faits, cela se traduit par des investissements informatiques, parfois lourds et à un
rythme cadencé de 3 ans (moyenne constatée).
Néanmoins, dans une architecture informatique internalisée, ces investissements se font
davantage de façon mécanique pour répondre directement à un besoin prédictif lié à :
� Un doublement des données produites tous les 18 mois
� Un besoin croissant de mobilité
� Un besoin croissant de sécurité
� Un besoin croissant de disponibilité
� Des applicatifs métiers consommant toujours davantage de ressources
physiques et logicielles
A cela s’ajoutent le dimensionnement des plateformes techniques et la formation continue
nécessaire pour les équipes informatiques afin que les services administrés restent
performants et conformes aux capacités réelles du parc informatique.
Pourtant, ces investissements informatiques séquentiellement planifiés ne permettent pas
de se synchroniser avec le rythme réel de la vie d’une entreprise, par essence imprévisible :
� Pics ou déclin d’activité
� Croissance rapide
� Acquisitions/cessions
� Fonctionnement saisonnier de l’activité
� Evolution des prérequis techniques imposés par les différents éditeurs
� Etc.
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Face à ces constats, les acteurs majeurs du marché de l’informatique mondiale ont convergé
vers une offre de services proposant une nouvelle approche de « services à la demande »
mêlée à une nouvelle approche économique de « paiement à l’usage », garantissant à la
fois flexibilité et prédictibilité des coûts.
Internationalement désignés sous le nom de « Cloud Computing », ces services
informatiques fonctionnent selon le principe de l’abonnement et du paiement à l’usage
(« pay as you go ») : l’entreprise n’a plus qu’à se connecter à la plateforme, la
personnaliser en quelques clics et l’utiliser.
Autre avantage de ce nouveau modèle : entièrement modulable, il
correspond aussi bien aux attentes des indépendants qu’à celles des
PME ou encore des multinationales. La TPE peut désormais accéder
aux mêmes technologies et infrastructures que les grands groupes
du CAC 40.
QUE FAUT-IL DECRYPTER DERRIERE LE TERME DE « CLOUD » ?
Le Cloud Computing se traduit littéralement par "informatique dans les nuages", faisant
référence aux technologies internet souvent représentées schématiquement par un nuage.
C'est un concept global qui regroupe plusieurs technologies servant à délivrer des services.
Son but est d’inciter les entreprises à externaliser leurs ressources numériques de façon
partielle ou totale.
Ces ressources offrent des capacités de stockage, de puissance de calcul, d’accès à tous types
de logiciels (CRM, Messagerie, Réunion en ligne, …). Autour de ce concept, s’est développée
une offre très riche de services mis à disposition par des sociétés tierces et accessibles, grâce
à un système d'identification, via tout terminal connecté à Internet.
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LES 3 MODELES DE CLOUD COMPUTING
Derrière ce concept général, 3 familles de services et d’architectures se dessinent :
SAAS, Software as a Service : A la différence du modèle traditionnel
d’acquisition de licences logicielles, les services SaaS sont facturés
au travers d’abonnements dont les unités d’œuvre peuvent varier
(à l’heure d’utilisation, à l’utilisateur, au trafic induit, etc.).
Certains services sont gratuits, soit parce qu’ils sont mis à disposition dans leur version
basique soit parce qu’ils sont financés par la publicité. De façon générale, ces services
logiciels sont accessibles via un simple accès internet, réduisant de ce fait les coûts de
possession du poste (TCO).
Actuellement, sur le marché du SaaS, les principales applications utilisées concernent :
� Le courrier électronique (Live.com ou Exchange Online)
� La gestion de la relation client (CRM Online)
� La visioconférence (Lync Online ; Skype)
� La comptabilité
� La gestion des ressources humaines
� Les communications unifiées
� Le travail collaboratif (SharePoint Online)
� Le partage de fichiers stockés dans le cloud (SharePoint Online ou SkyDrive)
PAAS, Platform as a service : s’adresse essentiellement aux éditeurs
ou aux entreprises souhaitant publier leurs applications en
s’affranchissant de l’exécution matérielle, réseaux, systèmes et
middleware (framework d’exécution, base de données). Ces
dernières sont désormais gérées par le fournisseur de services.
Le PaaS peut également être appréhendé par une entreprise en réponse aux problématiques
associées au domaine de la production informatique : conception et développement
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d'applications, tests de pré-production, intégration de moteurs de bases de données, ...
Dans ce contexte, les unités d’œuvre de facturation reposent généralement sur le nombre de
transactions, le stockage et le trafic.
IAAS, Infrastructure as a Service : Il s’agit de la mise à disposition
d'une infrastructure informatique (serveurs, stockage, réseau) qui
se trouve chez le fournisseur. Cependant, l’entreprise y accède
sans restriction, comme si le matériel se trouvait dans ses locaux.
L’équipe IT (ou le partenaire informatique) administrera et personnalisera ces serveurs
distants de la même façon que les serveurs restants en interne.
Le IaaS repose sur des infrastructures mutualisées, hautement
sécurisées et hautement disponibles comme pour SAAS et PAAS, qui,
grâce aux technologies de virtualisation permettent de provisionner
et d’administrer des serveurs virtuels « étanches » et flexibles.
Le « Cloud privé » est une variante du IAAS : dans cette configuration,
les infrastructures (matériel, réseau, systèmes, stockage) sont dédiées
à l’entreprise, qui peut d’ailleurs en être propriétaire.
Les unités d’œuvre de facturation du IAAS s’appuient généralement sur l’usage réel des
ressources mises à disposition : mémoire, processeur, stockage, bande passante, etc…
Pour l’Expert-comptable par exemple, un service SAAS sera utilisé
dans le cadre de sa messagerie, un service PAAS pour développer
une application mobile du Cabinet disponible pour ses clients et
un service IAAS pour l’exploitation de certains logiciels métiers.
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MISE EN PERSPECTIVE DE LA PENETRATION DU CLOUD COMPUTING
SUR LE MARCHE PROFESSIONNEL
Différentes études dépeignent les tendances et évolutions prévisibles du paysage IT, dans
une approche technico / socio / économique. Celles qui se dégagent sur la période 2012/
2013 expriment l’avènement du Cloud grâce à la convergence de différents facteurs :
� Des utilisateurs qui, dans leur vie privée, font déjà appel à des services Cloud et qui
génèrent une forte demande pour l’adaptation de cette simplicité dans leur univers
professionnel. Dimension supplémentaire : ils souhaitent y accéder de façon « multi-
devices ». La généralisation de l’usage des smartphones et des tablettes a servi
d’accélérateur au marché des logiciels en mode SAAS et a introduit la notion de
« Bring Your Own Device » qui consiste à autoriser les utilisateurs à accéder au SI de
l’entreprise à partir de leurs propres périphériques.
� La fonction de DSI est en pleine (r)évolution : les collaborateurs en charge des
infrastructures techniques se transforment peu à peu en coordinateurs fonctionnels
métiers qui voient ainsi leur métier se redessiner. Désormais, l’équipe IT doit :
o Etre à l’écoute des besoins métiers et des « usages attendus » de leurs
collaborateurs
o Procéder à une veille continue sur l’offre et les acteurs du Cloud Computing,
de façon à conduire des déploiements rapides de nouveaux services
hébergés tout en garantissant les règles internes de gouvernance
informatique
o Maîtriser ses budgets et devenir un allié de choix pour la Direction Générale
et/ou Financière
Aussi, l’avènement du Cloud Computing renforce l’importance du rôle d’intégrateur
de la DSI.
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Outre la possibilité offerte de satisfaire de façon dynamique les besoins changeants ou
nouveaux de l’entreprise, le Cloud Computing permet de ventiler des coûts, de façon
précise, par métier dans l’entreprise.
� Un contexte global de crise économique dans lequel la prédictibilité des coûts
(exprimés de façon fixe/annuelle/par utilisateur, incluant les évolutions
technologiques) constitue un réel avantage financier et compétitif.
� De nouveaux apports en termes d’outils informatiques favorisent le confort de
travail des collaborateurs à l’intérieur ou à l’extérieur de leur entreprise tout en
garantissant la sécurité des données produites/consultées. L’entreprise joue son
image en interne en termes de « plus-value technologique » et, à travers cela, la
valorisation du travail fourni par chaque collaborateur, quel que soit son métier.
Par effet de bord, l’entreprise gagne en productivité et en satisfaction de ses utilisateurs,
en allant jusqu’à en tirer un avantage concurrentiel.
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QUELLE DEMARCHE ADOPTER POUR ENGAGER MA SOCIETE DANS
UNE TRANSITION MAITRISEE VERS LE CLOUD ?
Il serait illusoire de vouloir tout transposer en environnement Cloud. Certains domaines
requièrent de telles singularités législatives (médical, armement…) ou techniques qu’ils
échappent irrémédiablement à toute perspective de changement de modèle.
Pour autant, une architecture hybride est envisageable en faisant cohabiter un
environnement localisé dans l’entreprise avec des services Cloud. Certaines applications
Cloud prévoient d’ailleurs ce scenario : par exemple Exchange Online permet de gérer
l’ensemble des utilisateurs de façon centralisée et unique, quelle que soit la localisation de
leurs boîtes aux lettres.
Aussi, avant toute démarche de transition, les entreprises devront cartographier les services,
applications, environnements de tests et de production qui pourront faire l’objet d’une
externalisation et dont le passage en mode hébergé fera assurément gagner à la fois en :
� Fiabilité
� Flexibilité
� Disponibilité
� Accessibilité
� Rentabilité immédiate ou différée
Dans cette démarche amont, il conviendra de s’assurer que l’entreprise puisse répondre aux
prérequis techniques (connexion internet) et organisationnels imposés par ces services
externalisés. D’autre part, il sera nécessaire de vérifier les capacités d’interopérabilité
applicative afin de ne pas créer des silos d’information étanches les uns par rapport aux
autres.
Une fois cette cartographie établie, il conviendra d’identifier l’offre SaaS, PasS ou IaaS qui
répond le mieux à cette portabilité Cloud. A défaut d’avoir une DSI au sein de votre
entreprise, un partenaire informatique pourra accompagner cette démarche et vous
dresser un panorama des différentes solutions envisageables en recommandant des acteurs
par segment d’application ou par type d’offre.
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LES BONNES QUESTIONS POUR ORIENTER VOTRE REFLEXION
Quels sont les délais pour mettre en œuvre des services Cloud ?
La souscription à un service Cloud, ainsi que la création de l’environnement sont quasi
instantanées et sont réalisées au travers de portails extranets permettant de provisionner
et décommissionner les services en seulement quelques clics. En revanche, à l’instar de tout
projet, il est indispensable de respecter une méthodologie ainsi qu’une chronologie dans les
actions.
Quelles sont les fonctions généralement externalisées dans le
Cloud par les entreprises ?
Quelle que soit leur taille, les entreprises migrent prioritairement et massivement les outils
de messagerie et de collaboration (portails intranet/extranet, plateforme de web
conférence, messagerie instantanée). Il en est de même pour les applications CRM,
comptables ou RH. Il s’agit donc principalement de plateformes SaaS.
Quant aux plateformes IaaS, elles intéressent les entreprises dans des scenarii de tests, de
pre-production mais également de production, par exemple lors du déploiement d’un ERP.
L’adoption de ces technologies permet une expérience utilisateur identique quelle que
soit la situation géographique et le type de terminal utilisé.
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Le modèle économique du Cloud Computing revêt-il un intérêt
pour mon entreprise ?
Les services de Cloud Computing sont généralement proposés en mode de "paiement à
l'utilisation". Ils ne génèrent donc pas de frais d'investissement ou d’immobilisation du
capital (CAPEX). Par ailleurs, comme les services de Cloud Computing sont bien plus rapides à
déployer, les entreprises supportent des coûts de démarrage minimes et des frais
d'exploitation prévisibles sur le long terme.
Le passage d’un budget d’investissement (CAPEX) à un budget de fonctionnement (OPEX)
contribue ainsi à la réduction des coûts d'investissement et une augmentation de la
capacité d’emprunt.
Par ailleurs, il conviendra de procéder à une étude comparative des coûts :
� D’un côté, le coût de l’abonnement au service Cloud (multiplier par l’unité d’œuvre)
� De l’autre, le prix des licences pour le(s) serveur(s) et logiciels, y compris les frais
d’installation, d’administration, de maintenance et éventuellement l’achat des matériels,
leur consommation énergétique, de stockage et le coût de la sécurisation pour des accès
extérieurs.
En quoi le Cloud Computing apporte-t-il un meilleur niveau de
disponibilité et de sécurité des données à l’entreprise ?
� Les acteurs du marché investissent des sommes considérables dans la construction
d’infrastructures Cloud Computing. Ces infrastructures sont massivement répliquées et
maillées afin de sécuriser à la fois les données hébergées mais aussi d’assurer une haute
disponibilité en cas de sinistre sur l’un des data centers.
� La disponibilité s’exprime par un pourcentage de fonctionnement minimal garanti sur
une année, par exemple chez Microsoft la garantie est financière et de 99,9%.
� Dans les faits, très peu d’entreprises peuvent garantir pour elles-mêmes ces mêmes
niveaux de disponibilité.
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Quels sont les points liés à la confidentialité et à la garantie de
continuité de service à vérifier dans le contrat du fournisseur ?
� Le SLA (Service Level Agreement, c’est-à-dire l’engagement en ce qui concerne le niveau
de services) doit être explicitement détaillé et prévoir des compensations financières en
cas de non-respect.
� La propriété des données
� La localisation géographique des données
� La durée d’engagement minimal et modalités du renouvellement
� Le Plan d’Assurance Qualité proposé par le fournisseur
� La réversibilité (il s’agit du processus de récupération des données en cas de rupture du
contrat) : format, délais, coûts additionnels, assistance prévue par le fournisseur.
� Les niveaux et moyens d’accès au support, ainsi que les plages horaires et la langue
employée sont également à prendre en considération pour juger de la qualité de service
proposée.
Comment se situe mon fournisseur par rapport à la législation
européenne ?
Selon la législation européenne, les entreprises résidant dans l'Union Européenne doivent
conserver leurs données sur le territoire européen. Légalement, le fournisseur de Cloud
Computing doit disposer de centres de calculs en Europe et garantir que les données ne
seront pas transférées vers des sites en dehors du territoire européen, même limitées.
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Existe-t-il des normes sur lesquelles l’entreprise peut s’appuyer
pour choisir son fournisseur ?
Oui. Certaines normes existent déjà et sont applicables au Cloud Computing. Les principales
sont : ISO 27001, SOX, SAS 70, ISO 20000. Elles garantissent un niveau de service. Les
informations sur les normes applicables au cloud Microsoft sont disponible sur :
http://www.microsoft.com/fr-fr/office365/independently-verified.aspx
Le Cloud Computing contribue-t-il à une démarche éco-citoyenne ?
Les entreprises qui ont recours au Cloud Computing utilisent uniquement l'espace dont elles
ont besoin sur le serveur, ce qui diminue leur empreinte carbone. L'utilisation du Cloud
Computing entraîne une diminution de 30 % de la consommation énergétique et des
émissions de carbone par rapport aux serveurs sur site. Là encore, ce sont les PME et les PMI
qui tirent le mieux leur épingle du jeu : pour les petites entreprises, la baisse de la
consommation énergétique et des émissions de carbone serait de l'ordre de 90 %.
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CONCLUSION
Grâce aux solutions Cloud, les TPE et PME-PMI ont désormais accès à des technologies
utilisées par des multinationales. Elles assurent d'agir avec davantage d’agilité que leurs
concurrents établis ou de les prendre de vitesse grâce à des développements et des
déploiements ultra réactifs.
Financièrement, l’intérêt de ne pas investir en matériels et logiciels, de passer ces dépenses
en coûts variables, sert à la profitabilité et la trésorerie de l’entreprise.
Les nombreux retours d’expériences d’entreprises de toutes tailles qui ont d’ores et déjà
adopté des solutions IaaS, PaaS ou SaaS confirment l’intérêt induit par ces services en
termes :
� D’économies réalisées
� D’optimisation des coûts d’exploitation
� D’évolution des comportements internes
� De satisfaction des utilisateurs (y compris les utilisateurs nomades)
� De satisfaction de la DSI
� De productivité
� De qualité des fournisseurs choisis
� De réponse aux enjeux de dispersion géographique
� Etc.
Et vous ? Quand allez-vous faire bénéficier votre Cabinet, vos
collaborateurs et vos clients de cette véritable (r)évolution
informatique ?
Pour plus de renseignements :
http://www.microsoft.com/france/pme/produits/solutions-hebergees/default.aspx