le centre l'Élan vous...

Maillon Express – No. 136 - 23 avril 2012 - Parution aux deux semaines Bulletin de la Corporation de développement communautaire (CDC) Memphrémagog

No.136 – 23 avril 2012 « Une chaîne est aussi forte que le plus faible de ses maillons »

« Au de la communauté, pour le mieux-être des personnes et de la collectivité ! » Les organismes communautaires au bout de vos doigts ! www.cdcmemphremagog.com

Le Centre l'Élan vous invite

Le Centre l'Élan, en partenariat avec le RRASME, vous invite à une soirée de musique et d'humour dans le cadre de la semaine de la santé mentale. Nous vous invitons à venir encourager les talents de chez-nous qui feront preuve d'audace et de courage afin de continuer le travail de sensibilisation et démystification de la santé mentale.


«On veut pas juste le savoir, on veut le voir!»

La CDC Memphrémagog vous accueille,

voyez le reportage de Cogeco...

http://www.tvcogeco.com/magog/gallerie/emission-2012/5027-connecte-sur-magog/55666-cdc-cm-mg


Desjardins et le Carrefour Jeunesse-Emploi donnent un coup de pouce pour un premier emploi

Josée Boily, directrice générale du CJE,

Marie-Ève Riendeau, agente à la vie associative et aux communications à la

Caisse Desjardins de Stanstead, Claudine Turcotte, conseillère en développement

coopératif de la Caisse Desjardins du Lac Memphrémagog et Sophie Camille,

conseillère en emploi au CJE, contribuent à offrir un emploi à des jeunes de 14 à 18 ans La contribution financière des Caisses Desjardins de Stanstead et du Lac-Memphrémagog s’élève à 15 483 $, un montant qui permet la création de 13 postes à combler pour la période estivale. Ces emplois sont destinés à des jeunes de 14 à 18 ans qui en sont à leur première expérience de travail. «On coopère pour créer l’avenir», résume Claudine Turcotte, conseillère en développement coopératif de la Caisse Desjardins du Lac-Memphrémagog.

Cette contribution permettra à trois jeunes du territoire de Stanstead ainsi que 10 jeunes provenant des autres villes de la MRC de Memphrémagog de vivre un premier emploi. Sans cette aide financière, plusieurs jeunes auraient du mal à décrocher un boulot. «La MRC de Memphrémagog est une région très touristique l’été et les employeurs aiment bien avoir des employés avec de l’expérience de travail, a révélé Mme Josée Boily, directrice générale du Carrefour Jeunesse- Emploi Memphrémagog. Grâce à cette aide financière, ils acceptent de recruter un jeune et de lui fournir un encadrement approprié, ce qui représente une valeur inestimable pour un jeune désireux de s’initier au marché du travail». Les employeurs se disent très satisfaits du programme. «Pour un employeur, un programme tel que Desjardins Jeunes au travail est toujours apprécié. Ça nous permet de cibler un jeune qui a un fort potentiel et de l’aider à le développer. Par la suite ce jeune peut bien prendre sa place dans notre communauté», mentionne Marise Trépanier, directrice du camp de jour de Stanstead ayant participé au programme l'an passé et intéressée à renouveler l'expérience cette année. Pour prendre part au programme, les employeurs doivent avoir un emploi à offrir durant la période estivale pour un total de 180 heures de travail et, s’il y a lieu, faire partie du Programme Conciliation études-travail Memphrémagog. Les jeunes, quant à eux, doivent être disponibles tout l’été pour travailler. Les intéressés doivent s’inscrire au plus tard le 18 mai auprès de Sophie Camille au Carrefour Jeunesse-Emploi, 819 843-3007, poste 224.


Le Carrefour du partage remercie ses bénévoles

par Vincent Cliche, Le Reflet du Lac, 15 avril 2012

(photo: Vincent Cliche)

Les invités au brunch annuel du Carrefour du partage ont été accueillis par la mairesse de Magog, Vicki May Hamm, la directrice générale de l'organisme, Nathalie Noël, Olivier Noël-Bergeron ainsi que le président Gérard Carrier.

Derrière, on reconnaît le chef Camille Gendron, Serge Nadeau et Réal Gauthier.

Lors de son traditionnel brunch tenu le 15 avril, le Carrefour du partage (Centre d'action bénévole de Magog) a remercié le travail de ses bénévoles, sans qui l'organisme ne pourrait exister. Ils sont tout près d'une centaine à s'assurer du bon déroulement des différents services offerts, tels ceux de la popote roulante, de l'accompagnement au transport, du réseau d'amis ou de la clinique d'impôts. «Sans eux, nous ne pourrions pas offrir tous ces services à la population. Ce brunch est notre façon de les remercier», indique la directrice générale de l'organisme, Nathalie Noël. L'activité s'est déroulée dans le cadre de la Semaine québécoise d'action bénévole.


Plus d'informations dans le prochaine Maillon


14e Concours québécois en entrepreneuriat : le CLD de la MRC de Memphrémagog dévoile les gagnants locaux

Publié le 18 avril 2012 par Louise Champoux

Le CLD de la MRC de Memphrémagog est fier de souligner l’excellence des entreprises de la région qui se sont qualifiées lors du volet local du 14e Concours québécois en entrepreneuriat. Ainsi, trois entreprises ont remporté les honneurs dans leur catégorie respective.

Les entreprises lauréates sont :

Catégorie exploitation, transformation, production

TULIP Accessoires. Cette entreprise de Magog fabrique des ceintures de cuir et de satin pour dames. Cette dernière s’est donnée comme mission de rehausser la tenue des femmes par des ceintures uniques, originales et de haute qualité. Pour information : 819 437-3439. Catégorie Innovations technologiques et techniques

MasterGate Plus inc. se spécialise dans la fabrication et l’installation de portails d’entrée automatisés. L’entreprise offre un produit prestigieux et abordable, qui a fait ses preuves et est des plus durable, sa conception lui permettant de résister à nos hivers québécois. Pour information : 819 446-4688. Catégorie Service

L’Écurie des Diligences, située à Eastman, est un centre équestre offrant des programmes d’entraînement et un service de pension pour chevaux, en plus de l’enseignement personnalisé de l’équitation classique. L’entreprise se consacre également à l’élevage de chevaux ibériques et propose à sa clientèle un manège intérieur de taille rarement égalée. Pour information : 450 297-4831.

Les projets ont été évalués selon différents critères, dont l’analyse de marché, le plan d’opération, le plan de financement et le plan marketing, en plus du profil entrepreneurial des promoteurs. Le jury était composé de gens du milieu des affaires de la MRC de Memphrémagog.

Les gagnants locaux participeront à la finale régionale, qui aura lieu le jeudi 2 mai 2012 à Sherbrooke. Les entreprises qui s’y qualifieront participeront au Gala des Grands Prix nationaux, qui aura lieu le 20 juin prochain au Centre des congrès de Québec. Le CLD de la MRC de Memphrémagog souhaite la meilleure des chances aux trois entreprises lauréates!

Source : Information : Louise Champoux David Gauthier Conseillère en communications Conseiller, développement des entreprises CLD de la MRC de Memphrémagog CLD de la MRC de Memphrémagog Tél. : (819) 843-8273, poste 239 Tél. : (819) 843-8273, poste 263


Magog écoutera les jeunes dans le cadre de sa planification stratégique

Des jeunes à la rescousse pour parler d'avenir.

À l’aube des consultations citoyennes organisées dans le cadre de la planification stratégique amorcée par la Ville de Magog en janvier dernier, le comité responsable de l’exercice est heureux d’annoncer que les élèves de 5e secondaire de l’école secondaire de la Ruche seront invités à se prononcer sur l’avenir de leur ville. Les 23 et 24 avril prochains, le cours Monde contemporain, dispensé à près de 200 élèves de 5e secondaire, sera consacré à une réflexion sur la façon dont ces jeunes de 16 et 17 ans souhaitent que Magog prospère. Différents ateliers seront réalisés en classe pour susciter les échanges et permettre aux jeunes de s’exprimer sur ce qu'ils souhaitent pour leur ville. Comment voient-ils le Magog de demain, celui où ils veulent travailler, vivre, s’épanouir et voir leurs enfants grandir? La mairesse de Magog, Mme Vicki May Hamm, s’est montrée enthousiaste envers cette initiative du comité de planification stratégique. «Le projet Ensemble, imaginons demain déterminera ce que sera Magog dans 20 ans. La démarche n’aurait pas été complète sans l’opinion de ces jeunes dynamiques et ambitieux qui représentent justement cet avenir que nous évoquons. Participer au renouveau de leur ville est une occasion unique pour eux de s’impliquer pour une première fois dans la vie municipale. Les idées issues de ces ateliers seront intégrées au plan d’action qui sera publié à l’automne prochain. Nous espérons que la participation de ces élèves incitera leurs parents et d’autres jeunes à participer aux consultations citoyennes. Il s’agit de la meilleure façon pour nos citoyens de tous âges de se faire entendre et de s’assurer que le plan d’action reflétera une vision commune», indique la mairesse Les consultations citoyennes auront lieu le mardi 29 mai, de 18 h 30 à 21 h 30, à la salle Ovila Bergeron du centre communautaire ou encore le samedi 9 juin, de 13 h à 16 h, au sous-sol de l’église St-Jean-Bosco. Les résultats du diagnostic seront dévoilés en mai, quelques semaines avant le début des consultations citoyennes. Les personnes intéressées peuvent s’inscrire en ligne au www.imaginonsdemain.com, par téléphone au 819 843-6501, poste 356, ou en personne à la réception de l’hôtel de ville (7, rue Principale Est).

La municipalité invite ses citoyens à rester informés sur la démarche en visitant le www.imaginonsdemain.com et en suivant la page Facebook «Magog, imaginons demain».


Les PME doivent dompter le web pour connaître du succès par Vincent Cliche, Le Reflet du Lac, 18 avril 2012

(photo: Vincent Cliche)

L'expert du web, François Charron, est ici accompagné de la coordonnatrice du

programme Lancement d'une entreprise, Carole Tousignant, et de la directrice générale

du Centre d'aide aux entreprises Memphrémagog, Louise Paradis.

Les petites et moyennes entreprises (PME) doivent être actives sur le web si elles désirent connaître un succès financier, raconte l'expert de la toile, François Charron. Quelque 90 gens d'affaires ont assisté à la conférence qu'il a livrée à Magog, hier soir (17 avril). «Il y a présentement une urgence qui n'intéresse personne, a-t-il lancé. Les

entrepreneurs qui ne sont pas sur le web croient qu'ils s'en sortiront. Or, c'est tout le contraire. Ils seront amochés et ils ne le savent même pas», prévient M. Charron. Organisée par le Centre d'aide aux entreprises Memphrémagog et le Centre de formation professionnelle de la région, cette activité s'inscrit dans le cadre de l'Opération Branchons les PME. Celle-ci a bien évidemment sa raison d'être. En effet, près d'une entreprise sur deux, comptant moins d'une vingtaine d'employés, n'a pas de site internet. «Ne pas être sur le web aujourd'hui, ça correspond à ne pas être dans le bottin téléphonique ou les pages jaunes il y a 20 ans. Les consommateurs achètent maintenant beaucoup sur le web (en moyenne 336 $ par mois). Si les PME se font sentir sur la toile, on injectera des milliards de dollars dans l'économie du Québec», insiste le conférencier. Le problème avec l'économie sur internet, ce sont les réseaux sociaux, croit François Charron. «Les gens pensent que parce qu'ils ont une page Facebook, ils assurent une présence. Mais, personne ne veut être ami avec une entreprise. De plus, personne ne ressort sur le moteur de recherche Google quand on en fait la recherche.» Pour remédier à cette situation, le conférencier a présenté sa boîte à outils, qu'il nomme votresite.ca. Grâce à ce site, les entreprises pourront se doter de solutions concrètes pour réaliser leur propre site internet et se doter d'une boutique transactionnelle sécurisée en quelques clics. «Je veux enlever toutes les barrières. Mon objectif est que les gens soient capables de faire leur site eux-mêmes et aient du succès sur le web. Pour cela, j'ai réuni les meilleurs partenaires pour aider les PME du Québec dans leur réussite.» En partenariat avec votresite.ca, le Centre intégré de formation industrielle (CIFI) de Magog offrira une formation de trois heures sur le sujet. Et l'intérêt y est. «J'ai déjà un groupe de rempli», confirme avec plaisir la coordonnatrice du programme Lancement d'une entreprise, Carole Tousignant.


Régional

CPE: possible grève ce jeudi par Véronique Larocque, La Tribune, 23 avril 2012

(Sherbrooke) Rejetée à 99 %, l'offre finale des CPE de l'Estrie n'a pas plu aux travailleuses et travailleurs syndiqués réunis en assemblée générale dimanche. Mercredi, une ultime rencontre est prévue entre le syndicat et l'employeur. Si aucune offre intéressante n'est mise sur la table avant minuit, les quelque 800 travailleuses estriennes se disent prêtes à entrer en grève ce jeudi.

Après près de sept heures de débats, les travailleuses des centres de la petite enfance sont sorties de la salle de réunion de l'Hôtel Delta sur la même longueur d'onde.

« Le message qu'on veut passer aux employeurs c'est que les conditions de travail, c'est important. Nous sommes prêtes à nous mobiliser pour au moins garder nos conditions », a déclaré Debbie Fennety, présidente du Syndicat des travailleurs et travailleuses de l'Estrie.

Au cours de la journée, les syndiquées ont eu à se positionner sur deux offres. La première, celle au niveau régional, portait sur les conditions de travail dans les 33 centres affiliés au STT (CSN).


WOW! QUEL BEL EXEMPLE À SUIVRE!!!

QUE C'EST RAFRAICHISSANT!!!!

À QUI LE TOUR ?


National et divers

Un grand cri du peuple Une manifestation d’une ampleur sans précédent pour la Journée de la

Terre par Mélissa Guillemette, Le Devoir, 23 avril 2012

Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir

Des dizaines de milliers de personnes ont convergé vers le parc Jeanne-Mance, hier, à Montréal, pour créer une main et un arbre humain à l’occasion du

Jour de la Terre. Les participants sont venus de toutes les régions du Québec pour demander une meilleure gestion des ressources naturelles.

Des dizaines de milliers de personnes - de 250 000 à 300 000 selon les organisateurs - ont répondu présent à l’appel du 42e Jour de la Terre, hier, à Montréal. Gaz de schiste, sables bitumineux, Plan Nord, protection des écosystèmes, protocole de Kyoto et même l’éducation : toutes les raisons étaient bonnes pour participer au grand arbre humain formé au parc Jeanne-Mance.


Ce rassemblement « pour le bien commun » aura été assurément le plus grand pour la cause environnementale au Québec et peut-être même le plus grand pour toutes les causes confondues, du moins selon le cofondateur d’Équiterre, Steven Guilbeault. Dès le début de l’après-midi, la Place des Arts et la place des Festivals débordaient déjà. Malgré l’aspect revendicateur de l’événement et la grogne à l’origine de la manifestation, l’ambiance était des plus festives. Jusqu’à la fin, le rassemblement aura été pacifique. « Le Québec au complet bouillonne, a commenté le président de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique, André Bélisle, l’un des instigateurs de l’événement. Et les gens réalisent qu’il faut défendre nos droits, défendre la démocratie. »

Au son des clochers d’église de 14 heures, le créateur de L’homme qui plantait des arbres, Frédéric Back, surnommé par le poète Fred Pellerin « le jeune indigné », a planté un chêne au parc où la foule allait plus tard se rendre. Le cortège s’est au même moment ébranlé rue De Bleury, en direction du mont Royal. Gilles Vigneault, à l’avant du cortège, était ému de voir une si grande foule. « Ça donne de l’espoir… », nous a dit le poète.

De nombreuses affiches récoltaient des sourires, comme « L’argent, l’argent… ce n’est pas une raison pour me faire mal ! » et « Désolé pour le dérangement, on essaie de changer le monde ». Des bannières ont été déroulées sur des immeubles.

La foule n’avait rien d’homogène. Venus du « fin fond de la Beauce » à bord d’un autobus, 56 membres de la Coalition citoyenne gaz de schiste Beauce-Etchemins portaient leurs pancartes bien hautes. « Nous, il y a 37 municipalités qui ont été “claimées” par les compagnies gazières, a raconté une Beauceronne, Danielle Fay. On a déjà sensibilisé une vingtaine des municipalités et on continue pour bloquer ça. Ce qui nous inquiète, c’est beaucoup la question de la contamination de l’eau. » Comme des dizaines de comités contre les gaz de schiste qui se sont joints à l’événement, les affiches rouge et jaune en témoignant un peu partout dans la foule.

Marguerite Tremblay, une citoyenne de Montréal, en avait plutôt contre les décisions du gouvernement Harper dans les dossiers environnementaux. « C’est à ne pas comprendre qu’on puisse élire un gouvernement comme ça. Fallait qu’il y ait autant de gens aujourd’hui ; chaque personne compte. » De l’autre côté de sa pancarte qui interpelle Ottawa, elle s’adressait toutefois à Québec. « Ça, c’est une autre histoire, le Plan Nord… » Mélanie Labelle, une bénévole, était là pour demander une plus grande justice dans la gestion des ressources naturelles partout dans le monde. « Il ne devrait pas y avoir de division au sujet de l’eau, des minerais… Il faut que les conflits cessent à travers le monde. »


Arbre mouvant et spectacle

Si la protection de l’environnement était au coeur de toutes les revendications, un autre fil conducteur était perceptible : le carré rouge, symbole de la contestation étudiante de la hausse des droits de scolarité. Un enseignant au cégep interrogé à mi-parcours, alors qu’il faisait un « pool » pour deviner si plus de personnes s’étaient déplacées hier que lors de la marche étudiante du 22 mars, s’est dit présent pour dénoncer l’ensemble de l’oeuvre du gouvernement libéral. « Il y a plusieurs enjeux qui se mélangent : l’environnement, les étudiants…, a expliqué Pascal Deschênes. Je suis là pour l’attitude générale du gouvernement, pour sa façon de gérer le Québec. »

Au parc Jeanne-Mance, 800 bénévoles ont aidé la foule à recréer une immense main. « Par ici, pour faire l’annuaire ! Le majeur, c’est ici et c’est le meilleur doigt aujourd’hui ! », criaient des bénévoles, en riant. La main mouvante s’est transformée en arbre ensuite. À ce moment, le réalisateur Dominic Champagne, qui était à l’avant-plan de l’organisation du rassemblement, regardait la vue du haut d’une tour à côté. « J’ai vu la plus belle marée de fraternité de ma vie ! », a-t-il dit une fois que le spectacle en plein air a commencé, invitant les manifestants à poursuivre leur combat pour « mettre de la pression sur les gouvernements pour imposer le respect qui nous est dû ».

Discours et prestations musicales se sont succédé. « M. Harper, nous sommes 250 000, a dit le directeur général de la Fondation David-Suzuki, Karel Mayrand, sur scène. Nous entendez-vous ? L’avenir de nos enfants ne passe pas dans un pipeline. » Greenpeace en a plutôt profité pour demander un gel complet du Plan Nord, du moins jusqu’à ce qu’on « protège adéquatement les écosystèmes vierges du Québec », « qu’un système de redevances soit à la hauteur de nos ambitions » et que l’on « respecte les droits des Premières Nations », a dit Nicolas Mainville, de Greenpeace.

Plusieurs artistes ont présenté un morceau, dont le groupe Mes Aïeux, Pierre Lapointe, Ariane Moffatt, Damien Robitaille, Beast, Les Hommes rapaillés, Lisa LeBlanc et Diane Dufresne. La foule a quitté peu à peu le parc. Les organisateurs du rassemblement ont indiqué hier que 52 000 personnes ont signé à ce jour la Déclaration du 22 avril, écrite pour l’occasion. Les signataires demandent à Ottawa de participer « pleinement » au protocole de Kyoto et à la lutte contre les changements climatiques. De plus, ils invitent le gouvernement du Québec à se doter « d’une véritable stratégie, pour le Nord et l’ensemble du territoire, où le développement de nos ressources naturelles et énergétiques respecte nos exigences les plus hautes en matière de partage de la richesse, de respect de l’environnement et des populations».


Collectif pour un QC sans pauvreté

Allez voir et écoutez Riccardo Petrella

Qui est-il? Figure emblématique de l'altermondialisme, Riccardo Petrella est politologue et économiste. Président de l'Institut européen de recherche sur la politique de l'eau (IERPE) et professeur émérite à l'Université catholique de Louvain, il est fondateur du Groupe de Lisbonne et a publié de nombreux ouvrages. Dans son livre «Pour une nouvelle narration du monde» (2007), il prend position contre la marchandisation du monde et pour la défense du bien commun. Il milite activement pour un contrat social mondial fondé sur l'aspiration de toute personne et de tout peuple à la dignité, à la justice, à la liberté et à la paix.

http://www.youtube.com/watch?v=wCW-_mJIM_o&feature=share

20 au 22 septembre 2012

La période d’inscription débutera à la mi-mai Un colloque pour faire le point et se projeter dans l’avenir

La naissance d’un mouvement unique Il y a 25 ans, le mouvement des Villes et Villages en santé prenait naissance au Québec avec l’engagement de la Ville de Rouyn-Noranda à faire de sa ville une « cité en santé » en 1987. Depuis, plus de 200 autres municipalités ont fait de même, indiquant ainsi leur souci d’améliorer la santé et la qualité de vie de leurs citoyens. 25 ans d’expériences diverses où le leadership municipal s’est affirmé, le partenariat et la concertation se sont définis et confirmés et où la participation citoyenne s’est réaffirmée. Un terrain de jeu qui a connu beaucoup de changements Que de transformations et de chemin parcouru depuis 1987 ! L’univers du développement local a connu un essor fulgurant. Les organisations et les initiatives faisant appel au leadership municipal et à l'action intersectorielle et reposant sur une vision globale du développement se sont multipliées. Tout comme se sont multipliées les initiatives qui interpellent les municipalités pour répondre à des besoins plus spécifiques. Des municipalités « transformées » et confrontées à des enjeux de taille En même temps, le monde municipal a subi de grandes transformations. De pourvoyeuses de services à la propriété, les municipalités sont devenues des « organisatrices de milieux de vie ». Elles répondent aujourd’hui à des citoyens dont les attentes et les besoins sont grands dans un contexte de nouveaux mouvements sociaux et d’aspirations dont les contours ne sont pas encore bien définis et dont les moyens d’affirmation ne cessent de nous étonner. Villes et villages en santé, un atout pour faire face aux nouveaux défis Dans ce contexte en ébullition, comment VVS peut contribuer encore mieux à faire émerger des actions collectives rassembleuses qui misent sur les forces vives des communautés locales et des régions pour des municipalités rurales et urbaines inclusives, résilientes, durables et en santé ? Quelle vision avons-nous de nos municipalités et de notre société de demain? Comment faire émerger de la cohérence entre les multiples actions sectorielles? Comment VVS peut initier, mobiliser et innover dans un contexte où la co-construction de l’avenir avec les citoyen-ne-s semble incontournable? Un rendez-vous à ne pas manquer Le colloque 2012 permettra, avec l'aide de conférenciers de renom, de faire le point sur l’état des transformations dans le monde municipal depuis 25 ans, de réfléchir ensemble à l’avenir du mouvement VVS et d’accéder à des clés précieuses pour mieux comprendre le contexte global. Il offrira en outre des ateliers concrets et pragmatiques, des visites locales inspirantes, un salon de l’intelligence collective ressourçant, une soirée 25e anniversaire mémorable et l’accueil incomparable des Rouyn-Norandais. Nous espérons que vous vous joindrez à nous pour ce grand rendez-vous!


SÉANCE D'INFORMATION

Bonjour, Riche de l’expérience plus que positive des deux premières cohortes, le Cégep de Victoriaville, en collaboration avec COMMUNAGIR, démarrera à l’automne 2012 une nouvelle session de son programme d’AEC en Mobilisation et développement des communautés locales. Les personnes intéressées par ce programme sont invitées à une séance d’information EN LIGNE, le vendredi 4 mai 2012, de 10 h à 11 h 30. Ce sera alors l'occasion :

d’en apprendre plus sur le contenu du programme et son déroulement; d’entendre des témoignages d’étudiants et d’étudiantes du programme; d’apprivoiser la plateforme de formation en ligne VIA; d’obtenir toutes les informations relatives à l'inscription; et évidemment, de poser des questions!

***Pour participer à cette séance, vous devez obligatoirement vous inscrire en indiquant votre nom, votre adresse courriel et un numéro de téléphone pour vous rejoindre à : [email protected]

Suite à votre inscription, vous recevrez toutes les informations nécessaires pour accéder à la salle de conférence virtuelle. Vous aurez minimalement besoin, d'une connexion Internet haute vitesse et d'écouteurs (pas de haut-parleurs). Un microphone vous permettra d'interagir de vive voix, sinon, vous aurez accès au clavardage. La caméra est facultative.Au plaisir de vous rencontrer!

Pour en savoir plus sur le programme


Câlins pour le coeur


Le vol des outardes

Vous êtes-vous déjà demandé, en regardant les grands migrateurs au printemps, pourquoi les outardes adoptent toujours une formation en "V" ? Des savants ont découvert que les battements d'ailes des oiseaux "soulèvent" l'air, facilitant ainsi le vol des oiseaux qui les suivent. La formation en "V" permet aux outardes de voler 71% plus loin qu'un oiseau volant seul. Les gens qui avancent ensemble dans la même direction atteignent lòbjectif plus rapidement et plus facilement car ils sàppuient les uns sur les autres. Lorsquùne outarde quitte la formation, elle ressent immédiatement la résistance de làir et doit fournir un effort plus grand. Faisons équipe avec ceux qui visent le même objectif que nous. Quand lòutarde qui mène est fatiguée, elle rentre dans le rang et une autre prend sa place. Les résultats sont meilleurs lorsque chacun sàcquitte à tour de rôle, des tâches les plus difficiles. Les outardes cacardent pour encourager celles qui les mènent. Ceux qui nous mènent ont eux aussi besoin dèncouragement. Lorsquùne outarde malade ou blessée quitte la formation, deux autres la suivent pour làider et lèncourager, jusqu`à ce quèlle soit rétablie. Puis, elles reprennent làir seules ou avec une autre formation pour rejoindre leur groupe. Imitons la sagesse de lòutarde et serrons-nous les coudes.

Auteur inconnu

Tiré de funfou.com


Paroles d'enfants !

"Est-ce que les ours scolaires vont à l'école?"

"Quand Caillou sera grand, est-ce qu'il va s'appeler Pierre?"

"Regarde Papa, il y a des fantômes qui s'envolent de ton café!"

"J'aime mieux le blé d'inde en rouleau."

"Quand je m'ennuie de toi, je pleure comme un enfant."

"Les citrouilles? Ça pousse sur les balcons, voyons!"

"Grand-maman m'a picoté des belles pantoufles."

'"Je ne veux pas de crétins dans ma salade."

"Regarde le beau feu dentifrice!"

"C'est qui ma tante roulotte?"

"Papa a mis de l'eau de colonne!"

"C'est quoi ton signe extralogique?"

"Quand est-ce qu'on mange? Je creuse de faim..."

"À l'hôpital, on se couche sur une litière."

"Aujourd'hui, à la garderie, on a bu de la pollution magique."

"Qui veut jouer au "mon oncle poli" avec moi?"

"Je mange des biscuits soldats avec ma soupe."

"Comment elle s'appelle la princesse de l'Île-du-Prince-Édouard?"

"Papa, si tu vas trop vite, la police va te donner une conversation."

"J'écris une lettre à mon amie, c'est pas grave si je sais pas écrire parce qu'elle non plus ne sait pas lire."

"Papa s'est endormi au soleil... Il a perdu la lotion du temps."

"Regarde la grosse peine mécanique!"

"Quand on ne met pas de crème, le soleil nous donne des coups!"

"Je ne sais pas comment la poule jappe..."

"Je prends une bouchée minuscule, pas majuscule, hein?" Auteur inconnu


J o n g l e r a v e c l a v i e Imaginez la vie comme un jeu dans lequel vous jonglez avec cinq balles. Vous pouvez les appeler : Travail - Famille - Santé - Amis - Esprit . Vous jonglez avec ces balles. Vous comprendrez vite que le travail est une balle en caoutchouc ; si vous la laissez tomber, elle rebondit. Mais les quatre autres balles, Santé - Famille - Amis - Esprit, sont en verre. Si vous en laissez tomber une elle va, à coup sûr, rester par terre, à vos pieds, se fendre, s'abîmer ou même être brisée, fracassée, détruite. Elle ne sera plus jamais la même.

Vous devez comprendre cela et être vigilant pour maintenir un équilibre entre chaque domaine de votre vie.

Comment ?

1. Ne sous-estimez pas votre valeur en vous comparant aux autres. C'est parce que nous sommes tous différents que chacun de nous est spécial.

2. N'établissez pas vos buts en fonction de ce que les autres jugent important. Il n'y a que vous qui sachiez ce qui est important pour vous.

3. Ne considérez pas comme acquise les choses les plus proches de votre coeur. Accrochez vous à elles, comme si votre vie en dépendait. Sans elles votre vie n'a pas de sens.

4. Ne laissez pas votre vie vous glisser entre les doigts, en vivant dans le passé ou le futur. En vivant une journée à la fois, vous vivez TOUS les jours de votre vie.

5. N'abandonnez pas quand vous avez encore quelque chose à donner. Rien n'est jamais perdu tant que vous essayez.

6. N'ayez pas peur d'admettre que vous n'êtes pas parfait. c'est le fil fragile de notre imperfection qui nous relie les uns aux autres.

7. N'ayez pas peur de prendre des risques. C'est en prenant des risques qu'on apprend à être courageux. 8. Ne fermer pas votre vie à l'amour en disant que c'est imposible à trouver. Donner est la façon la plus

rapide de recevoir l'amour. Le moyen le plus rapide de perdre l'amour, c'est de le retenir trop fort et le meilleur moyen de garder l'amour, c'est de lui donner des ailes.

9. Ne traversez pas la vie en courant si vite que vous en oubliez, non seulement d'où vous venez, mais aussi où vous allez.

10. N'oubliez pas que le plus grand besoin émotionnel d'une personne est de se sentir apprécié. 11. N'ayez pas peur d'apprendre. Le savoir n'a pas de poids, c'est un trésor que vous pouvez emmener

partout avec vous. 12. Faites attention à ne gaspiller ni le temps ni les mots. Ni l'un ni l'autre ne peuvent êtres récupérés.

La vie n'est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.

Hier c'est de l'histoire.

Demain est un mystère.

Aujourd'hui est un cadeau.

C'est pour cela qu'on l'appelle le présent ".

Ce texte a été écrit par Brian DYON, PDG de la firme Coca Cola, et présenté lors d'un discours à l'occasion de la remise de diplômes dans une université américaine, le 6 septembre 1991.


Une p'tite blague mignonne

Une femelle kangourou fait des bonds dans la campagne.

Tout à coup, elle s'arrête pour se gratter le ventre, puis repart en sautillant, s'arrête à nouveau , se gratte, repart, avant de s'arrêter encore.

Furieuse, elle sort un petit de sa poche et lui administre une fessée:

- Ça t'apprendra à manger des biscuits au lit!

Prochain Maillon Lundi le 7 mai 2012

Recherche : Ginette Soucy, la « fouine engagée » Mise en page, recherche et rédaction : Marie-Denise Morency

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