L’Amant jalouxAndré-Modeste GrétryComédie en 3 actes17 chanteurs - comédiens - musiciens

Dramaturgie et mise en scène : Armand DelcampeAdaptation et direction musicales : Bernard DelireLivret de Thomas d’Hèle

En tournée en 2017 - 2018

L’équipe

Dramaturgie et mise en scène : Armand DelcampeAdaptation et direction musicales : Bernard Delire

Avec Pauline Claes, mezzo-soprano : Jacinte, camériste de Léonore Geoffrey Degives, ténor : Florival, officier françaisXavier Flabat, ténor : Don Alonze, noble espagnol, amant de LéonoreRita Matos Alves, soprano : Isabelle, sœur de Don Alonze, amie de LéonoreAurélie Moreels, soprano : Léonore, fille de LopezMarco Zelaya, basse-baryton : Lopez, riche négociant de Cadix

Le Quatuor à cordes AlfamaL’Ensemble à vents QuartzNatacha Save, contrebasseYuko Fujikura, mandoline

Scénographie et costumes : Thierry BosquetLumières : Jacques MagrofuocoGestuelle et chorégraphie : Francis PedrosAssistant à la mise en scène : Damien Tresanini

Une production du Festival Musical de Lasne, de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival Royal de Théâtre de Spa. Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

L’Amant jalouxD’André-Modeste Grétry

Comédie en trois actes avec 17 chanteurs-comédiens-musiciens

1h35 – pas d’entracte

Le spectacle est proposé en tournée en 2017-2018

Prix pour la Belgique : 11 000 € TTC par représentation

Prix pour l’étranger : 10 000 € +++ par représentation(+ transports + logements + repas)

Contact : Brigitte TillièreAtelier Théâtre Jean Vilar - Place de l’Hocaille, 6 - 1348 Louvain-la-Neuve – Belgique

Tél. 00 32 (0)10 47 07 04 – Télécopie 00 32 (0)10 47 07 07brigitte.tilliere@atjv.be - www.atjv.be

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L’Espagnol Don Alonze, d’une jalousie maladive, s’est épris d’une jeune veuve, Léonore. Mais le père de cette dernière ne veut pas qu’elle se remarie, afin de garder la mainmise sur le bel héritage que lui a laissé le défunt mari.Survient le chevalier Florival, séducteur français à la don Juan, qui tombe sous le charme d’une inconnue. A la recherche de son identité, il apprend à tort qu’elle se nomme Léonore. En réalité, elle n’est autre que la soeur de Don Alonze... L’issue sera évidemment heureuse, dans le cadre enchanteur d’un jardin ibérique au clair de lune. Mais avant cela, place aux qui-proquos, duels et fuites en tout genre ponctués de joutes verbales et musicales enlevées !

Cette comédie en trois actes, représentée pour la première fois à Versailles en 1778, reste un char-mant divertissement adossé à un livret aux effets comiques bien travaillés. Entre ariettes légères et autres airs à caractère plus sérieux, les dialogues pétillants et spirituels retrouvent un timbre de vaudeville d’ailleurs abondamment utilisé au 18ème siècle sur les théâtres de la Foire. Le sujet de L’Amant jaloux a été tiré, par le librettiste Thomas d’Hèle, d’une comédie anglaise à succès de Suzanna Centlivre (1669-1723), The wonder, a woman keeps a secret, créée à Londres en 1714. Mis en musique par le compositeur André-Modeste Grétry, cet ouvrage était sans doute l’un des plus chers à son cœur, celui en tout cas dont il parlera le plus dans ses Mémoires.

En admiration pour Molière, Grétry explique sa conception de l’écriture musicale par la place qu’il en-tend donner au texte et notamment au texte comique. Dès lors, je n’ai pas hésité à solliciter l’Atelier Théâtre Jean Vilar et ainsi proposer à son fondateur Armand Delcampe une adaptation complète de cet opéra-comique.Par ailleurs, Jean-Pierre Mévisse, Président du Festival Musical de Lasne et moi-même ne pouvions man-quer l’occasion de rendre hommage à André-Modeste Grétry. Nous souhaitions mettre en valeur ce compositeur liégeois dans le cadre du bicentenaire de son décès (1741-1813).

Bernard Delire

Un bijou d’Amant jaloux. Le spectacle est un éblouissement.

La Libre Belgique, août 2013

Armand Delcampe, mise en scène Né à Anderlues, en 1939, Armand Delcampe a voué sa vie au théâtre. Fondateur, en 1975, de l’Atelier théâtral de Louvain-la-Neuve, il le dirige et le transforme en 1999 en Atelier Théâtre Jean Vilar. Cette responsabilité ne l’a pas empêché de poursuivre, en parallèle, une double carrière de comédien et de metteur en scène. Il a joué et/ou mis en scène plus de 100 pièces en 40 ans.

Il travaille comme comédien sous la direction d’artistes qu’il a fait découvrir au public belge, comme Otomar Krejca, dans Les Trois Sœurs de Tchekhov, ou Ariane Mnouchkine : il joue le père de Jean-Baptiste Poquelin dans son film Molière. Au théâtre, il interprète des personnages aussi différents que Thomas Pollock dans L’Echange de Claudel, Figaro dans Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, Argan dans Le Malade imaginaire de Molière ou Isidore Lechat dans Les Affaires sont les affaires d’Octave Mirbeau. Il a monté les plus grands auteurs du répertoire, de Molière à Goldoni, de Claudel à Schnitzler, de Pierre Rey à Jean Louvet, de Beckett à Pirandello ; il reçoit d’ailleurs du «Centro Nazionale Studi Pirandelliani» en Italie, en 1989, le prix «Pirandello» pour sa mise en scène d’Henri IV. Il a mis en scène de grands acteurs tels Michel Bouquet, Pierre Dux, Laurent Terzieff (en France) ; Giorgio Albertazzi (en Italie). Ces dernières années, il a mis en scène, entre autres : Le Tartuffe ou l’Imposteur de Molière, Silence en coulisses ! de Michael Frayn, Avant la retraite de Thomas Bernhard, Maître Puntila et son valet Matti de Bertolt Brecht, Conversation en Wallonie de Jean Louvet, Cher Menteur de Jérôme Kilty et Jean Cocteau, Peines d’amour perdues de William Shakespeare, Demain, c’est le printemps de Eve Calingaert, Les femmes savantes de Molière. Homme de théâtre, Armand Delcampe a travaillé huit ans avec Paul Puaux pour le Festival d’Avignon et a publié chez Gallimard les textes de Jean Vilar. Il a fondé et dirigé pendant vingt ans les Cahiers théâtre Louvain et a édité Mon Chemin de Théâtre tout en participant à des dizaines d’autres publications. La plus récente, Atelier Théâtre Jean Vilar. La passion a 40 ans, parue chez Luc Pire en 2009, dresse le portrait double de sa carrière et du développement de l’Atelier, des origines à nos jours. En 1999, il se voit confier la direction générale du Festival de Théâtre de Spa et en partage la direction artistique avec Cécile Van Snick. Officier des Arts et des Lettres de France, il est désigné en 1986 «Personnalité de l’Année», (en France), pour le Théâtre, au titre international. En 1999, il reçoit le premier Pôle d’or décerné par la ville d’Ottignies – Louvain-la-Neuve et fait partie des personnalités à qui la Province du Brabant wallon a choisi de rendre hommage. Bernard Delire, direction musicale Originaire de Monceau-sur-Sambre, c'est en 1980 pendant ses études au conservatoire Royal de musique de Bruxelles, que Bernard Delire est sollicité par Philippe Hirchhorn pour intégrer le poste de violoncelliste au sein de l'Orchestre Royal

de Chambre de Wallonie. Il y restera quasi toute sa carrière pour terminer ce magnifique parcours artistique sous la direction d'Augustin Dumay en juillet 2010.

Il a commencé ce parcours professionnel sur un violoncelle Camillo de Camilli (école de Mantoue - 1760) pour ensuite jouer, pendant 17 ans, le violoncelle Santus Seraphin (école de Venise - 1737) appartenant au Patrimoine National de Belgique. Ce privilège de maîtriser un instrument de haute facture tout en étant violoncelle-solo dans un orchestre de chambre

lui a permis de rencontrer, au gré des concerts et tournées, des personnalités comme P. Tortellier, M. Rostropovicth, J. Starker, M. Maisky, H. Schiff, A. Bylsma, L. Claret, qui tous lui apportèrent leurs précieux conseils de solistes violoncellistes internationaux. Parallèlement à toutes ces activités de musicien actif (Orchestre,Trio Vidas, Quatuor à clavier de Bruxelles, Quatuor à cordes Siwy, Ensemble Rosamunde, Brussels Virtuosi) Bernard Delire est aussi professeur aux académies de musique de Charleroi et Waterloo pendant quelques années, ensuite assistant et chargé de cours en violoncelle et musique de chambre au conservatoire Royal de Bruxelles, puis devient professeur-adjoint en méthodologie de l'enseignement et c'est en 1989, toujours dans ce même conservatoire, qu'il est désigné professeur titulaire de lecture musicale/déchiffrage, charge pédagogique qui consiste à initier les étudiants aux métiers d'orchestres professionnels. C'est tout naturellement dans le cadre de cette charge pédagogique qu'il se perfectionne en direction d'orchestre notamment auprès de R. Werthen et G. Octors pour tout ce qui est orchestre de chambre et symphonique mais aussi et plus récemment, auprès de ses amis G. Van Waas et P. Davin, respectivement pour la musique baroque et l'opéra. Ajoutons qu'une formation en management Culturel et Artistique à l'Institut Cooremans de Bruxelles permettra à Bernard Delire de devenir coordinateur musical de projets artistiques, particulièrement au sein même de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (2002-2008), et depuis 2006, Directeur Artistique du Festival Musical de Lasne, sa commune d'adoption. Pauline Claes, mezzo-soprano

Pauline Claes débute le chant avec les univers du jazz et du gospel. Après une année de jazz au Conservatoire de Bruxelles, tout en terminant des études de droit à l'Université de Louvain, elle commence le chant classique. Formée auprès de Marcel Vanaud, Nadine Denize et Christine Solhosse

au Conservatoire royal de Bruxelles, elle se perfectionne aujourd’hui avec Laure Delcampe. Invitée par Marcel Vanaud, elle se produit à ses côtés lors du festival de

Wallonie en 2008 au théâtre Royal de Namur. Elle a déjà participé à de nombreux projets tels que L'enfant et les sortilèges de Ravel au théâtre de la Balsamine et La Forêt Bleue d'Aubert à l'opéra Royal de Wallonie. Elle aborde régulièrement le répertoire d’oratorio : le Requiem de Mozart avec l’OSEL, la Paukenmesse de Haydn et les Vêpres solennelles d’un confesseur de Mozart avec la Chapelle musicale de Tournai, Le Roi David d’Honegger avec les Symphonistes européens, le Magnificat de Bach, le Gloria de Vivaldi, les Oratorios de Noël de Bach et de Saint-Saëns, et le Stabat Mater de Pergolèse à Bruxelles. Avec le Collegium Musicum du conservatoire de Bruxelles, elle participe à de nombreux concerts de musique ancienne : Cantates de Bach, Telemann, Scarlatti, Vivaldi, etc. Et c’est avec l’ensemble Laudantes Consort qu’elle participe à la redécouverte d’œuvres de Byrd, Tallis, de Vittoria, Morales, notamment au festival de l’été Mosan. En répertoire contemporain, elle interprète la 3ème voix du Laborintus II de Bério et participe au spectacle «Ceci n’est pas un concert» autour d’œuvres d’André Souris. La saison dernière, elle était Cherubino dans Le Nozze di Figaro de Mozart au Théâtre Royal du Parc à Bruxelles ainsi que Sesto dans La Clemenza di Tito à la Maison des Cultures de Molenbeek. Cette saison, on l’entendra au Festival Ars Musica dans des œuvres de J. Adams et dans le Stabat Mater de Pergolèse à Strasbourg. A l’opéra, elle sera Rose dans Lakmé en novembre 2013 à l’opéra-théâtre de Metz. Geoffrey Degives, ténor

C’est à l’âge de sept ans que le ténor lyrique léger belge Geoffrey Degives (1984) débute sa formation musicale, il étudie l’orgue, le piano, le chant, la diction et l’histoire de la musique. Après deux ans d’étude du chant au Conservatoire Royal de Musique de Liège auprès de Nicolas Christou et Albrecht Klora, il poursuit sa formation au «Koninklijk

Conservatorium Brussel» dans la classe de Beatrijs De Vos et de Dinah Bryant où il obtient une licence en chant lyrique avec «Distinction». Pendant quatre ans, en parallèle aux conservatoires royaux de Bruxelles, Geoffrey étudie avec le ténor Axel Steven Everaert. De 2009 à 2011, il se perfectionne en opéra à Amsterdam au «Dutch National Opera Academy» dans lequel il tient les rôles titres dans Albert Herring, La Clemenza di Tito, L’Elisir d’Amore et Les mamelles de Tirésias notamment avec le «Residentie Orkest Den Haag»,... sous la direction de Kenneth Montgomery, Richard Egarr et Bas Wiegers. Il y obtient un Master en Opéra avec «La Plus Grande Distinction». Pendant ces deux années, il suit des cours de chant avec le ténor islandais Jón Þorsteinsson. Comme tout autre artiste, Geoffrey se perfectionne en masterclasses et en coachings grâce aux conseils de Dennis

O’Neill, Elisabeth Wingfield, Gabriele Fontana, Ira Siff, Vladimir Bouchler, Marco Canepa, Peter Nilsson, Inge Spinette, Alexander Oliver, Greta De Reyghere, Valentina di Taranto,... Passionné par le chant en petite formation et en chœur, il chante avec plusieurs ensembles et chœurs professionnels en Belgique, Allemagne et Suède. Grâce au «World Chamber Choir» et au «World Youth Choir» (2003-2011), il a participé à de nombreux événements tels que l’ouverture des Jeux Olympiques Equestres 2008 à Hong-Kong (Steve Zegree & Hakwon Yoon) et à la cérémonie de remise du Prix Nobel de la Paix 2011 à Oslo (Grete Pedersen). Agrégé de l’enseignement secondaire supérieur avec «Distinction» par le Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles en 2009, Geoffrey enseigne occasionnellement en privé. Chef de chœur depuis plus de sept ans, il est invité à diriger ou coacher des chorales amateurs et ensembles semi-professionnels. Il est le fondateur et directeur artistique de l’ensemble vocal professionnel des «Eclectic Singers» qu’il crée en 2010 avec le baryton-basse Grégory Decerf. Geoffrey est reconnu par les «Tournées Art&Vie» (Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles). En tant que soliste, il se produit partout en Europe, la flexibilité de sa voix lui permet d'aborder un répertoire très varié allant de la Renaissance à la période contemporaine. Principalement actif dans le domaine de l’oratorio et de la musique sacrée, on a pu l’entendre à plusieurs reprises dans des oeuvres de Bach, Telemann, Charpentier, Haendel, Mozart, Haydn, Kerll, Mendelssohn, Saint-Saëns, Schubert, Schumann, Franck, Rossini, etc. En opéra, il a entre autres interprété les rôles principaux dansLa Scala di Seta (Rossini), M. Choufleuri restera chez lui (Offenbach), Orfeo (Monteverdi). Il se produit également dans le cadre de concerts et de Festivals tels que «Opera aan de Schie» aux Pays-Bas, «C’est Sud» à Aix-en-Provence et récemment, au «38th Klang Music Festival» à Klang (Malaisie). Il forme un duo avec la pianiste lyonnaise Elodie Vignon. Ils se produisent en récital de mélodies en Belgique et lors de festivals en France. Xavier Flabat, ténor

C’est à l’Académie de Mons que Xavier Flabat commence sa formation vocale. Il se présente ensuite au Conservatoire de Lille. Actuellement, il se perfectionne auprès de Mme Christine Solhosse, Professeur des Conservatoires Royaux de Liège et de Bruxelles.

De 2006 à 2011, il suit une formation en Art Lyrique dans les Classes de Jacques Taylès à Charleroi et de Michel Ferrer à l’Ecole Normale à Paris. Depuis mars 2011, Xavier Flabat campe Alfredo de la Traviata. Avec ce rôle, il est en tournée en Belgique ainsi que dans le nord de la France. A l’Opéra Royal de Wallonie, il participe à la production de Thérèse de Massenet en juin 2011. Parallèlement, en tant que choriste supplémentaire, il participe à de nombreuses productions au sein du Théâtre Royal de la Monnaie : Macbeth, Parsifal, Nabucco, Les Huguenots, Oedipe, Il Trovatore, Manon Lescaut,… Durant ces 5 dernières années, il a abordé avec succès plusieurs rôles de ténor du répertoire des opérettes classiques à grand spectacle. Yuko Fujikura, mandoline

Yuko Fujikura est née à Kobe au Japon. Dès son plus jeune âge, elle se découvre une attirance particulière pour la mandoline. Après des études à l’Université de sa ville natale, elle vient en France pour parfaire sa formation. En 2007, elle obtient son diplôme supérieur à la Scola Cantorum à Paris. Depuis elle pratique son instrument

avec une passion communicative et se révèle une pédagogue enthousiaste. Elle donne régulièrement des concerts comme membre de l’orchestre de mandolines «Royal Estudantina La Napolitaine» et également dans diverses autres formations en France, en Italie, au Japon. Bénéficiant des conseils de Mr. Ralf Leenen, mandoliniste mondialement réputé, Yuko Fujikura a la chance de jouer sur divers instruments originaux comme par exemple une mandoline fabriquée à Naples en 1764 par le facteur Vinaccia ou une mandoline modèle de concert fabriquée en 1927 à Rome par le luthier Embergher. Rita Matos Alves, soprano

La soprano Rita Matos Alves est née au Portugal. Elle a étudié au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles auprès de Marcel Vanaud, où elle fut diplômée avec Grande Distinction, avant de rejoindre l’Opéra Studio de Pisa, L.T.L. - Laboratorio Toscano per la Lirica. Pour ses brillants résultats, le Conservatoire lui octroya deux fois le Prix Spécial du

Patrimoine. Rita Matos Alves est lauréate du Concours International de Chant de Marmande 2008 (France) et du Concours International de Chant Montserrat Caballé 2010 (Espagne). Elle se perfectionne auprès de la soprano Manuela

Ochakovski depuis 2009. Elle a également participé à de nombreux Masterclass, notamment avec Mya Besselink, Renata Ackermann, Yvonne Schifflers, George Emil Crasnaru, Montserrat Caballé et Nadine Denize. Elle fut sélectionnée pour le Workshop de mise en scène Escales Lyriques (France), dédié à Mozart, avec Stephan Taylor et Valérie Guillorit, ainsi que pour un Workshop dédié à l’opéra Candide de Bernstein, en Italie, avec le maestro Elio Boncompagni et le metteur en scène Michail Znaniecki. Depuis 2005, Rita Matos Alves fut plusieurs fois invitée en tant que jeune espoir lyrique à Solistes au Domaine, au Brussels Summer Festival, au Festival de l’Eté Mosan, au Festival Midi des Minimes, au Juillet Musical d’Aulne, au Festival de Wallonie et au Festival Ars Musica. En 2007, elle fait ses débuts à l’opéra dans le rôle de Clorinda (La Cenerentola, Rossini) à l’Opéra Schloss Weikersheim sous la direction d’Alessandro de Marchi et mis en scène par Dominik Wilgenbus. En 2008, elle se distingue dans le rôle d’Elena (Paride ed Elena, Gluck) au Teatro Verdi de Pise, au Teatro Goldoni de Livourne, au Teatro del Giglio de Lucques et à l’Opéra Royal de Wallonie (Liège). Dans le cadre des Concertini de La Monnaie, elle participe à la création du Book of Thel de Piers Maxim. En 2009, elle chante French Daughter (Death in Venise, Britten) au Théâtre Royal de La Monnaie, au Concertgebouw d’Amsterdam et au Grand Théâtre du Luxembourg dans une mise en scène de Deborah Warner et dirigée par Paul Daniel. Lors de la saison 2010/2011, elle chante à Bozar avec l’Orchestre Aria, ainsi qu’à l’Auditoire de Saragosse, accompagnée par le Pilsen Philharmonique. Elle interprète également le rôle de Zerlina (Don Giovanni, Mozart) au château de Seneffe et donne des récitals de mélodies françaises au Portugal et en Italie. Durant la saison 2011/2012, elle chante le rôle-titre dans La Belle Hélène d’Offenbach, en tournée à Bruxelles, à Tournai, à Roubaix et à Paris. Par ailleurs, elle interprète le rôle de Pamina (Die Zauberflöte, Mozart) à l’Abbaye de Neumüster (Luxembourg) et celui de Susanna (Le Nozze di Figaro, Mozart) à l’Academiezaal de Sint-Truiden et au Centre Culturel de Lommel (Belgique). Elle s’est également produite à Bozar pour le Concert de Noël Mysterium. Rita Matos Alves a débuté l’année 2013 en interprétant La comtessa d’Almaviva (Le Nozze di Figaro, Mozart) au Teatro Verdi di Pisa. En mars, elle s’est produite à nouveau à l’Opéra de Pise avec le pianiste Vincenzo Maxia et le ténor Stefano Lacolla dans un concert dédié à Verdi et Wagner. Parmi ses futurs projets, Rita se produira en récital en Belgique et au Luxembourg dans un programme dédié à la musique érudite portugaise du XXème siècle.

Aurélie Moreels, soprano Aurélie Moreels s’intéresse très tôt à la musique. En effet, dès l’âge de 6 ans, elle commence la flûte à bec et découvrira les plaisirs du chant quelques années plus tard. A l’âge de 11 ans, elle enregistre à la «Deutsche Grammophon Gesellschaft» à Cologne sous la direction de R. Geubel

pour le film de G. Corbiau : «Le Roi danse». Dès ses 13 ans, elle entre dans le chœur «La Badinerie» et y chante régulièrement en tant que soliste. En 2002, Aurélie enregistre pour le film de Dominique de Rivaz: «Mein Name ist Bach». Elle chante sous la direction de chefs tels que Daniel Lipnik, H. Cornil, David Miller, Bernard Guiot, Thomas van Haeperen, Thibaut Lenaerts, Ph.Gérard, Robert Janssens, E.Rasquin, R.Geubel… La jeune soprano interprète les rôles de Belinda («Didon et Enée», H. Purcell en 2006 sous la direction de D. Lipnik), de la Princesse («L’enfant et les sortilèges», M. Ravel, en 2008 sous la direction de Ph. Gérard, mise en scène de Marianne Pousseur), de Papagena (dans une adaptation pour enfants de «La flûte enchantée» de W.A. Mozart, dir. E. Rasquin, sur la scène de l’Opéra Royal de Wallonie et l’Opéra de Rouen Haute Normandie), de la Princesse («La forêt bleue», L.-F. Aubert, à l’Opéra Royal de Wallonie, dir. Ph. Gérard). En 2008, elle remporte le second prix «Jacques Dôme» à Verviers. En 2009, elle interprète le «Stabat Mater» de Pergolesi dans la Salle Henry Le Bœuf au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles. Elle participe en 2010 au Laborintus II de L. Berio dans le cadre du Festival Courants d’Airs. Elle chante en duo avec Marcel Vanaud dans le cadre du festival d’Aulne. Aurélie termine ses études avec grande distinction en chant, au Conservatoire Royal de Bruxelles, en juin 2010. Elle y suit des cours de chant avec Marcel Vanaud et Michèle Massina. Depuis ses débuts, elle a également suivi des cours de chant avec Daniel Lipnik, Francine Bastianelli, Céline Scheen, Pascal Devreese, Margarida Natividade, Christine Solhosse et Nadine Denize. Elle a aussi l’opportunité de travailler la musique ancienne avec Bernard Woltèche et le Studio de Musique Baroque. Ils se sont produits à divers endroits en Belgique et notamment au festival de Spa en 2009 et 2010. Elle a participé à l’enregistrement de la Messe de Noël Puer natus est nobis de François-Auguste Gevaert pour Fuga Libera. Aurélie se forme pour l'enseignement du chant et obtient l'Agrégation en juin 2011. En 2012, elle interprète tous les rôles féminins du «King Arthur» de Henry Purcell.

Natacha Save, contrebasse C’est à l’âge de 15 ans que Natacha reçoit sa première guitare et commence alors ses premiers stages de musique durant l’été. L’année suivante, elle découvre la guitare basse et n’en démordra pas. Elle entre rapidement dans un ensemble et y approchera différents styles allant de la chanson française au blues et au

rock’n roll. C’est tout naturellement que Natacha passe à la contrebasse qu’elle étudiera à l’Académie Grétry de Liège avec Eric Mathot puis à l’Académie de Nivelles avec Marc Henne. Quelques années plus tard, munie d’un diplôme en sciences de l’éducation et d’une candidature en sciences psychologiques, Natacha entre au Conservatoire royal de Bruxelles pour poursuivre son envie d’aller plus loin et de multiplier les rencontres musicales. Elle participe dès lors à de très nombreux projets d’orchestres, d’orchestres de chambre mais aussi de plus petites formations. A présent, elle entame sa dernière année d’étude au Conservatoire de Bruxelles en se perfectionnant dans la classe de Christian Vander Borght. Depuis l’obtention de son diplôme de Bachelor en 2011, Natacha multiplie les expériences d’orchestres professionnels mais aussi en formation de chambre. Ambitieuse, c’est avec joie qu’elle présente tous ses projets. Marco Zelaya, basse-baryton

Premier Prix au Deuxième Concours de Musique de Chambre de l’École de Musique de Brasília et finaliste au Premier Concours National de Chant Lyrique du Rotary Club de São Paulo, le basse-baryton brésilien Marco Zelaya a étudié chez Francisco Frias à l’École de Musique de Brasília. Maintenant, il étudie chez Marcel Vanaud au Conservatoire Royal de

Bruxelles. Il a dans son répertoire d’opéra les rôles des Comte Almaviva et Figaro (Le Nozze di Figaro), de Papageno (Die Zauberflöte), de Leporelo (Don Giovanni), des Don Alfonso et Guglielmo (Così Fan Tutte), de Mozart; de Don Basilio (Il Barbiere di Siviglia), de Rossini; des Marcello et Coline (La Bohème) et de Beto (Gianni Scchichi), de Puccini; de Don Aniballe (Il Campanello) de Donizetti; de Dancaïro (Carmen) de Bizet; de comte Rodolfo (La Sonnambula), de Bellini et des Fauteil et Arbre (L’Enfant et les Sortilèges), de Ravel. Dans la musique sacrée, il a chanté les Messes du Couronnement et en ut mineur de Mozart; le Magnificat et le Psaume 42 de Mendelssohn, le Requiem de Fauré et l’Oratorio de Noël, de Saint-Saëns. Zelaya a chanté les créations des opéras brésiliens Caliban, de Marcus Mota et Ricardo Nakamura, au Teatro Helena

Barcelos, à l’Universidade de Brasília, de Aquiry, la Guerre d’un Peuple, de Mario Lima Brasil, aux théâtres Plácido de Castro, à Rio Branco, Theatro da Paz, à Belém, et au Teatro Nacional Claudio Santoro, à Brasília, et de l’opéra de rue Auto do Pesadelo de Dom Bosco, de Jorge Antunes. Il a travaillé sous la direction de plusieurs chefs, comme Emilio de Cesar, Silvio Barbato, Osman Gioia, Silvio Viegas, Henrique Morelembaum, Ira Levin, David Junker, Thierry Fievèt et Philippe Gérard. Marco Zelaya a presenté au Gasteig München, à Munich, le concert «Lendas do Brasil» avec des mélodies brésiliennes. Au Vlaamse Opera Gent, les concerts du Festival Gantois 2011. À l’Opéra Royal de Wallonie, Zelaya a chanté dans le concert «Racontez-moi l’opéra». Au Théâtre Royal du Parc, à Bruxelles, le rôle de Figaro (Le Nozze di Figaro). En mars 2013, Zelaya a interpreté les rôles des Fauteuil et Arbre (L’enfant et les Sortilèges), de Ravel, à l’Opéra Royal de Wallonie. Le Quatuor à cordes Alfama

Subtilité, élégance et dynamisme sont les marques du Quatuor Alfama qui compte désormais parmi les jeunes formations les plus en vues du paysage musical belge. Après 5 ans d’existence, Alfama poursuit son travail avec les

précieux conseils du Quatuor Danel. Sélectionné par le Centre Européen de musique de chambre ProQuartet en 2006, le Quatuor Alfama a suivi les enseignements de Walter Levin du Quatuor Lasalle et Rainer Schmidt du Quatuor Hagen et se perfectionne cette année auprès de Heime Muller (Quatuor Artemis) et Eberhard Feltz. Le Quatuor Alfama a enregistré en compagnie du guitariste Denis Sung-Hô (Rising Star 2004/2005) le quintette de Léo Brouwer pour Fuga Libera ainsi que l’intégrale des œuvres pour quatuor à cordes de Frédéric Devreese pour le label Kalidisc. Ces deux enregistrements ont été unanimement salués par la critique belge et internationale. Le Quatuor Alfama a sorti son troisième CD "Quartettsatz" pour le label Fuga Libera et prépare en 2013 un enregistrement entièrement consacré à Schumann. Le Quatuor Alfama multiplie les engagements en Belgique (Festival de l’Eté mosan, Brussel Summer Festival Ostbelgienfestival, Festival de Wallonie, Salle Philharmonique de Liège…) et à l’étranger (Auditorium du Musée d'Orsay, Opéra de Bordeaux, Opéra de Dijon, Festival du prieuré de Chirens, les heures musicales de Cunault, les musicales du Golfe, Jeudis musicaux de Royan, Festival de Sully/Loire…) en compagnie notamment du jeune pianiste français Guillaume Coppola, de la mezzo-soprano Albane Carrère ou encore de la violoncelliste Camille Thomas. Le Quatuor Alfama bénéficie du soutien de la communauté française de Belgique et des Tournées «Art et Vie».

L'Ensemble à vents Quartz

Fondé en 1991, l’Ensemble Quartz réunit des artistes diplômés de Conservatoires belges et étrangers (Bruxelles, Mons, Anvers, Hanovre, Paris,

Montréal…) et finalistes de plusieurs concours internationaux. Ses membres se produisent régulièrement en solistes ou au sein d’orchestres, tant en musique contemporaine que sur instruments anciens. Ils sont régulièrement invités lors de festivals et de master classes dans toute l’Europe, au Japon, en Chine, en Corée du Sud, au Canada, en Tanzanie, au Kenya… Sa structure de base – un quintette à vent et un piano – s’ouvre avec bonheur à la harpe, au clavecin, à la voix chantée ou parlée. Il a participé également à des soirées poésie et musique en compagnie des écrivains Gaston Compère, Bernard Tirtiaux et Peter Holvoet-Hanssen. Il a collaboré avec le Quatuor à cordes Thaïs à l’élaboration de projets tels que la commémoration en 2005 du compositeur René Defossez sous la direction de Jean Thorel, ainsi que d’autres pièces plus classiques du répertoire de musique de chambre comme les Nonets de L. Spohr, B. Martinu, F. Lachner, J. Rheinberger, Line Adam. Il s’est vu confier la création d’un grand nombre d’œuvres : Jacques Leduc, Gaston Compère, Frederic Van Rossum, Willy Mortier, Michel Béro, Pierre Coulon, Georges Velev, Daniel Burdet, Claude Ledoux, Michel Lysight, Jacques-Alfonse De Zeegant, Denis Bosse, Gilles Gobert, David Baltuch, Gérard Noack, Pierre Kolp, Line Adam, Aldo Platteau. En 2010, l’Ensemble Quartz a commandé et créé, à Séoul et à Bruxelles, trois nouveaux quintettes de Claude Ledoux, Gilles Gobert et Michel Lysight et en juin 2011 a créé à Shanghai trois quintettes de Michel Béro, Claude Ledoux, Philippe Boesmans et un sextuor de Line Adam. En mai 2012, l’Ensemble Quartz a participé au projet «l’Histoire du Soldat» d’Igor Stravinsky en Corée du Sud, en collaboration avec le Théâtre de la Place de Liège sous la direction de Jean Thorel. Depuis 2006, l’ensemble Quartz se produit aussi en formation orchestrale et crée le Quartz & Friends Orchestra. (Johannes-Matthäus Passion, J-S Bach – Die Schöpfung, Haydn – Messiah, Haendel, Messe en ut mineur de W.A. Mozart, concerto pour flûte et hautbois de A. Salieri, etc.). En décembre 2007, l’ensemble Quartz crée son propre Label discographique Quartziade à l’occasion de la sortie de ses trois nouveaux CD : Quartz II, Tea Time et Lyrics. Une collection voit le jour et englobe les disques précédemment réalisés : Quartz, Russian Chamber Music,

«Music for voice and winds» Berthe Di vito Delvaux, Passion flute, Au gré de la flûte. Une presse enthousiaste lui consacre des articles élogieux. De nombreux festivals ont invité l’Ensemble Quartz qui bénéficie pour ses concerts du soutien du Ministère de la Communauté Française de Belgique et s’inscrit dans le cadre des Tournées «Art et Vie». Thierry Bosquet, scénographie et costumes

Artiste-décorateur belge, il étudie la scénographie à l’école des Arts Visuels de la Cambre. Son premier décor sera pour La Monnaie (Le barbier de Séville). Il a 21 ans. Il y exercera ses talents pendant plus de 20 ans, tant pour les décors que les costumes et comme collaborateur privilégié de Maurice Béjart. Parallèlement, il réalise décors et

costumes pour de nombreux théâtres et opéras dont Vienne, Genève, Paris, New-York, San Francisco, Munich, Milan,Toronto. Il a réalisé les costumes du film L'allée du Roi de Nina Companèse. Outre ses quelque 200 décors et 6000 costumes, il a reçu de nombreuses commandes pour des peintures murales et décorations privées en Europe, a participé à des expositions de peintures et illustré le livre Versailles disparu. Par la suite, on lui demanda d’illustrer La Vie dans Le Grand Parc de Versailles au temps de Louis XIV ce qui lui valut d’être décoré de l’ordre du Mérite Artistique. Depuis toujours, sa passion est la réalisation de maquettes d’intérieurs imaginaires. Jacques Magrofuoco, éclairages

De 1984 à 1993, Jacques Magrofuoco a travaillé au Théâtre de L'Ancre successivement comme régisseur lumière puis comme régisseur général. Il occupe les mêmes fonctions à L'Atelier Théâtre Jean Vilar de 1993 à 2001, théâtre dont il devient par la suite le Directeur technique. De 2000 à 2006 il assure également la

direction technique du Festival royal de Spa. Jacques Magrofuoco a été éclairagiste sur plus d'une trentaine de spectacles dont La sonate des spectres (mise en scène P. Jacaud), Les fines bouches (O. Leborgne), Après la pluie (D. Golby), Convives (L. Hemleb), L'Habilleur, Contes drôles et cruels, Peines d'amour perdues, Les femmes savantes, Dom Juan (A. Delcampe).

Francis Pedros, gestuelle et chorégraphie Né à Bordeaux, Francis Pedros se forme à l'école de danse

du Grand Théâtre de sa ville natale où il obtient un premier prix en 1970. Il sera ensuite stagiaire chez Wladimir Skouratoff, danseur puis danseur-étoile au Ballet de Wallonie sous la direction de Jorge Lefevre où il dansera dans des chorégraphies de José Parés, Georges Skibine et Micha Van Hoecke, entre autres. Il rejoint ensuite Charleroi/Danses où

il se produit dans des œuvres de Paul Taylor, Merce Cunningham, Lucinda Childs et José Besprovsani. Francis Pedros est également chorégraphe. Parmi ses créations, on peut citer Lollipops et Les Amants du Destin pour la compagnie Jorge Lefebvre, Hors lit pour Charleroi/Danse. En 1993 il ouvre l'Espace Danse Lassauvageux-Pedros et crée le Concours International de chorégraphies de La Louvière dont il assure la direction artistique. Artiste, danseur, chorégraphe, comédien, Francis Pedros collabore à de nombreuses reprises avec Armand Delcampe à l'Atelier Théâtre Jean Vilar de Louvain-la-Neuve, signe la gestuelle pour Stephano Dioniso (rôle de Farinelli dans le film de Gérard Corbiau), et travaille avec des personnalités aussi diverses que Franco Dragone, Bernard Gillart ou Dolorès Oscari. Damien Tresanini, assistant mise en scène Après l'obtention d'un diplôme de musicothérapeute à l'université de Montpellier, Damien Tresanini entame des

études de chant. Il entre au conservatoire d'Annecy, puis passe son D.E.M au conservatoire de Chambéry dans la classe de Marie-Hélène Ruscher. Parallèlement, il participe aux master classes de Leonardo Garcia Alarcon et Johanette Zomer, entre autres.

Il suit également des formations de danse et de théâtre (Jean-Marc Boitière, Frank Bertier…). Damien Tresanini a chanté comme choriste au chœur atelier de Genève, avec Canto LX (Luxembourg) et dans de nombreuses productions d'opéra dont Pirame et Thisbé (Nantes-Anger opéra), Le Carnaval et la folie (Ambronay), Le Roi d'Ys (opéra de Rennes). Il est assistant à la mise en scène d’Annie Tasset au sein de la compagnie Atelier Lyrique Pays de Savoie (Dialogues des Carmélites, L'Enfant et les Sortilèges).

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Atelier Théâtre Jean Vilar Tél tech.: 32 (0) 10 45 05 38 Fax : 32 (0)10 45 63 07 Email : jacques.magrofuoco@atjv.be

Fiche technique Titre du spectacle L’Amant jaloux

EQUIPE : 22 personnes

6 chanteurs ,1 chef d’orchestre ,10 musiciens, 1 régisseur général, 2 régisseurs plateau, 1 habilleuse, 1 administrateur DIMENSIONS MINIMALES DU PLATEAU

Ouverture minimale : 10m Profondeur minimale au cadre : 10m Largeur minimale de mur à mur : 14m Hauteur minimale au cadre et libre sous perches : 6m DESCRIPTION DU DECOR

PLATEAU

Nous demandons :

- 6 plans de pendrillons - 5 plans de frises hauteur 3m - 1 sol noir (tapis de danse)

En coulisses: - 1 éclairage de service. - 2 tables à accessoires cour/ jardin. - 1 tringle à costumes

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MATÉRIEL LUMIERE MATÉRIEL DEMANDÉ

1 Jeu d’orgues à mémoires de 140 circuits 96 circuits gradateurs de 2 kW 4 PC 2kw 10 Découpes 714 sx (ou PC 2KW) 3 Découpes 713 sx + 3 portes gobo 12 Découpes 614 sx + 1 Iris 3 Découpes 613 sx 17 PC 1 kw 27 Par 64 CP 62 19 Par 36 (F1) 30 Horiziodes asymétriques 1kw identiques + porte filtre 1 poursuite HMI 1,2 kw 1 Câble DMX pour Par Led 1 Câble DMX pour gradateur TL 1 alimentation 3x380v 32A Gélatines : Lee: 151 5 PC 2Kw (ou découpes 714) + 5 PC 1Kw 075 5 PC 2Kw (ou découpes 714) 200 3 découpes 614 + 7 Pars 64 134 4 PC 2Kw 135 2 Pars 64 205 10 Horiziodes 201 10 Horiziodes 120 10 Horiziodes NOTA BENE : Prière de prévoir des volets pour PC ou du tape alu en suffisance MATÉRIEL FOURNI PAR NOS SOINS

- 4 Par Led - 6 rampes TL - 1 gradateur TL - 3 B.T. 250

MATERIEL SON MATÉRIEL DEMANDÉ (utilisation pour les raccords)

1 amplification comprenant 2 HP en façade + 2 HP au lointain 1 table de mixage 4/4/2 1 lecteur CD avec auto pause MATERIEL VIDEO MATÉRIEL FOURNI PAR NOS SOINS

- 1 écran plasma (placé en salle dans lʼaxe du plateau, pour retour vidéo du chef

dʼorchestre) - 2 Câble BNC 20M - 4 Câble BNC 10M - 1 Caméra DV - 1 retour vidéo - 1 mixette vidéo - 1 socle pour caméra

3

LOGES

2 loges de 5 personnes, 2 loges de 3 personnes, 1 loge 1 personne, 1 loge habilleuse/ maquillage Prévoir tables, chaises, miroirs, portants à costumes, chauffage et bouteilles dʼeau, sanitaires et douches à proximité, retours en loges. DURÉE DU SPECTACLE

1h35 sans entracte Planning

MONTAGE PERSONNEL NECESSAIRE PREMIER JOUR PREMIER SERVICE 9h-13h Déchargement et montage 3 machinistes + 1 cintrier + 1 régisseur lumière

+ 2 électros DEUXIÈME SERVICE 14h-18h Montage décor / lumière 2 machinistes + 1 cintrier + 1 régisseur lumière

+ 2 électros TROISIEME SERVICE 19h-22h Pointage / finition décor 1 machiniste + 1 cintrier + 1 régisseur lumière

+ 1 électro DEUXIEME JOUR PREMIER SERVICE 10h-13h Installation vidéo/ mise en loge

1 régisseur lumière + 1 régisseur plateau + 1 électro + 1 habilleuse

DEUXIÈME SERVICE 14h-18h Conduite / mise en place 1 régisseur lumière + 1 régisseur plateau

+ 1 habilleuse TROISIEME SERVICE Représentation 1 régisseur lumière + 1 régisseur plateau

DÉMONTAGE ET CHARGEMENT 3 machinistes + 1 cintrier + 2 électros + 1 habilleuse

Pour toute précision complémentaire, prière de contacter : - Jacques MAGROFUOCO directeur technique

Téléphone : 32.(0)10.45 05 38 – Fax : 32.(0) 10. 45 63 07 jacques.magrofuoco@atjv.be