la rentrée de la chambre - toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/b... · quand on...

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AISER.IL ILSSII ABONNEMENTS 8 Mois 18 fr.; 6 mois 346e.; 1 an 61 fr. Ce fut un drame véritable que cette réunion nocturne du comité exécutil radical. Et ss nul n'en mourut, beaucoup y furent blessés dont la guérison sera lente. On y Parla de l'élection de ('dur. Ce sujet, épineux Par loi-meme, y fut traité par... M. Albert Sar- raut. L'INCENDIAIRE FAIT POMPIER C'était vouloir Provoquer une ex- plosion M. Albert Sarraut toujours Por- teur de Poudre inflammable et de pétards sensibles à l'extrême, n'a ri. : manqué de Provoquer l'inévita- Insultant les socialistes blâmant les radicaux susPects de sinnPathie notre égard approudant les in- fâmes coalitions de ses vassaux narbonnais, rhornme qui voyagea dans le même train eau M. Ca' in suscita parmi 8. Priim une ef- rvescence telle que la cotastro- phique scission parut un long mo- ment inéluctable et qu'elle Parait encore probable, entre les sarrau- listes uniquement arrimés de la hai- ne des socialistes, et les rnalmotes plus soucieux de l'avenir de la dé- mocratie et moins oublieux du pas- âé. La lecture ineme de la u Dépe- che n d'hier matin, pour les Audois et les Garonnais au courant de ses capacités de mensonge, suffit a fai- re comprendre que ses amis et elle même furent ma/menés et con/eu senient enguirlandés au cours de cette assemblée qui clans la nuit de mercredi à jeudi devait cimenter, è lu veine de la rentrée, /*accota des `diverses tendances radicales. Si la » Dépé'che vous le laisse entendre soyez persuadés que ce lut Plus fort, que vous ne POUVCS M. Albert Sarraut qui connaît notre bassesse d'esprit puisqu'il a en l'occasion de la dénoncer, ne sera pas surpris en aPPreaant par nos soins joie que neua donne un peu sa déconfiture, et surtout la constatation que tous ses correligionnaires ne lui ressemblent Pas. Habitué à Parler en seigneur su- ierain devant des vassaux courti- sans, il lut avant hier soir très vite froissé, puis irrité devant un audi- toire oit les hommes clairvoyants et de bon sens se trouveient plus nom- nombreux que ses créatures, et où iln'y avait pas d'Indochinois. Il le Prit de haut. Il le prit mal. Et on le prit mal. Il s enteta. Et on se lâcha. MM. Melun, ses amis elles amis rde MM. D'Asam et Caillaux signi- fier, nt à l'ancras vice-roi que dans cette assemblée il ne ériges- sait Pas de Placer des bureaux tee tabac. Personne n'en demandait; tout le monde pouvant en donner comme lui. On demandait une justification 'de son attitude et de l'attitude des radicaux à Narbonne devant Blum III n'e pouvait fournir, évidem- ment. Et ce fut pour lui un bien mouvais quart d'heure. Quel spectede instructif et im- Prévu que celui de ce Plaidover prononcé aux fins d'acquittement Par un avocat coupable jadis de le même faute, et frappé déjà lui-me- me pour celle faute par les maines 'Juges devant les quels d défendait les autres 1 Co enfin, si M. Albert Sarraut fut exclu, il n o quelque temps, du parti radical, c'est bien pour s'être maintenu envers et contre tous danses Bloc National qu'il si cou- la le mois dernier ressusciter à Narbonne 1 Faire éteindre rincenche Par Tin- cendiaire, quelle drôle d'idée 1 Elle ne pouvait germer que dans les cervelles des radicaux audms M. MALES' CONTRE LE SARRAUTISME Mauvaise idée, uns suscita un cri de franchise, terrible et révélateur, de M. Matou. . e fa vois, proclama be Président de la commission des furanecs, qu'il y a ci deux politiques qui a affrontent n. Et de dégoût il s'en alla. Eh 1 oui I la sienne et celle des Sarraut. M Molay n'est pas un bleu de Paitique. Il y voit clair. Il ne parle pas à Po légère. La « Dépêche » de son café ne Publie pas des déclarations de ce £.74n en ignorant la Portée de UN DRAME CHU LES RADICAUX L'ELECTION DE NARBONNE EVOQUÉE AVANT-HIER SOIR RUE DE VALOIS --"" EXPLICATIONS PITEUSES ET CONSPUÉES DE M. ALBERT SARRAUT, QUI ACCUSE LA NARBONNAISE D'ETRE POURRIE M. MALVY SE DRESSE CONTRE LE SARRAUTISME Il est donc vrai que la politiqua sarrautiste et celle de M. Malvy s'affrontent. Cula veut dire qu'elles se heur- tent qu'elles sont en désaccard. Cela veut donc dire que celle des Sarraut est antisocialiste celle de Malvy est socialisante. Dont acte. Acte nouveau. Millième acte. Mais qui n en est pas moi. écla- tant Pour venir après tant d'autres. LE RESPONSABLE DU MAL En le retenant, retenons la pi- teuse explication fournie par M. Albert Sarraut des luttes entre de- mÉus je/muent piteuse. Mais par sturcrott fausse, COM/1/Q on s'en doute. NARBONNE u POURRIE ». A peine retiendrons-nous, pour mémoire la flatteuse appréciation de M Albert Sarraut sué le corps électom/ narbonnais. C'est, d'après fui, un monceau de pour-store. « Narbonne, a-t-il Et, est une cimonscription pourrie où pour pmti socialiste ne comptent ni les idées, ni les doctrines, mais .ule- ment 1n étroit. questions de per. sonnes. Si dans ces conditions noms avions. amené rios chefs là-bas, nous les aurions conduits dans un traquenard I Et nous nous sommes dit u Un jour prochain peut venir où la Répuhliome orna besoin de la collabc.ratnin de tc..s les forces d'avant-garde Alms ut, ,117 ser- rai pourri de Narbonne. nous lais- sons se livrer ana hatartia de chefs, une Lataille de niasses, nous ris- quons de creuser un fossé qui ne pourra jamais pl. être comblé nous risqua. de créer un état de choses nui retentira immédiatement sur la situation générale. Voilà la responsabilité <Me alma n'avons pas voulu prendre. Voilà pourquoi nous sommes allés à la bataille par nos mordes rnestena. Quand on songe que ces perdes sortent de /a bouche de M. Albert Sarraut, sont imprimées avec fierté par la s Dépêche» on ne peut s'empecher d'être effrayé Per r..- tensibiiité indéfinie des frontières du toupet. Ainsi, Léon Blum car c'était bien lui le candidat socialiste à Narbonne r c'est bien lus qui fai- sait sa campagne Léon Blum ne compte, d'après M. Albert Sarraut, ni avec les idées, ni avec les doc- tricot. 11 ne compta nus surs les étroites questions d« Péniennes Et c'est pour cela que les Sarraut n'ont pas voulu appeler les chefs de leur parti 1 0 logique f Que d'entorses l'in' Bige le proconsul des Hindous 1 Comme si la présence des chefs radicaux face à face avec Blum, ne constituait Pas au contraire le meilleur moyen d'atténuer ces pré- tendues tares du collège électoral. en remettant /es débats sur les plans &nés où lamais les Sarraut n'ont voulu les porter eux-mem. 1 Je comprends que ces déclara- Bons aient soulevé parmi les audi- teurs de M. Albert Sarraut avant- hier soir, rue de Valois autant de stupeur que d'indignation, LE POURRISSEUR CRAINT LE MEDECIN D'un monsieur qui VO. dirait Je n'ai pas fait venir le médecin auprès de mon client Parce qu'il était malade. J'ai préféré le faire soigner par ceux qui lui avaient inoculé le malt. que penseriez- VOUS ? Pensez la même chose de M. Al- ,bert Sarraut et comprenez du mg- L'Homme Libre (M. Eugène Landier) M. Poincaré dit o s Je ne sais encore m loura légi- times dems.ndes (celles des experts) recevront satisfaction. Jette sais même si l'expertise internationale aboutira à des conclusions nettes et définitives. Claservations : 1. Nul ne Peut saniePr:6teut tien de se substituer à M. Poincaré lorsqu'il hésite devant un pronos- Toutefois, puisqu'on n'est pas tenu à la même réserve et qu'un on ne veut point passer pour trop naît, On ne risque guère à prédire que /es experts ne se seront pas réunis en vain. Il faut aboutie, da-on. 11 In faut, en effet, pour le gouverne- ment qui attend d'une conclusion quelconque cm renouveau de pans- tige et quine leurre. 2° M. Poincaré doute si l'ex- puai.o internationale aboutira des conclusions nettes et dafiniti- v'Tnle>ite I C'est l'adjectif qu'il em- ployait déjà lorsqu'il réclamait une indemni.é nette s pour les répa- rations. Cette revendi.tion est déjà abandonnée, ou les mots n'ont aUCUT1 se.. Définitive / Mais raccord du 16 septembre à Genève, préface de la né nation prématurée, nous omettait un règlement e comp/et et défin' :f «, la liquidation de la guerre. ,éfinitif I Cd. dit rengagement solennel pris envers la France, ava- lisé par notre gouvernement en- vers atm peuple. C'était là le vrai mon .ient qu'on inaugurait, le mo- nument à l'avenir I 011 sais léen. Un La Roche- foucault disait à un roi de France que le m-t impossible n'est pas français. Il se nei:t ove le mot 'dé- finitif, ouand il s agit de tenir des PrOrleSSeS, ne toit pas ou ne sort pas encore très allemand Et je reviens à mon commence. ment ( pourquoi tant de hâte ? Pourquoi si peu de précautions en Ire alliés ? Pourquoi semer la déception, l'amertume, la ran- coeur ? Du Populaire (Bracke) No. n'avons pas le "choit d'oublier le nombre des marte cela est vrais SOCIALISTE Rédaction et Adaa;nistratiou r 38. Rue RogueLdne . TOULOUSE - Tél..-43 Co.pte Chèques pssuauur 5.077 512 BUREAUX A PARIS 3, Rue d'Atulaol.e. 3 (," A.rondissement) . Télénhone Centra! oo-o8 me coupla peur qui le tenaillait à la pensée que les Daladier, les Mill- au, les Herriot venant ici se pen- cher sur ce corps mm pourri e devi- paraient la personnalité du Pourris- risseur. Oh / oui ! ils l'auraient vus, la Pourriture 1 Mais ils auraient vu aussi les « poterie a et compris l'origine du mal. Si les inoculateurs sont vraiment les socialistes. Pourquoi donc nem, peur que ses amis de Paris et de PastOat co fissent la constatation S'il déplore que /a campagne fut trop rabaissée [ma questions di personnes, pourquoi ne Permit-ff Pas que les chefs, en venant, la transplantassent sur le terrain des idées ? Et s'ils n'avaient pa y parvenir de par flot, Jante quel sersice nous lui rendions en le faisant ob- server à ses arnis, pour nous perdre définitivement dans leur esprit et leur estime ? Mais on colt trop bien que les Sarraut n'ont voulu personne an- tour d'eux afin de cuisiner Plus à r Brullat Savarin laissait noir ses casseroles, ses fourneaux et ses eau, ces. Locuste jamais. Léon HUDE1 1 F. « Notre histoire dans l'Aude, ei..1 LES CITATIONS CI-DESSUS DU DISCOURS DE Id- ALBERT SAR- t-iJ dit, est dominée par la période I RAUT SONT EXTRAITES SANS COUPURES DE LA e DEPE- de 1900 à 1904 ou, contre l'a.ction I cHE s, EDITION DE TOULOUSE, PORTANT LA DATE DU JEUD/ de toutes les réactions coalmees, 12s m.., nous marchions derrière Waldeck- I Rou.eau et Combes avec Jamès, qui était alors le représentant du vieux socialisme traditionnel M. Albert Sarraut sait très bien que notre politique actuelle dans l'Aude, a lui, à ses amis et à nous, est dominée depuis vingt ans par ses ProPres extaiolfs. Sous Wahleck-Rousseau et Com- bes, socialistes et radicaux blo- quaient. C'est lui, Albert, crui su, venant soudain dans ta Politique audoise te tout bouleversé entrai- nant dès 1,107. son Parh son frère, son journal, derrière Clemenceau, derrière les cuirassiers meurtriers, contre Ferroul le libérateur u con- tre la C.G.V., contre les intérêts vitaux régionaux u Puis un peu Plus tard entraînant les inémes dèles aveueles derrière Poincaré, rexciusion. C'est lui qui, une fois chassé, a permis que la Fédération départe- mentale protestat contre sanctions si justes, et demandât ensuite sa réintégration pour lui permettre de continuer, chez nous comme à Pa- ris. touiours la niame besogne de désagrégation des gauches et de glissement vers les soutanes et les hobereaux. Voilà l'explication de la politi- que aucloise. S'il est vrai que nos querelles peuvent exercer .auelque influence sur la politique générale, le, reaPea- sable. le coupable, c est ilt1 tata ' seul. LA MiilihRN1SATION 11E 1,05 CHEMINS Iii( FER Intérieur d'une voiture métallique de truig,èce elasm sur le réseau da P.-0. liD DISCOURS DZ DOUAUANT Raison de plus, quand on an- nonce des intentions de Pri, Pour ne pae reproduire indéfiniment les mêmes ProPos eue la Eslen-' Hélas I c'est oublier les mortt que de ne rien faire Pour asmier aux génû.ations nouvelles que ne se reproduisit plus l'état de choses qua lem a lutnlrarucnt coute la vie. Du Journal des Débats : Les joie.nu aocislistes repro- chent à M. Poincaré de paner comme en 1919. Ils d.evraient bien noue dire en quoi l'histoire a changé. Ils devraient bien nous dire aussi en quoi l'attitude de r Me- magne s'est améliorée. Tome la politique cartellime, néfaste en tour abandons successifs et dans un affaiblimement méthodique de l'es- prit public. Les faits demeurent. En les rappelant, M. Poincaré rend service. Le jour où la nation fran- çaise aurait perdu la mémoire, elle plairait peut-être à l'Internationale, nuis elle perdrait le sens de /a vie. LE DISCOURS DE POINCARE EST VIVEMENT CRITIQUE EN ALLEMAGNE Berlin, 24 naai. Le discours Mie M. Poincaré a Pranamé hier à Douaumont est très commenté en Allemagne. Le e Berliner Tage- blatt reproche au Président da conseil français d'avoir voulu. par une déclaration relative aux répa- rations à aux origines de la guerre, détmire l'effet psychologique de l'admirable açoneil ga< ie mm Cusf- Zeppelin u d'eh en France, tandis que le a Wei-av.:erre s écrit que a le discours de Poincaré était pour le moins suPeellin L:organe socialiste ajoute que le ehe( du gouvernement 'français a voulu, à la dernière ennme, exer- cer. à Farde d'arguments politi- dnies, une pression sur les experts, éclare nue l'Allemagne n'a jamais refusé de réparer lee dommages cammaét par elle à /a France et à la Belgique, et coriclut en affirmant Son. comparé aux discours de GharribérY et de Gmeaseonne. qui avare. eté favorables au rappro- chement franco-allemand, le dis. cours de Douaumont constitue ire contestablement un pst on arrière. Des journalistes, çà! Georges Pioch (Soir) n'est Pas tendre pour les journalistes qui approuvent la manière PtéVentive d'agir de M. Chiappe Un préfet grâce à qui Guignol son César a. pour leur apprendre à fêter le Travail et le Printemps communiant dans l'homme, tait mettre main basse sur trms «Mlle quatre cents citoyens, trois mille quatre cents membres, donc, de ce publie pour lequel d semblerait que les journauo et les journalistes dussent être faits. A cette nou- velle. le chenil ne s'est plus tenu de joie. Et, dix-huit Jours après qu'ont été u appliqués u ainsi en France les droits de l'homme et du citoyen, la liesse dure encore. Ceux de Paris s'en sont les pas. miens donné à queue joie... Deux projets américains DE LA TBAAT,ESEE DE L'ATLANTIQUE L'aviateur Roger G, Williams, accompagné de Lewis Yancey, qui se prom.se de se rendre jusqu'à Rome en avios, est arrive' a Olu Orchard (Maine), venant de l'aéro- port de Peterbore (New Jersey/. D'autre part, Flamme Verte, 'aéroplane à bord duquel Martin Jensen battit le record de durée en val non accomrpagn.é, fera son plein d'essence en vue dû départ possible pour une traversée très prochaine de l'Atlantique. Une ovation à Blum Le smvies immense qua la Fédéra- tion de l'Aude, les Narbonnais ot no- tre camarade Montel ont rendu au Parlement en permettant /a rentrée de Léon Blum, ils peuvent le mesurer aujourolui par l'accueil que les dé- putés viennent de ménager au nou- veau député des vignero., en ce jour inaugural de le session estivale. Nous neparlons pas do notre groupe souis.listo. Mais bien de l'ensemble de Ia Chambra A peine notre éminent camarade ent41 franchi le seuil de la salle des é..rn eine des cris de Vive Blum Vive la -République I &Latent aussi bien dans la salle que dans les tri- bunes. Notre ami se dirige modestement vers la plaoe qu'il occupait aimera- vant, serrant quelques maine au pas- sage et répondant d'un geste et n'un sourire aux félicitations in- nombrables. Peu b peu et tandis qu'il gravit les gradins, l'ampleur dus applau- dissements s'accroit et c'est une vé- ritable ovation qui signale cotte rent rée. La grosse majorité dea radicaux et un grana nombre an centriste, st mêlent ostemiblement h cotte mani- festation, voulant ainsi honorer l'homme que lu Portement avait considéré OOMM.0 le ph. tune..., M'AI de sa dignité et de sa .1:13- eience oollectiva Notre ami est visiblement ému. Lee électeurs du Narbonne» en .ront flattés et fiers. Ce n'est p. Gourgou qui aurait été ainsi accueilli. Les Narbonnam ont beau être pourris r comme le pratmd M. AL but Sarraut, ils ont le droit On croire qu'ils n'ont pas du moins une ci rumrroiit.u.re shuisiourtoules. mpréds= soient pourris a aumi comme lui._ Quoiqu'il en soit, l'ovation se pro- longe, et M. Poincaré lui-minus, se trouvait ce moment a la tribune, n'en parait nul/muent offusqués Peu à peu le calme se rétablit, et la séanro se déroule sans incidents, com- me on le verra plus bas. . AU GROUPE Le Groupe socialiste parlemen- taire s'.t réuni ce matin, sou la présidence de Grumbach. Id a salué par de vives acclama- tions l'arrivée de Lion Mure, et Grumbach a affirmé la satisfaction de l'unanimité des membres de la rentrée de Léon Blum au Parlement. Vincent Auriol e donne sa demis- sion da seerétaire du Croupe pour offrir ce poste 4 Lona Blum. Mais, pour donner un caractère plus important encore au retour de Léon Blum au sels du Groupe, celui-oi, sur la proposition de liroe- eh s: eiitcddé d eeréerir sue re'tuZ aident, qu'il a confie unanimement à Léon "Num. A l'unanimité aga/amena Il re- fusé bk démission de Vlepeat Auriol Les Morts de Rhénanie assimilés aux victimes de la guerre )0( M. Pierre Anaidieu dru (Sou, dé, puté de Meurthe-et-Moselle, vient de déposer une proposition de loi aux termes de laquelle il demande crue les femmes, les enfants et les ascendante des militaires de Far- niée dru Rhin morts pendant la période de grandis froids, entre le ler janvier et le les mars 1929, bénéficient dus mêmes pensiom que ai ces militaires avaient pén à la guerre. Le député de la Meurthe-et- Moselle, par ailleurs, magère que les militanes tombée malades au cours de la même période et qui est t q és p tte ffecti soient traités exactement sur le Mame pied que les invalides de la grande guerre. On ne peut évidemmentq'ir- prouver la sollicitude de M. Pierre Amidieu du Cius pour les familles des soldats morts dans les déplo- rables conditions qu'on connaît, et pous les malheureux soldats qui. ayant souffert des mêmes négligcn- ces, ont survécu à leure.marades. Mais c'est une sollicitude bien tardive et qui du reste an Pont modifier en rien le sort des victi- mes auxquelles M. Amidieu du Clos s intérease, puisque les avan- tages qu'il réclame pour elles leur ont été spontanément accord.' s par le Gouvernement, avant anâme crie n intendnt à la Chambre la Texte de la proposition de réso/m /ion tendant à inviter le gouver nement à ouvrir /es négociations nécessaires pour que les Paie- ments de r Allemagne soient affectés par priorité à la restau- ration des régions dévastées, dé posée sur le bureau de la Cham bec le 23 mai 1929 par le Groupe socialiste avec demande de dis- cussion immédiate La Chambre, convaincue de le nécessité d'un règlement équitable et définitif qui puisse contribuer h la pacification générale et permette en particulier la cessation des occu- pations militaire, regrette cepen- dant que le gouvernemnt ait laissé ti ses délégués au Comité dee experts le tiller-té de proposer que la tran- saction porte sur la part die à la France et I la Belgique pour la re- construction des régions dévastées, champ de bataille commun à. tout. /es nations, a/ors qu'en équité com- me en droit les versements de l'Al- lemagne devraient être affectés par priorité à leur réparation intégrale. e Déclare que les réductions tran- sactionnel'ns devraient au con- traire, avoir pour objet les commu- nes dépenses nées de /a guerre et, par conséquent, porter sur le régie- ment général des dette, et créancm entre alliés. < Invite le gouvernement à s'eu- fendre avec les aMres puissances enropeen.nes pour soumettre cette Promosition au gouvernement des Etats-Unis. a Signale au président, au gou- vernement, an Parlement et an Peu- ple de la grande République améri- caine la situation de l'Europe, Para. lysee dans sa . vie économique et financière par l'effet des effroyables destructions de la Pure. « Fait a.ppel à leur- des réa- lités pour examiner s'l est Possible. sage et sans danger pour la civilisa- Son et pour l'é.nomie mondiale d'obliger .I'Europe à exporter, pen. dant de longues anisées, des gnon- litiu considérables d'or, alors ffl'elle subit de la part d. Etats-Unis eux- mêmes le concurrence d'une pro- duction grevée de moindres charges et protégée par des barrières doua- nières élevées. Se déclare prête h participer à tous les efforts des Etats-Unis en vue du désuanemeet gênerai, dont le Parlement français s'engage poux Sa part à obtenir la réalisation Ma' thealisfue et progressive dem I. plus bref délai p.siblu Compte sur la sondarité de le ElPeldiple einetX4d0 Bite. !ith»J- oonclusion des débats institués sur les événements de Rhénanie. La Ligue des Droits de l'Homme a dû, il y a quelques semaines, re- commander à l'attentien du minis- tre la mère d'un des soldats de leu, nuée du Rhin morts l'hiver dernier, qui sollicitait une pension. Le mi- nistre répondit que le droit à la pension allait de soi. et que la requérante n'avait qu à constituer son dossier. Ce qui indique bien que les engagements pris devant la Cl/ambre ne sont pas protestés. Quant à l'extension aux malades survivanto. des avantages accordés bl t 41' d I eu ' elle est également réalisée et d'ail- leurs, ainsi qu'on noun le rappuait ce matin au ministère de la guerre. c'est là le pur et simPle droit com- mun, puisque mute affection con- tractée en service et qui, par ses conséquences, entraîne la réforme. donne lieu à une pension proue., timmelle au clearé Tout au plus, donc, reste-t-d à M. Amidiem du Clos à souhaiter que la mention « Mort pour la France a soit inscrite en marge de acte de décès des,aoldats morts On eût préféré que la mention « Destitué pour névbaence graver dans son service a fût inscrite sur le livret de tous les chefs coupa. bics. et liti a demande de conserver sel ter cette tinChe.b humaine ou, ollab. fonctions de sisorétalee général. rant l,organisaou imm a:fere et Groupe a décidé ensuite, sur la économique da l'Europe, qua PrePas proposition de Vincent Auriol, de sera l'organisation générale de la deposer mimai il hui naème sur le. bureau de la Chambre une Mune:si-- fion de résolution concernant les travaux du Comité ode, expert.... ms divLere de.'dpu.sees et a désigné ses orateurs pour iatervei nie dans les débats. Il s'est montre, comme tes deux soires groupes de l'opposition, résolu à denmnder la disc.sion immédiate des intmpella- lions sua le té' mai. LA SÉANC Fernand Bouiisé, ni: mi fau- teuit à t heinra préchiss danse lecture des demandes d'interpella- tion survenue, depuis la dernière séance et qui s'ajoutent à sellée qui étaient déjà déposa.. /1 résulte qu'en fait tous lina dredis jusqu'à la fin de la sessinn, terne/lotions antérieur. au congé que vient de prend. la Chambre. POINOABB. Je suppose quo la Charoffire voudra, comme d'usage, ne consacrer que les spres-midi vendredi aux interpellations, toutes les autres séances étant consacrées aux travaux 14islatifs. (Adhésion générale.) A es moment Léon Blum entre et est reçu comme nous l'avons plus hant indique. M. POINOARD. Je provo o qu'en principe l'ordre fixe dein Potte les interpellations goit (Très bien h Mais on pomrrait faire une 00001'- Itou pour demain, eh. MM M. Pain- levé puisse., comme il y tient abso- lument., s'expliquer sur les inci- dents du campe de Chatons et les faits reprochés au médecin chef LES INCIDENTS DU ler val Guermrt rdolame fa journée di demain pour son Interpellation leur le tes' mal et les arrestationu prés vasgtien lenhé44 25 CENT. S'ENI/RUS 24 MAI 1525 NOUS SIGNALONS A TOUTE LA NARBONNAISE LNNSULT, DONT VIENT DE LA GRATIFIER M. ALBER r SARRAUT, QUI L'A TRAITEE, A PARIS, EN PUBLIÉ', DE POURRIE ». PARCE QU'ELLE A VOTE ROUGE AU LIEU DE VOTER AVEC LES CURÉS I La rentrée de la Chambre UNE OVATION A LEON BLUM LE CROUPE PARLEMENTAIRE SOCIALISTE LE NOMME SON PRES/DENT VINCENT AURIOL RESTANT SON SECRÉTAIRE LE GROUPE DÉPOSE UNE MOTION RELATIVE AUX PAIEMENTS DE L'ALLEMAGNE Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Page 1: La rentrée de la Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/B... · Quand on songe que ces perdes ... ni avec les idées, ni avec les doc-tricot. 11 ne compta nus

AISER.IL ILSSII

ABONNEMENTS8 Mois 18 fr.; 6 mois 346e.; 1 an 61 fr.

Ce fut un drame véritable quecette réunion nocturne du comitéexécutil radical.

Et ss nul n'en mourut, beaucoupy furent blessés dont la guérisonsera lente.

On y Parla de l'élection de ('dur.

Ce sujet, épineux Par loi-meme,y fut traité par... M. Albert Sar-raut.

L'INCENDIAIRE FAITPOMPIER

C'était vouloir Provoquer une ex-plosion

M. Albert Sarraut toujours Por-teur de Poudre inflammable et depétards sensibles à l'extrême, n'a

ri.: manqué de Provoquer l'inévita-

Insultant les socialistes blâmantles radicaux susPects de sinnPathie

notre égard approudant les in-fâmes coalitions de ses vassaux

narbonnais, rhornme qui voyageadans le même train eau M. Ca'

in suscita parmi 8. Priim une ef-rvescence telle que la cotastro-

phique scission parut un long mo-ment inéluctable et qu'elle Paraitencore probable, entre les sarrau-listes uniquement arrimés de la hai-ne des socialistes, et les rnalmotesplus soucieux de l'avenir de la dé-mocratie et moins oublieux du pas-âé.

La lecture ineme de la u Dépe-che n d'hier matin, pour les Audoiset les Garonnais au courant de sescapacités de mensonge, suffit a fai-re comprendre que ses amis et ellemême furent ma/menés et con/eusenient enguirlandés au cours decette assemblée qui clans la nuit demercredi à jeudi devait cimenter,è lu veine de la rentrée, /*accotades `diverses tendances radicales.

Si la » Dépé'che vous le laisseentendre soyez persuadés que celut Plus fort, que vous ne POUVCS

M. Albert Sarraut qui connaîtnotre bassesse d'esprit puisqu'il aen l'occasion de la dénoncer, nesera pas surpris en aPPreaantpar nos soins joie que neuadonne un peu sa déconfiture, etsurtout la constatation que tous sescorreligionnaires ne lui ressemblentPas.

Habitué à Parler en seigneur su-ierain devant des vassaux courti-sans, il lut avant hier soir très vitefroissé, puis irrité devant un audi-toire oit les hommes clairvoyants etde bon sens se trouveient plus nom-nombreux que ses créatures, et oùiln'y avait pas d'Indochinois.

Il le Prit de haut.Il le prit mal. Et on le prit mal.Il s enteta. Et on se lâcha.MM. Melun, ses amis elles amis

rde MM. D'Asam et Caillaux signi-fier, nt à l'ancras vice-roi quedans cette assemblée il ne ériges-sait Pas de Placer des bureaux teetabac.

Personne n'en demandait; tout lemonde pouvant en donner commelui.

On demandait une justification'de son attitude et de l'attitude desradicaux à Narbonne devant Blum

III n'e pouvait fournir, évidem-ment. Et ce fut pour lui un bienmouvais quart d'heure.

Quel spectede instructif et im-Prévu que celui de ce Plaidoverprononcé aux fins d'acquittementPar un avocat coupable jadis de lemême faute, et frappé déjà lui-me-me pour celle faute par les maines'Juges devant les quels d défendaitles autres 1

Co enfin, si M. Albert Sarrautfut exclu, il n o quelque temps, duparti radical, c'est bien pour s'êtremaintenu envers et contre tousdanses Bloc National qu'il si cou-la le mois dernier ressusciter àNarbonne 1

Faire éteindre rincenche Par Tin-cendiaire, quelle drôle d'idée 1

Elle ne pouvait germer que dansles cervelles des radicaux audms

M. MALES' CONTRELE SARRAUTISME

Mauvaise idée, uns suscita un cride franchise, terrible et révélateur,de M. Matou.

.

e fa vois, proclama be Présidentde la commission des furanecs,qu'il y a ci deux politiques quia affrontent n.

Et de dégoût il s'en alla.Eh 1 oui I la sienne et celle des

Sarraut.M Molay n'est pas un bleu dePaitique.

Il y voit clair. Il ne parle pas àPo légère.

La « Dépêche » de son café nePublie pas des déclarations de ce£.74n en ignorant la Portée de

UN DRAME CHU LES RADICAUXL'ELECTION DE NARBONNE EVOQUÉE AVANT-HIER SOIR RUE DE VALOIS --""

EXPLICATIONS PITEUSES ET CONSPUÉES DE M. ALBERT SARRAUT, QUI ACCUSE LA

NARBONNAISE D'ETRE POURRIE

M. MALVY SE DRESSE CONTRE LE SARRAUTISME

Il est donc vrai que la politiquasarrautiste et celle de M. Malvys'affrontent.

Cula veut dire qu'elles se heur-tent qu'elles sont en désaccard.

Cela veut donc dire que celle desSarraut est antisocialistecelle de Malvy est socialisante.

Dont acte.Acte nouveau. Millième acte.

Mais qui n en est pas moi. écla-tant Pour venir après tant d'autres.

LE RESPONSABLE DU MALEn le retenant, retenons la pi-

teuse explication fournie par M.Albert Sarraut des luttes entre de-

mÉus je/muent piteuse. Mais parsturcrott fausse, COM/1/Q on s'en

doute.

NARBONNE u POURRIE ».

A peine retiendrons-nous, pourmémoire la flatteuse appréciationde M Albert Sarraut sué le corpsélectom/ narbonnais. C'est, d'après

fui, un monceau de pour-store.

« Narbonne, a-t-il Et, est unecimonscription pourrie où pourpmti socialiste ne comptent ni lesidées, ni les doctrines, mais .ule-ment 1n étroit. questions de per.sonnes. Si dans ces conditions nomsavions. amené rios chefs là-bas,nous les aurions conduits dans untraquenard I Et nous nous sommesdit u Un jour prochain peut veniroù la Répuhliome orna besoin de lacollabc.ratnin de tc..s les forcesd'avant-garde Alms ut, ,117 ser-

rai pourri de Narbonne. nous lais-sons se livrer ana hatartia de chefs,une Lataille de niasses, nous ris-quons de creuser un fossé qui nepourra jamais pl. être comblénous risqua. de créer un état dechoses nui retentira immédiatementsur la situation générale.

Voilà la responsabilité <Me alman'avons pas voulu prendre. Voilàpourquoi nous sommes allés à labataille par nos mordes rnestena.

Quand on songe que ces perdessortent de /a bouche de M. AlbertSarraut, sont imprimées avec fiertépar la s Dépêche» on ne peuts'empecher d'être effrayé Per r..-tensibiiité indéfinie des frontièresdu toupet.

Ainsi, Léon Blum car c'étaitbien lui le candidat socialiste àNarbonne r c'est bien lus qui fai-sait sa campagne Léon Blum necompte, d'après M. Albert Sarraut,ni avec les idées, ni avec les doc-tricot. 11 ne compta nus surs lesétroites questions d« Péniennes

Et c'est pour cela que les Sarrautn'ont pas voulu appeler les chefsde leur parti 1

0 logique f Que d'entorses l'in'Bige le proconsul des Hindous 1

Comme si la présence des chefsradicaux face à face avec Blum,ne constituait Pas au contraire le

meilleur moyen d'atténuer ces pré-tendues tares du collège électoral.en remettant /es débats sur les plans

&nés où lamais les Sarraut n'ontvoulu les porter eux-mem. 1

Je comprends que ces déclara-Bons aient soulevé parmi les audi-teurs de M. Albert Sarraut avant-hier soir, rue de Valois autant destupeur que d'indignation,

LE POURRISSEUR CRAINTLE MEDECIN

D'un monsieur qui VO. diraitJe n'ai pas fait venir le médecin

auprès de mon client Parce qu'ilétait malade. J'ai préféré le fairesoigner par ceux qui lui avaientinoculé le malt. que penseriez-VOUS ?

Pensez la même chose de M. Al-,bert Sarraut et comprenez du mg-

L'Homme Libre (M. EugèneLandier)

M. Poincaré dit os Je ne sais encore m loura légi-

times dems.ndes (celles des experts)recevront satisfaction. Jette saismême si l'expertise internationaleaboutira à des conclusions nettes etdéfinitives.

Claservations :1. Nul ne Peut saniePr:6teut

tien de se substituer à M. Poincarélorsqu'il hésite devant un pronos-

Toutefois, puisqu'on n'est pastenu à la même réserve et qu'unonne veut point passer pour trop naît,On ne risque guère à prédire que/es experts ne se seront pas réunisen vain. Il faut aboutie, da-on. 11In faut, en effet, pour le gouverne-ment qui attend d'une conclusionquelconque cm renouveau de pans-tige et quine leurre.

2° M. Poincaré doute si l'ex-puai.o internationale aboutirades conclusions nettes et dafiniti-

v'Tnle>ite I C'est l'adjectif qu'il em-ployait déjà lorsqu'il réclamait une

indemni.é nette s pour les répa-rations. Cette revendi.tion estdéjà abandonnée, ou les mots n'ontaUCUT1 se..

Définitive / Mais raccord du16 septembre à Genève, préfacede la né nation prématurée, nous

omettait un règlement e comp/etet défin' :f «, la liquidation de laguerre.

,éfinitif I Cd. dit rengagementsolennel pris envers la France, ava-lisé par notre gouvernement en-vers atm peuple. C'était là le vraimon .ient qu'on inaugurait, le mo-nument à l'avenir I

011 sais léen. Un La Roche-foucault disait à un roi de Franceque le m-t impossible n'est pasfrançais. Il se nei:t ove le mot 'dé-finitif, ouand il s agit de tenir desPrOrleSSeS, ne toit pas ou ne sortpas encore très allemand

Et je reviens à mon commence.ment ( pourquoi tant de hâte ?Pourquoi si peu de précautions enIre alliés ? Pourquoi semer ladéception, l'amertume, la ran-coeur ?

Du Populaire (Bracke)No. n'avons pas le "choit

d'oublier le nombre des martecela est vrais

SOCIALISTERédaction et Adaa;nistratiou r 38. Rue RogueLdne . TOULOUSE - Tél..-43 Co.pte Chèques pssuauur 5.077

512 BUREAUX A PARIS 3, Rue d'Atulaol.e. 3 (," A.rondissement) . Télénhone Centra! oo-o8

me coupla peur qui le tenaillait àla pensée que les Daladier, les Mill-au, les Herriot venant ici se pen-cher sur ce corps mm pourri e devi-paraient la personnalité du Pourris-risseur.

Oh / oui ! ils l'auraient vus, laPourriture 1 Mais ils auraient vuaussi les « poterie a et comprisl'origine du mal.

Si les inoculateurs sont vraimentles socialistes. Pourquoi donc nem,

peur que ses amis de Paris et dePastOat co fissent la constatation

S'il déplore que /a campagne futtrop rabaissée [ma questions dipersonnes, pourquoi ne Permit-ffPas que les chefs, en venant, latransplantassent sur le terrain desidées ?

Et s'ils n'avaient pa y parvenirde par flot, Jante quel sersicenous lui rendions en le faisant ob-server à ses arnis, pour nous perdredéfinitivement dans leur esprit etleur estime ?

Mais on colt trop bien que lesSarraut n'ont voulu personne an-tour d'eux afin de cuisiner Plus àr

Brullat Savarin laissait noir sescasseroles, ses fourneaux et ses eau,ces.

Locuste jamais.Léon HUDE1 1 F.

« Notre histoire dans l'Aude, ei..1 LES CITATIONS CI-DESSUS DU DISCOURS DE Id- ALBERT SAR-t-iJ dit, est dominée par la période I RAUT SONT EXTRAITES SANS COUPURES DE LA e DEPE-de 1900 à 1904 ou, contre l'a.ction I cHE s, EDITION DE TOULOUSE, PORTANT LA DATE DU JEUD/de toutes les réactions coalmees, 12s m..,nous marchions derrière Waldeck- IRou.eau et Combes avec Jamès,qui était alors le représentant duvieux socialisme traditionnel

M. Albert Sarraut sait très bienque notre politique actuelle dansl'Aude, a lui, à ses amis et à nous,est dominée depuis vingt ans parses ProPres extaiolfs.

Sous Wahleck-Rousseau et Com-bes, socialistes et radicaux blo-quaient. C'est lui, Albert, crui su,venant soudain dans ta Politiqueaudoise te tout bouleversé entrai-nant dès 1,107. son Parh son frère,son journal, derrière Clemenceau,derrière les cuirassiers meurtriers,contre Ferroul le libérateur u con-tre la C.G.V., contre les intérêtsvitaux régionaux u Puis un peuPlus tard entraînant les inémesdèles aveueles derrière Poincaré,

rexciusion.C'est lui qui, une fois chassé, a

permis que la Fédération départe-mentale protestat contre sanctionssi justes, et demandât ensuite saréintégration pour lui permettre decontinuer, chez nous comme à Pa-ris. touiours la niame besogne dedésagrégation des gauches et deglissement vers les soutanes et leshobereaux.

Voilà l'explication de la politi-que aucloise.

S'il est vrai que nos querellespeuvent exercer .auelque influencesur la politique générale, le, reaPea-sable. le coupable, c est ilt1 tata

' seul.

LA MiilihRN1SATION 11E 1,05 CHEMINS Iii( FERIntérieur d'une voiture métallique de truig,èce elasm sur le réseau da P.-0.

liD DISCOURS DZ DOUAUANT

Raison de plus, quand on an-nonce des intentions de Pri, Pourne pae reproduire indéfiniment lesmêmes ProPos eue la Eslen-'

Hélas I c'est oublier les morttque de ne rien faire Pour asmieraux génû.ations nouvelles que nese reproduisit plus l'état de chosesqua lem a lutnlrarucnt coute la vie.

Du Journal des Débats :

Les joie.nu aocislistes repro-chent à M. Poincaré de panercomme en 1919. Ils d.evraient biennoue dire en quoi l'histoire achangé. Ils devraient bien nous direaussi en quoi l'attitude de r Me-magne s'est améliorée. Tome lapolitique cartellime, néfaste en tourabandons successifs et dans unaffaiblimement méthodique de l'es-prit public. Les faits demeurent.En les rappelant, M. Poincaré rendservice. Le jour où la nation fran-çaise aurait perdu la mémoire, elleplairait peut-être à l'Internationale,nuis elle perdrait le sens de /a vie.

LE DISCOURS DE POINCAREEST VIVEMENT CRITIQUE EN

ALLEMAGNEBerlin, 24 naai. Le discours

Mie M. Poincaré a Pranamé hierà Douaumont est très commentéen Allemagne. Le e Berliner Tage-blatt reproche au Président daconseil français d'avoir voulu. parune déclaration relative aux répa-rations à aux origines de la guerre,détmire l'effet psychologique del'admirable açoneil ga< ie mm Cusf-Zeppelin u d'eh en France, tandisque le a Wei-av.:erre s écrit que a lediscours de Poincaré était pour lemoins suPeellin

L:organe socialiste ajoute que leehe( du gouvernement 'français avoulu, à la dernière ennme, exer-cer. à Farde d'arguments politi-

dnies,une pression sur les experts,

éclare nue l'Allemagne n'a jamaisrefusé de réparer lee dommagescammaét par elle à /a France et à laBelgique, et coriclut en affirmantSon. comparé aux discours deGharribérY et de Gmeaseonne. quiavare. eté favorables au rappro-chement franco-allemand, le dis.cours de Douaumont constitue irecontestablement un pst on arrière.

Des journalistes, çà!

Georges Pioch (Soir) n'est Pastendre pour les journalistes quiapprouvent la manière PtéVentived'agir de M. Chiappe

Un préfet grâce à qui Guignolson César a. pour leur apprendre àfêter le Travail et le Printempscommuniant dans l'homme, taitmettre main basse sur trms «Mllequatre cents citoyens, trois millequatre cents membres, donc, de cepublie pour lequel d sembleraitque les journauo et les journalistesdussent être faits. A cette nou-velle. le chenil ne s'est plus tenude joie. Et, dix-huit Jours aprèsqu'ont été u appliqués u ainsi enFrance les droits de l'homme et ducitoyen, la liesse dure encore.Ceux de Paris s'en sont les pas.miens donné à queue joie...

Deux projets américainsDE LA TBAAT,ESEE

DE L'ATLANTIQUE

L'aviateur Roger G, Williams,accompagné de Lewis Yancey, quise prom.se de se rendre jusqu'àRome en avios, est arrive' a OluOrchard (Maine), venant de l'aéro-port de Peterbore (New Jersey/.

D'autre part, Flamme Verte,'aéroplane à bord duquel Martin

Jensen battit le record de durée enval non accomrpagn.é, fera sonplein d'essence en vue dû départpossible pour une traversée trèsprochaine de l'Atlantique.

Une ovation à BlumLe smvies immense qua la Fédéra-

tion de l'Aude, les Narbonnais ot no-tre camarade Montel ont rendu auParlement en permettant /a rentréede Léon Blum, ils peuvent le mesureraujourolui par l'accueil que les dé-putés viennent de ménager au nou-veau député des vignero., en ce jourinaugural de le session estivale.

Nous neparlons pas do notregroupe souis.listo.

Mais bien de l'ensemble de IaChambra

A peine notre éminent camaradeent41 franchi le seuil de la salle desé..rn eine des cris de Vive Blum

Vive la -République I &Latent aussibien dans la salle que dans les tri-bunes.

Notre ami se dirige modestementvers la plaoe qu'il occupait aimera-vant, serrant quelques maine au pas-sage et répondant d'un geste etn'un sourire aux félicitations in-nombrables.

Peu b peu et tandis qu'il gravitles gradins, l'ampleur dus applau-dissements s'accroit et c'est une vé-ritable ovation qui signale cotterent rée.

La grosse majorité dea radicaux etun grana nombre an centriste, stmêlent ostemiblement h cotte mani-festation, voulant ainsi honorerl'homme que lu Portement avaitconsidéré OOMM.0 le ph. tune...,M'AI de sa dignité et de sa .1:13-eience oollectiva

Notre ami est visiblement ému.Lee électeurs du Narbonne» en

.ront flattés et fiers.Ce n'est p. Gourgou qui aurait

été ainsi accueilli.Les Narbonnam ont beau êtrepourris r comme le pratmd M. AL

but Sarraut, ils ont le droit Oncroire qu'ils n'ont pas du moins uneci rumrroiit.u.re shuisiourtoules. mpréds=

soient pourris a aumi comme lui._Quoiqu'il en soit, l'ovation se pro-

longe, et M. Poincaré lui-minus,se trouvait ce moment a la tribune,n'en parait nul/muent offusqués

Peu à peu le calme se rétablit, et laséanro se déroule sans incidents, com-me on le verra plus bas. .

AU GROUPELe Groupe socialiste parlemen-

taire s'.t réuni ce matin, sou laprésidence de Grumbach.

Id a salué par de vives acclama-tions l'arrivée de Lion Mure, etGrumbach a affirmé la satisfactionde l'unanimité des membres de larentrée de Léon Blum au Parlement.

Vincent Auriol e donne sa demis-sion da seerétaire du Croupe pouroffrir ce poste 4 Lona Blum.

Mais, pour donner un caractèreplus important encore au retour deLéon Blum au sels du Groupe,celui-oi, sur la proposition de

liroe-eh s: eiitcddé deeréerirsue

re'tuZaident, qu'il a confie unanimementà Léon "Num.

A l'unanimité aga/amena Il re-fusé bk démission de Vlepeat Auriol

Les Morts de Rhénanie

assimilés aux victimes de la guerre)0(

M. Pierre Anaidieu dru (Sou, dé,puté de Meurthe-et-Moselle, vientde déposer une proposition de loiaux termes de laquelle il demandecrue les femmes, les enfants et lesascendante des militaires de Far-niée dru Rhin morts pendant lapériode de grandis froids, entre leler janvier et le les mars 1929,bénéficient dus mêmes pensiomque ai ces militaires avaient pén àla guerre.

Le député de la Meurthe-et-Moselle, par ailleurs, magère queles militanes tombée malades aucours de la même période et quiest t q és p tte ffecti

soient traités exactement sur leMame pied que les invalides de lagrande guerre.

On ne peut évidemmentq'ir-prouver la sollicitude de M. PierreAmidieu du Cius pour les famillesdes soldats morts dans les déplo-rables conditions qu'on connaît, etpous les malheureux soldats qui.ayant souffert des mêmes négligcn-ces, ont survécu à leure.marades.

Mais c'est une sollicitude bientardive et qui du reste an Pontmodifier en rien le sort des victi-mes auxquelles M. Amidieu duClos s intérease, puisque les avan-tages qu'il réclame pour elles leuront été spontanément accord.' spar le Gouvernement, avant anâmecrie n intendnt à la Chambre la

Texte de la proposition de réso/m/ion tendant à inviter le gouvernement à ouvrir /es négociationsnécessaires pour que les Paie-ments de r Allemagne soientaffectés par priorité à la restau-ration des régions dévastées, déposée sur le bureau de la Chambec le 23 mai 1929 par le Groupesocialiste avec demande de dis-cussion immédiate

La Chambre, convaincue de lenécessité d'un règlement équitableet définitif qui puisse contribuer hla pacification générale et permetteen particulier la cessation des occu-pations militaire, regrette cepen-dant que le gouvernemnt ait laisséti ses délégués au Comité dee expertsle tiller-té de proposer que la tran-saction porte sur la part die à laFrance et I la Belgique pour la re-construction des régions dévastées,champ de bataille commun à. tout./es nations, a/ors qu'en équité com-me en droit les versements de l'Al-lemagne devraient être affectés parpriorité à leur réparation intégrale.

e Déclare que les réductions tran-sactionnel'ns devraient au con-traire, avoir pour objet les commu-nes dépenses nées de /a guerre et,par conséquent, porter sur le régie-ment général des dette, et créancmentre alliés.

< Invite le gouvernement à s'eu-fendre avec les aMres puissancesenropeen.nes pour soumettre cettePromosition au gouvernement desEtats-Unis.

a Signale au président, au gou-vernement, an Parlement et an Peu-ple de la grande République améri-caine la situation de l'Europe, Para.lysee dans sa . vie économique etfinancière par l'effet des effroyablesdestructions de la Pure.

« Fait a.ppel à leur- des réa-lités pour examiner s'l est Possible.sage et sans danger pour la civilisa-Son et pour l'é.nomie mondialed'obliger .I'Europe à exporter, pen.dant de longues anisées, des gnon-litiu considérables d'or, alors ffl'ellesubit de la part d. Etats-Unis eux-mêmes le concurrence d'une pro-duction grevée de moindres chargeset protégée par des barrières doua-nières élevées.

Se déclare prête h participer àtous les efforts des Etats-Unis envue du désuanemeet gênerai, dontle Parlement français s'engage pouxSa part à obtenir la réalisation Ma'thealisfue et progressive dem I.plus bref délai p.siblu

Compte sur la sondarité de leElPeldiple einetX4d0 Bite. !ith»J-

oonclusion des débats institués surles événements de Rhénanie.

La Ligue des Droits de l'Hommea dû, il y a quelques semaines, re-commander à l'attentien du minis-tre la mère d'un des soldats de leu,nuée du Rhin morts l'hiver dernier,qui sollicitait une pension. Le mi-nistre répondit que le droit à lapension allait de soi. et que larequérante n'avait qu à constituerson dossier. Ce qui indique bienque les engagements pris devant laCl/ambre ne sont pas protestés.

Quant à l'extension aux maladessurvivanto. des avantages accordés

bl t 41' d I eu'

elle est également réalisée et d'ail-leurs, ainsi qu'on noun le rappuaitce matin au ministère de la guerre.c'est là le pur et simPle droit com-mun, puisque mute affection con-tractée en service et qui, par sesconséquences, entraîne la réforme.donne lieu à une pension proue.,timmelle au clearé

Tout au plus, donc, reste-t-d àM. Amidiem du Clos à souhaiterque la mention « Mort pour laFrance a soit inscrite en marge de

acte de décès des,aoldats morts

On eût préféré que la mention« Destitué pour névbaence graverdans son service a fût inscrite surle livret de tous les chefs coupa.bics.

et liti a demande de conserver sel ter cette tinChe.bhumaine ou, ollab.fonctions de sisorétalee général. rant l,organisaou imma:fere et

Groupe a décidé ensuite, sur la économique da l'Europe, qua PrePasproposition de Vincent Auriol, de sera l'organisation générale de ladeposer mimai il hui naème sur le.bureau de la Chambre une Mune:si--fion de résolution concernant lestravaux du Comité ode, expert....ms

divLere de.'dpu.sees eta désigné ses orateurs pour iaterveinie dans les débats. Il s'est montre,comme tes deux soires groupes del'opposition, résolu à denmnder ladisc.sion immédiate des intmpella-lions sua le té' mai.

LA SÉANCFernand Bouiisé, ni: mi fau-

teuit à t heinra préchiss danselecture des demandes d'interpella-tion survenue, depuis la dernièreséance et qui s'ajoutent à sellée quiétaient déjà déposa..

/1 résulte qu'en fait tous linadredis jusqu'à la fin de la sessinn,

terne/lotions antérieur. au congéque vient de prend. la Chambre.

POINOABB. Je suppose quola Charoffire voudra, comme d'usage,ne consacrer que les spres-midivendredi aux interpellations, toutesles autres séances étant consacréesaux travaux 14islatifs. (Adhésiongénérale.)

A es moment Léon Blum entre etest reçu comme nous l'avons plushant indique.

M. POINOARD. Je provo oqu'en principe l'ordre fixe deinPotte les interpellations goit(Très bien h

Mais on pomrrait faire une 00001'-Itou pour demain, eh. MM M. Pain-levé puisse., comme il y tient abso-lument., s'expliquer sur les inci-dents du campe de Chatons et lesfaits reprochés au médecin chef

LES INCIDENTS DU ler valGuermrt rdolame fa journée di

demain pour son Interpellation leurle tes' mal et les arrestationu présvasgtien lenhé44

25 CENT. S'ENI/RUS 24 MAI 1525

NOUS SIGNALONS A TOUTE LA NARBONNAISE

LNNSULT, DONT VIENT DE LA GRATIFIERM. ALBER r SARRAUT, QUI L'A TRAITEE, A PARIS,

EN PUBLIÉ', DE POURRIE ».

PARCE QU'ELLE A VOTE ROUGE AU LIEU DEVOTER AVEC LES CURÉS I

La rentrée de la ChambreUNE OVATION A LEON BLUM

LE CROUPE PARLEMENTAIRE SOCIALISTE LE NOMME SON PRES/DENTVINCENT AURIOL RESTANT SON SECRÉTAIRE

LE GROUPE DÉPOSE UNE MOTION RELATIVE AUX PAIEMENTS DE L'ALLEMAGNE

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: La rentrée de la Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/B... · Quand on songe que ces perdes ... ni avec les idées, ni avec les doc-tricot. 11 ne compta nus

l'are minietre de l'inreunpour iesurer l'ordre public. L TiONS ANGLidize:e.J

ALBEICIAN. - M. Tardi. mtcourageux. Il sait prendre la ms-nosbilite de ses mire. Il ne vou-

ar."'" gg' ELUS AVANT LE SCRUTINyeua-af M'un paria du ler mai PutMéo ou demain, ou au plus tard

vendredi prochain, mais pas audel. de Cette date I Trois nulleoing cents arrestations préventives,trois poursuites en tout. Pas un dé-lit de port d'arme prohibée. Celajuge guerre arrestations ont eud/inedmissible. (Applaudissements hgauche.) Nous aimons mieux la li-berté aveo tous ses excès possiblesque le système Tardieu. (Très lient

gauche. Bruit au centre et àdr. te.)

M. Tardieu, ministre de l'inté-rieur, monte h. la tribune.

M. TARDIEU. - Je ne parleraiut plus longtemps que les autres

...lieurs. Pas Pim jebUrderai le fond. Il est de traditionqu'un ministre de l'intérieur mitinterpellé eu le ler mai. Mals oninterpelle d'habitude sur ce quis'est passé. Je MM interpelle, sur nequi ne s'est pas passé. Je comprends

ILS N'AURAIENT RASDE CONCURRENTS

Londres, 24 mai. - Rumina-tins Dar » s'est Passé dans tom leMY, hier, sans incident et riaoccasionné aucune suepose nota-hie.

Au total, 1.724 candidats se sontprésentés devant Les a Reterningofficirocades diverses circonscrip-tions et ont, de ce fait, versé lecautionnement de 150 livres, aprèsavoir été dûment proposés rase.oundés par d.eux électeurs.

Le premier résultat des électionseet maintenant connu, à savOir Septdéclarés élus sans concurrents. Cesont ; le capitaine Froy, speaker

,11.0 M....ohm, qui, corn./ chut de la Crnbre des Communes, au-d'un parti de désordre, se plaigne quel, selon une loi non écrite, ildes arrestationn serait sacrilège de faire opposition;

M. CACHIN.-- Je ne m'en plaints M. ffi, D. O'Comms, n Père de laChambre desM. TARDIEU. - Le parti comma.

Communes a, ainsipapppé par, ,e1 a siégé pluepiste emit eu l'obligeance de pave- iongmm,ps que n importe quel au.deee journaux spéciaux qu'il tre, et se ;use a ssuaitedisuait

galle de la rue. Sur le Me m., concurrent. Ceint ci s est désisté hde cette conquête, pas d'esitatlen la dernière heure, peut Mer devant8. avoir. Céleri la bataille dans la l'indignation de l'opinion publique:rue. Des blessés et des tuée vernis in cer,,mehe Dunglasen Me nistre des mines dont 1a Limons,

CACHIN. - 11 Y dit un Tent' cription de South Caddie ton,tordent tiré

paU. -r ie Londbla

res, sans doute 'étéjugénionsM. TARDIEeNoue Inattaquae l'opposition. Lsvoulu einieher le lutour dee Mua .e

stes de tele. quatre autres élus représentent touLP gouvernement n'est Ma hm- le nord ale rldeede deux cancer-

tile h ce que le ter mai soli une vete.s (Universités de Belfast etd'Ate du Musai/, il a tait ie neeeg- de Londonderry/ et dem ratines,taire pour que en ne suit P. eu listes dont la cimonacription a deuxjournée d'émeute.

entre les MM, membres ; Ferme/me et Tyrone.fies expileallspelleteurs et moi durent depuis unwoment. Lee potnie dee Vile se sarii parfaitement expoals et oppfésQu'une Interpellation est Mutile Jedemandai la renvoi de l'inteep011atien

la suite.Sur lo renvoi de Pinterpadiation

à la suite, je pose la qu destion a

centime. (Applaudissements nieentre et h Mottr.1

Iiinterpelledion est renvokU cl laCairn par alla rois contre PM.

hl. /Mouret mandaté par /e geoutip:

entendait le ter mai réaliser la sien-

g;lie,"-er.;.'ateeoeve;erle guq'ss,,t vom. les me.rea pie ase leEt mai. (Les socialiges applaudis-sent 1Le mutin sur le renvoi h la suitedonne /ieu hpointege, En définitive,la renvoi e la mite est voté parUs vola contre 259.

LA FINATIONILM L'ORDRE DU JOUR

M. Sien. DUVAL. - Il convim-deuil quo mon inter ellation sur lapolitique agricole du gouvernementvint le plus, ra,pidement possible, caril est indispensable eue lea agrieul.eurs reprennent confiance dans le

gouvernement et dans son flueraavenirr notamment il importe epielee droits de douane sur les blésMent diminué, seri qu'une Pm-Len-

tini, eiriesee sait accordée aux peu--Meteor,

M. POIltCitJt.E. - Je timfi reamem M. Duval. Il ne tardera pas, eneffet, â avoir satisfaction sur lepoint qui l'intéresse particulière-ment.

7.1. COLOMB. - Lu lui de Iman-hen mettait h la disposition des dé-partements 110 millions pour l'entre-tien des chemine vicinaux. Or losconseils aima/eaux n ont reçu ammeInstruction pour Coppli.tion oe ces«édits Aucun travail n'a été, feitpar le gouvernement.

AL POINCARE. -lii. Colomb mtrompe. Il none las lie à faire mu qui

usenieternt - Je demande que/a Chambre- reprenne vendredi enhuit la diseuse)mn dcc interpellationeeu, 15 MM.". de liapaegoa e quaneltun s l'sgrieulture viennent levendredi 14 IMM. Quant à Maternel-latim sur lm salaires dm cheminots...

Nb RO - Voulez-vousmain us la disente demain /

CtIASTANET. -Volontiers.Vinrent aveiroi, - Et celle de

ro, me le, événentlelliS th/ camp de. Cf osa

POINCADE. 11 serait pnaaibla de dimater demain les deus.D'ailleurs, la dis..ns des inter-pellations sur les m'ore des chenu.nota sera d'autant phis tacite que leeCompagnies viennent de décider ungelevement des solaires.

IlOT. - (rein inmuffieantI s Chambre décide de fixes au 14

dam lei interpellations sur la poli.01que. agricole et au 7 juin celles sur

I q'e ruloalela.ltC(s0CAJtle 3e ceppelie

qu'avant les va... j'ai dépote" uneinterpellation sur la Jasé/tique intésMeure. Le regl.nent dit que oes in-emPellatiom ne peuvent être ren-,,,f'. à plum encras.

- J'ai déposé une in-terpellation mur receid.t daviatiendrm camp Ver .

Il LeurentEYNAC. - En es quibonaceus d'Avord, une en-quête très minutieuse a été immé-diatement laite. Si une ails s'est dé.Sautée, l'accident est dé soit hunefaute dans la construction, soit â unmangue d'entretien ou do surveillan-

te technique.Ily aura des sanctions de prises,

rên dorme /Men/rance formeJle à laChambre. Un service °entra/ de sécu-rité a été constitué pour promue tua.ter Ise mesures nécessaires.

RICHARD. - Dans ces conditions,je retire mon interpellation.

I.a Chambre décide de siéger à par-tir de le semaine prochaine, Ire mar-di, jeudi et vendredi matin, pourdiccater la loi sur les loyers.

Prochaine Mance demain, â Is k,tutu pelle.. sur les salaires dés che-minots et sur les incidents de Che-Ions.

Séance lavée à 18 heures

TRAGIQUE NOYADELaroque-d'OlmeE 23 mai. - De.

pais hier soin une famine espagnée1n/bilant l'ancien moulin rocher-Omit un file âgé de 4 ans, disparuubltement depuis 7 heures.Après .d'infruclueuses recherche.,

toute la nuit et toute la matinée dece jour, on a retrouvé le cadavre del'enfant dans le canal, en Partie sa.Osé dom la vase, en amont du mou-lin.

- »0«

AU EMEIL DES MINISTRES

t. Y c.,nu çauagil 'des ministres, sous laprésidence de M. Gaston Doumer-feue.M. iloiry Cher. a fait au con-seil l'expose du projet du budgetde /930.

Le conseil a donné mu alsProbmtion délintive sur ce projet qui seradéposé aujourd'hui menue sur lebureau dn la hihaarmbrr.

Le gouvernement a contirma sadécision de ne lxis laisser disie.i-hm, per l'extinction, la dianite' demaréchal de France.

M. Formait a informé le conseilque. sur sa demande, la rectiendes grands réseaux propose d'ad-

letra2ende d'Sras niaataiaumajontion dee traitements qui neg.vielaztr eehtze en v urigue que le

M. Maginot a été autorise par leconseil à déposer un projet derelaté à un emprunt de 3 milliardsattribué à l'Indochine, à PM:signeoecidentate, O Aterlugesem. es Guam-VOMI et au Conga

Ce projet d'emprunt sera penchai.nement suivi d'actrm interesunt /esentres colonies..

Le conseil a donne /gaiement mu. approbation au ministre des colo-nies concernant l'organisation dutravail dans nos colonies et /es me-sures deetindes à preteger plain MM-alertement /a main-d'uvre indigène.

Le ministre de l'air a Olé autorisepar te museil b deieoser sue le ha'rata de la Chambre un projet d'or-glinisation générale des forcesserments.

AUTOUR DU CONSEILParis, 23 mai. - Le couseR des

miniotres a donné, ne matin, sonapprobation &Mi/Use sur le projet

.10((

Le troisième crime du beau Charley

- Bolée I- Remettoz-nom ca I

Le seul min bruyant du petit ca-fé Mann it courbars de velours.

Plus loin, deux gosses font des:

- Si tu vas h Paris, il faut camp-ter sur 1.500 Dance par mois I...

11, en face, un soue-off C taillede den/M.11e, roucoule pour sonamie. sem la pan.carte

AMI les représeeiente et edeereemé. erommeme tort inforeads m'Oit

tromrni Ici, 4 raidi st le ma, beeilloneau. °n'alertai, beees se légumes

Limoges, clue è 8 heurm du soirvolets misé femmm rentrées. Placede la République seulement, la pla-ne des cafés chantants, des gui,guetlee et de l'Opava, il reate desviveurs.

Louis I

- Monsieur, voith I

,-- M. Roux n'est pas lb TM. Roux I /I vient de partir.

Les conservateurs ont 588 candi-dots contre 533363333333888888n88dats conue 536 en 1924, les socle-listes, 570 contre 514; les libéraux,510 contre 344, les comm.-estes,25 contre 8. Tout le reste a 31 can-didats contre 26 en 1924.

Dans ce chiffre, il y a 30 ..di-dates socialistes, 25 libérales. 10conservatrices, 3 communistes.

Il y aura 444 luttes trianyulaires.Dans 26 autres circonseriptione, legagnant mea à vaincre trois adver-saires. Il n'y sana que 102 duels enrègle dans 'caqués 70 conserva-teurs se battront contre un nombreégal de socialistes, 16 circonmrip-fions où les adversaires sont deeconservateurs et des libéraux, 14 oùils sont libéraux et socialistes. Enoutre, dans une circonscription, unconservateur est opposé à un na-tionaliste et dans une autre un con-eervateur indépendant se mesureracontre un conservateur officiel.

TOUJOURS !LUS NOMBREUXLondres. 24 mai. - Voici un ta-

bleau comparatif des chiffres offi-ciels des candidats présentée P.les divers partis aux élections lé-taelutives

En En 01212-MW MM renne

Conservateurs ......108536 + 52........030 114 +

Libéraux 510 301 +Communistes Rh 8 + 17Inen emlanis Si 26 -1- 5

LES CHIFFRES... 1,724 1A28 + 294En 1914, d y eut 32 élections sans

coneumeuts le jour de a Nomina- LISEZ ET FAITES LIRElion Day a. LE « MID/ SOCIALISTE a

DL CUPIDE EXPOSE LE PROJET D'autre part, Ce projet de loi deDE BUDGET iltuances apporte aux contribuables

perle, M ee,e, Le, miejete on milliard et demi de reduction, des immfits..

Imitant principat dit gouverne-ment as budget des Menemet alstmimera dans le domaine seelat

lie budget du ministre du travailet de l'hygiène accuse, par rapportà rexerei. de 1929, une augmenta-tion totale de 545 millions. 11 s'op.otique en pe.lier lieu aux mesuresmu tendent I encourager /a nata-lité.

Les dotations affermit à la luttecontre la tu/menu/ose et contre leseaux sociaux sont récités. Le

nombre des logements dont /a cons-truction Marres être entremise Pelas1930 est porté de 40.0110 à fie 000,grâce à une unmention ste 1,60 mil-itions de Iranun et de 1 mithardeue méRions de prêts it cet luterai

Dans tordre d encouragementpour inc productions nationales, desrelev.tents s.t prévus au blialgetde Pamulture, où un etfert spé-ciré ml entrepris pour /a construc-tion (les tinaines forestiers

Pour obéir aux soucis de ln alertebudgets/ire, le gouvernmerel neemnprendra pins désormais dans tebudget de la guerre que tm ereditseffarants mn dépenses des territoi-res metropolitelres, les dépenses se-/Mixes end défenses de nos territoi-res d'outre-mer font l'objet d'en

Les budffets de la guerre et de lamarine comprennent un effort né-cessaire pour enaéliorer le bien-êtredes soldats et des marins. D'impor-tants crédits sant inscrits pour Mulecompte des /ois votées aux les Pen-sions de la guerre et sur Ra pen-sions d'ancienneté, pour réaliserune seronde étape sue la majorationdm pensions de veuve et pour assu-rer en 1030, dans les conditions pré-vues, le ramstem.t des traitements. .

de budget de 1030, gut im éte L'évaluation des recettes a étésoranin par le ministre des finances. Mile evee Prudenee ee. ...-

le PO:4M du budget élève les 1.e-. lion d'aggravation d'imite/1s an titrecettes à 48.722.103.976 fr, et les da bndget gésiétal,dépenses â 43.667.718.671 fr., soit un Sur m milliard et demi de degré-excédent sur les recettes de 355 mit- vomeuts 'qui sont proposés auxlions 187.208 fr, Chambres, les deux tiers eeront sup-

Le ministres rappelé qu'au dé- portés par Se budget généré et untrf des travaux préparatoires de tiers s'applique eus imPôts doseee budget, pré. de 6 relia/da de bénéficie M caisse autonome d'a-

cejss nouveaux étaient demandés. mortissementOn a pu ramener I 3 milliards Le total des dlgrèvements an

300 miitions le supplément de cre- titre des contributions directes sedit chiffre à 274 millirem.

L'Affaire Charles Barataud

-(Voir le e Muai1 e Medi Armer) Mais vol M, Chastenet, sol ami.

Parfait.COSISIM'T LE BEAU MARLEY -Vous êtes lien un ,peu ledit 15

COMBINA LE GUET-APENS l'affaire Barataud, M. (MuslenetDE CHANTELOUBE POUll TUER - Moi S Pas du tout I Seule-

LASCAUX, ment, je la connais aUS.Si Men queLE MARCI1AND DE BOIS eux naeacaud lai avait Parlé de

l'achat de Inde depuis plus de deuxmois. Confidentiellement, il disaittue mes liais appartenaient h un deses amis, qui voulait lm vendremue rembourser un emprunt à laBanque. Pas d'emprunt, P. d'hy-pothèque. La vente. Une belle af-faire I h peu prés un mitlIon. Maisii tallail s OU 5ai.é30 francs comp-tant.

- Je croyais que c'était vous,d'abord, qui en mies parlé ti Roux?Vons n'ôtes pas 5110 à Brise, laveille du crime, prévenir M. Las-caux, marchand de bois I

- Si on voua l'a dit, on s'estPomo&

- Bou. Alors- Alors Je Jour du mime, donc

/e jeudi t2 janvier, tout MM mm.erra, Rous avait prévenu Lascaux,de Rrive, que ce serait pour le len-demain. Et Lascaux Malt arrivéterni exprès à tirrle,ffl, Ou devaitpartir 15 7 heures Au matin, Paha'

LE MIDI SOCIALISTE (±

aller chercher un autre ami, pa-"ta. de%erlfuel vous Pr...ne.,disait amateur', mir je . dois Pasêtre nommé.

Et al n'avait donné à Lascaux'inc son eurnom m Charley. Cepen-dant, vous pensez bien que Rouxavait dévoilé son Identité r Barataudle millionnaire. Sans quoi/ r.irsne se serait pas dérangé I

« Bref, le SOir marne, avant d'al-ler tuer Faure pour avoir sa voi-ture, Barateud prévint Roux :

On partira demain I 4 heurmdu matin, pence que mon ami s'enva h la chame 1 on pourrait le ra-ter.n Du boniment, quoi I Moi, on

m'aurait donné rendez-vous â cetteheure-lb, en plein hiver, que jen'aurais pas Marché I Enfin, çacolle tout de mem. A 4 heureamatin, le vendredi 13, 1101 1e mondese retrouve dans ir la nouvelle voi-ture a de Bacataud. Celle de Faure,qu'il venait d assassiner. Barataud,conduit, Roux pers de lui, Lascaux°trière, sur les coussins. On prend

la route de Coi/noix car les bois soi-disant à vemlre se trouvaient hDzerches, paraibil. On devait fairedix kilomètres, lent au plus. Je Feufiche I On fi/e tout droit.

C'est encore loin ? demandaRoux.

- On va d'abord dépanner monauto qui est restée sur la route deBolier, annonce Barataud.

n Mais 11 ne dit pas qui ramèneracette auto-le. Bref on va toujours.On fait 00 kilometres. Et soudain,dans le fossé, la voiture de Bara-tated apparaît en panne. Tout lemon.de desoend.

a Ah I je dois vous dire qu'àarts Barataildi avait demandé àRom parlant de Lamaux

- Il a l'argent- Non des °bègues, avait repom

du Roux.e C'était déjâ moins bon, Il dut

faire la grima.. Enfin, tout lemonde descend. On essaie de dépan-nerl'auto.

- Gest cette branche-là qui vousgêne I observe Lascaux, en dési-gnant un arbre coincé contre uneaile. Je vals prendre une hache!fait Rarataud.

Il disparaît dans l'ombre, puisrevient aussitôt, une hache à /aMM,

- Où diantre a-t-il trouvé çaas dem.dent les autr..

» C.e n'eut que plus tard qu'on asu par rance.° qu'elle venait dechez fui et qu'il l'avait done appor-tée d'avance .pour tuer les porteUrsd'argent. Mals, sur le moment, ças'enchaîne.

-Cmpes vous-môme, dit Milo-manient Roux au marchand de brisvous avez FbabitUdie I

e Lascaux s'exécute. Il Coupa labranche. On ramlne enfin la voitu-re Sur la route. Mals, à ce momentdes bout/bers q/.11 vont à la toge deDorat s'anihnent. II y a Déni/Mile,qui camait et Barataud. Iloffre ses servie., Baratat t per-du t quo/ qo Il arum il mes re-minou Il perd. .pied, toerne eneoreun peu comne ail attendait descomplice.

Tout bela semble leuehe b Las.eaux qui tioneenee à avoir le tramMettea-vous à sa p.. t II est 5heures du matin, II fait noir, l'en-droit est désert,

- Je vaia voir si mon MM estlà 1 s'exolaine Barataud.

s /I s'éloigne ê peine, puis re-ale/ .

- Trop lard, il est parti /

Mers Lascaux ne veut plus minsavoir r

R.entrons h Limages tout desuite

» EL tout au /mg Mt trajet, 6/

observe Char/ey qui est pâle, ner-veux, défait. A l'hôtel, il ne veutnrine pas accepter un cordial etdisparatt. Les mires CavaientLehappé bel. I

- il caillait es tareDame I L'accusation ranimes

Barataud a tué Faure pour voira saventure Puis il a entrai né Lascauxet Roux dam P.per de lesmer à Mens de hache. Ensuite, ilaurait mis /es trois cadavres d.sl'auto et, après les avoir dépouilléeil aurait précipité, le tout dans unravin m arvident, On attrait cmun coup de valant de Faure, et onn'aurait peut-être peu été chercherles Ione. Du inOrns il le crevai

a Seulement, tout cela étaff en-

Du cinéma, Monsieur, et mêmepas I Qualse en .fait de cos coups-là, Il ne faut pas laisser do traces.

BarMand, Mi, avait laissé dmtraces partout : on l'avait vu avecFaure, on savait qu'il avait mune-né Ro. et ph/sieurs Per....econnaissaient sou histoire de bois àvendre. Vingt-quatre heurna plustard il était coffre. Ii n'y aurait Pascoupé.- II avait dune /aimé te cadavrede Faure à MM de son auto I

- Plus que probable D'ailleurs, hce 'moment Iii, on ne l'avait pas en-sore retrouvé, et. Sauf su femme qui

dinara'àDans Ir land, ne t pasmal combiné.

Emmanuel SOURCIER.

Au club des «Forcés pas»

UNE COURTE SEANCE AU SEMÂT

Parie, 23 maI. - Cette Mance derecuverture au Sénat débute olas-siquement s 15 heures, sous la pré-sidenee de M. T.U..,

M. le président donne lecture dedivream Ir'fi.Tairdy,'rasendarat'eraeiedo'ule,relie é5

riluoPoneurreteaezrelit.--, Les intimiellateues devrontlendre avec /es ministres intéresséspour la date de la discussion.

Del. projets de lei sont emuiteadoptés h mai. levés, l'un fixantles décorations attribuées aux ré-serves de l'armée de mer, l'outreaux régies d-avancement des inter-pelles militaires.

La proposition de lol de M. Cata-logne, modifiant le Code civil rein-tivern.t t /a preste. du divoreebénéficie de la mime adoption ra-pide.

Après quel, le Sénat s'ajourne aumidi 30 ma/. Le Mudl IMIVent,

Juin, sera nommée ta commissiondes finances.

La Manne eet levée à 16 h. ft

La Tie Ouvrière et Socialiste Internationale

NOTES SUR LA RATIONALISATIONPar MARTYROLLAN

(vair le Midi A vcnd,d, Arnkr.)

La rationalisation ne Mit P. eu.'complu) seulement avra les patronset il importe que les travailleurs ycoopèrent. Tout travail estimul .exige une bonne seection des tra-vailleurs en même temps qu'il en-traîne une spécialisation un peumonotone de l'effort. D'ol une dou-ble neeessi.

organiser l'orientation profes-sionnelle;

compenser par des loistra Plusgrands, par des vacances payées, lafatigue ou l'engourdissement men-tal résultat du travail rationalisé.

Le travailleur .trent à une be-sogne machinale, ne devra pas ab-surber tout en être dans cette be-sogne de mécanique qui ne pourralui permettre au maximum que huitheures de sa journée d'existence.Pour lui permettre une réaction sa-hi taire coutre /a menait de rabru-tissement, Il aura dûbénéficieraient sa mise au travail, jusqu'àl'âge de quatorze ans, au moins, del'enseignement réforme par le mo-yen de 112.0e Unique. PourquoiParce qu'avec un cerveau éduqué,cultive, nourri, rempli, al penséetoujours prête à s'évmller, le sauve-gardera le l'engourdissement - men-te/.

Il faut prévoir peur /es chômeursque créera la ratienalisation des se-cours suffisants, une véritable as-surance-chômage, et, surtout, avrcune rééducation professionnelleprévue, des possibilités de réemballe°bade mnyidr, sa perfectionnant Forémisait. de noire marché du tra-vail. r ,

La rationalisallen rendra nécee-mire de movellm conditions detravail et de salaires. Pour que lesintérêts ouvriers soient bien sauee-gardée, Il est indispe.able que lessTadieete soient, appelns h discuteravec les empliûmes de ses nouvel-les condi.). de travail et de sa/ai-res Reces,sité pour les -travailleurs,femmes el hommes, de ceMPrendreune Mie pour toutes leur importa,oselain la vie sociale et de remfor-car lenre sAtdreais en y aPP.Millitleur adhésion.

La comeatuitIon industrielleétant h le base de la ratienalisationUn contrôle s'impose. Trusts, car-tels, ententes industrielles diver,esdoivent être contrti... /I ne fautpas que la concentration qui s'ope-ta dans l'industrie mette en fait eesindustries sous- ta cio0Pe de In ',-rance ou dans la main de g...-nes internationaux. I/ eet importantque lo OrtnirMe soit au moins établipar use pouseire publics et que I.travailleurs manuels et inteilectuelapar le rafiVell de leurs syndieaLs,soient représentes dans tous lesgroupements Imestriele qui résidetent ou vont résutter de /a concen-tration.

Le cons. National IlIconomiquepourrait déterminer /es conditionsdo la rationalisation qui s'opère,car il faut observer qu'une ration,tisation de riedustrie doit êt. am00111pagnée d'une rationalisation dumécanisme, des échanges dont lesconditions actuelles sont .tefies qu'el-les font supporter aux consomm.a-leurs et aux producteurs des char-ges excessives, en raison du grandnoniere ales intermédiaires et des bé-néfices qu'ils réalisent

La rationalisation considérée nom-me .treprise de réorganimtMn dela production, selon MI plan do ri-gourense économie de t'effort, ris-que d'entrainer à la foie rabais-semant iles salaires et le chômage.

La rationalisation qui est l'em-ploi des ralthodm raisonnées de Mu-tes les forms qui concourent h laproduction et à la distribution drisuproduits de toute est..., ne peutavoir pour but que la diffusiond'un plus grand nombre de produitsdans des cereles de consommateursde plus en plus vaste. La rationali-sation ne peut palme/lir b me butque si le pouvoir d'achat des con-sommateurs augmente.

Par la transformation rationnellede la preduction, eu opérant des ré-ductions .r les modèles, en se gar-dant du gaspillage, des frais detransport inutiles, on peut très bienréduire les pris de revient, marne.-Ire la capacité d'achat des consom-mateurs et, nen seulement mainte-nir, mais élever les salaires.

Par l'élévation du niveau de vie,t'industrie pourra s'assurer dmcominandes constantes. Elle pourrarisquer la mise de fonds qu'exigeea transformation. L'organisationspadieale a pour objet immédiat defaire comprendre aux patrons dontla rontine n'est qu'égolstE que hirafayer te.ure ouvriers n'est qu'uneprécaution raisonnée d'homme d'ILfairee avisés. ...-

On détermine le caractere et tebut de /a rationalisation si Pen veutbien se rendre compte qu'elle a peureffet de bien diriger la preductimafin d'assurer /a stabilité et l'amé-lioration de la vie économie, 11semblerait que la rationalisation de-mail avili pour conséquente direc-te Marnisor le rhûmags. 'dais teproblème est complexe, Il y a euchômage st Allsnine, il y a euehemage en Amérique. Et ce chô-mage existe toujours. Surtout enAmérique oÙ le enarché est satureIl où t'on a parle d'une ultra-ratte.

()end la rationalisation ne tou-che ocre que/ques imlustries elle faitdiminuer le prix de leurs produiteet Ileencier une partie de Ieur per-eonnel, sans par là même provoquer/a baisse da. d'autre, Industriesou sans entratner par ailleurs unappel de main-srceere.

Avant que les 1..ndustries rationa-lisé. voient augmenter tenu clien-tèle pue suite rept.11ent Ire en-vrisire eimgedies, an certain tempepeut s'émule,. Le chémege est uned'usée..ru eine ratienelltatIon

partielle. Et puis, en supposant quela rationalisation puisse s'opérerd'un aeul rune Partout, sur tous leséléments de /a production et de larépartit,nai des produits, on ne se-rait pas amure 92111 n'y ait F. et10-rge.

Tout progrès °camionne des chan-gements, tout ohaleme.t fi m'ohmdu trout. Il faut 'inc le change-ment .casionne ie minimum de ria.crues aux travailleurs. Qu'l ces ris-ques prévus, on oppose dos garan-ties nettement établies par avance.

/I faut que le trouble provoquésoit rapidement dissipé.

Il Importe surtout de parer aux,eonsdquene. du °Minage C'eetpour cela que présentement, /ermla confédéral, organisme anima-teur et directeur de notre C. G. T.,étudie un projet d'assurance-chô-mage.

La rationalisait.; devrait s'opérerselon un plan général affectant nonseulement la technique industrielle,mais encore la politique des crédits.La politique des crédits devraitconcevoir un ensemble de mesurespar lesquelles rétablissement duprix des choses, e de toutes les cho-se, » ne devrait pas être laissé auxconséquences des combinaisons fi-nancieres comme à la volonté dra in-dividus nieras un moment de laerodu,ction, des efforts, des produitsjetés aur le marché. Cette volontédes individus animée par la poeses-sion, plus au moins étayée de buessens et de logique.

Si la réorganisatioR technique etéconomique de l'Industrie est ac-compagnée d'une habile Pelities,erédit visant à maintenir la stabili-té des prix, l'abaissement des prixde revient dans toutes les industriespourra s'accomplir avec une cer-taine simultanéité et sans que lesrapports d'échge qui existaientntre leurs proeits se trouvent

sensiblement bouleversés. 0. bon-ne distribution da, crédit maintien-dra dans chaque compartiment dela production les mayens de paie-ment néoessaires. Dos salaires éle-vés stimuleront te pouvoir d'achatdes oinsommateurs. La demande deproduite ne diminuant pas, le chô-mage pourra être évité. Mais Pas-suranee-ehfunage devra toujoursOre établie.

La rationalimtion établie selon unSine gémirai exige une eonnaissaneeapprodondie mie mdeanisme éc.,talque et une Mode arResee

Mec elle, le système individualis-te de /a produclien devra s'effacertous /es laure davantage et finir padisparettre. L'idée de rallieronss.Min, c'est l'idée d'une organisationd'eneemble, iaque/te est réelle..Par l'ensemble des predieteurv; censqui commandent le travail, ceux quile dirigent, ceux qui l'exécutent.

seCette nouvelle science m la sciencedu travail a provoqué la eréation denombre. instituts de recherchessur la fatigue Industrielle aux Etats-Unis, nm Angleterre, à Per.,G...Moire des Arts-et-Métier.

La mienne du travel' ne se homePes à 'Member comment en peutobtenir le maximum de rendementde l'effort ouvrier; ellr étudie quel-les sont les meilleures conditionsdans lesquelles .t effort peut deve-nir norme/. e'est-à-dire ee prolo,ger sans affecter la santé di, l'ou-vrier.

Organiser le teavail na consielepas â eurmener la main-Couvre,mais au contraiae b miens t'utilisertout en la ménageant le pes pue!.hie. Cela oblige à fournir à l'ouvrierdes cenditlens indispensa,hles véri-tables stimulants, c'est-à-dire n hy-giène' dut ateliers, limitation dejournée de travail, augmentai'ue desmiaires, partioipation ouvrière syn-dicale à l'organisation de rentrepti-se dans MOS smo détails.

aOrganiSer la praoduction exige eu-

lord la reconnaissa.e taos> drudroits de l'ouvrier sur les résultatséeonomiques de tette transformationtechnique; puis la mise en commede pians économiems minant lent

« Le Zeppelin »

vaquitter Cuers-Pierrefeu

SIX TECHNICIENS FRANÇAISPRENDRONT PLACE A BORD

DU DIRIGEABLE

Toulon, 23 mai. - C'est décidé.ment aujourd'hui. entre 19 et 20hees que le dirigeable ii GrafZeppelin e na laite Cuers.Pieraeleu pour rejoindre sa base.Tout étant en état depuis hier àbord du vaisseau aérien, le docteurEckener avait autorisé Pas télé-gramme le commandant en eecondLehmann à prendre le départ cematin à 4 heures, mais celui-ci pré-féra, pour des raisons de conve-nances, attend, l'arrivée de sonchef, om sera de retour à Cuersvers la fin de l'après-midi,

L'ARRIVEE DU DOCTEURECKENER

Friedrichshafen, 23 mai. - Ledocte. Eckener a quitté Frie-drichshafen hier soir, à 8 heure.,pariant en automobile paie Zuochd'où il prendra le tram peur laFrance. Il compte arriver à Tou.Inc vers la fin de l'après-midi d'au.iouid'hui. d'où il gagnera iman..diaternent Cuere-Pienefeu.

On pense que /e docteur Edamnue a lugé correct de commanderlui-même le dirigeabie à bord da,quel il a. pour Inc honorer, invitêun certain nombre. d'officiers Itemyyaim

gaspillage de forces cm de matiêroapremières et amurant la maudiras,Liauu des efforts rie toutes les mitresprises. La production ne erra vraisment organisée que dans une coosMira.. internationale. C'est Utlevérité qui permet de dire que léMonde sera à l'abri des crises ée,mimiques que dans la mesure oseiprogre.era petto coopération inter.nationate.

.Dès 1919, la C.d. T. avait ludisme;

'd1.1:1411e'sesmCdelle,'5"aitetSonates que sur des bases nraatillnrassles. Qu'il fallait

a) en matière douanière, renonceaux errements du 'passé, tarifs pro-tectionnistes, primes â l'exportation;etc_

organiser M production et larépartition pour rendre plus facilep.liera de.hangee de matières premièrea,cle maln-dleuvre, 110 produits ma-nufactur6à.

el réconcilier les pennies dans uneconaboration en vue de réparer /esruines camées par la guerre.

Dans cette org'anisation nouvellequi est la rationalisation, filer*de la clam eouvrière doit trouver,son compte. Comment ? D'abordp.

fare 'due tatoete'eïape ileatement incessant des salaires. Lairationalisation doit s'effectuer danae cadre des lois sociates et de la

défense corporative. Elle doit avoirpour base la recormaimance des or-,ganisations armeeen el la fixationdes conditions de travail dens ieecontrats -collectifs.

Défense des sa*.aires, de.ro deihuit heures, dmit syndicat, recon-naissance du syndicat et recrute-ment syndical ;voilà ne qu'indique

heeeTerrelre'igesteneet,'qu'innPo'n't Isruebreierévd;lastlorrmêmes de leurs deveirs et de 1151rsdroits en syndiealisme, la rationale.saitno risque de s'accomplir au mutprofit du capitalisme.

Tout ce qui rat du ressort de l5,discipline à t'atelier devra étre li-brement discuté, librement consentipar /os moyens de l'organisation syn-dicale. /I sera alors dans l'IMAM,de l'ouvrier que cette disciplineexiste.

Condition essentielle e Ira syndi-milsam doit jeeer un rôle dans la.

'reetjes:"'à moanl'é"-

quencee immédiates raugmentstiondes salaires, rabaissement des priXde revient et un phie grand dére-/appel:mot du nmerhé intérieur.

La rationalisation se peut pasêtre le fait de la seuie volonté dmindustriels prête à déchirer quemalle. Mes eux et n'ayant decomptent à rendre â personne, ilssud seuls I pouvoir dire quellestransformations ils introduiront chereue. La rationali.tion ne peut êtreCaille dans les cadres étroits dupatronat. Elle touche aux intérêtnde tous et I/ doit en Sire discutédans des amendem éden nasiquesnationales et internationa.s du temSOL

Si la C. G. T.sne se préocrupaltpas de la eationetisatian, elle se te-rait sans nous et cent. rintérét destravailleurs et des consenti-oeil/us,

La C. G. T. et les organisation& kLare LlerSt ge-te.lam,cneesltaitrzLeriiie.r:

lion dans la formule .ivante« Maximum de proluction dans s-

/niais.. de tempe, pour le maxi- ).

mues de saMire; ût cda dans d'ex-cePentes conditions ehygièrees et deculture généraie »

Cette foi/niole, raccourci saisissantdu programme ale réalisations de laC. fi. T. prévoit et indique tont cequi est d'ordre matériel, mais aussi,tant ce qui est d'ordre moral. car lesyndicalisme - Il faut te/Maure ledire - est surtout une affaire d'é-ducation.

MARTY-ROUAN.Ddilmé à ta prepegeede

de lei C. G. T.

SIX PASSAGERS FRANÇAISSERONT DU VOYAGE

Toulon. 23 mai. - Ce n'est pasquatre, mais six officiers françaisoui ont été autorisée à prendre Pae-antam sur la ti Zeppelin a.

Voici leurs noms / M. Kahn, in-génieur de première clame du e.me maritime chef adjoint du csbnet de M. létnent Eynac i le -tenant de vameau Pecoçueur, ducentre aéronautique de Saint-CM,attaché au cabinet de M. LamentEynac r le capitaine de corvetteYves Hamon, comnmaidant du cen-tze aéronautique maritime de CuersPierrefeu ; le lieutenant de vais-seau Loisel, dss centre aéronauti.,que de Roche.fort, ancien cotre/tansdant du dirigeable Méditerraenée in le lieutenant de vaisseauFeuillet détache' au ministère deI au m le lieutenant de vais.. Re-mondière, du servimu central ahronsutique au ministère de la ma,rine._amena

PdlICS 01111Ï01183UN ENFANT BOIT DE L'ACIDE

ET EN MEURTSeint.Daunês 11.011, 23 mal. ---

Polit Claude Lucombe, superbe ."lad de 5 ans, Ms de M. Andee Laicombe, horloger h Montmm,

Irontpantla vigilance de ses Pmr.,!_,E,SLau goulot d'une bouteille: ohm.. '-l'acide acétique.

Le pauvre petit, su/MM,arial

l'effervescence de ce liquida Malot.eut mut mn int/Meus brûlé, n?tarde pas â surromber dans la eq'nés sPréed'alOsçss

sassagraa°Ie

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Page 3: La rentrée de la Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/B... · Quand on songe que ces perdes ... ni avec les idées, ni avec les doc-tricot. 11 ne compta nus

La Direction des Magasins AU CAPITOLEa l'honneur de porter à la connaissance de laclientèle, que les heures d'ouverture et de fermeture

ont modifices comme suit, à partir de Samedi

27 Mai.

Ouverture des Magasins. . 8 h. 30Fermeture id. . . 19 heures

avec interruption de 12 heures à 14 heures.

Chronique de ToulouseFeuillets toulousains

A DEFAUT DE PETITS POLS-a Evidmiiment le coup sera dur,

mais la solution n'est peut-être pasenc.re désespérée.

s Ils tout ead, ça va mal, très mal,pour les petits pois. ir

Les gelées ont détruit lâchementtaus les semis printaniers...

Ainsi disent tous les journauX IPar bonheur les ce éleveurs » de

petfis pMs tout Comme len 1 éle-Vers re de ehoux-fieurs d'une par-tie de la région toulousaine onttrouvé en M. Beluel un défenseur-né.Et je devine que le ei-devantLatourguette n'aura malique>ter sur la facture des dégâtS -dieux - fleurs, qu'il adressait voicienelques jours h e S. Excellence.471Cele s la nomenclattire des dé-gus - petits - pois.

L'affaire est cle tout repos pourles s éleveurs u des sus-dits.

Il ne leur reste plus qu'ô, atten-dre 180, l'orme /a bien sonnante etlretablante manne

Le plus navrant dans cette his-toire c'est que la pénurie des petitspois, devenus grands, obligera l'au-(orné militaire h se fournir enHollande comme par le ,passé, d'ail-oses, da ce précieux légume s

aussi imlispensable â t'ordinaire duguerrier one le légendaire haricotMuge.

Point n'ret besoin, au surplus, queles pois hollandais soient de bonne

Atourcnison.

pourrrint-ils avoir deuxdestinations pratiques, être servisaux troupiers et... récupérés au be-soin n'ayant pu rire manges fautedetre eues Cuit° comme balle de1ir réduit.

Mais ne jouons pas 0v- Ire ar-mes h feu et revenons aux petitspois teuleersains, dont la présentepénurie o scie nos cordons bleus etnos menees-qtwues dans la cons-ternatinn la plus grands

NA les art il -pas privés aupreume du légume qui accompagneru bien /e canard ?

Oc ce lég,urne évidemment indispensable pour la préparation dufammix canard aux petits pois,d'historique et, glorieuse tradition.

Espéré,cis toutefois qu'il n'aura nigelé, n1 grillé Sur /es couvées de ca-nards ; qu'une armee de ces sy -patbiqueS volait. envahira trèsprochainement la cité rom au poilaque fil. Relue' accoutra tenu d'é-°rire encore une fois h son « Ex-Cellence Agricole n pour lui deman-der d'autoriser une battue que, re-présentant du peuple lut-même di-rigerait. Imaginez un instant netannage de camards..

Ce serait évidemment un moyenélégant de permettre â nos cuisi-niers et cuisinières d'en garnirleurs cocottes h un prix abordable.

Au besoin quand même ils neMettraient pas de petits pois aveu,.

Mais reste h savoir cependant Sieen Excellence Agricole ri ne fini-rait pas par premier les épitrneverne dee .141. le vicointe pour deScanard ?...

DELBEAUREGARD.

11 L'IDEALCHEMISES - EVJANIAS

GANTS et CRAVATESPour Measieure

Ir peu ...els à des pax abordable,notas.. esp.a-era

Saine à re/s/n/0011111mide. renne PM sec r.SI, Sue adsvce-torreles

ÇA ET LASOC1ETE MUTUELLE

»ES VOYAGEURS DE COMMERCEDE TOULOUSE

coms de s n assonbtée g ticIule du 20 mai, M. Aygat, vice-pre- ROLY-MAND.ARINE ou AMER.aidant de la .mmission des fêtes, RULE 2 goilts différents -- 2 iner-a rendu compte de son mandat. Il e veilles ; Tous cafés -'Bars Ali.

''471e84',83ement aPPlaudi pour mentationa.eu réussite de la fête de janvierdeenier, ainsi que ses principaux.11:borate:ms, MM. Lompréde etDen., et leur a renouvelé sa con-fia.er pour l'organisation dbienouvelle fête corporative,

Site la proposition de M. Aygat,en son tom personnel, au nom dubureau, du conseil d'administrationCI de la commission des fetes, l'as-emblée générale a élu, par melteManou président d'honneur M. FM-

Regagnon, notre caisse, etImie, membre participmt fondateur.Peter les éminents services metsade toutSr temps rendus à notre char°oété.4I. Brus, président, expose ensuite

ris .etra,ovaux effectués par le bureauen en vu ne de /a créatioese primaire sous l'égide de

p Cl isis Part des nombreu.ses dé-rehes qu'il a Ini-même faites en

9egnie de M. Cols, notre dévouéne et treserler honoraire, eu-

prés des divers membres du com-:nonce toulousain, en vue d'obtenirtem apPut

H a pu ainsi être mis à point laeréation d'une calsse qui prendranom : s Groupement mutualiste Mavoyageurs, representmts et em-PIMUS rIe commerce et de l'indus-trie ffe ToUlouse a, dont notreSeciété formera le premier noyauet sera largement ouverte à tomnos camarades voyageurs, represen-tants et employés de commerce etde Ifinclustrie des don, sexes deToulouse et de la région. Ce nou-veau grenue fonetionnera dans lecadre familial et, Par la bele adhé-sion du chef de famille, .uvriraliii-même, son conjoint et ses en-fants de moi. de 16 ans, contre lesAbers risques répartition prévuspar la /et du 5 avril 1928.

En ce qui concerne les risquescapitalisation, les adhérents serontcouverts, par son intermédiaire, parla Caisse régionale mutualiste.

M. Castel, secrétaire général,donne lecture des modifications auxstatuts nécessitées par cette nou-velle organisation, qui sont approu-vées à l'unanimité, et donne au con-seil pleins pouvoirs, vu l'urgence,pour agir au mieux des intérêtscommuns cette occasion

Notre si sympathique ami et col-lègue Gaubé, administrateur, dere,loupe ensuite son projet d'augmen-tation de la cotisation-décès, que lacommission élue ft cet effet a pro-posé de poster de 5 francs t 8 francspar membre pari ripent, ce Mi Per-mettra de remettre aux veuves etms familles de nos chers disparusun secours au décès de près de9.000 francs. Après discussion, unvote favorable est acquis, restantentendu que l'application- nen serafaite qu'après le dépouillem.t duvote par correspondance statutaireet suivent son résultat.

DE L'AIR PLIS UN TERRAINSEC ET SAIN aux portes de la villedes prix sans concurrence, des faci-lites de paiement, voila ce que irestrouverez au LOTISSEMENT duPECH (Barrière de Cogna.). B81-reell ouvert tous les jours, diman-che compris de 13 â 17 bernes. LmLoucheur, Tram n. I Voir les mai-sons en construction.

SERVICE DES EAUXPar suite de travaux urgents à

effectuer â /a canalisation, la dis-tribution de l'eau sera interrompue,le samedi 25 niai, A partir de 13 heu-res, quartier des Anildonniers, dansla partie comprise entre l'allée deBrienne et la rive droite de la .Garonne.

Le service normal sera rétablilaussitôt les travaux terminés pro-bablement dans /a soirée.

CONGRES ARCIIEOLOGIQUEDE FRANCE

La 92° session du Congrès arehéo-logiqlie de France, dirigé par laSocielê française d'are/géologie, Ann-uel:ria, cette année, â Toulouse, /elundi 27 mai. I/ sera préside Paracole des Chartes dil:'ecteur de laSociété française d'archéologie

Les membres de la Société fran-çaise d'archéologie et /es personnesayant leur domicile réel dans /e dé-partement de la Haute-Garonne etles départements limitrophes peu-vent seuls y prendre Parts

Trois journées 127 et 30 mai,1° juin) serons consacrées à l'étudedes monuments de Toulouse. Enoutre les congressistes pourrontprendne part à une ou plusieursexcarelo. mehéologiques cl-dessellaindiquées

28 mai I Perm, .Auch, Lombez.29 mai : Saint-tizier, Saint-Gau-

dens, Saint -Bertrand, Val.brûre.31 mai i Rebastens, A1141, Cordes.Pour plus ceturet. renseignements,

s'adresser h M. Edouard Privat, se-crétaire général, 14, rue des Arts, àTontons°, ou à M. Faucher, archi-viste de la Haute-Gasonne, à la Pré-fecture.

OANS LA RUEOU SONT LES CHAISES ?

Sur plainte d, Mme veuve Merde-dire, née Elisa Pigne/, dee de70 ans ibmenraifi rue de la Passe-relle-de-Négreneys, une ennemie esouverte au 4e arrondissement con-cernant /es agissements d'une bm-me inconnue ,se disant remPailleusede chaises, a laquelle la plaignantea confié trois chaises Mi ne lui eutPas Mé rapportées et qui on1 uneva°on de se Iruors.

LES ETRANGERS

Proc.- verbal pour renouvelle-ment de carte d'identité d'étrangera été dressé par M. le commissairede police du ler arrendissementpoutre te nommé Constantin Hart-ranoff. étudiant, de nationalité bul-gare demeurant, 6, rue da Rémusat.1

UN DEMENTliter matin, à 6 h. 30, le nommé

Ladevêze, âgée de 25 ans, sans pro-fession ,demeurant, 5, rue de l'Amie-duc, qui était en état d'ivresse,tirait' des .ups de feu, avec unrevolver, sur la Place penny-

Il a été déposé eu violon à la dis-position de M. le commissaire depolice du 5e arrondissement, qui aouvert une enquête. Il a été ensuAetransféré â l'hospice de /a Grave, enobservation.

OU EST L'ARGENT ?Avant-hier aprés-midi, Mme Rob

Chaubard, àgée de 59 ans, modiste,demeurant place Saint-George., 8,faisait transporter, pas des ouvriers,des meubles du premier au troisiè-me étage et atés versa.

Vq4s 16 heures, elle s'est aperçuequ'une somme de 970 francs, quiP1015 placée dans un tiroir d'uneable de toilette, avait dtspsel Sur

niable nne enquête est ouverte auler arrondissement contre inconnu.

UNE AFFLUENCE élégante etChoisie se presse aux vitrines des

aRilissernents INGLEBERT .pouradmirer les nouveaux costumes deteinte beige, la ntuveauté de l'anprochain.

1INE TENTE SUR LA TETEHier matin, à IO h. 15, MU' le

marché de la place du Capitob,arrcoUp de vent allbià â enlevé la bilede tente d'are baladeuse apparte-nant h M. Marty. marehand, demeu-rant rue Chausms, 17, et est venues erabattre â une quinzaine de mè-tres glus loin, tombant sur ln têtede Mme Fabre, demeurent rue duDix-Avril, 22, qui n reçu quelquescontusions' â la tête. -

Sen sa demande, elle a été accom-pagnée an Syndinat des limonadiers,place du Capante, 3, oir elle a reçudes mins.

AU PARQUETLe nommé Gaston Laure, 17 ans,

demeurant rue des Tourneurs, 21,auteur du vol de bicyclette au pré-judice de M. Arnbatien doineteantrue de Metz, et arrêté par lingentDUPM, du ler arrondissement, aété déféré an Parquet, hier matin, et&rave.

PORT D'ARME PROHIBEEAorte interregatoire de- M. le

commissaire de P.R. du le .4'r..-.disse/lent pro.cês-verbal pour portd'arme prohibée et ivresse, a étédressé contre le nommé FrançoisAzérrna, 41 ans, homme de peine, de-meurant rue Montplaisir, â CroisaDaurade.

C,,,elso,Inepé a été /aimé en liberté

CAMBRIOLAGEAvant-hier 22 com.t, entre 14 et

19 heures, en Palasence de Mme Four-mi, née Passeriez, demeurant, 8, ruedes Trois-Renards, un au des mal-faiteurs ont pénétré dans son appar-tement et lui ont dérobé dusestimés à 1.000 bancs environ.

P.r pénétrer dans rappariement,le ou les malfaiteurs se sont servisIfe la clé de la plaignanb, garnIravait déposé dans une placmd situedans

Une enquête est ouverte au rie ar-rondissement.

VOL D'UN PANTALONSur plainte de M. Saint-Agne,

candonneur, demeurant, 17, rue desPrés, rine enquête est ouverte au3e arroncliamment relative au vold'an pantalon, romans au dom:mieet an préjudice du plaignant, dansla matinée de dimanche dernier.

TROUVAILLESRéclamer t â M. Beghin, 30, rue

Mann, sue montre, de dame avrechaîne- à M Grec rue des Champs-Plysées, 32, un bracelet; à M. Deumeng, rue de da Chaîne, S. un pa-quet de pièces de rechange de ma-chines agricoles; à raene Barraitdu ter arrondissement, un petitmanteau d'enfant; â Mme Marty, minde la CeravetteoSeint-Cyprien, 9, unSens couteau; à le maison Sion,square du Capitole, une pièced'ottto; ' ,marche Victor-11,Mb en petit cade-sas; â II. Rivière, chez Mme Bose,

SaintrGeorges 18. une petitesomme; bla Com ireage des tram-sueys, ung paire de gants, un Paquet,un billet, une plaque, un sac devoyage et six ParaPhubs.

DE L'AIR PUR,. UN TERRAINSEC ET SAIN amn Portes de la villedes prix sans concurrence des faci-lites de paiement, voila ce que voustr.verez au LOTISSEMENT doPECHlearrièc joCesuo<lini.x/C-esse

opris 5 17 heures. Loi Lou!mchéri. Town 5

COURRIER ARTISTIQUE

CONCERT A LA PATTE-D'OlEHormanis de la ratee-dYne

Cette société a l'honneur de fairesavoir qu'elle organise à F9P.Preehede la belle saison, une série de con-certs oublie dans les d'Ill/motsqumtiers 1 le premier aum lieu lejeudi 30 ruai à 21 heures eur la pl.es de la Patte-d'Onie I l'Harmonie.mposée de fin musiciens que dirige

70-ene. fera entembeun programme de abois qui fera va-loir cette phaide. artistime.

Bon roulier demande BAROUSSERue Baronie, 10.

COURS &CONFÉRENCES

POPULAIREDE TOULOUSE

Programene du cours public muni-cipal, qui aura lieu vondroce à huitheures du soir à l'Ancienne //melte

remisa,Partie chronolagique. - Coure

élémentaire t Administration tou-lousaine depuis Louis X jnsqu'àCharles e é (131,13.).

Celles supérieur : Napoléon ler àToulouse ; décret du 27 juillet 1808;transformation de la cité 7Bellegarde et Malaret.

Actualité éphéméride. - Nomina-tion st installation dos anciens Ils,plissésà coutumes, eérémonme, ré-

LE MIDI SOCIALISTE

jouissances, carrillon de l'Hôtel-de-Ville de Toulouse.

Ligua moundino. - Terre etmar, par Charles Biaisons,

RECION ECONOMIQuE

TOULOUSE ET5f4/ES PVEENEES19e groupement régional de chambres

de Commerce)Sous los auspices du Comité régio-

nal de documentation et d'informa-tions de Toulouse de l'Expositionculonmle internationale de Paris(1931) M Léon Bérard, sénateur,ancieit ministre, préeident de lacOmmission de doeumentation etd'inforri lions de l'Expontion colo-niale fera samedi prochain 25 cou-,

rant, S g heures du soir, dam la gal-. da Musée commereial de la C mm-

bre de Commerce de Toulouse, uneconférence, accompagnée de filmsooloniaux, suret, l'Esprit .lonial

On trouvera dee cartee pour cetteconférence au Secrétariat de LaChambre de Commerce.

.ffROPIIAffleitsegteffledierregeiggelegareers

'APPEL

AUX CYCLISTES

Tra1.0.9,.. ast g urugerea.""er,2"="dre'li"s'n'nentern".'21:a...feaneerevors.ste ou ei,uieeuene

. '

La vie sociaiisteFlue"1m HAUTE-CARONNE

CONGRES DU 2,1111N 1929Dans aa séance du 17 mai 1929,

la Commission exécutive a fixébordes du jour du congrès fédéralainsi qu'il suit

la R. Port rnoral2° Rar.'ort3° La Fédération départemen-

tale des élus municilsaux et canto-naux t Son organieation, mn /oneBonnement

4° Examen de roi,- du bouecongrès national 2

o rapports statutairesbiLes modifications aux statutsc) Le ^,cialisrne et rEcoled/Les Assurances somales4° la commission

h-,,érnlr. de la commis-sion férié -ale des conflits, des délé-gués au Conseil national. des dé-légués au Congrès nationa

57 Qmstions diverses.Le lieu ' ^.-uum'sera ultérieu-

rement indiqué. - Le secrétairefédéral e J.

GROUPE DE LA CRO/X-D-PIERREET FONTAINELESTANG

Les militeras d. goum. ...priés Ans'à la réunion extraordbaire sotaura

lieu le vendredi 24 mai, à 21 iserans eucafé Rogne/muse, arrois de Mire. 1h. Li.

Ordre du ican t Rénogandatio. des con-férences éducatives et questions très imper-Mmes.

Présence de rigueur. - Le secrétaire,je. Henck.

JEUNF-SSES SOCIALISTESDmseneli. ame lieu à Suint Lys un» ma-

nifestation organisée par la Fédération désjeuneeses manses d. la HasteGaronne,dans le larn d. mén One aeetion de jeu,nesma.

A Le exile d'une PMI...à.ou de quel-que. camarades, 00 ,cie barrquet aura lieuO Saint-Les.

Tous «sua gui vorichont y prendre puudearom prendre 1,1,1v qui part OS h. 15d. le gare Soie.,

Ce.: <ru; voudront eseister Binante...à la manifestation devront prendre Ie coinsui part à 14 beares de le gare Rogue.

eer;:a7estreZ:7-,"'':::::71:;.:1717Z0h. 30 à 19 h. 30.

EMANCIPATRICEAujourd'hui. vendredi, à 18 h. M. en-

train..., au Parc Toalonmin.»

La vie syndicaleSyndicat des Iminuetemslumems. -

Réunion générale aPadiqués ou non,dimanche matis, à 10 Lemes, Bourse dumena.

LA VIE DES SOCIÉTÉSLe Réeeil de Bonnedoe. - Nos» eomme,

hdurner d'appreaere le succhs obtenu ..-..di dernier a. mecm. imeamtionel ee

!cr'ortl:, lsdi!FCC2!Bru'let iz..rLa Ro-saidc Bonnat° r

A peine fondée depuis 1927, et grecs à

''habiledirection d. son maitre, elle a ah.-

tenu, classée en deuxième disdine, demie.-.. section, un Neemer pror de:rem:ion etdeus esemds prix, dont ms de lecture hvue.

Tout. nos félicita:m. au maitre et auxerrée...ma pour le beim suecès nulle 99Iremporté..

GrandsOrient. -Soucia0 de la logeLes Césure rénnIs ce mir, vendredi, à20 h. 45 très précises.

Amicale des anciens combatte,te nonpensionnés da Toulon,e etde la HardesGaronne (section Sud). - Tous Ie, an-ciens combattants non pensionnée, edhé.-rents ou non du canton Sud sont .Priésd'assister h ia réuni.. gui m. lieu sa-medi 25 m.. à 21 Laures, ad cati Lam.,place Saint-Michel, mil. du Mem.'

Eutrée pur le calé ou p. Io 150 de larue des Récollet..

?rée..» de rigueur.

Club 7ourin to.tenaein. - Assembléegénéral. mmedi 25 dsai, à 21 heures, caféF'

Tirage rer mn moue ta corridado 7 jui/-let, à Ntmes.

Amicale des Aveyron... - Toue teeAveyronnals ainsi que leur famille sontcordialement invitée assister sa banquetmmuel de l'Amicale, qui aura lieu le di-manche 2 inis à midi 30, dans le. salonsdu mesurant Lafayette, pria du banquet t

30 francsA cet elfe. fis mot priés damieter à la

éunion générale du dimanche 26 mei, àle heures, place du Capitole (entresol), odaserom perçues le ecometsons, comre re-mise de le mute d'entrée.

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Madame A. DARBEFEULLE, néeBuant et ees enfants André et PierreMadame lvtarreLouim DARBEFEUILLEMmure. et Madame joie. ADER ; lesfamine. DARBEFEUILLE. B U AN T.ADER et REY ont la &alma ds vouefaire pan de la perce cruelle qu'as vien-nent d'éprouver en la personne de

Mensieur Atabea DARBEFEUILLEdécéda h Fige de 51 ans, et vous prientde bien vouloir assister à,c, obsèques, quiauront lieu à lingues (Haute-Garonne), prisPagne:, le vendent; 24 mai, à 15 heures,

fi ne mas pas fait d'autre invitation,Sa 2222122291/9-; COURONNES 51014TUAIRF,S :-

A L'IMMORTELLE4, Rue deen-eueu, e - Toulouse

Choix h domicileVerreries de Limonadiers -

La Vie SportiveGRANDE PETS SPORTIVE

AU T.O.E.C.' Le himanche 2 juin 192.1

Nous apprenons avm un vif plaissir que la Société sportive l'Eton-dard de la Haute-Garonne, Organisepour te ainsanche 2 juin, sur le ter-rain du T,CLE.C, une grande iêtesportive, présram par lm autoritésciviles et militaires

Cette belle manifestation sera sansvol Mute une des mieux réussies do'annéeLe directeur do la Société, M. F.

Loaos et le comité de direction ont,à os) effet, mis sur rial no nrogram-me de haute envergure que toute lapopulation eportive et tons los amisdes Sports de Toulmme, viendrontcertainement applaudir au terraindes Ponts Jumeaux.LIGUE REGMONteLE ,

ES PVEENEESLa Ligue d'atbletiame des Pyrénées

vimt d'accomplir un tour de forcequi mérite d'être souligné e

En élaborant son calendrier, ellefixait au lunai dols Pentecôte lusépreuves régionales des grande prixdes jeunes, mais quel ne fut pas sondésappointement lormue le 14,001on apprenait que la finale du onam-pionnat de Fran. de Rugby était

cirfusé ai'

!!!r terroirUn moment il - eut dos tàbnne-

ment. au sein de la L.A.P.: rrials en-gagée par le calendrier déjà éiabli,elle résolut, malaré one tâche dersplus ardues, de surmonter toutes Incdifficultés, et en effet le 20 mai a10 heur., les 6Prenve. se d94784-laient au plus .grand étonnement de,speete-teurs que quelques heures au-paravant avaient assisté à la grande

ÉPeereetAsehrseUsea!rionsufhri:raussi, était Une jonchée do p7.ieurscentaines de bouteilles vidas de bois-sons de toutes sortes; les quatre an-gles du terrain représentant des mè-tres-cubes-de terre étaient égalementenlevés.

Si, en P.eurrence, b L.A.P. tué-HM dee compliments pour son éner-gie et son admirable décision, il estaussi de notre devoir de féliciterchaudement les deux intrépides tra-vailleurs qui ont accompli cette durebesogne, dans un temps aussi courtet qui ne sont antres que le gardiendu Stade Toulousain, Jean Calas-trang et son coéquipier Ssubous

GUIDON SAINT-CYPRIENCe soir, en salle, h 20 heures, édu-

cation physique pour les Jeunesgens candides au brevet de prepa-ration militaire.

Au lège à Hl h. 30, réunionmole de tous les ossiéraires e CircuitGinis; concours de tir de la 17e ré-gion.

DANS LA BANLIEUE

SAINT-SI5IONAMICALE SCOLAIRE. - Ce muses.

amati, 520 h. 4l. reteicer.. sikz.école de cargo, de. minium d'homme.de la ehorde num.

Répétition.(IMetedeggideggitigeWhgg VAttitHgetdosetigig,

DANS LE IlEFAIITEMERAraimM des earear du Gen. - Il est

rappela rreux ...téter.. du. la réunionmensuelle aura lie samodr 25 m., a

20 h. 30.. siège .1.1. celé Fite, arca. CRE.ATION D'UNE STATION DEd. du Cscieale. 9 MONTE. - La Commission eue.-

ord, do je, r compte grad0 morai tom nommee par les prifirreetaffesfiaaneier du raneé. 1938-29 Renoevel- de juments poubnieres de la région,

ement d. Imm.; Distributeur d'insigees a décidé dans sa réunion du 4 maiErant donné l'impormace de la réa.., dernier do demander aux intéres-

La présence de tous est indispeneehie, ars de poser leur candidature Pourremplir les fonctions d'étalonneerde la station.

Ces candidatures devront parve-nir an secrétariat de la Mairie deMuret avant le 31 mai Prochain.

Elles seront examinées par taCommissiou et le choix de Pelai.-vider sera soumis à l'agrément de'association des propriétaires.

MURET

Rallye Suint-Hubert toulousain. - Ré.-mon ce mrs à 20 kerma d» mus lesmembres. ru. du Tees 69.

dréderatim pour les fém. deRieumes, I. elmench. 26 courant__

Chem, de Se, du Sud-Oueet. Liamembre. de la Caisse fraternel/. sontP.,. d'a..as à la rédeirm gémirai, gui

le dimanehe 36 Mai. d 14 heure.aalle du Cercla laïque, rue Red,

ree.. LIRE LA SUITE RE LA CHRIEVI-

errer Cirage.,0,0 idd, /came, avedo, lissa. QUE LOCALE El QUAIMIFor

PAGE.

,,EMER111.........11111091vi

--untormlinimiiiimmiumminummimimmitinummuriminimnimming

Sang pauvre, pauvre santé.Le sang est, en quelque sorte, no nere nul fertilise g

l'organisme. Lorsqua ce neuve manqua «amen. ferlais,sants, c'est-à-dire do globules rouges et de prinemes manda =l'organisme dépérit, toutes ses fendrons sont frappées delangueur. d'engourdissement, et ies impuretés, les mauvaisgerme n'am. plus qu'incomplètement - et de moins enmains - reppauvrtsssement du sang s'accroîtprovoquent de désordres de plus en phis graves.

Les l'Ula.:LE8 PZIK remédient promptement a cetPérie.. rectifiant la qualité du sanar la receern

talion de ses globules roue, et do ses pg principes vivifiantsAinsi. mus Daum. des PII.m.ES15/518. aang racerpérant sa richesse, m pureté, et l'activité des Laotiens étantrétablie, Foruanienne rehouve sa amine condition. vomi un

osremet témoignage de la remarquable action des PILULES

Mus Arthur Dept,s pas ma/ de temps - écrit Mos Arthur Mara, r,(CL Rivierred demeurant aux Garrigues de Solignac (Dordogne) - te

eitudium Pour ainsi dire de partout, tontet de ta tata, teutotOs l'estomac. J'avais des palpitations de coeur '1 )00 atteinte de tro.les neryeux.

R- Lee médicaments, les régimes osa, faisaient rien. Un jour. en parlant Ornes mss..M à un voisin, celuad me conseilhvimmord de prendre des PILULES, PINK.= fini per m'y décider, et ale mem/enragé., ta me tien.. bemerup mieux et l,ame- =_g tiare/one contra.. le mis tris mfistaite des muni. oghnus.

Les PRAME. PRIX sont un remdde d'une efficacité certaine contre t'anémie, -5la neuMsthérde, l'affaiblis...nt général, os goubles delà croissance etr,r1LIrreote,

er..,le:Moauox.freelomae, Roua de tête, irrégularité dee époques,es rooM, 39 francs les

Imam, Otr. 85 de

ooeueuniumennee;auNit:%;_se...0:1:4,:stres

eeeeet

avec chaque pilule,

Spectacles de Tor louseTHEATRE DES VARIETES. - Ce

mir, vendredi, deuxième repréaentation del'opérette à succès qui e. obtenu bar mirun énorme ince. seme tloe,moiouobl,disails.on oui groupe une pléiade d'ar-tistes de premier ogre en tête de LquelieI. fantaisiste Jammes Vit.: le imam pre-mier Willy Admet; le divette Mamelle Pe-eheen; lu Imité:suie Maud hb.Hel.. Ramés, ermellente dansions Heneu, gi le comique Saint-GorgeeiVeldins MM. Puns, Carrère et .telzairel erMlle Lek..., compté.. dans le. rôle

AUX NOUVEAUTES. - Phrs niequelque. représentations avec le céRlareeummeomédim E. Laure., accompagnéde Lise Pont, la charmante commère,dans I. revue e Perla-Paris s.

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Page 4: La rentrée de la Chambre - Toulouseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1929/B... · Quand on songe que ces perdes ... ni avec les idées, ni avec les doc-tricot. 11 ne compta nus

Rhumatismes

Goutte Douleurs

Retour d'aga

Sm de limbefaMees - MoeresME totemstUrpas Paerulats

Toutes les Maladies

de Peau guérissentQuelles que soient leur origine,

leur eacienneté et leur gravité, dèsquelles sont soumises A la reeith.calons sanguine par le DépuratifRichelet, on constate la cessation im-mêdiate des démangeaisons, les croû-tes s'assèchent et la peau retrouve safraîcheur première. Des eczémas secset humides, des acnés rebelles, desbore., des mycosis des escrime ettes érythêrnes esaspérants par leurtenacité ont été ainsi effacés. La "Tee.tification"sanguine de L. Richelet's'exerce avec la même autorité dans.les varices, et phlébites compliquéesou non de plaies variqueuses. Lorsqu'il

a rhumatismes, goutte, sciatique ouumbago, le Dépuratif Richelet agit

encore plus rapidement, car il dissoutl'excês d'acide urique et empêche Pin.crusration des artères (artério-sc16-rose). Les femmes, bouleversdes parte F eu momeot du retour d'âge,appréclent hautement l'aide apportéepar le Dépuratif Richelet qui rétablitll'équillre sanguin en ne permettant(pas les dépôts, origine des tumeurs ou(des fibromes. Des milliers de maladesaujourd'hui guéris ne manquent pas dececoromauder le Dépuratif Richeletà ceux qui désirent aussi être délivrés.

Encore une preuve ;'a Etre gurlrie si rapidement après

avoir endure tant de souffrances depuissu longtemps, c'est d n'y pas croire, etpourtant cela ext vrai. L'eceence qui teesrongeait les deux mains a disparu et,bien que se refais mes (esseves, mesmains sont aussi nettes qu'autrefois.Votre DEPURATIP RICHELET est

mer-veille,,e dans le traiternent des ma-ladera de la peau, je suie heureuse deSoirs le confirmer,

Ms. Georges DEPUIS,Eloy., par Etrceungt (Nord).

En mule Mn. Lou. ..nntre.get' vmn

LIBROS(CONSEIL MUNICIPAL. - Le

coma(' municipal dans sa séance dupancrace a eonstitue ainsi les gran-de, commissions municipales

sen/amen des finances MM.FL rd Georges, Caste). Gaston,

Gu i I la ume, Peyrefitte. J.ephLouis, Saubadie Loua, Ver'

1 Jueques, Denard Henri (S.E.1 ).

Commismos du Cantentieux et durég' ment I Gasquet tiugior, LaientBortiend, Pienon Bernard, RiesJetn, S an Gaston, Pu3o Pierre,S'essaim François, Denard Henri(S E I 0.).

msrission du Totirranse de l'Ursrie publisità Bernard Gess-( .etaing Gaston, Miffm Je-t,- statu Louls,Priaud LouisI isi (e. Sors Henri, Den.,1h, F. 1. 11h

mmission d'entrerace des bas.. ss, des trams m de la voirie, po

sepeurs-pompiers, marchés, abatSoir ( MM. Gasquet Eugee, refontBertrand Pienon Bernard, BibisJears Sanson Gaston, Estoup Jean,Subst.. Frai.), Demy, Henri(s 1 0.1

,Commi sion de l'eau du gaz ot dePéleetrisie MM. Bernard Geor-ges, Lafont Berraaml. Peyrefitte Je-septs Miffre Jmoels Bibis Jean,Sors Henri, Verdelle Jacques, De-nard Henri (SFIO)

Commission se, fêtes t MM. Cas-taing Gaston Périsse Guil/surse,Peyrefitte Joseph, Ries Jean, San-son Gaston, Sors Remi, Verdalle

« Voulez-vous me permettre, met-tre Robin, de vous exposer ce quej'ai à attendre de vous, avec une ri-gidita de précision qui ne put vous-froisser de ma part, je suppose ?- Oh / nues, monsieur Doisy,vous savez, depuis beau temps,que/le confia.e Mi qu'elle admira-tion je nourris pour vous I Vousn'avez jamais eu qu'a commanderpour être obéi I...

Vos désirs ont toujours été desordres I...

.- Eh bien, Sn.. Pierre Doisy,procadons avec méthode 1

a Vous allez, mon cher maitre,aller de ce pas remplir, le plus vitepessible, votre mission délicate, au-près de Mine la marquise de Larive.Et moi, des ce matin, je vais partirà Tergnier, pour m'occuper des ob-sèques de la victime, ramener lecorps à Paris et faire tout le ni-cessaire I

Le notaire s'inclinait à. nouveau,en signe d'acquiescement.-En plus, je voue PIX's LM.

heques, Damer ( . ..Coraralelon '''raistan., lois so-

cial« t Ormes. ',Tène, Latent Ber-V.,frm Joseph, Tienen Ber-

sa ,l 'Saud boula, Pion Pierre,BabFreees François, Denard Henn(a s 0.).

Ceannisei es ternira MM. PiernonBernas& GaaqueS Buten., Pésisa4Oraillemese Pm 1 Louis, Bibis J.,reeeen- Itme. rein Pierre, DenardHenri C.F.I.O.j.

Conm Nsion scolaire : MM. Ber-nard Ge:Orges, Latont Bertrand, Pésris4 Guits-ss Piraud Louis, San-son Gaston, Saubadte Lems, Verdet-le Te.enues,Dess-1 ',sri (S.F.I.O.).

(hune:Grée Thermes t MM,Ts.tsis- Gastan et Sanhadie Louts.

SauCcat de la Pique t MM led.teur Germès et Saubadie Louis.D'Es. conseil â la fanfareM. Mengerdon Pierre.

Délées' (in bureau de bienfaisanos raasel (S.F.I.O.). etPienon Bernard.

Délégués de l'hôpital thermalMM. Miffre Jo.ph et Peyrefitte 10-

d. le maire a ensuite '11. Phisto-nique ds la question du Casino etannoncé que M. Dufrènne. riseesralttoetsv explications - -^" qat seréunira eseh- " 5 15 heures an Coo

AUX THERMES. - Tant que la sai-son n'est pas commencée, et que nos

critiques ne nsquem P. de P.., Pràjudice à la station, nous avons le droit denous plaindre du sans façon aceslequelsont traités les Luchonnais ayant droit.à l'établissement thermal.

line seule salle de die baignoires esrmise en service, avec un personnel nouri.cernent insuffisant, réduit à an seul bai-gneur, une saule bargneuse. Pour obtenirune dombe il fcueilm diplomate. Dimasche mati, vingt-cinq persosnes. Pendentl'atteate d'une heure qui leur fut imposée.eurent le loisir de contempler les heign44-res vides. qu'on se refuse à mettre en ser-vice, à moins que. perdant panence. cer-tains n'aient préfiré se retirer sans se bai-gner. Le linge chaud d'autrefois est av-tourd'hui inconnu, on obtient un arasera)froid et pra de ...ratte. jasera nra,,la aPétablimement pareille incurie, ou bien ce

si serait ris de 1 paS d'un directeurénesser ., pareil mépris de la Posa/a-

nonNe sourrasen. au moinv dans l'sprès-

midi de samedi elle matinée du &man.che Faciliter leur ban de propreté aux tra-vailleurs, seulement libres ces joute-là. enmettam deux salles en service. C'est unequestion que nous posons à la minorité duconseil. avecI cecoe qu'elle voudra bienla résoudre.

SAINT-LYSREUNION PUBLIQUE. - Ainsi

que nous I as°. annonce par affmohes, une grande résMon publiqueet contradetoirs aura lieu diman-che après-midi. Cette réunion stest organise par la feseration enjeunesses soma:listes de ia Hautes

Garonne a pour but la création d'unesection de jeunesses socialistes àSaint-Lm.

Nous esperons que les jeunes deSaint-Lys et de la région viedrontnombreux écouter nos orateurs quieue expliqueront ee que nous som-mes et ce .gse nous entendons Mali-cor; ils v indront nombreux éeuterles porte -paroles de notre fedérationqui leur expliqueront ce qu'est leSocialisme et sui feront justine doe7tes les atteques dont il est l'ob-

Par leur adhésion spontane, ilsprouvmont que tes jeunes ((adenttoujours eller de l'avant ; Ils fe-ront enteedre aumi qu'Ils ne veulentpas être toujours les crêve ferrad'une société où il n'y a pas de justisce, et qu'ils veulent travaillerPavéneinent d'une s.iété meilleure.

EHAUNI

SUCCIES DEMOCRATIQEE. -L'house crepusculaire dune bellesoirée de mai, voit dans notre

gen-

tille cité, l'aurore d'une politiquenouvelle.

Los habitants de Chanin, s'écou-lent vers la maison commune, pous-sés par ce vent de démocratie quid'un bout â. l'autre des rives de laGaronne vient de souffler.

Nombreux sont les citoyens, quiassistent â l'élection du maire et del'adjoint. L'ancien maire installe lensuv.0 consei/, M. Cases doyend âge prend la présiden., et PierrePujo est désigne comme maire leohoix de l'adjoint se porte sur Ge-rea.

Jusqu'ici chacun avait 016 mode-rément r6publicain, depuis long-temps, il sonservait ses positionsdans un parti bâtard qui oscille de/a droite à /a gauche. Le coup a étédonné, le pas en avant est fait, lavraie demeratie triomphe dans lechoix de nos deux édites. Le soda-

assez éloquent auprès de Mme lamarquise de Lamine, pour la per-suader qu'elle a Intérêt â nous re-cevoir, moi et ma mère qui est âParis, dans la matinée même I Ce

j'ai'ai S. obtenir d'elle, j'Y liensabsolument I

Je la préviendrai de votre vi-site, monsieur Doisy... Il est hienentendu qu'aucune allusion tt l'in-famie dernière de son Ils ne serafaite, devant la malheureuse mère?

- Naturellement IC'est entendu I Je m'emploie-

rai â la prévenir de votre visite.Et puis ?

Vous avez souvenir, malt. Ro-bin, des cinquante mille francs queje constituai en dot, /ors de sonmariage avre le comte ; k la jeunemodiste de la rue de la Paix ?- Cert. I

Il ne doit plus, évidemment, eurester un sous.

-Oh I depuis beau temps t ap-prouve Ilicenme d'afferme

-114enrnoins, le fonds de cern-

-e COLIQUES HEPAIIQUES

ec..wen.nteree2, Me rorm.

liens penbire dans no, mass. eu-mains; ces dernières comprennentqins le parti radical fait par intérêtêleetoral, un épouvantail de nosdoctrines.

Nov agriculteurs savent que le so-cialisme seul peut leur donner learédorme dêmocratiques, néessm-res â leur bien-être. Après une luttevaillamment .nduite, Chaum nousest conquie.

Pierre Pujo n'est-11 pas dansCbaum le vrai doctrinaire socia-lise? Il pratique tous les jours cesprincipe.

Très serviable, les malheureux,les humbles trouvent toujours sesportes ouvertes, tt compatit à tou-tes les souffranc., al tout le mondepeut s'adresser à la gSnérosité de

Î"rsusu'e de le Munion une gen-tille fi/le offre au nouveau maireune superbe gerbe de lieurs.

L'éclat de sa victoire la maturitSde son &se lui font un devoir et unp/aisir de déposer sur les Joues ro-ses de cette dêlicieuse enfant, unbaiser paternel et de reconnais-SanCe.

A nos deux édiles et au cori,, mu-niripal nous adressons nos plus sin-cère félicitatinns.

MAISFItES-TOLOSANEREMERCIEMENFS. - Le Parti

socialiste sort de la lutte électoralegrand/ en adhérents et en Clos,

Il est Inc des résultats obtenus,sel manu sent un avantage énorme

sur les élection& municipales de0e25. 11 en est d'autant plus fier queses candidats ont lute contre unmur el argent.

Il adresse ses chaleureux remer-ciements aux électeurs qui,

sortre tout, ont affirmé leur foirépublicaine en votant pour le part,d'avenir, de heti. ml d'égellé

Les élus sorislistes sauront, ausein de l'assembtee Inuneipale, san.vegarder les droite de chacun 'touten gra-fiant leur independance et/eus digarth

Citoyens, la campagne êlectorateest terminée; paix 55m seadres: supied du mur on voit le maçon; auredressement de la commune deMartres vous lui mes vos Ci.. -',porte, Pellogria, Ajuste.), Bals-resque, Baube, Soueix,

BELBEZE-ESCOULESELECTIONS. - Notre camarade

Albert Brenta, ingénieur à Teneuse,propriétaire à Relbéze-Essoulis, aété réelus maire de cette commune,le 19 me, â %nanti-ME des suffra-ges du conseil munisipal.

Ont été G. adjoints, â l'unani-mité ; pour la seotion de Belbeze,Didicr Duclos, ouvrier panetier:pour Io section d'Escoulls, Jean-Marie Feuilleret, propriétaire.

TIRE,BRAVO ! VIVE L'AVENIR DE

THIL I - Cette SocSétê, partie auConcours International de mushnsede Marseille pour se faire déclasser,a été inscrite en 3e division, 2e sec-tion.

Honneur à ces jeunes exécutantssous .15 direction de leur crin-

pendu.ee ohsf, ont obtenu un clas-sement digne de tout éloge

Noue wurenoca donc avec plaisirque, dimanche prochain 26 saurant,cette Société, ave tous les mem-bres présents au concours, donnerasous le hale, 1 4 heures, un con-cert suivi de bal, offert à ses mem-bres henoraires.

Dans te programme n Phébé D,de Andric], e Provence z, de PaulVi/lers, morceaux imposés et cou-ronnés au Concours de Marseille.

Alto Ir co.ncert, bal à granderrhestre de jous et de nuit. -

Femme tonioura, meilleur accueilson étrangers.

VERFEILUNION SPORTIVE VERFE/L

- Tir. - Vendredi 24 etsamedi 25, tir d'entraînement autoril Lebel, à 10 heures et demie, envue du concours dos S. A. G. du26 juin.

- Réunion générale de e S.iété,samedi, à 20h36,30.

Ordre du Pile t Coucous/ de tirdu

lendenisiladésignatiost définitive

des deux deléeStions; tombola; concours d'athlétisme de l'Union fêtedu 2 juin, sues le concours de laTarnaise, de Laveur, et de l'Unionsportive ...Sen.; programme da-

merse exploité par la jeu. Mmeon LarRe doit avoir une certainevaleur ?

Assurement... 11 n'a pas dépen-du de Tiburce, depuis quatre ansqu'il ne soit vendu 1 Mais j'avaisétabli le contrat de mariage ds tellelases que la comtesse pouvait seu-le en disposer I

- C'est parfait I Et quelle sommepensez-vous en retirer, maître Ro-bin ?

Peuh I... Une centaine de millefrancs, peut-être I

Bien !Je vous prierai de m'ac-corder votre ministère Pour quecelte situation soit réglée le plusvite possible

Elle le sera à valse satisfac-tion, monsieur Doisy.

- Maintenant, termina PierreDoisp. en se levant... (clous dis àdemain, nu à soir. si je suis ren-te à Paris dece bonne heures. Nousn'ayons ni l'un ni l'autre de tempsà perdre I

Et Me Rabin, se leva â son tour.- Dêcidêment, dit-II, sa manière

gres"Zee''é at trurrde sortir,

vnenie de la famille de berme, mon-

sieur Doisy I

Rsitif, dispositions it prendré, pro.jet de fête de pie. air de le ims:déplacement éventuel de Mazamet le15 juin; élection du secret:lire gémi-rai ra emplacement de M. Gay;ad/lesions définitives sas fêtes deTarbee et de Revel; projet de con-coure de tir pour le 14 juillet; reglement des cotisations; questions

diverses, - Le secrétaire adjoint,Berthomies

COURS DU R P. M. E. - Le bu-re. se ru. S. V. rappelle aux Jeu-nes gens du canton que seuls par-tent es octobre pro.ain les jeunesgens sjosrsee et pris bons cette an-ere, les jeunes gens de la Casse1928 et ceux nés au moins de jan-vier 1909. Tons les autres conscritsde la classe 1929 qui désirent Partircette aspre doivent obligatoirementPosséder lé B. P. M. E., qui auralien à Toulouse, au début d'août.Des -coma sont organises par l'U.S. V., sous la direction de M. Mar-misé, moniteur départemental.

REVEL

APRE.S LES ELECTIONS. -Bien que l'incident que nous allonsrelouer ne se sotpas passé dans no-tee Marinante vile de Revel, II eutpermis de le relater poce enIre leçons qu'il comporte.

Figurez-vo., lecteurs, un joli vil-luge â flanc de côte., le Pomartsde, nom chantant comme les noms deGascogne et de Bigorre, nom mslo-dieux comme notre midi des cigales,et des rossignols. Tant d'acrimoniepouvait-elle entrer dans tant d'hemMonie et cependant.

Mme E. M., femme de l'ancienmaire radical dit-on, et on dit biendes chansons, mais ses l'harmonieillet ernoLs mares parle, eUerm,enotztllia

celles qui muselant les gens du

hTiledelaavrt':o..n linge dans me ma-re, dont Aristophane eut chanté lesabords .pleine d'ajoncs. L'onde n'é-tait point pure ainsi qu'au plus

ubeau je 'r ; les libellules ne s'y abat-taient pue; il y avait des nouagesde moucherons, des moustiques âl'épée acitee, pets à jeter le dardempoisonnS des malarias et des fiè-vres tiphoïdes Vous me dires, teeeur, où Mut donc en venir ce dia,Ide de jourealiste

P y arrive lecteur t Madame E. M.lev .11 eue linge blanc nomme Nau-sicaa, quand Mme B., femme dumaire triomphant, précipita commeun nymphe MS. M. dans les flotsbourbeux.

Et grenouilles de sauter dans leursgrottes profendes et d'aller . noyerda. la vase, av. la directrice érni-.

gMais le plus mauvais de l'histoire,

fut une gelée ite coups de pieds etde poing, aue nous deplorons amère-ment dans notre esprit pecifspe eutse refuse à voir des ennemis da.ce coin champêtre où la nature en-dort sa douce sollitude, sur les bordssi charmeurs de cette tant délicieusemare, aux flancs du joli côteau dela Pomarède où po...nt les joliesfleurs printanières.

Il est regrettable de voir tant dehaine ; no. exhortons ces deux en-nemi. à entrer en éeonciliation Laprszle doit .être persuasive et nonf ante. je vous exhorte, Mesda-mes, au nom de le charité sosialiste.

En dernier Gels nous apprenonsque ts gendarmer. de Caselnauds,y, sesessesesportés raie les lieux. -

Sie),PORTET

SUCCE,S SCOLAIRE. - Nousavons appris avec plaisir le suce&sibtenu à l'examen des bourse na-tionale par es Slèves de l'école ps-blique de fIllos.

2e skie. - Rayrnonde Galet etRenée Faure.

Se série - Marthe Druilhe.Nos sincères féticitations â ces

bonnes élèves ett à leurs maîtressesdévouées.

GRENADE

L'ORPHEON A L'HONNEUR. -Le seiété chorale a Les Enfants deGrenade vient de remporter auInternational de musique de Mar-seille, un magnifique suceSs.

Malgré le nombre restreint de seschanteuss, nos puissantss et clairesvoix des horde de la Garonne onttriomphé des sociétée trois fois plusnombreuses,

L'ardeur et le Isenu courage rie nosorphéonistes ont été appréciSs etvomi d'après /e palmarès, les recoin-pense-s qui leur ont été décornée tler prix desémtion avm félicita-tion du jury ; 2e prix d'honneur(2 médailles de vermeil); ou min dedessale/ a été accordé à M. PaulSabathié, directeur de l'orphéon.

Nous connaissons tous les déboires

IX

LES DEUX GRAND'MERES

IIlles y,/tees''denter MateMme de Grandehampdier, l'amie in-time de H marquise de Larive et saseule confidente. Elleu vmaienl dequitter la marquise, à l'arrivée dome Robin.

Et toutes les pensionnaires de lamaison de retraite de Neuilly com-mentaient, avee effroi et une com-misération pitoyable, le terriblemalheur qut la frappait I

La mission enflée par PierreDoisy b Me Robin avait MS simpli-fie.

C'est par une indiscrétion du per-

lenlmoile, dès huit hmrrs du 'de la catastrophe de chemin de feret de la fin lamentable de son filsunique 1 Et lorsque te notaire sefit annoncer ' ches son ancienne«este, g y avait déjà une demi-heur, Mole Grandehanipder etquelques autres petites vieilles con-smatess du mieux qu'elles peu-..., la pauvre femme prostréeastis sa douleur, et comme anéantieFar !a fatale nouvel/a I

Ouend la femme de service vint

et toutes les embu.ea qui panaientconstamment cette venante sociétémais nous savons la ténacité et Tar-deue da ces - qui n'a d'égaleme rames: de l'art et 60114-- de lui apporter nos bics

vives et aincMree felieitations.Qu'il nous soit permis d'adresser

ttpti ch1hui61145.

noes le savons, la récompense de seseffort, '' ictlrneeée

MONTESQUIEU-VOLVESTREANCIENS COMBATTANTS NON

PENSIONNES. - La section deMontesquieu-Vo/vestre, de l'Ami-cale des anciens cornhattan.ts nonpensionne, donnera le samedi soir,25 mai, à 9 heures (heure ancienne)unereunion dans la salle de la Mai-

Le camarade Bourdou, du ComitéMpartemental, présentera /es re-vendications de anciens combat-tants non pensionnes et fera un ex-posé de la eituation à ce jour del'ancien combattant

Nous invitons tous les analeencembattants sans distinction à ve-nir assister à cette réunlon. Ceuxqui n'ont pas encore fait leur de-mande de carte de combattant, Sontinvités à porter leur livret mili-taire, ou leur fascicule de démo-bilisation.

CAPENSFIFFTION DE I-A MUNICIPAL1TE.

- Le conseil municipal e. réuni Pà.déragner le maire et l'adjoint.

A l'unanimité, notre camarade Dorhes aété élu maire.

Esalenent à l'unanimité. notre camaradeTrinqué a Né réélu adjoint.

Pour célébrer la victoire socialiste, lanouvelle municipalité a décide d'offrit. dl-manche 2, mai, à la jeunesse de la comsmune et des environs un grand bal, dejour et de net.

A tous, le meilleur. accueil est réservé.

MANCIOUNREMERCIEMENTS. - La section soda-

iste de Mancioux, nouvellamem forméeconquis complètement la mairie, aux deuxmurs de scrutin des 5 et 12,1.5.

Lee élua adessent leura chaleureux re-merciements atm électeurs qui les ont ho-norés de leur confiere, et murent se mon-trer dmnes de la vo/onte populaire.

Ils ne seront pas Pari.us à là..nra.ses. Le. fie du peuple raurant dense)la meuve de leur attachement aux intérêtsde la commune. et de leu esprit de justicesociale pour tous.

Vive Mancioux I

Vive la République eociale I - Lesélus r Sima. Jean, Castex Jules, LarruéPierre Caubet Jean, Carsalade Honoré,Acier Jean, Techène Germain, DambrunJean,

AUTEDIVEELECTION DE LA MUNICIPALITE. -

Dimarhe dernier 19 courant, le conseilmumcipal s est réuni pour procéder àl'électron de ta munkipalité.

Par dM-huit voix sur dix-neuf votants.deux consetlem municipaux absents s'étantfaits excuser. notre camarade Roques, se-crétaire de la .ction auteriveine a été réélumaire.

Ont été élus ensuite à La majorité dessuffrages prener adjoint. M. Déjaandeuxième adjoint, M. Coma, troisième ad-juive. M. Gleroel,

merde .a collègues de la nouvelle mar-que de confmnce et de :grima:Me dom ils

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la pravenir que Ma Robia deman-dait it la voir, /a marquise de Usai.vsse redressa du mieux qu'elle put.Son pauvre visage fripé, usé per lavie, vieitli par les tourments, s'é-claira brusquement d'une dignitérecouvrSe, reconquise 1

Mie étancha ses larmes, Pair Pa-raître forte, devant l'homme quiétait Punique témoin de sa déchéan-ce, si stoiquement supportée, el Prisdune voix fele et PieSable. Mmede Grandehampdier et ses compa-gne. de se retirer,

Me Robin apportait, dans sa vel-te, tout le tact necessaire st toute/a pitié discrSte ene la situationmg:num:Lait. Il eut tut mouvementgénéreux de sas deux bras ouvertspour enserrer la marquise debout,venue â sa rencontre, et l'aeoladefrémissante et respectueuse qu'ildonna â la pauvre mère renfermaitda. un strict et pesant PenseIodles lee paroes inutiles d'uneconsolation superflue 1

Et es fut la marquise de Lesivaqui eut e triste courage de parlerla premiers( et de lm dire, an luidémenant l'unique fauteuil de sael/amre t

- Je voua remercie du fond ducour, malt. Robin, de ne pas m'a-voir oubliée/ Votre visite m'est pré-cieuse, comme l'unique réconfortque j'attendais de ma vie passés etça m'est une rente latins qu'elle nem'ait point fait défaut I

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Le autelse s'assit et répondit avecémotion t

- Croyea bien, madame de Lesivasue je compatie à votre douleur et

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le"gprem ?elpeur r vonepuass

apprendre aces pesant/on la tristenouve/les, que d'asthme vous ont

1 se. ménagements I dit-elles. Et la chose m'a frappée à lefaçon d'un coup de foudre quaueitnorage ne faisait prévoir I C'est lafemme de servi., en m'apportantmon café au lait, oui m'a montre lesjournaux.

Puis surmontant hérdiquement sadouleur poignante, le pauvre viellefemme interrogea

- Avez-vous quelque nouvelle àm'apprendre que je ne sache point,comme tout le monde par la presse

r. a 'iast,trro°1?vietion3 relYre.rf.1tburceImnues ?

Aucune, Madame I J'étais venuvous apporter ta faible consolationde mon mnitié persévérante, daoe lenouveau malheur qui vous frappe si

dcLupo.e eiuomen ,nt. et me mettre à votre

Je vola se/nesse, fit la mar-quise en bd tenaient sa main trem-blante. Une femme seule, eband.-née du monde entier, comme le le"'sate; Usa% ptrouênibelre poeuureffe'efessarartdan' ellices-casernent de tent ce gus Peregetastrophe entralne I

-- Ne vous préoccumea mole dequi est au-dess. de cos force,1e notaire. D'autres y po,,,utaroaet y ont «Mt PàvvrV.

- Oui, dit ta marmss, ,Aittdeux 50111P1.3 sersc UMM muse de.'gueuse, car son mépris s'Oieêtnangement la sa douleur mstendej'oubliais que Tiburce amis feu.,sua sonsPeg. L.

- Pat rom.° et Un enfant, 194'eise le tabellion sive intention.

Le regard de la pauvre grand'mère se voila d'une larme nouvelle,mais elle ne releva pas l'intentiseCLIC El' Rabin avait mise da.phrase, /I était clair qua

l's_9re1`7...mê

ss''indomptabe de lamamerqui.P. toast

Ss,j;rive ne desarmaltla mort et qu'lu-dessus de sa EL-/silo amiffrance, cet orgueil la 'terainait de toue sa hauteur quertà Poevait abattre,

Il eut la prudente habiletepas hmister et tourna, se ricroyait habile arec.

- D'autres, madame, das lamitre heure ont pris en matera.charge qul leur fait honneur. Ne:devines qui je veuxpas, madame de Lesiva ?

- Nos, je ne devine pst,51.3.ed.e.ale 3,4..Sees et hm/G

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