Janvier ZOOS

Nous voilà déjà en 2005.

Une nouvelle année qui commen­ce avec encore de nouvelles ambi­tions pour tous.

Le conseil municipal a déjà voté le mois dernier le budget de la ville. Un budget ambitieux qui nous permettra de poursuivre nos ef­forts pour l'amélioration de notre cadre de vie, d'optimiser les ser­vices apportés à l'ensemble de la population, de valoriser notre poli­tique en direction de la jeunesse, de soutenir l'action de nos associa­tions, d'exploiter les avantages des nouvelles technologies.

Notre volonté est de pérenniser et d'améliorer la qualité du cadre de vie de notre commune tout en étant très vigilant sur la pression fiscale.

Notre ville a bien grandi. Pendant 30 ans elle s'est développée et nous avons accompagné cette for­midable expansion. Le temps est venu àujourd'hui de la peaufiner, de l'adapter à l'évolution de notre société, de lancer les derniers équi­pements indispensables et de trouver de nouvelles destinations

. à. d'autres, de sécurisér no;ru~s, d'améliorer notre environnement, de tisser un lien social durable et une solidarité exemplaire entre tous les ignymontains.

C'est en étant sur le terrain, à votre écoute, attentif à vos de­mandes et vos préoccupations que je souhaite m'engager avec vous dans les prochaines années pour que Montigny reste la commune où l'on vit le mieux dans les Yve­lines.

Du fond du cœur je vous souhaite une très bonne et heureuse année 2005.

Michel LAUGIER, votre maire

t One-man show ARTURO BRACHETTI, UNE SÉANCE DE PLUS

page 12

t Budget 2005 QUAND LA VILLE INVESTIT

t Fin d'année

page6

UN NOËL D'AGAPES ET DE PARTAGE

pages4et 10

:-: ·: · ..,.. -

Le journal ae Montigny-le-Bretonneux

La panoplie C:Ompl.ètè ~

au Club le Village

Découvrez ou redécouvrez un lieu qui en offre plus qu'on ne pense. pageS

t Rétro LES POINTS FORTS DE L'ACTUALITÉ 2004 À MONTIGNY

t Festival LE POLAR S'INSTALLE DANS LA VILLE

pageS

page 13

t ASMB Volley LA SECTION QUI A TOUT D'UNE GRANDE

page 14

L'ignymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux -tél: 01 39 30 31 32- fax : 01 39 30 31 33- mel : journal@montigny78.fr retrouvez chaque mois l'lgnymontain en ligne sur le site internet de la ville http://www.montigny78.fr

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, ..

SOMMAIRE page l ACTlJ :

Montigny 2005 à la jumelle. page-.ACTU;

Retour sur le marché de Noël - Diplômés du travail - Noël solidaire du CCAS.

pages ACTU: Dans le rétro de 2004.

~6 ACTU: Le budget municipal2005 approuvé- Les tri­bunes des groupes du Conseil municipal.

pagt7 ACTU; Renouvellement du Contrat Enfance entre la ville et la CAFY- L'association Arbratextes -Le cinquantenaire de l'association Enfance et Familles d'Adoption - En bref.

~es Acru: Zoom sur le Club le Village.

page 9 ECONOMIE: LEO Pharma, éthique et pharmaceutique -Etes-vous tatoo ? - Virgin recrute à SQY Ouest- Une nouvelle table à Montigny.

,.1o et 11 QUARTIERS : Du bio aux Prés - Noël dans les quartiers -Fa th el Kir, l'épicier du Pas du Lac- Aléina, de la suite dans les idées -Avec les courts d'al­phabétisation - Rééduquez votre écriture.

pages12et13 CULTURE: Arturo Brachetti double la mise- Le Festival "Polar dans la ville" s'annonce - Les lauréats du Salon des Arts - Exposition italienne -Mauranne était à la Ferme- L'actualité.

pages 14 et 1S : SPORT Retour sur le Téléthon 2004 - Sport et dé­tente au centre aquatique - Zoom sur I'ASMB Volley - Un Marrane cocardier le 7-Taï chi à 100% - Les Défis de Noël.

page 16 JEUX-ANNONŒS

Benjamin Gates et le trésor des Templiers 2004 (2h10) Film d'aventures américain de Jon Turtletaub avec Nicolas Cage, Justin Bartha ... Perdu depuis plus de 200 ans, le trésor des Che­valiers du Templier fait partie de ces my­thiques légendes. Ben Gates, archéologue et aventurier, se lance à la recherche de ce trésor.

MER 5/01 (17h et 20h30), JEU 6/01 (20h30) SAM 8/01 (20h30), DIM 9/01 (15h)

Les temps qui changent 2004 (1h3o) Drame français d'André Techiné avec Catheri­ne Deneuve, Gérard Depardieu ... Antoine est envoyé à Tanger pour superviser un chantier. Il y retrouve Cécile ... Ils se sont ai­més il y a trente ans, se sont quittés, et ne se sont jamais revus. Lui n'a jamais su oublier, ni guérir.

VEN 7/01 (20h3o), SAM 8/01 (18h) DIM 9/01 (18h et 20h30)

Holy Lola coup de projecteur 2003 (2ho8) Comédie dramatique française Bertrand Taver­nier avec Isabelle Carré, Jacques Gamblin ... Le récit d'un désir d'enfant qui entraîne un jeu­ne couple, Pierre et Géraldine, au cœur d'un voyage initiatique au bout du monde, dans un pays martyrisé par l'histoire : le Cambodge. Pour eux, commence une aventure éprouvante et formidable. MER 12./01 (20h30), DIM 16/01 (15h et 20h30)

Les Dalton 2003 (1h26) Comédie française Philippe Haim avec Eric Ju­dor, Ramzy Bedia ... Quand les Dalton, les bandits les plus foireux du Far West, décident de dévaliser une banque pour faire plaisir à leur mère, leurs ennuis ne font que commencer. Après une évasion de pri­son, les quatre frères traversent la frontière mexicaine en quête d'un sombrero magique qui leur permettra d'arriver à leurs fins. Mais le parcours est semé d'embûches et Lucky Luke est à leurs trousses.

MER 12./01 (17h), VEN 14/01 (20h30) SAM 15/01 (18h et 20h30), DIM 16/01 (18h)

URGENCE SAPEURS-POMPIERS: 18

POLICE SECOURS: 17

SAMU: 15

CENTRE DE SECOURS ET D'INCEND IE Tél. : 01 30 69 39 oo

POLICE MUNICIPALE Tél. : 01 30 57 57 57

TÉLÉSURVEILLANCE Tél. : 01 34 86 26 oo

COMMISSARIAT DE POLICE Tél. : 01 30 48 26 70 OU 17

GARDES DE NUIT MEDECINS

Té l. : 01 30 57 90 45 OU 15

PHARMACIES Commissariat

de Guyancourt Tél. : 01 30 48 26 70

CENTRE ANTI-POISON Tél. : 01 40 37 04 04

DÉPANNAGE D'URGENCE EDF Tél. : 01 30 50 88 54 GDF Tél. : 01 30 50 8o 72

SOS ENFANTS MARTYRS Tél. : o1 45 83 75 56

Un petit jeu sans conséquences 2004 (1h28) Comédie française de Bernard Rapp avec San­drine Ki beria in, Yvan Attal. .. Claire et Bruno forment depuis douze ans un couple établi, une "institution". Au cours d'une journée à la campagne réunissant tous leurs proches, ils vont, par jeu, prétendre qu'ils se sé­parent. A leur grande surprise, ils s'aperçoivent que personne ne croit plus en leur couple.

MER 19/01 (20h30), SAM l.l./01 (18h) DIM 23/01 (20h30)

Massai 2003 (1h3o) Film d'aventure français de Pascal Plisson avec Ngotiek Ole Mako, Paul Nteri Ole Sekenan .. . Le passage d'un groupe d'adolescents à l'âge adulte. Confrontés à une sécheresse qui met en péril la pérennité de leur peuple, les anciens sont convaincus d'être victimes d'une malédic­tion du Dieu rouge, le Dieu de la vengeance.

VEN 21/01 (20h30), SAM l.l./01 (20h3o) DIM 23/01 (18h)

L'empreinte de la mort 2003 (1h26) Film d'action américain de Philippe Martinez avec Jean-Claude Vanda mme, Simon Yam .. . Un ancien membre de la mafia va entrer en guerre contre une triade chinoise après le cri­me odieux et brutal de son épouse. Ce meurtre horrible le hantera jusqu'à ce que justice soit faite ... sa justice. MER 26/01 (18h et 20h30), VEN 28/01 (20h30)

SAM 29/01 (20h30), DIM 30/01 (18h)

L'Invraisemblable vérité (Titre original : Beyond a reasonable doubt) 1956 (1h2o) VO noir et blanc dans le cadre du festival du Polar. Policier américain de Fritz Lang avec Barbara Nichols, Dana Andrews ... Un romancier célèbre profite d'une superche­rie organisée par son futur beau-père contre la peine de mort· pour assassiner son ex-femme qui le faisait chanter.

DIM 30/01 (20h3o)

Plein tarif : 5,20€- Tarif réduit : 3,40€ Carnet de 10 places : 34€ Rens : 01 30 4410 11 (répondeur) ou au 01 39 30 31 70 (Direction de la Culture).

L'lgnymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Michel LAUGIER, maire Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats- 78180 Montigny-le-Bretonneux

Tél.: 01 39 30 31 30 Fax : 01 39 30 31 33 courriel : joumal@montignY78.fr

Directeur de la rédaction : Yann Pasco Rédaction : Y. Pasco, Sandra Duranteau, Elvi re Dauberville, Catherine Maraone, Emilie Nantet

Photos : Catherine Maraone, Yann Pasco Conception, mise en page: Y. Pasco Imprimerie : SEM IF HEBDOS: bd des Champs Elysées- 910ol Evry Cédex Distribution PTI Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros- contactez le Journal ISSN : 1241-6053

Tir~ A 19.00

exemplaires su papier recyclé

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Vendredi 7 Galette du conseil de quartier de la Sourder1e-Nord A partir de 19h3o- Ecole Albert Samain

Samedi 8 Match de hand-ball féminin national 2 ASMB hand-ball 1 Celles sur Belle 2oh - Centre sportif Pierre de Coubertin

Lundi 10 Cycle Colmalssanœ du Monde : ~,VIenne, Budapest" 14h et 20h3o -Salle Jacques Brel

Mardi 11 Confé'enœ d'histoire de rart : "la modenlté à New Yoric'" 2oh - Conservatoire des Arts

Vendredi 14 Galette du conseil de quartier de la Sourderfe-Sud Maison de Quartier Louis Jouvet

Du samedi 15 au lundi 24 Exposition de M. NEAU : •En1:Je fel5 et tatre• 14h-19h en semaine, 10h-12h et 14h-19h le week-end - Maison Félix

Lundi 17 Vœux du maire aux personnalités 19h - Ferme du Manet

Mardi 18 Soiree Coup de cœur théâtre : -rango• 20h30 -Salle Jacques Brel

Du mercredi 19 au samedi 29 Exposition : Romano ZANOTn et Rlccardo UCATA Horaires d'ouverture- Conservatoire des Arts

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ErA r NAISSANCES 15 novembre

15 septembre LANOE Elsa 16 novembre

BOUDEVILLE Lilian PAILLEUX Celia 2.0 octobre VERNIER Johann BRAMMER Kelyo 18 novembre uoctobre ULLIAC Jossel in CA TAN Yanis COQUARD Loïc 1« novembre 19 novembre CRENIAUT Anaïs DURAND Gabrielle 2 novembre 21 novembre MONT AGNON THIRARD Amélie Cyliana HAMAM Sheliane 3 novembre 2.2 novembre SCH KLARTSCH 1 K ARMAND Thomas Ethan BRIENT Dylan 6 novembre 24 novembre GOLLES Maxime LEMAIRE Mathilde 7 novembre 25 novembre VAU RES Valentin LUTRAT Juliette 8 novembre LUTRATThéo BOUST Matthieu 26 novembre MAISONNEUVE FABIOUX Marvyn Charles-Antoine 2.7 novembre 9 novembre LAATIRIS Salma BOURAZMAT Sofia 30 novembre 10 novembre BOUFFARTIGUE COULBALY Mohamed Adèle 11 novembre 3 décembre NAAMANE Norah LADUNE Corentin KIRCHACKER Ambre 5décembre 13 novembre DKHISSENE Inès SAVIN Chloé

loor

Samedi 22 Remise des prix du concours des Illuminations 11h - Hôtel de Ville

One man show : ARTURO BRACHETTl 21h - Ferme du Manet COMPLET

Dimanche 23 One man show :ARTURO BRACHETTl Dewclène représentation 15h3o - Ferme du Manet

Mardi 25 ConfErence d'histoire de l'art : Jean Hélion 2oh - Conservatoire des Arts

Du mercredi 26 au dimanche 6 février 10' Festival POLAR DANS LA VILLE Voir programme en page 13

Samedi 29 Conférence en famille : Pablo Picasso :

·Les Ménlnes d'ap~ Velazquez 17h - Conservatoire des Arts

Match de hand-ball, féminines national 2 ASMB hand-ball/ Altortvllle 2oh - Centre sportif Pierre de Coubertin

~tre : • Devinez qui ? • 21h - Ferme du Manet COMPLET

Du samedi 29 au dimanche 6 février Exposition de VIvien Chauvet : "Adieu• 10h-12h et 14h-19h -Maison Félix

Mardi 1" Spectacle jeune public théatre •Chapeau Mlster Holmes'" 2oh -Salle Jacques Brel

CfVfL ROERE Louis 6 décembre DUCROQUET Iris DUCROQUET Lola ORIOU Emma BIGOT Damieo 7décembte ­GIAQUINTO Anthony TALVARD Camille JANOT Quentin

MARIAGES 2.0 novembre Michaël GUITTARD et Véronique FILLION 10 décembre Yahya OUADI et Mor­gane TREUSSART 11 décembre Emmanuel DANIAUX et Marine LEFEVRE

DECES 10 novembre PRADET Alice 19 novembre CHARTON Geneviève BLANDET Gé'rard. 2.1 novembre- ~ GROSBOIS Lionel 24novembre HAMDI Saïd 30 novembre LACHAUX Yolande épouse LEFORT 1« décembre ROSSIGNOL Nicole épouse ROBERT LE COZ Jean-Marie PERROT Pierre 4décembre LEBRETON Serge GRASSET Pierrick 7décembre ABBAS Kamel 8 décembre HERVE Marcel LIBERTELLA Giuesppe 10 décembre RENAUD Suzanne 13 décembre GUILBERT Roger

Si vous ne souhaitez pas que des informations d'état-civil vous concernant apparaissent dans cette rubrique, contacter L'ignymontain au : 0139 30 3131 ou mel :journal@montigny78.fr.

collecte sélective des déchets ménagers

QUARTIERS

ORDURES MËNAGËRES

EMBALLAGES JOURNAUX/MAGAZINES

QUARTIERS

ENCOMBRANTS 1 fois par mois

DËCHETS TOXIQUES

Pas du Lac Plan de Troux Le Village La Sourderie St Quentin Plan de l'Eglise Le Manet Les Prés

mardi lundi mardi lundi samedi vendredi samedi vendredi

jeudi mercredi jeudi mercredi

Pas du Lac Plan de Troux La Sourderie St Quentin Plan de l ' ~lise Le Village Le Manet

Les Prés Rue A. de igny

mercredi Jeudi mercredi jeudi jeudi 5 janvier et 2 février 13 janvier 19 janvier 20 janvier 27 janvier

Collectes : le 3' samedi de chaque mois de 9h à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quen­tin, le 3' mardi de chaque mois de 15h à 16h rue des Mouettes, quartier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

GRAVATS Une déchetterie aux Ateliers municipaux (8, avenue des Frênes dans la zone de I'Observa-DËCHETS VERTS toire) les samedis de 14h à 19h et les dimanches de 16h à 19h, ruu" mars au 30 novembre.

Justificatif de domicile demandé. RËOUVERTURE DËBUT MARS 2005

La permanence gratuite de l'AGENCE LOCALE POUR LA MAlTRISE DE L'ENERGIE se tient le 3' mercredi de chaque mols de 16h à 18h30 à l'Hôtel de VIlle

M~!IÇ,~Y

~ L

Que sera rannée 2005 à Montigny ? Quels nouveaux projets pour la Municipalité ? Quelles expansions sur le terri­toire~ en particulier au centre ville~ au Pas au Lac et au Village où les ZAC s~aménagent ? L~igymontain vous pro­pose un rapide tour a~horizon etes évènements qui marqueront rannée à venir sur la commune.

2005 à la jumelle En terme d'urbanisme, l'année qui s'ouvre sera pour Montigny la poursuite des pro­grammes actuellement en cours dans cer­tains quartiers et la livraison de certains d'entre eux, qui concoureront à maintenir la courbe démographique de la ville à la haus­se. Ainsi dans le quartier Saint-Quentin, où le programme immobilier de 129 logements (notre photo ci-contre) qui surplombe l'hy­permarché Carrefour sera achevé et livré à ses acquéreurs. La ZAC Sud-Village verra également la livraison de 127 logements du programme développé par Eiffage en deux tranche~ en avril et octobre, ainsi que les 71 logements du Logement Français fin avril, dont 25 logements sociaux. Toujours sur le secteur du Village, les 12 pavillons construits sur le site de l'ancienne station service seront également livrés au prin­temps prochain.

SQY Ouest à plein régime le 16 mars

L'ouverture de la seconde partie de SQY Ouest, effective au 16 mars prochain, verra notamment la première implantation de l'enseigne Virgin (voir page 9) dans l'ouest parisien. Ajouté au Ciné-Cité d'UGC ouvert depuis novembre dernier, les magasins, res­taurants vont à coup sûr attirer beaucoup de monde au centre ville, et créer de nou­velles habitudes de circulation piétonne des consommateurs, en particulier vers la place Pompidou et l'avenue du Centre où l'anima­tion commerciale va aussi bénéficier d'un

un nouveau revêtement est programmé pow le ter­min syrrtJrétique au œrrtre sportif Pierre ae coubertin.

us 129 logements situés au aessus ae r~ryper­marché au œntre ville seront livrés en 2005.

nouvel élan. SQY Ouest accueillera en outre le premier bowling francilien de la société Bowlingstar, qui offrira 18 pistes et sera un nouveau lieu d'animation pour les jeunes. Une dynamique également espérée pour la halle Sud-Canal et les commerçants de la place Etienne Marcel où une supérette de­vrait s'installer cette année dans la partie Sud de la halle.

Centre Coubertin le terrain à neuf

Sur le plan des infrastructures municipales, l'antique terrain synthétique du centre sportif Coubertin, qui fut moderne en son temps, sera refait cette année. La ville et la Communauté d'aggglomération propose­ront notamment un nouveau revêtement pour cet espace qui, s'il n'est pas aux dimen­sions d'un terrain homologable pour les footeux, reçoit énormément de joueurs de ballon rond tous les jours, scolaires ou joueurs du quartier. Dans le même ordre d'idée, c'est l'été pro­chain que la salle Jacques Brel subira un lif­ting notable, dont la première vertu sera d'élargir le hall d'accueil pour favoriser l'ac­cès du public et la convivialité.

Du nouveau sur le web Autre projet en réflexion actuellement de la part de la municipalité, une maison de la Pa­renta lité pourrait ouvrir ses portes, pour ac-

cueillir et répondre aux parents sur toutes les questions qui touchent à l'éducation. Après le large écho recueilli par la première édition en 2004, une 2' semaine du Handi­cap est en cours de maturation à Montigny et se déroulera du 10 au 16 octobre à l'appel du CCAS (Centre Communal d'action Socia­le) . Au chapitre des évènements qui émailleront le calendrier ignymontain (voir encadré ci-dessous), la ville sera cette année sur la case Vesprée le dimanche 19 juin, la fête populaire et familiale à la Ferme du Manet qui alterne avec la Cavalcade. Pour cette dernière, les grandes manoeuvres vont s'engager autour du club le Village dès cette année, sous l'impulsion notamment de l'association Monty-Chars et sur le thè­me d'ores et déjà retenu du cinéma. La Prairiale creuse son sillon pour le grands bonheurs des amateurs de jardinage les 16 et 17 avril à la Ferme du Manet, et précède­ra un vide-greniers gravé dans le marbre le dimanche 22 mai. En matière culturelle, la saison 2005j2oo6 s'ouvrira aux musiques du monde et offrira un concert spécial jeunes. 2005 sera aussi une année importante pour la ville virtuelle, qui prépare une refonte et une rénovation totale de son site internet, pour permettre aux citoyens usagers des services publics de remplir un nombre crois­sant de formalités directement en ligne. En tête de pont, la ville propose une cybervitri­ne dès ce début d'année place Charles de Gaulle (face à la gare), qui donne accès à toutes les informations pratiques sur votre ville.

MDE aura 20 ans en 2005

Montigny Développement Emploi (MDE), le service municipal qui propose son ré­seau d'entreprise aux lgnymontains privés d'emploi ou désireux de se rapprocher pro­fessionnellement de leur lieu d'habitation, fêtera 20 années d'existence en 2005. Ce service basé en mairie, qui portait initiale­ment le nom AIAE, a inspiré d'autres mu­nicipalités qui ont créé un service similaire.

Le calendrier 2005 Janvier:

mardi 18 : théâtre : "Tango", coup de coeur de la salle J. Brel. du 19 au 29 : exposition de Romano Zanotti et Riccardo Licata au Conservatoire des Arts. samedi 22 : spectacle d'Arturo Brachetti (com­plet). Dimanche 23 : Arturo Brachetti à la Ferme du Manet (2' représentation). du 26 au 2 février : Festival Polar dans la ville. samedi 29 : Théâtre "Devinez qui ?" à la Ferme du Manet

Février: mardi 1" : "Chapeau mister Holmes" théâtre jeu­ne public à la salle J. Brel. mardi 15 : théâtre : "La mère confidente", coup de coeur de la salle J. Brel.

Mars samedi 12 : Nuit du fantastique à la salle J. Brel. mardi 15 : "Mamemo" théâtre jeune public à la salle J. Brel. du 16 au 24 : exposition de Leopoldo Novoa et Catherine Leva au Conservatoire des Arts. samedi 19 : dîner des associations à la Ferme du Manet. mardi 22 :théâtre :"Ciel mon Feydeau", coup de coeur de la salle J. Brel.

Avril samedi 2 et dimanche 3 : championnat de france de billard au centre sportif Coubertin. dimanche 3 : bourse aux collectionneurs à la Fer-

me du Manet samedi 9 et dimanche 10: Fête de printemps à la Ferme du Manet. mardi 12 : concert "Plaisirs rythmés" à la salle J. Brel. samedi 16 : théâtre "L'invité" à la Ferme du Ma-net. samedi 16 et dimanche 17: la Prairiale à la Ferme du Manet. mardi 19 : "Kaléïdoscopico" théâtre jeune public à la salle J. Brel. samedi 23 : remise de diplômes du travail à l'Hô­tel de ville.

Mai: mardi 10 et mercredi 11 : humour Anne Rouma­noff, coup de coeur de la salle J. Brel. samedi 21 et dimanche 22 : fête des parcs et jar­dins dimanche 22 : Vide-Greniers sur l'avenue du Pas du Lac. mardi 24 : "L'extraordinaire aventure du capita­ne Blurps" théâtre jeune public à la salle J. Brel. du 25 au 4 juin : exposition des élèves de peintu­re à l'huile au conservatoire des arts plastiques. vendredi 27 : la journée de l'Europe à la Ferme du Manet.

Juin: Du 3 au 13 : 10' festival du théâtre amateur à la salle J. Brel. samedi 11 et dimanche 12 : gala de danse moder­ne de I'ASMB au centre sportif Coubertin. mardi 15: concert "Plaisirs du classique" à la sal­le J. Brel. samedi 18 et dimanche 19 : gala de l'école de

3

danse de Montigny (classique) au centre sportif Coubertin. dimanche 19 : la Vesprée à la Ferme du Manet. mardi 21 : Fête de la Musique.

Juillet: mercredi 13 : feu d'artifice et bal de la Fête na­tionale au bassin de la Sourderie. du 19 au 24 : championnat d'Europe de voitures radio-commandées.

Septembre: samedi 10 et dimanche 11 : Forum des associa­tions au centre sportif Coubertin. Dimanche 18 : Fête Auto-Moto Rétro à la Ferme du Manet.

Octobre: samedi 1" : matinée de découverte de Montigny pour les nouveaux habitants. du 10 au 16 : 2 ' Semaine du Handicap.

Novembre: samedi 26 : remise de diplômes du travail à l'Hô­tel de ville.

Décembre: Du 2 au 4 : Marché de Noël. vendredi 9 : déjeuner des seniors à la Ferme du Manet. (ce calendrier n'Intègre pas le programme de spectacle de la saison 2005j2oo6 à compter de septembre, ni la date de rentrée scolaire prévue au printemps prochain).

www.montignylB.(r

Le lycée Breteuil à Auschwitz contre l'oubli

Dix-huit élèves du lycée Emilie de Bre­teuil, essentiellement issus des classes de Terminale Littéraire, se sont rendus à Au­schwitz-Birkenau le 8 décembre dernier. Volontaires pour ce voyage commémora­tif du 6o' anniversaire de la libération des camps de concentration nazis, qui réson­ne forcément dans les consciences' de chacun, ils avaient bien pris conscience de leur rôle de transmission de la mémoi­re, qu'ils s'apprêtent à mettre en oeuvre par une exposition.

De l'histoire à la réalité Leurs cours d'histoire leur rappelaient que de 1942 à 1945, entre un million et un million et demi de juifs ont péri dans les camps de concentration nazis. Mais ce voyage civique dans le plus grand camp de concentration jamais construit par les nazis avait une tout autre résonance en eux, le choc de la déshumanisation d'abord et une véritable perceptio-n de la vie dans ces camps. La réalité de cette vie, c'est Ida Grinspan qui leur a le mieux ra­conté. Cette femme qui vit aujuord'hui à Paris, y a été déportée à l'âge de 14 ans et transmet désormais son témoignage aux élèves émus qu'elle accompagne dans ces visites.

La pédagogie du souvenir

Le 27 janvier est une journée consacrée à la mémoire dans les établissements sco­laires et le lycée de Breteuil a bâti tout un projet autour de cette date. Les lycéens participeront à l'inauguration de l'exposi­tion "Vision lycéenne du camp d'Ausch­witz-Birkenau" à Paris le 18 janvier, tan­dis que les secondes du lycée ont préparé une exposition sur le thème "C'était hier ... Ce ne sera pas demain" qui débute­ra à l'Hôtel de ville à partir du 20 janvier. Jusqu'au 3 janvier ils écouteront les té­moignages d'anciens déportés et assiste­ront à une conférence de Jean-Luc Rous­sel , professeur d'histoire spécialisé dans le système concentrationnaire nazi, pour mieux comprendre cette abominable pa­ge de l'histoire. D'autres élèves partiront en mai à Mauthausen. Ce voyage organi­sé par le Memorial du martyre juif incon­nu, qui deviendra dès le 27 janvier le Me­morial de la Shoah, principal centre de re­cherche et de pédagogie en Europe, fi­nancé par la région ile-de-France, aura permis à sept lycées de lutter contre l'ou­bli, parce que le temps travaille contre le souvenir et que les jeunes générations doivent comprendre l'histoire pour faire en sorte qu'elle ne se répète pas. "Les élèves de ce voyage ont pu discuter libre­ment lors de la séance de debriefing, et certains ont dit qu'ils n'y retourneraient jamais. Les lieux sont aussi impression­nants que prenants. En temps qu'éduca­teur, il faut repartir sur une image plus positive, faire remarquer aux jeunes que le nazisme a été vaincu et que les nazis ne sont pas venus à bout de la solidarité entre les juifs dans les camps", explique Jean-Pierre Gratien, proviseur adjoint.

Iaa Grinspan, aéportée à 14 ans, a expliqué aux 18 élèves au lycée ae Breteuil qu'elle ac­compagnait pour un voyage commémoratif à Auschwitz comment les voies ae chemin ae fer avaient été construites par les tra­vailleurs forcés, pour faciliter rachemine­ment aes convois, aans aes conaitions ter­ribles avec parfois -15" rhive~.

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Les Seniors aux petits oignons

37 tables de 10 convives avaient été instal-' lées dans la grande salle de la Ferme du Ma­net pour accueillir le repas annuel des se­niors offert par le CCAS, le 10 décembre dernier. La semaine aura été riche en évé­nements puisque cet après-midi festif fai­sait suite au dîner du Club de l'Amitié qui avait déjà réuni 200 personnes le mercredi précédent. Jean Quémard faisait sa derniè­re apparition en tant que président et fut chaleureusement remercié par le maire Mi­chel Laugier pour sa participation très dy­namique à la vie associative ignymontaine. C'est traditionnellement en cette occasion que le Club de l'Amitié remet son chèque de collecte pour le Téléthon, d'un montant de 200€ cette année, et présente les progrès de sa chorale de so personnes. Foie gras et entremets ont été servis avec la musique d'ambiance de Diapason, groupe de variété française, tandis que l'orchestre attendait la fin des réjouissances pour en­tonner ses airs d'accordéon. "On s'amuse bien et c'est l'occasion de retrouver des amis et de faire la fête", expliquait Jacqueli­ne. Dans un discours ému, Michel Laugier transmettait le flambeau de la présidence du CCAS à Marie-Noëlle Thareau et lui sou­haitait bonne chance. "Je partage toujours ce repas avec un grand plaisir, mais le CCAS ce n'est pas seulement profiter des voyages et des sorties culturelles, c'est aussi accom­pagner ceux qui en ont besoin tout au long de l'année, ·et faire en sorte que personne ne soit isolé", concluait-il.

Le marché où l'on court Une fois de plus, le marché de Noël a séduit ses nombreux visiteurs venus de toute la ville nouvelle les 3, 4 et 5 décembre derniers à la Ferme du Manet. Que ce soit pour sa qualité ou sa prodigalité, le marché de Noël est chaque fois un moment de plaisir qui prend des allures de fête. C'est en musique, sur les notes exotiques de la classe de per­cussions de Sonia Descamp de l'école de musique du Manet, que le maire, Michel Laugier et son cortège d'élus ont inauguré le marché en parcourant les allées à la .ren­contre des producteurs et des artisans. "Je remercie les exposants qui nous sont fidèles et qui viennent de loin chaque année pour nous faire rêver et nous faire saliver", décla­rait Michel Laugier, tandis que Jean-Luc Ourgaud, adjoint délégué à l'événementiel et à la communication, félicitait à son tour son service pour l'organisation de ce temps fort à Montigny. "Vous êtes sur le pied de guerre depuis des mois et votre réussite est saluée par tous les exposants et les visi­teurs".

Le marché des régions L'animateur créait l'histoire du marché et des terroirs de France, en présentant au fur et à mesure les artisans et leurs produits. Des nouveaux venus faisaient leur appari­tion, comme Bernard et Christine Broyer, viticulteurs du cru de Beaujolais. "Ça fait des années qu'on entendait parler de ce marché par des amis champenois, nous avons découvert une région très agréable, et surtout un lieu magnifique". La mère An­gel et sa tomme de Savoie exposaient éga­lement pour la première fois". Décors ty­piques et produits du terroir faisaient aussi découvrir la France, et au-delà grâce à la présence des villes jumelées. Harald Kred­ler, le père du jumelage avec Kierspe l'Alle­mande venait présenter officiellement son successeur, Karin Makereel, en .se réjouis­sant du succès jamais démenti de son stand

de vin chaud. Ils étaient tous présents, Bill Harrison, maire de Denton, loan Moldovan, maire adjoint de Lunca, Patrick Burne, fu­tur maire de Wicklow, Antonio Gonzalvez, représentant du jumelage de San Fernando ainsi que les représentants de Marostica, petite ville d'Italie et peut-être future ju­melle. En cette période de fête propice à la solidarité, le marché de Noël accueillait également l'école de chiens guides d'aveugles de Paris qui vendait peluches et chocolats au profit de l'achat d'un chien guide, ainsi que les bénévoles de la consom­mation solidaire avec Artisans du Monde, et le Conseil de Quartier du Manet et son puzzle pour le Téléthon.

Trois fois plus de plaisir Certains ont constitué leur réserve annuelle en profitant de pouvoir goûter vins et

champagnes pour faire leur choix. D'autres préparaient leurs tables de fête. "Nous re­trouvons nos clients", expliquait la famille Rocq de Megève, exposante pour la neu­vième année. D'autres ont retrouvé les bou­gies parfumées de Liliane et Michel Bossu par exemple, "nous travaillons sur de vrais fruits et c'est pour ça que les bougies sen­tent bon même lorsqu'elle ne sont pas allu­mées", ou des pièces originales avec Mauri­ce Dubost, artisan coutelier. "On ne trouve pas facilement des couteaux à champignons de qualité avec la vraie brosse", remarquait Jocelyne. Certains artisans travaillaient sur place pour le plaisir des yeux et tout le mon­de est reparti avec son petit bonheur. "C'est un petit plaisir pour tous les budgets et on repart toujours avec quelque chose", expli­quaient Isabelle et Sylvie dont le stand de cartes postales fait désormais partie des in­contournables succès de ce marché.

Le travail les a diplômés Noël solidaire avec le CCAS

C'est le mercredi 15 décembre dernier qu'a eu lieu comme à l'accoutumée le Noël du CCAS (Centre communal d'action sociale) à la salle Jacques Brel, en faveur des enfants des familles bénéficiaires des prestations de l'organisme communal. Tout a commencé par le film de Robert Zemeckis "Pôle Express". La petite Débo­rah a visiblement apprécié la séance : "je l'ai déjà vu au cinéma, mais ce n'est pas grave car je l'avais bien aimé. Ça parle d'un grelot magique qui sonne aux oreilles de ceux qui croient au Père Noël. Ce qui me plaît, c'est que c'est à la fois un film et un dessin animé ! Malicieuse, Dé­borah le conseille d'ailleurs à tous les grands pour qu'ils croient un peu plus au Père Noël... · Après la projection, les enfants ont reçu un cadeau personnel de la part de Michel Laugier, le maire, de son adjoint à l'Action Sociale Marie-Noëlle Thareau et de repré­sentants du CCAS, avant de faire un bisou parfois complice, parfois moins témérai­re, au Père Noël exceptionnellement pré­sent pour l'évènement.

Rebaptisée cette année les médailles d'hon­neur, la cérémonie de remise des médailles du travail avait lieu le 27 novembre à l'Hô­tel-de-ville et accueillait également toutes les personnes mises à l'honneur sur la com­mune. Outre les 147 médaillés du travail, qui se sont vus décorer de l'argent pour 20

années de labeur et jusqu'au grand-or pour 40 annuités, la jeunesse et les sports met­taient également leurs forces vives en lu­mière. Ainsi Anne Leguy recevait un prix du civisme remis par la jeunesse, tandis qu'Hanna Lord de la Ragotière obtenait la médaille d'argent de la famille française pour sa famille nombreuse. "Les sports ont choisi de récompenser les sportifs qui ont une histoire importante à Montigny et qui participent activement à la vie du sport sur la commune", expliquait Pierre Paillas, ad­joint délégué aux sports. Les deux équipes junior et cadette de base bali, championnes de France, recevaient donc une récompense spéciale pour leurs performances en présen­ce de leurs entraîneurs. Cinq autres mé­daillés avaient été désignés par leur associa­tion pour leur fidélité et leur implication bé­névole de longue date, à l'image de Sophie Rabes et Patrick Cantareil décorés de bron­ze, de Pierre Sauvaget et Marc Grangeon médaillés d'argent, et enfin de Thérèse Sal­vador récompensée par l'or.

Médaillés d'argent Pascal Bergeon, Pascal Berthier, Vinh-Hue Bo, Pascal Bourgeois, Philippe Bours, Véronique Brandao, Joao Caldas Mendes, Philipe Cham baud, Marie-Christine Charroy, Sylvie Couturier, Fran­sica Da Silva, Philippe Dagorne, Christian Decar­pentrie, Francine Decarpentrie, Alain Deremetz, Isabelle Desiles, Patricia Diacamille, Nfaly Diaki­te, Brigitte Fi nat, Christiane Girard, Béatrice Gui­gnot, Olivier Guinoiseau, Colette Jeandet, Domi­nique Kpegli, Christophe Lancien, Monique Le

Page, Nelly Ligny, Jean-Thierry Lilette, Francis Longepee, Claude Lorre, Laurent Lucas, Marie­Christine Marti nez, Patrick Marzin-Briat, Etienne Merlet, Marie-Amélie Moriceau, Joël Nouyoux, M. Palaniselvam, Guy Perez, Jacques Perez, Thierry Piesse, Patricia Pupaiz, René Querre, Pas­cal Riverain, Catherine Roix, Fargne Roncin, Chantal Rousseau, Christy Sicre, Evelyne Suchet, Frédéric Suchet, Sylvie Trinques, Jérôme Vallejo.

Médaillés Vermeil Alain Auge, Francine Aujollet, Gisèle Barre, Mi­chel Barre, Marguerite Bioret, Alain Bocquene, Claudio Bonfiglio, Christiane Cabooter, Louis­Marie Camio, Pedro Carmona, Colette Cercos, Mario Cocozza, Denis Collet, Alain Colodeboeuf, Jacques Costils, Jean-Luc Fauxbaton, Ginette Gambart, Christian-Gary Genipa, Françoise Ghar­bi, Christian Groux, Max Gherini, Suzanne Hous­saye, Danielle Huet, Alain Jacquemin, Philippe Joubert, El Mostafa Karbal, Françoise Kurtyka, Amina Laklhalki, Jean-Pierre Lang, Dominique Lann, Martine Lauby, Maryvonne Le Couster, Odile Le Dreau, Jean-Louis Lecerf, Bernadette Lestrade, Alain Leveille, Alain Lovisa, Martine Mandin, Dominique Mansord, Jean-Paul Miche­lant, Gérard Michon, Bernard Quere, Chantal

Rassat, Bernard Regazzoni, Dominique Richard, Marc Riou, Betty Rosenberg, Françoise Rous­seau, Dominique Saladin, François Toron, Chan­tal Van Lierde, François Villeminot, Didier Vin­son, Mario Zaccari. Médaillés vermeil-or : Serge Leclerc, Marie-José Pottier.

Médaillés d'or Joëlle Bloch, Bernard Chedemail, Christian Da­premont, Dominique Derrien, Danielle Doukhan, Claudine Guez, Marie-France Hilt, Jean-Marc !doux, Patrick Joly, Henri l'Haridon, Joël Lamai­ne, Bernard Lapoux, Nicole Le Corre, Michel Le­camus, Agnès Lesigne, Michel Maudieu, Denise Petel, Alain Provoyeur, Dominique Puntos, Jacques Rochette, Michel Rogez, Catherine Schiavini, Andrée Servant, Patricia Tan neau, Jac­queline Via rd. Médaillé or-grand or : Danièle Savy.

Médaillés Grand Or Anne-Marie Barreau, Jean Detuncq, Gérard Du­rand, Pierre Cuvry, Pierre Paillas, Jean-Claude Pennee, Alain Peyrelade, Pierre Philippe, Françoi­se Pinchard, Ghislaine Quere, Bernard Viguier, Geneviève Wagner.

Déborah (à gauche) entoure le Père Noël avec son frère et sa soeur.

L'ignymontain www.IIIOIIti911Y7B.fl'

Dans le rétroviseur de 2004 Quelques images souvenirs pour conserver quelques moments torts a~une année ete vie ignymontaine. Cétait en 2004~ et cest désormais inscrit ctans la mémoire ete notre commune.

Vie municipale · le témoin est passé et

le développement continue

En octobre, quelques jours après sa réélec­tion au Sénat, Nicolas About tranche dans le vif en-~décidant de passer la main. Volon­té de se consacrer plus à sa famille, de transmettre les clefs d'une maison bien te­nue, il cède la place à Michel Laugier son premier adjoint, qui est élu maire par ses pairs du conseil municipal le 8 octobre. Une nouvelle ère s'engage avec un nou­veau maire. Au Manet, on rajeunit les troupe puisqu'une crèche remplace l'école maternelle Daudet. Le Chat Botté et ses soixante berceaux permettent d'augmen­ter une offre de service dans un secteur où Montigny brille déjà par son volontarisme. A la rentrée, une salle Gauguin flambant neuve remplace l'antique Mille Club démo­li quelques mois plus tôt. Plusieurs associa­tions culturelles y découvrent un lieu de pratique très adapté. 2004 est aussi l'an­née de la formalisation d'une politique municipale en faveur de l'intégration des handicapés dans la ville, et celle d'une mi­se en lumière des métiers d'arts à l'occa­sion d'un salon organisé par la Municipali­té en mars sur deux jours. Au Pas-du-Lac, c'est un peu de la mémoire des Yvelines qui s1!ns-talle. Le bâtiment des Archives Dépar­tementales prend vie dès janvier pour son inauguration, même si le public ne pourra l'investir qu 'en avril. Autour de lui, le quar­tier qui borde le parc Erasme s'approche de sa configuration définitive.

Vie de quartier affirmer le dialogue

de proximité Plus que jamais en cette année 2004, les conseils de quartier seront restés en pre­mière ligne du dispositif de dialogue de proximité voulu par la municipalité. Au­tour des tables de réunion, face aux rive­rains à l'occasion des fêtes et des manifes­tations organisées un peu partout dans Montigny, ils expliquent, relaient, enquê­tent, informent, écoutent la voix des quar­tiers. Un travail de fond et de fourmi qui font des conseils de quartier des parte­naires de choix de la vie locale. Au prin­temps, ils animent les places et les parcs, on les retrouve aussi lors des grands ren­dez-vous du calendrier, Noël, Epiphanie, Cavalcade, fête de la musique, Téléthon. Ils offrent le café ou le chocolat chaud le jour de la rentrée scolaire, et ne reculent pas à l'occasion devant un coup de cidre ou de beaujolais nouveau pour nourrir une convivialité réelle et sincère.

Loisirs : performances

et investissements SQY-Ouest ouvre par tranche et sort un atout majeur en novembre avec l'ouvertu­re des seize salles du Ciné-Cité d'UGC. Un nouveau phare au design franchement co­loré guide les visiteurs du centre ville, avant l'ouverture complète programmée pour mars prochain. En juin, la 3• Cavalca­de rendait un hommage débridé à Jean de La Fontaine. Le défilé de char et les anima­tions à la Ferme du Manet mobilisaient les lgymontains encore un peu plus. Cette Ferme du Manet où la Prairiale avait pris ses marques quelques semaines plus tôt pour le printemps et répondait à la fréné-

sie d'activité des jardiniers de tous poils trop longtemps contrariés par l'hiver. Au chapitre associatif, nous livrerons la pre­mière marche du podium de la performan­ce aux jeunes cadets et juniors du club de base-bali des Cougars, doublement cou­ronnés champions de France 2004. Une juste récompense pour un club entière­ment tourné vers l'initiation de ses jeunes recrues, dont la valeur révèle aussi les qua­lités de l'encadrement du club. Outre la scène nationale au Théâtre de Saint-Quen­tin et les grands affiches à la Ferme du Ma­net, la saison culturelle bat désormais au

Au début de l'année, l'intercommunatfté évo­lue. Le SAN se transfOrme en communauté d'agglomération et taft évoluer ses compé­tences.

Dans l'allégresse, la Cavalcade a taft tapis rouge à)ean de ta Fontaine enjuin dernier.

Plusieurs associations nouvelles sont appa­rues sur l'échiquier du loisir, comme le club de Scrabble installé à ta Mésangère et qui ambi­tionne d(ià d'accueillir des grands champion­nats à Montigny.

Les jeunes Cougars ont tes griffes acérées. Les cadets et les juniors deviennent champions de France. Montigny s'impose comme un creuset du base-bali trançais.

Octobre

•

.... Le centre de radiologie de ta rue Joël Le Theu­le (centre ville, près de la gare) se dote d'un scanner, une initiative unique en son genre dans tes Yvelines, qui permet de soulager tes structures hosp;talières.

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rythme bien maîtrisé des coups de coeur de la salle Jacques Brel, dont le cadre inti­miste sied bien au talent d'artistes qui veu­lent voir leur public dans les yeux. Nicole Croisille et Marie-Paule Belle sont de celles-là.

La crèche collective te Chat Botté est livrée au printemps au Manet, dans tes locaux de rex­école maternelle Daudet. Elle o(fre 60 ber­ceaux supplémentaires.

Le défilé de chars irise l'avenue au Pas au Lac d'une nuée de confettis dans une ambiance détendue qui se poursuit à ta terme du Manet.

Une (éérie. Le teu d'artifice du 14 juillet a re­trouvé des couleurs et du punch au-aessus du baSSin de ta Sourderie.

En octobre, Nicolas About cède son (auteuil de maire à Michel Laugier, après 27 années de mandat municipal.

En 2004, ta municipalité a poussé plus avant sa conviction pour une meilleure intégration des gens porteurs de tous types de handicaps dans ta vie de ta cité. La première Semaine du Handicap éclate ses rendez-vous et ses théma­tiques en octobre au quatre coins de la ville.

Première du nom, ta Pra/rate proposait un vé­ritable marché aux (leurs et aux plantes dans te cadre très approprié de la terme du Manet à l'appel du printemps, sur une initiative du Lion's Club local. Un rendez-vous appelé à se rééditer chaque année.

La proximité et l'affirmation des quartiers, comme les moments conviviaux aux Prés, sont régulièrement mis en avant par les conseils de quartier, ta municipalité, tes maisons de quar­tier ou la OIRE.

C'est une figure incontournable et unanime­ment appréciée du monde associatif qui dis­parait en juillet en la personne de Robert Fon­taine, président du Palladium Club.

La salle Gauguin, destinée aux associations culturelles au Village, est inaugurée en oc­tobre par te maire Michel Laugier et te prési­dent ae ta CASQY Robert Cadatbert.

UGC ouvre son Ciné Cité en novembre à SQY Ouest, avant ta seconde partie prévue en mars prochain.

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--~ L 'ignymontain

EN BREF Au dernier conseil 1

Maison de la Réussite :

Les nouveautés de la rentrée

Budget 2005 approuvé Une nouvelle section de soutien scolaire en Français destinée aux élèves de secon­de et de première s'ouvre dès janvier, en prévision du baccalauréat oral et écrit. Une étudiante diplômée d'université en sciences du langage péparera les cours de rattrapage et de révision. Pour les élèves de Seconde, les cours auront lieu le mer­credi de 15h à 16h30, et de 17h à 18h3o pour les élèves de Première. Tarif selon le quotient familial et inscriptions du 3 jan­vier au 4 février par groupes de huit élèves maximum.

ou 3 janvier au 4 février, inscriptions aux stages aes vacances ae février.

Pour les jeunes de la 6• à la Terminale, des révisions scolaires en Maths, Français, Anglais et Allemand auront lieu à raison de 2h par jour et par matière pour 49,20€. Pour les 8-15 ans, la Maison de la Réussite propose des stages 1 nforma­tique-Culture ou Informatique-Sport du lundi au vendredi de 9h à 17h30 avec re­pas du midi. L'objectif étant de se familia­riser avec les règles typographiques, de découvrir les logiciels de Windows en réalisant un journal sur le thème de la couleur. Pour la culture des activités ma­nuelles seront proposées en partenariat avec les directios de la Culture et des sports. Documents à fournir : un justifi­catif de domicile, une pièce d'identité et une photo. Prévoir une carte de quotient pour le soutien scolaire, et un certificat médical pour les stages de sport.

Maison de la Réussite au 01 30 43 43 39

Au cours de sa dernière séance de l'année 2004, le Conseil municipal a adopté les termes du budget primitif 2005, le 13 dé­cembre dernier en mairie. "Ambitieux et sans démagogie", comme l'a qualifié le mai­re Michel Laugier, ce budget se caractérise par la maîtrise des dépenses et la poursuite des services publics proposés aux lgnymon­tains, avec une pression fiscale modérée puisque le 1% de hausse des taux de fiscali­té est inférieur à l'inflation. "Beaucoup de réalisations ont été faites les années pas­sées, ce qui se traduit un nombre important de services proposés aux habitants de Mon­tigny. Notre commune possède un nombre de crèches, d'écoles, de parcs sportifs ou d'équipements de proximité que beaucoup d'autres lui envieraient. Aujourd'hui, tout en maintenant ce patrimoine important, il importe de peaufiner et d'adapter nos ser­vices rendus aux habitants alors que notre population évolue. Montigny a aujourd 'hui moins d'enfants, moins de jeunes couples. Le service au public doit être à l'écoute de ces mutations, avec le même esprit ambi­tieux et innovant".

Fonction ne ment : la maîtrise des dépenses

Le budget pour l'année 2005 traduit ces am­bitions affirmées par la municipalité, qu'Ar­melle Aubriet, adjoint au maire chargé des Finances, s'est forcée de décrire lisiblement à ses collègues du conseil municipal dans une prestation en soliste très remarquée. La première caractéristique de ce budget

concerne la maîtrise des dépenses de fonc­tionnement, sans pour autant rogner sur quelques grandes orientations. A ce sujet, Michel Laugier entend en effet valoriser l'ensemble des actions menées en faveur de la jeunesse et de la vie des quartiers, écla­tées dans une palette d 'init iatives, mais dont la lecture générale n'est pas suffisam­ment mise en lumière. Des efforts de com­munication seront ainsi mis en oeuvre, pour décrire mieux l'ensemble des propositions faites par la municipalité aux jeunes de Montigny. En matière d 'action sociale, la ville projette l'ouverture d'une maison de la Parentalité. Dans le domaine culturel, la vil­le propose une saison culturelle étoffée, et prend en charge le fonctionnement de la nouvelle salle Gauguin ainsi que l'essor de l'école municipale de Théâtre. L'accent va également être mis sur l'utilisation des nou­velles technologies pour faciliter le dialogue et le service au citoyen, à travers la refonte du site internet de la ville et le développe­ment de téléprocédures et de services en ligne.

1 nvestissement : 4,3 millions d'€

En investissement, l'entretien et le dévelop­pement du patrimoine intègre plus de 2 M€

pour les bâtiments et plus d '1,6M€ pour la voirie et les espaces verts. Sur le terrain, ces engagements se traduisent notamment par la réfection du terrain synthétique du centre sportif Coubertin, la réhabilitation de l'espace d'accueil de la salle Jacques Brel, le ravalement du groupe scolaire Paul Fort, le

La salle jacques Brel o(frira un nouveau visage en même temps qu'une meilleure convivialité à son public à la suite ae travaux a'aménage­ment prévus pour l'été prochain.

chauffage et l'étanchéité de l'école primaire Jules Verne, ainsi qu 'une longue série d'in­tervention dans plusieurs crèches et écoles. Les travaux de voirie concernent des inter­ventions sur les chaussées et les trottoirs qui touchent tous les quartiers, de même pour les divers aménagements réalisés dans les parcs et les sentes.

La dette large­ment maÎtrisée

En 2004, une nouvelle renégociation de cette dette permet à la ville de consacrer plus de moyens aux travaux qu'elle sou­haite engager dans les quartiers ainsi qu'à l'entreti.en de son patrimoine.,Au titre de la dette, la ville rembourse chaque année 456ooo€ sur ce poste, essentiellement pour des équipements structurants com­me par exemple le centre aquatique. Au 1" janvier 2005, elle représente 200€ par ha­bitant.

Les tribunes des groupes du Conseil municipal

Montigny Plurielle (Parti Socialiste, Verts, Parti Communiste)

Pourquoi nous votons contre le budget ! La présentation du budget est le moment où les orientations politiques définies par la municipa­lité trouvent, normalement, leur concrétisation en chiffres. Nous avons étudié le budget présen­té lors du conseil municipal du 13 décembre et plusieurs raisons nous ont conduit à voter contre. Première raison : nous ne voyons justement pas la traduction dans le budget des objectifs que la municipalité a annoncé lors du débat d'orienta­tion budgétaire. Un exemple : la maison de la parentalité, présentée comme un point de la po­litique sociale, est une idée mise en place avec succès depuis quelques années dans une com­mune voisine comme Guyancourt. Mais en quoi consiste le projet de Montigny ? Quels en sont les acteurs, les partenaires ? Avec quels finance­ments ? Aucune réponse ne nous a été donnée .. Dans d'autres domaines la majorité parle de va­lorisation, de développement, d'essor, de la poli­tique de la jeunesse, de la politique sociale et culturelle mais nous sommes, là, dans le flou le plus total et aucune proposition concrète n'émerge. Nous craignons que, comme ce fut déjà le cas les années précédentes, la communi­cation ne l'emporte sur l'action et que l'on finis­se même par croire que l'on a fait parce qu 'on a dit que l'on ferait. En réalité, et l'équipe qui dirige cette ville l'écrit, nous sommes dans un budget contraint et les marges de manœuvre sont faibles. Ne pas aug­menter les impôts locaux, réduire l'endettement de la commune tout en supportant les transferts de charges de l'Etat sans les moyens qui corres­pondent et ceci sans changer les pratiques et choix antérieurs, c'est immanquablement rédui­re le service aux habitants et se condamner à une forme d'inaction politique. En effet, il est difficile de déconnecter le vote du budget communal du contexte national actuel. Le gouvernement continue de reporter ses diffi ­cultés financières sur les collectivités et de gérer de manière irresponsable, amplifiant les pro­blèmes au lieu de les régler : une décentralisa-

tion bâclée, des promesses électorales aber­rantes qui créent non seulement des déficits mais aussi de la précarité et qui augmentent aussi la fracture sociale qu'on était supposé at­ténuer. Ainsi le principe de réduire l'impôt sur le revenu, mesure qui profite d'abord aux familles les plus fortunées, pour augmenter les prélève­ments payés par tous, y compris les ménages les plus modestes, nous semble t-il scandaleux. Au final les collectivités locales en font les frais. Il faut dire aux lgnymontains, au-delà de la casse sociale qui est en marche, le coût pour notre commune de la politique gouvernementale me­née. Les nouvelles cotisations retraites, la coti­sation de solidarité, la probable suppression de la taxe sur le foncier non bâti, la suppression des emplois jeunes : tout cela représente des di­zaines de milliers d'euros. Nous sommes donc inquiets de voir que la population fera les frais de cette politique et en particulier les personnes les plus fragiles parmi elle. Et c'est la deuxième raison pour laquelle nous n'avons pas voté le budget. Il ne permet pas de mener à bien des politiques sociale et cul­turelle, de la jeunesse ou en direction des per­sonnes âgées, à la hauteur des enjeux et des difficultés actuels. Ces politiques ne sont pas un plus, un luxe, elles devraient être aujour­d'hui au cœur de l'action communale quand la précarité et les inégalités augmentent dans notre commune, quand plus que jamais il conviendrait de créer du lien social et com­battre l'individualisme et le repli sur soi. Ce sont ces politiques qui permettent de pro­mouvoir l'équité, la solidarité et de préserver la qualité de vie sur notre territoire.

Sandrine Grandgambe

Les élus du groupe Montigny Plurielle vous présentent leurs

meilleurs vœux pour l'année 2.005

Montigny Plurielle, 2 rue de Bretagne 78 180 Montigny le Bx

Email : montigny.pluriel/e@voila .fr

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Montigny Ensemble Un budget 2.005 adapté Sur ce budget, comme chacun, j'ai noté les in­quiétudes qui sont les nôtres quant à nos re­cettes. Je sais les réformes engagées par l'Etat et les inquiétudes qui peuvent en découler pour nous quant au devenir de nos dotations, de nos impôts, ou même de nos ressources directes. J'ai remarqué aussi la stagnation programmée des dotations de fonctionnement de la CASQY. Comme chacun, j'ai noté les contraintes nou­velles qui vont peser sur nous les 18 % d'aug­mentation du prix de l'essence en un an dont nous allons payer les effets en année pleine, les 3,8% d'augmentation du gaz et celle à venir vrai­semblablement de l'électricité, les 20% d'aug­mentation du coût des matières premières et du coût de la construction . J'ai noté également les contraintes liées aux charges de personnel, et notamment celles liées à l'augmentation de la CNRACL ou à la mise en pla­ce de la retraite additionnelle, augmentations lourdes, à effectifs constants, sans pour autant que nos agents en tirent un mieux vivre ou que les lgnymontains en retirent un service plus grand. Tout cela, nous le subissons de plein fouet. Pour nous, gestionnaires de Montigny, c'est une spira­le qui semble sans fin, et il nous faut faire front pour ne pas céder à la facilité. Notre volonté est de continuer à offrir aux lgnymontains les ser­vices, qu'ils attendent de leur ville. Garants de la gestion, nous ne voulons pas à notre tour tomber dans la spirale de l'inflation, du laxisme ou de la démagogie. Il nous a donc fallu faire des efforts, des choix courageux, et vous pouvez constater que nous avons stabilisé nos crédits avec une pro­gression dans le budget 2005 limité à 2,13 %. Dans ce contexte, et malgré les charges nouvelles qui se profilent en matière de personnel, l'aug­mentation sera elle aussi limitée à 2,66 %, soit bien en dessous des 4% que nous connaissons en moyenne. Dans le même sens, une gestion affi ­née de notre dette nous permet de bénéficier des taux d'intérêts de notre dette vers la baisse tout en leur consacrant une faible part de nos dé­penses de fonctionnement (0,5%), signe d'une bonne et saine gestion. En investissement, nous devrons faire face aux investissements récurrents pour l'entretien de

notre patrimoine, autour de 5 millions d'euros pour assumer les projets qui sont les nôtres dont le budget d'investissement nécessaire à Jacques Brel, mais également la réflexion complète du synthétique de Coubertin, tant attendue par nos amis sportifs. Ces investissements concernent également tout ce dont nous avons besoin pour l'aménagement urbain et notamment la réhabili­tation du patrimoine routier. Dans le domaine de la dette, là encore, le travail minutieux des services autour des intérêts se re­trouve pour le remboursement du capital, cela nous permet de diviser par deux le poids du rem­boursement annuel du capital. Tout cela ne nous fait pas oublier pour autant que nous entrons dans une nouvelle ère de ges­tion. L'étape Il de la décentralisation ne nous concerne peut-être pas directement, mais aura néanmoins des conséquences directes sur nous. Je note avec grande satisfaction que nous tenons les engagements que nous avons pris, et les grandes lignes directrices qui sont les nôtres. Poursuivre les grandes tendances en ce qui concerne la stabilisation de certains chapitres budgétaires, que ce soit en matière de dépenses de personnel, de maîtrise et stabilisation de la dette, sans pour autant figer notre ville dans son action et la faire entrer en hibernation en atten­dant que des jours meilleurs surviennent, souci de poursuivre l'entretien du patrimoine, gestions rigoureuses de chapitres complexes comme les crédits affectés aux ordures ménagères ... voilà les lignes directrices qui doivent être les nôtres avec en définitive un seul et unique objectif: fai­re que nos concitoyens continuent à aimer leur ville, une ville au cœur de la ville nouvelle, une ville active et dynamique, une ville au cœur du département, mais aussi une ville où il fait bon vivre. Alors Monsieur le Maire, sans états d'âme, après avoir constaté que vous respectez nos engage­ments, des engagements forts, sincères, pro­grammés dans le temps, raisonnables et raison­nés, après avoir constaté que vous avez choisi de continuer à répondre aux attentes et besoins des lgnymontains, vous pouvez être assuré d'un sou­tien sans faille du groupe de la majorité munici­pale.

Jean-Pierre Homont, président du groupe

L'ignymontain www.IIIOIItigiiY7B.fl'

Avec l'association Arbratextes EN BREF

Parrainez un enfant brésilien Recensement 2005 Ne soyez pas étonné si les agents du re­censement viennent frapper à votre porte dès le 20 janvier, il n'y aura pas de campagne publicitaire nationale pour l'annoncer. Pour mesurer la population plus régulièrement et mieux s'adapter à ses besoins, le recensement devient an­nuel.

Arbratextes est une association de promo­tion de la lecture et de l'écriture, qui vise à "donner les moyens de lire et d'écrire", ex­plique Terezinha Lecompère, présidente de l'association. "Pour écrire, il faut beaucoup lire, et nous privilégions une pédagogie dy­namique et efficace de lecture. Il n'y a pas que l'alphabet dans la lecture, mais aussi d'autres méthodes comme la lecture en dia­gonale qui permet de repérer rapidement les informations essentielles par exemple", ajoute-t-elle. Elle enseigne donc ces tech­niques de lecture et d'écriture lors des ate­liers mensuels qui comptent une dizaine d'adhérents, et durant deux ou trois heures,

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ils découvrent des auteurs et des genres, dé­cortiquent des styles, des figures, des effets sur le lecteur pour comprendre l'écriture et aller à la recherche de leur propre style. "Beaucoup d'ateliers sont des thérapies, ici ce n'est pas le cas, on décortique l'écriture pour enrichir ses connaissances et ses goûts", souligne Terezinha Lecompère. "Les ateliers touchent surtout un public universi­taire, mais j'aimerais beaucoup travailler avec des jeunes. Il y a deux ans, j'avais tra­vaillé avec la maison de quartier Louis Jou­vet sur le thème du cirque et nous avions publié un recueil de petits livres".

Association Enfance et Familles d'Adoption

Un cinquantenaire fêté à la Ferme du Manet

Créée en 1954, l'association Enfance et Fa­milles d'Adoption en Yvelines a fêté son cinquantenaire le 3 octobre dernier à la Fer­me du Manet. Plus de 140 familles adop­tantes Yvelinoises s'étaient réunies, sur les 350 foyers que compte l'association, pour cette journée anniversaire. Une centaine d'enfants, âgés de o à 20 ans et originaires des quatre coins de France et du monde, ont pu s'adonner aux joies d'une kermesse organisée avec ses jeux d'adresse et ses structures gonflables, tandis que les 250 pa­rents présents profitaient des rencontres et des échanges conviviaux propices à cette journée festive. De nombreux invités avaient également fait le déplacement pollr cE7tte date importante de l'association, et notamment les anciens présidents et membres de l'association, mais aussi cer­tains acteurs importants de l'adoption en France, comme Geneviève Mirai, secrétaire générale de la fédération nationale EFA, Laurence Stricanne, responsable du service d'adoption du Conseil Général, Huguette Corcel, membre de l'association des Pupilles et Anciens Pupilles de l'Etat, ou encore Ge­neviève Djenati, enseignante et psycho­logue. Reconnue d'utilité publique depuis 1984, Enfance et Familles d'Adoption re­groupe aujourd'hui 92 associations dépar­tementales, dont I'EFA en Yvelines, et re­présente 10000 familles françaises aux­quelles elle apporte conseils et soutien tout au long du parcours adoptif.

Accueil et conseil des parents adoptants

L'adoption est un thème récurrent dans les reportages télévisés qui montrent souvent les difficultés des parents adoptants, mais aussi leur isolement et parfois leur impuis­sance face à ce long parcours. C'est pour­quoi I'EFA, dont les membres sont eux-

mêmes parents adoptants, s'adresse depuis so ans à tous les parents concernés. Grâce à des rencontres régulières, les candidats à l'adoption peuvent partager le vécu des fa­milles ayant déjà adopté, et sont mieux ar­més face aux difficultés. Les conférences et débats, où des acteurs spécialisés intervien­nent, leur permettent par exemple de se te­nir informer sur l'évolution des conditions d'adoption, des aspects juridiques et admi­nistratifs, notamment des pays étrangers. L'association propose également un accom­pagnement dans les démarches et peut in­tervenir auprès de nombreux partenaires auxquels elle est affiliée, comme I'UNAF, l'Union nationale des associations fami­liales, le Conseil Français des Associations pour les Droits de l'enfant dont elle est membre, la commission d'agrément pour l'adoption, ou encore le conseil de famille des pupilles de l'Etat. Ses nombreux contacts avec la DASS, les conseils géné­raux, et les associations reconnues pour les placements d'enfants constituent un ré­seau utile aux parents désireux d'adopter. Les groupes de parole se poursuivent enco­re après l'adoption, en donnant par exemple la parole aux parents adoptants ou aux enfants adoptés devenus adultes. "Les parents adoptants se posent de très nom­breuses questions, que ce soit avant, pen­dant, et même après l'adoption. Se rensei­gner et discuter avec des parents qui en ont déjà fait l'expérience constitue un soutien important, qu'il soit moral ou juridique d'ailleurs", concluait Christophe Poyrault, parent adoptant et président de l'associa­tion EFA Yvelines. L'association désormais cinquantenaire, riche de son expérience et de ses contacts, vous est donc ouverte. Contactez l'association basée à Versailles, par courrier à EFA 78, siège de I'UDAF, s rue de l'Assemblée Nationale, 78 009 Ver­sailles, par téléphone au 01 34 62 21 12 ou sur le site www.efa78.org

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L'association, c'est aussi un projet humanitaire

Franco-brésilienne, Terezinha Lecompère s'investit dans l'aide à une crèche-école mu­nicipale appelée Maria Margarida Ramos Coelho dans la ville d'Aquiraz. L'organisa­tion d'un carnaval avait déjà permis de ré­unir 250€ qui ont financé des travaux d'aménagement de l'espace et de la cuisine, ainsi que l'achat de matériel pédagogique. Cette école gratuite, financée par la ville, accueille les enfants défavorisés issus d'une colonie de pêcheurs appauvris par la pêche industrielle qui a raréfié les poissons. Les membres de l'association ont donc décidé d'agir pour ces enfants souffrant de malnu­trition. Un calcul avec la directrice et les ins­titutrices de l'école a déterminé qu'une aide de 35 reals, soit 10€ par mois, suffirait pour permettre à ces enfants de vivre dans de meilleures conditions. Déjà six enfants sont parrainés par les membres de l'association et leurs amis sur la vingtaine d'enfants très pauvres que compte la crèche-école. Ce par­rainage est sous contrôle de l'école qui sur­veille les· conditions d'attribution des sub­ventions, l'achat de nourriture, de fruits no­tamment, et le traitement des enfants. Chaque mois l'école renvoie un reçu du don qui justifie de son utilisation. Gabriel est le quatrième enfant d'une famille dont la mè­re souffre de troubles mentaux, Larissa est la troisième enfant d'une famille de quatre enfants dont la mère fabrique du charbon de bois pour survivre, Amanda est la troisiè­me enfant d'une famille de quatre enfants dont les parents gardent une propriété pour 37€ par mois, et comme eux, Sara, Antonia, José, Marilia, Julia, Ana, Marciliane, Wil­gner, Marcos et bien d'autres vivent dans

Le recensement dans la pratique

Pour les habitants des communes de plus de 10000 habitants, un échantillon de 8% de la population est sélectionné pour répondre aux questionnaires. Tout le monde n'est pas interrogé la même année, et il se peut que votre voisin ne soit pas intégré dans le même échan­tillon que vous. Les questionnaires sont anonymes et sont déposés chez vous par les agents recenseurs. Si vous êtes absent, vous pouvez retourner votre questionnaire rempli à la mairie. En cas de besoin, l'agent recenseur peut aussi vous aider à le remplir en plus de la no­tice d'aide. Le recenseur dispose d'une carte tricolore avec sa photo d'identité officialisée par la signature du maire. Votre réponse est importante.

des conditions de vie très difficiles. Pour les aider à mieux vivre, il suffit de choisir l'un de ces enfants et d'envoyer un chèque de 6o€ correspondant à six mois d'aide. L'association pourra également vous aider à organiser votre voyage au Brésil si vous souhaitez entrer directe­ment en contact avec les enfants. Contactez Terezinha Lecompère par courrier au s rue Nicolas Boileau à Mon­tigny, par téléphone au 0139 44 01 59, ou par mail sur patrick.lecompere@wana­doo.fr

En partenariat avec la CAF des Yvelines

Le Contrat Enfance reconduit pour 3 ans

En renouvelant le Contrat Enfance qui les unit, la ville et la Caisse d'Allocations Fami­liales des Yvelines (CAFY) affirment leur volonté de partenariat en faveur de la peti­te enfance et de l'enfance. Le contrat a été officiellement paraphé par le maire Michel Laugier et Catherine Bellocq de Cooman, présidente de la CAFY, dans les locaux de cette dernière au centre ville le 14 dé­cembre dernier. Il engage les deux parte­naires sur des objectifs clairement ciblés, qui visent pour les trois prochaines années à améliorer l'offre et la qualité des services proposés par la municipalité, notamment en matière d'accueil des tout-petits, dans les crèches collectives et familiales. Le contrat s'étend également aux centres de loisirs maternels, notamment en terme de formation supplémentaire des personnels et en terme d'amélioration de l'accueil au centre de loisirs du Manet.

3,4 millions d'€ annuels Pour Elisabeth Lefèvre, adjoint à la Petite Enfance, le renouvellement du Contrat En­fance valorise aussi la politique engagée par la municipalité dans ce domaine. "Dans les indicateurs de qualification des actions municipales qu'elle tient à jour, la CAFY at­tribue un taux de couverture important à Montigny (NDLR : s6% sur une moyenne positive de 40%). C'est le résultat d'une politique renouvelée que notre ville mène en faveur de la Petite Enfance. Nous ac­cueillons près de soo berceaux, 310 en ac­cueil collectif, 96 en familial , 44 en multi­accueil, et nous proposons aussi 24 places en halte-garderie, qui démontrent notre

Le contrat Enfance renouvelé le 14 décembre par le maire Michel Laugier avec la présidente de la CAFY Catherine Bellocq de Cooman (à gauche), sous l'oeil d'Elisabeth Lefèvre, at:Uoint au maire, appuie l'action de la ville dans sa po­litique en faveur de la petite enfance et de l'enfance.

volontarisme dans le domaine." Sur le plan budgétaire, la ville est ainsi le premier fi­nanceur de cette politique avec 49,2% de la dépense générale (3,4 millions d'€). La par­ticipation des familles s'élève à 23%, celle de la CAFY à 22%, et celle du Conseil Géné­ral des Yvelines se monte à 5,8%.

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~ L 'ignymontain www.montigny78.fl'

Sport, loisir, détente

Il offre tout, le Club le Vi liage Qu'est-ce qui est situé au cœur du quartier du Village, qui est spa­cieux, bien équipé et agréable à vivre ? C'est le Club le Village bien­sûr ! Vous pouvez y faire du sport, vous y amuser entre amis, ou même y fêter votre anniversaire, tout est possible au Club le Village. Temple de la transpiration, de l'énergie et de la détente, le Club le Village a d~à ses fidèles adeptes, mais pour ceux qui ne connaîtraient par enco­re l'endroit, découvrez dans cet article toutes les activités qu'il vous propose.

Du sport à la carte A la carte signifie deux choses : un accès annuel grâce à une carte d'adhérent nomi­native, mais aussi une possibilité de choisir ses activités de manière occasionnelle, quand et comme vous le décidez, seul ou en groupe, en louant un court par exemple. Dédié aux sports de raquette, le Club le Vil­lage vous permet de jouer au tennis sur les deux terrains couverts et les deux terrains extérieurs, au badminton sur les quatre courts couverts, ou au squash avec trois courts disponibles. Pour l'entretien, vous pouvez aussi vous essayer à la remise en forme, du lundi au samedi matin, en com­pagnie des quatre professeurs de fitness Roseline, Evelyne, Valérie et Franck. Tout au long de la semaine, pas moins de dix activités et de 38 cours sont assurés, des traditionnels abdos-fessiers, step et stret­ching, au travail de musculation plus géné­ral avec le body sculpt et le power life (ren­forcement musculaire), en passant par la gym d'esthétisme, le leg lifting ou le spécial buste, sans oublier le travail de cardio et

Alris lies lllttfts ll'f!lffniÏIImtl!lft: * S4lfASII, l'UliS fiOIIII"U ~ llfJfR ~ m ~-,mt fiiOIII*-IIUII" ll'attGqw.

C'est à savoir , ... Les abonnements sont à date fixe et à des

tarifs particulièrement adaptés.

, ... Vous avez la possibilité de louer vos ra­

quettes sur place.

.... Les déjeuners sont réservés aux personnes

qui viennent faire du sport .

.... Les mineurs de moins de 15 ans doivent être accompagnés sur toutes les activités.

Après retrort le récoft(ott! Cest à fQble qiM! vous échangerez qiM!Iques conseils Uchniques 111/eC

votre tulvetsaire.. De 111 salllde à la tartine tartiflette, il y en 11 pour tous les gtlbllrits.

des chorégraphies avec le LIA, et tout cela en musique et en groupe bien sûr. Les abonnements annuels pour le squash sont complets, mais il reste encore quelques

fil simple 0t1 en aoad1le. le baamilftotl rentiiO#'· te 1111 (nmc sucàs.

places pour le badminton, le tennis et la re­mise en forme. Chaque dernier vendredi du mois, le Club organise un tournoi des sports de raquette qui constitue un défi sportif

PliS tl'elfieu, que aes matchs lllftÎC.IIJIX même lol':s des t:Dflmois.

Une séllnœ tl'llbdo-(essiers suivie tl'une sian­ce ae tttness et d'un lfUltcll ae sqiiiiSIL Un ré­gime qu'Olt peut pnrtiquer plus légùemmt f

pour les adhérents, mais surtout une occa­sion de rencontrer leurs futurs partenaires. Après l'effort le réconfort, ceux qui vien­nent faire du sport peuvent aussi déjeuner sur le pouce avec la formule snack prix ser­ré. Le vendredi, les tables sont disposées en U pour plus de convivialité. Les jeunes de 12

à 17 ans peuvent aussi souscrire au passe­port Evasion, pour une journée ou une se­maine durant les vacances scolaires. De 9h3o à 17h, l'occasion leur est donnée de s'adonner à la multitude de sports disponibles sur l'équipement, mais aussi de profiter de sorties piscine ou bowling encadrées par des animateurs de centres de loisirs. Rencontres et amusement garantis !

A rexthielu MH~S ~ aes fDnlilfs * beQdf Mil~ IIÏIISÎ qll'wt ptli'CDfiTS M milûgolf.

Les petits pl us qui font son charme

Outre le sport, le Club le Village propose aussi de nombreux loisirs, du ping pong avec trois tables, dont deux intérieures et une extérieure, du beach-volley sur au­thentique terrain sablé pour les beaux jours, de la pétanque sur le boulodrome au prix de o,so € l'entrée, et du mini-golf avec entrée gratuite et douze pistes à passer. Il y a aussi un espace détente à disposition des abonnés avec un billard, un jeu de flé­chettes, des jeux de société et un échiquier géant. Les ignymontains ont aussi la possi­bilité de louer une salle pour leurs fêtes familiales, pour un maximum de soixante personnes et jusqu'à une heure du matin .

1

De 6 à 12 ans, les enfants peuvent y fêter leur anniversaire durant deux heures de

fil prise Ol'tllotltJa Otl)llpoMM, gllniU l1ielt ftl JIIIIÏJIIIIJfR l'1lllwttL

bonheur. De 14h à 16h ou de 16h30 à 18h30, les mercredis et les samedis hors vacances scolaires, un animateur prend en charge un groupe de 8 à 12 enfants maximum pour jouer ensemble à des sports de raquettes, avant de participer à un concours de gri­maces avant de déguster un gâteau d'anni­versaire. Les adultes seront jaloux !

idéal pour la pause déjeuner

Ces derniers pourront se rattraper lors de la soirée musicale un samedi par mois, de 20h30 à 22h30. La dernière invitait en novembre le groupe pop rock lmel devant

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une trentaine de spectateurs et amis. La 1

prochaine sera programmée en ce début d'année 2005. Dans ce lieu consacré à l'en­tretien du corps, les soirées se passent tou­jours sans tabac et sans alcool. D'ailleurs les cocktails sont tous à base de jus de fruits, de sirop ou de soda et ont été baptisés Bad- ' minton, Squash, Country Club, Aérobic, Beach Volley ou encore Tea Break. Sans ou­blier que le Club le Village a accueilli, pour la deuxième année consécutive, l'associa­tion Fetia Tahiti et les inconditionnels du club pour la soirée de la Saint Sylvestre. En attendant, renseignez-vous sur les activités et faites du sport sur votre pause déjeuner 1

ou cédez à vos impulsions du week-end.

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Virgin recrute pour SQY Ouest

Une vingtaine de postes sont à pourvoir pour l'enseigne Virgin, qui ouvrira son magasin ignymontain à SQY Ouest le 16 mars. Pour ce faire, l'enseigne a conclu un partenariat avec le service Emploi de la ville (MDE), et recherche des vendeurs ou vendeuses en musique, librairie, multi­media ou papeterie, hôtesses et contrô­leuses de caisses, pour des contrats- de 35h. Les débutant(e)s sont acceptés, et les salaires sont de l'ordre de 1180€. Contacter directement le service Emploi de la ville (MDE) au 01 39 30 30 90.

des nouvelles enseignes annoncées

Plusieurs nouvelles enseignes onrt conclu leur arrivée à SQY Ouest pour le 16 mars prochain, date de l'ouverture de l'en­semble du complexe. Il s'agit de Be You K (vêtements), le chausseur Bata qui pro­posera deux espaces sur 50om', l'un consacré aux chaussures avec des acces­soires et des articles de maroquinerie, l'autre, Athlete's World, dédié au street­wear et au casual-wear. Fruits et Passion développe un concept novateur, écolo­gique et évolutif, qui offre une gamme de produits de soins corporels. Villa Mozart, sur une espace d'environ300 m', est un magasin de décoration d'intérieur pour un mobilier très tendance. Enfin Tube, est un spécialiste de l'Urban street wear, pour une clientèle jeune.

Ouverte_ depuis le 1" août 2004, Black and White Ta~oo est la première boutique de tattoo-pi · · Q qui s'installe à Montigny Olivier Sigwàrt, Sigui de son surnom, tra­vaillait dans une usine automobile en Lor­raine avant de décider, il y a 5 ans, de vivre de sa passion. Il fut un temps indépendant itinérant accueilli par des collègues en Fran­ce, en Angleterre ou en Australie pour faire sa formation sur le terrain. A 27 ans, il crée sa micro entreprise et ouvre sa première boutique. "Il n'y a pas de forma­tion officielle, il faut être autodidacte et avoir un don artistique", explique Sigui. "Les tatoueurs se battent pour obtenir une ré­glementation qui définirait l'aménagement du lieu de travail, les aspects médicaux voi­re la formation à suivre", ajoute-t-il. Un mé­tier qui n'est pas reconnu soulève en effet la question centrale sur le choix d'un tatoueur. Pour Sigui, plusieurs critères sont essentiels, la réputation du tatoueur, mais surtout la propreté du lieu de travail et les conditions d'hygiène.

Le tatouage, un art qui a beaucoup évolué

Démocratisé par les médias, le tatouage est une activité en plein essor. L'essentiel de la clientèle est jeune, entre 18 et 25 ans, mais aussi composée de personnes plus âgées qui ont parfois attendu très longtemps avant de se faire tatouer. "Le tatouage n'est plus ré­servé au milieu motard, mais touche tous les milieux. C'est devenu moins tabou, et considéré comme une véritable décoration corporelle, d'abord parce que la qualité _du tatouage a beaucoup évolué, notamment avec des encres plus performantes, et des tracés plus nets", remarque Sigui. Pour les aspects techniques, le tatouage vieillit très

LEO Pharma, éthique et pharmaceutique

Les arguments sont tranchants, servis par une voix posée pour tous les registres, servis aussi par un regard vif et précis, sans am­bages. Charles Marciano aurait été un bon avocat. Cet habit, il l'endosse avec devoir et conviction lorsque, face à un journaliste, il entend défendre une activité : la recherche et la commercialisation de produits pharma­ceutiques, qui n'a selon lui pas assez bonne presse. Charles Marciano préside le directoi­re de la branche française du laboratoire pharmaceutique LEO Pharma, un groupe in­ternational et danois d'origine, qui joue un rôle majeur dans la recherche et la commer­cialisation de médicaments pour la dermato­logie, l'hémostase et les troubles de la coa­gulation, ou encore la cancérologie. Depuis 1987, son siège social est installé au Pas du Lac. Il se situe dans le peloton des groupes de taille moyenne, derrière les leaders mon­diaux que sont que sont Pfizer, Sanofi-Aven­tis ou Merck.

Un groupe propriété d~une fondation

"Pour le public, notre industrie n'apparaît pas très positivement sur le plan éthique. Les medias sont à l'affût surtout lorsqu'un pro-

bien, ne se déforme pas avec les variations de poids ou les grossesses, peut être restau­ré ou totalement r~assé. Le» · oi_r. tient;_ mieux que la couleur, et le tatouage néces­site d'être soigné, protégé du soleil l'été par exemple. Que pensez-vous du tatouage se­mi-permanent ? "Je préfère conseiller un tattoo au henné avant de passer à quelque chose de plus définitif, car le tatouage semi­permanent laisse toujours des traces pour moi".

Une relation de confiance

"L'essentiel est d'être à l'écoute de la per­sonne, de ses envies, de la diriger, même si le tatouage est souvent choisi par flash spontané". Plus de 10000 modèles sont dis­ponibles dans les catalogues de la boutique, et Sigui peut aussi dessiner à la demande. "En France, le noir et gris marche très bien, le tribal aussi et les motifs floraux. Les Fran­çais aiment surtout le réalisme qui consiste à faire vivre le tatouage sur la peau. Je conseille toujours d'éviter les prénoms, je refuse de tatouer sur les parties apparentes, j'encourage la réflexion, et je fais beaucoup de prévention auprès des jeunes". Le pier­cing est accessible à partir de 16 ans avec au­torisation des parents et vérification par un appel téléphonique. La réputation d'un ta­toueur est un gage de sécurité, et le nou­veau tatoueur ignymontain a quelques prix pouvant attester de son talent, le 3' prix de la convention d'Auxerre pour les pièces noir et blanc, et le 2' prix de Perth en Australie pour les grosses pièces noir et gris. "Il faut beaucoup de maîtrise de soi, et une grande conscience professionnelle car on n'a pas le droit à l'erreur". Pour les conditions d'hygiè­ne, les aiguilles sont à usage unique et cas­sées devant les individus, le matériel est sté­rilisé par autoclave de classe B. Il vous en coûtera entre 6o et 150€ pour une pièce moyenne, et de 1500 à 4000€ pour de plus grosses pièces. Contactez la boutique au o6 84 90 18 21, ou rendez-vous au 21 rue Marcel Proust, place Claudel, tous les jours sauf le lundi de 10h à 2oh, et le week-end de 11h à 2oh. Le ta­toueur assure un suivi 24h sur 24, et un contrôle du tatouage dans les dix ou quinze jours suivant sa réalisation. www.blackandwhitetatoo.com

CllaiYs MIITcit»>D, prisillent 1111 ~de LED l'llamffl Fl'llllœ. Soli gt'Oiqle ~ue est ~ .­spidQiisé lfOtllmmmt a.ms le dtHflailfe de Ill tlemflltOiogie.. 90 penot~~~U tnwaillelrt IIJI siège ,. si 11J1 PliS lill lAc, en pœticulier le ~ llechen:lle Clilfique..

blème surgit, comme récemment pour le Vioxx du groupe Merck, en oubliant parfois le rôle essentiel que les groupes pharmaceu­tiques exercent dans le domaine de la re­cherche médicale." Concilier les impératifs de la recherche, très coûteuse et qui implique de prendre des risques, avec la nécessité du bénéfice com­mer,cial, c'est un défi q.ui peut taire émerger les côntradictions, c'est surtout pour Charles Marciano le devoir de garder l'éthique en profession de foi. "Le capital de Leo Pharma présente la particularité d'être détenu par une fondation. De fait, il lui est interdit de se vendre ou de se mettre en bourse. C'est une autre philosophie, avec les mêmes obliga­tions néanmoins, tant sur le plan de la re­cherche que sur la nécessité d'avoir des ré­sultats".

En position de leader pour la dermatologie

On trouve aujourd'hui dans les pharmacies une douzaine de médicaments créés et com­mercialisés par LEO Pharma. Le groupe s'est spécialisé dans la dermatologie et est leader mondial dans le domaine du psoriasis. Dans un secteur où plus qu'ailleurs, le nerf de la guerre est de chercher pour trouver, la créa­tion d'un médicament obéit à un très rigou­reux processus de recherche, puis de valida­tions progressives, médicales et administra­tives, avant d'aboutir sur les linéaires des of­ficines. LEO Pharma France, qui emploie 450 personnes en France, s'appuie dans ce do­maine sur un département Recherche Cli­nique, basé dans les locaux du siège à Monti­gny. L'entreprise possède également un site de production à Vernouillet dans l'Eure-et­Loir. "Lorsqu 'on développe un produit dans le domaine pharmaceutique, plusieurs séries d'expérimentations se succèdent. Dans ce processus intervient à un certain moment les tests sur des animaux. Si ces tests démon-

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Nouveau restaurant avenue des Prés Kervan-Saray, un restaurant de spécialités turques et italiennes a récemment ouvert ses portes sur l'avenue des Prés. Dans un dé­cor issu des traditions des deux pays, vous dégusterez pizzas, pâtes et grillades d'Italie, poivrons, aubergines farcies, taramas et lo­kums de Turquie. Pouvant accueillir jusqu'à 150 personnes, le restaurant propose sa for­mule midi complète à 11€, et peut égale­ment accueillir des soirées privées. Un

trent leur pertinence intervient ensuite les phases d'expérimentation sur l'homme. C'est la réalisation de ces dernières études que notre département Recherche Clinique est à même de conduire, en partenariat avec nos homologues anglais, danois et canadiens."

L'aventure, c'est la découverte

Derrière le gestionnaire d'entreprise, c'est très vite le chercheur qui reprend les rênes de l'entretien. Car l'aventure industrielle est dans la découverte et l'innovation, syno­nymes de progrès thérapeutiques pour tous conjugués aux bénéfices pour l'entreprise. Et sur ce plan, on ne gagne pas à tous les coups. "Ainsi, nous nous sommes attaqués à la re­cherche sur le syndrome de détresse respira­toire aigüe et les premières études nous ont donnés beaucoup d'espoirs. Malheureuse­ment, les tests ultérieurs n'ont pas confirmé ces espoirs et ont conduit à l'arrêt de ce pro­jet de recherche." A l'inverse, LEO Pharma est parvenu à développer un anti-coagulant efficace contre les embolies pulmonaires et les phlébites. Ce produit, dans son segment curatif, a pu s'imposer d'emblée, en gagnant plus de 6o% du marché en quelques mois après son lancement. Le groupe lance aussi un nouveau produit ce mois-ci, auprès des médecins généralistes, pour le traitement du psoriasis. "J'ai la chance de faire un métier passionnant et utile à la société, car l'industrie pharma­ceutique fait les progrès thérapeutiques de demain. Je revendique pleinement l'éthique de ce secteur pofessionnel, même si comme dans tout corps social, il peut parfois y avoir des dérives". Président de l'association "Mé­dicament: Ethique et Réalité" (MERl), Charles Marciano ne pouvait trouver terrain plus approprié pour défendre ses convic­tions. Il possède les arguments, et personne ne saurait lui contester l'expérience.

comptoir sert également des plats à empor­ter de 3 et 10€. Kervan-Saray, 11 avenue des Prés, 01 39 30 03 19.

OANS LES QUARTIERS

( Les Prés ) Les Pré5

Du bio au centre commercial des Prés

Pour Daniel Augé, commerçant de la place Malraux, "faire émerger la culture bio nécessite bien sûr une baisse des prix, et donc l'organisation d'une filière".

premiers clients. "J'ai un excellent retour qualité et les gens sont très intéressés par le bio. On vend mais on discute beaucoup aussi". Vous y trouverez du kaki, un fruit orange et sucré dont l'intérieur ressemble à de la confiture, de la papaye, du manioc, de la grenade, de la figue, tous les fruits et légumes traditionnels ainsi que les cucurbi­tacées de l'hiver. "Bien sûr nos avocats sont petits, et nos bananes ne sont pas d'un jau­ne uniforme, mais le goût n'a rien à voir. Les arômes restent en bouche et la culture naturelle conserve toutes les vitamines. C'est comme sous l'arbre, les fruits peu­vent avoir des bosses ou des tâches mais ils sont excellents", conclut Daniel Augé. Pour l'instant familiale, Daniel Augé espère bien développer son affaire et embaucher, en permettant à plus de consommateurs d'acheter des produits bio grâce à une poli­tique de prix bas. Sa relève est déjà assurée avec un fils en deug de biologie animale et l'autre en deug de biologie végétale. Située au 19 allée des épines, place André Malraux, la boutique est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 13h et de 15h30 à 2oh, et le dimanche matin de 9h3o à 13h. Contactez le 01 30 sB 31 87.

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Noël a scintillé aussi dans les quartiers

Les animations locales pré­vues dans chaque quartier pour célébrer l'esprit de Noël entre voisins ont fait le plein de succès et par­tout, les activités proposées et la présence du Père Noël ont ravi les enfants. Le Fest Noz solidaire du conseil de quartier du Plan de l'Eglise, avec d'Ar Bernie, a permis de récolter plus de 3000 jouets, et largement de quoi remplir un tréneau de jouets redistribués aux asso­ciations caritatives. Plus de 200 passants attirés par l'odeur des crêpes se sont pressés pour profiter de la fête organisée à l'école Satie par le conseil de quartier. Le Plan de Troux avait rameuté ses troupes dès le vendredi soir avec une animation UCPA à la sortie de l'école Chénier.

Les loisirs créatifs de déco­ration de Noël ont donc été pris d'assaut le lendemain et tandis que les enfants fabri­quaient leurs décorations, les parents dégustaient un vin chaud. Le cortège de la Sourderie Nord dans lequel le Père Noël avait pris place, abandonnant provisoire­ment son traîneau pour une voiture des Vieux Pistons, omniprésents pour cette fin d'année, a parcouru la ville de la place des Causses à la place J. Coeur en distri­buant des bonbons aux en­fants et en s'arrêtant dans les quatre écoles du quar­tier pour conter des his­toires de Noël, une féérie présente aussi dans l'air du Pas du Lac.

Situé entre la pharmacie et le coiffeur du centre commercial des Prés, un nouveau marchand de fruits et légumes bio a ouvert ses portes le 18 septembre dernier. Intitu­lée Chez Moi, la boutique porte le nom de la société familiale qui la gère, Marché Or­ganique International. Soumise à deux contrôles de qualité par an, la boutique vend uniquement des fruits et légumes la­bellisés AB, agriculture biologique. Daniel Augé, gérant de la société, aura mis deux ans pour lancer son entreprise, deux ans consacrés à la prospection et à la mise en place des moyens de travail, et notamment l'obtention des autorisations administra­tives d'importation, avant d'ouvrir en sep­tembre dernier. De formation comptable, Daniel Augé est resté quinze ans conseiller indépendant en gestion d'entreprise dans les produits bio, et a également été expert des Nations Unies en Afrique pour la FAO, Food Agricultural Organization. "Parmi mes clients, certains fabriquaient de très bons produits sans pouvoir les commercia­liser. L'un d'eux avait créé un produit cos­métique à base de potimarron qui conte­nait neuf fois plus de vitamine A que la ca­rotte sans pouvoir l'exploiter. Ça m'a don­né l'envie de développer ce marché", ex­plique Daniel Augé. "Je suis un gestionnai­re avant tout, et faire émerger la culture bio nécessite bien sûr une baisse des prix, et donc l'organisation d'une filière", ajou­te-t-il. Aléina • • de la suite dans les idées

Une petite boutique Souvenez-vous, une kermesse organi-

pour Une grande ambition sée en juillet dernier au Pas du Lac Après 25 ans d'existence, l'agriculture bio- avait déjà permis d'envoyer une peti-logique ne représente qu'1,50% du marché te dizaine d'enfants défavorisés à Dis-alimentçire, c'est pourquoi son ambition neyland en octobre 2004. L'associa-est de rallier suffisë)mment de producteurs tion Alinea s'est à nouveau mobilisée pour créer une vraie filière. Pour l'instant pour Noël, afin d"'offrir un maximum petite boutique de vente de produits bio, le de jouets à ceux qui n'en ont pas", ex-local de vente des Prés devrait également . P.lique ·christophe Buis, président de devenir une plateforme de stockage pow .. _. l'association. Ainsi, plus de 200 jouets la société d'import-export de _pr,oduits b·io .. , .. :ont·été offerts aux parents qui les ont qui souhaite diffuser les produits bio dans mis eux-mêmes sous le sapin, la plu-l'Ouest. "Il est très difficile de trouver des part neufs et achetés grâce aux re­

cettes de la kermesse. Les dons de producteurs puisque la production n'est pas industrialisée. Je dois travailler avec cinq producteurs, dont Biolune qui est un gros producteur marocain, pour pouvoir achalander ma boutique", souligne Daniel Augé. En plus d'une clientèle de gros et de demi-gros, la boutique a déjà fidélisé ses

particuliers ont également permis de donner à la DIRE des cadeaux pour son groupe de soutien scolaire de 25 enfants, qui ont profité d'un goûter surprise le 16 décembre aux Prés, et le 17 à la Sourderie.

les bénéfices de la kermesse de septembre organisée au Pas du lac par l'association Ale ina ont conduit uu dizaiu d'en­fants ii Disnevland Paris en octobre dernier.

recevra son lot de fournitures sco­laires, grâce à une collecte de clas­seurs, de feuilles, de cahiers, de gommes, de stylos, d'agrafeuses et de livres scolaires et de loisir. L'associa­tion participait également à la collec­te nationale de nounours organisée par l'association AIVI, association in­ternationale pour les victimes d'in­ceste, le 20 novembre dernier, afin de faire changer la loi sur la prescription des crimes de viol et d'inceste. Pour finir, une dizaine d'ordinateurs récu­pérés auprès des entreprises et remis en état seront installés pour moitié chez des particuliers, et serviront pour l'autre moitié à aménager une salle afin d'apprendre les rudiments de l'informatique à des enfants. Vous

Des galettes en janvier Le vendredi 7 janvier à partir de 19h30 à l'école élémentaire Albert Samain avec les conseil de quartier de la Sourderie Nord, ainsi que le vendredi 14 janvier en soirée avec le conseil de quartier de la Sourderie Sud, en partenariat avec la MQ Jouvet.

"Nous sommes très contents car l'associa­tion a très bien marché pour sa première année de fonctionnement, et nous avons même pu faire des dons à d'autres associa­tions", souligne Christophe Buis. Une par­tie des jouets pourra même être envoyée au Maroc. Mais l'association ne s'arrête pas là et tente d'apporter son aide là où elle peut être utile. Une cinquantaine de livres

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a été envoyée à Gao au Mali pour consti­tuer les fondements d'une bibliothèque. C'est un volontaire en contact avec l'asso­ciation qui s'est chargé de les acheminer. Jean-Philippe Dithavong, infirmier légion­naire, a profité de ses congés pour aller ai­der à la mise en place de cette biblio­thèque, et notamment expliquer la gestion et le fonctionnement d'emprunt des livres. Madagascar, qui taxe les envois de jouets,

pouvez dès à présent vous mobilisez pour la prochaine action en faisant le don des objets, livres, jouets ou vêtements qui ne vous servent plus. Ils seront vendus à la braderie de printemps pour offrir des va­cances d'été à ceux qui ne partent pas.

Christophe Buis, président au o6 d 016Bi"a­mail : christophe@Jalinea.org. web : www.aleina.org

( Le Pas du Lac )

M. Fathelkir, , l'épicier que vous connaissez i1 P.' :,:· ; ~ .: ~ . 1; . l 't. ! !

! Nichée au cœur du quartier du Pas du Lac, ! à côté de la maison de quartier Henri Ma­i tisse, se cache une petite épicerie. Depuis ! 9 ans, Fathelkir Allal, habitant du quartier i et membre du conseil de quartier depuis sa 1 création, rend servi ce à ses voisins en ou­l vrant son épicerie 7 jours sur 7. C'est un ! commerce particulier qui n'a besoin d'au­! cu ne signalétique et qui n'est pas acces­! si ble en voiture. Sa meilleure publicité

j c;·~~t- ,la relation_ de conf~a~c-~;.:.d'~~~ : qw s'est mstauree avec l'eptcter, et son en-I vie de servir qui reste la plus forte. Après ! avoir travaillé comme cadre commercial ! dans une entreprise durant 26 ans, Fathel ­! kir Allal souhaitait créer sa propre entre­! prise et aborder le commerce sous un 1 autre angle. En 1987, lorsque l'enseigne 1 Euromarché a disparu, située sur l'empla­! cement de l'actuel nouveau quartier, la l ville et les habitants du quartier souhai­! taient ardemment favoriser l'installation ! de nouveaux commerçants, mais ce quar-1 ti er jouxtant le grand centre commercial : rendait difficile leur pérennité. Il fallait :donc un commerce de proximité qui pren­! ne tout son sens. La ville propose alors à ! Fathelkir Allal de s'installer dans des lo­I caux municipaux, avec des charges ré­! duites. "J 'ai un bail de 12 ans, mais ces der­: nières années on ressent la crise, et si \j 'avais des charges plus lourdes, je ne pour­! rais pas tenir, c'est déjà difficilement ren­I table. Je tiens ce commerce à bout de bras, l mais je reste positif, et j'espère simple­! ment que mon bail sera renouvelé jusqu'à 1 ma retraite", explique l'épicier.

Servir avec le sourire i "On a tellement rouspété pour avoir une ! épicerie à l'époque que je suis contente 1 qu'elle soit là. Monsieur Fat me rend drô-! ........................ - .... .

( Saint-Quentin )

lement service, il est ouvert même le di- 1

manche et on y trouve de bons fruits", re- ! marque Madeleine Lemaire, résidente et ! fidèle cliente. Ouvert le soir et le week- i end, cette épicerie arrange vra iment les i habitants du quartier à des prix très cor- ! rects, d'autant qu 'ils ne disposent pas de i boulangerie. "C'est un artisan qui me dé- i pose le pain frais et les viennoiseries trois 1

fois par jour". Même fatigué, Fathelkir ex- 1

,..,. ~li5JM .. ~ .. qu'Rl4;-VJ ÎJ'-_S9 ~oy~i<l.l:'e, "cLe?t rewec-:, i ·ter les besoins dè sa clientèle. Heureuse~ : ment qu 'il n'a pas de transport ! Epicerie, i produits frais, surgelés, fruits, boissons et ! bonbons, lait, eau et conserves, l'essentiel 1

y est. "Quand j'achète mes produits je les 1

goûte pour m'assurer de leur qualité et je i suis parfois moins cher que la grande sur- ! face". Et l'épicier a quelque chose en plus. ! Un dépôt de presse d'abord, sans avoir à se 1

déplacer. Revues pour les jeunes, maga- ! zines télé, féminins, culturels ou quoti- : diens, le choix est vaste, et vous pouvez ! même commander votre titre à la deman- 1

de. Son atout, c'est aussi sa bonne humeur ! et sa sympathie pour son quartier. L'épice- 1

rie est aussi un lieu de discussion, d'infor- i mation parfois, et d'échanges surtout. ! " Parfois je porte leurs paquets à ceux qui ' ne peuvent pas se déplacer, certains me : demandent des petits services comme : écrire des lettres". Pour ce qui est de la 1

construction du nouveau quartier, "il est toujours intéressant d'avoir de nouveaux clients, mais c'est très difficile pour les commerçants de tenir dans ce quartier". Il remercie ses clients fidèles, et n'a rien à voir avec la grande surface. Ici, on serre les mains et on s'appelle par son prénom. Pour tout renseignement, contactez Fa- ! the/kir Allal au 01 30 48 03 70 (avec ré- ! pondeur), de Bh30 A 13h, et de 16h3o A 1

20h3o, 7 jours sur 7. ·

Lââm dédicaçait a Carrefour La chanteuse Lââm est venue présenter son dernier album à ses fans saint-quentinois sa­medi 18 décembre après-midi à l'espace culturel de l'hyper­marché Carrefour. Les écri­vains Cécile Krug et Didier Co­lin l'avaient précédée dans l'exercice en cette f in d'année. Les opérateurs de ces "Carre­four" Studio entendent re­créer des évènements de cet ordre régulièrement, au béné­fice des usagers du centre.

L 'ignymontain www.montignylB.fr

( Le Plan de Troux )

Savez-vous que votre écriture se rééduque ?

Anne Rygaloff, habitante du quartier du Plan de Troux, est aussi graphothérapeute de métier. En exercice depuis 9 ans, elle a travaillé longtemps dans le recrutement avant de se spécialiser dans la rééducation de l'écriture. Sa profession, assez mécon­nue, s'adresse aux enfants, adolescents et adultes atte ints de dysgraphie, c'est à di re de troubles de l'écriture. Ces derniers se manifestent souvent chez les plus jeunes par un manque de lisibilité, de maîtrise de l'écriture, une trop grande lenteur, voire même un refus d'écrire. Un problème com­mun consiste à déterminer si un enfant est droitier ou gaucher. Or, les blocages de l'écriture peuvent conduire à l'échec scolai­re, et s'aggravent généralement au fur et à mesure de la scolarité. "Plus on avance dans la scolarité, plus on prend de notes. Certains n'arrivent pas à se relire, d'autres n'ont pas le temps d'achever leurs exa­mens, ou portent leur attention davantage sur leur geste graphique que sur le fond. Le plus étonnant, c'est que ces problèmes concernent souvent des enfants très intel­ligents qui sont brillants à l'oral ", explique Anne Rygaloff. Chez les adultes, la dysgra­phie peut se traduire par des crispations, des douleurs, ou un complexe par rapport à l'écriture. En effet, l'écriture est un moyen de communication essentiel qui reflète la personnalité des ind ividus. La dysgraphie devient alors une véritable difficulté, pour écrire une lettre de motivation par exemple. Il faut attendre la f in de la phase d'apprentissage, vers l'âge de 8-9 ans, pour diagnostiquer ces problèmes, et les parents inquiets se retrouvent parfois impuissants, ne connaissant pas la graphothérapie.

Que fait la graphothérapeute ? Il existe une centaine de graphologues di­plômés du Groupement des graphothéra­peutes rééducateurs de l'écriture, en exer­cice dans toute la France. Il leur aura fallu trois ans de formation pour obtenir un di­plôme de graphologue de la Société fran­çaise de graphologie, seul brevet reconnu par le rectorat de Paris, plus une spécialisa­tion d'un an dans la rééducation . Anne Ry­galoff travaille à son domicile. Elle ren­contre les parents lors d'un premier entre­tien, passe en revue les cahiers et les bilans

Anne Rygaloff fait partie de la centaine de gra­phologues qui exercent pratout en France et tra­vaillent à la rééducation de l'écriture.

des professeurs de l'enfant, avant de faire connaissance avec lui. Test de vitesse, exa­men de motricité graphique, calcul de l'âge graphomoteur, discussion sur les circons­tances ayant précédé les troubles, servi­ront à déterminer les bénéfices possibles d'une rééducation, sachant que cette dé­marche nécessite une volonté commune des parents et de l'enfant. En moyenne, il faut compter une vingtaine de séances de trois quarts d'heure, qui passeront pa r la relaxation du geste, la prise de conscience

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des problèmes et le travail graphique, sui­vant une méthodologie appliquée à chaque ... _ cas . Anne Rygaloff collabore avec des or­thophonistes, plus spécialisés dans la dys­lexie, les problèmes de lecture et les dé­fauts de prononciation, mais aussi des en­seignants ou des psychomotriciens, qui ne sont pas spécialisés dans l'écriture. Il existe donc une thérapie à la dysgraphie, une thé­rapie progressive qui aide à retrouver le plaisir d'écrire.

Contactez Anne Rygaloff au 01 30 57 17 39, ou au o6 09 51 46 40. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site du Groupement des graphothérapeutes rééducateurs de l'écri­ture sur www.ggre.org

( La Sourderie-Sud ) .......... mm- mm •• m- mm m ........ ---

la fête avec les élèves 1 des cours d'alphabétisation

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! Tous les adhérents qui béné­i ficient des cours d'alphabé­! tisation dans les trois mai­! sons de quartier s'étaient ré­! unis le 11 décembre dernier à i la MQ Jouvet pour leur fête ! annuelle. Grâce à l'investis­! sement de Nadia et Ginette

1 Télès, ainsi qu'au bénévolat 1 de quatre autres protes­! seurs, les cours d'alphabéti-1 sation aident chaque année i depuis treize ans les igny­! montains issus de tous les ! pays du monde à mieux ap­! préhender la langue françai­i se dans une ambiance dé-1 contractée.

les cours d'alphabétisation permettent chaque année à des ignymontains issus de tous les pays et de toutes les cultures de mieux s'intégrer dans la cité.

! Une ouverture sur le monde l Chaque adhérent arrive en France avec sa ! culture propre et les difficultés d'appren­j tissage inhérentes à sa langue maternelle. ! C'est pourquoi les cours d'alphabétisation ! se font sur un mode de compréhension, de i soutien et de partage où chacun s'enrichit

de la culture d'autrui. C'était d'ailleurs le ! message véhiculé par l'exposition annuel- i le de l'alpha. A l'image d'une année riche i en amitié et en progrès, la saison s'ache- ; vait sur un buffet festif d'où chacun est re- : parti plus que jamais mobilisé pour les : prochains cours. i

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EN BP~F

Je~ tt4lic : MÜttr H~s k 1er fivritr

Le prochain spectacle en faveur du jeu­ne public programme une comédie poli­cère "Chapeau Mister Holmes ! ", une adaptation de l'oeuvre de Conan Doyle présentée par ProCréart, le mardi 1" fé­vrier à 2oh. Rens. : 01 39 30 31 70.

Avt f'FJrf!~ de if! Mf! Ùrrrv Félix

Deux artistes occuperont les cimaises de la maison Félix ce mois-ci. Jean-René Neau tout d'abord, pour une exposition baptisée "Entre fers et faire" du 15 au 23 janvier, puis Vivien Chauvet pour "Adieu" du 29 janvier au 6 février. Rens. : 01 39 30 31 70.

3 crrf1/érti1UJ erv J f!JW ver

Au Conservatoire des Arts : le mardi 11 janvier à 20h, une conféren­ce axée sur la modernité à New York (1905-1930), en marge de l'exposition prévue au musée d'Orsay jusqu'au 16 janvier. Le mardi 25 janvier à 20h, la conférence portera sur l'oeuvre de Jean Hélion, pour lequel une exposition se déroule actuellement au centre Georges Pompidou jusqu'au 7 mars. Enfin le mar­di 29 janvier, le cycle de conférences proposé par la Direction de la Culture abordera la célèbre oeuvre de Pablo Pi­casso réalisée en 1957, "Les Ménines", inspirée de Velazquez. cette conférence en famille se tiendra de 17h à 18h. Le coût de l'entrée de ces conférences est de 4,40€. A la salle Jacques Brel : le cycle Connaissance du Monde propo­se un nouvel opus le 10 janvier à 14h et 20h30, sur les capitales Prague, Vienne, Budapest. Entrée adulte 7,50€ ; 3• âge, étudiants, carte jeune et scolaire indépendant 6,so€, et les groupes scolaires 4€. Rens. au 01 39 30 31 70.

Rffc~ : r~Fré91At11U A fYV:!ttw-, ~ ) <n4'e-t

Trois groupes de rock ont occupé la scè­ne de la MQ Jouvet le 11 décembre der­nier dans le cadre du Fréquence Ama­teur organ1se conjointement par I'ADIAM, qui favorise l'action musicale et subventionne des formations à tra­vers tout le département, le CRY, le centre de recherche yvelinois pour la musique, en partenariat avec de nom­breuses salles de répétition. L'objectif était de créer un réseau de salles de concert pour permettre aux groupes lo­caux de tourner dans le département. Montigny recE:vait donc le groupe Duss établi à Plaisir, ainsi que les groupes ignymontains Brain Washing, qui enre­gistrait son clip live diffusé prochaine­ment sur TV Fil78, et Day Bu rn. De 2oh à 23h ils ont tour à tour surchauffé la salle de 8o personnes semble-t-il ama­teurs de la fréquence.

L ' ignymontain www.IIIOIItifJny78.fr

Une 2..e séance le dimanche 2..3 à 15h30 à la Ferme du Manet

A~<_rVR_O &RACf--(ETTl DOV&LE LA MtÇE

Vous l'avez tant plébiscité qu'il reste un peu plus longtemps. Arturo Brachetti, le virtuose

du transformisme, avait fait un tel tabac lors de la mise en vente de son spectacle du samedi 22 janvier à la ferme du Manet, que l'artiste a accepté de donner une séance sup­plémentaire le lendemain di­manche 23 janvier à 15h30. Son show "L'homme aux mille songes" est la nouvelle version de son one­man show donné au théâtre de Mogador. En tournée en Europe et aux Etats-Unis, le show a fait envi­ron un million d'entrées. L'histoire est simple mais touchan­te. Arturo, adulte, retourne dans le grenier de son enfance pour tout enlever et se débarrasser des vieux souvenirs inutiles. Facileà dire, mais pas à faire. La retrouvaille de la boite de jeux entraîne un surpre­nant changement : Arturo retourne dans le monde de la fantaisie qu'il croyait avoir oublié. Il devient Spider­man, Pinocchio, ou Barbie. Arturo se souvient encore du cinéma d'Hollywood. Il se transforme alors en une trentaine de personnages évo­quant les films avec Gene Kelly, Liza Minnelli, King Kong, Frankenstein,

Pour sa XVIIe édition, le Salon des Arts s'est révélé encore plus riche et diversifié que les années précédentes pour le plus grand plaisir de ses visiteurs qui se sont rendus nombreux à la Ferme du Manet, du 24 novembre au 1" décembre. Son in­vité d'honneur, le peintre Jean-Marc Le­febvre exposait dans le même temps au Conservatoire des Arts. Sa peinture, ode initiatique au voyage, rappelait l'une des vocations premières de l'art à savoir la dé­couverte et le partage de visions d'ar-

Carmen Miranda, Charlie Chaplin, pour finir avec Esther Williams qui nage en plein air dans sa piscine, jusqu'au final au coté de Federico Fellini. Comédien, transformiste fantastique

et inimitable, Arturo Brachetti par­court le monde depuis des années avec des numéros uniques et exceptionnels et des pièces de théâtre produites par le Théâtre National Italien.

2' séance- Dimanche 23 janvier à 15h30. Réservations à l'Hôtel de vl/le (direc­tion de la Culture). Rens. : 01 39 30 31 71. "Arturo Brachetti est le roi des méta­morphoses. En un instant il change de visage, d'habit et de sexe. Il quitte la scène par une porte et entre différent par une autre. On croit avoir la berlue et on applaudit a tout rompre. Nous voilà au coeur du merveilleux. " Pierre Macabru, Le Figaro

tistes. C'est pourquoi ce Salon était né à l'origine d'une envie de faire découvrir les artistes de la région, et qu'il s'est dévelop­pé au fur et à mesure, accueillant des ar­tistes issus de toute la région parisienne, et des invités aussi intéressants que pas­sionnés.

L' Plrt JA.N tovtt't SPl f~tltttt La visite de ce Salon a permis a ses fidèles de découvrir simultanément la palette de 36 exposants aux styles personnels. La

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Le 18 janvier à J. Brel

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Primée au Festival du Théâtre Amateur 2004, la troupe de Whatstodo a logiquement gagné sa place au sein de la programmation de la saison culturelle. Les sept comédiens et leurs metteurs en scène, Matthieu Cessac, animateur de la com­pagnie Manteau d'Arlequin à Saint-François d'Assise, et Benjamin Guillot, professeur d'art dramatique pour les écoles de théâtre de Ver­sailles et de Montigny, nous présenteront donc leur coup de cœur pour Tango, une pièce de Sla­womir Mrozek, mardi 18 janvier à la salle J. Brel.

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Née en 1999 de la volonté des participants de former une troupe au sein de l'atelier de théâtre animé par Casimir Skorupski, la troupe associati­ve n'aura pas attendu longtemps le succès. Avec déjà six pièces à son actif, il aura fallu un an de travail à la troupe de Whatstodo pour monter cette pièce qui expose un conflit de génération entre un fils conservateur et sa famille progres­siste qu'il essaye de ramener dans le droit che­min. Adultère, jeux de hasard, retour à l'adoles­cence, artiste d'avant garde ou discipline de fer, cette pièce repose sur le jeu et les croyances de chaque personnage et l'inversion des rôles. L'au­teur exploite l'absurde, la comédie, la satire et le burlesque ave't '·un ' grarid sens de l'humour, et : cette parodie n'est pas dénuée de parabole. A la fois drôle et très bien construite, la pièce n'en reste pas au simple amusement comique, mais utilise le théâtre comme moyen d'expression mis à mal par l'autoritarisme des régimes staliniens.

Coup de coeur Théâtre de la salle J. Brel 15 février : "La mère confidente• avec Geneviève Casile

peinture affichait ses différentes tech­niques, pastel, acrylique, aquarelle, huile, peinture sur soie, tandis que d'autres avaient choisi d'exploiter des matières moins nobles dans l'imaginaire collectif, se servant de feutres par exemple pour travailler leurs oeuvres d'art. La sculpture en bronze, en plâtre ou en terre cuite ve­nait compléter le décor, déjà très coloré par les vitraux et les tableaux en mo­saïque. Chaque année les délibérations pour désigner les oeuvres à récompenser s'intensifient et le jury est bien souvent à la merci de ses coups de coeur, comme le public qui se fidélise chaque année et suit régulièrement les expositions proposées tout au long de l'année gratuitement aux habitants.

Lt f~tlrrvtrts 2oo4- :

Peinture à l'huile : Geneviève Ziwes (œuvre primée : "Dans les sables")

Multi Techniques : Marie-Reine Munoz (œuvre primée: "Ligne de vie")

Sculpture : Phuong Tram Mai Quoc (œuvre primée : "Ladoudou ")

Prix du public: Jérémy Nicolle (œuvre primée : "Golden Retriever")

Mentions spéciales: Gérard Bellaiche (œuvre primée :"Elephant psycho") et Françoise Passart (œuvre primée : "Regard").

Dt~ f lvr.JticitN i-tt~tlieN expa-stf'l.;t

Tous deux nés en Italie et désormais installés à Paris, anciens étudiants de l'Académie des Beaux-Arts, l'un

à Venise, l'autre à Rome, ils ont en commun le goût pour les associations chromatiques chaleureuses, la prédomi­nance de la gaieté sur la toile, mais aus­si le choix de compositions irréelles et souvent abstraites. Riccardo Licata et Romano Zanotti exposent ensemble du 19 au 29 janvier au Conservatoire des Arts. Riccardo Licata est un professeur de mosaïque à Paris, et un artiste accompli qui pratique à la fois la peinture, la gra­vure, la tapisserie et la sculpture sur verre. Entre toutes ses oeuvres il est un point commun qui les fait vivre, la joie qu'elles inspirent au public, et Riccardo Licata a déjà exposé dans plus de 35 pays différents. Romano Zanotti s'ins­pire de la géométrie et de la pensée ma­thématique en générale qu'il transfor­me par ses jeux d'opposition et de dé­gradés des couleurs primaires en véri ­tables tableaux qui se jouent de la lu­mière. Cercles et carrés lui servent à modeler son art construit dont la droi­ture est contrebalancée par les cou­leurs. Dans les deux cas, les formes ri­goureuses ou abstraites laissent entiè­rement place à l'imaginaire de chacun, et la perfection des constructions por­tent jusqu'aux bordures de la toile et plus loin encore. C'est peut-être ce qui

Créée le 5 avril 2004, la dernière née des associations culturelles ignymon­taines vous propose de partir à la dé­couverte de la culture ultra-marine, le terme à la mode pour désigner l'Outre-Mer, et de ses quatre départe­ments, la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique et la Réunion. L'associa­tion CTOM, Cultures et Traditions d'Outre-Mer, a donc bien choisi son nom et vous fera voyager à travers les îles. Déjà 20 membres et amis sont ré­unis pour partager la culture antillai­se. "Notre souhait était de créer une dynamique culturelle pour tous les ressortissants de la ville nouvelle, afin que nos enfants nés en métropole puissent mieux connaître et s'appro­prier leur histoire, mais aussi pour ras­sembler autour de valeurs communes et renforcer les liens avec l'Outre­Mer", explique Jacqueline Makpango­li, présidente de l'association.

PtrJ'!~ lit ~tw"t lf~Ùt C'est le programme de la nouvelle as­sociation qui prévoit donc d'organiser ses manifestations en suivant le calen­drier des fêtes antillaises, en commen­çant dès février, avec le carnaval an­tillais par exemple. Si la joie de vivre et l'exotisme sont des valeurs déjà connues et prisées par les inétropoli-

fait leur succès, et ce qui saura faire vi­brer votre corde artistique. Une exposi­tion à voir librement, pour le plaisir des yeux et de l'émotion.

C011UIT de Ïécok de fr\JA-SÙftAt dvt M~M-t

Les professeurs de l'école de musique du Manet donneront un concert le di­manche 16 janvier 2005 de beau matin à 10h3o à la salle Jacques Brel. Au programme du piano, de la guitare, de la flûte traversière, du cor, de l'alto, des percussions... sur des oeuvres de Villa-Lobos, Mozart, Ravel, Jolivet, Beethoven ... Rens. : 01 30 43 12 88

CUVtf deJ~ préVLA­fUW ft;c s~lle J . & ret

Le Conseil municipal a voté le mois dernier dans le cadre du budget muni­cipal 2005 la réhabilitation de la salle Jacques Brel, notamment la partie ac­cueil qui s'étendra plus largement sur le parvis actuel. Les travaux se dérou­leront pendant l'été.

tains, les îles ont aussi des valeurs cul­turelles propres. C'est pourquoi le planning de l'association vise aussi à faire découvrir les multiples facettes de cette culture à travers la littératu­re, la musique, la danse ou encore le cinéma. Chants de Noël, ateliers de lit­térature, contes créoles pour jeunes enfants, mini-conférences, projections de films, journées découvertes, débats sur l'identité ou la citoyenneté, mani­festations socio-culturelles, et visites seront donc autant d'approches diver­sifiées pour présenter les îles et appré­hender l'histoire des antilles. "J'ai moi­même des enfants et je me suis aper­çue qu'ils ne connaissaient par leur histoire. En fait, il n'y avait pas d'asso­ciation similaire à Montigny", souligne Jacqueline Makpangoli. "Pour un fran­çais, c'est très intéressant de connaître d'autres cultures, surtout celle des pays où l'on parle la même langue", ajoute Christine Joseph. Un appel est donc lancé à tous les originaires et les amoureux de l'Outre-Mer, notam­ment pour assister à la fête d'inaugu­ration officielle, dont la date doit en­core être confirmée. Contactez Jacqueline Makpangoli au 0130 44 36 39, par courrier au 3 rue de Quiberon à Montigny, ou sur le site in­temèt ctom7818o@yahoo.fr

L 'ignymontain www.IIIOfltlgrry78.fl" JANVIER 2005

A la salle J. Brel du 26 janvier au 6 février

'o e Fes-tivt~Cl P~r ~N lvr ville

Le Polar pose son empreinte sur l'ensemble de l'agglomération du 26 janvier au 6 fé­vrier, à l'occasion de la 10e édition du festi­val Polar dans la ville. Les indices ne man­queront pas dans les semaines à venir pour vous mettre la puce à l'oreille, et vous per­mettre d'enquêter sur les nombreux événe­ments culturels prévus au programme dans 70 lieux différents. La salle Jacques Brel est concernée à plus d'un titre à Montigny, en accueillant les rendez-vous cinéma et théâtre, alors que la maison Félix sera le cadre de l'exposition "Adieu" de Vivien Chauvet.

DlA. &WWIJIC En point d'orgue de ce programme igny­montain, mis sur pied par la Direction de la Culture en partenariat avec la Communauté d'agglomération et l'équipe du Prisme, un important chapitre 7• Art se profile avec la Nuit du Polar le samedi s février de 21h à l'aube, qui mettra à l'affiche 4 films avant le petit déjeuner. La veille vendredi 4, une autre soirée cinématographique aura per­mis à tous les cinéphiles de voter parmi 7 courts-métrages pour participer à la dési­gnation du Prix du Court Noir (entrée libre à 20h30 à la salle J. Brel- durée : 1h40). En­fin, les amateurs du genre ne rateront pas " L'invraisemblable vérité", film de Fritz Lang de 1956, un classique à redécouvrir le dimanche 30 janvier à 20h30.

DK tlti~:tre A l'affiche, la comédie •y•a des jours comme ça", de Philippe Gruz et Laurence Bréheret,

le jeudi 3 février à 20h30, toujours à la salle Jacques Brel (Tarifs : 10,7€ et 7,4€), qui vous fera considérer vos rapports avec vos voisins d'une nouvelle manière. Le jeune pu­blic aura pu apprécier la performance de Mister Holmes le mardi 1" février à 20h30, programmé dans le cadre de la saison, de même que la pièce •Devinez qui ?", mise en scène par Bernard Murat d'après " Les 10 pe­tits nègres" d'Agatha Christie, d'ores et déjà complet le samedi 29 janvier à la Ferme du Manet.

Les films de la Nuit du Polar: "Shaft, les nuits rouges de Harlem " de Gordon Parks (1971 - VO) "Mister Cash ~ deR. Kwietniowski (2005- VF) "Criminal" de Grégory Jacobs (2005- VF) ''36 Quai des Orfèvres· d'O. Marchal (2004 - VF). 4 films : 2o,8o€ (réduit 13,60€) 2 premiers films : 10,40€ (réduit 6,8€ ) .

Carte du Festival à 7€. www.agglo-sqy.frjpolar 01 30 51 46 06.

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Pas besoin de fioritures pour Maurane, sa voix exceptionnelle, élue à un moment plus belle voix française, porte le public à elle seule, et a unanimement séduit les specta­teurs le 27 novembre dernier à la Ferme du Manet. "Elle a vraiment une voix superbe et le pianiste était génial ", déclarait Patrice. "Sans orchestre hors mis un pianiste et un guitariste, elle arrive à tenir la scène grâce à de vraies chansons, de très beaux textes et son âme", ajoutait-il. Cette artiste franco­phone fait partie de celles dont la longévité de carrière exprime une véritable personna­lité artistique. Ce soir-là sur scène, elle a choisi de lire un poème de Colette Renard durant la pause de ses musiciens. En tout cas, son fidèle public d'amoureux de son ré­pertoire avait fait le déplacement, et repre­nait en cœur à sa demande dans une réelle interaction avec l'artiste. C'était peut-être la signification du nom de la tournée "Au milieu deux", comme pour illustrer un lien

très fort avec son public. "J'étais très éton­née de voir qu'il y avait beaucoup de jeunes, mais c'est vrai que ses chansons sont très fortes", remarquait Elisabeth. Sur un ryth­me plutôt dynamique, le concert s'est dé­rou lé avec ses plus grands titres tels que les célèbres préludes de Bach . Très impression­né par sa prestation, le public est ressorti enchanté, avec une admiration encore plus grande pour l'artiste. "J'ai trouvé qu'elle était vraiment accessible et naturelle", sou­lignait Marc. Elle a même accueill i certains des fans dans sa loge pour leur signer quelques autographes en toute simplicité. "Sur une bonne quarantaine de chansons et presque deux heures de spectacle, on ne voit pas le temps passer. Elle sait mettre de l'ambiance et il faudrait qu'elle repasse une seconde fois pour que l'on y retourne", concluait Catherine. Après trois chansons de rappel, l'artiste a déclaré qu'elle n'arrive­rait jamais à partir !

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Plus de 6ooo€ récoltés pour le 18e Téléthon La mobilisation des associations sportives de I'ASMB a permis encore une fois d'inscri­re la commune au palmarès des villes parti­cipant au Téléthon . Durant un week-end de découverte et de démonstrations sportives, les 3 et 4 décembre au centre sportif Pierre de Coubertin, les bénévoles ont souhaité consacrer un peu de leur temps pour s'asso­cier à cette collecte nationale en faveur de la lutte contre les maladies génétiques. "Le service des sports s'est battu pour organiser la manifestation et a donné beaucoup de son énergie", soulignait Jean-Yves Fleuran-

ce, président de I'ASMB Tir à l'arc. Efforts payants puisque la ville a réussi à battre son record de collecte d'un peu plus de sooo€ récoltés l'an passé, et alors que le Lanethon a dû être annulé pour manque de partici­pants.

Trois conseils de quartier s'étaient associés à cette manifestation solidaire. Le Manet avait réédité son puzzle géant du quartier au prix d'un euro la parcelle vendue sur le marché Noël, et a totalisé 511€ de recette. Le conseil de quartier du Village a vendu nems et gâteaux pour un total de 736€, tandis que les Prés ont découpé et accroché 406 cœurs à 0,20€ pour 87,50€. De leur côté, les associations sportives ont combiné leurs énergies, le VCMB a pédalé de toutes ses forces, l'association des sports de ra­quette, badminton, tennis et tennis de table, a beaucoup plu et le public a vécu des temps forts, notamment lors du record de 180 lancers francs en 45 minutes par I'ASMB basket, ainsi qu'avec les shows du

t' ASMB Volley, ... elle a tout d'une gande

Motivées et formées au club ignymontain, les équipes de jeunes jouent leurs premières qualifications en régionale, une évolution pour le club dont les joueurs font régulière­ment partie des équipes de sélection des Yvelines. "Ils jouent dans la cours des grands et c'est une première pour nous", déclare Thierry Blanch in, président du club. Les premiers à franchir le cap ont été les

._ benjamins qui ont passé le premier tour de la coupe de France, le 21 novembre dernier à Coubertin. Le 2e tour aura lieu à Cambrai dans le Nord, et cette compétition régiona­le permet aux joueurs de rencontrer de nombreux clubs de tous horizons. Du côté des sélections Yvelines, la première campé-

-., tition interdépartementale a eu lieu le 2 no­vembre, également à Montigny qui a ac­cueilli plus de 8o volleyeurs et leurs entraî­neurs. Les Yvelines doivent faire mieux que leur se place sur 8 conquise l'an passé en zo­ne Nord . Pour cela, les deux équipes benja­mines, composée de trois joueurs ignymon-

.:> tains sur quatre pour les garçons, et de deux joueuses issues du club pour les filles, doivent terminer 3es au minimum. C'est cho­se faite à domicile, les deux équipes devront donc maintenir leur place lors des pro­chains tournois à Saint-Maur et à Asnières. ..

Des éléments prometteurs "A force de former les jeunes, ça commence à payer", explique Thierry Blanchin. Les es­poirs âgés de 18 à 20 ans ont eux aussi ten­té de se qualifier en régionale et restent

Jill motivés malgré leur échec au premier tour contre deux grosses équipes, alors que les juniors âgés de 16 à 18 ans sont bien partis pour éditer l'exploit, résultat le 12 dé­cembre. Les filles qui jouent en départe­mentale B soutiennent donc leurs homo-

~ logues masculins qui tentent la régionale. Du côté des minimes, les joueurs de la sé­lection ont terminé premiers à la fin du pre­mier tournoi départemental. L'équipe élite des seniors n'est pas en reste. Première après cinq matchs en régionale 3, avec en­core neuf rencontres à disputer, l'équipe a

de très bonnes chances de jouer sa montée. Sur les 270 adhérents du club, les deux tiers sont donc des mordus de compétition avec une proportion égale de compétiteurs jeunes et d'adultes, tandis que le dernier tiers des adhérents se consacre à la pratique

Les belfjamins ae I'ASMB Volley ont été les premiers à franchir le l " tour ae la Coupe ae France à Coubertin le Zl novembre.

en loisir. Avec 17 sections, 15 animateurs bé­névoles, un ancien international marocain devenu formateur titulaire du brevet d'Etat, les jeunes progressent très vite. "Nous avons créé l'école de volley il y a trois ans avec une dizaine de copains de mon fils, et nous continuons dans cet objectif de for­mation", souligne Thierry Blanchin. "Par exemple, les jeunes voient leurs animateurs jouer et certains juniors intègrent même l'équipe seniors comme Nicolas, passeur ju­nior et senior. On a établi cette politique de mélange pour motiver les jeunes et privilé­gier la convivialité des équipes pour leur donner l'envie de rester au club", ajoute-t­il. Autre évolution, l'entraînement des fé­minines, des benjamines aux cadettes, a lieu en même temps pour permettre aux entraîneurs bénévoles de poursuivre leur formation sous l'œil attentif d'Abdel, titu­laire du brevet d'Etat. Tous les joueurs et les supporters sont les bienvenus ! Découvrez également l'association sur le site web : asmb-volley.com

L 'Ignymontain www.montigny78.fr

Téléthon 2004 • • Plus de 6000 € eolleetés

Viet Vo Dao et de Chorespace Danse. Et il n'y a pas que leur temps que ces associa­tions ont offert puisque la gym d'entretien et le volley ont toutes deux offert un don de 100€ faisant ainsi grimper le montant des divers chèques à 359€. Malgré leur ab­sence pour cause de compétition, Montigny Gym et I'ASMB Karaté ont récolté respecti­vement 104 et 35€. Les crêpiers d'Ar Bernie, fidèles au poste, ont préparé 567 crêpes en deux fois moins de temps que l'année der­nière pour une recette équivalente avec 684,04€. "Tout le monde apprécie les crêpes ~t quand c'est en plus pour la bonne cause, on se laisse tenter", remarquait Her­vé Quilfen. Enfin, les dons et les entrées des particuliers se montent à 2151,14€.

lJne ~tique ~J'ès forte En écho au marathon télévisuel, l'associa­tion de tir à l'arc avait accroché des ballons sur les cibles pour qui voulait les crever, rappelant ainsi la symbolique du vecteur et de la victoire contre la maladie. Cette mani­festation permettait également aux en­fants d'agir pour les enfants. Le club des 8-12 ans de la maison de quartier André Mal­raux s'est mobilisé pour leur camarade An-

Les Conseils ae quartiers des Prés et la maison ae quartier Malraux ont aussi créé leur initia­tive à Coubertin en faveur au Téléthon

thony en fabriquant des calendriers de l'avent, des photophores ou des porte-clés dont la vente a rapporté 127,70€. Une ini­tiative particulière avait été prise par la classe de 6e Ill du collège La Couldre dans le cadre du projet d'établissement sur la ci­toyenneté et la solidarité. Grand succès pour l'association Ciel qui proposait le défi de gravir le plus de mètres possible. Les élèves se sont relayés sur le mur d'escalade pour apporter leur concours au cumul des hauteurs avec un total de 769 mètres pour la classe. Romane et Jérémy se sont distin­gués en gravissant 74 mètres chacun. "J'ai trouvé que l'escalade était une bonne idée, et c'est quelque chose qu'on peut faire nous-même", approuvait Anthony. "On es­saye de faire le plus possible comme les en­fants qui combattent la maladie", ajoutait Manon. "Chacun fait de son mieux", pour­suivait Jérémy. "Ça a permis de mobiliser la classe sur un projet extérieur à l'école, et de plus c'est une activité qu'ils n'ont pas l'occa­sion de pratiquer au collège", expliquait Marie-Claire Daviet, enseignante respon­sable. A l'image du dynamisme de la ville, cet élan de solidarité mériterait encore un effort supplémentaire l'année prochaine et peut-être une mobilisation de toutes les associations.

VCBM Course sur route

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Le trophée G. Bemier en tin d'étape

Jean-Marie Couffin, président de la section Course sur route avait réuni autour de lui Michel Laugier, Pierre Paillas et Robert Ca­dalbert pour la remise des récompenses de la saison 2003-2004. Ces récompenses ont été attribuées suivant les points acquis lors des différentes courses de la saison. C'est François Klein (catégorie poussin) qui a re­çu le trophée Bernier pour ses excellents ré­sultats et le prix d'honneur a été remis à Florian Letinturier. Il faut saluer tous les

cyclistes du club qui ont eu aussi de bons résultats et en particulier Laurent Anguy, sélectionné au championnat de France et 3e au trophée national UFOLEP (qui regroupe 7 courses), qui va quitter le VCMB pour le club professionnel de Vélizy, ainsi que Sé­verine Crespeau, féminine catégorie 20-30 ans, qui a terminé 1'" au championnat dé­partemental, au challenge des Yvelines, au trophée Passion (ensemble de s courses) et 6e au championnat régional.

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Sport et détente au eentre aquatique du Lae

Le coup de fatigue de l'hiver est là ? Avez­vous déjà pensé à l'espace remise en forme et relaxation du Centre Aquatique du Lac ? Une chose est sûre, le sport est essentiel pour garder la forme et optimiser son énergie durant l'hiver, mais par ces temps de froid, votre corps réclame également douceur et cocooning. C'est pourquoi le Centre Aquatique du Lac vous propose des séances d'entretien complètes qui allient le sport à la détente.

Un peu d'efforts

awnf. le réeonfort ! Comme une voiture qui s'encrasse quand elle ne roule pas, le corps a besoin d'exer­cices pour garder la forme, et la gymnas­tique d'entretien est idéale pour cela. Des séances d'une heure à une heure et demie en moyenne, deux fois par semaine si pos­sible, vous permettront de travailler effica­cement toutes les parties de votre corps en un temps record. Pour travailler seul, vous aurez accès à la salle de cardia-training équipée de rameurs et de vélo entre autres, ainsi qu'à la grande salle de muscu­lation avec son plateau de machines consa­crées à chaque groupe musculaire, que ce soit la presse pour les jambes ou les altères pour les bras. Lors de votre première séan­ce, vous ferez un bilan santé avec votre moniteur sp.ortif, afin d'évaluer vos be­soins ves capacités, et personnaliser votre entraînement selon vos objectifs et votre santé. Si vous n'avez pas le courage de vous y mettre seul, mieux vaut opter pour les cours collectifs. Six professeurs de fit­ness'7tous diplômés d'Etat, Céline, Eric, Da­vid, Franck, Bertrand et Stéphane sauront vous faire transpirer dans une ambiance sympa et dynamique, portée par la moti­vation de groupe. Vous choisirez vos cours à la carte avec les traditionnels abdos­jambes-fessiers bien-sûr, ou abdos-fessiers­stretch, qui sont des abdos combinés à des étirements pour le bien être de vos articu­lations et de votre rendement musculaire. Vous pourez combiner ces essentiels à des cours plus entraînants à choisir parmi le step, idéal pour les membres inférieurs et la coordination, le LIA, low impact aérobic, un cours chorégraphié qui enchaîne pas et exercices sur un rythme aérobic, ou encore le TBC, total Body conditionning, qui alter­ne renforcement musculaire et chorégra-

Ronronner dans le spa extérieur malgré les frimas de l'hive"' s'accorder une pause sauna ou hammam, après une bonne séance d'effort à l'espace Remise en (orme, c'est une formule ga­gnante du centre aquatique au Lac, au (or(aH: ou ponctuellement.

phie cardio. Après une séance d'exercice physique, rien ne vaut un bon moment de décontraction totale dans un bain bouillonnant à 37° dit SPA, encore meilleur lorsque la température extérieure vous fait bien ressentir la chaleur du bain, ou une douche hydromassante, au nombre de quatre. Pour éliminer, vous pourrez passer un moment dans l'un des deux saunas dont la chaleur sèche amène à la transpiration, ou préférer la chaleur humide, nettoyante euelaxante du hammam. Régénérez votre corps !

Rensei~nb pratiques L'accès à la remise en forme et à la relaxa­tion est interdit aux jeunes de moins de 16 ans. La remise en forme a lieu le lundi et le vendredi de 10h à 14h et de 17h à 21h30, du mardi au jeudi de 1oh à 14h et de 17h à 20h30, et le samedi matin de 9h à 13h, avec des horaires aménagés durant les va­cances. N'hésitez pas à demander le plan­ning des cours au Centre Aquatique du Lac ou à la Direction municipale des sports. L'inscription annuelle est de 203,60€, et une tenue de sport spécifique à la salle est exigée. L'accès à la relaxation est coordon­né aux horaires du centre aquatique et

donne également accès aux bassins. L'en­trée est au prix de 8,40€, de 62,60€ pour un carnet de 10 entrées, et de 41,70€ pour un carnet de 2oh. Renseignements : Centre Aquatique du Lac au 01 61 37 03 90, Service municipal des sports au 01 39 30 31 Bo.

D'intenses Détis de Noë

Jusque-là rattachée à l'association ARAS qui pratique le Qi Gong, l'activité Taï Chi Chuan possède désormais sa propre ·association affi­liée à I'ASMB depuis la rentrée 2004. La nou­velle venue a donc pris un nouveau départ lors du dernier Forum et a déjà vu le nombre de ses adhérents passer de 30 à 45 grâce à une meilleure visibilité de la discipline.

Les Défis de Noël organisés par la Direction des Sports le samedi 18 décembre dernier à Coubertin ménageaient quelques rudes rendez-vous entre les sociétaires des écoles de sports municipales et leur papa ou leur maman, sur une large palette de disciplines. L'après-midi a valu quelques duels familiaux acharnés, tem­pérés par le goûter de clôture.

solution du mot fléché page 16

la sérénité du Taï ••• A la différence du Qi Gong, dont les mouve­ments sont destinés à rétablir une bonne cir­culation de l'énergie dans chaque organe du corps, le Taï Chi est un art martial de défense où les coups ne sont jamais portés. Complé­mentaire du kung fu ou du karaté, le Taï Chi est une pratique lente des mouvements qui permet de canaliser l'énergie et de la ressen­tir à la fin de chaque mouvement. C'est aussi une hygiène de vie, qui permet d'être à l'écoute de son corps. Si le langage chinois parle des cinq énergies, du yin et du yang, l'approche occidentale parle de bonne oxygé­nation, de bonne circulation et de relâche­ment. Utile dans toutes les disciplines spor­tives pour développer son efficacité muscu­laire, le Taï Chi l'est aussi dans la vie. Il en­seigne les postures qui apprennent à se res­sentir, se détendre et gérer son énergie. Un peu de pratique suffit pour commencer à en ressentir les bienfaits. En conduisant par exemple, ou devant l'ordinateur, le simple fait d'écouter son corps permet de se relâ­cher. "J'avais les disques lombaires et cervi­caux abîmés, au milieu du premier trimestre j'ai arrêté les anti-inflammatoires, et à la fin j'étais complètement débloquée", explique Danielle, pratiquante depuis 7 ans. "J'avais

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te Marrane aeeueille

les Fran~ais Et 1, et 2, et 3-0 ... Un France/Brésil, dans quelque sport que ce soit, a désormais ce petit goût agréable au souvenir. Vendredi 7 janvier 2005 à 20h3o, c'est cette affiche qui se déroulera au Palais des . Sports d'Elancourt dans le cadre du tournoi inter­national "Georges Marrane". Chaque an­née, le tournoi fait étape au centre Cou­bertin à Montigny. La venue de l'équipe de France a forcé les organisateurs a trou­ver un lieu d'accueil plus important doté de 1300 places. A deux semaines du cham­pionnat du monde organisé en Tunisie, où les Français compteront parmi les favoris, le challenge Marrane est une excellente occasion pour Claude Onesta le coach de faire une revue d'effectif. Ce sera surtout une non moins bonne occasion pour les spectateurs de voir évoluer une équipe de France affûtée, face à des Brésiliens au jeu spectaculaire. Comme pour les éditions précédentes, les organisateurs (Team Sport Viniçois 88 et I'ASMB Handball, en collaboration avec la Communauté d'Ag­glomération) ont bâti un avant-program­me en lever de rideau. Vente des places (10€ et 5€ pour les moins de 16 ans) : - à l'office d'information de St Quentin en Yvelines (Espace St Quentin face à ·Gd Sport) les 4, set 6 janvier de 12h à 19h. -au Palais des Sports d'Elancourt le soir du match à partir de 19h s'il reste des places. Rens. : 01 30 57 32 22.

des problèmes de poids et de diabète. Le Taï Chi m'a permis d'augmenter ma masse mus­culaire et même mon médecin ne voulait pas le croire", ajoute Jean-Eric Poirier-Quinot, président de l'association. "Je suis enseignan­te, souvent debout et en conflit. Je rentrais épuisée et le Taï Chi m'a appris à gérer mon corps et mes journées", souligne Claire.

. .. et la foree dn Chi Cette discipline apporte donc les bienfaits du yoga et des anti-stress en assurant la relaxa­tion du corp. Mais c'est aussi une discipline physique et énergisante. "Nous voulions trouver une discipline sportive à pratiquer en couple et ça a tout de suite accroché avec la prof. C'est Raymonde Helies qui enseigne avec une santé de cinquantenaire à 76 ans ! Elle nous dit souvent qu'elle n'a aucun pro­blème d'articulation", explique Jean-Eric. "Même si c'est lent, on ressort crevé comme après deux heures de piscine", constate Clai-

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re. Enseignée par maître Yang, le Taï Chi est idéal pour se remettre au sport et se pratique 4 à partir de 18 ans. Une fois les 108 mouve­ments appris dans leur forme, il s'agit d'une pratique intérieure de recherche d'harmonie du corps et du mouvement, de prise de conscience de chaque articulation, et de "to-nus dans le relâchement" selon Danielle. Pour découvrir le simple fouet, la grue blanche qui • déploie ses ailes ou la queue de l'oiseau, l'as­sociation propose trois cours hebdomadaires le mercredi soir à la salle Marcel Guillon avec un cours d'armes, de sabre et d'épée pour les plus expérimentés. Contactez Jean-Eric Poirier-Quinot au 01 34 52 09 sB, ou par mail à clairic@aol.com --

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