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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION DÎLE-DE-FRANCE Dossier documentaire JUILLET 2009 La formation et les métiers du transport et de la logistique F

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Dossier documentaire JUILLET 2009

La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Auteur : Itto Ben Haddou-Mousset

Sous la direction de Christine Bruniaux et en collaboration avec Frédéric Lainé.

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Éditorial

n De tout temps, l’homme a voulu voyager, d’abord sur terre, puis par la mer et ensuite dans l’espace. Mais c’est avec la révolution industrielle et l’invention de la machine à vapeur que le transport est devenu une activité essentielle pour toutes les communautés, consistant à déplacer de la marchandise et des personnes d’un point à un autre. Généralement, dans les activités humaines, un système de transport comprend des infrastructures, des ressources énergétiques, des véhicules et des systèmes d’exploitation. Il est souvent régi par des réglementations pour favoriser les échanges commerciaux.

En Ile-de-France, le transport et la logistique occupent une place très importante. La région dispose de deux aéroports internationaux, de nombreuses plates-formes logistiques (25 % du parc immobilier logistique national(1) et l’activité touristique génère d’importants besoins dans les métiers du tourisme exercés par les entreprises de transport. Enfi n, les transports collectifs jouent un rôle majeur dans les déplacements.

Cependant, le secteur dans son ensemble est touché par les mutations économiques. Dans un environnement international de plus en plus concurrentiel et un contexte d’évolutions réglementaires et technologiques rapides, les entreprises franciliennes ont besoin d’anticiper et d’innover pour maintenir leur compétitivité. Ainsi, l’innovation, qu’elle soit technologique ou de services, peut permettre aux entreprises d’avoir une valeur ajoutée par rapport à leurs concurrents existants ou émergents. Les ressources humaines, facteur décisif de compétitivité, constituent un enjeu particulièrement crucial à un moment où se conjuguent de nombreux départs en retraite liés au « papy-boom » et des diffi cultés de recrutement notamment pour les métiers liés à la route (coursiers, livreurs, conducteurs de transports en commun(2).

La littérature récente est abondante sur les secteurs concernés – davantage sur les évolutions économiques et techniques que sur les aspects « ressources humaines ». En 2004, un rapport a néanmoins été publié par la Région Ile-de-France, sur les emplois et les formations dans le transport et la logistique(3). Les travaux de l’OREF sur ces questions s’inscrivent dans le prolongement de cette étude. D’une part, des « Portraits statistiques de métiers »(4) enrichissent la compréhension de l’évolution de l’emploi, du marché du travail et des modes d’alimentation des métiers concernés. D’autre part, ce « Thema », dossier documentaire, fait le point des publications sur la question au sens large : secteurs, métiers et formations. Les synthèses qui introduisent chaque chapitre permettent d’avoir une lecture rapide de l’état des connaissances sur ces questions.

Cette démarche (Portrait de métiers couplé à un Thema) existe pour d’autres domaines : les métiers et formations de l’électricité-électronique et de la maintenance et les métiers de la mécanique. Au nom du comité de programmation de l’OREF, je souhaite qu’elle apporte à ses lecteurs, techniciens ou décideurs, acteurs publics ou professionnels, des éléments de connaissance commune qui leur permettent de dialoguer et d’affronter ces enjeux considérables sur des bases d’analyses partagées.

Michèle ValladonConseillère régionale d’Ile-de-France / Présidente du GIP CARIF Ile-de-France

1. Le transport de marchandises et la logistique. IAURIF, 2006.2. BMO Ile-de-France, 2009.3. Filière des formations aux métiers du transport et de la logistique en Ile-de-France. Conseil régional, IAURIF, mars 2004.4. Portrait de métiers Transport-logistique disponible à l’adresse : http://www.oref-idf.org

Rubrique Métiers => Portraits de métiers

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Avant-propos

n Ce dossier documentaire regroupe les références des travaux les plus récents, au niveau national et régional, sur les secteurs, les métiers et les formations dans le transport et la logistique. Il fournit au lecteur une base idéale pour découvrir les problématiques liées à ce domaine. Cet ouvrage peut être utilisé de différentes façons. Il est recommandé de se reporter au sommaire, puisque chaque partie thématique, précédée d’une synthèse, peut être consultée de manière indépendante. Par ailleurs, l’ensemble de ces synthèses constitue une synthèse globale sur l’état des connaissances actuelles sur la question.

Par souci d’autonomie et de rapidité de lecture, nous avons pris le parti de proposer quasi-exclusivement des informations disponibles sur Internet. Le lecteur trouvera donc, après chaque référence, le lien vers la source d’information en texte intégral. Les résumés des études ou la présentation des sites Internet sont la plupart du temps l’œuvre des auteurs mêmes, parfois complétée par des extraits ou de courtes synthèses. Les quelques références non disponibles sur Internet sont des études ou ouvrages de base que l’on pourra facilement consulter auprès de l’organisme auteur. Quelques références incontournables sont classées dans plusieurs chapitres.

Cet ouvrage s’adresse aussi bien au grand public qu’aux professionnels du secteur, ainsi qu’aux acteurs et aux décideurs de la formation, de l’insertion et de l’orientation.

Il est construit en quatre parties. Dans un premier chapitre, nous présentons les principales sources d’information sur les secteurs d’activité concernés par l’étude. Dans le second chapitre, sont présentées les bases de données et les études nationales et franciliennes concernant les métiers. Le troisième chapitre porte sur la formation et l’insertion dans le transport et la logistique. Enfi n, le dernier chapitre regroupe les études et analyses sur les principaux facteurs d’évolution.

Avant-propos

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n 1. Les secteurs d’activité ........................................................................................................................................... 7

Les sources de données statistiques ........................................................................................................ 12

Les études nationales sur les secteurs du transport et de la logistique ............ 16Les études générales sur le secteur du transport et de la logistique ....... 16Les études spécifi ques sur le transport .................................................................................... 17Les études spécifi ques sur la logistique ................................................................................... 22

Les études régionales sur les secteurs du transport et de la logistique ............ 24Les études générales sur le secteur du transport et de la logistique ....... 24Les études spécifi ques sur le transport .................................................................................... 27Les études spécifi ques sur la logistique ................................................................................... 29

Principaux acteurs ........................................................................................................................................................ 32

n 2. Les métiers du transport et de la logistique ............................................................................. 43

Les sources de données statistiques ........................................................................................................ 47

Les études nationales ............................................................................................................................................... 51Les études générales sur le transport et la logistique .............................................. 51Les études sur le transport .................................................................................................................... 64Les études sur la logistique ................................................................................................................... 68Les études compétences et gestion des ressources humaines ....................... 69

Les études régionales sur le transport et la logistique ......................................................... 73

Le contenu des métiers .......................................................................................................................................... 79

Sommaire

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Sommaire

n 3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique .............................. 87

Bases de données ......................................................................................................................................................... 91

Les études et rapports ............................................................................................................................................ 95Les études nationales .................................................................................................................................. 95Les études régionales .................................................................................................................................. 104

Les fi ches descriptives des contenus de formation ................................................................. 110

n 4. Les facteurs d’évolution .................................................................................................................................... 119

Réglementations, régulations et politiques publiques ......................................................... 122

Les pôles de compétitivité et l’innovation technologique .............................................. 125

L’élargissement des marchés ............................................................................................................................. 133

L’environnement ............................................................................................................................................................. 135

n Annexes ........................................................................................................................................................................................ 141

Les nomenclatures ....................................................................................................................................................... 142Les nomenclatures de secteurs ......................................................................................................... 142Les nomenclatures de métiers ........................................................................................................... 143Les nomenclatures de formation .................................................................................................... 146

Les principales sources d’information .................................................................................................... 147

Liste des sigles ................................................................................................................................................................. 152

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

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La formation et les métiers du transport et de la logistique

1. Les secteurs d’activité

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

n Avant d’analyser les métiers du transport et de la logistique, il convient de rappeler que la moitié des effectifs franciliens de ces métiers travaille dans le secteur des transports et 11 % dans le secteur du commerce de gros(5).

Il est nécessaire de souligner ici que secteurs et métiers ne se confondent pas. Le secteur des transports(6) mobilise des métiers qui ne relèvent pas tous de la famille professionnelle transport et logistique, comme les métiers administratifs, le commerce, les métiers de la maintenance. Par ailleurs, les métiers du transport et de la logistique se trouvent aussi dans d’autres secteurs comme l’agro-alimentaire et la grande distribution.

En 2006, le secteur des transports emploie 300 000 salariés. L’Ile-de-France représente à elle seule plus d’un quart des effectifs nationaux. Quant au commerce de gros, il mobilise 260 000 salariés. Ces deux secteurs sont surreprésentés en Ile-de-France pour plusieurs raisons.

L’Ile-de-France joue un rôle capital dans le transport aérien national avec la présence de deux aéroports internationaux (79 % des effectifs nationaux dans le transport aérien). Les transports collectifs y sont également très développés (36 % des effectifs nationaux dans le transport routier et urbain de voyageurs). La localisation dans la région d’un nombre important de sièges sociaux des grandes entreprises du secteur est déterminante. Enfi n, « même si elle n’est pas située sur la dorsale européenne (la « banane bleue »), la région est située sur un ensemble de corridors d’échanges européens, notamment entre l’Europe du Nord et l’Europe du Sud-Ouest(7) ». Par ailleurs, la région représente elle-même un bassin de consommation important et la concentration de l’activité économique génère de nombreux besoins en matière de transport et de logistique.

5. OREF, Portrait de métiers. Métiers du transport et de la logistique, mars 2009.6. La notion de secteur correspond à l’activité principale déclarée par les entreprises, qui donne

lieu à l’attribution d’un numéro de SIRET (cf. annexe 1).7. Direction départementale de l’équipement et de l’agriculture du Val d’Oise, Étude sur l’activité

logistique dans le Val d’Oise – synthèse, 2007.

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1. Les secteurs d’activité

Cependant, l’éloignement des sites logistiques aux franges de l’Ile-de-France sur des sites non desservis par le fer ou la voie d’eau accroît les coûts d’acheminement des marchandises, les problèmes de congestion et de nuisance, et également d’accessibilité pour les salariés. Enfi n, dans le contexte actuel de crise économique, des solutions restent à trouver pour relancer ce secteur qui est fortement dépendant de la conjoncture(8).

Nous allons présenter dans une première partie les principales sources d’information statistique sous forme de bases de données utiles pour étudier ces différents secteurs. Nous nous pencherons ensuite sur les études nationales sur les secteurs du transport et de la logistique. Nous poursuivrons avec les études par sous-secteurs, le transport d’une part et la logistique d’autre part. Nous procéderons de même sur les études spécifi ques à l’Ile-de-France. Enfi n, nous énumérerons les principaux acteurs concernés et notamment les principales unions et fédérations.

8. IAURIF, Le transport de marchandises et la logistique, 2006.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Périmètre

La fi lière transport-logistique couvre de nombreuses activités, depuis les transports « classiques » ainsi que leur organisation jusqu’aux activités de courrier, aux agences de voyage et aux ambulances. Le champ du transport et de la logistique est assez complexe dans la mesure où ces activités sont transverses à d’autres secteurs comme l’agroalimentaire ou la grande distribution.

Une nouvelle Nomenclature d’activités française (NAF)(9) est entrée en vigueur le 1er janvier 2008 (NAF rév. 2). Les deux principaux objectifs du processus de révision sont de moderniser les nomenclatures d’activités et de produits, c’est-à-dire les adapter aux évolutions économiques et techniques, mais également de les rapprocher des grands systèmes de classifi cation utilisés dans le monde. Les nouvelles nomenclatures permettent de mieux appréhender l’évolution de l’économie et favorisent les comparaisons internationales.

Voici en NAF 2008 les activités couvertes par la branche Transport :

49.10Z Transport ferroviaire interurbain de voyageurs49.20Z Transports ferroviaires de fret49.31Z Transports urbains et suburbains de voyageurs49.32Z Transports de voyageurs par taxis49.39A Transports routiers réguliers de voyageurs49.39B Autres transports routiers de voyageurs

9. Voir également la liste des sigles en annexe.

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1. Les secteurs d’activité

49.39C Téléphériques et remontées mécaniques49.41A Transports routiers de fret interurbains49.41B Transports routiers de fret de proximité49.41C Location de camions avec chauffeur49.42Z Services de déménagement49.50Z Transports par conduites50.10Z Transports maritimes et côtiers de passagers50.20Z Transports maritimes et côtiers de fret50.30Z Transports fl uviaux de passagers50.40Z Transports fl uviaux de fret51.10Z Transports aériens de passagers51.21Z Transports aériens de fret51.22Z Transports spatiaux52.10A Entreposage et stockage frigorifi que52.10B Entreposage et stockage non frigorifi que52.21Z Services auxiliaires des transports terrestres52.22Z Services auxiliaires des transports par eau52.23Z Services auxiliaires des transports aériens52.24A Manutention portuaire52.24B Manutention non portuaire52.29A Messagerie, fret express52.29B Affrètement et organisation des transports

À ces activités, il faut ajouter les activités d’ambulances (86.90A), des transports de fonds (80.10Z) et la location de véhicules industriels sans chauffeur (77.12Z).

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Les sources de données statistiques

SitraM – Système d’information sur les transports de marchandises. Ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire (MEEDDAT).

n Cette base de données renseigne sur les fl ux de marchandises selon le mode de transport, la nature des marchandises, l’origine et la destination, le conditionnement ; le transport national et international pour les modes terrestres (route, rail, voies navigables intérieures), et transport international des marchandises faisant l’objet du commerce extérieur français, quel que soit le mode (terrestre, aérien, maritime). Des résultats généraux sont disponibles sur le site du Ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire. Les exploitations spécifi ques s’effectuent sur devis.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/Rubrique Sources et méthodes => Sources statistiques => Bases de données

Transports : programme statistique 2008. Ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire (MEEDDAT).

n Liste détaillée des enquêtes et autres opérations statistiques présentant pour chaque enquête le contenu, la source et le service producteur ainsi que des spécifi cations sur la diffusion.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/Rubrique Sources et méthodes => Sources statistiques => Opérations statistiques transport

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1. Les secteurs d’activité

Base de données statistiques sur la conjoncture. OCDE, Forum international des transports.

n Le Forum international des transports est une plate-forme mondiale pour les ministres des transports, les industriels et la société civile. Présentation d’outils permettant de mieux appréhender le secteur ; parmi eux, une base de données sur la conjoncture. Des statistiques sont disponibles pour chaque pays membre depuis 1995.

http://www.internationaltransportforum.org/shorttermtrends/

ALISSE - INSEE n La base ALISSE (Accès en ligne aux statistiques structurelles d’entreprises) de l’INSEE

regroupe des données issues de 17 sources statistiques pour 7 niveaux directs d’activité. Elle propose plusieurs axes d’analyse pour les 500 variables de la base regroupées en plusieurs thèmes (emploi - salaire, mobilité de la main-d’œuvre, etc.).

L’INSEE se base sur les secteurs de la Nomenclature d’activités française, qui permet la codi-fi cation de l’APE, c’est-à-dire de l’activité principale exercée dans l’entreprise ou l’association.

http://www.alisse.insee.fr/

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Portraits statistiques de branche (PSB) - Céreq n Ces portraits couvrent 23 secteurs d’activité et sont déclinés selon une

nomenclature fi ne de 71 sous-secteurs. La nomenclature utilisée est la NAF. Ils s’appuient sur l’ensemble des données issues des grands dispositifs statistiques publics établis par l’Unédic, l’INSEE, la DARES et le Céreq.

Ils réunissent des informations sur les entreprises (taille, croissance des effectifs, implantation géographique, démographie, croissance économique), sur la main-d’œuvre (sexe, âge, catégories socioprofessionnelles, qualifi -cation, ancienneté, mobilité, modalités d’accès des jeunes aux branches), ainsi que sur les pratiques de gestion des ressources humaines (formes d’emploi, formation). Ces portraits sont organisés sous forme de séries historiques, remontant pour la plupart à 1994.

http://mimosa.cereq.fr/psb/

Eurostat n Eurostat est l’offi ce statistique des Communautés européennes. Il est

chargé de fournir à l’Union européenne des statistiques au niveau européen permettant des comparaisons entre les pays et les régions. On trouve dans Eurostat les mêmes données qu’au niveau national : indicateurs sur le marché du travail, sur l’économie, sur l’industrie (production, chiffre d’affaires, main-d’œuvre, etc.)

http://epp.eurostat.ec.europa.eu/

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1. Les secteurs d’activité

Unistatis - Unédic n Le service Unistatis est réalisé par l’Unédic. Au moyen de ce site d’information, la Direction

des études et des statistiques met à disposition l’ensemble de la production statistique de l’Assurance chômage.

La rubrique « Données détaillées » offre la possibilité de consulter des tableaux sur l’emploi salarié présentés à un niveau de détail permettant de répondre à la plupart des demandes d’information courantes. Les données sont proposées à différents niveaux de la NAF ou de la NES (cf. annexe 1).

http://info.assedic.fr/unistatis/

Limites : Les données ne concernent pas l’ensemble des actifs occupés. Les personnels non assujettis au régime des ASSEDIC, et en particulier les non salariés et les salariés de la fonction publique sont exclus. Mais dans son champ d’application – celui des salariés du privé – la source est dotée d’une grande fi abilité.

http://mimosa.cereq.fr/psb/Rubrique Sources

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les études nationales sur les secteurs du transport et de la logistique

Ce bulletin gratuit offre des informations en provenance directe du réseau mondial des services pour la science et la technologie des Ambassades de France, localisées dans une trentaine de pays. Des rapports, études et articles sont disponibles en téléchargement.

http://www.bulletins-electroniques.com/

Articles d’actualité sur les secteurs du transport et de la logistique. Certains articles sont en accès libre.

http://www.lesechos.fr/info/transport/index.htm

Les études générales sur le secteur du transport et de la logistique

BULLETINS ÉLECTRONIQUES

DE L’AGENCE POUR LA DIFFUSION DE L’INFORMATION

TECHNOLOGIQUE (ADIT).

LES ECHOS.FR - TRANSPORT

& LOGISTIQUE.

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Pour en savoir plus

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1. Les secteurs d’activité

Ce document présente des données actualisées relatives aux réseaux et parcs des différents modes, à l’activité de transport (voyageurs et marchandises), à l’économie du secteur et aux affaires maritimes. On retrouve également, dans la logique du Grenelle Environnement, un volet environnement qui présente les données relatives aux émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, ainsi que la part de chaque mode dans ces émissions.

http://www.transports.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/chiffres_transp_2009_cle72322b.pdf

Les études spécifi ques sur le transport

LES CHIFFRES DU TRANSPORT.

Ministère de l’écologie,

de l’énergie, du développement

durable et de l’aménagement

du territoire, 2009.

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La démarche prospective Transports 2050 a été initiée et conduite par le Conseil Général des Ponts et Chaussées en vue d’engager un débat sur le devenir à long terme du système des transports. Elle est destinée à favoriser l’émergence d’une culture du long terme, partagée avec les services du ministère des Transports et ses partenaires, et à construire des références communes et des questionnements à soumettre aux décideurs publics.

Exclusivement centrée sur les fl ux de transport concernant le territoire français métropolitain, elle prend en compte des hypothèses mondiales et européennes (notamment dans les domaines de l’énergie, du développement technologique, de la démographie et de la croissance économique) dans la mesure où ces variables ont des impacts directs sur ces fl ux de transport.

http://www.fntr.fr/images/pdf/gressier.pdf

DÉMARCHE PROSPECTIVE

TRANSPORTS 2050 : ÉLÉMENTS

DE RÉFLEXION.Claude Gressier,

mars 2006.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

En 2004, la production de la branche transports augmente plus rapidement que celle de l’ensemble de l’économie. Cette croissance retrouve le rythme élevé qu’elle avait connu à la fi n des années 1990. Elle est liée à l’amélioration de la situation économique française par rapport à 2003 et à l’accélération des échanges internationaux. La production de services de transport de voyageurs se redresse en 2004 (+ 5,8 % en volume). Après trois années de conjoncture diffi cile, le transport aérien est le moyen de transport de voyageurs qui bénéfi cie de la plus forte croissance (+ 7,1 %). Le transport de marchandises s’accroît de 6,0 % en volume, contre 1,9 % en 2003. Toutes les composantes de la branche profi tent de cette embellie, à l’exception du fret ferroviaire, toujours en baisse (– 3,7 % en volume). Le solde des échanges extérieurs se dégrade. Ce sont le transport aérien et les services auxiliaires des transports qui contribuent le plus à cette dégradation, les compagnies étrangères étant de plus en plus sollicitées pour assurer ces services. La diminution des effectifs dans les grandes entreprises nationales se poursuit, mais l’emploi reste stable dans l’ensemble du secteur. [Résumé d’auteur]

http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/IP1045.pdf

LES TRANSPORTS

EN 2004. INSEE première,

n° 1045, octobre 2005.

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LE TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES FRANÇAIS :

MISE EN PERSPECTIVE DES ÉVOLUTIONS

2000-2006. Jean-Marie Saunier,

Henri Mariotte. SESP en bref, n° 22,

décembre 2007.

F Sur la période 2000-2006, l’activité du transport routier de marchandises a crû moins rapidement que le produit intérieur brut. Cette croissance permet de parler de « découplage » même si celui-ci demeure relatif. La structure du secteur varie peu, en revanche, l’activité se modifi e. Les entreprises centrent leur développement sur le marché domestique tandis que les fl ux qu’elles traitent refl ètent une économie tirée par la consommation et les services. Dans le même temps, les trafi cs routiers tendent à se concentrer entre les quelques grandes zones logistiques. La part du groupage et des envois palettisés augmente. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/SESP_EN_BREF_22_cle217337.pdf

Page 21: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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1. Les secteurs d’activité

En 2005, la part du cabotage(10) reste limitée en Europe par rapport à l’ensemble de l’activité du transport routier de marchandises : elle représente seulement 0,9 % des tonnes-kilomètres réalisées par les pavillons des vingt-six pays (pays de l’Europe des 25 à l’exception de Malte, plus la Norvège et le Liechtenstein) et 0,2 % de l’activité du pavillon français. Sur l’ensemble des pays, 1,1 % du transport national est réalisé par un transporteur étranger ; en France cette proportion atteint 2,7 %. Le cabotage en France reste effectué essentiellement par des transporteurs du Luxembourg, de Belgique, d’Espagne et d’Allemagne, même si la part de marché de certains diminue, au profi t de pavillons de l’Est. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS165_13_16_cle612c75.pdf

LE TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES EN EUROPE EN 2005.

LA FRANCE ET L’ALLEMAGNE,

DES PAYS TRÈS CABOTÉS.

Pierre Billet-Legros, Annie Delort.

Notes de synthèse du SESP, n° 165,

avril-mai-juin 2007.

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10. NDLR : Cabotage : transport effectué entièrement sur le territoire d’un pays par un véhicule immatriculé dans un autre pays. Du point de vue du pavillon « caboteur », il s’agit de transport international, mais du point de vue du mouvement des marchandises, il s’agit de transport national, puisque le chargement et le déchargement se font dans un même pays. Source : Ministère en charge des transports.

Le pavillon français assure, en 2005, 20 % des échanges internationaux routiers de la France avec les autres pays de l’Union européenne. Cette part était de 36 % en 2000. En recul vis-à-vis de l’ensemble de ses concurrents, le pavillon français est particulièrement touché par le dynamisme des pavillons de l’Allemagne, de l’Espagne et de l’Italie, pays avec lesquels la France réalise 57 % de ses échanges.

Ces trois pavillons, les plus importants d’Europe, ont la croissance la plus rapide à l’international. Le pavillon espagnol continue de bénéfi cier du fort développement des échanges de son pays et de gagner des parts de marché. Le pavillon allemand renforce ses parts de marché dans les échanges de son pays mais aussi dans les échanges entre pays tiers. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/SESP_EN_BREF_17_imp_cle045466.pdf

TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES INTERNATIONAL.

LE PAVILLON FRANÇAIS FACE À SES

CONCURRENTS EUROPÉENS EN 2005.

Annie Delort. SESP en bref, n° 17,

mai 2007.

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Page 22: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

La demande intérieure et la croissance mondiale sont les principaux moteurs de la croissance des transports de marchandises en 2006 en France. Cette croissance des transports, notamment pour les matériaux de construction et les produits manufacturés, se porte sur le mode routier et sur les échanges nationaux. Elle devrait permettre au secteur des transports routiers d’améliorer sa situation fi nancière après une année 2005 diffi cile. En témoigne une légère reprise de l’emploi. Le ferroviaire stabilise son activité après de longues restructurations. La croissance du fl uvial, dynamisée par des nouveaux marchés en 2004 et 2005, marque le pas. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/SESP_EN_BREF_18_imp_cle028cd9.pdf

LE TRANSPORT DE MARCHANDISES

EN LIGNE AVEC LA CROISSANCE

EN 2006. Emmanuel Caicedo.

SESP en bref, n° 18, mai 2007.

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Les évolutions récentes du trafi c fl uvial français montrent une croissance soutenue. Pourtant le niveau atteint en 2005 est en net recul par rapport à celui observé trente ans plus tôt. Le transport fl uvial ne représente que 3 % du trafi c terrestre qui est très largement dominé par le mode routier. Cette part modale de la voie d’eau est inférieure au niveau moyen européen, notamment aux parts modales belge (12 %), allemande (15 %) ou néerlandaise (43 %). Les voies navigables jouent toutefois un rôle majeur dans les régions qu’elles desservent. En rupture par rapport à la période précédente, l’augmentation du trafi c fl uvial au cours de ces dix dernières années est très signifi cative même si elle ne représente que 5 % de l’augmentation du trafi c routier et le quart de la baisse du trafi c ferroviaire pour la même période. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS165_17_24_cle6db48a.pdf

TRANSPORT FLUVIAL DE

MARCHANDISES EN FRANCE,

UN CONTEXTE FAVORABLE

À LA CROISSANCE. Erwann Minvielle.

Notes de synthèse du SESP, n° 165,

avril-mai-juin 2007.

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1. Les secteurs d’activité

En France, le secteur du transport fl uvial, dans ses deux composantes, le transport de marchandises et le tourisme, connaît depuis la fi n des années 1990 une montée en puissance de son activité : ses recettes comme ses effectifs y progressent plus rapidement que dans les autres modes terrestres. Le tourisme fl uvial, bien que comptant peu d’entreprises, contribue largement à cette évolution d’ensemble.

En 2003, le secteur se compose d’un millier d’entreprises, essentiellement de petite taille, pour la plupart sans salarié. Il est économiquement concentré : les entreprises de 6 salariés et plus, qui représentent 8 % des transporteurs, réalisent 80 % du chiffre d’affaires. Ces dernières sont à l’origine de l’expansion de l’activité du fl uvial, particulièrement soutenue en 2003.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS_162_31-38_cle7193c1.pdf

LE TRANSPORT FLUVIAL DYNAMISÉ

PAR LES GRANDES ENTREPRISES DE FRET

ET DE TOURISME. Nathalie Augris.

Notes de synthèse du SESP, n° 162,

avril-mai-juin 2006.

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Page 24: La formation et les métiers du transport et de la logistique

22

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les études spécifi ques sur la logistique

La logistique connaît une concentration croissante, en particulier géographique. Les entrepôts de plus de 10 000 m2 se concentrent sur 500 communes. Celles-ci détiennent aujourd’hui 40 % de la surface d’entreposage totale en France.

Ces zones logistiques drainent près du quart des emplois du secteur et sont spécialisées dans les produits de consommation alimentaire et le groupage. Elles reçoivent ou sont le point de départ de fl ux de transport routier, qui ont augmenté en 10 ans deux fois plus vite que sur le reste du territoire. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=767

LES TRANSFORMATIONS

DE LA LOGISTIQUE : QUELS IMPACTS SUR

LES TERRITOIRES, L’EMPLOI ET

L’ORGANISATION DES TRANSPORTS ?

Compte rendu du « Rendez-vous du SESP » du 28 mars 2007 dans le

cadre du Salon international des

solutions logistiques.

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La répartition spatiale de la population est le déterminant fondamental de la géographie des implantations de locaux de stockage. C’est ce qui ressort d’une analyse dynamique de la localisation des entrepôts de stockage créés dans le Nord-Pas-de-Calais entre 1995 et 2001. Les créations de locaux de stockage sont, à densité égale, proportionnelles à la superfi cie de la zone d’installation. Néanmoins, pour une zone donnée, une croissance de la densité de population entraîne une croissance moins que proportionnelle du nombre de locaux créés. Alors que l’analyse ponctuelle ne permet pas d’appréhender précisément le rôle de l’accessibilité aux pôles urbains et aux infrastructures de transport, la méthode économétrique va plus loin, en confi rmant le moindre rôle de l’accessibilité aux infrastructures par rapport au facteur population. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS155-29-38_cle6da27a.pdf

LA LOCALISATION

DES ENTREPÔTS. Christian Calzada,

Hakim Hammadou, Hubert Jayet,

Sabine Kazmierczak. Notes de synthèse

du SES, n° 155, septembre-

octobre 2004.

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Page 25: La formation et les métiers du transport et de la logistique

23

1. Les secteurs d’activité

Pour en savoir plus (payant)

Crise fi nancière, réorientations des fl ux logistiques : comment les prestataires logistiques s’adaptent-ils à la nouvelle donne du marché ?

http://www.eurostaf.fr/fr/catalogue/etudes/sectorielles/transport-logistique.html

LES STRATÉGIES DES PRESTATAIRES

LOGISTIQUES EUROPÉENS.

Eurostaf, décembre 2008.

F

Cette étude, destinée aux acteurs de l’aménagement du territoire, qu’ils appartiennent à des collectivités territoriales, des services de l’État ou des entreprises, établit un état des lieux et un diagnostic des projets de plates-formes logistiques à vocation européenne. Identifi ant les tendances et les enjeux à partir de l’analyse des liens entre logistique et territoire, ce document propose des critères d’évaluation pour les projets touristiques et présente des moyens et des procédures d’intervention dans un domaine où la France ne manque pas d’atout. [Résumé d’auteur]

http://www.ladocumentationfrancaise.fr/catalogue/9782110062215/

LOGISTIQUE & TERRITOIRE.

Michel Savy, Délégation

interministérielle à l’aménagement et

à la compétitivité des territoires (DIACT), 2006.

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Page 26: La formation et les métiers du transport et de la logistique

24

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les études régionales sur les secteurs du transport et de la logistique

Les études générales sur le secteur du transport et de la logistique

SDRIF – Mobilité et transport n Pour l’élaboration du Schéma directeur de la région Ile-de-France (SDRIF),

le Conseil régional s’est appuyé sur des groupes d’experts afi n d’éclairer les choix à exercer par les décideurs. Dans ce cadre, un groupe spécialisé « Mobilité et transports » chargé d’étudier les questions relatives au volet transports de ce Schéma a été créé en mars 2005.

Afi n d’asseoir un diagnostic et de fournir la base technique de propositions pour le SDRIF, le groupe spécialisé « Mobilité et transports » s’est attaché, dans une première étape, à dresser un état des lieux de la mobilité et du système de transport de l’Ile-de-France à partir d’une série de fi ches thématiques. Sur cette base, il a établi un rapport de diagnostic et d’enjeux sur les transports et les déplacements en Ile-de-France transmis en juillet 2005 aux responsables de l’élaboration du SDRIF.

Dans une deuxième étape, le groupe a été amené à répondre à une série de questions portant sur trois thèmes principaux : les transports de marchandises et la logistique, les effets du renchérissement du coût de l’énergie sur les transports et l’évolution envisageable à moyen terme de la mobilité en Ile-de-France.

Toutes les contributions de ce groupe d’experts se trouvent sur cette page :http://www.sdrif.com/Rubrique Les enjeux d’un territoire d’exception => Les travaux des groupes d’experts => Mobilité et transport

Page 27: La formation et les métiers du transport et de la logistique

25

1. Les secteurs d’activité

ZOOM SUR LE TRANSPORT ET

LA LOGISTIQUE. Agence pour

le développement économique de

la Seine-et-Marne, 2006.

LE TRANSPORT DE MARCHANDISES ET LA LOGISTIQUE.

IAURIF, 2006.

Cette étude propose des statistiques sur les entreprises seine-et-marnaises de transport et de logistique.

http://www.seine-et-marne-invest.com/fi les/docs/transportetlogistique.pdf

Cette fi che offre un descriptif chiffré de la fi lière dans le cadre du SRDE.

http://espaceprojets.iledefrance.fr/Rubrique Projets => Projets => SRDE => Documents de travail => Les fi ches

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La Chambre de commerce et d’industrie de Paris Seine-Saint-Denis anime depuis 2003 le Cercle transport, logistique et négoce qui a pour but d’apporter aux entreprises des réponses ciblées en fonction de leurs problématiques « métiers » et des évolutions de leurs marchés.

Le Cercle réunit les principaux acteurs du transport, de la logistique et du négoce de Seine-Saint-Denis et leurs partenaires présents en Ile-de-France. Il est articulé autour de réunions bimestrielles qui sont autant d’occasions de rencontrer des experts tels que consultants, formateurs, universitaires ou dirigeants d’entreprises. Le programme annuel se compose de séminaires d’analyse stratégique, d’ateliers techniques et de visites d’entreprises. Les thématiques sont traitées en fonction des besoins des membres.

http://www.ccip93.ccip.fr/index.asp?idprofi l=5&idlangue=5&idmetapage=571

CERCLE TRANSPORT LOGISTIQUE ET NÉGOCE,

CCI 93.

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Page 28: La formation et les métiers du transport et de la logistique

26

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Ce document propose des informations statistiques reposant sur une enquête annuelle auprès des entreprises. Les données portent sur les établissements, les effectifs salariés, l’emploi et la formation.

http://espaceprojets.iledefrance.fr/Rubrique Projets => Projets => EGF => Contributions reçues => Contributions au Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles (PRDFP)

TABLEAU DE BORD RÉGIONAL DE

L’EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS ET

LES ACTIVITÉS AUXILIAIRES DU

TRANSPORT : RÉGION ILE-DE-FRANCE.

AFT-IFTIM, OPTL, 2005.

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Pour en savoir plus (autres régions)

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TABLEAUX SECTORIELS « TRANSPORTS (K0) ». Carif-Oref Guadeloupe, novembre 2008.

http://www.carif-oref-gpe.com/index.php?option=com_docman&task=doc_download&gid=147&Itemid=33

DIAGNOSTIC SECTORIEL DE L’OREF - TRANSPORTS EN LANGUEDOC-ROUSSILLON. OREF, janvier 2007

http://www.oref-lr.org/datas/fi chiers/articles/17/20.pdf

Page 29: La formation et les métiers du transport et de la logistique

27

1. Les secteurs d’activité

Au-delà d’une représentation du secteur et de ses enjeux, ce livre blanc vise à fédérer les acteurs publics et privés autour de 4 objectifs d’action et 44 propositions concrètes de nature à créer les conditions du rebond de la profession et favoriser ainsi activement le développement d’un secteur vital pour l’ensemble de l’économie française et très fortement catalyseur de la création d’emplois.

http://www.fnam.fr/Rubrique Publications => Autres publications

PRENDRE DU CHAMP POUR SE

DONNER DES AILES – LIVRE BLANC DE LA FNAM.

Non daté.

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Les études spécifi ques sur le transport

Les infrastructures portuaires et fl uviales sont un enjeu important pour l’aménagement et l’attractivité du territoire francilien, l’effi cacité du système de transports, la mise en œuvre du PDU (Plan de déplacements urbains) et la qualité de la vie. Le CESR visera à apporter sa contribution à l’actualisation de ce Schéma des infrastructures portuaires, plan stratégique adopté en 1989 par le Port autonome de Paris. Il procédera à une analyse critique de ce plan et élaborera des propositions de modifi cations ou d’approfondissement, tant en matière d’équipements que d’action foncière, d’affectation des sols et de répartition des activités. Dans une perspective interrégionale (Bassin parisien, Bassin de la Seine) et européenne, il examinera la cohérence du plan avec les schémas logistiques d’ensemble. [Résumé d’auteur]

http://www.cesr-ile-de-france.fr/cesr_doc/avis/avis03_tran_ports.pdf

VOIE D’EAU ET INFRASTRUCTURES

PORTUAIRES EN ILE-DE-FRANCE.

CESR, 2003.

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Page 30: La formation et les métiers du transport et de la logistique

28

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Pour lutter contre les nuisances liées au trafi c routier, le CESR souhaite voir se développer le transport combiné rail-route-fl euve, solution alternative au transport par route. Il demande le renforcement et la modernisation de diverses infrastructures de transport, notamment ferroviaire et fl uvial, et la création de nouveaux terminaux de transport combiné pour faire face à la saturation actuelle. Il souhaite une aide de la Région en faveur des transporteurs routiers qui se convertissent au transport combiné, et demande que les pouvoirs publics se mobilisent fortement pour que ce type de transport soit pris en compte dans les programmes européens concernés. [Résumé d’auteur]

http://www.cesr-ile-de-france.fr/cesr_doc/rapport_pdf/rapport01_tran_marchandises.pdf

LE DÉVELOPPEMENT

DU TRANSPORT COMBINÉ DE

MARCHANDISES EN ILE-DE-FRANCE.

Lucien Dumont-Fouya, Michel Fève.

CESR, 2001.

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L’Ile-de-France dispose d’un remarquable réseau fl uvial : 500 kilomètres de fl euves, rivières et canaux, dont 420 kilomètres à grand gabarit. Ce réseau de voies d’eau, qui est loin d’être saturé, est très compétitif pour des distances courtes ou moyennes en zone urbaine dense et ne génère que très peu de nuisances. Il est ponctué par un système de 70 ports urbains et plates-formes portuaires permettant toutes les méthodes combinatoires de transport, et qui accueillent, d’ores et déjà, plus du quart des 240 millions de tonnes produites ou consommées par les Franciliens.

http://www.annales.org/ri/2000/05-2000/leblanc047-051.pdf

LE TRANSPORT FLUVIAL DE

MARCHANDISES EN ILE-DE-FRANCE.

Annales des mines, Gilles Leblanc,

Bernard Guerin, mai 2000.

F

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TRANSPORTS EN LANGUEDOC-ROUSSILLON, DIAGNOSTIC SECTORIEL DE L’OREF. OREF Languedoc-Roussillon, janvier 2007.

http://boite-outils.oref-lr.org/datas/fi chiers/articles/17/20.pdf

TRANSPORT DE CONTENEURS MARITIMES DANS LE BASSIN RHÔNE-SAÔNE – LE TRANSPORT FLUVIAL, UNE ALTERNATIVE DURABLE. Bulletin de l’ORT Rhône-Alpes, juin 2006, pp. 5-12.

http://www.ort-rhone-alpes.fr/IMG/pdf/INT.pdf

Pour en savoir plus (autres régions)

Page 31: La formation et les métiers du transport et de la logistique

29

1. Les secteurs d’activité

Les études spécifi ques sur la logistique

[Extrait] L’Essonne et ses territoires présentent une diversité logistique qui répond aux besoins logistiques différenciés des entreprises. Grande distribution, prestataires de services, commerçants de gros et, désormais, les commerçants virtuels trouvent en Essonne des réponses adaptées à leurs contraintes. On distingue dans le département trois grands territoires logistiques correspondant à des aires de marché particulières : Nord Essonne (Massy, Wissous, parc de Courtaboeuf) : alimentaire frais, messagerie, fret express, sites webs marchands (produits à forte valeur) ; Centre Essonne (Francilienne) : grande distribution alimentaire, distribution spécialisée, Business to Business ; Sud-Essonne : grande distribution (groupement), centrales d’achats, stockage.

http://www.essonne.cci.fr/IMG/Livre_blanc_logistique_Dec_2008.pdf

LIVRE BLANC DU RÉSEAU ESSONNE

LOGISTIQUE : UNE LOGISTIQUE

DURABLE POUR LE DÉPARTEMENT

DE L’ESSONNE. décembre 2008.

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[Extrait] L’Ile-de-France est la première région européenne par la puissance logistique, non seulement du fait du poids de sa démographie et de ses activités mais aussi par son positionnement géo-stratégique exceptionnel. Au sein de la région Ile-de-France, le département du Val d’Oise est lui-même remarquablement positionné, à sa périphérie, comme porte d’entrée nord de Paris et au débouché des corridors d’échange avec le Nord de la France et de l’Europe. Le département du Val d’Oise est ainsi l’un des plus importants départements franciliens pour son parc immobilier logistique. Il est concerné par 3 des 8 secteurs logistiques franciliens : les secteurs de Cergy, de la Plaine de France/Gennevilliers et de Roissy.

http://www.val-d-oise.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/synthese_cle5a14db.pdf

ÉTUDE SUR L’ACTIVITÉ

LOGISTIQUE DANS LE VAL D’OISE –

SYNTHÈSE. Direction

départementale de l’équipement et de l’agriculture

du Val d’Oise, 2007.

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Page 32: La formation et les métiers du transport et de la logistique

30

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

La CCIP formule trois propositions essentielles afi n de consolider la place de l’Ile-de-France : mieux prendre en compte les contraintes des activités logistiques dans les documents de planifi cation, alerter les pouvoirs publics sur l’éloignement des sites logistiques destinés à l’approvisionnement et à la distribution en zone dense et empêcher la mutation des emprises foncières logistiques vers d’autres usages, et plus globalement, accompagner le développement des activités logistiques afi n de participer au dynamisme économique en Ile-de-France.

http://www.etudes.ccip.fr/archrap/pdf05/lis0502.pdf

LES ACTIVITÉS LOGISTIQUES EN ILE-DE-FRANCE :

ATOUTS ET DÉFIS. CCIP, Commission de

l’aménagement et du développement

économique régional, Gérard Lissorgues,

2005.

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Une analyse des facteurs de localisation au niveau communal des fl ux de construction neuve d’entrepôts en Ile-de-France fait ressortir les principaux éléments suivants :- la mise en service d’une desserte de type RER induit une hausse du volume

de construction d’entrepôts pendant quatre ans dans les communes nouvellement desservies par RER distantes entre six et vingt-cinq kilomètres environ du centre de Paris ;

- la distance moyenne au centre de l’agglomération parisienne des constructions de nouveaux entrepôts a augmenté de 17 % sur la période 1980-1999 ;

- sur la période 1980-1999, davantage d’entrepôts ont été construits à l’est qu’à l’ouest de la région. Ce déséquilibre spatial s’est creusé sur la période, probablement du fait de la mise en service de la Francilienne dans un arc Nord-Est-Sud. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS149-9-12_cle76de59.pdf

LOCALISATION DES CONSTRUCTIONS

NEUVES D’ENTREPÔTS EN

ILE-DE-FRANCE. Alain Sauvant,

Didier Rouchaud. Notes de synthèse

du SES, n° 149, septembre-

octobre 2003.

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Page 33: La formation et les métiers du transport et de la logistique

31

1. Les secteurs d’activité

Les implantations logistiques ont connu une ampleur particulièrement marquée ces dernières années. Ce phénomène est certes dépendant des facteurs économiques mais également des stratégies d’entreprises à l’échelon régional, national et surtout européen. Dans ce contexte et du fait de sa position centrale dans le réseau des grands échanges européens l’Ile-de-France occupe actuellement une place de premier rang. Elle devra intégrer dans ses futures politiques d’aménagement les enjeux et les contraintes liés à cette activité. [Résumé d’auteur]

http://www.iaurif.org/fi leadmin/Etudes/etude_254/nr_324_23_la_logistique_gagne_du_terrain.pdf

LA LOGISTIQUE GAGNE DU TERRAIN

EN ILE-DE-FRANCE. Note rapide sur

le bilan du SDRIF, n° 324, mars 2003.

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Page 34: La formation et les métiers du transport et de la logistique

32

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Principaux acteurs

n La plupart de ces sites présentent leur activité en tant que représentants des entreprises affi liées, mais également les métiers et les formations du secteur. Certains proposent aussi des données chiffrées sur les effectifs, la structure des entreprises…

Association française des transports routiers internationaux (AFTRI)

n Créée en 1947 à l’initiative de professionnels, l’AFTRI est depuis lors, consi-dérée comme l’organisation de référence du transport routier international. Elle est membre de l’Union internationale des transports routiers (IRU).

http://www.aftri.com/

Chambre syndicale du déménagement n Depuis sa constitution en 1890, la Chambre syndicale du déménagement

est la seule organisation professionnelle en France représentative des activités de déménagement : le déménagement de particuliers national et international, le déménagement d’entreprises, le garde-meubles et le self stockage.

http://www.csdemenagement.fr/

Les unions et fédérations

Page 35: La formation et les métiers du transport et de la logistique

33

1. Les secteurs d’activité

Comité des armateurs fl uviaux (CAF) n Le Comité des armateurs fl uviaux est une organisation professionnelle représentative des

intérêts des entreprises de transport fl uvial de fret ou de passagers, exploitant sous des formes diversifi ées de petites ou moyennes entreprises, compagnies de navigation ou coopératives d’entreprises artisanales.

Le Comité compte 80 entreprises adhérentes représentant 500 unités fl uviales et 1 500 emplois environ.

http://www.caf.asso.fr/

Fédération des entreprises de transport et de logistique de France (TLF)

n La Fédération des entreprises de transport et de logistique de France réunit 10 000 adhé-rents représentant toute la chaîne du transport et de la logistique : transport routier et combiné, messagerie-express, location de véhicules industriels, logistique, organisation de transport (ferroviaire, maritime, multimodal, aérien…), opérations de douane.

http://www.e-tlf.com/

Page 36: La formation et les métiers du transport et de la logistique

34

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Fédération nationale de l’aviation marchande (FNAM) n La FNAM, créée en 1990, est la principale organisation professionnelle du

secteur aérien. Au travers de huit groupements professionnels, elle fédère neuf métiers et représente plus de 370 entreprises. Ces métiers sont le transport de passagers, l’aviation d’affaires, le transport de fret, la maintenance aéronautique, les services aéroportuaires, le taxi aérien, le transport par hélicoptère, le travail aérien et les écoles.

Au service de ces entreprises, elle participe à la promotion et au développement de l’aviation commerciale et assure l’information et la représentation des intérêts collectifs de la profession sur les questions économiques, sociales, environnementales, techniques et réglementaires.

http://www.fnam.fr/

Fédération nationale des transports routiers (FNTR) n Avec 12 500 entreprises adhérentes, la Fédération nationale des transports

routiers est la première organisation professionnelle du secteur du transport routier en France.

http://www.fntr.fr/

Fédération nationale des transporteurs sanitaires (FNTS) n La Fédération nationale des transporteurs sanitaires rassemble des entre-

preneurs, dirigeants d’entreprises, de la TPE à la PME, répartis en milieu rural et urbain, sur l’ensemble du territoire.

http://www.fnts.org/

Page 37: La formation et les métiers du transport et de la logistique

35

1. Les secteurs d’activité

Fédération nationale des transports de voyageurs (FNTV) n Les principales missions de la FNTV sont de fédérer les transporteurs départementaux et

régionaux ; d’être une force de réfl exion et de propositions auprès des décideurs départe-mentaux, régionaux, nationaux et européens ; d’établir des règles de partenariat et coopérer avec les autres opérateurs du transport de voyageurs et de promouvoir le transport public de voyageurs et participer au développement de l’aménagement du territoire.

http://www.fntv.fr/

Organisation des transporteurs routiers européens (OTRE) n Créée en 2000, l’OTRE possède un héritage en la présence des syndicats qui la composent

et dont la grande majorité a déjà plus de cinquante ans d’existence. Elle traite aussi bien les questions de proximité avec la représentation locale que les problèmes européens avec un projet à court terme d’association représentative à Bruxelles.

http://www.otre.org/

Syndicat des auxiliaires de la manutention et de l’entretien pour le rail et pour l’air (SAMERA)

n Le SAMERA est l’organisation professionnelle représentative de ces activités dans le monde du transport appliquant la Convention collective nationale du personnel des entreprises de manutention ferroviaire et travaux connexes ou la Convention collective régionale de la manutention et nettoyage sur les aéroports (Région parisienne).

http://www.syndicat-samera.fr/

Page 38: La formation et les métiers du transport et de la logistique

36

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Syndicat national des agents de voyages (SNAV) n Créée en 1945, cette organisation professionnelle est l’unique interlocuteur

auprès des pouvoirs publics pour l’ensemble des trois métiers qui la compose : tours-opérateurs, distributeurs (agences de voyages ou agences en ligne), réceptifs (qui reçoivent les touristes sur le territoire). Son objectif vise à garantir la stabilité économique et sociale de la branche d’activité tourisme et voyages en France et en Europe, tout en valorisant l’image de la profession et de ses acteurs.

http://www.snav.org/

Syndicat national des entreprises de tourisme en autocar (SNET)

n Le SNET réunit en France des entreprises de transport routier de voyageurs, des agences de voyages, ainsi que des personnes ou sociétés directement intéressées au développement de l’activité de tourisme par autocar.

Fort de ses 200 adhérents, le SNET est le seul syndicat représentatif en France de la profession de car opérateur sur le marché du tourisme. La majorité de ses adhérents sont des PME, très souvent entreprises familiales. Le SNET participe à la promotion des activités de ses adhérents, prépare les entreprises aux mutations de leur environnement, soutient leur compétitivité et défend au mieux les intérêts de la profession.

http://www.autocarsdefrance.com/

Page 39: La formation et les métiers du transport et de la logistique

37

1. Les secteurs d’activité

Syndicat national des transports légers (SNTL) n Le Syndicat national des transports légers résulte du regroupement de la Chambre

Syndicale des Services Rapides créée en 1903 et du Syndicat National des Entreprises de Transports Légers créé en 1986. C’est un syndicat patronal national qui représente les entreprises de transports légers (véhicules de moins de 3,5 T) et de courses urbaines. En France, le transport léger représente 19 200 entreprises, 45 000 véhicules, et 56 000 personnes en action.

http://www.sntl.fr/

Union des transports publics et ferroviaires (UTP) n L’UTP est le syndicat professionnel regroupant les entreprises de transport public urbain de

voyageurs en France et de transport ferroviaire. La RATP et la SNCF sont adhérentes.

L’UTP assume la représentation de la profession et la défense des intérêts collectifs des entreprises adhérentes, la gestion des conventions collectives dont elle a la responsabilité (transports urbains de voyageurs, VFIL - Voie ferrée d’intérêt local) ou dont elle peut être amenée à avoir la responsabilité, la coopération et la complémentarité avec les autres entreprises, associations ou organisations professionnelles de transport public de voyageurs ou de transports ferroviaires et la promotion du transport public de voyageurs et du transport ferroviaire par tous moyens.

http://www.utp.fr/

Page 40: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les associations et autres acteurs

Association française des instituts de transport et de logistique (AFITL)

n L’objet de l’AFITL est de faire connaître et d’assurer la promotion et la valorisation de la recherche et de la formation supérieure dans les transports, d’étudier les questions communes relatives à ces deux domaines, et de permettre la représentation de ses adhérents aux plans national et interna-tional auprès des organismes concernés par les activités d’enseignement et de recherche dans les domaines du transport et de la logistique.

http://afi tl.ish-lyon.cnrs.fr/

AFT.IFTIM n L’AFT, Association pour le développement de la formation professionnelle

dans le transport, est créée en 1957 sous l’égide de l’Union des fédérations de transport. L’IFTIM, Institut de formation aux techniques d’implantation et de manutention, est créé en 1961 pour développer la formation aux métiers de la logistique des entreprises industrielles et commerciales et prestataires logistiques. L’AFT et l’IFTIM se sont associés en 1989. Leader de la formation Transport Logistique en Europe, le groupe AFT.IFTIM regroupe 24 000 entreprises adhérentes et est mandaté ou partenaire de 32 organisations professionnelles du transport logistique.

http://www.aft-iftim.com/

Page 41: La formation et les métiers du transport et de la logistique

39

1. Les secteurs d’activité

Association française pour la logistique (ASLOG) n L’ASLOG est une organisation neutre et indépendante. Multisectorielle, elle est aujourd’hui

la seule association qui couvre l’ensemble des activités au sein de la chaîne logistique globale. Elle représente un réseau professionnel de plus de 1 500 membres en France.

Sa mission est de soutenir les entreprises dans leur recherche de performance logistique et de compétitivité.

www.aslog.org

Groupement des autorités responsables de transport (GART) n Le GART est une association loi 1901 fondée en 1980. Il réunit plus de 266 adhérents : la

quasi-totalité des agglomérations, la moitié des départements et la quasi-totalité des régions, toutes autorités organisatrices de transport sur leur territoire. Le GART est la plate-forme d’échanges et de réfl exion des élus transport, représentant toutes les tendances politiques françaises, mais aussi leur porte-parole au plan national et européen.

http://www.gart.org/

GATMARIF n Crée en 1970, le Groupe des activités de transport et de manutention de la Région Ile-de-

France (GATMARIF) assure une représentation collective de ses adhérents auprès des instances régionales.

Informations non disponibles en ligne.

Page 42: La formation et les métiers du transport et de la logistique

40

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Transport développement intermodalité environnement (TDIE)

n TDIE est une association pluraliste représentant l’ensemble des acteurs des différents modes de transports (professionnels, élus nationaux et territoriaux, experts et universitaires). Son objectif est la promotion, auprès des pouvoirs publics et du Parlement, de réfl exions et de propositions au service d’une politique globale des transports et des déplacements.

http://www.tdie.eu/

OPCA Transports n L’accord paritaire donne compétence à l’OPCA Transports sur les secteurs

des transports routiers de marchandises et activités auxiliaires du transport, des transports routiers interurbains de voyageurs, des transports publics urbains de voyageurs, des transports fl uviaux de marchandises et de passagers, des transports maritimes, de la manutention portuaire et des agences de voyage et de tourisme.

L’OPCA Transports est une association gérée par les organisations profession-nelles et syndicales représentatives des employeurs et des salariés des branches du transport.

Le rôle de l’organisme est de collecter les fonds au titre de la formation continue, fi nancer les formations des salariés des entreprises adhérentes, informer, conseiller, assister les entreprises.

http://www.opca-transports.com/

Page 43: La formation et les métiers du transport et de la logistique

41

1. Les secteurs d’activité

OPCA Intergros n Intergros est agréé par l’État pour assurer la collecte et la gestion des fonds « profession-

nalisation » et « plan de formation » auprès des entreprises du commerce interentreprises et du commerce international.

Intergros accompagne les entreprises pour simplifi er leurs démarches de formation et opti-miser leur fi nancement. Il renforce son rôle de conseil pour mettre la formation au service du développement des entreprises et de l’évolution des qualifi cations et compétences des salariés.

http://www.intergros.com/

Promotrans n Le groupe Promotrans est un organisme de branche au service de la formation continue,

initiale et de l’insertion par l’alternance avec des compétences professionnelles et pédagogiques de la formation dans les domaines du transport, de la logistique, de l’exploi-tation, de la conduite, éco conduite, sécurité, sécurité routière, vente, voyage, management, douane, OEA - Opérateurs économiques agréés.

http://www.promotrans.fr/

WK Transport logistique n Portail de l’éditeur Wolters Kluwer dédié au transport et à la logistique : actualités,

ouvrages, informations juridiques et outils métiers. Ce site propose également de s’abonner aux magazines professionnels tels que L’Offi ciel des transporteurs, Logistiques magazine, Bus & Car (revue d’information des professionnels du transport de voyageurs), etc.

http://www.wk-transport-logistique.fr/

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

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La formation et les métiers du transport et de la logistique

2. Les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

n À la fi n des années 1990, les métiers du transport et de la logistique représentaient plus de 376 000 emplois en Ile-de-France, soit 22 % de l’emploi national de cette spécialité professionnelle. Avec le développement du secteur du transport sur les dernières années, on estime, en 2005, le nombre total d’emplois à 411 000. Le transport et la logistique occupent une place importante dans l’économie francilienne. La région dispose en effet de deux aéroports internationaux, de nombreuses plates-formes logistiques et l’activité touristique génère d’importants besoins dans les métiers du tourisme exercés dans les entreprises de transport. À ceci s’ajoute un réseau dense de transports collectifs.

En 1999, les conducteurs de véhicules hors conducteurs routiers sont les plus nombreux (97 000 en 2005), suivis par les ouvriers non qualifi és de la manutention (83 000) et les ouvriers qualifi és de la manutention (70 000). En liaison avec l’activité aéroportuaire et l’importance du tourisme dans la région, de nombreux métiers sont surreprésentés en Ile-de-France : c’est le cas des agents d’exploitation des transports, des employés et techniciens du tourisme et des transports, des agents et hôtesses d’accompagnement, des cadres des transports et des conducteurs de véhicules hors conducteurs routiers.

Assez logiquement, le premier secteur employeur est le secteur du transport : il rassemble la moitié de ces professionnels. Mais ces métiers s’exercent également dans de nombreux autres secteurs, les premiers d’entre eux sont le commerce de gros (11 %), les services opérationnels (9 % dont notamment l’intérim) et le commerce de détail (5 %).

Les effectifs ont très légèrement diminué dans les années 1990 (– 3 %), alors qu’ils augmentaient en province (3 %). Les évolutions varient considérablement selon les métiers. Au cours des années 1990, le nombre d’agents et d’hôtesses d’accompagnement a augmenté, de même que celui des cadres des transports à la suite du renforcement des fonctions d’encadrement et d’expertise dans le domaine de la logistique.

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2. Les métiers du transport et de la logistique

11. Portraits de métiers. Les métiers du transport et de la logistique. OREF Ile-de-France, avril 2009.12. Rapport interacadémique Ile-de-France relatif aux domaines des transports et de la logistique. Thérèse Brodu,

Alain Caillat, Martine Goutte, 2001.

En revanche, l’évolution a été défavorable dans les métiers manuels dévolus au transport ou à la manutention. Ceux-ci ont souffert du recul de l’industrie en Ile-de-France et de l’implantation de plates-formes logistiques dans des régions où le coût de l’immobilier est moindre, comme celles qui bordent l’Ile-de-France. Le nombre de conducteurs routiers a baissé de 19 %, soit sensiblement plus qu’en province. De même, les ouvriers qualifi és de la manutention ont diminué de près de 10 % alors que leur nombre augmentait légèrement dans le reste de la France.

D’ici 2015, les métiers du transport et de la logistique seront confrontés à de nombreux départs à la retraite. En moyenne, 25 % des effectifs quitteront le marché du travail, soit 93 400 postes. Les métiers les plus touchés sont les cadres des transports et de la logistique, les agents d’exploitation des transports, ainsi que les ouvriers qualifi és de la manutention.(11)

Les effets conjugués de la concurrence, des mutations économiques et spatiales, de l’évolution des technologies, de l’accroissement des exigences des clients, du poids des contraintes liées à l’environnement et à la sécurité ont nécessité une recomposition des métiers de la conduite et de l’exploitation dans les transports routiers. Ainsi, de nouvelles compétences dans les métiers du transport et de la logistique sont apparues, comme la fonction qualité ou une sensibilisation à la sûreté des marchandises et à la sécurité des personnes pour les conducteurs. On note également une évolution des compétences intellectuelles et comportementales requises (ex : capacité à renseigner des documents, adaptabilité, capacité à gérer le stress, relations avec la clientèle…).(12)

Concernant les métiers, nous présenterons d’abord les bases de données et les enquêtes offrant des informations sur les métiers. Ensuite, nous nous pencherons sur les études nationales. La source de base est le site Internet de la DARES qui propose de nombreuses déclinaisons de ses enquêtes. Nous verrons les études sur les métiers du transport, de la logistique ainsi que des études sur l’évolution des compétences et la gestion des ressources humaines dans ces métiers. Ensuite, nous présenterons les études régionales. Pour aller plus loin dans la découverte des métiers, plusieurs sources d’information présentant le contenu de ces métiers seront présentées.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Périmètre

Pour parler des métiers d’un point de vue statistique, on utilise couramment la nomenclature des familles professionnelles (FAP).

Celle-ci propose six métiers d’ouvriers, de techniciens et agents de maîtrise et cadres relatifs au transport et à la logistique (nomenclature FAP-DARES 2003, niveau 86) :

- les ouvriers non qualifi és de la manutention,- les ouvriers qualifi és de la manutention,- les conducteurs de véhicules,- les agents d’exploitation des transports,- les agents administratifs et commerciaux du tourisme et des transports,- les cadres des transports et navigants de l’aviation.

L’OREF Ile-de-France a délimité des familles professionnelles franciliennes qui refl ètent l’activité de la région. Pour ce domaine professionnel, les FAP franciliennes sont plus détaillées que les FAP nationales usuelles, elles sont au nombre de onze :

- les ouvriers non qualifi és de la manutention,- les ouvriers qualifi és de la manutention,- les conducteurs d’engins de traction,- les conducteurs routiers,- les autres conducteurs de véhicules,- les agents d’exploitation des transports,- les agents et hôtesses d’accompagnement,- les agents administratifs des transports et employés du tourisme et

des transports,- les techniciens du tourisme et des transports,- les cadres des transports et de la logistique,- les personnels navigants de l’aviation.

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2. Les métiers du transport et de la logistique

Les sources de données statistiques

OREF Ile-de-France n L’Observatoire régional de l’emploi et de la formation d’Ile-de-France (OREF) est une

structure d’aide à la décision pour l’État, le Conseil régional et l’ensemble des acteurs qui ont à réfl échir sur la conception et la mise en place de politiques d’emploi, d’insertion et de formation sur les territoires franciliens.

L’OREF Ile-de-France met à disposition de nombreux indicateurs sur son extranet et son site Internet, notamment sur les métiers. On trouve ainsi des indicateurs par métier sur l’évolution de l’emploi, les niveaux de diplôme, la répartition par tranche d’âge et la part des femmes, le statut de l’emploi, la mobilité professionnelle, la structure et l’évolution du chômage.

http://www.oref-idf.org/

Bref Ile-de-France. DRTEFP Ile-de-France – SEPES, trimestriel.

n Ce bulletin trimestriel d’informations sur le marché du travail propose systématiquement les évolutions récentes du marché du travail, les évolutions de l’emploi, l’activité intérimaire et les tensions sur le marché du travail au trimestre précédent, ainsi que deux zooms dont un sur les tensions dans un secteur particulier.

http://www.oref-idf.org/ Rubrique Marché du travail => Études

DARES - Base tension n Le taux de tension est le rapport entre les offres d’emploi enregistrées et les demandes

d’emploi enregistrées (statistiques de fl ux).

Ces données sont déclinées selon la nomenclature des familles professionnelles (FAP) de la DARES.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/ Rubrique Études/Recherche, Statistiques => Statistiques => Métiers et qualifi cations => Les indicateurs conjoncturels

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Tableau de bord régional sur les tensions. DRTEFP Ile-de-France, OREF Ile-de-France, 2008.

n Ce tableau de bord fournit une gamme étendue d’indicateurs permettant l’analyse des tensions sur le marché du travail en Ile-de-France de fi n décembre 2007 à fi n décembre 2008. On y trouve notamment, par famille professionnelle, des estimations d’emploi, le taux de postes à pourvoir d’ici 2015, le taux de demande d’emploi, le niveau et l’évolution de la demande d’emploi, de l’offre d’emploi, et du taux de tension. Est également mentionnée la proportion de recrutements jugés diffi ciles. La nomenclature utilisée est celle des familles professionnelles franciliennes.

http://www.oref-idf.org/ Rubrique Publications => Co-publications

Enquête sur les Besoins en main-d’œuvre (BMO) n Cette en quête est une initiative de l’Unédic, réalisée depuis 2002, avec

l’ensemble des institutions de l’Assurance chômage (Assedic et GARP) et le concours du CREDOC.

Il est possible de faire des recherches par métier et/ou par bassin d’emploi :http://unistatis.orsid.com/bmo/

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2. Les métiers du transport et de la logistique

Enquête Besoins en main-d’œuvre 2009 – Synthèse Ile-de-France. Pôle emploi services

n Après deux vagues de croissance, le nombre d’intentions d’embauches recensées par l’enquête se contracte fortement cette année (– 23,8 %). Ce niveau, le plus bas observé depuis le lancement de l’enquête en 2002, se situe pour la première fois en deçà de la barre symbolique du million de projets de recrutement. Dans presque tous les départements franciliens, on trouve un ou plusieurs métiers du transport et de la logistique dans la liste des 10 métiers pour lesquels les projets de recrutement sont jugés diffi ciles.

http://www.lobservatoiredelemploi.fr/media/31671/synth%C3%A8se%20bmo%202009.pdf

L’enquête dans son intégralité est disponible sur :http://info.assedic.fr/unistatis/travail/documents/BMO2009_IleDeFrance.pdf

DARES – Mouvements de main-d’œuvre n Deux dispositifs permettent de mesurer les fl ux d’embauches et de sorties d’emploi et

constituent un instrument de connaissance de la gestion de la main-d’œuvre : la Déclaration de mouvements de main-d’œuvre (DMMO) des établissements d’au moins 50 salariés et l’Enquête sur les mouvements de main-d’œuvre (EMMO) auprès des établissements du secteur privé employant entre 10 et 49 salariés.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/ Rubrique Études/Recherche, Statistiques => Statistiques => Emploi => Les mouvements de main-d’œuvre

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

INSEE - Enquête emploi n Depuis le 1er janvier 2003, l’enquête emploi est trimestrielle et sa collecte

est réalisée en continu toutes les semaines de chaque trimestre. Cette enquête vise à observer à la fois de manière structurelle et conjoncturelle la situation des personnes sur le marché du travail.

http://www.insee.fr/ Rubrique Publications et services => Fichiers détail => Enquête emploi en continu

Limites : Cette source est très sollicitée, mais est à manipuler avec précaution : sa fi abilité décroît sensiblement avec la fi nesse des exploitations, en parti-culier au niveau de la région, car c’est une enquête sur échantillon. Elle semble néanmoins adaptée à des champs d’investigation larges, comme ceux constitués par les secteurs et sous-secteurs de la nomenclature utilisée.

http://mimosa.cereq.fr/psb/ Rubrique Sources

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2. Les métiers du transport et de la logistique

Les études nationales

Les études générales sur le transport et la logistique

DARES - Portraits de métiers n La DARES est chargée d’assurer, en liaison avec l’INSEE, la production régulière et fi able des

statistiques utiles au ministère en charge de l’emploi et aux acteurs sociaux (partenaires sociaux, conseils régionaux, service public de l’emploi, presse économique et sociale). Elle met à leur disposition, grâce à ses publications, les résultats d’études, d’évaluations et de recherches qui leur sont nécessaires. Ainsi, le site Internet de la DARES propose de nombreuses informations sur les métiers et les qualifi cations.

La DARES utilise la nomenclature des FAP dont elle est à l’origine. Les résultats sont donnés au niveau national.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/Rubrique Études/Recherche, Statistiques => Statistiques => Métiers et qualifi cations

La rubrique du site dédiée aux portraits détaillés des métiers présente plusieurs types d’informations statistiques :

• les portraits statistiques 1982-2002 ;

• le chômage 1997-2004 : indicateurs sur l’évolution du chômage, le chômage de longue durée, le poids des jeunes et des plus de 50 ans, les tensions sur le marché du travail ;

• l’insertion des jeunes : indicateurs sur le poids des débutants dans le métier, la formation initiale, l’origine géographique et sociale, la féminisation, les conditions d’emploi, le début de carrière. L’essentiel des résultats est issu de l’enquête Génération 98 du Céreq.

Parmi les portraits statistiques, voici ceux qui concernent les métiers du transport et de la logistique.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

J0 : Ouvriers non qualifi és de la manutention n Ces métiers sont liés au transport de marchandises : d’une part le charge-

ment et déchargement (manutentionnaires, déménageurs…) d’autre part, le tri, l’emballage, et l’expédition. Le commerce de gros et le transport sont les principaux secteurs employeurs ; cette prépondérance qui s’est encore renforcée ces dernières années refl ète l’externalisation des fonctions logistiques. L’emploi est très lié au cycle conjoncturel, notamment la manutention. Il a fortement progressé depuis 1996 mais a diminué en 2002. Ces métiers sont des accès à l’emploi pour les jeunes (37 % de ces ouvriers ont moins de 30 ans en 2002) souvent sans diplôme. La proportion de femmes (34 %) est relativement stable, mais en diminution parmi les plus jeunes. Un recours important aux CDD et à l’intérim entraîne un fort turnover qui assure un ajustement rapide aux fl uctuations conjoncturelles. Le chômage reste élevé et le nombre d’offres d’emploi de plus de 6 mois est particulièrement faible (22 %).

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J0.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Vue_de_Synthese_-_J0_-_Ouvriers_non_qualifi es_de_la_manutention.pdf

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2. Les métiers du transport et de la logistique

J1 : Ouvriers qualifi és de la manutention n Ces professionnels qualifi és sont des ouvriers qui conduisent des équipements de

manutention (dockers, caristes, magasiniers) ou encore des techniciens responsables d’entrepôt, de magasinage et de manutention. La progression de l’emploi est soutenue (+18 % sur la période récente), elle subit moins les aléas de la conjoncture que celle des ouvriers non qualifi és de l’emballage et de la manutention. Les emplois sont essentiellement occupés par des hommes (11 % de femmes en 2002). Le niveau de diplôme des débutants a très fortement augmenté. En 2002, près de 40 % des moins de 30 ans sont au moins bacheliers. Les contrats de travail sont généralement à temps complet et à durée illimitée mais un volant de main-d’œuvre fl exible coexiste. La demande concernant ces emplois et notamment le chômage de longue durée reste à un niveau très élevé par rapport à la plupart des autres métiers d’ouvriers qualifi és. Seul un tiers des offres d’emplois correspondent à des contrats de travail de plus de 6 mois.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J1.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Vue_de_Synthese_-_J1_-_Ouvriers_qualifi es_de_la_manutention.pdf

Page 56: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

J2 : Conducteurs d’engins de traction et de levage n Leur activité consiste à conduire des engins de levage ou de traction sur

des plates-formes multimodales (gares, ports, aéroports…). Ils sont employés pour l’essentiel dans les transports et dans la construction. Après avoir stagné au cours des années 1990, l’emploi a légèrement progressé en 2000 et 2001. Ces métiers sont exercés quasi exclusivement par des hommes. Le niveau de diplôme des personnes en emploi est relativement faible. Les compétences requises pour occuper ces postes peuvent s’acquérir par d’autres biais (formation continue, formation sur le tas). Les entrées en emploi se font beaucoup sur contrats courts ; la présence des plus de 50 ans est importante parmi les sorties d’emploi. Le chômage est très faible mais les demandeurs d’emploi âgés sont nombreux et le chômage de longue durée est relativement conséquent.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J2.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/engins_de_traction_et_de_levage-2.pdf

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2. Les métiers du transport et de la logistique

J3 : Conducteurs de véhicules n Chauffeurs de poids lourds, livreurs et conducteurs de taxis ou de véhicules de transport

en commun (bus, tramway, etc.) sont les trois principaux métiers de conducteurs de véhicules. L’externalisation des fonctions de transport de marchandises se poursuit et entraîne une concentration de ces emplois dans le secteur des transports. Les effectifs sont en progression régulière depuis le milieu des années 80. La part des travailleurs indépendants a diminué (moins de 8 % en 2002). Essentiellement masculine (7 % de femmes), la population en emploi vieillit : la part des plus de 50 ans s’est accrue de 19 à 22 % entre 1997 et 2002, 13 % seulement ont moins de 30 ans (ils étaient 22 % en 1990). Les emplois sont le plus souvent stables mais les démissions sont fréquentes dans les motifs de sorties d’emploi. Le chômage est beaucoup plus élevé que celui des conducteurs d’engins de traction et de levage mais reste au niveau moyen des métiers d’ouvriers qualifi és.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J3.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Vue_de_Synthese_-_J3_-_Conducteurs_de_vehicules.pdf

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

J4 : Agents d’exploitation des transports n En charge de l’exploitation d’un parc de véhicules, du contrôle du trafi c ou

des passagers, les agents d’exploitation des transports sont le plus souvent des salariés de grandes entreprises (SNCF, Air France, RATP, etc.). Après avoir été stable pendant dix ans, l’emploi a connu une forte progression depuis la fi n des années 90. Les embauches ont permis de rajeunir et de légèrement féminiser la population en emploi : la part des moins de 30 ans a ainsi doublé, atteignant 19 % en 2002 ; on compte alors 14 % de femmes dans ces métiers contre 8 % en 1990. Les contrats de travail à durée limitée sont rarissimes. Les sorties d’emploi se font en fi n de carrière. Le chômage est faible, mais la part des offres d’emploi de plus de 6 mois est en net recul depuis 1997.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J4.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/exploitation_des_transports-3.pdf

Page 59: La formation et les métiers du transport et de la logistique

57

2. Les métiers du transport et de la logistique

J5 : Agents administratifs et commerciaux du tourisme et des transports n Ces métiers propres au secteur du transport sont liés à l’accompagnement des passagers

(hôtesse d’accueil, hôtesse de l’air, steward) ou relèvent de fonctions commerciales ou administratives. Les effectifs progressent à un rythme très soutenu depuis vingt ans grâce notamment au développement des activités touristiques. Cet essor a permis de rajeunir la population en emploi. Plus d’un tiers des agents du tourisme et du transport ont moins de 30 ans. Depuis le milieu des années 1990, les femmes sont majoritaires (56 % en 2002). L’accès à l’emploi se fait majoritairement sur contrat à courte durée, mais le poids de ces contrats et de l’intérim reste limité dans l’ensemble de ces emplois. Le niveau de diplôme des débutants s’est très fortement élevé : 55 % des moins de 30 ans exerçant ces métiers ont désormais au moins un diplôme de niveau « Bac + 2 ». Malgré une baisse, les demandes d’emploi restent élevées et seulement un peu plus d’une offre d’emploi sur deux correspond à un contrat de plus de 6 mois.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J5.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Vue_de_Synthese_-_J5_-_Agents_administratifs_et_commerciaux_du_tourisme_et_des_transports.pdf

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

J6 : Cadres des transports et navigants de l’aviation n L’essentiel de ces métiers est constitué de cadres sédentaires chargés

d’organiser l’activité des entreprises du transport. Le personnel navigant (pilote, copilote, offi cier mécanicien) représente un emploi sur cinq dans cette famille professionnelle. Les effectifs ont fortement augmenté depuis la fi n des années 1990 (malgré un léger repli en 2002). Cette progression ne s’est pas accompagnée d’un rajeunissement de la population, la part des plus de 50 ans reste importante (26 % en 2002). Par contre, la présence des femmes se renforce nettement et devient de moins en moins marginale (20 % en 2002). Le niveau de diplôme des personnes en emploi est très élevé (59 % atteignent ou dépassent le niveau « Bac + 2 »). Les emplois sont stables, le recours aux contrats courts est très peu développé, les mouvements d’entrée et de sortie d’emploi sont limités. Le taux de demande d’emploi est assez faible. Les entrées au chômage se font souvent suite à un licenciement. Un tiers des chômeurs ont plus de 50 ans et le chômage de longue durée est important.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2002_J6.pdf

Une vue de synthèse rassemble les principaux indicateurs :http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/aviation-2.pdf

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2. Les métiers du transport et de la logistique

Cette édition regroupe en un seul document (2 volumes) les données nationales et présente quelques données régionales notamment via des informations cartographiées.

Au-delà d’une simple prévision pour l’année en cours, nous prenons le pari de dresser des perspectives à moyen terme (5 ans) sur la base de dires d’experts. Alors que 2009 s’annonce une année faite de changements liés à une situation économique très diffi cile, mais aussi aux nouvelles opportunités ouvertes par l’accord interprofessionnel relatif à la formation professionnelle du 7 janvier 2009, la Commission nationale paritaire professionnelle de l’emploi et de la formation professionnelle dans les transports routiers et les activités auxiliaires du transport (CNPE) a choisi de se tourner vers l’avenir et de mettre l’accent sur ce qui permettra de mieux cerner le transport et la logistique et d’accompagner, notamment par la formation initiale, une réponse aux enjeux à venir.

http://www.fntv.fr/IMG/pdf/Rapport_2009_OPTL_partie_1.pdf

http://www.fntv.fr/IMG/pdf/Rapport_2009_OPTL_partie_2.pdf

RAPPORT 2009 DE L’OBSERVATOIRE

PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES

QUALIFICATIONS DANS LES TRANSPORTS

ET LA LOGISTIQUE. Commission nationale

paritaire professionnelle de l’emploi et de

la formation professionnelle des transports routiers

et des activités auxiliaires du

transport, 2009.

F

LES MÉTIERS DE LA LOGISTIQUE ET DU TRANSPORT.

APEC, Les Référentiels

des métiers cadres, 2008.

F Référentiel présentant les principaux métiers cadres du domaine de la logistique et du transport et leurs évolutions récentes. Les fi ches décrivent dans le détail les missions, les profi ls, les compétences de 22 métiers incontournables, illustrés par le témoignage de cadres en activité. Le référentiel propose une analyse des enjeux auxquels sont confrontés, aujourd’hui, les cadres du domaine de la logistique et du transport.

http://recruteurs.apec.fr/resource/mediatec/domain1/media27/15198-hqm8c6dq39u.pdf

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60

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Ce guide sur les métiers du tertiaire a été réalisé en partenariat avec l’Onisep, le Céreq, et l’AGEFA-PME. Il présente le tertiaire dans sa diversité : 41 secteurs sont passés au crible permettant la description des activités et des métiers et le portrait économique de chaque activité. Ce travail fait appel aux travaux de l’INSEE et du Céreq permettant une approche croisée et une analyse étayée par des spécialistes de la question. Ce numéro est enrichi d’interviews.

Non disponible en ligne

LES MÉTIERS DU TERTIAIRE.

Alternatives économiques,

Hors-série pratique n° 23,

mars 2006.

F

La nomenclature utilisée est celle des Familles professionnelles (FAP) de la DARES.

[Extrait : pp. 123-126 – Domaine professionnel du transport-logistique]

Le nombre de postes à pourvoir devrait être important dans l’ensemble des familles professionnelles du domaine : des ouvriers de la manutention aux cadres. Les métiers du transport et de la logistique devraient continuer à progresser avec le développement des échanges et du commerce. Les profi ls de recrutement et les perspectives de carrière sont suffi samment ouverts dans les grandes entreprises des transports pour limiter les risques de tensions sur l’offre de travail. Des diffi cultés pourraient apparaître pour le recrutement des transporteurs routiers, car les compétences requises sont importantes et pas toujours formalisées et valorisées. De plus, les conditions de travail peuvent être très diffi ciles.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_metiers_2015.pdf

LES MÉTIERS EN 2015.

DARES, Centre d’analyse

stratégique, janvier 2007.

F

Page 63: La formation et les métiers du transport et de la logistique

61

2. Les métiers du transport et de la logistique

Les auteurs identifi ent les métiers pour lesquels la main-d’œuvre immigrée pourrait venir compléter l’apport des travailleurs locaux chez lesquels les problèmes de recrutement se font sentir, parmi lesquels les métiers très qualifi és de cadre des transports et de navigants de l’aviation.

http://www.minefi .gouv.fr/directions_services/sircom/documentation/rapport_immigration.pdf

IMMIGRATION SÉLECTIVE ET

BESOINS DE L’ÉCONOMIE FRANÇAISE.

Ministère de l’Économie,

des fi nances et de l’industrie, 2006.

F

Cet ouvrage propose 85 fi ches détaillées – description du métier, conditions de travail, salaire moyen, débouchés – pour tout savoir sur les secteurs qui embauchent et la façon dont les métiers se transforment. Des travaux, des témoignages de professionnels permettent d’aller plus loin et d’analyser les grandes tendances évolutives.

Non disponible en ligne

LES MÉTIERS DE DEMAIN.

Onisep, Alternatives

économiques, hors série pratique,

2006.

F

DE L’ÉCOLE À L’EMPLOI. Alternatives

économiques, hors série pratique

n° 17, pp. 78-80, janvier 2005.

F En dehors des articles de fond, cet ouvrage propose une centaine de fi ches pratiques réparties en deux thèmes : des fi ches « débouchés » qui analysent fi lière par fi lière la façon dont les jeunes se sont insérés (période de chômage, CDD, CDI…), le type d’emploi occupé trois ans après l’obtention de leur diplôme, etc. et des fi ches « métiers » qui mettent en lumière les principales formations d’origine et le profi l des jeunes embauchés.

Non disponible en ligne

Page 64: La formation et les métiers du transport et de la logistique

62

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

D’ici 2015, le nombre de postes à pourvoir sur le marché du travail devrait augmenter fortement quand les générations nées après 1945 arriveront en fi n de carrière. La tertiarisation de l’économie devrait se poursuivre avec toujours plus de cadres, mais aussi avec des emplois peu qualifi és de plus en plus nombreux dans les services et l’aide à la personne. Le dynamisme de l’emploi dans certains métiers pourrait entraîner des diffi cultés de recrutement. Ces problèmes s’aggraveront pour les métiers les moins attractifs et s’atténueront dans les entreprises susceptibles d’offrir des perspectives de carrière. La hausse du nombre de postes à pourvoir ne se traduira par une baisse du chômage que si des mesures actives d’accompagnement des entreprises et des personnes sont mises en place. [Résumé d’auteur]

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/PIPS_-_50.1_les_Metiers_horizon_2015.pdf

LES MÉTIERS EN 2015,

L’IMPACT DU DÉPART DES GÉNÉRATIONS

DU BABY-BOOM. DARES,

Commissariat général du plan,

Premières synthèses, n° 50.1,

décembre 2005.

F

En 2002, les métiers du tourisme et des transports comptaient près de 1,8 million d’actifs, en augmentation de 13,4 % par rapport à 1997. Près de 130 000 emplois ont été créés sur la période dans les seuls métiers de la « logistique » au sens de la présente note. L’évolution de l’emploi dans ces métiers a été inégale selon les régions. Entre 1990 et 1999, l’effectif de salariés âgés a progressé de 4,3 %. Le grand nombre de départs en retraite de la génération de l’après-guerre et l’ampleur de la demande pour des métiers très qualifi és devraient entraîner des besoins de recrutement importants de cadres des transports à l’horizon 2010. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS152-37-46_cle6fe12d.pdf

L’EMPLOI DANS LES MÉTIERS

DU TOURISME, DES TRANSPORTS ET DE LA LOGISTIQUE :

ÉTAT DES LIEUX ET PROSPECTIVE.

Christian Calzada, Guillaumette Abadie.

Notes de synthèse du SES n° 152,

mars-avril 2004.

F

Page 65: La formation et les métiers du transport et de la logistique

63

2. Les métiers du transport et de la logistique

Cette étude de quelques métiers non qualifi és doit permettre de mieux comprendre « l’usage » que font les individus de ce type d’emploi dans la construction de leur carrière professionnelle. Les métiers de manutentionnaire et d’ouvrier non qualifi é des services d’exploitation des transports sont notamment étudiés.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_travail-non-qualifi e.pdf

LE TRAVAIL NON QUALIFIÉ :

ENJEUX ÉCONOMIQUES ET

SOCIAUX D’UNE CATÉGORIE

STATISTIQUE. LIRHE, juillet 2003.

F

[Extrait] Par domaine professionnel, les évolutions les plus dynamiques s’observeraient dans les études et la recherche (+ 66 % soit 170 000 emplois créés) et dans l’informatique (+ 53 % soit 204 000 emplois créés). Les créations d’emplois dans les domaines professionnels directement liés aux TIC seraient donc importantes. Toutefois, en évolution absolue, les créations d’emplois seraient nettement plus importantes dans les services aux particuliers, la gestion et l’administration, le commerce, le tourisme et le transport.

http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/034000182/0000.pdf

La nomenclature utilisée est celle des Familles professionnelles (FAP) de la DARES.

[Extrait p. 92] Le commerce, l’hôtellerie-restauration et les transports connaîtront, à un niveau moindre, la même situation de croissance de l’emploi et de confrontation à de forts départs en retraite. (…) Dans les transports, on pourrait rencontrer des problèmes pour des métiers connaissant des diffi cultés de recrutement et ayant des problèmes d’attractivité (chauffeurs routiers).

http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/024000617/0000.pdf

LES MÉTIERS FACE AUX

TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION.

Michel Gollac, Christine Afriat,

Jean-François Loué. Commissariat

général du plan, La Documentation

française, 2003.

2005 : LE CHOC

DÉMOGRAPHIQUE, DÉFI POUR

LES PROFESSIONS, LES BRANCHES ET LES TERRITOIRES.

Commissariat général du plan,

La Documentation française, 2002.

F

F

Page 66: La formation et les métiers du transport et de la logistique

64

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les études sur le transport

Ce bilan fournit des données et analyses sur la situation économique du secteur des transports routiers de marchandises et sur l’évolution des emplois, du marché du travail, de la durée du travail des conducteurs routiers, des revenus des salariés, de la formation, des accidents du travail et sur la route.

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/20090401_BS_TRM_2009_integral_V2_cle7b81e1.pdf

Depuis 1999, l’effectif salarié du TRV augmente constamment. En 2007, il progresse de 2,5 %. Le TRV ne cesse de se féminiser : en 2006, un salarié sur quatre est une femme contre un sur cinq huit ans plus tôt. L’année 2007 est caractérisée par une augmentation de l’indicateur des tensions sur le marché du travail des conducteurs de transport en commun qui confi rme des diffi cultés de recrutement. Si la formation des conducteurs routiers de voyageurs s’est fortement développée depuis l’accord de branche conclu le 7 décembre 1999, le taux d’accès à la formation continue dans le transport routier de voyageurs est plutôt faible : 38 %, contre 50,8 % pour l’ensemble des transports terrestres.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/20080904___BS_TRV_2008_cle77f41a.pdf

BILAN SOCIAL ANNUEL DU TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES. Commissariat

général au développement

durable, MEEDDAT, Collection RéférenceS,

février 2009.

BILAN SOCIAL DU TRANSPORT

ROUTIER DE VOYAGEURS (TRV)

2006-2007. Observatoire social

des transports, 2008.

F

F

Page 67: La formation et les métiers du transport et de la logistique

65

2. Les métiers du transport et de la logistique

Cette vingtième édition du tableau de bord regroupe les données nationales et quelques données régionales sur les thèmes suivants : le contexte écono-mique, les établissements, les effectifs, la démographie, les mouvements de main-d’œuvre, l’intérim, le marché du travail, la formation, l’insertion profes-sionnelle et la prospective à 5 ans.

http://www.aft-iftim.com/Rubrique Publications => Observatoire prospectif => Tableaux de bord de l’emploi

TABLEAU DE BORD

NATIONAL 2007 DE L’EMPLOI ET

DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS ET LES

ACTIVITÉS AUXILIAIRES DE TRANSPORT.

Observatoire prospectif des métiers

et des qualifi cations dans les transports et la logistique (OPTL), 2008.

F

[Extrait] Le développement de l’emploi français dans les transports passe donc par la valorisation de ces métiers et notamment des métiers mobiles. Ce doit être une préoccupation majeure des partenaires sociaux.

Les pouvoirs publics devront également apporter leur concours. Les transports sont en effet au cœur des enjeux stratégiques pour la Nation tant en termes de développement et de compétitivité économique qu’au regard des conclusions du « Grenelle de l’environnement ».

http://www.cnt.fr/Rubrique Avis et rapports => Tous les rapports

L’ÉVOLUTION SOCIALE DANS

LES TRANSPORTS TERRESTRE,

MARITIME ET AÉRIEN EN 2006 : PREMIÈRES

DONNÉES 2007. Conseil national

des transports, 2008.

F

Page 68: La formation et les métiers du transport et de la logistique

66

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Le rapport constitue la synthèse des différentes réfl exions menées dans le cadre de la mission « transport routier de marchandises ». Il a été rédigé par le président de la mission, Claude Abraham, sous sa seule responsabilité, avec le concours du coordonnateur général et du rapporteur général, à la lumière des rapports des quatre groupes de travail, et des débats auxquels a donné lieu l’analyse des conclusions.

http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_synthese20juin08.pdf

Développement, compétitivité, et emploi, présidé par Maurice Bernadethttp://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/Rapport_fi nal_Bernadet-24-4-2008.pdf

Les relations et les évolutions sociales, présidé par Georges Dobiashttp://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/rapport_fi nal-dobias-18-04-2008.pdf

POUR UNE RÉGULATION DURABLE DU TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES : RAPPORT DE

SYNTHÈSE. Conseil d’analyse

stratégique, avril 2008.

F

La section permanente du CNT avait rappelé, dans son avis du 5 février 2008, que face aux tensions sur le marché du travail, le développement de l’emploi dans les transports passait par la valorisation des métiers et notamment des métiers mobiles. Le colloque du 2 juillet 2008 a permis, à partir de l’exemple du fret, d’approfondir les réfl exions sur cette question essentielle pour les différents secteurs du transport. Les débats se sont articulés autour de deux tables rondes : la première était consacrée aux diffi cultés de recrutement et la seconde a permis de présenter des pratiques innovantes dans la branche des transports mais aussi dans d’autres secteurs d’activité.

http://www.cnt.fr/Rubrique Dossiers => Tous les dossiers

COLLOQUE « LES TRANSPORTS :

DES MÉTIERS ATTRACTIFS ? »

CNT, 2008.

F

Page 69: La formation et les métiers du transport et de la logistique

67

2. Les métiers du transport et de la logistique

Dans le transport routier de marchandises, les préoccupations organisa-tionnelles ont chassé les spécifi cités d’une culture de métier. Le chauffeur, d’ouvrier porteur de savoirs, de fonctions commerciales et d’une autonomie opérationnelle, est devenu un agent de véhiculage. Le recentrage sur cette fonction s’est obtenu par la décomposition du procès de transport et la segmentation de l’espace géographique. Normalisation, codifi cation et contrôle forment les nouvelles caractéristiques d’un usage discipliné des trois espaces dans lesquels s’effectue le travail : espace géographique, cabine du véhicule et entreprise. Les chauffeurs n’ont alors plus l’occasion de se rencontrer, d’où le sentiment de dépersonnalisation de l’espace et une individualisation des relations de travail. [Résumé d’auteur]

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/Desfontaines.pdf

LE TRAVAIL DES CHAUFFEURS

ROUTIERS DE MARCHANDISES.

Hélène Desfontaines, Travail et emploi, n° 104,

octobre-décembre 2005.

F

Plus du quart du transport de marchandises sur le territoire national français est réalisé par des conducteurs de poids lourds immatriculés sous pavillon étranger. Ils y effectuent du transit, du transport international avec les partenaires commerciaux de la France, et plus rarement du cabotage(13)

(transport intérieur). En 2004, ces conducteurs sont généralement de même nationalité que celle de leur entreprise. Ancien dans le métier, le conducteur type travaille le plus souvent dans une entreprise de plus de 10 salariés. En transit près d’une fois sur deux et en cabotage une fois sur dix, il parcourt 670 kilomètres par jour et passe deux nuits sur trois hors de son domicile. Il déclare travailler 58 heures par semaine et consacre 83 % de son temps à la conduite. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS159-3-10_cle71e653.pdf

LES CONDUCTEURS

DE POIDS LOURDS ÉTRANGERS EN FRANCE :

DES CONDITIONS DE TRAVAIL

CONTRASTÉES ENTRE L’EUROPE DU NORD

ET L’EUROPE DU SUD. Agnès d’Autume,

Notes de synthèse du SES n° 159, 2005.

F

13. Cabotage : cf. défi nition page 10.

Page 70: La formation et les métiers du transport et de la logistique

68

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les études sur la logistique

Synthèse de l’enquête logistique 2008-2009 portant sur la conjoncture, l’évolution des stratégies et organisations logistiques, la gestion des emplois et des recrutements, les politiques de qualifi cation, et enfi n les besoins en formation.

http://www.aft-iftim.com/Rubrique Publications => Études et enquêtes => Diagnostic emplois et qualifi cations

15E ENQUÊTE ANNUELLE SUR

LES BESOINS EN EMPLOIS ET EN

FORMATIONS DANS LA LOGISTIQUE.

AFT-IFTIM, février 2009.

F

Cette analyse transversale et multisectorielle prend en compte les métiers de la logistique et du transport routier de marchandises, partout où ils se trouvent. En dissociant clairement la fonction transport, cette étude précise les caractéristiques propres de l’emploi dans la fonction logistique qu’elle limite toutefois aux activités d’entreposage et aux services associés.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/SESP_EN_BREF_16_ecran_cle636f3c.pdf

L’EMPLOI DANS LA FONCTION

LOGISTIQUE EN FRANCE.

Ministère des transports, de

l’équipement, du tourisme et de la mer,

SESP, En bref, n° 16, mars 2007.

F

Depuis 1994, l’emploi dans les métiers de la logistique croît plus fortement que dans l’ensemble de l’économie : en janvier 1999, ces métiers regroupent 754 000 emplois, soit 100 000 postes supplémentaires en cinq ans. Cette croissance profi te principalement à trois professions : les manutentionnaires, les conducteurs de chariot élévateur et les ouvriers du tri et de l’emballage, métiers jeunes et masculins. Ces salariés bénéfi cient majoritairement de contrats à durée indéterminée mais, au cours des années 1990, les missions d’intérim y ont plus fortement progressé que dans le reste de l’économie. Même si la logistique est transversale à de nombreux secteurs, la moitié de ces professionnels est concentrée dans le commerce, les transports et les industries agricoles et alimentaires. [Résumé d’auteur]

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2001.01-02.1.pdf

LA LOGISTIQUE : UN DOMAINE

EN EXPANSION. Sylvie Hamon-Cholet,

Agnès Lerenard. DARES,

Premières informations, premières synthèses, n° 02.1, janvier 2001.

F

Page 71: La formation et les métiers du transport et de la logistique

69

2. Les métiers du transport et de la logistique

Les études compétences et gestion des ressources humaines

Cette étude prospective porte sur la prise en compte des compétences dites transversales, compétences qui peuvent être transférées d’un secteur d’activité à l’autre et constituer ainsi un facteur de mobilité professionnelle, en réponse aux évolutions du marché du travail. La première partie apporte des défi nitions de la compétence et de la mobilité professionnelle. La deuxième partie se penche sur les réfl exions menées par différents acteurs, institutionnels, branches et entreprises, sur cette problématique, qu’il s’agisse de la mobilité ou de la notion de compétences et de transversalité. [Résumé d’auteur]

http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/064000527/0000.pdf

MOBILITÉS PROFESSIONNELLES

ET COMPÉTENCES TRANSVERSALES :

RAPPORT DU GROUPE PROSPECTIVE

DES MÉTIERS ET QUALIFICATIONS.

Centre d’analyse stratégique,

Christine Afriat, Catherine Gay, Florence Loisil.

La Documentation française, 2006.

F

Dans une première partie sont abordées les évolutions transversales aux différents modes de transport et dans une seconde partie, la situation propre à chaque mode est développée.

http://www.cnt.fr/UserFiles/File/rapports/Mutations_des_metiers_du_transport.pdf

MUTATIONS DES MÉTIERS

DU TRANSPORT, PROBLÈMES

D’EMPLOI ET ADAPTATION

DES DISPOSITIFS D’INSERTION ET DE FORMATION.

Régis Blatter, 2002.

F

Page 72: La formation et les métiers du transport et de la logistique

70

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

La recherche s’est focalisée sur les réactions des routiers eux-mêmes par rapport à ces évolutions. L’entrée est qualitative et psychosociologique.

Les résultats obtenus montrent que les entreprises du Transport routier de marchandises (TRM) ont engagé une révolution technique et organisationnelle peu perçue de l’extérieur. Devant l’effet déstabilisateur de nombreux facteurs externes aux entreprises, le secteur professionnel, et donc le métier des conducteurs, va devoir affronter une nouvelle étape : l’harmonisation euro-péenne, une accélération de la compétition internationale, une évolution lente avec les chargeurs et les transformations imposées par les NTIC.

http://www.brunhes.com/etudes/pdf/Demain_Les_Routiers.pdf

DEMAIN, LES ROUTIERS :

L’IMPACT DES MUTATIONS

ÉCONOMIQUES ET COMMERCIALES,

TECHNIQUES, ORGANISATIONNELLES

ET SOCIALES SUR LES MÉTIERS DES

CONDUCTEURS DU TRM ; UNE ÉTUDE

PROSPECTIVE. Jean-François Revah, Pierre Monnin, 2001.

F

Ce texte a pour but de rappeler quelques éléments du débat auquel donne lieu le développement de l’industrie du transport. Il synthétise les principaux résultats de recherches entreprises à partir de la moitié des années 1970. Ces recherches portaient sur leurs conditions de travail, donc de production et de circulation sur le territoire public qu’est la route.

http://hesa.etui-rehs.org/uk/newsevents/fi les/hamelin-fr.pdf

LA DURÉE DE TRAVAIL DES CONDUCTEURS

PROFESSIONNELS COMME ENJEU DE

LA FLEXIBILITÉ ET DE LA COMPÉTITIVITÉ DES TRANSPORTS

ROUTIERS DE MARCHANDISES

ET DE VOYAGEURS : RAPPORT

D’INTRODUCTION.INRETS,

Patrick Hamelin, 2000.

F

Page 73: La formation et les métiers du transport et de la logistique

71

2. Les métiers du transport et de la logistique

Ce projet est consacré à l’étude de l’emploi de conducteur urbain dans six États membres : Allemagne, France, Italie, Pays-Bas, Pologne et Royaume-Uni. Les résultats de ce travail portent sur la comparaison des situations des conducteurs dans les différents pays, sur l’évolution des compétences dans le transport urbain de voyageurs et sur les pratiques innovantes des entreprises et acteurs du transport urbain en matière de gestion des ressources humaines et notamment de formation.

http://www.ctue-project.org

LE PROJET CTUE :

CONDUCTEUR DE TRANSPORTS

URBAINS EN EUROPE.

F

Ce projet avait cinq objectifs : apporter des informations et des outils au comité sectoriel des transports ainsi qu’aux acteurs nationaux ; favoriser l’émergence d’un point de vue commun et partagé concernant les emplois liés à la logistique ; apporter une plus grande visibilité à ces emplois et mieux comprendre les formations proposées ; identifi er les politiques nationales et relier entre elles les différentes initiatives par l’intermédiaire des acteurs clés ; participer au développement de l’offre en formations.

http://www.novalog-project.org

NOVALOG – PublicationsCette page permet d’accéder à trois rapports rédigés dans le cadre du projet :• Les Emplois Logistiques en Europe : politiques nationales et tendances

communes ;• Les pratiques innovantes dans les domaines de l’emploi et de la formation ;• À la charnière de l’emploi et de la formation, l’élaboration des cadres

communs de compétences.

http://www.novalog-project.org/french/public/rapport.html

NOVALOG : NOUVELLES

COMPÉTENCES ET INNOVATIONS

DANS LA LOGISTIQUE.

F

Page 74: La formation et les métiers du transport et de la logistique

72

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Cet ouvrage présente de façon synthétique la méthode et les résultats du projet NOVALOG consacré à l’évolution des emplois et des formations en Europe, qui s’inscrit dans le cadre du programme européen Léonard de Vinci.

http://www.novalog-project.org/french/public/pdf/handbook_fr.pdf

EMPLOI ET FORMATION EN

LOGISTIQUE : RÉALITÉS

NATIONALES ET APPROCHE EUROPÉENNE.

F

Le secteur des transports routiers de marchandises vit depuis quelques années de profondes transformations. Ces mutations infl uent sur les compétences requises par les entreprises du secteur. Il en est ainsi du métier de conducteur – le plus important –, de la fonction exploitation, ainsi que des fonctions que l’on pourrait qualifi er de tertiaires parmi lesquelles fi gure l’activité commerciale. Ce projet vise à appréhender l’infl uence de ces transformations sur ces trois métiers/fonctions clés, et de proposer différents dispositifs et outils visant le développement des compétences qu’ils appellent. Il s’appuie pour ce faire sur un partenariat impliquant les acteurs-clés engagés dans la défi nition d’une politique de formation professionnelle (entreprises, partenaires sociaux, organismes de formation spécifi ques au transport). [Résumé d’auteur]

http://www.innotrans.org

LE PROJET INNOTRANS :

NOUVELLES COMPÉTENCES ET

INNOVATIONS DANS LE TRANSPORT

ROUTIER DE MARCHANDISES.

F

Page 75: La formation et les métiers du transport et de la logistique

73

2. Les métiers du transport et de la logistique

Les études régionales sur le transport et la logistique

Ce document aborde le thème de l’évolution de l’emploi et du chômage dans les métiers en Ile-de-France, des années 1990 au milieu des années 2000. Il présente en premier lieu les grandes évolutions passées de l’emploi par métier en Ile-de-France, et montre en quoi ces tendances suivent le mouvement national ou au contraire divergent, en cherchant à donner des éléments d’explication à ces différences. Ce travail est complété par une analyse du marché du travail propre à chaque métier ou ensemble de métiers proches, sous l’angle des évolutions de la demande d’emploi et des rapports entre l’offre et de la demande d’emploi (taux de tension).

http://www.oref-idf.org/docs/pub_ga/grand_angle_2-1.pdf

LES MÉTIERS EN ILE-DE-FRANCE : EMPLOI, CHÔMAGE

ET TENSIONS SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL

DEPUIS 1990. Frédéric Lainé.

OREF Ile-de-France, Grand angle, n° 2, 2008.

F

Les portraits de métiers dressent un portrait statistique et proposent un commentaire de synthèse de chaque métier du transport et de la logistique en Ile-de-France, en utilisant la nomenclature des familles professionnelles de l’OREF Ile-de-France, adaptée de celle de la DARES. Ces portraits comportent plusieurs volets : emploi, âge et formation dans l’emploi, forma-tion initiale, formation continue, insertion des jeunes, mobilité et marché du travail, chômage, localisation de l’offre et de la demande d’emploi.

http://www.oref-idf.org/Rubrique Métiers => Portraits de métiers

PORTRAITS DE MÉTIERS.

LES MÉTIERS DU TRANSPORT ET DE

LA LOGISTIQUE. OREF Ile-de-France,

avril 2009.

F

Page 76: La formation et les métiers du transport et de la logistique

74

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Cette analyse doit permettre aux entreprises de mieux défi nir leur politique de formation, aux salariés de mieux élaborer leurs projets professionnels, aux membres de la CNPE de faire des recommandations sur les priorités de formation professionnelle visant à prévenir toute diffi culté rencontrée sur le marché de l’emploi.

http://www.aft-iftim.com/Rubrique Infos secteur => Publications => Observatoire prospectif => Tableaux de bord de l’emploi

Ce document propose des informations statistiques reposant sur une enquête annuelle auprès des entreprises. Les données portent sur les établissements, les effectifs salariés, l’emploi et la formation.

http://espaceprojets.iledefrance.fr/Rubrique Projets => Projets => EGF => Contributions reçues => Contributions au Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles (PRDFP)

ÉVOLUTION DE L’EMPLOI ET DE LA

FORMATION DANS LES TRANSPORTS

ROUTIERS ET LES ACTIVITÉS

AUXILIAIRES DU TRANSPORT –

ILE-DE-FRANCE. Observatoire

prospectif des métiers et

des qualifi cations dans les transports

et la logistique (OPTL), 2007.

TABLEAU DE BORD

RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA

FORMATION PROFESSIONNELLE

DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS ET

LES ACTIVITÉS AUXILIAIRES DU

TRANSPORT : RÉGION ILE-DE-FRANCE.

AFT-IFTIM, OPTL, 2005.

F

F

Page 77: La formation et les métiers du transport et de la logistique

75

2. Les métiers du transport et de la logistique

Dans ce numéro, un article est consacré aux tensions dans les métiers du transport.

[Extrait] Le diagnostic d’un niveau de tension élevé dans les métiers du transport doit être nuancé, notamment eu égard à leur niveau de qualifi cation requis. Ainsi, chez les cadres des transports et navigants de l’aviation, les indicateurs habituellement retenus pour évaluer les tensions sur le marché du travail soulignent une absence de tension. C’est le cas également, dans une moindre mesure, pour les agents administratifs et commerciaux du tourisme.

En revanche, des niveaux de tension particulièrement élevés sont observés chez les agents d’exploitation des transports et les conducteurs de véhicules. (…) Les conducteurs de véhicules, qui concentrent, à fi n septembre 2007, 67,5 % des demandeurs d’emploi de métiers du transport, affi chent également un niveau de tension élevé. Particulièrement observé chez les conducteurs de transport de marchandises, cela n’est en revanche pas le cas des conducteurs-livreurs.

http://www.oref-idf.org/docs/etudes/bref_40.pdf

BREF ILE-DE-FRANCE,

BULLETIN MENSUEL D’INFORMATIONS

SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL.

DRTEFP Ile-de-France, n° 40, novembre 2007.

F

L’Ile-de-France sera confrontée à une accélération des départs en fi n de carrière mais le nombre de postes à pourvoir dépendra aussi des évolutions d’emploi. Entre 100 000 et 500 000 emplois pourraient être créés dans la région, les cadres et les employés peu qualifi és devraient être les principaux bénéfi ciaires. La proportion de postes à pourvoir sera importante dans les métiers de cadres, le personnel de santé ou de services à la personne ou encore les ouvriers qualifi és, de la manutention ou les employés des transports. Les tensions sur le marché du travail pour les métiers les plus qualifi és, qui étaient jusqu’à présent fortement alimentés par des jeunes originaires de province, pourraient être avivées. L’alimentation des emplois les moins qualifi és dépendra notamment de l’évolution des migrations internationales et des disparités entre lieux d’habitat et lieux de travail. [Résumé d’auteur].

http://www.oref-idf.org/docs/pub_focale/focale_5.pdf

LES BESOINS DE RECRUTEMENT EN ILE-DE-FRANCE À L’HORIZON 2015. Frédéric Lainé. OREF,

Bouchra Niny. Focale n° 5,

mai 2007.

F

Page 78: La formation et les métiers du transport et de la logistique

76

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Cette synthèse sur l’articulation entre métiers et secteurs explique la distinction entre les deux notions de « secteur d’activité » et de « métier ». La matrice montre, par exemple, de manière pédagogique, comment un même métier peut être exercé dans plusieurs secteurs d’activité et a contrario, qu’un secteur d’activité particulier peut fournir des opportunités d’emplois pour de multiples métiers.

http://www.oref-idf.org/docs/pub_focale/focale_2.pdf

LA MATRICE MÉTIERS-SECTEURS EN ILE-DE-FRANCE.

Bouchra Niny. OREF Ile-de-France,

Focale n° 2, août 2006.

F

Cet ouvrage présente des données franciliennes caractérisant chaque famille professionnelle. Il informe également sur les métiers et les secteurs d’activité, les conditions de travail (durée du travail, salaire) et les perspectives d’embauche.

LES MÉTIERS DE DEMAIN

EN ILE-DE-FRANCE. ONISEP, Alternatives

économiques, Conseil régional

Ile-de-France, 2005.

F

Cette étude de fi lière porte sur l’évolution de l’offre de formation en Ile-de-France, sur celle des différents débouchés, sur les tendances du marché du travail, etc. Cette étude comporte par ailleurs des approfondissements sur le marché du travail et la localisation des emplois.

http://lycees.iledefrance.fr/Rubrique Offre de formation => Relations Formation-Emploi

RAPPORT FINAL DE L’ÉTUDE

DE FILIÈRE SUR L’ÉVOLUTION DU

SYSTÈME EMPLOI – FORMATION.

Filière des formations aux

métiers du Transport et de la Logistique

en Ile-de-France. IAURIF, mars 2004.

F

Page 79: La formation et les métiers du transport et de la logistique

77

2. Les métiers du transport et de la logistique

Ce rapport propose des données détaillées sur les caractéristiques des entreprises de la branche, son poids dans l’économie française, l’environ-nement social et réglementaire, le marché du travail et notamment l’insertion des jeunes, l’offre de formation, des éléments de réfl exion prospective et enfi n des propositions relatives à l’offre de formation.

http://www.emploi-formation.ac-versailles.fr/article.php3?id_article=97

RAPPORT INTERACADÉMIQUE

ILE-DE-FRANCE RELATIF AUX

DOMAINES DES TRANSPORTS ET

DE LA LOGISTIQUE. Thérèse Brodu,

Alain Caillat, Martine Goutte,

2001.

F

Le CEP de la branche transport et logistique en Rhône-Alpes vise à mieux cerner les déterminants de la relation emploi-formation et à proposer une vision prospective. Ainsi, le rapport propose un diagnostic tant quantitatif que qualitatif des évolutions de l’ensemble des métiers de la branche, une analyse de la façon dont est organisée la gestion des ressources humaines et des solutions pour mieux maîtriser les fl ux d’entrée dans un contexte de diffi cultés de recrutement.

http://www.prao.org/Rubrique Les études => Analyses sectorielles => Au niveau régional

CONTRAT D’ÉTUDES

PROSPECTIVES (CEP) TRANSPORTS

ROUTIERS. PRAO, 2003.

F

Pour en savoir plus (hors Ile-de-France)

Ce document propose un portrait statistique de métiers. Il utilise le concept des Familles professionnelles (FAP) qui permet le rapprochement des sources statistiques de la formation, de l’emploi et du chômage. Chacun des 32 domai-nes (regroupement par FAP) fait l’objet d’une fi che d’informations statistiques. Les thèmes abordés dans les fi ches « métiers » sont l’emploi et le marché du travail, la formation et la première entrée sur le marché du travail.

http://www.errefom.info/etudes/docsPdfs/pfm.pdf

PORTRAITS DE FAMILLES DE MÉTIERS.

ERREFOM, pp. 90-99, non daté.

F

Page 80: La formation et les métiers du transport et de la logistique

78

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Cette note technique a pour objectif d’apporter quelques données de cadrage et des éléments pouvant alimenter la réfl exion lors de la réunion du groupe témoin. Ces éléments sont issus de l’analyse croisée de documents référencés dans le dossier documentaire et des chiffres de la planche ARGOS. Ils n’ont pas pour but de dresser un état des lieux complet de ce GFE, car celui-ci est également construit à partir des éléments qualitatifs recueillis dans le cadre des groupes témoins.

http://www.gref-bretagne.com/Rubrique Observer … La relation emploi-formation => Emplois et métiers en Bretagne => La démarche ARGOS

DIAGNOSTIC GROUPE

FORMATION EMPLOI GFE N° 13

« TRANSPORT-CONDUITE,

MANUTENTION, MAGASINAGE ».

GREF Bretagne, mars 2006.

F

Ce cahier résulte de la mise en place de la démarche ARGOS en Poitou-Charentes. Il est organisé en quatre parties : synthèse du diagnostic, analyse suite au groupe témoin, chiffres clés, annexes. Il a été rédigé suite au groupe témoin qui s’est déroulé le 5 juillet 2005 et d’entretiens complémentaires qui ont permis de valider et d’enrichir le travail d’analyse.

ftp://portail.carif.org/ftpcarif/oref/gfe/docu/cahier/GFE13.pdf

CAHIER DU GFE 13

« TRANSPORT-CONDUITE,

MANUTENTION, MAGASINAGE ».

CARIF Poitou-Charentes,

2006.

F

Page 81: La formation et les métiers du transport et de la logistique

79

2. Les métiers du transport et de la logistique

Il est nécessaire de rappeler ici que la plupart des fédérations listées dans le premier chapitre fournissent des informations (présentation, chiffres clés, etc.) sur les métiers de leur fi lière.

Par ailleurs, de plus en plus de sites Internet proposent des fi ches de présentation des métiers. Tout d’abord, nous présenterons les sites de promotion des métiers des fédérations professionnelles, puis les sites des institutions publiques, tel Pôle emploi (ex-ANPE) et les organismes portant l’Accueil information orientation (AIO).

Trace ton chemin n http://www.aft-iftim-tracetonchemin.com/

Airemploi espace orientation n Ce site permet au grand public de s’informer et/ou s’orienter vers les métiers du transport

aérien et de l’industrie aéronautique et spatiale.

http://www.airemploi.org/

Transport espace orientation (TEO) n L’Organisation des transporteurs routiers européens (OTRE) alimente un site d’information

des métiers du transport. Ce site est destiné à toutes personnes souhaitant obtenir des renseignements sur l’ensemble des métiers du transport, des formations possibles, des centres de formations et adresses utiles.

http://www.transports-espace-orientation.com/

Le contenu des métiers

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80

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Fiches métiers de Pôle emploi n Il est possible de consulter l’intégralité des fi ches métiers du ROME sur le

site de Pôle emploi :

http://www.anpe.fr/espacecandidat/romeligne/RliIndex.do

Voici quelques métiers liés au transport, à la logistique et au tourisme (cette liste n’est pas exhaustive) :

12242 Technicien confi rmé/technicienne confi rmée forfait (tourisme)23131 Animateur/Animatrice généraliste de loisirs43111 Ambulancier/ambulancière43112 Chauffeur de ligne43211 Conducteur/conductrice d’engins de chantier43414 Coordonnateur/coordonnatrice d’escale61312 Agent d’exploitation des transports61321 Commandant/commandante de bord

Voici un exemple de fi che métier :

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2. Les métiers du transport et de la logistique

61312 - Responsable d’exploitation des transports routiers de marchandises

Défi nition de l’emploi/métier :

Organise et contrôle l’acheminement des marchandises (ramassage, livraison) dans une perspective de rentabilité du transport. Coordonne l’activité des agents de conduite et gère le parc automobile. Surveille l’état du matériel. Exerce des fonctions d’encadrement.

Conditions générales d’exercice de l’emploi/métier :

L’emploi/métier s’exerce dans un bureau, dans les services d’exploitation des entreprises en contact avec la clientèle, les commissionnaires, les fournisseurs. Le rythme de travail exige une disponibilité adaptée aux impératifs de la situation. L’utilisation des outils informatiques est progressivement indispensable.

Formation et expérience :

Cet emploi/métier est accessible à partir d’une formation de niveau V (BEP) assortie d’une expérience professionnelle de plusieurs années dans l’exploitation des transports. On constate toutefois que le recrutement s’effectue de plus en plus au niveau IV (Bac professionnel exploitation des transports ou BT transport), voire même au niveau III (Bac + 2). L’emploi/métier est également accessible par la voie de la formation continue.

Compétences techniques de base :

- Organiser et contrôler les tournées des agents (temps, matériel, durée, marchandises).- Contrôler l’acheminement des marchandises.- Veiller à la productivité du transport.- Surveiller l’état du matériel (entretien, réparations).- Faire respecter les consignes de sécurité liées à la manutention des charges et au transport

de marchandises.

Compétences associées :

- Maîtriser une ou plusieurs langues étrangères.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Capacités liées à l’emploi :

L’emploi/métier requiert d’être capable de : - Entretenir des contacts permanents avec différents prestataires.- Prendre des décisions rapides.

Activités spécifi ques :

Activités exercées :- Négociation des conditions fi nancières du transport avec le client.- Études spécifi ques d’exploitation.- Bilan d’activité.- Gestion administrative du personnel.

Types d’attestations :- Attestation de capacité de transporteur.

Langues étrangères :- Anglais.- Allemand.- Autres.

Lieu d’exercice de l’activité :- Petite entreprise.- Moyenne entreprise.- Grande entreprise.

Conditions de travail :- Déplacements.

Page 85: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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2. Les métiers du transport et de la logistique

L’Accueil information orientation (AIO)

L’AIO est un champ, aujourd’hui, en construction, dont le périmètre n’est pas défi ni. (…) Les prestations d’AIO sont offertes par des acteurs divers : les Centre d’information et d’orientation (CIO), le Réseau information jeunesse (RIJ), Pôle emploi, les Service d’orientation professionnelle (SOP) de l’Association nationale pour la formation professionnelle des adultes (AFPA), les Missions locales, les Chambres consulaires, les Cap emploi, l’Association pour l’emploi des cadres (APEC), l’Association pour l’emploi des cadres, ingénieurs et techniciens de l’agriculture et de l’agroalimentaire (APECITA), le Fonds de gestion du congé individuel de formation (FONGECIF), les Centres interinstitutionnels de bilans de compétences (CIBC), les Points relais conseil pour la Validation des acquis de l’expérience (VAE), le Centre national d’information sur les droits des femmes et des familles (CNIDFF), l’Association pour faciliter l’insertion professionnelle des jeunes diplômés (AFIJ), les branches professionnelles…(14)

Nous avons choisi de ne proposer que quelques sites à destination des jeunes. Les organismes ou sites présentés ci-dessous renseignent à la fois sur les métiers et les formations.

14. État des lieux de l’offre de services AIO et propositions en vue d’une meilleure coordination régionale. Conseil régional Ile-de-France, Opus 3, mars 2009. Non disponible en ligne.

Page 86: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

lesmetiers.net n Créé à l’initiative du Conseil régional d’Ile-de-France, en partenariat avec

le Réseau régional des métiers, lesmetiers.net est un site Internet de service public destiné aux 12/25 ans. Il facilite leurs choix d’orientation scolaire et professionnelle par une information sur les métiers et les formations en Ile-de-France.

Porteur du projet depuis 2002, le CAPARIF a pris en charge sa conception puis son animation jusqu’en 2004. Cette mission d’animation est désormais assurée par le GIP CARIF Ile-de-France. L’ONISEP met à disposition les données relatives aux formations.

Voici quelques métiers disposant d’une fi che de présentation sur lesmétiers.net, ainsi que d’une vidéo :

- Agent de contrôle RATP- Agent de transit- Agent d’escale- Chef d’agence dans le transport- Conducteur routier- Déclarant en douane- Directeur d’offi ce de tourisme- Hôtesse de l’air- Logisticien- Pilote de ligne

http://www.lesmetiers.net

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2. Les métiers du transport et de la logistique

CIDJ : Fiches métiers n Présentation des métiers par fi lière. On trouvera notamment les métiers d’affréteur, agent

ou chef d’escale, agent de contrôle des transports, agent de maintenance des caténaires, agent de manœuvre de réseau ferré, ambulancier, commissaire de bord, conducteur d’autobus, de taxi, de train, conducteur routier, contrôleur aérien, convoyeur de fonds, coursier, déménageur, dispatcheur, emballeur, employé de groupage, hôtesse de l’air, instructeur du permis de conduire, litigeur transport, magasinier, manutentionnaire cariste, opérateur de maintenance voie, pilote d’avion, responsable logistique, transitaire

http://www.cidj.com/Rubrique Métiers => Accueillir – transporter

ONISEP n L’ONISEP propose des fi ches métiers dans lesquelles on trouve des informations concernant

la nature du travail, les conditions de travail, la vie professionnelle, les compétences nécessaires. Elles donnent également des renseignements sur les moyens d’accès au métier par la formation initiale.

http://www.onisep.fr/

L’ONISEP présente également des ouvrages non disponibles en ligne comme :

Cette brochure présente tous les métiers du transport et de la logistique (activités, conditions de travail, aptitudes et connaissances nécessaires, études à envisager), en détaillant les plus importants, ceux qui offrent le plus de débouchés. Les formations (BEP, Bac Pro, BTS) après la troisième sont décrits avec précision : accès, programme, durée des études. De nombreux témoignages de professionnels et d’enseignants, des chiffres-clés et des photos viennent illustrer ces descriptions.

LES MÉTIERS DU TRANSPORT

ET DE LA LOGISTIQUE.

Voie pro, Onisep, novembre 2006.

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Page 88: La formation et les métiers du transport et de la logistique

86

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

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La formation et les métiers du transport et de la logistique

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

n Si l’on considère l’ensemble des jeunes actifs exerçant les métiers du transport et de la logistique, aucune spécialité de formation ne domine. Cela résulte de la diversité des métiers exercés et du rôle important joué par les certifi cations obtenues en formation continue.

Dans les métiers ouvriers, l’accent a été mis sur la possession de permis, de certifi cations souvent obtenues en formation continue et sur l’expérience plutôt que sur le diplôme issu de la formation initiale. Au contraire, les métiers administratifs requièrent plus fréquemment des certifi cations obtenues en formation initiale.

Sur l’année scolaire 2006-2007, 1 450 jeunes sont en année terminale dans les formations préparant aux métiers du transport, manutention, magasinage par la voie scolaire ou la voie de l’apprentissage. C’est relativement peu par rapport au potentiel d’emplois, même si les effectifs sont en constante progression. Le CAP représente à lui seul un quart des élèves (19 % si l’on exclut le CAP de tri, acheminement et distribution du courrier), ce qui est beaucoup plus que dans l’ensemble des formations professionnelles et technologiques (10 %). Un autre quart est scolarisé en BEP. Le bac professionnel reste encore peu développé (15 %), avec deux spécialités : le bac pro logistique et le bac pro exploitation des transports. Le DUT représente 13 % des effectifs et le BTS 11 %.

La proportion moyenne d’apprentis est de 54 %, ce qui est largement supérieur à la moyenne régionale (18 %). Elle est beaucoup plus élevée parmi les CAP (95 %) et les formations de type bac professionnel (48 %), et plus faible parmi les BTS-DUT (23 %) et BEP (31 %). Sur la même année scolaire 2006-2007, 800 jeunes (dont 28 % d’apprentis) sont en année terminale de formations relevant du tourisme, constituées essentiellement de BTS.

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3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Les conducteurs en marchandises et voyageurs doivent suivre des formations obligatoires FIMO et FCOS(15) qui deviennent, selon les directives européennes, les FIMO et FCO (avec une durée de formation passant de 3 à 5 jours) ; d’où la nécessité d’anticipation de la part des professionnels.

D’après les plans de formation des entreprises du secteur, il convient de souligner l’importance aussi des perfectionnements à la conduite (conduite rationnelle, éco-conduite en tenant compte des exigences réglementaires et environnementales…), et des formations à l’utilisation appropriée du chronotachygraphe et aux matières dangereuses (Colis A et spécialisations).

En logistique, l’accent est mis sur les formations à la sécurité, secourisme, incendie et sur les formations aux techniques de manutention : magasinage, gestion de stock, et formations CACES(16) pour les caristes. Pour les responsables d’entreprises (responsables de PME, d’agence…) ce sont des formations à la réglementation dans le transport ou aux techniques de management (social, commercial, fi nancier et marketing) et de communication, eu égard aux évolutions législatives mais aussi techniques et technologiques.(17)

Comme précédemment, nous présenterons dans un premier temps les sources de données sur la formation et l’insertion, à la fois les bases de données à visée statistique et les bases de données informatives, puis nous nous pencherons sur les études et rapports récents sur la formation, mais également sur l’insertion des jeunes, au plan national et régional. Enfi n, nous présenterons deux exemples de fi ches de formation.

15. La Formation initiale minimale obligatoire (FIMO) est une attestation obligatoire pour les personnes débutant dans le transport de marchandises ou de voyageurs avec des véhicules de plus de 3,5 tonnes. L’attestation FIMO est valable à vie et doit être complétée après 5 années par une FCOS (Formation continue obligatoire à la sécurité).

16. Certifi cat d’aptitude à la conduite en sécurité.17. OREF, Portrait de métiers. Métiers du transport et de la logistique, mars 2009.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Périmètre

Pour parler « formation » d’un point de vue statistique, on utilise la Nomenclature des spécialités de formation (NSF) dont l’usage a été rendu obligatoire dans les administrations pour la production de statistiques nationales.

Celle-ci propose deux spécialités de formation en lien avec le transport et la logistique dans les domaines technico-professionnels des services :

31 - Échanges et gestion311 - Transport, manutention, magasinage.

33 - Services aux personnes334 - Accueil, hôtellerie, tourisme.

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3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Bases de données

Les bases de données à visée statistique

Base de données locales n La base de données locales est un nouvel outil (2009) mis à disposition de tous les acteurs

franciliens ayant à réaliser des diagnostics locaux sur l’emploi et la formation, pour mettre en œuvre des plans d’action adaptés aux spécifi cités de leur territoire. Elle permet de tenir compte du contexte régional et des mobilités possibles en transports en commun. Elle a deux entrées, l’une simplifi ée (le « portrait de territoire ») et l’autre plus « experte », pour les observateurs locaux qui ont besoin d’approfondir une question à partir d’indicateurs qu’ils choisissent eux-mêmes.

http://bdl.oref-idf.org/

Refl et du Céreq n La base Refl et répertorie les diplômes de l’enseignement technique et professionnel

délivrés par les Ministères de l’éducation nationale, de l’agriculture et de la pêche, et les directions générales de l’action sociale et de la santé.

La base contient plus de 3 350 diplômes pour lesquels sont disponibles des données quantitatives comme les effectifs en dernière année de formation, les résultats aux examens… et des données qualitatives qui reposent sur un fonds documentaire alimenté par les textes réglementaires. La consultation de tableaux synthétiques sur un ensemble de séries statistiques et la constitution des généalogies graphiques (repérage de l’ancêtre de chaque diplôme) fondent l’originalité de Refl et et caractérisent sa dimension historique.

http://mimosa.cereq.fr/Refl etWeb2006/

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Exploitation des déclarations fi scales (24/83) du Céreq n L’exploitation des déclarations fi scales 24-83 est, depuis la loi fondatrice

de 1971, l’élément le plus ancien et le plus régulier dans la production statistique sur la formation professionnelle continue.

Cette source permet de fournir des indicateurs sur les dépenses des entreprises (le seuil de l’obligation légale s’élève à 1,5 % des salaires versés depuis 1993 pour les entreprises de 10 salariés et plus), le volume physique des formations et leurs principales caractéristiques : plan de formation, Congé individuel de formation (CIF), formations en alternance ; durée des formations ; coût unitaire moyen. Ils sont produits par classe de taille, selon cinq catégories socioprofessionnelles et par secteur d’activité économique.

http://www.cereq.fr/2483/2483.htm

Limites : Ces données sur l’effort de formation continue ne sont signifi catives qu’à un niveau d’activité agrégé (NAF 60). À des niveaux plus fi ns, les indicateurs sont moins fi ables. Ils doivent être considérés comme des évaluations approximatives.

http://mimosa.cereq.fr/psb/Rubrique Sources

Page 95: La formation et les métiers du transport et de la logistique

93

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Enquête emploi – INSEE n Depuis le 1er janvier 2003, l’enquête emploi est trimestrielle et sa collecte est réalisée en

continu sur toutes les semaines de chaque trimestre. Cette enquête vise à observer à la fois de manière structurelle et conjoncturelle la situation des personnes sur le marché du travail. Par ailleurs, elle apporte des informations sur les spécialités de formation suivies par les enquêtés.

http://www.insee.fr/Rubrique Publications et services => Fichiers détail => Enquête emploi en continu

Limites : Cette source très sollicitée est à manipuler avec précaution, surtout à l’échelle régionale, car c’est une enquête sur échantillon : sa fi abilité décroît sensiblement avec la fi nesse des exploitations. Elle semble néanmoins adaptée à des champs d’investigation larges, comme ceux constitués par les secteurs et sous-secteurs de la nomenclature utilisée.

http://mimosa.cereq.fr/psb/Rubrique Sources

Système d’analyse des relations emploi-formation (SAREF) n SAREF est un outil informatique rassemblant de manière homogène et pratique des

informations jusque-là éclatées (INSEE, Céreq, ASSEDIC, Ministère du travail, URSSAF…) autour du thème des relations formation-emploi. SAREF regroupe ces diverses données par famille professionnelle. Ces informations permettent de dépasser l’instant et le local en travaillant sur des effectifs généralement suffi sants pour permettre des hypothèses et des conclusions.

Cet outil, mentionné pour mémoire en raison de sa richesse, et utilisé notamment dans les rectorats, n’est plus maintenu à ce jour. Non disponible en ligne.

Page 96: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les bases de données sans visée statistique

Répertoire national des certifi cations professionnelles (RNCP)

n Le RNCP est une base de données des certifi cations à fi nalité professionnelle (titres, diplômes, certifi cats de qualifi cation professionnelle) reconnues par l’État et les partenaires sociaux, classées par domaine d’activité et/ou par niveau. Il est consultable sur le site web de la Commission nationale de la certifi cation professionnelle (CNCP).

Il permet de consulter les descriptifs des certifi cations : niveau, secteur d’activité, résumé du référentiel d’emploi (ou du référentiel professionnel) ou éléments de compétence acquis, modalités d’accès…

http://www.cncp.gouv.fr/

GIP CARIF Ile-de-France n Le GIP CARIF Ile-de-France a notamment pour mission de recenser l’offre

de formation conventionnée en Ile-de-France, c’est-à-dire fi nancée sur fonds publics. On retrouve dans sa base de données « offre de formation » les formations fi nancées et/ou mises en œuvre par le CRIF, l’AFPA, la DRTEFP, certains Conseils généraux, le Pôle emploi, etc.

http://www.carif-idf.org/

L’apprentissage en Ile-de-France n Cfarif.net permet de chercher, par secteur professionnel et par métier, des

formations en apprentissage (et les diplômes correspondants) proposées en Ile-de-France.

Cfarif.net permet également d’effectuer une recherche géographique, par département francilien, de Centres de formation d’apprentis (CFA).

http://apprentissage.iledefrance.fr/

Page 97: La formation et les métiers du transport et de la logistique

95

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Les études et rapports

Cet ouvrage annuel de référence apporte une information statistique détaillée sur tous les domaines de l’Éducation nationale : le système éducatif, les établissements, les élèves du premier degré, les élèves du second degré, les apprentis, les étudiants, la formation continue, les résultats, les diplômes et l’insertion, les personnels, les budgets, coûts et fi nancement, la recherche et développement et l’Outre-mer.

http://www.education.gouv.fr/pid316/reperes-et-references-statistiques.html

REPÈRES ET RÉFÉRENCES

STATISTIQUES SUR LES ENSEIGNEMENTS,

LA FORMATION ET LA RECHERCHE.

Ministère de l’éducation nationale.

F

Les études nationales

Depuis le début des années 1990, le Céreq a mis en place un dispositif d’enquêtes longitudinales sur les premières années de vie active. (…) En s’appuyant sur un calendrier décrivant mois par mois la situation des jeunes mais également sur des données plus précises concernant le premier emploi et l’emploi occupé au bout de trois années passées sur le marché du travail, ce dispositif permet non seulement d’analyser les trajectoires d’entrée dans la vie active mais aussi de distinguer, d’une génération à l’autre, les aspects structurels et conjoncturels de l’insertion. [Résumé d’auteur]

Les résultats des enquêtes Génération 92, 98, 2001 et 2004 sont disponibles.

http://www.cereq.fr/enquetegeneration.htm

[Extrait] 737 000 jeunes ont fait leur premier pas dans la vie active en 2004. Si 42 % d’entre eux sont diplômés de l’enseignement supérieur, 17 % ont quitté le système éducatif sans aucun diplôme. 66 % ont au moins leur baccalauréat en poche.

http://www.cereq.fr/pdf/qeesf2004.pdf

QUAND L’ÉCOLE EST FINIE…

PREMIERS PAS DANS LA VIE ACTIVE DE LA GÉNÉRATION

2004. Céreq, 2008.

F

ENQUÊTES GÉNÉRATION

DU CÉREQ

F

Page 98: La formation et les métiers du transport et de la logistique

96

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

L’ouvrage présente les résultats de l’enquête concernant les sept premières années de vie active de la Génération 98. Il traite des caractéristiques de la vie professionnelle, de la perception des jeunes quant à leurs expériences professionnelles, des événements extra-professionnels, du poids des origines socioculturelles.

http://www.cereq.fr/carriere/QCC.pdf

QUAND LA CARRIÈRE COMMENCE.

Céreq, 2007.

F

L’ouvrage présente les résultats de l’enquête concernant les trois premières années de vie active des jeunes sortis du système scolaire en 2001. Il offre de nombreux angles de vue (profi l démographique, parcours scolaire, origines socioculturelles, premier emploi, mobilités et trajectoires, situation à trois ans…).

http://www.cereq.fr/pdf/QEEF2001.pdf

QUAND L’ÉCOLE EST FINIE…

PREMIERS PAS DANS LA VIE

ACTIVE DE LA GÉNÉRATION 2001.

Céreq, 2004.

F

L’ouvrage présente les résultats de l’enquête par grand niveau de formation et grande catégorie de spécialité : le profi l de cette génération de jeunes entrés sur le marché du travail en 1998 ; les principaux événements, les temps forts de leur insertion ; les grandes trajectoires d’entrée dans la vie active ; quelques éléments d’analyse des mobilités et de leur rôle ; enfi n, la situation fi nale de la génération. Cet ouvrage a pour but d’offrir à des utilisateurs très divers une première vision, assez complète, selon ces divers angles de vue, des conditions d’entrée dans la vie active de l’ensemble d’une génération. [Résumé d’auteur]

http://www.cereq.fr/cereq/ecolefi nie/Ensemble.pdf

QUAND L’ÉCOLE EST FINIE…

PREMIERS PAS DANS LA VIE

ACTIVE DE LA GÉNÉRATION 98.

Céreq, 2001.

F

Page 99: La formation et les métiers du transport et de la logistique

97

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Ce bilan fournit des données et analyses sur la situation économique du secteur des transports routiers de marchandises et sur l’évolution des emplois, du marché du travail, de la durée du travail des conducteurs routiers, des revenus des salariés, de la formation, des accidents du travail et sur la route.

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/20090401_BS_TRM_2009_integral_V2_cle7b81e1.pdf

BILAN SOCIAL ANNUEL DU

TRANSPORT ROUTIER DE MARCHANDISES.

Commissariat général au développement durable,

MEEDDAT, Collection RéférenceS, février 2009.

F

Synthèse de l’enquête logistique 2008-2009 portant sur la conjoncture, l’évolution des stratégies et organisations logistiques, la gestion des emplois et des recrutements, les politiques de qualifi cation, et enfi n les besoins en formation.

http://www.aft-iftim.com/Rubrique Publications => Études et enquêtes => Diagnostic emplois et qualifi cations

15E ENQUÊTE ANNUELLE SUR

LES BESOINS EN EMPLOIS ET EN

FORMATIONS DANS LA LOGISTIQUE.

AFT-IFTIM, février 2009.

F

Cette vingtième édition du tableau de bord regroupe les données nationales et quelques données régionales sur les thèmes suivants : le contexte écono-mique, les établissements, les effectifs, la démographie, les mouvements de main-d’œuvre, l’intérim, le marché du travail, la formation, l’insertion profes-sionnelle et la prospective à 5 ans.

http://www.aft-iftim.com/Rubrique Publications => Observatoire prospectif => Tableaux de bord de l’emploi

TABLEAU DE BORD

NATIONAL 2007 DE L’EMPLOI ET DE

LA FORMATION PROFESSIONNELLE

DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS ET LES

ACTIVITÉS AUXILIAIRES DE TRANSPORT.

Observatoire prospectif des métiers et des qualifi cations dans

les transports et la logistique (OPTL),

2008.

F

Page 100: La formation et les métiers du transport et de la logistique

98

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

[Extrait] Depuis 1999, l’effectif salarié du TRV augmente constamment. En 2007, il progresse de 2,5 %. Le TRV ne cesse de se féminiser : en 2006, un salarié sur quatre est une femme contre un sur cinq huit ans plus tôt. L’année 2007 est caractérisée par une augmentation de l’indicateur des tensions sur le marché du travail des conducteurs de transport en commun qui confi rme des diffi cultés de recrutement. Si la formation des conducteurs routiers de voyageurs s’est fortement développée depuis l’accord de branche conclu le 7 décembre 1999, le taux d’accès à la formation continue dans le transport routier de voyageurs est plutôt faible : 38 %, contre 50,8 % pour l’ensemble des transports terrestres.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/20080904___BS_TRV_2008_cle77f41a.pdf

BILAN SOCIAL DU TRANSPORT

ROUTIER DE VOYAGEURS (TRV)

2006-2007. Observatoire

social des transports, 2008.

F

Résultats de l’enquête 2008 sur les contrats de professionnalisation fi nancés par l’OPCA. Les résultats sont présentés par secteur : transport routier de marchandises, transport routier de personnes, transports fl uviaux, agences de voyage et de tourisme, manutention portuaire, transports maritimes et transports urbains.

http://www.opca-transports.com/kiosque/lettres/lettre20.pdf

LETTRE DE L’OPCA

TRANSPORT N° 20. OPCA Transport, décembre 2008.

F

Cette lettre d’information propose un point sur le secteur, la collecte des fonds dédiés à la formation et les dispositifs de formation fi nancés.

http://www.opca-transports.com/kiosque/lettres/lettre16.pdf

LETTRE DE L’OPCA

TRANSPORT N° 16. OPCA Transport,

janvier 2008.

F

Page 101: La formation et les métiers du transport et de la logistique

99

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Étude réalisée par le Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE) à la demande de la Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du Ministère de l’éducation nationale afi n d’éclairer les choix stratégiques des décideurs. L’objectif est d’évaluer les besoins annuels en recrutement de jeunes sortant du système éducatif (moyenne sur la période) afi n de les confronter aux projections de sorties d’élèves et d’étudiants réalisées par la DEPP. [Résumé d’auteur]

[Extrait] Les domaines professionnels (…) « tourisme et transports » devraient connaître une forte infl exion à la hausse de leurs créations d’emplois.

http://media.education.gouv.fr/fi le/44/9/2449.pdf

PROSPECTIVE EMPLOI-FORMATION 2015 : UNE NOUVELLE

APPROCHE. Sylvère Chirache,

Claude Sauvageot, Ahmed Ait-Kaci,

Élisabeth Waelbroeck-Rocha. Les dossiers

évaluations et statistiques, n° 175,

juillet 2006.

F

Ce document regroupe dix monographies réalisées dans le cadre d’une étude menée en 2004 par la DARES (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques du Ministère de l’emploi) et le Céreq, avec la collaboration du laboratoire « Genre, travail et mobilités » de l’université Paris 10. Parmi ces monographies, citons « Une entreprise de transport-logistique » et « La formation dans un établissement de transport public urbain ».

http://www.cereq.fr/pdf/Net-Doc-21.pdf

REGARDS CROISÉS SUR LA

FORMATION CONTINUE EN ENTREPRISE.

DIX ÉTUDES DE CAS. Céreq, Net.doc, n° 21, mai 2006.

F

Page 102: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Fiche synthétique présentant les débouchés du BTS Transport et se référant au CPC Info n° 42, premier semestre 2006.

[Extrait] Le BTS Transport, dans son contenu actuel, couvre le champ de la logistique et du transport. Il est d’ailleurs appelé couramment « BTS Logistique et Transport » ou « BTS Logistique » par les professionnels du transport et ces intitulés se retrouvent sur les annonces de recrutement. Cette dénomination recouvre bien, dans l’esprit des responsables d’entreprise, le transport et la gestion d’une plate-forme de distribution. Le BTS est donc bien positionné et utilisé par les professionnels du transport pour l’ensemble de leurs besoins.

http://www.ac-versailles.fr/public/upload/docs/application/pdf/2009-01/bts_transport.pdf

LE BTS TRANSPORT, UNE BONNE

RELATION EMPLOI FORMATION. Marin C. Saio,

Versailles, 2006.

F

L’objectif de cette enquête annuelle est de connaître la situation professionnelle des jeunes s’étant présentés à un diplôme de l’enseignement professionnel en transport et en logistique six mois après leur examen. L’enquête concerne les lycées soutenus par l’AFT.IFTIM dans le cadre de la Convention générale de coopération avec l’Éducation nationale ainsi que les Centres de formation du groupe AFT.IFTIM en apprentissage (CFA) et en contrats de qualifi cation.

http://www.ac-nancy-metz.fr/enseign/TransportsLP/PDF/devenir%20eleves%202004.pdf

QUE DEVIENNENT

LES JEUNES APRÈS UN ENSEIGNEMENT

TRANSPORT ET LOGISTIQUE ?

Institut pédagogique

du transport et de la logistique (IPTL),

AFT.IFTIM, 2005.

F

Page 103: La formation et les métiers du transport et de la logistique

101

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Une formation ne donne pas systématiquement accès aux métiers ou aux emplois auxquels elle est censée préparer. Cela tient à la fois à des dysfonctionnements du marché du travail et à la diversité des modes d’acquisition des compétences, de la formation « diplômante » à la formation « sur le terrain ». Pour un emploi sur trois environ, la profession est étroitement liée à la spécialité de formation. Leur accès est parfois réglementé par la possession du diplôme (médecins ou professionnels du droit). Ce sont aussi des métiers traditionnels historiquement liés à l’artisanat (menuisiers, plombiers, boulangers) ou des emplois exigeant des compétences techniques spécifi ques (ouvriers de la réparation automobile ou employés de comptabilité). À l’opposé, environ un tiers des emplois demandent des compétences relevant peu de la formation. [Selon résumé d’auteur]

http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/es388-389c.pdf

LA SPÉCIALITÉ DE FORMATION

JOUE UN RÔLE SECONDAIRE

POUR ACCÉDER À LA PLUPART DES MÉTIERS.

INSEE, Olivier Chardon dans Économie

et statistique, n° 388-389, 2005.

F

Ce dossier rassemble les contributions au séminaire organisé à Paris, le 18 novembre 2003, par la Direction de l’évaluation et de la prospective et qui a rassemblé une centaine d’acteurs régionaux de la formation professionnelle sur le thème : « Que sait-on du rôle joué par la formation dans l’insertion des jeunes dans la vie active et comment utiliser les enquêtes IVA-IPA de la DEP réalisées auprès des lycéens et des apprentis, sept mois après leur sortie du système éducatif, pour l’élaboration du plan régional des formations ? »

http://media.education.gouv.fr/fi le/49/7/2497.pdf

L’INSERTION DES JEUNES DANS LA VIE ACTIVE ET

LE PILOTAGE DE LA FORMATION

PROFESSIONNELLE AU NIVEAU RÉGIONAL.

Ministère de l’éducation

nationale, DEP, les Dossiers,

n° 168, 2005.

F

Page 104: La formation et les métiers du transport et de la logistique

102

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Ce bilan évalue l’impact sur l’emploi, la sécurité et l’amélioration de la qualifi cation professionnelle du dispositif actuel et fait des propositions d’amélioration dans la perspective de transcription de la directive européenne relative à la formation des conducteurs routiers.

http://www.cnt.fr/Rubrique Routier => Actualités

BILAN QUALITATIF DE

LA FORMATION OBLIGATOIRE DES

CONDUCTEURS DU TRANSPORT ROUTIER

INTERURBAIN DE VOYAGEURS,

DE L’IMPACT SUR L’EMPLOI,

LA SÉCURITÉ, ET L’AMÉLIORATION

DE LA QUALIFICATION PROFESSIONNELLE.

Direction générale de la mer et

des transports, Ambroise Bouteille

et associés, 2005.

F

Besoins en formation : introductionhttp://www.ademe.fr/auto-diag/transports/rubrique/Dossiers/doc/etude_besoins_formation_intro.pdf

Partie I : les acteurs du transport combinéhttp://www.ademe.fr/auto-diag/transports/rubrique/Dossiers/doc/etude_besoins_formation_p1.pdf

Partie II et III : [du rapprochement] entre les formations existantes et les besoins de transport combiné - enseignements à développer ou approfondirhttp://www.ademe.fr/auto-diag/transports/rubrique/Dossiers/doc/etude_besoins_formation_p2_3.pdf

Conclusionhttp://www.ademe.fr/auto-diag/transports/rubrique/Dossiers/doc/etude_besoins_formation_conclusion.pdf

Annexeshttp://www.ademe.fr/auto-diag/transports/rubrique/Dossiers/doc/etude_besoins_formation_annexe.pdf

ÉTUDE SUR LES BESOINS

EN MATIÈRE DE FORMATIONS DES ACTEURS

DU TRANSPORT COMBINÉ

RAIL-ROUTE. ADEME, AFT-IFTIM,

décembre 2004.

F

Page 105: La formation et les métiers du transport et de la logistique

103

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Ce travail est articulé autour de deux questions clés. Que sont devenus les diplômés (chances d’accès et de maintien dans l’emploi, éventail des métiers exercés…) ? D’où viennent les jeunes qui exercent le même métier (formation générale ou professionnelle, niveau unique ou pluriel, spécialité…) ?

ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/dpd/dossiers/dossier159/dossier159.pdf

LIENS FORMATIONS-MÉTIERS :

REGARDS CROISÉS. Ministère de l’éducation

nationale, de la recherche et de la technologie,

Direction de l’évaluation et de

la prospective, 2004.

F

Après une présentation générale de la formation professionnelle continue dans les transports, quatre dossiers traitent de thèmes clefs abordés par le groupe de travail de manière transversale aux différents modes de transport (organisation, fi nancement de la formation continue, validation des acquis de l’expérience, apport des nouvelles technologies de l’information et de la communication). La deuxième partie du rapport propose plusieurs monogra-phies présentant la situation actuelle au regard de la formation profes-sionnelle continue dans la plupart des modes de transport. Enfi n, un chapitre est consacré à quelques propositions émises par le groupe de travail.

http://www.cnt.fr/Rubrique Avis et rapports => Tous les avis

RAPPORT SUR LA FORMATION

PROFESSIONNELLE CONTINUE DANS

LES TRANSPORTS. Conseil national

des transports (CNT), Régis Blatter, 2003.

F

Dans une première partie sont abordées les évolutions transversales aux différents modes de transport et dans une seconde partie, la situation propre à chaque mode est développée.

http://www.cnt.fr/UserFiles/File/rapports/Mutations_des_metiers_du_transport.pdf

MUTATIONS DES MÉTIERS DU

TRANSPORT, PROBLÈMES D’EMPLOI

ET ADAPTATION DES DISPOSITIFS D’INSERTION ET DE FORMATION.

Conseil national des transports (CNT),

Régis Blatter, janvier 2002.

F

Page 106: La formation et les métiers du transport et de la logistique

104

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les études régionales

PORTRAITS DE MÉTIERS. MÉTIERS DU

TRANSPORT ET DE LA LOGISTIQUE. OREF Ile-de-France,

mars 2009.

Les portraits de métiers dressent un portrait statistique et proposent un commentaire de synthèse de chaque métier du transport et de la logistique en Ile-de-France, en utilisant la nomenclature des familles professionnelles de l’OREF Ile-de-France. Ces portraits comportent plusieurs volets : emploi, âge et formation dans l’emploi, formation initiale, formation continue, insertion des jeunes, mobilité et marché du travail, chômage, localisation de l’offre et de la demande d’emploi.

http://www.oref-idf.org/Rubrique Métiers => Portraits de métiers

F

Enquête IVA n Elle constitue une aide statistique précieuse puisqu’il s’agit du seul

instrument permettant chaque année de suivre à un niveau régional l’évolution des conditions d’insertion des jeunes, sept mois après leur sortie d’une formation professionnelle ou technologique (CAP, BEP, bac techno-logique ou professionnel… jusqu’au BTS). Elle fournit des résultats précis sur les différences en matière d’accès à l’emploi et de qualité de l’emploi selon les niveaux de formation des jeunes, les domaines de formation et le sexe.

http://www.ac-versailles.fr/public/jcms/p1_8190/l-enquete-iva

Au 1er février 2008, sept mois après leur sortie de formation initiale de lycée, six jeunes sur dix ont trouvé un emploi (aidé ou non) et moins d’un sur trois déclare en rechercher un. Comme en 2006 et 2007, l’insertion professionnelle est liée au niveau de formation et à l’obtention du diplôme. De même, l’accès à l’emploi est également très différencié selon les spécialités de formation suivies par les jeunes. [Résumé d’auteur]

http://lycees.iledefrance.fr/Rubrique Offre de formation => Relations Formation-Emploi

COMMENT LES LYCÉENS

FRANCILIENS S’INSÈRENT

DANS LA VIE ACTIVE ? PREMIERS RÉSULTATS

DE L’ENQUÊTE IVA 2008.

Rectorats d’Ile-de-France, ONISEP Ile-de-France,

Conseil régional Ile-de-France,

OREF Ile-de-France, 2009.

F

Page 107: La formation et les métiers du transport et de la logistique

105

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Ce rapport analyse les données de l’enquête Insertion dans la vie active (IVA) réalisée en février 2006 pour 15 groupes de spécialités du domaine de la production et des services (notamment Transport, manutention, magasinage, logistique). Pour chaque spécialité sont notamment analysés par niveau de formation l’accès à l’emploi et la qualité des emplois trouvés.

http://www.oref-idf.org/docs/etudes/iva-2006_rapport.pdf

Sept mois après leur sortie de lycée, la moitié des jeunes franciliens ont trouvé un emploi (aidé ou non), et un peu plus d’un tiers déclarent rechercher un emploi. Plus le niveau de formation s’élève, plus l’insertion s’améliore, les chances d’être embauché étant encore plus grandes lorsque la qualifi cation est attestée par un diplôme. Selon la spécialité de formation aussi, les condi-tions d’accès à l’emploi présentent de fortes disparités. [Résumé d’auteur]

http://lycees.iledefrance.fr/Rubrique Offre de formation => Relations Formation-Emploi

Étude également disponible sur le site de l’OREF Ile-de-France :http://www.oref-idf.org/docs/etudes/synthese_iva-2006.pdf

L’INSERTION DES LYCÉENS

FRANCILIENS. RAPPORT DÉTAILLÉ DE

L’ENQUÊTE IVA 2006. Rectorats d’Ile-de-France,

ONISEP Ile-de-France, Conseil régional

Ile-de-France, OREF Ile-de-France, 2008.

COMMENT LES LYCÉENS

FRANCILIENS S’INSÈRENT

DANS LA VIE ACTIVE ? PREMIERS RÉSULTATS

DE L’ENQUÊTE IVA 2006.

Rectorats d’Ile-de-France, ONISEP Ile-de-France,

Conseil régional Ile-de-France,

OREF Ile-de-France, 2007.

F

F

Enquête IPA (Insertion professionnelle des apprentis)

n Cette enquête est réalisée chaque année par les services statistiques académiques en collaboration avec les CFA (Centres de formation des apprentis). Les établissements interrogent par voie postale tous les apprentis ayant quitté le CFA l’année précédente, en cours ou en fi n de formation. Le questionnaire décrit la situation 7 mois après la sortie du CFA.

Page 108: La formation et les métiers du transport et de la logistique

106

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

PANORAMA DE L’APPRENTISSAGE

EN ILE-DE-FRANCE - 2009.

Conseil régional Ile-de-France,

Unité développement, 2008.

Cette étude présente un panorama statistique de l’apprentissage en Ile-de-France en 2008. Sont abordés l’offre de formation et son évolution, les caractéristiques des jeunes en apprentissage ainsi que celles des entreprises qui les accueillent au cours de leur contrat. Elle reprend également des éléments sur l’insertion professionnelle.

http://www.oref-idf.org/docs/etudes/panorama2009.pdf

F

INSERTION DES APPRENTIS

FRANCILIENS EN 2008. Rectorats

d’Ile-de-France, Conseil régional

Ile-de-France, Direction de

l’évaluation, de la prospective et

de la performance (DEPP) du Ministère de l’éducation nationale.

Chiffres-clés n° 6, 2009.

La dernière enquête disponible révèle qu’en février 2008, presque huit sortants d’apprentissage franciliens sur dix sont en emploi (78 % contre 74 % l’année précédente). L’insertion professionnelle des apprentis est donc en progression. Si ce constat s’explique pour partie par un contexte économique favorable, il faut noter que ces chiffres restent légèrement meilleurs en Ile-de-France que dans les autres régions. Néanmoins, cette situation au regard de l’emploi n’est pas vraiment homogène pour les 25 000 apprentis sortis en 2007. La part des jeunes en emploi est en effet très souvent liée au domaine de formation, à l’obtention du diplôme préparé, mais aussi et surtout aux niveaux de formation. En effet, on observe un écart de 13 points entre les niveaux V et l’ensemble des autres niveaux. [Selon résumé d’auteur]

http://www.oref-idf.org/docs/etudes/IPA_2008_V5_Finale.pdf

F

PANORAMA DE LA FORMATION

QUALIFIANTE DES PERSONNES

SANS EMPLOI EN ILE-DE-FRANCE.

OREF Ile-de-France, Angélique Henaux.

Focale n° 7, septembre 2007.

Le transport et la logistique font partie des domaines de spécialités de formation les plus représentés dans les dispositifs suivants : CIF CDD, formations qualifi antes fi nancées par les Assedic et dans le contrat de professionnalisation.

http://www.oref-idf.org/docs/pub_focale/focale_7_11.pdf

F

Page 109: La formation et les métiers du transport et de la logistique

107

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Comment se déroule l’insertion des jeunes qui sont sortis du système scolaire francilien en 2001 ? Quelles sont les spécifi cités de l’Ile-de-France comparée à la province et les évolutions observées par rapport à ceux qui sont sortis en 1998 ? Ce premier numéro de la collection Grand Angle apporte sur plus de 70 pages les résultats complets de l’exploitation pour l’Ile-de-France de l’enquête Génération 2001 réalisée par le Céreq au printemps 2004, à travers cinq chapitres : les caractéristiques de la Génération 2001 en Ile-de-France, les événements et les temps du parcours d’insertion, les trajectoires d’entrée dans la vie active (formalisées dans une typologie construite par le Céreq), les mobilités dans l’emploi et enfi n, la situation des jeunes trois ans après leur sortie du système scolaire. [Résumé d’auteur]

http://www.oref-idf.org/docs/pub_ga/grand-angle_1.pdf

LES PREMIERS PAS DANS LA VIE

ACTIVE DES JEUNES DE LA GÉNÉRATION 2001

EN ILE-DE-FRANCE. OREF Ile-de-France,

Sandrine Fontaine, Christophe Chapot,

Frédéric Lainé. Grand angle n° 1, décembre 2006.

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Le PRDFP constitue l’un des trois grands documents stratégiques d’orientation de la Région Ile-de-France dans le domaine de la formation, aux côtés du schéma prévisionnel des formations en collèges et lycées et du livret d’orientation pour l’enseignement supérieur.

http://espaceprojets.iledefrance.fr/Rubrique EGF => Schéma régional de la formation

SCHÉMA RÉGIONAL DE LA

FORMATION, INITIALE ET CONTINUE, TOUT

AU LONG DE LA VIE 2007-2013.

PLAN RÉGIONAL DE DÉVELOPPEMENT

DES FORMATIONS PROFESSIONNELLES

(PRDFP). Conseil régional

Ile-de-France, 2007.

F

Page 110: La formation et les métiers du transport et de la logistique

108

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

CONCERTATION EN VUE DE

L’ÉLABORATION DU PLAN RÉGIONAL DE DÉVELOPPEMENT

DES FORMATIONS PROFESSIONNELLES

(PRDFP). Contribution de la

Fédération nationale de l’aviation marchande,

juin 2006.

RAPPORT FINAL DE L’ÉTUDE

DE FILIÈRE SUR L’ÉVOLUTION DU

SYSTÈME EMPLOI-FORMATION.

Filière des formations aux métiers du

Transport et de la Logistique en

Ile-de-France. IAURIF, mars 2004.

Présentation du contexte du secteur et de la politique sociale de la branche (le secteur d’activité et les métiers, la situation francilienne, le contexte social et la politique emploi-formation dans la branche), de la formation continue et de l’apprentissage dans la branche.

http://espaceprojets.iledefrance.fr/Rubrique Projets => EGF => Contributions reçues => Contributions au Plan régional de développement des formations professionnelles (PRDFP)

Cette étude de fi lière porte sur l’évolution de l’offre de formation en Ile-de-France, sur celle des différents débouchés, sur les tendances du marché du travail, etc. Cette étude comporte par ailleurs des approfondissements sur le marché du travail et la localisation des emplois.

http://lycees.iledefrance.fr/Rubrique Offre de formation => Relations Formation-Emploi

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Page 111: La formation et les métiers du transport et de la logistique

109

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Ce rapport propose des données détaillées sur les caractéristiques des entreprises de la branche, son poids dans l’économie française, l’environnement social et réglementaire, le marché du travail et notamment l’insertion des jeunes, l’offre de formation, des éléments de réfl exion prospective et enfi n des propositions relatives à l’offre de formation.

http://www.emploi-formation.ac-versailles.fr/article.php3?id_article=97

RAPPORT INTERACADÉMIQUE

ILE-DE-FRANCE RELATIF AUX DOMAINES

DES TRANSPORTS ET DE LA LOGISTIQUE.

Thérèse Brodu, Alain Caillat,

Martine Goutte, 2001.

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Le Contrat d’étude prospective (CEP) conclu entre une branche professionnelle, l’État et la Région vise à analyser les évolutions de l’emploi, des métiers et des besoins de formation, à moyen terme. Les CEP régionaux s’inscrivent dans une démarche qui doit aboutir à développer des actions communes aux branches et aux pouvoirs publics, dans les domaines du développement des entreprises et de l’emploi, de l’information sur les métiers et de la formation initiale et continue. Ces actions communes ont pour cadre le contrat d’objectifs.

http://www.prao.org/Rubrique Les études => Analyses sectorielles => Au niveau régional

CONTRAT D’ÉTUDES

PROSPECTIVES TRANSPORTS ROUTIERS.

PRAO, 2003.CONTRAT D’OBJECTIFS EMPLOI-FORMATION :

TRANSPORT ET LOGISTIQUE,

RÉGION RHÔNE-ALPES (2005-2008). PRAO, 2005.

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Pour en savoir plus (hors Ile-de-France)

Page 112: La formation et les métiers du transport et de la logistique

110

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les fi ches descriptives des contenus de formation

AFPA n L’AFPA est en France, le premier organisme d’intérêt général dans le

domaine de la formation professionnelle des adultes. Elle occupe une position particulière au sein du Service public de l’emploi à la fois en tant que centre de formation et de certifi cation. Association sous loi 1901, elle est reconnue d’utilité publique.

http://www.afpa.fr/

Voici ci-dessous un exemple de fi che de formation de l’AFPA :

Technicien en logistique d’entreposage

Autre(s) appellation(s)

Chef d’équipe ; Gestionnaire de stocks ; Responsable de stocks ; Responsable Produits fi nis ; Responsable client ; Chef de dossier ; Chef de quai ; Chef d’exploitation d’entreposage

Domaine : Tertiaire : Transport et LogistiqueAFPA : 9777ROME : 61311Formacode : 31703

Le métier

Dans un entrepôt, vous organisez la mise en stock et la sortie des marchandises en vous assurant de la cohérence entre stocks physiques et données du système d’information. Vous gérez les éventuelles réclamations ou demandes spécifi ques, y compris en anglais, émanant des clients, donneurs d’ordres, prestataires ou tout autre interlocuteur. Vous répartissez les équipes et le matériel selon la charge de travail et en fonction des différentes contraintes (respect des procédures sécurité et qualité, des délais et du niveau de service client visé). Pour l’arrivage comme le départ des marchandises,

Page 113: La formation et les métiers du transport et de la logistique

111

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

vous validez les documents de transport (nationaux et internationaux) ou émettez des réserves.

La formationLa durée : initiale de niveau IV d’une durée modulable 8 mois environ (1 085 h).

L’organisation de la formation : la formation se compose de 3 modules qualifi ants comprenant chacun une Période en Entreprise (PE).

Le niveau de sortie/diplôme : Titre professionnel de niveau IV et/ou Certifi cats de compétences professionnelles (CCP)

Il est également possible d’obtenir, par une démarche de Validation des acquis de l’expérience (VAE), le titre de Technicien en logistique d’entreposage en 3 Certifi cats de Compétences Professionnelles et après un entretien avec le jury.

Ces certifi cats sont les suivants : 1. Coordonner et valider les opérations d’arrivage et d’expédition des produits ; 2. Gérer les emplacements et les produits dans l’entrepôt en répondant aux besoins

spécifi ques du client ; 3. Organiser l’activité des équipes et la gestion du matériel de la zone d’entreposage.

Découverte de la formation et de l’emploi (1 semaine).

Module 1 : Coordonner et valider les opérations d’arrivages et d’expéditions des produits : Identifi er les moyens nécessaires en fonction de la charge de travail, des demandes des clients, de la réglementation et des procédures internes. Suivre, contrôler, réguler le déroulement des opérations de réception, d’expédition, de chargement et de déchargement, le cas échéant en anglais pour les relations avec les intervenants étrangers, en fonction des aléas et du niveau de service visé. Collecter et transmettre les informations adéquates concernant les opérations d’entreposage auprès des divers interlocuteurs, le cas échéant en anglais. Affecter les opérateurs en fonction de leurs qualifi cations et des opérations à effectuer. Valider les documents de transport nationaux et internationaux et les données relatives aux opérations dans le système d’information. Gérer les non-conformités (contractuelles et autres) dans les opérations de réception et d’expédition (9 semaines dont 2 en Période en entreprise).

Module 2 : Gérer les emplacements et les produits dans l’entrepôt en répondant aux besoins spécifi ques du client :Affecter les différents types de marchandises selon leur nature et les règles d’entreposage. Affecter les opérateurs et le matériel aux opérations de stockage et de déstockage en

Page 114: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

fonction des prévisions d’activité. Organiser les inventaires et des contrôles spécifi ques et analyser les raisons des écarts observés. Rendre compte des problèmes rencontrés et proposer des solutions d’amélioration. Suivre et analyser les ratios de production des activités de stockage, de déstockage et de manutention liées aux opérations (9 semaines dont 2 en Période en entreprise).

Module 3 : Organiser l’activité des équipes et la gestion du matériel de la zone d’entreposage :Organiser le programme d’activité des équipes de l’entrepôt dans le respect des horaires et des procédures de travail et en fonction du niveau de service souhaité par les clients. Affecter les ressources humaines et les moyens matériels dans une situation qui change continuellement. Évaluer les perfor-mances des équipes et des individus. Mettre en œuvre et faire respecter les procédures de travail, les règles de qualité et de sécurité. Gérer l’entretien de la zone de stockage, du parc de matériel et des outils de travail. Animer des équipes d’opérateurs dans un environnement qui varie constamment et dans un contexte d’urgence. Rédiger un rapport d’activité et des modes opératoires à l’aide d’un outil bureautique (12 semaines dont 6 en Période en entreprise).

Les conditionsLe niveau requis/âge : Niveau 1ère ou titre ou diplôme professionnel en logistique de niveau V + une expérience signifi cative dans le domaine de l’entreposage plus particulièrement dans la préparation de commandesConnaissances en anglais (comprendre des conversations simples, demander des renseignements au téléphone après préparation, rédiger une courte lettre)Permis de conduire B (véhicules légers) souhaitable.

L’admission : Entretien de confi rmation du projet de formation, tests, épreuve d’anglais, épreuve ou questionnaire de personnalité – enquête auprès des professionnels pour les personnes ne connaissant pas le secteur, entretien.

Les aptitudes professionnelles

Aptitude à occuper un travail posté (de nuit, en 3 x 8…), qualités relationnelles, résistance au stress, esprit d’analyse et de synthèse.

Page 115: La formation et les métiers du transport et de la logistique

113

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Répertoire national des certifi cations professionnelles (RNCP) n Le RNCP a pour objet de tenir à la disposition des personnes et des entreprises une

information constamment à jour sur les diplômes et les titres à fi nalité professionnelle ainsi que sur les certifi cats de qualifi cation fi gurant sur les listes établies par les commissions paritaires nationales de l’emploi des branches professionnelles. Il contribue à faciliter l’accès à l’emploi, la gestion des ressources humaines et la mobilité professionnelle. Les certifi cations enregistrées dans le répertoire sont reconnues sur l’ensemble du territoire national. L’enregistrement dans le répertoire national concerne la seule certifi cation proprement dite.

Dans la pratique, le RNCP permet de consulter les descriptifs des certifi cations : activités visées, secteur d’activité, éléments de compétence acquis, modalités d’accès, niveau…

http://www.cncp.gouv.fr/

Voici un exemple de fi che descriptive d’un diplôme inscrit au RNCP :

Intitulé

TP : Titre professionnel technicien(ne) en logistique d’entreposage

Autorité responsable de la certifi cation Qualité du(es) signataire(s) de la certifi cation

- Ministère chargé de l’emploi (DGEFP) Modalités d’élaboration des références : CPC transport et logistique

- Directeur départemental du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle

Niveau et/ou domaine d’activité :

IV (Nomenclature de 1969)

Code NSF : 311p - Gestion des fl ux et des stocks de marchandises

Page 116: La formation et les métiers du transport et de la logistique

114

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Résumé du référentiel d’emploi ou éléments de compétences acquis :

Le (la) technicien(ne) en logistique d’entreposage assure le suivi à court terme des opérations de réception, d’expédition et de stockage dans un entrepôt sur une zone de stockage dont il (elle) est responsable en organisant le travail des opérateurs (caristes et/ou préparateurs de commandes, …) qui lui sont affectés.

Ces opérations se déroulent dans le respect du cadre réglementaire, des procédures qualité et sécurité, des délais et du niveau de service clients visés. Il (elle) veille à garantir le niveau de service requis ainsi que la fi abilité des données du système d’information pour l’ensemble des mouvements concernant son activité.

Il (elle) organise l’activité en fonction de la charge de travail du moment, des moyens humains et matériels dont il (elle) dispose tout en veillant au respect des procédures et des cahiers des charges clients ou donneurs d’ordres (délais, et qualité du service). Il (elle) enregistre les mouvements et les données de gestion de l’entrepôt ou vérifi e leur fi abilité dans le système informatisé de l’entreprise.

Confronté(e) en permanence aux aléas et imprévus, il (elle) gère les urgences et défi nit les priorités.

Relais d’information, il (elle) est en relation permanente avec les interlocuteurs externes (clients, fournisseurs, prestataires de services) et les services internes de son entreprise. Ces échanges peuvent s’effectuer en anglais avec les interlocuteurs étrangers.

Il (elle) est placé(e) sous la responsabilité d’un supérieur hiérarchique qui défi nit les objectifs de production, de qualité et de service clients. Il (elle) peut-être amené(e) à prendre des responsabilités sur délégation de son supérieur, notamment lors de prises de service hors des heures habituelles.

Il (elle) exerce son activité dans des entrepôts, dédiés ou prestataires de service, des dépôts de stockage d’entreprise de production ou des plates-formes de distribution.

Page 117: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Capacités attestées et descriptif des composantes de la certifi cation :

1. Coordonner et valider les opérations d’arrivage et d’expédition des produits

Réguler les activités de réception, d’expédition, de chargement, de déchargement, éventuellement en anglais avec les intervenants étrangers, en fonction des aléas et du niveau de service visé.

Valider les documents de transport nationaux et internationaux y compris en anglais, ainsi que les données relatives aux opérations dans le système d’information.

Gérer les non-conformités contractuelles et autres, en anglais le cas échéant, dans les opérations de réception et d’expédition.

Animer une équipe d’opérateurs dans un contexte marqué par les aléas.

2. Gérer les emplacements et les produits dans l’entrepôt en répondant aux besoins spécifi ques du client

Affecter les moyens aux mouvements des produits selon les règles d’entreposage et les différentes contraintes, éventuellement exprimées en anglais.

Organiser les inventaires et des contrôles spécifi ques, identifi er et traiter les écarts, communiquer les résultats, en anglais le cas échéant.

Rendre compte des problèmes rencontrés, éventuellement en anglais, et proposer des solutions d’amélioration.

Suivre les ratios de production liés aux opérations de stockage, de déstockage, et de manutention.

3. Organiser l’activité des équipes et la gestion du matériel de la zone d’entreposage

Organiser le programme d’activité des équipes dans le respect des procédures de travail et en fonction du niveau de service souhaité par les clients.

Mettre en œuvre et faire respecter les procédures de travail, les règles de qualité et de sécurité.

Gérer l’entretien de la zone de stockage, du parc de matériel et des outils de travail.Rédiger un rapport d’activité et des modes opératoires à l’aide d’un outil bureautique.

Page 118: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Secteurs d’activité ou types d’emplois accessibles par le détenteur de ce diplôme, ce titre ou ce certifi cat :

Tout secteur industriel ou commercial comportant une activité de stockage, notamment les entrepôts, dédiés ou prestataires de service, les dépôts de stockage d’entreprises de production, ou des plates-formes de distribution.

Types d’emplois accessibles :- Chef d’équipe d’entrepôt.- Gestionnaire de stocks.- Responsable produits fi nis en entrepôt.- Responsable client en entrepôt.- Chef de dossier.- Chef d’exploitation entreposage.- Responsable réceptions et/ou expédition.- Chef de quai.

Codes des fi ches ROME les plus proches : (en cours de validation par l’ANPE)

Réglementation d’activités : Néant.

Modalités d’accès à cette certifi cation :

Descriptif des composantes de la certifi cation :

Le titre professionnel est composé de trois Certifi cats de compétences professionnelles (CCP) qui correspondent aux activités précédemment énumérées.

Le titre professionnel est accessible par capitalisation de Certifi cats de compétences professionnelles (CCP) ou suite à un parcours de formation et conformément aux dispositions prévues dans l’arrêté du 9 mars 2006 relatif aux conditions de délivrance du titre professionnel du ministère chargé de l’emploi.

Validité des composantes acquises : 5 ans

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117

3. La formation et l’insertion dans le transport et la logistique

Conditions d’inscription à la certifi cation Oui Non Composition des jurys

Après un parcours de formation sous statut d’élève ou d’étudiant

X

En contrat d’apprentissage X

Après un parcours de formation continue X

Le jury du titre est désigné par la DDTEFP. Il est composé de professionnels du secteur d’activité concerné par le titre. (Art 6 du décret N° 2002-1029 du 2 août 2002)

En contrat de professionnalisation X

Le jury du titre est désigné par la DDTEFP. Il est composé de professionnels du secteur d’activité concerné par le titre. (Art 6 du décret n° 2002-1029 du 2 août 2002)

Par candidature individuelle X

Par expérience X

Le jury du titre est désigné par la DDTEFP. Il est composé de professionnels du secteur d’activité concerné par le titre. (Art 6 du décret n° 2002-1029 du 2 août 2002)

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Liens avec d’autres certifi cations Accords européens ou internationaux

Base légale :

Référence du décret général :- Articles L335-5 et suivants et R.338-1 et suivants du code de l’éducation ;

Référence arrêté création (ou date 1er arrêté enregistrement) :- Arrêté du 09/03/2004, JO du 23/03/2004.- Arrêté modifi catif du 05/03/2007, JO du 21/04/2007.

Référence du décret et/ou arrêté VAE :- Arrêté du 9 mars 2006 relatif aux conditions de délivrance du titre professionnel du ministère chargé de l’emploi.

Pour plus d’informations

Lieu(x) de préparation à la certifi cation déclarés par l’organisme certifi cateur :Centres agréés.Centres AFPA.

Page 121: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

F

La formation et les métiers du transport et de la logistique

4. Les facteurs d’évolution

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

n Tous les modes de transport sont aujourd’hui confrontés à une mutation économique et sociale profonde du fait :- de l’intensifi cation de la concurrence et de l’élargissement des marchés au

plan européen mais aussi mondial (particulièrement sensible pour le transport aérien et maritime) ;

- des avancées technologiques qui transforment en les complexifi ant les équipements de transport et plus encore les systèmes d’information qui accompagnent les transports de personnes et ceux de marchandises ;

- des interactions entre les transports et leur environnement, qu’il s’agisse de sécurité ou d’écologie.

Ces mutations provoquent des changements rapides, qui se traduisent notamment par des restructurations d’entreprises, des exigences croissantes des clients et des usagers, l’apparition de nouveaux métiers du transport, l’arrivée sur le marché d’opérateurs étrangers.

Par ailleurs, la demande de transport est en constante augmentation, aussi bien pour les transports de personnes plus nombreux et plus diversifi és que pour les transports de marchandises du fait notamment d’une internationa-lisation toujours accrue des échanges.

Dans le domaine de l’emploi, ces différentes évolutions ont à la fois des incidences en termes d’évolution des métiers du transport, donc d’exigences de qualifi cation et d’offre de formation et en termes plus quantitatifs puisque de nombreux secteurs rencontrent des diffi cultés à pourvoir tous les emplois qu’ils souhaitent créer afi n de répondre à l’augmentation de l’offre de transport.

Page 123: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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4. Les facteurs d’évolution

Qu’ils soient ou non confrontés actuellement à des diffi cultés particulières, tous les secteurs du transport mettent en œuvre des actions visant à mieux cerner leurs besoins prévisionnels, à améliorer les performances des dispo-sitifs de formation pour former et qualifi er leurs personnels aux nouvelles compétences demandées et à déployer des stratégies innovantes de recru-tement et d’insertion reposant fréquemment sur des partenariats avec les différents acteurs du service public de l’emploi et du développement local. Ces actions gagneraient à être encore confortées par d’autres initiatives.(18)

Cet extrait de Mutations des métiers du transport, problèmes d’emploi et adaptation des dispositifs d’insertion et de formation illustre bien les enjeux majeurs du transport et de la logistique pour les années à venir. Dans ce contexte, les autorités publiques (européennes notamment) adaptent en permanence les dispositifs réglementaires et plus généralement leurs politiques de régulation des transports (première partie). Nous proposons dans ce chapitre des études et des ressources sur l’innovation (énergie verte, intermodalité, …) soutenue par de nombreux projets européens et la mise en place des pôles de compétitivité (deuxième partie). Ces avancées permettront à la France et plus spécifi quement à l’Ile-de-France de tenir son rang dans le marché mondialisé (troisième partie). Enfi n, nous présenterons des études traitant de l’impact des transports et des activités logistiques sur l’environnement (quatrième partie) : en effet, le transport est, en France, le premier secteur émetteur de gaz à effet de serre.(19) Nous commencerons par des références sur la réglementation qui est transversale à ces enjeux.

18. Mutations des métiers du transport, problèmes d’emploi et adaptation des dispositifs d’insertion et de formation. Régis Blatter, 2002.

19. Les transports et leur impact sur l’environnement : comparaisons européennes. Marie Cugny-Seguin. Commissariat général au développement durable, Le point sur, n° 8, mars 2009.

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Réglementations, régulationset politiques publiques

Synthèse de la législation – Transports n Cette page dédiée à la législation européenne propose des synthèses sur

les objectifs généraux de la politique des transports, les agences et organes ; pour chaque mode de transport, l’emploi, les conditions de travail et la sécurité sont abordés. D’autres synthèses sur l’intermodalité, les réseaux transeuropéens, les infrastructures et la tarifi cation, la mobilité durable, les droits des passagers, les systèmes de transports intelligents, la navigation par satellite, la politique spatiale européenne, la législation anti-trust, la législation applicable aux aides d’État et la dimension internationale et l’élargissement sont disponibles.

http://europa.eu/scadplus/leg/fr/s13000.htm

Union européenne – Concurrence dans les transports n Cette page propose une synthèse des dispositions législatives européennes

applicables dans le secteur des transports. En effet, la concurrence dans les transports permet aux citoyens de bénéfi cier de transports effi caces et à moindre coût. La libre concurrence est également un levier pour ouvrir les réseaux européens et ainsi donner aux investissements et au réseau une dimension continentale. Dans ce contexte, l’Union européenne se concentre sur la régulation de cette concurrence, par une réglementation applicable à chaque mode de transport, ainsi qu’un encadrement des aides d’État. [Résumé d’auteur]

http://europa.eu/scadplus/leg/fr/s12005.htm

Page 125: La formation et les métiers du transport et de la logistique

123

4. Les facteurs d’évolution

Les formations obligatoires des conducteurs du transport routier public de marchandises

n Cette page réalisée par la Direction régionale de l’équipement d’Ile-de-France a pour objectif de présenter de manière synthétique le dispositif de formation obligatoire.

http://www.ile-de-france.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=925

Association française de normalisation (AFNOR) n L’Association française de normalisation est l’organisme offi ciel français de normalisation. Il

est membre de l’Organisation internationale de normalisation (ISO) auprès duquel il représente la France.

[Extrait] Les transporteurs et les logisticiens peuvent compter sur les compétences et l’expérience d’un groupe comme l’AFNOR afi n de satisfaire à une réglementation de plus en plus complexe et réussir à faire évoluer leur entreprise selon des référentiels reconnus et souhaités par toute la profession. La mondialisation, l’arrivée de l’Internet et la suppression des anciennes barrières douanières ont offert aux métiers du transport et de la logistique une période de croissance bien supérieure aux autres secteurs d’activité. Les acteurs qui ont réussi la performance de livrer les clients en temps, en heure, pour un moindre coût et à leur grande satisfaction, doivent maintenant inclure un nouveau paramètre dans leur stratégie commerciale : le développement durable. C’est sur ce terrain que les normes de demain sont en cours de préparation.

http://www.afnor.fr/

Page 126: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Le rapport aboutit à 8 principales recommandations : adopter une régulation durable du transport routier de marchandises ; favoriser la compétitivité et réduire les écarts de coûts vis-à-vis des autres pavillons ; réguler la concurrence ; lutter contre les émissions de gaz à effet de serre ; contribuer à une amélioration de la livraison des marchandises en ville ; favoriser la cohabitation entre les véhicules particuliers et les poids lourds sur le réseau interurbain ; se donner les moyens d’une amélioration de l’image du transport routier de marchandises ; contribuer au lancement, par la profession et les partenaires sociaux, d’une réfl exion commune sur l’avenir à moyen terme. [Résumé d’auteur]

http://www.strategie.gouv.fr/article.php3?id_article=838

LE TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES - POUR UNE

RÉGULATION DURABLE DU TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES. Centre d’analyse

stratégique, 2008.

F

INFRACTIONS ET DISTORSIONS

DE CONCURRENCE DANS LE TRANSPORT

ROUTIER DE MARCHANDISES

ET DE VOYAGEURS. Isabelle Leroy Dutilleul,

Alain Sauvant, Radouane Sidky.

Notes de synthèse du SES, 2002.

F

F POUR UNE MOBILITÉ

DURABLE ET PARTAGÉE : QUELLE

POLITIQUE DES TRANSPORTS ? LIVRE

BLANC 2007-2012. TDIE, 2006.

Ce livre blanc est le résultat d’un travail collectif réalisé dans le cadre de séminaires de réfl exion destinés à préciser les différentes pistes que « Transport Développement Intermodalité Environnement » a identifi ées depuis sa création : fi nancer les infrastructures de transport indispensables à notre pays ; valoriser par une ambition nouvelle une façade portuaire unique en Europe ; garantir la concertation sur l’opportunité et l’intérêt général des projets ; concilier mobilité et environnement ; garantir l’équité territoriale et le caractère national de la politique des transports. [Résumé d’auteur]

http://www.tdie.eu/documents/LivreBlancTDIE.pdf

Les entreprises de transport routier de voyageurs et de marchandises qui commettent des infractions à la réglementation en vigueur réduisent leurs coûts et améliorent ainsi leur rentabilité. Elles créent donc une distorsion de concurrence par rapport aux entreprises qui respectent la réglementation.

L’étude présentée ici chiffre l’ampleur de cette distorsion pour des scénarios d’infraction considérés comme les plus représentatifs dans le transport routier de voyageurs et dans celui des marchandises. Ces scénarios ont été établis par un panel de contrôleurs des transports terrestres et d’autres experts réunis par la Direction des transports terrestres (DTT). [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NS_143-17-24_cle777815.pdf

Page 127: La formation et les métiers du transport et de la logistique

125

4. Les facteurs d’évolution

n Les pôles de compétitivité se défi nissent comme « la combinaison sur un territoire donné d’entreprises, de centres de formation et d’unités de recherche, engagés dans une démarche partenariale destinée à dégager des synergies autour de projets communs au caractère innovant, et disposant de la masse critique nécessaire pour une visibilité internationale », ce qui faisait jusqu’à maintenant trop largement défaut.

http://www.competitivite.gouv.fr/

Observatoire des pôles de compétitivité n Animé par l’École des mines de Paris, à la demande de l’Association des régions de France,

l’Observatoire des pôles de compétitivité est une plate-forme d’échanges, d’information et de discussions ouverte à tous ceux qui s’impliquent dans la vie des pôles de compétitivité, les accompagnent ou les observent.

http://observatoirepc.org/

Les pôles de compétitivité et l’innovation technologique

Les pôles de compétitivité

Page 128: La formation et les métiers du transport et de la logistique

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

n Les pôles de compétitivité labellisés « transports terrestre » par le CIADT (Comité interministériel pour l’aménagement du territoire) sont au nombre de 11 :

AdvanCity – Ville et Mobilité Durables (Ile-de-France)

n Le pôle Ville et Mobilités Durables a été suscité par le Polytechnicum de Marne-la-Vallée, qui fédère bon nombre d’établissements publics de recherche et d’enseignement supérieur de la fi lière « sciences de la ville » en s’alliant avec d’autres établissements spécialisés du territoire francilien. Il est consacré à l’organisation de la ville, à l’habitat, à la mobilité des personnes, des biens et de l’information, le tout étant analysé sous l’angle du dévelop-pement durable et des économies d’énergie. Les thématiques concernées s’articulent autour de trois thèmes étroitement imbriqués les uns aux autres, et pilotés par trois conseils scientifi ques : la ville et l’aménagement, l’habitat et la construction, la mobilité et le transport. [Résumé d’auteur]

Les principales entreprises partenaires du pôle sont Bouygues Construction, Vinci, Veolia, Suez, SNCF, RATP, Institut Ville en Mouvement (PSA Peugeot Citroën).

http://www.advancity.eu/

Aerospace Valley (Aquitaine - Midi-Pyrénées)

n Les régions Midi-Pyrénées et Aquitaine constituent une plate-forme d’excellence reconnue aux niveaux européen et mondial dans les secteurs aéronautique, espace et systèmes embarqués, tant par la force des activités économiques que par le potentiel de matière grise mobilisé.

Les principales entreprises partenaires du pôle sont Airbus, Air France Industries, Thalès, EADS…

http://www.aerospace-valley.com/

Page 129: La formation et les métiers du transport et de la logistique

127

4. Les facteurs d’évolution

Automobile haut de gamme – ID4Car (Bretagne - Pays de la Loire - Poitou-Charentes)

n En mai 2009, le Pôle Automobile haut de gamme devient iDforCAR. Ce pôle mobilise un réseau de plus d’une centaine d’adhérents – des PME principalement mais également des constructeurs (PSA Peugeot Citroën, Renault), des équipementiers, des laboratoires de recherche et des établissements d’enseignement.

www.poleautomobilehautdegamme.org

Industries et Agro-Ressources (Champagne-Ardenne - Picardie)

n Le pôle a vocation à rassembler les acteurs de la recherche, de l’enseignement et de l’industrie de Champagne-Ardenne et de Picardie autour d’un axe commun : les valorisations non alimentaires du végétal. Pour atteindre cet objectif ambitieux, le Pôle de Compétitivité IAR a défi ni 4 domaines d’actions stratégiques regroupés sous le concept de bioraffi nerie : les bioénergies, les agromatériaux, les biomolécules et les ingrédients végétaux. Ces axes stratégiques sont au cœur des enjeux du développement actuels et futurs : augmentation durable des prix des matières premières et de l’énergie non renouvelable, compétitivité internationale, développement durable, protection de l’environnement, santé et sécurité des consommateurs.

http://www.iar-pole.com/

Page 130: La formation et les métiers du transport et de la logistique

128

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

i-Trans (Nord-Pas-de-Calais, Picardie)

n La raison d’être d’i-Trans est de répondre aux défi s de la compétition internationale dans le contexte de l’intensifi cation des échanges fret et voyageurs. Ainsi, il se veut le premier pôle européen à visibilité mondiale pour la conception, la construction, l’exploitation compétitive et la maintenance des systèmes de transport innovants en termes de part de marché, d’innovation, de croissance et d’attractivité. Ses quatre champs d’actions sont l’Interopérabilité pour le secteur ferroviaire, l’intermodalité pour le transport de fret ou de voyageurs, l’intelligence des systèmes de transport et l’innovation pour le développement économique. Plusieurs fi lières industrielles sont concernées : le ferroviaire, l’automobile, le portuaire, le fl uvial et la logistique.

Les principales grandes entreprises partenaires du pôle sont Alsthom Transport, Arcelor, Bombardier, Carbone Lorraine, Eurotunnel, RATP, Renault, Siemens, SNCF.

http://www.i-trans.org/

Lyon Urban Truck & Bus n Lyon Urban Truck & Bus est un pôle de compétitivité sur les transports

collectifs urbains de personnes et de marchandises. Son ambition est de répondre aux défi s soulevés par la croissance des besoins de mobilité, des personnes et des marchandises dans un environnement urbain.

http://www.lutb.fr/

Page 131: La formation et les métiers du transport et de la logistique

129

4. Les facteurs d’évolution

MOV’EO (Haute-Normandie - Ile-de-France - Basse-Normandie)

n Le pôle s’organise autour de quatre domaines d’activité stratégiques (énergie, environ-nement ; sécurité routière ; mobilité et services ; mécatronique) composés d’experts dont les missions principales sont de susciter, d’élaborer et d’assurer le suivi des projets de R&D coopératifs qui vont générer des retombées positives en matière de création de valeur, d’activité et d’emplois et de fi xer les orientations stratégiques de leur domaine et d’en assurer la communication. [Résumé d’auteur]

Les principales entreprises partenaires du pôle sont PSA Peugeot Citroën, RATP, Renault, Renault Trucks ou Veolia Transport.

http://www.pole-moveo.org/

MTA, Mobilité et transports avancés (Poitou-Charentes)

n Les quatre domaines d’activités stratégiques sont l’énergie électrique embarquée, les tech-nologies pour chaînes de traction hybrides électriques (inclus la gestion thermique du véhi-cule et l’asservissement), les expérimentations, essais et qualifi cation des véhicules et systèmes de transport hybrides électriques et les carburants et matériaux d’origine végétale. Les mar-chés concernés dans le domaine de l’automobile sont les véhicules à usages urbains et péri-urbains, les transports et livraisons de marchandises et les véhicules spéciaux. [Résumé d’auteur]

Les principales entreprises partenaires du pôle sont Alsthom, Veolia, Renault et Matra.

http://www.pole-mta.com/

Nov@log (Haute-Normandie)

n Nov@log joue un rôle essentiel dans la compétitivité des entreprises et dans le développe-ment de l’innovation. Le pôle vise tout particulièrement à développer les services et les systèmes logistiques du futur. Les thèmes d’engagement du Pôle sont : traçabilité, intermodalité, process et fl ux de logistique industrielle, interface maritime et terrestre, déplacements urbains et logistiques, environnement et sûreté.

http://www.novalog.eu/

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OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

System@tic (Ile-de-France)

n Les activités de recherche et développement du pôle System@tic sur les transports (projets sur la conception et la réalisation d’outils logiciels afi n de maîtriser les architectures et les systèmes embarqués) et sur les activités de sécurité défense (développement de technologies critiques présentant une réponse duale aux besoins civils et de défense) font de System@tic l’un des partenaires importants de la fi lière aéronautique et spatiale en Ile-de-France.

http://www.systematic-paris-region.org/

Véhicule du Futur (Alsace, Franche-Comté)

n Le pôle de compétitivité Véhicule du Futur conçoit et met en œuvre des solutions de niveau mondial au service des véhicules et mobilités du futur sur 3 thématiques : véhicule propre, véhicule et réseaux intelligents et excellence des entreprises.

http://www.vehiculedufutur.com/

Club Innovations Transports des Collectivités n Le PREDIT, le GART et le CERTU ont mis en place un « Club innovations

transports des collectivités » dont la vocation est de mettre en relation les acteurs et de rassembler les informations nécessaires à l’articulation entre la recherche et les besoins des collectivités.

Ce club est à l’écoute des collectivités et permet l’identifi cation de leurs attentes et la transformation éventuelle de ces demandes en projets de recherche. Ce site a pour vocation de présenter, par thème, les expérimen-tations ou études réalisées ou en cours concernant l’innovation dans les transports, aussi bien en France qu’en Europe ; annoncer les appels à projets du PREDIT ; permettre le partage d’expériences.

http://www.innovations-transports.fr/

Page 133: La formation et les métiers du transport et de la logistique

131

4. Les facteurs d’évolution

L’évolution d’ici 2025 des caractéristiques de la demande de transport, de voyageurs comme de marchandises, devrait se traduire en France par une croissance à un rythme ralenti des trafi cs routiers. Le transport ferroviaire de marchandises renouerait avec la croissance contrairement à la période écoulée. Dans le transport ferroviaire de voyageurs, la croissance serait plus rapide. Le transport fl uvial de marchandises continuerait son développement. Globalement, les parts modales(20) évolueraient peu. Mais, le renouvellement du parc automobile avec des véhicules neufs moins consommateurs et satisfaisant des normes antipollution toujours plus exigeantes, ainsi que le développement des nouveaux carburants, entraîneraient une stabilisation des émissions de gaz à effet de serre par rapport au niveau actuel et des baisses très importantes des émissions de polluants locaux. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/emande_de_transport_cle094cb2.pdf

COMMENT POURRAIT ÉVOLUER

LA DEMANDE DE TRANSPORT

EN FRANCE À L’HORIZON 2025.

Olivier Rolin, Clément Bourgeois. Notes de synthèse

du SESP, n° 165, avril 2007.

F

Entre 2002 et 2004, près d’une entreprise sur cinq employant 10 salariés et plus dans le transport (voyageurs, marchandises, gestionnaires d’infrastructures…) a innové, développant de nouveaux services aux clients ou de nouveaux procédés. En élargissant le concept d’innovation à l’organisation de l’entre-prise et au marketing, plus de 40 % des entreprises du secteur ont innové. Ces dernières réalisent plus de 75 % du chiffre d’affaires du secteur.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/SESP_EN_BREF_14_cle2af9e3.pdf

TAILLE ET APPARTENANCE

À UN GROUPE FAVORISENT

L’INNOVATION DANS LES TRANSPORTS.

SESP en bref, n° 14, janvier 2007.

F

20. La part modale représente la part de chaque mode de transport (fer, mer, route…) dans le transport total.

Cette étude dégage trois enseignements principaux : la croissance de la mobilité, tant voyageurs que marchandises, sera ralentie ; le développement des modes alternatifs n’empêchera pas le maintien de la prédominance de la route ; de forts progrès techniques en matière de véhicules économes et de carburants propres, sous l’effet d’une fi scalité sur le carbone à un niveau approprié, permettraient une division par 2,5 des émissions de CO2 du secteur des transports. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/2050_cle519f1d-1.pdf

LES AVENIRS POSSIBLES

DES TRANSPORTS EN 2050.

Notes de synthèse du SESP, n° 163,

décembre 2006.

F

Page 134: La formation et les métiers du transport et de la logistique

132

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

La recherche a pour problématique d’identifi er les réticences et freins à l’introduction des outils informatiques et télématiques embarqués à bord des véhicules de transport routier de marchandises et applicatifs aux sols utilisés dans les services opérationnels des transporteurs, afi n de déterminer les moyens de les minimiser, ou de les contourner, ou, tout au moins, d’identifi er les précautions à prendre pour faciliter l’appropriation de ces outils par ceux à l’usage de qui ils sont conçus. Des recommandations sont données pour l’établissement d’un cahier des charges destiné aux offreurs de solutions de systèmes d’information et de communication. Des guides sont proposés pour aider les décideurs à choisir en connaissance de cause les équipements et applicatifs qui satisferont au mieux leurs besoins. [Résumé d’auteur]

http://urbamet.documentation.equipement.gouv.fr/documents/Urbamet/0268/Urbamet-0268923/CETTEXST005819.pdf

Le PREDIT est un programme national de recherche, d’expérimentation et d’innovation dans les transports terrestres, initié et conduit par les ministères chargés de la recherche, des transports, de l’environnement et de l’industrie, l’ADEME et OSEO. L’ANR fait désormais partie également de ses fi nanceurs.

Stimulant la coopération entre secteurs public et privé, ce programme vise à favoriser l’émergence de systèmes de transport économiquement et socialement plus effi caces, plus sûrs, plus économes en énergie, et fi nalement plus respectueux de l’homme et de l’environnement.

http://www.predit.prd.fr

RECHERCHE SUR

L’IDENTIFICATION DES FREINS, RÉTICENCES

ET BLOCAGES QUI RALENTISSENT OU

EMPÊCHENT LA MISE EN ŒUVRE DES

TECHNOLOGIES INNOVANTES DANS

LE CHAMP DU TRANSPORT ROUTIER DE

MARCHANDISES. AFT.IFTIM, 2005.

PROGRAMME DE RECHERCHE ET

D’INNOVATION DANS LES

TRANSPORTS TERRESTRES

(PREDIT)

F

F

Page 135: La formation et les métiers du transport et de la logistique

133

4. Les facteurs d’évolution

L’élargissement des marchés

La croissance rapide de l’activité des transports est intrinsèquement liée à la mondialisation économique dont elle est à la fois la conséquence et le soutien. L’accélération des fl ux de passagers et de marchandises modifi e profondément les stratégies des acteurs en termes d’offre, de demande et de régulation. Se pose alors la question de la viabilité des modèles de croissance actuels dans un contexte où de nombreux facteurs contribuent à une hausse potentielle des coûts de transports. Enfi n, il faut s’interroger sur la compatibilité de l’essor des transports internationaux nécessaires à une économie mondialisée avec la préservation de l’environnement [Résumé d’auteur]

http://www.strategie.gouv.fr/IMG/pdf/DossierMondialisation8.pdf

MONDIALISATION, TRANSPORTS

ET LOGISTIQUE. Antoine Fremont,

Michel Savy, Mary Crass.

Les dossiers de la mondialisation, n° 8,

décembre 2007.

F

La Chine a été une grande puissance maritime par le passé. Aujourd’hui, elle a retrouvé une place importante dans ce secteur en raison d’un dévelop-pement économique impressionnant qui s’appuie sur une industrie maritime puissante facilitant ses échanges (90 % des exportations et des importations chinoises sont acheminées par voie maritime). La Chine présente, désormais, une activité portuaire en pleine expansion. Elle doit, toutefois, faire face à des besoins de fi nancement accrus pour répondre à la hausse du trafi c maritime. Les problèmes de logistique sont mineurs et plutôt « refoulés » dans les pays d’exportation, notamment les pays de l’Union européenne et les États-Unis. [Résumé d’auteur]

http://www.etudes.ccip.fr/dossiers/inde-chine/CHINE_Transport-et-logistique-la-montee-en-puissance-du-transport-maritime-chinois.pdf

TRANSPORT ET LOGISTIQUE :

LA MONTÉE EN PUISSANCE

DU TRANSPORT MARITIME CHINOIS.

CCIP, Dominique Lecuyer,

non daté.

F

Page 136: La formation et les métiers du transport et de la logistique

134

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Depuis le milieu des années 1990, l’internationalisation des échanges et les délocalisations ont fait de la logistique un secteur essentiel – et critiqué – de l’économie mondiale.

http://www.la-croix.com/article/index.jsp?docId=2306914&rubId=4079

LA LOGISTIQUE, PILIER DE LA

MONDIALISATION. Séverin Husson

dans La Croix du 24 juin 2007.

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Pour s’adapter à l’évolution des échanges internationaux, échanges dont il est un instrument privilégié, le transport maritime a connu diverses révolutions. Parmi les plus récentes, et certainement les plus marquantes, la conteneurisation. De quoi s’agit-il ? De « mettre en boîte » des marchandises afi n de les transporter plus effi cacement. Sans conteneurisation, l’idée même de produire en grande quantité les biens les plus divers à des milliers de kilomètres de leurs lieux de consommation n’existerait pas, tant le transport maritime resterait incertain, long et cher. Le monde serait autre… [Résumé d’auteur]

http://www.inrets.fr/infos/fas/axe2/Axe2_24.pdf

CONTENEURISATION ET

MONDIALISATION : LES LOGIQUES

DES ARMEMENTS DE LIGNES RÉGULIÈRES.

Les fi ches d’actualité scientifi que de

l’INRETS, n° 24, 2006.

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Page 137: La formation et les métiers du transport et de la logistique

135

4. Les facteurs d’évolution

L’environnement

L’utilisation des modes alternatifs de transport constitue-t-elle la forme principale du transport de marchandises durable ? Les actions de politiques publiques contraignant le transport routier et/ou soutenant les infrastructures et les services alternatifs sont-elles suffi santes ?

La solution de logistique et de transport la plus durable dans un contexte donné ne sera ni une panacée ni une référence unique et les politiques publiques devront s’adapter au contexte des chaînes logistiques. Rendre durable la logistique ne se résume pas à massifi er les fl ux de telle sorte qu’il soit possible de reporter le transport routier de marchandises sur d’autres modes. La logistique recouvre d’une part une grande diversité de prestations, qui peuvent elles aussi évoluer pour tenir compte des préoccupations de durabilité. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/33-38_cle2b2b3e.pdf

TRANSPORT, LOGISTIQUE ET CHAÎNES

PRODUCTIVES DURABLES : DES ENJEUX COMMUNS.

Corinne Blanquart, Valentina Carbone. Notes de synthèse

du SESP, n° 168, janvier-février-mars 2008.

F

ADEME – Impact environnemental des transports n L’ADEME propose sur cette page à destination des professionnels des

outils d’évaluation et d’optimisation de l’impact des transports sur l’environnement.

http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=96&m=3&catid=13708

Viacombi n Site de promotion du transport combiné réalisé en partenariat entre

l’ADEME, l’AFT.IFTIM et le Ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire.

http://www.viacombi.fr/

Page 138: La formation et les métiers du transport et de la logistique

136

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Compte rendu du forum des entreprises et du développement durable du mardi 21 mars 2006. Présentation des intervenants et synthèse de leur intervention.

http://www.ecologie.gouv.fr/IMG/pdf/060320_Dossier_FEDD_21.03.06.pdf

TRANSPORT, LOGISTIQUE ET

DÉVELOPPEMENT DURABLE.

Ministère de l’écologie et du développement

durable, mars 2006.

F

Le thème « transport et environnement » cristallise depuis plusieurs années de nombreux enjeux : lutte contre le réchauffement climatique, économies d’énergie, protection des zones sensibles, inscription des infrastructures dans le paysage, transfert modal, sécurité routière… C’est pourquoi l’Observa-toire régional des transports a eu la volonté de traiter, lors de sa journée d’échanges et de débat du 27 juin 2006, du management de l’environnement dans les entreprises de transport et de logistique. En effet, tout concourt actuellement à ce que les entreprises allient économie et environnement pour une gestion effi cace de leur activité et pour répondre à une demande des chargeurs, des administrations et de la société civile. [Résumé d’auteur]

http://www.ort-rhone-alpes.fr/IMG/pdf/11-06_bull_transp_management-2.pdf

LE MANAGEMENT ENVIRONNEMENTAL,

UN ATOUT MAJEUR POUR LES

ENTREPRISES DE TRANSPORT

ET DE LOGISTIQUE. Bulletin de

l’ORT Rhône-Alpes, novembre 2006.

F

Page 139: La formation et les métiers du transport et de la logistique

137

4. Les facteurs d’évolution

Les indicateurs de l’Agence européenne pour l’environnement ont pour objectif de comparer la demande de transport des pays européens et son impact sur l’environnement. Ils permettent notamment de positionner la France par rapport à ses principaux partenaires européens. Sont successivement présentées, la situation des transports pour les marchandises et les voya-geurs, les consommations d’énergie des transports, les émissions de gaz à effet de serre et la pollution générée par les transports.

http://www.ifen.fr/uploads/media/PointSur8_01.pdf

LES TRANSPORTS ET LEUR IMPACT SUR L’ENVIRONNEMENT :

COMPARAISONS EUROPÉENNES.

Marie Cugny-Seguin. Commissariat général

au développement durable, Le point sur,

n° 8, mars 2009.

F

Pour réduire fortement les émissions de gaz carbonique du Royaume-Uni, le gouvernement britannique étudie des politiques dans les différents secteurs de l’économie, et notamment celui des transports. Ce secteur est celui dont les émissions vont augmenter le plus rapidement, mais dont les coûts de réduction seront aussi les plus élevés.

Le rapport remis par Lord Eddington au gouvernement britannique évalue l’effi cacité des mesures envisagées dans le secteur des transports. D’ici 2025, l’impact environnemental le plus élevé est celui d’une tarifi cation nationale de l’utilisation du réseau routier en fonction du coût marginal social. Viennent ensuite des mesures permettant une forte amélioration de l’effi cacité énergétique des véhicules, enfi n la taxe carbone. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/NS_167_tome2_p29-36_cle0c11c1.pdf

LA LUTTE CONTRE L’EFFET

DE SERRE DU SECTEUR DES TRANSPORTS

DANS LE RAPPORT EDDINGTON.

Notes de synthèse du SESP, n° 167,

octobre-novembre-décembre 2007.

F

Page 140: La formation et les métiers du transport et de la logistique

138

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Quelle part du trafi c routier les modes « alternatifs » de transport de marchandise par fer, mer ou fl euve sont-ils capables de « capter » ? Comment l’accroître ? Une politique active en matière de transfert modal peut-elle parvenir à « lézarder » le « mur de camions » observé sur certaines autoroutes ? Peut-on se passer d’un exercice de maîtrise de la mobilité (par une politique d’aménagement du territoire, par une action sur les comportements, par une politique tarifaire…) ? Ce sont les questions que soulève toute réfl exion sur la maîtrise des ressources énergétiques, et la nécessaire attention portée aux phénomènes climatiques. [Résumé d’auteur]

http://www.cnt.fr/UserFiles/File/dossiers/TransportEnvironnement/0603ComodaliteOutilDD_AGRevueTransports436.pdf

LA CO-MODALITÉ

OUTIL DU DÉVELOPPEMENT

DURABLE. Alain Gille, 2006.

F

La comparaison des composantes de la demande de transport par mode entre les quinze pays de l’Union européenne fait apparaître certains déterminants de cette demande. C’est principalement la richesse du pays, mesurée par le PIB par habitant, qui explique les différences du niveau de la demande de transport de voyageurs et de marchandises par habitant. Les caractéristiques géographiques – densité, superfi cie, façade maritime – expliquent plus le partage modal, notamment pour les marchandises. Au-delà de ces différences structurelles des émissions de polluants par les transports, il reste une tonalité plus soucieuse de l’environnement dans les pays du nord de l’Europe. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/NS134-27-34_cle69d2cc.pdf

TRANSPORTS ET ENVIRONNEMENT

DANS LES PAYS EUROPÉENS.

François Jeger. Notes de Synthèse

du SES, n° 134, avril 2001.

F

Page 141: La formation et les métiers du transport et de la logistique

139

4. Les facteurs d’évolution

La communauté internationale s’est mobilisée pour lutter contre le changement de climat. Le protocole de Kyoto, établi en novembre 1997, retient un objectif de diminution globale des émissions de gaz à effet de serre des pays développés entre 1990 et 2010. Cet objectif est différencié par pays selon le niveau actuel de ses émissions : la France doit stabiliser ses émissions à 144 millions de tonnes d’équivalent-carbone. Cela nécessite que les mesures nouvelles retenues dans le « programme national de lutte contre le changement climatique » de janvier 2000 permettent de réaliser 10 % d’économies puisque, hors ces mesures, la croissance des émissions devrait être de cet ordre de grandeur, malgré les mesures déjà prises et les améliorations techniques. [Résumé d’auteur]

http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/NS133-35-40_cle695197.pdf

TRANSPORT ET LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT

CLIMATIQUE. Maurice Girault.

Notes de Synthèse du SES, n° 133, janvier 2001.

F

Ce sixième et dernier cahier s’intéresse à la prise en compte du développement durable par le secteur logistique. Souvent montrées du doigt sur cette problématique, les activités logistiques doivent répondre à l’enjeu environnemental. Nouvel impératif, il s’ajoute aux exigences de rentabilité et pousse le secteur à l’innovation sur toute la chaîne logistique, de l’entreposage à la distribution. Des préoccupations de durabilité qui entraînent des évolutions. [Résumé d’auteur]

http://www.opale-lyon.com/content/medias/pdf/000099.pdf

DÉVELOPPEMENT DURABLE ET

LOGISTIQUE : VEILLE PARTENARIALE

SUR LA LOGISTIQUE. Observatoire partenarial

lyonnais en Économie (OPALE), octobre 2008.

F

Une étude réalisée par Cap Gemini et le GCI jette les bases de la logistique du futur. Innovations, bonnes pratiques, pistes d’améliorations… Le point sur les enjeux à venir.

http://www.usinenouvelle.com/article/logistique-comment-combiner-d-veloppement-durable-et-r-duction-de-co-ts.140260

LOGISTIQUE : COMMENT COMBINER

DÉVELOPPEMENT DURABLE ET

RÉDUCTION DE COÛTS. Raphaële Karayan

dans L’Usine nouvelle du 5 juin 2008.

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140

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

La situation des transports en Ile-de-France est si paradoxale qu’elle va nécessiter de la part des politiques publiques une bonne dose de pédagogie auprès des habitants, mais aussi auprès des élus et des techniciens qui seront au moins aussi diffi ciles à convaincre. La prise en compte des contraintes spatio-temporelles et environnementale rend en effet obsolètes deux croyances implicites, et les deux caricatures de discours qu’elles produisent. Les envolées lyriques en faveur des transports en commun doivent être fortement relativisées ; le parti pris en faveur de l’automobile, des investis-sements routiers et autoroutiers doit lui aussi constater ses propres limites. À Paris comme à Londres, il va devenir de plus en plus évident que la mobilité ne peut être durable que si elle envoie des signaux explicites sur la rareté de l’espace et du temps… [Résumé d’auteur]

http://halshs.archives-ouvertes.fr/docs/00/29/92/10/PDF/Article_Crozet_Pouvoirs_Locaux.pdf

TRANSPORT ET MOBILITÉ DURABLE EN

ILE-DE-FRANCE : ENJEUX ET ISSUES.

Yves Crozet dans Pouvoirs locaux, n° 73, novembre 2007.

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Au moment où le Schéma Directeur de la Région Ile-de-France est en révision, cet ouvrage a pour ambition, à partir de constats qualitatifs, quantitatifs et des dynamiques à l’œuvre, de dégager les principales forces et faiblesses du système des transports. La mise en perspective des enjeux de déplacements des personnes et des marchandises avec le choix d’un aménagement multipolaire du territoire francilien, de ses liens avec l’extérieur, les questions de sécurité, de développement durable et de fi nancement, a conduit à l’élaboration de douze propositions spécifi ques visant à améliorer le fonctionnement général du système de transport francilien. [Résumé d’auteur]

http://www.ile-de-france.equipement.gouv.fr/article.php3?id_article=989

LES DÉPLACEMENTS EN

ILE-DE-FRANCE : 12 PROPOSITIONS

DE LA DREIF. DREIF,

novembre 2006.

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Page 143: La formation et les métiers du transport et de la logistique

141

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

F

La formation et les métiers du transport et de la logistique

Annexes

Page 144: La formation et les métiers du transport et de la logistique

142

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les nomenclatures

Nomenclature économique de synthèse (NES) n La Nomenclature économique de synthèse (NES), adoptée par l’INSEE en

1994, est une double nomenclature nationale – d’activités économiques et de produits – agrégée, pertinente pour l’analyse économique. La NES com-prend 3 niveaux comportant respectivement 16, 36 et 114 positions.

http://www.insee.fr/fr/nom_def_met/nomenclatures/nes/pages/nes.htm

Nomenclature d’activités française (NAF) n La nomenclature d’activités française révision 2 (NAF rév. 2, 2008) est la

nouvelle nomenclature statistique nationale d’activités qui se substitue depuis le 1er janvier 2008 à la NAF rév. 1 datant de 2003. La NAF comprend 5 niveaux comportant respectivement 21, 88, 272, 615 et 732 positions.

http://www.insee.fr/fr/nom_def_met/nomenclatures/naf2008/naf2008.htm

Nomenclature statistique des transports (NST) n Nomenclature uniforme des marchandises pour les statistiques des

transports, la NST 2007 codifi e la marchandise transportée. Elle met à jour la précédente version de 1974.

http://www.statistiques.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/NST2007_diffusion_v4_cle7c98be.pdf

Les nomenclatures de secteurs

Page 145: La formation et les métiers du transport et de la logistique

143

Annexes

Les nomenclatures de métiers

Professions et catégories socioprofessionnelles (PCS) n Cette nomenclature comporte quatre niveaux d’agrégation emboîtés. Au niveau le plus fi n,

un poste de la nomenclature PCS correspond à une profession, décrite par un code à 4 positions comportant trois chiffres et une lettre. Au niveau le plus agrégé se trouvent les groupes socioprofessionnels : 8 postes, correspondant au premier chiffre de la PCS. Les niveaux d’agrégation intermédiaires sont ceux des catégories socioprofessionnelles à deux chiffres : 42 postes avec une version agrégée en 24 postes.

Le niveau des professions comporte 486 postes d’actifs, et 11 postes supplémentaires pour les personnes sans activité professionnelle. Il existe une version de la nomenclature des professions plus détaillée à l’usage des entreprises, dite PCS-ESE.

http://www.insee.fr/fr/nom_def_met/nomenclatures/prof_cat_soc/pages/pcs.htm

Répertoire opérationnel des métiers et des emplois (ROME) n Le ROME est le Répertoire opérationnel des métiers et des emplois de Pôle emploi. Ce

répertoire sert à identifi er aussi précisément que possible chaque offre et chaque demande d’emploi afi n de pouvoir les rapprocher. Un peu plus de 10 000 appellations de métiers et emplois sont traitées à travers 466 fi ches emploi/métier. Le code ROME à 5 chiffres est celui d’un de ces emplois/métiers. Par exemple, 44211 correspond à agent de production en électricité et électronique.

La deuxième version du ROME, toujours en usage depuis 1993 et régulièrement mise à jour, sera remplacée en 2009 par une troisième version qui intégrera de nouveaux domaines et les évolutions intervenues dans les compétences de métiers déjà répertoriés.

http://www.anpe.fr/espacecandidat/romeligne/RliIndex.do

Page 146: La formation et les métiers du transport et de la logistique

144

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Familles professionnelles (FAP) n Les besoins d’analyse de l’emploi et du chômage ont conduit à la création

d’une nomenclature des métiers : les « Familles professionnelles » (FAP), qui est un rapprochement entre le ROME de Pôle emploi et la nomenclature des PCS de l’INSEE.

La FAP-2003 résulte d’une refonte de l’ancienne nomenclature (FAP-1993) suite à celle de la PCS par l’INSEE en 2003.

http://www.travail-solidarite.gouv.fr/Rubrique Études/Recherche, Statistiques => Statistiques => Métiers et qualifi cations => La nomenclature des Familles Professionnelles

Table de correspondance PCS, ROME vers FAP-2003http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/xls/2_FAP_PCS_ROME_23fev06.xls

Page 147: La formation et les métiers du transport et de la logistique

145

Annexes

Les Groupes Formation Emploi (GFE) et la démarche ARGOS

n La démarche ARGOS est née d’une volonté d’intervention globale et partagée pour une meilleure articulation entre l’offre régionale de formation et les besoins de l’économie. ARGOS rassemble, des informations statistiques pour rapprocher formation, emploi et marché du travail par grands corps de savoirs ou Groupes formation emploi (GFE). Au travers de l’animation de groupes témoins, ARGOS offre un espace de confrontation de points de vue à un large panorama d’acteurs : professionnels, partenaires sociaux, centres de formation… ARGOS est un outil d’aide à la décision pour orienter et coor-donner la politique régionale de formation professionnelle. [Résumé d’auteur]

http://www.cariforef-mp.asso.fr/2-14034-Demarche-Argos.php

Nomenclature NOVALOG n La nomenclature NOVALOG propose une vision d’ensemble des deux grandes fonctions de

la logistique que sont l’entreposage et la fonction de support (de la production, de la distribution, etc.) et des quatre principales familles d’activités identifi ées : la formulation et la mise en œuvre de la stratégie logistique, la direction des achats, la planifi cation et le contrôle de la production et l’entreposage.

http://www.novalog-project.org/french/nomen/

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146

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Les nomenclatures de formation

Nomenclature des spécialités de formation (NSF) n La NSF a été créée par le décret du 21 juin 1994. Son usage a été rendu

obligatoire dans les administrations pour la production de statistiques nationales.

http://www.cncp.gouv.fr/contenus/supp/supp_rncp_nsf.htm

Le Formacode® : thesaurus de l’offre de formation9e édition réalisée par le Centre INFFO, en 2008.

n Le thesaurus de l’offre de formation – Formacode® – est un outil documen-taire qui permet d’indexer les domaines de formation à l’aide de mots-clés (appelés aussi descripteurs), ainsi que les publics, les moyens pédagogiques, les modalités d’admission, etc. Ce thésaurus compte plus de 3 065 mots-clés, appelés « descripteurs », eux-mêmes organisés en 64 champs sémantiques regroupés en 14 grands domaines.

Les CARIF (Centres d’animation et de ressources de l’information sur la formation) l’utilisent pour indexer l’offre de formation dans leurs bases de données. Le Ministère en charge de l’emploi l’a également choisi pour indexer les domaines de formation dans le langage d’échange de données sur l’offre de formation intitulé Lhéo (www.lheo.org).

Carrefour entre les nomenclatures qui caractérisent les emplois et celles qui décrivent les formations, le Formacode® établit des correspondances avec le ROME de l’ANPE et la Nomenclature des spécialités de formation (NSF).

http://www.centre-inffo.fr/Le-Formacode-R-thesaurus-de-l.html

Page 149: La formation et les métiers du transport et de la logistique

147

Annexes

Les principales sources d’information

Portail de la statistique publiquehttp://www.statistique-publique.fr/

• Développé et administré par l’INSEE, Institut national de la statistique et des études économiques ;

• Mise à disposition de l’ensemble des données du système statistique public français.

DAREShttp://www.travail-solidarite.gouv.fr/spip.php?page=rubrique&id_rubrique=98

• Proposé par le Ministère en charge de l’emploi ;• Mise à disposition de l’ensemble des données statistiques gouvernementales concernant le

travail et l’emploi en général.

INSEE

National

http://www.insee.fr/

• Réalisé par l’INSEE, Institut national de la statistique et des études économiques ;• Missions : diffusion d’informations sur l’économie et la société française (indicateurs, mais

aussi nomenclatures, méthodes, etc.).

En Ile-de-France

http://www.insee.fr/fr/regions/idf/

• Réalisé par la DRINSEE, Direction régionale de l‘Institut national de la statistique et des études économiques d’Ile-de-France ;

• Missions : diffusion d’informations sur l’économie et la société en Ile-de-France.

Les sites institutionnels

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148

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

ONISEPhttp://www.onisep.fr/

• Réalisé par l’Offi ce national d’information sur les enseignements et les professions ;

• Missions : élaborer et diffuser auprès des élèves, des parents et des équipes éducatives toute l’information sur les formations et les métiers.

IAU Ile-de-Francehttp://www.iau-idf.org/

• Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Ile-de-France ;• Missions : proposer des politiques d’ensemble ou sectorielles d’aménagement

et de développement de l’Ile-de-France, concevoir des outils pour les mettre en œuvre ; assurer la fonction de centre d’analyse et de prospective sur le développement régional appuyé sur une force d’expertise interdisciplinaire.

OREF Ile-de-Francehttp://www.oref-idf.org/

• Observatoire régional de l’emploi et de la formation d’Ile-de-France ;• Missions : aide à la décision pour l’État, le Conseil régional Ile-de-France et

l’ensemble des acteurs qui ont à réfl échir sur la conception et la mise en place de politiques d’emploi, d’insertion et de formation sur les territoires franciliens.

Page 151: La formation et les métiers du transport et de la logistique

149

Annexes

Institut national de la recherche sur les transports et leur sécurité (INRETS)

n L’INRETS a pour mission d’effectuer, de faire effectuer ou d’évaluer toutes recherches et tous développements technologiques consacrés à l’amélioration des systèmes et moyens de transport et de circulation du point de vue technique, économique et social ; de mener dans ces domaines tous travaux d’expertise et de conseil, en particulier à la demande des administrations et services publics intéressés ; de valoriser les résultats de ses recherches et travaux, de contribuer à la diffusion des connaissances scientifi ques et de participer à la formation par et à la recherche dans le secteur des transports en France et à l’étranger.

http://www.inrets.fr/

Centre d’études sur les réseaux, les transports, l’urbanisme et les constructions publiques (CERTU)

n Le CERTU est chargé de conduire des études dans le domaine des réseaux urbains, des transports, de l’urbanisme et des constructions publiques, pour le compte de l’État ou au bénéfi ce des collectivités locales, établissements publics ou entreprises chargés de missions de service public ou des professions en cause. Il contribue au progrès des connaissances et des savoir-faire et à leur diffusion. Il participe également au développement des échanges d’expériences et à la promotion des techniques françaises à l’étranger. Dans son champ d’activités, il contribue à l’élaboration de la normalisation et de la réglementation technique ainsi qu’à la mise en œuvre des autres actions de l’État.

http://www.certu.fr/

Les centres de recherche

Page 152: La formation et les métiers du transport et de la logistique

150

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Laboratoire d’économie des transports (LET) n Laboratoire de recherche spécialisé en économie des transports et en

aménagement du territoire, le LET mobilise les concepts et outils de ces disciplines pour aborder l’analyse de la mobilité quotidienne des personnes et de la localisation des activités, la modélisation des transports de personnes et de marchandises, et l’analyse des politiques de transport.

http://www.let.fr/

Les archives du Let sont disponibles sur :http://halshs.archives-ouvertes.fr/LET/fr

Plate-forme de recherche et d’expérimentation pour le développement de l’information multimodale (PREDIM)

n Créée au sein du Programme français de recherche et d’innovation dans les transports terrestres (PREDIT), la PREDIM constitue un dispositif national d’appui mutualisé au bénéfi ce des autorités de transport et de manière générale de tous les acteurs désireux d’améliorer, par un dispositif d’information adéquat, la complémentarité des différents modes de transport et de déplacement, tant individuels que collectifs.

http://www.predim.org/

Page 153: La formation et les métiers du transport et de la logistique

151

Annexes

Les bases de données documentaires

TEMIS – Centre de documentation de l’aménagement et des transports (CDAT)http://temis.documentation.equipement.gouv.fr/recherche.xsp

• Réalisée par le Service économique et statistique (SES) de la Direction des affaires écono-miques et internationales (DAEI) ;

• Contenu : base de données bibliographiques TEMIS (60 000 références) rassemblant notamment les éléments qualitatifs et quantitatifs sur la socio-économie du transport aérien, ferroviaire, fl uvial, maritime, routier, ainsi que sur les questions en relation avec les transports telles que l’énergie, l’environnement, la planifi cation, la prospective, la sécurité, le travail…

La Documentation Françaisehttp://www.ladocumentationfrancaise.fr/

• Réalisé par le Secrétaire général du Gouvernement ;• Actualité politique, administrative, économique et sociale française, étrangère et interna-

tionale ;• Ouvrages ou rapports présentés sous forme de notices bibliographique parfois téléchar-

geables.

Portail documentaire du Céreqhttp://portail.cereq.fr/MASC25/

• Réalisé par le Céreq, Centre d’études et de recherches sur les qualifi cations ;• Ouvrages, articles, études présentés sous forme de notices bibliographiques.

Les publications du Céreq (Bref, Notes emploi formation, revue Formation emploi, etc.) et des dossiers documentaires sont téléchargeables.

Page 154: La formation et les métiers du transport et de la logistique

152

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Liste des sigles

ADEME : Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie

AFPA : Association nationale pour la formation professionnelle des adultes

AFT-IFTM : AFT - Association pour le développement de la formation professionnelle dans les Transports et IFTIM - Institut de formation aux techniques d’implantation et de manutention

ANPE : Agence nationale pour l’emploi

APE : Activité principale exercée

APEC : Association pour l’emploi des cadres

ARD : Agence régionale de développement

ARGOS : Analyse régionale pour les grandes orientations du schéma des formations

ASSEDIC : Association pour l’emploi dans l’industrie et le commerce

BMO : Besoins en main-d’œuvre

CARIF : Centre d’animation, de ressources et d’information sur les formations

CCI(P) : Chambre de commerce et d’industrie (de Paris)

CEP : Contrat d’étude prospective

Céreq : Centre d’études et de recherches sur les qualifi cations

CFA : Centre de formation d’apprentis

Page 155: La formation et les métiers du transport et de la logistique

153

Annexes

CIO : Centre d’information et d’orientation

CIJ/BIJ : Centre d’information jeunesse/Bureau d’information jeunesse

CNPE : Commission nationale paritaire professionnelle de l’emploi et de la formation professionnelle

CNT : Conseil national des transports

CPNE : Commission paritaire nationale de l’emploi

CRCI Paris Ile-de-France : Chambre régionale de commerce et d’industrie Paris Ile-de-France

CREDOC : Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie

DARES : Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques du Ministère en charge de l’emploi

DEPP : Direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance du Ministère en charge de l’Éducation

DMMO : Déclarations de mouvements de main-d’œuvre

DREIF : Direction régionale de l’équipement Ile-de-France

DRTEFP : Direction régionale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle

EMMO : Enquête sur les mouvements de main-d’œuvre

Page 156: La formation et les métiers du transport et de la logistique

154

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

FAP : Familles professionnelles

FNAM : Fédération nationale de l’aviation marchande

GARP : Groupement des Assedic de la région parisienne

GFE : Groupe formation-emploi

IAURIF : Institut d’aménagement et d’urbanisme de la région Ile-de-France (depuis 2008, IAU Ile-de-France)

INSEE : Institut national de la statistique et des études économiques

IPA : Insertion professionnelle des apprentis

IVA : Insertion dans la vie active

MEEDDAT : Ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire

NAF : Nomenclature d’activités française

ONISEP : Offi ce national d’information sur les enseignements et les professions

OPTL : Observatoire prospectif des métiers et qualifi cations dans les transports et la logistique

Page 157: La formation et les métiers du transport et de la logistique

155

Annexes

OREF : Observatoire régional emploi formation

ORT : Observatoire régional des transports

PCS : Professions et catégories socioprofessionnelles

PRDFP : Plan régional de développement des formations professionnelles

ROME : Répertoire opérationnel des métiers et des emplois

SES : Service économique et statistique (du Ministère en charge de l’écologie et des transports devenu par la suite SESP)

SESP : Service économique, statistiques et prospective (du Ministère en charge de l’écologie et des transports)

SRDE : Schéma régional de développement économique

TIC : Technologies de l’information et de la communication

TRM : Transport routier de marchandises

TRV : Transport routier de voyageurs

UNEDIC : Union nationale interprofessionnelle pour l’emploi dans le commerce et l’industrie

Page 158: La formation et les métiers du transport et de la logistique

156

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Notes

Page 159: La formation et les métiers du transport et de la logistique

157

Observatoire Régional de l’Emploi et de la Formation d’île-de-france

Notes

Page 160: La formation et les métiers du transport et de la logistique

158

OBSERVATOIRE RÉGIONAL DE L’EMPLOI ET DE LA FORMATION D’ÎLE-DE-FRANCE

Notes

Page 161: La formation et les métiers du transport et de la logistique

159

Observatoire Régional de l’Emploi et de la Formation d’île-de-france

Notes

Page 162: La formation et les métiers du transport et de la logistique
Page 163: La formation et les métiers du transport et de la logistique

THEMA N° 4 LA FORMATION ET LES MÉTIERS DU TRANSPORT ET DE LA LOGISTIQUE

dossier documentaire est une publication du groupement d’intérêt public CARIF Île-de-France,

département Observatoire Régional de l’Emploi et de la Formation d’Île-de-France16 avenue Jean Moulin - 75014 Paris. Tél. 01 56 53 32 32. Fax : 01 56 53 32 33.

GIP fi nancé par la Préfecture de Région et le Conseil régional d’Île-de-France.

Directrice de la publication : Michèle Valladon,Présidente du GIP CARIF Île-de-France.

Auteur : Itto Ben Haddou-Mousset Sous la direction de Christine Bruniaux et en collaboration avec Frédéric Lainé.

Crédit photos : Danielle Bonardelle, Mixage, Ominide, Vincent Bouchet.

Impression : Print-Concept 20, rue de l’Hêtre - 77750 Orly-sur-Morin.

GIP CARIF Île-de-France, Paris, Juillet 2009.

Page 164: La formation et les métiers du transport et de la logistique

GIP CARIF Île-de-France16, avenue Jean Moulin - 75014 Paris

Tél. : 01 56 53 32 32 - Fax : 01 56 53 32 33

GIP

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