l e s r a d i c a u x e t l e s l i g u e s chronique de l...

6
106 ' ANNEE. — N0 27 . LE NUMERO : VINGT CENTjMES C O D R R I E K JOURNAL DE L'ARRONDISSEMENT DE SENLIS Paraissant le anche I e *Û I-K C j USIVDJRIS F d m o t e»— ru© ^ a _ e o isr e : nvüc e isr t ç Un an — Six mots . A nos Bureaux Pr Poste 10 12 6 7 On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d’avance et continue de plein droit jusqu’à réception d’avis, contraire. Les Abonnements partent du i" de chaque mois —— BUREAUX . R U 1 ) t C T I 0 /^ l> M Î N f S T i l A ÎT O X BTrCN t,.T S 9, F*laoe rteuri-î'V. 9 BB:MT l _TS TÉLÉPHONE N° 4 OomKte Cf^que»-Po#t*ux PoH# 473-BÔ Directeur Commercial : B. VIGNON DIMANCHE 7 JUILLET 1935 9 - - X=T?ïT3C xmes Annonces l é g a le s. ........... ;.. ______ Ventés volontaires, - i’n LI ir i tS*r o m m en i a le s x isr s ie 3 E«•oc> a: o isr s 1 fr. 50 la ligne Demandes et offres d’emplois (Pour tous renseignements écrire au journal) Las manuscrit*, insérés ou non, ne sont pas rendus L es R ad icau x e t les L ig u es M. Herriot nous a causé bien de l’inquiétude ces jours derniers. La Ligue des Droits de l’Homme l’avait rejeté de son sein et l’on prêtait au ministre d ’E t a t l ’i n t e n t i o n d’abandonner la présidence du parti Radical et Radi cal-Socialiste, voire le parti lui-même. En quittant Lyon, l’autre soir, pour se rendre à la réunion du Comité exécutif, il avait prononcé des paro les émues et quelque peu menaçantes. Etant donnée la température de la saison on pouvait s’attendre à toutes sortes de catastrophes. Kérillis avait écrit un article pres que nécrologique où il avait fait le départ des qualités et des défauts de M. Herriot. La liste des défauts l’em portait de beaucoup sur celle des qualités si bien qu’au bout du compte Kérillis souhaitait que M. Herriot n’abandonnât poi nt le parti radical et radical-socialiste... Ses vœuç sont exaucés. M. Herriot n’abandonne pas le parti radical et radical-socialiste. La réunion du Comité exécutif s’est tenue et la grande bataille entre M. Herriot et les extrémistes de son parti n’a pas eu lieu. • * Peut-on dire qu’il n’y a rien de changé ? On ne peut jamais dire cela parce que toute heure qui passe est un pas en avant vers quelque chose qui est un sommet ou bien un trou, vers une perte ou un gain. En la circons tance, on peut regretter que M. Her riot n’ait pas essayé de faire entendre raison à son parti. Il a bien souligné sans doute la gravité de la situation financière. En déclarant que « le pro blème financier ne cesse d’être au centre de nos préoccupations », il a peut-être fait vibrer la corde sensible chez les radicaux, il leur a peut-être dit la seule vérité qui leur soit acces sible, mais il n’a pas dit toute la vérité. Loin de là ! M. Herriot n’a sans doute pas assez souffert pour se convertir à des idées plus saines. Lui qui cumule avec ses gros traitements sa retraite de professeur de l’Univer sité, il demeure un partisan. Il réser ve la reprise des luttes politiques pour le moment où les finances seront réta blies. « L’assainissement des finances publiques est », d’après lui, « la plus urgente nécessité non seulement fi nancière, mais politique du temps présent ». — « On ne peut se battre, dit-il, contre des « créanciers dont on a be soin jour par jour, heure par heu re... » Paroles vagues — à dessein sans doute — et inquiétantes. Qui sont ces créanciers dont on a besoin et contre lesquels on se propose de se battre quand on n’en aura plus besoin ? Comment un intellectuel de grande classe, — Edouard Herriot en est un, — peut-il manquer du sens histori que au point de déclarer que la Ré publique — telle que l’entendent les Les catastrophes de la semaine SERGENT DE VILLE OU CANTONNIER Il y a fort longtemps Aulnay-sous- Bois, comme son nom l’indique, se si tuait au milieu des bois et les braves gens isolés dans cette clairière, de vaient y vivre bien tranquilles en cul tivant fleurs et légumes, au loin taillis ou hautes futaies formaient la limite naturelle de ce domaine. Les arbres ont été abattus et mainte nant le territoire est sillonné de tramways, de lignes de chemin de fer, les pylônes d’électricité, à perte de vue, jalonnent de leurs câbles l’im mensité de cette banlieue parisienne. Les cheminées d’usine percent la mul titude de ces toitures recouvertes de tuiles mécaniques rouges et crachent par leur mufle une fumée noire com me pour marquer le deuil de la dispa rition des anciennes voûtes forestiè res. Plus de sangliers, d’animaux sau vages, seule une municipalité commu niste préside aux destinées de la com mune à la grânde satisfaction des électeurs fiers de cette victoire sur la —race des loups... Mais ces conseillers ne peuvent sentir à quinze pas l’uniforme des agents et supportent encore moins la silhouette de ces braves gens, indis pensables cependant, ne serait-ce que pour réglementer la circulation inten se des voitures automobiles. Ils ont décrété que sur 18 agents, il y en avait 15 de trop. Or, nous connaissons la bonté d’âme de ces communistes, ils décidèrent pour éviter le chômage, de convertir ces 15 fonctionnaires muni cipaux en 15.. cantonniers ! Les détenteurs du bâton blanc or ganisèrent une réunion corporative en matière de protestation. C’est là où le Maire fut embarrassé. Pour maintenir l’ordre fallait-il renommer ces 15 can tonniers... agents ? De cette façon, ils arrêtaient eux-mêmes l’action. Fallait- il au contraire faire appel à 15 pom piers ou à 15 autres cantonniers, agents bénévoles, pour mettre la main radicaux et radicaux-socialistes « est le régime définitif de la Fran ce » ? Qu’y a-t-il de définitif en fait de régime ’? Voyez la Russie, l’Alle magne, l’Italie ! Voyez l’Histoire, même en France, encore qu’en Fran ce, nous ne soyons guère sortis de l’esprit absolutiste. Les Ligues ? Mais c’est précisément le régime tel qu’il fonctionne actuel lement qui les a créées. Et ce, pour deux raisons. — Parce que le fonc tionnement du régime crée dans le Pays un état de tension insupporta ble. , L-e régime parlementaire smppose évidemment la diversité des partis et leur succession au pouvoir. Mais l’accès d’un parti au pouvoir ne doit marquer en somme qu’un succès d’es time pour ce parti, il ne doit apporter que des satisfactions d’ordre moral à ceux qui en bénéficient. Une fois au pouvoir, le parti qui y est arrivé ne doit plus être un parti, il doit être le Pays. La politique du pays ne doit être ni radicale, ni socialiste, ni ma çonnique, ni de droite, ni de gauche, elle doit être nationale. Et c’est pré cisément parce que les partis qui ont exercé le pouvoir l’ont fait d’une ma nière partisane qu’ils ont développé dans le pays cet esprit de malaise, d’inquiétude, de protestation q u ’i n carnent les Ligues. H y a plus. Le régime, tel qu’il fonctionne, n’absorbe plus toutes les énergies, il ne les utilise pas, il ne leur fait pas appel, il n’en tient pas compte. Or il y a dans le pays des énergies neuves, des énergies jeunes, des énergies inoccupées, méconnues, comprimées. Elles tendent à se faire jour, elles veulent agir. Il y a des es prits indépendants, hardis, vigoureux, à qui ne suffisent plus les idéologies périmées. Il leur faut des idées nou velles ou renouvelées, une mystique plus large, plus ardente que l’idéal étroit des anciens partis politiques. C’est de tout cela que sortent les Li gues. Supprimez la cause et vous sup primerez l’effet. Si vous n’en êtes pas capables : passez la main à d’autres. Voilà ce que M. Herriot devrait avoir dit aux membres du Comité exé cutif du parti radical et radical-socia liste. Ce grand parti pourrait certai nement jouer un rôle utile, à condi tion toutefois de ne pas « conserver sa ptersonnalité et sa figure » tradi tionnelles, ainsi que le lui demande M. Herriot, mais de s’ouvrir à des idées infiniment plus larges, à une mystique autrement humaine et com préhensive, à condition de refléter sur sa figure plus de traits authenti ques du vrai visage de la France éter nelle. Ces traits, il est douteux qu’il les trouve en regardant du côté de Moscou. A. C henet . au collet de ces 15 agents... canton niers bénévoles ? Mais tout se passa dans l’ordre. Les agents déchus votèrent un ordre du jour de consolation s’estimant heu reux, après tout, de ne plus être com me des ministres exposés à changer de portefeuille à chaque changement de municipalité et d’avoir enfin une place stable. A Aulnay, comme ailleurs, on peut dire des cantonniers : quand on y est... on y est. Et heureux ces 15 limogés, fiers de leurs routes superbement entretenues, grâce à leur assiduité au travail, mur murent tout bas en cassant des cail loux : On a beau faire, nous restons toujours fidèles à nos principes .... Qu’importe le képi pourvu qu’on ait l’ivresse d’une conscience tranquille et quel que soit notre emploi, cantonné à un carrefour ou cantonnier sur ces mêmes routes, on nous trouve tou jours... sur le bon chemin. Cantonniers vous avez raison. A Aulnay, comme ailleurs, les agents sont réellement de braves gens... Plumedoie. Grands Réseaux de Chemins de Fer Français AVIS A l’occasion de la Fête Nationale du 14 juillet, les billets d’aller et retour ordinaires délivrés à partir du mardi 9 juillet 1935, seront exceptionnelle ment valables, quelle que soit la dis tance, jusqu’au lundi 22 juillet 1935. Chemin de Fer du fiord PARI-NORD A LONDRES FETE NATIONALE FRANÇAISE ET CHALLENGE ROUND DE LA COUPE DAVIS fl mes Lecteurs et flmis Beaucoup do lecteurs m’écrivent pour me dire leur étonnement de ne plus voir mes articles depuis quelques semaines. Cet intérêt qu’ils me témoi gnent me touche profondément et je veux les rassurer : Peut-être m’excuseront-ils pour cet abandon momentané quand ils sau ront que j’ai mené une bataille électo rale dans l’arrondissement de Fontai nebleau qui s’est terminée par une magnifique • victoire remportée sur le front-commun ! C’est la septième de puis 3 ans ! Que mes amis veuillent bien m’ac corder quelques jours de repos avant de reprendre le collier et d’engager une dernière et décisive bataille ! Ils. peuvent être assurés que je ne ména-" gérai ni ma peine, ni mes efforts, pour mériter- la. confiance qu’ils m’accor- dent si largement et forcer Ja vmtnim- LEGENDRE. <*- - Sidi-Brahim de Compiègne e t de l’Oise « Je fum’rais bien z’une pipe, mais j’nai pas de tabac » Le Président La Tour de Brie a le plaisir de faire savoir à tous les ca marades anciens chasseurs que la fête de la Sidi-Brahim d’Hirson a lieu le 7 juillet prochain. Cette amicale, sœur de la nôtre,^ vient de nous inviter à assister en grand nombre à la remise solennelle de son fanion qui aura lieu ce jour-là. Nous nous (Jevons d’y ré pondre comme il convient et avec le plus grand empressement. Nous irons, très nombreux, rendre leur visite à nos camarades d’Hirson qui, le 3 mars der nier, nous envoyèrent une importante délégation. Le président compte sur la bonne volonté de tous. La journée du 7 juillet sera une belle fête chasseur que tous auront à cœur de vivre. Le déplacement se fera par autos particulières. Le président insiste vi vement auprès des camarades possé dant une voiture pour qu’ils se met tent à la disposition de la communauté ce jour-là. Ce sera une excellente oc casion pour « roder les soupapes ». Le départ aura lieu à 8 heures préci ses. Rassemblement à l’Hôtel du Pont- Neuf, chez Eyraud, à 7 h. 45. Camarades Chasseurs, n’attendez pas le dernier moment ; faites-vous connaître et inscrivez-vous tout de sui te chez le camarade Eyraud, secrétai re, Hôtel du Pont-Neuf, de façon à ar rêter au plus tôt les détails du dépla cement. La fête officielle commencera à Hir- son à 11 heures, au cours de laquelle un banquet chasseur sera servi à l’Hô tel de la Gare (prix : 22 francs, service compris) et où les dames et les en fants sont cordialement invités, Pour tous renseignements complé mentaires, s’adresser au camarade Ey raud, secrétaire, ou écrire au docteur La Tour de Brie, président, au Grand- frosnoy. Camarades Chasseurs de Compiègne et de l’Oise : « Entendez Fappel des clairons ». Fédération de l’Oise des Associations d’anciens Combattants et Victimes de Guerre s e i s t Diianche dernier a eu lieu à Senlis la Ilf Fête Régionale des Sociétés de Gymjastique Féminines du Comité de Picâflie, qui comporte dans sa Fédé- ratiej toutes les Sociétés de l’Oise, de l’Aisp et de. la Somme ; 15 Sociétés dontjplusieurs Sociétés parisiennes et de libanlieue avaient répondu à l’ap pel ces organisateurs ; les différentes manifestations qui se sont déroulées au Ours de la journée ont été parti- eufiélément appréciées par un public intédssé, et il y a lieu de féliciter les dirigeants de notre Société de Gym- piecUçette charmante fête qui à part iiifbl {^'U^^^chaTmante fête que à part pciijbs (ituctiis sur lesquels il il y a pas lieu de s’appesantir fut, très réussie. Avec l’appoint d’un certain nombre de nos concitoyens qui bénévolement ont prêté leur concours au Comité, Un délicieux menu auquel tous les convives firent honneur consacra une fois de plus l’excellente réputation de l’Hôtel des Arènes et de ses sympathi ques propriétaires, M. et Mme Duivort, chacun s’accorda à reconnaître qu’ils avaient droit à des félicitations, nous nous faisons volontiers l’interprète de ces compliments pleinement mérités. Banquet rempli de cordialité au cours duquel la note gaie se manifesta par les joyeux rires d’une jeunesse pleine d’entrain et dont les échos par venaient d’une salle voisine où l’on devinait que la gaîté et le bon appétit O I ;-v i < ï n I I <em o ri (, j\ 1 V> i t I r*<‘ joui*. Au dessert, M. Drexel, président du '« Réveil », prit le premier la parole. Au nom du « Réveil de Senlis », j’ai le grand honneur, dit-il, de saluer les personnalités qui ont bien voulu nous RENSEIGNEMENTS RELATIFS AUX PENSIONS DE GUERRE Délivrance de billets d’excursions à prix réduits, valables 17 jours : les 12 et .13 juillet, ainsi que du 19 au 21 juillet et le 20 juillet. tout s’est passé suivant l’ordre du pro gramme et chacun a pu admirer au cours de la journée, les gracieuses évo lutions de toute une pléiade de jeunes sportives qui, dans cet esprit, font honneur à leur sexe, qu’il s’agisse de . i.u.’ss- a pied, de travail aux barres parallèles, de saut en hauteur ou d’au tres exercices aussi variés que compli qués, on constate que la femme sur ce terrain ne le cède en rien à l’homme et qu’il existe de belles athlètes, aussi bien dans le sexe dit... faible que par mi les champions les plus réputés de nos associations d’éducation physique. Cette constatation est du reste sanc tionnée par les victoires retentissantes remportées par des femmes dans des compétitions sportives de plus grande envergure, à Paris et dans les clubs olympiques. La fête de dimanche nous a procuré l’occasion d’assister à un spectacle des plus intéressants dont nous allons re later les différentes phases. La matinée fut consacrée, sur le ter rain du Vélodrome, aux épreuves du concours en section et au champion nat, sous le contrôle des membres du Jury, les Sociétés durent se soumet tre à des exercices imposés, jusqu’à faire l’honneur de leur présence à l’occasion de la HP Fête Régionale de Gymnastique Féminine et d’éducation physique. Il ajoute : C’est un grand plaisir pour iipus de recevoir à Senlis, cité historique et toujours accueillante, tant d’éminentes personnes venues nous apporter leur encouragement et par leur présence, le meilleur et le plus précieux des té moignages de sympathie. Vous me per mettrez, Mesdames et Messieurs, de saluer tout d’abord Monsieur le Maire de Senlis et Messieurs les Membres de la Municipalité qui ont apporté à notre fête un concours efficace ayant parfaitement compris, qu’une mani festation comme celle-ci, tout l’intérêt évident qui s’en dégage tant au point de vue de l’éducation physique qu’au point de vue de la propagande utile à la ville de Senlis. Aux côtés de M. le Maire, je salue mon vieil et cher ami, le grand sportif Marcel Delarbre qui, entre 20 mani- festations, a choisi la nôtre pour nous apporter le précieux réconfort de sa présence. M. l’Archiprêtre, curé de la cathé drale de Senlis ; Des informations erronées relatives aux pensions de guerre ont été pu bliées. Il convient de préciser que les dépenses pour les pensions accordées en application des lois des 31 mars et 24 juin 1919, les allocations aux Grands Invalides, les indemnités de soins aux tuberculeux de guerre, se sont élevées en 1928, non à 4 milliards mais à 5 milliards 200 millions de francs. En 1935, après réajustement au coût de la vie, des pensions et alloca tions, ces mêmes dépenses, augmen tées depuis 1930, de la Retraite du Combattant, s’élèvent à 6 milliards 850 millions en diminution de 400 mil lions par rapport au budget de l’exer cice 1934. En 1935, il convient de noter que la dépense budgétaire atteindra 5 mil liards 950 millions, le surplus devant être fourni par la Loterie Nationale. Quant aux effectifs des pensionnés (invalides, veuves et ascendants) et aux effets de la mortalité sur le mou vement de ces effectifs, les chiffres s’établissent au premier janvier 1935, d’après les statistiques des Ministères des Finances et des Pensions, de IsT manière suivante : Pensionnés de la loi du 31 mars 1919 : 2.600.000 dont : 1.130.000 pensions d’invalides, 682.000 pensions de veuves et d’or phelins, 782.000 pensions d’ascendants. Il y a lieu également de signaler que dans le chiffre total de 2.600.000, et dans les catégories diverses ci-des sus, se trouvent comprises 88.000 pen sions d’invalides, 26.500 pensions de veuves et d’orphelins, et 24.000 pen sions d’ascendants qui se rapportent à des infirmités ou à des décès impu tables à des services accomplis avant ou après la guerre de 1914-1918 no tamment au cours de campagnes sur des théâtres d’opérations extérieures (Syrie-Maroc)i midi on eut le loisir d’admirer cet en semble de jeunes filles manœuvrant et défilant avec un ordre et une méthode remarquables. A midi 30, eut lieu à l’Hôtel des Arènes, un banquet qui réunissait au tour des officiels, les membres du Jury les Présidents de Sociétés, de nom breuses dames et un certain nombre de personnalités. A la table d’honneur, aux côtés de M. Marcel Delarbre, secrétaire général du comité national des Sports et du Comité Olympique, inspecteur de de l’éducation physique qui présidait, avaient pris place : M. Louât, maire de Senlis ; Drexel, président de la So ciété « Le Réveil » ; W arusfel, con- spllter). général ; Troncin, conseiller 'fSs^ndissement ; Commandant Bes nard de Baschet, représentant le Co lonel ,/le Damrémopt ; Delahaye, pré sident du comité de Picardie ; Gazeau, Lamy, conseillers municipaux ; Du- brulle, moniteur général ; Archiprêtre Dupuis ; Despatin, directeur des éco les ; Briziou, vice-président du « Ré veil ». Nous avons également noté la pré sence de M. Dumoulin, moniteur-chef du « Réveil » ; MM. Camus, secrétaire général de la Sous-Préfecture ; Ri- gault, lieutenant des Sapeurs-Pom piers ; Kastner, commissaire de poli ce ; Mme et Mlle Drexel, Mme De lahaye, Mlle Simon, Mme Leblanc, Mite Louchez, muse du « Réveil » ; MM. Bourdet, directeur des travaux ; François, Turlure, Flechjtier, Jacquot, Delvienne, Boulanger Daniel, Dubuf- fet, Briatte, Lepape, Déoafoire, Floren- tin* etc., etc. M. Warusfel, conseiller général ; M. Troncin, conseiller d’arrondisse ment, maire de Chamant ; MM. Gazeau et Lamy, conseillers mu nicipaux ; Madame et M. Delahaye, président du Comité de Picardie ; M. Jacquot, président de ,1a Fédéra* tion féminine de gymnastique de France ; M. Demarbre, professeur de l’Uni versité de Paris ; M. Dubrulle, moniteur général ; M. François . Narcisse, directeur de la Société de gymnastique de Bury, et MM. les Jurés. Je salue aussi : M. Bussière, préfet de l’Oise ; M. Dumoulin, sous-préfet ; M. Hulot, président du Tribunal Ci vil ; M. Chevalier, procureur de la Répu blique ; M. le Colonel du Cor de Damrémont; M. le Colonel Vauthier, directeur de l’éducation physique ; M. Honnet, président du comité de Paris ; M. Maudelonde, capitaine de gen darmerie ; M. Delamotte, association des socié tés de gymnastiques de l’Oise ; M. Prévost, président du Syndicat d’initiatives ; M. Julien, président d’honneur du « Réveil » ; M. Grimbert, l’ancien dévoué^ moni teur du « Réveil », qui empêchés d’as sister à notre banquet, se sont excu sés. Lire la suite dans A Travers Senlis, Chronique de l’Ile-de-France Jehanne d’flrc à la Bataille de Montépilloy par Georges GRANDJEAN {Suite et fin) Naturellement « une grande joie vint à ceux de Senlis qui tenaient pour le Roi de France ; beaucoup pleuraient, puisque c’est en pleurant qu’on expri me le plus de bonheur. Et sans doute par les lilas, de l’été d’Ile-de-France, alors que les trois cents routiers de l’héroïne, reposaient au camp ou cou raient les tavernes, Jehanne, Tort dé vote, vêtue en gentil chevalier « sou liers lacés dehors le pied, pourpoint et chausses justes, petit chapelet sur la tête, mantelet de soie bien fourrée aux épaules » (Chronique des Corde- 1i<*l'rt) . monta, souvent, no.nsive et re- cuciliie, vers les paTruis au ici ca trie ara- le, vers les flèches cathédrales qui do minent les avancés de Compiègne, de triste mémoire ! Alors on conçoit plei nement que ce nigaud de Bourgeois de Paris, dans je ne sais quelle satire, ait ironiquement déclaré que la sor cière « fut ydolastrée par les habitants de Senlis »... Ainsi l’héroïsme du « grand labeur » et la générosité, n’éveilleront jamais l’admiration sin cère, sans l’arrière moquerie des bé- cassons, bécasses et envieux, qu’aux âmes poulaires. Après celui d’Orléans, de Reims et de Trqyes, le bon peuple de Senlis entrait dans la lumière de Jehanne. Restait celui de Paris, où dominait le Bougeois « démocrate » et la truandaille cabochienne, vendus à Bourgogne. Aux premiers jours de septembre Charles VII décidait de marcher sur la Capitale. Sortant de Senlis, il reçut l’avis que toutes les cités environnan tes se rendaient à merci : Creil qui était alors française et non point hé braïque, Chantilly, Gournay, Luzar- ches, Ecouen, Lagny, firent acte de soumission ; les seigneurs de Mont morency et Mouy joignirent l’Ost royale à Ecouen et prêtèrent féal ser ment à Charles VIL Ainsi la bataille, indécise do Monté pilloy, délivra non seulement Senlis, mais / assura la conquête de THe-de- France, mieux que n’auraient fait dix mille horions et dix mille horionnés, navrés ou abandonnés pantelants sur la grande plaine toute blonde des chaumes. La fuite éperdue des Godons derrière leur Diable de duc, hardé aux fesses par Richemond, bousculé par Jehanne et par le Roi, donna définiti vement aux Lys, les jardins conquis par la Rose Rouge. * * ♦ ...Et, quelques mois plus tard, à Torée du printemps qui fait blanches toutes les haies du Valois, chantantes les forêts, d’Ermenonville à Chantilly, Jehanne une fois dernière, passait en core en vue de la tour médiévale, des Eglises de Senlis... Elle allait... reniée par son Roi, raillée par ce cafard sour nois de Renault de Chartres auquel son saint génie communiquait la verte foirade que toute supériorité commu niqua aux cuistres ! elle chevauchait vers le Nord, comme toujours suivie des deux Poton : Poton de Xaintrail- les et Poton de Bourgogne, d’Ambroise de Loré, Jean Fonçant, Jacques de Chabannes, Rigaud de Fontaines et de Geoffroy do Saint-Belin : âpres gail lards qui ne connaissaient d ’a u t r e métier, d’autre honneur, d’autre joie, qu’embûches, escalades, « buffes et torchons » ou grands coups d’épée... Elle allait... entraînant derrière elle les trois cents de Baretta, aux gueules cicatrisées, aux groins recuits et cou turés, aux hures infracassables... Elle allait : la Sainte Fille du Peuple fran çais, vers son destin inéluctable et normal- : la prison, les huées, le sup plice : vers le Martyre du feu lent et cruel, qui devait « consumer et réduire en cendres son corps net en entier qui ne fut jamais corrompu ». — Compiè gne et le bûcher n'étaient qu’à une étape. — « Mais ces grands torts et ingre- vances qui furent faits à Jehanne, Dieu lui-même, le Grand Juge, auquel elle en appelait, en a-t-il tenu comp te ? La cupidité des Grands, Tavarice des moyens, la sottise des foules, va lent-elles de pareils sacrifices ? » .... Je me posais ces questions, un soir, devant le Crépuscule, le vieux Donjon, témoin des luttes séculaires et farou ches des Rois d’Angleterre et des Rois de France, paraissait s’assoupir iner te et sombre, indifférent aux agita tions contemporaines. Sagesse Faite d’expérience, car l’homme n’a pas mo ralement progressé, en ce qu’il a d’ani mal, rien en lui n’a varié, et le rica nement terrible et pitoyable de Rabe lais poursuivra toujours les 'dévouées victimes de leur enthousiasme ou de leur générosité... Je pensais à ce Roi de France et à ce Roi d’Angleterre en lutte pour la possession d’un royaume dont ils étaient indignes aux mêmes titres... Les Lancastre sortaient d’une orgie chaude de sang ! Charles VII était un dégénéré, égoïste de nature, poussant l’ingratitude jusqu’à l’incons cience. Depuis Reims, il supportait avec impatience, cette jeune personne qui parlait tout le temps au nom de Dieu. Regnault de Chartres la trahis sait auprès du Roi et La Trémoille, bellâtre de cour, renchérissait sur les propos de l’Archevêque. Jehanne, par ces deux mirliflores, qui cherchaient à | détruire son crédit, était taxée d’ou- \ trance et de violence. Elle était « jus q u ’a u boutiste » d’instinct. « Sea

Upload: haquynh

Post on 13-Sep-2018

213 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

106' ANNEE. — N0 27. L E NUM ERO : VINGT CENTjM ES

C O D R R I E K

JOURNAL DE L'ARRONDISSEMENT DE SENLISP a ra is s a n t le an ch e

I e *Û I - K C j U S I V D J R I SF l é d m o t e»— • ru ©

a _ e o is r e : nvüc e is r t ç

Un an —Six mots .

A n o s B ureaux Pr P oste 10 126 7

On s’abonne aux Bureaux du Journal et dans tous les bureaux de poste. — L’abonnement est payable d ’avance et continue de plein droit jusqu’à réceptiond ’av is, c o n t r a i r e .

L e s A b o n n e m e n t s p a r t e n t d u i " d e c h a q u e m o i s

——B U R E A U X . R U 1 ) t C T I 0 / ^ l > M Î N f S T i lA ÎT O X

BTrCN t , . T S 9 , F * l a o e r t e u r i - î ' V . 9 B B :M T l_ T ST É L É P H O N E N° 4 OomKte Cf^que»-Po#t*ux PoH# 4 7 3 -BÔ

Directeur Commercial : B. VIGNON

DIMANCHE 7 JUILLET 1935

9

- - X=T?ïT3C x m e sAnnonces l é g a l e s . ........... ; . .

______ Ventés volontaires, - i’ n LI i r i tS*r o m m e n i a le s

x isr s ie 3E« •oc> a: o isr s1 fr. 50 la ligne

Demandes et offres d’emplois (Pour tous renseignements écrire au journal)

Las manuscrit*, insérés ou non, ne sont pas rendus

L e s R a d i c a u x e t l e s L i g u e s

M. H e rrio t n o u s a causé b ien de l’in q u ié tu d e ces jo u rs d e rn ie rs . L a L igue des D ro its de l ’H om m e l’a v a it re je té de

son se in e t l ’on p rê ta i t au m in is tre d ’E ta t l ’in te n tio n d ’a b a n d o n n e r la p ré s id e n c e d u p a r t i R ad ica l e t R ad i­ca l-Socialiste , vo ire le p a r t i lu i-m êm e. E n q u it ta n t Lyon, l’a u tre so ir, p o u r se re n d re à la ré u n io n d u C om ité exécu tif, il av a it p ro n o n cé des p a ro ­les ém ues et q u e lq u e p eu m en açan tes . E ta n t donnée la te m p é ra tu re de la sa ison on p o u v a it s ’a tte n d re à to u te s so rte s de ca ta s tro p h e s .

K érillis av a it éc rit u n a rtic le p re s ­que nécrologique où il avait fait le départ des qualités et des défauts deM. H e rr io t. L a lis te des d é fa u ts l ’em ­p o r ta i t de beau co u p su r celle des q u a lité s si b ien q u ’au b o u t d u com pte K érillis so u h a ita it que M. H errio t n ’ab a n d o n n â t poi n t le p a r t i ra d ic a l e t rad ica l-so c ia lis te ... Ses v œ u ç son t exaucés. M. H e rrio t n ’a b a n d o n n e pas le p a r t i rad ica l e t rad ica l-so c ia lis te . L a ré u n io n d u C om ité ex écu tif s ’est te n u e e t la g ran d e b a ta ille e n tre M. H e rr io t et les ex trém is te s de son p a r ti n ’a p as eu lieu .

• *P eu t-o n d ire q u ’il n ’y a r ie n de

ch an g é ? O n ne p e u t ja m a is d ire cela p a rc e que to u te h e u re qu i passe est un p a s en a v a n t v e rs q u e lq u e chose q u i es t un so m m et ou b ien un tro u , vers u n e p e rte ou u n gain . E n la c irco n s­tan ce , on p e u t re g re t te r que M. H er­r io t n ’a it p as essayé de fa ire e n te n d re ra iso n à son p a r ti. Il a b ien sou ligné san s dou te la g rav ité de la s itu a tio n fin an c iè re . E n d é c la ra n t que « le p ro ­b lèm e fin an c ie r ne cesse d ’ê tre au c e n tre de nos p réo ccu p a tio n s », il a p e u t-ê tre fa i t v ib re r la corde sensib le ch ez les rad icau x , il le u r a p e u t-ê tre d it la seu le v é rité q u i le u r so it acces­sible, m a is il n ’a p a s d it to u te la v é rité . L o in de là ! M. H e rrio t n ’a sa n s d o u te p a s assez so u ffe rt p o u r se co n v e rtir à des id é e s p lu s sa in es . L u i q u i cu m u le av ec ses gros tra ite m e n ts sa r e tra ite de p ro fe sse u r de l’U niver­sité, il d em eu re u n p a r tis a n . Il ré s e r ­ve la re p r ise des lu tte s p o litiq u es p o u r le m o m e n t où les finances se ro n t ré ta ­blies. « L ’a ssa in isse m e n t des finances p u b liq u e s e s t », d ’a p rè s lu i, « la p lu s u rg e n te n écessité n o n seu lem en t fi­n an c iè re , m a is p o litiq u e d u tem p s p ré se n t ».

— « O n ne p e u t se b a ttre , d it-il, c o n tre d es « c réan c ie rs d o n t on a be­so in jo u r p a r jo u r , h e u re p a r h e u ­re ... »

P aro les v ag u es — à d esse in san s d o u te — et in q u ié ta n te s . Q ui so n t ces c réan c ie rs d o n t on a beso in e t co n tre le sq u e ls on se p ro p o se de se b a ttre q u an d on n ’en a u ra p lu s beso in ?

C om m ent u n in te lle c tu e l de g ran d e classe, — E d o u a rd H e rr io t en est un , — p eu t-il m a n q u e r d u sens h is to r i­qu e au p o in t de d é c la re r q u e la R é­p u b liq u e — te lle que l ’e n te n d e n t les

Les catastrophesde la semaine

SERGENT DE VILLEOU CANTONNIER

Il y a fo rt long tem ps A u lnay -sous- Bois, com m e son nom l’ind ique, se s i­tu a it au m ilieu des bois e t les b raves gens isolés d an s cette c la iriè re , de­v a ien t y v ivre b ien tra n q u ille s en cu l­tiv a n t fleurs et légum es, au loin ta illis ou h au tes fu ta ies fo rm aien t la lim ite n a tu re lle de ce dom aine.

Les a rb re s on t été a b a ttu s e t m a in te ­n a n t le te rr ito ire es t s illonné de tram w ay s, de lignes de chem in de fer, les py lônes d ’élec tric ité , à p erte de vue, ja lo n n e n t de leu rs câb les l ’im ­m ensité de cette ban lieu e p a ris ien n e . Les chem inées d ’usin e p e rc e n t la m u l­titu d e de ces to itu res recouvertes de tu iles m écan iques rouges e t c rach en t p a r le u r m ufle une fum ée no ire com ­m e p o u r m a rq u e r le deuil de la d isp a ­ritio n des an c ien n es voûtes fo restiè­res. P lu s de san g lie rs , d ’an im au x sa u ­vages, seu le une m u n ic ip a lité com m u­n is te p résid e au x destinées de la com ­m une à la g rân d e sa tisfac tio n des é lec teu rs fiers de cette v icto ire s u r la

—race des loups...M ais ces conseille rs ne peuven t

se n tir à quinze p as l’un ifo rm e des ag en ts e t su p p o rte n t encore m oins la silhouette de ces b rav es gens, in d is ­p en sab les cep en d an t, ne se ra it-ce que p o u r rég lem en te r la c ircu la tio n in te n ­se des vo itu res autom obiles. Ils on t décrété que s u r 18 agen ts, il y en av a it15 de trop . Or, nous co nna issons la bonté d’âm e de ces com m unistes, ils d éc idèren t p o u r év ite r le chôm age, de co n v e rtir ces 15 fo n c tio n n a ires m u n i­c ip au x en 15.. c an to n n ie rs !

Les d é ten teu rs du b â to n b lan c o r­g a n isè re n t une réu n io n co rpo ra tive en m atiè re de p ro testa tio n . C’e s t là où le M aire fut em b arrassé . P o u r m a in te n ir l’o rd re fa lla it-il ren o m m er ces 15 c a n ­tonn iers... ag en ts ? De cette façon, ils a r rê ta ie n t eux-m êm es l ’action . F a lla it- il au co n tra ire fa ire appel à 15 pom ­p ie rs ou à 15 au tre s can to n n ie rs , ag en ts bénévoles, p o u r m ettre la m ain

ra d ic a u x e t rad icau x -so c ia lis te s — « e s t le rég im e dé fin itif de la F r a n ­ce » ? Q u’y a -t-il de d é fin itif en fa it de rég im e ’? Voyez la R ussie , l ’A lle­m agne, l ’Ita lie ! Voyez l ’H isto ire , m êm e en F ra n c e , enco re q u ’en F r a n ­ce, n o u s ne soyons guère so rtis de l ’e s p r i t ab so lu tis te .

Les L igues ? M ais c’e s t p réc isém en t le rég im e te l q u ’il fo n c tio n n e ac tu e l­le m e n t qu i les a créées. E t ce, p o u r d eux ra iso n s . — P a rce q u e le fonc­tio n n e m e n t du rég im e crée d an s le P ay s u n é ta t de te n s io n in su p p o r ta ­ble., L-e régime parlem entaire smpposeév id em m en t la d iv e rs ité des p a r tis et le u r succession a u p o u v o ir. M ais l ’accès d ’u n p a r t i au p o u v o ir ne do it m a rq u e r en som m e q u ’u n succès d ’es­tim e p o u r ce p a r ti, il ne d o it a p p o rte r que des sa tis fa c tio n s d ’o rd re m o ra l à ceux qu i en bénéfic ien t. U ne fo is au pouvo ir, le p a r t i qu i y e s t a rr iv é ne do it p lu s ê tre u n p a r ti , il do it ê tre le P ays. L a p o litiq u e du p ay s ne d o it ê tre n i rad ica le , ni socia lis te , n i m a ­ço n n iq u e , n i de d ro ite , n i de gauche, elle do it ê tre n a tio n a le . E t c’est p ré ­c isém en t p arce que les p a r t is qu i on t exercé le p o u v o ir l ’o n t fa i t d ’u n e m a ­n iè re p a r tis a n e q u ’ils on t développé d a n s le pay s cet e sp r it de m ala ise , d ’in q u ié tu d e , de p ro te s ta tio n q u ’in ­c a rn e n t les L igues.

H y a p lu s . Le rég im e, te l q u ’il fo n c tio n n e , n ’ab so rb e p lu s to u te s les énerg ies, il ne les u tilise p as , il ne le u r fa it p as appel, il n ’en tie n t p a s com pte . O r il y a d an s le pay s des énerg ies neuves, des énerg ies je u n e s , des én erg ies inoccupées, m éconnues, co m p rim ées. E lles te n d e n t à se fa ire jo u r , e lles v eu len t ag ir. Il y a d e s es­p r its in d é p e n d a n ts , h a rd is , v igou reux , à qu i ne su ffisen t p lu s les idéologies p érim ées. Il le u r fa u t des idées n o u ­velles ou renouvelées, u n e m y stiq u e p lu s la rge , p lu s ardente que l ’idéa l é tro it des an c ien s p a r t is p o litiq u es . C’est de to u t cela que so r te n t les L i­gues. S upprim ez la cause e t vous su p ­p rim erez l ’effet. Si vous n ’en êtes p a s cap ab les : passez la m a in à d ’a u tre s .

V oilà ce que M. H e rr io t d ev ra it av o ir d it au x m em b res du C om ité exé­cu tif du p a r t i ra d ic a l e t rad ica l-so c ia ­liste . Ce g ra n d p a r t i p o u r ra i t c e r ta i­n e m e n t jo u e r u n rô le u tile , à con d i­tio n to u te fo is de ne p as « co n se rv e r sa p tersonnalité e t sa figure » t r a d i ­tio n ne lles, a in s i que le lu i d em an d e M. H errio t, m ais de s’o u v r ir à des idées in fin im e n t p lu s la rg es , à u n e m y stiq u e a u tre m e n t h u m a in e e t com ­p réh en siv e , à co n d itio n de re flé te r s u r sa figure p lu s de t r a i t s a u th e n ti­q u e s d u v ra i v isage de la F ra n c e é te r ­nelle . Ces tra i ts , il es t d o u te u x q u ’il les tro u v e en re g a rd a n t du cô té de M oscou.

A . C h e n e t .

au co lle t de ces 15 agents... c a n to n ­n ie rs bénévoles ? M ais tou t se p a ssa d an s l’ordre .

Les ag en ts déchus v o tè ren t u n o rd re du jo u r de consolation s’e s tim a n t h eu ­reux , ap rè s tou t, de ne p lu s ê tre com ­me des m in is tre s exposés à c h an g e r de portefeu ille à chaque ch an g em en t de m u n ic ip a lité et d ’avo ir enfin une p lace stab le. A A ulnay , comme a illeu rs , on p eu t d ire des c an to n n ie rs : quand on y est... on y est.

E t h eu reu x ces 15 lim ogés, fiers de leu rs rou tes su p erb em en t en tre ten u es , g râce à le u r ass id u ité au trav a il, m u r­m u re n t to u t b as en c a ssa n t des ca il­loux : On a beau fa ire , nous resto n stou jo u rs fidèles à nos p rin c ip e s ....Qu’im porte le képi po u rv u q u ’on a it l ’iv resse d’une conscience tra n q u ille e t quel que soit n o tre em ploi, can to n n é à un c a rre fo u r ou c a n to n n ie r s u r ces m êm es rou tes, on nous trouve to u ­jours... s u r le bon chem in . C an tonn ie rs vous avez ra ison . A A ulnay , com m e a illeu rs , les ag en ts so n t rée llem en t de b rav es gens...

P lum edoie.

Grands Réseauxde Chemins de Fer Français

A V I S

A l ’occasion de la Fête N ationale du 14 ju ille t, les b ille ts d ’a lle r e t re to u r o rd in a ire s déliv rés à p a r t i r du m ard i 9 ju ille t 1935, se ro n t ex cep tionne lle ­m en t va lab les, quelle que soit la d is­tance, ju sq u ’au lu n d i 22 ju ille t 1935.

Chemin de Fer du fiordPARI-NORD A LONDRES

FETE NATIONALE FRANÇAISE ET CHALLENGE ROUND DE LA COUPE DAVIS

fl m es Lecteurs et flm isB eaucoup do lec teu rs m ’éc riv en t

p o u r me dire le u r é to n n em en t de ne p lus vo ir mes a rtic les depuis quelques sem aines. Cet in té rê t q u ’ils me tém oi­g n e n t me touche pro fondém ent et je veux les ra s su re r :

P eu t-ê tre m ’excusero n t-ils p o u r cet abandon m om entané quand ils sa u ­ro n t que j ’ai m ené une ba ta ille électo­ra le dans l’a rro n d issem en t de F o n ta i­neb leau qui s ’e s t te rm in ée p a r une m agnifique • v icto ire rem portée s u r le fron t-com m un ! C’es t la septièm e de­pu is 3 an s !

Que m es am is v eu illen t b ien m ’ac­co rder quelques jo u rs de repos av an t de re p re n d re le co llie r e t d ’en g ag er une d e rn iè re et décisive bata ille ! Ils. p eu v en t ê tre a ssu ré s que je ne ména-" g é ra i n i m a peine, n i m es efforts, pour mériter- la. confiance q u ’ils m ’accor- den t si la rg e m e n t e t fo rcer Ja v m tn im -

LEGENDRE. <*- -

Sidi-Brahim de Compiègne e t de l’Oise« Je fu m ’ra is b ien z’une pipe,

m ais j’n a i p as de tabac »Le P ré s id e n t La T o u r de B rie a le

p la is ir de fa ire savo ir à tous les ca ­m arad es anc iens ch asseu rs que la fête de la S id i-B rah im d ’H irson a lieu le 7 ju ille t p rocha in . Cette am icale, sœ u r de la nôtre,^ v ien t de nous in v ite r à a ss is te r en g ra n d nom bre à la rem ise so lennelle de son fan ion qui a u ra lieu ce jo u r-là . N ous nous (Jevons d’y ré ­pondre comme il convien t e t avec le p lus g ra n d em pressem ent. Nous irons, trè s nom breux , ren d re leu r v isite à nos cam arad es d ’H irson qui, le 3 m ars d e r­n ier, nous envoyèren t une im p o rtan te délégation . Le p ré s id e n t com pte su r la bonne volonté de tous. L a jou rnée du 7 ju ille t se ra u n e belle fête c h asseu r que tous a u ro n t à cœ u r de vivre.

Le d ép lacem en t se fe ra p a r autos p a rticu liè res . Le p ré s id e n t in siste v i­vem en t au p rè s des cam arad es possé­d a n t une vo itu re p o u r q u ’ils se m et­te n t à la d isposition de la com m unauté ce jo u r-là . Ce se ra u n e excellen te oc­casion p o u r « ro d er les soupapes ». Le d ép a rt a u ra lieu à 8 h eu res p réc i­ses. R assem blem ent à l’Hôtel du P o n t- Neuf, chez E yraud , à 7 h. 45.

C am arades C hasseurs, n ’attendez p as le d e rn ie r m om ent ; fa ites-vous co n n a ître et inscrivez-vous to u t de su i­te chez le cam arade E yraud , se c ré ta i­re , Hôtel du Pont-N euf, de façon à a r ­rê te r au p lus tôt les dé ta ils du dép la ­cem ent.

La fête officielle com m encera à H ir- son à 11 heures, au cours de laquelle un b a n q u e t c h asseu r s e ra serv i à l’Hô­tel de la Gare (p rix : 22 fran cs, service com pris) e t où les dam es e t les en ­fan ts so n t co rd ia lem en t invités,

P o u r tous ren se ig n em en ts com plé­m en ta ires, s ’a d re sse r au cam arad e Ey­raud , sec ré ta ire , ou éc rire au docteur La T our de B rie, p résid en t, au G rand- frosnoy.

C am arades C hasseurs de C om piègne e t de l’Oise :

« E n tendez F appel des c la iro n s ».

Fédération de l’Oise des Associations d’anciens Com battants e t Victimes de Guerre

s e i s t

D iian ch e d e rn ie r a eu lieu à Senlis la Ilf Fête R égionale des Sociétés de G ym jastique F ém in ines du Comité de Picâflie, qui com porte dans s a Fédé- ra tie j toutes les Sociétés de l’Oise, de l ’A isp e t de. la Somme ; 15 Sociétés don tjp lusieurs Sociétés p a ris ie n n e s et de l ib a n lie u e av a ien t rép o n d u à l’a p ­pel ces o rg a n isa te u rs ; les d ifférentes m anifestations qui se so n t déroulées au Ours de la jo u rn ée o n t été p a r ti- eufiélém ent app réc iées p a r u n public in tédssé , et il y a lieu de fé lic ite r les dirigeants de n o tre Société de Gym- piecUçette ch a rm an te fête qui à p a r tiiifbl { ^ 'U ^ ^ ^ ch a T m a n te f ê te q u e à p a r t

pciijbs (ituctiis sur lesquels ilil y a p as lieu de s ’ap p e sa n tir fu t, trè sréussie.

Avec l’a p p o in t d ’un ce rta in nom bre de nos concitoyens qu i bénévolem ent ont p rê té le u r concours au Comité,

Un délicieux m enu auquel tous les convives firen t h o n n e u r co n sac ra une fois de p lus l’excellente rép u ta tio n de l’Hôtel des A rènes e t de ses sy m p a th i­ques p ro p rié ta ire s , M. e t Mme Duivort, chacun s ’acco rd a à reco n n a ître q u ’ils ava ien t d ro it à des fé lic ita tions, nous nous fa isons vo lon tiers l ’in te rp rè te de ces com plim ents p le in em en t m érités.

B anquet rem pli de co rd ia lité au cours duquel la note gaie se m an ifesta p a r les joyeux r ire s d ’une jeu n esse p leine d ’e n tra in e t don t les échos p a r ­v en a ien t d ’une salle voisine où l ’on dev in a it que la g a îté e t le bon ap p é titO I ;-v i < ï n I I <em o ri (, j \ 1 V> i t I r*<‘ j o u i * .

Au dessert, M . D rexel, p ré s id en t du '« Réveil », p r i t le p rem ie r la parole.

Au nom du « Réveil de S en lis », j ’a i le g ra n d h o n n eu r, d it-il, de sa lu e r les p e rso n n a lité s qui on t b ien voulu nous

RENSEIGNEMENTS RELATIFSAUX PENSIONS DE GUERRE

D élivrance de b ille ts d ’excu rsions à p r ix réd u its , va lab les 17 jo u rs : les 12 et .13 ju ille t, a in si que du 19 au 21 ju ille t e t le 20 ju ille t.

tout s’est p assé su iv a n t l’o rd re du p ro ­gram m e et chacun a p u a d m ire r au cours de la jou rnée , les g rac ieuses évo­lu tions de toute une p léiade de jeu n es sportives qui, dan s cet e sp rit, font h o n n eu r à le u r sexe, qu’il s’agisse de . i.u.’ss- a p ied , de tra v a il au x b a rre s para llè les, de sa u t en h a u te u r ou d ’a u ­tres exercices au ss i v a rié s que com pli­qués, on constate que la fem m e su r ce te r ra in ne le cède en r ien à l’hom m e et q u ’il ex iste de belles athlètes, aussi b ien dans le sexe dit... faible que p a r ­m i les cham pions les p lus rép u té s de nos associations d ’éducation physique. Cette co nsta ta tion est du reste san c ­tionnée p a r les v ic to ires re te n tissa n te s rem portées p a r des fem m es d an s des com pétitions sportives de p lu s g ran d e envergure, à P a r is e t dan s les clubs olym piques.

L a fête de d im anche nous a p ro cu ré l ’occasion d ’a s s is te r à u n spectacle des p lus in té ressan ts d o n t nous allons re ­la te r les d ifféren tes phases.

La m atinée fu t consacrée, s u r le te r ­ra in du V élodrom e, au x épreuves du concours en section e t au cham p io n ­n a t, sous le contrô le des m em bres du Ju ry , les Sociétés d u re n t se soum et­tre à des exercices im posés, ju sq u ’à

fa ire l’h o n n eu r de le u r p résence à l’occasion de la H P Fête R égionale de G ym nastique F ém in ine et d ’éducation physique.

Il a jou te :C’est u n g ra n d p la is ir p o u r iipus de

recevo ir à S enlis, cité h is to riq u e et tou jou rs accueillan te , ta n t d ’ém inen tes p erso n n es venues nous a p p o rte r le u r encouragem en t e t p a r le u r p résence , le m e illeu r et le p lu s p réc ieu x des té ­m oignages de sym path ie . Vous me p e r ­m ettrez , M esdam es e t M essieurs, de sa lu e r to u t d ’abo rd M onsieur le M aire de Sen lis e t M essieurs les M em bres de la M unic ipalité qui on t ap p o rté à no tre fête u n concours efficace a y an t p a rfa item en t com pris, q u ’une m an i­festa tion com m e celle-ci, tou t l ’in té rê t év iden t qui s ’en dégage ta n t au p o in t de vue de l ’éducation p h ysique q u ’au p o in t de vue de la p ro p ag an d e u tile à la ville de Senlis.

Aux côtés de M. le M aire, je sa lue m on vieil e t ch e r am i, le g ra n d spo rtif M arcel D elarb re qui, e n tre 20 m an i- festa tions, a choisi la n ô tre p o u r nous ap p o rte r le p réc ieu x récon fo rt de sa p résence.

M. l’A rch ip rê tre , cu ré de la ca th é ­d ra le de Sen lis ;

Des in fo rm ations erronées re la tives au x pensions de g u erre ont été p u ­bliées. Il conv ien t de p réc ise r que les dépenses p o u r les pensions accordées en app lica tion des lois des 31 m ars et 24 ju in 1919, les a llocations aux G rands Inva lides, les indem nités de so ins aux tu b ercu leu x de g u erre , se son t élevées en 1928, non à 4 m illia rd s m ais à 5 m illia rd s 200 m illions de francs. En 1935, ap rès réa ju s tem en t au coût de la vie, des pensions et a lloca­tions, ces m êm es dépenses, a u g m en ­tées depu is 1930, de la R e tra ite du C om battant, s ’élèvent à 6 m illia rd s 850 m illions en d im inu tion de 400 m il­lions p a r ra p p o rt au bu d g et de l’ex er­cice 1934.

En 1935, il conv ien t de n o te r que la dépense b u d g é ta ire a tte in d ra 5 m il­lia rd s 950 m illions, le su rp lu s devan t ê tre fou rn i p a r la Loterie N ationale.

Q uant au x effectifs des pensionnés (invalides, veuves e t ascen d an ts) e t au x effets de la m o rta lité su r le m ou­v em en t de ces effectifs, les chiffres s ’é tab lissen t au p re m ie r ja n v ie r 1935, d ’ap rès les s ta tis tiq u es des M inistères des F in an ces e t des P ensions, de IsT m an iè re su iv an te :

P en sio n n és de la loi du 31 m ars 1919 : 2.600.000 d o n t :

1.130.000 p en sions d ’invalides,682.000 p en sions de veuves e t d ’o r­

phelin s,782.000 pensions d ’ascen d an ts .

Il y a lieu ég a lem en t de s ig n a le r que dan s le chiffre to ta l de 2.600.000, e t d an s les catégories d iverses c i-des­sus, se trouven t com prises 88.000 p en ­sions d ’invalides, 26.500 pensions de veuves et d ’o rp h e lin s , et 24.000 p en ­sions d ’a scen d an ts qu i se ra p p o rte n t à des in firm ités ou à des décès im pu­tab les à des serv ices accom plis a v an t ou ap rès la g u erre de 1914-1918 no­tam m en t au cours de cam pagnes su r des th éâ tre s d ’o p éra tions ex té rieu res (S yrie-M aroc)i

m idi on eu t le lo is ir d ’a d m ire r cet e n ­sem ble de jeu n es filles m a n œ u v ra n t et défilant avec u n o rd re e t une m éthode rem arquables.

A m idi 30, e u t lieu à l’Hôtel des A rènes, un b a n q u e t qu i ré u n is sa it a u ­tou r des officiels, les m em bres du J u ry les P résid en ts de Sociétés, de nom ­breuses dam es et u n ce rta in nom bre de personnalités .

A la tab le d’h o n n eu r, au x côtés de M. M arcel D elarbre , sec ré ta ire g én éra l du comité n a tio n a l des S p o rts e t du Comité O lym pique, in sp e c te u r de de l ’éducation physique qui p résid a it, avaient p ris place : M. Louât, m aire de Senlis ; Drexel, p ré s id e n t de la So­ciété « Le Réveil » ; W aru sfe l, con- spllter). gén é ra l ; T ro n c in , co nse ille r 'fSs^ n d is s e m e n t ; C om m andan t Bes nard de B aschet, re p ré se n ta n t le Co­lonel ,/le D am rém opt ; D elahaye, p ré ­sident du com ité de P ica rd ie ; Gazeau, Lamy, conseillers m u n ic ip au x ; Du- brulle, m on iteu r gén éra l ; A rch ip rê tre Dupuis ; D espatin , d ire c te u r des éco­les ; Briziou, v ice -p résid en t du « Ré­veil ».

Nous avons éga lem en t noté la p ré ­sence de M. D um oulin , m on iteu r-chef du « Réveil » ; MM. Cam us, sec ré ta ire général de la S o u s-P ré fec tu re ; Ri- gau lt, lie u te n a n t des S ap eu rs-P o m ­piers ; K astner, com m issaire de po li­ce ; Mme e t Mlle D rexel, Mme De­lahaye, Mlle S im on, Mme L eblanc, Mite Louchez, m use du « Réveil » ; MM. Bourdet, d ire c te u r des trav au x ; F rançois, T u rlu re , Flechjtier, Jacquo t, D elvienne, B o u lan g er D aniel, D ubuf- fet, B riatte , L epape, Déoafoire, F lo ren - tin* etc., etc.

M. W aru sfe l, conse ille r g én é ra l ;M. T ronc in , conseille r d ’a rro n d isse ­

m ent, m aire de C ham ant ;MM. Gazeau e t Lam y, conseille rs m u ­

n ic ip au x ;M adam e e t M. D elahaye, p ré s id e n t

du Comité de P ica rd ie ;M. Jacq u o t, p ré s id e n t de ,1a F éd éra*

tion fém in ine de gym n astiq u e de F ran ce ;

M. D em arbre, p ro fesseu r de l’U ni­versité de P a r is ;

M. D ubru lle , m o n iteu r g én éra l ;M. F ran ço is . N arcisse , d ire c te u r de

la Société de gym n astiq u e de B ury , e t MM. les Ju rés .

Je sa lue au ss i :M. B ussière , p ré fe t de l ’Oise ;M. D um oulin, so u s-p ré fe t ;M. Hulot, p ré s id en t du T rib u n a l Ci­

vil ;M. C hevalier, p ro c u re u r de la R épu­

b lique ;M. le Colonel du Cor de D am rém ont;M. le Colonel V au th ie r, d irec teu r de

l’éducation physique ;M. H onnet, p ré s id en t du com ité de

P a ris ;M. M audelonde, cap ita in e de g en ­

da rm erie ;M. D elam otte, associa tion des socié­

tés de g y m n astiq u es de l’Oise ;M. P révost, p ré s id e n t du S y n d ica t

d ’in itia tiv e s ;M. Ju lien , p ré s id e n t d ’h o n n e u r du

« Réveil » ;M. G rim bert, l ’an c ien dévoué^ m on i­

te u r du « Réveil », qui em pêchés d ’a s ­s is te r à n o tre b an q u e t, se so n t ex cu ­sés.

L ire la su ite d an s A T ravers Sen lis,

Chronique de l’Ile-de-FranceJehanne d’flrc

à la Bataille de Montépilloyp a r Georges GRANDJEAN

{Suite et f in )N atu re llem en t « une g ran d e joie v in t

à ceux de S en lis qui te n a ie n t p o u r le Roi de F ran ce ; beaucoup p leu ra ien t, pu isque c ’es t en p le u ra n t q u ’on e x p ri­me le p lus de b onheur. E t san s doute p a r les lilas , de l ’été d ’Ile -d e-F ran ce , a lo rs que les tro is cen ts ro u tie rs de l ’héro ïne , rep o sa ien t au cam p ou cou­ra ie n t les tavernes, Jeh an n e , Tort dé­vote, vêtue en gen til ch ev a lie r « sou ­lie rs lacés dehors le p ied , p o u rp o in t e t chau sses ju s te s , p e tit ch ap e le t su r la tête, m an te le t de soie b ien fourrée au x épau les » (C hronique des Corde-1 i <*l 'r t ) . m o n t a , s o u v e n t , n o . n s i v e e t r e - cuciliie, vers les paTruis au ici ca trie a ra -le, vers les flèches ca th éd ra les qu i do­m in e n t les avancés de Com piègne, de tr is te m ém oire ! A lors on conçoit p le i­nem en t que ce n ig au d de B ourgeois de P a ris , dan s je ne sais quelle sa tire , a it iro n iq u em en t déclaré que la so r­cière « fu t ydo lastrée p a r les h a b ita n ts de Sen lis »... A insi l ’héro ïsm e du « g ra n d lab eu r » e t la générosité , n ’év e ille ro n t jam ais l’ad m ira tio n s in ­cère, san s l’a rr iè re m oquerie des bé- cassons, bécasses e t envieux, q u ’au x âm es p ou la ires. A près celu i d ’O rléans, de R eim s e t de T rqyes, le bon peup le de S en lis e n tra it dan s la lum ière de Jeh an n e . R esta it celu i de P a r is , où d om in a it le Bougeois « dém ocrate » et la tru a n d a ille caboch ienne, vendus à B ourgogne.

Aux p rem ie rs jo u rs de sep tem bre C harles VII déc ida it de m a rc h e r su r la C apitale. S o rta n t de Senlis, il reçu t l ’avis q u e tou tes les cités e n v iro n n a n ­tes se re n d a ie n t à m erci : Creil qui é ta it a lo rs fran ça ise e t non p o in t h é ­b ra ïq u e , C hantilly , G ournay, L u zar- ches, Ecouen, L agny, f iren t acte de soum ission ; les se ig n eu rs de M ont­m orency et M ouy jo ig n ire n t l ’Ost royale à Ecouen et p rê tè re n t féal se r­m en t à C harles VIL

A insi la ba ta ille , indécise do M onté­pilloy, d é liv ra non seu lem en t S enlis, m ais / a s su ra la conquête de THe-de- F ran ce , m ieux que n ’a u ra ie n t fa it d ix m ille ho rions e t d ix m ille ho rionnés, n av rés ou ab an d o n n és p a n te la n ts s u r la g ran d e p la in e tou te b londe des chaum es. L a fu ite ép erd u e des Godons d e rriè re le u r D iable de duc, h a rd é au x fesses p a r R ichem ond, bousculé p a r Je h a n n e e t p a r le Roi, d o n n a défin iti­vem en t au x Lys, les ja rd in s conquis p a r la Rose Rouge.

** ♦

...Et, quelques m ois p lu s ta rd , à Torée du p rin tem p s qu i fa it b lanches toutes les ha ies du V alois, ch an tan te s les forêts, d ’E rm enonv ille à C han tilly , Je h a n n e une fois d e rn iè re , p a s sa it e n ­core en vue de la to u r m édiévale, des Eglises de Senlis... Elle allait... ren iée p a r son Roi, ra illée p a r ce ca fa rd so u r­nois de R en au lt de C h artre s auquel son sa in t gén ie co m m uniqua it la verte fo irade que tou te su p ério rité com m u­n iq u a au x cu is tre s ! elle ch ev au ch ait vers le N ord, com m e tou jo u rs suivie des deux Poton : Poton de X a in tra il- les e t Poton de B ourgogne, d ’A m broise de Loré, Je a n F onçan t, Jacq u es de C habannes, R igaud de F o n ta in es et de Geoffroy do S a in t-B e lin : âp re s g a il­la rd s qui ne c o n n a issa ie n t d ’a u tre m étier, d ’au tre h o n n eu r, d ’a u tre joie, q u ’em bûches, esca lades, « buffes et to rchons » ou g ran d s coups d ’épée... Elle allait... e n tra în a n t d e rriè re elle les tro is cen ts de B are tta , au x gueu les c ica trisées , au x g ro in s recu its e t cou­tu rés, aux h u re s in fracassab les ... Elle a lla it : la S a in te F ille du P eup le f ra n ­çais, vers son d estin iné luc tab le e t n o rm al- : la p riso n , les huées, le su p ­plice : vers le M arty re du feu le n t e t c ruel, qui d evait « consum er e t réd u ire en cend res son corps n e t en e n tie r qui ne fu t jam ais co rrom pu ». — Com piè­gne e t le b û c h e r n 'é ta ie n t qu ’à u n e étape.

— « M ais ces g ra n d s to rts e t in g re - vances qu i fu re n t fa its à Je h a n n e , D ieu lu i-m êm e, le G rand Ju g e , auquel elle en app e la it, en a -t-il te n u com p­te ? L a cup id ité des G rands, T avarice des m oyens, la so ttise des foules, v a ­len t-e lles de p a re ils sacrifices ? »....Je me posais ces questions, u n soir, d ev an t le C répuscule, le v ieux D onjon, tém oin des lu tte s sécu la ire s e t fa ro u ­ches des Rois d ’A n g le te rre e t des Rois de F ran ce , p a ra is sa it s ’a sso u p ir in e r­t e e t som bre, in d iffé ren t au x a g ita ­tions con tem poraines. Sagesse Faite d ’expérience, c a r l’hom m e n ’a p a s m o­ra lem en t p ro g ressé , en ce q u ’il a d ’a n i­m al, r ien en lu i n ’a varié , e t le r ic a ­nem en t te rr ib le e t p itoyab le de R abe­la is p o u rsu iv ra to u jo u rs les 'dévouées v ictim es de le u r en thousiasm e ou de le u r générosité ... Je p en sa is à ce Roi de F ran ce e t à ce Roi d ’A ng le te rre en lu tte p o u r la possession d ’un royaum e don t ils é ta ien t in d ig n es au x m êm es titres... Les L an castre so r ta ie n t d ’une org ie ch au d e de sa n g ! C harles VII é ta it u n dégénéré, égoïste de n a tu re , p o u ssa n t l’in g ra titu d e ju sq u ’à l’in co n s­cience. D epuis R eim s, il su p p o rta it avec im patience , cette jeu n e p e rso n n e qu i p a r la i t to u t le tem ps au nom de Dieu. R eg n au lt de C h artre s la t r a h is ­sa it au p rè s du Roi e t L a T rém oille , b e llâ tre de cour, re n c h é ris sa it s u r les p ropos de l’A rchevêque. Jeh an n e , p a r ces deux m irliflo res, qui c h e rch a ien t à

| d é tru ire son créd it, é ta it taxée d’ou- \ tran ce e t de violence. Elle é ta it « ju s ­

q u ’au b ou tiste » d’in stin c t. « Sea

voix » 1«1 d isa ien t q u ’on ne d ev a it tra ite r aTeC un Bedford q u ’ap rè s avo ir acculé ses d e rn ie rs a rc b e rs à la m er. Cette; lu tté féroce, im placab le , com ­mencée. an tem ps de P h ilip p e-lc -S e l en 1294, ne pouvait p re n d re lin tan t q u e i 'A n tâa ts a u ra it possédé u n lam ­beau du B ordelais ou de la N orm andie^Ni e b é r trs , ni tra ite s ne v a la ien t con­tre une invasion de (ioddorfis tra în é s du N ord au Sud de la. F ran ce , p a r tous les l’rinees N oirs et Duc à la itose b lanche ou rouge, depu is c en t Irenle années... J e a n n e le « sen ta it » e't to u t le savoir, tou te la cau te leuse d ip lom a­tie ou le p h a risa ïsm e d ’u a cu is tre fo rt clerc e t très in s tru it, ne « te n a ie n t » po in t d ev an t les b o u rrad es et bu tïes tle la L orra ine .

...Ce fu t avec un réel sou lagem en t que C hartes VII la vit p a r t i r po u r C onipiègne, e t tout p résum e qu ’il a p ­p r ît l a p rise de la Pueelle, avec le p la i­s ir sec re t q u ’ép ro u v en t gens fo rt d is­tingués q u an d ils so n t d é b a rra ssé s d ’u n bon se rv ite u r don t ils n ’on t p lus besoin:

Q uan t au x A nglais le u r jeu est resté c la ir. H enri VI av a it payé ch e r la p r i ­son n iè re de P h ilippc-le -B on , p arce q u ’il e sp é ra it re n d re nu l le sac re de Reim s. F a ire c o n d am n er Jeh an n e , com m e D ém oniaque S o rc ière ou r i- baude possédée du Diable, c ’é ta it, face d ’opin ion pub lique , - d ém o n tre r que C harles n’é ta it q u ’un av en tu rie r , un im p o steu r que la v e rtu eu se A n g le te r­re se d evait de déposer p u is d ’encager, comme singe, a y a n t volé des no ix de Galle, dan s la vieille to u r à cla ire-voie de Gui de D am pierre.

En de telles occu rren ces l ’on trouve tou jou rs u n C auchon, p o u r dém o n tre r que la Ju stice es t conform e à la R aison d ’E tat. Que pouva it p e se r le bon d ro it de Je h a n n e d ev an t « le fa it du P r in ­ce !... Ce, q u ’il p è se ra it a u jo u rd ’hu i de­v a n t « le fa it de la R épublique. »

E t quelques m ois ap rè s ê tre p assé d ev an t S enlis, voilà pou rquo i J e h a n ­ne d ’Ai dite d ’A rc, « qu i s’e s t fa it nom ­m er Pueellc , m en teresse , ab u se ressetH1 s-d^poi-sti-ti-euse,nl-asphem eresse de Dieii, p résom p 1 neu- se, m o lcréau t de, la foy de Jh csu s- C hrist, v an te resse , y do lâ tre , cruelle dissolue, invocatrice de d iab les, apos­ta te , sch ism atique e t h éré tiq u e » m on la s u r le b û ch er du V ieux M arché.

D epuis 1431, les Ju g es ne s ’é ta ien t p o in t couverts d ’u n tel opprobre . On ne trouve dans la. légende des tem ps que la P assio n qui p u isse ê tre m ise en re ­ga rd de l ’héro ïque a v en tu riè re et des ou trag es infligés à cette p au v re e n ­fant... C’est tou t le génie, la can d eu r, l’in telligence , la fran ch ise , la d ro itu re déshonorés p u is liv rés au x flam m es et j à la. huée des fouies, p a r les b an q u ie rs du T em ple e t les Ju g es com plices du Pouvoir.

...Si vous croyez que les choses on t changé, m alg ré les c ierges qui b rû le n t au to u r de S a in te Je a n n e d’A rc e t les cavalcades économ iques o rgan isées « en h o n n e u r », « do la S a in te la p lu s g ran d e ap rès S a in te M arie !!! c ’est que la c a n d e u r des ê tres e s t p a re ille ­m ent restée la même.

Georges GRANDJEAN.

44, A venue G abriel (VIIP)Le 27 ju in 1935,

M onsieur le D irec teu r d u « C o u rrie r de l ’Oise »,

Senlis.M onsieur le D irec teur,

Je relève d an s vo tre jo u rn a l, sous la s ig n a tu re de M. Georges G ran d jean , un a rtic le où je su is tra ité de m étèque.

B ien que l ’éno rm ité de la chose e n ­lève toute espèce de v a le u r à cette af­firm ation , je tiens néan m o in s, p o u r réd ifica tio n de vos lec teu rs e t u sa n t de m on d ro it s tric t, à vous p r ie r de p u ­b lie r dan s votre p lu s p ro ch a in num éro e t en m êm e p lace, les deux c ita tions su iv an tes qui m ’on t été décernées p e n ­d a n t la g u erre d u ra n t laque lle j ’ai se r­vi en qu a lité d’engagé v o lon ta ire :

O rdre 941 D. — Le G énéral Com­m a n d a n t en chef cite à l ’o rd re de l ’a r ­m ée :

M. W ien e r de C roisset, so u s-lieu te ­n a n t a u 19” escad ro n du tra in des équ ipages m ilita ire s , serv ice des con­vois autom obiles, dé taché à l ’arm ée belge :

« B lessé le 1er ja n v ie r à 6 h eu re s du « so ir, a_ con tinué sa m ission e t n ’a « accepté de se fa ire so ig n e r que fo rt « ta rd dan s la n u it e t u n e fois seu le- « m en t s a m ission te rm in ée ».

Au G rand Q u a rtie r G énéral, le 20 m ai 1915.

Le G énéral C om m andan t en chef, J. Joffre.

E x tra it du « J o u rn a l Officiel » du 1 " novem bre 1917.

E st adm is à co m p ter du 16 sep tem ­b re 1917 au tra ite m e n t de la C roix de la Légion d ’h o n n e u r qui lu i a été con­férée, l ’O fficier d o n t le nom su it :

« W ien er de C roisset (E d g a r-F ra n - « cis) d it F ra n c is de Croisset, sous- « lie u te n a n t a u 19” escad ro n du tra in * des équ ipages m ilita ire s , ch ev a lie r « de la Légion d ’h o n n e u r au titre ci- « vil, p a r d écre t du 23 ju ille t 1912 : « officier qui dépu is le d éb u t de la « cam pagne a tou jo u rs fa it p reuve « d’une cou rageuse activ ité . B lessé « deux fois. A dé jà été cité à T ordre « de l'a rm ée ».

F a it à P a ris , le 28 octobre 1917.Le P ré s id e n t de la R épublique,

R. P o incaré .Le P ré s id e n t d u Conseil, M in istre de la G uerre,

P au l Pain levé .Je vous p rie de recevoir, M onsieur

le D irecteur, l ’ex p ressio n de m es sen-tim ën ts les p lus d istingués.

F ra n c is de Croisset.

A t r a v e r s S e n l i s

PHARMACIE OUVERTE :D im anche ^ ju ille t : P harm ac ie M or-

c re tte , p lace de la Halle.

MLLE DE SENLIS

FETE NATIONALEdu 14 Juillet

— « PROGRAMME »—Sam edi 13 Ju ille t

D istribu tion de bons de p a in e t v iande- «aux F am illes h iécessiteuses

p a r les soins des Dam es de C harité A 21 h eu res 30

RETRAITE AUX FLAMBEAUXp a r les tam b o u rs e t c la iro n s de la C ” de S ap eu rs-P o m p ie rs , la M usique M u­nic ipale , la Société de G ym nastique « Le Réveil de Senlis » e t la F an fa re

du 4e rég im en t de S pah is.

-»o«-

AMICALE DES ANCIENS ELEVES DE L’ECOLE

DE LA RUE DE VILLEVERTL’A m icale o rg an ise p o u r le d im an ­

che 21 ju ille t co u ran t, une ex cu rsion à V ersailles p a r S a in t-G erm ain -en - Laye

DISTRIBUTION DES P r ix AUX ELEVES

DES ECOLES COMMUNALESDemain d im anche à 13 heures 30 au

M arché S a in t-P ie rre , d istribution so­lennelle de p rix au x élèves des écoles pub liques de Senlis, garçons et m ies, avec le concours de l’H arm onie M uni­cipale , sous la d irec tion deÀ\1 ' m0u-che.

M. D espatin , le sym path ique c t dé­voué M aître de l ’école de gais is te ra p o u r la d e rn iè re l'exercice de 'fonctions n ifesta tion scolaire.

» o «--------

D im anche 14 Ju ille t, à 8 h. 30P lace de l’H ôtel-de-V ille, R éun ion des F o n c tio n n a ires , de la C om pagnie dè S ap eu rs-P o m p ie rs , de la M usique M u­n ic ipale , de la Société de G ym nastique « Le Réveil de Sen lis », des Sociétés

locales- avec leu rs d rap eau x .A 9 h eu res, place de la Gare

REVUE DES TROUPESDE LA GARNISON

p a r M. le Colonel C om m andan t le 4” rég im en t de S pah is

REVUEde la C om pagnie de S ap eu rs-P o m p ie rs

et du M atériel REVUE

de la Société de G ym nastique «. Le Réveil do Sen lis »

p a r M. te S o u s-P ré fe t e t le Conseil M unicipal.

A près la Revue : Défilé.A 14 heures, avenue de la Gare

GYMKANA AUTOMOBILEo rg an isé p a r l ’A utom obile Club

de i’He-dfe-France.A 10 h eu res 30, au K iosque

E xercices de G ym nastiquep a r la Société « Le Réveil »

e t Exercices Sportifs P en d an t les m an ifesta tio n s Sportives

= || CONCERT || =p a r l’H arm onie M unicipale , sous la

d irection de M. M ouche, a rtis te de la G ardé R épub licaine.

De 14 h. 30 à 17 h. 30, au R o n d-P o in t du K iosque,

C oncours de C hâteaux de sab lep o u r les en fan ts au -dessous de 8 an s

C oncours de V oitures, B icyclettes e t O m brelles fleuries

— N om breux P r ix —Les in sc rip tio n s so n t reçues dès à p ré ­sen t à la M airie et à l ’H ôtel d u N ord.

A 21 h. 30, p lace H enri-IV B A L A G RA N D O R C H E S T R E -« Illim in a tio n s gén éra les »-

Les H ab itan ts so n t inv ités à p avo i­se r e t à illu m in e r la façade de le u r m aison.

-— ---- »o«-----------

DANS LA MAGISTRATUREM. P eth ieu , ju g e de p a ix des c a n ­

tons N ord-E st de B eauvais e t de N ivil- lie rs , e s t nom m é juge de p a ix des c a n ­tons de Creil et P on t-S ain te-M axence , en rem p lacem en t de M. D esseaux, dé­cédé.

»o«---------

SOCIÉTÉ DES JARDINS OUVRIERS DE L’OISE

Section de Senlis

L’assem blée gén éra le fixée p r im iti­vem ent au sam edi 6 ju ille t, sa lle de la Société d ’H orticu ltu re , a u ra lieu salle des R éunions, m airie de Senlis.

O rdre du J o u r :P ro je t 'd’exposition .D istribu tion g ra tu ite des g ra in es

d ’A utom ne.Le P rés id en t,

G. P révost.

LE DEPART DE M. DESPATlNM. D espatin qu itte la d irec ti»11 de

l ’école des garçons, pour fa ire ralo ir ses d ro its à la re tra ite .

E n tré dans l’ense ignem en t en 1898, il occupa successivem ent les p s te s d ’in s titu teu r-ad jo in t à C han tillv ,d ’in s ­titu te u r ch arg é d’école à V illdan et à B oursonne e t enfin en 1927 dedirec- te u r à Senlis.

Les nom breuses d is tin c tio n s hono­rifiques d on t il fu t l ’ob je t montrent dans quelle estim e ses chefs e te ­naien t. Les nom breux succès qi’ü ob­tin t aux exam ens du certifica t dftudes p rim a ire s é lém en ta ires, du ce'tiûcat d ’études com plém enta ires , des biurses, du b reve t é lém en ta ire , du coicours d ’adm ission à l’école norm ale,^attes­te n t la v a leu r de son ense ignenen t et le zèle q u ’il a p p o rta constahm ent d an s ses fonctions.

Son c a rac tè re égal et aim abe, ses ra p p o rts tou jo u rs em p re in ts de la p lu s g ran d e courto isie lu i acquirent vite l ’affection de ses élèves, la co n s i- déra tio n e t la sym path ie de toute la population .

L’associa tion am icale des areiensélèves de l ’école pvt-bli< \ia,l e s œ u v r e s a n n e x e s d e l ’écO l^^âjPIIP5sociétés locales tro u v è re n t tou jours $l lui un p réc ieu x au x ilia ire . * ;

D evant une c a rr iè re au ss i bien rem­plie, nous lu i exp rim o n s ainsi au ’à M adam e D espatin , qu i lu i apportait une aide p réc ieuse , les reg re ts que nous cause son d ép a rt, nous lu i adres­sons nos vifs rem erc iem en ts pour son dévouem ent de tous les in s ta n ts et nous lu i offrons nos m eilleu rs vœux de douce e t longue re tra ite .

M. D espatin e s t rem p lacé p a r M. Folliot, d ire c te u r de l ’école Ju les F erry à Pon t-S ain te-M axence .

M. Follio t n ’e s t p as u n inconnu p o u r nous, il fu t in s titu te u r-a d jo in t à Senlis, p u is d ire c te u r d ’école à B ar bory, p e n d a n t de nom breuses années.

Nous lui so uha itons la b ienvenue et nous ne doutons p as q u ’il continue l’œ uvre de son p rédécesseu r.

CONFRERIE DE SAINT-FIACRELes m em bres de la C onfrérie de

S ain t-F iacre , son t inv ités à a ss is te r à ] ]a r «union qui a u ra lieu le sam edi 0

ju illrt, à 20 heures 30, au Café du ] Commerce, pour l’o rg an isa tio n de la j Saiirl-F iacre.

» o «—--------

LE CONCERT SYMPHONIQUE PAR L’ « ACCORD PARFAIT »

DU VESINETR appelons que dem ain d im auebe à

]7 heures, au m arché S a in t-P ie rre a u ­ra lieu, ap rès la D istribu tion des P rix ,le g ran d concert in s tru m e n ta l p a r la

i r# fé SymphoiTîqîie du V ésinef (di- i su p é rieu re ) ,

y us avons d an s n o ire d e rn ie r n u - Jk fa it l’h is to riq u e de cet o rch estre

'Y'PPfhüé qui v ien t à Sen lis nous offrir un p rog ram m e de p rem ie r choix.

Nous' ne pouvons q u ’e n g ag e r tous nos lec teurs à ne pas m a n q u e r cette m agnifique audition .

P rog ram m e du C oncert qui se ra exécuté le d im anche 7 ju ille t 1935, à Sem is, p a r T « A ccord P a rfa it » sous la d irec tion de M. E. D ucouret,

Officier de l’In s tru c tio n P ublique. P ré s id en t : M. P au l B arbet O. I.

1. Le Freitschutz, ouverture (Weber).2. La Sym phonie inachevée (Schubert).3. Katarina Czardas (Michels).4. Les Scènes Alsaciennes (Massenet).

A ) D imanche matin.B) Au Cabaret.G) Sous les Tilleuls.

(Violoncelle solo Mlle Andrée W ers- chiné; c larinette solo M. Lerchi).D) Dimanche soir.

5. Faust, sélection (Gounod).6. L’Artésienne (Bizet).

A) Menuet.(Flûte solo M. Gaston Blanc).

B) Farandole.Location des chaises : 1 franc .

L'HUILE D'ARACHIDE

■CREHE-RUFISOUEbpiusAnede* huilfcs de totfe

pesHARAis m e ^ s

LA PREMIERE MESSE DU R. PERE CHARLES D0 RI A

Une belle fête se p ré p a re à la C athé­drale.

Le R. P ère Charles Doria, un en fan t de Senlis, b ien connu dan s no tre ville où il a passé toute sa jeunesse , v ien t d 'ê tre o rdonné p rê tre le 24 fév rier d er­n ier, au nov ic ia t des P ères M aris tes, à D iffert (B elgique).

Il a accepté avec joie à l ’occasion de son p re m ie r passag e à Senlis, de ch a n ­te r à la C athédrale s a p rem ière g ra n d ’ m esse, d im anche p ro ch a in 7 ju illet. Le clergé de la paro isse i r a le chercher p rocessionne llem en t au p resby tère à 10 heures.

Les nom breux am is de la fam ille Do­r ia ne m an q u e ro n t p as cette occasion de v e n ir lu i d ire leu rs félicitations e t les vœ ux q u ’ils fo rm en t po u r le p ro ­ch a in m in is tè re du nouveau p rêtre .

»o«---------

ASSOCIATION AMICALE des A nciens Elèves de l ’Ecole Publique

des G arçons de SenlisLe B u reau de l’A m icale r a p p ^ r f f ^

ses m em bres h o n o ra ires e t p artic i­p a n ts qui d é s iren t p re n d re p a r t au voyage de S en lis-B ruxelles, prévu p o u r le sam edi 20 ju ille t p rochain , q u ’il y a u rg en ce à d o n n e r leu r adhé­sion, ce tra in ne p o u v an t avoir lieu

Cette da te a été choisie p arce q u ’elle j M v i r o ^ è s f assmré” ^ m voyageursUn nom bre assez im portant, d ’ins­

c rip tio n s a dé jà été en reg is tré . Elles co n tin u e ro n t à ê tre reçues ju squ ’au 9 ju ille t au soir, d e rn ie r délai.

Direction des P. T. T. de l’OiseEn vue d ’am élio re r le serv ice té lé ­

phonique, l ’A d m in is tra tio n des P. T. T. a fa it p ro céd er à l ’in s ta lla tio n au b u reau de S enlis, d ’u n com m uta teu r à b a tte rie cen trâ le , qui se ra m is en serv ice dan s la h u it du 10 au 11 ju il­le t 1935.

En ra iso n de l’im portance de l’opé­ra tio n du tra n s fe r t e t des m anœ uvres délicates q u ’elle com porte, des p e r tu r ­ba tio n s p o u rro n t se p ro d u ire dan s la n u it p récitée et d an s la jo u rn ée du 11 ju ille t co u ran t.

Le pub lic p eu t ê tre a ssu ré que tou t se ra m is en œ uvre p o u r réd u ire la d u rée des d é rangem en ts.

offre le m ax im um d ’a ttra c tio n s ; g ra n ­des eaux d an s le p a rc e t a u T rian o n , fête de n u it au B assin de N eptune.

Le d é p a rt a u ra lieu à 7 h eu res e t le re to u r ap rè s la fête de nu it.

Les a d h é ren ts qu i v o u d ra ien t p a r t i ­c ip e r à cette excu rsion do ivent d o n n er leu r adh ésio n au P résid en t, M. A ndré F rig au lt, ru e Sainte-G eneviève, av an t le 11 ju ille t,

• »o<---------

CROIX-ROUGE FRANÇAISEP a r au to risa tio n du M in istre de l ’In ­

té rieu r, la Croix-Rouge F ran ça ise o r­gan ise , d ans toufe la F ran ce , u n e jo u r­née de ven te d ’in sig n es s u r la voie publique.

Cette vente a u ra lieu à Sen lis le d i­m anche 14 ju ille t 1935.

Nous dem andons au x h a b ita n ts de Senlis, de fa ire bon accüeil au x p e r­sonnes chargées de la vente de ces in ­signes.

Le Comité de la Croix-Rouge de Senlis.

--------- »Oc---------

c m A j s T T x x j X j t s rH O T E L D U P A R C

N O C ESBANQUETS

GRANDES SALLES ET SALONS792

CONSEIL DE REVISIONRESULTAT DES OPERATIONS

DU 5 JUIN 1935

Classe 1934 - 2* C ontingentB erlin Louis, b., Coltel Louis, b., D é ­

place Gaston, aj., Gazeau G rim beft Jacques, b., H ugot Vicfôr b Lefèvre Louis, b., M artin A lphonse’ b"’ M archOis G aston, b., M artin Raym ond’ b., P é ru t P au l, b., P ig ea rd Roger e x ’ P ie r ra rd Guy, b., So laux Léon b ’ Vé­rité H enri, b., V iolet A lbert, b. ’’

Classe 1935 - l ' r C ontingentC harne t R obert, b., D auliac Jean b.

D épaux A ndré, b., F e rtin Jules ’a j .’ Hallo Jean , b , Ja n d ih M aurice s a.’

COMPAGNIE DE S A PE U R S-PO M P IE R S

M. R ig au lt a y a n t accep té le poste de receveu r d ’octro i à la porte de P a r is cette fonction ne lu i p e rm et p as de co n tin u e r à d ir ig e r la C om pagnie de S ap eu rs-P o m p ie rs q u ’il a com m andéep e n d a n t p lu s de c in q ans, e t il a donné . ___________________ * asa dém ission à M onsieur le M aire, qui I L evasseur Jacq u es, b., M atton ’Honri acceptée0" CCtte c irc o n s ta n ee, Ta j b-, P e rn ey Jean , b., V erbyst Fernande

L a C om pagnie p asse donc sous le com m andem ent de M. P on t, lieu ten an t en second.

Cette nouvelle es t portée à la con­n a issan ce de la p o pu la tion au cas où p o u r un m otif quelconque un de nos concitoyens a u ra it reco u rs à nos dé­voués S ap eu rs-P o m p ie rs .

b., Godiche Louis, b.

A journés des c lasses précédentesJa h d in G aston, b., Jen n eq u in Jean

b., Rondel R aym ond, b., C hevallier Ro­bert, b., P icand A ndré, b., Rousselle Jacques, b.. B avard G aston, b., Dumet M arcel, aj., M orel Jean , aj., M utrel Ro­land , aj., S toeffler R ené, b.

SENLIS - STRASBOURG - COLMARLa M aison CUISINÎER-M ARSEILLE

m e ttra en rou te une vo itu re po u r S trasb o u rg , le 13-14-15 ju ille t via N ancy, S arreb o u rg , Saverne. R etour p a r Metz, V erdun , Reims.

Les p e rso n n es d és iran t fa ire ce beau voyage, so n t p riées de se fa ire in sc r i­re au Café du Com m erce, 29, p lace de la H alle, en v e rsa n t des a rrh e s , p rix du voyage : 115 fran cs a lle r et re tou r.

792 »o«---------

INTERRUPTION DU.COURANTLe c o u ra n t é lec trique se ra coupé le

d im anche 7 ju ille t, de 6 heu res à 12 heu res, pouf des trav au x d ’en tre tien dans les ru es su iv an tes : rue de P a ris , rue de i’A p p o rt-au -P a in , p lace de la Halle (côté im p a ir) , rue S a in t-H ila i re, ru e B ellon, rue R ougem aille, rou te de N an teu il, avenue de M ontlévêque, ru e de la R épublique (de la P o rte de Com piègne au num éro 52 non com p ris ) , ru e du C hancelier G uérin.

-»o«-

L’ANNUAIRE DES ADRESSES TELEGRAPHIQUES

F R A N C O -E U R O P E E N N E S Une belle p ub lic ité g ra tu ite

p o u r SenlisP ub lié 9, ru e ru e de la P ép in iè re , à

P a ris , l ’A n n u a ire des A dresses Télé­g rap h iq u es F ranco -E uropéennes, s ’est ad jo in t une p a rtie docum en ta ire , p i t­to resque et to u ristique . C’est no tre am i M. Georges G rand jean , hom m e de Let­tres, qui a ssu re la rédac tion en chef de ces pages consacrées au tou rism e f ra n ­co-colonial.

...N aturellejaient, T Ile-de-F rance ne pouva it ê tre oubliée p a r le « C hroni­q u eu r » don t nos lec teu rs on t p u a p ­p réc ie r les pages consacrées au x Evê­ques de Senlis e t à Je h a n n e d ’A rc, à M ontépilloy... T ro is p h o tog raph ies : Senlis, le V ieux-C hâteau e t la C athé­d ra le ; C hantilly , le C hâteau, illu s­t re n t la page rem arq u ab le que M. A. Leclcrcq, in g én ieu r-ch ef de serv ices des « A utocars R en au lt », consacre à no tre rég ion , à :

C hantilly : les- om brages m agn ifi­ques de sa forêt, son ch â teau et les collections un iq u es du M usée Condé; son cham p de courses, où se d é rou len t les g ran d es ép reuves c lassiques (p rix de D iane, p r ix du Jockey-C lub).

Com piègne : son P a la is , sa forêt, le c a rre fo u r de l ’A rm istice e t jes sou ­v en irs g lo rieux de la g ran d e guerre .

Senlis : avec son v ieux châ teau du m oyen-âge, son encein te e t ses a rèn es galio -rom am es, ses v ieux hôtels, le dom aine c is te rc ien de C haâlis e t ses collections.

N otons que T A nnuaire des A dresses T élég raph iques est ré p a n d u dan s tous les pays d ’E urope, d ’A m érique et du m onde. Cette pub lic ité g rac ieuse con­ce rn a n t Senlis s e ra donc des p lu s ef­fectives. Nous rem ercions M. Léon M aillot, d ire c te u r de T A nnuaire, M. A. Leclercq e t M. Georges G rand jean , auxquels la rég ion sen lis ien n e dev ra ce su rc ro ît de renom m ée.

A joutons que l ’A n n u aire com porte des pages rem arq u ab les illu strées avec gout, sur_ « La dem eure H istorique »,« La T un isie », TA. 0. F., M adagascar, la Royale S len d eu r de B udapest, Reine des S ta tions T herm ales, etc., etc.

L’fle-de-F rahce e t Sen lis, so n t donc en illu stre com pagnie.

--------- » o «---------

GESTE DE PROBITED’UN JEUNE ECOLIER

Le jeu n e M archois M aurice, 10 an s elève de l ’Ecole de M. D espatin , a tro u ­ve, le 3 co u ran t, à la so rtie de l ’école su r la voie publique, u n portefeu ille co n ten an t une ce rta in e som m e en b il­lets de b anque , q u ’il s ’e s t em pressé d a p p o rte r au C om m issaria t, à la d is­position du p ro p rié ta ire légitim e.

Nous ne pouvons que fé lic ite r ce jeune élève p o u r son geste spo n tan é de probité. Ses p a re n ts h a b ite n t rue de la Po terne , à Senlis.

Une bslle Fête Sportive à Senlis{Suite de la prem ière paye)

M esdam es, M essieurs, dès h ie r so ir iu cours d ’une soirée d ’été p a r tic u ­liè rem en t ag réab le sous le ciel sen li- ien to u t em baum é des effluves de nos o rè ts , des g roupes c h a rm an ts de je u ­nes lilIra d ev isan t jo y eu sem en t p a r- ■ouraieut en -bon o rdre , les ru es t ra n - piilles de la ville h an tée p a r ta n t de

souvenirs,, san s s ’en dou ter, nos c h a r­m an tes v isiteuses fo u la ien t un sol t r i ­p lem en t sac ré ; sac ré p a r les souve­n irs des ca th éd ra les e t des églises qui co n stitu en t la richesse archéologique de S enlis, sacré p a r toute une h isto ire

lo rieuse dont nous som m es les dépo­sita ire s m odestes, sac ré aussi, vous m e p erm ettrez de le ra p p e le r p a r le sou ­v e n ir des sacrifices dou lou reux que Sen lis a fa it à la P a trie . P a rm i ces sa ­crifices, il me se ra p erm is de ra p p e ­le r d ev an t nos hôtes la fin trag iq u e de no tre d igne e t respecté M aire, M. E. Odent, fusillé en 1914 au x abo rds de Senlis.

A insi, à l ’occasion d ’une réu n io n de sp o rt et d ’a r t comme celle-ci, u n e je u ­nesse heu reu se de vo ir e t d ’a p p ren d re v ien t recu e illir dan s nos m u rs de b e l­les leçons d ’h isto ire , t i r a n t du passé des leçons u tiles à le u r fo rm ation ci­vique, nos jeu n es cam arad es v ien ­n en t réve ille r la vieille cité en lu i don­n a n t, en ces jo u rs de p la is ir e t de dé­lassem en t, la g râce de le u r personne. Elles; v ien n en t égalem en t cé léb re r l’u n des b iens les p lus chers de no tre pays, celu i p o u r lequel nous trav a illo n s tous, celu i qu i nous es t le p lu s p ré ­cieux, no tre chère e t v a illan te jeu n esse de F ran ce , richesse m orale e t physique s u r lesquelles nous avons b ien quel­ques d ro its de fo n d er de belles espé­rances.

Ce m atin , des concours m in u tieu se ­m en t o rg an isés p a r une équipe de tech n ic ien s hors p a ir , p a rm i lesquels j ’ai la joie de c ite r m es ch e rs co lla­b o ra te u rs : MM. B riziou, v i c e - p r é s i ­d en t du « Réveil » •; D um oulin , m on i­te u r g é n é r a l d u « R é v e i l » ; T h u r lu r e , Lepape, m o n iteu rs, on t p erm is au x jeu n es tilles de r iv a lise r d an s les con­cours é lim inato ires. Nos sociétés ré ­g ionales ont p ris position e t on t m on­tré de réels p ro g rès que, to u t à l’heu re , nous a llons pouvo ir ap p lau d ir . Je re ­m ercie toutes ces sociétés, p h a lan g e où T idéal e s t chaque jo u r en tre ten u , cu ltivé avec so in et m is en h onneur. Je les sa lue a in s i que leu rs dévoués d ir ig ean ts p o u r to u t l ’effort q u ’elles p ro d u isen t, p o u r tou te la peine q u ’el­les se donnen t, afin d ’in té re sse r la je u ­nesse et la g u id e r vers ses dessin s. Je sa lue nos ch ers cam arades, de la Fé­d é ra tio n qui, une fois de p lus, nous d o n n en t l ’ap p u i de le u r com pétence, de le u r expérience e t de le u r trav a il. Je sa lue le p ré s id e n t Amy, qui, de lo in , su it de to u t son cœ u r nos efforts com m uns. Je salue enfin, la belle cau ­se de l ’éducation physique F ran ça ise , g a ra n tie du pays, p révoyance des hom m es d ’action , effort noble e t dé­sin té ressé , tou jo u rs p rê ts à seconder le g ra n d effort de la na tion . Jeu n es gens et jeu n es filles, fra te rn e llem en t u n is dan s la m êm e pensée de concorde e t de paix , je vous ap p o rte , a u nom du « Réveil de Sen lis », Thom m age p le in de reco n n a issan ce e t de g ra ti tu ­de de tous les spo rtifs S en lisiens ».

M. D elahaye, p ré s id e n t du com ité rég io n a l de P ica rd ie s ’associe au x a i­m ab les e t é loquentes p aro les de M. Drexel, il d it toute la joie qu’il ép ro u ­ve p o u r la réu ss ite de ce IIP C oncours, p u is au nom du Comité de P icard ie , il rem ercie M. M arcel D elarb re don t la p résence est un s û r g a ra n t de l’in té rê t q u ’il po rte à l’éducation p h ysique fé­m inine,

Il rem ercie éga lem en t les p e rso n n a ­lités p ré se n te s , le M aire e t la M unici­p a lité de Senlis, M. Jacq u o t, sec ré ta ire g én éra l de la F édéra tion , la p re sse lo­cale, etc...

,P p o u rsu it en se d é c la ra n t p e rsu a ­dé que ce concours ne re s te ra p as san s lendem ain , r ien ne se ra négligé po u r m en e r à b ien cette tâche d ’in té rê t p u ­blic.

E t ap rè s un appel au concours de tous, il te rm ine en lev an t son ve rre au développem ent du Comité e t à la p ro s­p é rité des sections qu i la com posent.

A près lu i, M. Jacq u o t, sec ré ta ire de la F édéra tion et M. le M aire de S en ­lis, dan s u n e courte im prov isa tion e x a lten t éga lem en t l’e sp r it sp o rtif et se fé lic iten t d ’a s s is te r à cette m a n i­f e s t a t io n q u i f a i t bien a u g u r e r d e s ré ­su lta ts fu tu rs .

Enfin, M. M arcel D elarbre , se c ré ta i­re gén éra l du Comité N ational des S p o rts e t du Comité O lym pique F ra n ­çais, a fa it ré lo g e des fédéra tions et des o rg an isa tio n s spo rtives qui m u lti­p lien t leu rs efforts p o u r in té re sse r la jeu n esse des deux sexes à la p ra tiq u e de l ’édqcation physique ra iso n n ée de tous les sp o rts de v ig u eu r e t de d iv e r­tissem ent. Il s ’app lique , en fé lic itan t la

ce, se d é ro u lè ren t les d ifféren ts ex er­cices d ’ensem ble de la fête fédérale.

D ans la tr ib u n e nous avons re m a r­qué la p résence de M. D um oulin, sous- p ré fe t ; MM. M arcel D elarb re , se c ré ­ta ire g énéra l du com ité n a tio n a l des S p o r ts ; Louât, m aire de S e n l is ; Drexel, p ré s id en t du « Réveil » ; L e- sage, ad jo in t au m aire ; P ie r ja rd , La-* my, F rig au lt, conseille rs m u n ic ip au x ,

*etc., etc.T outes les Sociétés r iv a lisè ren t d ’a ­

d resse e t ce fu t, d u ra n t T après-m id i, un v é ritab le -Journoi d ’exercices v a rié s e t dè g rac ieu ses danses" ry th m iq u es qui sou levèren t l ’en thousiasm e des sp ec ta teu rs .

Une fête de n u it trè s réussie c lô tu ra cette belle jo u rn ée e t Ton e u t encore une fois le p la is ir d ’a p p la u d ir dan s leu rs p ro duc tions choisies e t p a rfa ite ­m ent réglées, la Société de Gourbevoie, l ’Union Sportive des G aleries L afayet- te, e t u n m agn ifique b a lle t p ré sen té p a r la Jeu n esse Sportive du B ourget e t enfin p o u r te rm in er, une p ré se n ­ta tion a r tis tiq u e p a r la m êm e Société.

En résum é, belle m an ifesta tio n qu i fa it h o n n e u r à n o tre Société de gym ­n astique et à ses m em bres qu i sous l ’im pu lsion de deux v é té ran s don t le so u v en ir reste vivace m alg ré le u r re ­tra ite , le P ré s id e n t Ju lie n e t le dévoué G rim bert, a su se ta il le r u n e p lace de p rem ie r ra n g p a rm i les Sociétés d ’édu­cation physique de n o tre rég ion , q u ’ils en so ien t félicités a in s i que leu rs suc­cesseu rs Drexel, B riziou, D um oulin et au tre s qui se so n t donné com m e tâche de co n tin u e r l’œ uvre si d ig n e­m en t conduite p a r ces deux a n im a ­teu rs . G. D.

PALMARES P rem ière D ivision

C atégorie 18La C orbéenne, de Corbie, p r ix d ’ex­

cellence.C atégorie 12

L’Etoile d ’A m iens, p r ix d ’excellen ­ce.

Les H irondelles, de B ohain , 2e p rix . D euxièm e D ivision

C atégorie 18La L aonnaise , de L aon, p r ix d’ex­

cellence. jT ro isièm e D ivision

C atégorie 6L’E spérance , de B ury , l ”r p rix .

P u p ille tte sC atégorie 12

La C orbéenne, de Corbie, p r ix d ’ex­cellence.

La L aonnaise , de Laon, p r ix d ’ex­cellence. i

L’Etoile d’A m iens, 1er p rix .La Chem inote d ’A m iens, 2“ p rix .

C atégorie 6L’E spérance de S aleux , p r ix d ’ex­

cellence.L’E sp éran ce de B ury , 1er p rix .

E ducation P hysiqueL ’Etoile d ’A m iens, p r ix d ’excellence

avec fé lic ita tions du Ju ry .L a C orbéenne, de Corbie, 1er p rix .

D anses R y thm iquesL’Etoile d ’A m iens, p r ix d ’excellence. La L aonnaise , de L aon, l “r p rix .Les H irondelles, de B ohain , 2e p rix .

P y ram id esL a C orbéenne, de Corbie, p rix d’ex­

cellence.B alle ts

L’E spérance de B ury , 2*’ p rix . E nsem ble avec eng ins

Les H irondelles de B ohain , 3e p rix . P u p ille tte s

E ducation P hysique L’Etoile d ’A m iens, l"r p rix .La C orbéenne, 1" prix .

C oncours ind iv iduel1. S u zan n e F ran ço is , E spérance de

B ury.2. M ireille Lcfebvre, Etoile d ’A m iens.3. M arguerite V a rrie r, L a Corbéen­

ne.4. B erthe M archand , Etoile d ’A m iens.5. L ilianne Abel, La C orbéenne.6. G erm aine D ubru lle , Etoile

d A m iens.7. L ucienne Delorm e, Etoile d ’A m iens8. B erthe B runo is, L a Corbéenne.

. 9. Jacq u e lin e Gohier, L a L aonnaise .10. C hristiane M erchez, Etoile

d A m iens.11. H enrie tte

d ’A m iens.12. Léone Lefevre, E toile d ’A m iens.13. Sim one W erts , H irondelles, de

B ohain.14. G inette G eorges, L a L aonnaise .15. M arie-L ouise L am bert, Les H i-

j rondelles, de B ohain.! 16. A n d réa V allois, E sp éran ce de

Bury.

R obinot, E toile

Sociétés inv itéesC atégorie 12

_ _ , La Jeu n esse Sportive du B ourgetm u n ic ip a lité de Senlis e t les sociétés , P rix d ’excellence, locales, à défin ir l ’im p o rtan ce du t r a - ! L a Société M unicipale de C ourbe-

voie, p rix d ’excellence.

VISITEZ

l'Exposition de BruxellesPour tous renseignements s’adresser au

S y n d ic a t d ’in it ia t iv e s et 2 0 , a v en u e du M aréchal-F och

S E N L I STéléphone 317 Chauffeur interprète

482

im p o rtan ce du t r a ­vail accom pli m odestem en t s u r p lace p a r tous ceux qui o n t à cœ u r de fa ire le u r p a r t dan s le m om ent de confu­sion e t de troub le que v it le pays.

A insi toutes les o rg an isa tio n s qui se p rop o sen t d ’in té re sse r les jeu n es, de les édu q u er dan s chaque com m une a in si les éd uca teu rs, a in s i les ad m i­n is tra te u rs de la cité, a in s i les a n im a ­teu rs des g ran d es e t des pe tites villes font, en acco m p lissan t le u r devoir et p lus que le u r devoir l ’effort efficace qu i a p p o rte ra b ien tô t à ce pay s le re - d ressem en t inév itab le qui lu i est dû. M. M arcel D elarbre sou lig n a avec cha- ie u r le flam beau du sp o rt qui e s t un e lem en t de bonne h u m e u r sociale d en thousiasm e e t de concorde vers le­quel ten d en t les m eilleu rs e sp rits .

T ous ces d iscours fu re n t ch a leu reu ­sem en t a p p la u d is .e t f iren t s u r l ’a ss is ­tance la m eilleu re im pression .

** *A 14 heures un im posan t défilé p lacé

iv!rU!L D irecLon de no tre concitoyen M. M archand , p a rc o u ra it les ru es de la ville p récédé de la M usique m u n i­cipale e t des tam b o u rs e t c la iro n s de L han tilly , ce défilé p a rtic u liè rem en t pén ib le en ra iso n de la tem p é ra tu re du t ê tre o b liga to irem en t écourté , c a r 1 on a u ra i t pu d ép lo re r des acciden ts provoqués p a r une c h a le u r excessive, nous som m es p e rsu ad és que chacun c o m p ren d ra trè s b ien ce tte décision des o rg a n isa te u rs qui se ro n t p a rfa ite ­m ent excusés.

«* *A p a r t i r de 15 heu res 30, au vélodro­

me e t d ev an t une nom breuse a ss is ta n -

C atégorie 9L’E sp éran ce de T h ia is , 1er p rix .

D euxièm e D ivisionC atégorie 24

S p o rtin g Club de M on tm artre , p rix d excellence.

C atégorie 12La S auvegarde , de Bois-Colom bes,

p rix d ’excellence.L U nion S portive des G aleries La-

fayettes, de P a ris , p r ix d ’excellence.P up ille tte s

C atégorie 18L’E spérance de T h ia is , 2” 'p rix .

C atégorie 12 1La Société M unicipale de C ourbe-

voie, 1" prix .E ducation physique

S p o rtin g Club de M ontm artre , p r ix d ’excellencè avec fé lic ita tions du Ju ry .

U nion S portive des G aleries L à- fayelte, p r ix d ’excellence.

La Société M unicipale de C ourbe- voie, 1" p rix .

E nsem blesLa Société M unicipale de Courbe-

voie, p rix d ’excellence.L’E spérance de T h ia is , i*r p rix .La Jeu n esse S portive du B ourget,

1" prix .D anses ry th m iq u es

La S auvegarde , de Bois-Colom bes, p rix d ’excellence.

La Jeu n esse S portive du B ourget,1" p rix .

P u p ille tte sM ouvem ents d’ensem ble

L’E spérance de T h ia is , 1" prix .C oncours ind iv iduel

1. M ado P asq u ie r , S. C. M ontm artre .2. L echey lart, Société M unicipale de

Courbevoie.3. A. F o rtin , Société M unicipale de

Courbevoie.4. B lanche R odriguez, S au v eg ard e

de Bois-Colom bes.5. Louet, Société M unicipale de Cour­

bevoie.6. G aétan Boitel, Jeu n esse Sportive

du B ourget.7. Y vonne G arry , Jeu n esse Sportive

d u B o u r g e t .8. M arie-Louise L a rth e r, Société M u-

n ic ip a le de-C ourbevo ie .9. V ilain , Société M unicipale de

Courbevoie.10. G iraud, Société M unic ipale de

Courbevoie.11. J e a n n in e M ontbraud , S. C. M ont­

m artre .12. N. L a rh e r, Société M unicipale de

Courbevoie.13. M arie D vorsky, Jeu n esse S p o rti­

ve du B ourget.14. P au le tte -Fortin, Société M unici­

pale de Courbevoie.15. Jacq u e lin e P etit, Jeu n esse S p o r­

tive du B ourget.16. M arcelle D um ont, S auvegarde de

Bois-Colom bes.17. L ucienne W atteb led , S. C. M ont­

m a rtre e t M auricette B ouquet, J e u ­nesse S portive du B ourget.

19. Louise G uérin, Jeu n esse Sportive du B ourget.

20. Je a n n e D vorsky, Jeu n esse S p o r­tive du B ourget.

21. Lucioni, U. S. S. G aleries Ba­layette .

22. G aillard , U. S. S. G aleries La- lay e tte ;

23. S im onne De Iddo, U. S. G aleries B alayette .

Pour voyager gratuitement, ou pour participer à la Loterie Nationale,

ACHETEZ vos COMBUSTIBLES au

Chantier de l’Avenue FoehI P t i u i l F F t É F l Y

S E I V L I STéléphone 135

■ ■ ■ •■ M M

Remise de l lc te ts m ens : LES VOYAGES GRATUITS__________________________________ 843

TOM BOLA DE L ’U. N. C.

Liste des Numéros gagnants :1041 3702 5822 7408 88201074 3723 5827 7410 88681079 3755 5870 7426 89001126 3756 5886 7433 89221222 3772 5904 ■ 7447 89281233 3774 5906 7459 89321234 3778 5955 7467 89461235 3788 597,7 7471 89521286 3825 5978 7481 89561312 3850 5995 7494 90011339 3854 6001 7495 00091343 3919 6011 7569 90191347 3945 6023 7571 90241436 3977 6084 75721 90521541 3998 6087 7579 90711647 4004 6130 7582 90841654 4007 6192 7597 90971673 4030 6210 7628 91061701 4090 6219 7636 91901722 4093 6221 7665 92321726 4095 6273 7686 92521757 4098 6304 7689 92791772 4156 6325 7691 92931813 4167 6337 7695 93041823 4177 6338 7704 93341824 4219 6345 7739 93361836 4234 6349 7795 93441860 4236 6374 7837 93521904 4241 6390 7853 93571937 4253 6448 7890 93601955 4254 6476 7904 93822004 4255 6489 7941 93952062 4259 6500 7951 94242065 4284 6508 7954 94342089 4299 6511 7956 94692092 4350 6528 7901 94762124 4352 6554 7977 94782152 4417 .6557 .7986 94822160 4561 -(>567 7999 95432221 4630 6576 8005 95452229 4646 657,9 8016 95692309 4731 6584 8028 95702310 4751 6591 8032 95752328 4797 6612 8034 95772331 4801 6645 8035 95852350 4828 6653 8041 95892382 4870 6676 8042 95932388 4891 6698 8045 96002404 4902 6700 8062 96122448 4922 6702 8091 96802465 4932 6714 8117 96812469 4937 6717 8123 96822498 4995 6738 8134 97022506 5007 6755 8138 97412536 5016 6758 8150 98042564 5034 6773 8167 98082580 5051 6776 8176 98142596 5056 6788 8179 98702633 5067 6792 8200 99172634 5120 6798 8214 99182676 5145 6830 8221 99442734 5148 6865 8266 997527,55 5152 6873 8270 997.62773 5173 6891 8314 100432777 5175 6913 8326 100482778 5230 6926 8333 100692790 5249 6932 8360 101122794 5268 6952 8383 102292821 5289 6962 8397 102782848 5293 6976 8402 103212878 5326 6979 8412 103383062 5330 7019 8459 103733087 5334 7027 8462 104813146 5340 7036 8479 104863155 5346 7044 8488 105023157 5355 7054 8521 105333213 5404 7122 8525 105383215 5405 7129 8545 105613223 5412 7135 8547 105733260 5417 7154 8561 106073266 5453 7,160 8562 106143273 5508 7172 8571 106183291 5528 7186 8597 106293292 5530 7187 8619 106383366 5542 7192 8620 106473391 557,0 7195 8623 106953396 5630 7238 8629 106993426 5640 7249 8633 107653433 5700 7273 8663 108253437 5701 7291 8667 108633466 5717 7300 8668 108773497 5725 7302 8688 108873507 5737 7315 8717 108913508 5745 7328 87,30 108933532 5749 7346 8750 108993577 5754 7347 8754 109113596 5763 7351 8781 109193598 5770 7352 8786 109443617 5776 7359 8802 109493681. 5790 74Q4 8819 1099S

E T A T CIVIL D E SEIN LISdu 27 Ju in au 5 J u ille t 1935

N aissances28. Jacq u es-A rm an d -A n d ré M inard ,

30, rue du M oulin S ain t-R ieu l.29. P ie rre -V in cen t-M arie B ertin , 1,

lau b o u rg S a in t-M artin .P u b lica tio n s de M ariages

E n tre M. Jean S te lanov ic , o u v rie r a- gricole, d e m e u ra n t à S enlis, 9, M onta­gne S t-A ignan , et Mlle A nne Seveik, ouv rière agrico le , d em eu ran t à Senlis, M ontagne S a in t-A ignan .

E n tre M. P ie rre -M arcel F ran co lin , in s titu te u r, d e m e u ra n t à A um ont, et M lle R enée-H enriette Garon, in s ti tu tr i­ce, d em eu ran t à S enlis, 5, avenue de la Gare.

E n tre M. A n to ine-Joseph Roux, v é ri­fica teu r, d em eu ran t à S enlis, e t Mlle A ngèle-M arie-C laudine V incent, cou­tu riè re , d em eu ran t à Lyon, 1, rue A u­guste Isaac.

Décès28. A ndré-E douard D esm et, 15 mois,

1, la u b o u rg S a in t-M artin .29. Jo seph R osiak, 20 an s, ouv rie r

agrico le , d em eu ran t à Ognes, décédé 1, lau b o u rg S a in t-M artin .

CARNETMARIAGE

— Le m ard i 9 ju ille t, s e ra célébré à la C athédrale de S enlis, à 11 h. % , le m ariag e de Mlle G erm aine Poulet, avec M. P au l D arondeau.

Nous ad resso n s nos p lu s aim ables com plim en ts à Mme Poulet, nos fé li­c ita tio n s à Mme C ardon-L am boley et à M. e t Mme D arondeau , a in s i que nos m eilleu rs vœ ux de b o n h eu r aux fu tu rs jeu n es époux.

** AR E M E R C IE M E N T S

— Mme L oyseau, Mme e t M lle K u- k u lk a , très touchées des nom breuses m arq u es de sym p ath ie q u ’elles on t re ­çues à l ’occasion du décès de M. l ’Abbé Loyseau, cu ré de M ontlévêque, a d re s ­se n t leu rs b ien sin cères rem erc ie ­m en ts au x nom breuses p e rso n n es qui on t a ss is té au serv ice fu n èb re , elles s ’excusen t a u p rè s de celles qu i p a r oubli invo lo n ta ire n ’a u ra ie n t pas reçu de fa ire -p a rt.

— L a com tesse de Follenay , le L ieu­tenant-C olonel et M adam e P ie rre de Lafond, M adam e Cyr de Lafond, a d re s ­sen t leu rs sin cères rem erciem en ts au x p e rso n n es qui on t b ien voulu le u r m an ifeste r le u r sym p ath ie à l ’occasion de la m ort de M adam e de Lalond.

810— Mme veuve D auliac, son fils,

P ie rre -A lex an d re D auliac e t les F a ­m illes, trè s touchés des nom breuses m arques de sy m p ath ie q u ’ils on t re ­çues à l ’occasion du décès de M. F ra n ­çois D auliac, a d re sse n t leu rs re m e r­ciem ents au x p erso n n es qui on t a ss is ­té au x obsèques ou qu i le u r on t ex ­p rim é des reg re ts , et s ’ex cu sen t au p rès de celles qui, p a r u n oubli in v o lon ta i­re , n ’a u ra ie n t p as reçu de fa ire -p a rt.

809 » 0 « ---------—

TOMBOLA DE LA GYMNASTIQUELe tirag e de la tom bola o rgan isée

p a r la Société de G ym nastique « Le Réveil », qui d ev a it av o ir lieu le 7 ju ille t, est rep o rté au d im anche 28 ju ille t.

---------------------->o«----------------------

REFOULEMENT D'UNE RESSORTISSANTE

ETRANGEREM. le C om m issaire de police, a notifié

à une re sso rtis sa n te po lonaise , en trée frau d u leu sem en t en F ran ce e t don t le co n tra t de trav a il n ’a pas été visé fa ­vo rab lem ent p a r les serv ices du Mi­n is tè re d u T rav a il, d ’avo ir à q u itte r no tre te rr ito ire na tio n a l.

T ro is au tre s é tra n g e rs en ré s id en ­ce à S en lis , se tro u v e ra ie n t dans un cas analogue.

» o « — -—

VOL DE BOUTEILLES DE VINMme S chneider, po rte de M eaux, en

d escen d an t d ans le sous-sol de s a m a i­son, sous-sol qui lu i s e r t de cellier, a consta té que p e n d a n t la n u it un m al­fa iteu r s ’é ta it in tro d u it dan s celui-ci.

Le m a lfa iteu r a v a it so u s tra it une tre n ta in e de bou te illes de v in . P o u r opérer, il av a it re tiré les bouteilles v i­des se tro u v an t d an s u n ca s ie r en bois p o u r les re m p lace r p a r les p leines, Mme S ch n e id er estim e que le vo leur a dû fa ire deux voyages.

La g en d arm erie de S en lis procède à une enquête s u r ce vol qui cause à M. S ch n eid er un p ré ju d ice de 210 fr.

»o«---------

SERVICE DES EPAVESO bjets trouvés

Un g a n t de p eau m o n tan t, de cou leu r no ire (m ain d ro ite ).

Un g a n t de peau , de cou leur jau n e (m ain g auche).

Un p e tit sac à p rov ision en toile cirée.

O bjets perd u sUn g a n t en p eau (m ain d ro ite ).Un chape le t avec g ra in s v erts et

gaine de m êm e couleur.Un portefeu ille c o n te n a n t une carte

d ’iden tité au nom de K iclp ikorsek , un b ille t de 100 fran cs e t une p h o to g ra ­phie.

THEATRE MUNICIPAL CINEMA DE SENLIS

(T éléphone : 360)

D im anche 7 Ju ille t 1935 M atinée à 15 h eu res , Soirée à 21 h.

L und i 8 Ju ille t, so irée à 21 heu res

DEUX GRANDS FILM S

Ivan M0SJ0UKINE dâüs*"

Le Sergent Xavec Suzy Vernon, B ill-Bocketts,

Courtois et Jean Angelo

Une Jeune Fille e t un MillionUne com édie fra îche , sp iritu e lle ,

am u san teavec M agdelaine Ozeray, Claude Dau­

phin, Christiane Delyne et Daniel Lecourtois.

POLICE DE LA CIRCULATIONAu cours de récen ts contrôles de la

c ircu la tio n , les ag en ts de police ont relevé des con trav en tio n s a ren co n tre d ’au tom obilistes pour doublem ent rue de la R épublique, avec risq u e de col­lision, p o u r c ircu la tio n en sens in te r­dit a in si q u ’à la charge de cyclistes qui c ircu la ien t à b icyclette s u r des tro tto irs , place du C halet e t rue de la R épublique.

»o« -

VOL SUR UN CADAVREL’ne p erso n n e décédée à l ’hôpital, a

été dépouillée, ap rès sa m o r t , d’un bil­let de 50 francs.

La police enquête. Les pr^ÉM M tare-r cherches sont a igu illées su r sérieuse.

Tribunal Correctionnel de SenlisA udience du vendredi 28 ju in 1935

— Le 25 ju in 1935, à Creil, Lantez Joseph , 28 ans, é ta n t en com plet éta t d ’ivresse, se b a tta it au m ilieu de la rue de la R épublique avec son père. A l’a r ­rivée des ag en ts , L antez d ev in t encore p lus fu rieux , il p ro fé ra des in ju re s à le u r égard et. ré s is ta avec violence pour se la isse r condu ire au poste ; ce qui, po u r ou trages e t rébellion à ag en ts de la force pub lique , lu i v a u t un em p ri­sonnem ent d ’u n mois.

— P o u r o b ten ir le p a iem en t d ’une somme que son em ployeur lu i devait, C orniquet Octave, 28 ans, p en sa que les g endarm es p o u rra ie n t lu i a id e r à r e n tre r d an s son pa trim o ine . 11 se ren d it donc le 22 ju in 1935 à la gen-

■ ï U v î îY ♦••-«■S '£

i mmh o t e u

DU GRAND c e f u t *S E N U S

Henry WONDRAK, Directeur-Propriétaire795 Félêphone 111

f r a u x 6 ï CJ eil e t exPHcIu a sa s ilu a - rem “ ,Xilf endarm es1 9 U1 ^ répond i- Doiir , n av a ien t aucune qualité

d ans ce,te a fl'aire. Fu- n ifest, te r.epo” se- C orn iquet m a-o-’ t ta, son m écon ten tem en t- au x a-n a ï r l î 0 f° rCe publicIue en le u r te-o î i l f : prtop?s o u trag ean ts et comme

n i a rrê ta it, il ten ta de se reb e lle r Len o " n 91 condam ne C orn iquet à un “ 'ois de p rison .

PfiGnn'n 26 j ,Uin 1935- à Y aumoi'se, le patron du po lonais W robel av a it rem isnon,, Qn’m e r’ une som m e de 150 fran cs (,i r p a y e r des liv ra iso n s de m ar- _LmdiseS; En cours de rou te W robel ÿU é ta it iv re re n c o n tra son cam arade iglisseaux Odon, 22 an s, m anouvrie r,

A p y o p o sa à ce d e rn ie r de lu i-co n fie r ses 150 fran cs , ce que R ousseaux ac­cepta b ien vo lontiers, d ’a u ta n t p lus qu ’il oublia v o lon ta irem en t de les re n ­dre à son p ro p rié ta ire e t les dépensa. P o u r vol, R ousseaux es t condam né à 3 m ois de p rison .

— Depuis quelques m ois le s h a b i­tan ts de P on t-S ain te-M axence n ’a ­v a ien t pas été san s rem arq u e r les t r a i ­tem ents b ru ta u x que fa isa it su b ir un (aux m énage à une fillette de 14 ans. Us se d éc idèren t à en faire p a r t à la (■endarmerie qui o u v rit une enquête lan s le c o u ra n t d ’av ril ; c’e s t a in s i (u’on a p p r it que la jeu n e H u rg lia re ­levait trè s souven t des coups de la part de A rnou ld A lbert, 28 ans, m a-

■pouvrier et que la p au v re e n fan t ava it * té souven t aperçue so r ta n t de chez sa m ère avec des ecchym oses. P réve-

Ipu de violences, A rnould s ’é tan t la issé C o n d am n er p a r défau t à 1 m ois de p r i­son, co m p ara issa it s u r opposition de-

îvan t le T rib u n a l qui a confirm é p u - ;rem ent e t sim p lem en t la p rem ière con­dam nation .

Pour vos Réunions fam iliales

MIRUGES - BANQUETS de SOCIÉTÉSfioirées dansantes on tontes CÉrémonies

les élégants grands et petits Salons de

l'Hôtel du Grand Cerfsont à la disposition de sa nombreuse

ClientèleCUISINE ET CAVE SOIGNÉE

SERVICE PARFAIT F* )R. I ik : a F 1 O R F A I X

C H A N T I L L YAVIS

Le Maire rappelle à ses concitoyens que s’il est très désirable que la cueil­lette des fleurs des tilleuls communaux soit laissée libre, il est également indis­pensable que les arbres de nos rues et places soient protégés.

En conséquenoe, il est in terd it de grim per dans les arbres, de casser les branches et de les em porter à domicile.

Seule, la c u e i l le t te r e s te a u to r i s é e condition qu’elle soit effectuée au moyen d'échelles doubles et que seules, les fleurs soient détachées de l’arbre.

11 reste b ien entendu que la cueillette ne peut être tolérée que pour l’usage fa­milial et non dans un bu t commercial.

Le Maire prie instam m ent tous tes in ­téressés de se conform er à ces recom ­m andations.

Une exposition de reliures anciennesIl y a deux ans, le Musée Coudé avait

organisé une exposition de reliures du xix* siècle qui, partan t de Simier, abou­tissait à Marins Michel, et com prenait des œuvres exécutées p ar tous les grands relieurs de cette époque, groupant même des dynasties de relieurs, sans une la ­cune.

Aujourd’hui s’ouvre une exposition de reliu res anciennes pour laquelle M. Hen­r i Malo, conservateur-adjoint, a choisi dans le cabinet des Livres du duc d’Au- male cent cinquante exem plaires allant du xv" au xvm 6 siècle. Les reliures en ex­position perm anente dans la grande vi­trine du Cabinet des Livres, recouvrent presque toutes des volumes d’un carac­tère h istorique ; il en est qui datent du xi* siècle. Celles que Ton m ontre anjour- d ’hui, à la provenance desquelles on né s’est pas attaché et dont aucune n ’esl « aux arm es », re tracen t les étapes ca­ractéristiques de l ’histoire de la reliure pendant quatre siècles.

Après les plaques de métal ou d’ivoire et les tissus de la période prim itive, dont la grande vitrine) offre des exemples de choix, voici p o u r le xv* siècle les p re ­m ières re liu res en peau de porc garnies d’ornements à fro id ; la même gaufrure qui o rnait le cu ir des [harnachements de Chevaux sert à l ’ornem entation du c u ir qui recouvre les livres. A la fin du siècle abondent les reliu res de cu ir b run avec fers d fro id ; les filets simples ou doubles en or ou à fro id apparaissent, peu à peu rem placés eux-nié ni es p a r des bandes qui s'en trelacent harm onieusem ent. L’une des reliures exposées a des orne­ments en argent au lieu de ferrure.

Avec le xvi8 siècle, les dessins géomé­triques, les entrelacs se com pliquent de plus en plus, et voici venir la mosaïque, entrelacs de pein tures ou de peaux de couleurs diverses. Le m aroquin est très coûteux; à cette époque on utilise sur­tout te veau ; les reliures n’en sont pas moins somptueuses po u r cela, ici, par exception, un magnifique maroquin re ­couvre le portu lan de Coligny, amiral de France,

Assez brusquem ent, le style fiëïftfls- sance d isparaît; on est frappé de voir à quel p o in t les reliu res m odernes s’inspi­rèren t des motifs du xvg siècle. Les com ­partim ents chargés de rinceaux légers, de feuillages, de fleurs, de palm ettes, se chargent d ’or. Le m aroquin est de plus en plus fréquem m ent employé ; les plats en vélin, en parchem in blanc, se cou­vrent d ’or. Les reliures à la fanfare, élé­gantes et riches, les œuvres des Eve, ca­ractérisen t ce genre.

Vers le p rem ier quart du x v i i * siècle, nouveau changem ent du style. Les re­lieurs u tilisen t pendant quelque temps pour les encadrem ents des plats des rou­lettes et inscrivent au centre des plats soit un losange, soit un ovale, soit un éventail double form ant le rond. Vers 1630, l’ornem entation se fait plus sobre. Cependant Le Gascon ajoute aux enca­drem ents in térieurs à fitets droits ou courbes des coins et des bouquets. Le

pointillé s’unit aux entrelacs : deux re­liures de Florim ond Radier donnent de rem arquables extepiples de de nouveau procédé. On voit aussi quelques exem ­ples de ces semis de lettres et de fleurs de lys adoptés p a r Luette et Ma-cé.

L évolution du styte) se poursuit au xvm* siècle. Les encadrem ents de den­telles s ’appliquent non-seulement sur'']es plats, mais encore sur les doublures en

f lm rp q u in . U n e v i t r in e e s t u n iq u e m e n t- - consacrée aux œuvres de iPasdeloup Je

jeune, qui semble bien avoir été l'in itia ­teur de la réapparition des reliures à mo­saïques, et de .1 acques-Antoi n e Derônie avec ses reliures à com partim ents et ses dentelles qui font fu reu r en France au xvin8 siècle.

Les volumes exposés dans la dernière vitrine sont influencés p a r l ’a rt de la re ­liu re alors pratiquée en Angleterre, d ’une décoration pauvre. E t déjà des ma­roquins à grains longs annoncent Sïmier.

P arm i les reliures étrangères exposées, on rem arque la reliure orientale d ’un Coran, des reliures vénitiennes qui en dérivent, des italiennes aux tranches gaufrées et Coloriées, unte| anglaise plus richem ent ornée que la moyenne, une espagnole, et une curieuse hispano-m au­resque.

Au total, une de ces vues d ’ensemble sur le sujet, comme on en découvre cha­que fois que l’on étudie l’une ou l ’au­tre des collections que le Duc d’Aumaie a réunies au Château de Chantilly.

C H A N T IL L Y (près de l’Eglise)■*a«»a«ai

L'Hôtellerie du Cygne Royale t du Orand Cerf

■■■■■■■■■■■■s a a a

Salons de Thé chinois et marocains Les plus jolis, les plus agréables

Salons de Fam ille de la région

kcolp des Garçons .* Exam ensAux examens du certificat d ’études

com plém entaires du 29 juin, nous rele­vons 20 élèves reçus sur 20. Les jeunes Taihon, Caïuchin, Gandin, Verdou réusis- sant brillam m ent.

Aux examens du certificat d’études du 24 juin, 14 reçus sur 14, dont 12 m en­tions bien et une très bien au jeune Pè- ron p rem ier du canton.

A l ’examen des bourses nationales, 3 reçus su r 4 candidats.

Nos félicitations aux élèves ainsi qu’à leurs m aîtres.

Amicale des Etablissements R. G. B. et C*Dimanche 23 ju in eut lieu la sortie

annuelle des iMembres de l ’Amicale des Etablissements R. Guilleminot, Boespllug et Lie, qui, cette année, avait pour but Dieppe.- - ^ e sortie qui profita d ’un temps su-

^ f b e fu t des plus réussie. Le départ qui était fixé à 6 heures, fut devancé d’un quart d ’heure, grâce à l ’exactitude de tous les membres de l ’Amicale et aussi à celle des autocars de la Maison Cuisi- nier-Marseille, de Moussy-le-Neuf qui était chargée du transport.

I-’appel fa it p a r M. B ertrand, p rési­dent actif (et com bien) ne signala au­cune défection parm i les inscrits dont te chiffre atteignait 180, contenus en six autocars, ceux-ci fu ren t prestem ent dé­corés p a r les gracieuses ouvrières de f usine ; les Commissaires de route qui, toujours, sont à la hauteur de leu r tâche" distribuèrent des trom pettes qui se firent entendre tout le long du parcours.

Un seul po in t noir p o u r certa ins habi- ants aim ant dorm ir, le vice-président M.

Lagriffoul, jaloux sans doute e t m ettant a profit que l ’on ne doit pas dorm ir les nns sans les autres, signala le départ en taisant éclater successivement tro is pé­

ta rds achetés la veille à Chantilly. One ceux qui furent réveillés p ar ces déto­nations veuillent bien trouver ici ses ex- cuses.

Dans tous les cars l ’entrain fut super­be et ne cessa de régner, le petit déjeu­ner eut lieu à iGournay-en-Bray vers 8 heures et du ra une demi-iheure, puis l’on re p iit la route jusqu’à Dieppe.

A l’arrivée chacun fut laissé lib re d’o­rien te r la journée à sa guise, le P rési­dent fit savoir qu’à l ’issue du déjeuner aurait lieu une surprise, et à m idi une grande partie des m em bres Se réunissait à l ’Hôtel du Grand-Cerf où avait lieu le déjeuner.

A u t o u r « le l a t a b l eiCheival, insigne «le d’Ai d r e s s é e e n f e r.4 j»

place : Le P résident entouré des mem­bres d’honneur et du Comité : MM. Ber­trand , D riancourt, Lagriffoul, Lempe- reur, M. et Mme Dupuis et le D irecteur de la Symphonie M. Lefort, puis les Membres de l ’Amiciale. Au dessert, M. B ertrand p rit la parole et re traça briè- vemient les diverses étapes de l ’Amicale ; il m ontra combien cet esprit de famille qui y règne était beau à voir, et rem ercia nos Présidents d’honneur MM. R. Guille­m inot, Bœspflng, de l’appui qu’ils veulent bien apporter à l’Amicale ce qui perm et le développem ent sans icesse croissant parm i ses membres.

Après avoir rem ercié particulièrem ent le iSecrétaire iM. Debray e t le Trésorier M. Maujean, du dévouem ent qu’ils appor­tent à leurs fonctions, les Commissaires de leurs services impeccables, on chanta à p leins poumons le ch an t trad itionnel de cette vivante société. Puis tous les membres qui avaient voulu bénéficier de la surprise trinquèren t au champagne à la santé de l ’Amicale.

Rendez-vous fut p ris ensuite pour 17 heures, à la plage où sous la conduite de M. D riancourt, vice-président et d irec­teu r de la Section Natation, eut lieu la trem pette ; M. Lagriffoul en profita mê­me pour faire une cure d ’eau salée beu-r e a i s e m e n t i n t e r r* o m p u ie , p a r jVl. L e n g l e tqu’il rem ercia aussitôt.

Le re tou r eut lieu à 21 heures et fut aussi gai que l’aller, nouvelle halte à Gournay et buffet. Puis Chantilly atteint vers 1 h. 30 et sans pétard, chacun re ­gagna ses pénates conten t d ’une journée aussi [agréable dont on reèausera sou­vent.

Une Grande Fête de l’Arc

Nous aurons demain le p laisir de voir à [Chantilly de nom breuses compagnies d ’archers ; celles qui ont bien voulu ré ­pondre à l ’invitation de notre prem ière [Compagnie — qui m érite décidém ent bie nsori nos — de venir disputer un concours de t ir sous les ombrages du Bois Bourillon.

Indépendam m ent des Compagnies qui appartiennent aux rondes du Valois, de l’fle-de-France, de la vallée d ’Automne et d’ailleurs, nous y applaudirons les ar chers belges venus du lo intain H ainaut et qui donneront de ce fa it à la com pé­tition un caractère international.

Il n ’y aura pas d ’ailleurs seulement de tir à l ’arc, mais encore un tournoi de football où se trouvent déjà engagés Lai- gneville, [Senlis, l ’A. S. de la ville de Pa r i s , l’A. S . de Coye, Gouvieux et évidem­m ent PC. 8 . Chantilly.

Les [amateurs de baskett assisteront à une magnifique exhibition du G. A. S. C. qu i saura convier adversaires à sa taille; les gym nastes nous prom ettent un in té­ressant iconçours et proches voisins des archers les boulistes disputeront p lu­sieurs m atches au bois Bourillon.

(Enfin la musique ne sau ra it m anquer à la fête ; on l’en tendra le m atin à fa g ran d ’messe en plein air, qui ouvrira d i­gnem ent la journée après que les socié­tés auront défilé, et dans le cou ran t de l ’après-midi.

Le Bois Saint-JDienis ne sera pas m oins en liesse que (Chantilly, une re traite aux flambeaux le p a rco u rra dès le samedi soir, le défilé du m atin en p a rtira et le dim anche soir il y aura bal en plein air su r la route des Houys. Les organisa­teu rs des fêtes cantiliennes trouvent tou­jours un très large accueil au Bois Saint- iDenis, ce n’est donc que justice de ne pas le négliger.

Nous souhaitons à cette im portante m anifestation de l’a rc tout le succès q u ’elle m érite et surtout du soleil pour que soient entièrem ent récom pensés les efforts des braves gens qui l’organisent.

R. B.

Cinéma(Elysée. — La tragédie de la m ine et

La Frison en Folie (Noëi-Noël).

ETAT CIVIL du 15 au 30 juin 1935

Naissances16. Desciamps Eveline-Andrée-Renée,

19, avenue Joffre.17. Cavelle Danielle-Mauricette-Mar-

guerite, 34, rue du Connétable,22. Diecrombecque Chrisliane-Floren-

ce, 16, rue des Cascades.24. A udinot Jaoquedine-Marguerite, 34,

rue du Connétable.25. Daguet Ber nard-Jean, 76, rue du

Connétable.30. Aileron Gilbert-Raoul-Alfred, 16,

rue dejS Cascades.3(0. Longuet Jacques-Elie, 1, rue de la

Chaussée.Décès

16. Gonnet Louis-Victor-François, 69 ans, 80, rue du Connétable.

17. Maron Mlarie-Jeanne, veuve Vi- gneulle, 65 ans, 2, rue de l ’Hôpital.

17. Sabouret Louis, 69 ans, 8, rue de la Nonette.

25. Bernin Charles-Léon-Marie, 36 ans, 2, rue de l ’Hôpital.

Publications de mariages17. Brighton Geonges-Gharles, palefre­

n ier à C hantilly et H eurteur Anna-Hélè- ne, sans profession à Chantilly.

21. M arlier Henri-Alphonse-Arthur, électricien à Nogent-sur-Oise et Palm er Lucette-Yvonne, sans profession à Chan­tilly.

22. Mazille Armand-Eugène, bûcheron à Chantilly et M auclair Juliette-Luce, sans profession à Chantilly.

dualité Ho " IVI- Al,red Choron, equalité de garde particu lier de M. Pfar

BETHANCOURT

Ormoy-Viliers, v e E J ™ 6" 1'8" 1cyctette, ayant sa fo rm °y en motc~ V e d ; t a J„a, « hf ne' 8m”“ “ «'«■ â [■«,

troupeau d'anneaux m t’nt;,0ntra 111 vraisem blablem ent effrayé!* en ,r’e,u*. t *“époux .Simon. *•'*'*»■ — ... m. ............

M. Simon fu t blessé au b ras gauchers! femme s’en tira indem ne. Quant au ber ber qui avait voulu dégager Jes d,eir

tuyau d échappem ent.Une enquête est ouverte p ar la gen

darm qne pour établir les responsabili

CRAMANTLes suites d ’un cambriolage. — Ai

m ois de février dernier, M aurice For. • 0 ans, sans profession, ni domicile ré pondait devant le tribunal correetionne

bénits,- de deux cam briolages l ’ut commts à Chaînant, chez un entrepre

m de battages, l ’autre com m is à Ville neuve-sur-Verberie, chez un débitant d

c o f t é ^ W m 1'* délits’ F o rr aTOit ré o h 3 mois d em prisonnem ent.o rr m écontent de ce jugement, fit an

nui f r f -a C°-l' r d ’appel d ’Amiemnant i w i 1? 10 Ce .plgem ent, en condam nant 1 inculpe a six mois de prison et ,la retegation pour le vol de Villeneuve sur-V erbene, lia [Cour en ce qui concern e cam briolage de Chamant a diéclar

U o n n e f relevaH pas du trib urml correc

CHAMBLYs i , . / , , , . , , , . — VJn c y c l i s te , M . Allier

Despothm s, 40 ans, terrassier, 8 m l asteur, a Persan, se dirigeait vers P a m , à une allure de 15 “kilom ètres 1 heure lorsqu’il fu t renversé par un automobile. Relevé avec des contusion n n \ reins, a la cheville du p ied gaucb

au coude gauche, il a reçu les soin n médecin.L’enquête perm et jusqu’alors de sur

poser que le cycliste aurait été victim île sa p rop re i m prudenee.

COYE-LA-FORETOn dit q u e .. .

~ Nous avons appris le départ d ’un d nos b rillan ts conseillers, appelé p ar de plus hautes fonctions assez loin de Coye E spérons que nous n ’aurons pas à l ’adeniers b Ia liSîe’ ^ Ion®ue> des cou seiilers honoraires...

b St’ h que la P °mPe Placée su | a p b !:e d e l à Mairie est condam née moi t . (Souhaitons que ce ne soit a u ’u canard , c a r l’eau qu’on y puise est d loin, meme de très loin, supérieure Eaifx de te (Compagnie de

CREPY-EN-VALOISCauserie Radiophonique. — No„

•sommes heureux Ue pouvoir annonce que m ercredi p rochain 10 juillet, à ndd très précis, M. M ercereau, p résident d .Syndicat d ’in itia tive de Crépy-en-Valoi; iloG Une 'Causerie touristique sur le Va

Ne m anquez pas d’être à l ’é c o u t e t poste national Radiophonique des P 1 t . , m ercred i prochain.

e iw e v i l l e

Mort sur la route. — Un sujet italier Giaeono Binutti, âgé de 34 ans, ouvrie de la briqueterie de Bonneuil-en-Valob quq.1” 0^ SUlbltement sur la voie publi

Mort naturelle. —1

mONTLEVEQUEL a Compagnie d ’Arc de M ontlévêgn

a la douleur de fa ire p a rt de la m ort di chevalier Loyseau Georges, curé de i paroisse. Les obsèques ont eu h eu Je V juillet, au m ilieu d ’une nom breuse assis tance et en présence des Compagnie d ; K^-apre» : La Cie d ’arc de (Pont 8 ai n te- Ma x e n ce, de Chamant, de Baron Ap rem ont, la l re de C hantilly, Vineuil iSeniis (IMontauban) et Saint-Firm in. Le (Compagnies, suivantes s’étaient fait exn f r i f V Senli,s <Porle (,e Meaux), Ver neud, Cires-les-Mello, Vihers-St-Fram(bourg, fieauvais (Jeanne H achette), Crei et F leunnes.

Les officiers et chevaliers de la Corn ipagme d ’Arc de (Montlévêque rem ercien toutes ces Compagnies de leu r m arqu. de sym pathiej , 4

NOCESBANQUETS

K IO m E X -i LES TERRA SSESC H - A . I T T I X j I j 'Y '

_________ 792

aux èt d ’un

ORRY-LA-VILLEA la maniéré de. « Bégonia ». __

puis les élections de mai dern ier, ne « Bébé Cadum local », ehafaillon 1 e devisant, qui n ’a obtenu de la bonb m ere électorale que quelques tro is d raines de « sucettes » sur 335 votai est vexe. Sa candeur d ’enfant non se ne peu t com prendre que la miairie n ’ pas une pouponnière. Certes la « dé llotfee » a été un peu rude. Mais I q- V i f ICI0UP d’urne reçu a eu sur

1 effet d u n e bombe asphyxian te e t bonne bouillote naïve s’est muée en t gne ravinée p a r les pleurs et les grin m ents de dents. C’est que F Bébé a rape ce jour-là une frousse, une p<

bleue, et depuis c ’est une d iarrhée m orragique continue.

Notre « m outard local » a bel et bi la vraie diarrhée « évacuation alvine quide et fréquente », celle des froussai et des trouillards, Ta peur porte en e meme un bacille double, qui fait qu’à fois notre « Bébé » a le cœ ur serré 1 ntestin desserré. A h ! notre « chef; Ion » n a plus la tranquille liberté ventre; c ’est une liberté qui dégénère licence, en libertinage, en orgie 1 Pc notre diarnhéïque local, l ’ém otion’ est plus instantanée des purges ; ça se po là im m édiatem ent et ça ouvre ses vam intestinales comme chez d’autres ça f jaillir les larm es ; il ne peut se re ter quand il c ro it appuyer sur le frein, c ’ I acceJerateair qui fonctionne. Les lanu tâtions, les encouragem ents, les jom les billes et les toupies n’y peuvent rii en m oins de tem ps qu’il n ’en faut p i 1 écrire ! C ’est fa it ! Il ne cro it pas q ça va y être, il espère que ça n ’y si pas... et ça y est déjà, inévitablem ent, m entablem ent ! Depuis le résultat du mai, il fau t pour notre a foireux local un fond de culotte qui soit une manié de pot de cham bre ou une feuillée por tive I

Comme toutes les distractions péril­leuses, la politique a ses héros, mais aussi ses victimes et notre pauvre type souffre doublement, puisque pour notre « .chefaillon local » s’ajoute à la lutte ex­térieure, l’effroyable lutte intestine, son « for in térieur » est toujours prêt à ca­p itu ler. Un coup de plume dans le Cour­rier et c’est l’évacuation im m édiate et totale. Ml ! n ’allez pas dire au « Bébé iCadum » qu’il n ’a rien dans le ventre ! il vous prouvera aussitôt le contraire , un con tra ire aussi m alodorant qu’indé­niable et notre « Trouilllard local » ne rem et jam ais au lendem ain ce q u ’il peut fairei le jour même et malgré l ’abon­dance des m atières il ne renvoie pas la suite au -proolxain num éro !

(Et cette susceptibilité intestinale dé­ferle, telle une tem pête !

Quand arrêtera-t-elle, nul ne le sait.iNlous lui recom m andons une urne de

bism uth.Résultat garanti.

Le Bourlingueur.PONTARME

Tombola de la fête patronale 1935. — 9 17 43 101 119 124 129 147

176 212 231 241 254 287 288 289297 3,21 322 413 420 439 451522 558 565 573 623 630 634742 757 759 774 776 787 838

902 920858 869 887

501 691 848

927 933 940 1022 1048 1067 1092 1195 1207 1215 12171238 1280 1294 1302 1030 1344 1366 13721380 1432 1451 1456 1457 1513 1525 15261538 1562 1576 1604 1677 1684 1780 17881797 1808 1830 1838 1849 1870 1940 19571972i 2045 2062 2073 2076 2090 2115 21202151 2161 2170 2180 2184 2200 2225 22342250 2283

PONT-Ste-MAXÏÏNCEJeunesses Patriotes. — Le bureau des

J . P. de Pont-Sainte-M axence invite les patrio tes de la région pontoise à sa réu­n ion de section qu i au ra lieu ce soir, sam edi à 20 h. 30', au Café du Lion d ’Or,A-nie eri-o n c; t .

Des invitations ont été lancées ; les adhérents des Ligues N ationales qui n ’en aura ien t pas reçues doivent se considè­re,r -comme invités ; ils n ’auront qu’à p résen ter au contrô le d ’entrée la carte de leu r Ligue,

A l ’o rd re du jour : Compte rendu de l’activité de la section. (Gauserie su r la situation politique et financière par M. Labrie, de Paris.

La réunion est strictem ent privée.Syndicat d ’in itia tives. — Une réunion

a eu lieu h ie r so ir vendredi dans le but de c rée r un (Syndicat d ïn itia tiv es . Nous donnerons en notre p rocha in numéro le com pte rendu de la séance.

Croix-Bouge. -— La Croix-Rouge F ran ­çaise bénéficiera dim anche 7 juillet p ro ­chain, pour ses oeuvres, d ’une journée nationale. A cette occasion, nous nous faisons un p la is ir de reprodu ire le se­cond appel d’un enfan t en faveur de la (ù ûix-Hoiiige Française :

« Un franc l’insigne, Madame.a Vous avez des enfants pleins de

« santé, donnez, pour ceux qui ont faim « et (froid, quelques petites pièces d’un .« franc.

« Un franc l ’insigne Monsieur.« Vous avez du travail, donnez, pour

« ceux q u i n ’en ont pas, quelques peli- * tes pièces d’un franc.

« Un fran c l ’insigne, jeunes filles.« Vous avez la santé et jouissez des

e p laisirs de votre âge, donnez, pour « d’autres jeunes filles malades, quelques .« petites p ièces d’un franc.

« Un franc l’insigne, petits garçons.« Vous avez beaucoup de bonbons et

« de jouets, donnez, pour ceux qui n ’en « ont pas, quelques petites pièces d’un « franc.

« Un franc l’insigne.« Achetons-en tous. Pour faire naître

« quelques sourires et réchauffer de pe- « tits membres, donnons quelques peti- « tes p ièces d ’un franc. »

Nous rappelons que c ’est dimanche prochain également, qu’aura lieu à Pont- iSaintei-Maxemce, sous le bail du Marché ((entrée gratuite) la conférence si ins­tructive de M. l’ingénieur chimiste lo u r­des, Sur la défense passive.

Cinéma-Palace. — Program m e : Sa­medi 6 juillet, en soirée ; dim anche 7 juillet, en m atinée et soirée.

Un g ran d film français :Le Voleur, joué p a r Madeleine Re­

naud, Victor F rancen, J.-P. Aumont, Jean W orms, Paul Amiot.

E t J'ai peur de moi, avec Gustav Froe- li-ch.

Etat civil pendant le mois de juin. — Naissances. — 4. Albert Dalla Barba, 3, c ité de l’Abattoir.

7. (SyIvi-ane-Jiélène D-ebrityne, quai du MSesn i 1-Gh ai el a in .

8. Nicolle-Andrée-Fernande Marlot, 25, rue de l’Ile.

12. Denise-Hortense Launav, 6, rue de l’Ile .

14. Ginette-Andrée Lerévérend, 24, rue de la République.

23. Michel-Arsène-Jean-Marie Cayel, 5, ruelle Thibault.

29. H élène-Henriette Gantes, 82, ave­nue Jaurès.

Mariages. — 22. Robert-Louis Thorel, pein tre et Mille Jeannine-M arie Fuzellier, em ployée de bureau, tous deux à Pont- Sainte-Maxenicè.

22. Lucien-Henri-Paul P érin , ébéniste à Villeparis (IS.-et-M.) et Mlle Lucienne- Miarie-Marguerite D ecarpentrie, sans profession à Pont-Sainte-Maxence.

22. iSurbant Pierre-Joseph-G ilbert, dé­corateur et (Mlle Marie-Antoinette-Geor- gette H enni g, sans profession, tous deux à Pont-Sainte-Maxence.

29. MarceLE-Uigène-Charles Lacombe, m a n o ir v r ie r -et M lle A r m a n d e -M la r c e lle I .e v e r t , O u v r iè r e d ’u s in e , t o u s d e u x à Pont-Sainte-Maxence.

Décès. — 5. Georges-Paul-AmédéeSpitz, 63 ans, 41, rue des Vendredis.

8. Loui se-August i n e Biais, veuve La- haye, 68 ans, rue de la Ghapelle Saint- Jean.

il0< Honoré-A rthur Blond, 46 ans, 28, cité de l’Abattoir.

11. FloreJMarceline-Maria Moulade, veuve [Chevallier, 75 ans, rue de la Cha­pelle Saint-Jean.

15. Zulma Ambroisine Floury, veuve M artinet, 82 ans, rue de la Chapelle St- Jean.

17. P ierre An Assehe, 81 ans, rue de la [Chapelle Saint-Jean.

21. Julie-Louise Maher, veuve Duchar- ne, 62 ans, Ecole Jules-Ferry.

PRECY-SUfi-OISECouronnement de la Rosière. — Lundi

dernier, au cours de la fête patronale, a eu lieu la traditionnelle cérém onie d:u couronnem ent de la rosière annuelle.

La bénéficiaire du p rix de vertu De- meuilly, institué p ar M. G randperrin , choisie par la Commission spéciale était Mlle Mlarie-Louis-e Ridoux, âgée de 21 ans, employée de bureau chez M. Gérar- d o t e t V erign e, d e m e u r a n t à P r é c y - s u r - Oise, excellente travailleuse et dévouée envers ses parents.

Cette cérém onie s’est déroulée à la M airie où M. C œ urderoy, m aire, après avoir félicité l ’heureuse élue, rappelé le souvenir do donateur, a rem is le mon­tan t de legs -à Mlle Ridaux, avec une gerbe d e fleurs et Un souvenir.

Un cortège s’est alors rendu à l ’église où en présence d’une nombreuse assis­tance, M. le Curé a posé su r le front de la rosière la couronne de roses.

Un vin d’honneur a été ensuite servi en l’honneur de Mlle Ridoux.

VERBERIE

Le Maire rappelle aux habitants q ue les possesseurs de moteurs é le c tr iq u e s sont tenus de les protéger p ar des appa­reils antiparasitaires, afin de ne pas gê- ner les auditeurs de T. S. F. et informe ces prem iers que différentes plaintes lui sont parvenues, notam m ent des audi­teurs des rues de la République et Saint- P ierre .

Il com pte sur la bonne volonté de ses adm inistrés pour se m ettre en règle avec la loi.

Le Maire,R. Fifhtix.w

Garde particulier. — M. le Sous-IVépt de Sentis a agréé M. Lucien Mènerai, en qualité de garde particu lier de M. Henri Lambotte.

Chronique SportiveP I N G - P O N G

L ’Union Régionale de l’Oise fait dis pu te r à Goye, dans le Parc de la Ruche, le h indi 15 juillet, ses cham pionnats di tennis et de ping-pong. -Ces épreuves qu ont lieu pour la prem ière fois, sont ouL vertes aux licenciés de la F. G. S. P. F Elles se disputeront par élim inatoires, à p a r tir de 8 h. 15.

P our tous renseignem ents et engage­m ents, écrire à J. Longa, 15, rue de là Gare, à Coye (Oise).

son Foulon, "Fraillon, Gilbert, Godbille, Hav’v, Helque, Lejour, Lespiat, Maillot, MiMas, Parent, Peltier, Perpette, Piermé, philippon, Poilleux, Razil, Speurt, Ta- v e r n i e r , Vandcrbengh, Vanry&keghem.

jQrèpy.— Baudequin Benoist, Bonnot, Bournel, Colinet, Dumont, Lan-glois, Le- rov Mlroux. Moin-at, Moreau, Plateau.

Crépy (privée). — Loubet.Nagent. — Autogue, Besnard, Darte-

ver t Heaulme, Lebaron, M ercier, Mousse.Senlis. — Angot, Bariérand, Blanchet,

Bougnat, Delcoigne, Delmotte, Denève, D e r o u g e m o n t , Ducrot, Fauchard , Gan- don G a v e r n e , Germènot, Jacquet, Lige- ron ' Linder, M arin, Morin, R icard, Thé-

nt, Vaspard, W elter, Martin.roi-*o»-

Ceriificat d'Etudes ComplémentairesCENTRE DE CHANTILLY

Résultats du 29 juin

Garçons[P ré s e n té s : 115. — B ecu is : 115.

C hantilly. — Barbier, Gauchin, Dézé- r-able, Flam and, Calvaire, Gilbert, Hu- igonnier, Jossaux, Kirby, Laurent, Le- tra in . Pinçon, P inson, Plava-ux, Rama- get, Smée, Tahon, Van Damme, Verdon, Gandin.

Crépy. — Amory, Batissat, Biasselier, Chevallier, [Daverdin, Dessauw, G-uinot, Grosbas, Leclercq, Leloir, Miot, Pannier, P icart, Petiot, Piocq, Sabourin, Thomas.

Nogent. — .Dervillez, Hengemneyer, Lescot, Neutre, Devillon.

Senlis. — Angot, Corne, DepennA Lam bert, Lequeux, Levasseur, -Mascré, Morin, Niaiigeon, Paul, Quarez, Roy; Tran- chard , Vandercruyssen, Voleberg, Patte.

Creil. — Aubriot, Autrebon, Benoit, Breton, C arrion, Casse, Gans, Charpen­tier, Clacys, Deltort, Relaye, Demay, De­nis, Dhoker, Drouard, Coïlignon, Cour­tois, IDhoye, Rufin, Rupont, Debrichy, Féchelle, Forgeois, Fournier, Foy, Fran­çois, Gernez, Griffe, Guichnrd, Hainault. Hamon. Lan-glois, Leboyer, Leî’ebvre, Le- -grand, Ldbgeois, Longuet, M lchard, Na­varre, Nicolas, Pereaux, P inçon, Piolet, Popiélaire, Ponquier, P ron ier, Quentin, Rollet, Ru le noe, Simon Vanlgelle, Velu, Verbeyem, A V a to n , M a s s e l in .

Nogent-. ■—• Ducrocq, présenté p a r la falmille.

FiillesPrésentées : 97. — Reçues : 94

Chantilly. — Bonnard, Brice, Cauchy, Coimet, Doublet, Gasc, Germain, Gour­din, Groult, Hay, Le iBihan, Leroy, Miel- He, Minouiflet, Pêcheur, Pillot, Régnier, Rolberts, Robquin, Sarrazin, Tâté.

Creil. — Abrassart, Benant, Béréza, Bernie-r, Cassé, Coblet, Raché, Duclos-

jsujmoi.'.

t a f l i c a t d’Etudes PrimairesCHANTILLY

Résultats du 24 juin

Garçons

P résentés : 54. — Reçus : 46

Chantilly. — Brunson (60 , Cottreau (b.), Dupuis H. (b.), D upuis J.-A. (b.), Dupuis J.-G. (b.), Filloux P. <b.), Gervais, Hackière (b.), Kirby (b.), Lebard (b.), Pérou (t. b.), Prudhom m e (b.), Ringeval (b.), SteMens (b.).

Coye. — Aubaz-at, Auibfy, Coudoux, Guinot, Jouvnay, Najean.

Gouvieux. — And-rivot, Assy (b.), Bas­tide, Boursier, Corbier, Dubus (b.), Gour- don (t. b.), M artin.

Les Aigles. — Ohanson, Rabin, Petit, P iernetti (b.), Jones (b.).

Chanmont. — Appiolo, Anbelet, Cochu, Daime, Duhamel, Lebret.

Lamorlaye. — Bourcin, Cooke, Duru (h.), G arland (b.).

Pont-Sainte-Maxence. — Kiaimbacher (t. b.).

Saint-Maximin. — M-aufroy (b.), Whea- ton.

L ^ r Fillesp r é s e n t é e s : 0 2 . »— R e ç u e s : 5 5

C h a n ti l ly . — Badoc (h.), -Barrachin (t. i, / -Bernard, iGampion, Du-fau (b.), Du- flot «6 .), Eveno, Laigrave, Louvet, Poltier l(], ), R iehart th .). Spencer (b.), Stein- mann (t. b.), T rah in , V annier, Veugle (j, ), Vannier, Veugle (b.), Victor (b.).

Coye. — Berson, Delaforge (b.), Duca- rin , Laguilfiez (b.), M'elot (b.), Nay, Quen­tin.

Coye (privée). — Coppin, Flanet (b.).Gouvieux. — Bon (b.), C orbier (b.),

Cordier (t. b.), Leroy, Mention, Wasson.Les Aigles. — Besnard, Jones (b.), Per-

r in (b.).Chanmont. — Diambreville, Engel (b.),

Prenais, Lepriaur.Gouvieux (iprivée). — Ménard.Lamorlaye. — Brunet, Charlet (b.),

Drayton, Mareille, Mistretfa, P ortai (b.).Saint-M aximin. — Auffret (b.), Codo-

gno, Daubin (t. b.), D urand (b.), Gallois, Hiet, Panciéra, Tattegrain (b.).

P résentée pat- la famille: Leibeau.

Ecole flatioüale Professionnelle de Creil

SECTION PREPARATOIRE

L’esclave de fer...Les Vacances, cure d’optim ism e; Ra­

jahs en Europe; les Chasseurs de tim ­bres-poste ; Une Ruée vers l’or ; A la recherche de la pierre philosophale ; Comment on fabrique une star, ces a rti­cles actuels, pleins de renseignem ents et d’anecdotes curieuses, inédites, amusan tes, vous les lirez dans le num éro de juil Jet des Lectures pour Tous avec un ro ­m an passionnant l ’Esclave de fer, une belle histoire d’am our qui se mêle au dram e m oderne de la m achine.

P o u r rép o n d re au x dem andes de nom breuses fam illes, nous croyons u tile de fa ire co n n a ître d an s quelles cond itions les élèves p eu v en t ê tre a d ­m is dan s la Section p ré p a ra to ire en vue de le u r p ré p a ra tio n au concours d ’en trée en p rem iè re an n ée à l’Ecole n a tio n a le p ro fessionnelle de Creil.

A dm issionL’adm ission a lieu san s concours. Il

suffit que les can d id a ts so ien t ti tu la i­res du certificat d ’études p rim a ire s ou d ’un diplôm e éq u iv a len t e t fa ssen t p a rv e n ir à M. le D irec teu r de l ’Ecole natio n a le pro fessionnelle de Creil une dem ande d ’adm ission in d iq u a n t la n a ­tu re de la p lace sollicitée ( in te rn a t, de­m i-pension ou e x te rn a t) , accom pa­gnée d ’un bu lle tin de n a issan ce , s u r p a p ie r lib re ; d ’u n certifica t m édical et d ’un certificat sco laire m e n tio n n an t que le can d id a t est titu la ire du ce rti­ficat d ’études ou d ’un diplôm e équ iv a­lent.

L’ense ignem en ts est g ra tu it.D em i-pension et pension

Le p rix de la dem i-pension est de 1.000 fran cs p a r an , celu i de la p e n ­sion de 2.000 fran cs p a r an , p ayab le en tro is te rm es égaux e t d ’avance, d ans les d ix p rem ie rs jo u rs de chaque trim estre .

B oursesDes bourses so n t allouées p a r l’E tat,

so it au x en fan ts reçus au concours des bourses, p rem ière ou deuxièm e série , soit, san s concours, sous form e de bourses de p ré a p p re n tissa g e ; p a r le Conseil G énéral de l’Oise po u r les e n ­fan ts d on t les fam illes h a b ite n t le dé­p a rtem en t ; p a r la M un ic ipalité de Creil p o u r les fam illes d em eu ran t àCreil, M on ta ta ire ou N ogent-sur-O ise. De p lus, la Ville de Creil accorde à tou t élève 'don t la fam ille y réside une a l­location qu i lu i a ssu re la g ra tu ité des fo u rn itu re s scolaires.

Nous a ttiro n s to u t spéc ia lem en t l’a t­ten tion des fam illes s u r l ’u rg en ce q u ’il y a à in sc rire les can d id a ts a v a n t le 20 ju ille t. Le nom bre des p laces d ispo­n ib les e s t en effet très lim ité, n o tam ­m en t p o u r les in te rn es .

P o u r l’in sc rip tio n ou p o u r tous a u ­tre s ren se ig n em en ts , s ’a d re sse r au Di­re c te u r ou au S ec ré ta ire de la D irec­tion, tous les jo u rs ouvrab les, de 8 h eu res à 11 heures- e t de 13 h eu res 30 à 17 heu res 30.

Vient de paraître

M a d a m e v a V o t e rPièce fam iliale et sociale

en 1 acte par Louis L è v e n t

P rix net : 4 francs En vente chez l’auteur : Louis L è v e n t ,

61, rue de la Gare, Coye-la-Forêt [(Oise). Paris G, C. P. 363-27.

Tous droits d ’exécution publique et de reproduction réservés pour tous pays.

A toute demande de rensei-j gnements, il ne sera répondusi m

que si la lettre est accompagnée

La Waisoü du Poilu à GenèveLa M aison du poilu à Genève, sera

in au g u rée le 14 ju ille t 1935.L a M aison du Poilu , 39, ru e d ’Am s­

te rd am à P a ris , qui a ssu m a la sous­c rip tio n que l ’A m icale des A nciens C om battan ts F ran ça is de Genève av a it o rgan isée p o u r ré a lise r ce tte belle œ uvre, rem ercie les nom breux so u s­c rip te u rs et, à nouveau , les inv ite à co llab o rer à une a u tre œ uvre au ss i généreuse e t hum aine.

L’A ssociation G énérale des M utilés de la G uerre au p ro fit du S an a to riu m de P u y la u n (H au tes-P y rén ées), qu i o r­gan ise une Loterie d o n t le tirag e a u ra lieu le 19 ju ille t 1935, au siège de l ’A s­sociation à P a ris .

Cette g ran d e L oterie au to risée p a r a rrê té m in is té rie l du 3 sep tem bre 1934 donne d ro it à une d is trib u tio n de p rès de u n m illia rd de fran cs — rep ré sen té s p a r un tr ip le avan tage .

1° P ossib ilité de g a g n e r u n gros lo t p a rm i : 20 autom obiles, 20 m obiliers, 200 postes de T. S. F., 200 b icyclettes, 100 m ach ines à coudre, etc...

2° P a r tic ip e r à la L oterie N ationale (possib ilité de g a g n e r à nouveau 25.000 fran cs, 10.000 fran cs, e tc .).

3° P a r tic ip e r au x tirag es d ’o b liga­tions à lots (C rédit N ational, C rédit F oncier, Ville de P a ris , etc...). Gros lo t de 1 m illion , 500.000 fran cs , 200.000 fran cs, 100.000 fran cs , 50.000 fran cs , etc... p e n d a n t 10 an s re p ré se n ta n t 480 tirag es d ’un to ta l d ’en v iron u n m il­lia rd de fran cs !P rix du c a rn e t de b ille ts : 20 francs.

Jo in d re 2 fr. 50 p o u r fra is d ’envoi de chaque c a rn e t de b illets.

NOTA. — Les dem andes de c a rn e ts de b ille ts se ro n t serv ies dan s l’o rd re des dem andes, le nom bre é ta n t s tric te ­m en t lim ité. Elles d ev ro n t ê tre a d re s ­sées, accom pagnées de le u r m o n tan t

dat-poste o rd in a ire . P as d ’envoi con­tre rem boursem en t, , _ j

Ld’un timbre pour la répense.

BOIS-PRIM Eà n o s L e c t e u r s

(Voua v o u s o f f r o n s u n n b o n n a m a n t d a 3 m o i s

® p o u r f r c »» ■BHBBHIv , reniem ent

Étranger] 9 francs“ M a i s o n s p o u r T o u s ”’ »ett 3 fascicules •album s pratiques perm ettant SANS MAISON ET SANS ABSENT4e construire gprtee aux conseils de cette Revue

qui vous tiren t d 'em barras

s i v o u e a v e z u n e m a is o nd ’en obtenir tou t l’Agrément et le Profit grtee au* modèles de maisons, d ’arrangements, aux exemples de transformations, aménagements, équipements qui

réduisent efforts et fatigue.I Ce m ontant vous est ,

1 R E M B O U R S E # i m m é d i a t e m e n t

par deux superbes primes j U n numéro mmn&A de V b à l* C*mp*gn* (valeur 6 fr.). U a ttttméw» spécial da Jurdim ci B*un-Coun (valeu* x fr. 50). Découpes cette annonce et eà rem xda , avec la somme correspondant* I M. Albert MAUMENB, Librairie HacbcUth boul. Saint-Getmalo, Pari* (é’b

Avis très importa»!£ Toute communicat ion nous par-J venant après le JEUDI A MIDI,£ sera reportée d’ofjicc au numéro £ suivant. ,

mt♦■♦:■♦m♦

Service d’Bté 1935C O M P I É G N E - S E N L I S - P A R I S (Semaine) P A R I S - S E N L I S - c ô M F I È S N ë

Citroën C o m p ièg n e ......... 7 » 8 » 9 » 10 » 11 » 13 30 14 30 16 » 17 » 18 » P a r i s ..................... 7 30 8 30 9 30 10 30 11 30 13 . 14 # 1 5 30 16 30 17 30 18 30V e r b e r ie ............. 7 25 8 25 9 25 10 25 11 25 13 55 14 55 16 25 17 25 18 25 S e n l i s ................... 8 30 9 30 10 30 11 30 12 30 14 » 15 . 16 30 17 30 18 30 19 30S e n l i s ................... 7 50 8 50 9 50 10 50 11 50 14 20 15 20 16 50 17 50 18 50 V e rb e r ie ............. 8 55 9 55 10 55 11 55 12 55 14 25 15 25 i 16 55 17 55 18 55 19 55P a r i s ..................... 8 50 9 50 10 50 11 50 12 50 15 20 16 20 17 50 18 50 19-» C o m p ièg n e ......... 9 20 10 20 11 20 12 20 13 20 14 50 15 50 | 17 20

|18 20 19 20 20 20

Renault C o m p ièg n e ......... 7 30"

8 30 9 30 10 30 13 » 14 » 15 30 16 30 17 30 18 30 P a r i s ..................... 7 » 8 » 9 » 10 » 11 . 13 30 14 30 16 * 17 » 18 »V e r b e r ie ............. 8 06 8 56 9 56 10 56 13 36 14 26 15 56 16 56 17 56 19 06 S e n l is ................... 8 » 9 » 10 » 11 # 12 » 14 30 15 30 . 17 * 18 >i 19 »S e n l i s ................... 8 30 9 20 10 20 11 20 14 » 14 50 16 20 17 20 18 20 19 30 V e rb e r ie ............. 8 24 9 24 10 24 11 24 12 24 14 54 15 54 17 24 18 24 19 24P a r i s ..................... 9 30 10 20 11 20 12 20 15 » 15 50 17 20 18 20 19 20 20 30 C o m p ièg n e .......... 9 » 9 50 10 50 11 50 13 » 15 20 16 20 ^ 17 50 18 50 20 »

B B B j B B B

DÉPART DE COMPIÈGNE

ie r v ic e d e s 1 3 irriaxi cimes e t J" oxxx'S

DÉPART DE PARIS

F ’é r i é s

Citroën .

Renault.

6 45 7 45 8 40 9 30 10 25 11 » 11 45 12 15 13 10 13 50•> 14 40 15 20 16 » 16 35 17 15 17 45 18 20 19 # 19 40 20 30

7 15 8 15 9 » 10 » 10 40 11 20 12 » 12 50 13 30 14 1015 » 15 40 16 20 16 55 17 30 18 » 18 40 19 20 20 » 21 #

La durée du trajet Compiègne-Senlis est de 5(Tminutes environ

Citroën

Renault.

La durée du trajet Paris-Senlis est de une heure environ

7 15 8 > 8 30 9 * 9 45 10 15 10 50 12 30 13 » 13 30 14 1514 45 15 20 16 » 16 50 17 30 18 10 18 55 19 35 20 20 21 »

7 » 7 30 8 15 8 45 9 30 10 » 10 30 11 10 12 45 13 15 14 »14 30 15 05 15 40 16 30 17 15 17 50 18 30 19 15 19 55 20 40

PONT-STE-MAXENCE " S E N L IS - PARIS (Semaine et Dimanches) PARIS - S E N L IS - PONT-STE-MAXENCE

Citroën P on t.......................S e n l i s ...................

9 45 10 10 11 20

13 0513 3014 30

18 1518 4019 40

18 1018 3519 40

P a r is .................S e n l is ...................Pont .................

7 458 459 05

11 3012 3012 50

16 1517 25 17 40

V D. F. V

Renault P o n t......................S e n l i s ...................P a r i s .....................

7 »7 208 20 9

12 » 12 20 13 20 T

15 3015 5016 50 - ■

P a r is ..........................Senlis ........................P ont .....................

9 15 10 15 10 35

13 4514 4515 05

19 »20 » 20 20

SENLIS - CHANTILLY- PARIS (Semaine et Dimanches) P A R I S - c h a NTILLY - S E N L I S

Citroën S e n l is .......................C h an tilly .............P a r is .....................

.9 » 9 15

10 25D. F.

10 1510 3011 40

s.

12 3012 4513 55D. P.

14 1514 3015 40

s.

14 4515 »16 10 D. F.

18 1518 3019 40

s.

19 4520 » 21 10

D. F.

P a r is .....................C hantilly .............S e n lis ...................

7 158 25 8 40D. F.

8 30 19 40 : 9 55 i

s.

10 4511 5512 10 D. F.

12 3013 40 13 55

s.

13 »14 10 14 25D. F.

16 3017 40 17 55

s.

18 » 19 10 19 25D. F.

Renault S e n l is ...................C hantilly .............P a r i s .....................

7 »7 158 25D. F.

7 458 » 9 10

s.

10 4511 > 12 10 D. F.:

l 12 30 ; 13 »12 45 13 1513 50 14 25

S . D. F.

15 3015 4516 55D. F.

16 1516 3017 40

s.

19 »19 1520 25D. F.

P a r is .....................C hantilly .............Senlis ....................

9 » 10 1010 25D. F.

10 » 11 10 11 25

s.

11 1512 25 12 40D. F.

13 4514 5515 10D F.

14 1515 25 15 40

s.

17 1518 25 18 40D. F.

j'

18 3019 40 19 55

s.

19 4520 5521 10 D. F.

Starn S e n l is ...................C hantilly .............

5 526 19

7 518 18

D. F. 9 02 9 29

10 2610 53 :

L»—J—

!i 12 44: 13 n

D. F. 14 09 14 36

16 19 16 49

- C hantilly ...................S e n lis ...................

7 22 7 49

8 339 *

i11 16 11 46

13 5514 25

15 15 15 45

15 20 15 47 D. F.

19 07 19 34

20 28 20 55 D.F.

Im prim eries R éu n ies d e S en l i s « Journal Le Courrier de POise - 9, Place Henri=IV, SENLIS (Oise)

Conseil (l’ArrondissementDE SENLIS

SESSION DE 1935

PREM IERE PARTIE

Les m em bres du Conseil d ’A rro n d is- sem en t se son t réu n is le lu n d i p rem ie r ju ille t 1985, à 10 heu res V2, à la Sous- P ré fec tu re de S entis, p o u r la p rem ière p a r tie de la session de 1935, sous la p résidence de M. Génie.

E ta ien t p ré sen ts :MM.

H étrôy conseille r m u n ic ip a l à Betz.V éret, m aire à N ogent-sur-O ise.Génie, m aire à M ontataire .M ichaux, m a ire a M orienval.L aisief, co nse ille r m u n ic ip a l à Cré-

py-en-V alois.Soulier, m aire à L iancourt.F lam m e, co n se ille r m u n ic ip a l à

Mouy.B acquet, m aire à N an teu il-le -H au-

douin.D elisle, m aire à B a lag n y -su r-T h é -

ra in .F irm in , m aire à V erberie.T ro n c in , m aire à C ham ant.M. E ugène D um oulin , sous-p réfe t,

ass is te à la séance.M. Génie, doyen d ’âge de l’assem blée

p re n d la p résidence . Il donne lec tu re du décre t de convocation des Conseils d ’A rrond issem en t.

F o rm ation du B u reauM. Génie fa it p ro céd er à la n o m in a­

tion du B ureau .Le vote a lieu, d ’abord , p o u r le P ré ­

siden t, p a r acc lam ations.V otan ts .................... 11

M. Génie o b tien t l ’u n an im ité des voix.

Il e s t ensu ite p rocédé à la n o m in a­tion d ’un V ice-P résiden t, d an s les m ê-m e s fo rm es .

V otan ts .................... 11M. B acquet ob tien t l ’u n an im ité des

voix.Il est procédé à la nom in a tio n d ’u n

S ecré ta ire .V otan ts .................... 11

M. T ro n c in o b tien t l ’u n an im ité des voix.

M. Génie au nom des m em bres du B u reau rem ercie ses Collègues de le u r m arq u e de confiance.

M. le S o u s-P réfe t donne lec tu re de la su ite donnée au x vœ ux p récédem ­m en t ém is e t des ra p p o rts des chefs de service.

Le Conseil donne acte à M. le Sous- P ré fe t de ses com m unications.

Le Conseil d ’A rro n d issem en t donne u n avis favorab le au x p ro je ts ci- ap rès :Chem in de G rande C om m unication 88

P ro je t de rec tificationdan s la tra v e rse d’Ivors

M. le S o u s-P réfe t soum et au Conseil d ’A rro n d issem en t u n p ro je t de rec tifi­cation du chem in de G rande Com m u­n ica tio n 88, de M areu il-su r-O u rcq à G illocourt, qui com prend , à la so rtie de la com m une d ’Ivors, u n v irag e trè s dangereux .

Un nouveau tracé de ce chem in a p ­p o rte ra une g ran d e am élio ra tion à la c ircu la tio n s u r cette section.

Le dossier a été soum is à l ’enquête dan s la com m une d ’Ivors p a r les so ins de M. Voidet, m a ire de B oursonne. A u­cune p ro te s ta tio n n ’a été form ulée. Le C om m issaire en q u ê teu r, le Conseil m u n ic ip a l et le M aire d o n n en t u n avis favorab le au pro jet.

Le Conseil d ’A rro n d issem en t ap rès exam en est d ’avis, à l ’u n an im ité , que le p ro je t de rec tification d u chem in de G rande C om m unication 88 so it a p ­prouvé tel q u ’il es t p ré sen té p a r MM. les In g én ieu rs des P o n ts et C haussées

avec aban d o n d an s la vo irie u rb a in e des su rfaces déclassées.Chem in de G rande C om m unication 98

P ro je t de dév iation d an s la trav e rse de N éry

M. le S o u s-P ré fe t soum et au Conseil d ’A rro n d issem en t le p ro je t de re d re s ­sem en t du chem in de G rande Com m u­n ica tio n 98 qui com prend le déclas­sem en t de ce chem in e n tre les po in ts k ilom étriques 12.40 et 12.580 s u r une lo n g u eu r de. 280 m ètres et le c lasse­m en t en tre les m êm es po in ts ex trêm es de la p a rtie red ressée de ce chem in s u r une lo n g u eu r de 329 m ètres.

Ce p ro je t soum is à l ’enquête dan s la com m une de N éry p e n d a n t tro is jo u rs p a r les so ins de M. D elavenne, m aire de R ocquem ont, n ’a donné lieu à au cu n e observation . Le C om m issai­re en q u ê teu r, le M aire et le C onseil m un ic ipa l on t donné u n avis favorab le au p ro jet.

Le Conseil d ’A rro n d issem en t, à l ’u ­nan im ité , ap rè s exam en du do ssie r com m uniqué, donne u n avis favorab le à- ce p ro je t qui p e rm e ttra la su p p re s ­sion de tro is v irag es dangereux .T arif de conversion en a rg e n t

de la P re s ta tio n en N atu reLe Conseil a jo u rn e son av is à la deu­

xièm e p a rtie de s a session d é s ira n t co n su lte r les M unic ipalités s u r la ré ­percu ssio n p o u r les finances com m u­na les d ’une d im in u tio n du ta r if p ro ­posé p a r les In g én ieu rs .

VŒ UX Fonds de chôm age

S u r la p roposition de MM. Génie e t V éret, le_ Conseil d ’A rro n d issem en t, à l ’u n an im ité , ém et le vœ u su iv a n t et dem ande au Conseil G énéral de le fa i­re sien.

C onsidéran t les d ifficultés m a té rie l­les auxquelles se h e u r te n t les com ­m unes don t les budgets son t lou rde­m en t grevés p a r les a llocations à p a y e r au x chôm eurs,

C on sid éran t qu ’avec le rég im e ac ­tuel, tous les chôm eurs ne peuven t être secourus dan s tou tes les com m u­nes et que, d ’a u tre p a r t, ce rta in e s de celles-ci se tro u v en t p lu s co n sid é ra ­b lem en t chargées que d ’au tre s p a r le service des a llocations,

C onsidéran t q u ’un sen tim en t de ju s ­tice com m ande, dès lo rs, u n e réform e du systèm e en v ig u eu r, su r to u t à l’h eu ­re où la c rise économ ique réclam e des bud g e ts com m unaux des dépenses p roductives en vue de ré a lise r l ’éq u i­p em en t social ind ispensab le .

D em ande in stam m en t, que l’E ta t p re n n e d o rén av an t à s a ch a rg e les a l­locations de chôm age en c ré a n t u n Fond N ational de secours.

PatentesS u r la p roposition de MM. F irm in et

Delisle.Le Conseil d ’A rro n d issem en t de S en-

lis, co n sid é ran t que p a r su ite de la ré ­cente réform e de la pa ten te , les com ­m unes son t g rav em en t a tte in te s dan s leu rs finances, ém et le vœ u, à l ’u n a n i­m ité, que lo rsque le m êm e cas se re ­p ro d u ira p o u r d ’au tre s im pôts, tou tes m esures u tiles so ien t p rises au p ré a la ­ble afin de co n serv er l ’équ ilib re des budgets.

Route N ationale ex. G. G. 148S u r la p roposition de M. H étroy, le

Conseil d ’A rro nd issem en t, à l ’u n a n i­m ité, ré itè re le vœ u d é jà form ulé en 1931, e t renouvelé à chaque session , d em an d an t le conv ertissem en t de la rou te na tio n a le an c ien chem in de G rande C om m unication 148 de Sen lis au can a l de l’O urcq et ce s u r le p a r ­cours de T hury -en -V alo is à M areuil- sur-O urcq . MM. V assal e t D elacroix, C onseillers g én érau x , o n t réc lam é de le u r côté, m ais v a inem en t, la rem ise en é ta t de cette rou te , qu i c o n tra ire ­m en t au x a llégations de M. l ’In g é ­n ie u r o rd in a ire de S enlis, ne d e sse rt pas qu ’une ferm e, m ais e s t trè s p a r ­courue p a r les u sag e rs de l ’Oise, Sei- ne-e t-M arne e t l ’A isne .

S u p pression des chevauxde l a G e n d a r m e r i e

S u r la p roposition de M. H étroy, leConseil d ’A rrond issem en t, à l ’u n a n i­m ité, ém et u n vœ u en vue, p o u r r a i­son d ’économ ie, de la su p p ress io n des chevaux à la b rig ad e de la G endarm e­rie de Betz.

C ouran t é lectriqueS u r la p roposition de M. H étroy, De-

lisie et B acquet, le Conseil d ’A rrondis- som ent, à l’u n an im ité , ém et le Vœu que les com pagn ies concessionnaires d ’énerg ie é lec trique so ien t m ises en d em eure de ré v ise r leu rs ta rifs qui font p a y e r au x u sag e rs le k ilom ètre- h eu re à un p rix g én é ra lem en t exces­sif e t à réd u ire au ssi le prix, lions des com pteurs et de m ents.

C alam ités pub liquesS u r la p roposition de M. H étroy, le

Conseil d ’A rrond issem en t, à l ’u n a n i­m ité, dem ande le b ien v e illan t ap p u i du d ép a rtem en t en fav eu r des m alheu ­reu x h a b ita n ts v ictim es des récen tes inond atio n s et dont les récoltes o n t été e n tiè rem en t dé tru ites. Il dem ande d ’ap p e le r l’a tten tio n de M. le M inistre de l ’A gricu ltu re su r cette s itu a tio n la ­m entab le et dem ande si des m esures ne p o u rra ien t p as ê tre p rise s p ou r que, co n cu rrem m en t au x indem nités qui se ro n t versées, des rem ises d ’im ­pôts so ien t accordées à ces h ab itan ts , don t les ja rd in s on t été to ta lem en t r a ­vagés.

S a la ires agrico lesS u r la p roposition de M. H étroy, le

Conseil d ’A rro nd issem en t, à l ’u n a n i­m ité, ém et u n vœ u en vue de la cons­titu tio n d ’une C om m ission p a rita ire chargée de d é te rm in er périod iquem ent le m o n tan t des sa la ire s alloués au x ou­v rie rs ag rico les de l’a rro n d issem en t de Senlis.D épôts de m a té riau x

le long des rou tesS u r la p roposition de M. H étroy, le

Conseil d A rro n d issem en t, à l ’u n a n i­m ité, ém et le vœ u que le servie© cl*» P on ts e t C haussées so it inv ité à n ’u ti- ' l ise r p o u r les dépôts de m a té riau x destinés à l ’e n tre tien des rou tes, de m êm e p o u r les dépôts de te r re e t boue q u ’u n seul tro tto ir ou accotem ent, l ’a u tre é ta n t exclusivem ent réservé au x cyclistes et p ié tons ; q u ’enfin ce tro tto ir so it am énagé et e n tre te n u à ce t effet.

S. T. A. R. N.C orrespondance

avec le Chem in de FerS u r la p roposition de M. H étroy . le

Conseil d ’A rrond issem en t, à l ’u n a n i­m ité, ém et le vœ u que les voyageurs de la C om pagnie des C hem ins de Fer du N ord obligés d’em p ru n te r l’au tobus de la S. T. A. R. N. p o u r a lle r p re n ­d re à C répy-en-V alois les p rem ie rs tra in s se d ir ig e a n t vers P a ris , p u is ­sen t rev en ir à la g are de Betz, v ia O r- m oy-V illers, san s au g m en ta tio n de p rix , avec le u r b ille t de retour' p o u r Crépy.Chem in de G rande C om m unication 113

S u r la p roposition de MM. F irm in , M ichaux et L aisier, le Conseil d ’A r­ro n d issem en t de S enlis, a t t i r a n t l ’a t­ten tion du serv ice des P o n ts e t C haus­sées su r l’é ta t défectueux du chem in de G rande C om m unication 113 p o rtion com prise en tre H uleux e t N éry, ém et le vœ u, à l ’u n an im ité , que cette p a rtie de rou te so it am éliorée d an s le p lu s b re f délai.

Route N ationale 17S u r la p roposition de M. F irm in , le

Conseil d ’A rrond issem en t, à l ’u n a n im i­té, s ignale à l ’a tten tio n du service des P on ts e t C haussées les am élio ra tions à a p p o rte r à la rou te N ationale 17 :

1° à la sortie de Senlis s u r F leu ri- nes, la rou te es t bom bée et trè s d a n ­gereuse ;

2“ dan s la descente de F leu rin es à

bombé(f lî?te~,M axeii'ce’ labombé.3“ le

égalem en t ;est

être r>niVu’a8'e de cette descente dev ra e u e releve e t s ig n a lé p a r des bornes.

111111 de Grande Communication 123 Réduction de virage

C on se i/H ^roposi tîon de M; F irm in , le à l ’uiiani Ar,i:oridlsse.m e n t em et le vœ u m in d, que le v irag e du che-

i ae G rande C om m unication 123,' n Bon ?UVe; à I’?n trée de S a in t-P ie r- ainélioÏÏ 01,n t’ S0l.t d é ^ g é , afin d ’en accidei *« vlsdjllAte e t d ’év iter les cet endroit trè s é tro ite àChemin de G rande C om m unication 1 3 4, u,*.la p ro position de M. F irm in , le éü ÉÉiil* 11 li x i'ft“ • ■1 ‘‘ de S en lis si-

tcn ü o n d u serv ice des P on ts etC baussées le m auvais é ta t de la ro u ­te entre B ray e t.B a rb e ry — chem in de Graade Com m unication 134 — e t ém et le vœu, à l ’unan im ité , q u ’il y so it re ­médié dès que possible.

Service d’au tocarsSur la p roposition de M. F irm in , le

Conseil d ’A rro n d issem en t ém et, à l’un$nim ité, le vœ u que le Comité Technique D épartem en tal des T ra n s ­ports ch a rg é d ’é ta b lir le p la n d ’o rg a ­nisation veuille b ien p rév o ir u n s e r ­vice d’au to -ca rs , a lle r e t re to u r s u r le parcours S enlis, B arbery , B ray , R ully , Néryi B éth isy et C om piègne, la rég ion de B u 'bery à N éry é ta n t p a rtic u liè re ­m en t déshéritée .

Coordination du ra il et de la rou teSur la p roposition de MM. F irm in et

Troncin, le Conseil d ’A rro n d issem en t émet le vœ u su iv a n t à l ’u n an im ité :

Lorsque les conclusions de M. Raoul Girard app rouvées p a r la Com m ission des T rav au x Pub lics de la C ham bre concernant la coo rd ination du ra il e t de la rou te , se ro n t d iscu tées a u Conseil Général, que les o rg an isa tio n s ac tu e l­les qui re n d e n t de si g ra n d s serv ices aux u sag ers so ien t m odifiées dan s le

.m inim um du possib le e t au c o n t r a i r e

G endarm erie de V erberieS u r la p roposition de M. F irm in , le

Conseil d ’A rro n d isse m e n t ém et, à l’u nan im ité , le vœ u que l’effectif de la G endarm erie de V erberie so it p o rté à six gendarm es, en ra iso n de l ’étendue de la c irco n scrip tio n (14 com m unes) e t de la su rveillance de la rou te n a tio ­nale 32.Chem in de G rande C om m unication 92

MM. Génie et V éret p ro p o sen t le vœ u su iv an t :

Vu la fréq u en ta tio n in ten se du che­m in v ic inal o rd in a ire de P récy à Bo- ra n ;

Vu le très m auvais é ta t d ’en tre tien de la p a rtie du chem in de g ran d e com ­m unication 92 proposée à déc lasse r ;

Vu la fréq u en ta tio n de p lus en p lus g raad e des chem ins et au fu r e t à m e­sure du développem ent de l’autom obile (l’E tat a reco n n u le fa it en c la ssa n t routes n a tiona les un g ra n d nom bre de chem ins de g ran d e com m unication à c ircu lation in ten se) ;

Vu les charges qu i inco m b en t dé jà aux com m unes p o u r l ’e n tre tie n de leurs réseaux , v ic inal e t ru ra l ;

Le Conseil d ’A rro n d issem en t dem an-,da a u C o n s e il G é n é r a l :

'1° d ’im ite r le geste de l ’E ta t en c la s­san t le chem in v ic in a l o rd in a ire de Précy à B oran , chem in de G rande Com m unication ;

2“ de com prend re dan s le p ro g ra m ­me de 1936 la rem ise en é ta t du che­m in de g ran d e com m unication 92 dans la p artie com prise en tre S ain t-L eu et P récy-sur-O ise ;

3” do re fu se r le déclassem en t de cet­te p artie du G. C. 92.

Adopté à l ’unan im ité .Route N ationale 16

S ur la p ro position de MM. Génie e t crçt, le Conseil d ’A rro n d issem en t é-

m et le vœ u, à l ’u n an im ité , q u ’un revê­tem en t de la rou te na tio n a le 10 de Creil a N ogentssur-O ise d an s la trav ersée de N ogent soit effectué, le pavage é- ta n t trè s défectueux. f e

Gendarmerie de Nanteuil-le-H audouinS u r la p ro position de M. B acquet, le

C onseil d A rro nd issem en t, à l ’u n a n i- m ite, renouvelle le vœ u de l ’an d e rn ie r en vue de la tran sfo rm atio n de la b r i­gade a cheval de N an teu il-le -H audou in en b rigade a pied. En ra iso n de la c ir ­cu la tion in tense dans la c irc o n sc rip ­tion de cette b rigade e t de la su rv e il­lance qii elle es t chargée d ’exercer en P a r tic u lie r à N an tau il e t à E rm en o n ­ville (m er de sable) p arfo is d u ra n t p lu s ieu rs jo u rs de su ite au m om ent dosO tes, il sem ble que les < beva.ux quire s ten t a 1 écurie p e n d a n t ce t e m p s p o u rra ie n t ê tre rem placés avantageu­sem en t p a r m otocyclette qui p e rm et­tr a i t au x gen d arm es de se d ép lacer p lu s rap id em en t e t ce se ra it, p a ra ît- il, une rée lle économ ie p o u r l’E tat.

Route N ationale 2 E vacuation des eaux

S u r la p roposition de M. B acquet, le Conseil d ’A rro n d issem en t ém et le vœ u, à l ’u n an im ité , q u ’il so it procédé p a r l ’A dm in is tra tio n des P o n ts et. C haus­sées à une étude en v u e de fac ilite r l ’évacuation des eaux de chaque côté de_ la rou te na tio n a le 2 e n tre les k ilo ­m ètres 10 et 12, cote du gros cailloux, de 1.600 m ètres environ .

P a r su ite de la m odification des p e n ­tes, v irages, su p p ress io n de saignées, etc..., les eaux affluent tou tes à l’en ­trée de la ville e t p lu s ie u rs in o n d a ­tions se so n t déjà p rodu ites.

Il ém et éga lem en t le vœ u que les jo in ts de pavés soient- g rav illo n n és avec ém ulsion p o u r év ite r toute d é g ra ­dation.

i / ^ V O D È L E S i lc h i c sj e u n e s p r a t i q u e s

( nom breux des OUVRAGES a v a r ié s

1 —1 { nouveaux

DANS

T j m ç o / $ t

^ M o d e r e t O u v r a g e r

3 r? 7 5 le 15 dele num éro m e n s u e l chaque m ois

Abonnez-vous & Françoise pour 40 fr. par an. Ou mieux, abonnez-vous pour 45 fr. pair an à Françoise et à ses patrons, vous recevrez ainsi 12 numéros de Françoise à 3 fr. 75, soit 45 fr. accompagnés de

12 patrons â*un« valeur de 4 fr.. soit 48 fr.A Vf TOTAI»

Q 3 / : s p o u « 4 - 5 fr-s

*V9es tratnruvi, tças 1m Joan, 1* toeemiatattMi oketefrashUM la i&M m b ^ M « * l a p lu vmrife t a u

EXCELSIOR

I.U.9.

%&m I» k « n éraa

EXCELSIORwi mkàeoKsm à* 3 0 p k * f egprftpkfai m* Ici dtandtan dhi bmuAi MAfar,

fr—oi mm émmtmàm. • Jb t'mkeimmàA rum f&seltbn. Pmk, m* wmmM m tkimi mmtti V ritfti .* ttft) . immtiu h ha. m ht mhtMt

« R&mm «ralrfM A* •

LE LITREEN BIDONS DE I ET 2 LITRES

EMBALLAGE PERDU

LA MOINS CHÈRE DES HUILES DE GRAISSAGE DE GRANDE MARQUE

E N V E N T E P A R T O U T

DESMARAIS FR È R E S

D I M A N C H E I L L U S T R EM agazlna fam ilial l l lu s t r i an ooulaurs

’M'ott» I c a Sm m etU mA m usan t

• t Instruc tif 5 0ctiL -l 6

PAGESle plus comptât poar b prb b pta modiqu,

3.000 llgnM da tex*a 70 photographia, «t domina

Le» nombreux écho», le , inflexion, du diipancbe. Le, conte» d ’action, le» romans de la vie. Le* pages : Je poudrait bien savoir e t Pour noue Ins­truire un peu, Brle-à-Brae i d ’ordre documentaire eu pratique sur les sujet, le* plus variés : histo­riques, géographique», écoBemiquM, etc-, e t les

pages comiques.Deux enperbea pages ea eeulears potar Im «ntante i

BIGOT, président de olubLos ■êsavonlurM 4e MONSIEUR POCHI

SPÉCIM EN FRANCO SUR DBMANDB

■■■■ht dimanche hxustbé, b,™* n*tB«*, mm

Ftsts, Colonies- - - , • aS assis 1» *

Da es >4 »

P O L I T I C ARevue mensuelle d'initiation à lu vie politique

10, rue Chardin, PARIS (XVF)-------------k—---------—m .---------

Si c’est à la “ qualité ” que vous attachez de l’im portance, utilisez la

sportl ’huile de s é c u r i t é autos s motos

Le plus efficace des Remèdes11 n’existe pas de remède plus efficace que

la Poudre Louis Legras pour calmer instan­tanément les plus violents accès d’asthme, catarrhe, essoufflement, toux de vieille bron­chites, suites d’influenza et de pleurésie. Les rhumes négligés guérissent de même rapide­ment par l’emploi de cette Poudre merveil­leuse qui a obtenu la plus haute récompense à l’Exposition Universelle de tgoo. Une boîte est expédiée contre mandat de 5 fr. 25 (impêt compris) adressé à Louis Legras, 1, boul. Henri-IV, Paris.

Le Gérant : E. Bo^enval

Im prim eries Réunies de Senlis9, plaee Henri-IV.

ANNONCES JUDICIAIRESAr t ic l e 1 « .

Etuide de M8 René PICARD, docteur en droit, avoué à Senlis

21, rue de Villevert i(lSu|dcesseur de M8 Escavy)

TéH. 13.

■ V E N T Ep ar suite de faillite

aux enchères publiquesaux plus offrants

et derniers enchérisseursl» : UN

I M M E U B L EA USAGE INDUSTRIEL

s itu é à CREIL (O ise)rue Jean-Jaurès, n° 75 et quai d’Aval, n° 55

LIBRE DE SUITE

UKE PROPRIÉTÉs itu ée à CREIL

quai d ’Aval, num éros 47 à 53Le tout plus am plem ent désigné

ci-après.

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 31 JUILLET 1935, à 14 heures, à l’audience des criées du T ribunal civ il de p re ­m ière instance de Sentis (Oise), au Palais de Justice de la dite ville, place Notre-Dame, Bâti­m ent de l’Ancien Evêché.

En exécution d ’une ordonnance de M. Bonamy, juge-com m issaire de la faillite de la So­ciété H anryon et C 8 Clamfor, en date du 25 ju in 1935 et d ’un jugement sur requête rendu ça r le T ribunal civil de prem ière instance de Senlis, le dit jour, enregistré.

E t à la requête de Me René P icard , avoué- agréé, dem eurant à Senlis, 21, rue de Villevert ; « agissant en qualité de syndic de l’union des créanciers de la faillite H anryon et U18 Clamfor de Creil, nonuné à cette fonc tion p a r jugement du Tribunal de Commerce de Senlis, en date du 25 juin 1935, enregistré.

Occupant pour lui même En présence ou Qui dûment

appelé de M. le docteur Mar­chai, dem eurant à Creil, p ris en

sa qualité d ’adm inistrateur dé­légué de la dite Société Han­ryon et iGle Clamfor.

Il sera, le Mercredi 31 Juillet 1935, à quatorze heures, en l’au­dience -des criées du Tribunal de prem ière instance de Senlis, au P alais de Justice de la dite ville, place Notre-Dame, Bâti­m ent de l ’Evêché, procédé à la vente aux enchères publiques, aux plus offrants et derniers en­chérisseurs, à l ’extinction des feux, en deux lots, des immeu bles dont la désignation suit :

DESIGNATIONETT

MISES A PRIX des Im m eubles à Vendre

Article prem ierIMMEUBLE situé à Creil, rue

Jean-Jaurès, n° 75 et quai d ’A­val, n° 55.

Grand bâtim ent industriel sur rue Jean-Jaurès, avec entrée principale au centre de 4 mè­tres de largeur, avec double porte intérieure form ant vesti­bule.

A droite de cette entrée : es calier en bois accédant au pre m ier étage.

Garage en façade avec fosse. Magasin à la suite et deux bu­

reaux fà côté de l’esdalier.A gauche en en tran t : deux

pièces à usage de magasin et es­ca lier en bois accédant à une galerie au prem ier étage.

A telier avec charpente en bois su r deux rangs de poteaux in term édiaires espacés à 11 m. 70 en tr’axes dans la partie cen­trale ; et une travée de chaque côté de 5 m. 60 de largeur.

Façade en briques et costières en moellon. Couverture en tu i­les.

Il est éclairé au faîtage par un lanterneau à deux versants et d’un lanterneau en contre-bas sur chaque versant.

Des châssis fixes verticaux existent dans les deux costières et sont à hauteur de jours de souffrance.

Le sol est dallé en cim ent avec allée centrale pavée en b r i­que à plat.

Au prem ier étage :Un logement à droite com po­

sé de trois pièces avec w ater closets.

A gauche, une grande pièce sur la rue à usage de bureau et deux autres pièces avec escalier d’aocès au rez-de-chaussée.

Les p lanchers sont en bois avec parquet.

Ce bâtim ent m esure 62 m. 64 centim ètres de profondeur di­visé en 10 travées, et 23 m. 12 de largeur.

BATIMENT au fond sur quai d’Aval, n° 55 :

Ce bâtim ent fa isan t suite au grand atelier est constru it en p ie rre et moellon avec brique.

Au rez-de-chaussée porte cen­trale faisant suite à la rue Jean- Jaurès, avec porte charretière , égalem ent de chaque bout.

Poteaux interm édiaires au centre.

A droite, passage de voitures fermé et v itré, et deux grandes pièces à usage de magasin ou d’atelier.

A gauche, six w ater-closets et escalier accédant aux étages.

Le prem ier p lancher est en béton arm é; et l ’étage est éclairé sur la façade du quai d’Aval.

Le 2e p lancher est en solivage de sapin ; parqueté et plafonné.

Le deuxième étage est éclairé de la même façon.

Le p lancher supérieur est à solives de sapin apparentes sans plafond ni parquet.

La travée du m ilieu n ’a pas de solives.

G renier au-idessus. -La couverture est en tuiles

mécaniques.Ce bâtim ent est disposé aux

deux étages pour l’installation de locaux d’habitation en raison d’abord de la disposition des baies sur chaque façade e t des conduits de fumée installés en attente sur chaque pignon.

Ce ‘bâtim ent m esure une lar geur de 23 m. 12 d’un bout et 23 m. 65 en façade sur le quai d’Aval.

La profondeur est de 11 m! 50 d’un côté et de 14 m. 25 de l’au- tne côté.

Le tout tenan t :P ar devant la rue Jean-Jaurès,

n° 75.Au fond le quai d ’Aval, n° 55,

en bordure de la riv ière l ’Oise.D’un côté la Compagnie du

Gaz.D’autre côté, l’article 2 fai­

sant partie de la propriété de la Société Boucher-Hanryon d’une part et le passage accédant à la rue Jean-Jaurès.

Les m urs séparatifs des deux côtés appartiennent à lia p ro ­priété ; le m ur séparatif d’avec la propriété de la Compagnie du Gaz est établi sur sol mitoyen.

La proprié té est grevée sur la riv iè re d’Oise de la servilurc de bal âge.

Le ou les acquéreurs ne pour­ront exercer aucun recours con­tre les vendeurs pour le cas où la suppression des jours de souffrance existant dans les murs séparatifs des propriétés de la Compagnie du Gaz et de l’article 2 serait ordonnée.

La contenance totale est ch 1.745 m 2 90.

Mise à prix : 5 0 .0 0 0 fr.

Article deuxième

a47

Creil, à 53,

PROPRIETE située quai d ’Aval, numéros com prenant :

Un corps de bâtim ent cons­tru it en p ierres et moellon, éle­vé partie sur caves et partie sur terre-plein vers le devant et couverture en tuiles.

Rez-de-chaussée divisé com­me suit :

Au n 8 47 : Un logement de ‘deux pièces sur le passage.

Au n° 49 : Un logement de deux pièces.

Au n° 5(1 : Un logement dedeux pièces et un cabinet noir.

Au n° 53 : Un logement dedeux pièces et une pièce auprem ier étage à laquelle on ac­cède p ar une échelle de meu­nier.

Sur le derrière :1° Du n° 49 : Un logement de

deux pièces et un cabine* noir, dont une cham bre au prem ier étage.

2° Du n° 51 : Un logement d’une pièce au rez-de-chaussée

Chaque logement com prend une cave et un grenier.

Tous lies étages sont carrelés et le grenier avec aire en p lâ­tre.

Avant-cour sur le devant, dem ain sur le côté à droite

et derrière le bâtim ent.Passage de 1 m. 47 centim è-

tcos de largeur situé entre les propriétés de M. Judenne et de .La*ticle prem ier (Société Bou- chéV-Ranryon) pour accéder de cette p ropriété à la rue Jean- Jaurès.

Le tout tenan t :Par devant le quai d’Aval, nu­

méros 47 à 53, en bordure de la rivière d ’Oise.

Au fond à M. Judenne et à M. Thévenot.

D’un côté la iSociété Bouçher- Hanryon, article prem ier.

D’autre côté M. Thévenot, m ur séparatif appartenant en entier à M. Thévenot.

Mise à prix : 5 .0 0 0 fr.

avec cab inet noir ; escalier p a r­ticulier.

3° Du n° 51 : Un logement de deux pièces et une pièce au pre m ier étage avec échelle de meu­nier.

4° Un au tre logement compo­sé d’une pièce au rez-de-chaus­sée et d ’une pièce au prem ier étage à laquelle on accédé par une échelle de m eunier.

Escalier central sur le der rière, accédant à tro is autres logements situés au. prem ier étage.

Premier étageLogement sur passage compo­

sé de tro is pièces.Logement au n° 49, composé

de deux pièces.Logement au n° 51, composé

de deux pièces.

iEn outre des charges, clauses et conditions énoncées au ca­hier des charges dressé p a r M' René Picard, et déposé au gref­fe du Tribunal de première" ins­tance de Senlis, où toute per­sonne peut en p rendre connais­sance, les immeubles ci-dessus désignés seront mis en vente sur les mises à p rix sus-énoncées fixées par le tribunal.

PURGE LEGALEIl est ici déclaré conform é­

ment à l’article 696 du Code de . . - . . . procédure civile, que tous ceux

et deux pièces au prem ier etagei.|fn desquels il pourra it être avec cab inet noir : escalier par- prjs ,jes inscrip tions d’hypothè­

que légale sur les immeubles ci- dessus désignés, devront requé­rir cette inscrip tion avant la transcription du jugement d ’ad- j indication.

Fait et rédigé par l ’avoué poursuivant soussigné.

Senlis, de 5 juillet 1935.Signé : PICARD.

Et enregistré.

S’adresser pour les renseigne ments :

1° A M8 René PICARD, avoué à Senlis, poursuivant la vente

2° Et à M8 STERKERS, huis­sier à Qreil.

891

A r t . 2,

Etude de M® G eorges MORAND,avoué à S©ulis

DIVORCE

Assistance JudiciaireDécision du V9 A on l 1933

D’un jugem ent contradictoire nient rentiu par le Tribunal de première instance de Senlis, le vingt et un février 1935, enregis­tré. Entre Mme Marcel e-Char- lotte CHOVET, épouse deM. Paul LtMELAIT, ajusteur, avec lequel elle dem eure de droit, mais auto­risée à résider et résidant de fait à Nogent-sur-Oise, 7, rue Marceau. Et M. Paul LAMBEAU’, ajusteur, dem eurant à Nogent-sur-üise, 62, rue Mareellin-Berthelot. Il ap­pert : Que le divorce a été pro­noncé d ’entre les époux Lamblait- Chovet.

Pour extrait : (Signé) MORAND.

Et enregistré. 814

Ar t . 3.Etude de M8 L. CHASTA1NG,

avoué à Senlis.

Assistance Judiciaire Décision du Bureau de Sstd s

du 25 Novembre 1933

E xtra it de Ju g e m e n t de Divorce

D’un jugem ent rendu par le Tribunal civil de prem ière ins­tance de Senlis, le deux janvier 1935, enregistré.

Au profit de Madame Léonie- Désirée MARAIS, veuve eu p re­mières noces de Monsieur Emile EVE et épouse en secondes noces de Monsieur Pierre PINSSON, avec lequel elle est domiciliée de droit à Précy sur-Oise, mais au­torisée à résider et résidant de fait à Viarmes (Seine-et-Ôise), 68, rue de Paris.

Et par défaut contre Monsieur Pierre PINSSON, cantonnier- chef, dem eurant à Précy-sur Oise.

Il appert :Que le divorce a été prononcé

de p/anp d’entre les époqx Pins- son-Marais, à la requête et au profit de la femme.

Pour extrait :Signé : CHASTAING.

Visé pour tim bre et enregistré. 807

Ak t . 4Etude de M> L. CHASTAING,

avoué à Senlis.

Séparation de Biens

D’un jug» ment contradictoire­ment rendu par le Tribunal civil de prem ière instance de Senlis, le 19 juin 1935, enregistré et si­gnifié.

Entre Madame Marie Louise- Henrielte GLORY, épouse de Monsieur Roger-Lucien-Fernand GUIBERT, fabricant de chaussu res, avec lequel elle dem eure à Coye-la-Forêt.

D em anderesse, ayant M* L. Chastaing pour avoué.

Et : 1» M. Roger-Lucien-Fer­nand GUIBERT sus-nommé ; 2U M* Loir, avoué agréé à Senlis, pris en qualité de liquidateur de la liquidation judiciaire de ce dernier.

Défendeur, ayant Me Loir pour avoué.

Il appert :Que la dame GUIBERT a été

déclarée séparée quant aux h h ns d’avec son mari.

Pour extrait rédigé par Me L. Chastaing, avoué.

A Senlis, le 4 juillet 1935.Signé : CHASTAING.

£ t enregistré. 811

le trente Juin mil neuf cent qua­rante. Monsieur Ménard aura tous tous les pouvoirs prévus par l’article dix des statuts.

Cette résolution est adoptée à l’unanimité.

DEUXIÈME RÉSOLUTION Tous pouvoirs sont donnés aux

porteurs d’un double des p ré­sentes pour faire les dépôts aux Greffes et publications pré ues par la loi.

Cette résolution est adoptée à l’unanimitée.

Une expédition du procès- ver bal dont s’agit a été dépo­sée à chacun des Greffes du Tribunal de Commerce de Senlis et de la Justice de Paix du canton de Creil, à la date du 26 Juin 1935.

Pour extrait :800 Le Gérant : MÉNARD.

A r t . 5.

N o u v ea u tés P a r is ien n es M aison M énard

Société à responsabilité limitée Capital : 25 000 francs

Siège Social :5 9 , r u e G a m b e tta , C re il (O ise)

R. C. Sen lis !0.7'J2

Assemblée Générale Extraoi d inaire du 12 Juin . 935

QapRE pu J our : Administration de la Société. —

Nomination d’un gérant ou renou­vellement des po .vo irsdu géraul actuel

PREMIÈRE RÉSOLUTION Les porteurs de paris de la

Société à responsabiliié limitée « Les Nouveautés Parisiennes, Maison Ménard », réunis en As­semblée générale extraordinaire le Mercredi douze Juin mil neul cent trenle-cinq, au Siège Social de la Société, nomment Monsieur Ménard Jules Lqnis-Marie, gérant de la Société pour une nouvellt période decinq ans et seize jours, commençant le quinze Juin m 1 neuf cent trente-cinq et expiran

Art. 6.

R. et J. LEFEBVREDocumentation et Défenses Fiscales

Sociétés1 1, Rue M arguerttte

P A R IS (1 7 e)Carnot : 70-40 (3 lignes groupées)

CONARD et LESINGESociété en nom collectif

au capital de 4Ô0.00Q francsSiège Social à CREIL (Oise)

2 6 , Quai d ’A m ont

PREMIER AVIS

Suivant acte sous seing privé en date à Creil du 5 juin 1935, enregistré même ville, le 7 juin 1935, MM. CONARD et LESINGE, agi sant en qualité de liquidateurs de la Société en nom collectif CONARD et LESINGE, dissoute par suite de l’arrivée de~ son erme, ont fait apport à une nou­

velle Société en nom collectif CONARD et LESINGE, dont le siège est à Creil (Oise), 26, Quai d’Amont, du fonds de com m erce de tra v a u x publies e t p riv és , exploité même adresse.

Chaque associé a les droits dans l’actif social.

Election de domicile est faite en lant que de besoin au siège de la Société, 26, Quai d ’Amont, à Creil où les opposi ions seront reçues jusqu’au quinzième jou r après lu seconde publication.

La présenîe insertion paraîtra au Bulletin Olficiel des Ventes de t onds de Commerce le 10 juillet 1935. 799

ILE COURRIER DE L’OISE

■—

Art. 7.Etude de M» M aurice LENOIR

huissier à Senlis (Oise).

Etudes de M<= LEN O IR , huissier à Senlis

et de Me G UÉTIN, huissier à Chaniilly.

Suivant acte sous signatures privées en date à La Chapelle-en- Serval (Oise), du vingt-cinq juin mil neuf cent trente-cinq, en re­gistré à Senlis (Oise), le vingt-six juin mil neuf cent trente-cinq folio 17, case 1, par le Receveur qui a perçu les droits, Monsieur Camille-Léopold DELACOUX et Madame Jeanne-Eugénie BROSSE, son épouse qu’il assiste et auto­rise, dem eurant ensemble aux Basses V arennes, à Montargis (Loiret), ont vendu à Monsieur A uguste B O ITIER e t M adam e C a u il le - L u c ie n n e B A R B U , son é p o u se q u ’il a s s is te e t a u to r is e , d e m e u ra n t ensemble à La Cha- p e lle -en -S e rv a l (O ise), le f o n d s d e c o m m e rc e d e v in s , l iq u e u r s , r e s t a u r a n t , h ô te l , exploité à La Chapelle-en-Serval (Oise), à l’an­gle des routes de Senlis et de Chantilly, connu sous la dénomi­nation de Hôtel-Restaurant des Deux Routes.

Les oppositions, s’il y a lieu, seront reçues d m s les1 cix jours qui suivront la seconde insertion, en l’Etude de M” Maurice Lenoir, huissier à Senlis (Oise), 18, rue Sainte-Geneviève.

Pour prem ière insertion : 80(i M. LENOIR.

Ar t . 8.

I t u l e d e M BOILEAU, notaire à Nanteuil-le-Haudouin

PREMIERE INSERTION

Suivant acte reçu par Me Boi- leau, notaire à Nanteuil, le 26 ju in 1935, enregistré à Betz, le 3 ju ille t 1935, folio 15, case 69, M et Mme VAN WELDEN-CORNE. de Sennevières, ont vendu à M et Mme PASTIER-DUMARCHÉ, deSennevières, le fondis de eom -m e r c e d ’é p ic e r ie , m e r c e r i e et d é b i t d e b o is s o n s , exploité à Sennevières, avec tous les élé­m ents corporels et incorporels en dépendant.

Entrée en jouissance : 29 juin 1935.

Oppositions dans les dix jou rs de la deuxième in se rtio n , en l’Etude, domicile élu.

P our prem ière insertion : 812 BOILEAU.

Art. 9.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENUS

Par jugem ent en date du 25juin 1935 le Tribunal de Commerce de Senlis a déclaré en état de faillite les époux REY-BENARD débitants de boissons à Saint- Denis.

M. Bonamy, juge en ce siège, a été nommé juge com m issaire à cette faillite et Me Loir, avoué agréé à Senlis, syndic provisoire

Le Greffier du Tribunal 815 G. GAVENC.

Art. 10.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENUS

Les créanciers de la faillite du sieur DELARUE, m archand de charbon à Verneuil-sur-Oise, sont invités à se réunir te i6 Juillet 1935, à 15 heures 30, en l’audi­toire du Tribunal de Commerce de Senlis, pour faire vérifier leur créance et en affirmer la sincé­rité.

Le procès-verbal des vérifica­tions sera clos le même jour.

Le Greffier du Tribunal, 816 G. GAVENC.

7 en te a u x e n c h è re s p u b liq u esDE

4 CHEVAUX, 4 JUMENTS 15 Vaches e t Génisses

I M P O R T A N T

ATTIRAIL d e CULTUREcomprenant notamment :

T racteur Austin et sa charrue. B atteuse A lb a re t e t so n l ie u r . D eux fa u c h e u se s - lie u se s m a rq u e sMac Cormick et Massey-Harris. Deux faucheuses à vert marque France Semoirs à grains, à b e t­teraves à engrais.

Guimbardes , tombereaux , et nombreux instrum ents aratoires

Récoltes sur pied.A LA CHAUSSÉE

Com m une de G ouvieuxdans la ferme de « La Prairie »

appartenant à M. René AUMONT

le D im anche 21 J u ille t 1935à 13 heures 30

par le m inistère de M6 LENOIR huissier à Senlis

et de M« GUÉTIN, huissier à Chantilly

tous deux commis à cet effet

Au Comptant. - Frais ordinairesPour renseignements, s’adresser

aux H uissiers vendeurs. 813

Etudes de M* G. LOIR, avoué à Senlis,

et de M? BOILET, notaireà Pont-Sainte-Maxence.

V ente a u x e n c h è re s p u b liq u e saprès faillite

DE : 1°

Une M aisonsise i VEHNEDIL-SUR-OISE

rue de la Vallée-Ste-Geneviève

U N J A R D INsis m êm e terroir

lieud it « Les, PI a c eaux »

U N B O I Ssis m êm e terroir

lieud it « Les Placeaux »4°

UN TER RAI Nsis à VERNEUIL

Ar t . 11.

TRIBUNAL DE COMMERCE DE SENUS

Les créanciers de la faillite LEON André, quincaillier à Ver- berie, sont invités à se réun ir le 16 Juillet 1935, à 15 heures, en i auditoire du Tribunal de Com- rnerce de Senlis, pour faire véri­fier leur créance et en affirmer la sincérité.

Le procès-verbal des vérifica­tions sera clos le même jour.

Le Greffier du Tribunal, 817 G. GAVENC.

Etudes de M* Georges MORAND, avoué à Senlis

et de Mb M aurice DAUVERGNE, notaire à Béthisy-Saint-Pierre

Vente su r LicitationDE : I.

Une MaisonsiSB t BÉTHiSY-SAM-PIEHBE

rue de l’Image, n ” 13 AVEC JARDIN

de 3 ares 31 cen tiaresn

U N E C A V Ese trouvant sous une pièce

en bordure de la rue d”une miaisen

sise â BétMsy-Saint-Pierrenue *Ie l’Imagie, n ° 11

E N D EU X LO TS

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 27 JUILLET 1935, à 14 heures et demie, en l ’E tude et p a r le m inistère de M” DAU­VERGNE, notaire à Béthisy-St- P ierre , commis à ce t effet.

S ’adresser pour les renseigne­m ents :

A M° Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vente;

lEt à M” Maurice DAUVER- GNË, notaire à Béthisy-Saint- P ierre , rédacteur et dépositaire du cah ier des charges.

Etude de M<= L’H ER M IN IERdocteur en droit

notaire à Crépy-en-Valois.

Adjudication VolontaireLE JE U D I 2 5 J U IL L E T 1 9 3 5

à 14 heuresA CRÉPY-EN-VALOIS

en l’Et.ude de M« L’HERMINIERD’UNE BELLE

PROPRIÉTÉ^ BOURGEOISEsiliiÉE â CRÉPY-EN-VALOIS

11, Avenue de Géresmes comprenant .-

Sous-sol, rez-de-chaussée de 10 pièces, prem ier étage de 8 piè c e s , cour avec dépendances. Jardin. Confort moderne.

Mise à prix: 8 0 .0 0 0 fr,Jouissance immédiate.

S’adresser au Notaire. 803

Etude de M» L’H ER M IN IERdocteur en droit

notaire à Crépy-en-Valois (Oise)

V E N T E V O L O N T A I R Eaux enchères publiques

pour cause de départle D im an ch e 7 J u ille t 19 3 5

à 13 heures 30 précises

A CRÉPY-EN-VALO ISPlace de la Gare

D’UNTRÈS BEAU & TRÈS BON

MOBILIER788

Etudes de M” Georges MORAND avoué à iSenlis

et de M” Eugène TETAR, notaire à Précy-sur-Oise.

V E 1V T EDE

UNE PROPRIETEs is e à TROSSY

Commune de Smnt-M axi m i n en la rue de Trossy

Comprenant :DEUX MAISONS, JARDIN

& DEPENDANGES

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 20 JUILLET 1935, à 15 heures, en la Mlairie de Saint- Miaximin, p a r le m inistère de M» TETAR, notaire à Précy-sur- Oise, com m is à cet effet.

S ’adresser pour les renseigne­m ents :

A Me Georges MORAND, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

A (M6 René PICARD, avoué à Senlis, p résen t à lia vente ;

A M® M arcel VIDY, notaire à C hantilly ;

A M® Eugène TÉTAR, notaire à Précy-sur-Oise, rédacteur et dépositaire du cahier des ch ar­ges.

E t pour v isiter à M. le Garde cham pêtre à Saint-Maximin.

Etudes de M® Georges MORAND', avoué à Senlis

et de M" R obert BOILET, no taire à Pont-Sainte-Maxence.

Vente sui» Licitation* DE

U N E M A I S O Nsise à MOINITLAVILLE

Commune de Verneuil-sur-Oise en la pé tite rue

4 Pièces de Terre e t Boiste rro ir de V erneuil-sur-O ise

EN CINQ LOTS

L’adjudication aura lieu le SAMEDI 20 JUILLET 1935, à 15 heures, en la M airie de Ver- neuil, p ar le m inistère de M‘ BOILET, notaire à Pont-Sainte- Maxènce.

S ’adresser pour les renseigne­m ents à :

M!0 Gaston LOIR, avoué à Sen­lis, poursuivant la vente ;

'M® BOILET, notaire à Pont Sainte-Maxence, rédacteur et dé positaire du. cah ier des charges,

Etude de M® L. CHASTAING, avoué à Senlis.

Venteaux enchères publiquess u r c o n v e rs io n

d e sa is ie im m o b iliè red’une

PROPRIÉTÉsise commune île LAMOELAYE

lieudit Lgs-Chantilly Grande Avenue, n® 160 dénom m é « Mi-Ki-Lys »

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 17 JUILLET 1935, a 14 heures, en l’audience des criées du Tribunal civil de Sen­lis, ancien Evêché, place Notre- Dame.

S’adresser pour les renseigne m ents à :

1® M® L. CHASTAING, avoué à iSenlis, poursuivant la vente ;

2® M” MORAND, avoué à Sen­lis, p résen t à la vente ;

3® iM® LANQUEST, notaire à Paris, 92, boulevard Haussman

4® M® GUETIN, hu issier à Chantilly ;

5° E t a u G reffe d u T r ib u n a l civil de Senlis où le cah ier des charges est déposé.

E t pour visiter, au Lys-Chan tilly, l ’après-m idi de 14 à 1" heures, en s’adressant à la So ciété Im m obÜ ère de l’Ile-de France, 6® avenue, 15. Téléph 25 à Lamorlaye.

Etudes de M® L. CHASTAING, avoué à Senlis

et de M® L. BARBIER, notaire à Cire il.

Vente aux enchères publiques

DfUN

Fonds de CommerceDE

VINS, LIQUEURS Grande Licence

exploité à MONTATAIRErue Mtertian, n® 25

sous le nom « Café du Globe

Liadjudication aura lieu le SAiMEDI 20 JUILLET 1935, à quinze heures, en la m airie de Verneuil-sur-Oise, p a r le m inis­tère de M» BOILET, notaire à Pont-Sainte-Maxenc'e, commis à cet effet.

L’adjudication aura lieu le JEUDI i l JUILLET 1935, à 14 heures 30, en l’Etude de M® L. BARBIER, notaire à Creil.

E tude de M" René PICARD, docteur en droit, avoué à Senlis

21, rue de Villevert Successeur de M]® Escavy

Tél. 13.

V E IV T E ]sur saisie immobilière

EN UN SEUL LOT

DE 1 “

Une Maison d’Habitations is e à N ogen t-su r-O iserue de Saint-Quentin, n® 39

2*

UN BATIMENTA USAGE D’ATELIER

DE MENUISERIEy attenant

Circonstances et Dépendancesd ’unte) contenance

id'ei 774 m 2 28 icm2

L’adjudication aura lieu le MERCREDI 24 JUILLET 1935, à 14 heures, en l’audience des criées du Tribunal civ il de Sen­lis, au Palais de Justice de la dite Ville, place Notre-Dame, Bâtiment de l’Evêohé.

S’adresser pour les renseigne­m ents :

1 “ A M’’ René PICARD, avoué à Senlis, poursuivant la vente ;

2® A M® CHASTAING, avoué à Senlis ;

3° E t à M® TETAR, notaire à Précy-sur-Oise.

E ta b l i s s e m e n t s H. CAILLET17, Rue du Faubourg-St-Martin, S E N L I S [Tél. 177]

STATION DE GRAISSAGE VITRIFICATION DES CARROSSERIES

A D H E R E N C E P A R F A I T E DU P N E U PAR NOUVEAU PROCÉDÉ DE RAINURAGE S. P- O, E.

EXÉCUTION IMMEDIATE - D I 12 A 15 FR.

-oqouuaq -U90[ ap

C H E N A R D A W A L C K E R , D E L A G E82»

« AUX T O IL E S DU N O R D »

MOULIER, e, Place Henri-lV | SENLISSes COSTUMES pour Hommes et Garçonnets

Très belles Draperies — Coupe impeccable

A M E U B L E M E N T S C O M P L E T STA PISSERIE - DECORATION

O l m u a a J o r e a A C o n c i l i e r — &»e x ile * » A J V Ï a x n ç f e r

P U i t i l R O U S S E A U13, rue du Châtel, SENLIS - Téléphone i

A S c m b l v a i « t 1 I L â t » fer® cmi-r-r®*»OK T O U S STYLUS t A RTIC LES DE L IT E R IE

« L A C I S T A P IS RIDKAUX

H é u n i o n s , N o c e s , J B a n q u e t s (P le in e Forêt du Lys)

H O S T E L L E i U É D U - L Y Sj Rond-Point de la Reine

V E E C K - E N D (R e p a s d e p u i s 2 0 f r a n c s )

Séjour depuis 35 francs;Car gare Chantilly (Lys, Hostellerie). — Cars directs Paris, Senlis, Clermant

T élép h on e 1 9 LAM O R LA Y E

\

[Agence RégionaleG E R V A IS & C R É P IN

162 , rue de la République, 6 2 SENLIS

— Téléphone : 179 —

Section intersyndicaleDE LA

Chrétiens6, rue de la Chancellerie

SENLIS

DEMANDES D’EMPLOI

N® 2. — A ide-ja rd in ie r, ma­nœuvre toutes mains, cherche place.

N° 3. — Je u n e fille, 20 cherche place bonne à tout faire. Nourrie, couchée.

N° 4. — Jeune fille, 24 ans, place bonne pour s’oc- ecialement d’enfants.

cherche cuper spé

N° 8. — Je u n e homme, 14 ans, certificats d’études complémen­taires, cherche emploi bureau.

N 9. — Je u n e hom m e, 15 ans, cherche emploi bureau dessin.

On ach ètera it à SenlisA L ’A M IA B L E

PETITE MAISONTRÈS BON ÉTAT

Au comptant, si réelle occasion Interm édiaires s’abstenir.

S’adr. au Bureau du Journal. 818

E tu d e de M* F é lix L O U A T ,notaireà Senlis (Oise).

A vendre à l’amiable, Maison d e R apport, sise à Senlis, 19, rue du Chatel et 1, rue de la Treil1- — S’adresser à M« Louât, notai:

A vendre à l’amiable, une Mai­son Bourgeoise sise à Sentis, 9, rue de Beauvais, à l’angle de la rue de la Montagne-St-Àignan. — S’adresser à M« Louât, notaire.

Etude do M* LAN GLO IS, notaire à Senlis.

A vendre : beau Terrain à bâtir, situé à Orry-la-Ville, rue de la Gare, à 50 m. de l’entrée de la forêt. — S’adr. à Me Langlois, notaire.

DEMANDES

O F F R E SRnn Cppnnrl sachant faire l’abat-1 DUII bCbUIlU toj,., est demandéchez M. CHARNET, boucher à Senhs. 808

A SENLIS ET ENVIRONSa L o u e r

N® 194. Belle Villa s. sous-sol, [buanderie, com prenant 8 pièces princip. salle de bains, gr. conf. moderne. Garage et beau jardin

| d’agrément. Loyer : 8.500 fr. nets.

N°189. Beau P a v illon s, sous- | sol, com prenant 7 pièces princip. Salle de bains installée. E. G. E. Chauff. cent. Beau jard in d’agr. Loyer : 5.500 fr. plus impôts.

Fille de cuisineS’adresser chez M. CHARNET,

boucher à S en lis . 808

A . V E N D R E

PULPES de Fossesur wagon ou camion.

S’adresser : Sucrerie de Ville- ron, par Louvres (S.-et-O.). 802

N® 191. M aison ancienne sur cave, 4 belles pièces au rez-de- chaussée et 4 pièces et salle de bains installée au -dessus, une cham bre de bonne, grenier. E., G. E., chauff. cent. Jardin don­nant sur les promenades. Loyer : 5.500 fr. et impôts.

N° 203. A Senlis. Gentil Pavil I Ion sur sous-sol. Garage. 6 pièces, salle de bains. Confort. Jardin. Loyer : 5.500 fr. nets.

Etude de Me R obert BO ILET notaire

à Pont-Sainte-Maxence (Oise).

A vendre par adjudication, le Samedi 27 Juillet 1935, à 15 heures, en la Mairie de Pontpoint et par le ministère de Me Robert Boilet notaire à Pont-Sainte-Maxence’ I. P ro p rié té en parfait état, de 9.400 mètres, libre de location, sise à Moru, commune de Pont- point, route de Roberval, pouvant convenir à un petit élevage ou à la culture maraîchère. II. P etite M aison avec Jard ins, sise au Guidon, route de Roberval à Moru, commune de Pontpoint.

A vendre par adjudication, le jm e d i 27 Juillet 1935, à 15 heures, n la Mairie de Pontpoint, par le

ministère de M® Robert Boilet, notaire à Pont-Sainte-Maxence, 6 P a r c e l le s d e T e r r e s e t Bois

E ta n g avec chûte d’eau de 3 HP 1/2, sis à Pontpoint.

Etude de M<> R. BARELLA, notaire à Verberie. Tél. 47.

A vendre par adjudication vo­lontaire, le Jeudi 11 Juillet 1935, a 14 heures 30, en l’Etude et par le ministère de M« Barella, no­taire à Verberie, M aison avec Jardin et Dépendances, à Saint- Sauveur, 128, rue du Centre.

É L E V E U R S ,AGRICULTEURS.

JARDINIERS, erc .

Le Catalogue Général

L I B R A I R I E 'A G R IC O L EDE LA

M A I S O N R U S T I Q U E2 8 , R u e J a c o b , P A R I S

ast adressé yt'citis et f'rcLfiCO sut cUtffuxfrffe

Les meilleurs Lhres G griofan - b s « t l t e n üütesrs U sâtesSAVOIR POUR fiAGKEA

Appartements à Senlis. Loyers 2.800 fr., 2 500 fr., 2.200 fr., 1.300 fr., 1.200 fr., etc...

Et nom breuses autres loca­tions m eublées ou non.

A SENLIS. — Petit Fonds de Commerce à céder. Prix du pas de porte.

Etude d* M® TETARD, notaire i Senlis.

A louer, Maison Bourgeoisesise à Senlis, rue de Nanteuil, n® 7. — S’adresser à M® Têtard, notaire.

A louer à l’am iable, Maison Bourgeoise sise à Senlis, rue du Faubourg-Saint-Martin, n” 21. — S’adr. à Me Têtard, notaire.

A louer, un Appartement sis àSenlis, 6, rue de la Poulailîerie. — S’adresser à Me Têtard, notaire.

A louer ou à vendre à l’amia­ble, Maison Bourgeoise sise à Fleurines, rue de Paris, n° 50. — S’adresser à M» Têtard, notaire.

A vendre à l’amiable, Malson Bourgeoise de construction ré­cente et Pièce de Terre, sises à Thiers (Oise). S’adr. à M® Têtard, notaire.

Etude de M» GAZEAU, notaire à Senlis.

A louer de suite, M aison B our- eoise sise à Senlis, rue de la

publique, n® 26, avec jard in et dépendances. S’adr. à Me Gazeau, notaire.

A vendre à l’amiable, B o is d e 4 2 a r e s avec petite cabane, com­mune d’Aumont, lieu dit « La Brosse », à proximité de la route de Creil à Senlis. — S’adresser à Me Gazeau, notaire.

A vendre à l’amiable, u n e P r o ­p r i é té B o u rg e o is e située à Au- mont, Grande Rue, n° 21. S’adr. à M« Gazeau. notaire.

Etude de M* F E R R Y , huissier à Pont-Sainte-Maxence.

A vendre à l’amiable, dans riante région de l’Oise, pays boisé, centre de tourism e, be lle P ro - ariété B ourgeoisé. — S’adresser à Me Ferry, huissier.

A V I S

A toute dem ande de rensei­gnements, il ne sera répondu que si la lettre est accompagnée d ’u n t im b r e pour la r é p o n s e .■ ■■NMPOHMBHaHliHHIIIIIBIIH

Autoa Motos Gyolas A rm asM a iso n f o n d é s a n I S 9 2

MACHINES a COUDRE VOITURES D’ENFANTSS to c k d ’A c e e s s o lr e s cfo.

e t d e P iè c e s d é ta c h é e s t y ". PNEUS AUTOS

K nlltt et Graissée Industrielles — Carbure ^DÉBIT SB POUDRES. MUNITIONS. ARTICLES DE CBASSE

SPÉCIALITÉ DE CARTOUCHES OHAROEeS F«»!i C harlln — Carabine* Ae P réeU U a

Maurice CHEVAUX| MOTORISTE - ARMURIER

16-18, Place Henrt-IV, à $ENLIS (Otse)T É L É P H O N E 9 7 R. C. Ssnlii 21IS

Représentant des Motos TERROTTous Modèles en Magasin. Essai facultatif

Agent des G randes M arques de CyclesRavat-Wonder - Tèrrot

La Praaçalaa-DiamaBt - De Dion-Boutoa - Thomas», ««y u--------- *0+04 -

- ARTICLES 8AIAKTIS — PRIX DÉFIANT TOUTE CONCURRENCÉ —

RÉPARATIONS IMMÉDIATES A TRES SOIGNÉES

FOU RETOUS VOS IMPRIMÉS ADRESSEZ-VO US AUX

IMPRIMERIES REUNIES DE SENLIS

Messagerie Senlis- Paris- Pont-Sainte-MaxenceAller et Retour toua lea Lundis et Jeudis

B U R E A U X ISENLIS i M. AUGER, impasse du Tour-de-YIlle PO NT-SAINTE-M AXENCE i 6, rue des Vendredis’

[ 6, rue Jean-Lantier.P A R I S < 6 k*s ’ rue P asteur-W agner

/ 21, rue du Faubourg-Saint-Danis.I 19, rue Daval.

jPcmr vos DÉMÉNAGEMENTS, TRANSPORTS demandez nos prix les pins avantageux

Pour renseignem ents, s’adresser : BUREAU SENLIS ou téléphoner au 2 2 7 Senlis.

Jrrottdissetnents de SEJUtlS et de jnunny

Pour Fonds de CommerceAcheter

ou Vendre

A J D Ü I i l S S H J Z - V O U S JL

A lb ert THOtJT

FermesPropriétésTerrains

EX - PRIN CIPA L «CLERC .IDE G rande R ue

NOTAIRE

à DAMMARTIN-EN-GOELE (S.-et-M.)783

V I D A N G E S I N O D O R E SPAR PROCÉDÉS MODERNES

l lb t r t DEUORGE Fils9, Route de N anteuil, à S E N U S

302