l'lil · 2016-05-03 · atelier sol et cité 1ère révision du plu - commune d’auterive -...
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Rapport de
3.2 Une présence hwnaine très ancienne; sites archéologignes
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Rapport de Présentation
3.3 Approche historique
Les implantations humaines sur la commune d’Auterive remontent au néolithique. Plus tard, une société gallo-romaine a prospéré sur l’ensemble du site. La ville fut en partie détruite pendant la croisade contre les albigeois. Au XIXème s, fut construit le nouveau pont ainsi qu’un moulin et une minoterie. L’arrivée du chemin de fer sonna le glas du port d’Auterive.
Le plan napoléonien fait apparaître deux entités bâties : La ville ancienne, ou quartier Saint-Paul, composé autour de l’église du même nom, ancienne ville fortifiée. Le tissu du centre a peu évolué, depuis le 19ème s, marqué par une forte densité. Le tissu des faubourgs dans le quartier de la Madeleine compose le noyau de l’extension dans la plaine.
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Rapport de Présentation
4. TYPOLOGIES URBAINES 4.1 Plan d'ensemble des typologies
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Les différents tissus urbains présents sur la commune d'Auterive té moignent des différentes phases de l'urbanisation.
_ Le ce ntre ancien (avant le 18°.,. s), les faubourgs (! ,. s), l'habitat collectif (années 1950 et déb ut du 21'""'s), l'étalement pavillonnaire (dep uis les années 1950) marquent la co mposition de la ville. Le p rincipal e njeu réside dans l'articulation entre ces différentes typologies. On rece nse également deux hameaux anciens composés
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4.2 Le centre ville
Le tissu de voies du centre bourg (1) présente un plan régulier, composé de voies étroites et parallèles. Cette organisation a fait l’objet d’une planification. (2) Les parcelles sont généralement en lanières. L’évolution des constructions a induit une variété dans cette rigueur originelle. L’Ouest du centre, plus accidenté se distingue par un réseau de voies plus lâches et des parcelles plus amples.
(3) Le bâti est très dense. Il occupe généralement l’intégralité des parcelles, et est implanté en mitoyenneté (accolement des constructions les unes aux autres), et en alignement sur la rue (constitution d’un front continu). Le bâti compose le cadre de l’espace public.
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4.3 Panorama photographique
Les rues étroites du centre sont cadrées par des bâtiments à deux étages, qui se composent sur des parcelles étroites. Les rez-de-chaussée sont traditionnellement voués aux commerces.
La mairie et l’église Saint-Paul, deux monuments qui s’imposent sur la petite place du 11 Novembre.
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4.4 Les faubourgs
Le tissu de faubourg s’est composé dans les 18ème et 19ème s, autour des voies préexistantes (1). De part cette morphologie, et des îlots de grande taille, les parcelles (2) se sont constituées en lanières, avec une profondeur importante. Le bâti (3) implanté en front de rue, permettait de dégager l’espace privatif intimisé et fonctionnel de la rue, (présence de jardins). Le résultat de cette composition (4) est intéressant à plusieurs titres :
- Front bâti continu qui qualifie l’espace public (rues, places),
- cœurs d’îlots appropriés, présence végétale forte ; - densité importante, rationalisant le linéaire de voiries.
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4.5 Les opérations de logements collectifs
Les opérations de logements collectifs des années 1960 se sont implantées sur des parcelles de taille importantes, sans créer de nouvelles voies de désenclavements. Le rapport qu’entretient le bâti avec l’espace public est complètement différent des formes antérieures (hauteur, recul de la construction, rez de Chaussée). L’emprise au sol est faible, libérant des espaces collectifs généreux; Les opérations collectives plus récentes, moins hautes, ont toutefois repris ce modèle d’implantation, en retrait par rapport à la rue.
Rapport de Présentation
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Opération démolition/reconstruction de la cité Bel-Air
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Rapport de Présentation
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4.7 Les opérations d’ensemble de maisons individuelles
Les opérations d’ensemble de maisons individuelles, plus fréquemment appelées lotissements, créent de nouvelles compositions de voies, souvent très homogènes et peu hiérarchisées. (1) Les espaces publics identifiés (places) sont rares. Les parcelles sont régulières, de forme carrée (2). Les constructions sont implantées en cœur de parcelle, sans aucune mitoyenneté (3) Cette typologie, qui répond à une demande forte, est toutefois dommageable sur plusieurs points :
- Consommation d’espace. - mauvaise rationalisation de la parcelle
(bandes latérales difficilement utilisables), - banalité de l’espace public (rues) dessinées
par les clôtures.
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4.8 Les secteurs d’habitat diffus
Les secteurs d’habitat diffus se sont composés à partir de la trame de voies existantes, sans créer de nouvel axe (1). Le découpage parcellaire s’appuie sur le parcellaire agricole existant, souvent irrégulier et l’accès à la voie impose un parcellaire étroit et très profond (2). L’urbanisation se compose en deux, voire trois rideaux de constructions, dans la profondeur (3). La part dévolue aux accès est conséquente.
4.9 Les échelles et la densité
Les 4 plans ci contre montrent, pour une même superficie, l’impact de l’urbanisation.
L’urbanisation ancienne (1), révèle une forte densité. Le centre ancien, et les jardins qui l’entourent, occupent au total 10ha environ. Les typologies des faubourgs (2) comportent une densité forte, mais préserve de larges cœurs d’îlots verts.
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L'opération de lotissement (3) montre une urbanisation beaucoup plus lâche, accueillant sur 10 ha environ 85 constructions (85logements), soit un logement pour 1200 m2 en moyenne (y compris les espaces publics). L'urbanisation au coup par coup (4) est encore moins dense. Même si toutes les parcelles ne son pas encore bâties, on dénombre une cinquantaine de logements sur 10 ha. L'espace voué aux les accès privatifs est conséquent et n'est pas appropriable.
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Rapport de Présentati on
4.10 Une variation récente des typologies urbaines
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Rapport de Présentation
5. DES ESPACES PUBLICS DIVERSIFIES Le centre ancien d’Auterive présente des espaces publics insérés dans un tissu urbain exigu. Ici, c’est la composition bâtie qui dessine l’espace public, et lui donne toute sa valeur.
Rive droite, l’Esplanade de La Madeleine et la place De Lattre de Tassigny constituent les deux principales identités du quartier. L’Esplanade de La Madeleine participe à tisser le front bâti du quartier avec la rivière. La place De Lattre de Tassigny, qui accueille le Monument aux Morts, constitue aussi un parvis pour l’école.
Les espaces publics des nouvelles opérations (lotissements) se composent d’espaces verts, mais entretiennent rarement de lien avec leur environnement.
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Rapport de
6. UNE CONCENTRATION IMPORTANTE D'EQUIPEMENTS PUBLICS
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Cimetières
Terrain de foot
Cinéma
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Gare Sncf
Espace associatif Deje an
Gendarmerie
EDF
Terrains de football
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7. DES EQUIPEMENTS PUBLICS QUALITATIFS
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8. APPROCHE SYNTHETIQUE DE LA COMPOSITION URBAINE
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La présence forte de l'Ariège, entre les deux anciennes, qui constitue non p s une
lnu,hu·e mail un lien fort entre ces deux entités.
Les vallons des cours d'eaux à l'Est. et bur lenvr(mn.emtent boise, qui sont peu explo:tés 1am la lcolmptJs:tion urb ine.
la nappe urbaine, qui s'étire en doigts de gants, long des axes existants. mais qui ne crée pas de
lnDitvelle os ature.
];:t r.nntinnifP. rJP. ];:t vnÎP fP.n'P.P., P.t er nrfP. lemtprü;e de ?art et d'aut'e de la gare, pe çu :omme
coupure.
distin,.aue egalement un jeu de tenll'alités, quaütés diverses :
cenllalités historiques, dont la qualité est 1.,.,,,...,.ilia fois par lev ottluetivité et Jo quolité
l'urbanisme: la cenllalité hirtorique et civique de la
lc01nmune : le castrum, qui accueille en particulier malfte et:'éghse Sam!-Pa:.ù.
la deuxiéme cenllalité lùstorique, qui est cuJtUIU: n; lt quC:ll I ù La
IM: delem.e. inscrit entre :a gare et l'Jl..riège.
cet"tt:J:-alités « fonction.nelles: ». liée; à la d'équipements publics, souvent b:en
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