inhac dossier de presse inauguration - cci paris idf · 2014-09-29 · 1 communiqué de presse la...

Dossier de presse Inauguration lundi 29 septembre 2014

© Sergio Grazia photographe Brenac et Gonzalez Architectes

Sommaire

• Communiqué de presse p.1

• Editos p.2

• L‘école p.5

• L’architecture p.6

• Chiffres clés p.8

• La carte des formations p.9

• Se former à l’INHAC p.10

• Verbatims p.15

• Annexes p.16

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Communiqué de presse

La CCI Paris Île-de-France crée l’INHAC, une nouvelle école de restauration et d’accueil hôtelier avec le soutien de la Région Île-de-France

Le secteur de l’hôtellerie-restauration, 4e employeur privé de France, connaît d’importants problèmes de recrutement. En effet, 25% des emplois potentiels ne sont pas pourvus et 22% le sont difficilement. Or ce secteur en plein essor devrait recruter 120 000 personnes d’ici à 2015, tout particulièrement en Île-de-France, région phare du tourisme mondial d’affaires et de loisirs. Le développement de l’offre de formations dans le secteur de la gastronomie, restauration et hôtellerie est un enjeu important pour la CCI Paris Ile-de-France afin de répondre aux besoins en emploi des entreprises. En créant l’INHAC, l’Institut de l’Hôtellerie et des Arts Culinaires, situé à Saint-Gratien (Val-d’Oise), la CCI Paris Ile-de-France apporte une réponse aux besoins des entreprises du secteur en proposant un ensemble de cursus formant des personnels qualifiés au meilleur niveau et directement opérationnels. En créant l’INHAC, la CCI Paris Île-de-France s’engage davantage dans l’apprentissage. Ce nouvel établissement, dont le projet est d’offrir des formations d’excellence sur le territoire est affilié à FERRANDI Paris, l’école française de gastronomie. Il propose 12 formations en apprentissage du CAP au BTS, ainsi qu’une classe de pré-apprentissage. Un BTS Hôtellerie-Restauration option Mercatique et gestion hôtelière et la Mention complémentaire Sommellerie complètent l’offre restauration de l’école.

L’INHAC offre également à ses apprentis - près de 500 dès la rentrée 2014 - des conditions d’études et d’application optimales dans des locaux modernes et conviviaux. En effet, le bâtiment d’une surface de 5.000 m2, labellisé HQE et BBC, a été conçu par l’atelier Brenac et Gonzalez dans un fort parti-pris architectural, comprenant des espaces de travail pensés pour les différents métiers avec un restaurant et une brasserie d’application ouverts au public, deux cuisines professionnelles, un laboratoire de pâtisserie, un atelier traiteur, une salle d’analyse sensorielle ainsi qu’une suite hôtelière.

L’école et son nouveau bâtiment ont été inaugurés le 29 septembre par Jean Paul Huchon, Président du Conseil régional d’Île-de-France, Pierre-Antoine Gailly, Président de la Chambre de commerce et d’industrie de Paris Ile-de-France et Jacqueline Eustache-Brinio, Maire de Saint-Gratien, en présence du préfet du Val-d’Oise, Jean Luc Nevache. * source Observatoire Tendance, Emploi, compétence du Medef 3e trimestre 2013

CONTACTS PRESSE :

Chambre de commerce et d’industrie Paris Île-de-France : Aurélie Chantrier – 01 55 65 70 57 [email protected] Conseil Régional Ile-de-France : Murielle Gillet – 01 53 85 57 33 [email protected]

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Pierre-Antoine Gailly Président de la Chambre de commerce et d’industrie

de région Paris Île-de-France

© CCI Paris Île-de-France

« L’apprentissage est au cœur du dispositif de formation de la CCI Paris Île-de-France. Nous avons près de 17 000 apprentis sur un total de plus de 32 000 élèves et étudiants, du niveau CAP au niveau Bac +5, répartis dans 24 écoles.

C’est une voie de réussite incontestable pour les jeunes qui la choisissent et notre Chambre mobilise quotidiennement ses services pour la promouvoir et la valoriser, tant auprès des jeunes que des entreprises.

La CCI Paris Île-de-France vise sans relâche la meilleure adéquation de ses formations aux besoins en compétences des entreprises. C’est la vocation de l’INHAC, qui initié et réalisé avec le soutien du Conseil régional d’Île-de-France, répond aux entreprises de la filière en quête de personnels qualifiés et compétents.

Avec 3 établissements de formation - FERRANDI Paris, INHAC et TECOMAH - l’ambition de la CCI de région est de créer un pôle de formation national d’excellence dans la gastronomie, la restauration et l’hôtellerie. Ce pôle d’excellence, à vocation internationale. Porté par FERRANDI Paris, afin d’y développer, avec les 2 écoles associées, les meilleurs standards de la qualité-France, mais aussi, l’indispensable culture de la création de valeur. »

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Jean-Paul Huchon Président du Conseil Régional d’Île-de-France

© Laurent Villeret/Dolce Vita/Picturetank/Région Île-de-France

Avec l’INHAC, la Région Île-de-France aux côtés de la CCI Paris Île-de-France, investit et confirme son engagement en faveur de l’apprentissage qui est un véritable passeport pour l’emploi des jeunes.

L’INHAC traduit bien les priorités régionales puisqu’il regroupe des formations centrées sur les premiers niveaux de qualification dans deux secteurs historiques de la formation en apprentissage et porteurs de développement pour notre région : l’hôtellerie et la restauration.

Ce nouveau CFA répond à un vrai besoin dans ce secteur géographique à la croisée des 3 départements de l’ouest parisien.

L’INHAC démontre aussi l’exigence de qualité de la formation qui est l’un des principaux leviers de développement de l’apprentissage.

Depuis 2010 la Région Île-de-France a investi plus de 37 M€ aux côtés de la CCI Paris Île-de-France pour l’équipement, la construction et les travaux dans les CFA, affichant ainsi une participation de près de 50 %.

Soulignons que la Région affiche toujours sa volonté de développer le nombre d’apprentis et les Etats Généraux de l’Apprentissage en organisés en juillet dernier en partenariat avec les organisations patronales, les chambres de commerces d’industrie et d’artisanat, les représentants de l’Etat et les employeurs et en témoignent.

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Jacqueline Eustache-Brinio Maire de Saint-Gratien

© Mairie Saint-Gratien

Tout Maire se réjouirait d’accueillir dans sa commune une structure telle que l’INHAC, parce qu’il s’agit d’un magnifique équipement bien sûr, mais surtout parce qu’il est dédié à la formation des jeunes.

Ce bâtiment, conçu dans le respect des normes environnementales avec des choix esthétiques résolument modernes, s’intègre parfaitement dans le paysage urbain de l’un de nos principaux carrefours.

Sa position centrale, à quelques pas d’une gare RER, sur une route départementale, à proximité immédiate des commerces des deux récentes ZAC du cœur de ville, est un atout majeur.

Il permettra d’accueillir dans d’excellentes conditions les jeunes du Val-d’Oise et d’Ile-de-France pour des formations de qualité, mais aussi les Gratiennois qui pourront bénéficier de son restaurant d’application.

La Ville a toujours soutenu ce projet et a accompagné la CCI Paris Île-de-France dans les différentes phases de sa mise en œuvre, de l’acquisition du terrain à la finalisation des travaux, en passant par le financement.

A la gratitude qu’elle exprime à la CCI Paris Île-de-France, elle doit ajouter un hommage à la volonté d’un homme, Jean-François Bernardin, ancien Président de l’ACFCI, dont l’attachement particulier à notre commune a favorisé cette implantation.

C’est une grande fierté pour Saint-Gratien.

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L’école L’INHAC, Institut de l’Hôtellerie et des Arts Culinaires, est la toute dernière des 24 écoles de la CCI Paris Île-de-France. Affiliée à l’école FERRANDI Paris, établissement de référence dans le domaine de la gastronomie et de l’accueil, la nouvelle école propose des formations allant du CAP à Bac +2 depuis la rentrée de septembre 2014.

La création de l’INHAC avait pour objectif de construire un bâtiment moderne et convivial, à 10km de Paris, permettant aux jeunes et aux professionnels d’Île-de-France de trouver un lieu ouvert, dédié aux nombreux métiers de la cuisine, de la restauration et de l’hôtellerie.

En effet, le poids économique et touristique de la Région Île de France nécessite de garantir aux professionnels concernés des personnels formés au meilleur niveau. Les formations ont ainsi été établies dans un souci pédagogique et au plus près des besoins des entreprises du secteur. Ils comprennent :

• La cuisine (CAP et Bac professionnel) • La restauration (CAP et Bac professionnel) • La pâtisserie (CAP) • Le service en brasserie/café (CAP) • La gestion hôtellerie et restauration (BTS) L’INHAC offre également, avec son cursus DIMA (Dispositif d’Initiation aux Métiers en Alternance), la possibilité pour des jeunes en situation scolaire difficile, de reprendre pied et de redémarrer leurs parcours scolaire en apprentissage dans des secteurs professionnels porteurs.


L’INHAC a accueilli à la rentrée 2014, près de 500 jeunes en formation

dont 450 apprentis avec un objectif final de 800.

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L’architecture

Le parti-pris de Xavier Gonzalez (Atelier d’architecture Brenac & Gonzalez)

La symbolique du lieu Un projet c’est d’abord un lieu car chaque emplacement porte en lui ce que l’on appelle le

génie du lieu. Dans le cas de l’INHAC c’est particulièrement important car l’on est à la fois à un carrefour, à l’entrée de la ville et près de la gare ; donc symboliquement la question de

la porte est vraiment posée.

Les usages et les flux Accueil des élèves, des personnes qui viennent déjeuner … Il faut gérer des flux avec deux

pôles majeurs : l’enseignement général et l’enseignement professionnel. La réalisation de salles banalisées d’une part, les cuisines, ateliers, salles de simulation pour l’hôtellerie d’autre

part sont les deux polarités qui ont été mises en scène dans ce projet et qui génère cette architecture en anneau.

Le vide fondateur Ayant travaillé pendant un an au japon au côté de Tadao Andō, j’ai appris l’importance de

la notion du vide dans la culture japonaise qui se traduit par deux mots : le Ma et le Mu. Le

vide qui ordonne : le Ma générateur et le vide qui met à distance : le Mu créateur d’harmonie. Pour l’INHAC, avec ce système d’anneau, c’est le vide fédérateur. Au rez-de-

chaussée, l’accueil la salle polyvalente, l’administration et une ouverture sur la cour avec le préau qui génère un pont, au-dessus, au premier étage et qui vient refermer une cour

intérieure. C’est le vide fondateur comme on peut en retrouver dans les cloitres par exemple. Donc les deux polarités l’une professionnelle et l’autre généraliste se trouvent dans un

rapport de face à face, connectées et formant cet anneau. Et symboliquement l’enseignement général est un pont puisque c’est lui qui relie toutes les spécialités de

l’enseignement professionnel. Le premier et le deuxième étage sont sur le même modèle. Au troisième étage, on trouve l’espace de convivialité et d’échange avec une terrasse où l’on a

planté des plantes aromatiques, clin d’œil à la cuisine.

Le métal comme identité Je n’ai pas l’habitude de reconduire d’un programme à l’autre la même architecture.

L’architecture est comme un roman, c’est un récit qui doit être en adéquation avec ce qu’il porte. Moi qui enseigne depuis 25 ans, je dis toujours à mes étudiants que lorsqu’il présente

leur travail à un client il faut expliquer l’esprit du projet, « les secrets de cuisine ». Pour l’INHAC, nous voulions une identité forte composée de deux parties principales : un socle qui crée le

lien, renforce la base et au-dessus quelque chose de plus fragile, un plissé, comme on en voit chez Issey Miyake. Un plissé métallique qui rappelle les couverts, sur une table dressée,

prenant du relief avec la lumière. Cela renvoie également aux instruments de cuisine en métal comme les moules à gâteaux par exemple et qui rappelle comment se fait la cuisine.

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Le travail sur la lumière Avec ce plissé, le bâtiment est très réactif aux variations de lumière. Le matin la perception de l’architecture n’est pas la même qu’au coucher du soleil ; lorsqu’il pleut cela sera très

différent du plein été. Les éclats ne sont pas les mêmes : un gris neutre sous les nuages mais avec un rayon de soleil, l’éclat est accéléré. Le pli avec l’alternance de creux et d’arrête

accentue l’effet d’ombre et de lumière.

La volonté de marquer un monument La ville est faite de logements, d’habitations mais aussi de monuments qui doivent être des

repères. La question de l’architecture contemporaine se pose ; en quoi l’écriture est-elle d’aujourd’hui ? Pour moi Baudelaire y répond parfaitement lorsqu’il dit : « dans moderne il y a

mode et éternité pour moitié ». Pour moi, il s’agit donc de trouver l’équation entre quelque chose qui est relié à son temps : la mode et quelque chose d’intemporel, au-delà du temps.

La valorisation de la personne Ce sont les personnes qui font l’école : la qualité de la direction, de l’enseignement ; c’est ce qui rend un lieu attractif. Il y a des élèves, une administration qui font vivre l’établissement.

Pour moi qui suis un enfant d’immigré, né en Espagne, ce rapport avec l’ascenseur social, le symbole de l’école comme lieu de la réussite est extrêmement important. Donc valoriser des

centres d’apprentissage est fondamental. Dis-moi où tu travailles je te dirais qui tu es. La valorisation de la personne par l’architecture est essentielle. Lorsque j’ai construit un lycée

hôtelier il y a plusieurs années, j’ai interviewé des élèves et l’un d’entre eux m’a dit : « je suis passée devant plusieurs fois mais je n’ai pas osé rentrer je pensais que c’était une école

d’ingénieur ». Bien sûr l’architecture est une valeur. A chaque fois j’ai ce soin là, je pense aux usagers. Et je crois qu’il faut comme en Allemagne survaloriser l’apprentissage. Et

l’architecture c’est la petite pierre à l’édifice.


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Les chiffres clés

L’INHAC en chiffres :

• 12 formations du CAP au BTS et 1 classe de DIMA • 500 apprentis formés du pré-apprentissage au Bac +2 à la prochaine rentrée

et à termes 800 apprentis • 5 000 m² d’espaces et d’équipements aux meilleurs standards professionnels

(un restaurant et une brasserie d’application ouverts au public, deux cuisines , un laboratoire de pâtisserie, un atelier traiteur, une salle d’analyse sensorielle, ainsi que deux salles informatiques en réseau avec logiciels d’applications professionnelles, un centre de ressources, un amphithéâtre et une cafétéria avec terrasse à destination des apprentis)

Synthèse sectorielle régionale

• 23 791 établissements avec salariés1 et 13 490 établissements sans salariés2 • 210 904 salariés et 34 088 non-salariés • 63 556 postes saisonniers en été, 32 773 en hiver3 • 15 352 personnes en formation4 en 2012 dont 6 367 scolaires, 6 700 apprentis

et 2 285 CPro

Sources : (1) Pôle emploi déc. 2010, (2) Insee janv. 2011, (3) base DADS 2006-2007, (4) Éducation

Nationale 2011-2012, Fafih 2012

© CCI Paris IdF

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La carte des formations

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Se former à l’INHAC Toutes les formations proposées à l’INHAC sont fondées sur l’alternance, une pédagogie qui permet aux élèves de poursuivre leurs études, notamment, en contrat d’apprentissage dans les entreprises du réseau de l’INHAC.

Pour les professionnels de la restauration, l’INHAC peut être une voie d’entrée privilégiée vers l’offre de formation continue de FERRANDI, mais aussi vers celle de TECOMAH.

Fort de cette proximité historique avec les entreprises, l’INHAC se veut un lieu ouvert et a l’ambition de développer des projets novateurs pour répondre aux évolutions des besoins des professionnels.

Des diplômes allant du DIMA jusqu’au BTS

DIMA Restauration/hébergement

Cette section accueille des jeunes de 15 ans sortant d’une classe de 5ème ou 4ème qui se destinent à poursuivre leur formation par apprentissage. L’élève est présenté à la Certification de Formation Générale (CFG) de l’Éducation Nationale à l’issue de l’année de formation.

CAP Cuisine

Cette formation en apprentissage permet d’intégrer directement la vie professionnelle. L’apprenti acquiert des techniques de base en cuisine.

Perspectives professionnelles : • Commis de cuisine • Chef de partie • Chef de cuisine


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CAP Restaurant

Cette formation en apprentissage permet d’intégrer directement la vie professionnelle. Le titulaire du diplôme est capable d’assurer un service complet : accueil de la clientèle, commercialisation et service des mets et des boissons. Perspectives professionnelles :

• Commis de salle • Chef de rang • Maître d’hôtel

CAP Services en brasserie/café

Cette formation en apprentissage permet d’intégrer directement la vie professionnelle. Le titulaire du diplôme est capable d’assurer l’accueil des clients. Il s’occupe également des approvisionnements et connaît parfaitement la législation. Perspectives professionnelles :

• Serveur, limonadier, garçon de café • Chef de rang • Maître d’hôtel, après un temps d’adaptation et en fonction de l’expérience

professionnelle et de la motivation

CAP Pâtissier connexe 1 an

Le titulaire de ce CAP en apprentissage est capable de préparer les pâtisseries et organiser leur fabrication. Il sait gérer les stocks de produits, fabriquer les pâtes, les crèmes, décorer les desserts, les présenter et les décrire. Il pourra, avec une solide expérience professionnelle, s'installer à son compte. Perspectives professionnelles :

• Opérateur de fabrication de produits alimentaires • Pâtissier


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Mention complémentaire Employé Traiteur

La Mention complémentaire Employé Traiteur en apprentissage vise à former des jeunes capables de réaliser des repas élaborés et/ou conditionnés, stockés et distribués selon les normes et les règles d’hygiène et de sécurité en conformité avec la législation. La formation permet d’intégrer directement la vie professionnelle. Le titulaire de la MC Employé Traiteur peut également poursuivre ses études.

Mention complémentaire Sommellerie

Le titulaire de la Mention complémentaire Sommellerie en apprentissage, aura la responsabilité de la mise en place du matériel, de la cave, du conseil, de la vente et du service des vins et autres boissons. Perspectives professionnelles :

• Sommelier/chef sommelier dans des restaurants gastronomiques en France ou à l’étranger, en Epiceries fines ou en Grande Distribution

• Caviste • Représentant en vin


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Bac pro Cuisine

Ce Bac professionnel dans la restauration permettra au titulaire de ce diplôme d'acquérir des compétences dans la production culinaire, l’organisation et animation d'une équipe et la gestion d'entreprise.

Perspectives professionnelles : • Premier commis de cuisine • Chef de partie ou Chef de cuisine • Adjoint au directeur de restaurant

Bac pro Commercialisation et service en restaurant

Ce Bac professionnel permet d’acquérir des compétences dans la production de services, la commercialisation, l’organisation et animation d’une équipe, la gestion d’entreprise. Perspectives professionnelles :

• Premier commis de salle ou Chef de rang • Maître d’hôtel • Adjoint du directeur d’un restaurant

Brevet professionnel Cuisinier

Cette formation de niveau IV est orientée vers l’insertion professionnelle. Le titulaire de ce diplôme pourra occuper directement un poste de commis de cuisine dans des établissements de restauration traditionnelle, gastronomique ou de collectivité.


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Classe de mise à niveau - M.A.N. (accès au BTS)

L’objectif de cette classe de mise à niveau est de permettre aux bacheliers non professionnalisés dans les métiers de l’hôtellerie d’accéder à la formation de BTS.

A l’issue de ce cursus, les étudiants poursuivent en première année de BTS, Option A (Mercatique et gestion hôtelière) ou Option B (Art culinaire, art de la table et du service).

BTS Hôtellerie - Restauration option A

Mercatique et gestion hôtelière

Ce Brevet de Technicien Supérieur prépare en alternance à la responsabilité d'un service d'hôtellerie ou de restauration, au développement commercial ainsi qu’à l’encadrement d’équipe.

Perspectives professionnelles : • Directeur d'hôtel • Gouvernante • Réceptionniste

BTS Hôtellerie - Restauration option B Arts culinaires, arts de la table et du service

Ce Brevet de Technicien Supérieur (Bac +2) prépare en alternance de futurs employés capables d'assurer la responsabilité d'un service d'hôtellerie ou de restauration, de fidéliser et de développer la clientèle.

Perspectives professionnelles : • Cuisinier • Directeur de restaurant • Gérant de restauration collective • Maître d'hôtel

Pour les professionnels de la restauration, l’INHAC peut être une voie

d’entrée privilégiée vers l’offre de formation continue de

FERRANDI Paris, mais aussi vers celle de TECOMAH.

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Marie-Françoise CLARO Maitre Restaurateur de France La ferme d’Argenteuil

« Depuis 25 ans, j’accueille au sein de mon établissement des apprentis. Pour ces jeunes qui ont envie d’exercer un métier, c’est l’opportunité d’acquérir des connaissances scolaires qui, parce qu’elles sont reliées à une activité professionnelle, prennent du sens. Je les vois se transformer, ils sont épanouis, métamorphosés par ce qu’ils font. »

Verbatims

Kévin LANÇON Apprenti

« Tout petit ma grand-mère m’a donné l’envie de cuisiner ; elle a développé ma curiosité. Etant très bon élève, mes professeurs m’ont fortement déconseillé d’entreprendre un CAP et m’ont orienté vers une seconde générale. Mais, finalement, j’ai choisi ce qui est une vocation, une passion : la cuisine. C’est pour moi, comme une palette remplie d’innombrables couleurs que je cherche à étoffer jour après jour par ma formation. C’est l’envie de créer une harmonie entre les saveurs, les couleurs et les textures, le tout dressé sur une simple assiette, dans le seul but de faire plaisir. »

Joël BOILLEAUT Maître Cuisinier de France L’Hostellerie du Nord, Auvers-sur-Oise

« Pour moi, l’apprentissage est une excellente formation pour des jeunes qui ont la fibre professionnelle. Dès le premier jour de son arrivée dans le monde professionnel, le jeune bénéficie du soutien de son tuteur qui l’épaulera tout au long de son contrat et l’accompagnera dans sa première place en tant qu’ouvrier. Le maître d’apprentissage est un référent. Le tutorat, qu’il accepte, lui impose d’être toujours « l’image positive » que doit suivre le jeune. Il a la responsabilité « de résultat » et doit, de ce fait, suivre le parcours scolaire de l’apprenti. Il doit à la fois faire preuve de pédagogie, de professionnalisme et de rigueur. Je suis Maître Cuisinier de France et l’article 2 de notre charte est « Le Maître Cuisinier de France a pour mission de servir l’art culinaire, d’en développer le rayonnement et d’en assurer l’avenir ». Cette phrase résume bien ma façon de penser : vouloir un apprentissage de bonne qualité pour assurer l’avenir de notre profession et, ainsi, préserver la pérennité et la reprise de nos établissements le moment venu ! »

Annexes

L’ampleur de son dispositif de formation confère à la Chambre de commerce et d’industrie de Région Paris Île-de-France une place unique dans le paysage éducatif français : 24 écoles formant chaque année 31 700 jeunes dont 16 700 par l’apprentissage, sur les huit départements franciliens. Ce campus se caractérise par la grande diversité de ses quelques 500 formations dispensées du pré-apprentissage au Bac +8. Elles constituent une offre qui répond à la multiplicité des besoins en compétences des entreprises. La présence de dirigeants à la fois dans la gouvernance, les partenariats et les conseils d’établissement, favorise une réelle « culture du professionnel » capable de faire face aux enjeux, à la complexité et aux incertitudes auxquels les entreprises sont confrontées. Résultat : la construction pour chaque jeune de parcours individualisés qui débouchent sur une insertion optimale, un véritable tremplin vers l’emploi. Au sein du campus de la CCI Paris Île-de-France, la pédagogie développée est unique et dispensée par les formateurs, issus du monde professionnel. Elle ancre l’acquisition des connaissances dans la réalité et rend le savoir plus vivant. Par sa volonté d’être toujours pionnière, de garantir les conditions d’un épanouissement personnel permettant à chaque apprenti de révéler tout son potentiel, la CCI Paris Île-de-France a mis en place une stratégie gagnante : « apprendre-réussir ».

Une adéquation Emploi / Formation

Les CFA de la CCI Paris Île-de-France impliquent fortement l’entreprise dans son mode de fonctionnement. Outre les chefs d’entreprise élus de la CCI de région appelés à s’investir dans les Conseils d’Etablissements, des professionnels participent au Conseil de Perfectionnement des CFA. Composés de représentants d’employeurs et de salariés de l’ensemble des secteurs professionnels, ils traitent des questions d’ordre général sur le fonctionnement des CFA.

Des Conseils professionnels par filière sont également organisés permettant aux représentants des entreprises de donner les orientations professionnelles qui leur sont propres, en particulier en matière d’évolution des techniques, de pratiques pédagogiques, d’ouvertures de formations.

Afin de garantir cette adéquation emploi / formation, l’offre de formation est actualisée chaque année et les rythmes d’alternance varient en fonction du secteur professionnel et du niveau de formation.

L’innovation pédagogique et l’internationalisation des formations

A la CCI Paris Île-de-France, l’apprentissage est, depuis l’origine, un lieu d’expérimentations et d’innovations pédagogiques,

L’adaptation personnalisée des parcours de formation constitue une réponse à la formation d’un public de plus en plus hétérogène, en conciliant une pédagogie de groupe et une pédagogie individualisée. La mise en œuvre d’une véritable pédagogie de l’alternance passe également par la co-évaluation de l’entreprise, qui, au même titre que les CFA, peut suivre la progression du jeune tout au long de son apprentissage. A la CCI Paris Île-de-France, pour bon nombre de formations, les entreprises participent à la validation finale du cursus et/ou à la délivrance du diplôme notamment via le contrôle en cours de formation.

L’accompagnement des entreprises

Inforeg et la Direction des formalités et de la collecte de la taxe d’apprentissage (DFCTA) de la CCI Paris Île-de-France interviennent quotidiennement pour apporter aux entreprises une information juridique complète sur le contrat d’apprentissage et la taxe d’apprentissage. La CCI Paris Île-de-France est chargée de l’enregistrement des contrats d’apprentissage des entreprises de sa circonscription1. Dans ce cadre, elle offre aux entreprises une pré-saisie en ligne. Elle leur propose également une cellule de veille juridique dans le domaine législatif en matière de contrat et de taxe d’apprentissage. La CCI Paris Île-de-France collecte la taxe d’apprentissage et propose dans ce cadre un service très complet allant de l’information, de l’assistance juridique à la collecte et aux reversements. Enfin, la CCI de région participe au dispositif « Développeurs de l’apprentissage » mis en place par la Région Île-de-France avec des postes renouvelés chaque année dans ses écoles et à la Direction des CFA.

1 Selon la loi PME du 2 août 2005

La Région Île-de-France, acteur incontournable de la formation

des jeunes et de l’apprentissage

L’emploi est une priorité régionale ; et c’est la raison pour laquelle la Région Île-de-France a fait de l’apprentissage un axe majeur de son action, en y consacrant près de 10 % de son budget, parce qu’il favorise l’insertion sur le marché du travail. La Loi du 5 mars 2014 pour la formation, l’emploi et la démocratie sociale renforce ses compétences et conforte son rôle de chef de file en la matière.

Notre région compte déjà 103 591 jeunes dans les Centres de formation des apprentis (CFA) en 2014 et l’objectif est d’atteindre le nombre de 118 000 jeunes en CFA en 2015…

L’apprentissage, la garantie d’une formation de grande qualité

Un centre de formation pour chaque métier et près de 1 000 métiers accessibles : avec plus de 70 % des jeunes apprentis trouvent un poste dans les sept mois après leur formation (dont 66 % en CDI), l’apprentissage reste une voie de confiance pour favoriser l’emploi en Île-de-France.

Le budget que la Région consacre chaque année à l’apprentissage est en constante augmentation (388 M€ en 2014); la subvention de la Région permettant d’assurer le fonctionnement des CFA a augmenté de 51% entre 2006 et 2012. Sur la même période, la taxe d’apprentissage collectée, autre ressource pour les CFA, a augmenté de 24%.

Développer l’apprentissage

La Région cherche à développer l’apprentissage de façon sécurisée, de manière à ce que les jeunes trouvent un emploi à l’issue de leur parcours. C’est pourquoi, sa politique de développement de l’apprentissage permet de cibler les ouvertures de formations qui :

• répondent à un réel besoin des entreprises, • correspondent à une demande des jeunes, • présentent un contenu pédagogique et une insertion professionnelle de

qualité, • sont positionnées sur des secteurs sur lesquels un fort besoin en emploi a été

identifié.

L’effort est orienté prioritairement sur les premiers niveaux de qualification (CAP et Bac pro) qui correspondent aux jeunes qui sont le plus en difficulté sur le marché du travail. Pouvoir accéder à un contrat d’apprentissage leur permet réellement de réussir leur insertion professionnelle.

Quant à l’apprentissage supérieur, il continue sa progression : les apprentis qui préparent un diplôme de l’enseignement supérieur représentent 52 % des effectifs.

© Laurent Villeret/Dolce Vita/Picturetank/Région Île-de-France

L’architecture comme équation

L’atelier d’Architecture Brenac et Gonzalez a été fondé au cours des années 80 par Xavier GONZALEZ et Olivier BRENAC issus respectivement de l’Ecole d’architecture de Paris‐Belleville et de l’École Spéciale d’Architecture. L’agence compte aujourd’hui deux partenaires associés, Jean‐Pierre LEVEQUE et Emmanuel PERSON, et une quarantaine de collaborateurs. Elle aborde tous les types de programmes : logements, équipements scolaires, bureaux, hospitaliers, urbanisme, etc. La production de l’agence, c’est l’affranchissement de tout dogme au profit d’une attitude pragmatique, l’écriture architecturale s’est dégagée de toute appartenance et de tout interdit. Les projets se fabriquent à partir de processus dont les paramètres liés aux contextes, sites, clients, programmes, financement, volonté d’expérimentation constituent autant de facteurs déterminants des choix esthétiques. L’architecture devient stratégie, processus autonome, un "sur mesure" libre de tout à priori, que la seule recherche de cohérence fédère ; elle soutient un récit. L’ensemble des dernières réalisations sont l’aboutissement de ces différentes équations urbaines, programmatiques, architecturales, constructives et environnementales. Derrière la rigueur affichée existe une liberté de penser le projet, de définir son expression architecturale, de travailler sa plastique et un réel plaisir du faire, visible dans le contrôle presque obsessionnel des détails et de leur réalisation.


17, boulevard Pasteur 95210 Saint-Gratien Tél : 01 34 05 17 60

www.inhac.fr

Contacts presse Chambre de commerce et d’industrie de Paris Île-de-France : Aurélie Chantrier - 01 55 65 70 57 - [email protected]

Conseil Régional Île-de-France : Murielle Gillet – 01.53.85.57.33 [email protected]

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