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infosmobilesL e m a g a z i n e d e s p r o f e s s i o n n e l s d e l a m o b i l i t é

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mango booste Les windows phones Nokia, Acer, HTC... Le nouvel OS nomade signé Microsoft séduit les constructeurs.

Ces nouvelles teChnos

interview david mignotSon directeur général France détaille les ambitions de Sony Ericsson sur le marché des smartphones.

Les couLisses de modeLabs Focus sur l’inventeur innovant du «masstige», mélange de prestige et de mass market.

Focus

Zoom sur ces innovations technologiques qui séduisent le grand public comme les professionnels.

qui Font vendre

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Adresse : 158, rue Diderot - 93500 PANTINTéléphone : 01 48 45 01 55 - Fax : 01 41 50 49 61E-mail : [email protected] - Site : www.infosmobiles.fr Directeur de la publication : Albert ELBAZDépôt légal à parution - N° ISSN : 2119-1646Imprimé en Union Européenne

Rédacteur en chef délégué : Judikael HIREL Directeur Artistique : David BENAMOUOnt collaboré à ce numéro : Driss Abdi, icolas MERAZ, Sofian NOUIRA, Anne POIRIER (6TCOM), Lionel Titren.

Publicité : • Albert ELBAZ 01 48 45 01 55 – [email protected] • Thierry LELLOUCHE 09 66 93 01 55 – [email protected]

Cette publication est éditée par MOBI PRESSE, SARL au capital de 10 000 euros© Copyright 2011

éditoEnfin, de la convergence, de la vraie... De toutes parts, on en entend parler, ce doit donc être vrai !

Maintenant que la France a atteint les 100% de taux d’équipement en matière de téléphonie mobile, nous voilà clairement, définitivement entrés sur un marché de renouvellement. Mais nous sommes aussi sur un marché orienté vers la véritable convergence, celle des usages et celles des écrans. Peu à peu, la frontière s’estompe entre le nomadisme et le domicile. Les fournisseurs d’accès au Net se mettent à la téléphonie, les opérateurs aux offres quadruple play. Les smartphones voient leur diagonale d’écran grandir tandis que les tablettes tactiles créent le chaînon manquant entre l’univers de la téléphonie mobile et celui de la micro-informatique. Les nouvelles technologies (NFC, Flashcodes) et les réseaux sociaux s’apprêtent à bouleverser tant les habitudes des consommateurs que la relation client. Jamais la mobilité connectée n’a plus été au centre de nos vies et de celles des clients qu’aujourd’hui. Bref, il reste tant à faire, à inventer, à oser, et c’est tant mieux ! Bonne lecture. Judikael Hirel [email protected]

Sommaire16Ces nouvelles technos qui font vendre

32Mango booste les smartphones sous Windows

14Dans les coulisses de Modelabs

04 événement The Phonehouse passe au Wireless

06 ACtUAlitéS

14 reportAge Dans les coulisses de Modelabs

16 doSSier Ces nouvelles technos qui font vendre

24 obServAtoire La nouvelle ère de la relation client

26 ACCeSSoireS Sélection des accessoires essentiels

30 interview David Mignot, Directeur Général Sony Ericsson France

32 teStS OS Windows Mango Sharp 3D BlackBerry Torch 9860 Doro Phone Easy 615 Motorola Defy+ Acer Iconia Smart Alcatel One Touch 908 Sony Ericsson Xperia Kyno Nokia 701

46 teChno fUtUr Se plier à nos désirs

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Wireless StoresL’événement

C omment faire pour qu’un client se sente bien dans une boutique de

téléphonie mobile, au point d’avoir envie de s’y rendre, d’y rester voire d’y revenir ? En changeant les règles (il faut dire souvent assez peu accueillantes) axées vers la rapidité des boutiques standards : des lieux exigus s’invitant entre deux boutiques de mode, des mobiles sous clé ou des alignements de fac similé en plastique, signe que la confiance règne, et bien souvent pas même

un siège sur lequel s’asseoir pour patienter. Autant de freins à même de vacciner le plus fervent client et l’inciter à se rendre sur le Net...C’est cette mauvaise expérience client que The Phonehouse entend éviter, en déployant peu à peu son nouveau concept de points de vente, les Wireless Stores. La filiale du groupe Carphone Warehouse, qui compte 340 magasins et 1500 collaborateurs en France, fait reposer ce concept sur quatre

Plus de place, toujours plus de produits et de services... Bienvenue dans un monde fait de convergence et de connectivité ! Pour faire entrer ses clients de plain pied dans un nouvel univers high-tech 100% connecté, The Phonehouse va peu à peu appliquer à tous ses magasins son nouveau concept de Wireless Store. Explications.

The Phonehouse passe au Wireless

fondamentaux : l’agencement de l’espace de vente, les équipes, les produits proposés et les services, avec différents formats de Wireless Stores pour s’adapter à la réalité du parc existant. « On se sent un peu comme dans un magasin Apple. C’est plus aéré, es clients adorent les exclusivités, le large choix de produits à tester. Nous avons l’ambition de faire aussi bien qu’Apple en termes d’expérience client », explique Guillaume Van Gaver, PDG de The Phonehouse France.

130 produits à (vraiment)essayer en boutique

Et il faut bien reconnaître que l’investissement est réel, tant matériel qu’humain : on trouve désormais dans ces boutiques plus d’une centaine de vrais appareils à manipuler, et un véritable mur d’accessoires pour se créer sur mesure sa panoplie techno-nomade. Le plus grand modèle de magasin, le Wireless World d’une superficie de 90 m2, offre environ 130 produits en démonstration, allant du smartphone à la tablette en passant par le netbook ou, convergence oblige,

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la box quadruple play. Pour ce plan de transformation de ses points de vente, The Phonehouse a prévu de dépenser 10 millions d’euros d’ici à l’an prochain pour transformer 30 magasins, puis 18 millions d’euros l’année suivante, pour atteindre

265 boutiques transformées à l’horizon 2016. « Et la première franchise Wireless à ouvrir ses portes sera en France », précise Guillaume Van Gaver. On nous parle d’offres sans engagement, sans mobile, Web only, avec un service client réduit au minimum. Tout cela doit nous faire comprendre qu’un certain nombre d’acteurs présents depuis 10 ou 15 ans vont être fragilisés. The Phonehouse, en tant que n°4 sur ce marché, a un rôle essentiel. Réaffirmer notre leadership, c’est aussi investir et savoir reconnaître les opportunités. »

L’expérience client au coeur

« L’objectif est d’offrir aux clients l’accès au monde connecté et de leur faire vivre leur propre expérience du produit. L’expérience client est au coeur du Wireless store, poursuit Guillaume Van Gaver. Ce n’est pas le renouvellement physique des magasins qui est important, c’est la transformation humaine, le changement de culture et de valeurs. Au centre de toute cette réflexion, nous avons essayé de comprendre le parcours et les besoins des clients. Nous avons aussi ajouté une offre plus complète de services. Nous avons structuré un espace favorisant l’expérience client, avec une offre de plus de 100 produits connectés à tester en magasin,

ainsi que la mise en place d’un merchandising très poussé des accessoires, désormais proposés en libre service. » Ce concept Wireless Store vise donc à simplifier le parcours du client, selon ses usages : un pôle Mobile s’il ne fait que téléphoner, avec des offres très simples ; un pôle Communiquer pour s’’orienter vers les smartphones, puis des offres complexes. « The Phonehouse se pose en spécialiste des solutions de connectivité et de mobilité, un choix offert en toute indépendance, avec l’ensemble des opérateurs », souligne le PDG du groupe. Pour aller au bout de cette logique changement de culture, dans la continuité de l’expérience client, The Phonehouse a également mis en place un nouveau système de rémunération variable, collective et basée en partie sur la satisfaction du client, pas seulement en fonction du nombre de ventes effectuées par chaque collaborateur. Enfin, les collaborateurs de The Phonehouse ont également l’opportunité de se former aux nouvelles méthodes de vente et aux nouveaux marchés, le groupe dépensant 3 à 4% de sa masse salariale en formation, alors que l’obligation légale est de 1,5%. Et des vendeurs bien formés, ce sont autant de clients satisfaits de plus !

Attention, experts en action ? Nombre de passionnés de high-tech vont pouvoir franchir le pas et mettre leur passion et leurs compétences au service des clients de The Phonehouse. En effet, les nouveaux magasins Wireless intègrent un corner Geek Squad. Les clients pourront ainsi demander sur place aux experts Geek Squad aussi bien de conseils généraux qu’une aide à la configuration, une assistance voire un véritable dépannage, que le produit ait été acheté chez The Phonehouse ou non. Le réseau propose également une offre packagée d’assurance et de hotline.

Du conseil et Du Dépannage avec la geek squaD

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G oogle et la Mobile Marketing Association France lancent le site

“Notre Planète Mobile”, version française du site « Our Mobile Planet », un site Web interactif proposant des informations détaillées sur l’utilisation des smartphones et les comportements des utilisateurs face au mobile. Il est mis à disposition du grand public comme des professionnels pour permettre à tous de créer des analyses et graphiques personnalisés et ainsi approfondir leur compréhension du consommateur mobile. Le site donne notamment accès à l’intégralité des données recueillies dans le cadre de l’étude « Les Entreprises Françaises face au défi du Mobile », menée en 2011 par Google et la Mobile Marketing Association, avec Ipsos et TNS Infratest, pour mieux comprendre les usages des mobinautes à travers le monde et leurs implications pour les entreprises et le positionnement de leurs marques. « Nous avons mené cette étude et choisi de donner libre accès à ses résultats car nous pensons que le passage au mobile est fondamental et urgent. Notre objectif aujourd’hui est de tout mettre en œuvre pour aider les entreprises à s’adapter facilement et rapidement »,

explique Robbie Douek, directeur des ventes mobile de Google France. Deux enquêtes complémentaires ont été réalisées dans le cadre de cette étude. La première, destinée aux consommateurs, a permis de recueillir les témoignages de milliers d’utilisateurs de smartphones dans 30 pays (dont 2000 pour la France). La seconde, destinée aux annonceurs dans cinq pays différents (les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et le Japon), regroupe plus d’un millier d’interviews de directeurs et décideurs marketing, dont 200 pour la France. Pour Benoît Corbin, Président de la Mobile Marketing Association France, « grâce à cette étude, nos connaissances de l’usage des smartphones se développent. Mettre à la disposition du marché une telle interface fait progresser l’ensemble de l’écosystème mobile ».

Des questions sur les usages des mobinautes en France et à travers le monde? Notre Planète Mobile entend donner toutes les réponses.

Google et la MMA lancent Planète Mobile

Un argus en ligne pour les mobilesL’argus, expert de la cote du véhicule d’occasion, lance la cote de référence du mobile. À partir d’un référentiel structuré, le site largusdumobile.com permet de retrouver son mobile et d’en obtenir la cote gratuitement. « 95% d’entre nous sous-estiment la valeur de son mobile et 84% ignorent qu’il peut avoir une seconde vie. Le marché français de la reprise est très en retard par rapport au marché anglais, » explique Bertrand Ricq, directeur du projet. Plus qu’un service de cotation en ligne, largusdumobile.com est un comparateur d’offres de reprise le plus exhaustif du marché. Ce nouveau site permet au consommateur d’entrer facilement en relation avec des professionnels pour recycler ou revendre un téléphone portable au meilleur prix, jusqu’à 400 € pour les derniers smartphones. Si le produit est trop ancien pour être revendu, il est toujours possible de faire un geste

éco-citoyen en le recyclant auprès d’un des partenaires de L’argus.

Des ipad à gagner pour les revendeurs avec PNYPNY annonce « Le bonus des mois de novembre et décembre», destiné à fidéliser son réseau de revendeurs inscrits à son programme «Business Privilege». Le bonus de novembre et décembre propose aux fidèles du programme «Business Privilege» de participer à un concours pour remporter trois iPad d’Apple. Tous les revendeurs ayant commandé un minimum de 2500 € de produits PNY, avant le 16 décembre 2011 participeront automatiquement à un tirage au sort afin de désigner les trois gagnants. Business Privilege permet aux revendeurs de PNY inscrits de gagner des points grâce à leurs achats en produits des gammes professionnelles ou grand public PNY, sur le principe d’un point gagné par euro dépensé. Les points peuvent ensuite être utilisés dans l’une des deux boutiques du site, la boutique cadeau qui donne accès à un grand choix de cadeaux en ligne en utilisant les bons de d’achat Amazon, ou la boutique Marketing PNY qui donne accès aux solutions de merchandising spécialement adaptées au réseau de revendeurs (PLV, présentoirs), des outils de communication (emailing, modèles de publicités et posters) ainsi que des échantillons de produits.www.pny-business-privilege.com

en bref

focus

Nokia embarque sNapdraGoNPendant le keynote de la dernière édition du Nokia World, à Londres, Nokia a annoncé les premiers smartphones Nokia Lumia, les Nokia Lumia 800 et Lumia 710. Ces smartphones sont équipés des processeurs mobiles Snapdragon S2. Cette annonce marque le début de deux importantes collaborations : l’arrivée de Nokia dans l’écosystème Windows Phone, et le partenariat entre Nokia et Qualcomm. Les processeurs Snapdragon continuent ainsi d’équiper 100% des terminaux Windows Phone. « Snapdragon est une solution complète et permet une intégration en profondeur avec Windows Phone 7, ce qui a permis à Nokia de créer des smartphones proposant une expérience unique à leurs utilisateurs, en un temps record de développement », a déclaré à cette occasion Enrico Salvatori, senior vice président et président de Qualcomm CDMA Technologies Europe.

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StratégiesActuAlités

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Quelles sont les nouveautés d’Acer en termes de téléphonie mobile pour la fin de cette année ?Augustin Becquet : Nous proposons plusieurs terminaux, à commencer par l’Acer Liquid Express, le premier d’une longue série qui intègre le NFC. En effet, Acer s’est engagé

Pouvez-vous nous présenter Ortel Mobile plus en détail ?Ortel Mobile est une filiale du groupe KPM, l’opérateur historique néerlandais, qui est présent dans plusieurs pays d’Europe. Nous avons débuté notre activité en France en mars 2010 en proposant une carte SIM prépayée

à intégrer cette technologie dans tous ses futurs smartphones. Dès son lancement, il sera possible d’effectuer des paiements par simple effleurement d’une borne grâce aux partenariats que nous avons noués avec BNP Paribas, le CIC et le Crédit Mutuel. Le NFC pourra également servir à récupérer des informations comme par exemple à un arrêt de bus afin de connaître les horaires de passage ou encore à une station de Vélib’ pour connaître le nombre de vélos disponibles à proximité. Le Liquid Express est un modèle très grand public avec un prix de 299 euros. Outre le NFC il dispose d’un appareil photo 5 Mégapixels, d’un processeur Qualcomm de

800 MHz et d’un écran HVGA de 3,5 pouces. Il sera décliné en deux couleurs.Nous lançons également un smartphone doté de la dernière version du système d’exploitation de Microsoft, Windows Phone Mango. Là encore, nous proposons un prix à même de démocratiser cet OS, à 299 euros.

avec des recharges de 5, 10 ou 20 euros. Notre positionnement est différent de celui des MVNO et des opérateurs par le fait que nous ciblons essentiellement les personnes qui appellent régulièrement à l’international. Nos destinations principales sont les pays du Maghreb, d’Afrique, d’Asie, d’Amérique latine et bien sûr d’Europe. Outre nos tarifs très bas, nous avons une politique de communication spécifique : nous allons directement à la rencontre des utilisateurs dans les communautés immigrées qui résident dans les grandes villes.En cette fin 2011, nous proposons le Full Pack à nos distributeurs : il s’agit d’un kit qui

comprend quatre téléphones, six cartes SIM et un présentoir adapté. C’est pour nous un mix entre une opération de communication et une opération commerciale. S’agissant des téléphones, nous avons opté pour un modèle d’entrée de gamme d’Alcatel afin de garantir un prix de 29,90 euros avec un crédit de

L’écran est un modèle de 3,6 pouces WGA et le reste des caractéristiques est digne des modèles haut de gamme avec un processeur Qualcomm de 1 GHz et 8 Go de mémoire. Il bénéficiera aussi de la technologie « Acer Fast Charge » afin de charger la batterie deux fois plus vite en le connectant à un ordinateur Acer ou Packard Bell. Nous venons également de lancer l’Acer Iconia qui dispose d’un grand écran de 4,8 pouces avec une résolution de 1024 x 480 pixels pour afficher une page Web dans son intégralité en mode paysage. Enfin nous avons mis à jour la gamme Liquid Mini avec Android 2.3 et une version spéciale aux couleurs de Ferrari.

"La technologie NFC dans tous les smartphones Acer”

"Ortel Mobile, un pack complet pour les distributeurs."

Augustin Becquet

Karim Benkirane Directeur général Ortel Mobile France

communication d’une valeur de 7,50 €. Pour nos clients finaux, nous proposons une offre très agressive avec des minutes gratuites vers les postes fixes dans plusieurs destinations étrangères. Nous offrons également depuis peu un répondeur gratuit, ce qui n’est pas courant dans les offres prépayées. Les clients d’Ortel Mobile pourront ainsi garder leur carte SIM plus longtemps. Enfin, les appels entre les utilisateurs d’Ortel Mobile sont gratuits dans les pays où nous sommes présents, notamment en France, en Belgique et en Allemagne.

Directeur de la division Telecom Acer France




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Les deux nouveaux produits stars signés Samsung, désormais n°1 des smartphones en France, débarquent en novembre et décembre chez SFR.

SFR lance les Samsung Nexus et Note.

Un concept dépôt-vente chez PhoneaxePhoneaxe, fournisseur et distributeur de marques et licences en accessoires de téléphonie mobile, annonce la sortie de son concept dépôt-vente. Le magasin partenaire, après une étude merchandising, aura ainsi à disposition des panneaux d’accessoires en dépôt vente sans avoir à financer et supporter le stock initial. Une application de statistiques et de gestion de stock est proposée pour chaque point de vente. Le concept assure également une rotation du stock avec la reprise des invendus mais également un réapprovisionnement automatique et sans frais en Franco de port, chaque semaine, des produits vendus la semaine précédente, dans chaque point de vente. Tous les 45 jours, une visite sur site d’un commercial est programmée pour aider le partenaire à dynamiser ses ventes, son linéaire, son équipe commerciale aux dernières nouveautés.

Un pied cristal pour iPad 2Transformer un objet nomade en quasi ordinateur fixe ? C’est possible ! BrainWizz présente le support Crystal Stand pour Apple iPad 2. Il s’agit du seul support iPad 2 du marché à intégrer un véritable mécanisme de roulement à billes, permettant une rotation en souplesse pour un passage facile du mode paysage en portrait. Le support est fourni avec une coque transparente en polycarbonate de haute qualité, qui permet de protéger l’iPad 2 durant ses déplacements. Une fois au bureau, l’iPad 2 se clipse sur le support Crystal Stand sans avoir besoin d’enlever la coque transparente.

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des tablettes tactiles chez lencoLenco, marque d’équipements audio vidéo design, vient de dévoiler ses tablettes tactiles TAB-811 et TAB-1011, conçues pour surfer, partager, jouer, lire, regarder, écouter... Disponibles en version 8’’ ou 10’’, elles proposent toutes deux un écran tactile capacitif doté respectivement d’une résolution de 800 x 600 pixels et 1024 x 600 pixels, ainsi qu’un boîtier laqué noir. Toutes deux fonctionnent sous Android 2.3 et disposent d’une mémoire flash de 8 Go. La TAB-811 embarque un processeur Premium Cortex-A8 et est proposée en prix public conseillé de 179 €.

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de Google (53%), la possibilité

de personnalisation (50%), le

choix du téléphone (47%) et la

lecture du Flash (47%).

Source : Surikate

P artenaire privilégié de Google sur Android depuis 2009, SFR proposera

en avant-première le Samsung GALAXY Nexus à compter de mi-décembre sur la boutique en ligne SFR (www.sfr.fr) et dans tous les espaces SFR. Il sera commercialisé à partir de 9,90€ (109,90€ moins 100€ d’offre de remboursement) avec un forfait Carré Absolu. Il sera également proposé aux clients entreprises de SFR Business Team. Très attendu, ce Galaxy Nexus est le premier webphone équipé de la plateforme Android 4.0 (Ice Cream Sandwich) et à posséder un écran Super AMOLED HD 4,65 pouces HD et un processeur Dual-Core 1,2 GHz. SFR commercialise également le Samsung GALAXY Note à partir du 15 novembre. Innovant par sa taille (14,6 x 8,3 cm) et avec le plus grand écran tactile Super AMOLED HD du marché (5,3 pouces), il, inaugure une nouvelle catégorie de webphones. Doté du système d’exploitation Android 2.3 Gingerbread, il se pilote du doigt via son large écran tactile ou à l’aide d’un stylet grâce à la technologie S-Pen. Ce mode de saisie innovant par stylet

numérique peut être utilisé pour réaliser des croquis, des schémas ou encore pour prendre des notes. Il intègre l’application S-Mémo, un outil de dessin et de reconnaissance des mots à partir de l’écriture. Les utilisateurs pourront ainsi écrire leurs textos à la main, dessiner ou retoucher leurs photos.

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OpérateursActuAlités

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Simyo et The Phonehouse ont chacun dans leur catégorie été élus services clients de l’année 2012.

Les services clients de l’année

Les MVNO à 10%Dans la toute dernière livraison de son « Observatoire des marchés des communications électroniques » pour les services mobiles, l’Arcep détaille les parts de marché des opérateurs au 3e trimestre 2011. Pour la première fois, les opérateurs virtuels de téléphonie mobile (MVNO) atteignent la barre des 10 %, alors qu’en septembre la France comptait un peu plus de 67 millions de cartes SIM. L’ensemble des MVNO représentent 10,65 % des parts de marché, soit environ 6,8 millions de clients, et une hausse du nombre d’abonnés de 64 % en un an.

Une nouvelle gammeOpen chez OrangeLa recomposition des offres de forfaits à la veille du débarquement en fanfare de Free se poursuit... Orange vient de dévoiler les quatre nouveaux forfaits de sa nouvelle gamme Open. Cette offre est désormais disponible dans tous les magasins. Open propose une gamme simplifiée avec quatre offres disponibles en version SIM, à partir de 49,90 € /mois : des forfaits mobiles enrichis avec davantage de voix sur Open 1 et Open 2 et une nouvelle offre, Open 24/7 spécial.À ce jour, l’offre quadruple play d’Orange a séduit plus de 900 000 clients autour du concept central d’un seul contrat, une seule facture et un service client unique.

Un forfait social chez Auchan TelecomCrise oblige, l’opérateur du Groupe Auchan a décidé de proposer aux bénéficiaires du RSA un forfait bloqué sans engagement : 40 minutes et 40 SMS pour 8,99 euros. « Ce forfait est encore plus avantageux que les conditions définies pour le tarif social par le Gouvernement, qui exigeait que l’offre soit disponible à moins de 10 € par mois. Il répond ainsi aux préoccupations des associations qui souhaitaient que le tarif social soit accessible aux personnes les plus en difficulté. » Cette offre est accessible à tous les bénéficiaires du RSA socle, sans aucun engagement de durée. L’accès est gratuit : le consommateur peut y souscrire sans caution, frais d’activation ou de résiliation. Auchan Telecom propose aussi un tarif de 0,39 euro la minute sur les mobiles et les fixes, quelle que soit la destination (Europe, Maghreb, Amérique du Nord…).

en bref

focus

un truck show pour huAweiPrésent sur le marché mondial depuis maintenant 18 ans et en pleine croissance, Huawei Enterprise Business recrute actuellement des nouveaux revendeurs. Pour ce faire, la marque a décidé de faire dans l’originalité, en organisant un « truck show » nomade, pour présenter en conditions réelles, aux futurs distributeurs mais aussi aux clients, les nouvelles offres entreprise Huawei : data center et applications basées sur le Cloud, téléprésence, vidéo conférence, Intelligent Video Suveillance, datacom (switch, routeur 3G), call center... Ce truck show, véritable showroom mobile, sera les 17 et 18 novembre prochains sur l’Ile de Puteaux (Hauts-de-Seine) et le 22 novembre à Lyon. Ces 2 étapes françaises font partie d’une tournée européenne qui a débuté en septembre et qui compte au total 19 dates.

85,4% C’est le taux de satisfaction

des utilisateurs de smartphones

sous Android, selon l’enquête

menée l’été dernier par la start-up

française Surikate auprès de 6200

consommateurs . De quoi faire

trembler Apple et son iPhone !

s ervice client de l’année, voilà un label engageant ! Simyo vient d’être

élu Service client de l’année 2012 dans la catégorie « opérateur de téléphonie mobile ». Il succède à Virgin Mobile, lauréat 2011. Dans le cadre de l’étude menée par le cabinet BVA Viséo Conseil auprès des services clients de plusieurs opérateurs de téléphonie, Simyo arrive en tête avec des scores de satisfaction impressionnants. Ainsi, l’étude relève 97% de satisfaction pour les contacts par téléphone (92% des appels ont été décrochés avant cinq sonneries et les conseillers ont été courtois, rapides et efficaces), 91% de satisfaction pour les contacts par Internet (100% de réponse sous deux jours et un site facile d’utilisation), et 91% de satisfaction pour les contacts par courrier (91% de réponse reçues dans un délai de 10 jours, avec des réponses de qualité, détaillées et conformes aux attentes). « Pour exister et nous développer sur le marché ultra- ‐concurrentiel de la téléphonie mobile, nous nous devons d’offrir le meilleur service au meilleur prix à nos clients. Pour nous, c’est

l’engagement de la marque - ‐ et non plus l’engagement imposé au client - ‐ qui garantit sa fidélité », a souligné Bertrand Le Ber, Directeur Marketing et Ventes de Simyo. De son côté, The Phone House a été élu Service Client de l’année 2012 dans la catégorie Distribution de matériel de télécommunication, à partir de 215 tests effectués sur 8 semaines. Jusqu’à 17 critères ont ainsi été appréciés à chaque stade de la relation client : avant-vente, vente et après-vente, en analysant la gestion de la disponibilité, le relationnel, la qualité de la réponse et les qualités humaines.

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Modelabsreportage

Dans les coulisses de ModelabsPlus de 1700 références, 10 millions de produits vendus, un demi million de livraisons chaque année. Toute la dimension de Modelabs est résumée dans ces quelques chiffres. Visite dans les coulisses d’un géant, apôtre du masstige, mélange (réussi) entre prestige et mass market.

A vec 10 millions de produits vendus et 500 000 livraisons effectuées en un an, Modelabs ne fait pas dans la demi-mesure... « Modelabs travaille

sur trois univers, explique Julie Lecalonnec, directrice de la division conception et création de Modelabs. Nous sommes d’abord leader dans la vente d’accessoires de téléphone mobile, avec environ 45% de parts de marché sur un marché estimé à 350 millions d’euros, et aussi leader dans la distribution B2B de téléphones mobiles. Presque un accessoire vendu sur deux,soit est issu de nos propres collections, soit est distribué par Modelabs. » Ainsi, les équipes de Modelabs gèrent plus de 1700 références produits, la partie protection, la première en volume, représentant deux ventes sur trois. « Nous avons dû mettre en place une

organisation en conséquence. En 48 heures, après une phase de conditionnement en France, le produit est livré chez le client », explique Christophe Sevin, directeur commercial de Modelabs. Et cette une véritable machine de guerre logistique est capable de livrer des références personnalisées à une vitesse record. « Nous sommes en quelque sorte sur des produits « frais » ! Nous avons mis en place notre propre système de conditionnement personnalisé, un peu comme à Rungis. Nous emballons 30 000 pièces par jour sur 700 références, avec une moyenne de 40 pièces par référence ! Modelabs a imposé en France la personnalisation des accessoires pour chaque réseau de distribution, et nos clients disposent même de blisters adaptés. Quand nous développons un produit, il peut se retrouver dans les 4500 points de

vente que nous adressons. Il y a donc aussi plus de chance qu’un produit fonctionne. Sur 1700 références, 380 sont exclusives. Ainsi, nous avons réalisé une gamme Eden Park bleue pour SFR, à l’occasion de la coupe du monde de rugby. »

" Chez nous, le client est empereur. " »

La société a été créée en 1996. « La première bonne idée a été de parler de personnalisation, estime Christophe Sevin. Cela nous a permis de travailler avec des réseaux partenaires concurrents, avec nos produits aux couleurs des réseaux, ou avec des marques différentes. » Et l’entreprise a continué au fil des années de renforcer son offre produit comme son offre commerciale, avec une logistique sur mesure hyper réactive, des visites personnalisées et des équipes dédiées pour ses clients. « Modelabs est à l’écoute de ses clients et construit des solutions adaptées à chacun de leur besoin. C’est une structure tentaculaire, mais chez nous, le client n’est pas roi, il est empereur. » « Nous voulons proposer des solutions pour tous les produits, souligne Julie Lecalonnec. Alors, quand on construit

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Voltaire peut apporter la désirabilité mode, tandis que Samsung apporte la légitimité du produit. En revanche, il est clair qu’en termes de théâtralisation des points de vente, il y a assez peu de leviers, il faut donc avoir le bon mix prix/produit. Les accessoires sont souvent achetés en même temps que le mobile, il ne faut donc pas aller vers des prix trop élevés »

Un« "masstige" « made in Paris

Dans cet univers de « masstige », mix entre prestige et mass market imaginé par Modelabs, être une société française, et même parisienne constitue un véritable avantage. « Il y a un critère de proximité, il y a aussi un critère européen de qualité. Ce ne sont pas du tout les mêmes que les critères asiatiques », précise Julie Lecalonnec, tout en soulignant l’importance de la mixité des équipes basées en Asie. Enfin, Modelabs ne se repose sur ses lauriers : la société possède ses propres équipes en interne, son bureau de style, ses designers, ses graphistes... Et ses équipes partent régulièrement arpenter les plus grands salons de la planète, consacrés à la mode, à l’automobile, au design, pour y chasser les tendances, les matières, les motifs qui feront peu après le succès des collections de Modelabs. « Notre atelier de prototypage se charge de développer nos collections. Sur 100 produits créés, finalement, nous en lancerons réellement 20 ou 30. En l’espace de deux mois, nous pouvons aller du prototype au produit fini en magasin. » Modelabs vient d’ailleurs de lancer sa propre marque, Color Block qui, comme son nom l’indique, joue la carte de la couleur et de la vie nomade urbaine. « La part de marché n’est pas une obsession, souligne Christophe Sevin. Ce qui nous obsède, c’est la création et la conception, imaginer ce que

une gamme de produits, on veille à leur interopérabilité entre Android et Apple. En casques, nous distribuons JVC et Monster, nous préférons les distribuer plutôt que de les concurrencer, puisque ces marques complètent très bien notre portfolio. De même, pour les kits mains libres voiture, nous avons un partenariat avec Supertooth. Nous proposons aussi une large gamme de chargeurs. Nous construisons nos gammes par famille et par marque. Il ne doit pas y avoir d’équivalence en termes de réponse client sur l’ensemble de la segmentation. Un nouveau produit vient donc en remplacer un autre, et nous ne proposons pas deux marques concurrentes, bien que nous soyons très sollicités. »

Marier les territoires de marque

Modelabs sait aussi faire dans le sur-mesure, son troisième univers, riche en opérations prestigieuses. La liste de partenaires ayant fait confiance à Modelabs est chaque année plus étoffée, que ce soit Eden Park, Le Tanneur, Roxy, Quiksilver, et même Kenzo, une maison de luxe attentive au moindre détail des accessoires portant son nom. « Nous avions déjà travaillé avec Dior, une marque du groupe LVMH. Le côté fleuri et joyeux de la marque n’était pas très présent dans le monde de la téléphonie. Nous visons un rapport qualité prix et style, pour imaginer des produits efficaces, désirables, avec de belles matières, et dont le prix permette l’achat. On essaye de constituer une collection pour toutes les bourses, qui soit un moyen pour le client d’entrer dans l’univers de la marque, alors qu’il ne va peut-être pas oser aller en boutique. Dans le cadre de partenariat de co-branding mobile, le succès provient de la conjugaison des deux marques : Zadig &

va être le produit de demain. Tous les 18 mois environ, une nouvelle tendance arrive. En ce moment, ce sont les casques audio, et cela devrait durer deux ans. Demain, ce sera peut être la convergence avec la maison numérique ? »

« Ce qui nous obsède, c’est la création et la conception, imaginer ce que va être le produit de demain. »

Modelabs en chiffreUne success story made in France

Une vraie réussite Créée en 1996 et côtée au NYSE, Modelabs réalise à l’heure actuelle 240 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte 162 collaborateurs en Europe et en Asie.

Après Kenzo, Roxy, Eden Park, Morgan, Modelabs propose désormais des accessoires signés Le Tanneur, une marque qui possède une notoriété spontanée de 72% auprès des clients français. « C’était l’occasion d’introduire des produits de maroquinerie dans les rayonnages de téléphonie mobile », explique Julie Lecalonnec. Aux côtés de toutes ces marques, Modelabs propose désormais également la sienne, Color Block.


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L es nouvelles technologies aident-elles vraiment à vendre ? Font-elles partie des premiers critères des consommateurs au moment du

choix d’un nouveau forfait et d’un nouveau téléphone mobile ? Et les responsables de boutiques Télécoms sont-ils à même de se servir de ces nouvelles technologies pour attirer et fidéliser leurs clients ? Mais de quelles technologies parle-t-on ? Tout dépend du point de vue où l’on se place. Du côté des

consommateurs, ce sont les smartphones qui jouent les armes de séduction massive, même en ces temps de floraison d’offres 100% en ligne sans engagement. Du côté des responsables de boutiques, c’est plus aux stratégies de contact multicanal que l’on va penser : associer site Web, réseaux sociaux, bases de données de SMS et bien sûr relation en face à face pour faire venir les clients en boutique, les inciter à s’engager, mais aussi les fidéliser, les convaincre de revenir. À tout

seigneur, tout honneur, commençons par le boom des smartphones. Encore quasi inconnus du grand public il y a tout juste quatre ans, avant l’apparition de l’iPhone d’Apple, ces smartphones se sont aujourd’hui invités dans quasiment toutes les poches des mobinautes. Qui ne désirerait pas emmener partout avec soi un tel engin, constamment connecté au Net, permettant de relever ses e-mails où que l’on soit et même capable de remplacer un appareil photo numérique pour

Stratégie businessdossier

Que ce soit pour recruter ou pour fidéliser les clients, les nouvelles technologies constituent un outil puissant, qui séduit à la fois le grand public en recherchede nouveaux produits innovants et les professionnels qui les utilisent pour faciliter la relation client. Smartphones, paiement sans contact, flashcodes, réseaux sociaux... Tour d’horizon des innovations.

Les nouvelles technos qui font vendre


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saisir à la volée les meilleurs moments du quotidien ? De plus, entre la démocratisation des smartphones et l’apparition des nouvelles technologies telles que les flashcodes et les puces sans contact (NFC) permettant de monter des opérations marketing inédites, les opérateurs et boutiques associées ont de plus en plus de moyens à leur disposition pour inciter les clients à renouveler leur portable et leur forfait. D’ailleurs, Orange Business Services propose carrément aux

entreprises un package Mobile Web Edition. Cette solution clés en main simple et innovante permet de créer un site mobile et les flaschodes associés. Cette solution « tout en un », comprend la création du flashcode ainsi que la conception et l’hébergement des sites mobiles des entreprises. Ces dernières génèrent elles-mêmes, via une interface, leurs flashcodes et les pages Internet ou sites auxquels ils sont associés. Elles peuvent ainsi mettre en place, sans aucune compétence technique, un site mobile comprenant tous les standards de la communication mobile comme les flux RSS, la vidéo ou encore la photo. De quoi créer du trafic par des moyens technologiques pour attirer les clients dans les points de ventes... et renouveler leur smartphone !

12 millions de smartphones vendus en 2011

Selon l’institut d’études marketing GFK, ce sont pas moins de 12 millions de smartphones qui devraient trouver preneur cette année en France. À titre de comparaison, seuls 6,8 millions d’unités avaient été vendues en 2010. Ceci s’explique entre autres par la percée des smartphones d’Apple, toujours aussi populaires, mais aussi par l’apparition de nombreux modèles aussi beaux que performants fonctionnant sous Android. Selon cette même source, 28,5% de l’ensemble des téléphones commercialisés

en France à la fin du mois de juillet dernier étaient équipés d’un système Android (contre 26,4% pour le système signé Apple, iOS). Mais cette véritable explosion des ventes s’explique aussi par la baisse des prix des terminaux, positionnés à des tarifs toujours plus agressifs. Estimé l’année dernière à 382 euros (hors pack opérateur), le prix de vente moyen d’un smartphone a baissé de plus de 20% cette année ! Cela ne semble pas avoir d’incidence directe sur le taux de renouvellement des smartphones, comme le confirme Mathieu Drida, PDG de Meilleurmobile.com : « Les Français changent toujours de téléphone tous les 18 mois, en moyenne. Le smartphone reste un produit de luxe, même commercialisé à un euro chez les opérateurs. Et la qualité des terminaux ne se dépréciant pas, les mobinautes ne changent pas plus souvent qu’avant de smartphone pour acheter le modèle dernier cri », précise-t-il. « Fondamentalement, les consommateurs ont besoin ou envie de changer de mobile. Notre conviction est qu’au bout de 30 mois, les gens ont envie de changer de mobile. Actuellement, la vitesse de renouvellement est de 24 mois. Le garder plus de 30 mois, c’est dur, il faut l’assumer, estime pour sa part Guillaume Van Gaver, directeur général de The Phonehouse. Pour les opérateurs, les smartphones, surtout lorsqu’ils sont proposés en avant-première ou en exclusivité, constituent en revanche un véritable catalyseur de nouveaux clients non négligeable. C’est ainsi que l’iPhone, puis l’iPhone 3G, ont permis à Orange de recruter

« il faut RéintRoduiRe de l’humain au seRvice des consommateuRs » Béatrice Felder, directrice Customer contact solutions Orange Business services

« Pour une nouvelle génération de consommateurs, il faut réintroduire de l’humain. La consommation a changé. On parle d’une génération Y, des digital natives. Ils sont plus connectés. 35% possèdent un smartphone. Ils sont plus nomades et 78% se déclarent membres d’un réseau social. Le panier moyen d’un consommateur participant à des forums de discussion est de 25% supérieur à celui de ceux n’y participant pas. Ces consommateurs sont naturellement multicanal. Avant, on utilisait moins de trois canaux. Maintenant, nous sommes passés à 3,6 canaux. Le téléphone occupe toujours une place prépondérante, mais on constate de plus en plus l’émergence du mail : 11% des réclamations se traitent ainsi. Quant au Web, c’est un choix incontournable : 81% des achats se préparent sur le Net. En termes d’attentes relationnelles, le digital native est surinformé. Il attend donc le même degré de compétence et de super-réactivité que ce que le Web lui permet d’avoir. Il le veut quand et comme il veut. Il souhaite parler à quelqu’un qui résolve ses problèmes depuis le terminal le plus adapté, et si nécessaire il se renseigne auprès des autres consommateurs. »


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L es nouvelles technologies aident-elles vraiment à vendre ? Font-elles partie des premiers critères des consommateurs au moment du

choix d’un nouveau forfait et d’un nouveau téléphone mobile ? Et les responsables de boutiques Télécoms sont-ils à même de se servir de ces nouvelles technologies pour attirer et fidéliser leurs clients ? Mais de quelles technologies parle-t-on ? Tout dépend du point de vue où l’on se place. Du côté des

consommateurs, ce sont les smartphones qui jouent les armes de séduction massive, même en ces temps de floraison d’offres 100% en ligne sans engagement. Du côté des responsables de boutiques, c’est plus aux stratégies de contact multicanal que l’on va penser : associer site Web, réseaux sociaux, bases de données de SMS et bien sûr relation en face à face pour faire venir les clients en boutique, les inciter à s’engager, mais aussi les fidéliser, les convaincre de revenir. À tout

seigneur, tout honneur, commençons par le boom des smartphones. Encore quasi inconnus du grand public il y a tout juste quatre ans, avant l’apparition de l’iPhone d’Apple, ces smartphones se sont aujourd’hui invités dans quasiment toutes les poches des mobinautes. Qui ne désirerait pas emmener partout avec soi un tel engin, constamment connecté au Net, permettant de relever ses e-mails où que l’on soit et même capable de remplacer un appareil photo numérique pour

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Que ce soit pour recruter ou pour fidéliser les clients, les nouvelles technologies constituent un outil puissant, qui séduit à la fois le grand public en recherchede nouveaux produits innovants et les professionnels qui les utilisent pour faciliter la relation client. Smartphones, paiement sans contact, flashcodes, réseaux sociaux... Tour d’horizon des innovations.

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forfaits proposés avec les tablettes tactiles, que ce soit l’iPad 2 ou la Samsung Galaxy Tab.

De nouveaux mobiles pour de nouveaux usagesPrix mis à part, les mobinautes se ruent également sur les smartphones pour profiter de nouvelles fonctionnalités. Exit le téléphone mobile servant uniquement à téléphoner ou à envoyer des SMS. Les smartphones proposent de nouveaux usages. Ces derniers évoluent d’ailleurs à une vitesse impressionnante. En début d’année, GFK rappelait que les cinq premiers usages d’un smartphone étaient liés (par ordre d’importance) à la prise de photo ou de vidéo, à l’internet mobile, au fait de relever ses e-mails et d’en envoyer, à l’écoute de musiques et au visionnage de

bon nombre de nouveaux clients grâce à une exclusivité qui a duré près d’un an et demi. Rien qu’entre la fin de l’année 2007 (date de sortie de l’iPhone) et avril 2009 (date de l’ouverture du marché de l’iPhone en France), Orange aurait ainsi écoulé quelques 810 000 iPhones, et donc 810 000 forfaits associés. De quoi largement compenser les méventes des

vidéos. Huit mois plus tard, les 17,7 millions de mobinautes français, selon Médiamétrie, ont massivement adopté d’autres fonctions comme le téléchargement de logiciels via les kiosques (App Store, Ovi Store, Android Market, Windows Marketplace,…). Il faut dire que l’offre s’élargit avec 500 000 applications disponibles sur l’App Store d’Apple - pour 15 milliards d’applis téléchargées - ou encore 300 000 applications référencées sur l’Android Market de Google (pour 4,5 milliards de téléchargements).

Des consommateurs de plus en plus exigeants

Les possesseurs de smartphones sont également de plus en plus exigeants. Selon une étude de l’agence de marketing mobile Surikate, il est fini le temps où ces derniers n’étaient pas éduqués pour comprendre l’intérêt des nouvelles technologies comme le WiFi, le Bluetooth ou le GPS. Les amateurs de mobiles sous Android choisissent par exemple ce système à 55% en raison des applications disponibles, à 53% grâce à l’interaction proposée avec les services de Google, à 50% par les possibilités de personnalisation ou, plus étonnant encore, à 47% car il est capable de lire des animations Flash. Détail intéressant, cette étude révèle également que les mobinautes sont fidèles à la marque de leur smartphone. 85% des possesseurs de smartphones d’Apple (84,2% pour Android) souhaitant renouveler l’expérience et acquérir à nouveau un autre terminal de la marque.

Les technologies pour fidéliser les clients

Selon l’observatoire de l’Autorité des télécoms (Arcep), la téléphonie mobile a depuis le mois de mai dernier atteint un taux de pénétration national de 100%. Dit autrement, tout le monde en France , ou presque, possède un téléphone mobile. L’heure n’est donc plus à la conquête des clients mais à la fidélisation, même si un nouvel opérateur, Free, pointe le bout de son nez. Avant même que ses forfaits ne soient dévoilés, Orange a dégainé son offre Sosh 100% virtuelle, tandis que Bouygues Telecom proposait ses forfaits B & You, ainsi qu’Eden, rénovation de l’ensemble de ses forfaits, dans le mêmes esprit que les offres Carré dévoilées par SFR quelques semaines auparavant. Objectif de cette vague de renouvellement des offres : renouveler le plus possible d’engagements avant l’arrivée de Free sur le marché, tout en multipliant, dans le sens inverse de Free, les offres associant téléphonie mobile et box Internet chez soi permettant elles aussi de passer des appels en illimité. Et demain ? Entre flashcodes, usage intense des réseaux sociaux et essor du paiement sans contact, tout reste à faire.

Des clients géolocalisés Arnaud Berthe, responsable de boutique SFR à Paris - Convention

Comment arrivez-vous aujourd’hui à recruter de nouveaux clients dans votre boutique ? Nous comptons beaucoup sur le service client de SFR. C’est un élément extrêmement important pour nous, dans la mesure où les clients qui en bénéficient sont géolocalisés et automatiquement redirigés vers notre boutique, en cas de besoin d’une intervention rapide. Nous tirons également parti des catalogues de SFR et des bases de données de SMS fournies par l’opérateur.

Quel est le profil type d’un client de votre boutique ?Il existe deux types de clients : ceux qui viennent chez nous simplement pour changer d’opérateur et ceux qui veulent être conseillés sur la modification d’une offre mobile ou sur l’achat d’un smartphone. Nous préférons actuellement conserver et fidéliser nos clients plutôt qu’en recruter de nouveaux, car cela coûte très cher.

Comment arrivez-vous à mettre en avant votre enseigne parmi les 830 Espaces SFR actuellement recensés en France ?Nous pourrons prochainement personnaliser notre offre en boutique directement sur le site de SFR. Nous n’avons pas de marge de manoeuvre sur les mobiles, mais nous pouvons proposer des offres spéciales sur les accessoires.

Estimé l’an dernier à 382 euros, le prix de vente moyen d’un smartphone a baissé de plus de 20% cette année.


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Des flashcodes pour créer du trafic en boutique

Les trois opérateurs historiques français ont déjà utilisé des flashcodes dans le cadre de leurs campagnes de communication. Disponibles depuis plus de trois ans en France grâce à l’AFMM (Association française du multimédia mobile), les codes-barres 2D sont aujourd’hui de plus en plus populaires. Utilisant différents standards dont le QRCode et le Datamatrix, le principe du flashcode est très simple : il suffit d’installer un logiciel – gratuit – et de pointer la caméra du téléphone vers une affiche – ou un site - qui contient le code-barre 2D. Le logiciel lit ensuite le flashcode et redirige le mobinaute vers une page Web, une carte de visite ou un numéro de téléphone. Et l’utilisation des ces flashcodes dans le cadre de campagnes marketing va sans doute s’amplifier, grâce à l’adoption massive des flashcodes par les mobinautes français : selon l’AFMM, 57,8% des consommateurs équipés d’un téléphone mobile ont déjà vu un flashcode en 2010. En comparaison, ils n’étaient que 21,4% un an auparavant. Et le logiciel permettant de lire ces flashcodes est également très populaire sur les kiosques d’Apple comme de Google. Il a en effet déjà été téléchargé 200 000

« les clients cherchent Une marqUe, pUis Un système d’exploitation. » Mathieu Drida, PDG de Meilleurmobile.com

Comment les internautes choisissent-ils un nouveau smartphone ?Ils recherchent avant tout la marque. Dans un second temps, ils recherchent un système d’exploitation précis, comme iOS ou Android. C’est seulement ensuite qu’ils s’intéressent à la mémoire, la qualité de l’appareil photo, le facteur de forme ou la taille de l’écran.

Vos visiteurs recherchent-ils plutôt des smartphones ou des forfaits mobiles ?Près de 70% de nos visiteurs se rendent sur Meilleurmobile.com pour comparer les prix des smartphones. Mais les recherches d’informations sur les forfaits, notamment ceux sans mobile associé, sont de plus en plus fréquentes.

Quels types de forfaits mobiles sont les plus populaires sur votre site ?Les internautes recherchent avant tout un opérateur qui a un réseau de qualité. Bon nombre d’internautes veulent savoir quel est réseau est utilisé par un MVNO, par exemple. Ils jettent ensuite leur dévolu sur des forfaits qui comprennent les SMS - et MMS - illimités et une durée d’appel importante. Nous avons enfin de plus en plus de recherches sur les forfaits avec data illimitée.

Plus de la moitié des Français ont déjà vu un flashcode l’an passé.

Selon Liliane Lin, de The Phonehouse, «30% des actes commerciaux de notre réseau ont une dimension multicanal. En fait, ce serait plutôt 60%, mais on ne peut en tracer plus de 30%. Cela a tendance à exploser, mais je pense que l’on arrive au bout du multicanal. Les investissements en systèmes d’informations sont colossaux, et chaque canal réclame les siens pour exister. Et finalement, comment mesurer le retour sur investissement lorsque le client a une expérience multicanal ? C’est pourquoi nous avons pris la décision de faire passer le multicanal au second plan, derrière le concept de nos nouvelles boutiques Wireless.» En termes d’expérience utilisateur et de création de trafic en boutique, The Phonehouse propose notamment de commander son mobile sur le Web, et de le retirer une heure après en magasin. The Phonehouse permet aussi au client de venir chercher leur mobile dans le point de vente de son choix.

fois sur iPhone et 40 000 fois sur Android. L’autre point fort du flashcode réside dans la géolocalisation, qui en est encore au stade du balbutiement en termes d’usage au quotidien. Les 70% des smartphones du marché capables d’utiliser les flashcodes intègrent en effet tous – ou presque – une puce GPS.

D’où la facilité de connaître la position géographique du smartphone et d’envoyer au client des informations personnalisées liées par exemple à un point de vente donné. Mais cette technologie de fidélisation reste encore réservée aux enseignes possédant un réseau de boutiques bien établi.


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20 infosmobiles

Des flashcodes pour créer du trafic en boutique

Les trois opérateurs historiques français ont déjà utilisé des flashcodes dans le cadre de leurs campagnes de communication. Disponibles depuis plus de trois ans en France grâce à l’AFMM (Association française du multimédia mobile), les codes-barres 2D sont aujourd’hui de plus en plus populaires. Utilisant différents standards dont le QRCode et le Datamatrix, le principe du flashcode est très simple : il suffit d’installer un logiciel – gratuit – et de pointer la caméra du téléphone vers une affiche – ou un site - qui contient le code-barre 2D. Le logiciel lit ensuite le flashcode et redirige le mobinaute vers une page Web, une carte de visite ou un numéro de téléphone. Et l’utilisation des ces flashcodes dans le cadre de campagnes marketing va sans doute s’amplifier, grâce à l’adoption massive des flashcodes par les mobinautes français : selon l’AFMM, 57,8% des consommateurs équipés d’un téléphone mobile ont déjà vu un flashcode en 2010. En comparaison, ils n’étaient que 21,4% un an auparavant. Et le logiciel permettant de lire ces flashcodes est également très populaire sur les kiosques d’Apple comme de Google. Il a en effet déjà été téléchargé 200 000

« les clients cherchent Une marqUe, pUis Un système d’exploitation. » Mathieu Drida, PDG de Meilleurmobile.com

Comment les internautes choisissent-ils un nouveau smartphone ?Ils recherchent avant tout la marque. Dans un second temps, ils recherchent un système d’exploitation précis, comme iOS ou Android. C’est seulement ensuite qu’ils s’intéressent à la mémoire, la qualité de l’appareil photo, le facteur de forme ou la taille de l’écran.

Vos visiteurs recherchent-ils plutôt des smartphones ou des forfaits mobiles ?Près de 70% de nos visiteurs se rendent sur Meilleurmobile.com pour comparer les prix des smartphones. Mais les recherches d’informations sur les forfaits, notamment ceux sans mobile associé, sont de plus en plus fréquentes.

Quels types de forfaits mobiles sont les plus populaires sur votre site ?Les internautes recherchent avant tout un opérateur qui a un réseau de qualité. Bon nombre d’internautes veulent savoir quel est réseau est utilisé par un MVNO, par exemple. Ils jettent ensuite leur dévolu sur des forfaits qui comprennent les SMS - et MMS - illimités et une durée d’appel importante. Nous avons enfin de plus en plus de recherches sur les forfaits avec data illimitée.

Plus de la moitié des Français ont déjà vu un flashcode l’an passé.

Selon Liliane Lin, de The Phonehouse, «30% des actes commerciaux de notre réseau ont une dimension multicanal. En fait, ce serait plutôt 60%, mais on ne peut en tracer plus de 30%. Cela a tendance à exploser, mais je pense que l’on arrive au bout du multicanal. Les investissements en systèmes d’informations sont colossaux, et chaque canal réclame les siens pour exister. Et finalement, comment mesurer le retour sur investissement lorsque le client a une expérience multicanal ? C’est pourquoi nous avons pris la décision de faire passer le multicanal au second plan, derrière le concept de nos nouvelles boutiques Wireless.» En termes d’expérience utilisateur et de création de trafic en boutique, The Phonehouse propose notamment de commander son mobile sur le Web, et de le retirer une heure après en magasin. The Phonehouse permet aussi au client de venir chercher leur mobile dans le point de vente de son choix.

fois sur iPhone et 40 000 fois sur Android. L’autre point fort du flashcode réside dans la géolocalisation, qui en est encore au stade du balbutiement en termes d’usage au quotidien. Les 70% des smartphones du marché capables d’utiliser les flashcodes intègrent en effet tous – ou presque – une puce GPS.

D’où la facilité de connaître la position géographique du smartphone et d’envoyer au client des informations personnalisées liées par exemple à un point de vente donné. Mais cette technologie de fidélisation reste encore réservée aux enseignes possédant un réseau de boutiques bien établi.


22 infosmobiles

acer et caen PaSSent aU nFc

Demain, les smartphones remplaceront-ils la carte de crédit pour les dépenses du quotidien ? Acer vient

de dévoiler son premier smartphone embarquant la technologie NFC à Caen.

Encore peu connue et peu répandue sur les smartphones, la technologie

NFC (technologie sans contact) est un système de transmission de données sans fil à très courte portée. Il suffit de placer le smartphone à quelques

centimètres de sa cible, et donc du récepteur, pour échanger et récupérer

des données.

Les réseaux sociaux pour toucher les "connectés"

Les réseaux sociaux permettent également de fidéliser les clients, et ce aussi bien pour les boutiques d’opérateurs que pour les indépendantes. Un simple chiffre : plus de vingt millions de comptes Facebook ont déjà été créés en France. De quoi faciliter la relation et la fidélisation des clients, et donner aux commerciaux, aux vendeurs, aux responsables de boutiques, une ligne quasi directe avec leurs clients et prospects. Cela n’a d’ailleurs pas échappé à Orange, qui via sa marque « low-cost » Sosh, a littéralement envahi les réseaux sociaux. En sus de boutiques éphémères, Sosh propose en effet un service client gratuit sur les deux grands réseaux sociaux que sont Twitter et Facebook. Résultat : 5400 fans suivent le compte Twitter « Sosh_fr » et 23 000 se disent « fans » de la page Sosh sur Facebook. Les trois opérateurs historiques comptent quand à eux, respectivement, 115 000, 455 000 et 104 000 « fans » pour Orange, SFR et Bouygues Telecom. Notons que, si Orange demeure le premier opérateur français, c’est bien SFR qui a le mieux compris les avantages de Facebook, et qui y possède le plus grand nombre de fans. Les indépendants profitent également des réseaux sociaux, The Phone House possédant ainsi 3000 « fans », contre 2000 pour Phoneandphone. Reste à savoir quelle marque sera la première à miser sur ce que l’on appele le F-commerce, le commerce sur Facebook, en intégrant une e-boutique complète directement sur Facebook. Aux Etats-Unis, 20% des ventes réalisées sur des sites de e-commerce proviennent déjà de Facebook selon des chiffres compilés par le webzine « Social commerce today ».

Et si vous ouvriez une boutique virtuelle entièrement intégrée à Facebook ?

Des tags NFC à Compter De juiN 2012 thierry Plissonneau, responsable des partenariats commerce pour la technologie sans contact, Orange

Comment utilisez-vous aujourd’hui le NFC pour fidéliser les clients de vos boutiques ?Le NFC est une technologie qui permet aux enseignes de rendre leurs applications mobiles interactives. Nous avons trois solutions qui répondent à la problématique de fidélisation des clients. Nous proposons des informations générales (ouverture de boutiques, ...) via des tags NFC en caisse ou en vitrine, de l’animation commerciale sur certains produits et du e-couponing pour dématérialiser la carte de fidélité dans le mobile.

Comment dissociez-vous les technologies Flashcode et NFC ?Les deux technologies sont assez proches mais le sans contact est beaucoup plus intuitif et rapide. Il vous suffit de toucher une cible, le mobile étant toujours à l’écoute. Avec les flashcodes, il faut lancer une application, pointer une code-barre et attendre que l’action soit ensuite interprétée.

Quid des solutions de géolocalisation via le NFC pour doper le trafic dans les boutiques ?À partir du mois de mars 2012, nous proposerons à nos clients de pointer des tags NFC (des publicités par exemple) pour être redirigés vers les boutiques les plus proches. Nous offrirons également un système de e-couponing pour gérer toutes les cartes de fidélité du client.


infosmobiles 23

Paiement mobile : Quand le sans contact vient au secours des vendeurs

Les mobinautes pourront bientôt se déplacer en boutique pour acquérir, sans carte de crédit et sans chèque, un smartphone ou un forfait. Par le biais de l’offre Cityzi, Bouygues Telecom, NRJ Mobile, Orange et SFR se sont en effet associés pour démocratiser les paiements mobiles sans contact via la technologie NFC (Near Field Communication, ou communication en champ proche). Après Nice, les villes de Bordeaux, Caen, Lille, Marseille, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse pourront dès cette année proposer dans certains points de vente des paiements sans contact par NFC. Lancé en février dernier, Cityzi a déjà séduit plus de 150 000 clients Orange grâce à trois téléphones compatibles : Samsung Player City, Galaxy S II et Wave 578. Il suffit alors au mobinaute d’utiliser son mobile NFC pour régler son achat. Comment ? Simplement en collant pendant quelques secondes le mobile sur un terminal de paiement compatible NFC et le tour est joué. Contrairement aux cartes de crédit, il n’est pas nécessaire, pour des montants inférieurs à 25 €, d’entrer de code de sécurité pour valider la transaction sur le mobile.

« Je n’ai Pas trouvé de moyen de Promotion efficace. » Stéphane Rozenfeld, gérant de la boutique Phonecall à Paris, spécialisée dans les mobiles Nokia

Quelle est votre stratégie en matière de nouvelles technologies (flashcodes, NFC, …) pour vous démarquer face aux boutiques des opérateurs ou aux réseaux de boutiques ?Nous n’en avons pas ! Nous sommes une boutique indépendante avec un seul magasin et un site Internet associé. Nous ne pouvons tout simplement pas rivaliser avec les autres enseignes, dans la mesure où ne bénéficions pas de leur force marketing. Cela fait quinze ans qu’on existe, et nous pouvons compter sur une base installée de clients fidèles. C’est une force à ne pas négliger.

Cela signifie que vous n’avez pas de budget de marketing et communication ? Je n’ai pas trouvé de moyen de promotion qui soit efficace. Pourtant, j’ai essayé ponctuellement différents types d’opération de communication : prospectus, affichage ou mailing écrit. Mais avec un seul point de vente, les coûts sont trop importants et le retour sur investissement trop aléatoire. Dans l’idéal, il faudrait que je consacre au moins 2000 euros par mois à cette activité.

Peut-être recrutez-vous davantage de clients grâce à votre site Internet ?Oui, effectivement, nos clients Web ont tendance à venir plus régulièrement dans notre boutique physique.

Du PaiemeNt Nfc veRSioN oRaNge

Orange va prochainement proposer à ses clients un smartphone Samsung

Galaxy S2 intégrant la technologie de paiement sans contact NFC.


infosmobiles 25

La nouvelle ère de la relation client Des clients connectésL’explosion d’Internet a radicalement transformé la relation client traditionnelle. Alors qu’en mars 2011, on compte en France pas moins de 21,8 millions d’abonnés à l’Internet haut débit, l’avènement des réseaux sociaux et des forums de discussions offre aux consommateurs la possibilité de se renseigner sur les produits et de les comparer en quelques secondes. Selon le Baromètre Fevad - Médiamétrie//NetRatings publié en juin 2010 sur les comportements d’achat sur Internet, deux internautes sur trois donnent leur avis en ligne sur les produits et services qu’ils consomment.

Et demain ?Quelle sera la relation client de demain ? S’il est une constante à retenir de ces évolutions, c’est leur difficile anticipation. Depuis plusieurs années, la visio- conférence est annoncée comme un outil qui va révolutionner la relation client. Or, ce n’est que très récemment qu’elle a commencé à être adoptée par les entreprises, grâce à la conjonction de plusieurs phénomènes : augmentation du coût des transports et du prix des énergies, maturité des technologies et baisse des coûts.

Direction la 3D ?À partir de certains usages émergents, des hypothèses prennent forme. Avec les box TV / Internet / téléphone et le mobile, il est facile d’imaginer des comportements d’achat nouveaux grâce à la combinaison de publicités interactives et de navigation sur le Web. Pourquoi ne serait-il pas envisageable d’acheter un produit en ligne au moment même où une publicité passe à l’écran ? La technologie en tout cas le permet déjà. Le dévelop- pement des téléviseurs 3D amène aussi son lot de fantasmes. À quand le point de vente 3D chez soi ? Si l’on semble s’orienter vers des technologies de plus en plus immersives avec une émotion toujours plus forte vis-à-vis du comportement d’achat, l’influence des réseaux ne sera pas en reste.

Les nouvelles attentes des consommateurs

La compétence des conseillers : 66 %Leur efficacité : 63 %Leur attitude bienveillante : 44 %Leur disponibilité : 44 %Une relation facile avec les conseillers : 39 %Une stabilité des interlocuteurs : 37 %

Source : Orange Business Services / Nextstage

Plus mobiles et de plus en plus habiles avec les nouvelles technologies, les consommateurs jonglent aujourd’hui sans difficulté entre les multiples canaux de communication à leur disposition. En moyenne, ils ont eu recours à plus de trois canaux différents durant l’année 2010. Si les principaux canaux du service client demeurent le téléphone pour la première prise de contact (41 %), le face à face pour l’acte d’achat (42 %) et le téléphone de nouveau pour le support et les réclamations (57 %), le SMS et le canal Web sont des canaux en forte progression :- la confirmation par SMS de l’arrivée d’une commande, ou une alerte sur une promotion entrent dans les mœurs et apportent un vrai service ;- le canal Web est devenu le média incontournable pour démarrer son parcours client puisque, parmi les internautes français, 81% préparent leurs achats sur la toile. L’utilisation de l’e-mail est quant à elle de l’ordre de 17 % pour les réclamations.C’est toutefois toujours le contact direct avec un conseiller qui apporte le plus de confiance (67 %), devant le contact téléphonique (25 %), l’e-mail (31 %) et le courrier (16 %).

En tête des revendications concernant leur relation à un service client, les consommateurs placent la compétence (66 %) et l’efficacité (63 %). Deux exigences suivies de près par des attentes de type « relationnelles », telles qu’une attitude bienveillante (44 %), de la disponibilité (44 %), et le fait d’avoir une relation facile (39 %). La conséquence directe de ces chiffres, c’est la remise en question par les consommateurs des services clients en mode« self-service » : serveurs vocaux interactifs, FAQ ou bornes d’information en points de vente, etc. Ils peuvent s’avérer lassants pour des clients qui

n’auraient pas d’autre alternative dans leur parcours. D’autre part, il ressort que les préférences des canaux sont également largement dictées par des contraintes de disponibilité. Les canaux à distance, qui font appel à une grande expertise ou tout au moins à l’autonomie des clients, ne répondent qu’en partie aux demandes relationnelles de toute une catégorie de clients, même technophiles.En point de vente, les clients attendent aussi un service rapide et personnalisé avec notamment la possibilité de payer leurs achats directement auprès du vendeur (65 %).

Source : Orange Business Service

Un contact multicanal

Téléphone 41 %

Face à face : 42 %

Autres : 17 %


24 infosmobiles

Marché AndroidobservatoireRelation clientobservatoire

Objectif géolocalisation Le mobile offre de nombreuses possibilités d’enrichissement des services par la géolocalisation. 46 % des détenteurs de mobiles se disent intéressés pour recevoir des informations commerciales par SMS géolocalisé. À noter que le type de SMS géolocalisé qui suscite le plus d’intérêt (41 %) est le coupon de réduction reçu lors du passage à proximité d’un magasin (un score qui passe à 48 % chez les étudiants).

La relation client s’est littéralement transformée avec l’évolution récente des technologies. Les consommateurs ont désormais l’habitude de se renseigner et d’échanger directement en ligne sur les marques, produits et services. Orange Business Services s’est penchée sur les arcanes de la nouvelle ère du service client

La nouvelle ère de la relation client

37 % Sur le seul mois de mars 2011, pas moins de 16,1 millions de personnes se sont connectées à l’Internet mobile, soit 27 % de plus que l’année précédente. Ce sont désormais 37% des utilisateurs de téléphone mobile qui se connectent à des sites, portails ou applications mobiles. Cette pratique est en partie portée par la poursuite de

l’augmentation du nombre de smartphones : près d’un utilisateur de téléphone mobile sur trois (31,4%) en possède un, soit trois fois plus qu’il y a deux ans.

Le chemin du Web Si en 2010, les clients ont eu recours à un service client via3,6 canaux différents (contre 2,6 en 2009) 17% des réclamations des clients se font d’ores déjà par e-mail. Mieux encore : 81 % des internautes privilégient le Web pour préparer leurs achats !

40 % 40% des détenteurs de

smartphones se sont par exemple déjà connectés à Internet en

magasin pour comparer leurs informations avec celles du

vendeur. De plus en plus mobiles, ils n’ont aucune difficulté à jongler

entre différents moyens de communication : en 2010, bien que

le téléphone et le face à face restent en tête, les consommateurs ont eu recours en moyenne

à un service client via plus de 3 canaux différents.

Face à ces changements, les entreprises doivent s’adapter :

organisation, métier du téléconseiller, outils, modèles

économiques du service client...


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La nouvelle ère de la relation client Des clients connectésL’explosion d’Internet a radicalement transformé la relation client traditionnelle. Alors qu’en mars 2011, on compte en France pas moins de 21,8 millions d’abonnés à l’Internet haut débit, l’avènement des réseaux sociaux et des forums de discussions offre aux consommateurs la possibilité de se renseigner sur les produits et de les comparer en quelques secondes. Selon le Baromètre Fevad - Médiamétrie//NetRatings publié en juin 2010 sur les comportements d’achat sur Internet, deux internautes sur trois donnent leur avis en ligne sur les produits et services qu’ils consomment.

Et demain ?Quelle sera la relation client de demain ? S’il est une constante à retenir de ces évolutions, c’est leur difficile anticipation. Depuis plusieurs années, la visio- conférence est annoncée comme un outil qui va révolutionner la relation client. Or, ce n’est que très récemment qu’elle a commencé à être adoptée par les entreprises, grâce à la conjonction de plusieurs phénomènes : augmentation du coût des transports et du prix des énergies, maturité des technologies et baisse des coûts.

Direction la 3D ?À partir de certains usages émergents, des hypothèses prennent forme. Avec les box TV / Internet / téléphone et le mobile, il est facile d’imaginer des comportements d’achat nouveaux grâce à la combinaison de publicités interactives et de navigation sur le Web. Pourquoi ne serait-il pas envisageable d’acheter un produit en ligne au moment même où une publicité passe à l’écran ? La technologie en tout cas le permet déjà. Le dévelop- pement des téléviseurs 3D amène aussi son lot de fantasmes. À quand le point de vente 3D chez soi ? Si l’on semble s’orienter vers des technologies de plus en plus immersives avec une émotion toujours plus forte vis-à-vis du comportement d’achat, l’influence des réseaux ne sera pas en reste.

Les nouvelles attentes des consommateurs

La compétence des conseillers : 66 %Leur efficacité : 63 %Leur attitude bienveillante : 44 %Leur disponibilité : 44 %Une relation facile avec les conseillers : 39 %Une stabilité des interlocuteurs : 37 %

Source : Orange Business Services / Nextstage

Plus mobiles et de plus en plus habiles avec les nouvelles technologies, les consommateurs jonglent aujourd’hui sans difficulté entre les multiples canaux de communication à leur disposition. En moyenne, ils ont eu recours à plus de trois canaux différents durant l’année 2010. Si les principaux canaux du service client demeurent le téléphone pour la première prise de contact (41 %), le face à face pour l’acte d’achat (42 %) et le téléphone de nouveau pour le support et les réclamations (57 %), le SMS et le canal Web sont des canaux en forte progression :- la confirmation par SMS de l’arrivée d’une commande, ou une alerte sur une promotion entrent dans les mœurs et apportent un vrai service ;- le canal Web est devenu le média incontournable pour démarrer son parcours client puisque, parmi les internautes français, 81% préparent leurs achats sur la toile. L’utilisation de l’e-mail est quant à elle de l’ordre de 17 % pour les réclamations.C’est toutefois toujours le contact direct avec un conseiller qui apporte le plus de confiance (67 %), devant le contact téléphonique (25 %), l’e-mail (31 %) et le courrier (16 %).

En tête des revendications concernant leur relation à un service client, les consommateurs placent la compétence (66 %) et l’efficacité (63 %). Deux exigences suivies de près par des attentes de type « relationnelles », telles qu’une attitude bienveillante (44 %), de la disponibilité (44 %), et le fait d’avoir une relation facile (39 %). La conséquence directe de ces chiffres, c’est la remise en question par les consommateurs des services clients en mode« self-service » : serveurs vocaux interactifs, FAQ ou bornes d’information en points de vente, etc. Ils peuvent s’avérer lassants pour des clients qui

n’auraient pas d’autre alternative dans leur parcours. D’autre part, il ressort que les préférences des canaux sont également largement dictées par des contraintes de disponibilité. Les canaux à distance, qui font appel à une grande expertise ou tout au moins à l’autonomie des clients, ne répondent qu’en partie aux demandes relationnelles de toute une catégorie de clients, même technophiles.En point de vente, les clients attendent aussi un service rapide et personnalisé avec notamment la possibilité de payer leurs achats directement auprès du vendeur (65 %).

Source : Orange Business Service

Un contact multicanal

Téléphone 41 %

Face à face : 42 %

Autres : 17 %


26 infosmobiles

AccessoiresFocus

Les fêtes de fin d’année approchent à vitesse grand V. Sélection de nouveautés à proposer à vos clients pour les aider à tirer le meilleur de leurs smartphones et tablettes.

Accessoires essentiels

Sur commandeCet accessoire transforme l’iPhone en télécommande universelle. Le smartphone se connecte au boîtier en Bluetooth tandis que ce dernier relaye les instructions aux autres appareils, via infrarouge. Une application est disponible sur l’App Store afin de commander TV, lecteur Blu-ray ou chaîne Hi-Fi directement via l’écran tactile de l’iPhone.GEAR4 Unity Remote

Sport extrêmeLe Jabra Sport se compose

d’écouteurs boutons qui sont reliés par un câble plutôt

malin. Son cordon plat évite les nœuds et son revêtement

réduit le frottement sur la peau du cou. La connexion au

téléphone est assurée par le Bluetooth et un tuner FM est également intégré pour faire

du sport sans s’encombrer. Jabra Sport est aussi

compatible avec l’application Endomondo pour connaître

la vitesse pendant la course, la distance parcourue et la durée

via la synthèse vocale.Jabra Sport

Le grand bleuCe casque stéréo offre un design réussi avec ses coussinets bleus qui tranchent avec le noir de l’arceau. Très confortable, il comprend une commande pour régler le niveau du volume directement sur le câble. Sa prise standard est compatible avec tous les mobiles et lecteurs MP3.Modelabs casque Delta Colorblock

Appeler au volantPlus pratique qu’une oreillette sans fil, ce kit main libre Bluetooth permet de téléphoner au volant en toute sécurité. Doté de commandes vocales, il se fixe aisément au pare-soleil et est alimenté par une batterie intégrée. Deux téléphones peuvent être connectés pour profiter de son haut-parleur pendant les conversations.Supertooth Buddy


Faites vos jeuxL’I-Dice gagne haut la main le concours de l’enceinte pour iPhone la plus originale du moment. Reprenant la forme d’un gros dé à jouer, elle se décline en noir et en blanc. La face supérieure est dotée d’un Dock Connector standard et d’un berceau qui pourra accueillir aussi bien un iPhone qu’un iPod et même un iPad. Le périphérique est automatiquement rechargé et une entrée auxiliaire est également prévue. On pourra donc brancher n’importe quelle source audio externe.S&D I-Dice

À emporterCette enceinte de voyage affiche moins de 5 cm d’épaisseur. Une batterie lithium-ion rechargeable intégrée lui assure jusqu’à huit heures d’autonomie et la connexion sans fil est assurée par le Bluetooth. Un cache renforcé fait non seulement office de protection du haut-parleur mais également d’interrupteur. Deux finitions sont proposées, avec un cache Cordura ou en cuir.Bose Mobile Soundlink

Du pur sonCe casque haut de gamme bénéficie d’un système d’amplification actif pour délivrer un son plus vrai que nature. Compatible avec tous les smartphones, il est livré avec deux câbles dont un doté d’un micro et d’une touche pour répondre aux appels. Un étui de transport est également fourni qui pourra accueillir le casque, qui se replie pour un encombrement réduit.Beats Studio Colors

Son de tableLes enceintes des tablettes laissent à désirer. Avec la Tablet Speaker, on peut profiter de ses morceaux sans passer par un casque. Un clip de fixation permet de la positionner facilement derrière l’écran et une prise jack standard suffit. La batterie intégrée offre une autonomie de huit heures environ et se recharge à l’aide de la prise USB. La Tablet Speaker est livrée avec un étui de transport.Logitech Tablet Speaker

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AccessoiresFocus

Les fêtes de fin d’année approchent à vitesse grand V. Sélection de nouveautés à proposer à vos clients pour les aider à tirer le meilleur de leurs smartphones et tablettes.

Accessoires essentiels

Sur commandeCet accessoire transforme l’iPhone en télécommande universelle. Le smartphone se connecte au boîtier en Bluetooth tandis que ce dernier relaye les instructions aux autres appareils, via infrarouge. Une application est disponible sur l’App Store afin de commander TV, lecteur Blu-ray ou chaîne Hi-Fi directement via l’écran tactile de l’iPhone.GEAR4 Unity Remote

Sport extrêmeLe Jabra Sport se compose

d’écouteurs boutons qui sont reliés par un câble plutôt

malin. Son cordon plat évite les nœuds et son revêtement

réduit le frottement sur la peau du cou. La connexion au

téléphone est assurée par le Bluetooth et un tuner FM est également intégré pour faire

du sport sans s’encombrer. Jabra Sport est aussi

compatible avec l’application Endomondo pour connaître

la vitesse pendant la course, la distance parcourue et la durée

via la synthèse vocale.Jabra Sport

Le grand bleuCe casque stéréo offre un design réussi avec ses coussinets bleus qui tranchent avec le noir de l’arceau. Très confortable, il comprend une commande pour régler le niveau du volume directement sur le câble. Sa prise standard est compatible avec tous les mobiles et lecteurs MP3.Modelabs casque Delta Colorblock

Appeler au volantPlus pratique qu’une oreillette sans fil, ce kit main libre Bluetooth permet de téléphoner au volant en toute sécurité. Doté de commandes vocales, il se fixe aisément au pare-soleil et est alimenté par une batterie intégrée. Deux téléphones peuvent être connectés pour profiter de son haut-parleur pendant les conversations.Supertooth Buddy


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AccessoiresFocus

Dock totalCe dock d’une puissance de 4 x 30 W peut accueillir un iPhone ou un iPad. Son socle pivote à 90° pour profiter des films en mode paysage. Le Bluetooth est également de la partie pour diffuser la musique sans fil à moins de préférer l’entrée auxiliaire qui a l’avantage d’être compatible avec n’importe quelle source audio. Petit plus bien utile, un micro est intégré pour la vidéoconférence sur Internet.JBL OnBeat Xtrem

Protection rapprochée

Centre névralgique de l’iPad, l’écran tactile peut vite être

rayé. Belkin propose une protection très simple à mettre en place. Celle-ci

vient se coller directement sur l’écran et toutes les

fonctions tactiles restent bien entendu accessibles.

Un chiffon de nettoyage est fourni et une version

pour iPhone est également disponible.

Belkin ClearScreen Overlay

A deux rouesAvec ce kit, les cyclistes disposeront simplement d’un compteur de vitesse, d’un GPS et d’un totaliseur kilométrique via leur iPhone. Pour se faire, il suffit d’installer une application à partir de l’App Store d’Apple. Un support amovible est également fourni et l’ensemble est totalement imperméable.iBike DASH

Tour du mondeCette collection originale Live In s’habille aux couleurs de grandes capitales (New York, Londres, Tokyo...). Les technophiles soucieux de leur look pourront ainsi marier un casque confortable aux couleurs du pays, une sacoche informatique fashion et une housse pour smartphone avec poche pour carte de crédit intégrée.Tnb, collection Live In


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Source : Nielsen Source : Nielsen

Sous le bon angleConçue pour accueillir l’iPad 2 en permanence, cette housse repliable se transforme aussi en support. L’angle de 45° est adapté au visionnage des films et des découpes donnent accès aux boutons de la tablette mais aussi au capteur numérique et au Dock Connector. Il ne sera donc pas nécessaire d’ôter l’iPad 2 pour le charger ou prendre des photos. La fermeture est assurée par un bouton pression est un porte document est également prévu.Issentiel housse Portfolio

L’oreille à l’oeilCette oreillette élégante est le compagnon parfait de l’iPhone. Elle se décline en blanc ou en noir et une application dédiée l’accompagne proposant conseils et outils pratiques. On pourra par exemple connaitre le niveau de la batterie directement sur l’écran de l’iPhone. Enfin, la commande vocale « répondre » suffit pour décrocher à la réception d’un appel.Plantronics M155

Appels sportifsQuitte à passer des coups

de fil en faisant son jogging, autant pousser

la logique un cran plus loin. C’est ce qu’ont fait les concepteurs de VEA, avec

cette nouvelle montre téléphone, la Sportive, qui

réunit dans une montre tout ce que le sportif

souhaite pour courir : suivi du rythme cardiaque, musique, mobile, appareil

photo , tracker, et même une fonction SOS ! Dotée

de 8 Go de mémoire via une carte micro SD, elle

possède une autonomie d’environ 8 heures.

Vea Sportive.

Très en colèreAprès avoir été téléchargés à des centaines de millions d’exemplaires, voici que les oiseaux en colère créés par Rovio se transforment en haut-parleurs pour smartphones et tablettes. Commercialisés par Strax, ces haut-parleurs Angry Birds fonctionnent aussi bien avec un modèle sous iOs que sous Android. Le Red Bird est compatible Apple, mais propose aussi une sortie audio standard, tandis que le Black Bird peut également lire les iPod, iPhone et iPad et peut même recharger l’iPad. Gear4, enceintes Angry birds

Le plein de DieselStrax vient de dévoiler son

partenariat avec Diesel pour proposer une gamme de 30 produits signés Diesel

pour téléphones mobiles et tablettes : housses, coques

rigides, pochettes pour iPhone, Blackberry, iPad ou Samsung

Galaxy Tab en jean ou cuir véritable.

Strax, gamme Diesel


30 infosmobiles

Constructeurinterview

Pourquoi avoir racheté les parts d’Ericsson dans Sony Ericsson ? David Mignot : Sony rachète les 50% de Sony Ericsson pour environ 1 milliard d’euros. Cette valorisation comprend les brevets Ericsson, qui serviront à Sony au sens large. Sony veut avoir une stratégie de conquête forte. Or le faire avec une joint-venture aurait eu ses lenteurs. Nous avions besoin d’être encore plus efficaces d’un point de vue commercial, vers les consommateurs, pour l’ensemble de nos clients et vers le marché. Et puis cela va aussi dans le sens de l’histoire, alors que l’on assiste à un véritable big bang sur le marché des smartphones, avec une convergence réelle pour les consommateurs. On parle d’un monde dans lequel on utilise différents écrans pour différents usages : TV, PC, smartphone, tablettes... Plus important, tous ces produits sont connectés à un réseau, via Wi-Fi, 3G, pour accéder aux mêmes services et contenus. C’est nouveau sur le marché de l’électronique grand public au sens large. Tous vont être connectés entre eux, vont donner accès à des contenus, des services, stockés quelque part dans un cloud.

Allez-vous poursuivre la stratégie 100% Android déployée en 2011 ? David Mignot : Oui, ce cap Android, cet axe de smartphones seulement sous Android, nous allons le garder sur 2012. Cela ne veut pas dire que nous n’allons pas étudier d’autres

possibilités avec d’autres systèmes. Android n’existait pas il y a deux ans, et aujourd’hui, un smartphone sur deux équipé de cet OS. Pour la première fois des produits de taille différente vont fonctionner avec un OS commun. Mais bien malin celui qui peut deviner ce que sera le marché dans deux ou trois ans. Par exemple, Windows progresse. Notre choix d’Android est un bon choix stratégique : nous sommes n°2 sur Android, n°4 des smartphones, et la stratégie de gamme Xperia était la bonne. Nous allons la poursuivre. Elle a été impactée, cette année, par les événements du Japon. Mais nous avons une part de marché de 10% sur les smartphones, et nous visons toujours les 15% l’an prochain.

Sommes-nous déjà en train d’entrer dans l’ère de l’après-smartphone ? David Mignot : On parle de cycles de 4-5 ans sur le marché de la téléphonie mobile. Là, nous abordons un nouveau cycle, celui de la convergence, où le smartphone passe du statut de mobile multifonctions à celui d’écran connecté que l’on a toujours sur soi. Ce qui a vraiment changé en termes de contenus, c’est l’ouverture : quand vous accédez à des contenus, vous accédez librement à tous les contenus que vous souhaitez, et Sony vous soumet ses propositions. Ces contenus, on doit pouvoir y avoir accès à n’importe quel moment, sur n’importe quel écran. C’est le

principe de base qui va régir le marché. Les cartes sont redistribuées, et peu d’acteurs sont en position de devenir leader. Nous sommes présents sur l’ensemble des écrans qui vont constituer la convergence. Plus que jamais, le groupe Sony dans son ensemble est le mieux placé pour affronter le marché de demain.

Quelle est selon vous l’image de votre marque ? David Mignot : Nous constatons un très fort affectif, une vraie fidélité de la part des consommateurs, même si la marque a été un peu oubliée ces deux dernières années. Sony Ericsson, c’est aujourd’hui le troisième parc installé en France. Les spécialistes et les vendeurs ont aussi cette notion de fidélité, à nous d’avoir la bonne offre à leur proposer. L’autre atout que nous possédons, c’est d’être une marque au service des opérateurs : le marché ne doit pas être entre les mains de deux marques, une avec laquelle il est difficile de travailler et l’autre terriblement forte. Il s’agit d’une problématique réelle pour les opérateurs. Ils nous ont toujours soutenu, et notre stratégie supporte la leur.

Quel premier bilan tirez-vous de l’expérience Xperia Play ?David Mignot : Nous avons littéralement créé un nouveau segment prometteur avec cet Xperia Play, qui a défié toutes les attentes. Nous l’avons fait parce qu’il fallait améliorer

Alors que Sony vient de racheter la part d’Ericsson dans leur entreprise commune, tour d’horizon des ambitions de Sony Ericsson avec son directeur général France, David Mignot.

Sony ericSSon 100% androidToute sa collection de smartphones tourne sous OS Android.

Sony Ericsson a fait un triple pari, triplement réussi, en termes de marketing et de positionnement : ne proposer que des smartphones, plus de simples mobiles, les décliner sous la marques Xperia, de l’entrée de gamme au haut de gamme, et faire confiance à l’OS Android de Google, en plein essor, pour les faire fonctionner. Ainsi, les dix derniers smartphones de la marque tournent sous OS Android.

David Mignot Sony Ericsson

un nOuvEAu CyClEPour David Mignot, directeur général de Sony Ericsson France, « on aborde un nouveau cycle en matière de téléphonie mobile, celui de la convergence, où le smartphone passe du statut de mobile multifonctions à celui d’écran connecté que l’on a toujours sur soi. »


l’expérience utilisateurs en termes de jeu nomade. Et c’est un succès, d’autant plus que 70% des téléchargements sont payants, alors que c’est d’ordinaire l’inverse sur l’Android Market. Nous en sommes à 150 jeux compatibles, et tous les éditeurs de jeu poussent fortement, car ils y voient l’avenir du jeu sur smartphone. Ainsi, un jeu comme Fifa 2012 est d’abord proposé en exclusivité sur smartphone Xperia Play en cette fin d’année.

Comment voyez-vous le mouvement des opérateurs Internet vers la mobilité ?David Mignot : C’est un nouvel écosystème qui est en train de se constituer. Pourquoi un fournisseur d’accès à Internet comme Free vient-il à la mobilité ? Parce que le mobile devient une extension du service à la maison. Free ne peut pas se permettre de ne pas répondre aux attentes de ses clients, qui veulent étendre leurs usages. De même, quand Bouygues Telecom fait le mouvement inverse, il s’agit d’un ensemble que tout opérateur se doit de proposer, le tout concentré sur une seule facture. De nouveaux OS, des produits connectés et de opérateurs, c’est ce qui permet de proposer une convergence qui soit une réalité.

Selon vous, à quoi vont ressembler les smartphones de demain ?David Mignot : Nous devrions voir un certain nombre d’innovations autour d’une même question : jusqu’où la taille d’écran peut-elle aller ? On va évoluer entre la taille d’écran

maximale des smartphones et la taille minimale des tablettes, sachant que l’on va de plus en plus utiliser son smartphone pour regarder la télévision et des vidéos de qualité, avec en ligne de mire l’arrivée de la 4G en 2012. Un mot enfin sur l’écran flexible : il existe déjà, mais l’écran flexible tactile, non.

Le design produit conserve-t-il toute son importance ? David Mignot : Nous accordons une grande importance à l’innovation par le design. La seule chose que l’on ne fait pas, c’est copier nos concurrents. Le design va rester au cœur de la stratégie de Sony Ericsson, et même s’accentuer. C’est un domaine où nous comptons accélérer les choses. Cela va peut-être aussi être ce qui va faire la différence . Prenons l’exemple du format compact, plus féminin, et des coloris autres que noir, destinés à une cible féminine : notre Xperia Mini pro a très bien fonctionné. Les consommateurs veulent les dernières technologies : nous proposons des capteurs photo Sony, dont le capteur Exmor permettant de prendre d’excellentes photos même en basse lumière, et des écrans apportant le meilleur de ce que l’on peut attendre. En termes de contenus, ces produits seront connectés au Sony Entertainment Network pour profiter pleinement de ses services.

un ray fashion et sexyQuand le top de la high-tech rencontre le top de la mode... Pour porter l’image glamour de

son smartphone Xperia Ray, Sony Ericsson a demandé au célèbre photographe Simon

Emmett de revisiter les 7 péchés capitaux avec Daisy Lowe, l’un des mannequins

les plus célèbres d’Europe. Agée d’à peine 22 ans, elle vient d’être élue “Femme de

l’année” à l’occasion des GQ Awards 2011. Pour promouvoir son smartphone, Sony

Ericsson propose de visionner les coulisses de la séance photo coupable sur www.youtube.

com/sonyericsson. Les amateurs peuvent également visionner des tranches de la vie quotidienne de Daisy Lowe, vues à travers

la lentille du Xperia Ray, sur www.vice.com/xperiaunseen.

infosmobiles 31


30 infosmobiles

Constructeurinterview

Pourquoi avoir racheté les parts d’Ericsson dans Sony Ericsson ? David Mignot : Sony rachète les 50% de Sony Ericsson pour environ 1 milliard d’euros. Cette valorisation comprend les brevets Ericsson, qui serviront à Sony au sens large. Sony veut avoir une stratégie de conquête forte. Or le faire avec une joint-venture aurait eu ses lenteurs. Nous avions besoin d’être encore plus efficaces d’un point de vue commercial, vers les consommateurs, pour l’ensemble de nos clients et vers le marché. Et puis cela va aussi dans le sens de l’histoire, alors que l’on assiste à un véritable big bang sur le marché des smartphones, avec une convergence réelle pour les consommateurs. On parle d’un monde dans lequel on utilise différents écrans pour différents usages : TV, PC, smartphone, tablettes... Plus important, tous ces produits sont connectés à un réseau, via Wi-Fi, 3G, pour accéder aux mêmes services et contenus. C’est nouveau sur le marché de l’électronique grand public au sens large. Tous vont être connectés entre eux, vont donner accès à des contenus, des services, stockés quelque part dans un cloud.

Allez-vous poursuivre la stratégie 100% Android déployée en 2011 ? David Mignot : Oui, ce cap Android, cet axe de smartphones seulement sous Android, nous allons le garder sur 2012. Cela ne veut pas dire que nous n’allons pas étudier d’autres

possibilités avec d’autres systèmes. Android n’existait pas il y a deux ans, et aujourd’hui, un smartphone sur deux équipé de cet OS. Pour la première fois des produits de taille différente vont fonctionner avec un OS commun. Mais bien malin celui qui peut deviner ce que sera le marché dans deux ou trois ans. Par exemple, Windows progresse. Notre choix d’Android est un bon choix stratégique : nous sommes n°2 sur Android, n°4 des smartphones, et la stratégie de gamme Xperia était la bonne. Nous allons la poursuivre. Elle a été impactée, cette année, par les événements du Japon. Mais nous avons une part de marché de 10% sur les smartphones, et nous visons toujours les 15% l’an prochain.

Sommes-nous déjà en train d’entrer dans l’ère de l’après-smartphone ? David Mignot : On parle de cycles de 4-5 ans sur le marché de la téléphonie mobile. Là, nous abordons un nouveau cycle, celui de la convergence, où le smartphone passe du statut de mobile multifonctions à celui d’écran connecté que l’on a toujours sur soi. Ce qui a vraiment changé en termes de contenus, c’est l’ouverture : quand vous accédez à des contenus, vous accédez librement à tous les contenus que vous souhaitez, et Sony vous soumet ses propositions. Ces contenus, on doit pouvoir y avoir accès à n’importe quel moment, sur n’importe quel écran. C’est le

principe de base qui va régir le marché. Les cartes sont redistribuées, et peu d’acteurs sont en position de devenir leader. Nous sommes présents sur l’ensemble des écrans qui vont constituer la convergence. Plus que jamais, le groupe Sony dans son ensemble est le mieux placé pour affronter le marché de demain.

Quelle est selon vous l’image de votre marque ? David Mignot : Nous constatons un très fort affectif, une vraie fidélité de la part des consommateurs, même si la marque a été un peu oubliée ces deux dernières années. Sony Ericsson, c’est aujourd’hui le troisième parc installé en France. Les spécialistes et les vendeurs ont aussi cette notion de fidélité, à nous d’avoir la bonne offre à leur proposer. L’autre atout que nous possédons, c’est d’être une marque au service des opérateurs : le marché ne doit pas être entre les mains de deux marques, une avec laquelle il est difficile de travailler et l’autre terriblement forte. Il s’agit d’une problématique réelle pour les opérateurs. Ils nous ont toujours soutenu, et notre stratégie supporte la leur.

Quel premier bilan tirez-vous de l’expérience Xperia Play ?David Mignot : Nous avons littéralement créé un nouveau segment prometteur avec cet Xperia Play, qui a défié toutes les attentes. Nous l’avons fait parce qu’il fallait améliorer

Alors que Sony vient de racheter la part d’Ericsson dans leur entreprise commune, tour d’horizon des ambitions de Sony Ericsson avec son directeur général France, David Mignot.

Sony ericSSon 100% androidToute sa collection de smartphones tourne sous OS Android.

Sony Ericsson a fait un triple pari, triplement réussi, en termes de marketing et de positionnement : ne proposer que des smartphones, plus de simples mobiles, les décliner sous la marques Xperia, de l’entrée de gamme au haut de gamme, et faire confiance à l’OS Android de Google, en plein essor, pour les faire fonctionner. Ainsi, les dix derniers smartphones de la marque tournent sous OS Android.

David Mignot Sony Ericsson

un nOuvEAu CyClEPour David Mignot, directeur général de Sony Ericsson France, « on aborde un nouveau cycle en matière de téléphonie mobile, celui de la convergence, où le smartphone passe du statut de mobile multifonctions à celui d’écran connecté que l’on a toujours sur soi. »


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Windows Phonetest

MangoLe renouveau de Windows PhoneIl y a un peu plus d’un an, Microsoft revenait sur le devant de la scène mobile avec le système d’exploitation Windows Phone 7. Le géant de Redmond aura ainsi réussi à regagner une crédibilité malmenée ces dernières années sur le front des smartphones. Revue de détail des nouveautés de cette dernière version.

W indows Phone 7 était pétri de qualités, mais il présentait encore quelques

lacunes qui l’empêchaient de rivaliser avec les systèmes iOS (Apple) ou Android (Google). Microsoft avait assuré dès le départ qu’une mise à jour viendrait régler la plupart des défauts mis en exergue par les premiers tests. Il aura fallu attendre presque une année avant que la mise à jour Windows Phone 7.5, surnommée Mango, soit enfin dévoilée. Une mise à jour intermédiaire (NoDo) avait déjà amené la fonction copier/coller. Mango

est d’une toute autre envergure, Microsoft promettant pas moins de 500 nouveautés avec cette dernière version ! Évidemment, toutes ne sont pas majeures, mais les principales fonctions réclamées par les utilisateurs sont au rendez-vous.

Enfin le multitâcheL’une des grandes déceptions de la première mouture de Windows Phone était l’absence de multitâche. Certes, certaines applications natives, comme le lecteur musical, pouvaient

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directement depuis les applications «contacts» et «photos» de Windows Phone, sans jamais ouvrir l’application Facebook dédiée. Une fonction très pratique donc, que Microsoft a étendue à d’autres réseaux sociaux comme Twitter ou Linkedin. Cette fonction offre aussi la possibilité de saisir un statut ou de poster une photo sur l’un de ces réseaux sociaux, toujours sans ouvrir d’application.

Groupes d’amisWindows Phone Mango gère les groupes de manière originale et efficace. L’utilisateur peut ainsi définir des groupes de personnes, puis placer un raccourci sous forme de vignette sur le bureau afin de partager rapidement un SMS, un e-mail ou de commencer une conversation sur messagerie instantanée avec tous les membres de ce groupe, ou de voir leurs actualités,

Mail et conversationsL’application Mail progresse aussi. Il est désormais possible de voir tous les comptes e-mail paramétrés dans une seule fenêtre. Les conversations font aussi leur apparition. Elles permettent de regrouper ensemble tous les messages d’un même échange.

Vignettes dynamiquesLes vignettes disponibles sur l’écran d’accueil évoluent aussi. Elles sont désormais beaucoup plus dynamiques qu’auparavant. Selon les applications

et les raccourcis, elles se mettent à jour en temps réel. Elles permettent donc d’accéder à des informations sans avoir à ouvrir les applications. Elles constituent une nouveauté très importante, car elles donnent un véritable sentiment de vie dès la page d’accueil.

Navigateur WebLe navigateur Web est toujours Internet Explorer, mais il passe ici en version 9. Il se révèle compatible avec le HTML5 et bénéficie de l’accélération graphique matérielle des smartphones pour un temps de chargement beaucoup plus rapide des pages Web. Le moteur de recherche Bing évolue aussi, en offrant de nouvelles possibilités de recherche, incluant Bing Vision, Bing Audio et la recherche vocale. Il n’est en revanche toujours pas compatible avec la technologie Flash, comme l’iOS d’Apple. Toutefois, ce manque n’est pas vraiment gênant au quotidien.

Autour de moiUn nouvel Hub sur l’écran d’accueil offre la possibilité d’afficher les résultats de recherche très localisés. Il recommande ensuite plusieurs activités à l’utilisateur, en fonction de son positionnement géographique, le tout dans une présentation simple et facile à appréhender.

Les nouveautés citées ci-dessus sont les plus importantes, mais cette liste est loin d’être exhaustive : Windows Phone Mango recèle beaucoup d’autres fonctions très intéressantes. Ainsi, il permet le contrôle vocal. L’utilisateur peut par exemple dicter un texte ou lancer une recherche uniquement à la voix : de quoi ôter l’une de ses rares originalités à l’iPhone 4S d’Apple. La nouvelle version de l’OS mobile de Microsoft offre aussila possibilité d’être contrôlé à distance via un navigateur Web pour certaines fonctions comme la gestion des applications sur le téléphone.

VerdictAvec la mise à jour Mango, Windows Phone éclot donc véritablement. Il possède désormais toutes les armes pour affronter sur un pied d’égalité les autres systèmes d’exploitation mobile. Comme eux, il recèle ses forces et ses faiblesses, mais il ne craint aujourd’hui personne sur le plan de la réactivité, de l’ergonomie et des fonctionnalités. Microsoft continue de tracer sa route, loin du sillon d’Apple. Et ça, c’est rafraîchissant !

tourner en tâche de fond. Mais Microsoft n’autorisait pas les développeurs d’applications tierces à tirer parti d’une fonction multitâche. Devoir relancer à chaque fois les applications les plus couramment utilisées, comme Facebook ou Twitter, et attendre que l’application se recharge était particulièrement pénible. Pire pour les amateurs de jeux : le moindre appel obligeait l’utilisateur à recommencer la partie non sauvegardée.Avec Mango, ce temps est révolu : les développeurs tiers peuvent enfin proposer un mode multitâche dans leur application, afin de la laisser tourner en tâche de fond pendant que l’utilisateur fait autre chose. Pour y revenir, il suffit ensuite d’effectuer un appui long sur la touche retour, pour voir apparaître les fenêtres des applications encore actives. Ce système superbement pensé autorise enfin une plus grande flexibilité dans l’usage des Windows Phone. Maintenant, il va toutefois falloir attendre que tous les développeurs mettent à jour leurs applications afin de les rendre compatibles.

Des réseaux sociaux intégrésDans la première version de Windows Phone, il était déjà possible de paramétrer un compte Facebook. Cela permettait de synchroniser les coordonnées des contacts avec le mobile, de récupérer leur photo pour le carnet d’adresses et d’accéder aux mises à jour des statuts et aux photos des amis Facebook


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Smartphonetest

Sharp Aquos Phone SH80F Orange en relief

Après les LG Optimus 3D et HTC EVO 3D, le marché hexagonal accueille un troisième smartphone capable d’afficher de la 3D relief : le Sharp Aquos Phone SH80F. Mais est-il à la hauteur des deux autres ?

Arrivé après le cinéma, la télévision et l’ordinateur, le mobile est surnommé le 4e

écran. Aussi, quand une technologie comme la 3D relief débarque sur les trois autres, il est logique qu’elle finisse par arriver sur le quatrième. Les LG Optimus 3D et HTC EVO 3D ont été les deux premiers smartphones sur le marché français capables de proposer de la 3D relief. Ils avaient chacun leur force et leur faiblesse, mais souffraient d’un défaut commun : un poids trop important, avec plus de 170 grammes.

Une fiche technique des plus correctesOrange décide de se lancer lui aussi sur ce segment de marché. Il propose donc en exclusivité le Sharp Aquos Phone SH80F. Il s’agit d’un smartphone Android dont la fiche technique ne manque pas d’atouts. Il dispose d’un bel écran de 4,2 pouces doté d’une résolution HD (540 x 960 pixels), et compatible 3D relief, donc. S’il ne rivalise pas avec les meilleurs du genre, cet afficheur est tout de même de très bonne qualité. L’Aquos propose aussi deux capteurs photo capables de capturer des clichés en 8 Mégapixels, et de filmer dans une résolution Full HD 1080p en 2D et HD 720p en 3D. Son chipset Qualcomm Snapdragon embarque un processeur cadencé à 1,4 GHz. Le Sharp Aquos Phone SH80F tourne sous Android 2.3.4 Gingerbread, avec une interface utilisateur TapFlow UI signée Sharp. Surtout, ce smartphone propose des dimensions un peu moins imposantes que ses deux concurrents, avec 127 x 64 x 11,9 mm pour 135 grammes.

Une vieille connaissanceCe Sharp n’est pas à proprement parler une nouveauté puisqu’il est sorti plus tôt cette année au Japon. Et il a réalisé un véritable carton au Pays du Soleil Levant, avec pas moins de 1,5 million d’unitées écoulées ! Mais les marchés français et japonais sont très différents. Sharp est bien placé pour le savoir puisqu’il avait jeté l’éponge au milieu des années 2000 après plusieurs déconvenus. Le constructeur signe donc son retour en France avec le SH80F. Ce dernier ne se démarque pas par son design, plutôt classique avec une coque noire, dont le dos glossy attire les traces de doigts. Les plastiques employés proposent un toucher moyen, mais la qualité de fabrication de l’ensemble ne souffre aucun reproche. Les trois boutons en façade et les

autres touches latérales sont bien positionnés et tombent parfaitement sous les doigts.

Une 3D relief rutilanteUne fois le smartphone allumé, l’utilisateur est accueilli par une version customisée d’Android 2.3.4 (Gingerbread). Sharp lui a ajouté son interface utilisateur TapFlow qui peut sembler un peu fouillis de prime abord. Mais avec de la pratique, elle se révèle finalement assez agréable à utiliser. La réactivité et la fluidité de l’ensemble du système ne posent pas de problème particulier. Tout juste faut-il veiller à ne pas ouvrir trop d’applications gourmandes simultanéments, sous peine de voir la belle mécanique se gripper un peu.Là où Sharp se démarque de ses concurrents, c’est dans l’intégration plus poussée de la 3D. L’Aquos Phone SH80F permet de passer les menus du téléphone en 3D relief. Que ce soit pour les films ou encore plus pour les jeux, l’effet de 3D relief est vraiment convaincant sur ce smartphone, à condition de bien le tenir droit devant soi. Sharp propose aussi un convertisseur 2D/3D pour les jeux et les vidéos. Autant ce convertisseur est impressionnant pour les jeux compatibles (Open GL seulement), autant il se montre d’un intérêt très limité pour les vidéos. Seules celles qui sont nativement en 3D relief rendent bien. Enfin, en capture de photos et de vidéos, le Sharp enfonce l’Optimus 3D et le Evo 3D avec des clichés et des vidéos beaucoup plus fins, et aux couleurs plus fidèles. Que ce soit en 2D ou en 3D, d’ailleurs.

POUR › Le rendu de la 3D relief pour les vidéos

nativement en 3D ; › La belle qualité des photos et des vidéos

capturées, en 2D et en 3D ; › Le convertisseur 3D fonctionne très bien

avec les jeux Open GL.

COntRe › Aucune intégration des réseaux sociaux ; › L’autonomie tient difficilement la journée ; › Le convertisseur 3D ne sert pas à grand chose

pour les vidéos nativement en 2D.

VeRdiCt L’Aquos Phone SH80F vient se positionner comme un vrai challenger pour le LG Optimus 3D et le HTC Evo 3D, les deux seuls autres smartphones 3D relief en France à l’heure actuelle. Il est globalement meilleur qu’eux pour tout ce qui touche au rendu 3D relief (jeux, films, photos, interface). Et il se révèle aussi un peu plus svelte. En revanche, il est un cran en dessous pour les autres fonctions (Web, mails, réseaux sociaux...) et en termes de réactivité générale.

FiChe teChniqUeDAS : 0,633 W/kg

Dimensions : 127 x 64 x 11,9 mmPoids : 135 g

Taille écran : 4,2 poucesRésolution : 540 x 960 pixels

3G/3G+ : Oui/OuiBluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui

Capture Photo : 8 Mégapixels (3264 x 2448 pixels)

Capture vidéo : 1080p (1920 x 1080 pixels)Mémoire interne : 2 Go

OS : Android 2.3.4Batterie : 1240 mAh

Autonomie en appel / en veille : 5 h / 450 h


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Sharp Aquos Phone SH80F Orange en relief

Après les LG Optimus 3D et HTC EVO 3D, le marché hexagonal accueille un troisième smartphone capable d’afficher de la 3D relief : le Sharp Aquos Phone SH80F. Mais est-il à la hauteur des deux autres ?

Arrivé après le cinéma, la télévision et l’ordinateur, le mobile est surnommé le 4e

écran. Aussi, quand une technologie comme la 3D relief débarque sur les trois autres, il est logique qu’elle finisse par arriver sur le quatrième. Les LG Optimus 3D et HTC EVO 3D ont été les deux premiers smartphones sur le marché français capables de proposer de la 3D relief. Ils avaient chacun leur force et leur faiblesse, mais souffraient d’un défaut commun : un poids trop important, avec plus de 170 grammes.

Une fiche technique des plus correctesOrange décide de se lancer lui aussi sur ce segment de marché. Il propose donc en exclusivité le Sharp Aquos Phone SH80F. Il s’agit d’un smartphone Android dont la fiche technique ne manque pas d’atouts. Il dispose d’un bel écran de 4,2 pouces doté d’une résolution HD (540 x 960 pixels), et compatible 3D relief, donc. S’il ne rivalise pas avec les meilleurs du genre, cet afficheur est tout de même de très bonne qualité. L’Aquos propose aussi deux capteurs photo capables de capturer des clichés en 8 Mégapixels, et de filmer dans une résolution Full HD 1080p en 2D et HD 720p en 3D. Son chipset Qualcomm Snapdragon embarque un processeur cadencé à 1,4 GHz. Le Sharp Aquos Phone SH80F tourne sous Android 2.3.4 Gingerbread, avec une interface utilisateur TapFlow UI signée Sharp. Surtout, ce smartphone propose des dimensions un peu moins imposantes que ses deux concurrents, avec 127 x 64 x 11,9 mm pour 135 grammes.

Une vieille connaissanceCe Sharp n’est pas à proprement parler une nouveauté puisqu’il est sorti plus tôt cette année au Japon. Et il a réalisé un véritable carton au Pays du Soleil Levant, avec pas moins de 1,5 million d’unitées écoulées ! Mais les marchés français et japonais sont très différents. Sharp est bien placé pour le savoir puisqu’il avait jeté l’éponge au milieu des années 2000 après plusieurs déconvenus. Le constructeur signe donc son retour en France avec le SH80F. Ce dernier ne se démarque pas par son design, plutôt classique avec une coque noire, dont le dos glossy attire les traces de doigts. Les plastiques employés proposent un toucher moyen, mais la qualité de fabrication de l’ensemble ne souffre aucun reproche. Les trois boutons en façade et les

autres touches latérales sont bien positionnés et tombent parfaitement sous les doigts.

Une 3D relief rutilanteUne fois le smartphone allumé, l’utilisateur est accueilli par une version customisée d’Android 2.3.4 (Gingerbread). Sharp lui a ajouté son interface utilisateur TapFlow qui peut sembler un peu fouillis de prime abord. Mais avec de la pratique, elle se révèle finalement assez agréable à utiliser. La réactivité et la fluidité de l’ensemble du système ne posent pas de problème particulier. Tout juste faut-il veiller à ne pas ouvrir trop d’applications gourmandes simultanéments, sous peine de voir la belle mécanique se gripper un peu.Là où Sharp se démarque de ses concurrents, c’est dans l’intégration plus poussée de la 3D. L’Aquos Phone SH80F permet de passer les menus du téléphone en 3D relief. Que ce soit pour les films ou encore plus pour les jeux, l’effet de 3D relief est vraiment convaincant sur ce smartphone, à condition de bien le tenir droit devant soi. Sharp propose aussi un convertisseur 2D/3D pour les jeux et les vidéos. Autant ce convertisseur est impressionnant pour les jeux compatibles (Open GL seulement), autant il se montre d’un intérêt très limité pour les vidéos. Seules celles qui sont nativement en 3D relief rendent bien. Enfin, en capture de photos et de vidéos, le Sharp enfonce l’Optimus 3D et le Evo 3D avec des clichés et des vidéos beaucoup plus fins, et aux couleurs plus fidèles. Que ce soit en 2D ou en 3D, d’ailleurs.

POUR › Le rendu de la 3D relief pour les vidéos

nativement en 3D ; › La belle qualité des photos et des vidéos

capturées, en 2D et en 3D ; › Le convertisseur 3D fonctionne très bien

avec les jeux Open GL.

COntRe › Aucune intégration des réseaux sociaux ; › L’autonomie tient difficilement la journée ; › Le convertisseur 3D ne sert pas à grand chose

pour les vidéos nativement en 2D.

VeRdiCt L’Aquos Phone SH80F vient se positionner comme un vrai challenger pour le LG Optimus 3D et le HTC Evo 3D, les deux seuls autres smartphones 3D relief en France à l’heure actuelle. Il est globalement meilleur qu’eux pour tout ce qui touche au rendu 3D relief (jeux, films, photos, interface). Et il se révèle aussi un peu plus svelte. En revanche, il est un cran en dessous pour les autres fonctions (Web, mails, réseaux sociaux...) et en termes de réactivité générale.










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BlackBerry Curve 9360Une belle évolution

La famille des BlackBerry Curve de RIM est la seule qui arrive à rivaliser avec l’iPhone aux yeux des jeunes. Et ce n’est pas avec ce Curve 9360 que la tendance va s’inverser. Le nouveau venu améliore encore les points forts de ses prédécesseurs.

R IM n’a pas réinventé la roue avec le design de ce smartphone. Il se cale sur celui

des précédents modèles de la famille Curve. Néanmoins, il introduit suffisamment de nouveautés pour faire souffler un véritable vent de fraicheur sur cette gamme. La principale différence vient de l’épaisseur d’à peine 11 mm du 9360. Ce qui en fait l’un des smartphones à clavier AZERTY les plus compact du marché. Ses finitions tout en plastique n’offrent pas le même degré de qualité que celles du BlackBerry Bold 9900. Mais c’est tout-à-fait normal dans la mesure où le nouveau Curve représente l’entrée de gamme du constructeur. La qualité de fabrication reste toutefois absolument irréprochable. Mieux, alors que les Curve donnaient un ressenti peu qualitatif avec les derniers Curve 8520 et Curve 3G, ce nouveau 9360 renoue avec une approche plus qualitative de la part de RIM.

BlackBerry OS7 de la partieLa principale marque de fabrique des BlackBerry est le clavier AZERTY en façade. Celui dont dispose le 9360 est fidèle à la réputation d’excellence de la marque. Il propose 35 touches surmontées par un trackpad optique. Ces touches apparaissent comme minuscules de prime abord. Mais elles sont légèrement biseautées, de sorte à limiter les fautes de frappe. Au dessus de ce clavier, l’écran de 2,44 pouces reste dans la tradition des BlackBerry. Il est placé en mode paysage et dispose d’une résolution améliorée de 480 x

360 pixels. C’est très correct pour une telle taille. Il affiche BlackBerry OS7, la dernière version en date du système d’exploitation de RIM. Elle propose une interface graphique plus agréable, plus travaillée que par le passé. L’ergonomie générale reste assez proche de ce que les utilisateurs ont connu avec BlackBerry OS 6. Le navigateur Web progresse vraiment dans cette mise à jour 7. Néanmoins, l’écran du Curve 9360 est vraiment trop petit pour profiter d’une vraie page Web, même si le smartphone les affiche assez rapidement et qu’il est désormais possible de naviguer au sein de ces pages sans trop de saccades. Pour les plus motivés, le trackpad permet d’offrir une navigation Web plus souple, car il fait alors office de pointeur de souris.

Réactif à souhaitSi le Curve 9360 est capable d’afficher sans broncher une vraie page Web, il le doit à sa dotation matérielle vraiment supérieure à celle des modèles précédents. Le nouveau BlackBerry dispose en effet un processeur cadencé à 800 MHz, soit près du double de ce que proposait auparavant le constructeur canadien. Il n’est certes pas au niveau de réactivité des nouveaux BlackBerry plus haut de gamme et de leurs processeurs cadencés à 1,2 GHz. Mais ses performances restent globalement honorables. Il est par exemple plus réactif que le pas si vieux Bold 9780, même s’il n’est pas exempt de quelques ralentissements. Un mot sur l’autonomie pour finir : ce Curve n’intégrant pas d’écran tactile, il peut tenir jusqu’à quatre jours, et ce avec plusieurs comptes e-mails, Facebook et Twitter connectés. Son autonomie est donc particulièrement remarquable.

POUR › Le gabarit compact ; › La précision du clavier malgré sa petite taille ; › La possibilité de créer un document Office ; › La résolution accrue de l’écran ; › L’autonomie impressionnante, qui atteint

les quatre jours.

COntRe › Capture de vidéos en résolution VGA

seulement ; › DAS relativement élevé.

VeRdiCtLe BlackBerry Curve 9360 est sans conteste le meilleur smartphone à clavier dans cette gamme de prix. Il propose non seulement une dotation matérielle (hardware) de qualité, mais aussi tous les services BlackBerry comme les e-mails en tenps réel, BBM, l’intégration poussée des réseaux sociaux, etc.


Dimensions : 109 x 60 x 11 mmPoids : 99 g




Capture vidéo : VGA (640 x 480 pixels)Mémoire interne : 512 Mo

OS : BlackBerry OS 7.0Batterie : 1000 mAh

Autonomie en appel / en veille : 5h / 288 h


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BlackBerry Curve 9360Une belle évolution

La famille des BlackBerry Curve de RIM est la seule qui arrive à rivaliser avec l’iPhone aux yeux des jeunes. Et ce n’est pas avec ce Curve 9360 que la tendance va s’inverser. Le nouveau venu améliore encore les points forts de ses prédécesseurs.

R IM n’a pas réinventé la roue avec le design de ce smartphone. Il se cale sur celui

des précédents modèles de la famille Curve. Néanmoins, il introduit suffisamment de nouveautés pour faire souffler un véritable vent de fraicheur sur cette gamme. La principale différence vient de l’épaisseur d’à peine 11 mm du 9360. Ce qui en fait l’un des smartphones à clavier AZERTY les plus compact du marché. Ses finitions tout en plastique n’offrent pas le même degré de qualité que celles du BlackBerry Bold 9900. Mais c’est tout-à-fait normal dans la mesure où le nouveau Curve représente l’entrée de gamme du constructeur. La qualité de fabrication reste toutefois absolument irréprochable. Mieux, alors que les Curve donnaient un ressenti peu qualitatif avec les derniers Curve 8520 et Curve 3G, ce nouveau 9360 renoue avec une approche plus qualitative de la part de RIM.

BlackBerry OS7 de la partieLa principale marque de fabrique des BlackBerry est le clavier AZERTY en façade. Celui dont dispose le 9360 est fidèle à la réputation d’excellence de la marque. Il propose 35 touches surmontées par un trackpad optique. Ces touches apparaissent comme minuscules de prime abord. Mais elles sont légèrement biseautées, de sorte à limiter les fautes de frappe. Au dessus de ce clavier, l’écran de 2,44 pouces reste dans la tradition des BlackBerry. Il est placé en mode paysage et dispose d’une résolution améliorée de 480 x

360 pixels. C’est très correct pour une telle taille. Il affiche BlackBerry OS7, la dernière version en date du système d’exploitation de RIM. Elle propose une interface graphique plus agréable, plus travaillée que par le passé. L’ergonomie générale reste assez proche de ce que les utilisateurs ont connu avec BlackBerry OS 6. Le navigateur Web progresse vraiment dans cette mise à jour 7. Néanmoins, l’écran du Curve 9360 est vraiment trop petit pour profiter d’une vraie page Web, même si le smartphone les affiche assez rapidement et qu’il est désormais possible de naviguer au sein de ces pages sans trop de saccades. Pour les plus motivés, le trackpad permet d’offrir une navigation Web plus souple, car il fait alors office de pointeur de souris.

Réactif à souhaitSi le Curve 9360 est capable d’afficher sans broncher une vraie page Web, il le doit à sa dotation matérielle vraiment supérieure à celle des modèles précédents. Le nouveau BlackBerry dispose en effet un processeur cadencé à 800 MHz, soit près du double de ce que proposait auparavant le constructeur canadien. Il n’est certes pas au niveau de réactivité des nouveaux BlackBerry plus haut de gamme et de leurs processeurs cadencés à 1,2 GHz. Mais ses performances restent globalement honorables. Il est par exemple plus réactif que le pas si vieux Bold 9780, même s’il n’est pas exempt de quelques ralentissements. Un mot sur l’autonomie pour finir : ce Curve n’intégrant pas d’écran tactile, il peut tenir jusqu’à quatre jours, et ce avec plusieurs comptes e-mails, Facebook et Twitter connectés. Son autonomie est donc particulièrement remarquable.

POUR › Le gabarit compact ; › La précision du clavier malgré sa petite taille ; › La possibilité de créer un document Office ; › La résolution accrue de l’écran ; › L’autonomie impressionnante, qui atteint

les quatre jours.

COntRe › Capture de vidéos en résolution VGA

seulement ; › DAS relativement élevé.

VeRdiCtLe BlackBerry Curve 9360 est sans conteste le meilleur smartphone à clavier dans cette gamme de prix. Il propose non seulement une dotation matérielle (hardware) de qualité, mais aussi tous les services BlackBerry comme les e-mails en tenps réel, BBM, l’intégration poussée des réseaux sociaux, etc.






Capture vidéo : VGA (640 x 480 pixels)Mémoire interne : 512 Mo

OS : BlackBerry OS 7.0Batterie : 1000 mAh

Autonomie en appel / en veille : 5h / 288 h


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Doro PhoneEasy 615L’appel aux seniors

Spécialisée dans les mobiles pour seniors, la marque Doro propose enfin un téléphone portable capable de prendre des photos.

Qu’elle semble loin, l’époque où mobile pour seniors rimait avec design à

coucher dehors. Doro et Emporia se livrent un farouche duel sur ce segment bien particulier du marché des téléphones portables. Le Doro 615 est un mobile à clapet qui dispose d’un design assez classique. Sa coque arrière se pare d’un revêtement anti-dérapant qui facilite sa prise en main. Mobile fermé, la façade dispose d’un petit écran qui permet de prendre connaissance du nom de l’appelant avant de décrocher. Pour le reste, l’ergonomie est vraiment pensée pour les seniors. Les grandes touches du clavier alphanumérique sont parfaitement identifiables. De même, l’écran est suffisamment contrasté pour offrir une excellente lisibilité en toute circonstance. Enfin, les caractères qui s’y affichent sont de grande taille. Un petit écran externe présente le nom de l’appelant et il suffit d’ouvrir le clapet pour décrocher. La qualité de l’écouteur est également excellente grâce à la puissance du son, ce qui garantit une écoute confortable, même quand l’ouïe commence à faire des siennes. D’ailleurs, dans ce cas de figure, la sonnerie au volume

presque assourdissant et le kit mains libres lui aussi très puissant tombent fort à propos.

La photo en berneLes petites attentions pour les seniors ne s’arrêtent pas là. Pour joindre rapidement et facilement les correspondants les plus fréquemment contactés, il existe trois touches d’appel direct. Le répertoire est simplifié à l’extrême et se trouve accessible depuis une touche sobrement baptisée « noms ». Celle des messages est tout aussi facile à identifier puisqu’elle comporte une enveloppe. Enfin, il existe aussi un bouton d’accès direct à la fonction photo, qui se trouve être la grande nouveauté de ce Doro PhoneEasy 615. Il s’agit ici d’un capteur photo de 3,2 Mégapixels, mais les seniors se soucient généralement peu de ce type d’information. Ce qui les intéresse en revanche, c’est la qualité des photos. Et de ce point de vue, les clichés obtenus sont parfois un peu flous, surtout pour les scènes en intérieur.

Une fois dans les menus du téléphone, là encore, tout est pensé pour qu’un senior peu familiarisé avec les nouvelles technologies s’en sorte sans problème. Le Doro 615 est fourni avec une base de recharge rappelant celle des téléphones classiques sans fil. Son fonctionnement pratique et familier permet d’espérer que le propriétaire du Doro n’oubliera pas de recharger son mobile. Au rayon des défauts, on peut reprocher certains menus un peu complexes ou certaines fonctions courantes trop compliquées à trouver, comme le mode réveil, par exemple. De même, le mode silencieux n’est pas toujours facile à activer.

POUR › Le format clapet ; › L’ergonomie vraiment adaptée aux seniors ; › La puissance du volume ; › Les fonctions de sécurité.

COntRe › Certains menus un peu complexes ; › La qualité très moyenne des photos.

VeRdiCtCe Doro est loin d’être exempt de tout reproche. Mais il s’acquitte bien de sa tâche première qui est de permettre aux seniors d’appeler et d’être joint facilement. C’est bien là le principal.

FiChe teChniqUeDDAS : 0,71 W/kg



3G/3G+ : Oui/NonBluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Non/Non

Capture Photo : 3,2 MégapixelsCapture vidéo : Non

Mémoire interne : 50 MoOS : Propriétaire

Batterie : 1520mAhAutonomie en appel / en veille :

3h15 / 530 h


2011V2.indd 9 27/09/11 14:15

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Doro PhoneEasy 615L’appel aux seniors

Spécialisée dans les mobiles pour seniors, la marque Doro propose enfin un téléphone portable capable de prendre des photos.

Qu’elle semble loin, l’époque où mobile pour seniors rimait avec design à

coucher dehors. Doro et Emporia se livrent un farouche duel sur ce segment bien particulier du marché des téléphones portables. Le Doro 615 est un mobile à clapet qui dispose d’un design assez classique. Sa coque arrière se pare d’un revêtement anti-dérapant qui facilite sa prise en main. Mobile fermé, la façade dispose d’un petit écran qui permet de prendre connaissance du nom de l’appelant avant de décrocher. Pour le reste, l’ergonomie est vraiment pensée pour les seniors. Les grandes touches du clavier alphanumérique sont parfaitement identifiables. De même, l’écran est suffisamment contrasté pour offrir une excellente lisibilité en toute circonstance. Enfin, les caractères qui s’y affichent sont de grande taille. Un petit écran externe présente le nom de l’appelant et il suffit d’ouvrir le clapet pour décrocher. La qualité de l’écouteur est également excellente grâce à la puissance du son, ce qui garantit une écoute confortable, même quand l’ouïe commence à faire des siennes. D’ailleurs, dans ce cas de figure, la sonnerie au volume

presque assourdissant et le kit mains libres lui aussi très puissant tombent fort à propos.

La photo en berneLes petites attentions pour les seniors ne s’arrêtent pas là. Pour joindre rapidement et facilement les correspondants les plus fréquemment contactés, il existe trois touches d’appel direct. Le répertoire est simplifié à l’extrême et se trouve accessible depuis une touche sobrement baptisée « noms ». Celle des messages est tout aussi facile à identifier puisqu’elle comporte une enveloppe. Enfin, il existe aussi un bouton d’accès direct à la fonction photo, qui se trouve être la grande nouveauté de ce Doro PhoneEasy 615. Il s’agit ici d’un capteur photo de 3,2 Mégapixels, mais les seniors se soucient généralement peu de ce type d’information. Ce qui les intéresse en revanche, c’est la qualité des photos. Et de ce point de vue, les clichés obtenus sont parfois un peu flous, surtout pour les scènes en intérieur.

Une fois dans les menus du téléphone, là encore, tout est pensé pour qu’un senior peu familiarisé avec les nouvelles technologies s’en sorte sans problème. Le Doro 615 est fourni avec une base de recharge rappelant celle des téléphones classiques sans fil. Son fonctionnement pratique et familier permet d’espérer que le propriétaire du Doro n’oubliera pas de recharger son mobile. Au rayon des défauts, on peut reprocher certains menus un peu complexes ou certaines fonctions courantes trop compliquées à trouver, comme le mode réveil, par exemple. De même, le mode silencieux n’est pas toujours facile à activer.

POUR › Le format clapet ; › L’ergonomie vraiment adaptée aux seniors ; › La puissance du volume ; › Les fonctions de sécurité.

COntRe › Certains menus un peu complexes ; › La qualité très moyenne des photos.

VeRdiCtCe Doro est loin d’être exempt de tout reproche. Mais il s’acquitte bien de sa tâche première qui est de permettre aux seniors d’appeler et d’être joint facilement. C’est bien là le principal.

FiChe teChniqUeDDAS : 0,71 W/kg



3G/3G+ : Oui/NonBluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Non/Non

Capture Photo : 3,2 MégapixelsCapture vidéo : Non

Mémoire interne : 50 MoOS : Propriétaire

Batterie : 1520mAhAutonomie en appel / en veille :

3h15 / 530 h


infosmobiles 41

Acer Iconia SmartL’extra-terrestre

Tablette ou smartphone ? Le dernier-né d’Acer ne manque pas de soulever la question tant ses spécifications techniques semblent emprunter aux deux univers.

La première chose qui frappe avec l’Acer Iconia Smart, c’est son format particulier. Très

allongé, il ressemble davantage à une petite TV au format 21/9e qu’à un smartphone ou même à une tablette. Pourtant, c’est bien à la croisée de ces deux catégories que se situe le nouvel appareil d’Acer. L’écran de 4,8 pouces est doté d’une résolution atypique de 1020 x 480 pixels, qui lui donne sa forme toute en longueur. L’Iconia Smart est assez massif une fois en main car il pèse tout de même 185 grammes. Mais il reste fermement ancré dans la catégorie des smartphones puisqu’il tient sans peine dans une poche de jean. Côté ergonomie, il semble plutôt se destiner à de grandes mains masculines. La qualité de fabrication et les finitions sont assez remarquables. Le dos de l’appareil est notamment presque entièrement recouvert de métal, ce qui donne un certain cachet au smartphone d’Acer.

Un processeur un peu justeLe constructeur a longtemps tâtonné en termes d’interface pour Android. Mais il semble avoir trouvé le bon dosage avec la dernière version de son interface utilisateur maison (Acer UI).

Elle reprend en fait toutes les bonnes idées qu’Acer a mises en place depuis le Stream. Cette interface est vraiment une réussite tant elle fourmille de bonnes idées. Il est toutefois dommage que des ralentissements assez récurrents viennent se faire ressentir. La fiche technique de l’Iconia Smart est pourtant honnête avec un processeur Qualcomm Snapdragon MSM8255-1 cadencé à 1 GHz et 512 Mo de mémoire vive. Mais il aurait sans doute fallu un peu mieux pour épauler un appareil aussi ambitieux. L’Iconia Smart se rattrape avec des capacités multimédias très réussies. Son capteur photo autofocus de 8 Mégapixels permet de faire des clichés aux contours nets, aux couleurs fidèles et aux contrastes justes, lorsque les conditions de luminosité sont correctes. Les photos réalisées en mode macro sont même impressionnantes pour un smartphone.

Le web en paysageLe format de l’écran plaira aux férus de vidéos. Les films rendent superbement sur cet afficheur. L’Iconia Smart peut de plus lire le format Xvid, ce qui le rend compatible avec bon nombre de vidéos disponibles sur le Web. Toutefois, la médaille a son revers : la résolution très particulière pose problème avec les applications qui s’affichent sans remplir tout l’écran. Il faut du coup composer avec une grande bande noire. C’est gênant, mais pas rédhibitoire puisque les applications restent pleinement fonctionnelles. Enfin, les fonctions connectées laissent une impression positive, même si le format de l’écran ne permet pas de profiter pleinement du Web en mode portrait. En mode paysage, la fenêtre est assez étroite, ce qui nécessite des manipulations vers le haut et vers le bas, mais les petits textes sont lisibles sans avoir à zoomer.

POUR › Le grand écran ; › La capture de photos ; › L’interface Acer UI est riche et bien pensée.

COntRe › Assez lourd ; › Beaucoup de fonctions ne tirent pas parti

du format d’écran ; › Des ralentissements dans l’interface.

VeRdiCtAcer a été presque au bout de son concept avec l’Iconia Smart. Ce smartphone dispose de suffisamment d’atouts pour charmer même les plus sceptiques. Dommage que le constructeur n’ait pas doté son produit d’une fiche technique encore plus costaude. Malgré cela, l’Iconia Smart reste intéressant pour ceux qui ne sont pas effrayés par ses dimensions.


Dimensions : 141,7 x 64,5 x 13,6 mmPoids : 185 g





OS : Android 2.3Batterie : 1500mAh



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Motorola Defy+L’Android tout-terrain

La nouvelle génération du Defy sorti l’an passé est encore une fois pensée pour affronter la jungle urbaine, et même la vie en pleine nature, sans perdre sa verve et ses aptitudes de smartphone sous Android.

Le premier Motorola Defy sorti il y a un an se distinguait par sa capacité à faire

face aux aléas du quotidien. Ce smartphone Android était certifié IP67, et donc capable de résister au sable, à la poussière et aux éclaboussures d’eau. Un cocktail gagnant pour le constructeur américain, car les mobiles n’ont jamais été aussi fragiles que depuis l’avènement du tactile et de ses grands écrans à la merci du moindre choc.

Un vrai copier/collerMotorola remet le couvert avec le Defy+, un smartphone qui, comme son nom le laisse entendre, est une version améliorée du premier Defy. Les deux produits ont d’ailleurs énormément en commun. Ils proposent strictement le même design tout en plastique et en rondeurs, avec des dimensions de 107 x 59 x 13,4 mm pour 118 g. Le Defy+ est donc assez léger, à défaut de vraiment fin. Il est même relativement compact pour un smartphone doté d’un écran de 3,7 pouces. Cet afficheur propose une résolution de 800 x 480 pixels, et dispose d’un rendu assez flatteur, avec une bonne luminosité et une finesse d’affichage tout à fait correcte. Enfin, il est aussi usiné dans un verre Corning Gorilla qui le rend plus résistant aux chocs.

À l’épreuve de la vieMalgré sa certification IP67, le Defy+ reste un smartphone tactile avant tout. La solidité de l’écran est donc son point faible, tout Corning Gorrila qu’il soit. Néanmoins, pour les besoins de ce test, nous l’avons jeté du haut d’escaliers (un étage), fait tomber à plusieurs reprises d’un

mètre de hauteur sur des pavés, du parquet et du bitume. Et à chaque fois, il s’en est sorti sans égratignure. Motorola affirme qu’il peut supporter une immersion dans un mètre d’eau pendant 30 minutes. Nous avons donc renversé des liquides dessus pour tester sa résistance aux éclaboussures. Puis nous l’avons laissé plongé pendant une dizaine de minutes dans une baignoire pleine, sans que cela occasionne le moindre dysfonctionnement ! Le Defy+ est donc aussi solide que son prédécesseur, de ce point de vue.

Les vraies pages Web débarquentIl dispose aussi d’un capteur photo autofocus de 5 Mégapixels, capable de prendre des photos assez réussies, surtout si les conditions de luminosité sont favorables. La capture de vidéo est correcte, mais ne laissera pas un souvenir impérissable. Qu’est-ce qui change vraiment alors entre les deux versions ? Pas grande chose, en fait. Motorola a légèrement augmenté la cadence du processeur, le passant de 800 MHz à 1GHz. Outre des performances un peu accrues, cela permet surtout au navigateur du Defy+ de profiter de la technologie Flash sans restriction alors que celui du Defy devait se contenter de FlashLite. Cela offre du coup la possibilité d’afficher les vraies pages Web.Le smartphone est aussi globalement un peu plus fluide et réactif. Mais cela, il le doit aussi à la version 2.3 Gingerbread d’Android, que l’on trouve dans ce smartphone, alors que le Defy se contente toujours de la 2.2 Froyo.

POUR › Résistance aux chutes très supérieure

à la moyenne des smartphones ; › Résistance à l’eau unique parmi

les smartphones actuels ; › Arrivée de la compatibilité Flash Player 11 ; › Interface Motoblur pratique pour gérer

plusieurs réseaux sociaux en même temps.

COntRe › Très peu de différence avec le Defy ; › Design et matériaux utilisés quelconques.

VeRdiCtLe Defy+ vient se positionner exactement de la même manière que le premier Defy. Il s’agit d’un smartphone Android de milieu de gamme, abordable, qui dispose d’une fiche technique et de performances honnêtes. Il se démarque du lot par sa capacité à résister aux aléas du quotidien. Ce n’est donc pas le smartphone Android idéal, mais il constitue un excellent choix pour ceux qui en font voir de toutes les couleurs à leur mobile.





Capture Photo : 5 Mégapixels 2592х1944 pixels)


OS : Android 2.3 GingerbreadBatterie : 1700 mAh

Autonomie en appel / en veille : 7h10 / 384 h


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Smartphonestests

Cela fait plusieurs années qu’Alcatel n’a plus son lustre d’antan. Racheté sous

licence de marque par la société chinoise TLC en 2004, Alcatel s’est pendant longtemps contenté de proposer des mobiles d’entrée de gamme, ou même en marque blanche pour les opérateurs. Toutefois, avec l’arrivée d’Android, la société a compris qu’elle avait aussi une carte à jouer sur le marché des smartphones. Avec cet OT990, Alcatel garde son leitmotiv, qui est de sortir des modèles abordables. La fiche technique n’est certes pas rutilante, mais elle demeure honnête avec un processeur cadencé à 600 MHz épaulé par 512 Mo de mémoire vive, un capteur photo de 5 Mégapixels et un écran de 3,5 pouces doté d’une résolution de 480 x 320 pixels. Des caractéristiques honnêtes donc pour un prix aussi bas. Côté fabrication, la coque moulée dans un plastique doux est assez agréable au toucher. Le design sobre est rehaussé par un pourtour chromé. Plusieurs coloris existent pour varier les plaisirs. La qualité des plastiques utilisés est bonne. En revanche, le smartphone pèse tout de même 141 grammes sur la balance. Cela plaira à certains, car cela amplifie l’impression de solidité de l’appareil, mais d’autres le trouveront un peu trop lourd.

Un écran vraiment perfectibleUne fois le smartphone allumé, l’écran de 3,5 pouces doté d’une résolution de 480 x 320 pixels déçoit. Il n’offre pas un rendu inoubliable puisqu’il vire légèrement vers le bleu et que sa définition est tout juste correcte. Néanmoins, cela ne gêne pas pour surfer sur le Web, gérer les e-mails, Twitter, etc. C’est plutôt pour les activités multimédias comme les photos ou les vidéos que cet écran montre ses limites. Malgré les 5 Mégapixels et la présence d’un autofocus, les photos capturées semblent de très mauvaise qualité dans un premier temps. Mais c’est bien à l’afficheur qu’il faut imputer ce rendu, et pas aux photos prises en elles-mêmes. Une fois exportés sur un ordinateur, les clichés apparaissent alors plutôt réussis, avec des couleurs assez justes et un niveau de détail correct. Côté vidéo, les vidéos capturées sont malheureusement si pixellisées que leur usage est à limiter à l’écran du smartphone.

Bon pour le serviceMalgré quelques défauts, l’OT990 reste plaisant à utiliser au quotidien. La quantité de mémoire vive est extrêmement bien gérée. En pratique, il n’y a quasiment jamais de problème de ralentissements, la quantité de mémoire disponible étant toujours assez élevée. La technologie Flash n’est pas prise en compte du fait du processeur choisi par Alcatel. Cet OT 990 est sorti sous Android 2.2 Froyo en septembre. Mais le constructeur vient de le mettre à jour en 2.3 Gingerbread, ce qui lui permet de gagner encore en fluidité, de disposer d’une interface plus léchée, et de voir son autonomie s’améliorer. En usage moyen, il faut compter deux jours d’autonomie, ce qui est très correct pour un smartphone tactile.

POUR › La réactivité du système ; › La rapidité avec laquelle Alcatel a fait

la mise à jour 2.3 ; › Le design correct et la bonne qualité

de fabrication.

COntRe › Le rendu de l’écran est perfectible ; › La qualité des vidéos capturées est mauvaise ; › Un peu lourd pour certains.

VeRdiCtL’Alcatel OT990 ne sera jamais le choix du cœur. Mais pour ceux qui doivent faire attention à leur budget, mais qui veulent tout de même profiter d’un vrai smartphone Android réactif et ergonomique, ce modèle se pose comme une alternative de choix, grâce notamment à son grand écran, même si la qualité de ce dernier laisse à désirer.





Capture Photo : 5 MégapixelsCapture vidéo : 352 x 288 pixels

Mémoire interne : 2 GoOS : Android 2.3 Gingerbread

Batterie : 1300 mAhAutonomie appel / veille : 6 h / 550 h

Alcatel OneTouch OT-990L’Android du peuple

Alcatel commence à se doter d’une solide gamme Android dont le OneTouch 990 est le fer de lance. Sorti en septembre, il vient d’être mis à jour en Android 2.3. De quoi donner encore plus d’atouts à un smartphone qui n’en manquait déjà pas.


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tests

Avec son design tout en rondeur, le Kyno fait immanquablement penser au Vivaz sorti

l’année dernière chez le même constructeur. S’il en est l’héritier spirituel côté look, il s’en démarque toutefois pour ce qui est de l’OS utilisé. Le Kyno fait partie de la gamme Xperia et se range donc sous la bannière d’Android, tandis que le Vivaz proposait Symbian, un système d’exploitation que Sony Ericsson a abandonné depuis. La qualité de fabrication de ce Kyno est assez soignée, même si les plastiques utilisés ne sont pas les meilleurs du marché. Il est un peu moins fin que l’Arc ou le Ray, les deux fers de lance actuels de la gamme Xperia, avec des dimensions de 116 x 57 x 13 mm. Son écran de 3,7 pouces se situe à mi-chemin entre les 4 pouces du Arc/Arc S et les 3,2 pouces du Ray. Côté technique, les trois smartphones disposent d’un afficheur doté de la nouvelle technologie Bravia Engine du constructeur, et d’une résolution de 800 x 480 pixels. Cet écran est vraiment excellent, se révélant à la fois contrasté, lumineux et disposant de couleurs agréables. Il permet d’afficher le système d’exploitation Android 2.3.4 Gingerbread, auquel Sony Ericsson a rajouté une interface utilisateur qui lui est propre. Son but est de simplifier l’usage

d’Android, et elle y parvient plutôt bien. Elle ne révolutionne en rien la philosophie de l’OS de Google. Toutefois, elle offre une présentation plus aérée, et des options d’organisation plus poussées. Ce système est fluide et réactif dans la grande majorité des situations.

Une fiche technique des plus correctesCôté multimédia, le Kyno ne déçoit vraiment pas, surtout vu le prix très raisonnable auquel il est proposé. Son capteur photo de 8 Mégapixels permet de capturer de très bons clichés, avec des couleurs fidèles, des contrastes bien dosés et des détails à foison. Même les photos réalisées en condition de basse luminosité sont nettement supérieures à celles que permettent de réaliser les autres smartphones, grâce à un capteur Exmor R particulièrement performant dans ce domaine. Quant aux vidéos capturées en HD 720p, elles sont assez agréables, si la fluidité n’est pas toujours pas parfaite. Le lecteur musical est à l’avenant avec un son remarquable, à la fois précis, ample et avec des basses bien présentes. Pour le reste, on retrouve la même dotation matérielle (hardware) pour les entrailles du smartphone que dans le Ray et l’Arc (quoique l’Arc S dispose d’un processeur plus rapide). Le chipset est un Qualcomm Snapdragon MSM8255 embarquant un processeur Scorpion cadencé à 1GHz et une puce graphique Adreno 205. Le tout est épaulé par 512 Mo de mémoire vive (RAM) et 1 Go de mémoire de stockage. Enfin, toutes les connectivités du moment sont au rendez-vous avec la 3G+ à 7,2 Mbps en download et 5,8 Mbps en upload, le Wi-Fi b/g/n, le DLNA, le GPS (assisté) ainsi que le Bluetooth 2.1.

POUR › L’écran de 3,7 pouces au rendu flatteur ; › Interface utilisateur fluide et réactive ; › Très bonne qualité des photos capturées ; › Toutes les fonctions des smartphones

Android haut de gamme.

COntRe › Design assez quelconque ; › Des vidéos capturées pas toujours fluides.

VeRdiCtPour proposer ce Kyno à un prix intéressant, Sony Ericsson a fait des concessions, mais aucun sacrifice. Ce smartphone est superbement polyvalent. Il n’est certes pas parfait, mais il ne souffre d’aucun défaut rédhibitoire. Au final, il s’agit donc d’un excellent choix, qui permet de profiter d’un smartphone Android complet, ergonomique, réactif et bon en multimédia sans se ruiner.






Capture vidéo : 720p (1280 x 720 pixels)Mémoire interne : 512 Mo



Sony Ericsson Xperia KynoLe meilleur rapport qualité/prix ?

Sony Ericsson a étoffé de manière significative sa gamme Android en 2011. Le Kyno testé ici vient se nicher au milieu de cette gamme, avec des caractéristiques techniques et des performances très intéressantes.


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Avec son design tout en rondeur, le Kyno fait immanquablement penser au Vivaz sorti

l’année dernière chez le même constructeur. S’il en est l’héritier spirituel côté look, il s’en démarque toutefois pour ce qui est de l’OS utilisé. Le Kyno fait partie de la gamme Xperia et se range donc sous la bannière d’Android, tandis que le Vivaz proposait Symbian, un système d’exploitation que Sony Ericsson a abandonné depuis. La qualité de fabrication de ce Kyno est assez soignée, même si les plastiques utilisés ne sont pas les meilleurs du marché. Il est un peu moins fin que l’Arc ou le Ray, les deux fers de lance actuels de la gamme Xperia, avec des dimensions de 116 x 57 x 13 mm. Son écran de 3,7 pouces se situe à mi-chemin entre les 4 pouces du Arc/Arc S et les 3,2 pouces du Ray. Côté technique, les trois smartphones disposent d’un afficheur doté de la nouvelle technologie Bravia Engine du constructeur, et d’une résolution de 800 x 480 pixels. Cet écran est vraiment excellent, se révélant à la fois contrasté, lumineux et disposant de couleurs agréables. Il permet d’afficher le système d’exploitation Android 2.3.4 Gingerbread, auquel Sony Ericsson a rajouté une interface utilisateur qui lui est propre. Son but est de simplifier l’usage

d’Android, et elle y parvient plutôt bien. Elle ne révolutionne en rien la philosophie de l’OS de Google. Toutefois, elle offre une présentation plus aérée, et des options d’organisation plus poussées. Ce système est fluide et réactif dans la grande majorité des situations.

Une fiche technique des plus correctesCôté multimédia, le Kyno ne déçoit vraiment pas, surtout vu le prix très raisonnable auquel il est proposé. Son capteur photo de 8 Mégapixels permet de capturer de très bons clichés, avec des couleurs fidèles, des contrastes bien dosés et des détails à foison. Même les photos réalisées en condition de basse luminosité sont nettement supérieures à celles que permettent de réaliser les autres smartphones, grâce à un capteur Exmor R particulièrement performant dans ce domaine. Quant aux vidéos capturées en HD 720p, elles sont assez agréables, si la fluidité n’est pas toujours pas parfaite. Le lecteur musical est à l’avenant avec un son remarquable, à la fois précis, ample et avec des basses bien présentes. Pour le reste, on retrouve la même dotation matérielle (hardware) pour les entrailles du smartphone que dans le Ray et l’Arc (quoique l’Arc S dispose d’un processeur plus rapide). Le chipset est un Qualcomm Snapdragon MSM8255 embarquant un processeur Scorpion cadencé à 1GHz et une puce graphique Adreno 205. Le tout est épaulé par 512 Mo de mémoire vive (RAM) et 1 Go de mémoire de stockage. Enfin, toutes les connectivités du moment sont au rendez-vous avec la 3G+ à 7,2 Mbps en download et 5,8 Mbps en upload, le Wi-Fi b/g/n, le DLNA, le GPS (assisté) ainsi que le Bluetooth 2.1.

POUR › L’écran de 3,7 pouces au rendu flatteur ; › Interface utilisateur fluide et réactive ; › Très bonne qualité des photos capturées ; › Toutes les fonctions des smartphones

Android haut de gamme.

COntRe › Design assez quelconque ; › Des vidéos capturées pas toujours fluides.

VeRdiCtPour proposer ce Kyno à un prix intéressant, Sony Ericsson a fait des concessions, mais aucun sacrifice. Ce smartphone est superbement polyvalent. Il n’est certes pas parfait, mais il ne souffre d’aucun défaut rédhibitoire. Au final, il s’agit donc d’un excellent choix, qui permet de profiter d’un smartphone Android complet, ergonomique, réactif et bon en multimédia sans se ruiner.






Capture vidéo : 720p (1280 x 720 pixels)Mémoire interne : 512 Mo



Sony Ericsson Xperia KynoLe meilleur rapport qualité/prix ?

Sony Ericsson a étoffé de manière significative sa gamme Android en 2011. Le Kyno testé ici vient se nicher au milieu de cette gamme, avec des caractéristiques techniques et des performances très intéressantes.


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Nokia vient de dévoiler sa nouvelle gamme de smartphones sous Windows

Phone, les Nokia Lumia. Mais le constructeur s’était engagé à continuer de proposer des smartphones sous Symbian. Le dernier en date, le Nokia 701, propose une fiche technique très propre. Son premier fait d’armes est de disposer (enfin) d’un processeur cadencé à 1 GHz, à la hauteur de ceux de la concurrence. Il est d’ailleurs le premier Nokia à proposer une telle configuration. Il est associé à la mise à jour Symbian Belle, qui apporte elle aussi son lot de nouveautés. Parmi elles, on trouve notamment cinq pages d’accueil et des widgets à la taille ajustable. Symbian n’a jamais autant ressemblé à Android ! De fait, le Nokia 701 est assez agréable à l’usage. Il offre une navigation fluide et il se révèle réactif dans la plupart des situations.

Une focale fixe qui ne sert à rienNokia est rarement maladroit quand il s’agit de multimédia, et il le prouve encore avec ce modèle. Le capteur photo autofocus de 8 Mégapixels permet de capturer des clichés bien détaillés et aux couleurs fidèles. Les productions ne sont toutefois pas parfaites, notamment en condition de basse luminosité ou lorsque les contrastes sont trop importants. Mais le vrai défaut de la

fonction photo, c’est l’absence d’autofocus. Nokia persiste et signe avec ses focales fixes qui ne permettent pas de prendre des photos de sujets rapprochés, comme pour des macros, et surtout des portraits. La capture des vidéos en 720p est en revanche irréprochable. Les vidéos sont fluides grâce à la capture en 30 images par seconde, et leur rendu est exemplaire. Pour la lecture de contenus multimédias, le Nokia 701 se révèle là encore très convaincant. Il fait un très bon lecteur musical. Il se montre aussi capable de la plupart des fichiers vidéo que l’on trouve sur le Web grâce à sa compatibilité avec le codec Xvid.

Un C7 revu aux goûts du jourL’écran tactile de 3,5 pouces (640 x 360 pixels) sur lequel s’affiche ces contenus multimédias est de très bonne facture. Outre son rendu très correct, il se distingue surtout grâce une luminosité hors norme qui offre une très bonne lisibilité en extérieur. Enfin, un mot sur le design de l’appareil : il n’est pas sans rappeler celui du C7 chez le même constructeur. Nokia a tout de même un peu revu sa copie. Le 701 propose les mêmes courbes arrondies, mais avec une finition un peu plus huppée, notamment un cerclage en métal assez réussi. La qualité de fabrication est également très bonne.

POUR › Nokia Drive offre la navigation GPS vocale ; › Un processeur à 1GHz et 512 Mo

de mémoire vive ; › Des capacités multimédia au-dessus de

la moyenne.

COntRe › La focale fixe de l’appareil photo, qui

empêche les photos rapprochées ; › Peu d’applications sur la boutique Nokia ; › Symbian Belle est agréable, mais arrive

trop tard.

VeRdiCtLe Nokia 701 est un smartphone Nokia assez agréable à pratiquer au quotidien, qui bénéficie enfin d’une dotation matérielle décente. L’ergonomie de la dernière version Symbian Belle se rapproche beaucoup d’Android. Quant aux qualités multimédias, elles sont bonnes. Enfin, la présence de Nokia Drive peut finir de convaincre ceux qui aiment la marque Nokia. Mais pour les autres, difficile de choisir ce smartphone quand on sait qu’au même prix, des légions de smartphones Android bourrés d’applications sont disponibles.


Dimensions : 117.2 x 56.8 x 11 mmPoids : 131 g





OS : Symbian BelleBatterie : 1300 mAh

Autonomie en appel / en veille : 6 h 45 / 504 h

Nokia 701symbian Belle a mangé du lion

Nokia a beau avoir annoncé récemment sa nouvelle gamme de smartphones Windows Phone, cela n’empêche pas le constructeur finlandais de continuer à proposer des mobiles sous Symbian. La preuve avec ce Nokia 701qui allie caractéristiques techniques correctes et prix abordable.

Solutions de Stockage et de Transfert de données pour téléphones mobiles et tablettes numériques.


Retrouvez tous les produits et la liste des points de vente PNY surwww.pny.eu

MicroSDHC Class 4 - 16GO

Tirez le meilleur parti de votre téléphone portable !La carte mémoire PNY MicroSD™ est l’un des plus petits formats de carte mémoire flash destiné aux téléphones portables.Elle permet le téléchargement de musiques, de jeux, de videos grâce à la puissance de stockage supplémentaire. Ces cartes sont proposées jusqu’à 32Go.


Optimisez le stockage des données de votre tablette numérique !Les nouvelles cartes MicroSDHC™ Class 10 sont la solution parfaite pour stocker des films, notes personnelles, applications, jeux, livres numériques et plus encore sur votre tablette numérique.Proposées avec le taux de transfert le plus performant, Class 10, ces cartes offrent des vitesses de lecture et écriture atteignant jusqu’à 15MO/sec. Le téléchargement de données à partir d’internet se fait plus rapidement et la lecture des données est aussi largement plus confortable.

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La clé USB Attaché™ Evolutive est un concept de clé évolutive. Elle est vendue avec une carte MicroSD qui est insérée dans la clé.

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Nokia vient de dévoiler sa nouvelle gamme de smartphones sous Windows

Phone, les Nokia Lumia. Mais le constructeur s’était engagé à continuer de proposer des smartphones sous Symbian. Le dernier en date, le Nokia 701, propose une fiche technique très propre. Son premier fait d’armes est de disposer (enfin) d’un processeur cadencé à 1 GHz, à la hauteur de ceux de la concurrence. Il est d’ailleurs le premier Nokia à proposer une telle configuration. Il est associé à la mise à jour Symbian Belle, qui apporte elle aussi son lot de nouveautés. Parmi elles, on trouve notamment cinq pages d’accueil et des widgets à la taille ajustable. Symbian n’a jamais autant ressemblé à Android ! De fait, le Nokia 701 est assez agréable à l’usage. Il offre une navigation fluide et il se révèle réactif dans la plupart des situations.

Une focale fixe qui ne sert à rienNokia est rarement maladroit quand il s’agit de multimédia, et il le prouve encore avec ce modèle. Le capteur photo autofocus de 8 Mégapixels permet de capturer des clichés bien détaillés et aux couleurs fidèles. Les productions ne sont toutefois pas parfaites, notamment en condition de basse luminosité ou lorsque les contrastes sont trop importants. Mais le vrai défaut de la

fonction photo, c’est l’absence d’autofocus. Nokia persiste et signe avec ses focales fixes qui ne permettent pas de prendre des photos de sujets rapprochés, comme pour des macros, et surtout des portraits. La capture des vidéos en 720p est en revanche irréprochable. Les vidéos sont fluides grâce à la capture en 30 images par seconde, et leur rendu est exemplaire. Pour la lecture de contenus multimédias, le Nokia 701 se révèle là encore très convaincant. Il fait un très bon lecteur musical. Il se montre aussi capable de la plupart des fichiers vidéo que l’on trouve sur le Web grâce à sa compatibilité avec le codec Xvid.

Un C7 revu aux goûts du jourL’écran tactile de 3,5 pouces (640 x 360 pixels) sur lequel s’affiche ces contenus multimédias est de très bonne facture. Outre son rendu très correct, il se distingue surtout grâce une luminosité hors norme qui offre une très bonne lisibilité en extérieur. Enfin, un mot sur le design de l’appareil : il n’est pas sans rappeler celui du C7 chez le même constructeur. Nokia a tout de même un peu revu sa copie. Le 701 propose les mêmes courbes arrondies, mais avec une finition un peu plus huppée, notamment un cerclage en métal assez réussi. La qualité de fabrication est également très bonne.

POUR › Nokia Drive offre la navigation GPS vocale ; › Un processeur à 1GHz et 512 Mo

de mémoire vive ; › Des capacités multimédia au-dessus de

la moyenne.

COntRe › La focale fixe de l’appareil photo, qui

empêche les photos rapprochées ; › Peu d’applications sur la boutique Nokia ; › Symbian Belle est agréable, mais arrive

trop tard.

VeRdiCtLe Nokia 701 est un smartphone Nokia assez agréable à pratiquer au quotidien, qui bénéficie enfin d’une dotation matérielle décente. L’ergonomie de la dernière version Symbian Belle se rapproche beaucoup d’Android. Quant aux qualités multimédias, elles sont bonnes. Enfin, la présence de Nokia Drive peut finir de convaincre ceux qui aiment la marque Nokia. Mais pour les autres, difficile de choisir ce smartphone quand on sait qu’au même prix, des légions de smartphones Android bourrés d’applications sont disponibles.


Dimensions : 117.2 x 56.8 x 11 mmPoids : 131 g





OS : Symbian BelleBatterie : 1300 mAh

Autonomie en appel / en veille : 6 h 45 / 504 h

Nokia 701symbian Belle a mangé du lion

Nokia a beau avoir annoncé récemment sa nouvelle gamme de smartphones Windows Phone, cela n’empêche pas le constructeur finlandais de continuer à proposer des mobiles sous Symbian. La preuve avec ce Nokia 701qui allie caractéristiques techniques correctes et prix abordable.








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Le meilleur de demaintechno futur

Les contraintes indépassables du design des actuels smartphones : la taille et la forme de leur écran. De plus en plus grand, inévitablement, c’est lui qui conditionne la forme finale et le poids de nos mobiles connectés. Indépassable ? Plus pour longtemps...

Se plier à nos désirs

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Après des années de concepts aussi beaux que virtuels, Nokia et Samsung ont dévoilé leurs futurs smartphones à écran flexible, annoncés pour... 2012 ! Autant dire demain. Un jour, bientôt, les smartphones (et sans doute les tablettes par la suite) n’auront donc plus besoin d’être plus lourds et plus grands pour nous en proposer encore plus : des écrans ou du moins des affichages plus grands, plus d’applications, plus d’usage... 2012 pourrait bien, si ces deux concepts voient bel et bien le jour, changer le visage de la téléphonie mobile, la faisant entrer dans un nouveau cycle, après celui de l’écran tactile.

Un Nokia Kinetic à tordreC’est au Nokia World 2011, à Londres, il y a quelques jours, que Nokia a dévoilé son Kinetic, un smartphone à écran flexible, lointain descendant du concept Morph présenté il y a trois ans de cela. Doté d’un écran 5 pouces, ce prototype embarque deux applications, une visionneuse photo et un baladeur audio. Plier l’écran vers l’avant ou vers l’arrière permet aussi bien de zoomer que de dézoomer, ou bien de changer de morceau. Voilà déjà une toute nouvelle ergonomie changeant nos (récentes) habitudes du tout au tout. Mais pas question de s’en servir d’une seule main, en revanche.

Un Galaxy purement flexibleDe son côté, Samsung tient à démontrer sa capacité d’innovation en présentant son Galaxy Skin, un smartphone encore plus flexible, carrément souple, à l’apparence futuriste imaginée par des étudiants en design. On l’annonce avec un écran Amoled en résolution 800x480, un capteur photo 8 Mégapixels, 1 Go de Ram et un processeur 1,2 Ghz. Après-demain, peut-être retrouverons-nous ces écrans flexibles, voire tactiles, sur des tablettes et ordinateurs portables vraiment différents de ceux commercialisés à l’heure actuelle ?

NoKIa KINetIc & SamSUNG GaLaxy FLex, SortIe eN 2012


* L’incroyable, chaque jour. DAS Nokia LUMIA 800 : 0,94 W/kg. Le DAS (débit d’absorption spéci que) des téléphones mobiles quanti e le niveau d’exposition maximal de l’utilisateur aux ondes électromagnétiques, pour une utilisation à l’oreille. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 W/kg. Photos non contractuelles. Tous droits réservés. © 2011 Microsoft Corporation. © 2011 Nokia. R.C.S. Paris B 493271522.

Nokia Searay Lancement Affiche A4.indd 1 24/10/11 12:00


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