il reçoit également le soutien de nombreux partenaires : le...

36

Upload: others

Post on 09-Jul-2020

5 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

2

Il reçoit également le soutien de nombreux partenaires : le Consortium Stade de France,Vinci Immobilier, Icade, Bouygues Bâtiment Île-de-France, la RATP, Brémond,Eiffage Construction, Bouygues Immobilier, Plaine Commune Développement,Bateg, la Société de Distribution de Chaleur de Saint-Denis, Generali, GTM,la Caisse des Dépôts et Consignations, Colas, Européquipements, Sita, Veolia propreté,la Société de Travaux Publics Dubrac, Fayolle, SEE Simeoni, la Foncière des Régions.

Concerts en direct et en différé

Concerts en direct, en différé et à la réécoute sur francemusique.fr

Streaming : concerts en direct et en VOD sur le webwww.festival-saint-denis.com • www.radiofrance.com • liveweb.arte.tv

En partenariat avec :

Organisé et financé par la ville de Saint-Denis, le Festival de Saint-Denis estsoutenu par le Département de la Seine-Saint-Denis. Il est aidé par PlaineCommune, le Conseil Régional d’Île-de-France, le Ministère de la Culture et dela Communication (DRAC Île-de-France), le Centre des monuments nationaux,et Radio France.

Présidente : Monique PrimDirectrice : Nathalie Rappaport

Le Festival est membre de France Festivals et de Profedim.Il bénéficie de l’aide précieuse de nombreux bénévoles.La basilique cathédrale de Saint-Denis est un monument ouvert à la visite par le Centre des monuments nationaux.

3

Calendrier des concerts

Date Heure Lieu Concert Page

Mer. 21 mai 20h30 Pierrefitte-sur-Seine Raul Paz / ONDIF (Métis) 26

Jeu. 22 mai 20h30 Stains El Sistema Miami #1 (Métis) 26

Ven. 23 mai 20h30 Epinay-sur-Seine Viktoria Mullova (Métis) 26

Sam. 24 mai 20h30 L’Île-Saint-Denis El Sistema Miami #2 (Métis) 26

Lun. 26 mai 20h30 La Courneuve Pygmalion (Métis) 26

Mar. 27 mai 20h30 Basilique Cathédrale La Passion de Simone 4

Mer. 28 mai 20h30 Aubervilliers Jasser Haj Youssef / OCP (Métis) 26

Mar. 3 juin 20h30 Basilique Cathédrale Hildegard von Bingen / Maalouf 6-7

Mer. 4 juin 20h30 Saint-Denis Quatuor Debussy (Métis) 26

Jeu. 5 juin 20h30 Basilique Cathédrale Mahler Symphonie no2 8-9

Ven. 6 juin 20h30 Basilique Cathédrale Mahler Symphonie no2 8-9

Ven. 6 juin 20h30 Saint-Ouen Quatuor Tana (Métis) 26

Sam. 7 juin 20h30 Légion d’Honneur Julia Fischer en quatuor 10

Dim. 8 juin 17h00 Légion d’Honneur Vivaldi 11

Mar. 10 juin 20h30 Basilique Cathédrale Bach / Schoenberg 12-13

Mar. 10 juin 20h30 Villetaneuse Dom La Nena / OSD (Métis) 26

Mer. 11 juin 20h30 Basilique Cathédrale Mozart / Haydn 14-15

Ven. 13 juin 20h30 Basilique Cathédrale Dvorák Stabat Mater 16-17

Sam. 14 juin 20h30 Légion d’Honneur Khatia et Gvantsa Buniatishvili 18

Dim. 15 juin 17h00 Légion d’Honneur Capuçon / Caussé / Moreau 19

Mar. 17 juin 20h30 Basilique Cathédrale Tchaïkovski 20-21

Jeu. 19 juin 20h30 Basilique Cathédrale Brahms / Mendelssohn 22-23

Ven. 20 juin 20h30 Basilique Cathédrale Il Diluvio Universale 24-25

Dim. 22 juin 17h00 Légion d’Honneur Julie Fuchs 27

Mar. 24 juin 20h30 Basilique Cathédrale Rossini Petite Messe… 28-29

Jeu. 26 juin 20h30 Basilique Cathédrale Mendelssohn Elias 30-31

Ven. 27 juin 20h30 Basilique Cathédrale Mendelssohn Elias 30-31

Métis.................................................................................................................................................................................................26Accès / Lieux / Equipe......................................................................................................................................................32Tarifs et résevations ............................................................................................................................................................35

4

Coproduction La Chambre aux échos, Music Centre Slovakia et Festival de Saint-Denis

Mardi 27 mai • 20h30 • Basilique Cathédrale

Kaija Saariaho La Passion de Simone Création française - Livret d’Amin Maalouf

Karen Vourc’h, soprano soloQuatuor vocalIsabelle Seleskovitch, comédienneAleksi Barrière, mise en scèneSecession OrchestraClément Mao-Takacs, direction

Kaija

Saa

riaho

© P

riska

Ket

tere

r

La Passion de Simone est un voyagelittéraire et musical en quinze étapessur le modèle des Passions de Bach.Nous suivons ici la vie et l’œuvre deSimone Weil, philosophe juive éclai-rée, mystique et pacifiste, en luttecontre la guerre d’Espagne, le na-zisme et le stalinisme. La composi-trice finlandaise Kaija Saariaho, quivit désormais entre New York etParis, est l’une des plus brillantesplumes musicales de notre époque -succès mondial de ses opérasL’Amour de Loin, Emilie, AdrianaMater… Ses plus proches collabora-teurs s’appellent Peter Sellars maisaussi l’écrivain Amin Maalouf quisigne le livret de cette Passioncontemporaine, « boussole discrète etpuissante pour notre monde égaré ».

C’est une équipe de jeunes talentsqui défend avec ardeur cette recréa-tion : le metteur en scène et philo-sophe Aleksi Barrière, le SecessionOrchestra et son chef Clement MaoTakacs, la chanteuse soliste KarenVourc’h, qui connaît bien l’œuvre deKaija Saariaho et qui, pour l’Histoire,a un lien de parenté avec SimoneWeil. Sa voix est notre alter ego et in-terroge le monde, tandis que la co-médienne est la voix de Simone. Lechœur en est une troisième, celle ducommentateur, comme dans la tra-dition du théâtre antique. Une nouvelle version de chambrespatialisée, qui fait chanter toutesles couleurs de l’orchestre ; unecréation française, en avant-pre-mière au Festival.

Avant-première

Le Festival est intimement lié au patri-moine architectural exceptionnel de Saint-Denis mais il est également profondémentancré dans le monde d’aujourd’hui etconjugue donc en permanence le passé et leprésent, le patrimoine et la création.

Le répertoire, d’abord, est pensé en fonction dela Basilique qui l’accueille : la Résurrection deMahler, véritable pilier de l’histoire du Festival,le Stabat Mater de Dvorák, la Petite Messe solen-nelle de Rossini, la 4e de Brahms proposée parMyung-Whun Chung à la tête de son orchestre, lePhilharmonique de Radio France, enfin la fresquede Mendelssohn, Elias, avec le Choeur de RadioFrance et le National, sous la direction de son di-recteur musical Daniele Gatti pour deux concerts,en clôture.

Et parce que ce patrimoine musical se recrée tous lesjours, les jeunes talents sont particulièrement à l’hon-neur dans les distributions ou les récitals à la Légiond’Honneur, Julie Fuchs, Edgar Moreau, Marianne Cre-bassa, Julien Behr, Julia Lezhneva, et Michael Nagy…De même côté chefs, nous poursuivons nos collabora-tions avec Leonardo García Alarcón qui marie des per-cussions orientales au baroque sicilien, Raphaël Pichonpour sa lecture de Mozart et du style pré-classique,Jakub Hruša et James Gaffigan avec les formations deRadio France, et retrouvons par ailleurs Nathalie Stutz-mann, chanteuse et chef(fe) à la fois, avec la complicitéde Renaud Capuçon.

A partir de cantiques de Hildegard von Bingen, composi-trice et abbesse du 12e siècle contemporaine de l’abbéSuger de Saint-Denis, le Festival, avec Radio France, apassé commande à Ibrahim Maalouf d’une nouvelle par-tition, à découvrir pour l’ouverture, avec la Maîtrise deRadio France et sa directrice musicale Sofi Jeannin.

Enfin, une compositrice d’aujourd’hui et un livret d’AminMaalouf pour une avant-première et en création française:la nouvelle version de la Passion de Simone de Kaija Saa-riaho, qui invite à visiter avec distance et émotion la vie etl’œuvre de Simone Weil.

Passé, présent, patrimoine et création, le Festival vousconvie au plaisir de la (re)découverte.

Nathalie RappaportDirectrice du Festival de Saint-Denis

Le Passé au Présent

5

°

6

Coproduction Radio France / Festival de Saint-Denis

Mardi 3 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Hildegard von BingenCantiques

Ibrahim Maalouf Création d’après Hildegard von BingenCo-commande Radio France - Festival de Saint-Denis

Les Musiciens de Saint-JulienEnsemble de cuivres et percussionsIbrahim Maalouf, trompetteMaîtrise de Radio FranceSofi Jeannin, directrice musicale

Sofi Jeannin, direction

Ibra

him

Maa

louf

© D

enis

Rou

vre©

Cré

dits

7

Après Kaija, faites un saut de huitsiècles en arrière et redécouvrez Hil-degard. Après Amin, sautez une gé-nération et retrouvez Ibrahim. Ce concert d’ouverture a la formed’un diptyque : deux tableaux dialo-guent et se reflètent.D’un côté, le chant d’extase mys-tique, virtuose et hypnotique d’unefemme hors norme, abbesse rhénanedu XIIe siècle, grande figure duMoyen Âge contemporaine d’Abé-lard et de l’abbé Suger, et que lavague hippie des 70’s a portée ausommet ; de l’autre, une nouvellepartition d’Ibrahim Maalouf, pourvoix d’enfants et cuivres, inspirée deschants de Hildegard et de la Basi-lique qu’il connaît bien.Hildegard von Bingen qui fut unefemme éclairée et libre, a laissé uneproduction gigantesque, d’une qua-lité exceptionnelle. Sa musique, ap-parentée au chant grégorien,s’envole, plane, exulte sur des textes

débordant de fantaisies, de joie etd’imagination. Cette transe ne pou-vait que parler à Ibrahim Maalouf,entouré de cuivres pour l’occasion,et bien sûr de sa trompette orientaleà quart de tons. Le Festival a passé cette nouvellecommande avec Radio France,grâce à qui nous retrouvons les voixde la Maîtrise et sa brillante direc-trice musicale, Sofi Jeannin, très re-marquée l’an dernier dans leRequiem de Fauré.

Sofi

Jean

nin

© C

hist

ophe

Abr

amov

itz

8

Coproduction Radio France / Festival de Saint-Denis

Jeudi 5 et vendredi 6 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Mahler Symphonie no2 « Résurrection »

Genia Kühmeier, soprano Nathalie Stutzmann, contralto

Chœur de Radio FranceMatthias Brauer, directeur musical

Orchestre National de FranceDaniele Gatti, directeur musical

James Gaffigan, direction

Nath

alie

Stu

tzm

ann

© S

imon

Fow

ler©

Cré

dits

Geni

a Ku

hmei

er ©

Joha

nnes

Ifko

vits

9

L’œuvre est fondatrice du Festival.Elle a lancé le début du cycle Mah-ler dans la Basilique qui persiste etsigne depuis 35 ans avec succès.Cette « Résurrection » est le monu-ment de musique que l’on attend :deux chanteuses solistes, un vastechœur, un plateau orchestral tita-nesque avec plus de 25 cuivres etpercussions… une déferlante de sonset d’émotions avec le fameux Urlichtde la mezzo, et ce gigantesque finalchoral, qui n’est pas sans rappeler uncertain Beethoven et son hymne à lajoie.C’est aussi la symphonie la plus mys-tique du compositeur, clairementtournée vers la foi chrétienne et laNature, si magnifiquement célébrée.Plus que jamais, le compositeurquestionne le monde, nous parle dusens de la vie, de la mort. A la tête du Chœur de RadioFrance, de l’Orchestre National deFrance, un jeune chef américain,

James Gaffigan, est à découvrir detoute urgence. Ancien assistant deSir Michael Tilson Thomas, direc-teur musical de l’Orchestre Sym-phonique de Lucerne, chef principaldu Philharmonique de la Radio desPays-Bas, successeur de JamesConlon au Gürzenich Orchester, sadéjà très brillante carrière exploseoutre-Atlantique. Ses débuts àSaint-Denis marquent égalementceux de ses premiers grands concertsen France.Genia Kühmeier a chanté plusieursfois au Festival et en compagnie desmeilleurs… Quant à NathalieStutzmann, ce Mahler est un grandmoment de retrouvailles. Artistephare de cette édition, on la re-trouve dans un autre rôle et dans unautre répertoire, mais qui n’est passans lien de filiation. A suivre.

Jam

es G

affig

an ©

Mat

Hen

nek

10

Samedi 7 juin • 20h30 • Légion d’Honneur

Beethoven Quatuor op. 18 no4Schumann Quatuor op. 41 no3Chostakovitch Quatuor no8

Julia Fischer, violonAlexander Sitkovetsky, violonNils Mönkemeyer, altoBenjamin Nyffenegger, violoncelle

Cette jeune trentenaire est l’une desplus brillantes solistes et musiciennesde sa génération : résidence à la Phil-harmonie de Berlin, concertos du ré-pertoire avec les plus prestigieusesphalanges internationales, Vienne,Cleveland, San Francisco, Saint-Pé-tersbourg, deux disques dans l’an-née… Si son emploi du temps donnele vertige, son statut de star ne lui faitjamais oublier que la musique, et enparticulier la musique de chambre, estavant tout une histoire de partage etune question de confiance.Avant Mendelssohn avec le « Phil-

har » et Myung-Whun Chung à laBasilique, Julia Fischer s’invite enquatuor dans l’intimité de la Légiond’Honneur : un Beethoven héroïqueet tragique, contemporain de la Cin-quième Symphonie du destin ou en-core de sa Sonate Pathétique, unSchumann brûlant et intensémentromantique, enfin, un Chostako-vitch, expressionniste et spectaculaire,avec ce quatuor dédié aux victimes dela guerre et du fascisme. Trois piliers du répertoire par quatremusiciens complices, réunis dans unseul et même souffle.

Julia

Fis

cher

© K

assk

ara

11

Vivaldi et les orphelines de VeniseVivaldi Kyrie RV 587 en sol mineurGloria RV 589 en ré majeur, Credo…

Les Cris de Paris,chœur de femmes et ensemble orchestral Geoffroy Jourdain, direction

Dans la Venise du début du XVIIIesiècle, les orphelinats pour jeunesfilles étaient aussi de véritablesécoles de musique, de très haut ni-veau. Quelques célébrités y ensei-gnaient, parmi lesquelles le trèspopulaire Antonio Vivaldi.Geoffroy Jourdain et ses Cris deParis ont reconstitué les partitionsoriginales de ses célébrissimes Kyrieet Gloria, exclusivement pour voixde femmes, comme elles étaientchantées à l’époque. Il n’en ressortque plus de clarté et de lumières,plus d’effets et d’affects, typique-ment baroques.

Être encore surpris par des« tubes » du classique, dans une ap-proche à la fois authentique et no-vatrice, le tout proposé à la Légiond’Honneur, une école de jeunesfilles créée par Napoléon un siècleplus tard… Tel est le projet du Fes-tival et des Cris de Paris : pro-gramme inouï, et clin d’œil, deVenise à Saint-Denis.

Dimanche 8 juin • 17h00 • Légion d’Honneur

Anto

nio

Viva

ldi p

ar F

ranç

ois

Mor

ello

n de

la C

ave

1725

© S

uper

stoc

k

12

Mardi 10 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Bach Concertos pour violon no1 et no2 Cantates

Schoenberg La Nuit transfigurée pour orchestre à cordes

Renaud Capuçon, violonOrfeo 55Nathalie Stutzmann, chant et direction

Rena

ud C

apuç

on ©

Fra

nçoi

s Da

rmig

ny

13

Renaud Capuçon et NathalieStutzmann ont joué ensemble pourla première fois l’an dernier aux Vic-toires de la Musique et ont eu d’em-blée l’envie de renouveler l’aventure.Le Festival les a donc réunis autourde deux compositeurs de l’école ger-manique, Bach et Schoenberg, qu’apriori tout oppose à la fois dansl’époque et dans l’esthétique. Le maître de Leipzig brille par sa car-rure, sa rigueur et ses grandes ariasplanantes tandis que le représentantde l’Ecole de Vienne offre une mu-sique post-romantique, torturée,passionnée, influencée par les as-semblages de Klimt et les audaces deMahler et du Tristan de Wagner. Dans les deux cas, c’est l’envoûte-ment, la transcendance et la transfi-guration des âmes. Ce programme, parfaitement adaptéà la Basilique, est porté par deux im-menses artistes qui ne s’arrêtent niau violon, ni à la voix mais tra-

vaillent, cherchent et révèlent sanscesse de nouvelles idées d’interpréta-tion.Après la Deuxième Symphonie deMahler, Nathalie Stutzmann chanteet dirige Bach et Schoenberg à la têtede son Orfeo 55, un ensemble aveclequel il faut désormais compterdans le paysage musical actuel. Re-naud Capuçon, l’un des plus talen-tueux violonistes de la scèneinternationale est ici son soliste maisaussi son complice.

Nath

alie

Stu

tzm

ann

© S

imon

Fow

ler

14

Mercredi 11 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Mozart Vêpres solennelles d’un confesseur K. 339

Michael Haydn Requiem en ut mineur MH 155

Malin Christensson, sopranoMarianne Crebassa, mezzo-soprano Julien Behr, ténor Andreas Wolf, baryton-basse

Ensemble et chœur PygmalionRaphaël Pichon, direction

Raph

aël P

icho

n ©

FSD

15

Dernière œuvre liturgique composéepour la cathédrale de Salzbourg, lesVêpres solennelles ont inspiré à Mo-zart les grandes pages du Requiem,de la Messe en ut, des airs de la Com-tesse des Noces de Figaro. Mais d’oùvient cette musique inouïe, à la foisfervente et imaginative, d’une in-croyable liberté ? Du Requiem deHaydn bien sûr ! En 1771, le jeune Wolfgang assiste àSalzbourg à l’exécution du Requiemde Michael Haydn, frère cadet de Jo-seph. Il découvre alors de nouvellestextures instrumentales, admire leslignes de chant, les chœurs solennels.Il en restera marqué toute sa vie. Lesinfluences et la transmission. Voilàce que cherche à montrer RaphaëlPichon en proposant ces deuxœuvres en regard, dans un seul etmême programme. La distribution est jeune et brillanteentre la mezzo Marianne Crebassa,qui a triomphé cet été à Salzbourg

après son récital au Festival l’an der-nier, ou récemment dans Così fanTutte à Montpellier, le ténor JulienBehr très repéré aux Victoires de lamusique l’an dernier, la basse debronze Andreas Wolf et la sopranoMalin Christensson, mozartienneacclamée au Festival d’Aix-en-Pro-vence et à Salzbourg.Après une résidence remarquée et saPassion selon Saint-Jean en 2013, Ra-phaël Pichon, jeune chef françaisplein de charisme et de passion, serévèle dans Mozart et le style pré-classique, à la tête de son ensemblePygmalion.

Mar

iann

e Cr

ebas

sa ©

DR

Mal

in C

hris

tens

son

© D

R

16

Coproduction Radio France / Festival de Saint-Denis

Vendredi 13 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Dvorák Stabat Mater

Angela Denoke, sopranoVarduhi Abrahamyan, contraltoSteve Davislim, ténorAlexander Vinogradov, basse

Chœur Philharmonique de PragueLukáš Vasilek, chef de chœur

Orchestre Philharmonique de Radio FranceMyung-Whun Chung, directeur musical

Jakub Hruša, direction

Jaku

b Hr

uša

© P

ragu

e Ph

ilhar

mon

ia

°

17

Le Stabat Mater est un titre fort.Comme pour le Requiem, les com-positeurs s’emploient à tout donnerde leur palette de couleurs et d’émo-tions. C’est le cas de Pergolèse, deVivaldi. C’est le cas de Dvorák quisigne avec cette œuvre de jeunesse,sa première composition sacrée, en-core très proche de sa Bohème na-tale. Son Stabat Mater le consacre enEurope pour le restant de ses jours,bien avant la naissance de sa Sym-phonie du Nouveau Monde !Des ténèbres à la lumière, le StabatMater reconquiert pas à pas uneforme de sérénité, dans la douceurdes voix et des chœurs sur un tapisorchestral à la fois pudique etéblouissant. La distribution est de très haut volavec, entre autres, Angela Denoke,l’une des plus belles sopranos ly-riques actuelles – pensons seulementà sa Salomé, le rôle-titre de Katia Ka-banova à l’Opéra de Paris, L’Affaire

Makropoulos à Salzbourg, la mezzoVarduhi Abrahamyan que l’on aurapu applaudir cette saison dans L’Ita-lienne à Alger et Le Couronnement dePoppée, toujours à l’Opéra de Paris,et Steve Davislim, acclamé cet été àOrange aux côtés de l’OrchestrePhilharmonique dirigé par MikkoFranck.Le chœur de la Philharmonie dePrague a été convié pour l’occasionet accompagne l’Orchestre Philhar-monique de Radio France avec, à satête, un chef tchèque Jakub Hruša,directeur de l’Orchestre Philharmo-nique de Prague et qui connaîtDvorák mieux que personne !

Chœ

ur P

hilh

arm

oniq

ue d

e Pr

ague

© P

etra

Haj

ska

°

18

Schubert Fantaisie pour piano à quatre mains D. 940Rachmaninov Suite no2 pour deux pianos op. 17Gershwin Fantaisie pour deux pianos « Porgy and Bess »Ravel Valse pour deux pianos

Khatia Buniatishvili, piano Gvantsa Buniatishvili, piano

Khatia Buniatishvili fait partie denos artistes fétiches. Aux côtés deRenaud Capuçon pour un mémo-rable récital en 2010, puis en solol’année suivante dans un pro-gramme Liszt, celle que l’on pré-nommait déjà la « nouvelle MarthaArgerich », a fait encore du chemindepuis. Beauté, contraste, intensiténe sont que quelques mots pourqualifier le jeu de cette jeunefemme qui ne laisse décidémentpersonne indifférent. Pour son retour en 2014, Khatia

nous présente Gvantsa, sa sœur, elleaussi pianiste. Douce fantaisie deSchubert, valse pour deux pianos deRavel, swing de Gershwin ou tem-pêtes romantiques de Rachmaninov,Khatia et Gvantsa Buniatishvili nousinvitent dans leur intimité, familialeet musicale.

Samedi 14 juin • 20h30 • Légion d’Honneur

Gvan

tsa

Buni

atis

hvili

© D

R

Khat

ia B

unia

tishv

ili ©

Julia

Wes

ely

19

Mozart Duo pour violon et alto no1 en sol majeur K. 423Schubert Trio à cordes no1 en si bémol majeur D. 581Mozart Trio Divertimento en mi bémol majeur K. 563

Renaud Capuçon, violonGérard Caussé, altoEdgar Moreau, violoncelle

On aura déjà entendu Renaud Ca-puçon dans un programme Bachavec Nathalie Stutzmann dans laBasilique. On assistera deux joursplus tard aux Variations Rococo deTchaïkovski par Edgar Moreau.Entre deux concertos, Renaud Ca-puçon et Edgar Moreau s’offrent auFestival, avec leur aîné GérardCaussé, un Divertimento et uneSchubertiade, entre amis, pour leplaisir et la ressource !Le programme n’en est pas moinssomptueux : Mozart, Schubert, au

cœur des cordes et à plein archet.D’un premier duo pour violon etalto de Mozart qui rappelle sa Sym-phonie Concertante jusqu’au dé-ploiement du Trio Divertimentocontemporain des dernières sym-phonies, en passant par le Trio deSchubert, non loin de L’Arpeg-gione... C’est l’envol mélodique, lalégèreté et la profondeur, l’ombre etla lumière.De la grande musique de chambre.

Dimanche 15 juin • 17h00 • Légion d’Honneur

Rena

ud C

apuç

on ©

DR

Géra

rd C

auss

é ©

DR

Edga

r Mor

eau

© F

SD

20

Mardi 17 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Tchaïkovski Variations Rococo

Tchaïkovski Symphonie no6 « Pathétique »

Edgar Moreau, violoncelleOrchestre National d’Île-de-FranceEnrique Mazzola, directeur musical

Enrique Mazzola, direction

Enriq

ue M

azzo

la ©

Eric

Gar

ault

21

Récital en 2012, Suite de Bachdans la Basilique aux côtés de troisautres confrères et sœurs en2013… Une Victoire de la Mu-sique entre temps, le jeune et trèsbrillant violoncelliste Edgar Mo-reau est bel et bien l’un des archetsles plus prometteurs de la célèbreécole française de violoncelle. En 2014, après un récital de mu-sique de chambre Mozart / Schubertavec son ami Renaud Capuçon à laLégion d’Honneur, le Festival pro-pose de l’entendre dans un véritableconcerto avec ces Variations « Ro-coco » : 1 thème et 7 variations deprouesses techniques et musicales, 8temps de musique et d’humeurscontrastées pour faire plus ampleconnaissance avec toute la paletted’Edgar, qui a remporté il y a troisans maintenant le Deuxième GrandPrix du concours… Tchaïkovski !Le programme se complète avec lechant du cygne du compositeur du

Lac des cygnes : la déchirante et cé-lèbre Symphonie « Pathétique », ul-time et grandiose page de musiquedu compositeur romantique deSaint-Pétersbourg, qui devaits’éteindre à peine deux semainesaprès sa création. Ce concert tout Tchaïkovski marquele retour au Festival de l’OrchestreNational d’Île-de-France dont onfête cette saison les 40 ans et de nou-veaux horizons galvanisants avec leurdirecteur musical attitré, EnriqueMazzola.

Edga

r Mor

eau

© F

SD

22

Coproduction Radio France / Festival de Saint-Denis

Jeudi 19 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Mendelssohn Concerto pour violon en mi mineur

Brahms Symphonie no4

Julia Fischer, violon

Orchestre Philharmonique de Radio FranceMyung-Whun Chung, directeur musical

Myung-Whun Chung, direction

Julia

Fis

cher

© D

ecca

Uwe

Are

ns

23

Il y a une tension tragique et unepuissance colossale chez l’immensesymphoniste Brahms. Un souffle ex-traordinaire traverse sa 4e et dernièresymphonie qui dévoile une grandehistoire de musique : alternance dedensité et de transparence des tex-tures orchestrales, architectureample, richesses mélodiques. Le dis-cours progresse et s’élargit pours’achever sur les chocs et entrechocsdes variations finales.A la tête de son orchestre, le Phil-harmonique de Radio France, etdans l’immensité du vaisseau Basi-lique, Myung-Whun Chung se sertde cette puissance pour élever nosâmes, avec allure et grâce.Une autre histoire que celle duConcerto pour violon de Mendels-sohn qui ouvre cette soirée presti-gieuse… avec l’envol si célèbre duviolon, cette poésie qui émane detous les pupitres et rappelle la féériedu Songe d’une Nuit d’Été.

Après de brillants débuts à la Philhar-monie de Vienne en mai dernier etune année de résidence au Konzer-thaus de Berlin, la star Julia Fischerest, dans cette édition, sous le feudes projecteurs, à la Légion d’Hon-neur en quatuor, puis ici en solistevirtuose. Deux chefs-d’œuvre romantiques.Brahms / Mendelssohn, au som-met.

Chun

g ©

FSD

24

Vendredi 20 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Falvetti Il Diluvio Universale« Le Déluge universel »

Mariana Flores, sopranoMagali Arnault, sopranoEvelyn Ramirez Munoz, contraltoFabián Schofrin, contre-ténorFernando Guimarães, ténorMatteo Bellotto, basse

Keyvan Chemirani, zarb, oud et tambourin

Chœur de Chambre de NamurCappella Mediterranea

Leonardo García Alarcón, direction

Alar

con

© B

ertra

nd P

iche

ne

25

Trois siècles que sommeillait cet ora-torio baroque né en Sicile à la fin duXVIIe siècle, sur le Déluge et la dé-rive de Noé sur son arche. Trois ansmaintenant que le chef argentinLeonardo García Alarcón l’a sorti del’ombre, et nous offre un chef-d’œuvre, original et envoûtant, à mi-chemin entre la déclamation lyrique,chère à Monteverdi, et le feu virtuosede Vivaldi. Car oui, il y a déjà un peu desQuatre saisons dans le Déluge de Fal-vetti, et notamment des pages depluies diluviennes et de tempêtesinstrumentales renversantes. Il y aun peu aussi de l’Orfeo de Monte-verdi, dans la puissance des chœurs,la déclamation des solistes, le ma-gnétisme dramatique des rôles.Et le livret ? Un vrai mélange,comme le veut la philosophie Ba-roque : allégorie de l’Ancien Testa-ment et réalité terrestre, furies dedame Nature et passions humaines.

Il en ressort une partition foison-nante, pleine d’effets cataclys-miques : une musique d’église quifrôle le plus grand théâtre. Leonardo García Alarcón rend jus-tice en transcendant la partition avectout le piment, l’exubérance et le raf-finement qui conviennent. Il fédèredans ce projet pour la Basilique unetrentaine d’artistes : chœur, orchestreet continuo, solistes, et y a ajouté devéritables îlots de grâce et de poésieavec le oud, le zarb et les tambourinsde Keyvan Chemirani. Au cœur dela musique savante, la traditionorale, populaire et toujours vi-vante… « un feu qu’il ne faut jamaislaisser s’éteindre au moment d’inter-préter la musique ».

Keyv

an C

hem

irani

© G

illes

Abe

gg

Mar

iana

Flo

res

© B

ertra

nd P

iche

ne

Dans les villesMercredi 21 mai • 20h30Pierrefitte-sur-SeineCréationRaul Paz, chant et pianoOrchestre National d’Île-de-France

Jeudi 22 mai • 20h30 • StainsEl Sistema - Miami Music ProjectOpus 1

Vendredi 23 mai • 20h30Epinay-sur-SeineCréation : Stradivarius in RioViktoria Mullova, violon et ses musi-ciens (cordes, percussions, guitare)

Samedi 24 mai • 20h30L’Île-Saint-DenisEl Sistema - Miami Music ProjectOpus 2

Lundi 26 mai • 20h30 • La CourneuveElèves duCRR d’Aubervilliers-La Courneuve

Chœur PygmalionRaphaël Pichon, direction

Mercredi 28 mai • 20h30 • AubervilliersCréationSimone Kermes, sopranoJasser Haj Youssef, violon, viole d’amouret direction et ses musiciens (contre-basse, batterie, claviers et théorbe)Orchestre de Chambre de Paris

Mercredi 4 juin • 20h30 • Saint-DenisMusiques de films Cuba / Miami / BrésilŒuvres de John Barry, José María Vitier,Leo Brouwer, Jan Hammer...Quatuor Debussy

26

Vendredi 6 juin • 20h30 • Saint-OuenŒuvres de Luis Aguirre (Cuba), Antonín Dvorák, Robert Durand (Haïti)Quatuor Tana

Mardi 10 juin • 20h30 • VilletaneuseCréationDom La Nena, violoncelleOrchestre DivertimentoZahia Ziouani, direction

Dans la BasiliqueVendredi 20 juin • 20h30Falvetti Il Diluvio UniversaleLeonardo García Alarcón, direction

Samedi 21 juin • 20h30Fête de la Musique - Final MétisOrchestre à cordes duCRR d’Aubervilliers-La Courneuve

Avec : Jasser Haj Youssef, Raul Paz,Dom La Nena…

Détails et informations pratiquesdans la brochure Métis et sur :www.metis-plainecommune.comLocations : 01 48 13 06 07

27

Airs de Haendel, Mozart, Rossini et Meyerbeer Lieder de Strauss et de MahlerMélodies de DebussySongs de Britten, Gershwin, Sondheim...

Julie Fuchs, sopranoEnsemble Le Balcon Maxime Pascal, direction

Pour le plaisir « d’un partage diffé-rent, d’une rencontre intime et gé-néreuse avec le public », Julie Fuchsaime se produire en récital et y dé-voile les multiples facettes de sa voixet de sa personnalité. Depuis sa Vic-toire de la musique en 2012, cettepétillante révélation lyrique s’est éle-vée au rang des nouvelles étoiles duchant français. Après Ciboulette àl’Opéra Comique l’an dernier ou saprestation dans le Christ au Mont desOliviers avec Jérémie Rhorer au Fes-tival, l’Opéra de Zurich l’a intégrée

dans sa troupe : la voici actuellementaux côtés de Cecilia Bartoli pour Al-cina.Le Festival l’accueille dans son envolavec Le Balcon, un ensemble àsuivre. Nouveau récital, en formed’autoportrait, avec costumes, acces-soires et mise en scène, pour, à tra-vers des airs, de Mozart, Mahler,Debussy, Gershwin…, mieux connaîtrecette jeune soprano qui n’a pas finide faire parler d’elle.

Dimanche 22 juin • 17h00 • Légion d’Honneur

Julie

Fuc

hs ©

DR

28

Coproduction Orchestre de Chambre de Paris / Festival de Saint-Denis

Mardi 24 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Rossini Petite Messe solennelle

Julia Lezhneva, sopranoFranco Fagioli, altoMichael Spyres, ténorMarco Vinco, basse

Chœur de chambre AccentusOrchestre de Chambre de ParisThomas Zehetmair, chef principal

Ottavio Dantone, direction

Otta

vio

Dant

one

© S

ilvia

Lel

li

29

La Petite Messe solennelle pourrait re-présenter, à elle seule, le Bel canto.Dernier de ses « péchés devieillesse », Rossini laisse, avec cetteœuvre, l’un des joyaux de la mu-sique sacrée du XIXe siècle. « Pe-tite » par ses effectifs, cette messen’en est pas moins grande dans sasolennité, son ampleur, sa puissancelyrique et dramatique.On y retrouve l’esprit, l’audace etles vocalises virtuoses qui font lesuccès de l’opéra rossinien. Le Bar-bier de Séville n’est pas loin.Pour l’interpréter, aux côtés del’Orchestre de Chambre de Paris etdu Chœur Accentus, une distribu-tion de rêve : Julia Lezhneva, rossi-nienne entre toutes, qui depuis sondisque Rossini, fait la joie de Pesaroou encore plus récemment, duThéâtre des Champs Elysées où ellea brillé en Rosine du Barbier de Sé-ville en juin dernier.Rarissime dans cette œuvre, l’alto

est un contre-ténor taillé pour lerôle : Franco Fagioli, très repéré de-puis le fracassant Artaserse l’annéedernière. Quant à Michael Spyres,le public du Festival se souvient en-core de son apparition magique etmagistrale dans le Requiem de Ber-lioz dirigé par Sir John Eliot Gar-diner.Pour conduire ce très beau mondeet cette très grande œuvre, OttavioDantone, l’une des plus belles ba-guettes italiennes d’aujourd’hui, lechef baroque de la Scala, adoubé enson temps par Riccardo Muti.

Julia

Lez

hnev

a ©

Dec

ca /

Uli W

eber

Fran

co F

agio

li ©

Julia

n La

idig

30

Coproduction Radio France / Festival de Saint-Denis

Jeudi 26 & vendredi 27 juin • 20h30 • Basilique Cathédrale

Mendelssohn Elias

Lucy Crowe, sopranoChristianne Stotijn, altoRainer Trost, ténorMichael Nagy, baryton-basse

Chœur de Radio FranceMatthias Brauer, directeur musical

Orchestre National de FranceDaniele Gatti, directeur musical

Daniele Gatti, direction

Mic

hael

Nag

y © D

.Mau

rer

31

Dernier chef-d’œuvre de Mendels-sohn, cet oratorio pour le moins dra-matique est situé au cœur du XIXesiècle et pourtant rappelle Haendelet Bach, avec ces chœurs, ces chorals,ces fugues, ces récits. Mendelssohndonne la parole au prophète Elie,personnage puissant et émouvant,aux humeurs exaltées, véritable héroséprouvant tour à tour la colère, la dé-tresse et la compassion.Les chanteurs solistes sont à la me-sure de cette vaste fresque bibliqueinspirée des textes de l’Ancien Testa-ment : Lucy Crowe vient de faire sesdébuts au Met, et a déjà chanté cetteœuvre sous la direction de YannickNézet-Séguin, Christianne Stotijnvient de tourner avec Gustavo Du-damel et Esa-Pekka Salonen, RainerTrost est le ténor fétiche de l’Opérade Munich.Quant à Michael Nagy, il a l’étoffepour le rôle-titre : Don Giovanni, Pa-pageno mais aussi les rôles wagné-

riens Wolfram, Günther avec les-quels il s’est encore fait inviter auFestival de Bayreuth cet été, il estl’un des barytons-basses à découvriren France, et aussi la grande voixd’Elias. Un orchestre : le National. Unchœur : Radio France. Un chef : Da-niele Gatti, le directeur musical del’Orchestre National de France, éga-lement brillante baguette de l’Opérade Zurich et collaborateur de la Phil-harmonie de Vienne. Un événement musical en clôture.

Dani

ele

Gatti

© P

ablo

Fac

cine

tto

32

Basilique Cathédrale de Saint-Denis

Du Ve au XVIIIe siècle, la Basi-lique Cathédrale de Saint-Denis,bâtie sur le tombeau de Saint-Denis, a lié son destin à celui dupouvoir royal, s’affirmant commetombeau des rois et reines deFrance. Précurseur de l’architec-ture gothique, la lumière est om-niprésente grâce à ses vitraux etses roses. Les visiteurs peuventdécouvrir ce haut lieu de l’Histoirede France et de pèlerinage impor-tant, avec plus de 70 sculpturesfunéraires magnifiques (Dagobert,François Ier, Catherine de Médi-cis, Anne de Bretagne, etc).Cette année, le Centre des monu-ments nationaux fête ses cent ansd’existence et commémore le800e anniversaire de la naissancede Saint Louis qui fut inhumédans la basilique

Centre des monuments nationauxBasilique cathédrale de Saint-Denis1, rue de la Légion d’Honneur 93200 Saint-Denis Tél : 01 48 09 83 54basilique-saint-denis@monuments-nationaux.frwww.monuments-nationaux.fr www.tourisme93.comOuvert toute l’année. Du 1er avril au 30 septembre, 10h à 18h15,dimanche, 12h à 18h15 • Du 1er octobre au 31 mars, 10h à17h15, dimanche, 12h à 17h15 • Fermé les : 1er janvier, 1er mai,25 décembre et pendant certains offices religieux • Services : do-cuments de visite, visite commentée à 10h30 et 15h en semaineet 12h15 et 15h le dimanche, audioguidage en 5 langues, filmaudiovisuel et en langue des signes.

L’équipedu Festival

Monique Prim,Présidente

Nathalie Rappaport, Directrice

Katell Cheviller,Directrice adjointeGaëlle Le Dantec,Secrétaire générale

Valentine Gautier, Responsable communicationAnne-Laure Bouazza, Chargée de coordinationBenjamin Demelemester, Chargé de productionHermance de Trémiolles, Chargée des relations avec le publicPauline Mouzay, Chargée de développementIsabelle Meyer-Buomberger, Responsable de la billetterieJacques-Pierre Poutou, LocationsMaria Pipaud, ComptabilitéSana Ben Mansour, Assistante administrative

Erick Sez, Directeur techniqueMarceau Gouret, Régisseur

Visuel :© Festival de Saint-DenisGraphisme : David NormantWeb : Jean-Baptiste Méneroud

www.festival-saint-denis.com

Lice

nce

entre

pren

eur d

e sp

ecta

cles

N°3

-104

9505

• V

isue

l MTP

C - d

’apr

ès p

hoto

Séb

astie

n Ch

ambe

rt •

Impr

essi

on :

PSD

• Ne

pas

jete

r sur

la v

oie

publ

ique

© G

érar

d M

onic

o

33

Nom

Prénom

Organisme

Adresse

Code postal

Ville

Téléphone

E-Mail

Coupon à retourner accompagné de votre règlement et d’un éventuel justificatif de réduction à l’adresse suivante :

FESTIVAL DE SAINT-DENIS - LOCATIONS16, rue de la Légion d’Honneur93200 Saint-Denis

Règlement à joindre à votre courrier, soit :

Chèque bancaire libellé en euros à l’ordre du Festival de Saint-Denis

Carte Bancaire (Visa, Mastercard ou Eurocard)

N0

Cryptogramme*

Expire fin

Date & signature

*3 derniers chiffres au dos de votre carte

Bulletin de location

34

Votre sélectionde concerts

Nbre de

plac

es

Prix

Total

e

Cochez les spectacles de votre choix. Si vous bénéficiez de tarifs réduits, veuillez joindre à votrerèglement une photocopie de votre justificatif.

Mer. 21 mai 20h30 Raul Paz / ONDIF (Métis)

Jeu. 22 mai 20h30 El Sistema Miami #1 (Métis)

Ven. 23 mai 20h30 Viktoria Mullova (Métis)

Sam. 24 mai 20h30 El Sistema Miami #2 (Métis)

Lun. 26 mai 20h30 Pygmalion (Métis)

Mar. 27 mai 20h30 La Passion de Simone

Mer. 28 mai 20h30 Jasser Haj Youssef / OCP (Métis)

Mar. 3 juin 20h30 Hildegard von Bingen / Maalouf

Mer. 4 juin 20h30 Quatuor Debussy (Métis)

Jeu. 5 juin 20h30 Mahler Symphonie no2

Ven. 6 juin 20h30 Mahler Symphonie no2

Ven. 6 juin 20h30 Quatuor Tana (Métis)

Sam. 7 juin 20h30 Julia Fischer en quatuor

Dim. 8 juin 17h00 Vivaldi

Mar. 10 juin 20h30 Bach / Schoenberg

Mar. 10 juin 20h30 Dom La Nena / OSD (Métis)

Mer. 11 juin 20h30 Mozart / Haydn

Ven. 13 juin 20h30 Dvorák Stabat Mater

Sam. 14 juin 20h30 Khatia et Gvantsa Buniatishvili

Dim. 15 juin 17h00 Capuçon / Caussé / Moreau

Mar. 17 juin 20h30 Tchaïkovski

Jeu. 19 juin 20h30 Brahms / Mendelssohn

Ven. 20 juin 20h30 Il Diluvio Universale

Dim. 22 juin 17h00 Julie Fuchs

Mar. 24 juin 20h30 Rossini Petite Messe…

Jeu. 26 juin 20h30 Mendelssohn Elias

Ven. 27 juin 20h30 Mendelssohn Elias

Frais de location par correspondance, par téléphone et internet

TOTAL =

+ 1,50i

i

35

Tarifs

Locations

Concerts Basilique Cat. A Cat. B Réduit*

En avant-première : Mar. 27 mai 20h30 La Passion de Simone 20€ 15€ 11€

Mar. 3 juin 20h30 Hildegard von Bingen / Maalouf 45€ 29€ 17€

Jeu. 5 juin 20h30 Mahler Symphonie no2 60€ 34€ 23€

Ven. 6 juin 20h30 Mahler Symphonie no2 60€ 34€ 23€

Mar.10 juin 20h30 Bach - Schoenberg 55€ 35€ 21€

Mer. 11 juin 20h30 Mozart - Haydn 50€ 32€ 19€

Ven. 13 juin 20h30 Dvorák Stabat Mater 60€ 34€ 23€

Mar. 17 juin 20h30 Tchaïkovski 50€ 32€ 19€

Jeu. 19 juin 20h30 Brahms - Mendelssohn 60€ 34€ 23€

Ven. 20 juin 20h30 Il Diluvio Universale 45€ 29€ 17€

Mar. 24 juin 20h30 Rossini Petite Messe solennelle 55€ 35€ 21€

Jeu. 26 juin 20h30 Mendelssohn Elias 60€ 34€ 23€

Ven. 27 juin 20h30 Mendelssohn Elias 60€ 34€ 23€

Concerts Légion d’Honneur (places numérotées) Plein tarif Réduit

Sam. 7 juin 20h30 Julia Fischer en quatuor 30€ 22€

Dim. 8 juin 17h00 Vivaldi 25€ 17€

Sam. 14 juin 20h30 Khatia & Gvantsa Buniatishvili 25€ 17€

Dim. 15 juin 17h00 Capuçon / Caussé / Moreau 30€ 22€

Dim. 22 juin 17h00 Julie Fuchs 25€ 17€

Métis Plaine Commune : la tournée Plein tarif Réduit

Tarifs applicables aux concerts mentionnés p.26 10€ 5€

Navettes gratuites sur réservation. Renseignements : 01 48 13 06 07

* Les tarifs réduits sont applicables dans la limite d’un contingent de places alloué par le Festival et surprésentation d’une pièce justificative, aux moins de 28 ans, aux plus de 62 ans, aux demandeurs d’emploi,aux habitants de Plaine Commune et aux détenteurs d’une carte d’invalidité.

+ 33 (0) 1 48 13 06 07 - [email protected] de location du Festival (à gauche de la Basilique Cathédrale)ouvert du lundi au vendredi de 11h00 à 18h00, le samedi de 10h00 à 13h00

Par correspondance avec le bulletin de réservation ci-joint, au plus tard 15 joursavant la date du concert :FESTIVAL DE SAINT-DENIS - LOCATIONS16, rue de la Légion d’Honneur 93200 Saint-DenisPossibilité de règlement par Chèque Culture® et Carte Scènes et Sorties®.

Collectivités : 01 42 43 46 28 - [email protected]éductions sur certains concerts avec la carte CEZAM (joindre le service Collectivités)

Points de vente : FNAC 0892 68 36 22 (0.34 €/ min), France Billet,agences, www.fnac.com et www.concertclassic.com

Informations / Réservations+33 (0) 1 48 13 06 07

www.festival-saint-denis.com

Festival de Saint-Denis / Administration16, rue de la Légion d’Honneur

93200 Saint-DenisT : + 33 (0) 1 48 13 12 10

AccèsBasilique Cathédrale

1, rue de la Légion d’Honneur - Saint-Denis

Légion d’Honneur 5, rue de la Légion d’Honneur - Saint-Denis

Ligne 13 Arrêt Saint-Denis Basilique

Sortie Saint-Denis / Stade de France direction centre villeAttention, l’ensemble du centre ville est piétonnier,

nous vous invitons à utiliser les transports en commun.

Parking BasiliqueEntrée Bd de la Commune de Paris (www.vincipark.com)