La librairie est ouverte le lundi de 11h à 19h et du mardi au samedi de 10h à 19h

I EN MAI 2018 I À LA BOÎTE À LIVRES (SOUS RÉSERVE DE MODIFICATION)

05/05/18 FRANCE BREL Jacques Brel auteur (Éd. Fondation Jacques Brel)15/05/18 MAXIME DE ROSTOLAN Regards croisés sur l’agroécologie (Éd. Rustica)19/05/18 FRANK LAFOND Samuel Fuller (Éd. Rouge Profond)29/05/18 ISABELLE CARRÉ Les rêveurs (Éd. Grasset)

I EXPOSITIONS I

LAURENTMERLET

Mes encresSalon de thé

L’Escale

JUSQU’AU 30 AVRIL

I ATELIER DÉCOUVERTE DES JOUETS OPTIQUES IMERCREDI 25 AVRIL > 15H AU CCC ODÀ l’occasion de l’exposition de Cécile Bart Silent show etautour du livre documentaire : Mon zootrope (Éd. Fleurus)

À partir de 7 ansGratuit, sur inscription - info@boitealivres.com

I HORS NOS MURS I MARDI 17 AVRIL > 19HConférence Réflexions libres sur la naissance du désir et l’essence du baiser avec alexandre lacroix - Salle Thélème - Tours www.apprentisphilosophes.fr

I ATELIER CRÉATIF IDIMANCHE 29 AVRIL Entre 11H et 15H AU CCC ODautour du livre : Archi-blocs (Éd. Tourbillon)

À partir de 4 ans4 €, sur inscriptionAu 02 47 66 50 00 ou reservation@cccod.com

LIBRAIRIE LA BOÎTE À LIVRES . 19, rue Nationale, ToursTél. 02 47 05 70 39 . info@boitealivres.com . www.boitealivres.com

JEAN-LUCCHAPINNatures

Photographies

VENDREDI 6 AVRIL de 15h à 19h au salon de thé :Rencontre avec Laurent Merlet autour de ses encres.

I HORS NOS MURS I SAMEDI 28 AVRIL > 16H - 4ème Printemps du JaponRencontre avec florent chavouet pour Manabé Shima (éd. Picquier) La Mulonnière - Saint Antoine du Rocher

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RENCONTRESD É D I C A C E S , E X P O S I T I O N S , A N I M A T I O N S

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DÉDICACE

ROMAIN BETHOUXLe pari de l’impossible

Éd. NimrodSAMEDI 14 AVRIL I 15H00

RENCONTRE AU CCCOD

PIERRE WATPérégrinations, paysages entre

nature et histoireÉd. Hazan

DÉDICACE

GURTYLe journal de Gurty Printemps de chien

Éd. SarbacaneSAMEDI 7 AVRIL I 15H00

RENCONTRE

GRÉGOIRE DELACOURT La femme qui

ne vieillissait pasÉd. JC Lattès

MERCREDI 4 AVRIL I 19H30

JEUDI 12 AVRIL I 18H30

RENCONTRE

DELPHINE DE VIGANLes loyautés

Éd. JC Lattès

MERCREDI 18 AVRIL I 19H30

RENCONTRE

BARBARA LEFEBVREGénération J’ai le droit

Éd. Albin MichelMARDI 10 AVRIL I 19H30

RENCONTRE

PHILIPPE CLAUDELL’Archipel du Chien

Éd. StockMARDI 24 AVRIL I 19H30

RENCONTRE

RÉGIS WARGNIERLes prix d’excellence

Éd. GrassetJEUDI 12 AVRIL I 19H30

DÉDICACE

IWAN LÉPINGLEAkkinen,

zone toxiqueÉd. Sarbacane

SAMEDI 14 AVRIL I 15H00

DÉDICACE

MICHEL EMBARECKBob Dylan et

le rôdeur de minuitÉd. de l’Archipel

SAMEDI 7 AVRIL I 15H00

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Dès 8 ans

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RENCONTRE

ROGER SALLOCHUne histoire allemande

Éd. Maurice NadeauLUNDI 16 AVRIL I 19H30

« Moi, c’est Gurty, et quand j’étais petite, je croyais que je m’appelais « Arrête », mais en fait non.Aujourd’hui, il a fait encore un temps à ne pas laisser un chien dedans. C’était vraiment un jour parfait. Toute la nature était en couleurs ! Le soleil brillait si fort que ses rayons m’ont traversé le cœur et fait scintiller la truffe comme une boule à facettes.J’étais brusquement gonflée d’une envie d’aimer le monde entier.

i SAMEDI 7 AVRIL > 15H00Dédicace avec GURTYPour Le journal de Gurty, printemps de chien(Éd. Sarbacane. 9,90 €)

Grégoire Delacourt est l’auteur de six romans publiés chez JC Lattès : L’Écrivain de la famille (2011), La liste de mes envies (2012), La première chose qu’on regarde (2013)...

« À quarante-sept ans, je n’avais toujours aucune ride du lion, du front, aucune patte d’oie ni ride du sillon nasogénien, d’amertume ou du décolleté ; aucun cheveu blanc, aucun cerne ; j’avais trente ans, désespérément. »

N’avez-vous jamais rêvé de ne pas prendre une ride ? Eh bien c’est ce qui arrive à Betty. Le temps a beau filer à toute vitesse, Betty s’est subitement arrêtée de vieillir à 30 ans. Mais ce qui en apparence semble être une bénédiction se trouve finalement être un fardeau.

i MERCREDI 4 AVRIL > 19H30Rencontre avec GRÉGOIRE DELACOURTPour son roman

La femme qui ne vieillissait pas(Éd. JC Lattès. 18 €)

Extrait : « À un an, je faisais parfaitement mon âge.Une charmante brindille de soixante-quatorze centimètres, dotée d’un poids idéal de neuf kilos trois, d’un périmètre cranien de quarante-six centimètres, couvert de boucles blondes et d’un bonnet, quand soufflait le vent. Après avoir été nourrie au sein, je consommais alors plus d’un demi-litre de lait par jour. Mon alimentation s’était enrichie de quelques légumes, féculents et protéines. Au goûter, une compote maison, avec, de temps en temps, des morceaux qui fondaient sous le palais, comme un sorbet. »

À partir de 8 ans

i SAMEDI 7 AVRIL > 15H00Dédicace avec MICHEL EMBARECKPour son roman

Bob Dylan et le rôdeur de minuit (Éd. de l’Archipel. 18 €)

Romancier, ex-critique musical, Michel Embareck est l’auteur de Sur la ligne blanche (Autrement, 1984), Accusé, couchez-vous ! (Gallimard, 2002), La mort fait mal (Archipoche, 2013), Avis d’obsèques (L’Archipel, 2013), Jim Morrison et le diable boiteux (L’Archipel, 2016)...

Dès la sortie de son premier album, Bob Dylan peut compter sur un soutien de poids au sein de sa maison de disques : celui du chanteur Johnny Cash, alors au faîte de sa carrière, qui voit en lui un héritier d’une folk music en péril.Devenus amis, les deux hommes entament une correspondance. En marge d’une décennie tragique – celle de la guerre du Vietnam, des assassinats de JFK et Martin Luther King –, ces lettres suivent la vie chaotique de deux monstres sacrés de la culture populaire, reflétant leurs coups de génie… et leurs coups de blues.Le tout rythmé par les commentaires d’un vieil animateur radio, « le Rôdeur de minuit », qui se trouvait en 1965 à Newport lorsque Dylan fit scandale en grattant une guitare électrique, et en janvier 1968 à la prison de Folsom lors du mythique concert de Johnny Cash.Entre New York, Nashville, Saïgon et Paris, on y croise Richard Nixon, Marilyn Monroe, Alice Cooper, Kris Kristofferson, Joan Baez, les Beatles...

i MARDI 10 AVRIL > 19H30Rencontre avec BARBARA LEFEBVREPour son livre Génération « j’ai le droit »(Éd. Albin Michel. 18 €)Toute une génération ne cesse de répéter « J’ai le droit », exprimant de manière péremptoire un « droit de s’élever contre » : l’école, l’autorité parentale, les règles communes et même la loi en général. Plus que jamais cette revendication symbolise un individualisme irresponsable et témoigne d’une faillite collective accablante : régression de nos libertés collectives au profit des communautés, triomphe de l’égalitarisme, dérives pédagogiques de l’Education nationale, démission de parents... Barbara Lefebvre montre comment nos enfants ont été abandonnés culturellement par notre système éducatif.

Barbara Lefebvre est professeur dans le secondaire. Co-auteur avec Georges Bensoussan des Territoires perdus de la République (Pluriel, 2015).

Le paysage n’existe que dans l’œil de celui qui le regarde. Il faut donc suivre les pas de l’homme en marche si l’on veut comprendre comment notre rapport au monde et à l’histoire se dessine : par la confrontation de l’individu et de la nature. Car le paysage, c’est la nature éprouvée : nature traversée, nature possédée, nature sublimée, nature terrifiante, nature qui échappe à qui tente de la conquérir. L’artiste qui s’adonne au genre du paysage nous offre bien plus qu’une simple représentation de morceaux de nature. Il se fait archéologue, scrutant comme dans un livre le sol où affleure la mémoire de l’histoire humaine, sous forme de traces.

i JEUDI 12 AVRIL > 18H30 AU CCC ODRencontre avec PIERRE WATPour son ouvrage Pérégrinations Paysages, entre nature et histoire (Éd. Hazan. 99 €)

Régis Wargnier est cinéaste. Il a notamment réalisé Indochine (1991), avec Catherine Deneuve, qui a obtenu un Oscar et cinq Césars. Les Prix d’excellence est son premier roman.

Les prix d’excellence, ce sont Mathilde et George, vingt ans d’écart : elle, une fille de la bonne bourgeoisie textile du nord de la France ; lui, le fils d’un G.I. et d’une Vietnamienne, adopté par de petits épiciers parisiens. Dans les années 80, Mathilde, passionnée de cinéma,rompt avec sa famille, fait sa vie avec un cheminot, devient scénariste ; George suit de brillantes études en Suisse, puis part pour les Etats-Unis où il se spécialise dans la biologie. Lorsqu’ils se rencontrent, en 1989, leur entente est immédiate, évidente. Ils ne deviennentpas amants, car chacun aime intensément de son côté, mais ils se savent unis par la passion. Ils s’écrivent, ils s’admirent. Le succès vient, et l’espoir : Mathilde est primée pour un film à Cannes, George fait des découvertes scientifiques de première importance. Mais le vieux monde, celui de la convention et de l’envie, n’en veut pas : une cabale se monte. Une histoire d’amour romanesque avec en arrière-plan, les bruissements du monde de mai 68 à nos jours.

i JEUDI 12 AVRIL > 19H30Rencontre avec RÉGIS WARGNIERPour son roman Les prix d’excellence(Éd. Grasset. 22 €)

Pierre Wat est professeur d’histoire de l’art à l’université de Paris-I. Spécialiste du romantisme, il est l’auteur de Constable (2002), Turner, menteur magnifique (2002) aux éditions Hazan.

Gaspar et sa fille, Tessie, ont traversé la moitié du continent pour venir s’installer dans une ville du Grand Nord à demi endormie depuis que l’exploitation pétrolière a déserté les lieux. Ne reste désormais qu’une grosse usine de réhabilitation des sols, Géotrupe : c’est là que le frère de Gaspar, peu scrupuleux patron du site, lui a trouvé un poste. Désœuvrée, Tessie, qui passe ses journées à se promener en bordure de forêt, rencontre un grand gaillard mutique : Aslak, qui vit seul entouré de ses statues qu’il construit de bric et de broc. Peu à peu, elle rencontre d’autres locaux… notamment Pekko écologiste contestataire et ami d’Aslak, qui accuse Géotrupe d’empoisonner l’eau. Lorsque Pekko disparaît, la communauté semble se réveiller comme sous le coup d’une secousse. Dans cette ville où tout le monde se connaît, les vieilles rancunes resurgissent, et Gaspar et Tessie se retrouvent malgré eux au cœur d’une enquête qui les dépasse.

i SAMEDI 14 AVRIL > 15H00Dédicace avec IWAN LÉPINGLEPour sa bande dessinée Akkinen, zone toxique (Éd. Sarbacane. 19,50 €)

Breveté pilote de chasse en 2004, Romain Béthoux compte à ce jour 2 600 heures de vol, dont 2 000 sur Mirage F1 et Alphajet. Il a rejoint la patrouille de France en 2014 et prend le commandement de l’école de chasse de Tours en 2016.

Romain Béthoux a été second, puis leader de la Patrouille de France de 2014 à 2015. L’aboutissement d’années d’efforts et de travail pour d’abord intégrer l’école de l’Air, puis décrocher ses ailes de chasseur et enfin réussir une première carrière sur Mirage F1 avec à la clef plusieurs missions de combat au cours de différentes opérations extérieures. Sa sélection pour rejoindre la prestigieuse patrouille lui ouvre ensuite les portes d’une aventure insoupçonnable qu’il partage longuement dans ces pages. Pour la première fois le lecteur embarque avec un pilote dans le cockpit d’un Alphajet bleu-blanc-rouge. Avec lui il transpire sous le casque, soigne ses trajectoires au cordeau et découvre entre deux vols les coulisses de l’armée de l’Air et de son ambassadrice de choc, la Patrouille de France.

i SAMEDI 14 AVRIL > 15H00Dédicace avec ROMAIN BETHOUXPour son livre Le pari de l’impossible(Éd. Nimrod. 21 €)

Iwan Lepingle est dessinateur-scénariste. Il est l’auteur de Kizikum (2002) et Rio negro (2007) chez Les Humanoïdes Associés.

« Chacun de nous abrite-t-il quelque chose d’innommable susceptible de se révéler un jour, comme une encre sale, antipathique, se révelerait sous la chaleur de la flamme ? Chacun de nous dissimule-t-il en lui-même ce démon silencieux capable de mener, pendant des années, une existence de dupe ? » Les destins croisés de quatre personnages : Théo, enfant de parents divorcés ; Mathis, son ami, qu’il entraîne sur des terrains dangereux ; Hélène, professeure de collège à l’enfance violentée, qui s’inquiète pour Théo ; Cécile, la mère de Mathis, qui voit son équilibre familial vaciller. Une exploration des loyautés qui les unissent ou les enchaînent les uns aux autres.

i MERCREDI 18 AVRIL > 19H30 Rencontre avec DELPHINE DE VIGANPour son roman Les loyautés (Éd. JC Lattès. 17 €)

Roger Salloch est l’auteur de récits publiés dans Paris Review, North American Review, Fiction, l’Atelier du Roman à Paris, Sud à Rome... Il est également photographe et a exposé à Zurich, Paris, New York, Vologda (Russie), Delhi, Naples et Turin.

Lire Along the railroad tracks - Une histoire allemande c’est cheminer aux côtés de Reinhardt Korber, peintre et professeur d’art, à Berlin au printemps 1935. Dans la lumière diaphane d’un printemps radieux, à travers le mythe des trois Rois mages qui parviennent à échapper à la cruauté d’Hérode/Hitler, ce livre est un roman sur Reinhardt et deux de ses étudiantes, Lotte et Rebecca, un trio d’esprits libres résistant au monde envahissant du Parti avec ses soldats et ses croix gammées. Rebecca est juive, Lotte ne l’est pas. Lorsque la famille de Rebecca est forcée de quitter l’Allemagne, Rebecca est jalouse de Lotte qui restera sur place avec le professeur... Reinhardt Korber ne ressemble pas aux autres jeunes hommes du Berlin de 1935. Il n’est pas un héros, il s’efforce simplement à porter un regard vrai sur les choses, puis à les regarder à nouveau. Si l’Allemagne est sur les rails d’un chemin de fer allant vers la tragédie, Rebecca, Lotte et Reinhardt sont seuls. Ce ne sont pas des héros, mais leur histoire change presque l’Histoire.

i LUNDI 16 AVRIL > 19H30Rencontre avec ROGER SALLOCHPour son roman Along the railroad tracks. Une histoire allemande(Éd. Maurice Nadeau. 19 €)

Delphine de Vigan est l’auteur de No et moi, (Prix des Libraires 2008), des Heures souterraines (2009) et de Rien ne s’oppose à la nuit, (Prix Renaudot des lycéens, 2012).

Philippe Claudel est écrivain, cinéaste et dramaturge. Il a notamment publié aux éditions Stock : Les Âmes grises (Prix Renaudot 2006), La Petite Fille de Monsieur Linh (2005), Le Rapport de Brodeck (Prix Goncourt des lycéens 2007), L’arbre du pays Toraja (2016)... Son premier film, Il y a longtemps que je t’aime (2008), a reçu deux César, donc celui de meilleur premier film. Il a depuis réalisé : Tous les soleils ( 2010), Avant l’hiver (2013) et Une Enfance (2015). Il est également l’auteur de deux pièces de théâtre : Parle-moi d’amour (2008) et Le Paquet (2010).

« Le dimanche qui suivit, différents signes annoncèrent que quelque chose allait se produire. Ce fut déjà et cela, dès l’aube, une chaleur oppressante, sans brise aucune. L’air semblait s’être solidifié autour de l’île, dans une transparence compacte et gélatineuse qui déformait ça et là l’horizon quand il ne l’effaçait pas : l’île flottait au milieu de nulle part. Le Brau luisait de reflets de meringue. Les laves noires à nu en haut des vignes et des vergers frémissaient comme si soudain elles redevenaient liquides. Les maisons très vite se trouvèrent gorgées d’une haleine éreintante qui épuisa les corps comme les esprits.On ne pouvait y jouir d’aucune fraîcheur. Puis il y eut une odeur, presque imperceptible au début, à propos de laquelle on aurait pu se dire qu’on l’avait rêvée, ou qu’elle émanait des êtres, de leur peau, de leur bouche, de leurs vêtements ou de leurs intérieurs. Mais d’heure en heure l’odeur s’affirma. Elle s’installa d’une façon discrète, pour tout dire clandestine. »

i MARDI 24 AVRIL > 19H30Rencontre avec PHILIPPE CLAUDELPour son roman L’Archipel du Chien(Éd. Stock. 19,50 €)

« Ça se passe sur une île volcanique et imaginaire : l’archipel du Chien, qu’on situe sans mal en Méditerranée, qui ressemble beaucoup à la Sicile. Une île où on enterre les morts debout parce que la terre est rare. Un jour, trois cadavres de jeunes Africains sont retrouvés échoués sur la plage, cadavres que le maire et une poignée d’îliens s’empressent de faire disparaître pour ne pas troubler la tranquillité du lieu et de ses habitants. Mais voici que débarque un flic (ou un prétendu flic) venu du continent pour enquêter sur ce mystère... » . Le Masque et la Plume, France Inter le 11 mars 2018