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Pour bénéf ic ier

de réduct ions

Jacques Prévert, André François : autour de « Lettre des îles Baladar »

C’est en 1952 que Jacques Prévert et André François ont édité ce livre chez Gallimard. L’exposition retrace, grâce à des documents originaux, l’histoire de la création de cette fable pas comme les autres : celle d’une île coupée du monde, que les hommes viennent coloniser. Aux côtés de l’écriture virevoltante de Prévert, on redécouvre André François et ses dessins hors normes - on lui doit les célèbres « Larmes de crocodile » - où l’humour, jamais mièvre, se fait parfois grinçant…

De Prévert à Trauner… par les chemins …Au Manoir du Tourp, à quelques kilomètres, exposition sur Alexandre Trauner (avril-octobre), décorateur de cinéma et ami intime de Prévert. Pour relier les deux lieux d’exposition, un itinéraire pédestre vous est proposé, par les pittoresques chemins creux de la Hague.1

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Les collages font peau neuve !Prévert se consacra à la fin de sa vie à la création de collages, œuvres étonnantes, tour à tour humoristiques, acides, poétiques. Et aujourd’hui méconnues…

La collection du Conseil général s’enrichit chaque année de nouvelles œuvres. Suite à un patient travail de restauration, une nouvelle sélection de collages est exposée à l’étage de la maison, dans une présentation qui a fait peau neuve !

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« Autour de l’AngélusMillet multiplié »

Dans la première moitié du XXe siècle, le tableau de Jean-François Millet, l’Angélus, a conquis les boîtes à gâteaux, les bols à

déjeuner et les calendriers des postes. S’agissait-il là d’un hommage collectif et

posthume au peintre de Barbizon ou de la fortune exceptionnelle d’une image de la vie aux champs dans laquelle la France d’il y a un siècle se serait particulièrement reconnue ?

Depuis toujours, les œuvres d’art ont toujours été copiées, interprétées, reproduites, mais rarement avec une telle insistance. Alors, pourquoi Millet ? Pourquoi cette œuvre-là ?

Depuis l’œuvre originale, peinte en 1857, jusqu’à ses derniers avatars, l’exposition permet de réfléchir à la notion d’œuvre d’art et à ses multiples. Comment fonctionne dans ce cas l’imagerie de l’Angélus, comment comprendre pourquoi elle s’est formée et développée ? Quelles sont les voies et les modalités de sa transmission ? Par quels moyens et dans quels buts s’est-elle transformée ?

« Jean-François Millet, peintre paysan de la Hague »Randonnée organisée par l’office du tourisme de la HagueRendez-vous à 14h sur le parking de la Maison Millet. Visite de la maison, randonnée de 7 km, visite de l’église commentée, et goûter dans la maison Millet. Réservation obligatoire.Renseignements : Office du Tourisme de la Hague : 02 33 52 74 94.

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« Les paysages littoraux en mutation »

Le paysage littoral qu’à connu Vauban au XVIIe siècle, lors de ses tournées d’inspection dans le Cotentin, n’est pas celui que nous observons aujourd’hui. Il n’est pas plus celui que nos petits enfants découvriront demain !

Les milieux naturels évoluent selon leurs propres rythmes et sous la pression des activités des hommes. Aujourd’hui, la préservation des milieux littoraux est devenue consensuelle. Mais comment désormais gérer ces espaces naturels ? Pour qui et avec qui ? Prenons l’exemple du littoral de Cap Levi et de la Lande Brûlée !

« L’histoire du Fort »

Depuis la fin de sa construction en 1806, le fort du Cap Lévi a été successivement modernisé, abandonné, partiellement détruit, rénové puis modifié. Déclassé de ses fonctions militaires en 1875, il devient une résidence secondaire au XXe

siècle avant d’être racheté par le Conservatoire du Littoral en 1990 et ouvert au public.

« Dans les traces des premiers normands au Cap Lévi »

Promenade nature de 5 km commentée par un guide de l’office du tourisme de Fermanville sur le Cap Lévi (appelation des Vikings) défendu par un fort, signalé par un phare, surveillé par un sémaphore et habité par les hommes du Paléolithique.Renseignements : Office du Tourisme Intercommunal Cotentin Val de Saire - Antenne de Fermanville : 02 33 54 61 12Antenne de St Pierre Eglise : 02 33 54 37 20

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ESCAPADE

DECOUVERTE

A la découverte du fort et de l’espace naturel littoral !Parcourez les cours du fort en découvrant les tables d’interprétation qui vous parlent de l’histoire militaire et civile ainsi que de l’architecture du monument.

A proximité du fort, sur un point haut, le long du chemin des douaniers, un observatoire des paysages et des milieux naturels littoraux, vous incite à partir à la découverte de ce site naturel exceptionnel.

« De l’armée de guerre à la marine nationale… »

Les historiens s’accordent à situer les origines de la marine française au XIIIe siècle. La situation de la France la contraint à répartir sa défense maritime entre la Méditerranée et l’Atlantique. De plus, les menaces provenant principalement des frontières terrestres, la priorité stratégique est donnée à l’armée terrestre. Au XIXe siècle, la France est devenue une des principales

puissances navales. Laissez-vous troubler en revivant à travers des textes, des peintures et des photographies cette époque ainsi que les enjeux stratégiques des grands Empires qui firent l’Europe. Enfin, un film réalisé à Cherbourg en 1930 ouvre le XXe siècle. Deux artistes illustrent cette exposition : Monsieur BRESSON, peintre spécialisé dans les engins de guerre navale. Monsieur GOUESLAIN, photographe paysager.

« Créatures et monstres marins »

Depuis la nuit des temps la mer a inspiré l’imaginaire des hommes. Tantôt bienfaitrice tantôt fléau, elle fascine. Chaque civilisation possède ses monstres marins. Mais derrière la légende n’existe t-il pas une part de réel ?

Certains poissons ne présentent-ils pas un faciesse proche de celui d’un monstre ; leurs stratagèmes pour survivre ne sont-ils pas souvent surprenants voire inquiétants ! Venez découvrir ces créatures qui parfois nous effraient, parfois nous font rire, mais toujours nous fascinent.

L’exposition est illustrée par deux peintres, Claude BOULIC et Karine GUIVARCH ainsi que par le cours d’écriture de Fermanville.

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A la découverte du sémaphoreRendez-vous au pied du sémaphore du Cap Lévi.Inscription dans tous les offices du tourisme du Val de Saire.

Les sémaphores, ces bâti-ments étranges disséminés le long des côtes, possè-dent une fonction de surveillance des côtes et de la navigation.

Découvrez l’histoire et les instruments de l’activité sémaphorique depuis le XIXe siècle, et surveillez depuis la vigie le trafic de la mer la plus fréquentée au monde !

« Périssoire, hirondelle, vaurien, Histoires de plaisance en Normandie (1850-1960) »

L’histoire de la navigation de plaisance reste, en dehors des passionnés, peu connue. Pourtant les côtes normandes furent l’un des premiers foyers de diffusion de cette pratique ainsi que, dès le début du XIXe siècle, le terrain de jeu de yachts luxueux mais aussi d’une multitude d’embarcations plus modestes. À travers l’histoire des sociétés de régates, des chantiers de construction et des adaptations effectuées sur le bateau devenu instrument de plaisir, l’exposition retrace l’épopée de cette navigation, de sa reconnaissance administrative en 1850 à la démocratisation de sa pratique un siècle plus tard.

« Poudre à canon et assiettes de poisson »

Défenseurs et assaillants de nos côtes, contrebandiers et caches à fraude, navigateurs désemparés et sauveteurs émérites, le musée maritime continue à vous dévoiler ses collections et vous invite, en plus cette année, à découvrir un cabinet de curiosité puis à passer à table pour déguster des yeux les crustacés : un autre regard des scientifiques et des peintres sur ces scènes littorales normandes !

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« Du mégalodon à la roussette, requins de nos côtes »

L’histoire de l’évolution suggère que le requin est l’une des plus anciennes espèces ayant habité les eaux. Du mégalodon à la roussette, les requins ont traversé 300 millions d’années sans dommage ni changement majeur. Souvent perçu comme une menace, le requin est aussi une proie pour l’homme qui en a consommé la chair, extrait l’huile, et utilisé la peau pour polir des bois ou revêtir avec raffinement des poignées de sabre ou des meubles précieux.

Répandus dans toutes les eaux du globe, les requins sont présents dans celle de la Manche où une dizaine d’espèces différentes sont dénombrées, de la petite roussette au requin pèlerin. Plus ou moins prolifiques, ils sont pour certains en délicate situation de survie.

Festival des Traversées Tatihou

Un festival pas comme les autres, où les musiques traditionnelles d’aujourd’hui s’expriment au rythme des marées. 6

Découvrez la cuisine des produits des côtes normandes8 week-ends de mars à novembre.

De la tour Vauban au Fort du Cap Lévi en passant par la batterie d’Azeville.Les 28 février et 1er mars et les 10 et 11 octobre.

Observation des étoiles et navigations3 week-ends d’avril à septembre.

Des tours Vauban, classées « Patrimoine mondial » au sémaphore du Cap Lévi en passant par le phare de Gatteville. Les 4 et 5 avril et les 1er et 2 août.

Les week-ends « découverte »Demandez le programme complet des week-ends « découverte » et des animations au musée.

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« Sur les pas de Vauban... » Tours fortifiées des côtes de la Manche, tour de Tatihou Pour défendre la frontière maritime du royaume, Vauban a choisi de répartir, le long des côtes de la Manche, des tours d’observation et de défense appelées à protéger certaines zones des débarquements ennemis. C’est ainsi qu’après 1692 ont été construites les tours de la Hougue, de Tatihou, des Hébihens, du cap Fréhel et d’Ouessant (le Stiff). Ces cinq sœurs, sentinelles de la Manche, ont eu des destins différents. L’exposition en retrace l’histoire du XVIIe siècle à nos jours. Ile Tatihou - Tél. 02 33 54 33 33.

« A la découverte de la presqu’île… » Visite du fort et de la tour de la Hougue Le chemin de ronde extérieur longeant les remparts de la presqu’île mène à la porte aux Dames qui donne accès à la tour Vauban de la Hougue. Dans les deux tours, une exposition, réalisée par le « Réseau Vauban » présente les principales fortifications construites à travers la France par l’architecte de Louis XIV. Le vaste panorama qui se déploie depuis la plateforme de la tour permet de découvrir toute la côte est du Cotentin et de comprendre l’intérêt stratégique de la rade de St-Vaast, « la meilleure de France » selon les dires même de Vauban. Programme de visites guidées proposé par l’Office du Tourisme - Tél. 02 33 23 19 32.

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2009NOUVEAUTÉ« Le Marité »

Renseignements à l’Office du tourisme Tél. 02 33 23 19 32

Le Conseil général de la Manche participe à la préservation du dernier des Terre-Neuvas normands, le Marité - construit en 1922 sur

les chantiers navals de Fécamp. Afin de poursuivre sa restauration engagée à Cherbourg, le Marité fait escale pour plus d’un an dans le port de St-Vaast-la-Hougue. Le « village » du Marité propose de découvrir l’histoire des Terre-Neuvas qui partaient pêcher la morue depuis les ports de Granville, Fécamp et Saint-Malo dans les eaux de l’Atlantique nord. Une rencontre avec les charpentiers de marine vous permettra de partir à la découverte de l’histoire de ce navire.Bénéficiez de

tarifs réduits

En juillet 2008, l’UNESCO labellisait au « Patrimoine mondial » 12 sites construits par Vauban dont les deux tours de Tatihou et de la Hougue qui défendent et observent la rade de St-Vaast.Le Conseil général de la Manche et la Ville de St-Vaast travaillent ensemble pour préserver et valoriser ce patrimoine d’exception.

La batterie camouflée !Unique sur les sites duDébarquementUne des quatre casemates vient de bénéficier de la reconstitution la plus exacte possible des peintures de camouflage réalisées par les Allemands pendant l’Occupation. Elle a été effectuée à partir des différentes photographies prises juste après guerre et des peintures d’origine qui restent sur les murs abrités de la casemate.

Il s’agissait pour les Allemands de tout faire pour ne pas fournir aux Alliés la localisation précise et les caractéristiques de leurs fortifications, en trompant les avions de reconnaissance alliés. La casemate devint alors une maison normande ruinée : faux murs en pierre, un balcon, des portes, des fenêtres et un « œil de bœuf ». Les angles de la casemate disparaissent grâce aux peintures de faux ciels et de végétation qui doivent se confondre avec le milieu environnant.

La visite audioguidée du siteA partir de mai 2009, découvrez ou redécouvrez la batterie d’Azeville et ses souterrains, en totale autonomie, grâce à un nouveau parcours audioguidé (en F, GB, D, NL, I, E) illustré de croquis présentant l’architecture militaire et des photos de la vie de la garnison issues, entre autres, de la collection personnelle du commandant allemand Treiber, chef de la batterie pendant l’occupation et lors du Débarquement.Visites-conférences à heures fixes.

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Dès le matin du 6 juin 1944, la batterie d’Azeville, avec ses 4 canons Schneider de 105 mm, a été au cœur des événements du Débarquement allié sur les plages d’Utah Beach. Cet épisode douloureux concluait les deux années et demie pendant lesquelles cette construction à l’architecture très élaborée s’était édifiée, les troupes d’occupation avaient côtoyé les habitants et la garnison avait organisé sa vie au quotidien. Loin des présentations de matériel de guerre, souvent complaisantes, le site veut, par une démarche historique rigoureuse, faire percevoir le quotidien de cette période complexe de notre passé récent.

« Y’a pus d’saisons ! »

Cette expression « bien d’cheu nous » pourrait sortir de la bouche de l’un des protagonistes du film présenté dans cette exposition. André Boizard, vidéaste amateur, a ainsi filmé ses contemporains des années 50, autour de son village natal manchois, afin de conserver la mémoire de pratiques rurales et agricoles sur le point de disparaître. Documentaire exceptionnel collecté par les archives départementales, ce film bénéficie ici d’une mise en son basée sur des témoignages d’habitants ayant connu cette époque. Il est également prolongé par le regard contemporain de

futurs agriculteurs - élèves du lycée agricole de Saint-Lô Thère - qui ont pris conscience, grâce à ce film, de l’évolution majeure de l’agriculture normande en un demi-siècle. Un DVD présentant le film sonorisé, des témoignages ainsi que la démarche éducative réalisée avec le lycée agricole est en vente à la boutique du musée.

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2009NOUVEAUTÉ« Grandes et petites histoires des fermes herbagères de Normandie »Découvrez la riche histoire rurale et agricole de la région à travers une présentation renouvelée :- une reconstitution de la vie et du travail à la ferme au

début du XXe siècle : tous vos sens sont mis en éveil en parcourant à la veillée la salle commune avec sa grande cheminée, la laiterie où se fabrique le beurre, le cellier et le pressoir qui sentent encore bon les pommes pilées, la grande cour entourée de l’écurie et de l’étable mais aussi du poulailler, du four à pain...

- Quand la Normandie devint verte ! : une exposition historique sur l’élevage laitier et le commerce du beurre qui ont transformé en un siècle la Normandie....

- un parcours en extérieur sur l’exploitation ponctué de panneaux explicatifs sur les races locales d’animaux (vaches Normandes et Jersiaises, ânes du Cotentin, Cob Normand, moutons Roussins, oies Normandes …), le potager et les vergers conservatoires de pommiers et de poiriers.

« A la découverte des animaux de la ferme ! »

Visite guidée et ludique des espaces dédiés aux animaux de la ferme : écurie, étable, burets et poulailler tels qu’ils pouvaient être il y a 100 ans, puis parc agricole avec les animaux de race locale.

« Vaches en fête ! 4e édition »

Grand rendez-vous festif pour tous qui met à l’honneur les races bovines et leurs éleveurs normands, ainsi que les produits laitiers de

qualité fabriqués dans la région. A ne pas manquer les dégustations et la vente, la fabrication du beurre à la baratte, un spectacle pour enfants et de nombreuses animations pour les 30 ans du musée !

Fête de l’automne

Exposition pomologique proposée par les Croqueurs de Pommes de la Manche ; fabrication du jus de pommes à l’ancienne ; nombreuses animations pour les enfants ; dégustations des fruits du verger et des légumes du potager ; bourse d’échange de plantes et de graines…

Demandez le programme complet des animations au musée.

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Le musée des enfantsComment faire découvrir le patrimoine aux enfants ? Des manipulations, des visites ludiques, des découvertes sensorielles, leur sont spécialement destinées pour une transmission ludique des savoirs et des traditions. Plusieurs rendez-vous, plusieurs thèmes, pour ces après-midi découverte qui se terminent par un goûter. N’hésitez pas à vous renseigner !

Les ateliers d’artVenez vous initier ou vous perfectionner à des pratiques artistiques et artisanales. Des professionnels vous font découvrir la fresque, les enduits et badigeons à la chaux, la sculpture sur bois. Ouvert à tous pour une ou plusieurs journées.

Spectacle vivant - Cirque Klezmer

Ce cirque contemporain, implanté à Barcelone, est constitué d’une troupe d’artistes qui reprennent avec enthousiasme l’héritage d’une culture juive aujourd’hui disparue de son aire de rayonnement ancestrale : l’Europe de l’est. Le Circus Klezmer ajoute à la tradition yiddish les éclats et le rythme endiablé du cirque catalan. Le résultat est un spectacle époustouflant, mené par le comédien metteur en scène, Adrian Schwarzstein, à travers une éclatante, mais sombre histoire de mariage arrangé, prétexte à disputes, rapprochements et déchirures, réconciliation finale. Le tout est ac-compagné de musiques, de danses, d’apparitions de personnages cocasses, de pleurs et de grincements de dents, de bonne humeur et de mauvais caractères.

Des animations et des ateliers(Demandez le programme complet sur le site)

« Une journée de chaufournier »Parcours sonore autour des fours Les bâtiments industriels exceptionnels que sont les fours à chaux du Rey se découvrent désormais grâce à un parcours sonore permettant d’imaginer l’intense activité de ce site, il y a un siècle et demi.Cette architecture monumentale était avant tout une «machine» dans laquelle, au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, de nombreux personnages ont travaillé et se sont croisés : chaufourniers, carriers, ouvriers, clients, rouliers...Grâce à l’écoute et la perception du lieu, le visiteur est guidé tout au long du parcours par des voix, des ambiances sonores et des images... de la carrière aux fours à chaux, de la matière première au produit fini.

« Couleurs sensibles » Photographies autochromes de Gustave Gain

Premier procédé de photographie en couleur, l’autochrome a révolutionné l’art photographique au début du XXe siècle. Pour la première fois, les photographes, jusqu’alors limités au noir et blanc, accèdent au monde de la couleur.A mi-chemin entre la photographie et la peinture, le secret de l’autochrome, invention des frères Lumière, réside dans l’emploi de fécule de pomme de terre teintée, permettant de capter et filtrer la lumière.Si les autochromes aujourd’hui conservés sont rares, l’exposition « Couleurs sensibles », conçue par les archives départementales, permet de découvrir plusieurs tirages originaux en couleur du photographe amateur Gustave Gain (1876-1945).Scientifique et originaire de Cherbourg, Gustave Gain a traité des thèmes aussi divers et variés que des paysages, des marines et des portraits jusqu’à

un reportage sur le Turkestan russe, suite à une mission scientifique en 1914.C’est un voyage de mémoire qui permet aujourd’hui de porter un regard nouveau sur des images plus proches d’œuvres picturales que de photographies.

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« Le château dans son site »Découvrez les grandes étapes de l’histoire et l’architecture du château, en parcourant le sentier de découverte qui suit les anciennes douves. Vous comprendrez que vous vous trouvez dans un lieu majeur de la guerre de Cent Ans en Normandie. Poursuivez votre promenade sur le nouveau chemin qui longe le havre de la Sienne, fabuleux site naturel qui fut un des ports les plus importants du Cotentin au Moyen Âge.

L’ermitage ouvre ses portes !

Ces journées vous permettent de visiter la chapelle et les appartements de l’ermite de 14h à 18h. Une exposition y détaille l’histoire de la statue de St Gerbold, les différentes périodes de construction puis de sauvetage de l’édifice et présente les ermites qui s’y sont succédés pendant deux siècles.

Sur les pas de St Gerbold

Rendez-vous au château de Gratot à 15h.Accompagné d’un guide, un chemin creux vous mène du château des d’Argouges jusqu’à l’ermitage, ouvert à cette occasion.

Au retour, d’autres chemins du bocage vous font découvrir le riche patrimoine du Coutançais.

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Ce petit monument, un des derniers ermitages de France, constitue une jolie découverte au détour d’une haie du bocage du Coutançais. Des tables d’interprétation extérieures, accessibles en permanence, vous permettent de comprendre l’histoire, l’architecture de l’ermitage, de découvrir la légende du Saint et la vie des ermites.Ce site, ouvert toute l’année, est sous votre protection. Respectez-le !

Un sentier de promenade (dépliant «Promenade-découverte» disponible au château de Gratot) relie le château des d’Argouges à l’ermitage et permet de parcourir les chemins creux à la recherche du riche patrimoine communal.

« De la prière aux champs - La vie économique d’une abbaye médiévale »

Le monastère, lieu de vie spirituelle, est aussi le centre d’une vie économique intense qui permet d’assurer l’autosubsistance de la communauté religieuse. Il s’agit de tirer le meilleur parti du site de l’abbaye et d’en utiliser les ressources. La Règle monastique

induit des activités d’élevage et de culture mais aussi des activités artisanales et de transformation pour des produits manufacturés. Si l’image de moines défricheurs, bâtisseurs ou inventeurs a probablement été surestimée, leurs compétences de gestionnaire et leur rôle dans la diffusion des techniques ont assurément contribué à façonner le paysage de l’Europe. L’exposition s’appuie en particulier sur les expériences bénédictines et cisterciennes et notamment sur l’exemple de Notre-Dame de Hambye. Destinée à un large public, elle s’articule autour d’une grande maquette du site de Hambye qui raconte une journée de la vie de l’abbaye. Un important volet scolaire proposant des projets éducatifs comparant les abbayes de Hambye et du Mont-Saint-Michel est prévu.

La restauration du chœur de l’abbatialeL’équilibre du chœur gothique de l’église a profondément été perturbé lors de son exploitation en carrière de pierre au XIXe et, depuis cette époque, par les intempéries. Des désordres inquiétants sont apparus il y a 2 ans au niveau des colonnes du chœur, menaçant la stabilité de l’édifice. L’année 2009 voit s’engager les travaux de restauration qui vont permettre la conservation à l’identique des ruines de l’abbatiale. Un chantier d’exception pour un monument d’exception.

Balades littéraires

Au fil de la marche et de la découverte du site, la lecture de textes historiques, romanesques ou de poèmes évoque l’origine et la construction de l’abbaye, la symbolique médiévale, la vie quotidienne des moines. Entre histoire et imaginaire, une autre façon de regarder et de vivre l’abbaye. Demandez le programme complet des animations à l’abbaye.

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Spectacle vivant

Chœur de l’Université de Varsovie (Pologne) - Œuvres de la Renaissance à la musique contemporaine et de répertoire a capella jusqu’aux grandes œuvres avec orchestre.

www.chor.uw.edu.pl

pique-nique dans les jardins de l’abbaye (apporter son panier !)

The Gold Company (Etas-Unis) - Répertoire éclectique mêlant habilement musique chorale, subtiles variations de jazz, swing, improvisations, avec des détours par la pop et le funk. wmich.edu/goldcompany

« Le pèlerin à travers les âges »

Le Mont-Saint-Michel est devenu au cours du Moyen Age un haut lieu de pèlerinage européen. Qu’ils soient croyants ou simples laïques, les visiteurs appréhendent

le Mont à leur manière. Qu’en est-il des motivations, des attentes et des comportements des pèlerins, hommes et femmes d’hier et d’aujourd’hui, qui depuis 1300 ans partagent l’objectif commun d’atteindre, malgré les dangers de cette dernière étape, le Mont-Saint-Michel. A notre époque, les touristes ont en grande partie remplacé le pèlerin. Que viennent-ils chercher en ce lieu ?

« Les phoques, veaux marins de la Baie du Mont-Saint-Michel »Depuis près de trente ans, les phoques sont revenus coloniser la Baie du Mont Saint-Michel. Complétant

la présentation permanente, cette exposition retrace la vie et l’évolution de cette colonie ainsi que les méthodes parfois originales mises en place pour suivre son évolution et en assurer la protection.

La nuit des musées

A l’occasion de la nuit des musées, la Maison de la Baie invite le public à une visite gratuite des expositions et à des animations nocturnes.

« Visite du village de St Léonard »

Promenade découverte du village de St Léonard : les maisons de pêcheurs, les puits, les digues, le prieuré…Découvrez ce patrimoine qui retrace l’histoire des hommes qui vivaient à St Léonard autrefois.Demandez le programme complet des animations à la Maison de la Baie.15

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La Maison de la Baie de Vains vous parle de la nature, des plantes et des animaux qui vivent dans la Baie du Mont-Saint-Michel, sur terre, dans la mer et dans les airs selon le cycle des saisons. Vous y observerez les activités des hommes depuis des générations. Vous découvrirez dans un atelier de saunier comment nos ancêtres y extrayaient le sel, denrée essentielle à la conservation des aliments... avant l’inven-tion du congélateur !

« Mythes et réalités de la forêt de Scissy »

Comme le prouvent les souches fossilisées, les « cœrons » des massifs forestiers aujourd’hui immergés ont bien existé dans certaines parties de la Baie, entretenant depuis des siècles le

mythe de la forêt de Scissy. Si les romantiques et les scientifiques s’accordent tous pour reconnaître l’existence de cette forêt, depuis plus de deux siècles des débats parfois passionnés ont opposé les partisans d’une immersion consécutive au raz de marée de 709 aux partisans d’une immersion beaucoup plus ancienne. L’exposition propose de partir à la découverte des traces de cette

mythique forêt et de confronter les deux points de vue à la lumière des nombreuses sources et documents aujourd’hui disponibles. Elle évoquera également la symbolique sous-tendue dans ce parcours initiatique du pèlerinage ?

« L’histoire des paysages littoraux »La Maison vous parle, grâce à un parcours audio-guidé, des paysages littoraux et de leur formation depuis des millions d’années jusqu’à aujourd’hui. Sa nouvelle présentation en extérieur vous apporte de façon ludique les réponses que vous vous posez depuis l’enfance : Le Mont s’enfonce-t-il dans la tangue ? La forêt de Scissy a-t-elle vraiment existé ? La mer remonte-t-elle à la vitesse d’un cheval au galop ? Est-ce vrai que des mammouths parcouraient autrefois la plaine au pied du Mont ?... Le parcours s’achève par un observatoire des paysages de la Baie qui vous incitera à partir à sa découverte.

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La Baie du Mont-St-Michel, un « Patrimoine mondial » à découvrir ou à parcourirLes travaux pour conserver un Mont-St-Michel au péril de la mer sont désormais engagés ! A l’occasion de ces travaux mais aussi du XIIIe centenaire de la fondation de l’abbaye, il est important de rappeler que la « Merveille » et la Baie sont indissociables et bénéficient, l’une et l’autre depuis 1979 du label « PATRIMOINE MONDIAL » décerné par l’UNESCO.Mais comment cette immense Baie, ponctuée des rochers du Mont et de Tombelaine, s’est-elle formée ?Comment ces paysages magiques et surprenants, qui changent à toute heure du jour, sont aujourd’hui sous nos yeux ? Venez le découvrir et le comprendre en visitant la Maison de la Baie de Courtils.

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Des animations et des Stages (Demandez le programme complet sur le site)

Stages d’initiationPour les 7-12 ans : du 15 au 17 avril, et du 18 au 30 octobre / 65 €Pour les plus de 13 ans : du 10 au 14 août / 120 €

Stage de perfectionnementfabrication

de moules en plâtre / 120 €

Les mercredis animés

les parents en ballade commentée, les enfants à l’atelier

départ d’une visite nocturne et commentée à 22h, avec démonstrations de cuissons traditionnelles de poteries. Possibilité de pique-niquer avant la visite.

« Un village normand et la Grande Guerre » Ger et le bocage - 1914-1919

En 1919, au lendemain de la Première guerre mondiale, les femmes retrouvent leur mari, les enfants leur père, ceux qu’on appelle déjà les Anciens Combattants. Mais sur les 400 « poilus » de Ger, une centaine ne reviendra pas : un mort pour dix-sept habitants, pour eux un monument aux morts est élevé par souscription sur la place de la mairie.Après la tourmente, la vie à Ger reprend son cours. On se retrouve au moulin, au marché, chez les petits artisans du bourg. Les institutrices, l’instituteur et le curé retrouvent leurs habitudes, le tout nouveau corps de sapeurs pompiers s’organise. Mais cette commune à la lisière de la forêt, au sol pauvre et difficile à cultiver, perd ses jeunes, attirés par la ville : le dernier cloutier est déjà parti, les derniers ateliers de poterie ferment…

Réalisée en partenariat avec l’association de généalogie G.E.R., l’exposition permet de découvrir, à partir de différentes familles originaires de la commune, les profondes transformations sociales et économiques du bocage normand après la tourmente de la Grande Guerre.

Fête des Potiers - 8ème édition

A partir de 20h, des démonstrations de cuissons de poteries dans des fours éphémères : autour des cuissons habituelles (au bois, à la sciure, au charbon…), vous serez plongés dans une ambiance festive autour d’un groupe musical. Possibilité de se restaurer sur place ou d’acheter son pain cuit au bois dans la boulangerie du musée.

Une trentaine de céramistes proposent à la vente leurs productions. Démonstrations et ateliers de façonnage et d’émaillage. Visite des expositions. Ambiance musicale.

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Du granite au granit !La découverte d’une très originale collection lapidaire tout au long d’un sentier parcourant le parc arboré d’une maison bourgeoise du bourg de St-Michel-de-Montjoie.Vous comprendrez l’origine géo-logique du granite (terme des géologues) qui constitue une des échines des Collines de Normandie, vous découvrirez l’histoire et les techniques de l’extraction du granit (terme des carriers et des granitiers), vous comparerez le granit, matériau pour l’agriculture et l’artisanat et celui pour le mobilier funéraire ou pour l’architecture...

Puis une promenade le long de la route de la Pierre percée vous fera découvrir les paysages du granit implantés sur ces hautes terres de la Normandie.

« Un peu, beaucoup, passionnément… la fleur »

Entre art et botanique, la fleur est partout. La rose, reine des fleurs en Occident, côtoie le lys majestueux des rois ou les discrètes marguerites et pensées tant aimées des normands. Rassemblées en bouquets, les fleurs jaillissent sous le pinceau des peintres anonymes et réputés (Redouté, Dufy, Matisse, Sergio de Castro), et deviennent source d’inspiration pour les couturiers tel Dior, l’enfant du pays.

« Un vêtement et un art : le kimono »Plus qu’aucun autre vêtement, le kimono témoigne d’une exceptionnelle longévité dans son utilisation. Si les décors puisent, eux aussi, dans le registre de la nature, ils ne le font pas à la manière occidentale. La somptueuse collection

de kimonos japonais exposée permet de comprendre les particularités de ce costume et de son décor.19

2009NOUVEAUTÉ

2009NOUVEAUTÉ

Soirée musique-musée Concert par le Conservatoire de musique de St Hilaire-du-Harcouët suivi de la découverte d’une des expositions du musée.

Soirée théâtre « La conférence des oiseaux » par la troupe de l’Elan artistique. Pour la dernière séance, le public pourra découvrir gratuitement l’une des expositions du musée.

Journée colloque en partenariat avec l’association « Loisirs, culture et foi » autour du thème de l’exposition « Un peu, beaucoup, passionnément… les fleurs ».

Stage de broderie blanche par Odile Bouré, professeur de broderie basée dans l’ouest de la France

Exposition de vitraux sous la verrière par Anne-Catherine Régnault.

Stage de broderiepar Pascal Jaouen, directeur de l’Ecole de broderie de Quimper.

Stage de broderie japonaise par Jacqueline Poirier, animatrice de l’association « Broder la soie ».

« Des boîtes pour la haute couture... »L’entreprise Alliora expose son savoir-faire dans le packaging.

Des ateliers pour enfants (8 -15 ans), adultes débutants et mère-enfant avec Annick Bozec, venez réaliser votre sac à main ou sac de plage totalement personnalisé.

Mise en scène florale et démonstration de bouquets pour les Journées du patrimoine. Gratuité pour tous.

DES ANIMATIONS ET DES STAGES (Demandez le programme complet sur le site)

La conservation des antiquités et objets d’art de la Manche et la Ville de Saint-Hilaire-d u - H a r c o u ë t vous invitent à redécouvrir la fleur, sous toutes ses formes, natu-relle, peinte, sculp-tée, tissée…

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Mont et merveille13 siècles d’histoire, 13 histoires du Mont

Le treizième centenaire de l’abbaye du Mont Saint-Michel offre l’opportunité de mettre en valeur les collections montoises des archives départementales. Ces éléments collectés représentent le fonds documentaire consacré au Mont le plus important de France : chartes des XIe-XIIe siècles, miraculeusement

épargnées en 1944, archives de la sous-préfecture d’Avranches, affiches, estampes, photographies, plans, objets, ouvrages imprimés. Par la même occasion, ce projet va permettre de faire le point sur l’ensemble de ces collections pour les mettre mieux en valeur auprès du grand public et du public des chercheurs.

Du lundi au samedi de 9h à 17h(fermé le samedi en juillet et août)

Dans la Baie du Mont-Saint-Michel

avec l’Abbaye de Hambye, la Maison de la Baie de Vains et la Maison de la Baie de Courtils.

Dans le Cotentin

avec l’Ile Tatihou.

avec la Maison Jacques Prévert, la Maison natale Jean-François Millet et l’Ile Tatihou.

avec l’Ile Tatihou.

Dans le Mortainais

avec le Musée régional de la poterie et le Parc-musée du granit.

Vers les îles anglo-normandes

Elles vous sont accessibles via avec 15% de réduction sur la traversée pour tout porteur d’un billet d’un site présent dans ce guide (sauf le musée de la Verrière et le musée Barbey d’Aurevilly).

Le Conseil général développe un partenariat avec différents sites patrimoniaux : l’achat d’un billet d’entrée sur certains sites de ce guide vous fait bénéficier d’un tarif réduit sur les sites suivants... et réciproquement :

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Le Conseil général développe un partenariat avec différents sites patrimoniaux : l’achat d’un billet d’entrée sur certains sites de ce guide vous fait bénéficier d’un tarif réduit sur les sites suivants... et réciproquement :

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au lieu de 4,20 *exceptés les sites de

Tatihou et Hambye (voir tarifs au dos).

Offre valable pour l’année 2009