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BIENVENUE EN GUADELOUPEWELCOME TO GUADELOUPE

KONTAN VWÈ ZOT

Merci d’avoir choisi les îles de Guadeloupe comme Terres d’images et d’émotions.Bienvenue sur l’une des plus grandes biosphères accessibles que compte le territoire français. C’est aussi cette terre qui a forgé le caractère endurant et l’esprit sportif qui jalonnent l’île principale en forme de papillon.Située au point de tangente de l’arc caribéen, c’est un archipel

constitué de 6 îles (Basse-Terre, Grande-Terre, la Désirade, Terre-de-Haut, Terre-de-Bas, Marie-Galante), d'au moins 8 gammes de décors (expressionnistes, impressionnistes, surréalistes, ruraux, urbains, tropicaux, maritimes, industriels…), et de la septième émotion universelle…

SES PROMESSES

L’accueil dans l’esprit de cultureLa valorisation des talents régionauxLe courage, la sécurité et la volonté Le respect du Patrimoine et de la créationL’action

Thank you for choosing the Guadeloupe islands, the Lands of Images and Emotions.Welcome to one of the largest accessible biospheres on French territory. It is also this land which forged the enduring character and sportsmanship to be found all over the butterfly-shaped main island.The Guadeloupe archipelago, situated at a tangent point of the Caribbean Arc, is composed of six

islands (Basse-Terre, Grande-Terre, La Désirade, Terre-de-Haut, Terre-de-Bas, Marie-Galante) where at least eight kinds of different landscapes abound (expressionist, impressionist, surrealist, rural, urban, tropical, maritime, industrial…), and the seventh universal emotion …

ITS PROMISES

A welcome in a spirit of cultureEncouragement of regional talentsIndomitable spirit, security and determinationRespect for its Heritage and creationAction

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A word from the President,Josette Borel-Lincertin

The world has been watching us for this last 520 years, we have been contem-plating it for 165 years, and it is 46 years that our butterfly-shaped country has been portrayed by the cinema, so now… Here we are, close to 450,000 inhabitants, both a Re-gion and an Overseas Department, four lan-guages, Creole, French, English and Spanish, in daily use. The Guadeloupe islands are a melting pot archipelago between Europe, Africa, the Amerindian civilization and India.

The regional collectivity plays an ac-tive role in the development of culture of the Guadeloupe islands so that artistic creation, production, entertainments, audiovisual and cinema production or otherwise the archi-tectural or archeological heritage, not only propose a window of our region but these various dimensions are also part of an eco-nomic and social vitality.

Today, the cinema is a genuine stake for the economy. Aware of the real potential represented by the motion picture industry for the development of Guadeloupe and its ability to attract, the regional council acti-vely supports audiovisual and cinema pro-

duction, to enable entertainment professio-nals to carry on their profession fully and, just like sports, extend the influence of our region throughout the world.

As such the Guadeloupe region parti-cipates in financing short films and feature films, whether fictions or documentaries, for cinema and television.

The Guadeloupe region has also cho-sen to support the distribution and creating awareness in the public through operations such as the FEMI, Documentary Film Month, the St-Barth Film Festival, Cinamazonia, etc., or the high school initiatives for the cinema and the “Passeurs d’Images” film education.

I would like to recall that the Guade-loupe islands are situated right in the center of the Caribbean, at the confluence of three continents (Africa, Europe, the Americas), hence the three different footprints at all le-vels. Rich with the diversity and proximity of its landscapes and its exceptional heritage, the Guadeloupe archipelago offers many changing landscapes. There are more and more image and sound professionals who have already understood, who have chosen our region as a place to make their films and develop their projects.

Since it came into being (2005), it is the Regional Council’s Cultural Affairs and Artistic Training Department which has ta-ken care of this dynamic action in favor of ci-nema and audiovisual works in Guadeloupe.

Based on the belief that welcoming shootings is one of the tools of a regional policy to support creation and production, the Guadeloupe region set up the Film Re-ception and Resource Office; perhaps you already know of this office which provides assistance and attracts film production.

For all those wanting to come here, the Regional Council is publishing this first guide book which it wanted to be as useful and welcoming as possible about all the re-sources available for cinema and audiovisual activities but also all the activities closely related to them.

You will find in our smiling faces, information about project financing, the authorizations and locations where you can shoot your films, a directory of the indus-try professionals and many more practical details.

With the hope that this will help you with your formalities, I wish you a successful film shoot.

Mot de la présidente, Josette Borel-Lincertin

520 ans que le monde nous regarde, 165 ans que nous le regardons et 46 ans que le cinéma se raconte depuis notre pays en forme de papillon, voici… Nous voici, près de 450.000 habitants, à la fois Région et Département d’Outre Mer, 4 langues se fréquentent quotidiennement, le créole, le français, l’anglais et l’espagnol. Les îles de Guadeloupe sont un archipel de métissage entre l'Europe, l'Afrique, la civilisation amé-rindienne et l'Inde.

La Collectivité régionale intervient dans le développement culturel des îles de Guadeloupe afin que la création artistique, la production, les spectacles, la production audiovisuelle et cinématographique ou en-core le patrimoine architectural ou archéolo-gique proposent, non seulement une vitrine de notre région mais, que ces différentes di-mensions participent à un dynamisme éco-nomique et social.

Aujourd’hui, le cinéma constitue aus-si un véritable enjeu économique. Conscient du potentiel que représente l’industrie de l’image pour le développement et l’attrac-tivité du territoire guadeloupéen, le conseil

régional soutient activement la production audiovisuelle et cinématographique afin de permettre aussi aux professionnels du spec-tacle d’y exercer pleinement leur métier et faire rayonner, à l’instar du sport, notre ré-gion dans le monde.

La région Guadeloupe participe ainsi au financement de longs et courts métrages, fiction ou documentaire, pour le cinéma et la télévision.

Par ailleurs, la région Guadeloupe a choisi de soutenir la diffusion et la sensibi-lisation des publics à travers des opérations comme le FEMI, le Mois du Film Documen-taire, le St-Barth Film Festival, Cinamazonia… ou les dispositifs lycéens au cinéma et pas-seurs d’images.

Rappelons que les îles de Guadeloupe sont placées au centre de la Caraïbe, au confluent de trois continents (Afrique, Eu-rope, Amériques), d’où les trois empreintes à tous niveaux. Riche de la diversité et de la proximité de ses paysages, de son patrimoine exceptionnel, l’archipel guadeloupéen offre une multiplicité de décors. Vous êtes de plus en plus nombreux, professionnels de l’image et du son à l’avoir déjà compris, à avoir choisi notre région comme terre de tournage et de développement de vos projets.

Depuis son existence (2005), c’est la direction des affaires culturelles et de la for-mation artistique du Conseil Régional qui a eu la mission de mettre en œuvre cette action dynamique en faveur du cinéma et de l'audio-visuel en Guadeloupe.

Considérant que l'accueil des tour-nages est l'un des outils d'une politique régionale de soutien à la création et à la pro-duction, la région Guadeloupe a créé le Bu-reau d'Accueil des Tournages. Cet espace que vous connaissez peut-être déjà, accompagne et attire la réalisation des films.

Pour tous ceux qui souhaitent se rendre chez nous, le conseil régional édite ce premier guide qu’il a souhaité le plus utile et accueillant possible sur l’ensemble des ressources relevant de l’activité cinémato-graphique et audiovisuelle en Guadeloupe, mais aussi de tous ses parents proches.

Vous y trouverez nos sourires, des informations sur le financement des projets, les autorisations et lieux de tournages pour vos films, un annuaire des professionnels du secteur et de nombreux renseignements pratiques.

Dans l’espoir de faciliter vos démarches, je vous souhaite un bon tournage.

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Je découvre

chapitre 1 : Un territoire...HistoireGéographieLes communes de GuadeloupeLe Parc National de GuadeloupeLes décors types de GuadeloupeGuadeloupe et cinéma

Je me renseigne

chapitre 2 : Organismes pour faciliter les recherchesL’AFCI (Association of Film Commissioners International) Film France La commission régionale du Film de GuadeloupeLe CTIG

chapitre 3 : Les aides et dispositifsLes aides en régionLe dispositif d’éducation à l’image

chapitre 4 : Calendrier des grands rendez-vousRendez-vous cinémaRendez-vous culturels

Sur place, avec qui ?

chapitre 5 : Annuaire des organismes et institutions incontournablesLes services de la région GuadeloupeLes services du département de GuadeloupeLes services de l’Etat

chapitre 6 : Réseaux, partenaires et média locauxLes diffuseursLes mediaLes partenaires

Ça tourne !

chapitre 7 : Répertoire et outilsLe casting localLe répertoire des techniciens locauxLes producteursLes prestataires techniques

chapitre 8 : Informations pratiquesL’hébergement et les loueursLe transportÀ savoirLes autorisations de tournages

SOMMAIRE CE GUIDE EST CONÇU EN 4 PARTIES COMPLÉMENTAIRES ET HUIT CHAPITRES.

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I discover

chapter 1: A territory...HistoryGeographyThe towns of GuadeloupeThe Guadeloupe National ParkTypical Guadeloupe landscapesGuadeloupe and cinema

I obtain information

chapter 2: Organizations facilitating searchesAFCI (Association of Film Commissioners International)Film FranceGuadeloupe Regional Film CommissionCTIG

chapter 3: Aids and programsAids in the regionThe image education system

chapter 4: Diary of major eventsCinema eventsCultural events

On the site, who with?

chapter 5: Directory of essential organizations and institutionsServices of the Guadeloupe regionServices of the Guadeloupe DepartmentServices of the State

chapter 6: Local networks, partners and mediaDistributorsThe mediaThe partners

Rolling!

chapter 7: Directory and toolsLocal castingDirectory of local techniciansProducersTechnical service providers

chapter 8: Practical informationRental companiesAccommodation and transportWhat you need to knowFilming authorizations

TABLE OF CONTENTS THIS GUIDE HAS BEEN PREPARED IN FOUR COMPLEMENTARY SECTIONS AND EIGHT CHAPTERS

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AVERTISSEMENT

Cette première édition du guide des tournages s’adresse aux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, en priorité aux chefs de poste souhaitant mener un projet en Guadeloupe. Ce guide vise à toucher le public le plus large et à constituer un outil de référence à même de répondre aux besoins des habitués et non habitués à la législation, aux sites et outils de production français. La commission régionale du film, membre du réseau Film France, s’est efforcée de vérifier que les informations figurant dans ce guide sont à jour à la date de publication. Cependant, certaines ont pu évoluer depuis. Des mises à jour seront disponibles sur le site internet www.guadeloupefilm.com sous forme de documents Acrobat.

WARNING

This first edition of the filming guide is intended for cinema and audiovisual professionals, and in priority operators wanting to implement a project in Guadeloupe.This guide is intended to be read by as many people as possible and to be a reference tool able to provide an answer to those who have some knowledge or no knowledge at all of French legislation, sites and production tools.The Regional Film Commission, a member of the Film France network, has made every effort to verify that the information in this guide is up to date on the date of publication. However, some information may have changed since then. Updates will be available on the website www.guadeloupefilm.com as Acrobat documents.

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chapitre 1 : Un territoire...

chapter 1:A territory...

HISTORY

The pre-Columbian era

The archipelago’s first occupants were the Amerindian populations. As soon as man learned how to sail, in other words 4,000 to 5,000 years ago, Guadeloupe, like most islands in the Lesser Antilles, was one of the destinations often reached.

The first known Amerindians were groups of so-called “pre-cera-mic” non-sedentary food hunters and collectors who came via Trinidad from what is now Venezuela. These small nomadic groups had a prefe-rence for settling in the mangrove areas rich in shellfish and game.

In an archaeological dig carried out in Saint-François in 1992 a deep archaeological stratum was discovered holding many food remains and rudimentary tools made of seashells, which after carbon dating were found to date back to 1,000 years BC.

These groups of hunters were succeeded by a more organized popu-lation of farmers coming from the high plateaus of the Orinoco, known as the Huecoids. They were the first farmers who came to colonize the Les-ser Antilles: they brought with them tobacco, manioc and sweet potatoes.

In 800 A.D., a new culture, called the “Suazey”, settled in almost all of the Lesser Antilles. The last Amerindian migration is documented historical-ly: the Galibi from French Guiana who settled in Guadeloupe only one or two centuries before the arrival of Christopher Columbus on November 4, 1493.

HISTOIRE

La période précolombienne

Les premiers occupants de l'archipel : les populations amérindiennes. La Guadeloupe, comme la plupart des îles des Petites Antilles, a été visitée dès que l'homme a appris à naviguer, c'est à dire il y a 4 000 à 5 000 ans.

Les premiers amérindiens connus sont des groupes dits « précéra-miques » de chasseurs collecteurs, non sédentaires venus de l'actuel Ve-nezuela, en passant par Trinidad. Ces petits groupes de nomades s'installaient de préférence dans les zones de mangrove riches en coquillages et en gibier.

Une fouille archéologique réalisée à Saint-François en 1992 a per-mis la découverte d'un niveau archéologique profond contenant de nom-breux restes alimentaires et un outil rudimentaire en coquillage, qui a pu être daté par le radiocarbone de 1000 ans avant Jésus Christ.

Ces groupes de chasseurs ont été suivis par une population plus organisée d'agriculteurs venus des hauts plateaux de l'Orénoque et bap-tisés Huécoîdes. Ce sont les premiers agriculteurs venus coloniser les Petites Antilles : ils apportent avec eux tabac, manioc, patate douce.

En 800 après J.C une nouvelle culture dite « Suazey » est implan-tée sur presque toutes les Petites Antilles. La dernière migration amé-rindienne est historiquement attestée : il s'agit des Galibis de Guyane française qui s'installent en Guadeloupe un ou deux siècles seulement avant l'arrivée de Christophe Colomb, le 4 novembre 1493.

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De la découverte des îles de Guadeloupe à 1848

La colonisation européenne, l'arrivée de l'Amiral Christophe Co-lomb et sa rencontre avec les Caraïbes  n'a pas été immédiatement suivie d'une colonisation de l'île par les européens : les îles de Guadeloupe ne présentaient pas de grand intérêt pour les premiers conquérants princi-palement en raison de l'absence de gisements aurifères. Par contre, elle a longtemps servi d'escale aux navires venant directement d'Europe, afin de s'alimenter en eau et de faire parfois provision auprès des occupants caraïbes. La rivière du Gallion, à Basse Terre aurait été un de ces lieux « d'aiguade », d'où son nom.

C'est le 28 juin 1635 que Charles Liènard de l'Olive et Jean Du Plessis d'Ossonville occupent et se partagent la partie de l'île la plus propice à la culture : la Guadeloupe, que nous appelons aujourd’hui la Basse Terre. Une colonisation qui connaîtra des débuts très difficiles en raison du manque de préparation et de l'inadaptation des européens aux conditions clima-tiques. Des centaines de colons périront de la famine et des maladies comme la fièvre jaune. C'est ainsi d'ailleurs que périra Jean Du Plessis.

Des deux gouverneurs de l'île, c'était le plus pacifique, et sa mort laissera le champ libre à de l'Olive, qui mènera une guerre sans merci aux indiens caraïbes. Cette guerre prendra fin en 1660 avec la signature, au Fort de Basse Terre d'un traité de paix avec les caraïbes qui leur concédera quelques maigres territoires sur les parties les plus désertiques de l'île.

Après avoir tenté diverses cultures comme le tabac, l'indigo, et le café, les colons développeront la culture intensive de la canne à sucre en faisant appel au savoir-faire des colons hollandais chassés du Brésil et, de façon massive, à une main d'œuvre d'esclaves africains. Dès 1642, les co-lons français acheminent des esclaves noirs venant d’Afrique de l’Ouest jusqu’aux Antilles pour développer la production de sucre de canne.

Schématiquement, à la fin du 18e siècle, la population des îles de Guadeloupe se compose   :— des blancs, tous de condition libre.—  des libres de couleurs. Ce sont des affranchis ou des descendants d’af-franchis, généralement métis. S’ils sont libres, ils ne sont pas considérés comme les égaux des blancs.— des esclaves, principalement noirs, mais aussi métis. Ils représentent environ 80 % de la population.

The discovery of the Guadeloupe islands in 1848

European colonization, the arrival of Admiral Christopher Colum-bus and his encounter with the Caribs were not immediately followed by the colonization of the island by the Europeans: the Guadeloupe islands were not of much interest to the first conquerors, mainly because there were no gold deposits. On the other hand, it was useful for a long time as a stopover for ships coming directly from Europe, where they could take on water and sometimes obtain provisions from the Carib occupants. Ri-vière du Gallion, on Basse Terre, was apparently one of these “watering” places, hence its name.

It was on June 28, 1635 that Charles Liènard de l'Olive and Jean Du Plessis d'Ossonville occupied and divided between them the part of the island which lent itself the most to cultivation: Guadeloupe, which we now know as La Basse Terre. The colonization was very difficult at the outset because the Europeans were unprepared and unable to adapt to the climatic conditions. Hundreds of settlers died from famine and disease, such as yellow fever. In fact that is how Jean Du Plessis died.

Of the island’s two governors, he was more of a pacifist; with his death, de l’Olive was left with a free reign to engage in a war without mercy against the Carib Indians. This war ended in 1660 with the signa-ture at Fort de Basse Terre of a peace treaty with the Caribs, which left them with a few meager territories in the most barren parts of the island.

After attempts to cultivate tobacco, indigo and coffee, the settlers turned to the intensive cultivation of sugar cane, relying on the know-how of the Dutch settlers driven out of Brazil and massively on the labor supplied by African slaves. Already in 1642, French settlers were impor-ting black slaves from West Africa and sending them to the Antilles to develop the production of cane sugar.

Briefly, the population of the Guadeloupe islands at the end of the 18th century was composed of:— whites, none of whom were enslaved,— people of color, who also were not enslaved. They were emancipated slaves or their descendants, generally of mixed race. Even though they were emancipated, they were not considered equals of the whites,— slaves, principally black, but also of mixed race. They represented about 80% of the population.

Les Saintes

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De l’abolition de l’esclavage à l’assimilation (1848-1946)

La révolution de 1789 fut l'occasion pour les blancs « pa-triotes » et pour les planteurs de s'affronter afin de contrôler la colonie.

Ce fut également l'occasion de brèves mais violentes révoltes d'esclaves, qui conduiront, le 4 février 1794, à la première abolition de l'esclavage par la Convention   ; sa mise en œuvre fut cependant de courte durée, puisque, sous la pression de la société martiniquaise dont l'impératrice était issue, le premier Consul Bonaparte rétablit l'esclavage en 1802, malgré la résistance et le sacrifice de Delgrès et de ses compagnons.

Il s'ensuivit une période très confuse de rétablisse-ment de l'ordre esclavagiste bien ébranlé, perturbée par la reprise de la guerre entre la France et la Grande Bretagne. C'est le 27 avril 1848 qu'intervient l'abolition définitive et le déclin de la vieille société coloniale, grâce en particulier à l'action de l'humaniste Victor Schœlcher. En Guadeloupe, l’abolition de l’esclavage n’est effective que le 27 mai 1848.

Les premiers travailleurs volontaires venus des Indes arri-vent à Saint-François en 1853, ils sont recrutés afin de rempla-cer une main d'œuvre devenue défaillante dans les plantations.

En 1880, le sucre de canne perd de sa rentabilité avec l’apparition du sucre de betterave. Dès le début du 19e siècle, les îles de Guadeloupe diversifient ses axes de production, commercialisent le rhum et se tournent vers l’exploitation d’autres ressources telles que la culture de la banane, la pêche et aujourd’hui le tourisme.

From the abolition of slavery to assimilation (1848-1946)

The 1789 revolution was the opportunity for the “pa-triotic” whites and the planters to confront each other for control of the colony.

It was also a time of brief but violent revolts by the slaves, which led on February 4, 1794, to the first abolition of slavery by the Convention; however, it only lasted for a short time since, under pressure from Martinique society, from which the Empress came, the First Consul Bonaparte reintroduced slavery in 1802, despite the resistance and sacrifice of Delgrès and his companions.

This was followed by a very confused period with the reestablishment of the slavery system, shaken to the roots, disrupted by the resumption of the war between France and Great Britain. It was on April 27, 1848 that slavery was finally abolished, which saw the decline of the old colonial society, principally due to the actions of the humanist Victor Schœ-lcher. In Guadeloupe, the abolition of slavery became effec-tive only on May 27, 1848.

The first volunteer workers arrived in Saint-François from the Indies in 1853; they had been recruited to make up for the missing workers on the plantations.

In 1880, cane sugar was no longer profitable following the appearance of beet sugar. At the beginning of the 19th century, the Guadeloupe islands diversified their production to sell rum and turned to exploiting other resources such as the cultivation of bananas, fishing and today tourism.

De 1946 à nos jours

Comme la plupart des colonies, les îles de Guadeloupe subiront les contrecoups des crises économiques et celui des deux conflits mon-diaux   : elles font d’ailleurs à cette occasion preuve de patriotisme en envoyant ses enfants au combat, comme le témoignent les nombreux monuments aux morts édifiés par les municipalités de l'île.

Les lois coloniales sont abolies en 1946, faisant des îles de Guade-loupe un Département français à part entière.

Département français puis Région française en 1982, la Guadeloupe, comme la Martinique et la Guyane, a les mêmes institutions politiques que les Régions de France métropolitaines.

Mais la concurrence venue des pays à faibles revenus, comme l'Amérique latine, la contrainte des règlements européens, conduisent les acteurs locaux de l'économie à multiplier les structures d'accueil à vocation touristique.

From 1946 to the present day

Like most of the colonies, the Guadeloupe islands suffered the repercussions of the economic recession and of two world wars: it was a time when they showed their patriotism by sending their children to join the fight, as witnessed by the many war memorials raised in their memory by the towns of the island.

The colonial laws were abolished in 1946, giving the Guadeloupe islands the status of a French Department in their own right.

A French Department then a French Region in 1982, Guadeloupe, like Martinique and Guiana, has the same political institutions as the Regions of metropolitan France.

However competition from countries where wages are low, such as Latin America, and the constraints of the European regulations, promp-ted the local economic players to increase the number of structures de-dicated to tourism.

Maison de Zévalos (Moule)

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GÉOGRAPHIE

Les îles de Guadeloupe (l’archipel Guadeloupe) se trouvent dans la Caraïbe, à l’est de l’Amérique centrale par 16° de latitude nord et 60° de longitude ouest. Elles se situent à 7000 km de Paris, et appartient à l’Arc antillais. Cet archipel regroupe sept îles habitées, pour une superficie de 1628 km² et pour une population totale de 440   000 habitants (INSEE janvier 2003) :— Deux îles principales (Grande-Terre et la Basse-Terre) forment la Guadeloupe proprement dite. Elles sont reliées par deux ponts, le pont de la Gabarre et le pont de l’Alliance qui permettent la traversée d’un étroit bras de mer appelé la Rivière Salée.— Trois autres îles sont appelées îles proches (les Saintes, la Désirade, Marie-Galante).La Guadeloupe est découpée administrativement en deux arrondisse-ments (Basse-Terre,  Pointe-à-Pitre), 43 cantons et 32 communes.— La  Basse-Terre compte 16 communes— La  Grande-Terre compte 10 communes   — Les îles proches comptent 6 communes

Climat

La Guadeloupe bénéficie d’un climat tropical humide adouci par les ali-zés, plus frais sur les hauteurs. Elle connaît deux saisons  :— L’hivernage (saison humide), de juin à novembre. C’est aussi la période de la saison cyclonique, dont le pic d’activité a lieu du 15 août au 15 octobre.Les pluies sont plus abondantes dans les îles au relief accentué  : il peut tomber à certains endroits plus de 8 m d'eau par an, et même 12 m sur les sommets de la Basse-Terre.— Le carême (saison sèche)  : de décembre à mai.

GEOGRAPHY

The Guadeloupe islands (the Guadeloupe archipelago) are situated in the Caribbean, to the east of Central America, at latitude 16° N and longitude 60° W. They are 7,000 km from Paris and belong to the Carib-bean Arc. There are seven inhabited islands in the archipelago having a total area of 1,628 km² and a total population of 440,000 inhabitants (National Statistics and Economic Studies Institute – INSEE, January 2003):— two main islands (La Grande-Terre and La Basse-Terre) form Guade-loupe proper. They are connected by two bridges, Pont de la Gabarre and Pont de l’Alliance, crossing over a narrow sound called Rivière Salée.— three other islands are known as close islands (Les Saintes, La Dési-rade, Marie-Galante).Guadeloupe is divided administratively into two districts (Basse-Terre, Pointe-à-Pitre), 43 cantons and 32 towns.— There are 16 towns on La Basse-Terre— 10 towns on La Grande-Terre— and 6 towns in the close islands

Climate

The prevailing climate in Guadeloupe is a humid tropical climate refreshed by the trade winds, but it is cooler in the higher regions. It has two seasons:— winter (the rainy season), from June to November. This is also the time of year for hurricanes reaching peak activity from August 15 to October 15;The rainfall is the most abundant on the islands with a hilly landscape: some have rainfall of 8 m a year, even 12 m on the summits of Basse-Terre.— “carême” (the dry season): from December to May.

Fuseau horaire Time zoneUTC - 4

Température moyenne  Average temperature  26°C

Ephémérides CalendarToute l'année, le soleil se lève entre 5   h et 6 h et se couche entre 17 h 30 et 18 h 30.Sunrise between 5 a.m. and 6.00 a.m. and sunset between 5.30 and 6.30 p.m. all year round.

MonnaieCurrencyEuro ( € ) the euro (€)

La Pointe des Châteaux (St-François)

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La Basse-Terre

Superficie : 848 km².Longueur des côtes : 180 km

La Basse-Terre est montagneuse, son point culminant est le volcan la Soufrière (1467 m). La région est escarpée, humide, et la forêt tropicale dense. Le long des côtes, des bananeraies, des champs de canne à sucre, une forêt tropicale plongeant dans la mer. On apprécie la fraîcheur des rivières et la beauté des plages virant du sable noir au sable roux.

La Grande-Terre

Superficie : 583 km2

Longueur des côtes : 260 kmLa Grande-Terre est le

poumon économique de la Guadeloupe, l'industrie et les services étant centralisés à  Pointe-à-Pitre et sa périphérie. La Grande-Terre bénéficie d'un micro-climat beaucoup plus sec qu'en Basse-Terre. La végétation est beaucoup moins dense et plus rase, le relief est moins accidenté. Ici, ce sont les plages de sable blanc, à l'ombre des cocotiers, les lagons aux eaux calmes, les falaises, les mornes verdoyants...

Les îles proches

Superficie totale : 49 km2

Marie-Galante est la plus grande des dépendances de la Guadeloupe. Elle est peuplée d’environ 14  000 habitants répartis dans la campagne et sur trois communes côtières.

La Désirade

Elle n’est pas avantagée par le nature, plutôt balayée par les vents. La Désirade fut longtemps oubliée avant de devenir une terre d’exil. Par contre, la Petite Terre faisant partie de la commune, forme un archipel corallien extraordinaire.

Les Saintes

Située au Sud-Ouest de la Guadeloupe, les Saintes, distantes d’une dizaine de kilomètres de la Basse-Terre, sont composées de deux îles principales, Terre-de-Haut et Terre-de-Bas et de six îlets : l’îlet à Cabrit, le Grand-Ilet, les îlets de la Coche, des Augustins, de la Redonde et le Rocher-du-Pâté. Seules les îles principales sont habitées. Les Saintes sont devenues un haut-lieu du tourisme guadeloupéen, les tourments d’amour font le régal de tous ceux qui débarquent chaque jour sur l’appontement de Terre-de-Haut.

La Basse-Terre

Area: 848 km².Length of the coastline: 180 km

La Basse-Terre has a mountainous landscape whose highest point is the volcano La Soufrière (1,467 m). The region is humid with steep slopes and a dense tropical forest. Along the coast are to be found banana plantations, fields of sugar cane, a tropical forest sloping down into the sea. In contrast the freshness of the rivers and the beauty of the sandy beaches whose colors range from black to reddish brown are much appreciated.

La Grande-Terre

Area: 583 km2Length of the coastline: 260 km

La Grande-Terre is the economic lung of Guadeloupe, where industry and services are centralized in Pointe-à-Pitre and its surroundings. La Grande-Terre has a much drier micro-climate than La Basse-Terre. The vegetation is much less dense and grows closer to the ground, the landscape is less hilly. Here there are beaches of white sand shaded by coconut trees, lagoons with calm waters, cliffs, green hills...

The close islands

Total area: 49 km2Marie-Galante is the largest

of Guadeloupe’s dependent territories. It has about 14,000 inhabitants living in the countryside and in three towns situated on the coast.

La Désirade

Mother nature is not kind to the island, which it is swept by winds. La Désirade was forgotten for many years before becoming a place of banishment. On the other hand, La Petite Terre, which belongs to the town, forms an exceptional coral archipelago.

Les Saintes

Les Saintes, situated to the south west of Guadeloupe, some ten kilometers from La Basse-Terre, has two main islands, Terre-de-Haut and Terre-de-Bas and six islets: Îlet à Cabrit, Le Grand- Îlet, and the Îlets de la Coche, des Augustins, de la Redonde and le Rocher-du-Pâté. Only the main islands are inhabited. Les Saintes has become a very popular Guadeloupian tourist destination; the traditional tartlets called “tourments d’amour” are great favorites with all those who disembark every day on the Terre-de-Haut landing stage.

Petite-Terre Vieux-Habitants

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LES COMMUNES DE GUADELOUPE

1. Les Abymes

Superficie habitable : 8 125 hectares Superficie totale : estimée à 40 000 hectaresSon nom vient des marécages de palétuviers et de mangles qui les recouvraient. C’est une des plus grandes communes de la région, mais les trois quarts de sa superficie sont en grande partie recouverts par les palétuviers de la mangrove.Les Abymes, commune la plus peuplée de la Guadeloupe, fait figure de banlieue de l’agglomération pointoise.Dès le début des années 1960, l’assainissement des marais permet la construction d’importantes cités comme celles de Grand-Camp et du Raizet.Cette commune se découpe en trois zones  : Les collines des Grands fonds, avec son réseau de vallées à l’est, une zone de plaine, aujourd’hui urbanisée, une zone de mangrove bordant la Rivière-Salée à l’ouest.

1. Les Abymes

Habitable area: 8,125 hectaresTotal area: estimated to be 40,000 hectaresIt used to be covered with marshes of mangrove trees and mangrove fruits, hence its name. It is one of the largest towns in the region, but mangroves trees now cover almost three quarters of its area.Les Abymes, the most populated town in Guadeloupe, is generally considered to be a suburb of Pointe-à-Pitre.In the early nineteen sixties, the marshes were reclaimed allowing the construction of large housing estates such as Grand-Camp and Le Raizet.The town is divided into three areas: the hills of the Grands Fonds, with its network of valleys to the east, an area of flat open country now given over to urban development, and a mangrove area on the banks of the Rivière-Salée to the west.This is where are situated the

C'est sur son territoire que sont implantés l'aéroport Pôle Caraïbes, devenu le principal lieu d'arrivée et de départ de l'île, la cité scolaire de Baimbridge qui draine les milliers de lycéens de Pointe-à-Pitre et d'ailleurs, et le Centre Hospitalier Universitaire.

airport Pôle Caraïbes, now the principal place of arrival and departure from the island, the Baimbridge school complex which attracts thousands of lycée students from Pointe-à-Pitre and elsewhere, and the University Hospital Center.9

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THE TOWNS (“COMMUNES”) OF GUADELOUPE

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5. Basse-Terre

Superficie : 600 hectaresSituée au sud de la côte sous le vent, Basse-Terre, dont la dénomination peut s’appliquer à l’ensemble de cette partie de l’île, s’étend en pente sur le versant ouest du massif de la Soufrière et est arrosée par de nombreuses rivières.Basse-Terre, chef-lieu de la Guadeloupe, est avant tout le pôle administratif de l’île, abritant la Préfecture, le Conseil général, le Conseil régional, la Cour d’appel, et la trésorerie générale.Près de 85 % de son activité est consacrée au secteur tertiaire. Sa superficie et son relief montagneux ne lui permettent pas de développer une activité agricole à grande échelle. Pourtant la distillerie Bologne est l’un des fleurons de la production guadeloupéenne.Le label de l’île de qualité reçu en 1995 fait désormais de la ville, une cité faisant partie du réseau national des « Villes et Pays d’Art et d’Histoire ».

5. Basse-Terre

Area: 600 hectaresBasse-Terre, situated in the south of the Côte sous le Vent, which is also the name given to the whole of this part of the island, extends from the slope on the west flank of the La Soufrière mountain range and has many rivers flowing through it.Basse-Terre, the principal town of Guadeloupe, is above all the island’s administrative center, with the Prefecture, the General Counsel, the Regional Counsel, the Court of Appeal and the Treasury Office.Close to 85% of its business activities are dedicated to the tertiary sector. Its size and the mountainous landscape prevent it from developing agriculture on a large scale. However the Bologne distillery is one of the flagships of Guadeloupian production. The quality label awarded to the island in 1995 now makes the town a “Cité” and member of the national network of “Towns and Countries of Art and History”.

4. Baillif

Superficie : 2 400 hectaresSituée sur la côte caraïbe au sud-ouest de la Basse-Terre, Baillif reste aujourd’hui encore une commune fortement rurale. Avec près de 2000 ans d’histoire, elle a reçu les premiers habitants de la Guadeloupe qui s’étaient installés aux bords de la Rivière de Plessis et de l’embouchure de la Rivière de Baillif.Ils ont laissé des traces de leur passage avec les roches gravées. Baillif présente de nombreux terrains aisément exploitables où les pères dominicains développent la culture du tabac, de l’indigo, de la canne à sucre et de la vanille.Le Père Labat améliora considérablement le procédé de distillation. Avec son alambic, il fut à l’origine de la création de nombreuses distilleries sur les hauteurs de la commune.Aujourd’hui, Baillif dispose d’atouts économiques supplémentaires, dont notamment une zone industrielle et artisanale dynamique.

4. Baillif

Area: 2,400 hectaresBaillif, situated on the Caribbean coast in the south west of La Basse-Terre, is still today highly rural. With nearly 2,000 years of history behind it, it was there that the first inhabitants of Guadeloupe settled on the banks of Rivière de Plessis and at the mouth of Rivière de Baillif.They left traces of their passage on the rocks they engraved. Baillif has many easily usable lands where the Dominican missionaries developed the cultivation of tobacco, indigo, sugar cane and vanilla.Père Labat considerably improved the distillation process. With his still, he was the instigator of the creation of many distilleries in the higher areas of the town.Today Baillif has additional economic advantages, particularly a lively industrial and craft zone.

2. Anse-Bertrand

Superficie : 5 300 hectares Commune de l’extrême nord de la Grande-Terre, Anse-Bertrand est balayée par les alizés et est très ensoleillée, ce qui dessèche les terres.Un peu d’histoire : suite au traité de Basse-Terre de 1660, le gouverneur Hoüel laissa aux Amérindiens les terres les moins fertiles et surtout les plus lointaines du chef-lieu. Ces Amérindiens cédèrent progressivement leurs terres aux premiers colons pour y cultiver du coton et de la canne à sucre. Ainsi, un grand nombre de cotonneries, de sucreries et de moulins à vent furent construits.

2. Anse-Bertrand

Area: 5,300 hectaresAnse-Bertrand, a town in the extreme north of La Grande-Terre, is swept by the trade winds and has many hours of sunshine that dries out the soil.Some history: following the Basse-Terre treaty of 1660, Governor Hoüel left the Amerindians the lands which were the least fertile and above all the furthest away from the main town.These Amerindians gradually sold off their lands to the first settlers, who grew cotton and sugar cane there. This led to the construction of many cotton mills, sugar factories and windmills.

3. Baie-Mahault

Superficie : 4 600 hectaresSituée au nord-est de la Basse-Terre, face au Grand-Cul-de-Sac-Marin, cette commune est le point de passage obligé entre les deux îles.Station navale au XVIIIe siècle, elle est aussi le port d'attache principal des flibustiers et des corsaires. En 1659, Charles Houël, gouverneur de la Guadeloupe, s’attribue cette région qui devient en 1660 un Marquisat.La canne à sucre constitua durant plusieurs siècles la principale ressource de la commune. Une grande partie des terres agricoles lui est d'ailleurs encore consacrée, mais la zone industrielle de Jarry, entièrement gagnée sur la mangrove, en a fait le nouveau poumon économique de la Guadeloupe. A l'extrémité du bourg, en contrebas de la place de la Mairie, un embarcadère situé au bord du lagon, est le point de départ de bateaux permettant de découvrir les îlets du Grand Cul-de-Sac marin.

3. Baie-Mahault

Area: 4,600 hectaresSituated in the north west of La Basse-Terre, facing the Grand-Cul-de-Sac-Marin, this town is an unavoidable place of passage between the two islands.It was a naval station in the 18th century and also the principal home port of buccaneers and privateers. In 1659, Charles Houël, the governor of Guadeloupe, made this region his own, which in 1660 became a Marquisate.For many centuries sugar cane was the town’s principal resource. The majority of the agricultural lands still actually grow sugar cane, but the Jarry industrial zone, which has completely overcome the mangrove, is now the new economic lung of Guadeloupe. On the edge of the town, below the Place de la Mairie, a landing stage standing on the banks of the lagoon is the starting point for the boats giving guided tours of the Grand Cul-de-Sac Marin islets.

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6. Bouillante

Superficie : 4 300 hectaresSituée au centre de la côte sous le vent de Basse-Terre, Bouillante doit son nom aux sources d’eau chaude de sa région. Des fontaines d’eau bouillante jaillissent un peu partout y compris dans la mer.Longtemps, Bouillante resta à l’écart des autres villes et développa son activité principale, l’agriculture. La canne à sucre sur le nord, le café, le cacao et la vanille sur les hauteurs, le coton et le tabac au sud de son territoire, font d’elle une commune prospère.La plage de Malendure est sûrement la plus fréquentée de l’île. La beauté des fonds et leurs richesses attirent des plongeurs et des visiteurs à bord de bateaux à fond de verre. Cette partie fut baptisée « Réserve Cousteau » du célèbre commandant disparu.

6. Bouillante

Area: 4,300 hectaresBouillante, situated in the center of the Basse-Terre Côte sous le Vent, gets its name from the hot springs of its region. Fountains of boiling water spout up here and there on the land but also in the sea.For a long time Bouillante stood apart from the other towns and developed its main activity, agriculture. The town’s prosperity comes from the sugar cane to the north, coffee, cocoa and vanilla in the higher grounds, cotton and tobacco to the south of its territory.Malendure beach is undoubtedly the most popular on the island. The beauty of its sea bed and the riches it houses attract divers and visitors on board glass-bottom boats. This part was named the “Cousteau Reserve”, after the late famous Commander.

7. Capesterre (Marie-Galante)

Superficie : 4 700 hectaresCapesterre, la terre de l’est aux eaux turquoises protégée par une barrière de corail, s’est construite au pied d’un plateau fertile.Si le climat sec de Marie-Galante favorise la culture du coton et de l’indigo, la culture de la canne à sucre se développe dès la seconde moitié du 18e siècle. Des moulins à vent comme celui de Bézard et des moulins à traction animale apparaissent dans le paysage agricole. D’où le surnom de Marie-Galante, l’île aux cents moulins.

7. Capesterre (Marie-Galante)

Area: 4,700 hectaresCapesterre, land to the east of the turquoise waters protected by a coral reef, was built at the foot of a fertile plateau.While the dry climate of Marie-Galante is favorable to the cultivation of cotton and indigo, the cultivation of sugar cane developed in the second half of the 18th century. Windmills like those of Bézard and animal-powered mills made their appearance in the agricultural landscape. Hence the nickname of Marie-Galante, the island of the hundred mills.

8. Capesterre Belle-Eau

Superficie : 10 300 hectaresSituée au centre de la Côte-au-Vent de Basse-Terre, Capesterre Belle-Eau tient son origine étymologique d’une expression marine « cab à terre » c’est-à-dire terre exposée aux vents d’est, à laquelle a été ajoutée le complément belle eau qui souligne la présence importante de cet élément naturel.De nombreuses rivières, chutes et cascades, s’éparpillent sur cette commune. La plus célèbre de toutes ces chutes est celle du Carbet parmi les plus belles des petites Antilles.En 1854 et ce jusqu’en 1899, des milliers de travailleurs dits libres sous contrat, d’origine indienne, sont recrutés dans les plantations en remplacement des esclaves libérés en 1848. Le témoignage de cette migration est caractérisé par le Temple de Changy, lieu important du culte hindouiste.Actuellement, plus de la moitié de la production bananière de la Guadeloupe est fournie par Capesterre Belle-Eau.

8. Capesterre Belle-Eau

Area: 10,300 hectaresThe etymological origin of the name Capesterre Belle-Eau, situated in the center of the Basse-Terre Côte-au-Vent, comes from a maritime expression “cab à terre”, meaning land exposed to the east winds, to which was added the complement “belle eau” (beautiful water) highlighting the abundant presence of this natural element.There are many rivers, waterfalls and cascades scattered around this town. The most famous of all the waterfalls are the Carbet Falls, among the most magnificent in the Lesser Antilles.In 1854 and until 1899, thousands of so-called free workers under contract, of Indian origin, were recruited in the plantations to replace the slaves who had been emancipated in 1848. Changy Temple, an important site of the Hindu religion, bears witness to this migration.Now more than half of Guadeloupe banana production is supplied by Capesterre Belle-Eau.

9. Deshaies

Superficie : 3 100 hectaresSituée au nord-ouest de la Basse-Terre, sa géographie est constituée d’un relief montagneux qui abrite son petit bourg, blotti au fond d’une baie.Au contraire des autres communes de l’archipel, Deshaies n’a jamais dirigé son agriculture vers la canne, mais plutôt vers le cacao, la vanille et le café. En bordure de la Caraïbe, faisant face à Montserrat, Deshaies est longtemps resté enclavé. C’est seulement en 1957 que la route la reliant à Pointe-Noire vit le jour.Grande-Anse, l’une des plus belles plages de l’île est un centre attractif.La commune est aujourd’hui célèbre grâce à la série anglaise "Death in Paradise" qui a posé sa base dans cette partie de l’île.

9. Deshaies

Area: 3,100 hectaresIn terms of its geography Deshaies, situated in the north west of La Basse-Terre, has a mountainous landscape which shelters the small township nestling at the far end of a bay.Unlike the archipelago’s other towns, Deshaies has never oriented its agriculture towards sugar cane but rather towards cocoa, vanilla and coffee. On the edge of the Caribbean, facing Montserrat, Deshaies was isolated for a long time, which ended only in 1957 when the road giving it access to Pointe-Noire was built.Grande-Anse, one of the most beautiful beaches of the island, is a center of attraction.The town is famous today thanks to the English series “Death in Paradise”, which established a base in this part of the island.

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10. La Désirade

Superficie : 2 200 hectaresSituée à 8 km à l’est de la Grande-Terre, la Désirade s’étire d’ouest en est sur 11 km de long et 2 km de large. On la compare à une barque à l’envers. Son chef-lieu et son port principal est Grande-Anse.La Désirade tient son nom de « Désirada » (la désirée en espagnol). Les Amérindiens l’occupèrent du 3e au 16e siècle après JC, un certain nombre de sites archéologiques témoignent de leur présence.La Désirade est le repaire de nombreux corsaires et surtout d’établissements de léproseries où les malades vivaient dans des conditions épouvantables. Aujourd’hui, seules quelques ruines subsistent après leurs fermetures en 1952.

10. La Désirade

Area: 2,200 hectaresLa Désirade, situated 8 km to the east of La Grande-Terre, spread outs from west to east 11 km long and 2 km wide. People say it looks like an upside down boat. Its main town and principal port is Grande-Anse.La Désirade gets its name from “Désirada” (from the Spanish for “desired”). The Amerindians settled there from the 3rd to the 16th century AD and a certain number of archeological sites are reminders of their presence.La Désirade was the hideout of many privateers, but above all it was a leper colony where the sick were made to live in buildings in dreadful conditions. Today there are only a few ruins left after they were closed in 1952.

11. Le Gosier

Superficie : 4 520 hectares Son nom lui vient d’une espèce de pélican appelée grand gosier au 17e  siècle, en raison de la dimension de son bec et de la poche qui le caractérise. Ces oiseaux avaient pris l’habitude de venir manger des alevins et petits crabes en bordure de la Grand-Baie, juste avant l’entrée de la ville. Le Gosier est situé au bord de la mer, entre  Pointe-à-Pitre et Sainte-Anne. Aujourd’hui, c'est le premier centre balnéaire de la Guadeloupe. Compte tenu de ses nombreux complexes hôteliers, de ses plages, de son casino et de sa proximité avec  Pointe-à-Pitre, l'aéroport des Abymes, les restaurants, bars et clubs, font de Bas-du-Fort,  Montauban, et de la Pointe de la Verdure des quartiers animés le soir.C’est également le quartier résidentiel de Pointe-à-Pitre.

11. Le Gosier

Area: 4,520 hectaresIts name comes from a species of pelican called “grand gosier” in the 17th century, because of the size of its beak and its typical throat pouch. These birds had become used to feeding on young fish and small crabs on the banks of Grand-Baie, just in front of the entrance to the town.Le Gosier is situated beside the sea, between Pointe-à-Pitre and Sainte-Anne. Today it is the leading sea resort in Guadeloupe.Bas-du-Fort, Montauban, and Pointe de la Verdure are lively districts in the evenings because of the town’s many hotel complexes, its beaches, casino and its proximity to Pointe-à-Pitre, the Abymes airport, and the restaurants, bars and clubs.It is also the residential district of Pointe-à-Pitre.

12. Gourbeyre

Superficie : 2 252 hectaresSituée au sud-est de Basse-Terre et proche de la capitale.Aujourd’hui, la ville est un exemple en matière d’équipements et son développement économique se manifeste grâce à l’aménagement de la Marina de Rivière Sens avec ses 220 places à quai.Mais la renommée de Gourbeyre est établie depuis fort longtemps pour d’autres raisons, c’est l’une des stations thermales et climatiques de l’île avec ses sources chaudes de Dolé, très réputées pour leur action rhumatismale. Quant à l’eau de source de Capès, elle est commercialisée sur toutes les petites Antilles.Actuellement avec l’implantation de DDTEFP et la DSDS,  puis des archives départementales, cette ville est en passe de devenir une résidence administrative de la Basse-Terre.

12. Gourbeyre

Area: 2,252 hectaresSituated to the south east of Basse-Terre near to the capital.Today, the town sets the example with its facilities and its economic development can be seen in the development of the Rivière Sens Marina with 220 moorings.But Gourbeyre has been well known for very many years for other reasons, it is one of the island’s spa and health resorts with the hot springs of Dolé and their reputation for being beneficial for rheumatism sufferers. The Capès spring water is sold throughout the Lesser Antilles.At the moment, with the arrival of the DDTEFP and the DSDS, and then the Department’s archives, this town is in the process of becoming a Basse-Terre administrative residence.

13. Goyave

Superficie : 5 800 hectaresSituée à l’est de la Basse-Terre, sur la Côte-au-Vent, la commune se veut à vocation agricole. Elle fut construite en bordure de mer, sur les terres marécageuses.Les nombreux goyaviers situés le long de la principale rivière du secteur lui donnent son nom. Sa richesse émana de la culture de la canne qui s’imposa rapidement. Une forêt tropicale, humide, renferme des sites exceptionnels comme les Chutes Moreau.

13. Goyave

Area: 5,800 hectaresSituated in the east of La Basse-Terre, on the Côte-au-Vent, Goyave is an agricultural town. It was built beside the sea on marshland.It was named for the many guava trees standing all along the area’s principal river. Its wealth came from growing sugar cane which quickly became the main activity. The humid tropical forest contains many exceptional sites, such as the Moreau Falls.

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14. Le Lamentin

Superficie : 6 500 hectaresSitué à une quinzaine de kilomètres à l’ouest de Pointe-à-Pitre, son bourg est placé au fond du Grand Cul-de-Sac marin.Le Lamentin est un mammifère marin herbivore aujourd’hui absent des rivages guadeloupéens. Il a laissé son nom à cette commune proche des zones d’activités importantes. Le Lamentin est un centre résidentiel de plus en plus apprécié.Ses charmantes vallées, ses ravines, les installations modernes de la station thermale de Ravine Chaude, sont d’incontestables atouts pour le tourisme vert.À 110 mètres d’altitude, la station balnéaire de Ravine Chaude dispose depuis longtemps d’eaux minérales salines et ferrugineuses dont la température atteint 33°C.

14. Le Lamentin

Area: 6,500 hectaresSituated some 15 km to the west of Pointe-à-Pitre, the township is to be found at the end of the Grand Cul-de-Sac Marin nature reserve.A “lamantan” (manatee or sea-cow) is a herbivorous sea mammal no longer to be seen on Guadeloupe’s shores. It gave its name to this town, which is close to major business areas. Le Lamentin is an increasingly popular residential center.Its charming valleys and its ravines, the modern facilities of the Ravine Chaude spa resort, are undeniable advantages for green tourism.Situated at an altitude of 110 meters, the Ravine Chaude resort has for very many years benefited from saline and ferruginous mineral waters reaching a temperature of 33°C.

15. Grand Bourg (Marie-Galante)

Superficie : 5 600 hectaresSituée au sud-ouest de Marie-Galante et avec ses 5 882 habitants, comme son nom le souligne, Grand-Bourg est la commune la plus importante de l’île.La vaste réserve en eau douce que constitue le Marais Folle Anse a incité les Amérindiens à s’y installer dès le début de l’ère chrétienne.Outre son statut de capitale économique de l’île, avec la grande majorité des commerces qui y sont concentrés, Grand-Bourg regorge d’atouts naturels.

15. Grand Bourg (Marie-Galante)

Area: 5,600 hectaresSituated in the south west of Marie-Galante and with its 5,882 inhabitants, Grand-Bourg as its name denotes is the largest town on the island.The Amerindians, attracted by the huge reserve of fresh water, the Marais Folle Anse, settled there at the beginning of the Christian era.Grand-Bourg, the island’s economic capital concentrating the great majority of businesses, also has very numerous natural advantages.

16. Le Moule

Superficie : 8 284 hectaresCette ville tient son nom du mot « môle » qui signifie jetée. C’est l’une des plus vieilles communes de la Guadeloupe.Située sur la façade atlantique de la Grande-Terre, elle connaît la forte influence des alizés et une faible pluviosité.Elle abrite le seul port de la côte atlantique.Au début du 18e siècle, le Moule devient le lieu de résidence de toute l’aristocratie coloniale. Sur la place centrale, l’église de style néoclassique dédiée à Saint Jean-Baptiste est reconstruite au lendemain du tremblement de terre de 1843. Le Moule est l’une des dernières communes sucrières de Guadeloupe, elle possède la dernière usine à sucre de la Guadeloupe continentale, l’Usine de Gardel.Le Moule est aussi connu pour son « spot » de surf, qui organise annuellement des championnats nationaux et internationaux.

16. Le Moule

Area: 8,284 hectaresThis town owes its name to the word “mole” which means a jetty. It is one of the oldest towns in Guadeloupe.Situated on the Atlantic coast of Grande-Terre, it feels the strong effects of the trade winds and has low rainfall.It shelters the only port on the Atlantic coast.Early in the 18th century, Le Moule became the place of residence of all the colonial aristocracy. In the central square the neoclassical church dedicated to Saint John the Baptist was rebuilt after the 1843 earthquake. Le Moule is one of the last sugar producing towns in Guadeloupe, it has the last sugar factory in continental Guadeloupe, the Gardel Factory.Le Moule is also known for its surf spots; it organizes national and international championships every year.

17. Morne-à-l’Eau

Superficie : 6 450 hectares Située à 15 km au nord-est de Pointe-à-Pitre, c’est l’une des plus grandes communes intérieures de Grande-Terre. Elle est bordée à l’ouest par la mangrove du Grand Cul-de-Sac marin.Cette commune est très réputée pour son crabe au moment des fêtes de Pâques, et pour son cimetière à damiers noirs et blancs, logé au creux d’un morne, très illuminé au moment de la Toussaint.La ville de Morne-à-l’Eau est un carrefour routier, passage obligé pour les habitants du nord Grande-Terre. Le plan d’eau de Vieux-Bourg est exceptionnel et un grand nombre d’activités aquatiques y sont pratiquées.La section de Vieux-Bourg vit beaucoup de la pêche alors que dans les terres et  dans les Grands Fonds, la culture de la canne, l’élevage, ainsi que les cultures vivrières sont  importantes.

17. Morne-à-l’Eau

Area: 6,450 hectaresSituated 15 km to the north east of Pointe-à-Pitre, it is one of the largest inland towns of Grande-Terre. It is bordered to the west by the Grand Cul-de-Sac Marin mangrove.It is very well known for its crabs during the Easter festival and for its black and white checkerboard cemetery nestling in the hollow of a hillock lit by many illuminations on All Saints’ Day.The town of Morne-à-l’Eau is a crossroads through which all the inhabitants of north Grande-Terre have to pass. The Vieux-Bourg stretch of water is exceptional and very many aquatic activities are practiced there.The Vieux-Bourg area makes its living for the most part from fishing whereas in the lands and the Grands Fonds, the principal activities are growing sugar, livestock production and food crop growing.

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18. Petit-Bourg

Superficie : 12 988 hectaresSituée peu après le Petit Cul-de-Sac marin, face à Gosier et Pointe-à-Pitre, Elle abrite une partie importante du Parc national et porte haut sa vocation verte.La proximité de Jarry a privé la commune d’un véritable développement industriel et commercial. Mais néanmoins, elle a su profiter d’un important tournant sociologique des années 1950 qui a poussé nombre de notables à s’établir dans les hauteurs réputées les plus calmes et les plus fraîches de l’île, dont Vernou est l’exemple type.

18. Petit-Bourg

Area: 12,988 hectaresSituated a little after the Petit Cul-de-Sac Marin, facing Gosier and Pointe-à-Pitre, it encompasses a large section of the National Park and proudly displays its green vocation.The proximity with Jarry has not allowed the town to really develop industrially and commercially. Nevertheless it was able to take advantage of an important sociological turning point in the nineteen fifties which prompted many dignitaries to settle in the hills said to be the quietest and freshest of the island, Vernou being a typical example.

19. Petit-Canal

Superficie : 7 000 hectaresLe territoire de la commune s’élève au-dessus de l’Atlantique. Elle est faite d’une côte de falaises s’abaissant vers la mer des Antilles, bordée d’une côte basse et marécageuse, domaine de la mangrove.C’est la première ville à entrer dans la révolution industrielle avec l’installation en 1844 de l’une des premières usines centrales, celle de Duval. Jadis, cette ville comptait pas moins de 47 sucreries. L’économie dont le fondement était autrefois la culture de la canne à sucre est en pleine mutation.

19. Petit-Canal

Area: 7,000 hectaresThe town’s territory rises above the Atlantic. It has a coastline of cliffs which slope down to the Caribbean Sea, bordered by a low marshy coast ideal for mangroves.This was the first town to join the industrial revolution with the installation in 1844 of one of the first sugar processing plants, Duval. In times past the town had no less than 47 sugar factories.The economy, which was once based on growing sugar cane, is now undergoing profound changes.

20. Pointe-à-Pitre

Superficie : 266 hectaresVers 1760, les Anglais construisirent un plan de la ville faisant de Pointe-à-Pitre la 2ème ville de Guadeloupe derrière Basse-Terre. La proximité des cultures de la canne et la qualité du mouillage l’imposaient peu à peu comme le centre du commerce de l’île. Une ville moderne est en train de naître.Ouverte sur la mer des Caraïbes et l’Océan Atlantique, Pointe-à-Pitre est le point d’union entre les deux îles. Ville d'Arts et d'Histoire, Point-à-Pitre est le chef-lieu de la Grande-Terre, la capitale commerciale et industrielle, en même temps que le principal port de la Guadeloupe, l’un des mieux abrités de la Caraïbe.C’est aussi le siège de la sous-préfecture, d’un tribunal d’instance, des banques, des consulats et de la chambre d’agriculture, du commerce et de l’industrie. Elle accueille sur son territoire l’Université Antilles-Guyane.

20. Pointe-à-Pitre

Area: 266 hectaresAround 1760, the English put together a town plan making Pointe-à-Pitre the second largest town in Guadeloupe after Basse-Terre. The proximity of the sugar cane plantations and the quality of the mooring were two factors which little by little made it the uncontested commercial center of the island.A modern city is developing.Facing the Caribbean Sea and the Atlantic Ocean, Pointe-à-Pitre is the junction point between the two islands. A city of Arts and History, Point-à-Pitre is the main town of La Grande-Terre, the commercial and industrial capital, and at the same time Guadeloupe’s principal port, one of the most sheltered in the Caribbean.It is also the seat of the Sub-Prefecture, a county court, banks, consulates and the Chamber of Agriculture, Commerce and Industry and plays host to the University Antilles-Guyane.

21. Pointe-Noire

Superficie : 6 000 hectaresSituée à l’ouest de Basse-Terre sur la Côte-sous-le-Vent, entre Deshaies et Bouillante.Pointe-Noire est l’une des rares communes de la Guadeloupe à avoir changé de nom. L’origine du nom actuel vient comme l’on peut s’en douter de la couleur des roches volcaniques issues de l’ancien volcan Belle-Hôtesse. Le développement agricole a entraîné l’installation de plusieurs unités de transformation agro-alimentaire dans lesquelles vanille, café et cacao sont transformés. La pêche quant à elle tend à se développer grâce à la mise en place de nouvelles infrastructures. Pointe-Noire a surtout été et reste une commune dont la principale activité de développement est entièrement

21. Pointe-Noire

Area: 6,000 hectaresSituated to the west of Basse-Terre on the Côte-sous-le-Vent, between Deshaies and Bouillante.Pointe-Noire is one of the rare towns in Guadeloupe to have changed its name. Its current name comes without doubt from the color of the volcanic rock from the former volcano Belle-Hôtesse.The development of agriculture led to the establishment of several agrifood processing plants which process vanilla, coffee and cocoa. Fishing is in now developing with the creation of new infrastructures. Above all Pointe-Noire was and still is a town whose principal development activity is completely xxxxxxxx.

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23. Saint-Claude

Superficie : 3 400 hectaresPerchée à 6 km au-dessus de la ville de Basse-Terre. Cette commune, au flanc du volcan, est entourée de la forêt tropicale. Située à 530 mètres d’altitude, Saint-Claude bénéficie de conditions climatiques un peu différentes, un soupçon de fraîcheur contribue en permanence à un bien-être certain. La canne à sucre et le café ont fait sa richesse au début de la colonisation. Saint-Claude, grâce à un climat sain et des eaux sulfurées réputées, se tourne vers un écotourisme de montagne.

23. Saint-Claude

Area: 3,400 hectaresPerched 6 km above the town of Basse-Terre on the side of a volcano and surrounded by tropical forest.At an altitude of 530 meters, the climate in Saint-Claude is somewhat different: a hint of coolness gives a constant feeling of genuine well-being. Sugar cane and coffee contributed to its it wealth at the start of colonization. With its healthy climate and its reputed sulphurated waters, Saint-Claude is now aiming to develop mountain ecotourism.

24. Saint-François

Superficie : 6 000 hectaresSituée au sud-est de Grande-Terre, elle s’étire à l’est jusqu’à la Pointe des Châteaux, longue de plus de 10 km. En face d’elle, se trouvent les îles de la Désirade et Petite Terre.Proche de la plage des Raisins Clairs, le cimetière indien marque l’importance de cette communauté. Longtemps la culture du coton a occupé la plus grande partie des terres agricoles. La canne reste marginale sur la commune jusqu’au début du 19e

siècle où la situation s’inversa dans le paysage agricole, entraînant le déclin du coton.Actuellement, cette ville est le second centre balnéaire de la Guadeloupe, après le  Gosier et avant Sainte-Anne. Le tourisme est devenu sa principale ressource économique. Cette commune accueille sur son territoire un aérodrome, un golf, une marina et de nombreux hôtels de luxe. Elle est également très réputée pour son lagon fréquenté par de nombreux passionnés de planche à voile.

24. Saint-François

Area: 6,000 hectaresSituated to the south east of Grande-Terre, spreading out to the east as far as Pointe des Châteaux, more than 10 km in length. Opposite the town are the La Désirade and Petite Terre islands.The Indian burial place, close to Raisins Clairs beach, shows just how numerous this community was. For a long time cotton growing occupied the greater part of the agricultural land. Sugar cane was marginal in the town until the beginning of the 19th century when the agricultural situation was completely reversed and cotton grown went into a decline.The town is now the second sea resort in Guadeloupe, after le Gosier and before Sainte-Anne. Tourism is now its principal economic resource.The amenities in the town are the aerodrome, golf course, marina and many luxury hotels. Its lagoon is also a very popular destination for the many windsurfing aficionados.

22. Port-Louis

Superficie : 4 424 hectaresSituée au nord-ouest de la Grande-Terre, elle est orientée vers la mer des Caraïbes.Port-Louis était appelée « Pointe d’Antiques » Elle doit son premier nom à Louis XIV. L’histoire de Port-Louis fut orientée durant le 19e siècle sur une intense activité de la canne à sucre, d’où l’éclosion de 28 habitations sucrières. Rapidement, ce système économique fut en déclin pour laisser la place à une usine centrale de Beauport, installée depuis 1863.Les habitants de cette ville s’orientent alors vers la pêche et l’agriculture (canne à sucre).

22. Port-Louis

Area: 4,424 hectaresSituated in the north west of La Grande-Terre, facing the Caribbean Sea.Port-Louis used to be called “Pointe d’Antiques”. It owes its first name to Louis XIV.The history of Port-Louis was turned during the 19th century to towards intense sugar cane production, hence the creation of 28 sugar plantation complexes. Very quickly this economic system went into decline and its place was taken by the Beauport sugar processing plants, installed in 1863.The inhabitants of the town then turned to fishing and agriculture (sugar cane).

25. Saint Louis (Marie-Galante)

Superficie : 5 700 hectaresSituée à l’ouest de Marie-Galante. Le nom de Saint-Louis n’apparaît sur une carte qu’en 1760 à l’emplacement actuel du bourg, alors que le centre de la commune est encore le quartier Vieux-Fort, berceau de la colonisation française à Marie-Galante.

25. Saint Louis (Marie-Galante)

Area: 5,700 hectaresSituated in the west of Marie-Galante. The name Saint-Louis appeared for the first time on a map only in 1760 at the town’s current location, whereas the town center is still the Vieux-Fort quarter, the cradle of French colonization on Marie-Galante.

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26. Sainte-Anne

Superficie : 8 029 hectares Située au centre de la côte sud de la Grande-Terre, cette commune  est bordée par  l’Océan Atlantique.Ancien siège de l’Amirauté au 18e siècle, Sainte-Anne était un grand centre commercial et un port d’embarquement du rhum et du sucre de la Grande-Terre. Dans les années 1970, des hôtels « pieds dans l’eau » virent le jour. Aujourd’hui, tournée vers la mer, Sainte-Anne doit sa notoriété à son port de pêche et son activité touristique.En raison de son lagon protégé par une barrière de corail, Sainte Anne possède les plus belles plages de la région.

26. Sainte-Anne

Area: 8,029 hectaresThe town is situated in the center of the south coast of La Grande-Terre, bordered by the Atlantic Ocean.The former seat of the Admiralty in the 18th century, Sainte-Anne was a large trading center and a port for the ships carrying rum and sugar from La Grande-Terre.In the nineteen seventies, “on the beach” hotels made their appearance. Today Sainte-Anne, facing towards the sea, owes its fame to its fishing port and its tourist activities.Because its lagoon is protected by a coral reef, Sainte Anne has the most beautiful beaches in region.

27. Sainte-Rose

Superficie : 11800 hectaresSituée au nord-est de Basse-Terre, cette commune  est la plus étendue de Basse-Terre.Sainte-Rose obtient son nom à la Restauration qui lui redonne définitivement ce nom en hommage à Sainte-Rose de Lima.Au creux de la montagne, la ville est découpée en 18 quartiers dépendant des grandes habitations sucreries, qui au 18e siècle s’en sont partagées les terres.La culture du coton et du tabac a vite été abandonnée au profit de la canne qui fait de cette région le centre du sucre et du rhum.La source chaude du bassin de Sofaïa où l’eau atteint 31°C possède des vertus curatives. Elle est très fréquentée par la population locale. Cette source sulfureuse émane du tremblement de terre de 1843. De nombreuses traces partent des hauteurs de Sainte-Rose pour sillonner la forêt tropicale.

27. Sainte-Rose

Area: 11,800 hectaresSituated in the north east of Basse-Terre, this town is the most spread out on the island.Sainte-Rose was given this name at the time of the Restoration, finally making this name its own as a tribute to Saint Rose of Lima.Lying in a hollow in the mountain, the town is divided into 19 quarters attached to the large sugar plantation complexes which shared the lands among them in the 18th century.Cotton and tobacco growing were quickly abandoned in favor of sugar cane, with this region becoming the center for sugar and rum.The hot spring of the Sofaïa basin where the water reaches 31°C has curative virtues. It is much frequented by the local population. The sulphurated spring appeared after the 1843 earthquake. Many traces of it start from the heights of Sainte-Rose and criss-cross the tropical forest.

28. Terre-de-Bas (Les Saintes)

Superficie : 900 hectaresCette île est calme et peu fré-quentée, renfermée sur elle-même. Escarpée et montagneuse, ayant comme point culminant le Morne Abymes (293 mètres), elle est formée d’un vaste plateau qui s’élève à plus de 50 mètres au-dessus de la mer, appelé Massif Central.

29. Terre-de-Haut (Les Saintes)

Superficie : 500 hectaresTerre-de-Haut est une longue bande de terre flanquée à ses deux extrémités de mornes éle-vés  : au nord, le Morne Mire (120 mètres de haut) et le Morne Morel (136 km), et au sud, le Morne du Chameau culminant à 306 mètres. Ainsi vous rencontrerez des iguanes.

28. Terre-de-Bas (Les Saintes)

Area: 900 hectaresThis is a calm and little visited is-land, withdrawn into itself. Steep and mountainous with its peak of Le Morne Abymes (293 meters), it is actually a huge plateau situated at more than 50 meters above the sea, called Massif Central.

29. Terre-de-Haut (Les Saintes)

Area: 500 hectaresTerre-de-Haut is a long strip of land flanked at either end by high hills: to the north, Morne Mire (120 meters high) and Morne Morel (136 km), and to the south, Morne du Chameau culminating at 306 meters. You can even come across iguanas.

30. Trois-Rivières

Superficie : 2900 hectaresSituée au sud de Basse-Terre, la commune est dénommée à cause des trois rivières (la Rivière du Trou à Chat, la Rivière du Petit Carbet et celle de Grande-Anse) qui jalonnent son territoire.Trois-Rivières est le berceau de la civilisation pré-colombienne en Guadeloupe.Elle abrite l’un des ensembles de roches gravées les plus importants des Petites Antilles (le Parc des Roches Gravées dans lequel on recense 22 pétroglyphes portant chacun près de 230 dessins datant du IVe siècle après    JC.Le coton et la vanille, le tabac et le café firent partie de la culture avant de céder la place à la canne à sucre au 18e siècle, remplacée elle aussi, par la banane.

30. Trois-Rivières

Area: 2,900 hectaresSituate in south Basse-Terre, the town gets its name from the three rivers (Le Trou à Chat river, Le Petit Carbet river and Grande-Anse river) which flow on its territory.Trois-Rivières is the cradle of Pre-Colombian civilization in Guade-loupe.It has one of the biggest collec-tions of engraved rocks in the Lesser Antilles (Parc des Roches Gravées where there are 22 petro-glyphs each representing close to 230 drawings dating from the 4th century AD.Cotton and vanilla, tobacco and coffee were all grown before giving way to sugar cane in the 18th century, which itself was replaced by bananas.

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31. Vieux-Fort

Superficie : 700 hectaresSituée face aux Saintes, Vieux-Fort domine à la fois la Côte-au-Vent et la Côte-sous-le-Vent. Cette position naturelle en fait un lieu stratégique recherché.Vieux-Fort, qui est la plus petite commune de l’île est connue de tous les navigateurs pour la présence de son phare inauguré en 1955 qui marque l’entrée de la rade de Basse-Terre. Mais Vieux-Fort doit actuellement sa renommée au savoir faire de ses brodeuses.

31. Vieux-Fort

Area: 700 hectaresSituated opposite Les Saintes, Vieux-Fort overlooks the Côte-au-Vent and la Côte-sous-le-Vent. This natural position makes it a much sought-after strategic place.Vieux-Fort, which is the smallest town on the island, is known by all sailors for the presence of its lighthouse inaugurated in 1955 marking the entrance to the Basse-Terre natural harbor. But Vieux-Fort is now very well known for the skills of its embroidery makers.

32. Vieux-Habitants

Superficie : 5 900 hectaresSituée à 24 km au nord de la ville de Basse-Terre, sur la Côte-sous-le-Vent. Fondée en 1636, cette bourgade paisible est la plus ancienne de la Guadeloupe. Le tabac, l’indigo et le coton sont les ressources principales de la commune au 17e siècle. L’intro-duction du café vers le début des années 1720, s’adapta facilement aux conditions géographiques et climatiques de la commune pour en devenir des activités florissantes, comme en témoigne l’Habitation de la Grivelière.

32. Vieux-Habitants

Area: 5,900 hectaresSituated 24 km to the north of the town of Basse-Terre, on the Côte-sous-le-Vent. This peaceful township founded in 1636 is the oldest town in Guadeloupe.Tobacco, indigo and cotton were the town’s principal resources in the 17th century. Coffee, intro-duced in the early seventeen twenties, adapted easily to the town’s geographic and climatic conditions and became one of its flourishing activities, as witnessed by the Grivelière Plantation Com-plex.

Carnaval des enfants (Pointe à Pitre)

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Phare de Vieux-Fort Soufrière

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Grâce à l’abondance des précipitations (jusqu’à 12    m par an), qui arrosent le massif forestier, la Basse-Terre compte plus de cent cours d’eau, ce qui a valu aux îles de Guade-loupe d’être baptisées « L’île aux belles eaux » par les populations précolombiennes. Le mas-sif montagneux constitue donc ainsi, le château d’eau des îles de Guadeloupe.

À la richesse naturelle du milieu vient s’ajouter la beauté de sites particulièrement pittoresques et variés (Chutes du Carbet, Vol-can de la Soufrière). Lieu de vie de nombreuses espèces végétales et animales encore peu connues, ce territoire d’une richesse inesti-mable est un conservatoire de la diversité bio-logique antillaise. Il constitue un patrimoine irremplaçable dont il convient de prendre soin,

LE PARC NATIONAL DE GUADELOUPE

un capital précieux à conserver et à transmettre intact aux générations futures.

Des quatre types de zones existant dans un parc national, celui de Guadeloupe est com-posé de : 10 cœurs représentant 21 000 hec-tares   : 17 300 ha, représentant 10% du terri-toire de l’archipel et les 2/3 de la forêt tropicale de la Basse-Terre (Le massif montagneux comp-tant 30 000 ha). Elle s’étend sur toute la partie haute du massif montagneux de la Basse-Terre (dont le point culminant est le volcan actif de la Soufrière), depuis la forêt dense humide (forêt de la pluie, avec 3 à 8 m de précipitations par an), à partir de 250-300 m d’altitude, jusqu’aux savanes arbustives, formations végétales plus basses des sommets (forêt des nuages), à partir de 900  m d’altitude. Il concerne 11 communes  :

Vieux-Habitants, Bouillante, Pointe-Noire, Lamen-tin, Petit-Bourg, Goyave, Capesterre Belle-Eau, Trois-Rivières, Gourbeyre, Saint-Claude et Baillif.

Le coeur (ancienne zone centrale) : l'objec-tif y est la conservation du patrimoine naturel ; la protection est forte, les aménagements et les activités humaines sont réglementés voire in-terdits, afin d'éviter de porter atteinte à l’équi-libre des milieux naturels. La fréquentation de ces zones par le public est assortie d’un accom-pagnement informatif et pédagogique.

Le Parc naturel de Guadeloupe compte aussi  une aire optimale d'adhésion couvrant 21 communes : toutes les communes de la Basse-Terre, les communes des Abymes, de Morne-à-l'Eau, de Petit-Canal, de Port-Louis, et d'Anse-Bertrand, soit une superficie de 95  000 hectares.

L'aire d'adhésion (ancienne zone périphérique)  : c’est une originalité des Parcs nationaux français.

Le contrôle des aménagements suscep-tibles d’avoir un impact notable sur le patri-moine compris dans l’espace à protéger, classé en cœur du parc est renforcé, par soumission à l'avis de l'établissement public du parc national.

Enfin, Le Parc national de Guadeloupe compte une aire maritime adjacente qui représente 130 800 hectares. L'aire maritime adjacente : c'est l'équivalent en mer de la zone d'adhésion à la charte. Sa gouvernance est un peu différente de la partie terrestre, en raison des différences d'organisation des services en charge de la mer.

L'espace parc bénéficie de deux labels internationaux de grande valeur :

Territoire classé au titre de la convention de RAMSAR. Depuis 1993, la France a inscrit la baie du Grand Cul-de-Sac marin au titre de la convention internationale relative à la conser-vation des zones humides d'importance inter-nationale pour les oiseaux d'eau (dite conven-tion de Ramsar). La zone RAMSAR couvre également les îlets de Kahouanne et de la Tête-à-l'Anglais.

Enfin, une grande partie des îles de Guade-loupe est reconnue au titre de la « Réserve de Biosphère de l'Archipel de Guadeloupe », label prestigieux du programme MAB (Man and Bios-phere) de l'UNESCO. Cette réserve est organi-sée autour d'une aire centrale consacrée à une protection rigoureuse (les coeurs du Parc natio-nal), d'une zone tampon entourant ou jouxtant

l'aire centrale qui renforce la fonction de pro-tection, d'une aire de transition où sont déve-loppés la coopération avec la population et les modes d'exploitation durable des ressources. Ces territoires ont reçu le statut de Réserve de biosphère par l'UNESCO en 1992.

Une Réserve de Biosphère est une aire protégée portant sur des écosystèmes ter-restres et côtiers, représentant la diversité éco-logique et humaine de la planète. Ces zones dont l'intérêt est reconnu au plan international, sont intégrées dans le Programme de l'UNESCO sur l'Homme et la Biosphère (MAB : Man and Biosphere). Elles sont regroupées au sein d'un réseau mondial qui facilite l'échange de l'infor-mation relative à la conservation des écosys-tèmes naturels et aménagés.

SiègeSeatHabitation BeausoleilMontéran97120 Saint-ClaudeT : +590 (0)5 90 80 86 00F : +590 (0)5 90 80 05 46

Secteur de la SoufrièreLa Soufrière SectorCité Guillard97100 Basse-TerreT / F : +590 (0)5 90 99 03 15

Secteur de la TraverséeLa Traversée Sector43, rue Jean Jaurès97122 Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 26 10 58F : +590 (0)5 90 60 17 33

Secteur marinSea sector43, rue Jean Jaurès97122 Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 26 10 58F : +590 (0)5 90 60 17 33

Volcan de la Soufrière (St-Claude)

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There are over a hundred watercourses on La Basse-Terre, due to the abundant rainfall (up 12 m par an) which falls on the forest, which is why the Pre Colombian peoples gave it the name of “the island of beautiful waters”. The mountain range is therefore the water tower of the Guadeloupe islands.

The environment’s natural wealth adds to the beauty of particularly picturesque and va-ried sites (the Carbet Falls, La Soufrière volca-no). This territory of an immeasurable richness, where numerous as yet little known plant and animal species grow and live, is a conservatory of Antilles biological diversity, an irreplaceable heritage which must be taken care of, a precious capital to be preserved and passed on intact to future generations.

Out of the four types of areas which can be found in a national park, the Guadeloupe National Park is composed of: 10 cores covering 21,000 hectares: 17,300 ha, which is 10% of the archipelago’s territory and two thirds of the Basse-Terre tropical forest (the mountain range covers 30,000 ha). It extends over the entirety of the high part of the Basse-Terre mountain range (the highest point being the active volca-no La Soufrière), from the dense humid forest (a rain forest with rainfall of 3 to 8 m a year), star-ting at an altitude of 250-300 m, to the shrubs of the savannas, the lower plant formations of the summits (cloud forest), from an altitude of 900 m. It encompasses 11 towns: Vieux-Habi-tants, Bouillante, Pointe-Noire, Lamentin, Petit-Bourg, Goyave, Capesterre Belle-Eau, Trois-Ri-

vières, Gourbeyre, Saint-Claude and Baillif.The core (former core area): the objective

is to preserve the natural heritage; strong pro-tective measures have been adopted, develop-ment and human activities are regulated, even prohibited, to avoid disturbing the balance of the natural milieus. When the public enters these areas they are accompanied by informa-tion and educational initiatives.

The Guadeloupe National Park also has an optimum area of adherence covering 21 towns: all the towns on La Basse-Terre, as well as Les Abymes, Morne-à-l'Eau, Petit-Canal, Port-Louis and Anse-Bertrand, an area of 95,000 hectares.

The area of adherence (former peripheral area) is an original feature of French national parks.

Control of developments that could have a significant impact on the heritage situated in the area which has to be protected, classified as the core of the park, has been strengthened as they have to be submitted to the National Parks government agency for its opinion.

The Guadeloupe National Park also en-compasses an adjacent sea zone covering 130,800 hectares, which is the equivalent in the sea of the area of adherence to the char-ter. Its governance is slightly different from the land part due to the differences in organization of the services in charge of the sea.

The park area has obtained two highly va-luable international labels:

A territory classified according to the Ram-sar Convention. The Grand Cul-de-Sac Marin

bay was registered by France in 1993 under the international convention on the preservation of wetlands of international importance, especial-ly as habitat for waterfowl (known as the Ram-sar Convention). The Ramsar area also covers the Kahouanne and Tête-à-l'Anglais islets.

Finally, most of the area of the Guadeloupe islands is recognized as the “Guadeloupe Arthi-pelago Biosphere Reserve”, the prestigious label of the UNESCO MAB (Man and Biosphere) program. The reserve is organized around a central area which is strictly protected (the Na-tional Park cores), a buffer zone surrounding or adjoining the central area which reinforces the protective function, and a transition area where cooperation and sustainable resource exploita-tion methods are developed with the popula-

tion. These areas were classified as a Biosphere Reserve by the UNESCO in 1992.

A Biosphere Reserve is a protected area of terrestrial and coastal ecosystems repre-senting the planet’s ecological and human di-versity. These areas, the interest of which has been recognized internationally, are integra-ted in the UNESCO MAB (Man and Biosphere) Program. They are grouped in a world network facilitating exchanges of information about the preservation of natural and developed ecosys-tems.

GUADELOUPE NATIONAL PARK

Baie-Mahault (Mangrove) Soufrière (Petit-Bourg) Cascade aux Ecrevisses (Petit-Bourg)

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LES DÉCORS TYPES DE GUADELOUPERECHERCHE DE DÉCORS PAR GENRE

La Guadeloupe, grâce à la diversité de son cadre naturel, mais aussi grâce à un patrimoine matériel et immatériel riche, a conquis son statut de « terre d’images et d’émotions ». En effet, la très grande variété des décors qu’elle abrite sur un espace restreint lui confère une place de choix dans l’accueil des productions cinématographiques et audiovisuelles.

Forêts

L’archipel guadeloupéen dispose également de nombreux types de forêts, dont certains sont protégés, notamment la forêt tropicale du Parc National des îles de Guadeloupe , qui couvre une chaîne de montagnes et abrite le volcan de la Soufrière, le plus haut sommet de l’île, et plus de 500 cascades ou chutes d’eau.

Côtes

Les îles de Guadeloupe disposent d’une grande variété de paysages côtiers  : plages de sable blanc, de sable noir, de galets, falaises, îlets de sable fin au milieu d’eaux turquoises, mangroves, ports de pêche et de plaisance… Et ses fonds sous-marins constituent une incroyable réserve de faune et de flore, comme en témoigne l’existence des différentes réserves marines, comme la réserve Cousteau ou bien la réserve du Grand Cul-de-sac marin.

Coastlines

The Guadeloupe islands have a great variety of coastline landscapes: white and black sandy beaches, pebble beaches, cliffs, small islands of fine sand standing in the middle of turquoise waters, mangroves, fishing ports and leisure ports, and the list goes on. And its seabed which is a home to an incredible collection of animal and plant life, as witnessed by the existence of the various marine reserves, such as the Cousteau Reserve or the Grand Cul-de-Sac Marin reserve.

Forests

There are many kinds of forests in the Guadeloupe archipelago, some of which are protected: the tropical forest of the Guadeloupe National Park, which stretches over a mountain chain including the volcano La Soufrière, the island’s highest summit, and more than 500 cascades or waterfalls. sommet de l’île, et plus de 500 cascades ou chutes d’eau.

TYPICAL GUADELOUPE LOCATIONSSEARCH FOR LOCATIONS BY GENRE

The diversity of Guadeloupe’s natural surroundings, but also the richness of its physical and intangible heritage, have allowed it to obtain its status of a “land of images and emotions”. The very great variety in its landscapes in a small area makes it a place of choice to welcome cinema and audiovisual productions.

Portes d’Enfer (Moule) Mangrove (Abymes)

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Urbains

Les îles de Guadeloupe possèdent également nombre de territoires urbains, toutefois marqués par la une certaine créolité, un certain métissage. Ainsi la petite case créole cohabite avec le grand ensemble HLM, le petit commerce de proximité avec le gigantesque centre commercial, les balcons en fer forgé et ceux en béton.

Historiques

Les îles de Guadeloupe sont tributaires d’une riche histoire, qui est transcrite dans la roche et dans les murs.

Historical

The Guadeloupe islands have a rich history which is written in their rocks and their walls.

Campagnes

Les paysages de campagne offrent également une réelle diversité  : en effet, terres sèches et terres verdoyantes ne sont jamais bien loin les unes des autres, et il en est de même pour les plaines et les vallons.

Patrimoine industriel

L’archipel dispose d’un patrimoine industriel du XIXe et début XXe siècles. La Guadeloupe compte une dizaine de zones industrielles

Countryside

The countryside landscapes also offer great diversity: dry lands and green expanses, and plains and valleys, are never very far from each other.

Urban

The Guadeloupe islands have many urban territories, although with a certain Creole tendency, a certain mixture of races. You can see small Creole huts standing next to a public housing complex, the small neighborhood shop and the gigantic shopping center, wrought iron balconies and concrete balconies.

Patrimoine bâti

Le passé colonial de cet archipel reste visible à travers les différentes bâtisses d’époque, pour la plupart classées.

A heritage of buildings

There are still traces of the archipelago’s colonial past through the buildings constructed at the time, most of which are classified.

Industrial heritage

The archipelago has an industrial heritage going back to the 19th century and the beginning of the 20th century. Guadeloupe has some dozen industrial areas.

Maison de la Mangrove (Abymes) Ville de Pointe à Pitre Vestiges (Moule) Centrale EDF-GDF (Jarry/Baie-Mahault)

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Les habitations

Les habitations sont constituées de l’ensemble de bâtiments datant de l’époque esclavagiste, comprenant la maison du maître, les différents outils nécessaires à la production agricole, comme les moulins à vent, et les cases d’esclaves.

Insolites

Des îlets inhabités aux formes atypiques jusqu’aux entrées des ruelles ou des chemins bordées de boîtes aux lettres installées anarchiquement, en passant par le temple Hindou (Capesterre-Belle-Eau), les plages de l’archipel en période pascale, ou bien encore les charrettes en circulation, l’archipel guadeloupéen est également le lieu d’une mine de décors insolites.

Architecture

Le patrimoine bâti correspond aussi à une certaine architecture, que l’on retrouve, autant en ville qu’en campagne, à travers les maisons créoles actuelles, mais aussi celles datant du début du XXe siècle, et notamment celle de l’architecte Ali Tur à qui l’on confia la reconstruction de nombre d’édifices publics après les destructions occasionnées par le cyclone de 1928.

Les forts

Les différents forts construits durant l’époque moderne témoignent également de la présence tantôt française, tantôt anglaise, sur l’île, et des guerres qui ont eu lieu entre ces deux puissances d’antan sous les tropiques.Le fort Louis Delgrès (Basse-Terre)Le fort Louis Napoléon Bonaparte (Les Saintes)Le fort Fleur d’épée (Le Gosier)

The forts

The various forts built during modern times also bear witness either to the French or to the English presence on the island and the wars that were waged between these two powers of yesteryear in the tropics.Fort Louis Delgrès (Basse-Terre)Fort Louis Napoléon Bonaparte (Les Saintes)Fort Fleur d’épée (Le Gosier)

Architecture

The heritage of buildings also corresponds to a certain architecture, present in the towns and also in the countryside, the architected Ali Tur, who was commissioned to rebuild many public buildings which had been destroyed in the 1928 hurricane.

The plantation complexes

The plantation complexes are composed of a group of buildings dating back to the era of slavery, with a main residence, the various tools such as windmills used in agricultural production, and the slaves’ quarters.

The unusual

From the unusually shaped small inhabited islands, to the entrances to the lanes or paths edged with letterboxes installed haphazardly, via the Hindu temple (Capesterre-Belle-Eau), the islands’ beaches at Easter time, or otherwise the carts driving along the roads, the Guadeloupe archipelago is a treasure trove of out of the ordinary locations.

Fort Napoléon (Les Saintes) Église du Moule Habitation le Maud’huy (St-François) Ilet Caret (Ste-Rose)

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Petite histoire des îles de Guadeloupe dans le cinéma

C’est d’abord en qualité de sujet que les îles de Gua-deloupe sont entrées dans le cinéma au vingtième siècle. Images d’arrivées de paquebots (la Motte - Piquet), cérémo-nies de passation de pouvoir entre gouverneurs, images eth-nologiques sur le carnaval, les sorties familiales du dimanche.

Les acteurs guadeloupéens ont eux, dès le début du cinéma commercial tenté d’imposer leur présence dans les films hexagonaux. Darling Légitimus a, à plusieurs reprises, tenu des rôles importants dans des films comme Les sor-cières de Salem. La famille des acteurs guadeloupéens n’a pas cessé de s’enrichir et aujourd’hui les îles de Guadeloupe comptent quelques uns des grands noms du paysage audio-visuel français comme Théo et Pascal Légitimus, Jacques et Jean-Michel Martial, Greg Germain, Firmine Richard, Marie-Noël Euzebe, Luc Saint-Eloi, Dominique Bernard…

C’est à une femme que nous devons les premières images faites de l’intérieur. Armelle Vertinot-Albert, scé-nariste, réalisatrice, monteuse, projectionniste a, pendant des années, mis les îles de Guadeloupe en boîte en format super 8 mm. Son cinéma qu’on pourrait qualifier d’ethno-graphique reste à découvrir.

GUADELOUPE ET CINÉMA Le cinéma guadeloupéen commercial voit timidement le jour en 1968 avec Lorsque l’herbe de Christian Lara et chronique d’un retour de Jacques Ferly. Comme la plupart des cinématographies du sud, c’est dans l’immigration qu’il naît. Après ces débuts prometteurs, il faudra attendre 1978 pour saluer en Coco la fleur candidat de Christian Lara le premier long-métrage guadeloupéen.

À la demande de l’Agence Départementale de l’inser-tion, une étude de faisabilité et de viabilité a conclu la mise en place d’une plate-forme Chantier – école pour assurer des cycles de formation aux métiers de l’audiovisuel pour les allocataires du RMI (s’étant vus refuser l’indemnisation par l’assurance chômage pour insuffisance d’heures – moins de 507, malgré une expérience professionnelle notable). Un certain nombre, en parcours d’insertion, a assuré des fon-cions techniques sur les films de Jean-Pierre Krieff, Tony Coco-Viloin ou encore Jean-Claude Barny avec Nèg Maron…

Les îles de Guadeloupe sont de tous les territoires et départements d’outre-mer celui qui possède la plus grande vitrine cinématographique avec une vingtaine de long-métrages fiction ou documentaire et une trentaine de courts-métrages -Mamito, et vint la vipère, Antilles sur seine, Têt’ Gréné, tambour au loin joli son, chronique du cœur, Le cri des Neg Mawon, Vivre libre ou mourir, Vaka-bon, Trafik d’Infos,Neg Marron, Lettre à Irène, Tremens, Anba Fèy... Aujourd’hui, plusieurs réalisateurs reconnus au niveau international comme Christiane Succab-Goldman, Sarah Maldoror, Christian Grandman, Christian Lara, Jacques Ferly, Jean-Claude Barny, Tony Coco-Viloin, Pascal Légitimus, Brice Stone, Sylvaine Dampierre, Janluk Stanislas «  Slas  »…

Depuis 2003, plusieurs long-métrages sont mis en chantier par des guadeloupéens et Pascal Légitimus occupe une place incontestable à la télévision en initiant des séries

(crimes en série), mais également des téléfilms (Georges), après Jacques Martial avec «  Navarro  ».

La Région Guadeloupe, a décidé depuis 2005 de par-ticiper activement à l’organisation de son cinéma en don-nant naissance à la première Direction de la Culture et de la Formation Artistique au conseil régional (assurée par Nina Gélabale), sous la présidence du Député Victorin Lurel. Cette initiative a permis de signer un protocole d’accord avec le CNC générant la perception d’aides (le fonds d’aide et de développement pour le cinéma et l’audiovisuel, géré et animé par Kelly Palmin, pour structurer et développer les productions en Guadeloupe.

Actuellement en Guadeloupe il y a deux entreprises de production susceptibles de garantir la bonne fin de la réali-sation d’un film de long-métrage et deux cent quarante-cinq autres qui couvrent le secteur de la création à la diffusion, du délégué à l’exécutif en passant par les prestataires.*

L’émergence récente (1er avril 2008) du Bureau d’Ac-cueil des Tournages, structure régulant les tournages, réper-toriant le potentiel humain et les décors, assure une dyna-mique d’emploi dans le secteur. Ainsi prend naissance une émulation de tous les instants déclenchant des opérations comme le premier Speed Dating Cinéma en Guadeloupe (plus de 200 techniciens audiotionnés), ou encore la pre-mière édition en Guadeloupe de «  One Short One Movie en outremer  » (8 courts métrages et un long documentaire tournés en un mois).

La naissance de l’association pour la promotion du ciné-ma d’art et essai en Guadeloupe (APCAG), fait naître un nou-vel engouement pour la question de la distribution des films produits en Guadeloupe. Les réalisateurs et techniciens ont, de leur côté en 2001 créé un Collectif de Cinéastes et de Professionnels de l’Audiovisuel en Guadeloupe – CCPAG -

Cet organe de réflexion a contribué au renouvellement de la création audiovisuelle en Guadeloupe. Il a d’ailleurs créé une charte des réalisateurs et a fini par se transformer, grâce à la venue de nouveaux membres, sous le nom de Cnou-Menm, un laboratoire expérimental de création cinémato-graphique, photographique et audiovisuel, avec à leur tête les précurseurs de l’association Nou Yon (nous ne faisons qu’un), animée entre autres par Janluk Stanislas «  Slas  ».

Le Fonds d’aide au tournage dans les départements d’outre-mer crée en 2001 par décret par le Premier ministre Lionel Jospin a permis à quelques projets guadeloupéens d’atteindre une phase de concrétisation. La région, via sa commission du film, est en train de créer des plates-formes pour gérer l’image des îles de Guadeloupe, dynamiser, en-cadrer la production, et les tournages des films, tant gua-deloupéens qu’étrangers afin de coller à la dynamique des créateurs et d’exploiter au mieux ce patrimoine qui est une vitrine incontestable pour la promotion touristique et un outil de développement économique ou encore pour l’amé-nagement du territoire, non négligeable.

Entre temps, le groupement des acteurs de Guade-loupe (GAG) et l'association des producteurs de cinéma et d'audiovisuel de Guadeloupe (APCIAG), ont pris naissance.

Sources

Osange Silou-Kieffer

(Journaliste, critique

de cinéma Directrice

de l’Agence de presse

Invariance Noire, auteur

de «  le cinéma dans les

Antilles françaises  »,

membre de la commission

CNC d’aide au tournage

dans les DOM)

Et la Direction de la

Culture et de la Formation

Artistique – Service

Arts Plastiques Cinéma

Audiovisuel et Edition

(Région Guadeloupe)

* IDATE/CCI

Pôle emploi 2010

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The tale of the Guadeloupe islands in the cinema

The Guadeloupe islands’ first incursion into the cinema in the 20th century was as a film subject: images of ocean liners arriving (la Motte - Piquet), ceremonies where power was handed over between governors, ethnological images of carnivals, Sunday family outings.

Right from the beginnings of the commercial cinema, Guadeloupian actors tried to make a name and a presence for themselves in French films. Darling Légitimus had seve-ral important roles in films, such as the Witches of Salem. The family of Guadeloupian actors has continued to grow and today the Guadeloupe islands count among them some of the greatest names in the French audiovisual landscape, such as Théo and Pascal Légitimus, Jacques and Jean-Michel Martial, Greg Germain, Firmine Richard, Marie-Noël Euzebe, Luc Saint-Eloi, Dominique Bernard…

The first person to produce images “from the inside” was a woman, Armelle Vertinot-Albert, a scriptwriter, film producer, editor, projectionist, who filmed the Guadeloupe islands for many years in super 8 mm format. Her films, which could be qualified as ethnographic, are worth discovering.

The Guadeloupe commercial cinema made a timid

GUADELOUPE AND CINEMA appearance in 1968 with the Christian Lara film “Lorsque l’herbe”, which recounts a return of Jacques Ferly. Like most southern film making, it came from immigration. After this promising start, it was not until 1978 that Christian Lara’s first Guadeloupe feature film “Coco la fleur candidat” was produced.

At the request of the Departmental Integration Agency, a feasibility and viability study concluded that a Workshop-School platform should be set up to provide training courses in audiovisual occupations for the unemployed receiving the RMI (minimum integration wage) (who were unable to obtain unemployment benefits for not having a sufficient number of remunerated hours – less than 507, despite a noteworthy professional past). A certain number of them, in the course of an integration scheme, performed technical functions on films of Jean-Pierre Krieff, Tony Coco-Viloin or otherwise Jean-Claude Barny with Nèg Maron…

The Guadeloupe islands are, among all the Overseas Territories and Departments, the one which has the big-gest cinema shop window with some twenty feature films or documentaries and some thirty short films: Mamito, et vint la vipère, Antilles sur seine, Têt’ Gréné, tambour au loin joli son, chronique du coeur, Le cri des Neg Mawon, Vivre libre ou mourir, Vakabon, Trafik d’Infos,Neg Marron, Lettre à Irène, Tremens, Anba Fèy... Today, there are quite a number of internationally recognized film directors such as Chris-tiane Succab-Goldman, Sarah Maldoror, Christian Grandman, Christian Lara, Jacques Ferly, Jean-Claude Barny, Tony Coco-Viloin, Pascal Légitimus, Brice Stone, Sylvaine Dampierre, Janluk Stanislas “Slas“…

Since 2003, several feature films have been put into production by Guadeloupians: Pascal Légitimus has his uncontested place on television where he is a producer

of series (Crimes en série), but also of made-for-TV films (Georges), after Jacques Martial with “Navarro”.

Since 2005 the Guadeloupe region has decided to take an active part in organizing its cinema, with the creation of the first Directorate of Culture and Artistic Training in the Regional Council (run by Nina Gélabale), under the chair-manship of the member of parliament Victorin Lurel. This initiative led to the signature of an agreement with the CNC, which resulted in aids being granted (the aid and develop-ment fund for the cinema and audiovisual industry managed and run by Kelly Palmin) to structure and develop produc-tions in Guadeloupe.

At the moment there are in Guadeloupe two produc-tion companies able to guarantee the successful completion of the shooting of a feature film and two hundred and forty five others which cover the industry from creation to distri-bution, from the delegate to the executive, via the service providers.*

The recent emergence (April 1, 2008) of the BAT, a structure which regulates film shoots, cataloguing the hu-man potential and locations, ensures a dynamic of employ-ment in the industry. This has given rise to constant emu-lation triggering operations such as the first Cinema Speed Dating in Guadeloupe (more than 200 technicians were auditioned), or otherwise the first edition in Guadeloupe of “One Short One Movie en outremer” (8 short films and one long documentary filmed in a same month).

The advent of the APCAG (Association for Art House Ci-nema Promotion in Guadeloupe) provoked renewed enthu-siasm for the subject of the distribution of films produced in Guadeloupe. In 2001, film directors and technicians on their side created the CCPAG (“Collective of Film Producers and Audiovisual Professionals in Guadeloupe”). This “think tank”

contributed to the renewal of audiovisual creation in Gua-deloupe. It also created a charter of film directors and in the end changed its name and its focus, thanks to the addition of new members, into an experimental laboratory of cinemato-graphic, photographic and audiovisual creation called Cnou-Menm, headed by the precursors of the association Nou Yon (we are only one), which was under the leadership amongst others of Janluk Stanislas “Slas”.

The Aid Fund for Filming in the Overseas Departments, created in 2001 by decree by the Prime Minister, Lionel Jospin, helped a few Guadeloupian projects to reach the materialization phase. The region, via its film commission, is currently creating platforms to manage the image of the Guadeloupe islands, to revitalize and supervise production and filming, of both Guadeloupian and foreign films, to keep pace with the dynamics of the creators and to exploit as effi-ciently as it can this heritage which is an undeniable shop window for tourist promotion and a non-negligible tool for economic or territorial development.

In the meantime, the GAG (grouping of Guadeloupe actors) and the APCIAG (Guadeloupe Association of Cinema and Audiovisual Producers) have been set up.

Sources

Osange Silou-Kieffer

(journalist and film critic,

Director of the press

agency Invariance Noire,

author of “The cinema

in the French Antilles”,

member of the CNC

commission of aid for

filming in the DOM)

And the Directorate

of Culture and Artistic

Training – Plastic Arts

Cinema Audiovisual

and Publishing Service

(Guadeloupe Region)

* IDATE/CCI

Pôle emploi 2010

Tournage de «  Noir Océan  »

de M. Hansel

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LES STATISTIQUES : EXTRAIT DE CATALOGUE DES FILMS AIDÉS PAR LA RÉGION GUADELOUPETHE STATISTICS:EXTRACT FROM THE CATALOGUE OF FILMS WHICH RECEIVED AID FROM THE GUADELOUPE REGION

DocumentairesDocumentaries

Parcours de dissidentsJMJ Productions (2005)Gerty Archimède, candidate du peupleLes productions de la Lanterne (2006)Le Mozart noir à CubaShakti Productions (2007)Une architecture oubliéeLes productions de la Lanterne (2007)Ces enfants perdus de PanamaLes productions de la Lanterne (2007)L'histoire secrète de la soufrièreLes productions de la Lanterne (2007) Félix LaborLes films de la Castagne (2007)L'avenir est ailleursDoriane Films ( 2007)Jambé dloMat Films (2007) David Muray ou l'Atlantique noirLa Huit & 3D production (2007)Des noirs en couleursElle est pas belle la vie (2007)

Voyage retourBCI Communication (2007) Le pays à l'enversAtlan Films (2008) Souvenirs encombrants d'une femme de ménageLes productions de la Lanterne (2008) Karaïb an mouv' manIndraline Production (2008)Carnaval, mass et groupes à peauWIPP Production ( 2008) Terres des SaintesTelemac productions (2008) Anguilla d'une domination à l'autreTelemac productions (2008) Cinéastes et papillonTita Productions (2008)B World Connection Indraline Production (2009) F comme Femme & F comme F DiasporaShakti Productions (2007-2011)Pauline et MoliaLes films de la Castagne (2009)Les bonifiésExterieur jour (2010)Couloir extérieurArt&Vision Productions (2010)L'épopée des pionniers de l'aviation dans la Caraïbe / Media 9 (2011)Le rêve de JohnBCI Communication ( 2011) Les bœufs tirantsWIPP Production (2011)

Le chevalier de Saint GeorgeOrtheal (2011) Les souvenirs d'AmaliaVitamine C (2011) Moi Maryse C, écraivain noire et rebelleKontras' Prod (2011)Sara CentenaireKontras' Prod (2011)VoukoumReel Factory / Exterieur Jour (2012) Rêves d'envol, pilotes de Guyane et des Antilles en 1943Les productions de la Lanterne (2012) Moune de Rivel, la lune lévéles productions de la Lanterne (2012) Fan do BrasilShakti productions (2012) Marie-Galante, le goût amer du sucreTelemac productions (2012)

Longs métragesFeature length films

AlikerKreol Productions (2008)Noir oceanMan’s Film (2010)Le gang des Antillais Les Films d’Ici (2013)Fleur de CannesAldabra Films (2013)RosenArtisan film (2012)

Dimanche 4 JanvierSequioa Films (2013)

Courts métragesShort films

An ba feyLes films du requin (2008)Map ternitéC’est à voir (2008)Retour au paysEye & Eye productions (2008)NegropolitainsNoodles Production (2008)One Short, One movie (Guadeloupe)Tita Productions, Kontras Prod, Sky Prod (2009)La femme qui passePalavire Productions (2009)Fichues RacinesPalavire Productions (2010)Trou d’airArt&Vision Productions (2010)One Short, One movie (édition Nouvelle Calédonie)Tita productions (2011)Soup à pyéLes Films du Racoon (2012)Cœur ChamalowTaÏnos Prod (2012)Un toit pour mes vieux osCésame Film (2012)VivreArt et vision production (2012)

Séries téléviséesTelevision series

Baie des famboyants (saison 1 & 2)JLA productions (2007)Tongs et pareosDe Père en fils (2007)Catan, le poète photographeExtérieur Jour (2009)Le mystère JoséphineCaraïbe films Compagnie (2009)DominoSky Prod (2011)Death in paradise (Vo)Atlantique Productions (2011)Red Planete Pictures (2012)

TéléfilmsMade-for-TV films

2012 candidatCaraïbe films compagnie (2010)Le bonheur d’ElzaTu vas voir (2011)La Smala s'en mêleBarjac production (2013)

équipe de tournage, Death in Paradise

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UN APERÇU DE LA FILMOGRAPHIE GUADELOUPÉENNEAN OVERVIEW OF GUADELOUPE FILMS

Christian LaraLorsque l’herbe (1967)Coco-la-Fleur, le candidat (1970)Un Amour de sable (1977)Chap'la (1980)Une glace avec deux boules ou je le dis à maman (1982)Adieu foulards (1983)Sucre amer (1998)Un homme à femmes (2004)1802, l'épopée guadeloupéenne (2006)

Gabriel GlissantLa Machette et le marteau (1975)

Tony Coco-ViloinLe rêve d’habiter (1990)Le cri des Neg Mawon (1992)Karukéra Gorée, Mémoire de demain (2002)La Route de Mandja (2004)Lettre à Irène (2006)Adriana, le cahier noir (2008)

VictorReinetteCé nou mèm (1991)

Véronique DessoutErzulie la magnifique (1991)When the Spirits Come (1992)

Marie-Chantal Aiello et Paul SaadounKarukera, sur les traces de l’histoire (1992)

Christian GrandmanChaussée glissante (1994)Tèt Grenné (2002)

Mariette MonpierreMalavoi, Cocktail, Caraïbe (1996)Sweet Micky for president (1998) Juju (2000)Rendez-vous (2001)Le bonheur d’Elsa (2011)

Janluk Stanislas «  Slas  »Pouki (1996)Vakabon (1998)Traffic d’Infos (2002)Lanmou A Bwa (2009)New Yorkers (2011)

Dimitri ZandronisJeunes des cités décidés (1999)Le Ti Mons et le trou à Man Coco (2004)Moi, Maryse C. écrivaine (2012)

Sylvaine DampierreUn enclos (1999)Le pays à l’envers (2009)

Thierry BellaicheLe chevalier de Saint-George (2002)

Jean-Claude BarnyNeg maron (2004)Tropiques amers (2006)Le Gang des Antillais (2013)

Christine AllenC comme l'oiseau (2004)

Fabrice PierreTremens (2004)Le gardien (2005)

Gérard CésarLes Indiens de la Guadeloupe et de la Martinique,Partie 1 : Kala pani, la malédiction des eaux noires Partie 2 : La recherche de l’identité (2004)Sara Centenaire (2010)

Stéphanie JamesLe Mozart noir à Cuba (2006)

Dominique DuportAn Ba Fey (2008)

Marie-Claude PernelleFichues racines (2010)

Karine GamaTrou d’Air (2010)Amborella (2011)Soup a Pyé (2012) 5

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Je me renseigneI obtain information

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L’AFCI (ASSOCIATION OF FILM COMMISSIONERS INTERNATIONAL)

L’AFCI, des ressources globales pour des productions globales.Comment fermer une rue pour une prise de vue importante  ? Com-

ment ouvrir les portes d’un village fantôme  ? Comment trouver les réponses à une quelconque question sur les lieux de tournage  ? Les membres de l’AFCI, l’association internationale des commissions offi-cielles du film de part le monde, sont là pour vous aider.

Il existe plus de 300 commissions du film membres de l’AFCI autour du monde, couvrant presque tous les continents. Où que vous comptiez établir votre production, une commission du film sera là pour vous guider.

L’Association of Film Commissioners International (AFCI) est l’organi-sation officielle professionnelle des film commissioners qui assistent les productions cinématographiques et audio-visuelles à travers le monde. Son but, non lucratif, est informatif, et ses membres servent, selon leurs juridictions gouvernementales respectives, de film commissioners à la ville, le comté, l’état, la région, la province ou la nation qu’ils représentent.

Association of Film Commissioners International109 E 17th St / Cheyenne, WY 82001T : 307 637 4422 F : 413 375 [email protected]

chapitre 2 : Organismes pour faciliter les recherches

AFCI (ASSOCIATION OF FILM COMMISSIONERS INTERNATIONAL)

The AFCI, global resources for global productions.How to close off a street to take an important shot? How to open

the doors of a phantom village? How to find the answer to any question about filming locations? The members of the AFCI, the Association of Film Commissioners International throughout the world, are there to help you.

There are more than 300 film commissions throughout the world who are members of the AFCI, covering almost all the continents. Whe-rever you intend to set up your production, a film commission will be available to guide you.

The AFCI is the official professional organization of film commissio-ners who assist cinema and audiovisual productions around the world. It is a not-for-profit organization whose purpose is to provide information and its members, according to their respective government jurisdictions, serve as film commissioners for the city, county, state, region, province or nation they represent.

Association of Film Commissioners International109 E 17th St / Cheyenne, WY 82001T : 307 637 4422 F : 413 375 [email protected]

chapter 2:Organizations facilitating searches

FILM FRANCE

La Commission nationale de film France est chargée de favoriser les tournages et la post-production en France. Elle fédère les 40 commis-sions du film locales (bureaux d’accueil des tournages) répartis sur le territoire national.

Administrée par des professionnels des industries techniques, du cinéma et de l’audiovisuel, et des représentants des administrations et des associations des élus locaux, la Commission nationale du film France constitue le premier interlocuteur des professionnels étrangers souhai-tant tourner en France. Elle est membre de l’AFCI (Association of Film Commissioners International) et de l’EUFCN (European Film Commissions Network), et avec son réseau de commissions locales, elle est soutenue par le Centre National de la Cinématographie et de l’image animée (CNC).

Ses principales activités sont  :— La promotion des ressources techniques françaises (laboratoires, stu-dios, effets spéciaux, etc) en liaison avec les fédérations et organismes professionnels (Fédération des industries du cinéma, de l’audiovisuel et du multimédia, Commission supérieure technique, etc)— L’information des professionnels français et étrangers sur les condi-tions de tournage et de post-production (réglementation, logistique, etc)Le site www.filmfrance.net permet notamment de consulter le guide pratique des tournages, de rechercher des lieux de tournages (base de données de plus de 11000 décors en ligne) et d’obtenir des informations sur les aides financières.

Commission nationale de film France9, rue du Château d'eau75010 ParisT : +33 (0)1 53 83 98 [email protected]

FILM FRANCE

The Film France National Commission is responsible for promoting filming and post-production in France. It federates the 40 local film com-missions (BAT) scattered around French territory.

It is administered by professionals of the technical, cinema and au-diovisual industries and by representatives of the administrations and of the associations of local elected representatives; it is also the primary contact for foreign professionals seeking to film in France. It is a member of the AFCI (Association of Film Commissioners International) and the EUFCN (European Film Commissions Network) and, with its network of local commissions, it is supported by the National Center of Cinemato-graphy (CNC).

Its principal activities are the following:— promoting French technical resources (laboratories, studios, special effects, etc.) in liaison with professional federations and organizations (Federation of the Cinema, Audiovisual and Multimedia Industries, Higher Technical Commission, etc.)— informing French and foreign professionals about filming and post-production conditions (regulations, logistics, etc.)Publications available for consultation on the site www.filmfrance.net include the practical guide to filming and location finding (online data-base with more than 11,000 locations) and information can also be ob-tained about financial aids.

Film France National Commission9, rue du Château d'eau75010 ParisT : +33 (0)1 53 83 98 [email protected]

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LA COMMISSION RÉGIONALE DU FILM DE GUADELOUPE

Créée le 1er avril 2008 et soutenue par la Région Guadeloupe, le Bureau d’Accueil des Tournages de Guadeloupe fait partie du réseau Film France. En tant que tel, il poursuit une mission d’intérêt général pour fa-ciliter les tournages et/ou la post-production sur son territoire et l’accès aux ressources locales, quelle que soit la nature de la production (longs et courts métrages, fictions télévisées, documentaires, animations, publicités, films institutionnel, etc). De plus, sa situation géographique privilégiée au cœur du bassin caribéen fait de lui un interlocuteur incontournable en ma-tière de production cinématographique et audiovisuelle dans la Caraïbe.

Il s’adresse tant aux professionnels français qu’étrangers et offre des services d’information et d’assistance aux professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, assurés à titre gratuits, comme  :— La recherche de décors et la documentation (pré-repérages, recherche de décors ou lieux de tournages, fichier de sites de tournage)— La mise en relation avec un réseau de contacts professionnels (liste de comédiens et de techniciens de la région, fichiers de loueurs d’équipe-ments et prestataires de services)— La mise en relation avec un réseau de contacts institutionnels (autori-sation de tournage)— L’aide logistique (prêt de salles et organisation de castings, l’héberge-ment et le transport)

Bureau d’Accueil des Tournages de GuadeloupeDirection de la Culture et de la Formation ArtistiqueHôtel de Région, Avenue Paul LacavéPetit-Paris - 97109 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 80 41 57Contact : Tony [email protected] / lien facebook

THE GUADELOUPE REGIONAL FILM COMMISSION

The Guadeloupe Reception and Resource Office, created on April 1, 2008, is part of the Film France network. As such, it performs a general inte-rest mission to facilitate filming and/or post-production on its territory and access to local resources, whatever the type of production (feature length films, short films, televised fictions, documentaries, animated films, adver-tisements, institutional films, etc.). Its privileged geographic situation in the heart of the Caribbean basin also makes it an essential contact for cinema and audiovisual production in the Caribbean.

It is available for both French and foreign professionals and offers in-formation and assistance services to cinema and audiovisual professionals which are provided free of charge, such as:— identification of locations and finding documentation (pre-identifica-tion, search for locations or places to film, data file of filming sites)— providing access to a network of professional contacts (list of actors and technicians of the region, data file of equipment rental companies and ser-vice providers)— providing access to a network of institutional contacts (filming authori-zations)— logistics assistance (loan of premises and organization of casting ses-sions, accommodation and transport)

Guadeloupe Reception and Resource Office (BAT)Cultural Department and Artistic TrainingHôtel de Région, Avenue Paul LacavéPetit-Paris - 97109 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 80 41 57Contact : Tony [email protected] / lien facebook

LE COMITÉ DU TOURRISME DES ÎLES DE GUADELOUPE

Le Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe (CTIG) a été créé le 12 décembre 2003 par les collectivités Départementales et Régionales, et est chargé de promouvoir le tourisme au sein de l’archipel guadeloupéen.

Comité du Tourisme des Îles de Guadeloupe5, Square de la BanqueBP 55597166 Pointe-à-Pitre cedexT : + 590 (0)5 90 82 09 30F : + 590 (0)5 90 83 89 [email protected]

LE COMITÉ DU TOURRISME DES ÎLES DE GUADELOUPE

The Guadeloupe Islands Tourist Board (CTIG) was created on December 12, 2003 by the Departmental and Regional Collectivities and is responsible for promoting tourism in the Guadeloupe islands.

Guadeloupe Islands Tourist Board5, Square de la BanqueBP 55597166 Pointe-à-Pitre cedexT : + 590 (0)5 90 82 09 30F : + 590 (0)5 90 83 89 [email protected]

Plage de Grande-Anse (Deshaies)

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chapitre 3 : Les aides et dispositifs

Direction de la culture et de la formation artistiqueService Arts plastiques, Cinéma, Audiovisuel et ÉditionDirectorate of Culture and Artistic TrainingPlastic Arts, Cinema, Audiovisual and Publishing Service

Hôtel de régionavenue Paul LacavéPetit Paris97109 Basse-Terre

Contact : Kelly Palmin T : +590 (0)5 90 80 40 72F : +590 (0)5 90 80 40 87ciné[email protected]

LES AIDES EN RÉGION

LE FONDS DE DÉVELOPPEMENT CINÉMATOGRAPHIQUE ET AUDIOVISUEL

Depuis 2005, la collectivité régionale a mis en œuvre un fonds de soutien à la production cinématographique et audiovisuelle. Le parte-nariat avec l’Etat et le Centre national de la cinématographie optimise son action. Les dispositifs ainsi créés, font aujourd’hui de la Guadeloupe l’une des régions les plus volontaristes en terme de soutien aux profes-sionnels de ce secteur.À qui s’adresser : [email protected]

L’ACCOMPAGNEMENT À L’ÉCRITURE

Les genres éligibles sont les suivants : court métrage (CM), long mé-trage 5LM), documentaire (DOC), série documentaire (SDOC), téléfilm (TF), série télévisée (STV), transmédia (TM) / Forme : ateliers et suivi d’un pro-jet par le biais des technologies multimédia et de l’internet(e-learning).

L’AIDE À LA RÉÉCRITURE

L’aide est plafonnée pour les sociétés de production :LM à 20 000 € SDOC (à partir de 2x52’ ou 5x26’) à 15 000 €DOC (52’) à 10 000 €TM à 10 000 €

L’AIDE AU DÉVELOPPEMENT

Cette aide a pour objectif de soutenir le développement des projets cinématographiques et audiovisuels : réécriture, recherches, prépara-tion (repérages, recherche de collaborateurs techniques et artistiques) ; recherche de financements (diffuseurs, coproducteurs et autres).

L’aide est plafonnée pour les sociétés de production :LM à 50 000 €SDOC (à partir de 2x52’ ou 5x26’) à 30 000 € DOC (52’) à 20 000 €  CM à 10 000 €TM à 20 000 €

L’AIDE À LA PRODUCTION

L’aide est plafonnée pour les sociétés de production : CM à 20 000 € DOC à (52’) à 40 000 €SDOC (à partir de 2x52’ et 5x26’) à 50 000 € TF à 100 000 € STV (100 x 26’) à 150 000 € STV (4 x 52’) à 200 000€LM à 500 000 €

chapter 3:Aids and programs

AIDS IN THE REGION

THE CINEMA AND AUDIOVISUAL DEVELOPMENT FUND

In 2005 the regional collectivity set up a fund to support cinema and audiovisual production. It is implemented via the partnership with the State and the National Center of Cinematography. The programs which have been put in place have now made Guadeloupe one of the regions where supporting professionals in the industry is a constant priority.Your contact: [email protected]

AID WITH WRITING

The eligible genres are the following: short films (CM), feature films (LM), documentaries (DOC), documentary series (SDOC), made-for-TV films (TF), television serials (STV), transmedia (TM).

Form of the aid: workshops and following up a project using multi-media technologies and the Internet (e-learning).

AID WITH REWRITING

The aid is capped for production companies:LM: 20,000 €SDOC (from 2x52’ or 5x26’): 15,000 €DOC (52’): 10,000 €TM: 10,000 €

AID WITH DEVELOPMENT

The objective of this aid is to support the development of cinema and audiovisual projects: rewriting, research, preparation (identification, search for technical and artistic collaborators); looking for financing (distributors, co-producers and others).

The aid is capped for production companies:LM: 50,000 €SDOC (from 2x52’ or 5x26’): 30,000 €DOC (52’): 20,000 €CM: 10,000 €TM: 20,000 €

AID WITH PRODUCTION

The aid is capped for production companies:CM: 20,000 €DOC: (52’): 40,000 €SDOC (from 2x52’and 5x26’): 50,000 €TF: 100,000 €STV (100 x 26’): 150,000 €STV (4 x 52’): 200,000€LM: 500,000 €

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PRODUIRE EN GUADELOUPE : MORE THAN INCENTIVE

Dans le cadre de la LODEOM (Loi de Développement Économique des Outre-Mer), un certain nombre de dispositifs fiscaux et sociaux ont été mis en place en faveur des entreprises exerçant leur activité en Guadeloupe  :

Sur le plan fiscal, ces mesures consistent à diminuer le montant de la base imposable sur laquelle est calculé l’impôt.

Sur le plan social, ces mesures consistent en une exonération de cer-taines cotisations sociales patronales. Cette exonération peut être renfor-cée quand l’entreprise remplit des conditions supplémentaires, liées à la localisation dans le département d’OM, au secteur d’activité, à l’effectif ou encore aux modalités d’imposition. Elle ne peut être appliquée sans l’ac-cord écrit de l’administration fiscale « certificat de LODEOM renforcée ».

La « production audiovisuelle » relève d’un secteur d’activité dit « prioritaire »  éligible de facto à la LODEOM renforcée.

Ci-après un exemple démontrant clairement l‘impact positif de ce dispositif sur une production réalisée en Guadeloupe en 2012.

La société de production exécutive a employé 75 techniciens en provenance de France hexagonale et des DOM (masse salariale = 970 000 euros) et a bénéficié de plus de 161 000 euros de réduction de charges sociales  : 123 000 euros au titre de la LODEOM simple (1/3 des cotisa-tions URSSAF), 38  000 euros supplémentaires une fois le certificat LO-DEOM renforcée obtenu.

Elle a également bénéficié  du dispositif d’abattement ZFA (Zone Franche d’Activité) majoré, des abattements temporaires dégressifs sur la base d’imposition à la C.E.T (CFE + CVAE), soit un peu plus de 160 000 euros.

En conclusion, pour 3 700 000 euros dépensés en Guadeloupe, elle a économisé un peu plus de 321 000 euros.

TO PRODUCE IN GUADELOUPE: MORE THAN INCENTIVE

After the LODEOM (Law for Overseas Economic Development) was enacted, a certain number of tax and social schemes were put in place for audiovisual companies operating in Guadeloupe:

Fiscally speaking, these measures consist of reducing the amount of the taxable base on which the taxes are calculated.

In social terms, these measures exempt production companies from certain employer’s social contributions. They are applied differently according to the company’s size. The amount varies depending on the number of employees and the amount of the payroll. The exemptions can be even greater when the company meets additional conditions such as its location in the Overseas Department, the business sector, the number of employees or other taxation conditions. It cannot be applied without the written agreement of the tax administration, the “Extended Lodeom certificate”.

In Guadeloupe, “audiovisual production” falls within a so-called “priority” sector: “information and communication technologies”, which is eligible for the Extended Lodeom.

An example is given below showing clearly the positive impact of this system on an audiovisual production produced and based in Guade-loupe in 2012.

The line production company employed 75 technicians from metropo-litan France and the Overseas Departments for just over 970,000 euros. Ini-tially it was granted a reduction in social charges calculated on the nor-mal legal basis of the LODEOM of 122,800 euros, i.e., 33% (one third) of the URSSAF contributions and 16% of all social charges. It obtained the Extended Lodeom certificate; the estimated reduction of 38,000 euros generated an additional saving of 5% on all the contributions. With this

Parallèlement, elle a pu obtenir le remboursement du crédit de TVA sur les dépenses réalisées en France, pour un peu plus de 120 000 euros, malgré les taux spécifiques aux DOM et, elle devrait percevoir, en sus, le crédit d’impôt international pour un peu plus de 650 000 euros.

Produire en Guadeloupe rapporte gros, si on prend le temps de se renseigner sur les spécificités fiscales et sociales et de se faire accompa-gner de spécialistes.

Contact : [email protected]

same certificate, it benefited from the increased ZFA (Activity Free Zone) abatement system, temporary tapered abatements of the base for the C.E.T. tax, i.e., just over 160,000 euros.

These various measures led to a saving of just over 320,000 out of the 3,700,000 euros disbursed in Guadeloupe (more than 9%).

It also obtained a VAT credit refund on expenses incurred in France of just over 120,000 euros, despite the reduced rates in the Overseas Departments (8.5% instead of 19.6%, 2.10% instead of 5.5%). The exe-cutive production company should also obtain an international tax credit of just over 650,000 euros.

There is a lot to be gained from locating a production in Guade-loupe, if time is taken to obtain information about the specific tax and social features and to be assisted by specialists.

Contact: [email protected]

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COLLÈGE ET CINÉMA COLLEGE AND CINEMA

Coordination nationaleNational Coordination

Centre National de la cinémato-graphie / Direction de la création, des territoires et des publicsNational Center of Cinematography / Department of Creation, Territories and Publics11, rue Galilée - 75116 ParisT : +33 (0)1 44 34 34 30F : +33 (0)1 44 34 38 64www.cnc.fr

Partenaires départementauxPartners in the Department

Conseil Général de la GuadeloupeGuadeloupe General Councilboulevard du Gouverneur Gal Félix Eboué97109 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 77 77F : +590 (0)5 90 99 76 [email protected]

ÉDUCATION À L’IMAGE PENDANT LE TEMPS SCOLAIRE : LYCÉENS ET APPRENTIS AU CINÉMAIMAGE EDUCATION IN SCHOOLS: LYCÉE STUDENTS AND CINEMA APPRENTICES

Coordination NationaleNational Coordination

Centre National de la cinémato-graphie / Direction de la création, des territoires et des publicsNational Center of Cinematography / Department of Creation, Territories and Publics11, rue Galilée75116 ParisT : +33 (0)1 44 34 34 30F : +33 (0)1 44 34 38 64www.cnc.fr

Partenaires régionaux Regional partners

Inspection académique de la Guadeloupe - Mare GaillardGuadeloupe Education Authority

97190 Le Gosier T : +590 (0)5 90 84 57 04F :  +590 (0)5 90 84 58 04

DAAC - Claude Riviervoie principale - Jarryimmeuble Lysa97122 Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 22 41 [email protected]

DAC - Philippe Bon22, rue Perrinon97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 41 14 80 F : +590 (0)5 90 41 14 60

Région Guadeloupe - Kelly Palmin1, rue Paul LacavePetit-Paris97101 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 80 40 40 F : +590 (0)5 90 81 34 19www.cr-guadeloupe.fr

Inspection académique de la GuadeloupeGuadeloupe Education AuthorityMare Gaillard - 97190 Le Gosier T : +590 (0)5 90 84 57 04F : +590 (0)5 90 84 58 04

DAAC - Claude Riviervoie principale - Jarryimmeuble Lysa97122 Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 22 41 [email protected]

ÉCOLE ET CINÉMASCHOOL AND CINEMA

Coordination NationaleNational Coordination

Les enfants de cinéma36 rue godefroy cavaignac75011 ParisT : +33 (0)1 40 29 09 99F : +33 (0)1 40 29 09 79enfantsdeciné[email protected]

AIDE POUR LES ŒUVRES CINÉMATOGRAPHIQUES D’OUTRE-MER (CNC)

La loi d'orientation pour l'outre-mer du 13 décembre 2000 (mo-difiée par la loi du 21 juillet 2003) prévoit que les œuvres cinémato-graphiques qui présentent un intérêt culturel pour les départements d'outre-mer peuvent bénéficier d'une aide sélective spécifique. Le dé-cret du 29 octobre 2001 (modifié par le décret du 12 février 2004) fixe les conditions d'attribution de cette aide.

L'aide sélective est destinée à promouvoir la production d'œuvres cinématographiques de court et long métrage qui présentent un intérêt culturel pour la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique, la Réunion et pour Saint-Pierre-et-Miquelon. Les œuvres destinées à une première diffusion télévisuelle ne sont pas éligibles à ce dispositif de soutien.

L'aide doit être demandée avant tournage. Elle est attribuée aux œuvres qui contribuent notamment à une meilleure connaissance de ces collectivités territoriales d'outre-mer, à leur valorisation auprès d'un large public, à la promotion de leurs expressions culturelles ou à la formation de leurs résidents à l'expression cinématographique et aux métiers du cinéma.

AID FOR OVERSEAS CINEMA WORKS (CNC)

Under the overseas framework law of December 13, 2000 (amended by the law of July 21, 2003), cinema works which are of cultural interest for the Overseas Departments are eligible for a specific selective aid. The decree of October 29, 2001 (amended by the decree of February 12, 2004) establishes the conditions for granting this aid.

The selective aid is intended to promote the production of short and feature length cinema works which are of cultural interest for Guadeloupe, Guiana, Martinique, Réunion and Saint-Pierre-et-Miquelon. Works which are to be shown first on television are not eligible for this support.

The aid must be applied for before the filming starts. It is awarded to works which particularly contribute to a better knowledge of the Over-seas Territorial Collectivities, to encouraging appreciation of them by a broad public, to promoting their cultural expressions or to training their residents in cinematographic expression and occupations in the cinema.

LE DISPOSITIF D’ÉDUCATION À L’IMAGE THE IMAGE EDUCATION SYSTEM

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Coordination départementaleDepartmental Coordination

Inspection Académique de la GuadeloupeGuadeloupe Education AuthorityMare Gaillard - 97190 Le Gosier T : +590 (0)5 90 84 57 04F :  +590 (0)5 90 84 58 04

DAAC - Claude Riviervoie principale - Jarryimmeuble Lysa 97122 Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 22 41 [email protected]

Association Ciné WouléJean-Marc Cesaire3, immeuble les chicanes97139 Grand Camp AbymesT : +590 (0)5 90 216718cinewoulé[email protected]

FORMATION INITIALE : LYCÉES, ENSEIGNEMENT « CRÉATION ET ACTIVITÉS ARTISTIQUES : ARTS VISUELS »INITIAL TRAINING: LYCÉES, TEACHING “ARTISTIC CREATION AND ACTIVITIES: VISUAL ARTS”

Lycée d’enseignement général et technologique de Baimbridge 1boulevard des HérosLes AbymesBP 17 97159 Pointe-à-Pitre cedexT : +590 (0)5 90 93 79 99F : +590 (0)5 90 90 34 89 [email protected]

Lycée Gerville-Réache23, rue Amédée-Fengarol97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 81 16 [email protected]éegervillereache.fr

Lycée d’enseignement général et technologique Droits de l’HommePointe-à-Bacchus97170 Petit-BourgT : +590 (0)5 90 95 40 [email protected]

Lycée polyvalent Nord Grande-Terresite de Beauport - 97117 Port-Louisfax : +590 (0)5 90 82 31 53

Lycée général et technologique de Sainte-AnnePoirier de Gissac 97180 Sainte-AnneT : +590 (0)5 90 88 23 49F : +590 (0)5 90 88 99 41

Lycée du Nord de la Basse-Terre« La Ramée »BP 76 - 97 115 Sainte-RoseT : +590 (0)5 90 28 16 97F : +590 (0)5 90 28 18 36

BTS MÉTIERS DE L'AUDIOVISUELBTS TECHNICAL DIPLOMA IN AUDIOVISUAL OCCUPATIONS

Lycée polyvalent de Pointe NoireGrande Plaine97116 Pointe NoireT : +590 (0)5 90 98 37 38lpo-pointenoire.ac-guadeloupe.fr

ÉDUCATION À L’IMAGE HORS TEMPS SCOLAIRE    : PASSEURS D’IMAGES

Passeurs d’images consiste à la mise en place, hors temps scolaire, de projets d’action culturelle cinématographique et audiovisuelle en direction des publics, prioritairement les jeunes, qui, pour des raisons sociales, géographiques ou culturelles, sont éloignés d’un environnement, de pratiques et d’une offre cinématographiques et audiovisuels.Il allie deux actions complémentaires  : le voir et le faire, la diffusion et la pratique. Ces projets répondent à des objectifs précis : meilleur accès aux pratiques cinématographiques, éducation à l’image, sensibilisation à la diversité culturelle, lutte contre les discriminations et mobilisent dans une stratégie globale plusieurs partenaires sur un territoire, et sur le long terme.Les projets passeurs d’images sont conçus et mis en œuvre par un ensemble de partenaires sociaux et culturels autour d’objectifs communs. Le réseau passeurs d’images se structure ainsi en différents niveaux   :  les partenaires nationaux et les régionaux.

EXTRA-CURRICULAR IMAGE EDUCATION: “PASSEURS D’IMAGES” FILM EDUCATION INITIATIVE

The “Passeurs d’Images” project consists of undertaking extra-curricular cultural action projects relating to the cinema and audiovisual works targeting as a priority young publics, who for social, geographic or cultural reasons, have little contact with the environment, the practice and the availability of cinema and audiovisual works.It combines two complementary actions: see it and do it, showing and practicing. These projects meet precise objectives: a better access to cinematographic practices, image education, creating awareness of cultural diversity, the prevention of discrimination, and as such involve a certain number partners in the territory in a long term global strategy.The “passeurs d’images” projects are designed and implemented by a grouping of social and cultural partners around common objectives. The “passeurs d’images” network is structured at different levels: there are national partners and regional partners.

Coordination NationaleNational Coordination

kyrnéa international80, rue du faubourg Saint-Denis75010 ParisT : +33 (0)1 47 70 71 71F : +33 (0)1 47 70 02 [email protected]

Coordination régionaleRegional Coordination

Association Ciné WouléCesaire Jean-Marc 72d zone d’activité le Pérou Petit Pérou - 97139 Abymes T  : +590 (0)5 90 21 37 99 F  : +590 (0)5 90 21 42 73 [email protected]

DAC Guadeloupe22, rue perrinon97100 Basse-Terredirectrice : Anne MistlerT : +590 (0)5 90 41 14 80F : +590 (0)5 90 41 14 60

LPO de Pointe-Noire

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chapitre 4 : Calendrier des grands rendez-vous

GUADELOUPEGUADELOUPE

Mois du film documentairewww.moisdudoc.com/spip.php?rubrique132FEMI, Festival régional & international du cinéma de Guadeloupewww.lefemi.comMIF-TC, Marché International du film et de la télévision caribéenswww.guadeloupefilm.comLa Rentrée des Tafswww.guadeloupefilm.com Festival des films d’éducationwww.festivalfilmeduc.net/spip.php?article481Cinéma au Clair de LuneTerra Festivalwww.terrafestival.orgPrix de Courtwww.festivalprixdecourt.comLes comités de lecture du fonds d’aide de la région Guadeloupe

CARAÏBESTHE CARIBBEAN

BahamasInternational Film Festivalwww.bintlfilmfest.com

Barbade / BarbadosThe Best of Caribbean Tales Film Festivalcaribbeantalesfestivals.com

CubaFestival Internacional de Documentarioswww.cubacine.cuFestival International del nuevo cine Latino Americanowww.habanafilmfestival.comFestival Internacional del Cine Pobrewww.festivalcinepobre.orgMuestra de Nuevos Realizadoreswww.cubacine.cu

BelizeBelize International Film Festivalwww.belizefilmfestival.com

Jamaïque / JamaicaFlashpoint Film festivalflashpointfestival.comReggae Film Festivalwww.reggaefilmfestival.comJamaïcan Film Festival

République Dominicaine/ Dominican RepublicDominican Republic Global Film Festivalwww.festivaldecineglobal.org

Trinidad et Tobago / Trinidad and TobagoAnimae Caribe Full Circle Studiosanimaecaribe.comTrinidad and Tobago Film Festivalwww.trinidadandtobagofilmfestival.com

RENDEZ-VOUS CINÉMA

chapter 4:Diary of major events

CINEMA RENDEZ-VOUS

Janvier – Février / January – FebruaryFemi (Festival International et Régional de Cinéma de Guadeloupe)Femi jeunesseMIF-TC (Marché International du Film et de la Télévision Caribéens)

Février / FebruaryTV Vaval (carnaval)Salon regional de l’étudiant

Mars / MarchOpen de tennisKarujetGwada beach tennisCoupe régionale de basket ballFestival du Film d’éducation

Avril / AprilCongrés international des écrivains de la Caraïbe (tous les 2 ans)Terra Festival (Festival du Film d’environnement)Le Bollywood FestivalLe Festival Prix de CourtsLe Caribulles (Festival de la bande-dessinée) La fête du crabe

Mai / MayMeeting international d’athelismeFestival terre de blues

Juillet / JulyTGVT (Tour de la Guadeloupe en voile traditionnelle)Grand marché des produits du terroirFestival de gastronomieCérémonie des bacheliersGrand Prix hippique

Août / AugustTour cycliste Cine Klendenden (Cinéma au clair de lune)

Novembre / NovemberElwa d’or (festival de musique)Kreyol fashion days (tous les 2 ans)Remise des prix du concours régional de la Création d’entrepriseMois du Film documentaire

Décembre / DecemberJarry en fêteÎlo Jazz (Festival de Jazz)

RENDEZ-VOUS CULTURELS DE GUADELOUPE CULTURAL EVENTS

Ces événements rassemblent d’importantes masses populaires et représentent à ce titre, d’excellentes occasions pour réaliser des plans de foule. La collaboration entre le bureau d’accueil des tournages, la Région Guadeloupe et l’organisation de ces événements, est un agent facilitateur pour les autorisations de tournage.

Huge crowds of people gather together for these events, which as such makes them an excellent opportunity to take crowd shots. Collaboration between the Film Reception and Resource Office (BAT), the Guadeloupe Region and the organizers of these events is a factor which can facilitate the obtaining of a filming authorization.

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Sur place, avec qui ?On the site, who with?

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LES SERVICES DE LA RÉGION GUADELOUPE

Conseil Regional de Guadelouperue Paul Lacave – Petit Paris97109 Basse Terre CedexT : +590 (0)5 90 80 40 40www.cr-guadeloupe.fr

1 Présidente, 20 femmes et 20 hommes élus pour une durée de 6 ans. La Région Guadeloupe est composée de 3 assemblées qui sont :

Le Conseil RégionalLe Conseil Économique et Social Régional (CESR)Le Conseil de la Culture, de l’Éducation et de l’Environnement (CCEE)

Le Conseil régional de Guadeloupe comprend 41 conseillers régio-naux élus au suffrage universel direct pour 6 ans selon un scrutin de liste par département à la représentation proportionnelle. Depuis 2004, les conseillers régionaux sont toujours élus pour 6 ans dans chaque Région, au scrutin de liste à 2 tours.

La compétence de droit commun des régions résulte aujourd’hui des l’article L.4221-1 du Code général des collectivités territoriales, au terme duquel « le Conseil régional règle par ses délibérations les affaires de la Région ».

LES DÉLIBÉRATIONS

Les commissions thématiques et des commissions ad oc. Le Conseil régional compte 12 commissions thématiques auxquelles s’ajoutent des commissions ad hoc qui s’occupent de dossiers très spécifiques (exemple de l’eau) ainsi que la commission des appels d’offres. Consultées par le Président avant que les rapports ne soient soumis au vote des conseillers régionaux, les commissions émettent des observations et formulent des propositions dans les domaines d‘intervention de la Région.

LA RÉGION ET SES PARTENAIRES

La Région n’est pas, le plus souvent, seule à intervenir dans les domaines qui sont du ressort de sa compétence. Elle impulse, complète souvent et soutient sur le plan financier des actions menées en collabo-ration avec d’autres partenaires.

L’ÉTAT

L’Etat reste l’un des partenaires privilégiés des régions. Il intervient par l’intermédiaire de son représentant, le Préfet de Région dans le res-pect de la légalité. Leur collaboration s’inscrit notamment dans le cadre du Contrat de plan Etat-Région. Il définit des objectifs communs de dévelop-pement et indique les moyens financiers nécessaires à leur mise en œuvre.

LES PARTENAIRES LOCAUX

Les communes, les groupements de communes et le Conseil gé-néral représentent les partenaires principaux avec lesquels le Conseil régional entend travailler. Dans ce cadre, un certain nombre de projets sont mis en place, notamment dans le domaine du développement éco-nomique, de l’aménagement du territoire, de l’environnement, du loge-ment, de la voirie, etc, afin de coordonner les actions engagées.

chapitre 5 : Annuaire des organismes et des institutions incontournables

chapter 5:Directory of essential organizations and institutions

SERVICES OF THE GUADELOUPE REGION

Guadeloupe Regional CouncilRue Paul Lacave – Petit Paris97109 Basse Terre CedexTel: +590 (0)5 90 80 40 40www.cr-guadeloupe.fr

1 President (a woman), 20 women and 20 men elected for a six-year term.The Guadeloupe region is composed of the following three assemblies:

The Regional CouncilThe Economic and Social Regional Council (CESR)The Council for Culture, Education and Environment (CCEE)

The Guadeloupe Regional Council has 41 regional councilors elected by direct universal suffrage for six years, in an election by list per Department by proportional representation. Since 2004, the regional councilors are still elected for six years in an election by list with two rounds of voting.The legal competence of the regions derives today from Article L.4221-1 of the General Territorial Collectivities Code, which states that “the Regional Council settles the Region’s affairs by its decisions”.

THE PROCEEDINGS

Specialized commissions and ad hoc commissions. The Regional Council has 12 specialized commissions, supplemented by ad hoc commis-sions, which handle very specific files (for example water), and the tender offers commission. The President consults the commissions, which issue comments and make proposals in the Region’s areas of intervention, before the reports are submitted to the regional councilors’ vote.

THE REGION AND ITS PARTNERS

Most often the Region is not alone in the actions it undertakes, in the areas which fall within its competence. It provides the impetus, often com-pletes and financially supports actions conducted in collaboration with other partners.

THE STATE

The State is one of the regions’ privileged partners. It acts through its representative, the Prefect of the Region, in compliance with the law. Their collaboration is written in the State-Region Planning Agreement. The Agree-ment defines common objectives for development and describes the finan-cial resources necessary to implement them.

THE LOCAL PARTNERS

The towns, groupings of towns and the General Council are the princi-pal partners with which the Regional Council works. In this context a certain number of projects are implemented, which concern particularly economic development, territorial development, the environment, housing, roads, etc., in order to coordinate the various actions undertaken.

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L’UNION EUROPÉENNE

L’intervention européenne s’effectue en concertation avec les autori-tés nationales et locales dans le respect des compétences de chacun : aides au développement, soutien à la formation professionnelle, lutte contre le chômage, soutien aux activités rurales, financement de la recherche, pro-grammes d’échanges, définition des grands axes de communication.

Cette intervention s’effectue suivant la définition de zones territo-riales éligibles et en fonction des principes de mise en œuvre (subsidia-rité, suivi, évaluation, contrôle…). Elle prend la forme de versement de fonds structurels : Fonds Social Européen (FSE), Fonds d’Orientation et de Garantie Agricole (FEOGA), Fonds de Développement Régional (FEDER), Banque européenne, INTERREG …

THE EUROPEAN UNION

Europe has its part to play, in consultation with the national and local authorities, respecting the competences of each: development aids, sup-port for occupational training, the fight against unemployment, support for rural activities, financing of research, exchange programs, definition of the major communication orientations.

It conducts its actions according to the definition of eligible territo-rial zones and depending on the principles of implementation (subsidia-rity, monitoring, evaluation, control…). This takes the form of payments by structural funds: European Social Fund (ESF), European Agricultural Guidance and Guarantee Fund (EAGGF), European Regional Development Fund (ERDF), European Bank, INTERREG, etc.

LES COMMISSIONS

Le Conseil régional compte  4 commissions ad hoc. Ces commissions ad hoc s’occupent de dossiers très spécifiques. Consultées par le Président avant que les rapports ne soient soumis au vote des conseillers régio-naux, les commissions émettent des observations et formulent des pro-positions dans les domaines d'intervention de la Région.

Commission chargée de l'octroi de MerCommission maitrise de l'énergieCommission de la conférence des régions périphériques et maritimes et de l'assemblée des régions d'Europe (CRPM-ARE)Commission sur l'eau

Les Commissions thématiques sont organisées en fonction des principaux domaines d’intervention de la Région. Elles doivent émettre des avis sur les dossiers instruits par les services de l’administration régionale.

Commission des travaux et des équipementsCommission de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la rechercheCommission de la formation professionnelle et de l’insertionCommission des affaires juridiques, communautaires et relations extérieuresCommission du tourisme, de l’environnement  et du développement durableCommission du plan, de l’aménagement du territoire, du transport et des technologies de l’information et de la communicationCommission du développement économique et de l’emploiCommission de la santé, du logement et de la solidaritéCommission du développement rural, de l’agriculture, de la pêche et des affaires maritimesLa Commission de la jeunesse et des sports et des loisirs

LES COMMISSIONS

There are four ad hoc commissions on the Regional Council. These ad hoc commissions handle very specific files. The President consults the commissions, which issue comments and make proposals in the Region’s areas of intervention, before the reports are submitted to the regional councilors’ vote.

Commission responsible for the “Octroi de Mer” taxEnergy Control CommissionCommission for the Conference of Peripheral Maritime Regions and the Assembly of European Regions (CPMR-AER)Water commission

The specialized Commissions are organized according to the Region’s principal areas of competence. They must issue opinions on the files examined by the regional administration services.

Commission for works and equipmentCommission for teaching, higher education and researchCommission for occupational training and integrationCommission for legal and Community affairs and foreign relationsCommission for tourism, environment and sustainable developmentCommission for the plan, territorial development, transport, and information and communication technologiesCommission for economic development and employmentCommission for health, housing and solidarityCommission for rural development, agriculture, fishing and maritime affairs The Commission for Youth, Sports and Leisure Activities

Pont de l’Alliance (Abymes/Baie-Mahault)

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LES SERVICES DU DÉPARTEMENT DE GUADELOUPE

Le Conseil Général intervient dans plusieurs domaines comme :

ACTION SANITAIRE ET SOCIALE

Les prestations d'aide sociale portent sur :

— L'aide médicale, comprenant l'aide médicale à domicile et l'aide médicale hospitalière— L'aide sociale à l'enfance par le biais de la protection maternelle et infantile— L'aide sociale aux personnes âgées, et notamment la mise en place de Prestation Spécifique Dépendance— L'aide aux handicapés— Les actions d'insertion liées au revenu minimum d'insertion (RMI)— Adoption d'un règlement départemental d'aide sociale et d'unschéma départemental des établissements sociaux et médico-sociaux.

Les prestations de protection sanitaire intéressent :

— La lutte contre les fléaux— La protection sanitaire de l'enfance et de la famille (service départemental de vaccination)— Les actions préventives contre la tuberculose et les maladies vénériennes— Les actions de dépistage précoce des affections cancéreuses— Les actions de lutte contre la lèpre

The General Council is active in several areas, such as:

PUBLIC HEALTH AND SOCIAL ACTIONS

The social welfare services concern:

— Medical aid, including home medical aid and hospital medical aid— Child social aid through maternal and child welfare— Social aid for older persons particularly by the introduction of a Specific Dependency Benefit— Aid for the disabled— Integration actions related to the minimum integration wage (RMI)— Adoption of a Departmental social welfare regulation and a Departmental plan of social and medical-social institutions.

The public health protection benefits concern:

— The prevention of epidemics— Child and family health protection (Departmental vaccination service)— Preventive actions against tuberculosis and venereal diseases— Eearly cancer screening actions— Actions for the prevention of leprosy

L'ENSEIGNEMENT

— Répartition des crédits affectés aux établissements publics d'enseignement et aux établissements d'enseignement privé sous contrat— Allocation sous certaines conditions des subventions départementales aux établissements privés d'enseignement— Attributions de bourses scolaires et prêt d'honneur— Prise en charge de certaines dépenses de fonctionnement des écoles normales primaires— Construction, reconstruction, extension, grosses réparations et fonc-tionnement matériel des collèges au nombre de 43 dans le département— Mise en place après consultation des autorités compétentes du schéma prévisionnel des investissements relatifs aux collèges.

LA CULTURE

— Aide au développement de la lecture publique et de la culture— Le Conseil Général assure à ce titre la gestion des bibliothèques départementales, des archives, des musées et écomusées

L'ENVIRONNEMENT

— Protection des espaces naturels sensibles par l'élaboration d'une politique de protection, de gestion et d'ouverture au public des espacesnaturels, faciles d'accès— Plan départemental des itinéraires de promenades et randonnées— Avis sur le plan départemental d'élimination des déchets ménagers assimilés

LES PORTS MARITIMES

— Création— Aménagement et exploitation des ports maritimes de commerce et de pêche

TEACHING

— Distribution of credits allocated to public teaching establishments and private teaching establishments under contract — Allocation subject to certain conditions of Departmental subsidies to private teaching establishments— Award of scholarships and loans on trust— Assuming payment of certain operating expenses of ordinary primary schools— Construction, reconstruction, extension, major repairs and operating materials for secondary schools of which there are 43 in the Department— After consulting the competent authorities, establishment of the pro-jected investment plan for secondary schools.

CULTURE

— Aid in developing public reading and culture— In this area the General Council manages the Departmental libraries and the archives, museums and eco-museums

THE ENVIRONMENT

— Protection of sensitive nature areas by the implementation of a policy for the protection, management and opening to the public of easily accessible nature areas — Departmental plan of walking and trekking paths— Opinion on the Departmental plan to dispose of waste assimilated to household waste

SEA PORTS

— Creation— Development and operation of commercial sea ports and fishing ports

THE SERVICES OF THE GUADELOUPE DEPARTMENT

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PRÉFECTURESPREFECTURES

Préfecture de la GuadeloupePalais d'OrléansRue de Lardenoy97109 Basse-Terre cedexT : +590 (0)5 90 99 39 00F : +590 (0)5 90 81 58 32

Préfecture des Iles du NordRoute du FortMarigot97150 Saint-MartinT  : +590 (0)5 90 29 09 16F  : +590 (0)5 90 87 53 95

Annexe de Saint-BarthélemyBP 635 Gustavia97133 Saint-BarthélemyT  : +590 (0)5 90 27 64 10F : +590 (0)5 90 27 71 65

Sous-préfecturePlace de la Victoire97110 Pointe-à-PitreT : +590 (0)5 90 82 68 68F : +590 (0)5 90 82 52 16

SANTÉ, SOCIAL, EMPLOIHEALTH, SOCIAL, EMPLOYMENT

Direction Départementale de la Santé et du Développement SocialBisdary97113 GourbeyreT : +590 (0)5 90 99 49 00F  : +590 (0)5 90 99 49 49www.guadeloupe.sante.gouv.fr

Direction Départementale du Travail, de l’Emploi et de la Formation ProfessionnelleBisdary97113 GourbeyreT : +590 (0)5 90 80 50 50F : +590 (0)5 90 80 50 [email protected]

ÉDUCATION, CULTURE, SPORTEDUCATION, CULTURE, SPORT

Rectorat de l’Académie de la GuadeloupeSite Grand-CampBoulevard de l'UnionB.P. 480 - 97166 AbymesT : +590 (0)5 90 21 38 63 F : +590 (0)5 90 21 38 65www.ac-guadeloupe.fr

Direction Régionale des Affaires Culturelles22, rue Perrinon97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 41 14 80 F : +590 (0)5 90 41 14 60

Direction Départementale de la Jeunesse et des SportsBoulevard Maritime97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 81 33 57 F : +590 (0)5 90 81 24 28dd971@jeunesse-sports.gouv.frwww.mjsantilles-guyane.jeunesse-sports.gouv.fr

LES TRANSPORTS ET LA VOIRIE

— L'organisation du transport scolaire— L'organisation du transport non urbain de personnes— Entretien de 650 km de routes départementales, construction de voies neuves

LES INTERVENTIONS ÉCONOMIQUES

— Aide aux entreprises en difficulté quand la protection des intérêtséconomiques et sociaux de la population l'exige.— Garantie d'emprunt ou caution aux entreprises sous certaines conditions— Participation dans le capital des sociétés d'Economie Mixte

LE LOGEMENT

— Action en faveur des personnes défavorisées

L'URBANISME

— Possibilité d'être associé à l'élaboration des POS— Participation à l'élaboration du Schéma d'Aménagement Régional (SAR) effectué sous l'autorité du Conseil Régional— Compétences spécifiques aux Départements d'Outre-Mer— Avis sur tous les projets de lois et décrets tendant à adapter la législation ou l'organisation administrative des Départements d'Outre-Mer à leur situation particulière.— Possibilité pour le Conseil Général de saisir le gouvernement parl'intermédiaire du Ministre d'Etat de toutes propositions tendant àl'intervention de dispositions générales motivées par la situation particulière de leur département. Toutefois ces propositions ne devront pas porter atteintes aux principes énoncés par la Constitution.

TRANSPORT AND ROADS

— Organization of school transport— Organization of non-urban public transport— Maintenance of 650 km of Departmental roads, construction of new roads

ECONOMIC INTERVENTIONS

— Aid for companies in difficulty when required to protect the economic and social interests of the population.— Borrowing guarantee or guarantee to companies subject to certain conditions— Participation in the capital of semi-public companies

HOUSING

— Action in favor of disadvantaged persons

URBAN PLANNING

— Possibility to be involved in the elaboration of the comprehensive development area maps (POS)— Participation in the elaboration of the Regional Development Plan (SAR) under the authority of the Regional Council— Competences specific to the Overseas Departments— Opinion on all draft laws and decrees aiming to adapt the legislation or administrative organization of the Overseas Departments to their particular situation— Possibility for the General Council to refer to the Government via the Minister of State all proposals for the implementation of general provisions motivated by the particular situation of their Department. However, these proposals must not affect the principles set out in the Constitution.

LES SERVICES DE L'ÉTATLES SERVICES DE L'ÉTAT

AGRICULTURE ET FORÊTAGRICULTURE AND THE FOREST

Direction de l’Agriculture et de la ForêtJardin Botanique - Circonvallation97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 09 09 F : +590 (0)5 90 99 09 10 [email protected]

Direction Régionale de l’Office National des ForêtsJardin Botanique - Circonvallation97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 28 99 F : +590 (0)5 90 81 48 77www.onf.fr/reg/Guadeloupe

Direction Départementale des Services VétérinairesJardin Botanique - Circonvallation97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 09 21F : +590 (0)5 90 99 09 [email protected]

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ÉQUIPEMENT, TRANSPORT, INDUSTRIE, RECHERCHE, ENVIRONNEMENTEQUIPMENT, TRANSPORT, INDUSTRY, RESEARCH, ENVIRONMENT

Routes de GuadeloupeRoute de Saint-Phy B.P. 5497102 Basse-Terre CedexT : +590 (0)5 90 99 43 43T : +590 (0)5 90 99 46 46 F : +590 (0)5 90 99 46 47 www.trafikera.fr

Direction Régionale des Affaires MaritimesB.P. 246697085 Jarry CedexT : +590 (0)5 90 41 95 50 F : +590 (0)5 90 41 95 31

District AéronautiqueAéroport Pôle CaraïbesB.P. 46097164 Pointe-à-Pitre CedexT : +590 (0)5 90 93 98 00 F : +590 (0)5 90 93 98 99

Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement - Antenne de Guadeloupe552, rue de la ChapelleZone Industrielle de Jarry97122  Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 38 03 47F : +590 (0)5 90 38 03 50http://www.ggm.drire.gouv.fr/

Direction Régionale de l’EnvironnementChemin des BougainvilliersCité Guillard97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 35 60T : +590 (0)5 90 99 35 65diren@guadeloupe.ecologie.gouv.frwww.guadeloupe.ecologie.gouv.fr

ÉCONOMIE ET FINANCESECONOMY AND FINANCE

Trésorerie Générale de la GuadeloupeRue de la République97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 16 16 F : +590 (0)5 90 81 09 82

Direction Régionale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Unité de GuadeloupeDRCCRF Antilles GuyaneUnité de Guadeloupe30 chemin des Bougainvilliers Guillard97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 35 99 F : +590 (0)5 90 81 60 [email protected]

Direction Régionale des DouanesRoute du Stade Félix Eboué97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 45 30 F : +590 (0)5 90 81 33 92

Direction Départementale des Services FiscauxRue Lardenoy97100 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 99 14 14 F : +590 (0)5 90 81 81 [email protected]

ARMÉE, ANCIENS COMBATTANTSCOMMANDEMENT MILITAIRE DE LA GUADELOUPEARMY, VETERANSGUADELOUPE MILITARY COMMAND

Camp Dugommier B.P. 41597159 Pointe-à-Pitre CedexT : +590 (0)5 90 60 60 00 T : +590 (0)5 90 60 60 02 F : +590 (0)5 90 26 23 75 [email protected]

Direction du Service Départemental de l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre9, rue Alexandre IsaacQuartier du Carmel97109 Basse-TerreT : +590 (0)5 90 81 17 63T : +590 (0)5 90 81 41 59F : +590 (0)5 90 81 67 [email protected]

SÉCURITÉ, ORDRE PUBLICSECURITY, PUBLIC ORDER

Direction Départementale de la Sécurité Publique12, rue GambettaB.P. 449 97164 Pointe-à-Pitre CedexT : +590 (0)5 90 89 77 77T : +590 (0)5 90 21 80 19 F : +590 (0)5 90 21 80 20

Direction Départementale de la Police aux FrontièresAéroport Pôle Caraïbes97139 AbymesT : +590 (0)5 90 21 13 81 F : +590 (0)5 90 20 28 48

Gendarmerie NationaleMorne Houël97120 Saint-ClaudeT : +590 (0)5 90 80 99 00T : +590 (0)5 90 80 88 00T : +590 (0)5 90 80 22 04T : +590 (0)5 90 80 99 44 T : +590 (0)5 90 80 37 44F : +590 (0)5 90 80 99 32 [email protected]

SECOURSEMERGENCY SERVICES

Direction Départementale des Services d'Incendie et de SecoursRue Ho Chi MinhLauricisque 97110 Pointe-à-PitreT : +590 (0)5 90 89 47 17F : +590 (0)5 90 21 51 45F : +590 (0)5 90 90 09 38

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chapitre 6 : Réseaux, partenaires et médias locaux

chapter 6:Local networks, partners and media

LES DIFFUSEURSDISTRIBUTORS

L'archipel (Scène Nationale) 4 salles dont une salle de grande capacité : 500 personnesbd Félix Eboué97100 Basse TerreT : +590 (0)8 99 23 09 81

Domaine de Valombreusecapacité : 300 personnesCabout97170 Petit Bourg

Terre de FêteCapacité : de 50 à 2000 personnes3 boulevard de Houelbourg ZI de Jarry97122 Baie MahaultT : +590 (0)8 99 96 14 57

Ciné Théâtre du Lamentin Cité Jean Jaurès97129 LamentinT : +590 (0)5 90 99 18 11

Cinéma d'Arbaud 18 boulevard Félix Eboué97100 Basse TerreT : +590 (0)5 90 81 18 35

Cinésogar Cinéma Rex rue René Wachter97110 Pointe à PitreT : +590 (0)5 90 82 07 64

Lakasa Musikrue Thomas Edison97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 38 69 12

LES MÉDIASTHE MEDIA

RADIORADIO

Radio Madras La Baie 97160 Moule T : +590 (0)5 90 23 46 43

Radio Sofaia AltitudePont Canal route Sofaia97115 Sainte RoseT : +590 (0)5 90 28 05 57

Radio Massabielle 23 chem Petites Abymes97110 Pointe à PitreT : +590 (0)5 90 83 25 21

Radio Arago rte Rocade Baimbridge97139 AbymesT : +590 (0)5 90 83 31 41

Radio Bis Sun FM zac Moudong Sud97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 26 74 74

Radio Caraïbes Internationale carrefour Grand Camp97139 Abymes T : +590 (0)5 90 89 44 44 T : +590 (0)5 90 22 63 54

Radio Climax chd N 6 Dit de Vieux Fort97141 Vieux FortT : +590 (0)5 90 92 08 36

Radio Gaiac Galerie Ccia 6 résidence Achille René Boisneuf97110 Pointe à PitreT : +590 (0)5 90 22 66 81 T : +590 (0)5 90 22 68 98

Radio K.Danse FM 4 Ter boulevard Faidherbe97110 Pointe à PitreT : +590 (0)5 90 93 09 59

Radio-Madras La Baie97160 Moule T : +590 (0)5 90 23 41 20

Radio Massabielle 23 chem Petites Abymes97110 Pointe à PitreT : +590 (0)5 90 83 25 21

Radio Sofaia Altitude Pont Canal rte Sofaia97115 sainte roseT : +590 (0)5 90 28 05 57

PRESSE ÉCRITE, TÉLÉVISIONWRITTEN PRESS, TELEVISION

France-Antilleszac Moudong Sud97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 25 18 88 T : +590 (0)5 90 25 19 61

Le progrès Social Toussaint Louverture97100 Basse TerreT : +590 (0)5 90 81 24 25 F : +590 (0)5 90 81 40 2

Niouz Akaz573 rue Chapelle97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 32 52 61 F : +590 (0)5 90 32 74 73

Nouvelles Semaine30 rue Henri Becquerel97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 38 20 30 F : +590 (0)5 90 38 81 50

MediaServCentre commercial Destreland97122 Baie MahaultT : +590 (0)8 11 57 57 57

Radio Souffle de Vie 20 Morne Boissard97139 Abymes T : +590 (0)5 90 91 31 98

Radio Vie Meilleure Morne Boissard97142 Abymes T : +590 (0)5 90 83 25 73

Guadeloupe 1ère (France Radio-Télé Outre Mer) Autonome97100 Basse TerreT : +590 (0)5 90 81 69 69

R.L.K (Radio Karata) St Robert97123 Baillif T : +590 (0)5 90 81 80 85

World Satellite Guadelouperue Ferdinand Forest zi Jarry97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 26 91 11

Canal 1021 bd Marquisat du Houelbourg97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 26 73 03 T : +590 (0)5 90 26 61 44

Nouvelle société TCI La Une Guadeloupe97122 Baie MahaultT : +590 (0)5 90 86 00 00

Guadeloupe 1ère

Morne Bernard DestrellanBP 18097122 Baie-MahaultT : +590 (0)5 90 60 96 96 F : +590 (0)5 90 60 96 82

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CTIG - Comité du tourisme des îles de guadeloupeCTIG – Guadeloupe Islands Tourist Board5, square de la BanqueBP 55597166 Pointe-à-Pitre cedexT : +590 (0)5 90 82 09 30F : +590 (0)5 90 83 89 [email protected]

Le Comité du Tourisme des Îles de Guade-loupe (CTIG) a été créé le 12 décembre 2003 par les collectivités Départementales et Régio-nales, et est chargé de promouvoir le tourisme au sein de l’archipel guadeloupéen.

The Guadeloupe Islands Tourist Board (CTIG) was created on December 12, 2003 by the Departmental and Regional Collectivities. It is responsible for promoting tourism in the Guadeloupian archipelago.

SACD - Société des auteurs et compositeurs dramatiquesSACD - Society for Authors and Composers of Dramatic Works9 rue Ballu75009 Paris, FranceT : +33 (0)1 40 23 44 55www.sacd.fr

La SACD est avant tout une société de ges-tion collective qui a pour mission de percevoir et répartir les droits d'auteur.

The SACD is above all a collective management society which receives and distributes royalties.

Pôle Emploi / Employment agency immeuble Lomba - ZI de Jarryrue Ferdinand Forest - 97122  Baie Mahault T : +590 (0)8 26 08 89 71F : +590 (0)5 90 38 39 40www.pole-emploi.fr

Les missions de Pôle emploi consistent à accueillir et inscrire les demandeurs d’emploi, à verser les allocations des demandeurs d’em-ploi indemnisés et à accompagner chaque de-mandeur d’emploi dans sa recherche d’emploi jusqu’au placement. D’autre part, Pôle emploi assure la prospection du marché du travail en allant au-devant des entreprises, l’aide aux en-treprises dans leurs recrutements et l’analyse du marché du travail.Par ailleurs, Pôle emploi assure de façon transitoire le recouvrement des cotisations d’assurance-chômage.

Pôle Emploi (employment agency) receives and registers job seekers, paying indemnified job seekers’ benefits and helping each job seeker to look for a job until being placed. It also prospects the job market by anticipating what companies are looking for, assisting companies with their recruitment and analyzing the job market. The Employment Agency also collects unemployment insurance contributions on a temporary basis.

SACEM - société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musiqueSACEM (Society of Authors, Composers and Music Publishers)Baie MahaultT : +590 (0)5 90 41 94 50 www.sacem.fr

La Sacem est une société civile à but non lucratif gérée par les créateurs et éditeurs de musique. Elle favorise la création musicale en protégeant, représentant et servant les inté-rêts des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. Elle a pour mission essentielle de col-lecter les droits d’auteur et de les redistribuer en France et dans le monde entier.

Cette mission est fondamentale pour pé-renniser la création et le fonctionnement de la filière musicale. Son champ d’action est large  : du spectacle vivant à la consommation indivi-duelle, la Sacem œuvre pour diffuser la musique dans le respect des artistes et de leur création.

Dynamique, elle est à l’écoute de l’actua-lité et de l’environnement musical national et international. Son répertoire est large et diver-sifié, et est constitué d’une société d’auteurs sans frontières avec 37 millions d'oeuvres du répertoire mondial représentées  :

— Les œuvres musicales avec ou sans paroles, variété, jazz, rock, rap, techno, zouk, reggae, musique symphonique, électroacoustique, tra-ditionnelle, du monde— Les musiques de film, d’œuvres audiovi-suelles et de publicité— les poèmes, les sketches— Les réalisations audiovisuelles traitant d’un sujet à caractère exclusivement musical ou celles s’appliquant aux œuvres du répertoire de la Sacem (vidéo-clips...)— Les extraits d’œuvres dramatiques et drama-tico-musicales d’une durée inférieure à 20 minutes pour la télévision et 25 minutes pour la radio— Les textes de doublages et sous-titrages de films et téléfilms— Les œuvres étrangères représentées en France par les accords de réciprocité ou par les éditeurs.The Sacem is a not-for-profit civil partnership managed by music creators and publishers. It encourages musical creation by protecting, re-presenting and acting in the interests of authors, composers and music publishers. Its purpose is essentially to collect royalties and redistribute them in France and throughout the world.This purpose is fundamental to perpetuate the creation and functioning of the music industry.

It has a broad scope of action: from live enter-tainment to individual consumption, the Sacem works to disseminate music while respecting the artists and their creation.It is a dynamic entity keeping abreast of the current national and international music trends and environment. It has a broad and diversified repertoire and as such constitutes an authors’ society without borders in which 37 million works from the worldwide repertoire are repre-sented:— Musical works with or without lyrics, variety, jazz, rock, rap, techno, zouk, reggae, symphonic, electroacoustic, traditional music, music from all over the world— Music films, audiovisual works and advertising— Poems, sketches— Audiovisual productions with an exclusively musical subject or applying to works in the Sa-cem repertoire (video clips, etc.)— Extracts from dramas and musical dramas having a duration of less than 20 minutes for television and less than 25 minutes for radio— Dubbing and subtitle texts for films and made-for-TV films— Foreign works performed in France by reci-procity agreements or by the publishers

LES PARTENAIRES PUBLICSLES PARTENAIRES PUBLICS

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Sisgwa CGTG - Cinéma Spectacle Audiovisuel Gwadloup4, cité artisanale de Bergevin97110 Pointe à Pitre

Ce syndicat tend à regrouper toute per-sonne domiciliée en Guadeloupe, en posses-sion d’un bulletin de salaire du spectacle, et employé de manière intermittente, qu’il ouvre des droits à l’Assedic ou non. Il concerne éga-lement ceux qui souhaitent en faire l’acquisi-tion et qui exercent un de ces métiers. Il a pour objectif de participer à la structuration de la profession.

Membership of this association is open to any person domiciled in Guadeloupe who has a pay slip as a salaried employee in the enter-tainment industry and who is employed inter-mittently, whether or not the person is entitled to unemployment benefits from the Assedic. Its members can also be people wanting to obtain such benefits and who perform one of those professions. Its objective is to participate in structuring the profession.

C Nou Menm - L’œil du MokoyombiT : +590 (0)5 90 84 25 65T : +590 (0)6 90 50 55 [email protected]

Structuré en association loi 1901 depuis 2004, C NOU MENM est un collectif de profes-sionnels de l'image et du son qui se positionne comme un espace de recherche et de création artistique.

Structured as an association governed by the 1901 law since 2004, C NOU MENM is a col-lective of image and sound professionals which is positioned as a area for artistic research and creation.

GPOS - Groupement des Producteurs et Organisateurs de SpectaclesGPOS (Grouping of Producers and Organizers of Entertainment)imm. grand tourisme creolezone de frêt de l’ancienne aérogare du Raizet 97139 Les Abymes T : +590 (0)6 90 59 12 26 F : +590 (0)5 90 26 46 [email protected]

Le GPOS (Groupement des Producteurs et Organisateurs de spectacles – Guadeloupe) est composé d’entrepreneurs du spectacle vivant de droit privé dont les métiers relèvent de li-cences d’entrepreneurs de spectacles.

The members of the GPOS, a private entity, are promoters of live entertainment whose pro-fessions requires them to hold a license as a pro-moter of live entertainment.

APCAG – Association pour le développement du Cinéma d’art et d’essai en GuadeloupeAPCAG (Association for the Development of Art House Films in Guadeloupe)imm. Stab Gouyer - 7, rue Ferdinand ForestZI. de Jarry - 97122 Baie-Mahaultguadeloupe fwiT : +590 (0)5 90 38 40 02F : +590 (0)5 90 38 60 [email protected] / www.apcag-cinema.com

L'APCAG s’est engagée dans la mise en place d’un réseau de promotion et de distribu-tion de films d’art et d’essai, de films du Sud et tout particulièrement de films de la Caraïbe. Elle entend ainsi contribuer à la diversité culturelle locale et au renforcement du lien social en Gua-deloupe. L’APCAG est membre de L’AFCAE (Asso-ciation Française des Cinémas d’Art & d’Essai).

The APCAG is involved in setting up a network to promote and distribute art house films, films from the South and quite particu-larly films from the Caribbean. It intends in this way to contribute to local cultural diversity and strengthening social connections in Gua-deloupe. The APCAG is a member of the AFCAE (French Art House Film Association).

APCIAGL’APCIAG (Association des producteurs de

cinéma et d’audiovisuel de Guadeloupe) est une association regroupant 17 producteurs de cinéma et d’audiovisuel.

L’APCIAG participe activement au déve-loppement de la création cinématographique et audiovisuelle en Guadeloupe et dans l’en-semble de la région.

The APCIAG (Guadeloupe Association of Ci-nema and Audiovisual Producers) is an associa-tion whose members are 17 cinema and audio-visual producers.

The APCIAG participates actively in deve-loping cinema and audiovisual creation in Gua-deloupe and in the region as a whole.

Ciné WouléCesaire Jean-Marc 72d zone d’activité le Pérou Petit Pérou - 97139 Abymes T : +590 (0)5 90 21 37 99F : +590 (0)5 90 21 42 73 [email protected]

L’association Ciné Woulé, dont la devise « Si tu ne vas pas au cinéma, le cinéma viendra à toi ! » reflète le concept de cinéma itinérant, œuvre depuis 8 ans, à travers différents dispo-sitifs nationaux ou locaux (« cinéville », « École et cinéma », réseaux ciné-club, festival de courts métrages...) dans le domaine de la diffu-sion cinématographique.

LThe association Ciné Woulé, whose motto is “If you don’t go to the cinema, the cinema will come to you!” and an example of the concept of the mobile cinema, has been working in cinema distribution for the last eight years via several national or local projects (“cinéville”, “school and cinema”, cine club networks, short film fes-tivals).

LES PARTENAIRES PRIVÉSTHE PRIVATE PARTNERS

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Tournage Cœur Chamallow

K. De Kermadec (crédit photo : G.Schwarb)

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LamentinLuc Saint-Eloy Astrid Siwsanker

Morne-à-L’eauMarie-Noëlle Eusèbe

Le MouleDjedje Apali Barbara Keller

Petit-BourgGérard Lefort

Pointe-à-PitreRodolphe Dardol Karine Pedurand Jessy Schuster

Sainte-AnneIsabelle Kancel Isabelle Lopes

Saint-ClaudeDorothée Dulys

Saint-EspritDaniely Francisque

Saint-FrancoisGaspard-Dit-Y-Man Arendel Laurence Joseph

Sainte-RoseTiberge Tiberge Olivier Van Helden

Trois-RivieresPierre Le Bras

Vieux-HabitantsMagali Solignat

LE RÉPERTOIRE DES TECHNICIENS LOCAUXDIRECTORY OF LOCAL TECHNICIANS

SCÉNARIOSCREENPLAY

AbymesEléonore Ettewiller

Baie-MahaultJocelyne Beaumont Didier Legros

DeshaiesRichard Kancel

Fort-de-FranceOlivier Baudot Montézume GourbeyreCédric Budon

Le GosierClément Ndzana

Les Anses D’arletEugénie Gressier

Petit-CanalChristophe Tafial

Pointe-à-PitreJessy Schuster Welsia Forstin

Saint-ClaudeSteffie Gilles

Sainte-RoseTiberge Tiberge Terry Jean

SchoëlcherRoland Brival

PRODUCTIONPRODUCTION

AbymesJeff Fidelin (dir. de prod.)Royan Loïc (assistant de prod.)Wilfried Nice (comptable de prod.)

LE CASTING LOCALLOCAL CASTING

AbymesFrancine Baltus Marie-Andrée Basile Fleurtide Basses Yanis Cilirie Maurice Debranche Lucile Kancel Ude Nabajoth Boulère Pascal

Anse-BertrandPatrick Laug Mishino

Anses D’arlet - MartiniqueCharlotte Gressier

Baie-MahaultVarenthia Antoine Auriana Annonay Marga Anzala

chapitre 7 : Répertoires et outils

chapitre 7 : Directory and tools

Emmanuel Binga Montserrat Boy-Castay Charles Gluck Raquel Jouanneau Charles Reimonenq

BouillanteSophie Berger Guy Echevin

Fort-de-FranceGloriah Bonheur

Le GosierChristian Augustin Paola Gabriel Gunther Germain Pedro Izquierdo Vicky Jean-Louis Carole Lolia-Zami Josette Martial Jean-Michel Martial

Baie-MahaultJocelyne Beaumont (assistant de prod)Amandine Grange (assistant de prod, secrétaire de prod)

DeshaiesRenaud Mathieu (dir. de prod)

LamentinChelda Nessal (dir. de prod, assistant de prod., secrétaire de prod)

Dimitry Zandronis (assistant de prod)Astrid Siwsanker (dir. de prod.)

Le GosierMarlene Charles-Nicolas (comptable de prod., administrateur de prod.)

Véronique Delort (assistant de prod., secrétaire de prod.)Carole Ghouini (assistant de prod.)Daity Lauriette Gaydu (assistant de prod.)

Le MouleDaniel Symphorien (assistant de prod.)Sandrine Tresor (dir. de prod.)

Petit-BourgAurélie Fabre (assistant de prod., dir. de prod.)Laurent Barlagne (dir. de prod.)Anaïck Calif (assistant de prod.)Gennike Mayers (assistant de prod.)

Pointe-à-PitreJessy Schuster (dir. de prod., assistant de prod.)

Pour plus d’informations : www.guadeloupefilm.com Merci de prendre contact avec le Bureau d’Accueil des Tournages pour recevoir les coordonnées souhaitées. T : +590 (0)5 90 80 41 [email protected]

For further details (and the bilingual lexicon) : www.guadeloupefilm.com Please contact the Film Reception and Resource Office (B.A.T.) to obtain the details you are looking for.T : +590 (0)5 90 80 41 [email protected]

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MISE EN SCÈNEFILM DIRECTION

AbymesAxel Lafleur (assistant réal. adjoint, chargé de file figuration, chef de file, 1er assistant réal.)Katia Palmier (scripte)Samuel Tanda (réal.)

Baie-MahaultRaquel Jouanneau (réal.)Didier Legros (assistant réal. adjoint, assistant casting, chargé de file figuration, chef de file)Sandrine Alexis (scripte)Amandine Grange (1er assistant réal., assistant réal. adjoint, assistant casting)Aminata Touré (assistant réal. adjoint, repéreur de décors)

Basse-TerreGigi Béreaud (2nd assistant réal.)Aurielle Tchetchenigbo (2nd assistant réal.)

FerryOlivier Kancel (réal.)

Fort-de-FranceTeddy Albert (1er assistant réal., 2nd assistant réal. / assistant réal. adjoint)

Le GosierErick Alexis-Michaux (réal.)Valérie Parratte (dir. de casting)

GourbeyreÉlodie Hilaire (assistant réal. adjoint, assistant scripte adjoint, 2nd assistant réal.)

LamentinDimitry Zandronis (réal.)

Le GosierFrank Bruggemann (assistant réal. adjoint)Audrey Dilant (réal.)Carole Ghouini (assistant réal. adjoint)Clément Ndzana (réal.)Anne Trinquelle (2nd assistant réal.)

Les Anses D’arletEugénie Gressier (scripte)

ManaCarolina Patrigeon (1er assistant réal., 2nd assistant réal., scripte)

Petit-BourgAurélie Fabre (scripte, 1er assistant réal.)Abel Bichara (réal., 1er assistant réal., 2nd assistant réal.)Bruno Peruch (réal.)

Petit-CanalPierre Dahomay (1er assistant réal., 2nd assistant réal., réal.)

Pointe-à-PitreClaude Jean-Charles (1er assistant réal., 2nd assistant réal.)

Port-LouisFabrice Pierre (réal.)

Remire MontjolyCarla Evans (1er assistant réal.)

Saint-FrancoisJen Dabancens (assistant scripte adjoint, 2nd assistant réal., chargé de file figuration, chef de file)Frédéric Foret (réal., 1er assistant réal., 2nd assistant réal.)

Saint-ClaudeSteffie Gilles (2nd assistant réal.)

Sainte-AnneSarah Minchin (assistant scripte adjoint, assistant réal. adjoint, scripte)Indy Simion (2nd assistant réal.)

Sainte-RoseMaud Bandou Hostache (repéreur de décors)

SchoelcherBénédicte Clariget (chargé de file figuration, chef de file, dir. de casting, assistant casting)Yohann Guglielmetti (réal.)

Vieux-HabitantsDoumey Durieux (repéreur de décors)

DÉCORATION / CONSTRUCTIONDECORATION / CONSTRUCTION

AbymesJean-Michel Rilcy (accessoiriste plateau, constructeur, assistant décorateur adjoint)

Aidia Songeons (assistant décorateur adjoint, 1er assistant décorateur)Yannick Titeca Beauport (assistant décorateur adjoint, peintre, accessoiriste meublage)

Baie-MahaultSébastien Muller (2nd assistant décorateur, accessoiriste plateau, 1er assistant décorateur)Luidji Cadignan (assistant décorateur, accessoiriste)

BouillanteJean Nanga (régisseur d'extérieur, accessoiriste meublage, 1er assistant décorateur)

Capesterre-Belle-EauAgnes Dahan (assistant décorateur, maquettiste)

Fort-de-FranceFabienne Lalaus (peintre, tapissier, sculpteur)

GourbeyreTatiana Smadja (peintre, ensemblier)

Le GosierJean-Baptiste Potier (assistant décorateur adjoint, constructeur)

MarinStéphane Rouch (menuisier traceur)

Morne-à-L’eauDaphné Girault (ensemblier, accessoiriste meublage, peintre)

Pointe-à-PitreCharles Rousseau (maquettiste)Karine Dumabin (régisseur d'extérieur)

Remire MontjolyCarla Evans (assistant décorateur, ensemblier, accessoiriste meublage)

RobertJimmy Gotal (1er assistant décorateur)

Saint-MartinEvry Gibelin (chef décorateur, accessoiriste plateau,1er assistant décorateur)

Sainte-AnneRomain Herve (1er assistant décorateur, assistant décorateur adjoint, constructeur)

Sainte-RoseMaud Bandou Hostache (chef décorateur)Olivier Van Helden (maquettiste)

Vieux-HabitantsDoumey Durieux (régisseur d'exterieur)

RÉGIELOGISTICS

AbymesThierry Basses (régisseur général, régisseur adjoint, assistant régisseur adjoint)Alain-Olivier Foggea (assistant régisseur adjoint)Axel Lafleur (assistant régisseur adjoint, chauffeur de prod.)Philippe Larochelle (chauffeur de prod., repéreur de décors)Royan Loïc (assistant régisseur adjoint)

Yohan Maurin (régisseur adjoint)Laurent Mavounzi (assistant régisseur adjoint)Ude Nabajoth (régisseur général, régisseur adjoint, repéreur de décors)Wilfried Nice (chauffeur de prod.)Jean-Michel Rilcy (régisseur adjoint, chauffeur de prod., assistant régisseur adjoint)Yannick Titeca Beauport (repéreur de décors)

Baie-MahaultIsabelle Bonhomme (chauffeur de prod.)Raquel Jouanneau(régisseur général)Sébastien Muller (régisseur adjoint, assistant régisseur adjoint, chauffeur de prod.)Luidji Cadignan (assistant régisseur adjoint, repéreur de décors)Charles Gluck (assistant régisseur adjoint)Rudy Rabau (assistant régisseur adjoint, chauffeur de prod.)Aminata Touré (repéreur de décors)

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Basse-TerreGigi Béreaud (assistant régisseur adjoint)

BouillanteJean Nanga (repéreur de décors, régisseur général, chauffeur de prod.)

Capesterre-Belle-EauSophie Louisir (chauffeur de prod., assistant régisseur adjoint)

Case PiloteMarie-Yolande Richard Vachat (assistant régisseur adjoint)

DeshaiesManuel Naime (chauffeur de prod., repéreur de décors, assistant régisseur adjoint)

GourbeyreÉlodie Hilaire (assistant régisseur adjoint)

Le GosierMatthieu Boulmier - Lecalez (régisseur général, régisseur adjoint, repéreur de décors)Frank Bruggemann (régisseur adjoint)

Anne Trinquelle (régisseur adjoint, repéreur de décors, chauffeur de prod.)Hélène Valenzuela (repéreur de décors)

Le MouleDaniel Symphorien (régisseur général)

MarinStéphane Rouch (assistant régisseur adjoint)

Petit-BourgMahery Rakotoarivony (assistant régisseur adjoint, chauffeur de prod)Caroline Vaughan (assistant régisseur adjoint)

Pointe-à-PitreKarine Dumabin (régisseur adjoint)

Saint-FrancoisAlexis Oros (assistant régisseur adjoint, chauffeur de prod.)

Saint-MartinEvry Gibelin (régisseur général, régisseur adjoint)

Sainte-RoseJoseph Galan (assistant régisseur adjoint)

MACHINERIEGRIP

Baie-MahaultRudy Rabau

Le GosierJean-Baptiste Potier

Petit-BourgMarius Ronssin

Saint-FrancoisAlexis Oros

Sainte-RoseJoseph Galan

Sainte-AnneZoran Pierelli

SchoelcherHerve Lezin Eddy Surena

Vieux-FortFrédérick Grain

SONSOUND

AbymesRonald Barrière (chef opérateur son, ingénieur du son, 1er assistant son, monteur son)David Datil (chef opérateur son, ingénieur du son)Ude Nabajoth (chef opérateur son, ingénieur du son, compositeur, mixeur)

Baie-MahaultIsabelle Bonhomme (compositeur, monteur son, 1er assistant son)

BouillanteGuy Echevin (compositeur)Claude Wattier (chef opérateur son, ingénieur du son, illustrateur sonore, mixeur)

GourbeyreCédric Budon (mixeur, compositeur)

Morne-à-L’eauLudovic Sadjan (perchman, 1er assistant son, mixeur)

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JANVIER / JANUARY FÉVRIER / FEBRUARY MARS / MARCH JANVIER / JANUARY FÉVRIER / FEBRUARY MARS / MARCH

AVRIL / APRIL MAI / MAY JUIN / JUNE AVRIL / APRIL MAI / MAY JUIN / JUNE

JUILLET / JULY AOÛT / AUGUST STEP. / SEPTEMBER JUILLET / JULY AOÛT / AUGUST STEP. / SEPTEMBER

OCTOBRE / OCTOBER NOV. / NOVEMBER DÉC. / DECEMBER OCTOBRE / OCTOBER NOV. / NOVEMBER DÉC. / DECEMBER

Vacances scolaires et jours fériés de la Guadeloupe 2013Guadeloupe 2013 school vacations and public holidays

Vacances scolaires et jours fériés de la Guadeloupe 2014Guadeloupe 2014 school vacations and public holidays

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Petit-CanalChristophe Tafial (1er assistant son, monteur son, perchman)

Pointe-NoireLaury Coesy (perchman, monteur son)

Sainte-LuceLorena Lebigot (1er assistant son, perchman)

SchoelcherYohann Guglielmetti (compositeur)

Vieux-FortJulien Lachaud (perchman)

IMAGEIMAGE

AbymesJean-Yves Adelo (cadreur, opérateur spécialisé)Murielle Anne-Robertine (photographe de plateau)Jeff Fidelin (opérateur spécialisé)Andy Nelsom (cadreur, steadycamer, directeur de la photographie)

Baie-MahaultStephane Walczak (cadreur, 2nd assistant opérateur)Julien Durand(photographe de plateau)Karl Trebla (cadreur)

BouillanteStéphane Abenaqui (1er assistant opérateur)

Capesterre-Belle-EauAgnès Dahan (photographe de plateau)

Fort-de-FranceTeddy Albert (cadreur, steadycamer, technicien vidéo)Olivier Baudot Montézume (cadreur)

Le GosierAudrey Dilant (dir. de la photographie)Nicolas Lesueur (2nd assistant opérateur)Frédéric Rancé (cadreur)Laurent Thorin (cadreur)Hélène Valenzuela (photographe de plateau, 1er assistant opérateur)

Le MoulePhilippe Virapin (photographe de plateau)

Les Trois IletsAlexandre Ferrini (1er assistant opérateur, dir. de la photographie, 2nd assistant opérateur)

Morne-à-L’eauAvner David (technicien vidéo, cadreur)

Petit-BourgChristophe-André-Roger Malinur (cadreur, 1er assistant opérateur, technicien vidéo)Abel Bichara (cadreur)Bruno Peruch (cadreur)

Pointe-à-PitreAxel Dragin (cadreur, 2nd assistant opérateur)Charles Rousseau (photographe de plateau)Catherine-Lydie Francius (2nd assistant opérateur, assistant opv adjoint, photographe de plateau)Claude Jean-Charles (cadreur)

Port-LouisFabrice Pierre (cadreur, photographe de plateau)

RobertJimmy Gotal (cadreur)

Sainte-AnneJerry Pradon (2nd assistant opérateur, assistant opv adjoint)

Sainte-RoseOlivier Van Helden (opérateur spécialisé, technicien vidéo)

Saint-FrancoisEric Corbel (photographe de plateau)Herve Lezin (cadreur, technicien vidéo, 1er assistant opérateur)

Trois RivieresLynda d'Alexis (1er assistant opérateur, 2nd assistant opérateur, assistant opv adjoint)

MONTAGE IMAGEFILM EDITING

AbymesJean-Yves Adelo (chef monteur, monteur)Samuel Tanda (monteur, assistant monteur)Aurielle Tchetchenigbo (monteur / assistant monteur)

Baie-MahaultStephane Walczak (monteur, assistant monteur)Sandrine Alexis (monteur)

BouillanteStéphane Abenaqui (monteur, assistant monteur)

Le GosierFrédéric Rancé (monteur, chef monteur, assistant monteur)Laurent Thorin (monteur)

Le MouleSandrine Tresor (chef monteur)

ManaCarolina Patrigeon (assistant monteur)

Morne-à-L’eauAvner David (assistant monteur)

Petit-BourgLaurent Barlagne (chef monteur)

Pointe-à-PitreAxel Dragin (assistant monteur)Catherine-Lydie Francius (monteur, assistant monteur, tonteur truquiste)

Sainte-LuceLorena Lebigot (monteur)

Sainte-RoseCorinne Elin (assistant monteur)

MAQUILLAGEMAKE-UP

GoyaveLaurence Dulac

LamentinKarine Gatibelza

Le MouleFlavienne Mabea

Saint-FrancoisCorinne Bisso

COSTUME – HABILLAGECOSTUMES – WARDROBE

AbymesNaike Lafleur (habilleur)

Case PiloteMarie-Yolande Richard Vachat (habilleur, costumier, styliste)

Fort-de-FranceFabienne Lalaus (costumier, styliste, habilleur)

LamentinAstrid Siwsanker (chef costumier, créateur de costume)

Le MouleHelene Behar (costumier, styliste, habilleur, chef costumier, créateur de costume)Flavienne Mabea (habilleur)

Saint-FrancoisAidia Songeons (habilleur, costumier, styliste)Jade Page (Habilleur)

COIFFUREHAIR-DRESSING

LamentinKarine Gatibelza

Saint-FrancoisCorinne17 Bisso

CASCADEURSTUNT

Vieux-HabitantsFabrice Dufour

TECHNICIENS ÉLECTRICITÉBEST BOYS / GAFFER

AbymesAlain-Olivier Foggea Karine Gama Philippe LarochelleAndy Nelsom Baie-MahaultKarl Trebla

DeshaiesManuel Naime

Morne-à-l’EauJean-Pierre Garbin

Petit-BourgMarius Ronssin

Vieux-FortFrédérick Grain

TECHNICIENS DIVERS OTHER TECHNICIANS

AbymesYohan Maurin (cuisinier)

Trois RivieresMikael Poullet (projectionniste)Lynda d'Alexis (projectionniste)

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CODE APE 5911BPRODUCTION DE FILMS INSTITUTIONNELS ET PUBLICITAIRESAPE CODE 5911BPRODUCTION OF INSTITUTIONAL AND ADVERTISING FILMS

AbymesRégie latine de publicité et de communication +590 (0)5 90 97 43 49Wistid Production +590 (0)5 90 22 47 90

Baie-MahaultVideolab memories +590 (0)5 90 94 86 02Hyperbole Production +590 (0)6 90 32 52 38Luancom +590 (0)6 90 74 31 44Bgt prod +590 (0)6 90 92 48 392Kpixel +590 (0)6 90 30 40 95

Basse-TerreVision Caraibes T : +590 (0)6 90 33 95 53

LES PRODUCTEURSPRODUCERS

CODE APE 5911APRODUCTION DE PROGRAMMES AUDIOVISUELSAPE CODE 5911APRODUCTION OF AUDIOVISUAL PROGRAMS

AbymesInside T : +590 (0)6 90 46 57 96Mizikzone T : +590 (0)6 90 31 93 10

Baie-MahaultSociete Exterieur Jour T : +590 (0)5 90 95 78 65 Eurl Oasis T : +590 (0)5 90 26 73 03 Canal 10 T : +590 (0)5 90 26 73 03Nuage Production T : +590 (0)5 90 38 30 74 Latitude 21 T : +590 (0)5 90 41 41 42

West-Indies Production et Communiction MultimediaT : +590 (0)5 90 38 27 89 Skyprod T : +590 (0)5 90 92 40 21 Karayb T : +590 (0)5 90 26 61 44 Fautra Marketing Company T : +590 (0)5 90 90 38 77 Prod Facile T : +590 (0)6 90 82 48 02 Toi Moi & Nous T : +590 (0)6 90 56 71 05 Good Morning Productions T : +590 (0) 5 90 94 19 79

BouillanteK.O- Prod + 590 (0)6 90 19 02 35Walprod +590 (0)5 90 98 18 54

Capesterre-Belle-EauThriygh my vision Prod +590 (0)5 90 86 87 46

DeshaiesAtlantique Productions +590 (0)6 30 55 21 52

GourbeyreSarl News TV +590 (0)6 90 56 15 42

Le GosierImatechnologie T : +590 (0)6 90 50 12 70Art & Vision Productions T : +590 (0)6 90 55 94 26

Le MouleRiddim ProductionT : +590 (0)5 90 25 26 69Madras Fm Television T : +590 (0)6 90 35 05 51

Petit-BourgKd Club Tv T : +590 (0)6 90 68 08 11

Pointe-à-PitreEye & Eye Production T : +590 (0)6 90 67 87 88

Saint-FrancoisBca CommunicationT : +590 (0)5 90 26 90 88Karudreams T : +590 (0)5 90 82 73 12

Saint-AnneNeoprod steT : +590 (0)5 90 88 30 23Nicolas T : +590 (0)5 90 24 22 14

Trois RivieresRektangle Production +590 (0)5 90 03 20 57

Le GosierSociété de Communication Informatique et multimedia +590 (0)6 90 82 48 02

Petit-BourgSolo +590 (0) 5 90 94 89 48Corval Productions +590 (0)5 90 38 71 80

Pointe-à-PitreDebar and Co +590 (0)5 90 26 70 27Tan k faire plus +590 (0)6 90 35 40 95

Saint-FrancoisDipa Prod +590 (0)6 90 64 55 99

CODE APE 5911CPRODUCTION DE FILMS POUR LE CINÉMAAPE CODE 5911CPRODUCTION OF FILMS FOR THE CINEMA

Baie-MahaultWaka Film International +590 (0)6 90 65 06 23Visual Sante +590 (0)5 90 86 01 55

Le MouleLes Films Du Racoon +590 (0)6 90 76 34 29

Pointe-à-PitreGood Mood Generation Studios +590 (0)6 90 33 55 03

Saint-AnneSyncroteam +590 (0)5 90 22 99 63

CODE APE 5912ZPRESTATIONS DE SERVICES POST PRODUCTION AUDIOVISUELSAPE CODE 5912ZPOST-PRODUCTION AUDIOVISUAL SERVICES

Basse-TerreConcept-X T : +590 (0)6 90 90 18 87

Petit-BourgBdg Consulting +590 (0)5 90 26 76 52

Saint-FrancoisImage et Son +590 (0)6 90 35 03 31

CODE APE 5920Z ENREGISTREMENT SONORE ET ÉDITION MUSICALE APE CODE 5920ZSOUND RECORDING AND MUSIC PUBLISHING

AbymesGdb Industrie +590 (0)5 90 82 85 94Laocoon Prod +590 (0)6 63 03 64 04

Anse-BertrandLittle Prod +590 (0)6 90 61 75 46Sarl Alpha Prim +590 (0)6 90 76 97 57

Baie-MahaultKickilla Records +590 (0)6 90 21 22 90Kcop Agency +590 (0)6 90 30 30 26Player One +590 (0) 6 90 48 48 29Win medias plus +590 (0)5 90 94 19 79Madosino +590 (0)6 90 74 30 03

Pour plus d’informations : www.guadeloupefilm.com Merci de prendre contact avec le Bureau d’Accueil des Tournages pour recevoir les coordonnées souhaitées. T : +590 (0)5 90 80 41 [email protected]

For further details (and the bilingual lexicon) : www.guadeloupefilm.com Please contact the Film Reception and Resource Office (B.A.T.) to obtain the details you are looking for.T : +590 (0)5 90 80 41 [email protected]

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GourbeyreImperial Production +590 (0)6 90 57 12 10

LamentinRamses Duke Production +590 (0)6 90 41 20 48

Le GosierBelplace Music +590 (0)5 90 84 59 78Skysayah +590 (0)6 96 07 58 60

Morne-à-l’EauThird way +590 (0)590 24 26 26

Petit-BourgGhl PUblishing +590 (0)5 90 03 63 14

Pointe-à-PitreDisques debs +590 (0)5 90 82 07 06Step out Productions +590 (0)6 90 37 12 65West Music +590 (0)5 90 91 43 56West Indies Avenue +590 (0)6 90 71 34 18

Saint-AnneNetty prod +590 (0)5 90 95 23 07Clean Musik Productions +590 (0)6 90 83 79 21

Saint-FrancoisSociété E-Streetz Corp +590 (0)5 90 68 51 12Kit Music Caraibes +590 (0) 6 90 20 45 90Rd Editions +590 (0)6 90 99 45 24

CODE APE 6010ZÉDITION ET DIFFUSION DE PROGRAMMES RADIOAPE CODE 6010ZPUBLISHING AND BROADCASTING OF RADIO PROGRAMS

AbymesNord Communication T : +590 (0)5 90 83 96 96Zouk Communication T : +590 (0)5 96 50 70 13

Baie-MahaultRadio Bis-Trace Fm T : +590 (0)26 74 74T : +590 (0)32 07 98

Compagnie Guadeloupéenne de Radiodiffusion T : +590 (0)6 90 63 51 53

Pointe-à-PitreRadio Culture Zouk T : +590 (0)6 90 35 97 93

CODE 6020AÉDITION DE CHAINES GÉNÉRALISTESCODE 6020APRODUCTION OF GENERAL CHANNELS

Baie-MahaultFrance Télévisions T : +590 (0)5 90 60 96 96Réseau France Outre-MerT : +590 (0)90 60 96 10Guadeloupe Télévision T : +590 (0)90 41 37 82

Pointe-à-PitrePierin Production Communication T : +590 (0)5 90 26 26 24

CODE 9001ZARTS ET SPECTACLE VIVANTCODE 9001ZARTS AND LIVE ENTERTAINMENT

AbymesAgence Karicom +590 (0)5 90 82 52 55Moue’Zart +590 (0)5 90 90 33 80Agence Caribéenne de développement artistique +590 (0)5 90 93 20 36Gwada’ Musique +590 (0)6 90 59 12 26

Anse-BertrandEspace l’Esthephano +590 (0)5 90 24 15 86

Baie-MahaultKreol Karaoke +590 (0)5 90 32 44 12Alizes Publishing +590 (0)5 90 94 22 09Sl concept +590 (0)6 90 57 61 28

L’extérieur +590 (0)6 90 63 13 31Terre de fête +590 (0)5 90 99 48 70

Perspectives Guadeloupe +590 (0)5 90 38 41 05Mozaik Kreyol +590 (0)6 90 39 93 25

Basse-TerreSunlight T : +590 (0)5 90 80 22 58Prestacle T : +590 (0)5 90 32 26 19

LamentinFregat’s Production +590 (0)5 90 25 99 72

Le GosierAlex Matos Animation +590 (0)6 90 31 91 12Carré noir and co +590 (0)6 90 64 19 58Idscent Caraibes +590 (0)6 90 32 34 66

Petit-BourgVirtus Production +590 (0)5 90 26 86 19Anyway organization + 590 (0)6 90 54 22 42

Pointe-à-PitreGroupe Mamina +590 (0)6 90 54 21 08

Culture Communication Evénement commerce +590 (0)6 90 64 14 45Siwo.com +590 (0)5 90 20 29 84Up Production +590 (0)6 90 61 76 67

Saint-AnneV’Ro on M +590 (0)6 90 86 10 03

Saint-FrancoisSport’s Eco Culture Art et Show biz +590 (0)5 90 88 65 31Realprod +590 (0)5 90 92 83 16Mks Agency +590 (0)6 90 42 01 62

CODE 9002Z - ACTIVITÉS DE SOUTIEN AU SPECTACLE VIVANTCODE 9002Z – SUPPORT ACTIVITIES FOR LIVE ENTERTAINMENT

AbymesJP Show +590 (0)5 90 91 23 61Saros +590 (0)6 90 32 34 77

Baie-MahaultGhl Music et Arts +590 (0)5 90 94 56 76Des Arts en lumière +590 (0)6 90 95 71 57RpGwada +590 (0)6 90 59 12 26Griffith’s Production +590 (0)6 90 25 26 88Focus +590 (0)6 90 35 05 30Deux LL Prod +590 (0)6 90 75 01 95

Capesterre-Belle-EauHrg Sonocom +590 (0)6 90 75 85 65

GourbeyreAbo’son +590 (0)5 90 03 52 11

LamentinGwadenmizik +590 (0)5 90 83 77 29

Le GosierRed Prod +590 (0)6 90 56 28 83

Le MouleMagic Events +590 (0)6 90 84 77 46

Morne-à-l’EauCorail Music +590 (0)5 90 214 55 73Grip on zik +590 (0)6 90 65 93 12

Saint-ClaudeMouvan’s Services cinq étoiles +590 (0)6 90 57 44 54Skz Consulting event’s +590 (0)6 90 72 53 17Sono System plus +590 (0)6 90 36 95 36

Petit-BourgWorld Mouv’ +590 (0)5 90 32 67 46

Pointe-à-PitreParfum d’aventure +590 (0)5 90 88 47 62

Sainte-RoseCaraibes Install’ +590 (0)6 90 80 26 52

Saint-FrancoisQ.E.R+ +590 (0)6 90 63 34 25Caribbean kit Music +590 (0)6 90 19 79 24

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LES HÔTELSHOTELS

Deshaies Caraïbes Bonheur ****À partir de 84 € T : +590 (0)1 57 32 35 66 Domaine de la Pointe Batterie ***À partir de 146 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Tainos Cottages À partir de 99 € T : +590 (0)1 57 32 38 91 Bord de mer À partir de 234 € T : +590 (0)1 57 32 38 91

Le GosierLa Creole Beach Hôtel & Spa ****À partir de 185 € T : +590 (0)1 57 32 35 66 Karaibes Hotel **À partir de 70 € T : +590 (0)1 57 32 35 66

Canella Beach Hotel À partir de 103 € T : +590 (0)1 57 32 35 66 Auberge de la Vieille Tour ****À partir de 279 € T : +590 (0)1 57 32 35 66Residence Turquoise À partir de 162 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Hôtel Résidence & Spa ***À partir de 88 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Karibea Beach Resort ***À partir de 50 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Cap Sud Caraibes Hotel À partir de 68 € T : +590 (0)1 57 32 38 91

Pointe-à-Pitre Saint John Perse **À partir de 84 € T : +590 (0)1 57 32 35 66

Pointe NoireKotésiÀ partir de 201 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Hotel Eden Palm ****À partir de 115 €T : +590 (0)1 57 32 38 91

Sainte-AnneLe Rotabas **À partir de 82 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Hotel le Diwali ***À partir de 120 € T : +590 (0)1 57 32 38 91 Le Grand Large **T : +590 (0)1 57 32 38 91 La Toubana Hôtel & Spa ****À partir de 331 € T : +590 (0)1 57 32 35 66

Sainte-Rose Habitation du Comte ***T : +590 (0)1 57 32 38 91

Saint-François Résidence Le VallonÀ partir de 237 € T : +590 (0)1 57 32 38 91La Cocoteraie ****À partir de 166 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Hotel Residence Golf Village ***À partir de 214 €T : +590 (0)1 57 32 38 91La Plantation Resort & Spa À partir de 194 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Bwa Chik Hotel & Golf ***À partir de 152 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Village de Bragelogne ***À partir de 65 € T : +590 (0)1 57 32 38 91Les Boucaniers ***T : +590 (0)1 57 32 38 91 Hotel La Metisse ***À partir de 159 € T : +590 (0)1 57 32 38 91

chapitre 8 : Informations pratiques

chapter 8:Practical information

Villa MagaMare-GaillardT : +590 (0)6 90 56 15 66

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LOCATIONS DE VÉHICULESCAR RENTAL

AbymesSpeed locationT : +590 (0)5 90 85 26 72Roulinos ExpressT : +590 (0)5 90 20 14 02Oasis locationT : +590 (0)6 90 38 45 35Atlantis locationT : +590 (0)5 90 21 48 18Budon locationT : +590 (0)5 90 20 15 51Car SystèmeT : +590 (0)5 90 88 98 27Karukera carT : +590 (0)5 90 21 13 79MagalocT : +590 (0)5 90 89 90 59ManijeanT : +590 (0)5 90 83 72 25SixtT : +590 (0)5 90 21 13 44 SkyT : +590 (0)6 90 12 57 66Société Guadeloupéenne de LocationT : +590 (0)5 90 83 40 16SoltourT : +590 (0)5 90 21 13 77

Speed locationT : +590 (0)5 90 85 26 72Tandem LocationT : +590 (0)5 90 93 70 86AutoparadizeT : +590 (0)5 90 20 87 67BamylocT : +590 (0)5 90 91 55 66Budget AntillesT : +590 (0)5 90 21 46 57Cara LocationT : +590 (0)5 90 21 13 62Caraibes EvasionT : +590 (0)5 90 90 38 71Guadeloupe CarT : +590 (0)5 90 23 83 44Guest CarT : +590 (0)5 90 48 76 68

Baie MahaultLocation RéflexeT : +590 (0)5 90 26 03 61Via LocationT : +590 (0)5 90 98 82 47REV-CarT : +590 (0)5 90 38 04 23

BaillifJumbo CarT : +590 (0)5 90 26 65 98Rent CarT : +590 (0)5 90 26 65 98

Basse-TerreSim CarT : +590 (0)5 90 81 62 22HertzT : +590 (0)5 90 99 04 00

BouillanteAmbT : +590 (0)6 90 72 32 78

Capesterre-Belle-EauBeleau carT : +590 (0)5 90 86 37 12OtmT : +590 (0)5 90 86 16 78AtcrT : +590 (0)5 90 81 21 16Atlantic CarT : +590 (0)6 90 30 01 80

DeshaiesLascar locationT : +590 (0)5 90 28 24 23Fanely locationT : +590 (0)5 90 28 52 11

GourbeyreAugustin MichelT : +590 (0)5 90 92 22 62La Marina SunT : +590 (0)5 90 99 03 13Suzelle LocationT : +590 (0)6 90 93 33 67

GoyaveJd LocationT : +590 (0)5 90 94 07 65Sahai AlainT : +590 (0)5 90 95 84 20

Lamenti nKaru CarT : +590 (0)5 90 59 56 31

Petit-BourgJR LocationT : +590 (0)5 90 94 05 87My As AutoT : +590 (0)5 90 86 32 51LocadilT : +590 (0)5 90 95 34 34PrimarLocaionT : +590 (0)5 90 95 46 00TaillepierreT : +590 (0)5 90 81 24 83Tutio SylvieT : +590 (0)5 90 94 23 66VilocationT : +590 (0)5 90 95 59 78Bozor PascalT : +590 (0)5 90 99 08 01ChirliasRuddyT : +590 (0)5 90 86 32 51GwadLocT : +590 (0)5 90 25 92 46Hedreville LineT : +590 (0)5 90 95 43 81

LOCATIONS DE MEUBLÉSFURNISHED RENTALS

Marie GalanteBungalows ‘Sun 7 Beach’ www.lagalette.net4T : +590 (0)5 90 88 79 35Gite Mes Desirsjusqu’à 4 personneswww.gitemesdesirs.netT : +590 (0)6 90 75 89 67Le Toulouloujusqu’à 8 personneswww.letouloulou.comT : +590 (0)5 90 97 33 59Les Gites Tit’Anse& SpaJusqu’à 12 personneswww.lesgitestitanse.comT : +590 (0)6 90 68 73 31Maison HermitageJusqu’à 4 personneswww.maisonhermitage.voila.comT : +590 (0)6 90 36 67 29Résidence KakikaT : +590 (0)5 90 97 95 34www.residence-kakika.comJusqu’à 8 personnesVilla MaloyaJusqu’à 8 personneswww.villa-maloya.comT : +590 (0)6 90 69 69 54

Villa PistacheJusqu’à 9 personneswww.villapistaches.comT : +590 (0)1 46 31 52 46Villa TrianonJusqu’à 7 personneswww.trianon-marie-galante.frT : +590 (0)6 80 74 37Villas MielJusqu’à 8 personneswww.villa971.skyblog.frT : +590 (0)6 90 50 03 50

Pointe NoireGite Litchi [email protected] : +590 (0)5 90 38 56 77Gite Ti Colas www.habitation-colas.comT : +590 (0)5 90 98 34 76La Vieille Sucrerie 4 bungalows de 2 chambreswww.lavieillesucrerie.frRochers Caraibes 3 bungalows de 4 personnes www.rocherscaraibes.comT : +590 (0)6 90 74 24 77

Sainte-AnneAlizes Bungalows Bungalows de3 et 4 personneswww.alizes-bungalows.frT : +590 (0)5 90 85 85 91

Aloes Vacances Duplex jusqu’à 28 personnesT : +590 (0)6 90 57 85 42 Bungalows Maluevawww.malueva.frT : +590 (0)5 90 88 15 17Casa Bambou Bungalows de 4 et 6 [email protected] : +590 (0)5 90 85 10 13BidKreyol 5 villas pour 22 personneswww.nidkreyol.comT : +590 (0)6 90 76 98 89Ti Val Location www.guadeloupe.comT : +590 (0)5 90 88 91 97

Saint-FrançoisCannelle Antillesjusqu’à 22 personneswww.cannelle-antilles.frT : +590 (0)6 90 33 03 03Couleur Vanillejusqu’à 20 personneswww.couleur-vanille.comT : +590 (0)5 90 47 09 04Domaine de Mayjusqu’à 80 personneswww.domainedemay.frT : +590 (0)5 90 88 45 43

Gites Rêves en Îles jusqu’à 32 personneswww.gite-revesemiles.comT : +590 (0)6 90 62 63 20La Boungainvillee Bungalows de 4 personneswww.labougainvillee.comT : +590 (0)5 90 88 57 18La Maison Calebasse jusqu’à 9 personneswww.lamaisoncalebasse.comT : +590 (0)6 90 34 07 77Latitude 16°N 61°W Villa jusqu’à 13 personneswww.villa-guadeloupe.euT : +590 (0)5 90 88 70 87Le Colibri Gite jusqu’à 12 personneswww.gitecolibri.comT : +590 (0)6 90 46 87 46Mancenillier Villa de 6 personneswww.ansemancillier.comT : +590 (0)5 90 90 16 08Maracuda Bungalows 6 bungalows jusqu’à 16 personneswww.maracudja.orgT : +590 (0)5 90 93 61 60Villa Boubou Villa de 4 à 12 personnesT : +590 (0)6 90 62 75 74

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TRANSPORT DE MATÉRIEL ENTRE UN ÉTAT MEMBRE DE L’UE ET LES DÉPARTEMENTS FRAN-ÇAIS D’AMÉRIQUES

Le carnet ATA La convention douanière sur les carnets

ATA (Admission Temporaire/Temporary Admis-sion), signée par une cinquantaine de pays, dont la France, a pour objectif de simplifier les opérations d’exportations et d’importations temporaires effectuées avec les pays tiers à l’UE et la réduction des coûts de ces opérations.

Le carnet ATA se substitue aux différents documents douaniers normalement requis pour une opération d'importation temporaire, d'exportation temporaire ou de transit. Il per-met de réaliser plusieurs opérations doua-nières dans le cadre d’une exportation tempo-raire ou d’une importation temporaire, comme c’est le cas pour un tournage.

Le carnet ATA est délivré par les Chambres de commerce et d'industrie en France, ou leur équivalent dans le pays d’origine, qui se portent garantes vis-à-vis de la douane des opérations réalisées sous couvert du carnet. Par exemple aux Etats-Unis, l’organisation garante américaine habilitée à délivrer des carnets ATA est le « United States Council for International Business ». Durée

entrée sur le territoire et sa sortie. En effet, la pellicule importée est vierge et non impres-sionnée et ne peut pas être admise au bénéfice de l'admission temporaire car celle-ci sera, au cours du tournage, transformée par l'impres-sion d'image. Deux possibilités :

La production a un accord avec un labora-toire français (Dans ce cas, le travail de dévelop-pement est réalisé quotidiennement. A la fin du film les positifs, négatifs et vidéos sont réexpé-diés sous le régime de la réexportation simple).

La production n’a pas d’accord avec un laboratoire français (La pellicule est donc im-pressionnée mais non développée. Il s’agit éga-lement d’une réexportation simple. Il en sera fait mention sur les documents ainsi que sur les colis d’expédition par les avertissements Do not open et Do not X-ray).

Toute production, en France, doit posséder une assurance couvrant les risques inhérents à un tournage (Types de risques : responsabilité civile, perte pécuniaire, dommages affectant les biens et le matériel, frais supplémentaires). Les risques étant spéciaux, il est recommandé de faire appel à une société d’assurance spécia-lisée dans le cinéma et l’audiovisuel pour sous-crire des garanties spécifiques à l’activité de production cinématographique et audiovisuelle.

TRANSPORT OF EQUIPMENT BETWEEN A MEMBER STATE OF THE EUROPEAN UNION AND THE FRENCH DEPARTMENTS IN THE AMERICAS (DAF)

The ATA carnetThe objective of the customs agreement on

ATA (Admission Temporaire/Temporary Admissi-on) carnets signed by some 50 countries, inclu-ding France, is to simplify temporary exporta-tions and importations with non-Member States of the European Union ad to reduce the cost.

The ATA carnet takes the place of the va-rious customs documents usually required for a temporary importation, a temporary exporta-tion or transit. It can cover several temporary exportations and importations, such as are ne-cessary when shooting a film.

The ATA carnet is issued by the Chambers of Commerce and Industry in France, or their equivalent in the country of origin, which then are guarantors towards the customs authori-ties for the operations carried out under cover of the carnet. For example, in the U.S.A., the American guarantor organization authorized to issue ATA carnets is the United States Council for International Business. The carnet is valid for one year for an unlimited number of opera-

tions, which are all defined beforehand.It is recommended using a specialist transit

agent who will take charge of the transport and customs clearance operations. The BAT can pro-vide you with further information on this subject.Importing animals

The importation, exportation or re-expor-tation of any animal requires an authorization. The authorization is issued by the Ministry of the Environment for wild animals and by the Ministry of Agriculture for domestic animals. In addition all animals must undergo a veterinary examination at the border control station when entering the territory. The veterinarian can decide to place the animal in quarantine for a duration which is subject to variation.

Transport of the rushesIf the films used for the shoot are bought

in France: whether they are developed in France or abroad, the films are governed by the rules of permanent exportations.

If the films come from abroad: they are subject to the classical customs rules of clea-rance for home consumption insofar as their condition on arrival in the territory is different from their condition on leaving the territory. The imported films are blank and have not yet

been exposed and thus cannot benefit from temporary admission since they will be pro-cessed by the images recorded on them during the shoot. There are two possibilities:

The production has an agreement with a French laboratory (in this case, the develop-ment work is carried out on a daily basis. When the filming ends, the positives, negatives and videos are reshipped according to the ordinary exportation rules).

The production does not have an agreement with a French laboratory (in this case the films are exposed but not developed. This is also an ordi-nary re-exportation. The warnings “Do not open” and “Do not X-ray” will be affixed to the docu-ments and packages which are being shipped).

Any production in France must have an insurance policy covering the risks inherent in shooting a film (types of risks: third party lia-bility, financial loss, damage affecting property and equipment, additional costs). As these are special risks, it is advisable to approach an insu-rance company specializing in the cinema and audiovisual industry to take out insurance cover specific to cinema and audiovisual production.

de validité du carnet : un an pour un nombre illi-mité mais défini à l’avance d’opérations.

Il est recommandé de faire appel à un transitaire spécialisé qui prendra en charge les opérations de transport et de dédouanement. Le B.A.T peut vous renseigner là-dessus.

Importation d’animauxL’importation, l’exportation ou la réexpor-

tation de tout animal est soumise à autorisation. Celle-ci est délivrée par le ministère chargé de l’environnement pour les animaux sauvages, par le ministère de l’agriculture pour les ani-maux domestiques. Par ailleurs, tout animal est soumis à un contrôle vétérinaire, sur le poste frontière, lors de son entrée sur le territoire. Sur décision du vétérinaire, l’animal peut être mis en quarantaine pour une durée variable.

Transport de rushes La pellicule est achetée en France : qu’elle

soit développée en France ou à l’étranger, la pellicule est soumise au régime des exporta-tions définitives.

La pellicule vient de l’étranger : la pel-licule est soumise à un régime douanier clas-sique de mise à la consommation dans la me-sure où son état diffère entre le moment de son

À SAVOIRWHAT YOU NEED TO KNOW

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LES RISQUES DE RESPONSABILITÉ CIVILE

La responsabilité civile comprend les risques incombant à l’assuré en cas de dom-mage causés aux tiers (personnes et biens) du fait du personnel engagé et des matériels uti-lisés durant le tournage. La société de produc-tion, française ou étrangère, doit être titulaire d’un contrat de responsabilité civile pour elle-même et pour les tiers couvrant tous les cas d’accidents : soit depuis son pays d’origine en vérifiant qu’elle est applicable en France, soit par l’intermédiaire d’une société française no-tamment en cas de coproduction.

Une assurance en responsabilité civile doit être prise du début de la préparation du film jusqu’à la fin des travaux de post-production.

L’attestation d’assurance est indispensable pour la plupart des autorisations de tournage.

RISKS OF THIRD PARTY LIABILITY

Third party liability includes the risks to be assumed by the insured party if damage is caused to third parties (people and property) by the acts of the personnel hired and the equipment used during the filming. The production company, whether French or foreign, must have a third party liability insurance policy covering itself and third parties for all accidents: it can be taken out in the company’s country of origin, after verifying that it is applicable in France, or through a French com-pany, particularly in the case of a coproduction.

The third party liability insurance policy must be in force from the start of the prepara-tion of the film and continue until the end of the post-production works.

An insurance certificate is indispensable for most filming authorizations.

LES RISQUES DE PERTE PÉCUNIAIRE

La perte pécuniaire correspond : aux frais supplémentaires pour achever le tournage en excédent des frais qui auraient été sans la sur-venance d’un sinistre partiel, aux dépenses en-gagées par la société jusqu’à l’arrêt définitif de la production en cas d’abandon total du tour-nage. Deux types de garanties sont envisagés :

La garantie production Son objet est d’indemniser la perte pécu-

niaire résultant directement et exclusivement de l’impossibilité de commencer la production, ou de la nécessité de l’interrompre, ou de la nécessité de l’abandonner.

Elle se décompose en 3 volets : La garan-tie « pré-avant production » couvre toute perte pécuniaire occasionnée par l’abandon du pro-jet par suite de l’indisponibilité des personnes (par exemple maladie ; il est à préciser que la garantie maladie n’est effective qu’après la visite obligatoire chez le médecin désigné par l’assureur) ou des animaux désignés dans le contrat. La garantie « avant-production » prend en compte les risques précités couverts par la

garantie « pré- avant production » ainsi que les indisponibilités consécutives à un dégât des eaux, un incendie, la perte ou l’accident d’un bien nécessaire à la réalisation. La garantie « production » couvre les mêmes risques préci-tés et s’étend à toute la durée du tournage.

La garantie support individuel (négatif) Elle a pour objet de garantir la société de

production l’indemnisation des pertes pécu-niaires causées par la détérioration, la perte totale ou partielle des supports utilisés pour le tournage du film, pendant le transport du support ou son traitement en laboratoire. Sont exclues de la garantie   : l’utilisation de matériel défectueux, les erreurs de manipulation, de développement, de montage.

RISKS OF FINANCIAL LOSS

Financial loss corresponds to: additional costs to complete the filming over and above the costs which would have been incurred if a partial insurance loss had not occurred; expenses incur-red by the company until the production actually ends if the filming is completely abandoned. Two kinds of guarantees can be contemplated:

A production guaranteeThe purpose of this guarantee is to com-

pensate the financial loss resulting directly and exclusively from the impossibility to start produc-tion, or the necessity to interrupt or abandon it.

It is broken down into three sections: the “ante-pre-production” guarantee covers any financial loss caused by the project being aban-doned due to the unavailability of the persons (for example, illness; in this case the guarantee for illness is effective only after a compulsory examination by the doctor selected by the insu-rer) or the animals named in the contract. The “pre-production” guarantee takes into account the above risks covered by the “ante-pre-produc-tion guarantee” and also the unavailability due to water damage, fire, loss of or accident suffered by an object necessary for the filming. The “produc-tion” guarantee covers the same risks as above and is valid for the full duration of the filming.

The individual medium (negative) guaranteeThis is intended to guarantee the production

company’s compensation for the financial losses caused by the deterioration or the total or partial loss of the media used for the film shoot during transport or processing in the laboratory. The guarantee does not cover: the use of defective equipment and any manipulation, development and editing errors.

LES RISQUES DE DOMMAGES AFFECTANT LES BIENS OU MATÉRIELS

Il s’agit des dommages matériels affectant les bâtiments, décors, appareils, bureautique, et qui entraînent un retard. Trois types de ga-ranties sont à distinguer :

La garantie « mobilier, décor, costume » (qui intervient en cas de dommages occasionnés sur le tournage pendant le transport ou le stockage), la garantie « décors construits » (qui intervient lors de la destruction totale ou partielle du dé-cor) et la garantie « tous risques matériels ».

RISKS OF DAMAGE AFFECTING PROPERTY OR EQUIPMENT

This means material damage caused to the buildings, sets, appliances and office machinery resulting in a delay. There are three different kinds of guarantees:

The “furniture, sets, costumes” guarantee (which is applicable to damage caused during transport or storage in the course of the fil-ming), the “built sets” guarantee (which is ap-plicable to the total or partial destruction of a set) and the “all material risks” guarantee.

LA GARANTIE DES FRAIS SUPPLÉMENTAIRES

Elle a pour objet de garantir à la société de production l’indemnisation de la perte pécu-niaire résultant des frais supplémentaires sup-portés par la société à la suite de l’interruption, ajournement ou abandon du film, provoqué par la destruction totale ou partielle des biens et ins-tallations utilisés pour les besoins du tournage.

THE ADDITIONAL COSTS GUARANTEE

The purpose of this guarantee is to cover the production company’s compensation for the financial loss resulting from additional costs incurred by the company following the inter-ruption, adjournment or abandoning of the film caused by the total or partial destruction of the property and installations used for the filming.

LES AUTRES RISQUES

La production peut également s’assurer contre les intempéries, c’est-à-dire les condi-tions climatiques rendant impossible une « pho-tographie raisonnable ». Le manque de soleil est généralement exclu de ce type de garantie.

D’autres garanties sont envisageables  : garantie « transport de fonds », garantie « indi-viduelle accidents », garantie « automobile », garantie visant à couvrir les risques associés au détachement de pompiers sur un tournage.

La garantie « erreurs ou omissions » vise à protéger le producteur d’actions intentées par des tiers. Ce qui peut arriver par exemple lorsque le contenu du film est interprété comme une at-teinte à la vie privée, un plagiat, une diffamation...

THE OTHER RISKS

The production can also be insured against bad weather, in other words climatic conditions making a “reasonable photograph” impossible.

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The absence of sunshine is generally excluded from this kind of guarantee.

Other guarantees are available: a “cash transport” guarantee, an “individual accident” guarantee, an “automobile” guarantee, a gua-rantee covering the risks associated with detai-ling firefighters to a film shoot.

The “errors and omissions” guarantee is intended to cover the producer from being sued by third parties. This can happen, for example, when the content of the film is interpreted as an invasion of privacy, plagiarism, defamation, etc.

LA GARANTIE DE BONNE FIN

Elle permet aux producteurs de rassurer leurs interlocuteurs qu’ils sollicitent pour finan-cer leur film. Le producteur s’engage auprès des organismes de financement du film que celui-ci sera livré pour un montant déterminé et à une date déterminée. Tout retard ou dépassement de budget est à la charge du producteur-garant.

Cette garantie est particulièrement utili-sée pour les coproductions internationales. Ce système est également très présent dans les pays anglo-saxons. Liste de Cabinets d’Assu-rances spécialisés (consulter le B.A.T)

PERFORMANCE BOND

Producers with a performance bond are able to reassure the people they approach for the funding of their film. The producer makes a

commitment to the entities funding the film that the film will be delivered for a given amount and on a given date. Any delay or budget excess will be borne by the guarantor producer.

This guarantee is used more specifically in international co-productions. It is also a sys-tem which is widely used in the Anglo-Saxon countries. For the list of specialist Insurance Agencies, you can consult the BAT.

IMPLANTATION D’UNE SOCIÉTÉ ÉTRANGÈRE EN GUADELOUPE

Une société étrangère souhaitant tourner en Guadeloupe une production importante (une partie ou la totalité d’un film de long-mé-trage ou d’un téléfilm par exemple) dispose de plusieurs possibilités : la création d’un bureau de représentation, la création d’une filiale, un partenariat avec une société de production éta-blie en France ou en Guadeloupe.

ESTABLISHMENT OF A FOREIGN COMPANY IN GUADELOUPE

There are several solutions for a foreign company wanting to shoot a sizeable production in Guadeloupe (for example part or all of a fea-ture film or a made-for-TV film): the creation of a representation office, the creation of a subsi-diary, a partnership with a production company established in France or in Guadeloupe.

CRÉATION D’UN BUREAU DE REPRÉSENTATION

Caractéristiques de la structure : prolon-gement de la société-mère étrangère en France ou en Guadeloupe, absence d’autonomie, non soumission à la TVA (puisque le bureau tra-vaille exclusivement pour le compte de son siège à l’étranger et ne réalise pas de chiffres d’affaires).

Le bureau de représentation ne doit pas avoir pour objet l’exercice d’une activité com-merciale (achat/vente). Il ne permet pas d’ef-fectuer des actes commerciaux. Seule la socié-té-mère peut émettre les factures et signer les contrats commerciaux.

La société-mère peut demander le rem-boursement de la TVA en désignant un repré-sentant fiscal (un fournisseur, un cabinet d’avocat, un cabinet d’expertise comptable par exemple ; le choix du représentant fiscal est libre à la condition que le représentant soit un assujetti fiscal établi en France dûment connu à ce titre de l’administration fiscale française. C’est une structure légère, rapide à mettre en place et peu onéreuse.

Représentant légalIl peut être rémunéré (salarié ou non) ou

non rémunéré. S’il n’est pas résident français et non ressortissant communautaire, il doit obte-nir un visa pour entrer en France et une autori-sation provisoire de travail (cf. B.A.T).

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CRÉATION D’UNE FILIALE

Caractéristiques de la structure : une nou-velle entité juridique dotée de la personnalité morale, autonomie juridique, fiscale, comptable, soumise à l’application de toutes les disposi-tions du droit français, régime fiscal dépendant de son type (SA, SARL...), soumission à la TVA et bénéfice du droit à déduction (cf. B.A.T).

Toutes les formalités afférentes à sa consti-tution doivent être accomplies : rédaction des statuts, avis dans un journal d’annonces légales. La création d’une filiale entraîne des obligations financières et juridiques lourdes. Elle est plus complexe que l’ouverture d’un bureau de repré-sentation.

CREATION OF A SUBSIDIARY

The characteristics of the structure are the following: it is a new legal entity having corporate personality and legal, fiscal and accounting auto-nomy, subject to the application of all the provi-sions of French law, tax regime depending on the type of company (SA, SARL, etc.), assessable for VAT and benefiting from a deductibility right (cf. BAT).

The accomplishment of all the formalities for its incorporation is compulsory: preparation of articles of association, publication of a no-tice in a legal announcement gazette. There are significant financial and legal obligations resul-ting from the creation of a subsidiary. It is more complex than opening a representation office.

SOCIÉTÉS DE PRODUCTION EN GUADELOUPE

Les sociétés de productions de long et court métrage sont soumises à autorisation du CNC. Plu-sieurs conditions sont à respecter parmi lesquelles  : — la nationalité française ou européenne, ou la qualité de résident français des présidents, directeurs ou gérants — l’absence de contrôle par une personne phy-sique ou morale ressortissante d’un État non membre de l’Union Européenne.

PRODUCTION COMPANIES IN GUADELOUPE

Production companies shooting feature length and short films must obtain an authori-zation from the National Cinema Center (CNC). There are many conditions to be met, including:— Being of French or European nationality, or whose presidents, directors or managers are French residents— An individual or legal entity who/which is a national of a non-Member State of the Euro-pean Union must not have power of control over the company.

PARTENARIAT AVEC UNE SOCIÉTÉ DE PRODUC-TION ÉTABLIE EN FRANCE OU DANS LES DFA

Deux formules sont envisageables :Sociétés de production exécutive

Ce partenariat prend la forme d’un contrat de production exécutive confiée à une société

établie en France ou dans les DFA qui sera res-ponsable du déroulement du tournage.

Liste des sociétés de production exécutive disponible auprès de Film France et la Commis-sion Régionale du Film de Guadeloupe (BAT).

CoproductionsCe partenariat prend la forme d’un contrat

de coproduction. Le coproducteur français pour-ra prendre à sa charge toutes les formalités et contrats à conclure avec les partenaires, presta-taires et salariés en France (DOM compris).

La France a conclu des accords de coproduc-tion avec plus d’une quarantaine de pays. Sous certaines conditions, la coproduction internatio-nale bénéficie de certaines aides nationales et/ou régionales. Les aides françaises bénéficieront au coproducteur français, le coproducteur étranger bénéficiant des aides existantes dans son pays.

Film France a édité un guide présentant les sources de financement de la production de long-métrage en France. Disponible sur simple demande auprès de la commission régionale de Guadeloupe ou directement à Film France.

PARTNERSHIP WITH A PRODUCTION COMPANY ESTABLISHED IN FRANCE OR IN THE DFA

Two solutions are available:Executive production company

This is a partnership in the form of an exe-cutive production agreement signed with a com-

Ce peut être le directeur de production. Une procuration devra lui être faite pour qu’il puisse faire face aux dépenses de bureau dont le paiement des salaires, les charges sociales, les frais de fonctionnement, l’achat d’équipement.

CREATION OF A REPRESENTATION OFFICE

The characteristics of this structure are the following: it is an extension of the foreign parent company in France or in Guadeloupe, has no au-tonomy and is not assessable for VAT (since the office works exclusively on behalf of its head of-fice abroad and does not generate any turnover).

The purpose of the representation office must not be to perform a commercial activity (purchase/sale). It is not able to carry out com-mercial acts. Only the parent company can issue invoices and sign commercial contracts.

The parent company can be eligible for a VAT refund by appointing a tax representative (a supplier, a law firm, a firm of chartered accoun-tants, for example; the choice of a tax represen-tative can be freely made, provided that the re-presentative is a taxpayer established in France and duly recognized as such by the French tax administration). It is an uncomplicated structure which can be created quickly and costs very little.

Legal representativeThe legal representative may be remune-

rated (a salary or otherwise) or not remunera-ted. If the person is not a French resident or a

national of a European Union country, he must obtain a visa to enter France and a temporary work authorization (cf. BAT).

This person can be the production director. He would need to be given a delegation of au-thority to be able to take care of the expenses of the office, including the payment of salaries, social security charges, operating expenses, the purchase of equipment.

CRÉATIONS D’EMPLOIS

Le bureau de représentation peut créer des emplois. C’est le droit du travail français qui s’ap-plique. Pour les français et ressortissants com-munautaires, les obligations sont les suivantes   : déclaration unique d’embauche (remplie par l’employeur et envoyée à l’URSSAF), un contrat de travail établi en France et signé par le repré-sentant légal et le salarié, l’émission de fiches de paies établies en France.

ImmatriculationsLes formalités d’immatriculation d’un bu-

reau de représentation sont rapides et réduites. Ouverture d’un bureau de représentation à Paris : Création d’un bureau avec embauche immédiate de personnel, formalités auprès de l’URSSAF / Création d’un bureau sans embauche, formalité auprès du Centre des Formalités de la Chambre de Commerce et de l’Industrie.

Ouverture d’un bureau de représenta-tion en dehors de Paris : Formalités auprès du

Centre des Formalités de la Chambre de Com-merce et de l’Industrie (www.cci.gp), qu’il y ait embauche immédiate ou non de personnel.

CREATING JOBS

The representation office can create jobs. French labor laws will apply. The following obli-gations apply to the nationals of France and the other Member States of the European Union: sole hiring declaration (completed by the em-ployer and sent to the URSSAF (French organi-zations for the payment of social security and family benefit contributions)), an employment contract drawn up in France and signed by the legal representative and the employee, the is-suance of pay slips drawn up in France.

RegistrationThe registration formalities of a represen-

tation office can be completed quickly and are streamlined. Opening of a representation office in Paris: creation of an office with immediate hiring of personnel, formalities with the URSSAF / creation of an office without hiring any person-nel, formalities with the Chamber of Commerce and Industry’s Formalities Center.

Opening of a representation office outside Paris: formalities with the Chamber of Com-merce and Industry’s Formalities Center (www.cci.gp), irrespective of whether personnel are hired immediately or not.

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tant aux salariés provisoirement détachés de continuer à bénéficier de leur régime d’origine.

Pour déterminer le droit du travail et les législations sociales dont relève un salarié, plu-sieurs éléments sont à prendre en considération : le contenu du contrat de travail, le pays où s’exé-cute le contrat de travail, la nationalité du sala-rié, la législation sociale à laquelle est habituel-lement soumis le salarié, le pays où l’employeur a son siège social, le lieu d’embauche du salarié.Les pays sont classés selon 4 catégories  : — La France— L'espace économique européen (à l’excep-tion de la France) : Union Européenne + Islande, Norvège et Liechtenstein.— Pays tiers avec lesquels un accord bilatéral en matière de Sécurité Sociale a été signé : Algérie, Andorre, Bénin, Cameroun, Canada, Cap Vert, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Etats-Unis d’Amérique, Iles Anglo-Normandes (accord spé-cifique avec Jersey), Israël, Jersey, Madagascar, Mali, Maroc, Mauritanie, Monaco, Niger, Nou-velle-Calédonie, Québec, Roumanie, San Marin, Sénégal, Suisse, Togo, Tunisie, Turquie, les États issus de l’ex-Yougoslavie.— Pays tiers avec lesquels n’existe pas d’accord bilatéral et les TOM (Territoires d’Outre-mer sauf la Nouvelle-Calédonie).

Les accords bilatéraux en matière de Sécu-rité Sociale ont pour but d’éviter qu’un même salarié ait à payer des cotisations sociales à la fois dans son pays d’origine et dans le pays où il exerce son activité de façon temporaire.

EMPLOYEES’ SOCIAL SECURITY REGIME

Nationality of the employer, nationality of the employee: in accordance with the principle of the territoriality of laws (Art. L 311-2 of the Social Security Code), the applicable laws are in principle those of the territory in which the employee performs his work, irrespective of the nationality and place of residence of the employee and the employer. The exceptions to the territoriality principle derive from the Com-munity Regulations applying to the Member States of the European Economic Area or from international instruments which introduce par-ticular procedures allowing provisionally se-conded employees to continue to benefit from their original regime.

Several factors must be taken into consi-deration to determine the labor and social laws applying to an employee: the terms of the employment contract, the country where the employment contract is performed, the employee’s nationality, the social legislation to which the employee is usually subject, the country where the employer has its registered office, the place where the employee was hired.

Countries are classified in four categories:— France— The European Economic Area (except France): this means the European Union + Iceland, Norway and Liechtenstein.— third countries with which a bilateral social security agreement has been signed: Algeria,

Andorra, Benin, Cameroon, Canada, Cap Verde, the Channel Islands (specific agreement with Jersey), Congo, Gabon, Israel, Ivory Coast, Jersey, Madagas-car, Mali, Mauritania, Monaco, Morocco, Niger, New Caledonia, Quebec, Romania, San Marino, Senegal, Switzerland, Togo, Tunisia, Turkey, United States of America, the States deriving from ex-Yugoslavia.— Third countries with which no bilateral social security agreement has been signed and the TOM (Overseas Territories, except for New Caledonia).

The purpose of the bilateral social security agreements is to avoid a same employee having to pay social security contributions both in his country of origin and in the country where he is working temporarily.

SALARIÉS D’UNE SOCIÉTÉ FRANÇAISE

L’ensemble du personnel technique et ar-tistique embauché par une société française ou via le bureau de représentation en France d’une société étrangère reste soumis aux mêmes obligations sociales que les autres entreprises implantées en France (salariés en détachement, exemptions des charges de sécurité sociale). Pour les personnels techniques ou artistiques non-résidents en France et qui restent salariés de la société de production étrangère, il sera fait application de la procédure de détachement.— Pour les artistes et techniciens ressortissants de l’Espace Economique Européen, ils doivent se munir du formulaire E101 et E111(disponible auprès de la caisse de sécurité sociale de leur

pany established in France or in the DFA which will be responsible for overseeing the film shoot.

The list of executive production compa-nies is available from Film France and the Gua-deloupe Regional Film Commission (BAT).

Co-productionsThis is a partnership in the form of a co-pro-

duction agreement. The French co-producer is able to assume responsibility for all the forma-lities and all the contracts to be signed with par-tners, service providers and employees in France (including the Overseas Departments - DOM).

France has signed co-production agree-ments with over 40 countries. Under certain conditions, international co-productions are eligible for some national and/or regional aids. The French co-producer will be eligible for French aids and the foreign co-producer will be eligible for the aids existing in its own country.

Film France has published a guide book presenting the financing sources for feature films in France. In can be obtained directly upon request from the Guadeloupe Regional Film Commission or Film France.

LES BANQUES

Généralement, les guichets des banques restent ouverts de 9h à 16h du lundi au vendredi.

Ouverture d’un compte pour les ressor-tissants étrangers Il est possible pour un par-ticulier ou une société étrangère d'ouvrir un

compte en Guadeloupe et d'obtenir les moyens de paiements habituels en euros (chèques, carte de crédit, etc.).

BANKS

Generally speaking banks are open between 9.00 a.m. and 4.00 p.m. from Monday to Friday.

How a foreign national can open a bank account: it is possible for a foreign individual or company to open an account in Guadeloupe and obtain the usual payment means in euros (checks, credit cards, etc.).

EMPLOI DE PERSONNEL

Plusieurs dispositifs d’exonération de charges existent sur le territoire. Pour ce faire, il est recommandé de prendre conseil auprès d’un cabinet d’avocat… Une liste de cabinets spécia-lisés est disponible auprès de la commission du film de Guadeloupe.

Les directeurs de production maîtrisent également l’ensemble des démarches et for-malités à accomplir pour l’emploi des artistes et techniciens.

Les éléments qui suivent sont à considérer comme des repères et ne sauraient constituer un guide sur les procédures à suivre en matière de droit du travail. Par ailleurs, il convient éga-lement de se référer aux conventions collec-tives en vigueur (textes disponibles auprès de Film France).

EMPLOYMENT OF PERSONNEL

There are several systems granting exemp-tions of the payment of charges which are ap-plicable in the territory. For further information on this subject it is advisable to approach a law firm. A list of specialist law firms can be obtai-ned from the Guadeloupe Film Commission.

Production directors also have responsibility for all the steps and formalities to be carried out to employ performers and technicians.

The information set out below merely gives a few pointers and cannot be deemed a guide to the procedures to be followed in the area of labor law. In addition, it is also necessary to refer to the applicable collective bargaining agreements (texts available from Film France).

RÉGIME SOCIAL DES SALARIÉS

Nationalité de l’employeur, nationalité de l’employé Conformément au principe de terri-torialité des lois (art. L 311-2 du Code de la Sé-curité Sociale), la législation applicable est en principe celle du territoire sur lequel s’exerce l’activité du salarié quels que soient la nationa-lité et le lieu de résidence du salarié et de l’em-ployeur. Les exceptions au principe de territo-rialité trouvent leur origine dans le cadre des règlements communautaires qui concernent les Etats membres de l’Espace Economique Européen ou d’instruments internationaux qui instituent des procédures particulières permet-

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ASSURANCE RETRAITE

Le régime général de retraite est géré par la Sécurité Sociale. Audiens assure la ges-tion des régimes complémentaires de retraite (IRPS, IRCPS) et de prévoyance (IPICAS) pour les intermittents du spectacle, ainsi que les perma-nents, dont l’affiliation auprès des institutions est effectuée par l’employeur au moment de l’embauche, en France Hexagonale. Pour la Gua-deloupe, c’est CGRR qui prend le relais.(www.cgrr.fr). Les salariés cadres bénéficient par la convention collective des cadres (14.03.47) d’un régime de prévoyance obligatoire par leur employeur et d’une double garantie : incapa-cité de travail, décès et invalidité absolue et définitive. Audiens propose, à titre individuel, avec la MUDOS, Mutuelle complémentaire à la Sécurité sociale, plusieurs niveaux de couver-ture santé.

RETIREMENT INSURANCE

The general retirement regime is ma-naged by the Social Security. Audiens manages the complementary pension (IRPS, IRCPS) and death & disability (IPICAS) schemes for intermittent performers and for permanent employees, who are affiliated to these institu-tions by their employer when they are hired in metropolitan France. For Guadeloupe, the CGRR takes over from them (www.cgrr.fr). Executive employees, because of the executives’ collec-

tive bargaining agreement (14.03.47), benefit from a compulsory death & disability scheme paid into by their employer and a double gua-rantee: work incapacity, death, permanent total disability. Audiens with the MUDOS, a comple-mentary social security health insurance, pro-poses several levels of health coverage on an individual basis.

SANTÉ ET SÉCURITÉ

La santé et la sécurité des équipes de tour-nage sont des aspects incontournables d’une production. Deux organismes sont les interlo-cuteurs des employeurs :— la médecine du travail : Toutes les personnes employées par une production doivent avoir passé une visite médicale depuis moins d’un an. Le médecin du travail a également la charge d’examiner le salarié qui reprend son emploi après un accident de travail.— le Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Condi-tions de Travail (CCHS-CT) a pour mission de contribuer à la prévention et à la protection de la santé et de la sécurité des salariés. Il doit éga-lement veiller à l’observation des prescriptions légales et réglementaires adoptées dans ce but.

Pour toute production de films dont la durée est supérieure à 2 journées, le directeur de production doit adresser, 15 jours avant le début des travaux, un avis d’ouverture de chan-tier au CCHS-CT.

HEALTH AND SAFETY

The health and safety of the film crews are inescapable aspects of a production. Employers can contact two organizations:— Occupational medicine: all persons em-ployed by a production must have undergone a medical examination within the preceding year. The occupational doctor also has to examine any employee resuming work after a work-re-lated accident.— The Health, Safety and Working Conditions Committee (CHSCT), whose purpose is to contribute to the prevention and protection of employees’ health and safety. It must also en-sure that the legal and regulatory requirements adopted in this regard are complied with.

For any film production with a duration ex-ceeding two days, the production director has to send a notice of start of work to the CHSCT 15 days before the work is due to start.

LÉGISLATION & RÉGLEMENTATION

L’Autorisation Provisoire de TravailPour travailler en France, il ne suffit pas

d’être entré et de séjourner légalement avec un visa sur le territoire français. Les artistes et tech-niciens étrangers (non ressortissants d’un Etat membre de l’Espace Economique Européen) qui viennent exercer leur activité temporairement en France comme à l’occasion d’un tournage, sont soumis à une autorisation provisoire du travail.

pays) afin d’être dispensés de l’affiliation au ré-gime français de sécurité sociale et d’assurance chômage. La durée de travail ne doit pas excéder une durée de 12 mois qui peut être renouvelée une seule fois si la mission n’est pas achevée.— Pour les artistes et techniciens ressortissants d’un des pays ayant signé une convention in-ternationale de sécurité sociale avec la France, ils doivent se munir du formulaire spécifique disponible auprès de la caisse de Sécurité So-ciale de leur pays afin d’être dispensés de l’affi-liation au régime français de sécurité sociale.

EMPLOYEES OF A FRENCH COMPANY

All the technical and artistic personnel hired by a French company or via the representation office in France of a foreign company continue to be bound by the same social obligations as the other companies established in France (secon-ded employees, exemptions from social security charges). For technical or artistic personnel who are not French residents and who continue to be employed by the foreign production company, the secondment procedure is applied.— Performers and technicians who are natio-nals of the European Economic Area have to obtain forms E101 and E111 (available from the social security fund of their country) to be dispensed from being affiliated to the French social security and unemployment insurance regime. The duration of the secondment must not exceed 12 months, but it can be renewed

once if the assignment has not been completed.— Performers and technicians who are natio-nals of one of the countries having signed an international social security agreement with France have to obtain a specific form obtai-nable from the social security fund of their country to be dispensed from being affiliated to the French social security regime.

SÉCURITÉ SOCIALE

Les intermittents du spectacle et le person-nel permanent des sociétés de production: Ils dépendent de la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie, un des 4 organismes qui couvrent la qua-si-totalité des Français et qui sont chargés de gérer les risques maladie, maternité, invalidité, décès, accident du travail et maladies professionnelles.

Les artistes-auteurs d’œuvres littéraires, dramatiques, musicales, graphiques et plas-tiques : lls sont affiliés au régime général de la Sécurité Sociale. En ce qui concerne la produc-tion cinématographique et audiovisuelle, l’Asso-ciation pour la Gestion de la Sécurité Sociale des Artistes- Auteurs (AGESSA) assure le recouvre-ment des cotisations et gère l’assurance maladie et l’assurance vieillesse des artistes-auteurs.

SOCIAL SECURITY

Intermittent performers and the permanent personnel of production companies fall within the scope of the National Health Insurance Fund,

one of the four organizations covering almost all French people, which are responsible for mana-ging health, maternity, disability, death, work-re-lated accidents and occupational disease risks.Artists who are authors of literary, dramatic, musical, graphic and plastic works are affiliated to the general social security regime. For cinema and audiovisual production, the AGESSA (collec-tion agency of artists’ social security contribu-tions) takes care of collecting the contributions and managing the health insurance and old-age insurance of the author-artists.

ASSURANCE CHÔMAGE

L’assurance chômage est gérée par les ASSEDIC. Le personnel permanent des socié-tés de production bénéficie du régime général. Les intermittents du spectacle bénéficient d’un régime particulier qui leur permet de faire face, dans une certaine mesure, aux périodes pen-dant lesquelles ils sont sans-emploi.www.vosdroits.service-public.fr/particuliers

UNEMPLOYMENT INSURANCE

Unemployment insurance is managed by the AS-SEDIC. The permanent personnel of production companies are affiliated to the general regime. Intermittent performers benefit from a regime which helps them to cope to a certain extent during the periods when they are not employed.www.vosdroits.service-public.fr/particuliers

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EMPLOYEE AND NON-EMPLOYEE REMUNERATIONS

The salary amount may not be less than the SMIC (minimum wage) and the amount indicated in the collective bargaining agreements, when they are applicable. The salary may be paid in cash up to a maximum amount of 1,525 euros a month. It is compulsory for overtime hours to be paid at an increased rate. Film France has a table of salaries in the cinema and audiovisual produc-tion industry, which is available upon request.

The total remuneration, however it is paid, must be paid on the day on which the engage-ment ends. All amounts of money qualified as salaries are subject to the payment of contribu-tions. For performers, the following are not as-similated to salaries and are therefore excluded from the contribution base:— Remunerations paid to a performer at the time of the sale or exploitation of the recording of his performance, as soon as the physical pre-sence of the performer is no longer necessary for the exploitation of this recording;— Remunerations not corresponding to the salary received for the production of his per-formance, execution or presentation but on the contrary come from proceeds of the sale or exploitation of the recording (royalties).

The distinction between salaried and non-salaried remunerations is therefore very impor-tant when estimating the calculation base of the social charges.

CONTRATS DE TRAVAIL

Conventions collectivesLes conventions collectives fixent notam-

ment les qualifications, les salaires minima, les remboursements de frais professionnels (trans-port, hébergement, ...). Il convient de distin-guer les conventions collectives étendues des conventions collectives non-étendues. Dans le premier cas, les dispositions s’appliquent à l’ensemble des employeurs, dans le second cas, les dispositions s’appliquent uniquement aux employeurs signataires (par le biais de leur syn-dicat professionnel) de la convention collective.

La convention collective des artistes inter-prètes dans le secteur de la production audio-visuelle, est étendue et doit, en conséquence, être respectée par l’ensemble des employeurs. Dans le secteur de la production cinématogra-phique, l’accord sur les salaires minima des ar-tistes-interprètes doit être également respecté par l’ensemble des producteurs.

Les autres conventions collectives dans le secteur de la production audiovisuelle et dans le domaine de la production cinématographique ne sont pas étendues et, par conséquent, les sociétés non signataires des conventions collectives (ex : les sociétés de production étrangères ayant un bu-reau de représentation en France pour la durée de la production) ne sont pas tenues de les respecter.

Contrats de travail à durée déterminéeLe contrat de travail à durée déterminée

d’un technicien ou d’un comédien doit être obli-gatoirement établi par écrit et doit mentionner le montant de la rémunération. Un exemplaire, signé par les deux parties devra être remis au sa-larié dans les 48 heures qui suivent l’embauche.

L’employeur doit tenir un registre unique du personnel, et un certificat de travail men-tionnant la date de début et de fin et la nature de l’emploi doit être délivré à l’expiration du contrat de travail.

Emploi de personnes mineuresLe droit français du travail est strict en ce qui

concerne l’emploi des enfants de moins de 16 ans (article L 211- 6 du Code du Travail) et prévoit une autorisation préalable du Préfet de Région.

La demande d’autorisation préalable doit être déposée auprès de la Direction Dépar-tementale des Affaires Sociales et Sanitaires (DDASS) du département où se trouve le siège de l’entreprise. Lorsque ce siège est à l’étranger, la demande s’effectue auprès de la DDASS de Pa-ris. Plusieurs pièces sont exigées pour constituer ce dossier : une pièce justificative de l’état civil de l’enfant, l’autorisation écrite de ses représen-tants légaux, la liste des emplois précédemment tenus par l’enfant, un certificat d’aptitude médi-cale délivré par un service de la Médecine du Travail, le synopsis ou le scénario (afin d’appré-cier les difficultés et la moralité du rôle à jouer). Si la durée du tournage excède 4 jours, le dossier devra également faire apparaître l’avis du direc-teur de l’établissement scolaire de l’enfant.

Le producteur (ou le représentant en France d’un producteur étranger) doit sollici-ter, auprès de la Direction Départementale du Travail et de l’Emploi du lieu du tournage, pour ses salariés non ressortissants de l’Espace Eco-nomique Européen une autorisation provisoire de travail. L’A.P.T. permet au salarié étranger de disposer d’une carte de séjour temporaire por-tant la mention « travailleur temporaire ».

Contact : direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation profes-sionnelle (DDTEFP). chaque ddtefp dépend de la préfecture du département.www.guadeloupe.perf.gouv.fr

LAWS & REGULATIONS

Temporary Work Authorization (APT)To be able to work in France, it is not sufficient to enter French territory and live in it legally with a visa. Foreign performers and techni-cians (non-nationals of a Member State of the European Economic Area) who come to France to work temporarily at the time of a film shoot have to obtain a temporary work authorization.The producer (or the foreign producer’s repre-sentative in France) has to apply to the Depart-mental Directorate of Labor and Employment of the place of the film shoot for temporary work authorizations for its employees who are non-nationals of a Member State of the European Economic Area. The APT authorizes the foreign employee to obtain a temporary

residence permit bearing the following words “temporary worker”.Contact: DDTEFP (Departmental Directorate of Labor, Employment and Occupational Training) Each DDTEFP is attached to the Prefecture of the Department.www.guadeloupe.perf.gouv.fr

HOSPITALISATION

Services Médicaux : SMUR T : +590 (0)5 90 91 39 39T : +590 (0)5 90 80 54 01 Centre hospitalier de Pointe-à-Pitre / Abymes T : +590 (0)5 90 89 10 10 Centre hospitalier de Basse-Terre T : +590 (0)5 90 80 54 54

HOSPITALIZATION

Medical Services:SMURT : +590 (0)5 90 91 39 39T : +590 (0)5 90 80 54 01Pointe-à-Pitre / Abymes HospitalT : +590 (0)5 90 89 10 10Basse-Terre HospitalT : +590 (0)5 90 80 54 54

RÉMUNÉRATIONS SALARIALES ET NON SALARIALES

Le montant du salaire ne peut être infé-rieur au SMIC et au montant indiqué dans les conventions collectives, lorsque celles-ci sont applicables. Le salaire peut être versé en es-pèces dans la limite de 1525 euros par mois. Les heures supplémentaires donnent obliga-toirement lieu à une majoration de salaire. Film France tient à votre disposition une grille des salaires dans le domaine de la production ciné-matographique et audiovisuelle.

La totalité de la rémunération, quel que soit son mode, doit être versée le jour où se termine l’engagement. Toutes les sommes qui ont le ca-ractère de salaire sont soumises à des cotisations. Pour les artistes, ne sont pas assimilées à des sa-laires et donc exclues de l’assiette de cotisations :— les rémunérations versées à un artiste à l’occasion de la vente ou de l’exploitation de l’enregistrement de son interprétation, dès que la présence physique de l’artiste n’est plus né-cessaire pour exploiter cet enregistrement.— les rémunérations ne correspondant pas au salaire reçu pour la production de son interpréta-tion, exécution ou présentation mais, au contraire, étant fonction du produit de la vente ou de l’ex-ploitation de l’enregistrement (les royalties).

La distinction entre les rémunérations salariales et non salariales est donc très impor-tante quand il s’agit d’estimer la base de calcul des charges sociales.

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CASTING

Une liste de directeurs de casting est dis-ponible auprès de la commission régionale du film de Guadeloupe. Les commissions du film locales ont accès à des bases de données d’ar-tistes et techniciens locaux.

Pôle Emploi Spectacle - www.pole-emploi.frLe Pôle Emploi Spectacle permet de mettre

rapidement à la disposition des producteurs des techniciens, des comédiens ou des figurants. Le fichier du Pôle Emploi spectacle est accessible gratuitement aux professionnels. Le Pôle Emploi Spectacle propose également d'autres services tels que la pré-sélection d'artistes ou techniciens.

Agences artistiquesUne liste d’agences artistiques et d’agences

de techniciens est disponible auprès de la com-mission régionale du film de Guadeloupe.

CASTING

A list of casting directors is available from the Guadeloupe Regional Film Commission. The local film commissions have access to the databases of local performers and technicians.

Entertainment Employment Agency (“Pôle Emploi”) - www.pole-emploi.fr

The Entertainment Employment Agency is able to provide producers quickly with techni-

cians, actors or extras. Its data file is accessible free of charge for professionals and it also pro-poses other services, such as the pre-selection of performers or technicians.

Artists’ agenciesA list of artists’ agencies and technicians’

agencies is available from the Guadeloupe Re-gional Film Commission.

CABINETS COMPTABLES ET JURIDIQUES,AUDITEURS

Une liste de cabinets comptables et juridiques et d’auditeurs est disponible auprès de la com-mission régionale du film de Guadeloupe (BAT).

FIRMS OF ACCOUNTANTS, AUDITORS AND LAW FIRMS

A list of firms of accountants, auditors and law firms is available from the Guadeloupe Regio-nal Film Commission (BAT).

FISCALITÉ ET TAXES

Impôt sur les sociétésUne société étrangère qui vient en Gua-

deloupe pour une courte durée, comme lors d’une production, n’est pas imposable dans la mesure où elle ne dispose pas d’un établisse-ment stable sur le territoire.

Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) Selon le système européen harmonisé de

TVA, la Guadeloupe perçoit la taxe sur la valeur ajoutée sur les ventes de produits et les pres-tations de services en Guadeloupe, qu’elles soient d’origine nationale ou étrangère.

Les sociétés établies en France + DFA peuvent déduire la taxe payée sur leurs dépenses de la taxe sur leurs recettes, à l'exception de certains services sur lesquels la taxe n'est pas récupérable.

Les exonérations de la TVALes films destinés à subir des travaux de

laboratoire, quand ils sont acheminés en Guade-loupe puis réexportés, sont exonérés. Plus large-ment, toute opération dite « de façon » effectuée en Guadeloupe pour le compte d’une société étrangère est exonérée de la TVA lorsque les biens sont exportés à l’étranger. Par exemple, le dou-blage de films ou les effets spéciaux numériques, considéré comme une opération de façon, n’est pas passible de la TVA quand le travail a été effec-tué pour un commanditaire établi à l’étranger et quand les films sont expédiés hors de France.

Taux maximal d'imposition sur les revenus des entreprises, selon la taille de l’entreprise Taux de TVA : 0% - 2,1% - 5,5% - 8,5%

Le remboursement de la TVA Le remboursement de la TVA est réservé

aux étrangers qui ne sont pas établis en France et qui n’effectuent pas de prestations de ser-vices en France au cours d’un trimestre civil ou

Une commission se réunit afin de vérifier la bonne moralité du rôle, la bonne santé de l’enfant, les conditions d’emploi de celui-ci (conditions de travail, rémunération, congés, temps de repos, hygiène, sécurité...), le maintien de la fréquenta-tion scolaire, la possibilité qu’ont ses parents de pouvoir surveiller leur enfant (à Paris, cette com-mission se réunit deux fois par mois). De plus, la commission fixe la part de la rémunération qui sera versée à l’enfant ou à ses représentants lé-gaux par la société de production. Cette dernière versera le solde sur un compte géré par la Caisse des Dépôts jusqu’à la majorité de l’enfant.

Un mois après la date du dépôt du dossier, le préfet notifie au demandeur sa décision. Il est donc important de faire la demande long-temps à l’avance.

EMPLOYMENT CONTRACTS

Collective bargaining agreementsThe collective bargaining agreement esta-

blishes the qualifications, minimum salaries, reimbursements of business expenses (trans-port, accommodation, etc.). The distinction must be made between extended and non-extended collective bargaining agreements. In the former, the provisions apply to all employers, whereas in the latter the provisions apply only to em-ployers which signed the collective bargaining agreement (via their professional association).

The collective bargaining agreement of performers in the audiovisual production

industry is extended and must therefore be applied by all employers. In the cinema produc-tion industry, the agreement on minimum sala-ries for performing artists must also be applied by all producers.

The other collective bargaining agree-ments in the audiovisual production industry and cinema production are not extended and therefore the non-signatory companies of those collective bargaining agreements (ex: foreign production companies which have a re-presentation office in France for the duration of the production) are not required to apply them.

Fixed term employment contractsA technician’s or an actor’s employment

contract must be in writing and indicate the amount of the remuneration. An original signed by the two parties must be given to the em-ployee within 48 hours of being hired.

The employer has to keep a single person-nel register and, when the employment contract comes to an end, an employment certificate indicating the start and end date and a descrip-tion of the employment must be handed over.

Employment of minorsFrench labor law is strict when it comes to

the employment of children under the age of 16 (Article L.211- 6 of the Labor Code): a prior authorization must be obtained from the Pre-fect of the Region.

The prior authorization application must

be filed with the DDASS (Departmental Direc-torate of Social and Health Affairs) of the De-partment in which the company’s registered office is situated. When the registered office is situated abroad, the application is made to the Paris DDASS. Several documents are required to make up this file: a document proving the child’s civil status, the written authorization of the child’s legal representatives, the list of the child’s previous jobs, a certificate of medi-cal fitness issued by an Occupational Medicine service, a synopsis or the screenplay (to assess the difficulties and moral standard of the role to be played). If the duration of the shoot exceeds four days, the file will also have to contain the opinion of the principal of the child’s school.

A commission meets to verify the moral standard of the role, the child’s good health, the conditions of the child’s employment (working conditions, remuneration, holidays, rest time, hygiene, safety, etc.), the maintenance of schoo-ling, whether the child’s parents can keep watch over their child (in Paris, this commission meets twice a month). The commission also fixes the fraction of the remuneration to be paid to the child or the child’s legal representatives by the production company. The production company pays the balance into an account kept by the Caisse des Dépôts until the child’s majority.

One month after the date on which the file is presented, the Prefect notifies the applicant of his decision. It is therefore important to put in the application a long time in advance.

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— Services provided in France (rental of pre-mises, equipment, sets, locations, etc.)— Rental of vehicles to transport goods— Transport (land, air, sea) of travelers from abroad— Transport of imported goods, under the cus-toms suspensive procedure

Filing of refund applicationsGuadeloupe General Directorate of Public FinanceParc de la préfecture - 97109 Basse-Terre Cé[email protected]

Personal taxationPerformers and technicians residing outside France

To avoid double taxation, the following terms and conditions apply:

In fiscal terms, the temporary mission clause is as follows. If the conditions set out below are met simultaneously, the salary continues to be taxable in the employee’s country of residence:— The employee must remain in France for less than 183 days over a period of 12 months,— The remunerations must be paid by or on be-half of an employer which is not a French resident,— The burden of paying the remunerations must not be borne by a permanent establish-ment or fixed base of the employer in France.

If these three conditions are met, the sala-ry paid to an employee who is not a resident of France for the work he performs in France conti-nues to be taxable in the employee’s country of

residence. On the other hand, when one of the conditions is not met, the French-source salary is taxable in France and the withholding must be applied. The employer alone is responsible for deducting the withholding and has to pay it on to the Public Treasury on the 15th of the month following the salary payment. These conditions apply to technicians who are not residents of France, including the film director.

Performing artists residing outside FranceInternational double taxation treaties can

contain specific clauses for performers. For example, under the France-USA tax treaty, a deduction of 15% is made from the amount of the remuneration. This rate is applicable to the gross salary. The fraction of the remunerations paid outside of the film shoot as royalties in connection with the exploitation of the film is not taxable in France.

ARTISTES ET TECHNICIENS RÉSIDENTS

Un artiste ou technicien est considéré comme établi en Guadeloupe et par consé-quent soumis à l’imposition française sur ses revenus français et étrangers si une des condi-tions suivantes est remplie :— Il a son foyer, son lieu de résidence habi-tuelle en Guadeloupe— Sa résidence principale est en Guadeloupe et il est présent physiquement pendant 183 jours du calendrier annuel

— Il exerce la majorité de son activité profes-sionnelle en Guadeloupe,— Son centre d’intérêt économique est établi en Guadeloupe (lieu de ses principaux investis-sements ou administration de ses biens, lieu de provenance de ses principaux revenus...).

Ces règles sont conditionnées aux accords fiscaux conclus par la Guadeloupe. Les sociétés implantées en France n’ont pas à payer de rete-nue à la source pour les employés résidents.

RESIDENT PERFORMERS AND TECHNICIANS

A performer or technician is deemed to be established in Guadeloupe and therefore to be subject to French taxation on his French and foreign source income if one of the following conditions is met:— He has his home, his usual place of residence in Guadeloupe— His principal place of residence is Guade-loupe and he is physically present for 183 days of the calendar year— He performs the majority of his professional work in Guadeloupe,— The center of his economic interests is situa-ted in Guadeloupe (the place of his principal investments or the administration of his pro-perty, the source of his principal income, etc.).

These rules are conditioned by the tax agreements concluded by Guadeloupe. Com-panies established in France do not have to pay any withholding tax for resident employees.

d’une année civile. Dépenses concernées par le remboursement de la TVA :— Les services rendus en France (location de locaux, de matériels, de plateaux, de décors, etc.)— La location de véhicules de transport de mar-chandises— Le transport (terre, air, mer) de voyageurs en provenance de l’étranger— Le transport de marchandises importées, placées sous régime douanier suspensif

Dépôt des demandes de remboursementDirection générale des finances publiques de GuadeloupeParc de la préfécture - 97109 Basse-Terre Cédex [email protected]

Fiscalité personnelle Artistes et techniciens résidant hors de France

Afin d’éviter la double-imposition, les mo-dalités suivantes sont appliquées :Du point de vue fiscal, la clause de mission tem-poraire est la suivante. Si les conditions suivantes sont remplies simultanément, le salaire reste imposable dans le pays de résidence du salarié  :— le salarié doit séjourner en France pendant moins de 183 jours sur une période de 12 mois.— les rémunérations doivent être payées par un employeur ou pour le compte d’un employeur qui n’est pas un résident français.— la charge des rémunérations ne doit pas être supportée par un établissement stable ou une base fixe de l’employeur en France.

Si ces trois conditions sont respectées, le salaire perçu par le salarié non résident de France au titre de son activité en France, reste imposable dans le pays de résidence du sala-rié. En revanche, lorsque l’une des conditions n’est pas respectée, le salaire de source fran-çaise est imposable en France et la retenue à la source doit s’appliquer. L’employeur est le seul responsable du prélèvement de la retenue et doit la reverser au Trésor Public le 15 du mois qui suit le paiement du salaire. Ces conditions s’appliquent aux techniciens non-résidents de France y compris pour le réalisateur.

Artistes interprètes résidant hors de FranceLes conventions internationales sur les

doubles impositions peuvent prévoir des clauses spécifiques pour les artistes. Par exemple, la convention fiscale franco-américaine prévoit un prélèvement de 15% sur le montant de la rému-nération. Ce taux est applicable au salaire brut. La partie des rémunérations versée hors tour-nage à titre de redevances liées à l’exploitation du film n’est pas imposable en France.

TAXATION AND TAXES

Corporate taxA foreign company which is present in

Guadeloupe for a short duration, or during the course of a production, is not taxable provided that it does not have a permanent establish-ment in the territory.

Value-added tax (VAT)According to the approximated European

VAT system, Guadeloupe receives value-added tax on sales of products and services in Guade-loupe, whether of national or foreign source.

Companies established in France and the DFA can deduct the tax paid on their expenditure from the tax on their earnings, except for some services on which the tax cannot be recovered.

VAT exemptionsWhen films which are to be processed in a

laboratory are sent to Guadeloupe and then re-exported, they are are VAT free. More broadly, any so-called “processing” operation carried out in Guadeloupe on behalf of a foreign com-pany is VAT free when the goods are exported abroad. For example, film dubbing or digital special effects, deemed to be processing, are not assessable for VAT when the work is carried out for an order giver established abroad and when the films are shipped outside France.

Minimum rate of taxation on company ear-nings, depending on the company’s size: VAT rate: 0% - 2.1% - 5.5% - 8.5%

VAT refundsVAT refunds are reserved to foreigners

who are not established in France and who have not performed any services in France du-ring a calendar quarter or a calendar year. The expenses concerned by the VAT refunds are the following:

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de la personne filmée est obligatoire. Elle doit comprendre à la fois la description de la prise de vues et l’utilisation ultérieure qui en sera faite. Cette autorisation doit, dans la mesure du pos-sible, être écrite, car la preuve du consentement, en cas de litige, est à la charge du producteur.

COPYRIGHT/AUTHOR’S RIGHTS

The legislative frameworkCopyright in Guadeloupe is protected by

the provisions of the Intellectual Property Code, which contains the applicable rules in this area. According to Article L.111-1 of the Code, “the author of an intellectual work enjoys in that work, by the mere fact of its creation, an exclu-sive property right enforceable against all per-sons”. Nevertheless any author can transfer all or part of this right to an individual or a legal entity by means of inheritance, a bequest, an assignment... The person is then the beneficiary.

Economic rightsOnce the work is disclosed, the author has

the right to obtain a financial gain from it. These are the rights that the author can transfer in consideration for payment and they include the performance right and the reproduction right.

The author’s moral rightThe author of an intellectual work, by the

mere fact of its creation and without any for-mality, has a right granting him the exclusive

authority to have his name, capacity and work respected. The work is deemed to be the ex-tension of the author’s personality. This moral right is inalienable.

The rights of the author of the workWorks (sculptures, paintings, architectu-

ral works, etc.) exhibited or kept in museums and in certain public places (parks, gardens or other places) are not automatically in the pu-blic domain. Some are still protected by copy-right. Consequently, taking a photograph of a work and using it subsequently is subject to the authorization of the author or his beneficiaries. It is advisable to make inquiries with the orga-nizations responsible for their preservation or exhibition to obtain the particulars of the artist, his beneficiaries or the authors’ societies repre-senting them.

Duration of protection of the worksAccording to Article L.121-1 of the Intel-

lectual Property Code, the author has the right to exploit his work during his lifetime. When he dies, this right is transferred to his beneficiaries during the calendar year of his death and it lasts for the following 70 years (Article L.123-7). At the end of this period, the work enters the pu-blic domain. If it is a work of collaboration, the calendar year taken into consideration is that of the death of the last surviving collaborator. For audiovisual works, the calendar year taken into consideration is that of the death of the last of

the following surviving authors: author of the screenplay, the dialogues, the original musical compositions, the film director. The duration of protection of a work produced under a pseu-donym, whether anonymous or collective, is in principle 70 years from January 1 of the calen-dar year following that of the publication (Ar-ticle L-123-3). For posthumous works, the dura-tion of the right is in principle 70 years from the date of publication of the work (L-123-4).

Respect of the right of personal portrayalOne of a citizen’s fundamental rights is

the right to the respect of his privacy and it is a principle which is set out in Article 9 of the Civil Code. Respect of the right of personal por-trayal derives from this principle. Any person whosoever has an exclusive and absolute right to his image and the use that is made of it.

When photographs are taken in an airport, a public garden, etc., the person taking them must obtain the consent of the persons present. However, it is customary for this authorization to be dispensed with in certain cases where the consent is deemed to be tacit:— group shots, street scenes, public events. It is advisable not to take close-ups and not to dwell too long on one person in particular,— shots of personalities taken in the perfor-mance of their duties or at events of their pu-blic life.

When these images are shown, the com-ment or caption must not in any circumstance 12

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DROITS D’AUTEUR

Le cadre législatifLe droit d’auteur, en Guadeloupe, est proté-

gé par les dispositions du Code de la Propriété Intellectuelle dans lequel on retrouve les règles applicables à ce domaine. Selon l’article L.111-1 du code, « l’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa créa-tion, d’un droit de propriété exclusif et oppo-sable à tous ». Il peut néanmoins céder tout ou partie de ce droit au bénéfice d’une personne physique ou morale à l’occasion d’une succes-sion, d’un legs, d’une cession... Celle-ci repré-sente alors les ayants droit.

Les droits patrimoniauxL’auteur dispose, après divulgation de

l’œuvre, du droit de tirer un profit pécuniaire de celle-ci. Ce sont ces droits que l’auteur peut céder en contrepartie d’une rémunération, ils comprennent le droit de représentation et le droit de reproduction.

Le droit moral de l’auteurL’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit, du

seul fait de la création et sans formalité, d’un droit lui conférant le pouvoir exclusif de faire respecter son nom, sa qualité et son œuvre. L’œuvre est considérée comme le prolonge-ment de la personnalité de l’auteur. Ce droit moral est inaliénable.

Le droit de l’auteur de l’œuvre photographier Les œuvres (sculptures,

peintures, œuvres architecturales, ...) exposées ou conservées dans les musées et dans certains lieux publics (parcs, jardins ou autres) ne re-lève pas automatiquement du domaine public. Certaines sont encore protégées par le droit d’auteur. En conséquence, toute prise de vue de l’œuvre et son utilisation ultérieure est sou-mise à autorisation de l’auteur ou de ses ayants droit. Il est conseillé de se renseigner auprès des organismes chargés de la conservation ou de l’exposition afin d’obtenir les coordonnées de l’artiste, de ses ayants droit ou des sociétés d’auteurs qui les représentent.

Durée de la protection des œuvres Selon l’article L.121-1 du Code de la Pro-

priété Intellectuelle, l’auteur jouit du droit d’exploiter son œuvre sa vie durant. A son dé-cès, ce droit est transmis à ses ayants droit pen-dant l’année civile en cours et les soixante-dix années suivantes

(Article L.123-7). Au terme de cette pé-riode, l’œuvre relève du domaine public. Dans le cas d’une œuvre de collaboration, l’année civile prise en considération est celle de la mort du dernier vivant des collaborateurs. Pour les œuvres audiovisuelles, l’année civile prise en considération est celle de la mort du dernier vivant des auteurs suivants : auteur du scéna-rio, des dialogues, des compositions musicales originales, réalisateur. La durée de protection

d’une œuvre pseudonyme, anonyme ou col-lective, est de 70 ans à compter en principe du 1er janvier de l’année civile suivant celle de la publication (L-123-3). Pour les œuvres pos-thumes, la durée du droit est de 70 ans à comp-ter en principe de la date de la publication de l’œuvre (L-123-4).

Respect du droit à l’image Le droit au respect de la vie privée fait

partie des droits fondamentaux du citoyen et se trouve érigé en principe à l’article 9 du Code Civil. Le respect du droit à l’image découle de ce principe. Toute personne quelle qu’elle soit, a sur son image et sur l’utilisation qui en est faite un droit exclusif et absolu.

Lorsque des prises de vues sont effectuées dans un aéroport, un jardin public, etc., le réa-lisateur doit obtenir le consentement des per-sonnes présentes. Cependant, l’usage dispense de cette autorisation dans certains cas pour les-quels on estime le consentement tacite   :— prises de vues de groupes, scènes de rue, manifestations publiques. Il est conseillé de ne pas réaliser de gros plans et de ne pas s’attar-der sur une seule personne.— prises de vues de personnalités réalisées dans l’exercice de leur fonction ou lors d’évé-nements de leur vie publique.

Lorsque ces images seront diffusées, le commentaire ou la légende ne devra en aucun cas porter préjudice aux personnes filmées. A l’exception de ces deux cas, une autorisation

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be prejudicial to the persons filmed. Except for these two cases, an authorization of the person being filmed is compulsory. It must in-clude both the description of the shots taken and the subsequent use to be made of them. To the extent possible, this authorization must be given in writing, since proof of consent in the event of litigation lies with the producer.

MUSIQUE, CINÉMA ET DROIT D’AUTEUR

Musique préexistanteIl s’agit d’œuvres musicales déjà publiées.

Elles peuvent provenir de deux sources :— D’un disque ou d’une cassette du commerce ou d’illustration musicale. Une trentaine de firmes (liste disponible auprès de Film France) présentent des catalogues de musique spécia-lement conçus pour l’illustration musicale, où l’on trouve une large variété d’orchestrations, de rythmes différents.— D’un enregistrement réalisé à la demande du producteur pour son film, voire d’un enre-gistrement lors du tournage (interprétation d’un thème musical ou d’une chanson par un comédien...).

Pour toute musique du répertoire général, le producteur doit demander et obtenir préala-blement l’autorisation de reproduction auprès de la SACEM-SDRM Bureau de l’audiovisuel ou dans les délégations régionales, en indiquant par une simple lettre les œuvres choisies, l’ori-gine de l’enregistrement utilisé et la destination

du film. La SACEM-SDRM consulte les ayants droit au cas par cas et parfois à l’étranger.www.sacem.fr

Musique originale ou de « commande » Il s’agit de compositions musicales avec

ou sans paroles, spécialement réalisées pour l’œuvre audiovisuelle. Cette commande est rémunérée en tant que telle, et l’accord entre le compositeur (et l’auteur en cas d’œuvre musi-cale avec paroles) et le producteur réservera formellement les droits de reproduction et de représentation publique de l’œuvre originale dont le compositeur (et éventuellement l’au-teur) a fait apport à la SACEM, s’il est représenté par celle-ci.

MUSIC, CINEMA AND COPYRIGHT

Existing musicThis means already published musical

works. They can come from two sources:— a commercial disk or cassette or a musical illustration. About 30 firms (the list is available from Film France) have catalogues of music specially designed for musical illustration, containing a broad variety of orchestrations and different rhythms:— a recording made at the producer’s request for his film, even a recording made during fil-ming (performance of a musical theme or a song by an actor, etc.).

For any music from the general repertoire,

the producer must first ask for and obtain the reproduction authorization of the SACEM-SDRM Audiovisual Office or the regional delegations, indicating in an ordinary letter the works cho-sen, the origin of the recording used and what the film is intended for. The SACEM-SDRM consults the beneficiaries on a case by case ba-sis and even sometimes when they are abroad.www.sacem.fr

Original soundtrack or music “on order”These are musical compositions with or

without lyrics, specially produced for the au-diovisual work. The order is remunerated as such and the agreement between the compo-ser (and the author if it is a musical work with lyrics) and the producer will formally reserve the reproduction and public performance rights of the original work which the composer (and possibly author) has contributed to the SACEM, if he is represented by it.

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Tournage Death in Paradise

BBC1 / Red Planet Pictures

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Note de l’éditeurAux termes de la propriété intellectuelle, toute reproduction ou représentation, inté-grale ou partielle de la présente publication, faite par quelque procédé que ce soit (reprographie, microfilmage, scannérisation, numérisation..) sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants droit ou ayants cause est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-3 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

Imprimeur / Printing company

BLF Impression, Le Haillan – www.blfimpression.fr

Consultants / Consultants

Film France - Commission nationale du film

9, rue du Château, 75010 Paris

Crédits photographies / Photography Credits

P 9 Vieillard (P.Virapin)

P 10 Les Îles de Guadeloupe (BAT)

P 11 Forêt (Parc National)

P 13 Zevallos (BAT)

P 15 Pointe des Châteaux (BAT)

P 16 Restaurant, Gosier (CTIG)

P 17 Île de Petite-Terre (BAT)

P 17 Plage (BAT)

P 18 Carte des îles de Guadeloupe (CTIG)

P 35 Enfants (CTIG)

P 36 Phare de Vieux-Fort (BAT)

P 36 Paysage volcanique (Parc National)

P 37 Cimetière (N.Nabajoth)

P.37 Vieux-Habitants (BAT)

P 38 Le Dôme de la Soufrière (Parc National)

P 40 La mangrove (Parc National)

La région Guadeloupe vous remercie pour votre créativitéThe Guadeloupe regional council would like to thank you for your creativity

Be inspired by Guadeloupe

Editor’s noteIn accordance with intellectual property law, any reproduction or representation of this publication, in full or in part, made by any process whatsoever (reprography, microfilm, scanning, digitization, etc.) without the consent of the author or his beneficiaries or assigns, is unlawful and constitutes infringement sanctioned by Articles L.335-3 and following of the Intellectual Property Code.

Direction de la publication / Publication department

Dominique Laban

Comité de pilotage / Steering Committe

Fély Kacy-Bambuck (présidente commission Culture du

Conseil régional de Guadeloupe)

Nina Gélabale (directrice de la Culture et de la Formation

Artistique)

Rédactions / Editorials

Service Arts plastiques, Cinéma, audiovisuel et édition  ;

la commission régionale du film  ; le Comité du Tourisme

des Îles de Guadeloupe  ; Commission nationale Film France

Coordination  / Coordination 

Myriam Badia, Tony Coco-Viloin, Kelly Palmin, Joël Cabrera,

Marie-Line Lavaury

Remerciements / Special thanks

Laurent Moutou et Frédéric Asdrubal

Éditeur / Editor

Céline Levillain (Mutandis)

Traductions / Translation

MOM – Traductions Motte – [email protected]

Création graphique / Graphic design

Emeline Vivier – www.emelinevivier.com

P 41 Forêt (Parc National)

P 41 Parc National de Guadeloupe

P 43 Côte (BAT)

P 43 Mangrove (Parc National)

P 44 Maison de la Mangrove (BAT)

P 44 Ville de Pointe-à-Pitre (BAT)

P 45 Vestiges, le Moule (BAT)

P 45 Usine à Jarry (P.Virapin)

P 46 Fort Napoléon (CTIG)

P 46 Eglise du Moule (BAT)

P 47 Habitation le Maulduy (CTIG)

P 47 Île Caret (CTIG)

P 48 Matériel de tournage (BAT)

P 50 Photo de tournage (BAT)

P 53 Equipe de la série télévisée ‘Death in Paradise’ (BAT)

P 59 Deshaies (BAT)

P 67 Lycée (CTIG)

P 70 Photo de tournage (BAT)

P 74 Pont de l’Alliance (BAT)

P 88 Photo de tournage (BAT)

P 127 Photo de tournage (BAT)

Société de production :E-mail :

accordé non-accordé

adresse :

tél. / fax :mobile :

Directeur de société :Directeur de production :Régisseur ou contact :Bureau de préparation :E-mail :adresse :tél / fax : LE

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LES AUTORISATIONS DE TOURNAGES

MAIRIE DE (971…)

MISSION CINÉMA – AUDIOVISUEL

DEMANDE D’AUTORISATION DE TOURNAGE

(Ville) le,

Cadre réservé à la municipalité*

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Type de production :

court métragelong métragesérie TV fiction TVfilm d’écoledocumentairefilm publicitairephotophoto publicitaireautre à préciser :

Documents fournis (rayer les mentions inutiles) :

lettre de présentation (obligatoire)scénario (obligatoire)synopsisstoryboardattestation d’assurance (obligatoire)techniciens (liste obligatoire) :

comédiens (liste obligatoire) :

figurants :

mannequins :

Véhicule(s) de jeu (marques, types, immatriculations..) :

PROJET DE PRODUCTION (COCHER LA BONNE CASE) :

cinema audiovisuel photo

Titre :Durée : Réalisateur :Nombre de jours de tournage :Principaux interprètes :

Dates de tournages : Budget prévisionnel :Nationalité :

Diffuseur(s) : Équipe :

Véhicule(s) techniques (Nb total, types et immatriculation) :

Cantine (lieu) :Ventousage (lieux) :

Groupe électrogène :Attaché de presse :Coproduction :Distributeur :

FILMING AUTHORIZATIONS

TOWN HALL OF (971…)

CINEMA – AUDIOVISUAL MISSION

FILMING AUTHORIZATION APPLICATION

(Town) (date) ,

Space reserved for the municipality*

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Production company:E-mail :

granted refused

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Company director:Production director:Location manager or contact:Preparation office:E-mail :address :tel / fax :

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PRODUCTION PROJECT (PUT A CROSS IN THE APPROPRIATE BOX):

cinema audiovisuel photo

Title:Length: Film director:Number of days of filming:Principal performers:

Filming dates: Projected budget:Nationality:

Distributor(s):

Team:

Technical vehicle(s) (Total number, types and registration numbers):

Canteen (seating):Traffic control (places):Electricity generator:Press attaché:Coproduction:Distributor:

Type of production:

short feature lengthTV seriesTV fictionschool filmdocumentaryadvertising filmphotoadvertising photoother - describe:

Documents provided (strike through if not applicable):

letter of presentation (compulsory)screenplay (compulsory)synopsisstoryboardinsurance certificate (compulsory)technicians (compulsory list):

actors (compulsory list):

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film vehicle(s) (makes, types and registration numbers):

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