figure de style

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Les figures de stylesElles sont utilises pour s exprimer. Une figure modifie le langage ordinaire pour le rendre plus expressif FIGURE DE STYLE PERSONNIFICATION n.f. ANAPHORE n.f. ANTITHESE n.f. DEFINITION EXEMPLE

Attribuer des qualits humaines un animal ou - Le jardin dormait encore. un objet. Rptition d une mme expression ou d un mme mot en dbut de phrase 2 termes de sens opposs dans une mme phrase Etablir un parallle entre un compar et un comparant l aide d un mot-outil (comme, semblable ...) Juxtaposition d'une srie de termes - Oublie-la Hmon ! Oublie-la mon petit ! (Antigone) - Tu as choisi la vie et moi la mort. ( Antigone) - Tu dfends ton bonheur comme un os ! (Antigone) - Un gros meuble tiroirs encombrs de bilans, de vers, de billets doux, de procs et de romances. - Je me meurs, je suis mort, je suis enterr.(Molire) -Va, cours, vole, et nous venge

COMPARAISON n.f.

ENUMERATION n.f.(l accumulation)

GRADATION n.f.

Succession de mots ou d'expressions de sens voisins selon un ordre croissant ou dcroissant

(Corneille)- Un bruit rveiller un mort - C est du joli, c est du propre ! (Antigone). - Surtout ne te presse pas !(fais vite !) - tombeau, lit nuptial, demeure souterraine ! (Antigone) -Allons, ma vieille bonne pomme rouge.(Antigone) - Acheter un Picasso. - Manger son assiette - Une nuit claire / un jour obscur. - La capitale du Maroc= Rabat - Le roi des animaux= le lion Le tout pour la partie : - Le Maroc a gagn la finale (pour l'quipe de foot du Maroc ...) La partie pour le tout : - Je quitterai bientt ces murs (pour cette maison )

HYPERBOLE n.f. ANTIPHRASE n.f. (ironie ;moquerie)

Exagration dans le choix des mots Dire le contraire de ce que l on pense

METAPHORE n.f.

Etablir une assimilation entre un compar et un comparant, sans outils de comparaison.

METONYMIE n.f.

Remplacer un lment par un autre lment appartenant au mme ensemble logique (contenu -> contenant ; partie -> tout) Runir l intrieur d une mme expression deux mots aux sens opposs Remplacer un terme par une expression qui le dfinit

OXYMORE n.m. PERIPHRASE n.f.

SYNECDOQUE n.f.

Remplacer un mot par un autre ayant une relation d inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie).

accumulation

Identifiez les figures de style dans les phrases suivantes tires de la bote merveilles : 1/Le soir, il rentre le c ur gros et les yeux rougis. 2/Les lendemains de ces ftes taient des jours mornes, plus tristes et plus gris que les jours ordinaires. 3/Je me levais de bonne heure pour aller au Msid, cole Coranique situe deux pas de la maison. 4/, la chouafa gmissait, se plaignait, conjurait, se desschait dans des nuages d'encens et de benjoin. 5/Ma mmoire tait une cire frache. 6/Ils aimaient aussi jouer la bataille, se prendre la gorge avec des airs d'assassins, crier pour imiter la voix de leur pre, s'insulter pour imiter les voisins, commander pour imiter le matre d'cole. 7/un grand maigre barbe noire, dont les yeux lanaient constamment des flammes de colre. 8/Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements inexplicables et injustifis. 9/Ma mre fondit sur moi. 10/Elle me sortit du seau, me jeta dans un coin comme un paquet 11/(Elle) m'emporta moiti mort l'air frais. 12/ Chacun de ces objets me parlait son langage. 13/On voyait natre le drame, on le voyait se dvelopper, atteindre son paroxysme et finir dans les embrassades ou dans les larmes. 14/Le matin, dbordante d'enthousiasme, , le soir, de trouver quelque motif de... 15/Ma mre, se cachant le visage dans ses deux mains, poussa un long sanglot et se mit pleurer chaudes larmes. 16/Chacune des antagonistes, penche hors de sa fentre, gesticulait dans le vide, crachait des injures que personne ne comprenait, s'arrachait les cheveux. Possdes du dmon de la danse, elles faisaient dtranges contorsions. 17/Ctait une tempte, un tremblement de terre, le dchanement des forces obscures, lcroulement du monde. 18/ Mes oreilles taient au supplice, mon c ur dans ma poitrine heurtait avec force les parois de sa cage. 19/Ses yeux n'taient permables aucune piti. 20/Son brasero entama timidement sa chanson. Corrig 1/Le soir, il rentre le c ur gros et les yeux rougis.met 2/Les lendemains de ces ftes taient des jours mornes, plus tristes et plus gris que les jours ordinaires.comp , met ,person , 3/Je me levais de bonne heure pour aller au Msid, cole Coranique situe deux pas de la maison.periph 4/Et dans la pnombre de sa grande pice tendue de cretonne, la chouafa gmissait, se

plaignait, conjurait, se desschait dans des nuages d'encens et de benjoin.met,grad 5/Ma mmoire tait une cire frache et les moindres vnements s'y gravaient en images ineffaables.met 6/Ils aimaient aussi jouer la bataille, se prendre la gorge avec des airs d'assassins, crier pour imiter la voix de leur pre, s'insulter pour imiter les voisins, commander pour imiter le matre d'cole.enum 7/un grand maigre barbe noire, dont les yeux lanaient constamment des flammes de colre.pers 8/Toutes ces femmes parlaient fort, gesticulaient avec passion, poussaient des hurlements inexplicables et injustifis.grad 9/Ma mre fondit sur moi.hyp 10/Elle me sortit du seau, me jeta dans un coin comme un paquet comp 11/(Elle)m'emporta moiti mort l'air frais sur l'estrade aux baluchons hyp 12/Dans la Bote Merveilles il y avait une foule d'objets htroclites qui, pour moi seul, avaient un sens: des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous tte dore, des encriers vides, des boutons dcors, des boutons sans dcor. Il y en avait en matire transparente, en mtal, en nacre. Chacun de ces objets me parlait son langage.enum 13/On voyait natre le drame, on le voyait se dvelopper, atteindre son paroxysme et finir dans les embrassades ou dans les larmes.grad 14/Le matin, dbordante d'enthousiasme, elle ne manquait jamais, le soir, de trouver quelque motif de querelle ou de pleurs.hyp,antith 15/Ma mre, se cachant le visage dans ses deux mains, poussa un long sanglot et se mit pleurer chaudes larmes.hyp 16/Chacune des antagonistes, penche hors de sa fentre, gesticulait dans le vide, crachait des injures que personne ne comprenait, s'arrachait les cheveux. Possdes du dmon de la danse, elles faisaient dtranges contorsions.grad 17/Ctait une tempte, un tremblement de terre, le dchanement des forces obscures, lcroulement du monde.grad 18/Je n'en pouvais plus. Mes oreilles taient au supplice, mon c ur dans ma poitrine heurtait avec force les parois de sa cage. Les sanglots m'touffrent et j'croulai aux pieds de ma mre, sans connaissance. Hyp,grad 19/Se yeux n'taient permables aucune piti.met , pers 20/Son brasero entama timidement sa chanson.pers