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Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension.

FESTIVAL PIQUE-NIQUE

20 12 20JUIN JUIL JUIL

www.flaneriesreims.com

Concert n°52

Sur instruments baroques • Jean-Baptiste LULLY (1632-1687) : Le Bourgeois Gentilhomme (1670)

- Ouverture- Canaries- Deuxième Air des Garçons tailleurs- Cérémonie pour les Turcs

• Jean-Philippe RAMEAU (1702-1764) : Les Indes Galantes (1735)

- Prologue – Entrée des quatre Nations- Prologue – Musette en Rondeau- Prologue – Menuets 1&2- Le Turc généreux – Rigaudons 1&2- Le Turc généreux – Tambourins 1&2- Les Sauvages – Danse du Grand calumet de la paix- Les Sauvages – Chaconne

Sur instruments romantiques français (1880)• Léo DELIBES (1836-1895) : Coppélia (1870)

- Entracte et Valse- Prélude et Mazurka

• Jules MASSENET (1842-1912) : Le Cid- Castillane- Andalouse- Aubade- Madrilène- Navarraise

Entracte

Sur instruments du début du 20e siècle (1913)• Igor STRAVINSKY (1882-1971) : Le Sacre du printemps (1913)

Première partie : L’adoration de la terre

- Introduction- Augures printaniers – Danses des adolescentes- Jeu du rapt- Rondes printanières- Jeu des cités rivales- Cortège du Sage- L’Adoration de la Terre – Le Sage- Danse de la terre

Seconde partie : Le sacrifice- Introduction- Cercles mystérieux des adolescentes- Glorification de l’élue- Evocation des ancêtres- Action rituelle des ancêtres- Danse sacrale – L’élue

juillet 2013 •10 20h 15¤ • 20¤

Centre des Congrès de Reims

LOGOTYPE COULEURFOND BLANCNº dossier : 20120475E

Date : 15/02/2013

Validation DA/DC :

Validation Client OR LUXOR 332

P200C

P7637C

NOIR

Les SièclesFrançois-Xavier Roth /direction

Le concert sera suivi d'une vente de disques

Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension.

Entretien avec François-Xavier Roth

Propos recueillis par Anne de La Giraudière

Grand spécialiste de l’orchestre stravinskien avec notamment un album consacré à Stravinsky encensé par la critique internationale, comment avez-vous abordé le Sacre du printemps ?

François-Xavier Roth : Pour célébrer le centenaire du Sacre, nous avons voulu restituer la partition dans ses couleurs d'origine, sur les instruments d'époque qui faisaient alors de Paris, la capitale mondiale de la facture instrumentale. Ce programme s’inscrit dans le prolongement de notre projet autour des Ballets russes, cet incroyable laboratoire de création imaginé par Serge Diaghilev à Paris. L'écriture de Stravinsky y incarne alors l'excellence de la facture française et il compose pour Les Ballets Russes, les sons et les teintes de la musique moderne. Nous avons souhaité recréer cet orchestre des Ballets Russes, parmi les plus fascinants à Paris au début du XXe siècle

Qu’apportent les instruments d’époque par rapport aux instruments modernes dans votre lecture de l’œuvre ?

François-Xavier Roth : La facture des cordes en boyaux et vents issus des ateliers français du début du XXe siècle donne une tout autre perception dynamique. Les sonorités et les teintes orchestrales retrouvent toutes leurs nuances, celles souhaitées par Stravinsky, inspiré très étroitement par les possibilités de timbres spécifiques des instruments français et des combinaisons expressives qui en découlent. Au-delà des instruments, Stravinsky donne beaucoup d’indications sur la manière de jouer, d’articuler les nuances. L’originalité de notre démarche était de comprendre ces techniques de jeux, les apprivoiser pour restituer au mieux les couleurs d’origine de l’orchestre stravinskien.

Comment avez-vous travaillé justement pour retrouver les couleurs originales du Sacre ?

François-Xavier Roth : J’ai travaillé sur les éditions originales de la partition qui a subi beaucoup de modifications avec le temps. Il a fallu plusieurs mois de recherches en collaboration avec le musicologue Louis Cyr et les éditions Boosey and Hawkes afin de démêler les nombreuses retouches apportées entre le premier manuscrit et les différentes versions par Stravinsky lui-même, ainsi que des chefs d’orchestre ayant contribué aux éditions successives. J’ai un plaisir tout particulier aujourd’hui à présenter le Sacre tel qu’il a été joué lors de sa création le 29 mai 1913.

Que représente pour vous le Sacre du Printemps ?

François-Xavier Roth : Un monument de l’histoire de la musique ! Avec le Sacre, Stravinsky a composé une musique d’une puissance tellurique qui coule sur vous comme une lave de sons et de rythmes. Il est toujours difficile de définir un chef-d’œuvre. C’est quelque chose qui dépasse la musique en elle-même, un phénomène déconcertant qui vous prend aux tripes, vous bouleverse profondément et ne peut laisser personne insensible

Quels sont vos projets avec Les Siècles pour la saison prochaine ?

François-Xavier Roth : Lakmé de Delibes à l’Opéra comique en janvier 2014 et l’enregistrement d’un nouvel album autour des œuvres de Paul Dukas. Nous allons aussi jouer pour la première fois au prestigieux Alte Oper de Francfort puis réaliser toute une tournée en Allemagne autour Dutilleux. Un enregistrement du Sacre doit également sortir dans moins d’un an.

Fidèle à la recherche d’authenticité qui anime Les Siècles, François-Xavier Roth a entrepris de redonner la version originale de cette œuvre mythique, interprétée sur des instruments français du début du XXe siècle. Les Siècles font ainsi entendre Le Sacre du Printemps tel qu’il a été joué le soir de sa création, ce fameux 29 mai 1913 qui a vu une salle entière bouleversée par l’audace de la représentation.

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De Lully à Stravinsky : quatre siècles de ballet

Les Siècles proposent un programme parcourant quatre siècles de musique, sur trois instrumentariums différents ! Danse et musique sont à l’honneur dans une restitution sur instruments d’époque de grands ballets qui ont marqué le goût français. Un programme original qui va du baroque flamboyant de Lully à la modernité radicale de Stravinsky.

En choisissant quelques œuvres phares s’étalant sur une vaste période, François-Xavier Roth et Les Siècles brossent un portrait saisissant et réfléchi de la musique chorégraphique créée en France, en s’appuyant non seulement sur les travaux musicologiques les plus récents, mais aussi en souhaitant restituer les sonorités propres à chaque ouvrage. Fidèle à sa vocation, l’orchestre des Siècles réunit des musiciens capables d’utiliser des instruments de différentes époques afin de mettre en perspective plusieurs siècles de création musicale. Le rôle de Louis XIV est déterminant dans la formation d’un patrimoine musical chorégraphique français : le Roi Soleil fonde en 1661 l’Académie royale de danse, chargée de codifier la chorégraphie, puis, en 1669, l’Académie royale de musique qui comprend une troupe de danseurs professionnels de haut niveau, presque aussitôt dotée d’une école chargée de les former, laquelle célèbre son tricentenaire cette année. Lui-même excellent danseur pouvant se produire sur scène, Louis XIV favorise aussi l’éclosion de nouveaux genres dramatiques intégrant la danse avec l’aide de Jean-Baptiste Lully (1632-1687), compositeur et danseur d’origine italienne qu’il nomme Surintendant de la Musique en 1661. Peu après, Lully entame une collaboration fructueuse avec Molière en écrivant la musique de plusieurs comédies-ballets dont Le Bourgeois gentilhomme (1670) reste une des plus accomplies. La danse intervient avec à-propos dans la pièce sous la forme d’intermèdes chorégraphiques les plus divers allant d’un court intermède, tel « l’air des garçons tailleurs » (acte I), à une scène plus développée, comme la « Cérémonie pour les Turcs », épisode bouffon destiné à introniser M. Jourdain grand Mamamouchi (acte IV) et dès lors pétri de rythmes et sonorités singulières. Au siècle suivant, Jean-Philippe Rameau (1683-1764) prolonge cette tradition

chorégraphique dans Les Indes galantes (1735). Cet opéra-ballet, conforme au genre définitivement établi par Campra avec L’Europe galante (1697), enchaîne une succession d’entrées (ou tableaux) autonomes, reliées par un thème commun exposé dans un prologue, et dans lesquelles la danse occupe une place prédominante au détriment de l’action. Ainsi, quatre histoires d’amour se déroulent dans un cadre exotique au sens le plus large puisque l’intrigue rebondit de la Turquie (« Le Turc généreux ») au Pérou (« Les Incas du Pérou ») puis de la Perse (« Les Fleurs ») en Amérique du Nord, peuplée d’Indiens (« Les Sauvages »)... Chaque entrée servait surtout de prétexte à introduire des décors fastueux, des effets spectaculaires et surtout des danses les plus diverses qui restent bien souvent dépourvues d’une réelle trame narrative, qu’elles soient caractéristiques (menuet, musette, rigaudon, etc.) ou non. L’ouvrage connut un important succès au XVIIIe siècle après s’être imposé difficilement, ce qui incita Rameau à en tirer rapidement plusieurs suites instrumentales. Les Siècles en présentent quelques extraits (dans une nouvelle édition établie par Sylvie Bouissou), comme les célèbres Tambourins du Turc généreux, la Danse du Grand calumet de la paix des Sauvages et la Chaconne finale, considérée comme une des pièces orchestrales les plus subtiles de Rameau.La danse ne perd pas sa suprématie au XIXe siècle, car elle investit encore la plupart des ouvrages lyriques donnés à l’Opéra de Paris et connaît a fortiori un nouvel âge d’or grâce à Adolphe Adam et Théophile Gautier qui établissent avec Giselle (1841) l’archétype du ballet romantique dont la valse reste la danse la plus emblématique. Élève d’Adam, Léo Delibes (1836-1891) perpétue cette tradition avec ses ballets dont on a souvent sous-estimé la portée et l’importance alors que Tchaïkovski avouait en découvrant Sylvia (1876) : « Si je l’avais connue avant, je n’aurais jamais écrit Le Lac des cygnes ».

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Le compositeur russe ne pouvait aussi méconnaître Coppélia (1870) dont l’énergie, la finesse orchestrale et la vivacité des rythmes, empruntés bien souvent au folklore d’Europe centrale (la mazurka polonaise), apportaient une couleur inédite dans la musique de ballet. Constituant un important divertissement chorégraphique, qui marque une pause dans l’action d’un opéra, le ballet du Cid (1885) de Jules Massenet (1842-1912) s’inscrit dans cette même veine bien qu’il relève d’un courant hispanique plus établi depuis les prestations légendaires de Fanny Elssler sur la Cachucha du Diable boiteux en 1836. Comme Delibes, Massenet a composé une suite de danses caractéristiques, contrastées et enlevées, sur lesquelles triomphera régulièrement leur première interprète et inspiratrice, la ballerine espagnole Rosita Mauri, qui avait elle-même confié au compositeur plusieurs motifs musicaux de son pays : contrairement à l’Aubade, construite sur un simple rythme de marche, leurs origines sont clairement évoquées dans les titres des morceaux et leur nature espagnole transparait dans les rythmes, les mélismes mélodiques et le rôle prédominant des percussions (castagnettes, tambourin, etc.). Ainsi, lorsque la troupe de Serge Diaghilev arrive à Paris en 1909, les Français sont tributaires d’une longue tradition chorégraphique d’autant que, contrairement à une idée communément répandue, la danse ne connut pas en France une interminable éclipse entre la mort d’Adam et l’avènement des Ballets russes. Au contraire, elle reste vivace, parfois novatrice avec – on l’a vu – Delibes, mais aussi Lalo (Namouna) ou Schmitt (La Tragédie de Salomé) dont les partitions, plus continues, s’enrichissent de rythmes et harmonies moins convenus. La danse investit aussi toutes les salles parisiennes, du Châtelet aux Folies-Bergère, où elle évolue, au tournant du siècle, sous l’influence de nouveaux interprètes, comme Loïe Fuller et Isadora Duncan qui renouvellent avec succès aussi bien l’aspect vestimentaire que la gestuelle chorégraphiques. Aussi les créations de L’Oiseau de feu (1910) et de Petrouchka (1911) d’Igor Stravinsky (1882-1971) suscitent-elles un véritable engouement.

Le scandale mémorable du Sacre du printemps, deux ans après, en sera dès lors d’autant plus étonnant. Considéré rapidement comme une des œuvres majeures du XXe siècle, le ballet de Stravinsky tranchait cependant avec les deux ouvrages précédant par une écriture musicale encore plus audacieuse – rythmes inédits et complexes, timbres rugueux, harmonies âpres et polytonales – pourtant au service d’un sujet dont le sous-titre en exprime la quintessence : « Tableaux de la Russie païenne » en deux parties, « L’Adoration de la terre » et « Le Sacrifice ». Stravinsky renonça d’ailleurs peu après à certains traits instrumentaux qu’il jugeait techniquement trop difficiles, notamment dans la Danse sacrale où l’alternance par mesure pizzicato / arco pour toutes les cordes disparut dès la première édition.Avec l’accord des éditions Boosey and Hawkes et l’aide de Louis Cyr, qui a étudié le manuscrit autographe de Stravinsky conservé en Suisse à la fondation Paul Sacher, les Siècles proposent de restituer la partition non seulement sur instruments d’époque, mais aussi telle qu’elle fut exécutée lors de sa création au Théâtre des Champs-Élysées, le 29 mai 1913, pour accompagner la chorégraphie tout aussi déroutante de Vaslav Nijinski.

Jean-Christophe Branger Maître de Conférence en musicologie (Université Jean Monnet de Saint-Etienne). Spécialiste de Jules Massenet, il est l’auteur de nombreux livres et articles. En 2010, il a dirigé l’ouvrage « Musique et chorégraphie en France de Léo Delibes à Florent Schmitt ».

L’interprétation de la version originale du Sacre du Printemps par Les Siècles a lieu avec la permission exceptionnelle des éditions Boosey & Hawkes Music Publishers Ltd.L’édition de 1967 éditée par Boosey & Hawkes reste la seule version possible pour d’autres concerts.

De Lully à Stravinsky : quatre siècles de ballet (suite)

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Biographies

Les Siècles

Formation unique au monde, réunissant des musiciens d’une nouvelle génération, capables d’utiliser aussi bien les instruments anciens que modernes, Les Siècles mettent en perspective, de façon pertinente et inattendue, plusieurs siècles de création musicale.Les Siècles se produisent régulièrement à Paris (Cité de la Musique, Salle Pleyel, Opéra-Comique), Aix-en-Provence, La Côte-Saint-André, Soissons, Laon, Caen, Nîmes, Royaumont et sur les scènes internationales à Bremen, Bruxelles, Wiesbaden, Luxembourg, Cologne, Amsterdam, Tokyo, Essen, Londres...Leur dernier disque Stravinsky a été élu « Disc of the Year » dans le Times, « Editor’s choice » dans le BBC music Magazine & Gramophone et a remporté le prestigieux prix « Edison Klassiek 2012 » aux Pays-Bas ainsi que le premier « Preis der Deutschen Schallplatten Kritik » en Allemagne. Leur enregistrement Bizet-Chabrier a été récompensé d’un Diapason d’Or et a reçu 5 étoiles dans le magazine allemand Fono Forum. Cinq opus sont déjà sortis dans leur label Les Siècles Live, en coédition avec Musicales Actes Sud : La Symphonie Fantastique de Berlioz, Symphonie n°3 et Concerto pour piano n°4 de Saint-Saëns, les Trames 2, 4 & 8 de Martin Matalon, L’Oiseau de Feu d’Igor Stravinsky et le Concerto pour piano n°2 de Théodore Dubois ainsi que La Dante Symphonie de Franz Liszt.Soucieux de transmettre au plus grand nombre la passion de la musique classique, les musiciens de l’ensemble proposent très régulièrement des actions pédagogiques dans les écoles, les hôpitaux ou encore les prisons. Les Siècles sont également l’acteur principal de l’émission de télévision Presto, proposée à plusieurs millions de téléspectateurs sur France 2 et éditée en DVD avec le concours du CNDP. Avec le programme Stravinsky, Les Siècles participeront pour la première fois au Festival de Radio France Montpellier et joueront pour le Week-end d’ouverture du plus grand festival du monde : les BBC PROMS.

www.lessiecles.com

François-Xavier Roth, direction

François-Xavier Roth est l'un des chefs les plus charismatiques et entreprenants de sa génération. Depuis septembre 2011, il est directeur musical de l’Orchestre symphonique de la SWR de Baden-Baden et Fribourg. Il est également Associate Guest Conductor du BBC National Orchestra of Wales et entretient par ailleurs des relations privilégiées avec le London Symphony Orchestra qu'il dirige régulièrement.Le répertoire de François-Xavier Roth s'étend de la musique du XVIIe siècle aux créations contemporaines, du répertoire symphonique ou lyrique à la musique d'ensemble. En accord avec cette démarche, il crée en 2003 "Les Siècles", orchestre d'un genre nouveau, jouant chaque répertoire sur les instruments historiques appropriés. Leur dernier disque Stravinsky vient d'être élu « Disc of the Year » dans le Times, « Editor's choice » dans le BBC music Magazine & Gramophone et a remporté le prestigieux prix « Edison Klassiek 2012 » aux Pays-Bas. Impliqué également dans la direction d'opéras, ses productions de Mignon d'Ambroise Thomas et des Brigands d'Offenbach à l'Opéra Comique de Paris ont été acclamées par la critique. Dans les saisons à venir, François-Xavier Roth dirigera Lakmé de Léo Delibes et Le Vaisseau Fantôme de Wagner.

www.francoisxavierroth.com

Mécénat Musical Société Générale est le mécène principal des Siècles.

L’orchestre est conventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication et la DRAC Picardie pour une résidence en Picardie.

Il est soutenu depuis 2011 par le Conseil Général de l’Aisne pour renforcer sa présence artistique et pédagogique sur ce territoire.

L’orchestre est également artiste en résidence au Forum du Blanc-Mesnil avec le soutien du Conseil Général de Seine-Saint-Denis et intervient régulièrement dans les Hauts-de-Seine grâce au soutien du Conseil Général 92 et de la Ville de Nanterre.

L’orchestre est soutenu par l’Art Mentor Foundation pour l’achat d’instruments historiques, le Palazzetto Bru Zane - Centre de musique romantique française, la Fondation Echanges et Bibliothèques, Katy & Matthieu Debost.

Le projet Stravinsky des Siècles est soutenu par la SPEDIDAM, société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées.

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Pascal Contet /accordéon

juillet2013

11 • 19h Champagne G.H.Mumm - Parc

• Pascal Contet : Introduction• François Couperin : Extraits du 25e ordre• Emilie Carrara : Hommage 1 à Edith Piaf « Mon amant de Saint-Jean » (arr. Pascal Contet)• Astor Piazzolla : Contrabajeando• Arne Nordheim : Flashing• Domenico Scarlatti : Sonate en si mineur• Michel Emer : Hommage 2 à Edith Piaf « L’accordéoniste » (arr. Pascal Contet)• Franck Bedrossian : Bossa Nova• Marguertie Monnot : Hommage 3 à Edith Piaf en un Final champêtre « Hymne à l’amour » (arr. Pascal Contet)

• Jacques Rebotier : Peut-êtreHOMMAGE À ÉDITH PIAF

©DR

Zoom sur...

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CONCERT PIQUE-NIQUE, Samedi 20 juillet 2013

Rendez-vous au parc de Champagne à 19h pour le moment musical le plus convivial de l'année !

INFOS PRATIQUES

• Ouverture du parc au public à 17h.

• Tarifs : 12¤ en prévente / 15¤ sur placeGratuits pour les -14 ans

• Etant donné l'affluence à ce concert,nos amis les animaux ne sont pas acceptés.

• Possibilité d'acheter votre pique-nique sur place.

Au programme...

Première Partie : Ensemble Squillante /9 saxophones

• Jean-Sébastien Bach : Toccata et Fugue en Ré• Edvard Grieg : Suite Holberg op.40• Modeste Moussorgski : Une nuit sur le Mont Chauve• Igor Stravinsky : Pulcinella• Astor Piazzolla : Primavera Porteña• Astor Piazzolla : Verano Porteño

Orchestre National de LorraineJacques Mercier /direction

Chœur Nicolas de GrignyJean-Marie Puissant /chef de chœur

Les grands airs d’opéra

• Georges Bizet : Carmen – Suite n°1 + Chœur début Acte IV• Alexandre Borodine : Le Prince Igor – Danses polovtsiennes (avec chœur)• Maurice Ravel : Boléro• Giuseppe Verdi : La Forza del destino – Ouverture• Giuseppe Verdi : Le Trouvère – Chœur des enclumes• Giuseppe Verdi : Macbeth – Chœur des sorcières• Giuseppe Verdi : Nabucco – Chœur des esclaves• Giuseppe Verdi : Aïda – Scène triomphale

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Responsable de publication Joëlle Damery, Déléguée Générale des Flâneries Musicales de Reims. - Tirage 600 exemplaires. Impression Diazo 51