faculté de médecine - sidi bel abbès

73
Faculté de mé decine - Sidi Bel Abbè s 2021 – 2022 MED - 1 7 0 1 QCM Al Zahir

Upload: others

Post on 21-Jun-2022

5 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

Page 1: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

2021 – 2022

MED - 1

7 0 1 QCM

Al Zahir

Page 2: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

2

S1 03 – 05 – 2021

S2 22 – 03 – 2021

S2 27 / 10 / 2020

S 1 17 / 11 / 2019

Rattrapage 11 / 09 / 2019

S 2 Juillet 2019

S 1 Novembre 2018

Rattrapage 06 / 09 / 2018

S 1 25 / 02 / 2018

S 2 19 / 11 / 2017

S 2 12 / 03 / 2017

S 1 14 / 11 / 2016

Rattrapage 06 / 09 / 2016

14 / 03 / 2016

S 1 16 / 11 / 2015

Rattrapage 06 / 09 / 2015

S 1 07 / 06 / 2015

13 / 14 26 / 11 / 2013

Page 3: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

3

1. La prise en charge du choc traumatique

hémorragique comprend :

a. Mise en place de voie veineuse de gros calibre.

b. Remplissage qui ne doit pas dépasser 1500 cc de

cristalloïdes et ou colloïdes.

c. Remplissage qui ne doit pas dépasser 2500 cc de

cristalloïdes et ou colloïdes.

d. Emploi précoce de vasopresseurs type noradrénaline.

e. Transfusion précoce de culots globulaires, de PFC et

de culots plaquettaires.

2. Les indications opératoires en urgence sont :

a. Hémopéritoine évolutif.

b. Hémothorax (volume supérieur à 1500 ml).

c. Plaie vasculaire extériorisée (cervicale ou des

membres).

d. Hématome intracrânien en particulier extradural (avec

effet de masse).

e. Délabrement majeur d’un membre (décision éventuelle

d’amputation sur des critères précoces).

3. Quel est le traitement d’un choc anaphylactique suite

à une injection de pénicilline ?

a. Arrêt de l’injection de pénicilline.

b. Injection d’atropine en IV.

c. Mise sous oxygène nasal.

d. Remplissage vasculaire : 10 ml /kg en 10 mn de

cristalloïdes.

e. Injection d’adrénaline : 0.25 mg dilué dans 10 ml de

SS 9 ‰.

4. Le choc septique se définit comme :

a. T° > 38 °C, GB < 4000 / mm³ et hypo TA.

b. T° < 36 °C, GB < 12000 / mm³ et hypo TA nécessitant

des catécholamines.

c. T° < 36 °C, GB > 12000 / mm³ et hypo TA réfractaire

suite à une infection documentée.

d. T° > 38 °C, FC > 90 /min et FR > 20 cycles /min.

e. T° < 38 °C, FR > 20 /min et une infection documentée.

5. Patient admis au urgence pour une altération de

l’état de conscience avec une TA = 08 / 04, FC= 130 bat

/ min, FR = 32 cycles /min. Que faite vous dans un

premier temps ?

a. Faire un examen neurologique complet.

b. Rechercher et traiter les signes de détresse vitale.

c. Faire une enquête étiologique.

d. Évaluer la profondeur du coma.

e. Faire un scanner cérébral d’emblée.

6. Votre patient est inconscient, gémis, n’ouvre pas les

yeux à la stimulation douloureuse et en position de

flexion des membres supérieurs et des membres

inférieurs. Quel est son score Glasgow ?

a. 5

b. 6

c. 7

d. 8

e. 9

7. À son admission à l’hôpital, un patient présente 3

crises convulsives avec un score Glasgow à 5. Que doit -

on faire ?

a. Liberté des voies aériennes.

b. Intubation et ventilation artificielle.

c. Radiographie du crâne.

d. Antiépileptique IV.

e. Ionogramme, glycémie et calcémie.

8. Quel est l’antidote d’une intoxication exclusive par

benzodiazépines ?

a. Pyridoxine.

b. Vitamine K.

c. N - acétylcystéine.

d. Flumazénil.

e. Sulfate de magnésium.

9. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par

les morphiniques ?

a. Bleu de méthylène.

b. Naloxone.

c. Temgésic.

d. N - acétylcystéine.

10. Dans les méningoencéphalites herpétiques chez

l’adulte, le germe est :

a. Herpès simplex type 1.

b. Herpès simplex type 2.

c. Est isolé dans le LCR.

d. Est sensible à l’aciclovir.

e. Toutes les réponses sont justes.

S1 03 – 05 – 2021

Page 4: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

4

11. Les antibiotiques utilisés en cas de

méningoencéphalite listerienne sont :

a. Ampicilline + gentamycine.

b. C3G + gentamycine.

c. Azithromycine + gentamycine.

d. Ampicilline.

e. Aucune réponse juste.

12. Dans la gravité de l’électrisation : RF

a. Les ampères brulent.

b. Les brulures électrothermiques ne traversent pas le

corps.

c. Le courant alternatif plus dangereux que le courant

continu.

d. Les trajets longs exposent aux complications

cardiovasculaires.

e. Un temps de contact prolongé est responsable d’une

contraction des extenseurs.

13. Lors d’une électrisation, l’atteinte myocardique est

due à :

a. Perturbation des phénomènes électriques.

b. Thrombose des artères coronaires.

c. Atteinte directe du myocarde par effet de joule.

d. Lésion myocardique anoxique.

e. Contusion myocardique par onde de choc.

14. Une femme de 70 ans hospitalisée suite à une

insuffisance cardiaque droite sévère sur une

bronchopneumopathie chronique obstructive, un

traitement médical a été instauré avec une perfusion

intraveineuse de diurétiques en raison d’une

aggravation des œdèmes périphériques, qui résiste à une

thérapeutique orale à forte doses. À l’examen il y’a des

œdèmes périphériques étendus avec ascite, elle ne

semble pas en détresse respiratoire. Les gaz du sang :

pH = 7.49, PCO2 = 51.8 mmHg, bicarbonate = 38

mmHg, CL = 88 mmol /l, Na+ = 131 mmol /l, K = 3

mmol /l, EB = + 6.8 mmol /l. Décrivez les échanges

gazeux :

a. Alcalose métabolique partiellement compensée.

b. Alcalose métabolique non compensée.

c. Alcalose respiratoire partiellement compensée.

d. Alcalose métabolique compensée.

e. Alcalose respiratoire compensée.

15. Le traitement consiste à :

a. Supplémentation en potassium ou diurétiques

d’épargne potassique.

b. Supplémentation en iodium ou soluté isotonique.

c. Supplémentation en bicarbonate.

d. Supplémentation en soluté riche en Cl - car le patient

est déshydraté.

e. L’admission en réanimation pour ventilation

mécanique.

16. L’explication la plus vraisemblable du déséquilibre

acide base :

a. Les ions de Na+ sont retenus dans le tube distal du

rein en échange avec des ions H+ à la place du K+.

b. Lors d’une déplétion potassique, les ions H+ sont

majoritairement sécrétés dans l’urine, entrainant une

élévation en HCO3-.

c. Les ions de HCO3- sont retenus dans le tube distal du

rein en échange avec des ions H+ à la place du Cl-.

d. Une acidose tubulaire rénale type 4.

e. Une hyponatrémie peut expliquer cette alcalose selon

le concept de Stewart.

17. L’examen TDM (avec injection de produit de

contraste) d’un patient présentant une pancréatite aigüe

révèle la présence de deux coulées pancréatiques et une

surface nécrotique estimée à 48 % de la surface totale

de la glande, quel est le score de BALTHAZAR ?

a. 4 points.

b. 5 points.

c. 6 points.

d. 8 points.

18. Une pancréatite aigüe sévère se caractérise par :

a. La présence d’une défaillance viscérale.

b. La protéine C - réactive > 150mg /l (valeur du 2ème

jour).

c. Le score de BALTHAZAR supérieur à 4 points.

d. Hyperleucocytose supérieure à 12000 / mm³ et

fréquence cardiaque supérieure à 90 bpm.

e. Température inférieure à 38 ° et fréquence respiratoire

égale à 20 cycles /min.

19. La prise en charge d’un noyé classé ‘petit hypoxique’

consiste en ce qui suit :

a. Une vidange gastrique systématique.

b. Une oxygénothérapie nasale.

c. L’administration de sérum bicarbonaté.

Page 5: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

5

d. L’administration de diurétiques.

e. Une antibiothérapie.

20. L’évaluation de la gravité d’une brulure se fait sur

la base des critères suivants :

a. L’étendu de la surface cutanée brulée.

b. Le degré de la brulure.

c. L’âge de la victime.

d. Les tares sous - jacentes.

e. Le délai de prise en charge.

21. En cas de brulure, la prise en charge initiale est

comme suite :

a. Déshabiller la victime.

b. Refroidir à l’eau.

c. Faire un pansement gras.

d. Poser une voie veineuse et entamer un remplissage

vasculaire.

e. Traiter la douleur.

22. La dissection aortique est suspectée devant :

a. L’apparition d’une douleur thoracique variant avec les

mouvements respiratoires.

b. Un contexte de chirurgie récente.

c. Une douleur thoracique intense et migratrice.

d. Une asymétrie des pouls.

e. Un déficit neurologique.

23. Parmi ces accidents transfusionnels, quels sont ceux

qui se manifestent par un œdème aigu du poumon ?

a. Transfusion massive.

b. Embolie gazeuse.

c. TACO.

d. TRALI.

e. Choc anaphylactique.

24. Le test de Scellong:

a. Est la mesure de la pression artérielle aux deux bras.

b. Est la mesure de la pression artérielle en position

allongée.

c. Est la mesure de la pression artérielle en position

allongée puis debout.

d. Recherche une hypotension orthostatique.

e. Recherche une hyper réflexivité sino carotidienne.

25. Une syncope neuro cardiogénique : la ou les RF

a. Est une syncope réflexe.

b. Est une syncope d’origine cardiaque.

c. Est déclenchée par un stimulus.

d. Est secondaire à une hypotension avec tachycardie.

e. Peut - être provoquée par une émotion ou une station

debout prolongée.

26. La libération des voies aériennes supérieures pour la

réanimation cardio respiratoire :

a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.

b. Pour une bonne oxygénation du sang.

c. Pour réduire le temps de la réanimation cardio

respiratoire.

d. Pour lutter contre les fausses routes.

e. Pour faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque

externe.

27. Le traitement chirurgical de l’ischémie aigue du

membre nécessite une :

a. Une fogarisation si le vaisseau est athéromateux.

b. Un pontage si l’occlusion est incomplète.

c. Une fogarisation si le vaisseau est sain.

d. Un pontage si le vaisseau est athéromateux.

e. Une dilatation si possible.

28. Le premier mécanisme à évoquer en présence d’une

anémie microcytaire arégénérative avec fer sérique bas

et ferritinémie normale est :

a. Un déficit en vitamine B12.

b. Une carence martiale.

c. Une inflammation.

d. Une carence en vitamine B6.

e. Une hémoglobinopathie.

29. L’anémie rencontrée au cours de l’insuffisance

rénale est le plus souvent de type :

a. Normochrome macrocytaire régénérative.

b. Normochrome normocytaire régénérative.

c. Hypochrome microcytaire hyposidérémique.

d. Hypochrome microcytaire hypersidérémique.

e. Normochrome normocytaire arégénérative.

30. Quel (s) est (sont) le (les) facteur (s) de l’hémostase

à faire doser en présence d’un allongement du TCA ?

a. Facteur IX.

b. Facteur VIII.

c. Facteur XI.

d. Facteur VII.

e. Facteur II.

Page 6: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

6

31. Un taux de plaquettes à 520000 /mm³ peut

s’observer au cours des affections suivantes :

a. Une anémie par carence en fer.

b. Une thrombopathie de Jean Bernard Soulier.

c. Une anémie inflammatoire.

d. Une thrombocytémie essentielle.

e. Une polyglobulie secondaire.

32. Madame H.M âgée de 28 ans, traitée pour une

polyarthrite rhumatoïde à base de méthotrexate à raison

de 20 mg /semaine et 7.5 de précortyl /jour, son poids

initial était de 50 kg, un TA de 105 / 65 mm Hg au

niveau des deux bras, elle se présente à la consultation 3

mois après pour un ictère cutanéo - muqueux avec

urine foncée et selle normo colorée, une asthénie

profuse, patiente est apyrétique et anorexique. Quels

bilans demanderiez - vous en première intention ?

a. Glycémie à jeun.

b. Dosage des ALAT.

c. Dosage des ASAT.

d. Dosage des phosphatases alcalines et des gamma GT.

e. Formule numération sanguine (FNS) uniquement.

33. Le bilan hépatique retrouve des ALAT à 5 fois la

normale, ASAT 1.5 fois la normale, le taux des

phosphatases alcalines et des gammas GT est normal, la

bilirubine conjuguée est de 340 mg /l, la glycémie est de

0.9 g /l, la FNS est normale. Quels bilan en deuxième

intention demanderiez - vous ?

a. Sérologie virale.

b. Échographie du foie, vésicule et des voies biliaires.

c. HbA1c.

d. Rapport ALAT /PA.

e. Rapport ASAT / ALAT.

34. La sérologie de la patiente est revenue négative avec

une échographie hépatique et des voies biliaires

normales, une HbA1c : 6.1 %, rapport ALAT /PA est

augmenté à 2 fois la normale. Quel diagnostic évoquez -

vous ?

a. Un syndrome cholestatique.

b. Un syndrome cytolytique.

c. Un syndrome mixte (cholestatique et cytolytique).

d. Un syndrome d’insuffisance hépatocellulaire.

e. Un syndrome inflammatoire.

35. Quelle est l’origine de cette atteinte ?

a. La corticothérapie.

b. Le méthotrexate par phénomène stéatosique.

c. Le méthotrexate par phénomène cytolytique.

d. Le méthotrexate par phénomène cholestatique.

e. Le méthotrexate par phénomène mixte.

36. Laquelle des propositions suivantes est une première

étape probable dans le traitement médical de

l’hyperkaliémie menaçante ? la RJ

a. L’administration de bicarbonate de sodium.

b. L’administration de

c. L’administration de par voie parentérale.

d. L’administration de intraveineux (IV).

e. Toutes les réponses sont fausses.

37. Toutes les caractéristiques cliniques de l’asthénie

Addisonienne ci - dessous sont exactes, sauf :

a. Asthénie parfois extrême.

b. Asthénie parfois révélatrice de l’affection.

c. Asthénie associée à une pigmentation.

d. Asthénie à prédominance matinale.

e. Asthénie qui peut être accompagnées par des troubles

digestifs.

38. Parmi ces manifestations, une hypoglycémie est

évoquée devant :

a. Pâleur.

b. Convulsions.

c. Sueurs.

d. Soif.

e. Diplopie.

39. Une acidocétose diabétique peut être responsable de :

a. Un syndrome abdominal pseudo chirurgical.

b. Un choc hypovolémique.

c. Une déshydratation globale.

d. Une bradypnée typique.

e. des crises comitiales.

40. Cocher la ou les réponses justes à propos

l’hématome extra dural (HED) :

a. Le plus souvent est associé à une fracture de la voute.

b. Est une collection sanguine entre la dure mère et

l’arachnoïde.

c. Une forme de lentille biconcave hyperdense au scanner.

d. Une forme de croisant hyperdense au scanner.

e. C’est un saignement veineux et /ou artériel.

Page 7: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

7

1. La définition du traumatisme grave à la phase de la

prise en charge initiale comprend :

a. Deux lésions ou plus dont une un moins menace le

pronostic vital.

b. Une lésion menaçant le pronostic vital.

c. Une lésion menaçant le pronostic vital ou fonctionnel.

d. Une lésion dont le mécanisme est violent.

e. Une teston menaçant le pronostic vital et fonctionnel.

2. La prise en charge initiale du traumatisé grave est

basée sur :

a. Le diagnostic et traitement de la détresse ventilatoire.

b. Le diagnostic et traitement de la détresse circulatoire.

c. Le diagnostic et traitement de la détresse neurologique.

d. De la mise en place d’un collier cervical.

e. L’instauration d’une hypothermie.

3. Une femme âgée de 35 ans, diabétique de type 1 est

conduite aux urgences suite à une altération sévère de

l'état général, l’anamnèse avec son époux révèle qu’elle

n’a pas mangé depuis les quelques derniers jours en

raison de vomissements et que par précaution elle n’a

pas fait ses insulines sous cutané. À l’examen elle

apparait somnolente déshydratée, une respiration

profonde et ample, tension artérielle 100 / 60, les GDS

artériels : PH = 7.05, PCO2 = 11 mmHg, HCO3- = 6

mmol /l, EB = - 25, lactate = 1.5 mmol /l, K+ = 4.6 mmol

/l, Na+ = 141 mmol /l, CL - = 96, glycémie = 35 mmol /l.

Décrivez l’équilibre acidobasique ?

a. Acidose métabolique sévère avec compensation

partielle.

b. Acidose métabolique sévère non compensée.

c. Acidose métabolique compensée.

d. Alcalose respiratoire non compensé.

e. Acidose mixte respiratoire et métabolique.

4. Concernant le trou anionique plasmatique TAP :

a. TAP de la patiente est élevé à 43.6.

b. TAP normal.

c. La patiente peut passer à une acidose à trou anionique

normal au cours de traitement.

d. Une correction de l'élévation du TAP peut être liée e

une excrétion des corps cétoniques sous forme de sels de

K + ou Na +.

e. Le TAP n’a aucun intérêt car il s’agit d'une acidose

respiratoire.

5. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?

a. Acidose lactique car le SID est diminué.

b. Acidocétose de diète (jeûne prolonge).

c. Acidocétose diabétique.

d. Acidocétose d'alcoolisme.

e. Intoxication au méthanol.

6. Quelles sont les étiologies possibles de la carence

martiale ?

a. Maladie cœliaque.

b. Fibrome utérin.

c. Hémolyse.

d. Grossesses.

e. Résection jéjunale.

7. Quelles sont les cellules retrouvées de façon

physiologique dans le sang d’un adulte normal ?

a. Plasmocytes.

b. Polynucléaires éosinophiles.

c. Myélocytes.

d. Monocytes.

e. Mégacaryocytes.

8. Quel (s) est (sont) le (les) facteur (s) de l’hémostase à

faire doser en présence d’un allongement du TCA ?

a. Facteur IX.

b. Facteur VIII.

c. Facteur XI.

d. Facteur VII.

e. Facteur I.

9. La lymphopénie peut se voir au cours de :

a. L’infection HIV.

b. L’infection covid 19.

c. L’anémie ferriprive.

d. Béta thalassémie mineure.

e. Lymphome de Hodjkin.

10. L’importance de la rhabdomyolyse dans l’ischémie

aigue du membre dépend :

a. Du retard du traitement médical.

b. La durée de l’ischémie.

c. La masse musculaire du muscle ischémie.

d. Les antécédents du patient.

e. Hyperkaliémie.

21 22 – 03 – 2021

Page 8: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

8

11. Devant une méningoencéphalite à liquide clair,

quels diagnostics pourriez - vous évoquer ?

a. Méningoencéphalite tuberculeuse.

b. Méningoencéphalite listerienne.

c. Méningoencéphalite herpétique.

d. Méningoencéphalite à pneumocoque.

e. Toutes les réponses sont justes.

12. Les céphalosporines de 3ème

génération sont contre

indiqués en cas de méningoencéphalite listerienne pour

les raisons suivantes :

a. Ils ne traversent pas la barrière méningée.

b. La dose méningée efficace est toxique.

c. Il y a une allergie chez tous les sujets.

d. Il y a une résistance naturelle de la listeria

monocytogène.

e. Toutes les réponses sont fausses.

13. Patiente victime d’un état de mal épileptique scoré

< 6, quelle est votre prise en charge ?

a. Faire prélèvement d’un ionogramme, glycémie et

calcémie.

b. Intuber.

c. Administrer un antiépileptique IV.

d. Assurer la liberté des voies aérienne.

e. Ne pas ventiler.

14. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par

les raticides ?

a. Atropine.

b. Alcool éthylique.

c. Valium.

d. La vitamine K1.

e. Le gluconate de calcium.

15. Quel est l’antidote de d’une intoxication accidentelle

par paracétamol ?

a. Gluconate de calcium.

b. N – acétylcystéine.

c. Temgésic.

d. Vitamine B6.

e. Bleu de méthylène.

16. Le choc hémolytique transfusionnel :

a. Est dû à un conflit antigène anticorps.

b. Survient même en l’absence d’une exposition

antérieure.

c. Provoque une hémolyse intravasculaire.

d. Survient après allo - immunisation.

e. Entraine une hémolyse intra tissulaire.

17. Au cours du choc hémolytique : la ou les RF

a. L’activation du complément est faite par le complexe

immun Ag - Ac.

b. Les composants de complément sont responsables de

l’état de choc.

c. La lyse des globules rouges entraine hémoglobinémie

et hémoglobinurie.

d. Surviennent des convulsions.

e. La diurèse est conservée.

18. Le choc endotoxinique : la ou les RF

a. Est une réaction transfusionnelle fébrile non

hémolytique.

b. Est une réaction transfusionnelle fébrile hémolytique.

c. Est dû à la présence d’anticorps anti leucocytes chez le

receveur.

d. Est dû à une contamination bactérienne de la poche de

sang.

e. Est dû à une mauvaise conservation du produit sanguin

labile.

19. Le point d’entrée d’une électrisation est souvent

caractérisé par :

a. Ulcération nécrotique blanche ou grise.

b. Centre nécrosé, marbré ou blanc.

c. Entouré d’une zone de brulure du second degré

profond.

d. Plus étendue en cas d’AE à haute tension.

e. Ne saigne pas à la scarification.

20. Une intensité du courant supérieure à 2 A peut

provoquer spécialement :

a. Une inhibition des structures nerveuses.

b. Réaction d’agrippement.

c. Tétanisation du diaphragme.

d. Contractions musculaires ne cédant pas au rupture du

courant.

e. Fibrillation auriculaire.

21. La survenue d’une douleur thoracique fera évoquer

une embolie pulmonaire si :

a. La douleur est intense et migratrice.

b. La douleur est basithoracique et varie avec la position

du patient.

c. La notion d’allongement prolongé est retrouvée.

Page 9: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

9

d. L’auscultation cardiaque révèle un souffle diastolique

d’insuffisance aortique.

e. Le taux de D - dimères est supérieur à 500 µg /ml.

22. Une brulure est considérée comme grave si :

a. La surface brulée est supérieure à 20 % de la surface

cutanée chez un adulte.

b. La brulure de 2ème

degré intéressant plus de 10 % de la

surface cutanée totale.

c. Le patient présente une brulure du 2ème

degré à la face

postérieure du tronc.

d. La brulure survient dans un contexte d’accident de la

voie publique.

e. Si le brulé présente une tare sous - jacente.

23. Une personne présentant une brulure est

hospitalisée si :

a. La surface cutanée brulée est supérieure à 20 %.

b. La brulure est secondaire à une électrisation.

c. Elle présente une atteinte respiratoire.

d. Le siège de la brulure est la face.

e. Si la brulure intéresse les deux membres inférieurs.

24. Un noyé classé ‘ petit hypoxique ’ présente :

a. Des signes de détresse respiratoire avec dyspnée,

cyanose et tirage.

b. Des râles crépitants diffus aux deux champs

pulmonaires.

c. Une instabilité cardiovasculaire.

d. Un état de conscience conservé.

e. Une hypothermie profonde.

25. Un arrêt cardio - respiratoire par fibrillation

nécessite : la RF

a. Une libération des voies aériennes supérieures.

b. Un massage cardiaque externe.

c. L’adrénaline.

d. Un défibrillateur semi - automatique en milieu

hospitalier.

e. Un défibrillateur monophasique ou biphasique.

26. L’examen TDM (avec injection de produit de

contraste) d’un patient présentant une pancréatite aigüe

révèle la présence de deux coulées pancréatiques et une

surface nécrotique estimée à 48 % de la surface totale

de la glande, quel est le score de BALTHAZAR ?

a. 4 points.

b. 5 points.

c. 6 points.

d. 8 points.

27. Une pancréatite aigüe sévère se caractérise par :

a. La présence d’une défaillance viscérale.

b. La protéine C - réactive > 150mg /l (valeur du 2ème

jour).

c. Le score de BALTHAZAR supérieur à 4 points.

d. Hyperleucocytose supérieure à 12000 / mm³ et

fréquence cardiaque supérieure à 90 bpm.

e. Température inférieure à 38 ° et fréquence respiratoire

égale à 20 cycles par minute.

28. Patient admis au urgence pour une altération de

l’état de conscience avec une TA = 07 / 04, FC= 120 /

min, FR = 20 cycles /min. Que faite vous dans un

premier temps ?

a. Faire un examen neurologique complet.

b. Rechercher et traiter les signes de détresse vitale.

c. Faire une enquête étiologique.

d. Évaluer la profondeur du coma.

e. Faire un scanner cérébral d’emblée.

29. Votre patient est inconscient, confus, n’ouvre pas les

yeux à la stimulation douloureuse et en position

extension des membres supérieurs et des membres

inférieurs. Quel est son score Glasgow ?

a. 5

b. 6

c. 7

d. 8

e. 9

30. L’examen clinique des yeux montre : pupille en

mydriase unilatérale aréactive avec déviation oblique

des yeux. Quel la lésion la plus probable ?

a. Lésion de la moelle épinière.

b. Lésion du tronc cérébral.

c. Lésion du mésencéphale.

d. Lésion des hémisphères cérébraux.

e. Engagement temporal.

31. Le choc septique se définit comme :

a. T° > 38 °C, GB < 4000 / mm³ et hypo TA.

b. T° < 36 °C, GB < 4000 / mm³ et hypo TA réfractaire

suite à une infection documentée.

c. T° < 36 °C, GB < 12000 / mm³ et hypo TA nécessitant

des catécholamines.

Page 10: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

10

d. T° > 38 °C, FC > 90 /min et FR > 20 cycles /min.

e. T° < 38 °C, FR > 20 /min et une infection documentée.

32. Lors d’un traumatisme crânien, les ACSOS sont :

a. Une hyper natrémie > 145 mmol /l.

b. Un pH < 7.38.

c. Une hypoxie PaO2 < 60 mm Hg.

d. Une hyponatrémie.

e. Une hyperglycémie > 10 mmol /l.

33. Le tableau biologique au cours de l’insuffisance

surrénale aigue comporte : la ou les RF

a. Une hémoconcentration, une élévation de la créatinine.

b. Une hypokaliémie et une hyponatrémie.

b. Une hypoglycémie.

d. Une natriurèse conservée.

e. Une hypocalcémie.

34. Les complications et séquelles de l’hypoglycémie : la

ou les RF

a. Maladie d’Alzheimer.

b. Psychose maniacodépressive.

c. Crises comitiales.

d. Amyotrophie distale des quatre membres.

e. Une démence.

35. Les caractéristiques des hypoglycémies : la ou les

RF

a. L’hypoglycémie organique survient après un effort

physique ou à jeun.

b. L’organique est grave et comporte une souffrance

cérébrale.

c. L’organique peut être un signe évocateur d’un

d. Réactionnelle se manifeste par des signes

adrénergiques et peut évoquer un insulinisme.

e. L’hypoglycémie réactionnelle survient en période post

prandiale.

36. L’acidocétose diabétique comporte : la ou les RF

a. Comporte une glycémie entre 1.50 et 2 g /l.

b. La présence d’une cétonurie.

c. Le pH artériel est inférieur à 7.45.

d. Le pH artériel est inférieur à 7 dans les formes sévères.

e. La présence d’une forte glycosurie.

37. La libération des voies aériennes supérieures pour la

réanimation cardio respiratoire :

a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.

b. Pour une bonne oxygénation du sang.

c. Pour réduire le temps de la réanimation cardio

respiratoire.

d. Pour lutter contre les fausses routes.

e. Pour faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque

externe.

38. Madame B.M âgée de 32 ans, traitée pour un lupus

érythémateux disséminé, à base de corticothérapie à

raison de 1 mg /kg /j. Son poids initial était de 54 kg,

une TA de 105 /65 mmHg au niveau des bras, son bilan

biologique était normal sauf on note la présence d’un

syndrome inflammatoire biologique. La corticothérapie :

a. Modifie la production des anticorps.

b. Les corticoïdes induit l’inhibition de la transcription

de certains gènes.

c. Inhibe la multiplication des lymphocytes CD4.

d. Ils sont diabétogènes.

e. Améliore l’équilibre hydro électrolytique.

39. Après 3 semaines de corticothérapie, la patiente

signale un syndrome polyurique nocturne, des

céphalées occipitales, des troubles visuels, son poids est

actuellement de 56.200 Kg. Une FNS faite en urgence

retrouve des GB à 24000 éléments /mm³. Vous allez

compléter l’examen clinique ainsi que le bilan

biologique et ceci par :

a. Une glycémie veineuse.

b. Une courbe glycémique.

c. Ionogramme sanguin, bilan lipidique.

d. Courbe de température, diurèse des 24 heures.

e. Courbe tensionnelle.

40. Qu’évoquez - vous comme diagnostic chez cette

patiente ?

a. Un trouble de l’équilibre glycémique.

b. Une hypokaliémie avec une hyper natrémie.

c. Une hypertension artérielle.

d. Processus infectieux.

e. Une hypercholestérolémie.

Page 11: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

11

1. Le caractère mégaloblastique d'une anémie repose

sur l'interprétation du résultat de l’une des analyses

suivantes. Laquelle ?

A- Détermination du volume globulaire moyen.

B- Examen microscopique des frottis sanguins.

C- Examen microscopique des frottis médullaires.

D- Coloration de Perls appliquée aux frottis médullaires.

E- Dosage de la vitamine B 12 et des folates sériques.

2. Une hyperéosinophilie sanguine est habituelle dans

l'une des affections suivantes. Laquelle ?

A- Hydatidose.

B- Asthme.

C- Tuberculose.

D- Toxidermie.

E- Cytomégalovirus.

Cas clinique :

3. Une femme âgée de 35 ans, sans antécédent

pathologiques particulier hospitalisé en gynécologie, est

prise de vomissement sévère le lendemain d'une

intervention chirurgicale programmée. Elle continue à

vomir abondamment pendant 3 jours apparait qu'on ne

lui a pas prescrit des solutés intraveineuses de

substitution, à l'examen la patiente est asthénique,

déshydratée avec FR à 10 mouvements /mn et une FC

100 bat /mn, les gaz du sang : PH=7.44, PCO2 =

48mmhg, EB = + 4 mmol /l, bicarbonate = 32 mmhg.

Lactate = 1 mmol /l, K = 3 mmol /l, CL = 91 mmol /l,

Na+ = 133 mmol /l ; Hb = 11 g /dl. Décrivez

l'équilibre acido - basique :

A- Acidose respiratoire compensée.

B- Acidose respiratoire décompensée.

C- Acidose métabolique compensée.

D- Acidose métabolique décompensée.

E- Alcalose métabolique compensée.

4. Concernant cette perturbation de l'équilibre acido -

basique, le mécanisme est lié aux :

A- Une perte d'ions H+ uniquement.

B- Une perte d'ions H+, K+, Na+, CL- et d'eau lors des

vomissements.

C- Une perte en Cl- uniquement.

D- Le rein à entretenu l'alcalose on conservant HCO3- à

la place du cl- perdu (électro neutralité).

E- La compensation respiratoire ( PCO2) survient pour

limiter l'alcalémie.

5. Le traitement que vous proposez est :

A- Solutés hydro électrolytiques de substitution (Na+, K+,

cl-).

B- Des solutés bicarbonatés permettraient aux reins

d'excréter plus de HCO3-.

C- Sédation et ventilation mécanique afin d'éviter

l'acidose respiratoire.

D- Remplissage vasculaire sans apport d'électrolytes.

E- S'abstenir et rassurer la malade car son trouble acido

- basique est compense.

6. Devant une patiente âgée de 30 ans a fait 3 crises

convulsives avec un score Glasgow < 5 :

A- Administrer un antiépileptique IV.

B- Intuber la patiente.

C- Mettre sous ventilation artificielle.

D- Assurer la liberté des voies aériennes.

E- Faire en urgence « glycémie, ionogramme et

calcémie ».

7. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles par

les raticides ou anti vitamines K ?

A- Atropine.

B- Alcool éthylique.

C- La vitamine K 1.

D. le Gluconate de calcium.

E- Valium.

8. Quel est l'antidote d'une intoxication par

paracétamol ?

A- Gluconate de calcium.

B- Tamgésic.

C- Vitamine B1.

D- Bleu de méthylène.

E- N - acétylcystéine.

9. Dans les syncopes :

A- Le test de Schellong permet de rechercher une

hyperréactivité sino carotidienne.

B- La perte de connaissance est due à une soudaine

anoxie cérébrale globale et passagère.

C- Le test d'inclinaison recherche une cause réflexe.

21 27 – 10 – 2020

Page 12: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

12

D- Le massage sino carotidien recherche une

hypotension orthostatique.

E- L'origine vaso vagale est suspectée quand la syncope

survient après un stress émotionnel.

10. Dans les hypothermies modérées :

A- La peau est livide.

B- Les frissons persistent.

C- Les signes neurologiques sont absents.

D- La fréquence cardiaque et la pression artérielle sont

augmentées.

E- L'ECG montre l'onde J d'Osborn.

11. Le coup de chaleur d'exercice :

A- Est une hyperthermie maligne environnementale.

B- Comporte souvent une rhabdomyolyse.

C- Survient chez le sujet jeune mal acclimaté après un

effort intense.

D- Le refroidissement doit être prudent et progressif.

E- Les antipyrétiques luttent contre l'hyperthermie.

Cas clinique

12. Monsieur B T âgé de 75 ans originaire et demeurant

à Sidi Bel Abbes, se présente aux urgences accompagné

de son entourage pour : une désorientation temporo

spaciale, avec un comportement verbal anormal.

L'examen clinique retrouve une fièvre à 39° C,

obnubilation, diarrhée, douleurs abdominales pâleur

cutanéo muqueuse, et un strabisme. Labstix : protéine ++,

sang +, glucose +++. Au moment de l'examen clinique

(CNQ) le malade présente des convulsions tonico

cloniques généralisées avec émission d'urine.

Quel est votre conduite à tenir urgente ?

A- Hospitalisation + antibiothérapie.

B- Hospitalisation + scanner cérébral + ponction

lombaire (PL).

C- Hospitalisation + conditionnement + valium +

scanner cérébral + PL.

D- Pas de PL car Il y a les convulsions (contre -

indication absolue).

E. Ce malade ne nécessite pas d'hospitalisation.

13. Après conditionnement du malade, un scanner

cérébral sans injection est réalisé : normal, PL : 260 elm

/mm³, lymphocytaire à 70 %, protéinorrachie à 3 g,

glucorrachie à 0.6 g (glycémie 8.8 g /l, bactériologie et

culture en cours.

Quel diagnostic (Dg) évoquez - vous ?

A- Méningite purulente à pneumocoque.

B- Méningite virale bénigne.

C- Méningo encéphalite tuberculeuse.

D- Méningo encéphalne listerienne

E- Méningo encéphalite herpétique.

14. Le bilan biologique objective : FNS les globules

blancs à 3000 elt /mm Hba 10 g /dl, plaquettes à 101000

elt /mm, téléthorax : des images micronodulaires diffuses

aux deux champs pulmonaires, au fond d'ail une uvéite

droite, IDRt + à 15 /15, et 1 IRM cérébrale des micro

abcès à centre nécrosé, à prédominance occipitale,

arachnoïdite basilaire, EEG souffrance cérébrale diffuse

à prédominance occipitale, échographie abdominale :

épaississement de l’iléale terminale avec des

adénopathies mésentériques volumineuses à centre

nécrosé. Quel Dg évoques - vous ?

A- Méningo - encéphalite tuberculeuse.

B- Méningo - encéphalite listérienne.

C- Méningo - encéphalite herpétique.

D- Méningo - encéphalite tuberculeuse.

E- Toutes les réponses sont justes.

15. Quel traitement entamez - vous en plus du valium ?

A- RHZE.

B- RHZ.

C- Claforan à dose méningée.

D- RHZE + corticoïdes.

E- Toutes les réponses sont justes.

16. Vu la localisation cérébrale, pulmonaire,

ophtalmique et digestive, la durée du traitement sera de :

A- 3 mois.

B- 6 mois.

C- 9 mois.

D- 12 mois.

E- En fonction de la bonne évolution sur l'examen CNQ

et para CNQ avec un minimum de 9 mois.

17. Une brulure est évaluée sur les critères suivants :

A- L'étendue de surface cutanée brûlée.

B- La profondeur des brûlures.

C- Le délai de prise en charge du brulé.

D- La localisation de la brûlure.

E- Le mécanisme de la brulure.

Page 13: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

13

18. La prise en charge initiale d'un brûlé grave consiste

en ce qui suit :

A- Dévêtir le brûlé.

B- Rechercher des signes de détresse.

C- Refroidir la brûlure pendant 20 minutes.

D- Faire rapidement des pansements gras.

E- Traiter la douleur.

19. Devant un patient présentant une douleur

thoracique, les éléments permettant de nous orienter

vers une embolie pulmonaire sont :

A- La notion d'un alitement récent.

B- Des pouls asymétriques à l'examen clinique.

C- La notion d'une chirurgie récente.

D- Des signes de cœur droit è l'ECG.

E- Un taux de troponine élevé dès la e heure après la

survenue de la douleur thoracique.

20. Un noyé classé « Grand hypoxique » présente :

A- Des troubles de la conscience.

B- Une hypothermie modère.

C- Des râles sibilants diffus aux deux champs

pulmonaires.

D- Une tachycardie sans aucune anomalie cardio -

vasculaire.

E- Des signes de détresse respiratoire.

21. La libération des voies aérienne supérieures pour la

réanimation cardio - respiratoire :

A- Pour faciliter le massage cardiaque externe.

B- Pour une bonne oxygénation du sang.

C- Pour faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque

externe.

D- Pour réduire le temps de la réanimation cardio -

respiratiare.

E- Pour lutter contre les fausses routes.

22. Un arrêt cardio - respiratoire par fibrillation

nécessite : (la réponse fausse) :

A- Une libération des voies aérienne supérieures.

B- Un massage cardiaque externe.

C- Un défibrillateur monophasique ou biphasique.

D- L'Adrénaline.

E- Défibrillateur semi - automatique en milieu hospitalier.

23. L'importance de la rabdomyolyse dans l'ischémie

aigue du membre dépend :

A- Du retard du traitement médical.

B- La masse musculaire du membre ischémié.

C- Les antécédents du patient.

D- L’hyperkaliémie.

E- La durée de l'ischémie.

24. Le diagnostic clinique d’une ischémie aigue d'un

membre se, manifeste par :

A- Une chaleur.

B- Une douleur.

C- Une pâleur.

D- Une absence de pouls.

E- Une rougeur.

25. Devant un arrêt cardio - respiratoire, il faut

rechercher :

A- Le pouls radial et la veine jugulaire.

B- Les pouls centraux.

C- Le pouls radial el carotidien.

D- Le pouls carotidien et / ou fémoral.

E- Le pouls radial et fémoral.

26. Pour améliorer le pronostic d’un arrêt cardio -

respiratoire, les bases de réanimation doivent être

commencées :

A- En milieu public par les témoins.

B- Par les équipes des pompiers.

C- Par l'équipe de la protection civile.

D- Par les équipes du SAMU.

E- Au niveau des SAUV.

27. Un patient présente une natrémie à 113 mmo1/1,

une créatininémie à 11 mg / l et une TA à 98 / 54 mmHg,

quelques jours après l'augmentation de son Lasilix de

40 à 80 mg / j. Il présente :

A- Une déshydratation intra cellulaire.

B- Une hyperhydratation intra cellulaire.

C- Une hypovolémie.

D- Une hyponatrémie de dilution.

E- Une poussée d'insuffisance rénale signe.

28. L’insuffisance rénale aigue organique se manifeste

par :

A - Rapport NA / K (urinaire inférieur à 1.

B- Rapport créatinine U / P inférieur à 20.

Page 14: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

14

C- Fraction d'excrétion de sodium supérieur à 1.

D- Natriurèse élevée.

E- Reins de taille et d'écho structure normale.

29. Le syndrome néphrotique impur se définie par la

présence de (RF) :

A- Protéinurie massive supérieur à 3 g / L.

B- Hématurie.

C- Hypo albuminémie inférieur à 30 g / 1.

D- Hypo protidémie inférieur à 60 g /l.

E- Insuffisance rénale aigue fonctionnelle.

30. Devant une pancréatite aigüe chez l'adulte on doit

rechercher en premier lieu deux affections parmi les

suivantes : lesquelles ?

A- Alcoolisme.

B- Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

C- Une distomatose hépatique.

D- Un syndrome ourlien récent.

E- Une lithiase biliaire à petits calcula.

31. Dans la pancréatite aigüe, les signes suivent sont

nécessaires comme des critères de gravité, sauf un :

lequel ?

A- Age 55 ans.

B- Hyperglycémie.

C- Hyper calcémie.

D- Acidose.

E- Hypoxie.

32. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel

permet d'apprécier la nécrose pancréatique au cours

d'une pancréatite aiguë grave ?

A- Cholangiographie rétrograde.

B- Artériographie cælio - mésentérique.

C- Échographie.

D- Tomodensitométrie avec produit de contraste.

E- Scintigraphie au Tc 99.

33. Cet examen morphologique est réalisé :

A- Au début de la symptomatologie.

B- 6 heures après le début de la symptomatologie.

C- Une semaine après le début de la symptomatologie.

D- 48 - 72 heures après le début de la symptomatologie.

E- 12 heures après le début de la symptomatologie.

34. Les complications immédiates de la pancréatite

aigue

A- Le pseudo kyste du pancréas.

B- La surinfection de la coulée pancréatique.

C- L'hémorragie.

D- Les défaillances viscérales.

E- La perforation d'un organe creux.

35. Des chiffres de pression artérielle à 200 / 110 mm

Hg sont retrouvés chez un patient de 46 ans. Quelle est

la circonstance clinique où cette HTA doit être

respectée ? Les réponses fausses :

A- Accident vasculaire cérébral ischémique.

B- Dissection aortique.

C- Infarctus du myocarde â la phase aigüe.

D- Accident vasculaire cérébral ischémique à

thrombolyse.

E- Accident vasculaire cérébral hémorragique.

36. Dans l'AAG, l'obstruction bronchique très

importante a pour conséquences :

A- Diminution de rendement des muscles respiratoire.

B- Une hyperinflation pulmonaire et dynamique.

C- Une altération des échanges gazeux.

D- L'augmentation du travail des muscles respiratoires.

E- Une diminution des résistances des voies aériennes.

37. Parmi les signes de neuroglycopénie : (RF)

A- Troubles intellectuels : troubles de l'attention, de la

mémoire, désorientation temporo - spatiale.

B- Troubles du caractère : irritabilité, excitation ou

apathie, pleurs.

C- Troubles sensoriels : diplopie, hallucinations.

D- Troubles neurologiques troubles de la conscience,

convulsions.

E- Pâleur, tremblements.

38. Quel sont les symptômes d'alerte annonciateurs

d'une acidocétose diabétique (RF) :

A- Altération de l’état général.

B- Troubles digestifs : nausées vomissement.

C- Déshydratation globale.

D- Troubles neurologiques (confusion, coma, épilepsie).

E- Dyspnée de Kussmaul constante.

Page 15: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

15

Cas clinique

39. Une femme âgée de 19 ans hospitalisée pour lésions

vertébrales d'origine tuberculeuse, le bilan hépatique une

semaine après l'administration du traitement retrouve des

ALAT augmentés à 14 fois la normale et les ASAT 7 fois

la normale. Quel conduite doit - on faire :

A- Arrêt des antituberculeux.

B- Arrêt de l'isoniazide uniquement.

C- Arrêt de l'étambuthol et pyrazinamide.

D- Arrêt des antituberculeux jusqu'à normalisation du

bilan hépatique puis introduction des antituberculeux

sans isoniazide.

E- Arrêt des antituberculeux jusqu'à normalisation du

bilan hépatique puis introduction des antituberculeux

sans pyrazinamide.

40. Chez cette même patiente doit - on contrôlé le bilan

hépatique après réintroduction du traitement :

A- Chaque semaine.

B- Tout les deux jours.

C- Chaque semaine pendant les deux premier mois.

D- Calculer le rapport ASAT / ALAT.

E- Chaque quinze jour pendant le premier mois.

Patient amené à l’urgence pour un traumatisme

crânien suite à un AVP avec une TA = 07/04,

FC =120 /mn, FR = 20 cycles /mn.

1. Que faites - vous dans un premier temps ?

a. Faire un examen neurologique complet.

b. Rechercher et traiter les signes de détresse vitale.

c. Faire une enquête étiologique.

d. Évaluer la profondeur du coma.

e. Faire un scanner cérébral.

Votre patient est inconscient, confus, n’ouvre pas les

yeux à la stimulation douloureuse et en position

extension des membres supérieurs et des membres

inférieurs.

2. Quel est son score de Glasgow ?

a. 5

b. 6

c. 7

d. 8

e. 9

3. Une hémorragie digestive est dite basse lorsque son

origine est située en aval :

a. Du pylore

b. De la jonction 1er Duodénum et 2

ème Duodénum.

c. De l’angle duodéno - jéjunal.

d. De la jonction jéjunum - iléon.

e. De la valvule de Bauhin.

4. Le choc septique se définit comme :

a. T° > 38° C, GB < 4000 /mm³ et Hypo TA.

b. T° < 36° C, GB < 4000 /mm³ avec une Hypo TA

réfractaire suite à une infection documentée.

c. T° < 36° C, GB < 12000 /mm³ avec une Hypo TA

nécessitant des catécholamines.

d. T° > 38° C, FC > 90 /mn et FR > 20 cycles /mn.

e. T° < 38° C, FR > 20 cycle /mn et une infection

documenté.

5. La libération des voies aérienne supérieures pour la

réanimation cardio - respiratoire (la ou les réponses

justes) :

a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.

b. Pour une bonne oxygénation du sang.

c. Pour faciliter le flux d’aire hors du massage cardiaque

externe.

d. Pour réduire le temps de la réanimation cardio -

respiratoire.

e. Pour lutter contre les fausses routes.

6. Un arrêt cardio - respiratoire par fibrillation

nécessite : (la réponse fausse)

a. Une libération des voies aérienne supérieures.

b. Un massage cardiaque externe.

c. Un défibrillateur monophasique ou biphasique.

d. L’adrénaline.

e. Un défibrillateur semi - automatique en milieu

hospitalier.

7. L’importance de la rhabdomyolyse dans l’ischémie

aiguë du membre dépend :

a. Du retard du traitement médical.

b. La masse musculaire du membre ischémié.

c. Les antécédents du patient.

d. Hyperkaliémie.

e. La durée de l’ischémie.

S1 17 – 11 – 2019

Page 16: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

16

8. Le diagnostic clinique d’une ischémie aiguë d’un

membre se manifeste par :

a. Une chaleur.

b. Une douleur.

c. Une pâleur.

d. Une absence de pouls.

e. Une rougeur.

9. Devant un arrêt cardio-respiratoire, il faut

rechercher

a. Le pouls radial et la veine jugulaire.

b. Les pouls centraux.

c. Le pouls radial et carotidien.

d. Le pouls carotidien et / ou fémoral.

e. Le pouls radial et fémoral.

10. Pour améliorer le pronostic de l'arrêt cardio -

respiratoire, les bases de réanimation doit être

commencé :

a. En milieu publique par les témoins.

b. Par les équipes de pompiers.

c. Par l’équipe de la protection civile.

d. Par les équipes du SAMU.

e. Au niveau des SAUV.

11. Les réactions transfusionnelles immédiates

comportent : (réponse fausse)

a. Réactions transfusionnelles hémolytiques.

b. Surcharge en fer.

c. Réactions fébriles non hémolytiques.

d. Réactions allergiques et anaphylactiques.

e. Infections bactériennes.

12. Dans les réactions transfusionnelles hémolytiques

immunologiques aiguës : (réponses fausses)

a. L’origine de l’hémolyse est une destruction physique

ou chimique des hématies.

b. L’origine immunologique est due à un conflit antigène

anticorps.

c. Les anticorps naturels type IgM donnent une hémolyse

intra - tissulaire ou intra splénique.

d. Les anticorps immuns type IgG donnent une hémolyse

intravasculaire.

e. Les composants vasomoteurs du complément sont

responsables de l’état de choc.

13. Dans les syncopes neuro - cardiogéniques dites

réflexes : RF

a. Les syncopes vaso-vagales sont dues à un stress

émotionnel ou orthostatique.

b. L’origine vaso-vagale peut être confirmé par un test

d'inclinaison.

c. Le test de Schellong reproduit l’hyperréactivité sino-

carotidienne.

d. Le massage sino-carotidien n’a aucune contre-

indication.

e. Elles ont des mécanismes physiopathologiques

différents.

14. Dans les hypothermies modérées : RJ

a. La peau est livide.

b. En dessous de 32°C les frissons persistent.

c. Les signes neurologiques sont absents.

d. Fréquence cardiaque et pression artérielle sont

augmentées.

e. Les pupilles sont en mydriase bilatérale.

15. Le coup de chaleur d’exercice : RJ

a. Est une pathologie environnementale.

b. La charge thermique est exogène.

c. La température de consigne du centre

thermorégulateur est décalée vers le haut.

d. La thermogénèse est réduite.

e. La thermolyse est dépassée.

16. Le choc hémorragique : RF

a. Fait partie des chocs quantitatifs.

b. Son diagnostic nécessite des examens complémentaires.

c. La bradycardie est un signe de gravité.

d. Les marbrures sont le fait d’une vasodilatation cutanée.

e. Le temps de recoloration cutané est diminué.

17. Le choc cardiogénique de type obstructif peut être

causé par : RJ

a. Une embolie pulmonaire.

b. Une insuffisance mitrale par rupture de cordage.

c. Une thrombose de prothèse mécanique.

d. Une tamponnade.

e. Un infarctus du ventricule droit.

Page 17: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

17

Cas clinique

Un homme âgé de 52 ans est exploré dans le service

d’urologie pour un problème récurrent des calculs

rénaux, il se plait également d’une fatigue modérée et de

léthargie. Il n’y a pas d’antécédents de perturbation

gastro - intestinale et il ne suit aucun traitement

médicamenteux de façon régulière. L’examen clinique est

sans particularité.

Gaz du sang : H + = 44 ηmol/l, pH = 7.35 pCO 2 = 31.5

mmHg, HCO 3 = 18 mmol/l, Lactate = 1 mmol/l, K = 2.5

mmol/l, Na = 137 mmol/l, Cl = 120 mmol/l, Glucose = 4

mmol/l, Ca + = 1 mmol/l, pO 2 = 99 mmHg, SO 2 =

99 %.

18. Décrivez l’équilibre acido - basique : RJ

a. Alcalose métabolique compensée.

b. Alcalose métabolique décompensée.

c. Acidose métabolique décompensée.

d. Acidose métabolique compensée.

e. Les analyses sont probablement faites sur échantillon

veineux et non artérielle ; faut répéter les GDS.

19. Concernant le trou anionique plasmatique chez ce

patient : RJ

a. Trou anionique normal et acidose métabolique

hyperchlorémique.

b. Trou anionique augmenté en faveur d’acidose

métabolique par insuffisance rénale.

c. Trou anionique n’a aucun intérêt car il s’agit

d’acidose respiratoire.

d. Trou anionique normal par déperdition du CL.

e. Le Cl- est un anion dosé retenus en supplément pour

garder l'électro neutralité.

20. Quel est le diagnostic le plus vraisemblable ?

a. Acidocétose du jeune ou alcoolisme.

b. Acidose tubulaire rénale de type 4, et acidification des

urines expliquant les calculs rénaux.

c. Syndrome de Conn.

d. Perte digestive du HCO3 - et précipitation du calcium

dans l’urine alcaline formant des calculs.

e. Acidose tubulaire rénale de type 1, urine alcaline

expliquant la précipitation du calcium et formation des

calculs.

21. Le patient développe un iléus paralytique avec

vomissement incoercible et un trouble du rythme

probablement lié à une hypokaliémie, expliquez le

trouble ionique ? les RJ

a. L’hypokaliémie provient de l’échange d’ions Na +

contre des ions K + à la place des ions H +.

b. Sous l’effet d’aldostérone les ions Cl - sont retenus aux

dépens d’ions K +.

c. L’alcalose métabolique est la seule explication pour

cette hypokaliémie.

d. Déplétion potassique suite à une diurèse osmotique.

e. Le vomissement chez ce patient risque de provoquer

une déperdition électrolytiques importante et une

alcalose métabolique.

22. Une thrombopénie est observée au cours de :

a. La leucémie aiguë.

b. La leucémie lymphoïde chronique stade A.

c. L’aplasie médullaire.

d. La leucémie myéloïde chronique en phase chronique.

e. L’hypersplénisme.

23. L’hyperleucocytose à poly nucléose éosinophile est

observée au cours de :

a. Rhinite allergique.

b. Aplasie médullaire.

c. Tabagisme chronique.

d. Tuberculose.

e. Lupus érythémateux disséminé.

24. Quels sont les armes thérapeutiques utilisées dans

le traitement du PTI :

a. Agonistes du récepteur de la thrombopoïétine.

b. Les AINS.

c. Les corticoïdes.

d. La splénectomie.

e. Les immunoglobulines polyvalentes.

25. La lymphocytose normale chez l’adulte est comprise

entre :

a. 2500 et 7500 /mm³.

b. 100 et 500 /mm³.

c. 100 et 1000 /mm³.

d. 1500 et 4000 /mm³.

e. 0 et 50 /mm³.

Page 18: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

18

26. Lesquelles de ces valeurs sont pathologiques ?

a. Hb = 11 g /dl chez l’homme.

b. Ht = 58 % chez l’homme.

c. VGM = 85 fl chez l’adulte.

d. VGM = 110 fl chez un adulte.

e. Lymphocytes = 3500 éléments /mm³.

27. QCM : la ou les réponses justes :

Devant un patient victime d’un état de mal épileptique

scoré < 7. Quelle est votre prise en charge ?

a. Assurer la liberté des voies aériennes.

b. Intuber.

c. Mise sous ventilation artificielle.

d. Ne pas administrer un antiépileptique IV.

e. Faire un ionogramme, glycémie et calcémie.

28. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles

par le méthanol ? (la RJ)

a. Atropine.

b. Gluconate de calcium.

c. Alcool éthylique.

d. Sulfate de protamine.

e. Glucagon.

29. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par

les morphiniques ?

a. Valium.

b. Adrénaline.

c. N - acétylcystéine.

d. Naloxone.

e. Vitamine C.

30. Quel est l’antidote d’une intoxication par

paracétamol ?

a. Gluconate de calcium.

b. Temgésic.

c. Vitamine B1.

d. Bleu de méthylène.

e. N - acétylcystéine.

31. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles

par les raticides ou anti vitamines K ?

a. Atropine.

b. Alcool éthylique.

c. La vitamine K1.

d. Le gluconate de calcium.

e. Valium.

32. Femme obèse, 52 ans, HTA chronique, sous trt,

consulte en urgence pour une poussée hypertensive, TA :

19 / 11 avec des épistaxis et des céphalées modérées.

Quel traitement injectable adopter ?

a. LOXEN.

b. BETA BLOQUANT

c. CATAPRESSAN

d. D.NITRES

e. Pas de traitement injectable.

33. Des chiffres de PA à 210 / 120 mmHg sont

retrouvés chez une femme de 46 ans. Quelle est la

circonstance clinique ou cette HTA doit être respectée ?

a. Un accident vasculaire cérébral hémorragique.

b. Si la thrombolyse est envisagée.

c. Infarctus du myocarde à la phase aiguë.

d. Accident vasculaire cérébral ischémique.

e. Œdème aigu du poumon cardiogénique.

34. Dans l’asthme aigu grave, les β2 - agonistes

administrés par voie inhalée, ont une action

bronchodilatatrice nette après ?

a. 3 à 5 minutes.

b. 15 à 20 minutes.

c. 30 à 40 minutes.

d. 60 à 90 minutes.

e. 4 à 6 heures.

35. Les étiologies de l'acidocétose diabétique : RJ

a. Infections (quelle que soit la porte d’entrée associée à

une apyrexie).

b. Infections (quelle que soit la porte d’entrée associée à

une fièvre).

c. Cystite, grossesse, syndrome coronarien, médicaments

(corticoïdes).

d. Diabète de novo, arrêt de l’insulinothérapie chez le

diabétique traité.

e. Toutes ces réponses sont justes.

36. Une acidose diabétique doit être évoquée devant :

RF

a. Syndrome polyuro / polydipsique, amaigrissement.

b. Un coma constant, d’installation rapide.

c. Torpeur, confusion, troubles de la conscience.

d. Douleurs abdominales (abdomen pseudo-chirurgical,

vomissements).

e. Polypnée, dyspnée de Kussmaul.

Page 19: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

19

37. Le diagnostic d’acidocétose : RF

a. Glycémie veineuse > 2.5 g/l

b. pH artériel < 7.30

c. Bicarbonates plasmatiques élevées dans le plasma.

d. Corps cétoniques positifs à la bandelette urinaire.

e. La mesure capillaire de la cétonémie (dosage du Bêta -

hydroxy - butyrate) est systématique pour confirmer le

diagnostic.

38. L’avis du médecin réanimateur est nécessaire : RF

a. Dès la mise en évidence de signes de gravité

(ventilatoire, circulatoire, neurologique).

b. Si critères de gravité biologique (pH < 7, bicarbonates

< 10 mmol/l).

c. Hypoglycémies (glycémies < 0.55 g/l) répétées au

cours du traitement.

d. Devant des signes de choc (Pression Artérielle

Systolique < 90 mmHg, pouls > 120 pulsations /min,

marbrures des extrémités dégradation de l’état clinique

du malade).

e. Devant l’apparition d’une fièvre, absente au début de

la prise en charge.

39. Parmi les étiologies de l’hypoglycémie : RF

a. Insuline (en cas de jeûne, d’erreur de dose).

b. Certains ADO (en cas d’insuffisance rénale chez le

patient âgé notamment : sulfamides (Daonil ®,Diamicron

® , Amarel ® ), glinides (Novonorm ® ).

c. Hypoglycémies induites par la prise cachée d’insuline

ou de sulfamides.

d. Le stress, l’intoxication alcoolique aiguë, l’insuffisance

hépatocellulaire sévère.

e. La dénutrition, le jeûne prolongé, la grossesse,

l’intoxication tabagique.

40. Madame F N âgé de 31 ans présente une biscérite

tuberculeuse, aux antécédents de cytolyse hépatique

objectivé sur un ancien bilan révélant des ALAT > 2

fois la normale, notre conduite est la suivante sauf :

a. Introduction des antituberculeux.

b. Introduction des antituberculeux après la demande du

rapport ALAT / PA.

c. Demande d’une sérologie hépatique et échographie

des voies biliaires.

d. On préconise la moitié de la dose des antituberculeux.

e. On préconise un traitement sans rifampicine.

41. Si le bilan hépatique a été fait retrouve ALAT

augmenté à deux fois la normale ainsi que les

phosphatases alcalines et le rapport ALAT / PA est > 5

fois, ce bilan correspond à :

a. Une cytolyse hépatique.

b. Une cholestase hépatique.

c. Une insuffisance hépatique.

d. Une atteinte mixte cytolytique et cholestatique.

e. Une cytolyse associée à une insuffisance

hépatocellulaire.

42. Le traitement a été introduit et un mois après la

patiente présente sur son bilan de control les paramètres

suivants : ALAT = 180 UI/ml, phosphatase alcaline =

80 UI / ml, On préconise :

a. Réduire la dose des antituberculeux.

b. Administrer la dose toute les 48 heures.

c. Maintenir la même dose.

d. L’atteinte est cytolytique on maintient la même dose.

e. Le rapport ALAT / PA oriente vers la cytolyse sévère.

43. Un patient âgé des 40 ans sans antécédents

particulières se présente aux UMC pour des convulsions

fébriles. Quelle conduite à tenir préconisée vous ?

a. Conditionnement, scanner cérébral, ponction lombaire.

b. Hospitalisation, conditionnement, scanner cérébral,

ponction lombaire.

c. Fond d’œil, ponction lombaire.

d. Traitement probabiliste.

e. Fond d’œil.

44. Chez ce même patient, le scanner cérébral était en

faveur de plage d’encéphalite, la ponction lombaire était

comme suite : liquide claire à 100 elt/mm 3 avec 80 elt

lymphocyte la protéinorrachie à 1 g/l, la glucorrachie à

0.6 g/l en sachant que la glycémie concomitante à 1 g/l.

L’examen bactériologique était négatif.

Donner une interprétation de ces données.

a. Méningo - encéphalite aiguë à liquide claire à

prédominance lymphocytaire, normoglycorrachique,

normoprotéinorrachique.

b. Méningo - encéphalite aiguë à liquide clair à

prédominance lymphocytaire hyperprotéinorrachique

normoglycorrachique.

c. Méningite aiguë à prédominance lymphocytaire

hyperprotéinorrachique hypoglycorrachique.

Page 20: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

20

d. Méningo - encéphalite subaiguë à liquide clair

bactérienne.

e. Toutes les réponses sont fausses.

45. Quel diagnostic vous semble le plus probable chez

ce patient ?

a. Méningoencéphalite herpétique.

b. Méningoencéphalite zostérienne.

c. Méningite à pneumocoque.

d. Méningoencéphalite à pneumocoque.

e. Aucune réponse juste.

46. Quel traitement étiologique instaurez - vous en

urgence ?

a. Traitement antiviral à base d’Aciclovire (21 j).

b. Traitement antituberculeux (RHZ).

c. Traitement antituberculeux (RHZE).

d. Les céphalosporines de 3ème

génération.

e. Les céphalosporines de 1ère

génération.

47. Cochez les bonnes indications :

a. Péni G en 1 ère intention pour un érysipèle de la jambe

(strepto B hémolytique).

b. Péni M en 1 ère intention pour une furonculose.

c. Céphalosporine de 1ère

génération en 1ère

intention

pour une méningo-encéphalite listérienne.

d. Céphalosporine de 1ère

génération en 1ère

intention

pour un sepsis à Listeria monocytogene.

e. RHZ en première intention pour une

méningoencéphalite tuberculeuse.

48. En quel rythme sont administrés ces antibiotiques ?

a. Rifampicine en 1 seule prise.

b. Sulfamides en une seule prise.

c. Cyclines en une seule prise.

d. Gentamycine en une seule prise.

e. Péni G en perfusion continue.

49. Citez la ou les étiologies d’un diabète insipide

néphrogénique :

a. Néphrite interstitielle.

b. Sarcoïdose.

c. Hypocalcémie.

d. Hypokaliémie.

e. Méningo - encéphalite.

50. Parmi ces maladies vasculaires, lesquelles peuvent

être responsables d’une insuffisance rénale aiguë ?

a. Embolie artérielle rénale.

b. Dissection de l’artère rénale.

c. Thromboses des veines rénale.

d. Néphroangiosclérose.

e. Athéromes des artères rénale.

51. Un patient présente une natrémie à 113 mg/l, une

créatininémie à 12 mg/l, TA 98/54 mmHg, quelques

heures après l'augmentation de son Lasilix de 40 mg à

80 mg, il présente :

a. Déshydratation intracellulaire.

b. Hyperhydratation intracellulaire.

c. Hyponatrémie dilution.

d. Hypovolémie.

e. Poussée d’insuffisance rénale aiguë.

52. Un noyé classé “ grand hypoxique ” présente :

a. Des signes de détresse respiratoire avec dyspnée,

cyanose et tirage.

b. Quelques râles crépitants aux bases.

c. Des troubles de la conscience.

d. Une instabilité cardio - vasculaire.

e. Une légère hypothermie.

53. La prise en charge d’un noyé classé “ petit

hypoxique ” consiste en ce qui suit :

a. Une vidange gastrique.

b. Une ventilation artificielle systématique.

c. Correction d’un état d’acidose respiratoire.

d. Une antibiothérapie anti - BGN, anti - anaérobies.

e. Traitement de l’OAP lésionnel au moyen d’une

assistance ventilatoire.

54. La gravité d’une morsure de serpents est liée à :

a. aux caractéristiques du serpent.

b. à la quantité de venin injectée.

c. à la localisation de la morsure.

d. à l'âge de la victime.

e. au délai de la prise en charge de la victime.

55. Un sujet victime d’une morsure de serpents est

classé grade 2 présente :

a. Un œdème étendu.

b. Une altération sévère de la conscience.

c. Des hémorragies graves.

Page 21: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

21

d. Une hypotension artérielle passagère.

e. Un urticaire généralisée.

56. Une morsure de scorpion est dite de Classe 1 quand

le patient présente :

a. Des fourmillements du membre siège de la piqûre.

b. Une douleur très intense.

c. Une hypotension artérielle majeure.

d. Des râles crépitants à l’auscultation pulmonaire.

e. Aucun des signes cités précédemment.

57. Un sujet victime d’une morsure de scorpions classe

1 bénéficie de ce qui suit :

a. Un traitement antibiotique systématique.

b. Une vaccination antitétanique systématique.

c. Un traitement antalgique et corticoïde.

d. Une sérothérapie anti scorpionique par voie

intraveineuse.

e. Une surveillance d’au moins 12 heures dans un service

d’urgence.

1. Devant une pancréatite aiguë chez l’adulte on doit

rechercher en premier lieu deux affections parmi les

suivantes, lesquelles ?

a. Un alcoolisme.

b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

c. Une distomatose hépatique.

d. Un syndrome ourlien récent.

e. Une lithiase biliaire à petits calculs.

2. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont

considérés comme des critères de gravité sauf un,

lequel ?

a. Age de 55 ans.

b. Hyperglycémie.

c. Hypercalcémie.

d. Acidose.

e. Hypoxie.

3. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel

permet d’apprécier la nécrose pancréatique au cours

d’une pancréatite aiguë grave ?

a. Cholangiographie rétrograde.

b. Artériographie cælio - mésentérique.

c. Échographie.

d. Tomodensitométrie avec produit de contrastes.

e. Scintigraphie au Tc 99.

4. Les complications immédiates de la pancréatite aiguë:

a. Le pseudo kyste du pancréas.

b. La surinfection de la coulée pancréatique.

c. L’hémorragie.

d. Les défaillances viscérales.

e. La perforation d’un organe creux.

5. Dans l’anémie par carence en vitamine B12 :

a. Le VGM est le plus souvent supérieur à 100 fl.

b. Les réticulocytes sont souvent supérieurs à 150 G / l.

c. Il n’existe jamais de neutropénie.

d. Les PNN présentent une hyper segmentation nucléaire.

e. La moelle est pauvre.

6. Le bilan biologique d’un déficit congénital combiné

en facteurs II et V est le suivant :

a. TP bas isolé.

b. TCA allongé et TP normal.

c. TS allongé.

d. TCA et TQ allongé.

e. D - Dimères élevés.

7. Au cours des anémies hémolytiques d’origine

mécanique, il est habituel de retrouver sur le FSP :

a. Drépanocytes.

b. Sphérocytes.

c. Schizocytes.

d. Acanthocytes.

e. Dacryocytes.

8. Dans l’asthme aigu très grave :

a. PaCO2 > 50 mmHg / PaO2 > 80 mmHg / pH = 7.35.

b. DEP < 20 % théorique.

c. Cyanose, bradypnée, bradycardie, silence

auscultatoire, coma.

d. PaO2 > 60 %, DEP < 30 % théorique, pH = 7.40.

e. Aucune réponse juste.

9. Dans les accidents vasculaires cérébraux une TA à

21 / 12 doit être respecté sauf :

a. Si la TA dépasse 22 / 12.

b. S’il s'agit d’un accident cérébral hémorragique.

c. Si une thrombolyse cérébrale est envisagée.

Ratt 11 – 09 – 2019

Page 22: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

22

d. En cas d’accident vasculaire ischémique transitoire.

e. Aucune réponse juste.

10. Des chiffres de pression artérielle à 210 / 110

mmHg sont retrouvés chez une femme de 46 ans. Quelle

est la circonstance clinique ou cette HTA doit être

respectée ?

a. Grossesse.

b. Dissection aortique.

c. Infarctus du myocarde à la phase aiguë.

d. Accident vasculaire cérébral ischémique.

e. Toutes les réponses sont fausses.

11. L’occlusion intestinale aiguë peut entraîner : (la ou

les réponses fausses)

a. Un choc hypovolémique.

b. Un choc cardiogénique.

c. Un choc septique.

d. Un choc anaphylactique.

e. Toutes les réponses en dessus sont justes.

12. La prise en charge de polytraumatisé dans sa phase

pré hospitalière est axée sur : (la ou les réponses fausses)

a. Assurer la survie.

b. Ébaucher un bilan lésionnel.

c. Médicalisation et conditionnement rapide.

d. Orientation et transfert.

e. Toutes les réponses sont fausses.

13. Le diagnostic biologique de l’acidocétose diabétique

comporte : (la ou les réponses fausses)

a. Glycémie à 3 g / l, une albuminurie, une créatininémie

élevée et une glycosurie positive.

b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves

alcalines normales et cétonurie (traces).

c. Hyperglycémie à 7 g / l, osmolarité élevée, pH sanguin

normal.

d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,

les réserves alcalines abaissées.

e. Hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines

normaux, hyponatrémie, déshydratation globale.

14. Les hypoglycémies surviennent : (la ou les réponses

fausses)

a. Uniquement sous insuline à action rapide.

b. Uniquement sous insuline et sulfamides

hypoglycémiants.

c. Uniquement chez les diabétiques.

d. Uniquement après effort physique, ou une situation de

stress.

e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.

15. L’insuffisance surrénalienne aiguë : (la ou les

réponses fausses)

a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine

ou une fausse fibroscopie digestive.

b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun

danger chez l’insuffisant surrénalien.

c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et

des chélateurs de potassium à cause de l’hyperkaliémie.

d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation

biologique est obtenue en administrant l'hémisuccinate.

e. Ne survient jamais dans l’insuffisance surrénalienne

d’origine centrale.

16. L’acidocétose diabétique : (la ou les réponses

fausses)

a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté

systématiquement au cours du traitement.

b. Est très fréquente chez le diabétique de type 1.

c. Ne survient jamais chez le diabétique de type 2.

d. Peut se compliquer d’une cécité.

e. La correction de l’hypokaliémie n’est pas systématique,

car elle se corrige sous insulinothérapie.

17. Femme obèse, asthmatique, 52 ans, HTA chronique

sous traitement, consulte en urgence pour une poussée

hypertensive, TA = 19 / 11 avec épistaxis et céphalées.

Quel traitement injectable adopter ?

a. LOXEN.

b. BETA BLOQUANT.

c. CATAPRESSAN.

d. D.NITRITES.

e. Aucun traitement injectable.

18. Dans la déshydratation intracellulaire pure : (la ou

les réponses fausses)

a. Le volume extracellulaire est élevé.

b. L’osmolarité urinaire est basse.

c. Les troubles neurologiques sont au premier plan.

d. La correction rapide des troubles peut engendrer une

myélinolyse centro-pontine.

e. Peut se compliquer d’une hémorragie sous

arachnoïdienne.

Page 23: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

23

19. La nécrose tubulaire aiguë : (la ou les réponses

fausses)

a. est une complication fréquente d’un accident immuno -

allergique.

b. fraction d’éjection au sodium est inférieur à 1.

c. se manifeste par hématurie macroscopique.

d. peut se voir après traitement par méthotrexate.

e. Elle est de bon pronostic.

20. Dans le syndrome néphrotique iatrogène, la

ponction biopsie rénale retrouve : (la ou les réponses

fausses)

a. Glomérulonéphrite rapidement progressive.

b. Glomérulonéphrite membrano proliférative.

c. Lésions glomérulaires minime.

d. Glomérulonéphrite extra membraneuse.

e. Glomérule normal.

21. Dans les syncopes neuro cardiogéniques dites

réflexes : (la ou les réponses fausses)

a. Les syncopes vaso vagales sont dues à un stress

émotionnel ou orthostatique.

b. L’origine vaso vagale peut - être confirmée par un test

d’inclinaison.

c. Le test de Schellong reproduit l’hyperréactivité sino -

carotidienne.

d. Le massage sino-carotidien n’a aucune contre -

indication.

e. Elles ont des mécanismes physiopathologiques

différents.

22. Dans les hypothermies modérées :

a. La peau est livide.

b. En dessous de 32° C les frissons persistent.

c. Les signes neurologiques sont absents.

d. Fréquence cardiaque et pression artérielle sont

augmentées.

e. Les pupilles sont en mydriase bilatérale.

23. Les hypothermies par perturbations des mécanismes

thermorégulateurs sont retrouvées dans : la ou les RF

a. Les hypothyroïdies.

b. Les comas toxiques.

c. L’insuffisance surrénalienne.

d. Les accidents de montagne.

e. Le phéochromocytome.

24. Parmi les hyperthermies : la ou les RF

a. Le coup de chaleur d’effort est une pathologie

environnementale.

b. La charge thermique est exogène dans le coup de

chaleur d’effort.

c. La température de consigne est décalée.

d. La thermogénèse est réduite.

e. Aucune réponse juste.

25. Prise en charge d’un état de mal épileptique scoré <

7 : (la ou les réponses fausses)

a. Administrer un anti épileptique en IV.

b. Assurer la liberté des voies aériennes.

c. Intubation.

d. Mise sous ventilation mécanique.

e. Toutes les réponses sont fausses.

26. Devant un patient victime d’un état de mal

épileptique, que doit - on envisager ? la ou les RF

a. Ponction lombaire.

b. Electro encéphalogramme (EEG).

c. Ionogramme, glycémie, calcémie.

d. Radiographie du crâne.

e. Scanner cérébral.

27. Les critères définissant une brûlure grave sont : (la

ou les réponses fausses)

a. Surface cutanée brûlée supérieure à 15 % de la surface

cutanée totale chez un adulte.

b. Surface cutanée brûlée supérieure à 20 % SC aux âges

extrêmes.

c. Brûlure 3ème

degré &gt; 10 % surface cutanée.

d. Brûlure du second degré supérieure à 15 % de la

surface cutanée.

e. Brûlure associée à une inhalation de monoxyde de

carbone.

28. Lors de la prise en charge d’un brûlé, les premiers

secours consistent en ce qui suit : (la ou les réponses

fausses)

a. Libérer les voies aériennes et oxygéner le patient.

b. Poser une voie veineuse et transfuser.

c. Rechercher des lésions associées.

d. Refroidir la brûlure pendant 20 minutes, eau à 15 - 20°.

e. Traiter la douleur au moyen d’antalgiques et d’un

refroidissement externe.

Page 24: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

24

29. Un brûlé est obligatoirement hospitalisé : (la ou les

réponses justes)

a. Si la surface cutanée brûlée est supérieure à 5 % de la

surface cutanée totale.

b. S’il s’agit d’un nourrisson quel que soit la surface

cutanée brûlée.

c. S’il y a inhalation de monoxyde de carbone.

d. En cas d’électrisation.

e. Si la brûlure siège au niveau du périnée.

30. Devant une douleur thoracique chez un patient de

50 ans, sans antécédents pathologiques connus, il faut

dès son admission aux urgences :

a. Faire un ECG.

b. Éliminer ou confirmer une embolie pulmonaire.

c. Éliminer ou confirmer un problème coronarien.

d. Rechercher les facteurs déclenchant la douleur

thoracique.

e. Faire un scanner thoracique.

31. Une embolie pulmonaire est suspectée chez un

patient admis pour douleur thoracique aux urgences si :

a. L’interrogatoire retrouve la notion de chirurgie

récente.

b. La douleur thoracique s’accompagne de dyspnée et de

sensation d'angoisse.

c. On note l’apparition d’un emphysème sous-cutané.

d. La douleur thoracique est intense et migratrice.

e. On retrouve des signes de phlébite.

32. Devant une douleur thoracique, une péricardite

aiguë est évoquée si : (la ou les réponses fausses)

a. La douleur est rétro sternale, variable avec les

mouvements respiratoires et la position.

b. La douleur est en coup de poignard.

c. On retrouve des signes d’insuffisance cardiaque droite.

d. L’auscultation met en évidence un assourdissement des

bruits du cœur.

e. Le bilan biologique montre un taux de D - dimères

supérieur à 500 μg/ml.

33. Parmi les conséquences d’une noyade, on retrouve :

(la ou les réponses fausses)

a. La survenue d’un spasme laryngé.

b. Une tachycardie avec vasoconstriction périphérique.

c. Une hypothermie.

d. Un œdème pulmonaire lésionnel par lésion de la

membrane alvéolo - capillaire.

e. Toutes les réponses sont justes.

34. Un noyé classé “ petit hypoxique ” présente : (la ou

les réponses fausses)

a. Une inhalation minime.

b. Une toux, avec gêne respiratoire et râles crépitants

aux bases.

c. Une tachycardie isolée.

d. Des troubles de la conscience à type de confusion et

d’obnubilation.

e. Toutes les réponses sont justes.

35. La thérapeutique instaurée chez ce patient à son

admission en réanimation est la suivante :

a. Oxygénothérapie nasale.

b. Ventilation artificielle.

c. Apports liquidiens modérés en perfusion et par sonde

gastrique.

d. Antibiothérapie IVD anti - BGN et anti - anaérobie.

e. Héparines à dose préventive.

36. Un patient admis aux urgences suite à une morsure

de serpents, grade 2, présente : la ou les RF

a. Un œdème régional.

b. Des signes généraux modérés.

c. Une hypotension passagère et une tachycardie.

d. Un saignement modéré au niveau de la morsure,

gingivorragies, hématurie.

e. Une hémorragie grave.

37. Lors d’une morsure de scorpion classe 2, la

symptomatologie clinique est la suivante : la ou les RF

a. Une dyspnée et des râles crépitants.

b. Une hypotension artérielle précoce due aux substances

vaso - actives libérées à partir des tissus envenimés.

c. Des myoclonies, fasciculations et crampes musculaires.

d. Une dysrégulation thermique.

e. Des troubles de la conscience allant jusqu’au coma.

38. Une patiente âgée de 20 ans, aux antécédents

d’asthme se présente aux urgences pour gêne

respiratoire après une piqûre d’abeille. L'examen

clinique retrouve une patient agitée, un œdème cervico -

facial, TA = 110 - 70 mmHg. FC = 110 bat /min,

Page 25: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

25

fréquence respiratoire = 25 cycles /minutes. Votre

conduite thérapeutique sera la suivante :

a. Voie veineuse périphérique.

b. Remplissage vasculaire aux cristalloïdes.

c. Intubation trachéale ou trachéotomie systématique.

d. Administrer des corticoïdes IVD.

e. Aérosols bronchodilatateurs.

39. Le choc septique se définit comme : (la ou les

réponses fausses)

a. T° > 38° C, GB < 4000 /mm³ et Hypo TA.

b. T° < 38°C, FR > 20 /min et une infection documenté.

c. T° < 36°C, GB < 12000 /mm 3 avec une Hypo TA

nécessitant des catécholamines.

d. T° > 38°C, FC > 90 /mn et FR > 20 cycle /mn.

e. T° < 36°C, GB < 4000 /mm³ avec une Hypo TA

réfractaire suite à une infection documenté.

40. Quels est le traitement d’un choc anaphylactique

suite à une injection de pénicilline ? la ou les RF

a. Arrêt de l’injection de pénicilline.

b. Injection d’atropine en IV.

c. Mise sous oxygène nasal.

d. Remplissage vasculaire : 10 ml /Kg en 10 min de

cristalloïdes.

e. Injection d’adrénaline : 0.25 mg dilué dans 10 ml de

SS 9 ‰.

1. Un brûlé âgé de 12 mois doit être hospitalisé si : (la

ou les réponses fausses)

a. SCB > 10 % s'il s'agit d'un nourrisson.

b. La brûlure est associée à un traumatisme.

c. Il y a inhalation de fumée d'incendie.

d. La brûlure est localisée au niveau du périnée.

e. Quel que soit le type de brûlure.

2. Après hospitalisation d'un brûlé, il faut : (la ou les

réponses fausses)

a. Instaurer précocement une antibiothérapie.

b. Entamer une réanimation respiratoire.

c. Administrer le sérum antitétanique.

d. Perfuser le patient au moyen de solutés salés et

d'albumine.

e. Toutes les réponses sont justes.

3. La prise en charge initiale d'un patient suite à une

morsure de serpents est la suivante : (la ou les réponses

fausses)

a. Soins locaux à la Bétadine.

b. Sérothérapie systématique.

c. Mise en place d'un bandage alcoolisé.

d. Prophylaxie anti tétaniques.

e. L'administration de corticoïdes.

4. Les gestes à ne pas entreprendre après une morsure

de scorpions sont les suivants : (la ou les réponses

fausses)

a. La succion.

b. La contention et la pose de garrot.

c. L'administration de sérum anti scorpionique.

d. La scarification.

e. L'infiltration d'analgésiques.

5. Les actions transfusionnelles immédiates comportent :

(la ou les réponses fausses)

a. Réactions transfusionnelles hémolytiques.

b. Surcharge en fer.

c. Réactions fébriles non hémolytiques.

d. Réactions allergiques et anaphylactiques.

e. Infections bactériennes.

6. Dans les réactions transfusionnelles hémolytiques

immunologiques aigues :

a. L'origine de l'hémolyse est une destruction physique

des hématies.

b. L'origine immunologique est due à un conflit antigène -

anticorps.

c. Les anticorps naturels type IgM donnent une hémolyse

mira - tissulaire ou luira splénique.

d. Les anticorps immuns type IgG donnent une hémolyse

intravasculaire.

e. Les composants vasomoteurs du complément sont

responsables de l'état de choc.

7. Dans les syncopes neuro cardiogéniques dites

réflexes : (la ou les réponses justes)

a. les syncopes vaso vagales sont dues un stress

émotionnel ou orthostatique.

b. l'origine vaso vagale peut être confirmée par un test

d'inclinaison.

c. le test de Schellong reproduit l'hyperréactivité sino

carotidienne.

S2 Juillet – 2019

Page 26: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

26

d. le massage sino - carotidien n'a aucune contre -

indication.

e. elles ont des mécanismes physiopathologiques

différents.

8. Dans les hypothermies modérées : la ou les RF

a. La peau est livide.

b. En dessous de 32° C les frissons persistent.

c. Les signes neurologiques sont absents.

d. Fréquence cardiaque et pression artérielle sont

augmentées.

e. Les pupilles sont en mydriase bilatérale.

9. Quel est le traitement du choc anaphylactique suite à

une injection de pénicilline ?

a. Arrêt de l'injection de pénicilline.

b. Injection d'atrophie en IV.

c. Mise sous oxygène nasal.

d. Remplissage vasculaire : 10 ml/kg en 10 mn de

cristalloïdes.

e. Injection d'adrénaline : 2,5 mg dilué dans 10 ml de SS

9 ‰.

10. Patient admis au urgence pour un traumatisme

crânien suite à un AVF avec une TA 07 / 04, FC = 120

/mn. Que faite vous dans un premier temps ?

a. Évaluer la profondeur du coma.

b. Faire un examen neurologique complet.

c. Faire une enquête étiologique.

d. Faire un scanner cérébral.

e. Rechercher les signes de détresse vitale.

11. Votre patient est inconscient, confus, n'ouvre pas

les yeux à la stimulation douloureuse et en position

extension membres supérieurs et des membres

inférieurs. Quel est son score de Glasgow ?

a. 4

b. 5

c. 6

d. 7

e. 8

12. Une intensité du courant supérieur à 2 A veut

provoquer spécialement : RJ

a. Une inhibition des structures nerveuses.

b. Réaction d’agrippement.

c. Tétanisation du diaphragme

d. Contractions musculaire ne cédant pas au rupture du

courant.

e. Fibrillation auriculaire.

13. Classification de MASTER : RF

a. Définit trois groupes à risque.

b. Comporte des données anamnestiques.

c. Comporte des observations clinique objective.

d. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations

complémentaires.

e. Détermine la durée d'hospitalisation en réanimation.

14. Dans le "Glasgow - Liege Rcale" : RJ

a. Améliore la précision du pronostic pour les patients

souffrant d’un traumatisme crânien grave.

b. Le réflexe oculo - céphalogyre horizontal est noté.

c. C’est une échelle allant de 3 à 20.

d. Évaluer les réflexes du tronc cérébral.

e. Le réflexe fronto - orbiculaire est coté à 5.

15. Prise en charge d'un état de mal épileptique scoré

< 7 :

a. Administrer un antiépileptique IV.

b. Assurer la liberté des voies aériennes.

c. Intubation.

d. Mise sous ventilation mécanique.

e. Rechercher une hypocalcémie et / ou d'une

hypoglycémie.

16. Devant un patient victime d'un état de mal

épileptique, que doit - on envisager ?

a. Ponction lombaire.

b. Electro - encéphalogramme (EEG).

c. Ionogramme, glycémie et calcémie.

d. Radiographie du crâne.

e. Scanner cérébral.

17. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles

par les par les raticides ?

a. Atropine

b. Alcool éthylique

c. Gluconate de calcium

d. Vitamine K1.

e. Valium.

Page 27: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

27

18. Quel est l'antidote d'une Intoxication par

paracétamol ?

a. Gluconate de calcium

b. Temgésic

c. N - acétylcystéine

d. Vitamine B1

e. Bleu de méthylène.

19. La découverte d'une thrombopénie doit faire

rechercher :

a. Une maladie lupique.

b. Une leucémie lymphoïde chronique.

c. Une carence en fer.

d. Une splénectomie.

e. Toutes les réponses sont justes.

20. Lesquelles de ces valeurs sont pathologiques ?

a. Hb = 11 g /dl chez l'homme.

b. Ht = 56 % chez l'homme.

c. VGM = 85 fl chez l'adulte.

d. VGM = 110 fl chez un adulte.

e. Lymphocytes = 5500 elts /mm³.

21. Purpura thrombopénique immunologique (PTI) :

a. Est une anomalie de l'hémostase primaire.

b. Se caractérise par la présence d'hémarthroses et

d'hématomes profonds.

c. Le bilan étiologique est négatif.

d. Les agonistes du récepteur de la thrombopoïétine sont

indiqués en 1ère

intention.

e. Le médullogramme est primordial au diagnostic.

22. Un allongement du TS (Ivy incision) est retrouvé

dans :

a. Hémophilie

b. Thrombopathie de Glanzmann.

c. Maladie de Willebrand.

d. Leucémie myéloïde chronique.

e. Aucune réponse n'est juste.

23. En faveur d'une hypoglycémie fonctionnelle :

a. Sa survenue à jeun, à l'effort, ou pendant le sommeil.

b. Impossibilité de jeûner le mois de Ramadan.

c. Les convulsions.

d. La perte pondérale.

e. Sa survenue en post prandiale, ou après un repas riche

en calories.

24. Parmi les situations suivantes, laquelle) ou

lesquelles, peuvent favoriser une acidocétosique

diabétique ?

a. Les états infectieux.

b. La grossesse et l'allaitement maternel.

c. Les infections bactériennes uniquement.

d. Un IDM ou un AVC chez les diabétiques de type 1.

e. Prise modérée de l'alcool ou des pansements

gastriques.

25. Une hypoglycémie entraîne :

a. Des troubles nerveux à court terme.

b. Une sécrétion de glucagon et d'adrénaline.

c. Une activation de sensation de faim.

d. Une activation des enzymes impliquées dans la

glycogénolyse.

e. Une amélioration de l'efficacité de l'insuline.

26. L'hypoglycémie chez le non diabétique peut être

causée par :

a. Une effort physique inhabituel.

b. Une pancréatectomie, ou une insuffisance

hépatocellulaire.

c. Une gastrectomie.

d. Certaines tumeurs volumineuses parenchymateuses.

e. Par les anti - convulsivants.

27. Au cours de la prise en charge de l'insuffisance

surrénale aiguë :

a. L'apport des électrolytes (Na et K) est systématique.

b. L'Hémisuccinates d'Hydrocortisone (HHL) n’est

introduite que si la cortisolémie est effondrée "afin

d'éviter ses effets secondaires.

c. Les minéralocorticoïdes sont parfois nécessaires.

d. Le traitement en urgence sans preuve biologique

constitue une erreur médicale.

e. L’HHC est introduite sous forme orale dès

amélioration de l'état clinique.

28. L'occlusion intestinale aiguë peut entraîner :

a. Un choc hypovolémique.

b. Un choc cardiogénique.

c. Un choc septique.

d. Un choc anaphylactique.

e. Toutes les réponses ci - dessus sont justes.

Page 28: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

28

29. La prise en charge de polytraumatisé dans sa phase

pré hospitalière est axée sur :

a. Assurer la survie.

b. Ébaucher un bilan lésionnel.

c. Médicalisation et conditionnement rapide.

d. Orientation.

e. Transfert.

30. Le secouriste qui administre la RCR à une victime

adulte doit faire des ?

a. Compressions thoraciques d'une profondeur

d’environs 1,25 à 2,5 cm.

b. Compressions thoraciques d'une profondeur d’environ

7 à 10 cm.

c. Compressions thoraciques peu profondes pour ne pas

endommager les côtes ou le sternum.

d. Compressions thoraciques ; une profondeur d'environ

5 à 6 cm.

e. Compressions thoraciques profondes pour lutter contre

la rigidité du sternum.

31. Parmi tes propositions suivantes, une seule n'est

pas en faveur d'une ischémie aiguë de membre inférieur

d'origine embolique :

a. Le début brutal.

b. L'existence d'une fibrillation auriculaire.

c. Antécédent de claudication intermittente à

l'interrogatoire.

d. Tous les pouls périphériques sont présents sur le

membre controlatéral.

e. Absence de souffle artériel à l'auscultation.

32. Femme obèse, 52 ans HTA chronique sous

traitement, consulte en urgence pour une poussée

hypertensive, TA : 19 / 11 sans signe fonctionnel. Quel

traitement injectable adopter ? la ou les RF

a. Loxen.

b. Béta bloquant.

c. Catapressan.

d. D. nitrés.

e. Aucun traitement injectable.

33. Homme 45 ans, HTA connue et traitée, consulte en

urgence pour un pic hypertensif, TA : épistaxis,

céphalée peu intense et vertige. À votre avis, s'agit - il ?

a. Simple poussée hypertensive.

b. HTA accélérée.

c. HTA maligne.

d. Vrai urgence hypertensive.

e. Urgence hypertensive grave.

34. Parmi les propositions suivantes, laquelle

correspond à asthme aigu grave ?

a. PaO2 > 50 mmHg / PaO2 > 80 mmHg / pH < 7,35.

b. DEP < 20 % théorique.

c. Cyanose, bradypnée, bradycardie, silence

auscultatoire, coma.

d. PaO2 < 60 %, DEP < 30 % théorique, pH = 7,40.

e. Aucune réponse juste.

35. Asthme suraigu :

a. Entraîne la mort en moins de 3 heures.

b. Le bronchospasme est dominant.

c. Répond mal aux β2 mimétique.

d. La composante inflammatoire est dominante.

e. Rôle de l'exposition allergénique massive.

36. Dans les accidents vasculaire cérébraux une TA à

20 /11 doit être respecté sauf :

a. Si la TA dépasse 22 / 12.

b. S’il s'agit d'un accident cérébral hémorragique.

c. Si une thrombolyse cérébrale est envisagée.

d. En cas accident vasculaire ischémique transitoire.

e. Aucune réponse juste.

37. L'insuffisance rénale aiguë fonctionnelle se

manifeste par : (RF)

a. Créatininémie normale ou peu élevée.

b. Fraction d'éjection de sodium supérieur à 1.

c. Hyper protidémie.

d. Urée sanguine très élevée.

e. Peut évoluée vers la nécrose tubulaire.

38. Dans le syndrome hémolytique et urémique (SHU) :

(RF)

a. Anémie hémolytique de type mécanique.

b. Thrombopénie.

c. Baisse de l'haptoglobine.

d. Augmentation du LDH.

e. Diminution du taux de prothrombine.

Page 29: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

29

39. Nécrose tubulaire aiguë :

a. Protéinurie massive.

b. Hématurie macroscopique.

c. Leucocyturie.

d. La ponction biopsie rénale est obligatoire.

e. Elle est de bons pronostics.

40. Au cours de la carence en acide folique :

a. L'anémie est macrocytaire.

b. Le myélogramme montre une mégaloblastose.

c. Les troubles neurologiques peuvent êtres au premier

plan.

d. L'origine de la carence peut être médicamenteuse.

e. Toutes les réponses sont justes.

Femme XY âgée de 28 ans originaire et demeurant à Sidi

Bel Abbes, mariée vient de sortir de la maternité après

curetage avec couverture antibiotique (Cefacidal -

Gentamycine) pour un avortement (Grossesse à 12

semaines). 2 j après sa sortie la malade est fébrile à 40°

obnubilée et présentant des épisodes de vomissements

incoercibles. TA : 5/2 mmhg, refroidissement des

extrémités. Hyperleucocytose à 22000 elt /mm, CRP à

345 mg.

1. À quoi pensez - vous ?

a. Sepsis aigu décapité.

b. Sepsis grave nosocomiale à porte d’entrée

gynécologique avec localisation neuro méningée

probable.

c. Paludisme à plasmodium falciparum.

d. Pyélonéphrite aiguë.

e. Méningite purulente nosocomiale.

2. Quelle est votre conduite d'urgence ?

a. Hospitalisation et conditionnement (remplissage et

monitoring).

b. Scanner cérébral et ponction lombaire si pas de contre

- indication.

c. Antibiothérapie : couvrant les germes nosocomiaux ;

probabiliste à bonne diffusion neuro méningée.

d. Révision utérine et recherche d’autres localisations

secondaires.

e. Tous les gestes suscités sont obligatoires et

concomitants.

La ponction lombaire a ramené un liquide trouble à

1200 elt /mm 3 a PNN altérés glycorrachie à 0.2 g /l

(Glycémie concomitante à 1g /l) les protéines à 2g/l.

Examen directe un Staphylocoque aureus. Scanner

cérébral : Hydrocéphalie passive modérée. Télé thorax :

aspect d'une pneumopathie réticulo - nodulaire diffuse.

Bandelette urinaire : hématurie +++, protéinurie ++,

nitrites ++, leucocytes ++. L'écho cœur est normale.

3. Le Diagnostic est ?

a. Sepsis aigu grave nosocomial a porte d'entrée génitale

compliqué de localisation neuro méningée, pulmonaire et

urinaire à Staphylocoque aureus (probablement résistant

à la Méticilline car nosocomial).

b. Méningo - encéphalite aiguë à Staph aureus.

c. Infection urinaire à Staph aureus.

d. Pneumopathie communautaire à Staph aureus.

e. Endocardite aiguë à Staph aureus.

4. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit

rechercher en premier lieu deux affections parmi les

suivantes, lesquelles ?

a. Un alcoolisme

b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

c. Une distomatose hépatique.

d. Un syndrome ourlien récent.

e. Une lithiase biliaire à petits calculs.

5. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont

considérés comme des critères de gravité, sauf un,

lequel ?

a. Âge 55 ans

b. Hyperglycémie.

c. Hypercalcémie.

d. Acidose.

e. Hypoxie.

6. En cas d’hyperkaliémie on peut trouver :

a. Un allongement de l’espace QT.

b. Un défaut de réabsorption dans le néphron proximal

de potassium.

c. Une excrétion supranormale par le néphron distal de

potassium.

d. Un trouble de conduction auriculo ventriculaire et

intra ventriculaire.

e. Une insuffisance rénale aiguë.

S1 Novembre – 2018

Page 30: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

30

7. Dans l’hypokaliémie peut être due à :

a. Un hyper aldostéronisme.

b. Un hypo aldostéronisme.

c. Une hypo - osmolarité.

d. A un transfert intracellulaire par acidose métabolique.

e. Toutes les réponses sont fausses.

8. En cas de remplissage avec du SS 0.9 % chez un

patient en état de choc :

a. Le risque est de développer une alcalose métabolique.

b. Le risque est de développer une acidose minérale.

c. Le risque est de développer une acidose hyperc

hlorémique.

d. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une

baisse du SID.

e. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une

augmentation du SID.

9. Dans la fièvre :

a. Les prostaglandines E2 sont responsables du décalage

de la température de référence.

b. La stimulation du centre de thermogénèse provoque

une sudation.

c. Il y'a une perte de la thermorégulation.

d. La réponse fébrile se déroule en 3 phases.

e. La stimulation du centre de thermogénèse provoque

une vasoconstriction.

10. Dans les hypothermies définies par une T° centrale

< à 35 :

a. Les signes cliniques sont circulatoires et neurologiques.

b. L'hypothermie protège contre l'hypoxie cérébrale.

c. La fibrillation ventriculaire peut survenir lors des

stimulations nociceptives pendant les soins.

d. Le réchauffement thérapeutique doit être rapide.

e. Toutes les réponses sont fausses.

11. Le coup de chaleur d'exercice :

a. Est une hyperthermie maligne par surcharge exogène

de chaleur.

b. Comporte souvent une rhabdomyolyse.

c. Survient chez le sujet jeune mal acclimaté après un

effort intense.

d. Le refroidissement doit être prudent et progressif.

e. Toutes les réponses sont justes.

12. Le coup de chaleur classique :

a. La thermorégulation continue à se faire mais à un

niveau plus élevé.

b. Survient chez le sujet jeune indemne de toute tare

physique.

c. Est favorisé par la déshydratation.

d. Est favorisé par l'hypothyroïdie.

e. Est favorisé par les médicaments qui altèrent la

thermorégulation.

13. Les signes immédiats après une électrisation : (la

ou les réponses fausse)

a. Spasmes artériels.

b. Traumatisme du rachis

c. Brûlures cutanées ou muqueuses

d. Ischémie myocardique.

e. Œdème des VAS par lésions buccales.

14. Cochez la ou les réponse(s) juste(s) :

a. PAM = PPC – PIC.

b. Chez un patient instable, la présence de signes

neurologiques n'élimine pas une atteinte cérébrale.

c. Examen neurologique est fiable que si le patient est

stable.

d. Chez un patient stable, l’absence de signes

neurologiques n’élimine pas une atteinte cérébrale.

e. Traumatisme crânien grave est un score de Glasgow

inférieur ou égal à 8.

15. Devant un patient victime d’un état de mal

épileptique scoré < 7 :

a. Mise sous ventilation artificielle.

b. Assurer la liberté des voies aériennes.

c. Intuber.

d. Faire un ionogramme, glycémie et calcémie.

e. Ne pas administrer un antiépileptique IV.

16. Quel est l’antidote d’une intoxication par

paracétamol ? a. Gluconate de calcium.

b. Temgesic.

c. N - acétylcystéine.

d. Vitamine B1.

e. Bleu de méthylène.

Page 31: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

31

17. Une carence en vitamine B12 peut s'observer :

a. Après gastrectomie.

b. Pendant la grossesse.

c. Maladie de Biermer.

d. Au cours des hémolyses.

e. Résection du jéjunum.

18. Les manifestations hémorragiques au cours des

purpuras thrombopéniques peuvent se présenter par :

a. Des hématomes.

b. Des hémarthroses.

c. Des épistaxis.

d. Des ecchymoses et des pétéchies.

e. Des hémorragies rétiniennes au fond d'œil.

19. Le diagnostic biologique d’acidocétose diabétique

comporte : (la réponse juste)

a. Glycémie à 3 g /l, une albuminurie, une créatininémie

élevée, et une glycosurie positive ?

b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves

alcalines normales, et cétonurie (traces) ?

c. Hyperglycémie à 7 g/l, osmolarité élevée, pH sanguin

normal.

d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,

les réserves alcalines abaissées.

e. Hyperglycémie pH sanguin et réserves alcalines

normaux, hyponatrémie, déshydratation globale.

20. Les hypoglycémies surviennent : (la réponse juste)

a. Uniquement sous insuline à action rapide.

b. Uniquement sous insuline et sulfamides

hypoglycémiants.

c. Uniquement chez les diabétiques.

d. Uniquement après effort physique, ou une situation de

stress.

e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.

21. L'insuffisance surrénalienne aiguë : la RJ

a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine

ou une fibroscopie digestive.

b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun

danger chez l'insuffisant surrénalien.

c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et

des chélateurs de potassium à cause de l’hyperkaliémie.

d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation

biologique est obtenue en administrant l’Hémisuccinate

d'Hydrocortisone.

e. Ne survient jamais dans l'insuffisance surrénalienne

d'origine centrale.

22. L’acidocétose diabétique : (la réponse juste)

a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté

systématiquement au cours du traitement.

b. Est très fréquente chez le diabétique de type 1.

c. Ne survient jamais chez un diabétique de type 2.

d. Peut se compliquer d’une cécité.

e. La correction de l’hypokaliémie n’est pas systématique,

car elle se corrige sous insulinothérapie.

23. Les critères définissant une brûlure grave sont :

a. Surface cutanée brûlée supérieure à 15 % de la surface

cutanée totale chez un adulte.

b. Surface cutanée brûlée supérieure à 20 % SC aux âges

extrêmes.

c. Brûlure 3 ° degré > 10 % surface cutanée.

d. Brûlure du second degré supérieure à 15 % de la

surface cutanée.

e. Brûlure associée à une inhalation de monoxyde de

carbone.

24. Devant une douleur thoracique chez un patient de

50 ans, sans antécédents pathologiques connus, il faut

dès son admission aux urgences :

a. Faire un ECG.

b. Éliminer ou confirmer une embolie pulmonaire.

c. Éliminer ou confirmer un problème coronarien.

d. Rechercher les facteurs déclenchant la douleur

thoracique.

e. Faire un scanner thoracique.

25. Un patient admis aux urgences suite à une morsure

de serpents, grade 2, présente :

a. Œdème régional.

b. Des signes généraux modérés.

c. Une hypotension passagère et une tachycardie.

d. Un saignement modéré au niveau de la morsure

gingivorragies, hématurie.

e. Une hémorragie grave.

26. Dans la déshydratation intracellulaire pure :

a. Le volume extracellulaire est élevé.

b. L’osmolalité urinaire est basse.

c. Les troubles neurologiques sont au premier pian.

Page 32: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

32

d. La correction rapide des troubles peut engendrer une

myélinolyse centro - pontine.

e. Peut se compliquer d'une hémorragie sous

arachnoïdienne.

27. La nécrose tubulaire aiguë :

a. Est une complication fréquente d'un accident immuno -

allergique.

b. Fraction d'éjection au sodium est inférieur à 1.

c. Se manifeste par hématurie macroscopique.

d. Peut se voir après traitement par méthotrexate.

e. Elle est de bon pronostic.

28. Dans le syndrome néphrotique iatrogène la

ponction biopsie rénale retrouve :

a. Glomérulonéphrite rapidement progressive.

b. Glomérulonéphrite membrano proliférative.

c. Lésions glomérulaires minime.

d. Glomérulonéphrite extra membraneuse.

e. Glomérule normal.

29. Le secouriste qui administre la RCR à une victime

adulte doit faire des .. ?

a. Compressions thoraciques d'une profondeur d'environ

1,25 à 2,5 cm.

b. Compressions thoraciques d'une profondeur d'environ

7 à 10 cm.

c. Compressions thoraciques peu profondes pour ne pas

endommager les côtes ou le sternum.

d. Compressions thoraciques d'une profondeur d'environ

5 à 6 cm.

e. Compressions thoraciques profondes pour lutter contre

la rigidité du sternum

30. Devant une ischémie aiguë d’un membre, quel est

l’élément principal de gravité :

a. Abolition du pouls.

b. Refroidissement des téguments.

c. Déficit sensitivo - moteur.

d. Douleur à la pression des masses musculaires.

e. Aucune proposition ci-dessus.

31. Parmi les propositions suivantes, une seule n’est

pas en faveur d’une ischémie aiguë du membre

inférieur d’origine embolique :

a. Le début brutal.

b. L'existence d’une fibrillation auriculaire.

c. Antécédent de claudication intermittente à

l’interrogatoire.

d. Tous les pouls périphériques sont présents sur le

membre controlatéral.

e. Absence de souffle artériel à l’auscultation.

32. Des chiffres de pression artérielle à 220 / 120

mmHg sont retrouvés chez une femme de 46 ans. Quelle

est la circonstance clinique où cette HTA doit être

respectée ?

a. Grossesse.

b. Dissection aortique.

c. Infarctus du myocarde à la phase aiguë.

d. Accident vasculaire cérébral ischémique à thrombolyse.

e. Toutes les réponses sont fausses.

Un homme de 65 asthmatique et hypertendu ancien,

présente brutalement une violente douleur thoracique

antérieure irradié dans la région scapulaire et le dos.

Lors de son arrivée à l’urgence, la douleur demeure très

intense avec une TA 190 / 120. L'auscultation thoracique

et l'électrocardiogramme sont normaux.

33. Quel diagnostic évoquer en priorité ?

a. Péricardite aiguë

b. Syndrome coronarien aigu

c. Pancréatite aiguë

d. Pneumothorax spontané

e. Dissection aortique.

34. Quel examen para clinique à demander en urgence ?

a. Télé thorax

b. Scanner abdominal

c. Scanner thoracique

d. Écho - transoesophagien

e. Coronarographie en urgence.

35. Quel est votre attitude thérapeutique ?

a. TA inférieur à 126 / 60.

b. Orienter le patient vers un centre spécialisé.

c. Calmer la douleur.

d. Respecter la TA élevée.

e. Donner un β bloquants sélectif.

Page 33: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

33

36. Le choc septique se définit comme : (la réponse

juste)

a. T° > 32° C, GB < 4000 /mm³ et Hypo TA.

b. T° < 38° C, FR > 20 /mn et une infection documentée.

c. T° < 36° C, GB > 12000 /mm³ avec une hypo TA

nécessitant des catécholamines.

d. T° > 38° C, FC > 90 /mn et FR > 20 cycle /mn.

e. T° < 36° C, GB < 4000 /mm³ avec une hypo TA

nécessitant des catécholamines suite à une infection

documentée.

37. Patient admis au urgence pour un traumatisme

crânien suite à un AVP avec une TA = 07 / 04, FC =

120 /mn. Que faite vous dans un premier temps ? la RJ

a. Évaluer la profondeur du coma.

b. Faire un examen neurologique complet.

c. Faire une enquête étiologique.

d. Faire un scanner cérébral.

e. Rechercher les signes de détresse vitale.

38. Votre patient est inconscient, gémit, n’ouvre pas les

yeux à la stimulation douloureuse et en position flexion

des membres supérieurs et extension des membres

inférieurs ; Quel est son score de Glasgow ?

a. 4

b. 5

c. 6

d. 7

e. 8

39. L’examen clinique des yeux montre : pupille en

mydriase unilatérale aréactive avec déviation oblique

des yeux. Quel est la lésion la plus probable ?

a. Lésion de moelle épinière.

b. Lésion du tronc cérébral.

c. Lésion du mésencéphale.

d. Lésion des hémisphères cérébraux.

e. Engagement temporal.

40. Quelle est la définition gazométrique artérielle d’un

asthme aigu très grave ?

a. PaO2 < 60 % – P CO2 = 40 – pH > 7.35.

b. PaO2 < 60 % – PCO2 > 50 – pH < 7.2.

c. PaO2 normal – PCO2 < 40 – pH = 7.40.

d. PaO2 < 60 % – PCO2 < 40 – pH = 7.40.

e. PaO2 > 60 % – PCO2 > 40 – pH > 7.35.

1. La libération des voies aérienne supérieures pour la

réanimation cardiorespiratoire :

a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.

b. Pour une bonne oxygénation du sang.

c. Pour faciliter le flux d'aire lors du massage cardiaque

externe.

d. Pour réduire le temps de la réanimation cardio-

respiratoire.

e. Pour lutter contre les fausses routes.

2. Un arrêt cardiorespiratoire par fibrillation nécessite :

(la réponse fausse)

a. Une libération des voies aérienne supérieures.

b. Un massage cardiaque externe.

c. Un défibrillateur monophasique ou biphasique.

d. L’adrénaline.

e. Un défibrillateur semi - automatique en milieu

hospitalier.

3. L'importance de la rhabdomyolyse dans l'ischémie

aiguë du membre dépend :

a. Du retard du traitement médical.

b. La masse musculaire du membre ischémié.

c. Les antécédents du patient.

d. Hyperkaliémie.

e. La durée de l'ischémie.

4. Le diagnostic clinique d'une ischémie aiguë d'un

membre se, manifeste par :

a. Une chaleur.

b. Une douleur.

c. Une pâleur.

d. Une absence de pouls.

e. Une rougeur.

5. Devant un arrêt cardiorespiratoire, il faut rechercher:

a. Le pouls radial et la veine jugulaire.

b. Les pouls centraux.

c. Le pouls radial et carotidien.

d. Le pouls carotidien et / ou fémoral.

e. Le pouls radial et fémoral.

Ratt 06 – 09 – 2018

Page 34: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

34

6. Pour améliorer le pronostic de l'arrêt cardio

respiratoire, la base de réanimation doit être commencé :

a. En milieu publiée par les témoins.

b. Par les équipes des pompiers.

c. Par l’équipe de la protection civile.

d. Par les équipes du SAMU.

e. Au niveau des SAUV.

7. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit

rechercher en premier lieu deux affections parmi les

suivantes, lesquelles ?

a. Un alcoolisme.

b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

c. Une distomatose hépatique.

d. Un syndrome ourlien récent.

e. Une lithiase biliaire à petits calculs.

8. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont

considérés comme des critères de gravité, sauf un,

lequel ? (la réponse juste)

a. Âge 55 ans.

b. Hyperglycémie.

c. Hypercalcémie.

d. Acidose.

e. Hypoxie.

9. Cochez l'affirmation ou les affirmations vraies sur

les états de chocs :

a. Au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque

est augmenté.

b. Le choc hypovolémique est dû à une diminution de

remplissage cardiaque.

c. Au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est

diminué.

d. Le choc cardiogénique est lié à une altération de la

fonction myocardique.

e. Tous les états de choc altèrent le métabolisme

tissulaire et entraînent une hypoxie cellulaire.

10. Parmi les propositions suivantes, lesquelles

constituent une étiologie du choc cardiogénique :

a. Hémorragie digestive massive.

b. Infarctus myocardique aigu antéro septal étendu et

inféro - postérieur.

c. Tamponnade.

d. Occlusion intestinale aiguë.

e. Embolie pulmonaire aiguë massive.

11. Cochez l'affirmation ou les affirmations vraies sur

les états de chocs :

a. Le choc hypovolémique est dû à une diminution de

remplissage cardiaque.

b. Au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est

diminué.

c. Le choc cardiogénique est lié à une altération de la

fonction myocardique.

d. Au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque

est augmenté.

e. Tous les états de choc altèrent le métabolisme

tissulaire et entraînent une hypoxie cellulaire.

12. Quelle prise en charge d'un état de mal épileptique

scoré < 7 :

a. Administrer un antiépileptique IV.

b. Assurer la liberté des voies aériennes.

c. Intubation.

d. Mise sous ventilation mécanique.

e. Rechercher une hypocalcémie et / ou d'une

hypoglycémie.

13. Devant un patient victime d'un état de mal

épileptique, que doit - on envisager ?

a. Ponction lombaire.

b. Électro - encéphalogramme (EEG),

c. Ionogramme, glycémie et calcémie.

d. Radiographie du crâne.

e. Scanner cérébral.

14. Quel est l'antidote d'une intoxication par

paracétamol ? (la réponse juste)

a. Gluconate de calcium.

b. Naloxone.

c. Vitamine B1.

d. N - acétylcystéine.

e. Bleu de méthylène.

15. Une déshydratation intra cellulaire :

a. est évoquée devant une augmentation de la protidémie.

b. est associée à une hyper natrémie.

c. est une conséquence fréquente de l'utilisation des

diurétiques de l'anse.

d. peut être associée à une déshydratation extra cellulaire.

e. doit être préférentiellement traitée par une perfusion

hypotonique.

Page 35: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

35

16. Les manifestations hémorragiques au cours des

purpuras thrombopéniques peuvent se présenter par :

a. Des hématomes.

b. Des hémarthroses.

c. Des épistaxis.

d. Des ecchymoses et des pétéchies.

e. Des hémorragies rétiniennes au fond d'œil.

17. La nécrose tubulaire est une :

a. Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle.

b. Peut évoluer vers la corticale.

c. Se manifeste par hématurie et protéinurie.

d. Est une complication d'un état de choc septique.

e. Elle est de bon pronostic.

18. Au cours de l'anémie inflammatoire, on observe :

a. Une anémie normo chrome microcytaire.

b. Une ferritinémie basse.

c. Une vitesse de sédimentation accélérée.

d. Une anémie normo chrome macrocytaire.

e. Un fer sérique bas.

19. Quels sont les objectifs thérapeutiques d'un choc

cardiogénique :

a. Renforcer la contractilité cardiaque.

b. Limiter la congestion pulmonaire.

c. Assurer une pression de perfusion efficace.

d. Réduire le débit cardiaque.

e. Assurer un transport d'oxygène et une oxygénation

tissulaire adéquate.

20. Classification de MASTER :

a. Définit trois groupes à risque.

b. Comporte des observations clinique objective.

c. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations

complémentaires.

d. Détermine la durée d'hospitalisation en réanimation.

e. Comporte des données anamnestiques.

21. Un brûlé doit être hospitalisé si :

a. Quel que soit le type de brûlure.

b. Inhalation de fumée d'incendie.

c. Localisation cervico-faciale.

d. SCB > 10 % s'il s'agit d'un nourrisson.

e. Traumatisme et / ou intoxication associés.

22. Le traitement chirurgical de l'ischémie aiguë du

membre nécessite une :

a. Un pontage si l'occlusion est incomplète.

b. Un pontage si le vaisseau est sain.

c. Un pontage si le vaisseau est athéromateux.

d. Une fogartisation si le vaisseau est sain.

e. Une fogartisation si le vaisseau est athéromateux.

23. Les agressions cérébrales secondaires d'origine

systémique :

a. PA Systolique inférieure à 90 mmHg.

b. Saturation O 2 < 90 %.

c. PaO2 < 60 mmHg.

d. PaCO2 inférieur à 30 mmHg.

e. Glycémie supérieur à 1.40 g/l.

24. La classification clinique des hypothermies :

a. Nécessite la mesure de la température centrale.

b. Utilise un thermomètre standard pour mesurer la

température.

c. Dispense de l'usage d'un thermomètre.

d. Stratifie les hypothermies en quatre stades.

e. Toutes les réponses sont justes.

25. Pour le diagnostic positif de la syncope, quel(s)

examen(s) complémentaire(s) est (sont) obligatoire (s) :

a. Leucogramme

b. Topogramme

c. Électrocardiogramme.

d. Électroencéphalogramme.

e. Échocardiographie.

1. Un patient âgé de 45 ans est admis aux urgences pour

brûlure intéressant la face antérieure du tronc et tout le

membre supérieur droit. Cette brûlure est secondaire à la

projection accidentelle d’eau bouillante. L'examen

clinique révèle des lésions à type de phlyctènes sur un

derme rouge et suintant et de lésions rouges brunes ou

rouges. L'interrogatoire révèle une hypertension

artérielle équilibrée sous monothérapie. Le poids du

patient est estimé à 60 Kg.

S1 25 – 02 – 2018

Page 36: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

36

La surface cutanée brûlée est estimée à : (la réponse

juste)

a. 18 %

b. 22.5 %

c. 27 %

d. 36 %

e. Toutes les réponses sont fausses.

2. La brûlure est de : (la réponse juste)

a. Uniquement 2ème

degré superficiel.

b. Uniquement 3ème

degré.

c. Uniquement 2ème

degré profond.

d. 2ème

degré superficiel et profond.

e. A la fois 2ème

et 3ème

degré.

3. Un brulé doit être hospitalisé si :

a. CBS > 10 % s'il s'agit d'un nourrisson.

b. Traumatisme et/ou intoxication associés.

c. Inhalation de fumée d'incendie.

d. Localisation cervico - faciale.

e. Quel que soit le type de brûlure.

4. Un patient âgé de 35 ans sans antécédents

pathologiques est admis aux urgences suite à une

morsure de serpents. La prise en charge immédiate

consiste en :

a. Soin locaux à la Bétadine.

b. Traitement de la douleur par un bandage alcoolisé.

c. Prophylaxie antitétanique.

d. Sérothérapie systématique.

e. Toutes les réponses sont justes.

5. Le traitement chirurgical de l’ischémie aiguë du

membre nécessite une :

a. Une fogartisation si le vaisseau est sain.

b. Une fogartisation si le vaisseau est athéromateux.

c. Un ponge si l'occlusion est incomplète.

d. Un pontage si le vaisseau est athéromateux.

e. Une dilatation si possible.

6. Le diagnostic clinique d'une ischémie aiguë d’un

membre se manifeste par :

a. Une chaleur et Une douleur.

b. Une douleur et Une rougeur.

c. Une pâleur et Une douleur.

d. Une rougeur très importante.

e. Une absence de pouls et une pâleur.

7. Devant un arrêt cardiorespiratoire, il faut

rechercher :

a. Le pouls radial et la veine jugulaire.

b. Les pouls centraux.

c. Le pouls radial et carotidien.

d. Le pouls carotidien et/ou fémoral.

e. Le pouls radial et fémoral.

8. Pour améliorer le pronostic de l'arrêt cardio-

respiratoire, les bases de réanimation doit être

commencé :

a. En milieu public par les témoins.

b. Par les équipes des pompiers.

c. Par l'équipe de la protection civile.

d. Par les équipes du SAMU.

e. Toutes ces réponses fausses.

9. Classification de MASTER :

a. Définit trois groupes à risque.

b. Détermine la durée d'hospitalisation en réanimation.

c. Comporte des données anamnestiques.

d. Comporte des observations clinique objective.

e. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations

complémentaires.

10. Les séquelles d'une électrisation :

a. Atrophie corticale.

b. Dénervation des muscles d'un membre.

c. Insuffisance cardiaque.

d. Hémianopsie.

e. Traumatisme tympanique.

11. Madame F N âgée de 32 ans présente un diabète de

type 2 traités par une insuline basale et glucophage

jusque - là bien équilibré, hospitalisé pour un lupus

érythémateux dissimulé nécessitent une corticothérapie

à 1 mg/kg/j, un bilan préalable une corticothérapie

prolongée doit être effectué sauf un :

a. Poids et prise de tension artérielle.

b. Une FNS.

c. Recherche d'un foyer infectieux.

d. Bilan lipidique, ionogramme sanguin et glycémie.

e. Ostéodensitométrie osseuse (DMO) et dosage de la

vitamine D.

Page 37: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

37

12. Durant son traitement la patiente a présenté une

prise de poids de 600 g après trois semaines de

traitement ainsi que sa TA est de 150 / 95 mmHg notre

conduite était de :

a. Demande d'un ionogramme sanguin.

b. Ajouter un traitement diurétique.

c. Ajouter un inhibiteur de l’enzyme de conversion.

d. Régime sans sel stricte

e. Régime sans sel + traitement un traitement

antihypertenseur (un inhibiteur de l'enzyme de

Conversion).

13. Le bilan électrolytique fait retrouve : Na+ = 139

meq /l, K + = 2.7 meq /l, notre conduite est de :

a. Adjonction de sels de K. d.

Adjonction des biphosphonates.

b. Arrêter le régime sans sel stricte. e.

Adjonction de sels de K et le maintien du régime sans sel.

c. Adjonction du calcium + vitamine D.

14. État de mal épileptique scoré < 8 :

a. rechercher une hypocalcémie et/ ou d'une

hypoglycémie.

b. Assurer la liberté des voies aériennes.

c. Intubation.

d. Mise sous ventilation artificielle.

e. Ne pas administrer un anti épileptique IV.

15. Quel est l'Antidote des intoxications accidentelles

par les raticides : (la réponse juste)

a. Atropine.

b. Alcool éthylique.

c. Gluconate de calcium.

d. Vitamine K1.

e. Valium.

16. La tomodensitométrie avec produit de contraste est

réalisée : (la réponse juste)

a. au début de la symptomatologie de la pancréatite

aiguë.

b. 6 heures après le début de la symptomatologie de la

pancréatite aiguë.

c. une semaine après le début de la symptomatologie de

la pancréatite aiguë.

d. 24 heures après le début de la symptomatologie de la

pancréatite aiguë.

e. 48 - 72 heures après le début de la symptomatologie de

la pancréatite aiguë.

17. Les complications immédiates de la pancréatite

aiguë :

a. le pseudo kyste du pancréas.

b. la perforation d'un organe creux.

c. la surinfection de la coulée pancréatique.

d. l’hémorragie.

e. les défaillances viscérales.

18. Un sujet eu coma stade IV :

a. Garde une survie des fonctions cérébrales.

b. Est un sujet en mort cérébrale.

c. Peut avoir une réponse réflexe aux stimuli très violents.

d. Peut repasser en coma prolongé.

e. Peut être l'objet de prélèvements d'organes.

19. Quels est le traitement d'un choc anaphylactique

suite à une injection de pénicilline :

a. Arrêt de l'injection de pénicilline.

b. Injection d'atropine en IV.

c. Mise sous oxygène nasal.

d. Remplissage vasculaire : 10 ml /kg en 10 mn de

cristalloïdes.

e. Injection d'adrénaline : 0.25 mg dilué dans 10 ml de

SS 9 ‰.

20. À propos de l'acidocétose diabétique : la ou les RF

a. L'hyperglycémie est la conséquence d'une

néoglucogenèse et une glycogénolyse hépatique.

b. L’hyperglycémie est secondaire à la transformation

des acides gras libres.

c. L'acidose métabolique est la conséquence de

l'accumulation des réserves alcalines dans le sang.

d. La cétonurie n'est pas constante comme la glucosurie.

e. Peut être favorisée par l’infection, l'IDM ou la prise

des antis - inflammatoires stéroïdiens.

21. À propos de l'hypoglycémie : la ou les RF

a. L'injection de glucagon est recommandée quand elle

est induite par un sulfamide hypoglycémiant.

b. Il faut faire suivre le resucrage par des prises

alimentaires (20 g) de glucides.

c. En cas d'inefficacité d'une première injection de

Glucagon, une deuxième peut être faite après 2 heures.

Page 38: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

38

d. Le Glucagon peut potentialiser l'insulino sécrétion

induite par un sulfamide hypoglycémiant.

e. Il faut évoquer le diagnostic d'un AVC chez le

diabétique de type 2 en cas d'inefficacité du resucrage.

22. Les hypoglycémies surviennent :

a. uniquement sous insuline.

b. uniquement sous insuline et sulfamides

hypoglycémiants.

c. uniquement chez les diabétiques.

d. uniquement après effort physique ou une situation de

stress.

e. chez les diabétiques et chez les non diabétiques.

23. À quoi correspond un état de choc hypovolémique :

a. Une défaillance de la pompe cardiaque.

b. Une diminution globale de la masse sanguine.

c. Une thrombose au niveau de l'artère pulmonaire.

d. Un œdème aigu du poumon (OAP).

e. Un état septique grave.

24. Quels sont les objectifs thérapeutiques d'un choc

cardiogénique :

a. Augmenter le débit cardiaque.

b. Renforcer la contractilité cardiaque.

c. Limiter la congestion pulmonaire.

d. Assurer une pression de perfusion efficace.

e. Assurer un transport d'oxygène et une oxygénation

tissulaire adéquate.

25. Parmi les étiologies de l'anémie ferriprive :

a. La maladie cœliaque.

b. Un saignement chronique.

c. Une hémolyse.

d. Une inflammation.

e. Un régime carencé.

26. Autours de l’anémie inflammatoire, on observe :

a. Une anémie normo chrome microcytaire.

b. Une anémie normo chrome macrocytaire.

c. Un fer sérique bas.

d. Une ferritinémie basse.

e. Une vitesse de sédimentation accélérée.

27. Un homme de 65 ans, asthmatique et hypertendu

ancien, présente brutalement une violente douleur

thoracique antérieure irradiée dans la région scapulaire

et le dos. Lors de son arrivée à l'urgence, la douleur

demeure très intense avec une TA 190 / 120.

L'auscultation thoracique et l'électrocardiogramme sont

normaux.

* Quel diagnostic évoquer en priorité ? les RF

a. Péricardite aiguë.

b. Syndrome coronarien aigu.

c. Dissection aortique.

d. Pancréatite aiguë.

e. Pneumothorax spontané.

28. Quel examen para clinique à demander en urgence ?

(la ou les réponses fausses)

a. Télé thorax.

b. Scanner thoracique.

c. Scanner abdominal.

d. Écho trans œsophagien.

e. Coronarographie en urgence.

29. Quel est votre attitude thérapeutique :

a. Respecter la TA élevée.

b. TA inférieur à 120 / 60 mmHg,

c. Orienter le patient vers un centre spécialisé.

d. Calmer la douleur.

e. Ne donner pas les β - bloquants.

30. Patient XY âgé de 45 ans, originaire et demeurant à

SBA, II est cadre administratif de profession, sans

antécédents particuliers est ramené au UMC pour une

confusion fébrile. L'interrogatoire ne retrouve que la

notion d’un episode de convulsion tonico - clonique

généralisée de 30 secondes. L'examen CNQ retrouve

une fièvre à 40° et une hypotonie généralisée. Quelle est

la CAT ?

a. Scanner cérébral.

b. Ponction lombaire.

c. IRM cérébrale.

d. Bilan d'urgence.

e. Conditionnement plus gardénal.

Page 39: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

39

31. La ponction lombaire ramène un liquide clair à 300

elt /mm 3 à 80 % lymphocytaire, glycorrachie à 0.70 g /l,

glycémie concomitante à 1,10 g /L. Lecture du LCR :

(les réponses fausses)

a. Méningite purulente à 300 elt/mm³ lymphocytaire.

b. Méningo - encéphalite aiguë à liquide claire

lymphocytaire normo glycorrachique.

c. Méningite à liquide claire à 300 elt/mm³

lymphocytaire.

d. Méningo - encéphalite subaiguë à liquide claire

lymphocytaire.

e. Méningisme.

32. Le diagnostic le plus probable : les RF

a. Méningo - encéphalite aiguë herpétique.

b. Méningo - encéphalite aiguë tuberculeuse.

c. Méningite à pneumocoque.

d. Méningite à méningocoque.

e. Méningo - encéphalite aiguë à VIH.

33. Un jeune homme de 20 ans sans antécédents

médicaux, engagé récemment dans armée de terre,

présente au cours d'une longue marche commando en

tenue de combat des crampes musculaires avec vertige,

vomissements et douleurs abdominaux puis s'effondre

brutalement. Son examen initial trouve un patient

inconscient avec une peau sèche et brûlante. Il est

évacué d’urgence à l'hôpital.

Quel est le diagnostic le plus probable ? (la réponse

juste)

a. Une hypoglycémie,

b. Un accident vasculaire cérébral.

c. Un coup de chaleur exceptionnel.

d. Une intoxication alimentaire.

e. Une épilepsie.

34. Quels sont les éléments en faveur de votre

diagnostic ?

a. Le jeune âge.

b. Une peau sèche.

c. Circonstances de survenue

d. L'absence de maladies préexistantes.

e. Les facteurs favorisants.

35. Quels diagnostics différentiels doivent être évoqués ?

a. Une infection du système nerveux central.

b. Un syndrome de manque.

c. Une intoxication aux amphétamines.

d. Un sepsis.

e. Une insuffisance surrénalienne.

36. Quelles sont les mesures thérapeutiques les plus

appropriées ?

a. Libération des voies aériennes supérieures.

b. Les antipyrétiques.

c. Refroidissement progressif.

d. Perfusions froides.

e. Déshabiller le patient.

37. Citez la ou les étiologie(s) possible(s) d'un diabète

insipide néphrogénique :

a. Hypocalcémie.

b. Hypokaliémie

c. Syndrome de Sheehan.

d. Sarcoïdose.

e. Intoxication par le lithium.

38. La nécrose tubulaire est une :

a. Se manifeste par hématurie et protéinurie.

b. Est une complication d’un état de choc septique.

c. Elle est de bon pronostic.

d. Insuffisance rénale aiguë fonctionnelle.

e. Peut évoluer vers la nécrose corticale.

39. En cas d’alcalose métabolique on trouve :

a. un DIF bas.

b. un SID élevé.

c. un A tot bas.

d. Une PaCO2 basse.

e. Toutes les réponses sont fausses.

40. L'hypokaliémie peut être due à :

a. Un hyperaldostéronisme.

b. Un hypoaldostéronisme.

c. Une hypo - osmolarité.

d. À un transfert intracellulaire par acidose métabolique.

e. Toutes les réponses sont fausses.

Page 40: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

40

1. La libération des voies aérienne supérieures pour la

réanimation cardiorespiratoire :

a. Pour faciliter le massage cardiaque externe.

b. Pour une bonne oxygénation du sang.

c. Pour faciliter le flux d'aire lors du massage cardiaque

externe.

d. Pour réduire le temps de la réanimation cardio-

respiratoire.

e. Pour lutter contre les fausses routes.

2. Un arrêt cardiorespiratoire par fibrillation nécessite :

la ou les RF

a. Une libération des voies aérienne supérieures.

b. Un massage cardiaque externe.

c. Un défibrillateur.

d. L'adrénaline.

e. Toutes ces réponses fausses.

3. L'importance de la rhabdomyolyse dans l'anémie

aiguë du membre dépend :

a. Du retard du traitement médical.

b. La masse musculaire du membre ischémié.

c. Les antécédents du patient.

d. Hyperkaliémie.

e. La durée de l'ischémie.

4. Le diagnostic clinique d'une ischémie aiguë d'un

membre se manifeste par :

a. Une chaleur.

b. Une douleur.

c. Une pâleur.

d. Une absence de pouls.

e. Une rougeur.

5. Les agressions cérébrales secondaires d'origine

systémique :

a. PA systolique inférieure à 90 mm Hg.

b. PaCO2 inférieure à 30 mmHg.

c. Glycémie supérieur à 1,40 g/l.

d. Saturation O2 < 90 %.

e. PaO2 < 60 mmHg.

6. Les signes immédiats après une électrisation : (la ou

les réponses fausses)

a. Spasmes artériels.

b. Traumatisme du rachis.

c. Brûlures cutanées ou muqueuses.

d. Ischémie myocardique.

e. Œdème des VAS par lésions buccales.

7. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit

rechercher en premier lieu deux affections parmi les

suivantes, lesquelles ?

a. Un alcoolisme.

d. Un syndrome ourlien récent.

b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

e. Une lithiase biliaire à petits calculs.

c. Une distomatose hépatique.

8. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont

considérés comme des critères de gravité, sauf un,

lequel ? la RJ

a. Âge 55 ans.

b. Hyperglycémie.

c. Hypercalcémie.

d. Acidose.

e. Hypoxie.

9. Une déshydratation intra cellulaire :

a. est évoquée devant une augmentation de la protidémie.

b. est associée à une hyper natrémie.

c. est une conséquence fréquente de l'utilisation des

diurétiques de l'anse.

d. peut être associée à une déshydratation extra cellulaire.

e. doit être préférentiellement traitée par une perfusion

hypotonique.

10. Un patient présente une natrémie à 113 mmol /l une

créatininémie à 12 mg /l et une TA= 98 / 54 mmHg,

quelques jours après l'augmentation de son furosémide

de 40 mg à 80 mg par jour. Il présente :

a. Une déshydratation intracellulaire.

b. Une hyperhydratation intracellulaire.

c. Une hypovolémie.

d. Une hyponatrémie de dilution.

e. Une poussée d'insuffisance rénale aiguë.

S2 19 – 11 – 2017

Page 41: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

41

11. Les circonstances suivantes peuvent être à l'origine

d'une insuffisance rénale fonctionnelle par défaut de

perfusion rénale :

a. L'existence d'un troisième secteur.

b. Insuffisance cardiaque congestive.

c. Perte de l'autorégulation de la filtration glomérulaire

d'origine médicamenteuse.

d. Fibrose rétro péritonéale.

e. Vascularite.

12. La classification clinique des hypothermies :

a. Nécessité la mesure de la température centrale.

b. Utilise un thermomètre standard pour mesurer la

température.

c. Dispense de l'usage d'un thermomètre.

d. Stratifie les hypothermies en quatre stades.

e. Toutes les réponses sont justes.

13. Dans les hypothermies sévères :

a. Le réchauffement doit être rapide et actif.

b. L'hypoxie protège le cerveau en cas d'arrêt cardiaque.

c. Les stimulations nociceptives favorisent la survenue de

fibrillation ventriculaire.

d. Sur l'ECG les complexes QRS sont très larges.

e. Des frissons sont encore présents et perceptibles.

14. Pour le diagnostic positif de la syncope, quel(s)

examen(s) complémentaire(s) est (sont) obligatoire (s) :

a. Électroencéphalogramme.

d. Coronarographie.

b. Echocardiographie.

e. Électrocardiogramme.

c. Scanner cérébral.

15. L'hypotension orthostatique :

a. Est recherchée par un test d'orthostatisme (test de

Schellong).

b. Est provoquée par la station debout prolongée.

c. Peut - être secondaire à des médicaments.

d. Se voit surtout chez les diabétiques et les

Parkinsoniens.

e. Peut révéler une hypovolémie vraie ou relative.

16. Prise en charge d'un état de mal épileptique scoré

< 7 :

a. Administrer un anti épileptique IV.

b. Assurer la liberté des voies aériennes.

c. Intubation.

d. Mise sous ventilation mécanique.

e. Rechercher une hypocalcémie et / ou d'une

hypoglycémie.

17. Devant un patient victime d'un état de mal

épileptique, que doit-on envisager ?

a. Ponction lombaire.

b. Électroencéphalogramme (EEG).

c. Ionogramme, glycémie et calcémie.

d. Radiographie du crâne.

e. Scanner cérébral.

18. L'insuffisance surrénalienne aiguë : la ou les RF

a. Le tableau clinique comporte ; un tableau pseudo-

chirurgical, diarrhées, fièvre, une déshydratation.

b. La mélanodermie est un signe constant.

c. Peut se manifester par un collapsus isolé et inexpliqué.

d. Quand le diagnostic n'est pas aisé, il faut la traiter sur

une présomption.

e. Cette situation algue et grave survient surtout chez le

sujet hypotendu.

19. Quel est l'antidote d'une intoxication par

paracétamol ? la RJ

a. Gluconate de calcium.

b. Naloxone.

c. Vitamine B1.

d. N - acétylcystéine.

e. Bleu de méthylène.

20. Monsieur M S âgé de 70 ans, présente une artérite

inflammatoire nécessitant une corticothérapie à 0,75

mg/kg/j sur antécédent d'HTA et de diabète type 2, sous

inhibiteur de l'enzyme de conversion et un diurétique, et

glucophage 2 g / j. Avant la thérapeutique un bilan

biologique est nécessaire sauf une : (la réponse juste)

a. Ionogramme sanguin.

b. Fonction rénale.

c. Débite de filtration glomérulaire par la formule de

Cockcroft.

d. Bilan hépatique.

e. Formule numération sanguine.

Page 42: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

42

21. (Suite) Un changement dans sa thérapeutique est

préconisé sauf une : (la réponse juste)

a. Arrêt du diurétique.

b. Maintien du glucophage et du diurétique.

c. Arrêt du glucophage et introduction de l'insuline.

d. Introduction du KCL et des biphosphonates.

e. Introduction d’un inhibiteur calcique associé à

l'inhibiteur de l'enzyme de conversion.

22. (Suite) Les recommandations générale de la

prescription thérapeutique de ce sujet doit obéir à toute

sauf une : la RJ

a. Obéir aux dix règles de prescription.

b. Supprimer les biphosphonates source d'effets

indésirable.

c. Maintien les biphosphonates, afin d'éviter le risque de

fracture.

d. Traiter les trois affections et surveiller.

e. La sous prescription source d'effets indésirables.

23. Un homme de 65 ans, asthmatique et hypertendu

ancien, présente brutalement une violente douleur

thoracique antérieure irradiée dans la région scapulaire

et le dus. Lors de son arrivée à l'urgence, la douleur

demeure très intense avec une TA 190 / 120.

L'auscultation thoracique et électrocardiogramme sont

normaux. Quel diagnostic évoquer en priorité ? LA RJ

a. Péricardite aiguë.

b. Syndrome coronarien aigue.

c. Pancréatite aiguë.

d. Pneumothorax spontané.

e. Dissection aortique.

24. (Suite) Quel examen para clinique à demander en

urgence ?

a. Télé thorax.

b. Scanner abdominal.

c. Scanner thoracique.

d. Écho - trans œsophagien.

e. Coronarographie en urgence.

25. (Suite) Quel est votre attitude thérapeutique ?

a. TA inférieur à 120 / 60 mmHg.

b. Orienter le patient vers un centre spécialisé.

c. Calmer la douleur.

d. Respecter la TA élevée.

e. Ne donner pas les β - bloquants.

26. Quel antibiotique prescrivez-vous en cas d'une

infection urinaire récidivante (4ème

épisodes) chez une

femme sans anomalies sur l'arbre urinaire ?

a. Amoxicilline.

b. Amoxicilline + Gentamicine.

c. Bactrim fort.

d. Augmentin.

e. Ciprolon.

27. Quels antibiotiques peuvent être prescrits en cas

d'infection ostéo articulaire en raison de leur bonne

diffusion osseuse :

a. La Bristopen.

b. L'Amoxicilline.

c. Le Cefacidal.

d. La Rifampicine.

e. Le Ciprolon.

28. Cochez l'affirmation ou les affirmations vraies sur

les états de chocs :

a. Au cours du choc hypovolémique, le débit cardiaque

est augmenté.

b. Le choc hypovolémique est dû à une diminution de

remplissage cardiaque.

c. Au cours du choc cardiogénique, le débit cardiaque est

diminué.

d. Le choc cardiogénique est lié à une altération de la

fonction myocardique.

e. Tous les états de choc altèrent le métabolisme

tissulaire et entraînent une hypoxie cellulaire.

29. Parmi les propositions suivantes, lesquelles

constituent une étiologie du choc cardiogénique ?

a. Hémorragie digestive massive.

b. Infarctus myocardique aigu antéro-septal étendu et

inféro- postérieur.

c. Tamponnade.

d. Occlusion intestinale aiguë.

e. Embolie pulmonaire aiguë massive.

30. Les manifestations cliniques du choc

anaphylactique :

a. Surviennent dès la première injection d'antigène.

b. Surviennent dans les minutes suivant l'injection

d'antigène.

c. Sont en partie liées à la contraction de fibres

musculaires lisses.

Page 43: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

43

d. Sont en grande partie liées à une vasoconstriction

périphérique.

e. Cèdent spontanément dès l'arrêt de l'injection de

l'antigène.

31. Lors d'un coma, l'existence de sueurs profuses et

d'un réflexe cutané plantaire en extension des deux

côtés doit faire évoquer un des diagnostics suivants,

lequel ? (la réponse juste)

a. Un coma acidocétosique.

b. Un coma éthylique.

c. Un coma endocrinien.

d. Un coma hypoglycémique.

e. Un coma barbiturique.

32. Une jeune femme de 30 ans est suivie pour un PTI,

elle présente un purpura pétéchial et des ecchymoses.

Le taux de plaquettes est à 15 000 /mm 3, vous

envisager de : (la réponse juste)

a. Transfusion de concentré unitaire plaquettaire.

b. Traitement par le Danazol.

c. Corticothérapie.

d. Splénectomie.

e. Transfusion de sang total.

33. Les manifestations hémorragiques au cours des

purpuras thrombopéniques peuvent se présenter par :

a. Des hématomes.

b. Des hémarthroses.

c. Des épistaxis.

d. Des ecchymoses et des pétéchies.

e. Des hémorragies rétiniennes au fond d'œil.

34. Les perturbations ioniques qui découlent de

l'acidocétose diabétique : (la ou les réponses fausses)

a. Le déficit en K+ est constant même si la kaliémie est

initialement normale.

b. Le déficit en Na+ est inconstant.

c. La fuite sodique et potassique est due principalement à

la diurèse osmotique.

d. Le déficit en K + est absent si la kaliémie est

initialement élevée.

e. La correction de l'hypokaliémie doit être entreprise dès

la mise en route de la réhydratation.

35. Après une chute accidentelle dans l'eau, on observe :

(la ou les réponses justes)

a. Un spasme laryngé d'installation rapide mais

transitoire.

b. La survenue immédiate d'un SDRA.

c. Vasoconstriction périphérique et hémo détournement

vers les organes nobles.

d. Hypothermie prolongée avec effet protecteur sur le

cœur et le cerveau.

e. Toutes les réponses sont justes.

36. En cas de morsures de serpents, la sérothérapie est

indiquée si :

a. L'œdème secondaire à la morsure intéresse la majeure

partie du membre.

b. Enfants âgé de moins de 5 ans.

c. La morsure est confirmée,

d. Un écoulement sanguinolent apparaît au niveau du

siège de la morsure.

e. Toutes les réponses sont justes.

37. Une dissection aortique se caractérise par :

a. La survenue brutale d'une douleur thoracique.

b. Une douleur thoracique intense et migratrice.

c. Une douleur thoracique migratrice et variant avec les

mouvements respiratoires.

d. Un Pouls asymétrique et souffle diastolique

d'insuffisance aortique.

e. Toutes les réponses sont justes.

38. En cas d'acidose métabolique on trouve :

a. Un SID bas,

b. Un DIF élevé.

c. Un DIF bas.

d. Un A tot élevé.

e. Toutes les réponses sont fausses.

39. En cas d'hyperkaliémie on peut trouver :

a. Un allongement de l'espace QT.

b. Un défaut de réabsorption dans le néphron proximal

de potassium.

c. Une excrétion supranormale par le néphron distal de

potassium.

d. Un trouble de conduction auriculo ventriculaire et

intra ventriculaire.

e. Une insuffisance rénale aiguë.

Page 44: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

44

40. En cas de remplissage avec du SS 0.9 % chez un

patient en état de choc :

a. Le risque est de développer une alcalose métabolique.

b. Le risque est de développer une acidose minérale.

c. Le risque est de développer une acidose hyper

chlorémique.

d. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une

baisse du SID.

e. Le trouble acido basique qui en résulte est dû à une

augmentation du SID.

1. Les circonstances de survenue du choc

cardiogénique sont : (la ou les réponses fausses)

a. Les pertes plasmatiques.

b. L'embolie pulmonaire massive.

c. La tamponnade cardiaque.

d. L'infarctus du myocarde.

e. Toutes ces réponses sont correctes.

2. Quel élément clinique ou para clinique est nécessaire

au diagnostic de mort encéphalique ?

a. Une anisocorie.

b. Une hypothermie.

c. Un diabète insipide.

d. Une absence de réflexes du tronc cérébral.

e. 2 EEG à quatre - heures d’intervalle montrant un tracé

faiblement réactif.

3. L'hémogramme d'un sujet de 51 ans comporte : GR :

52 M /mm 3, Hb :15 g/dl, VGM : 85f1 et CCMH : 32%,

GB : 2100/mm 3 avec une répartition faite de PNN : 2 %

- PN baso : 00% - PEo : 00% - Lm : 96%; mono : 2% ;

taux de plaquettes = 330.000 / mm³. Ce patient présente

une :

a. Lymphocytose.

b. Neutropénie.

c. Monocytose.

d. Bicytopénie.

e. Un hémogramme normal.

4. Le purpura thrombopénique idiopathique : ABCD /

E / ABCDE

a. Est une pathologie acquise de l'hémostase primaire.

b. Le bilan de coagulation est normal.

c. Une thrombopénie sévère peut s'observer.

d. La splénectomie est indiquée en cas de cortico

résistance ou de cortico dépendance.

e. Toutes les réponses sont justes.

5. Le diagnostic biologique de l'hémophilie A est :

a. Un TQ allongé.

b. Un TCA allongé, TP normal.

c. Un TS normal et un taux de plaquettes normal.

d. Le facteur de Von Willebrand est normal.

e. Un déficit en facteur VIII.

6. Dans les syncopes :

a. Le test de Schellong permet de rechercher une

hyperréactivité sino-carotidienne.

b. La perte de connaissance est due à une soudaine

anoxie cérébrale globale et passagère.

c. Le test d’inclinaison recherche une cause cardiaque.

d. Le massage sino carotidien recherche une hypotension

orthostatique.

e. La syncope d’Adams Stokes est en rapport avec une

torsade de pointe.

7. La température de référence ou de consigne est :

a. La température du compartiment central ou noyau.

b. La température du thermostat hypothalamique.

c. Varie en fonction des ambiances climatiques.

d. Est multipliée par 30 à 40 lors de l'exercice.

e. Toutes les réponses sont justes.

8. Dans la fièvre :

a. Les prostaglandines E2 sont responsables du décalage

de la température de référence.

b. Les pyrogènes endogènes inhibent la thermogénèse.

c. La thermorégulation n'est plus contrôlée.

d. La réponse fébrile se déroule en 3 phases.

e. Toutes les réponses sont justes.

9. Les fractures des côtes consolident en :

a. Moins d'une semaine.

b. Entre une et trois semaines.

c. Entre trois et six semaines.

d. Plus de six semaines.

e. Ne consolident jamais.

S2 12 – 03 – 2017

Page 45: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

45

10. Le volet costal :

a. Existence sur 3 étages costaux successifs d’au moins 2

foyers de fracture au niveau de chaque arc costal.

b. Peut être responsable d’épanchements pleuraux.

c. Responsable de respiration paradoxale.

d. Responsable de troubles de la mécanique ventilatoire.

e. Les volets postérieurs sont les plus mobiles.

11. Le drainage thoracique pour un épanchement post-

traumatique est effectué :

a. 2ème

espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.

b. 2ème

espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.

c. 4ème

espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.

d. 4ème

espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.

e. Aucune réponse juste.

12. La prescription d'une association d'antibiotiques est

indiquée en cas :

a. Pronostic vital mis en jeu.

b. L'agent infectieux est résistant aux ATB usuels.

c. Le malade est insuffisant rénal.

d. Le malade est insuffisant hépatique.

e. Pour éviter l'émergence des mutants résistants.

13. Donnez une lecture de la formule du LCP suivant

chez un Malade B.T âgé de 48 ans : 120 elt /mm 3, les

lymphocytes 70 %, glycorachie : 0.54 g /l (glycémie à l

g/l). Albumine 1.2 g /l. Examen direct négatif, culture

en cours.

a. LCR clair lymphocytaire, normo glycorachique normo

protéinorachique à méningocoque.

b. Méningite à liquide clair lymphocytaire normo

glycorachique hyper protéinorachique.

c. LCR clair lymphocytaire avec dissociation albumino

cytologique.

d. Méningite bactérienne décapitée.

e. Aucune réponse juste.

14. Un patient présente une natrémie à 113 mmol/1,

une créatinémie à 11.6 mg/l et une hypotension à 98/54

mmHg, quelques jours après l’augmentation de son

lasilix de 40 à 80 mg/j. Il présente :

a. Une déshydratation intracellulaire.

b. Une hyperhydratation intracellulaire.

c. Une hypovolémie.

d. Une hyponatrémie de dilution.

e. Une poussée d’insuffisance rénale aiguë.

15. Les circonstances suivantes peuvent être à l'origine

d'une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle par défaut

de perfusion rénale :

a. Insuffisance cardiaque congestive.

b. L'existence d'un troisième secteur.

c. Pertes de l'autorégulation de la filtration glomérulaire

d'origine médicamenteuse.

d. Fibrose rétro péritonéale.

e. Vascularite.

16. Citez la ou les étiologie(s) possible(s) d’un diabète

insipide néphrogénique :

a. Intoxication par le Lithium.

b. Hypocalcémie.

c. Hypokaliémie.

d. Méningo - encéphalite.

e. Syndrome de Sheehan.

17. La libération des voies aériennes supérieures pour

la réanimation cardiorespiratoire permet de :

a. Faciliter le massage cardiaque externe.

b. Une bonne oxygénation du sang.

c. Lutter contre les fausses routes.

d. Faciliter le flux d’air lors du massage cardiaque

externe.

e. Réduire le temps de la réanimation cardiorespiratoire.

18. Un arrêt cardiorespiratoire par fibrillation

nécessite :

a. La libération des voies aériennes supérieures.

b. Un massage cardiaque externe.

c. Un défibrillateur.

d. L'administration d'adrénaline.

e. Toutes ces réponses sont fausses.

19. Pour améliorer le pronostic d'un sujet en arrêt

cardiorespiratoire, la réanimation de base doit être

commencée :

a. En milieu public par les témoins.

b. Par les équipes des pompiers.

c. Par l'équipe de protection civile.

d. Par les équipes du SAMU.

e. Toutes ces réponses fausses.

Page 46: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

46

20. L'adrénaline est la drogue de choix par la

réanimation d'un arrêt cardiorespiratoire. On peut la

remplacer par :

a. L’atropine : 0.05 mg en IV.

b. La vasopressine si fibrillation ventriculaire.

c. La lidocaïne.

d. La noradrénaline IV.

e. L'amiodarone.

21. Cochez les réponses justes :

a. L'encéphale reçoit 20 % du débit cardiaque.

b. Le cerveau adulte représente 5 % du poids corporel.

c. PAM = PPC + PIC.

d. Le volume sanguin.

e. DSC = PPC / RVS.

22. La classification de MASTER :

a. Définition trois groupes à risque.

b. Comporte des données anamnestiques

c. Comporte des observations cliniques objectives.

d. Vise à guider la nécessité de réaliser des explorations

complémentaires.

e. Détermine la durée d’hospitalisation en réanimation.

23. Les agressions cérébrales secondaires d’origine

systémique :

a. PA systolique inférieure à 90 mmHg.

b. PaCO2 inférieure à 30 mmHg.

c. Glycémie supérieure à 1.40 g/l.

d. Saturation O2 < 90 %.

e. PaO2 < 60 mmHg.

24. La prise en charge d'un état de mal épileptique

scoré à 5, fait appel à :

a. Assurer la liberté des voies aériennes.

b. Oxygénothérapie mise sous ventilation mécanique.

c. Administrer un anti épileptique IV.

d. Ne pas intuber.

e. Bilan d'urgence à la recherche d'une hypocalcémie et /

ou hypoglycémie.

26. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles

par les raticides ?

a. Atropine.

b. Alcool éthylique.

c. Vitamine K1.

d. Gluconate de calcium. e. Valium.

27. Quel est l’antidote d'une intoxication exclusive par

benzodiazépine ?

a. Naloxone.

b. Flumazénil.

c. N - acétylcystéine.

d. Vitamine K.

e. Oméprazole.

28. Parmi les propositions suivantes, citez celles qui

évoquent l’origine pancréatique d’une douleur ?

a. Épigastrique à irradiation dorsale transfixiante.

b. Épigastrique périodique calmée par l’alimentation.

c. Épigastrique majeure calmée par l’anté flexion.

d. Épigastrique à irradiation rétro - sternale.

e. Hypogastrique à irradiation basse.

29. Le diagnostic d'une pancréatite aiguë est posé, est

ce que les signes suivants sont considérés comme des

critères de gravité ?

a. CRP : 180 mq/1.

b. Score de Ranson égal à 4.

c. Âge du patient : 58 ans.

d. Défaillance d'organe : respiratoire et rénale.

e. Index de sévérité TDM : stade E de Balthazar.

30. Parmi les propositions suivantes, laquelle

correspond à un asthme aigu très grave ?

a. PO2 > 50 mmhg / PaO2 > 80 mmhg / pH < 7,35.

b. DEP > 20 % théorique.

c. Cyanose, bradypnée, bradycardie silence auscultatoire,

coma.

d. PaO2 > 50 %, DEP < 100 L /mn, PH > 7,45.

e. Aucune réponse.

31. Tous ces médicaments potentialisent l’hypoglycémie

sous sulfamide hypoglycémiants chez le diabétique de

type 2 :

a. La cortisone, les diurétiques Aspirine à fortes doses,

Inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), Bactrim.

b. Bactrim, Diurétiques, Aspirine à fortes doses,

Inhibiteurs calciques, β - bloquants.

c. Neuroleptiques, Aspirine à fortes doses, Bactrim,

Antitussif.

d. Aspirine à fortes doses, dextropropoxyphène, IEC,

Bactrim.

e. Aspirine, Bactrim, Carbimazole, Hydrocortisone.

Page 47: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

47

32. L’acidocétose diabétique :

a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté systématique.

b. Est fréquente chez le diabétique de type 1.

c. Ne survient jamais chez un diabétique de type 2.

d. Peut se compliquer d'une cécité.

e. La correction de l'hypokaliémie doit être entreprise dès

la mise en route de la réhydratation.

33. Les vomissements abondants peuvent être

responsables :

a. D’une alcalose métabolique.

b. D’une acidose métabolique.

c. D’une hyper chlorémie.

d. D’une hyperkaliémie.

e. Toutes les réponses sont justes.

34. Chez un sujet présentant une morsure de serpents

grade 2 au niveau de la jambe :

a. L’envenimation est dite sévère.

b. L’œdème est régional, intéressant la majeure partie du

membre.

c. Il existe des manifestations cutanées à type d'érythème

et urticaire généralisé.

d. Il existe un saignement modéré au niveau de la

morsure.

e. La sérothérapie est systématique.

35. Une patiente âgée de 55 ans admise en urgence

pour un syndrome douloureux et fébrile de

l'hypochondre droit évoluant depuis 72 heures. Quels

sont les diagnostics à évoquer ?

a. Diverticulite sigmoïdienne aiguë.

b. Iléite terminale.

c. Pancréatite aiguë.

d. Cholécystite aiguë.

e. Angiocholite aiguë.

36. Quels sont les examens biologiques à demander ?

a. Leucogramme.

b. CRP.

c. Bilan hépatique de cholestase.

d. Lipasémie.

e. Hémocultures.

37. Quels sont les examens morphologiques à

demander ?

a. Lavement baryté.

b. Entéro scanner.

c. Echographie abdominale.

d. Bili - IRM.

e. Body - Scan.

38. Une femme âgée de 35 ans, asthmatique, est victime

de brûlures suite à la projection d'eau bouillante. La

protection civile arrive sur les lieux. Quelle sera

l'attitude de la protection civile sur place ?

a. Rechercher des signes de détresse vitale.

b. Déshabiller la brûlée.

c. Calmer la patiente en administrant des

benzodiazépines.

d. Recouvrir d’un drap stérile (propre) et couverture

chauffante.

e. Poser une VVP et commencer le remplissage

vasculaire.

39. Aux urgences, l'examen clinique montre : patiente

consciente, TA = 90 / 60 mmHg, FC =120 bat /min, F.

resp = 20 cycles/mn, phlyctènes et rougeur suintante

intéressant la face antérieure du thorax de l’abdomen et

des 2 membres inférieurs. Calculer la surface cutanée

brûlée (SCB) :

a. SCB = 36 %.

b. SCB = 27 %.

c. SCB = 45 %.

d. SCB = 31 %.

e. SCB = 37 %.

40. Quels sont les critères d’hospitalisation chez cette

patiente ?

a. SCB > 10 %.

b. Tare associée.

c. SCB > 25 % de la surface corporelle.

d. Intoxication respiratoire associée.

e. Toutes les réponses sont justes.

Page 48: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

48

Un patient arrive aux urgences médicales dans le coma,

l'examen montre une ouverture des yeux à la douleur, une

réponse verbale incohérente, et une réponse motrice

stéréotypée en extension.

1. Quel est le score de Glasgow de ce patient ?

a. 8

b. 9

c. 11

d. 7

e. 6

2. Ce score détermine la profondeur du coma :

a. Dans ce cas le score est peu inquiétant.

b. Est un examen neurologique suffisant pour la prise en

charge d’un malade dans le coma.

c. Chez ce patient vous préconisez surtout le surveillance

stricte.

d. L’intubation et la ventilation assistée sont indiquées

dans ce cas.

e. Aucune de ces réponses n’est correcte.

3. Pour le diagnostic positif de la syncope, quel(s)

examen(s) complémentaire(s) est (sont) inutile(s) ?

a. EEG.

b. Échocardiographie.

c. Scanner cérébral.

d. Coronarographie.

e. Enregistrement endo cavitaire.

4. Les syncopes vagales ou réflexes (neuro

cardiogénique) :

a. Sont évoquée à l’interrogatoire sur des circonstances

de survenue particulière.

b. Sont souvent précédées de prodrome de type vagal.

c. Peuvent être reproduites par le massage sino -

carotidien chez le sujet âgé avec hyper réflexivité du

sinus carotidien.

d. Surviennent pendant ou après des efforts.

e. Toutes les réponses sont fausses.

5. Les fractures des côtes consolident en :

a. Moins d’une semaine.

b. Entre une et trois semaines.

c. Entre trois et six semaines.

d. Plus de six semaines.

e. Aucune réponse juste.

6. Le drainage thoracique pour épanchement post-

traumatique est effectué :

a. 2ème

espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.

b. 2ème

espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.

c. 4ème

espace intercostal sur la ligne axillaire antérieure.

d. 4ème

espace intercostal sur la ligne médio claviculaire.

e. Aucune réponse juste.

7. La méningo - encéphalite (ME) tuberculeuse est :

a. Rare dans nos régions.

b. D’évolution foudroyante.

c. Se complique essentiellement par une hydrocéphalie.

d. On peut assister à une dissociation albumino

cytologique.

e. Le LCR est purulent.

8. À la sortie du bloc opératoire on peut couvrir le

malade par :

a. Une antibiothérapie probabiliste.

b. Une antibiothérapie prophylactique.

c. Une antibiothérapie curative.

d. Une antibiothérapie documentée.

e. Aucune réponse n’est juste.

9. Cochez la ou les réponses justes : ABCD / E /

ABCDE

a. La rhombencéphalite est pathognomonique lors de la

ME listérienne.

b. Les arachnoïdites sont fréquentes lors de la ME

tuberculeuse.

c. Les séquelles neurologiques sont fréquentes lors de la

ME herpétique.

d. La mortalité est importante lors de la ME herpétique

malgré traitement.

e. Toutes les réponses sont justes.

10. Un patient présente une natrémie à 113 mmol /l,

une créatininémie à 12 mg/l, TA = 98/54 mmHg,

quelques jours après l’augmentation de son lasilix de 40

à 80 mg/l. Il présente :

a. Une déshydratation extracellulaire.

b. Une hyperhydratation.

c. Une hypovolémie.

d. Une hyponatrémie de dilution.

S1 14 – 11 – 2016

Page 49: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

49

e. Une poussée d’IR aiguë.

11. Parmi les symptômes observés en cas de troubles de

la natrémie, citez ceux rapportés à l’hyponatrémie :

a. Soif et irritabilité.

b. Hémorragie sous arachnoïdienne.

c. Sécheresse de la muqueuse buccale.

d. Pertes de poids.

e. Nausées.

12. Étiologie du diabète insipide néphrogénique :

a. Craniopharyngiome.

b. Syndrome de Sheehan.

c. Méningo - encéphalite.

d. Hypokaliémie.

e. Hypocalcémie.

13. Devant un arrêt cardio-respiratoire, il faut

rechercher :

a. Le pouls radial.

b. Le pouls radial e carotidien.

c. Les pouls centraux.

d. Le pouls carotidien et/ou fémoral.

e. Le pouls fémoral et radial.

14. La crise aiguë hypertensive, c’est une augmentation

brutale :

a. TA ≥ 160 / 95 mmHg.

b. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec retentissement viscérale.

c. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec une hypoglycémie sévère.

d. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec des céphalées intenses.

e. TA ≥ 180 / 95 mmHg sans retentissement viscérale.

15. L’ischémie aiguë des membres c’est :

a. L'obstruction de la veine principale d’un membre.

b. L’obstruction complète d’une artère principale d’un

membre.

c. L’obstruction incomplète d’une vascularisation d’un

membre.

d. Obstruction complète d’une artère principale d’un

membre.

e. Obstruction totale d’un réseau collatéral.

16. Le diagnostic clinique d’une ischémie aiguë d’un

membre se manifeste par :

a. Une douleur.

b. Une pâleur.

c. Une agitation.

d. Une absence de pouls.

e. Un état de choc.

17. Devant une pancréatite aiguë chez l’adulte on doit

rechercher, en premier lieu, deux affections parmi les

suivantes, lesquelles ?

a. Un alcoolisme.

b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

c. Une distomatose hépatique.

d. Un syndrome ourlien récent.

e. Une lithiase biliaire à petits calculs.

18. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont

considérés comme des critères de gravité, sauf un,

lequel ?

a. Âge 55 ans.

b. Hyperglycémie.

c. Hypercalcémie.

d. Acidose.

e. Hypoxie.

19. À propos de l’anémie hypochrome microcytaire,

quelles sont les réponses justes ?

a. Elle est définie par un VGM et une CCMH bas.

b. Elle peut être causée par une carence vitaminique.

c. Elle peut être causée par une hémolyse.

d. Elle peut être causée par une inflammation.

e. Elle peut être causée par une carence martiale.

20. À propos de l’anémie hémolytique, quelles sont les

réponses justes ?

a. Elle est toujours régénérative avec un taux de

réticulocytes > 120000 éléments /mm³.

b. Elle est normocytaire ou macrocytaire.

c. Elle entraîne une augmentation de la bilirubine libre

du fait du catabolisme des hématies.

d. Elle entraîne une baisse de la LDH.

e. Elle est mécanique lorsque des schizocytes sont

retrouvés sur le frottis sanguin.

Page 50: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

50

21. Dans le “Glasgow - Liege Scale” :

a. Améliore la précision du pronostic pour les patients

souffrant d’un traumatisme crânien grave.

b. Le réflexe oculo céphalogyre horizontal est noté à 2.

c. Une échelle allant de 3 à 20.

d. Évalue les réflexes du tronc cérébral.

e. Le réflexe fronto - orbiculaire est coté à 5.

22. Une intensité du courant supérieure à 2 A peut

provoquer :

a. Une inhibition des structures nerveuses.

b. Réaction d’agrippement.

c. Tétanisation du diaphragme.

d. Contraction musculaire ne cédant pas à la rupture du

courant.

e. Fibrillation auriculaire.

23. Femme obèse, 52 ans, HTA chronique sous

traitement, consulte en urgence pour une poussée

hypertensive, TA : 19 / 11, sans signe fonctionnel. Quel

traitement injectable adopter ?

a. Loxen.

b. Beta bloquant.

c. Catapressan.

d. D.Nitrés.

e. Aucun traitement injectable.

24. Dans l’asthme aigu grave, les β2 agoniste,

administrés par voie inhalée, ont une action

bronchodilatatrice nette après :

a. 3 à 5 minutes.

b. 15 à 20 minutes.

c. 30 à 40 minutes.

d. 60 à 90 minutes.

e. 4 à 6 heures.

25. Parmi les traumatisés suivants qui est considéré

comme polytraumatisé ? Un patient qui présente :

a. Plusieurs fractures des membres.

b. Un traumatisme crânien sévère isolé.

c. Un hématome sous dural et un hémopéritoine de

grande abondance.

d. Une chute de sa hauteur avec une fracture ouverte du

fémur.

e. Toutes les propositions ci - dessus sont exactes.

26. Le bilan lésionnel initial d’un polytraumatisé à la

salle de déchocage comprend :

a. Une radiographie pulmonaire de face.

b. Une radiographie de crâne face et profil.

c. Une radiographie du bassin de face.

d. Un bilan échographique d'urgence.

e. Une radiographie du rachis cervical de profil.

27. Le diagnostic biologique de l’acidocétose diabétique

comporte :

a. Glycémie à 3 g/l, une albuminurie, une créatininémie

élevée, et une glycosurie positive ?

b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves

alcalines normales, cétonurie (traces) ?

c. Hyperglycémie à 7 g / l, osmolarité élevée, pH sanguin

normal.

d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,

les bicarbonates abaissés.

e. Hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines

normaux, hyper natrémie.

28. Les hypoglycémies surviennent :

a. Uniquement sous insuline.

b. Uniquement sous insuline et sulfamides

hypoglycémiants.

c. Uniquement chez les diabétiques.

d. Uniquement après effort physique ou une situation de

stress.

e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.

29. L’insuffisance surrénalienne aiguë :

a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine

ou fibroscopie digestive.

b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun

danger chez l’insuffisant surrénalien.

c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et

des chélateurs de potassium à cause de l’hyperkaliémie.

d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation

biologique est obtenue.

e. Ne survient jamais dans l’insuffisance surrénalienne

d’origine centrale.

Page 51: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

51

30. Parmi les situations suivantes, quelle(s) est (sont) la

ou les cause(s) d’acidose métabolique à trou anionique

élevé ?

a. Déshydratation.

b. Diarrhées abondantes.

c. Intoxication au paracétamol.

d. Acidocétose.

e. Vomissements.

31. Concernant l’interprétation des gaz du sang

suivants, quelle(s) est(sont) la ou les proposition(s)

exacte(s) ? pH =7.30 / PaO 2 =60 mmHg / PaCO 2 = 80

mmHg /Bicarbonates =42 mmol/l / SaO 2 = 85%

a. acidose métabolique.

b. alcalose respiratoire.

c. acidose respiratoire.

d. compensation respiratoire parfaite.

e. alcalose métabolique.

32. Concernant les gaz du sang artériel suivant : pH

=7.58 , PaCO 2 =26.5 mmHg, PaO 2 = 168 mmHg,

HCO 3 = 25 mmol /L, réponse(s) juste(s) ?

a. Il existe une hypoxémie.

b. Il existe une alcalose respiratoire.

c. Il existe une acidose respiratoire.

d. Il existe une acidose métabolique à trou anionique

augmenté.

e. Il existe une acidose métabolique à trou anionique

normal.

33. Quel est l’antidote d’une intoxication par

paracétamol ?

a. Gluconate de calcium.

b. Naloxone.

c. N - acétylcystéine.

d. Vitamine C.

e. Bedelix.

34. Intubation / Ventilation assistée si :

a. Coma avec un Score de Glasgow < 7.

b. Convulsions répétées.

c. Bon rythme respiratoire.

d. Estomac plein.

e. Épuisement respiratoire.

35. Devant un patient victime d’un état de mal

épileptique, que doit - on envisager ?

a. Ponction lombaire.

b. Radiographie du crâne.

c. Ionogramme, glycémie et calcémie.

d. Électroencéphalogramme.

e. TDM du crâne.

36. La sérothérapie indiquée en cas de morsure de

serpents :

a. En cas d’œdème régional (majeure partie du membre).

b. Devant la survenue de vomissements, de diarrhées, et

d’hypotension artérielle.

c. Face à l'apparition d’un saignement modéré au niveau

de la morsure.

d. Si la morsure est confirmée car évolution imprécise.

e. Systématiquement chez les enfants.

37. Une noyade par conséquences :

a. Un spasme laryngé transitoire.

b. Le détournement de sang oxygéné vers le cœur et le

cerveau par vasoconstriction périphérique.

c. SDRA par lésions de la membrane alvéolo - capillaire.

d. Altération des échanges gazeux.

e. Hypothermie profonde et prolongée ayant un effet

protecteur cérébral et cardiaque.

CAS CLINIQUE

38. Il s’agit du patient SM, âgé de 75 ans, admis dans

notre service pour adénite tuberculeuse, sur diabète de

type II traité à base de GLUCOPHAGE 850 MG 2 fois /

jour, associé à une HTA traitée par un IEC, quel est

votre conduite à tenir ?

a. Traiter la tuberculose.

b. Arrêt du Glucophage et introduction de l’insuline.

c. Faire un bilan hépatique.

d. Maintenir les IEC.

e. Toutes les réponses sont justes.

39. Un bilan hépatique de control fait 15 jours après

retrouve : une cytolyse à TGO = 300μl/l, TGP = 456

μl/l. Quel est votre conduite ?

a. Diminuer la dose des antituberculeux.

b. Espacer l'intervalle entre les deux prises des

antituberculeux à 48 heures.

c. Espacer l’intervalle entre les deux prises des

antituberculeux à 72 heures.

Page 52: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

52

d. Arrêt des antituberculeux.

e. Espacer l’intervalle entre les deux prises des

antituberculeux à 48 heures et faire un bilan hépatique

une semaine après.

40. Quatre semaines après la prise des antituberculeux,

on note la persistance de la cytolyse (TGO : 850, TGP :

870). Quel est votre conduite et pourquoi ?

a. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des

antituberculeux à une semaine.

b. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des

antituberculeux à une semaine et si persistance arrêt de

l’isoniazide.

c. Espacer l'intervalle de temps entre les deux prises des

antituberculeux à une semaine et si persistance arrêt de

la pyrazinamide.

d. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement

antituberculeux.

e. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement

antituberculeux et reprise après normalisation des

transaminases.

1. La douleur de la fosse iliaque droite peut être en

rapport avec les diagnostics suivants sauf un lequel ?

a. Appendicite aiguë.

b. Tuberculose iléo - caecale.

c. Maladie de Crohn.

d. Sigmoïdite.

e. Cancer du Caecum.

2. Les douleurs abdominales d'origine extradigestive

peuvent être en rapport avec les, diagnostics suivants

sauf un lequel ?

a. Pyélonéphrite aiguë.

b. Salpingite.

c. Ulcère gastroduodénal.

d. Pneumopathie basale.

e. IDM (dans sa forme postérieure).

3. Une douleur épigastrique peut être en rapport avec

les diagnostics suivants :

a. Perforation d'ulcère duodénal.

b. Pancréatite aiguë.

c. Abcès hépatique.

d. Cancer gastrique.

e. Appendicite rétro caecale.

4. Le diagnostic positif d'une syncope repose sur :

a. L'électroencéphalogramme.

b. La coronarographie.

c. Le scanner cérébral.

d. La mesure de la glycémie.

e. Toutes les réponses sont fausses.

5. Les signes de gravité immédiate en cas de douleur

thoracique sont : (la ou les réponses fausses)

a. L'installation de troubles de la conscience.

b. La survenue d'une détresse respiratoire aiguë.

c. L'apparition d’une dyspnée dans le cadre d'un

syndrome coronarien aigu.

d. Un état de choc.

e. La survenue d'une douleur intense et migratrice.

6. La gravité d'une morsure de serpents est liée à : (la

ou les réponses fausses)

a. Nature et quantité de venin injecté.

b. Morsure en regard d'une zone richement vascularisée.

c. Surface corporelle réduite.

d. Son évolution qui reste imprécise.

e. Antécédents de diabète.

7. Dans la morsure de serpents la sérothérapie est

indiquée : (la ou les réponses fausses)

a. En cas d'œdème régional (majeure partie du membre).

b. Devant la survenue de vomissements, de diarrhées, et

d'hypotension artérielle.

c. Face à l'apparition d'un saignement modéré au niveau

de la morsure.

d. Si la morsure est confirmée car évolution imprécise.

e. Systématiquement chez les enfants.

8. Dans l'électrisation un courant électrique d'intensité

inférieure à 20 mA peut provoquer :

a. Une inhibition des structures nerveuses.

b. Réaction d'agrippement.

c. Tétanisation du diaphragme.

d. Contractions musculaires ne cédant pas à la rupture

du courant.

e. Fibrillation auriculaire.

Ratt 06 – 09 – 2016

Page 53: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

53

9. Dans l’électrisation le choc hypovolémique est dû à :

a. La constitution d'un 3ème

secteur.

b. Lésions vasculaires.

c. Section médullaire basse.

d. Contusion myocardique par onde de choc.

e. Thrombose des artères coronaires.

10. Les séquelles d’une électrisation :

a. Syndrome dépressif.

b. Insuffisance cardiaque.

c. Mort.

d. Insomnie.

e. Décollement rétinien.

11. Méningo - encéphalite :

a. Est une urgence médicale

b. Le LCR est toujours purulent.

c. Le scanner cérébral est toujours normal.

d. Elle est toujours à début aigu.

e. Toutes les réponses sont justes.

12. Citez l'antibiotique(s) actif(s) sur le staphylocoque

méticilline résistant (METLR) :

a. L'Oxacilline (Bristopen).

b. L'Amoxicilline.

c. L'Augmentin.

d. La Ciprofloxacine (Ciprolon).

e. La Vancomycine.

13. Quels antibiotiques sont prescrits plusieurs fois par

jour parce qu'ils sont temps dépendent ?

a. Doxycycline. d.

Pénicilline.

b. Gentamicine. e.

Rovamycine.

c. Rifampicin.

14. Les biologiques d'une anémie hémolytique sont :

a. Une bilirubine libre augmentée dans le sang.

b. Une hyper uricémie.

c. LDH très élevé.

d. Haptoglobine très abaissée.

e. Une créatininémie élevée.

15. Un VGM > 100 fl (volume globulaire moyen)

signifie :

a. Une anémie carentielle en Vit B9 ou B12.

b. Une anémie macrocytaire.

c. Une anémie mégaloblastique par carence en facteur

antipernicieux.

d. Une anémie arégénérative.

e. Une anémie mégaloblastique non carentielle.

16. Dans les états de choc, il y’a : (la ou les réponses

fausses)

a. Défaillance circulatoire aiguë.

b. Une augmentation des débits circulatoires locaux des

différents organes.

c. Une diminution du transport de l’oxygène.

d. Une altération de la circulation au niveau des organes.

e. Une accumulation d'acide lactique.

17. Devant un coma sans signes de localisation, sans

signes méningés et sans fièvre, quelles sont les étiologies

les plus probables ?

a. Ischémie ou anoxie cérébrale diffuse.

b. Accident vasculaire cérébral.

c. Une hydrocéphalie avec des signes HTIC.

d. One cause métabolique.

e. Une intoxication.

18. Dans la syncope, la perte de connaissance est : (la

ou les réponses fausses)

a. Progressive.

b. Précédée d'une aura.

c. Suivie d'une confusion post critique.

d. S'accompagne de crises convulsives.

e. Responsable d'une aphasie.

19. Dans les syncopes, la perte de connaissance est la

conséquence : (la ou les réponses fausses)

a. D'une ischémie myocardique aiguë.

b. D'une thrombose des artères cérébrales.

c. D'une hypoglycémie.

d. D’un trouble de l'activité électrique cérébrale.

e. D'une ischémie cérébrale globale et passagère.

20. Toutes ces pathologies peuvent entraîner une

syncope sauf :

a. Bloc auriculo ventriculaire 3ème

degré.

b. Rétrécissement aortique serré.

c. Hypertension orthostatique.

d. Intoxication au CO (Monoxyde de Carbone).

e. Hyper réflexivité sino carotidienne.

Page 54: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

54

1. Quel élément clinique ou para clinique est nécessaire

au diagnostic de mort encéphalique ?

a. Une anisocorie

b. L'absence des réflexes du tronc cérébral

c. Une hypothermie

d. Un diabète insipide

e. Deux électroencéphalogrammes (EEG) à 4 heures

d'intervalle montrant un tracé faiblement réactif.

2. Devant un coma sans signes de localisation, sans

signes méningés et sans fièvre, quelles sont les étiologies

les plus probables ?

a. Ischémie ou anoxie cérébrale diffuse

b. Un accident vasculaire cérébral

c. Une hydrocéphalie avec des signes HTIC

d. Une cause métabolique

e. Une intoxication

3. Un patient dans le coma présente à l'examen

clinique : une ouverture des yeux â la douleur, une

réponse motrice stéréotypée en extension et une réponse

verbale incompréhensible, quel est son score de

Glasgow ?

a. 6 sur l'échelle de Glasgow.

b. 7 sur l'échelle de Glasgow.

c. 9 sur l'échelle de Glasgow.

d. 3 sur l'échelle de Glasgow.

e. 8 sur l'échelle de Glasgow.

4. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles par

le Méthanol ?

a. Atropine

b. Alcool éthylique

c. Calcium

d. Gluconate de calcium

e. Glucagon

5. Quel est l'antidote d'une Intoxication au

Paracétamol ?

a. Gluconate de calcium

b. Naloxone

c. N - acétylcystéine

d. Vitamine C

e. Bedelix

6. Quel est l'antidote d’une intoxication volontaire par

les Insecticides ?

a. Flumazénil.

b. Bleu de Méthylène.

c. Atropine.

d. Naloxone.

e. Vitamine B6.

7. Dans l'hyperkaliémie l'ECG se caractérise par tous

ses éléments, sauf :

a. Ondes T amples

b. Ondes P proéminentes

c. Espace PR allongé

d. QRS élargis

e. Tachycardie ventriculaire

8. Tous les éléments suivants sont indiqués dans le

traitement de l’hyperkaliémie aiguë menaçante à

l'exception de :

a. Résines

b. Calcium gluconate

c. Bicarbonate de sodium

d. Insuline

e. Epuration extrarénale.

9. L'hyperkaliémie est causée par toutes ses causes

sauf :

a. Hyperaldostéronisme primaire

b. Hémolyse

c. Insuffisance rénale aiguë

d. Lupus érythémateux disséminé

e. Insuffisance rénale aiguë

10. Les manifestations d'un déficit en potassium

incluent toutes ses caractéristiques, à l'exception de :

a. Dépression du segment ST

b. Petite onde T

c. Hypotension

d. Hypertonie musculaire

e. Paralysie musculaire

11. Laquelle des propositions suivantes concernant

l'hypokaliémie est correcte ?

a. Ondes T amples

b. Brady arythmies

c. Ondes sinusoïdales

d. Dépression du segment ST

S2 14 – 03 – 2016

Page 55: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

55

e. QRS élargis.

12. Toutes sont caractéristiques de l'hypokaliémie, sauf :

a. Hypertonie musculaire

b. Distension abdominale

c. Arythmie cardiaque

d. Incontinence urinaire

e. Occlusion fonctionnelle.

13. La prise en charge d’un état de mal épileptique, fait

appel à :

a. Assurer la liberté des voies aériennes

b. Administrer un anti épileptique IV

c. Ne pas oxygéner

d. Intuber

e. Corriger l'hypocalcémie et l'hypoglycémie

14. Devant un patient victime d'un état de mal

épileptique, que doit - on envisager ?

a. Ponction lombaire

b. Radiographie du crâne

c. Ionogramme, glycémie et calcémie

d. Électroencéphalogramme (EEG)

e. TDM du crâne.

15. Parmi les antiépileptiques, lequel (lesquels) est (sont)

efficace(s) en cas d'État de mal épileptique en IV ?

a. Diazépam

b. Tégrétol

c. Phénobarbital

d. Thiopental

e. Dépakine

16. Devant une pancréatite aiguë chez l'adulte on doit

rechercher en premier lieu deux affections parmi les

suivantes lesquelles ?

a. Un alcoolisme.

b. Une ascaridiose de la voie biliaire principale.

c. Une distomatose hépatique.

d. Un syndrome ourlien récent.

e. Une lithiase biliaire à petits calculs.

17. Dans la pancréatite aiguë, les signes suivants sont

considérés comme des critères de gravité sauf un,

lequel ?

a. Age 55 ans

b. Hyperglycémie

c. Hypercalcémie

d. Acidose

e. Hypoxie

18. Parmi les examens morphologiques suivants, lequel

permet d'apprécier la nécrose pancréatique au cours

d'une pancréatite aiguë grave ?

a. Cholangiographie rétrograde.

b. Artériographie cælio - mésentérique.

c. Echographie.

d. Tomodensitométrie avec produit de contraste.

e. Scintigraphie au Tc 99.

19. Les complications immédiates de la pancréatite

aiguë :

a. Le pseudo kyste du pancréas

b. La surinfection de ta coulée pancréatique

c. L'hémorragie

d. Les défaillances viscérales

e. La perforation d'un organe creux

20. Chez un patient hospitalisé aux urgences après une

morsure de serpent, la thérapeutique instaurée est

comme suit :

a. Prescription systématique d'un traitement

antivenimeux

b. Sérothérapie antitétanique en fonction du stade de

l'envenimation

c. Bandage alcoolisé pour calmer la douleur

d. Prescription d'antihistaminiques en intraveineux

e. Toutes les réponses sont fausses

21. Suite à une piqûre d'hyménoptère, un patient

asthmatique se présente aux urgences, avec des

manifestations cliniques stade II :

a. Œdème s'étendant de l'articulation sus à l'articulation

sous - jacente par rapport à la piqûre.

b. Bronchospasme avec râles ronflants diffus aux deux

champs pulmonaires.

c. Urticaire généralisé.

d. Œdème, rougeur, douleur, prurit.

e. Toutes les réponses sont justes.

Page 56: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

56

22. Après une chute accidentelle dans l'eau :

a. Vasoconstriction périphérique, et détournement de

sang vers les organes nobles

b. Installation immédiate d'un SDRA

c. Spasme laryngé avec bronchoconstriction

d. Survenue d'un état de choc

e. Toutes les réponses sont justes

23. Le purpura thrombopénique idiopathique :

a. Est une pathologie acquise de l'hémostase primaire

b. Le bilan de coagulation est normal

c. Une thrombopénie sévère peut s'observer

d. La splénectomie est indiquée en cas de cortico

résistance ou de cortico dépendance

e. Toutes les réponses sont justes

24. Un déficit Isolé en facteur VII peut être en rapport

avec :

a. Une Insuffisance hépatocellulaire

b. Une hypovitaminose K

c. Un déficit congénital

d. Une CIVD

e. Un anticoagulant circulant

25. Les signes biologiques d’une anémie hémolytique

sont :

a. Une bilirubine libre augmentée dans le sang

b. Une hyper uricémie

c. LDH très élevée

d. Haptoglobine très abaissée

e. Une créatininémie élevée

26. Un déficit du facteur il va entraîner :

a. Allongement du TCA, TQ

b. Allongement du TQ

c. Allongement du TCA

d. Une thrombopénie

e. Hypofibrinémie

27. La contracture abdominale : la RF

a. Est une contraction permanente.

b. Est une contraction douloureuse.

c. Est une contraction visible.

d. Témoigne d'une irritation péritonéale.

e. Retrouvée dans la péritonite par perforation d'ulcère

gastrique.

28. Le pneumopéritoine à l’ASP : les RF

a. Témoigne d'une perforation d'un organe plein.

b. Témoigne d'une perforation d'un organe creux

c. Sous forme d'un croissant gazeux sous

diaphragmatique

d. Retrouvé dans la perforation d'ulcère gastrique

e. Retrouvé dans l'appendicite aiguë non compliquée

29. L'atteinte myocardique dans l’électrisation est due

à :

a. Une thrombose des artères coronaires.

b. Une sidération des centres respiratoires.

c. Contusion myocardique par onde de choc.

d. Perturbation des phénomènes électriques.

e. Constitution d'un 3ème

secteur.

30. Agressions cérébrales secondaire d'origine

systémique :

a. Hypertension artérielle

b. Normo capnie

c. Hypothermie

d. Hyperglycémie

e. Anémie.

31. Les lésions qui peuvent être classées lésions

primaire : (la ou les réponses fausses)

a. Les fractures du crâne

b. L'hématome extra dural

c. Œdème cérébral

d. Lésions axonales diffuses

e. Engagement cérébral.

32. Un homme de 54 ans, sans antécédents

pathologiques particuliers a été ramené à l'urgence

dans un tableau de coma fébrile. Quelle attitude prenez

- vous ?

a. Conditionner le malade.

d. Faire une PL en urgence.

b. Faire des prélèvements d'urgence.

e. Toutes les réponses sont justes.

c. Faire un scanner cérébral' en urgence.

33. L'entourage confirme le début brutal de la

symptomatologie, le scanner cérébral était normal et la

PL a ramené un liquide clair à prédominance

lymphocytaire, normo glycorachique légèrement

hyperprotéinorrachique, cochez la formule

correspondante à l'énoncé :

Page 57: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

57

a. 100 élément/mm³, 70 % lymphocyte, Glu : 0.4 g /l, Pr :

1.2 g/l.

b. 100 élément/mm³, 70 % PNN, Glu : 0.4 g/1, Pr : 1.2 g

/l.

c. 100 élément/mm³, 70 % lymphocyte, Glu : 0.01 g/l, Pr :

1.2 g/l.

d. 100 élément/mm³, 70 % lymphocyte, Glu : 0.4 g/l, Pr :

0.5 g /l.

e. Toutes les réponses sont justes.

34. Quel diagnostic suspectez - vous en sachant qu'un

EEG fait revenant en faveur d'ondes tentes symétriques

au niveau temporo - frontal et la culture bactérienne

dans le LCR était stérile ?

a. Méningo - encéphalite herpétique.

b. Méningo - encéphalite tuberculeuse.

c. Méningo - encéphalite listérienne.

d. Méningo - encéphalite à germes pyogènes.

e. Aucune réponse juste.

35. Quelle est votre conduite à tenir ?

a. Antibiothérapie.

b. Acyclovir.

c. Antifongique.

d. Mesures générales.

e. Acyclovir + mesures générales.

36. L'hypoglycémie :

a. Les hypoglycémies survenant après le repas ne sont

jamais graves.

b. Les hypoglycémies survenant au jeûne spontanément

(sans cause retrouvée) évoquent une cause grave.

c. Les hormones (glucagon, adrénaline, cortisol,

hormone de croissance) sont inhibées en cas

d'hypoglycémie.

d. Est un diagnostic clinique.

e. Les signes cliniques n'ont rien de spécifique.

37. L'insuffisance surrénale aiguë traduit :

a. Stade final d'une ISL méconnue.

b. Situation où il existe une diminution des besoins en

cortisol : infection, traumatisme, Intervention

chirurgicale, grossesse.

c. Arrêt de l'hormonothérapie substitutive.

d. La survenue d'un collapsus isolé et inexpliqué.

e. La survenue de douleurs abdominales diffuses mimant

parfois un tableau pseudo - chirurgical.

38. La suspicion clinique d'ISA doit toujours :

a. Être confirmée par les examens hormonaux.

b. Le test au Synacthène peut être réalisé après résolution

de l’épisode aigu.

c. Cortisolémie à 8 heures élevée.

d. ACTH plasmatique de base : taux élevés.

e. La confirmation est apportée par le dosage de

l'Aldostérone.

39. Parmi ses propositions quelles sont celles qui sont

justes ?

a. Les syncopes d'effort sont dues è des troubles du

rythme cardiaque.

b. Les syncopes d’effort sont dues à une hypertonie

vagale.

c. Les syncopes vaso vagales sont à risque de mort subite

en cas de récidive.

d. Les syncopes cardiaques peuvent être mécaniques ou

électriques.

e. Toutes ses réponses sont justes.

40. Parmi ses mécanismes physiopathologiques quels

sont ceux qui ne correspondent pas à la syncope ?

a. Obstruction des artères carotides

b. Infarctus cérébral

c. Infarctus du myocarde

d. Hypoglycémie

e. Hypoxie hypercapnie.

1. Parmi les critères de gravité d'une brûlure : (la ou les

réponses fausses)

a. Surface brûlée > 15 % SC chez un adulte.

b. Brûlure 3°degré > 10 % SC.

c. Brûlures cervico - faciales.

d. Traumatisme associé.

e. Brûlure chez un patient présentant une tare sous -

jacente.

2. La gravité d'une morsure de serpents est liée e à : (la

ou les réponses fausses)

a. Nature et quantité de venin injecté.

b. Morsure en regard d'une zone richement vascularisée.

c. Surface corporelle réduite.

S1 16 – 11 – 2015

Page 58: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

58

d. Son évolution qui reste imprécise.

e. Antécédents de diabète.

3. La conduite thérapeutique en cas de piqûres

d'hyménoptères consiste en ce qui suit : la ou les RF

a. Désinfection locale et immobilisation du membre.

b. Prophylaxie antitétanique.

c. Traitement antalgique.

d. Antibiothérapie systématique anti BGN.

e. Administration de corticoïdes et d'antihistaminiques.

4. Les caractéristiques d'une dissection aortique sont :

(la ou les réponses fausses)

a. Il s'agit très souvent de patients hypertendus connus.

b. La douleur est de début brutal, intense et de siège

migrateur.

c. Douleur thoracique latérale variant avec les

mouvements respiratoires.

d. Asymétrie des pouls, souffle diastolique d'insuffisance

aortique.

e. Déficit neurologique focalisé.

5. Une noyade a pour conséquences : la ou RF

a. Un spasme laryngé transitoire.

b. Le détournement de sang oxygéné vers le cœur et le

cerveau par vasoconstriction périphérique.

c. SDRA par lésions de la membrane alvéolo capillaire.

d. Altération des échanges gazeux.

e. Hypothermie profonde et prolongée ayant un effet

protecteur cérébral et cardiaque.

6. Dans les états de choc, il y'a : la ou les RF

a. Défaillance circulatoire aiguë

b. Une augmentation des débits circulatoires locaux des

différents organes.

c. Une diminution du transport de l'oxygène.

d. Une altération de la circulation au niveau des organes.

e. Une accumulation d'acide lactique.

7. Au cours des états de choc, la présence de signes

d'insuffisance cardiaque droite oriente vers :

a. Le choc anaphylactique.

b. Le choc septique.

c. L’embolie pulmonaire.

d. L'hémorragie aiguë.

e. Toutes ces réponses sont correctes.

8. Parmi les étiologies du choc hypovolémique, on

retrouve :

a. Hémorragies utérines du post partum.

b. Hémorragies par plaie vasculaire.

c. Syndrome cholériforme.

d. Dermatose avec épidermolyse.

e. Toutes ces réponses sont correctes.

9. Concernant la CIVD, quelle est la réponse vraie ?

a. Une CIVD ne se complique pas d'hémorragies.

b. Une CIVD ne se complique pas de thromboses.

c. Un sepsis peut se compliquer de CIVD.

d. Le bilan biologique de l'hémostase est souvent normal.

e. La thrombopénie isolée est spécifique du diagnostic de

CIVD.

10. Concernant l'affirmation de la mort cérébrale,

quelle est la réponse vraie ?

a. Des signes de conscience peuvent persister.

b. L'Électroencéphalogramme ne sert à rien.

c. Le tronc cérébral peut continuer à fonctionner

(réflexes du tronc cérébral présents).

d. Une respiration faible peut persister.

e. Il est obligatoire de faire un examen complémentaire

pour confirmation.

11. Une anémie macrocytaire régénérative se rencontre

dans une des circonstances suivantes, laquelle ?

a. Au cours d'une carence martiale non traitée.

b. Quelques jours après une hématémèse.

c. Au cours d'une insuffisance rénale chronique.

d. Dans les jours qui suivent une hémolyse.

e. Au cours d'une maladie de Biermer non traitée.

12. Parmi les facteurs plasmatiques de coagulation

suivants, quel est celui dont le déficit isolé majeur

s'accompagne d'un allongement important du temps de

céphaline avec activateur, alors que le temps de Quick

reste normal ?

a. Pro thrombine (II)

b. Pro accélérine (V)

c. Pro convertine (VII)

d. Facteur anti hémophilique (X)

e. Facteur Stuart (X).

Page 59: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

59

13. Le concentré unitaire plaquettaire :

a. Est obtenu à partir de plusieurs donneurs.

b. Se conserve 5 à 7 jours à 22° en agitation continue.

c. Obtenu à partir d'un seul donneur par cytaphérèse.

d. Est indiqué en cas de thrombopénie sévère.

e. Est indiqué en cas de thrombopénie.

14. Dans la syncope, la perte de connaissance est : (la

ou les réponses fausses)

a. Brutale.

b. Prolongée.

c. Suivie d'une confusion post critique.

d. S'accompagne de crises convulsives.

e. Responsable d'une aphasie.

15. Dans les syncopes, la perte de connaissance est la

conséquence de :

a. D'une ischémie myocardique aiguë.

b. D'une thrombose des artères cérébrales.

c. D'une hypoglycémie.

d. D'un trouble de l'activité électrique cérébrale.

e. D'une ischémie cérébrale globale et passagère.

16. Les syncopes réflexes surviennent :

a. À l'occasion d'un stress orthostatique.

b. À l'occasion d'un stress émotionnel.

c. À l'occasion d'une stimulation instrumentale

douloureuse.

d. À l'effort.

e. Lorsqu'il y'a une hyper réflexivité du sinus carotidien.

17. Dans l'électrisation, le choc hypovolémique fait

suite à :

a. Constitution d’un 3ème

secteur.

b. Lésions vasculaire.

c. Section médullaire basse.

d. Contusion myocardique par onde de choc.

e. Thrombose des artères coronaires.

18. Agressions cérébrales secondaires d'origine

centrales :

a. Hypotension artérielle

d. Hydrocéphalie

b. Hypertension intracrânienne

e. Hypothermie.

c. Hyperglycémie

19. Un polytraumatisme se définit comme :

a. L'association de lésions dont mie engage le pronostic

vital.

b. L’association d'au moins deux lésions engageant

chacune le pronostic vital.

c. L’association de fractures multiples.

d. L'association d'un traumatisme crânien grave avec

toute autre lésion.

e. Toutes les réponses sont justes.

20. Quel (s) cliché (s) radiologique (s) systématique (s)

devez - vous demander en urgence au décochage devant

la suspicion d'un polytraumatisme ?

a. Une radiographie du rachis cervical face et profil.

b. Une radiographie du thorax de face.

c. Radiographie des quatre membres.

d. Radiographie du crâne face et profil.

e. Toutes les réponses sont justes.

21. Biologiquement l’insuffisance rénale aiguë

fonctionnelle, se manifeste par :

a. Fraction d'excrétion de sodium inférieure à 1.

b. Rapport sodium urinaire sur potassium urinaire

inférieure à 1.

c. Rapport urée urinaire sur urée plasmatique supérieure

à 10.

d. Rapport créatinine urinaire sur créatinine plasmatique

supérieure à 30.

e. Rapport urée sanguin sur créatinine sanguine

supérieure à 100 μmol/l.

22. Une déshydratation intra cellulaire :

a. Est évoquée devant une hyper protidémie.

b. Est associée à une hyper natrémie.

c. Est une conséquence fréquente de l’utilisation des

diurétiques de l'anse.

d. Peut être associée à une déshydratation extra

cellulaire.

e. Doit être préférentiellement traitée par une perfusion

hypotonique.

23. Parmi les circonstances suivantes quelles sont celles

qui peuvent être à l'origine d'une nécrose tubulaire

aiguë :

a. Ischémie par choc cardiogénique.

b. Pyélonéphrite aiguë.

c. Glomérulonéphrite nécrosante.

Page 60: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

60

d. Syndrome hémolytique et urémique.

e. Septicémie.

24. Les principales urgences dans les méningo -

encéphalites sont :

a. La méningite virale.

b. La méningite herpétique.

c. La méningite brucellienne.

d. La méningite à listeria.

e. Aucune réponse n'est juste.

25. Les signes de gravité en cas d'encéphalite sont ?

a. Le purpura. d.

Etat de choc.

b. Rash cutané. e.

CIVD.

c. Hypoglycémie.

26. Quel est l'antidote d'une intoxication par agents

hypoglycémiants ?

a. Gluconate de Calcium.

b. Glucagon.

c. Sulfate de Magnésium.

d. La Vitamine B1.

e. Le Chlorure de Sodium.

27. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles

par les Raticides ?

a. l'atropine

b. l'alcool éthylique

c. le N - acétylcystéine

d. le Gluconate de calcium

e. la vitamine K1.

28. La crise aiguë hypertensive, c'est une augmentation

brutale :

a. TA ≥ 160 / 95 mmHg.

b. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec retentissement viscérale.

c. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec une hypoglycémie sèvre.

d. TA ≥ 160 / 95 mmHg avec des céphalées intenses.

e. TA ≥ 190 / 95 mm Hg sans retentissement viscérale.

29. Devant un arrêt cardiorespiratoire, il faut

rechercher :

a. Le pouls radial.

b. Le pouls radial et carotidien.

c. Le pouls carotidien.

d. Le pouls carotidien et/ou fémoral.

e. Le pouls fémoral et radial.

30. Les principales urgences aiguës hypertensives sont

représentées par :

a. L’éclampsie.

b. Syndrome de détresse respiratoire aiguë.

c. L'insuffisance hépatocellulaire sévère.

d. Syndrome de défaillance multi viscérale.

e. L’encéphalopathie hypertensive.

31. Le traitement de la crise aiguë hypertensive consiste

en l’utilisation :

a. Une antibiothérapie prophylactique.

b. Une anti hypertenseurs en IV.

c. Des alpha-bêta bloquants.

d. Des antalgiques majeurs en IV.

e. Une baisse progressive de la TA par ces traitements.

32. Un abdomen aigu peut être en rapport avec les

diagnostics suivants sauf un lequel ?

a. Acidocétose diabétique.

d. Hypercalcémie.

b. Porphyrie aiguë.

e. Hypothyroïdie.

c. Insuffisance surrénalienne aiguë.

33. La douleur de l’hypochondre droit peut être en

rapport avec les diagnostics suivants :

a. Cholécystite aiguë.

b. Angiocholite.

c. Abcès herpétique.

d. Appendicite rétro - caecale.

e. Sigmoïdite.

34. Le diagnostic biologique de l’acidocétose diabétique

comporte :

a. Glycémie à 3 g /l, une albuminurie, une créatininémie

élevée, une glycosurie positive ?

b. Glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves

alcalines normales et cétonurie (traces) ?

c. Hyperglycémie à 7 g /l, osmolarité élevée, pH sanguin

normal.

d. Hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,

les bicarbonates abaissés.

Page 61: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

61

e. Hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines

normaux, hyper natrémie.

35. L’acidocétose diabétique :

a. Nécessite l’apport de sérum bicarbonaté

systématiquement au cours du traitement.

b. Est très fréquente chez le diabétique de type 1.

c. Ne survient jamais chez le diabétique de type 2.

d. Peut se compliquer d’une cécité.

e. La correction de l’hypokaliémie doit être entreprise

dès la mise en route de la réhydratation.

36. Le patient S.M âgé de 75 ans est admis en médecine

interne pour adénite tuberculeuse, sur diabéte de type II

traité à base de GLUCOPHAGE 850 MG 2 fois /jour,

associé à une HTA traitée par un IEC, quelle est votre

conduite à tenir ?

a. Traiter la tuberculose.

b. Arrêt du glucophage et introduction de l’insuline.

c. Faire un bilan hépatique.

d. Maintenir les IEC.

e. Toutes les réponses sont justes.

37. Un bilan hépatique de control se fait 15 jours après

le début du traitement retrouve une cytolyse : TGO =

300 Ul/l, TGP = 456 UI/l. Quelle est votre conduite ?

a. Diminuer la dose des antituberculeux.

b. Espacer l’intervalle entre les deux prises des

antituberculeux à 48 heures.

c. Espacer l’intervalle entre les deux prises des

antituberculeux à 72 heures.

d. Arrêt des antituberculeux.

e. Espacer l’intervalle entre les deux prises des

antituberculeux à 48 heures et faire un bilan hépatique

une semaine après.

38. Quatre semaines après la prise des antituberculeux,

on note la persistance de la cytolyse (TGO : 850, TGP :

870) quelle est votre conduite à tenir ?

a. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des

antituberculeux à une semaine.

b. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises

antituberculeux à une semaine et si persistance arrêt de

l’isoniazide.

c. Espacer l’intervalle de temps entre les deux prises des

antituberculeux à une semaine et persistance arrêt de la

pyrazinamide.

d. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement

antituberculeux.

e. Si persistance de la cytolyse arrêt de tout traitement

antituberculeux et reprise après normalisation des

transaminases.

39. Parmi les propositions suivantes, la(les) quel(les) est

(sont) des signes de détresse au cours de l'asthme au

grave ?

a. fréquence respiratoire à 30 /mn.

b. somnolence.

c. tachycardie > 120 /mn

d. silence auscultatoire

e. DEP < 25 %.

40. Quelle est la définition gazométrique artérielle d'un

asthme aigu très grave ?

a. paO 2 < 60 % - paCO 2 = 40 mmHg - pH = 7,35

b. paO 2 < 60 % - paCO 2 > 50 mmHg - pH < 7,2

c. paO 2 normale - paCO 2 < 40 mmHg - pH = 7,40

d. paO 2 < 60% - paCO 2 > 40 mmHg - pH = 7,40

e. paO 2 >60% - paCO 2 >40 mmHg - pH > 7,35

1. Au cours d’un état de choc hypovolémique, on peut

observer : (RF)

a. Une tachycardie

b. Une polyurie

c. Une soif

d. Une agitation

e. Une confusion.

2. En présence d’un état de choc, les signes suivants

peuvent orienter vers le diagnostic de choc septique :

(RF)

a. Une peau érythrosique chaude

b. Une fièvre élevée

c. Des frissons

d. Une pâleur des conjonctives

e. Un état d'immunodéficience connu.

Ratt 06 – 09 – 2015

Page 62: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

62

3. Le remplissage vasculaire est contre – indiqué : (RF)

a. Dans les états de choc à pression de remplissage basse.

b. Pour remplacer la fraction de la volémie perdue.

c. Dans le traitement de l'hypovolémie relative par

vasoplégie.

d. En priorité chez la femme enceinte en évitant

l'albumine.

e. Avec des Solutions colloïdales, cristalloïdes, ou

albumine.

4. Les principales causes des comas avec signes de

focalisation sont : (RF)

a. L'hémorragie cérébrale

b. L'infarctus cérébral

c. La méningo encéphalite

d. La thrombophlébite cérébrale

e. La tumeur primitive ou secondaire cérébrale.

5. Le diagnostic de mort cérébrale est posé devant : (RF)

a. Abolition de la fonction cérébrale d'origine lésionnelle.

b. Une abolition de la fonction cérébrale mais d'origine

toxique.

c. Une absence de respiration spontanée et de réflexes du

tronc cérébral.

d. Un coma aréactif.

e. Deux EEG nuls et aréactifs effectués à 2 intervalles sur

une durée de 30 min.

6. La survenue d'une ischémie aiguë du membre

nécessite :

a. Une oblitération artérielle associée à une thrombose

veineuse profonde

b. Une oblitération artérielle avec une circulation

collatérale insuffisante pour la compenser.

c. Une thrombose veineuse profonde.

d. Une fibrinolyse.

e. Une vasodilatation artérielle.

7. On peut définir l'urgence hypertensive par :

a. Une élévation transitoire de la pression artérielle sans

souffrance viscérale aiguë.

b. Une élévation des chiffres tensionnels accompagnée

d'une souffrance viscérale grave et aigüe.

c. Une association de chiffres tensionnels élevés et d'une

rétinopathie stade III ou IV.

d. Toutes les réponses sont justes.

e. Toutes les réponses sont fausses.

8. La chaîne de survie est composée de :

a. Alerte-réa CP de base ou MCE + BAB

b. CEE - réa CP spécialisée

c. Alerte - CEE

d. Alerte - (MCE + BAM) - CEE – réanimation CP

spécialisée.

e. Alerte - réa CP spécialisée.

9. Le vasoconstricteur de choix en cas d'arrêt cardiaque

est représenté par :

a. L'éphédrine

b. La xylocaïne.

c. La cordarone.

d. L’adrénaline.

e. La dobutamine.

10. Réponse verbale incompréhensible, une réponse

motrice nulle avec œdème palpébral important :

a. Traumatisme crânien modéré.

b. 5 à l'échelle Glasgow.

c. Le scanner cérébral n'est pas systématique.

d. 4 à l'échelle Glasgow.

e. Nécessite une surveillance de 24 h.

11. Dans la classification de MASTER le groupe à

risque modéré :

a. Plaie pénétrante

b. Embarrure probable

c. Céphalée

d. Comitialité post traumatique

e. Sensations ébrieuses.

12. Les séquelles d'une électrisation : (RF)

a. Atrophie corticale.

b. Insuffisance cardiaque.

c. Mort.

d. Hémianopsie.

e. Vertige.

13. Une intensité du courant inférieur à 20 mA peut

provoquer :

a. Une inhibition des structures nerveuses

b. Réaction d'agrippement

c. Tétanisation du diaphragme

d. Contractions musculaire ne cédant pas à la rupture du

courant.

e. Fibrillation auriculaire.

Page 63: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

63

14. Parmi les mécanismes de la noyade lors d'une chute

accidentelle dans l'eau :

a. Entrée immédiate de l'eau dans l'arbre trachéo

bronchique.

b. Tachyarythmie par privation en O2.

c. Acidose métabolique par vasoconstriction périphérique

d. Œdème pulmonaire par incompétence myocardique.

e. Toutes les réponses sont justes.

15. Après extraction d'un noyé de l'eau, celui - ci est

agité et présente une gêne respiratoire avec

encombrement bronchique. Votre conduite

thérapeutique sera :

a. Administration de diurétiques IV.

b. Perfusion de sérum bicarbonaté pour prévenir un état

d'acidose.

c. Vidange gastrique et position latérale de sécurité.

d. Traitement de l'agitation au moyen de sédatifs.

e. Toutes les réponses sont justes.

16. Parmi les manifestations cliniques stade III

secondaires à une piqûre l’hyménoptère :

a. Bronchospasme avec râles crépitants aux deux champs

pulmonaires.

b. Urticaire généralisé.

c. Apparition concomitante d'un œdème de Quincke et

d'un œdème pulmonaire.

d. OEdème important qui va s'étendre de l'articulation

sus à l'articulation sous - jacente par rapport à la piqûre.

e. Toutes les réponses sont justes.

17. Après une morsure de serpents, les premiers gestes

à faire sont :

a. Administration systématique du sérum antitétanique.

b. Prescription immédiate d'une sérothérapie

antivenimeuse.

c. Mise en place d'un bandage alcoolisé pour atténuer la

douleur.

d. Incision de la plaie pour extirper le venin.

e. Toutes les réponses sont justes.

18. Quel est l'antidote d'une intoxication par agents

hypoglycémiants ?

a. le gluconate de calcium

d. la vitamine B1

b. le glucagon

e. le chlorure de sodium.

c. le sulfate de magnésium

19. Quel est l'antidote d'une intoxication volontaire par

les morphiniques ?

a. le flumazénil

b. le temgésic

c. le N - acétylcystéine

d. la naloxone. e. la vitamine B6.

20. Quel est l'antidote des intoxications accidentelles

par les Anti vitamines K ?

a. l'atropine

b. l'alcool éthylique

c. le N - acétylcystéine

d. le Gluconate de calcium

e. la vitamine K1

21. Quel est l'antidote d'une intoxication par

paracétamol ?

a. le gluconate de calcium

b. la naloxone

c. le N - acétylcystéine

d. la vitamine C.

e. le Bedelix

22. Étiologie du diabète insipide néphrogénique :

a. Craniopharyngiome

b. Syndrome de sheehan

c. Méningo - encéphalite

d. Hypokaliémie

e. Hypocalcémie.

23. Hyponatrémie hypo osmotique est retrouvée en cas :

a. Déshydratation intra cellulaire

b. Déshydratation extra cellulaire pur

c. Hyperhydratation extra cellulaire

d. Déshydratation extra cellulaire plus hyperhydratation

intra cellulaire

e. Hyper protidémie hypertriglycéridémie.

24. Insuffisance rénale aiguë organique se manifeste

par : (RF)

a. Rapport, NA / K urinaire inférieur à 1.

b. Rapport créatinine U / P inférieur à 20

c. Fraction d'excrétion de sodium supérieur à 1.

d. Natriurèse élevée.

e. Reins de taille et d'écho structure normal.

Page 64: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

64

25. Le syndrome néphrotique impur se définie par la

présence de : (RF)

a. protéinurie massive supérieur à 3 g /l.

b. hématurie.

c. hypo albuminémie inférieur à 30 g/l.

d. hypo protidémie inférieur à 60 g/l.

e. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle.

26. Une anémie macrocytaire régénérative se rencontre

dans la circonstance suivante :

a. Au cours d'une carence martiale non traitée.

b. Quelques jours après une hématémèse.

c. Au cours d'une insuffisance rénale chronique.

d. Dans les jours qui suivent une hémolyse.

e. Au cours d'une maladie de Biermer non traitée.

27. Parmi les situations suivantes une seule nécessite la

prescription de vitamine B12. Laquelle ?

a. Gastrectomie totale

b. Anémie réfractaire (myélo dysplasie)

c. Anémie de la grossesse

d. Anémie mégaloblastique médicamenteuse

e. Hyper érythropoïèse par hémolyse aiguë.

28. L’anémie hémolytique congénitale qui

s'accompagne d'une microcytose des hématies est :

a. La thalassémie

b. La maladie de Minkowski - Chauffard

c. Le déficit en G6PD

d. La drépanocytose

e. Le déficit en pyruvate kinase.

29. L'anémie rencontrée au cours de l'insuffisance

rénale est le plus souvent de type :

a. normo chrome macrocytaire régénérative

b. normo chrome normocytaire régénérative

c. hypochrome microcytaire hyposidérémique

d. hypochrome microcytaire hyposidérémique

e. normo chrome normocytaire arégénérative.

30. Quels sont les deux causes les plus fréquentes de

l'hémorragie digestive chez le cirrhotique ?

a. Rupture des varices œsophagiennes

b. Syndrome de Mallory - Weiss

c. Gastrite érosive

d. Ulcère bulbaire

e. Cancer de l'œsophage.

31. Pour le diagnostic étiologique d'une hémorragie

digestive haute, quel examen vous paraît le plus

performant ?

a. Le transit æso gastroduodénale.

b. L'Angiographie digitalisée.

c. L'artériographie cælio mésentérique.

d. L'angiographie couplée à la tomodensitométrie.

e. Endoscopie digestive.

32. Laquelle des complications suivantes surviennent

plus volontiers au cours de l'évolution d'un ulcère

chronique de la face postérieure du bulbe ?

a. péritonite par perforation

b. hémorragie par érosion de l'artère gastro - duodénale

c. fistule cholécysto - duodénale

d. ictère rétentionnel

e. pancréatite aiguë

33. Devant un méléna isolé, sans retentissement

hémodynamique particulier, quel examen

complémentaire doit être effectué en première intention

pour en préciser l'étiologie ?

a. artériographie cælio mésentérique.

b. coloscopie totale.

c. dosage de l'hémoglobine.

d. fibroscopie, æso - gastro - duodénale.

e. transit du grêle avec étude particulière de l'iléon

terminal.

34. Parmi les médicaments suivants, citez celui (ceux)

pouvant favoriser une hémorragie digestive chez un

malade ayant un ulcère duodénal :

a. Glafénine

b. Aspirine

c. Paracétamol

d. Anti-inflammatoire non stéroïdien

e. Gardénal.

35. Chez un cirrhotique présentant une rectorragie

massive, quelle origine peut être révélée par la

fibroscopie haute ?

a. œsophagite peptique

b. Ulcère gastrique

c. Ulcère duodénal de la face antérieure

d. Rupture de varices cardiales.

e. Cancer gastrique.

Page 65: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

65

36. Quel est le critère le plus précis pour apprécier

l’importance de la perte sanguine au cours d'une

hémorragie digestive haute aiguë ?

a. Hématocrite

b. Soif et pâleur

c. Baisse de la pression artérielle.

d. Nombre d'unités de sang transfusés pour le maintien

hémodynamique.

e. Le volume de sang aspiré par la sonde naso gastrique.

37. Le diagnostic biologique de l'acidocétose diabétique

comporte :

a. glycémie à 3 g /l, une albuminurie, une créatininémie

élevée, et une glycosurie positive.

b. glycémie élevée, pH sanguin normal, réserves

alcalines normales, et cétonurie (traces).

c. hyperglycémie à 7 g/l, osmolarité élevée, pH sanguin

normal.

d. hyperglycémie, cétonurie positive, pH sanguin abaissé,

les bicarbonates abaissés.

e. hyperglycémie, pH sanguin et réserves alcalines

normaux, hyper natrémie.

38. Tous ces médicaments potentialisent l'hypoglycémie

sous sulfamides hypoglycémiants chez le diabétique de

type 2 :

a. la cortisone, les diurétiques, Aspirine à fortes doses,

Inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), Bactrim.

b. Bactrim, diurétiques, aspirine à fortes doses,

inhibiteurs calciques, Aspirine à fortes doses.

c. Neuroleptiques, aspirine à fortes doses, Bactrim,

antitussifs.

d. Aspirine à fortes doses, dextropropoxyphène, IEC,

Bactrim.

e. Aspirine, Bactrim, Carbimazole, Hydrocortisone.

39. Les hypoglycémies surviennent :

a. Uniquement sous insuline.

b. Uniquement sous insuline et sulfamides

hypoglycémiants.

c. Uniquement chez les diabétiques.

d. Uniquement après effort physique, ou une situation de

stress.

e. Chez les diabétiques et chez les non diabétiques.

40. L'insuffisance surrénalienne aiguë :

a. Le facteur déclenchant peut - être une simple angine

ou une fibroscopie digestive.

b. Les laxatifs et les diurétiques ne constituent aucun

danger chez l'insuffisant surrénalien.

c. Le traitement comprend un remplissage vasculaire et

des chélateurs de potassium à cause de l'hyperkaliémie.

d. Le traitement est à débuter dès que la confirmation

biologique est obtenue.

e. Ne survient jamais dans l'insuffisance surrénalienne

d'origine centrale.

1. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles par

le méthanol ?

a. Atropine.

b. Alcool.

c. Calcium.

d. Gluconate de calcium.

e. Glucagon.

2. Quel est l’antidote d’une intoxication par

paracétamol ?

a. Gluconate de calcium

b. Naloxone

c. N - acétylcystéine

d. Vitamine C

e. Bedelix

3. Quel est l’antidote d’une intoxication volontaire par

les insecticides ?

a. Flumazénil.

b. Bleu de Méthylène.

c. Atropine.

d. Naloxone.

e. Vitamine B6.

4. Quel est l’antidote des intoxications accidentelles par

les raticides ou anti vitamines K ?

a. Atropine

b. Alcool éthylique

c. La vitamine K1

d. Le Gluconate de calcium.

e. Valium.

S 1 07 – 06 – 2015

Page 66: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

66

5. Quel est l’antidote d'une intoxication volontaire par

les Benzodiazépines ?

a. Flumazenil.

d. Naloxone.

b. Vitamine K1.

e. Vitamine B6.

c. N - acétylcystéine.

6. On citera parmi les critères de gravité d'une brûlure :

(la ou les réponses fausses)

a. Surface cutanée brûlée > 10 %.

b. Brûlure intéressant la face antérieure du tronc.

c. Âge inférieur à 5 ans.

d. Brûlure du 2° degré superficiel quel que soit son siège

ou son étendue.

e. Toutes les réponses sont justes.

7. Après une piqûre d’hyménoptères au niveau d'un

membre, les principaux gestes à faire sont : la ou les RF

a. Désinfection de la plaie

b. Mise en place d'un bandage serré autour du membre.

c. Administration systématique d'une sérothérapie

antitétanique et antivenimeuse.

d. Instauration d'un traitement antalgique.

e. Toutes les réponses sont justes.

8. Après extraction d’un noyé de l’eau, celui-ci est agité

et présente une gêne respiratoire avec encombrement

bronchique. Votre conduite thérapeutique sera : (la ou

les réponses fausses).

a. Vidange gastrique.

b. Position latérale de sécurité.

c. Oxygénothérapie nasale.

d. Administration de diurétiques IV.

e. Toutes les réponses sont justes.

9. Geste(s) à ne pas faire après extraction de l’eau d’un

sujet jeune, conscient avec des râles ronflants aux 2

champs pulmonaires ? (la ou les réponses fausses)

a. Perfusion systématique de sérum bicarbonaté pour

traiter l'acidose.

b. Oxygénothérapie au masque.

c. Vidange gastrique et position latérale de sécurité.

d. Administration de diurétiques pour éviter la survenue

d'un œdème lésionnel.

e. Prescription d'une antibiothérapie.

10. Parmi les mécanismes de la noyade lors d'une chute

accidentelle dans l’eau :

a. Entrée immédiate de l'eau dans l'arbre trachéo -

bronchique.

b. Tachyarythmie par privation en O2.

c. Acidose métabolique par vasoconstriction périphérique.

d. Œdème pulmonaire par incompétence myocardique.

e. Toutes les réponses sont justes.

11. Suite à une piqûre d’hyménoptère, une patiente

sans antécédents pathologiques particuliers présente, à

son arrivée aux urgences, des manifestations cliniques

stade III :

a. Œdème important qui va s’étendre de l'articulation sus

à l'articulation sous - jacente par rapport à la piqûre.

b. Bronchospasme avec râles ronflants diffus aux deux

champs pulmonaires.

c. Urticaire généralisé, anxiété, agitation.

d. Apparition concomitante d'un œdème de Quincke et

d'un œdème bronchique.

e. Gingivorragies, épistaxis et hémorragies digestives.

12. Devant une douleur thoracique spontanée, quels

diagnostics doivent être évoqués en premier ?

a. Syndromes coronariens aigus

b. Embolie pulmonaire

c. Pneumothorax

d. Péricardite aiguë

e. Dissection aortique.

13. Les caractéristiques de la douleur thoracique au

cours d’une péricardite aiguë sont les suivants :

a. Siège rétro sternal.

b. Intensité variable avec les mouvements respiratoires et

la position.

c. Présence systématique d'un frottement péricardique.

d. Il existe une dyspnée soulagée par la position assise.

e. Elle s'accompagne de trouble diffus de la

repolarisation avec image en miroir.

14. Une anémie normocytaire arégénérative se

rencontre dans la circonstance suivante :

a. Au cours d’une carence martiale non traitée.

b. Quelques jours après une hématémèse.

c. Au cours d'une insuffisance rénale chronique.

d. Dans les jours qui suivent une hémolyse.

e. Au cours d'une maladie Biermer non traitée.

Page 67: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

67

15. Parmi les situations suivantes une seule nécessite la

prescription de la vitamine B12. Laquelle ?

a. Gastrectomie totale.

b. Anémie réfractaire (myélo dysplasie).

c. Anémie de la grossesse.

d. Anémie mégaloblastique médicamenteuse.

e. Hyper érythropoïèse par hémolyse aiguë.

16. L'anémie hémolytique congénitale, qui

s'accompagne d’une microcytose des hématies (VGM

inférieur à 80 fl) est :

a. La thalassémie.

b. La maladie de Minkowski Chauffard

c. Le déficit en G6PD

d. La drépanocytose

e. Le déficit en pyruvate kinase.

17. Les pathologies suivantes sont à l’origine d’anémie

macrocytaire sauf une, laquelle ?

a. Déficits en folates.

b. Myélo dysplasie (anémie réfractaire).

c. Saturnisme.

d. Ethylisme chronique.

e. Maladie de Biermer.

18. Une femme de 25 ans consulte pour une pâleur,

l’hémoglobine retrouve une anémie modérée à 9 g /dl

microcytaire. Quel est l’examen de première intention

que vous demandez ?

a. Demander une fibroscopie gastrique.

d. Demander une coloscopie.

b. Paire un myélogramme.

e. Demander un dosage de la ferritinémie.

c. Demander un dosage de la vitamine B12.

19. Une mauvaise tolérance une transfusion peut se

traduire par :

a. Une hyperthermie

b. Des douleurs thoraciques

c. Une hémorragie

d. Un collapsus

e. Sueurs.

20. Quel(s) est (sont) le(les) facteur(s) de l’hémostase à

faire doser en présence d’un allongement du temps de

céphaline Kaolin ?

a. Facteur IX.

b. Facteur VIII.

c. Facteur XI.

d. Facteur VII.

e. Facteur X.

21. Parmi les facteurs plasmatiques de coagulation

suivants, quel est celui le déficit isolé majeur

s’accompagne d’un allongement important du temps de

céphaline avec activateur alors que le temps de Quick

reste normal ?

a. Prothrombine (II)

b. Pro accélérine (V)

c. Pro convertine (VII)

d. Facteur anti hémophilique B (IX)

e. Facteur de Stuart (X).

22. Le premier mécanisme à évoquer en présence d’une

anémie microcytaire arégénérative avec fer sérique bas

et ferritinémie plasmatique normale est :

a. En Vitamine B12.

b. Une carence martiale.

c. Une inflammation, un déficit.

d. Une carence en vitamine B6.

e. Une hémoglobinopathie.

23. Un des cinq facteurs suivants de coagulation n'est

pas vitamino K dépendant. Lequel ?

a. Prothrombine (II)

b. Pro convertine (VII)

c. Pro accélérine (V)

d. Globuline anti hémophilique B (IX)

e. Facteur Stuart (X).

24. Parmi les phénotypes suivants, quel(s), est (sont)

celui (ceux) que peuvent présenter les enfants issus

d’un père AB Rh positif et d’une mère O Rh négatif ?

a. Rh positif

b. Rh positif

c. Rh positif

d. Rh négatif

e. Rh négatif.

25. Les pancréatites aiguës biliaires sont un syndrome

abdominal aigu dont le diagnostic peut être posé :

a. Cliniquement.

b. Cliniquement avec une lipasémie élevée.

c. Cliniquement avec une lipasémie normale.

Page 68: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

68

d. Cliniquement avec un abdomen sans préparation

debout.

e. Uniquement sur les données de l’échographie.

26. Le scanner en urgence est indiqué : citez - la ou les

réponses justes.

a. Systématiquement à l'admission.

b. Dans les 48 heures en parallèle avec les scores

biologiques.

c. Dans les 72 h.

d. A l’admission en cas de doute diagnostic.

e. Pour faire le diagnostic étiologique.

27. Parmi les lésions suivantes, cochez celles qui sont

primaires :

a. Lésions axonales diffuses

b. OEdème cérébrale

c. Contusions hémorragique

d. Hématome extra durale

e. Ischémie cérébrale.

28. Agressions cérébrales secondaires d'origine

systémique :

a. Hypotension artérielle.

b. Hypercapnie.

c. Hyperglycémie.

d. Hypoxie

e. Hypothermie.

29. Ouverture des yeux à la douleur ; réponse verbale

confuse, réaction motrice localisatrice : RF

a. 12 sur échelle de Glasgow

b. Traumatisme crânien bénin

c. Nécessite une hospitalisation en réanimation

d. Scanner cérébrales est systématique

e. Nécessite une sédation ventilation.

30. Dans la classification de Master le groupe à risque

faible comporte :

a. Perte de connaissance

b. Hématome du scalp

c. Convulsion

d. Céphalée

e. Lésion sévère de la face.

31. L’électrisation : (cochez les réponses fausses)

a. Le circuit alternatif plus dangereux que le continu.

b. Si le temps de contact est court on aura réaction

d'agrippement au conducteur.

c. Les ampères brûlent.

d. Dans la brûlure électrothermique le courant ne

traverse pas le corps humain.

e. L'arrêt circulatoire survient le plus souvent par

fibrillation auriculaire.

32. Une intensité du courant inférieur à 20 mA peut

provoquer : RF

a. Une inhibition des structures nerveuse.

b. Réaction d'agrippement.

c. Tétanisation du diaphragme.

d. Contractions musculaire ne cédant pas à la rupture du

courant

e. Fibrillation auriculaire.

33. Le choc hypovolémique dans l’électrisation est du :

RF

a. Constitution d'un 3ème

secteur.

b. Lésions vasculaire.

c. Section médullaire basse.

d. Contusion myocardique par onde de choc.

e. Thrombose des artères coronaires.

34. Les séquelles d’une électrisation :

a. Surdité

b. Insuffisance cardiaque

c. Mort

d. Insomnie

e. Décollement rétinien.

35. Les circonstances suivantes peuvent être à l’origine

d’une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle par

défaut de perfusion rénale :

a. existence d'un 3ème

secteur.

b. insuffisance cardiaque congestive.

c. perte de l'autorégulation de la filtration glomérulaire

d'origine médicamenteuse.

d. Obstacle sur les voies urinaires.

e. Vascularite.

Page 69: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

69

36. Citez - la ou les étiologie(s) possible (s) d'un diabète

insipide néphrogénique :

a. Craniopharyngiome

b. Hypocalcémie

c. Hypokaliémie

d. Méningo- encéphalite

e. Néphropathie chronique

37. Un patient présente une natrémie à 113 mmol /l une

créatininémie à 11 mg /l et une TA 98 / 54 mmHg

quelques jours après l’augmentation de son Lasilix de

40 à 80 mg /J. Il présente :

a. Déshydratation intra cellulaire

b. Hyperhydratation intra cellulaire

c. Hypovolémie

d. Hyponatrémie de dilution

e. Une poussée d'insuffisance rénale aiguë.

38. Déshydratation intra cellulaire :

a. Est évoqué devant une hyper protidémie.

b. Est associée à une hyper natrémie.

c. Est une conséquence fréquente de l’utilisation des

diurétiques de l'anse.

d. Peut être associé à une déshydratation extra cellulaire.

e. Doit être préférentiellement traitée par une perfusion

hypotonique.

39. En cas d’hémopéritoine traumatique par rupture de

rate, on observe habituellement :

a. Etat de choc hypovolémique.

b. Epanchement à l’échographie abdominale.

c. Une fièvre.

d. Matité des flancs.

e. Douleur au toucher rectal.

40. Chez un polytraumatisé, lors de la PLP, on décide

une laparotomie immédiate si la ponction ramène :

a. Liquide rosé

b. Liquide hémorragique

c. Sang pur

d. Liquide claire

e. Liquide bilieux.

41. En situation d'urgence l'examen initial et la mise

en condition simultanée d’un polytraumatisé nécessitent

une approche méthodique et hiérarchisée des fonctions

vitales et fonctionnelles suivantes de l'organisme :

a. Voies aériennes supérieures

b. Système ventilatoire

c. Système cardio circulatoire

d. Appareil locomoteur

e. Système neurologique.

42. En situation d’urgence, l'état de choc

hypovolémique chez un polytraumatisé adulte peut

résulter des causes suivantes :

a. Hémothorax

b. Hémopéritoine

c. Scalp important

d. Fractures du fémur

e. Hémorragies externes.

43. L’abdomen aigu peut avoir comme étiologies :

a. Péritonite par perforation d’ulcère.

b. Occlusion intestinale aiguë.

c. Pancréatite aiguë.

d. Infarctus du myocarde clans sa forme abdominale.

e. Grossesse extra - utérine.

Un homme de 50 ans, éthylo - tabagique, hospitalisé pour

une pneumonie franche lobaire aiguë, traitée par de

l’augmentin en IV lente, fait un malaise 2 à 3 min après

la 1ère

injection, son pouls est faible à 130 bats /min, la

TA à 60 mmHg, apparaît un œdème péri - orbitaire et un

Rash urticarien à la face antérieure du thorax.

44. À quel diagnostic pensez-vous ?

a. Un choc septique.

b. Un choc anaphylactique.

c. Un collapsus.

d. Un Choc cardiogénique.

e. Aucune de ces réponses n'est correcte.

45. Les arguments en faveur de ce diagnostic sont :

(cocher la ou les réponses fausses)

a. Le passé éthylo tabagique.

b. La rapidité de la chute de la P.A.

c. L'histamino libération marquée par l'œdème

périorbitaire et le rash urticarien.

d. L'injection d'ATB par voie intraveineuse.

e. Toutes ces réponses sont correctes.

Page 70: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

70

46. Le traitement repose sur : la ou les RF

a. Le remplissage vasculaire.

b. L'arrêt de l'Antibiotique.

c. L'administration d'Adrénaline en 1ère

intention.

d. La prescription d'un macrolide comme alternative

thérapeutique.

e. Toutes ces réponses sont fausses.

47. Dans le choc hypovolémique, on peut retrouver :

(cochez la ou les réponses fausses)

a. Une hypotension artérielle

b. Une bradycardie

c. Une PVC basse

d. Une diminution des pressions de remplissage

e. Une diminution des résistances vasculaires

systémiques.

48. L’état de choc hypovolémique : la ou les RF

a. Peut - être dû à un choc traumatique

b. Peut - être dû à une perte plasmatique

c. On y retrouve une tachycardie avec polypnée

d. Le remplissage est indiqué si la PVC est > 10 mmHg

e. Le traitement médicamenteux de référence est la

Dobutamine à 5 μg /kg /min

49. Parmi les conséquences métaboliques d’un choc, on

peut retrouver : (cocher la ou les réponses fausses)

a. Une acidose métabolique avec hyper lactatémie.

b. Un risque d'insuffisance surrénalienne latente.

c. Une absence d'anomalies de la glycémie.

d. Une insuffisance rénale aiguë avec oligurie.

e. Un catabolisme azoté important.

50. Une tomodensitométrie cérébrale est demandée en

Urgence dans : (cochez la ou les réponses fausses)

a. Les comas métaboliques.

b. Les comas fébriles.

c. Les comas toxiques.

d. Les comas traumatiques.

e. Les comas vasculaires.

1. Quel est l'antidote d'une intoxication exclusive par

benzodiazépines ?

a. Le flumazénil.

b. La naloxone.

c. Le N - acétylcystéine.

d. La vitamine K.

e. La vitamine B6.

2. Quel est l’antidote d'une intoxication par

paracétamol ?

a. Gluconate de calcium

b. La naloxone

c. N - acétylcystéine

d. La vitamine C

e. Bedelix

3. La sensibilité des différents tissus à l'ischémie aiguë

des membres est variable :

a. Les nerfs sont les plus vulnérables.

b. L'atteinte cutanée est précoce.

c. L’atteinte cutanée est tardive.

d. En premier apparaît la souffrance musculaire.

e. Toutes les réponses sont fausses.

4. La survenue d'une ischémie aiguë d'un membre

nécessité :

a. Une circulation collatérale insuffisante pour

compenser l'oblitération artérielle.

b. Une oblitération artérielle.

c. Une fibrinolyse.

d. Une thrombose veineuse profonde.

e. Une oblitération artérielle associée à une thrombose

veineuse profonde.

5. On peut définir l'urgence hypertensive par :

a. une élévation transitoire de la pression artérielle sans

souffrance viscérale aiguë.

b. une élévation des chiffres tensionnels accompagnée

d’une souffrance viscérale grave et aiguë.

c. une association des chiffres tensionnels élevées et

d'une rétinopathie stade III ou IV.

d. toutes les réponses sont fausses

e. toutes les réponses sont justes.

13 / 14 26 – 11 – 2013

Page 71: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

71

6. En cas de poussée HTA :

a. l'hospitalisation dans une unité de soins intensifs est

impérative.

b. le repos et le contrôle des facteurs favorisants

entraînent le plus souvent le retour à des valeurs

tensionnelles normales.

c. Le repos est suffisant.

d. la persistance de fortes valeurs tensorielles PAS

supérieur à 210 mmHg et ou PAD supérieur 120 mmHg

malgré le repos et le contrôles des facteurs favorisants

nécessite ta mise en route du traitement anti HTA le

même jour.

e. le traitement en urgence s'impose.

7. La chaîne de survie est composée de :

a. Alerte - MCE+BR + CEE - réanimation CP

spécialisée.

b. Alerte - CEE

c. CEE - réanimation CP spécialisée

d. Alerte - réa CP de base ou MCE + BAB

e. Alerte - réanimation CP spécialisée.

8. Le vasoconstricteur de choix en cas d'arrêt cardiaque

est représenté par :

a. L’adrénaline

b. L'éphédrine

c. La xylocaïne

d. La cordarone

e. La dobutamine.

9. L'hypo perfusion tissulaire peut être reconnue grâce

au signes suivants :

a. une confusion mentale

b. les extrémités froides et cyanosées

c. une oligo anurie

d. des marbrures cutanées au niveau des genoux

e. une acidose lactique.

10. Dans le traitement des états de choc :

a. Le remplissage vasculaire est le traitement de choix en

toute circonstance.

b. La dobutamine.

c. La noradrénaline est le traitement de première

intention dans le choc septique.

d. Le remplissage vasculaire est systématiquement réalisé

avec le plasma.

e. Aucune proposition n'est juste.

11. La pression veineuse centrale : la ou les RF

a. La pression qui règne dans l'oreillette droite.

b. Appelée pression de remplissage du VD.

c. Elle permet l'analyse d'un état de choc et la

surveillance du traitement.

d. Avec des valeurs sup à 13 cm d'H20, elle évoque le

diagnostic de choc hypovolémique.

e. Peut rester normale dans les états de choc

cardiogénique impliquant seulement le VG.

12. Parmi les causes métaboliques du coma, il y'a : (la

ou les réponses fausses)

a. le coma hypoglycémique.

d. le coma hyper osmolaire

b. l'intoxication aux organophosphorés.

e. le coma urémique.

c. l'hypoxie cérébrale

13. Parmi les urgences thérapeutiques à rechercher

systématiquement lors d'un coma : la ou les RF

a. hyperglycémie

b. l'hématome sous dural

c. la méningo - encéphalite

d. l’hématome extra dural

e. l'hypoglycémie.

14. Le coma urémique est : (la ou les réponses fausses)

a. est le coma de l’insuffisance

b. est d'apparition brutale

c. entraîne souvent une surcharge hydro-sodée

d. peut entraîner un trouble du rythme avec

hyperkaliémie

e. nécessite souvent une épuration extra rénale.

15. Parmi les signes biologiques retrouvés lors d'un

choc septique, on peut retrouver : (la ou les réponses

fausses)

a. une hyperleucocytose avec polynucléose

b. une acidose respiratoire

c. une hyper lactacidémie

d. une insuffisance rénale aiguë fonctionnelle puis

organique

e. une CIVD.

Page 72: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

72

16. Chez un patient victime d'une brûlure électrique, le

risque essentiel est :

a. l’hémoconcentration avec risque d'insuffisance rénale

b. les troubles du rythme cardiaque et l'ischémie

myocardique

c. la rhabdomyolyse

d. l'atteinte respiratoire avec formation rapide d'un

oedème bronchique

e. toutes les réponses sont justes.

17. Parmis les modifications physiologiques

secondaires à une brulure grave :

a. une fuite plasmatique importante et constante les 48

premières heures.

b. une hémoconcentration par fuite d'eau et d'électrolytes.

c. une hypothermie avec diminution du catabolisme.

d. une acidose métabolique par libération produits acides

à partir des zones brûlées.

e. toutes les réponses sont justes.

18. Une morsure de serpent est dite grave quand : (la

ou les réponses fausses)

a. elle a lieu au niveau des muqueuses

b. elle concerne un enfant ou un sujet âgé

c. la sérothérapie est indiquée tardivement

d. il y a survenue de vomissements, diarrhées et

hypotension artérielle

e. un syndrome hémorragique apparaît.

19. Après extraction d'un noyé de l'eau (eau de rocher),

on note une petite agitation, ainsi qu'une gêne

respiratoire avec encombrement bronchique, votre

conduite thérapeutique :

a. Assurer une hémostase correcte à l'aide d'un masque à

oxygène.

b. Poser une perfusion.

c. Faire une radiographie pulmonaire.

d. Sédater le patient au moyen de barbiturique ou de

benzodiazépine.

e. Traiter l'œdème pulmonaire par administration de

diurétique.

20. Le bilan d'hémostase réalisé chez un enfant de 6

ans souffrant d'une hémorragie post circoncision est le

suivant : plaquettes 300.000 /mm³, TCK (malade 86 sec

/témoin 40 sec), TQ (malade 13 sec /témoin 12 sec),

temps de saignement (Ivy) sup à 20 min

Quel diagnostic vous évoquer ?

a. Hémophilie A

b. Déficit en facteur XII

c. Maladie de Willebrand

d. Hémophilie B

e. Thrombopathie de Glanzmann.

21. Le diagnostic biologique d'une anémie ferriprive

nécessite tous ces tests, sauf un :

a. Hémogramme

b. Taux de réticulocytes

c. FSP

d. Ferritinémie

e. Médullogramme.

22. Le Temps de Quick (TQ) est allongé au cours des

circonstances suivantes, sauf une :

a. afibrinogénémie congénitale

b. déficit en pro convertine

c. maladie de Willebrand

d. déficit sévère en facteur Stuart

e. traitement par les AVK.

23. L'anémie mégaloblastique carentielle est

caractérisée par les signes biologiques suivants : (RF)

a. VGM sup à 100 femtolitres

b. déficit en facteurs antipernicieux

c. taux de réticulocytes sup à 20000/mm 3

d. polynucléaires neutrophiles hypersegmentés

e. hyperplasie de la lignée érythroblastique

24. L'anémie de type microcytaire hypochrome se

rencontre dans les pathologies suivantes, sauf une

laquelle ?

a. Syndrome inflammatoires

b. Carence en fer

c. Bêta thalassémie majeure

d. Anémie sidéroblastique

e. Carence en facteurs antipernicieux

25. Devant un purpura thrombopénique confirmé, quel

est l'examen à pratiquer ?

a. Temps de saignement

b. Frottis de sang périphérique

c. Mèdullogramme

d. Bilan de coagulation

e. Sérologie virale.

Page 73: Faculté de médecine - Sidi Bel Abbès

73

26. Le motif de consultation principal en proctologie :

a. nausées et vomissements

b. douleurs épigastriques

c. rectorragies associées à une douleur anale

d. toutes ces propositions sont fausses.

27. Vous recevez pendants votre garde un patients de

sexe masculin âgé de 45 ans victime d’un accident de

circulation depuis une demi - heure, sa tension

artérielle est très perturbée à son arrivé au service des

UMC mais elle se normalise après une prise en charge

médicale de réanimation, il présente sur le plan

radiologique une disjonction pubienne avec fractures

des deux arcs postérieurs de la 3ème

et 4ème

côté sans

signe d'épanchement pleural, vous devez :

a. admettre d'urgence au bloc opératoire pour une

laparotomie exploratrice après lui avoir mis en place un

sondage vésicale.

b. compléter son bilan para clinique pour établir un bilan

lésionnel précis et complet, et surtout ne pas mettre de

sondage vésical sans l'avis du médecin urologue.

c. lui prescrire un traitement médical et le faire sortir.

d. toutes ces propositions sont fausses.

28. Dans la méningo - encéphalite tuberculeuse :

a. le LCR est trouble.

b. le LCR est clair.

c. le LCR est hypoglycorachique.

d. le LCR est hypoglycorachique.

e. toutes les réponses sont fausses.

29. Dans les prescriptions des ATB on doit tenir compte

de :

a. la bactérie

b. la demi - vie de l'ATB

c. le terrain

d. le site de l'infection

e. toutes les réponses sont justes

30. La douleur abdominale aiguë a des caractéristiques

spécifiques, une seule est fausse, laquelle ?

a. l'évolution de cette douleur est dans les 7 jours.

b. l'interrogatoire encadre vers tous ces caractéristiques.

c. sa topographie oriente vers la zone de souffrance

organique.

d. il faut toujours séduit avant d'examiner le patient.

e. elle peut être spontanée ou provoquée.