etude des incidences sur la qualite des eaux...

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SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATION ET DE GESTION DU TRICASTIN ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES ET DE LA DECHARGE CONTROLEE RAPPORT PRÉLIMINAIRE BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL Service géologique régional RHONE-ALPES Rapport du B.R.G.M. 81 SGN 465 RHA JUILLET 1981 j..: :,:i:,:-..- .->:• ly,:.,

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SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATIONET DE GESTION DU TRICASTIN

ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES

DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES

ET DE LA DECHARGE CONTROLEE

RAPPORT PRÉLIMINAIRE

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

Service géologique régional RHONE-ALPES

Rapport du B . R . G . M .

81 SGN 465 RHA JUILLET 1981

j..: :,:i:,:-..- . - > : • ly,:.,

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SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ÉTUDE. DE RÉALISATIONET DE GESTION DU TRICASTIN

SAINT- PAUL TROIS CHATEAUX (26)

B.P. 36 - 84500 BOLLENE ANNEXE 1

Téléphone: (90)30.97.49

ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES

DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES

ET DE LA DECHARGE CONTROLEE

RAPPORT PRÉLIMINAIRE

par

A. GRAILLAT

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX - Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.

Service géologique régional RHONE -ALPES

B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX - Tél. (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.

Rapport du B.R.G.M,

81 SGN 465 RHA JUILLET 1981

SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ÉTUDE. DE RÉALISATIONET DE GESTION DU TRICASTIN

SAINT- PAUL TROIS CHATEAUX (26)

B.P. 36 - 84500 BOLLENE ANNEXE 1

Téléphone: (90)30.97.49

ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES

DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES

ET DE LA DECHARGE CONTROLEE

RAPPORT PRÉLIMINAIRE

par

A. GRAILLAT

BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES

SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL

B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX - Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.

Service géologique régional RHONE -ALPES

B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX - Tél. (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.

Rapport du B.R.G.M,

81 SGN 465 RHA JUILLET 1981

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ETUDE DES INCIDBCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES

DE LA STATION DE TRAITE-BIT D'ORDURES feiAGERES ET DE LA

DECHARGE COriTROEE

- RAPPORT PRÉLIMINAIRE -Par A. GRAILLAT

81 SGN ¿165 RHA

RÉSUMÉ

Ce travail a été exécuté par le B.R.G.M. SGR/RHONE-ALPES pour le compte du Syndi¬

cat Intercommunal d'Etude, de Réalisation et de Gestion du Tricastin qui gëre sur

la commune de SAINT PAUL TROIS CHATEAUX une station de traitement d'ordures ménagères

et une décharge contrôlée.

Le présent rapport rend compte des résultats acquis au terme d'une première phase

d'étude qui a pour objet d'appréhender les incidences des deux installations ci-dessus

mentionnées, sur la qualité des eaux phréatiques.

Bien que l'on dispose de trës peu de données sur les caractéristiques chimiques

de l'eau, la pollution constatée dans de nombreux puits, "semble être exclusivement

bactérienne. Cette pollution a pour origine, soit l'environnement immédiat du puits,

soit des conditions de prélèvements non satisfaisantes.

Seules des investigations complémentaires supposant notamment la mise en place

de deux piézomètres supplémentaires, permettront d'apprécier la nocivité des deux

installations vis à vis des eaux phréatiques.

Interlocuteur du SIERGT Monsieur le Président C. DUVAL

Ingénieur responsable de 1 ' étude A. GRAILLAT

Dessinateur C. DIALLO

Secrétaire G. BARROUE

Ce rapport contient : 20 pages de texte, 3 figures, 2 annexes.

ETUDE DES INCIDBCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES

DE LA STATION DE TRAITE-BIT D'ORDURES feiAGERES ET DE LA

DECHARGE COriTROEE

- RAPPORT PRÉLIMINAIRE -Par A. GRAILLAT

81 SGN ¿165 RHA

RÉSUMÉ

Ce travail a été exécuté par le B.R.G.M. SGR/RHONE-ALPES pour le compte du Syndi¬

cat Intercommunal d'Etude, de Réalisation et de Gestion du Tricastin qui gëre sur

la commune de SAINT PAUL TROIS CHATEAUX une station de traitement d'ordures ménagères

et une décharge contrôlée.

Le présent rapport rend compte des résultats acquis au terme d'une première phase

d'étude qui a pour objet d'appréhender les incidences des deux installations ci-dessus

mentionnées, sur la qualité des eaux phréatiques.

Bien que l'on dispose de trës peu de données sur les caractéristiques chimiques

de l'eau, la pollution constatée dans de nombreux puits, "semble être exclusivement

bactérienne. Cette pollution a pour origine, soit l'environnement immédiat du puits,

soit des conditions de prélèvements non satisfaisantes.

Seules des investigations complémentaires supposant notamment la mise en place

de deux piézomètres supplémentaires, permettront d'apprécier la nocivité des deux

installations vis à vis des eaux phréatiques.

Interlocuteur du SIERGT Monsieur le Président C. DUVAL

Ingénieur responsable de 1 ' étude A. GRAILLAT

Dessinateur C. DIALLO

Secrétaire G. BARROUE

Ce rapport contient : 20 pages de texte, 3 figures, 2 annexes.

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- 1 -

TABLE DES MATIERES

Pages

1 - INTRODUCTigN^-^PROBLEME^POSE 3

11 - MODALITES ADMINISTRATIVES 3

12 - PROBLEME POSE 3

21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL 4

22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL 6

23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES 7

231 - Domaine alluvial de la basse terrasse 7

232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse 7

233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée 8

234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination 9

éventuelle de la nappe

3 - LA^STOM^ET^LA^DECHARGE^CONTROLEE 10

31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT 10

311 - La STOM ' 10

312 - La décharge contrôlée 11

32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU 12

SOUTERRAINES

321 - La STOM- 12

322 - La décharge contrôlée 13

4 - Lli^POINTS^D^EAU^EXISTANTS 13

41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES 13

- 1 -

TABLE DES MATIERES

Pages

1 - INTRODUCTigN^-^PROBLEME^POSE 3

11 - MODALITES ADMINISTRATIVES 3

12 - PROBLEME POSE 3

21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL 4

22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL 6

23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES 7

231 - Domaine alluvial de la basse terrasse 7

232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse 7

233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée 8

234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination 9

éventuelle de la nappe

3 - LA^STOM^ET^LA^DECHARGE^CONTROLEE 10

31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT 10

311 - La STOM ' 10

312 - La décharge contrôlée 11

32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU 12

SOUTERRAINES

321 - La STOM- 12

322 - La décharge contrôlée 13

4 - Lli^POINTS^D^EAU^EXISTANTS 13

41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES 13

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- 2 -

Pages

411 - Préliminaires

412 - Les résultats

15

15

5 - LA PIEZOMETRIE DE LA NAPPE DANS LE SECTEUR ETUDIE 16

6 - LA_QyALITE_DES_EAUX_i_ÇHIMIE_ET^BAÇTERIOLOGIE 17

61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES

62 - LES RESULTATS OBTENUS

63 - INTERPRETATION

17

19

20

7 - CONCLUSIONS 22

LISTE DES FIGURES

Fig. 21 - Les conditions géologiques du secteur étudié. 5

Fig. 4 - Les points d'eau existants - piézométrie de la nappe phréatique 14

établie en juillet 1969.

Fig. 6 - La qualité bactériologique des eaux prélevées dans les puits et 18

piézomètres du secteur étudié.

Points de prélèvements avec indications de la potabilité des

échantillons prélevés.

LISTE DES ANNEXES

Annexe 1 - Fiches signalétiques des points d'eau inventoriés dans lesenvirons de la station de traitement d'ordures ménagères etde la décharge contrôlée.

Quelques résultats d'analyses d'échantillons d'eau prélevésdans certains puits ou piézomètres du secteur étudié.

Annexe ' 2 -

24 à 39

40 à 52

- 2 -

Pages

411 - Préliminaires

412 - Les résultats

15

15

5 - LA PIEZOMETRIE DE LA NAPPE DANS LE SECTEUR ETUDIE 16

6 - LA_QyALITE_DES_EAUX_i_ÇHIMIE_ET^BAÇTERIOLOGIE 17

61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES

62 - LES RESULTATS OBTENUS

63 - INTERPRETATION

17

19

20

7 - CONCLUSIONS 22

LISTE DES FIGURES

Fig. 21 - Les conditions géologiques du secteur étudié. 5

Fig. 4 - Les points d'eau existants - piézométrie de la nappe phréatique 14

établie en juillet 1969.

Fig. 6 - La qualité bactériologique des eaux prélevées dans les puits et 18

piézomètres du secteur étudié.

Points de prélèvements avec indications de la potabilité des

échantillons prélevés.

LISTE DES ANNEXES

Annexe 1 - Fiches signalétiques des points d'eau inventoriés dans lesenvirons de la station de traitement d'ordures ménagères etde la décharge contrôlée.

Quelques résultats d'analyses d'échantillons d'eau prélevésdans certains puits ou piézomètres du secteur étudié.

Annexe ' 2 -

24 à 39

40 à 52

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- 3 -

1 - INTRODUCTION^-^PROBLEME^POSE

1 1 - MODALITES ADMINISTRATIVES

Le SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATION ET DE GESTION DU TRI¬

CASTIN (SIERGT) gère, sur la commune de ST PAUL TROIS CHATEAUX, au quartier "le ,

Bois Mahon" :

- une station de traitement des ordures ménagères (STOM) sur les parcelles

de terrain cadastrées sous les numéros : 140 à 144 et 137 de la section

A.B.

- une décharge contrôlée sur les parcelles de terrain cadastrées sous les

numéros : 136, 130 a et b et 44 de la section A.B.

La STOM, autorisée par l'arrêté préfectoral n° 6904 en date du 3/11/1975

fonctionne depuis juin 1976. La gestion de l'usine était alors assurée par le

DISTRICT DU TRICASTIN, jusqu'à la création du Syndicat qui s'est substitué à lui

en janvier 1981 .

La décharge contrôlée a été autorisée par l'arrêté préfectoral n' 3701

en date du 19 juin 1979.

12 - PROBLEME POSE

Suite à différentes analyses d'eaux du ruisseau des Echaravelles et de

la nappe phréatique constatant une nette pollution bactérienne, et considérant

le souhait exprimé par Monsieur le Préfet de la Drôme, la DIRECTION INTERDEPARTE¬

MENTALE DE L'INDUSTRIE (D.I.I.) Subdivision de Valence, a demandé au Syndicat

que soit effectué une étude géologique des sols afin de déterminer la nature et

les origines de la pollution constatée.

Le Syndicat s'est alors adressé au B.R.G.M, SGR/RHONE-ALPES qui lui a

proposé de procéder en deux phases :

- 3 -

1 - INTRODUCTION^-^PROBLEME^POSE

1 1 - MODALITES ADMINISTRATIVES

Le SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATION ET DE GESTION DU TRI¬

CASTIN (SIERGT) gère, sur la commune de ST PAUL TROIS CHATEAUX, au quartier "le ,

Bois Mahon" :

- une station de traitement des ordures ménagères (STOM) sur les parcelles

de terrain cadastrées sous les numéros : 140 à 144 et 137 de la section

A.B.

- une décharge contrôlée sur les parcelles de terrain cadastrées sous les

numéros : 136, 130 a et b et 44 de la section A.B.

La STOM, autorisée par l'arrêté préfectoral n° 6904 en date du 3/11/1975

fonctionne depuis juin 1976. La gestion de l'usine était alors assurée par le

DISTRICT DU TRICASTIN, jusqu'à la création du Syndicat qui s'est substitué à lui

en janvier 1981 .

La décharge contrôlée a été autorisée par l'arrêté préfectoral n' 3701

en date du 19 juin 1979.

12 - PROBLEME POSE

Suite à différentes analyses d'eaux du ruisseau des Echaravelles et de

la nappe phréatique constatant une nette pollution bactérienne, et considérant

le souhait exprimé par Monsieur le Préfet de la Drôme, la DIRECTION INTERDEPARTE¬

MENTALE DE L'INDUSTRIE (D.I.I.) Subdivision de Valence, a demandé au Syndicat

que soit effectué une étude géologique des sols afin de déterminer la nature et

les origines de la pollution constatée.

Le Syndicat s'est alors adressé au B.R.G.M, SGR/RHONE-ALPES qui lui a

proposé de procéder en deux phases :

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- 4 -

- une première phase d'étude portant essentiellement sur le recueil et

l'analyse de l'information disponible complétée par un inventaire des

points d'eau, et un examen de leur représentativité en vue d'analyses

d'échantillons.

- une deuxième phase comportant notamment des mesures sur le terrain et

des analyses d'eau sur le réseau de points choisi, éventuellement com¬

plété par des ouvrages piézométriques à mettre en place. Au terme de

cette étude, il devrait être proposé des moyens à mettre en oeuvre

pour réduire les pollutions éventuelles.

Le présent rapport élaboré au terme de la première phase, fait le point

sur les données acquises et les conclusions qui en découlent. Il permet de fixer

au mieux l'objectif à résoudre dans la phase suivante.

2 - tii,,CONDITIONS^HXD|gg|gtQGIQyES

21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL

La carte géologique de Valréas à 1/50.000 met en évidence trois domaines

bien individualisés (voir figure 21) :

, la plaine alluviale du Rhône à l'Ouest, de Donzère à Bollène, compre¬

nant d'Ouest en Est :

- les alluvions récentes jusqu'au Canal de Donzère-Mondragon.

- les alluvions de la basse terrasse (Würm) formant un placage

continu du Nord au Sud de la feuille à l'Est du Canal.

- les alluvions de la moyenne terrasse (Riss) présentes du Nord au

Sud de la feuille mais entrecoupées par les ruisseaux, affluents

du Rhône, tels que la Berre, le ruisseau de la Garde-Adhémar, des

Echaravelles, le ruisseau de St Paul-trois-Châteaux.

- enfin, les alluvions de la haute terrasse (Villafranchien) repré¬

sentées seulement par le lambeau du sommet de la colline de Saint

Restitut.

- 4 -

- une première phase d'étude portant essentiellement sur le recueil et

l'analyse de l'information disponible complétée par un inventaire des

points d'eau, et un examen de leur représentativité en vue d'analyses

d'échantillons.

- une deuxième phase comportant notamment des mesures sur le terrain et

des analyses d'eau sur le réseau de points choisi, éventuellement com¬

plété par des ouvrages piézométriques à mettre en place. Au terme de

cette étude, il devrait être proposé des moyens à mettre en oeuvre

pour réduire les pollutions éventuelles.

Le présent rapport élaboré au terme de la première phase, fait le point

sur les données acquises et les conclusions qui en découlent. Il permet de fixer

au mieux l'objectif à résoudre dans la phase suivante.

2 - tii,,CONDITIONS^HXD|gg|gtQGIQyES

21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL

La carte géologique de Valréas à 1/50.000 met en évidence trois domaines

bien individualisés (voir figure 21) :

, la plaine alluviale du Rhône à l'Ouest, de Donzère à Bollène, compre¬

nant d'Ouest en Est :

- les alluvions récentes jusqu'au Canal de Donzère-Mondragon.

- les alluvions de la basse terrasse (Würm) formant un placage

continu du Nord au Sud de la feuille à l'Est du Canal.

- les alluvions de la moyenne terrasse (Riss) présentes du Nord au

Sud de la feuille mais entrecoupées par les ruisseaux, affluents

du Rhône, tels que la Berre, le ruisseau de la Garde-Adhémar, des

Echaravelles, le ruisseau de St Paul-trois-Châteaux.

- enfin, les alluvions de la haute terrasse (Villafranchien) repré¬

sentées seulement par le lambeau du sommet de la colline de Saint

Restitut.

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- 5 - Fig.21

CONDITIONS GEOLOGIQUESDU SECTEUR ETUDIE

PLAN DE SITUATIONECHELLE 1/25 000

Alluvions recentes

Basse terrasse (Wurm) duRhône

Moyenne terrasse (Rise)du Rhône

Molasse gréseuse verdàtre

Albien (sablas marnaux )

8I5GN 465 RHA

'•#. v *

Ruísieau des Eciaravelles

^.a&E

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6 -

. l'auréole des collines crétacées, éocènes et oligocènes, qui s'abaisse

au Sud à Bollène, et s'adosse par contre dans l'angle Nord-Est aux

chaînons redressés du Diois. Ces collines ont pour assises des terrains

variés compris entre l'Urgonien et le Burgalien.

. enfin, la cuvette miocène, couvrant plus de la moitié de la feuille.

Ses couches conglomératiques terminales forment au Sud-Est le massif

de Visan, ses couches molassiques de base s'égrènent à la périphérie

sur les hauteurs des collines de la région précédente; entre elles, un

vaste placage alluvial, traversant la feuille en diagonale, recouvre

les couches meubles du Miocëne moyen.

Dans cet ensemble, la STOM et la décharge contrôlée se situent dans la

zone de transition entre le domaine central des collines et le domaine ouest des

alluvions du Rhône.

- 22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL

La STOM est en effet implantée au pied de la colline dite du "Bois Mahon"

qui est constituée d'alluvions anciennes de la moyenne terrasse du Rhône, mais

dont le soubassement est formé de terrains crétacés représentés par les marnes

de 1' Aptien surmontées par les sables marneux de l'Albien, l'ensemble formant

un substratum à structure synclinale érodée, à pendage Nord-Est.

L'ancienne carrière, visible à l'Est de l'usine, et partiellement comblée

par les refus d'ordures ménagères broyées, a été creusée dans les sables gréseux

du crétacé moyen. Le fond de la carrière est constitué de marnes apparemment très

peu perméables.

La décharge contrôlée, quant à elle, est située dans une carrière abandon¬

née, creusée dans la colline du Bois Mahon pour l'exploitation des alluvions anciennes

de la moyenne terrasse du Rhône. Le front de taille est trës caractéristique de ce

type de forraations d'origine fluviatile : lentilles de sable fin, trës homogène

dans un ensemble sablo-graveleux.

ri» Jwr - --

6 -

. l'auréole des collines crétacées, éocènes et oligocènes, qui s'abaisse

au Sud à Bollène, et s'adosse par contre dans l'angle Nord-Est aux

chaînons redressés du Diois. Ces collines ont pour assises des terrains

variés compris entre l'Urgonien et le Burgalien.

. enfin, la cuvette miocène, couvrant plus de la moitié de la feuille.

Ses couches conglomératiques terminales forment au Sud-Est le massif

de Visan, ses couches molassiques de base s'égrènent à la périphérie

sur les hauteurs des collines de la région précédente; entre elles, un

vaste placage alluvial, traversant la feuille en diagonale, recouvre

les couches meubles du Miocëne moyen.

Dans cet ensemble, la STOM et la décharge contrôlée se situent dans la

zone de transition entre le domaine central des collines et le domaine ouest des

alluvions du Rhône.

- 22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL

La STOM est en effet implantée au pied de la colline dite du "Bois Mahon"

qui est constituée d'alluvions anciennes de la moyenne terrasse du Rhône, mais

dont le soubassement est formé de terrains crétacés représentés par les marnes

de 1' Aptien surmontées par les sables marneux de l'Albien, l'ensemble formant

un substratum à structure synclinale érodée, à pendage Nord-Est.

L'ancienne carrière, visible à l'Est de l'usine, et partiellement comblée

par les refus d'ordures ménagères broyées, a été creusée dans les sables gréseux

du crétacé moyen. Le fond de la carrière est constitué de marnes apparemment très

peu perméables.

La décharge contrôlée, quant à elle, est située dans une carrière abandon¬

née, creusée dans la colline du Bois Mahon pour l'exploitation des alluvions anciennes

de la moyenne terrasse du Rhône. Le front de taille est trës caractéristique de ce

type de forraations d'origine fluviatile : lentilles de sable fin, trës homogène

dans un ensemble sablo-graveleux.

ri» Jwr - --

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-7 -

L'extraction a permis de mettre à nu, dans la partie centrale et sud

de la carrière, les terrains sablo-marneux de l'Albien qui peuvent éventuellement

constituer un substratum relativement peu perméable avec les terrains marneux

sous-jacents de l'Aptien.

23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES (voir fig, 21 et 4)

231 - Domaine alluvial de la basse terrasse

Le domaine alluvial de la basse terrasse est le siëge d'une nappe

phréatique apparemment continue, recouverte par endroit (semble-t-il, vu la ra¬

reté des coupes' géologiques disponibles), d'une couche de limons de 1 à 3 m d'é¬

paisseur. Il est limité à l'Ouest par le Canal de Donzère-Mondragon (qui se super¬

pose assez fidèlement à la frontière - alluvions récentes du Rhône - alluvions

de basse terrasse), à l'Est par les premiers reliefs de la moyenne terrasse. Sa

base est constituée par le soubassement argilo-marneux du Plaisancien.

La nappe phréatique est alimentée par les infiltrations des pré¬

cipitations atmosphériques, par les ruisseaux qui la recoupent d'Est en Ouest,

ainsi que par les apports superficiels et souterrains en provenance de la moyenne

terrasse, au pied de laquelle on peut observer des sources. Notons de même l'exis¬

tence pendant plusieurs mois de la période chaude, de 1' irrigation par immersion

à partir des eaux du Rhône amenées par un réseau de canaux.

Cette nappe, située à quelques mètres de profondeur (5 à 6 m du

sol entre la route D. 71 et le Canal, 6 à 11 m à l'Est, vers le pied de la moyenne

terrasse), s'écoule sommairement du Nord-Est au Sud-Ouest jusqu'au contre-canal où

elle est drainée. Dans le domaine de la plaine, sa pente est de l'ordre de 0,6 %,

elle s'accroît sensiblement, vers l'Est à proximité du relief.

232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse

Au droit des alluvions anciennes de moyenne terrasse, la nappe

phréatique (quand elle existe), se distingue de .l' ensemble aquifère de la basse

terrasse de par sa position dominante, et parfois même de par sa situation perchée.

-7 -

L'extraction a permis de mettre à nu, dans la partie centrale et sud

de la carrière, les terrains sablo-marneux de l'Albien qui peuvent éventuellement

constituer un substratum relativement peu perméable avec les terrains marneux

sous-jacents de l'Aptien.

23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES (voir fig, 21 et 4)

231 - Domaine alluvial de la basse terrasse

Le domaine alluvial de la basse terrasse est le siëge d'une nappe

phréatique apparemment continue, recouverte par endroit (semble-t-il, vu la ra¬

reté des coupes' géologiques disponibles), d'une couche de limons de 1 à 3 m d'é¬

paisseur. Il est limité à l'Ouest par le Canal de Donzère-Mondragon (qui se super¬

pose assez fidèlement à la frontière - alluvions récentes du Rhône - alluvions

de basse terrasse), à l'Est par les premiers reliefs de la moyenne terrasse. Sa

base est constituée par le soubassement argilo-marneux du Plaisancien.

La nappe phréatique est alimentée par les infiltrations des pré¬

cipitations atmosphériques, par les ruisseaux qui la recoupent d'Est en Ouest,

ainsi que par les apports superficiels et souterrains en provenance de la moyenne

terrasse, au pied de laquelle on peut observer des sources. Notons de même l'exis¬

tence pendant plusieurs mois de la période chaude, de 1' irrigation par immersion

à partir des eaux du Rhône amenées par un réseau de canaux.

Cette nappe, située à quelques mètres de profondeur (5 à 6 m du

sol entre la route D. 71 et le Canal, 6 à 11 m à l'Est, vers le pied de la moyenne

terrasse), s'écoule sommairement du Nord-Est au Sud-Ouest jusqu'au contre-canal où

elle est drainée. Dans le domaine de la plaine, sa pente est de l'ordre de 0,6 %,

elle s'accroît sensiblement, vers l'Est à proximité du relief.

232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse

Au droit des alluvions anciennes de moyenne terrasse, la nappe

phréatique (quand elle existe), se distingue de .l' ensemble aquifère de la basse

terrasse de par sa position dominante, et parfois même de par sa situation perchée.

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- 8 -

Elle peut donner alors naissance à des sources qui émergent en pied de terrasse,

au niveau des terrains peu perméables du Crétacé. Ce type de sources est ren¬

contré à la Dévalade, ou à la ferme Délaye au lieu-dit "Les Fréresses".

Cette nappe peut localement être drainée par les ruisseaux qui dé¬

coupent la moyenne terrasse tels que les Echaravelles. Pratiquement, elle est

très peu connue, probablement peu performante comparée à celles des alluvions de

la basse terrasse.

233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée

Rappelons que la carrière du site de la STOM a été creusée dans

les terrains du Crétacé, et que le fond est constitué de marnes sans doute trës

peu peinnéables.

Par ailleurs, un forage de recherche d'eau réalisé en 1976, au

Sud-Ouest de la STOM, à proximité immédiate du bâtiment de la réception, a été

arreté à 18 m de profondeur dans le substratum marneux, après avoir traverse 7 m

d'éboulis, 2,5 m de grës et 8,5 m de sables marneux. Ce forage, à sec, n'a pu

mettre en évidence la présence d'une nappe d'eau souterraine.' Alors que la cote

altimétrique du fond est d'environ 47 m,' les niveaux piézométriques dans les en¬

virons immédiats (Nord, Ouest ou Sud) sont de l'ordre de 52 à 53 m.

Le soubassement de la STOM, du moins dans sa partie sud et sud-est

semblerait donc constitué de terrains trës peu perméables, formant un appendice

isolé du point de vue hydraulique par rapport aux alluvions encaissantes aquifères

de la basse terrasse.

En ce qui concerne la décharge contrôlée, bien que les terrains

alluvionnaires aient été extraits jusqu'aux terrains sablo-marneux de l'Albien,

il n'y a pas eu apparition de nappe phréatique. Toutefois, celle-ci a été atteinte

dans le piézomètre mis en place à l'Ouest immédiat de la décharge.

- 8 -

Elle peut donner alors naissance à des sources qui émergent en pied de terrasse,

au niveau des terrains peu perméables du Crétacé. Ce type de sources est ren¬

contré à la Dévalade, ou à la ferme Délaye au lieu-dit "Les Fréresses".

Cette nappe peut localement être drainée par les ruisseaux qui dé¬

coupent la moyenne terrasse tels que les Echaravelles. Pratiquement, elle est

très peu connue, probablement peu performante comparée à celles des alluvions de

la basse terrasse.

233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée

Rappelons que la carrière du site de la STOM a été creusée dans

les terrains du Crétacé, et que le fond est constitué de marnes sans doute trës

peu peinnéables.

Par ailleurs, un forage de recherche d'eau réalisé en 1976, au

Sud-Ouest de la STOM, à proximité immédiate du bâtiment de la réception, a été

arreté à 18 m de profondeur dans le substratum marneux, après avoir traverse 7 m

d'éboulis, 2,5 m de grës et 8,5 m de sables marneux. Ce forage, à sec, n'a pu

mettre en évidence la présence d'une nappe d'eau souterraine.' Alors que la cote

altimétrique du fond est d'environ 47 m,' les niveaux piézométriques dans les en¬

virons immédiats (Nord, Ouest ou Sud) sont de l'ordre de 52 à 53 m.

Le soubassement de la STOM, du moins dans sa partie sud et sud-est

semblerait donc constitué de terrains trës peu perméables, formant un appendice

isolé du point de vue hydraulique par rapport aux alluvions encaissantes aquifères

de la basse terrasse.

En ce qui concerne la décharge contrôlée, bien que les terrains

alluvionnaires aient été extraits jusqu'aux terrains sablo-marneux de l'Albien,

il n'y a pas eu apparition de nappe phréatique. Toutefois, celle-ci a été atteinte

dans le piézomètre mis en place à l'Ouest immédiat de la décharge.

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- 9

Vu le pendage des terrains crétacés (vers le Nord-Est), les eaux

souterraines aprës leur percolation au travers des alluvions de moyenne terrasse

pourraient s'écouler par endroit vers le ruisseau des Echaravelles par suite de

l'effet de topographie du substratum.

A 700 m environ au Sud de la décharge, au lieu-dit "La Dévalade",

une source est captée en pied de terrasse pour les besoins en eau.de la ferme

proche (actuellement inoccupée). L'exploitation partielle des matériaux de terrasse

à l'amont immédiat de la source ne semble pas avoir affecté d'une manière sensible

le régime de la source.

Ainsi les eaux qui s' infiltrent aux' travers des alluvions de moyenne

terrasse s'écoulent vers l'Ouest pour se déverser dans la nappe phréatique de la

plaine, comme en témoignent le piézomètre proche de la décharge et la source de

la Dévalade, mais par endroits, les eaux pourraient s'écouler en partie vers l'Est

par suite de l'effet de pente du substratum.la

234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination éventuelle

de la nappe

Le ruisseau des Echaravelles aura tendance à alimenter ou à drainer

la nappe selon le tronçon en jeu, par suite de sa position par rapport au niveau

des eaux phréatiques. A l'amont de la STOM, dans le vallon situé à l'Est du Bois

MahOn, le ruisseau aura un rôle de drain. A l'aval de la STOM, sa position haute

accentuée par le seuil mis en place pour le franchissement de l'autoroute favori¬

sera les infiltrations dans la nappe, dans la mesure où le fond et les berges ne

sont pas complètement colmatés.

L'état de stagnation des eaux constaté courant mai et juin, témoigne

d'une tendance au colmatage. Toutefois, il est trës peu probable qu'il soit total,

notamment en hautes eaux de la riviëre.

- 9

Vu le pendage des terrains crétacés (vers le Nord-Est), les eaux

souterraines aprës leur percolation au travers des alluvions de moyenne terrasse

pourraient s'écouler par endroit vers le ruisseau des Echaravelles par suite de

l'effet de topographie du substratum.

A 700 m environ au Sud de la décharge, au lieu-dit "La Dévalade",

une source est captée en pied de terrasse pour les besoins en eau.de la ferme

proche (actuellement inoccupée). L'exploitation partielle des matériaux de terrasse

à l'amont immédiat de la source ne semble pas avoir affecté d'une manière sensible

le régime de la source.

Ainsi les eaux qui s' infiltrent aux' travers des alluvions de moyenne

terrasse s'écoulent vers l'Ouest pour se déverser dans la nappe phréatique de la

plaine, comme en témoignent le piézomètre proche de la décharge et la source de

la Dévalade, mais par endroits, les eaux pourraient s'écouler en partie vers l'Est

par suite de l'effet de pente du substratum.la

234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination éventuelle

de la nappe

Le ruisseau des Echaravelles aura tendance à alimenter ou à drainer

la nappe selon le tronçon en jeu, par suite de sa position par rapport au niveau

des eaux phréatiques. A l'amont de la STOM, dans le vallon situé à l'Est du Bois

MahOn, le ruisseau aura un rôle de drain. A l'aval de la STOM, sa position haute

accentuée par le seuil mis en place pour le franchissement de l'autoroute favori¬

sera les infiltrations dans la nappe, dans la mesure où le fond et les berges ne

sont pas complètement colmatés.

L'état de stagnation des eaux constaté courant mai et juin, témoigne

d'une tendance au colmatage. Toutefois, il est trës peu probable qu'il soit total,

notamment en hautes eaux de la riviëre.

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- 10 -

3 ~ tA^iIQi=il=LA^DECHARGE^CONTROLEE

31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT

311 - La STOM

Elle comprend :

- une fosse de réception des ordures ménagères dans laquelle elles

sont vidées à partir des camions qui assurent la collecte. Cette

fosse a une profondeur de 6 m environ à partir de la surface du

sol, elle est bétonnée.

- une unité de chargement qui achemine les ordures de la fosse à

l'unité de broyage.

- une unité de broyage : '

. à partir de là, les ordures ménagères qui ne passent pas dans

le tamis, sont acheminées pour y être stockées dans l'ancienne

carrière à proximité immédiate, ce sont les refus. A noter

qu'en l'absence de mise en oeuvre de mesures adaptées (com¬

pactage, tri ...), la capacité de stockage de l'ancienne car¬

rière sera bientôt insuffisante.

. l'autre partie des ordures broyées est acheminée dans la tour

de fermentation ou "digesteur", où elle séjourne 8 jours en-

viron. Le compost ainsi obtenu est alors stocké sur l'aire

bétonnée existante derrière l'usine (au Nord-Est); il est

commercialisé en l'état.

Le tonnage des entrées enregistré depuis la mise en oeuvre de

- 3673 t (à partir du 1er juin) pour l'année 1976.

- 8454 t pour l'année 1977.

- 9837 t pour l'année 1978.

- 10150 t pour l'année 1979.

- 9764 t pour l'année 1980.

l'usine est :

- 10 -

3 ~ tA^iIQi=il=LA^DECHARGE^CONTROLEE

31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT

311 - La STOM

Elle comprend :

- une fosse de réception des ordures ménagères dans laquelle elles

sont vidées à partir des camions qui assurent la collecte. Cette

fosse a une profondeur de 6 m environ à partir de la surface du

sol, elle est bétonnée.

- une unité de chargement qui achemine les ordures de la fosse à

l'unité de broyage.

- une unité de broyage : '

. à partir de là, les ordures ménagères qui ne passent pas dans

le tamis, sont acheminées pour y être stockées dans l'ancienne

carrière à proximité immédiate, ce sont les refus. A noter

qu'en l'absence de mise en oeuvre de mesures adaptées (com¬

pactage, tri ...), la capacité de stockage de l'ancienne car¬

rière sera bientôt insuffisante.

. l'autre partie des ordures broyées est acheminée dans la tour

de fermentation ou "digesteur", où elle séjourne 8 jours en-

viron. Le compost ainsi obtenu est alors stocké sur l'aire

bétonnée existante derrière l'usine (au Nord-Est); il est

commercialisé en l'état.

Le tonnage des entrées enregistré depuis la mise en oeuvre de

- 3673 t (à partir du 1er juin) pour l'année 1976.

- 8454 t pour l'année 1977.

- 9837 t pour l'année 1978.

- 10150 t pour l'année 1979.

- 9764 t pour l'année 1980.

l'usine est :

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-ll

ll est prévu une augmentation des tonnages pour les années 1882/

1883 (12000 t/an environ).

Lors des pannes de fonctionnement d'une des unités, les ordures

ménagères sont directement acheminées en l'état à la décharge contrôlée; la durée

cumulée de telles pannes était estimée à 12 j/an environ, c'est donc de l'ordre

de 400 t/an d'ordures qui seraient ainsi déposées sur la décharge.

312 - La décharge contrôlée

La décharge qui couvre une surface de 3,7 ha environ, fonctionne

depuis juin 1979. Selon les dispositions de l'arrêté préfectoral d'autorisation,

en date du 19 juin 1979, seuls sont admis les résidus suivants :

- les ordures ménagères

- les déblais et gravats

- les cendres et mâchefers refroidis

- les déchets industriels et commerciaux solides à condition qu'ils

ne soient non toxiques , ni explosifs, ni susceptibles de s'enflammer

spontanément

- les boues pelletables, non toxiques, en provenance de stations

d'épuration

Enfin, il est précisé que le dépôt de toute substance, soluble ou

non, pouvant présenter un danger de contamination chimique vis-à-vis des eaux

souterraines ou superficielles est formellement interdit.

Depuis la mise en fonctionnement de la décharge, 55000 m3 de ré¬

sidus ont été déposés, actuellement le rythme est de l'ordre de 5000 m3/mois.

Ils comprennent des déchets urbains (hors poubelles), des boues de curage de

fossés (500 m3/mois) , des déchets de l'usine proche Gerflex (rouleau gerflex et

copeaux solides), des boues d'égouts (30 m3/mois) des réseaux des voies publiques,

enfin des gravats de démollitions .

-ll

ll est prévu une augmentation des tonnages pour les années 1882/

1883 (12000 t/an environ).

Lors des pannes de fonctionnement d'une des unités, les ordures

ménagères sont directement acheminées en l'état à la décharge contrôlée; la durée

cumulée de telles pannes était estimée à 12 j/an environ, c'est donc de l'ordre

de 400 t/an d'ordures qui seraient ainsi déposées sur la décharge.

312 - La décharge contrôlée

La décharge qui couvre une surface de 3,7 ha environ, fonctionne

depuis juin 1979. Selon les dispositions de l'arrêté préfectoral d'autorisation,

en date du 19 juin 1979, seuls sont admis les résidus suivants :

- les ordures ménagères

- les déblais et gravats

- les cendres et mâchefers refroidis

- les déchets industriels et commerciaux solides à condition qu'ils

ne soient non toxiques , ni explosifs, ni susceptibles de s'enflammer

spontanément

- les boues pelletables, non toxiques, en provenance de stations

d'épuration

Enfin, il est précisé que le dépôt de toute substance, soluble ou

non, pouvant présenter un danger de contamination chimique vis-à-vis des eaux

souterraines ou superficielles est formellement interdit.

Depuis la mise en fonctionnement de la décharge, 55000 m3 de ré¬

sidus ont été déposés, actuellement le rythme est de l'ordre de 5000 m3/mois.

Ils comprennent des déchets urbains (hors poubelles), des boues de curage de

fossés (500 m3/mois) , des déchets de l'usine proche Gerflex (rouleau gerflex et

copeaux solides), des boues d'égouts (30 m3/mois) des réseaux des voies publiques,

enfin des gravats de démollitions .

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- 12 -

32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU SOUTER¬

RAINES

321 - La STOM

Cette installation peut engendrer une pollution des eaux pour les

raisons suivantes : . .

- les refus stockés dans la dépression formée par l'ancienne car¬

rière produisent un lessivât polluant par suite de l'action com¬

binée de leurs fermentations et de leurs décompositions d'une part,

et de l'action de la pluie d'autre part. Ce lessivât pourrait alors

s'infiltrer dans le sous-sol, en fait, jamais totalement imperméable,

atteindre la nappe et la polluer vers l'aval.

- le compost issu du "digesteur" est stocké sur une aire bétonnée.

Les eaux issues de cette aire étaient autrefois collectées dans

un caniveau réceptacle qui se déversait dans une fosse de décan-

"^ tation avant rejet dans le ruisseau. A la demande de la DDASS et

de la DU, le rejet a été supprimé, les eaux sont alors envoyées

dans le "digesteur" et sont ainsi utilisées pour l'humidification.

. Par ailleurs, le lavage des véhicules qui se _ pratiquait autrefois

dans le périmètre de l'usine a été supprimé. Si les risques de

pollution n'ont pas totalement disparu , ils sont toutefois sen¬

siblement diminués.

Nous avons pu constater à trois reprises courant mai- juin, que la

canalisation de rejet au ruisseau ne débitait pratiquement pas.

- le compost et l'aire sur laquelle il est stocké, ainsi que les

aires goudronnées autour de l'usine sont a l'air libre et donc

soumis à l'action des pluies. Les eaux qui en résultent sont col¬

lectées par suite de l'effet de pente des aires et conduites au

ruisseau.

En temps de pluie, il peut donc exister un rejet polluant dans

le ruisseau qui contaminerait à son tour la nappe phréatique. On

peut cependant escompter un effet de dilution des eaux superfi¬

cielles contaminés par suite de l'augmentation des débits du ruis¬

seau dont le bassin versant est d'extension relativement réduite.

- 12 -

32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU SOUTER¬

RAINES

321 - La STOM

Cette installation peut engendrer une pollution des eaux pour les

raisons suivantes : . .

- les refus stockés dans la dépression formée par l'ancienne car¬

rière produisent un lessivât polluant par suite de l'action com¬

binée de leurs fermentations et de leurs décompositions d'une part,

et de l'action de la pluie d'autre part. Ce lessivât pourrait alors

s'infiltrer dans le sous-sol, en fait, jamais totalement imperméable,

atteindre la nappe et la polluer vers l'aval.

- le compost issu du "digesteur" est stocké sur une aire bétonnée.

Les eaux issues de cette aire étaient autrefois collectées dans

un caniveau réceptacle qui se déversait dans une fosse de décan-

"^ tation avant rejet dans le ruisseau. A la demande de la DDASS et

de la DU, le rejet a été supprimé, les eaux sont alors envoyées

dans le "digesteur" et sont ainsi utilisées pour l'humidification.

. Par ailleurs, le lavage des véhicules qui se _ pratiquait autrefois

dans le périmètre de l'usine a été supprimé. Si les risques de

pollution n'ont pas totalement disparu , ils sont toutefois sen¬

siblement diminués.

Nous avons pu constater à trois reprises courant mai- juin, que la

canalisation de rejet au ruisseau ne débitait pratiquement pas.

- le compost et l'aire sur laquelle il est stocké, ainsi que les

aires goudronnées autour de l'usine sont a l'air libre et donc

soumis à l'action des pluies. Les eaux qui en résultent sont col¬

lectées par suite de l'effet de pente des aires et conduites au

ruisseau.

En temps de pluie, il peut donc exister un rejet polluant dans

le ruisseau qui contaminerait à son tour la nappe phréatique. On

peut cependant escompter un effet de dilution des eaux superfi¬

cielles contaminés par suite de l'augmentation des débits du ruis¬

seau dont le bassin versant est d'extension relativement réduite.

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- 13 -

322 - La décharge contrôlée

La décomposition des ordures ménagères qui sont déposées par suite

de panne de la STOM, peut éventuellement produire une pollution chimique et loca¬

lement une pollution bactérienne par suite de l'infiltration des lessivats résul¬

tant des eaux de pluie non évapotranspirées (pluie efficace) et de l'écoulement

des eaux souterraines. De même que les boues et les déchets urbains de station

d'épuration et certains déchets industriels peuvent être à l'origine d'une conta¬

mination.

Cependant, il n'existe pas d'émissaire qui acheminerait loin à

l'aval la pollution. La totalité des lessivats s'infiltrent donc à la verticale

du site de la décharge où elle vient alimenter et polluer la nappe.

Le ruisseau des Echaravelles pourrait cependant jouer le rôle de

vecteur de la pollution si les eaux souterraines infiltrées sur le site étaient

drainées (en totalité ou en partie) vers l'Est par ce ruisseau. Précisons cependant

que la distance que devraient parcourir dans ces conditions les eaux souterraines

serait de l'ordre de plus de 100 m, distance non négligeable qui assurerait une

épuration bactérienne des eaux souterraines issues de la décharge.

4 - LEi=SQMïi=2liM=i^iilèSï§ (^°^^ fig- 4)

Un inventaire systématique des points d'eau existants dans le secteur étudié

a été réalisé courant mai-juin, dans la perspective d'un suivi de la piézométrie

et de la qualité des eaux souterraines.

La détermination de la piézométrie de la nappe est indispensable pour appré-

hender notamment la répartition des écoulements.

41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES (voir annexe 1)

- 13 -

322 - La décharge contrôlée

La décomposition des ordures ménagères qui sont déposées par suite

de panne de la STOM, peut éventuellement produire une pollution chimique et loca¬

lement une pollution bactérienne par suite de l'infiltration des lessivats résul¬

tant des eaux de pluie non évapotranspirées (pluie efficace) et de l'écoulement

des eaux souterraines. De même que les boues et les déchets urbains de station

d'épuration et certains déchets industriels peuvent être à l'origine d'une conta¬

mination.

Cependant, il n'existe pas d'émissaire qui acheminerait loin à

l'aval la pollution. La totalité des lessivats s'infiltrent donc à la verticale

du site de la décharge où elle vient alimenter et polluer la nappe.

Le ruisseau des Echaravelles pourrait cependant jouer le rôle de

vecteur de la pollution si les eaux souterraines infiltrées sur le site étaient

drainées (en totalité ou en partie) vers l'Est par ce ruisseau. Précisons cependant

que la distance que devraient parcourir dans ces conditions les eaux souterraines

serait de l'ordre de plus de 100 m, distance non négligeable qui assurerait une

épuration bactérienne des eaux souterraines issues de la décharge.

4 - LEi=SQMïi=2liM=i^iilèSï§ (^°^^ fig- 4)

Un inventaire systématique des points d'eau existants dans le secteur étudié

a été réalisé courant mai-juin, dans la perspective d'un suivi de la piézométrie

et de la qualité des eaux souterraines.

La détermination de la piézométrie de la nappe est indispensable pour appré-

hender notamment la répartition des écoulements.

41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES (voir annexe 1)

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" l« - Fi«.4

POINTS D'EAU EXISTANTS

PIEZOMETRIE DE LA NAPPEPHREATIQUE ETABLIE EN

JUILLET 69ECHELLE 1/25 OOO

Puits domestique etsonn0

local

Puits pour l'irrigation etson numéro local

Piézometre et son n°local

Point d'eau son numérol a P r o f o nd6ur [m) de l'eau

mesurée par rapport au repèreen mai 81

Sondage géologique

Isopiéze et sa valeur en m .

Sens d'écoulement dtla noppt

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- 15 -

41 1 - Préliminaires

L'élaboration des fiches signalétiques comprend notamment la des¬

cription de l'environnement du point d'eau répertorié. Cette rubrique est pri¬

mordiale dans la perspective d'une campagne de prélèvements d'échantillons en

vue d'analyses chimiques (et surtout bactériologiques si nécessaire).

En effet, la grande majorité des points d'eau existants dans le

secteur est constituée de puits domestiques, implantés dans la cour des fermes.

Il est. donc capital de s'assurer que la pollution éventuellement détectée dans

l'échantillon prélevé, n'a pas une origine locale : infiltrations en provenance

du tas de fumier ou d'une écurie, de la fosse septique (présente dans toutes les

maisons vu l'absence de réseau d'assainissement collectif), ou encore mauvaise

protection immédiate du puits (fermeture insuffisante) . '

41 2 - Les résultats

Une quinzaine de points d'eau ont été inventoriés et visités à

l'intérieur du périmètre du secteur étudié dont : *

- 9 puits domestiques : à noter que tous ces puits sont en état de

fonctionnement, ils sont utilisés pour les besoins en eau de la

maison (maison individuelle ou ferme) .

Ces puits pénètrent partiellement l'aquifère alluvial, leur pro¬

fondeur est de l'ordre de la dizaine de mètres.

L'équipement de la majorité des puits est celui généralement ren¬

contré pour ce type d'ouvrage : une colonne de buses de 1,20 m

de diamètre ou un soutènement en pierres sèches et un dispositif de

prélèvements avec pompe électrique.

Il est à préciser cependant que lors des travaux de la CNR pour

la mise en place des aménagements de Donzère-Mondragon-Bollène,

(vers les années 52-54), la plupart des puits ont du être appro¬

fondis par suite de l'abaissement généralisé du niveau de la nappe.

La CNR a alors mis en place des pointes crépinées au fond des

puits approfondis de cette façon de 3 à 4 m.

- 15 -

41 1 - Préliminaires

L'élaboration des fiches signalétiques comprend notamment la des¬

cription de l'environnement du point d'eau répertorié. Cette rubrique est pri¬

mordiale dans la perspective d'une campagne de prélèvements d'échantillons en

vue d'analyses chimiques (et surtout bactériologiques si nécessaire).

En effet, la grande majorité des points d'eau existants dans le

secteur est constituée de puits domestiques, implantés dans la cour des fermes.

Il est. donc capital de s'assurer que la pollution éventuellement détectée dans

l'échantillon prélevé, n'a pas une origine locale : infiltrations en provenance

du tas de fumier ou d'une écurie, de la fosse septique (présente dans toutes les

maisons vu l'absence de réseau d'assainissement collectif), ou encore mauvaise

protection immédiate du puits (fermeture insuffisante) . '

41 2 - Les résultats

Une quinzaine de points d'eau ont été inventoriés et visités à

l'intérieur du périmètre du secteur étudié dont : *

- 9 puits domestiques : à noter que tous ces puits sont en état de

fonctionnement, ils sont utilisés pour les besoins en eau de la

maison (maison individuelle ou ferme) .

Ces puits pénètrent partiellement l'aquifère alluvial, leur pro¬

fondeur est de l'ordre de la dizaine de mètres.

L'équipement de la majorité des puits est celui généralement ren¬

contré pour ce type d'ouvrage : une colonne de buses de 1,20 m

de diamètre ou un soutènement en pierres sèches et un dispositif de

prélèvements avec pompe électrique.

Il est à préciser cependant que lors des travaux de la CNR pour

la mise en place des aménagements de Donzère-Mondragon-Bollène,

(vers les années 52-54), la plupart des puits ont du être appro¬

fondis par suite de l'abaissement généralisé du niveau de la nappe.

La CNR a alors mis en place des pointes crépinées au fond des

puits approfondis de cette façon de 3 à 4 m.

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- 16 -

3 piézomètres mis en place pour la surveillance de la décharge

contrôlée : ils sont équipés d'un tube crépine implanté jusqu'à

une dizaine de mètres de profondeur, munis d'un couvercle cade¬

nassé.

A noter que la CNR dispose d'un réseau de points d'eau pour la

surveillance de la nappe depuis les aménagements évoqués plus haut.

Dans le secteur étudié, elle ne possède aucun piézomètre vu la

présence de puits domestiques en nombre suffisant.

enfin, 2 puits en rase campagne pour l'irrigation par aspersion,

équipés de buses de 1,2 m de diamètre, mais non munis d'un dispo¬

sitif de pompage.

Rappelons l'existence du sondage foré dans l'enceinte de la STOM,

La carte de la fig. 4, indique la position des différents points

d'eau existants dans le secteur étudié.

5 - LA^gliZOMETRIE^DE^LA^NAPPE^DANS^LE^SECTEUR^ETUDIE (voir fig. 4)

La piézométrie a pu être établie approximativement d'après les mesures effec¬

tuées lors de l'inventaire sur le terrain complétées par celles effectuées par

la CNR.

Cette piézométrie reste très approximative car la cote altimétrique des puits

ne faisant pas pas partie du réseau CNR, a été seulement estimée d'après la carte

IGN au 1/25.000. Une mesure de la cote altimétrique de ces puits devra donc êtreprévue dans la deuxième phase d'étude.

La carte de la figure 4 indique la profondeur mesurée et la cote altimétrique

déduite du toit de la nappe dans les différents points d'eau, ainsi que la directiodes écoulements.

Il nous a paru prématuré de tracer toutes les courbes isopièzes (courbe d'égal

niveau du toit de la nappe) vu l'imprécision de la cote altimétrique du repère des

points d'eau.

- 16 -

3 piézomètres mis en place pour la surveillance de la décharge

contrôlée : ils sont équipés d'un tube crépine implanté jusqu'à

une dizaine de mètres de profondeur, munis d'un couvercle cade¬

nassé.

A noter que la CNR dispose d'un réseau de points d'eau pour la

surveillance de la nappe depuis les aménagements évoqués plus haut.

Dans le secteur étudié, elle ne possède aucun piézomètre vu la

présence de puits domestiques en nombre suffisant.

enfin, 2 puits en rase campagne pour l'irrigation par aspersion,

équipés de buses de 1,2 m de diamètre, mais non munis d'un dispo¬

sitif de pompage.

Rappelons l'existence du sondage foré dans l'enceinte de la STOM,

La carte de la fig. 4, indique la position des différents points

d'eau existants dans le secteur étudié.

5 - LA^gliZOMETRIE^DE^LA^NAPPE^DANS^LE^SECTEUR^ETUDIE (voir fig. 4)

La piézométrie a pu être établie approximativement d'après les mesures effec¬

tuées lors de l'inventaire sur le terrain complétées par celles effectuées par

la CNR.

Cette piézométrie reste très approximative car la cote altimétrique des puits

ne faisant pas pas partie du réseau CNR, a été seulement estimée d'après la carte

IGN au 1/25.000. Une mesure de la cote altimétrique de ces puits devra donc êtreprévue dans la deuxième phase d'étude.

La carte de la figure 4 indique la profondeur mesurée et la cote altimétrique

déduite du toit de la nappe dans les différents points d'eau, ainsi que la directiodes écoulements.

Il nous a paru prématuré de tracer toutes les courbes isopièzes (courbe d'égal

niveau du toit de la nappe) vu l'imprécision de la cote altimétrique du repère des

points d'eau.

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- 17

^ ~ M=Qyè^iïl=2i§=ièM5=i=2Si^ii=iï=ièSïiii2i22ii=^'^°^^ ^^S- 6 et annexe 2)

61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES

Des analyses chimiques et bactériologiques ont été effectuées depuis

quelques années sur échantillons d'eau de nappe prélevés dans les puits domestiques.

Les analyses d'eau existantes dont nous disposons ont été faites, soit à

l'initiative de particuliers, soit à la demande des Maires de la Garde Adhémar etde Saint Paul-trois-Châteaux, soit encore à la demande de l'Administration notam¬

ment avant la mise en service de la décharge contrôlée.-

Ainsi, des analyses relativement nombreuses ont été réalisées dans le ,

secteur étudié depuis le jour où Monsieur René SALEL, exploitant agricole, installé

à 0,8 km au Nord de la STOM, a enregistré une mauvaise odeur dans son eau de boisson. .

J .

L'analyse bactériologique réalisée alors avait mis en évidence la non potabilité

des eaux. C'est à la suite de ce constat que le Maire de la Garde Adhémar a demandé

au laboratoire d'analyses du CEA de Pierrelatte, d'effectuer des analyses sur tout

un secteur de la plaine. Le secteur couvert se situe au Nord et donc à l'amont de *

la STOM et de la décharge contrôlée.

. Ces analyses ayant révélé une eau non potable du point de vue bactériolo¬

gique dans un certain nombre de puits (20 sur 27 contrôlée) , certains particuliers

font depuis contrôler assez régulièrement les eaux de leur puits. Par ailleurs,

l'Administration ou le District du Tricastin (actuellement le Syndicat) ont fait

procéder à des analyses dans les puits situés à l'aval de la STOM et de la décharge,

ainsi que dans le ruisseau des Echaravelles.

Au total, 38 points d'eau de nappe ont fait l'objet d'analyses une fois

au moins, depuis 1975, dont certains, tels que les puits appartenant à Monsieur

LOUCHE (garde de la station de pompage des Echaravelles) et à Monsieur HUGUES,

exploitant agricole, ont fait l'objet de 4 séries d'analyses au moins.

- 17

^ ~ M=Qyè^iïl=2i§=ièM5=i=2Si^ii=iï=ièSïiii2i22ii=^'^°^^ ^^S- 6 et annexe 2)

61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES

Des analyses chimiques et bactériologiques ont été effectuées depuis

quelques années sur échantillons d'eau de nappe prélevés dans les puits domestiques.

Les analyses d'eau existantes dont nous disposons ont été faites, soit à

l'initiative de particuliers, soit à la demande des Maires de la Garde Adhémar etde Saint Paul-trois-Châteaux, soit encore à la demande de l'Administration notam¬

ment avant la mise en service de la décharge contrôlée.-

Ainsi, des analyses relativement nombreuses ont été réalisées dans le ,

secteur étudié depuis le jour où Monsieur René SALEL, exploitant agricole, installé

à 0,8 km au Nord de la STOM, a enregistré une mauvaise odeur dans son eau de boisson. .

J .

L'analyse bactériologique réalisée alors avait mis en évidence la non potabilité

des eaux. C'est à la suite de ce constat que le Maire de la Garde Adhémar a demandé

au laboratoire d'analyses du CEA de Pierrelatte, d'effectuer des analyses sur tout

un secteur de la plaine. Le secteur couvert se situe au Nord et donc à l'amont de *

la STOM et de la décharge contrôlée.

. Ces analyses ayant révélé une eau non potable du point de vue bactériolo¬

gique dans un certain nombre de puits (20 sur 27 contrôlée) , certains particuliers

font depuis contrôler assez régulièrement les eaux de leur puits. Par ailleurs,

l'Administration ou le District du Tricastin (actuellement le Syndicat) ont fait

procéder à des analyses dans les puits situés à l'aval de la STOM et de la décharge,

ainsi que dans le ruisseau des Echaravelles.

Au total, 38 points d'eau de nappe ont fait l'objet d'analyses une fois

au moins, depuis 1975, dont certains, tels que les puits appartenant à Monsieur

LOUCHE (garde de la station de pompage des Echaravelles) et à Monsieur HUGUES,

exploitant agricole, ont fait l'objet de 4 séries d'analyses au moins.

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- 18 -

QUALITE BACTERIOLOGIQUEDES EAUX PRELEVEES DANSLES PUITS ETPIEZOMETRES

DU SECTEUR ETUDIE

POINTS DE PRELEVEMENTS AVECINDICATIONS DE LAPOTABILITEDES ECHANTILLONS PRELEVES

ECHELLE 1/25 OOO

Fig. 6

Point d'eau ayant fournides échantillons non potablesbactériologique ment

Point d'eau dons lequel leséchantillons prélevés ontmontré une eau potablebactériologique ment

l̂ij£ /PAUL-

à - • ' • • ^ k ' ••-•

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_ 19 -

Il est à noter que nous ne disposons pas des analyses faites à l'initiative

des particuliers.

Les prélèvements en vue d'analyses chimiques et bactériologiques réalisés à

plusieurs reprises dans le ruisseau des Echaravelles (septembre 1977, mai et juin

1980) ont porté sur l'amont, l'aval, de même qu'au point de rejet de la STOM dans

le ruisseau.

Des prélèvements ont été de même effectués en janvier 1976, dans le ruisseau

de la Garde Adhémar qui constitue l'émissaire de la station d'épuration de la

commune .

En conclusion, on dispose d'analyses bactériologiques (analyses chimiques peu

nombreuses et incomplètes) d'eaux de nappe et d'eaux superficielles dans le secteur

étudié et ses environs. La majorité de ces analyses concernent des points d'eau

situés à l'amont de la STOM et de la décharge contrôlée.

62 - LES RESULTATS OBTENUS

Les échantillons prélevés dans les 38 points d'eau (dont 3 piézomètres)

du secteur étudié (élargi) ont montré :

- une pollution bactérienne dans 27 puits, dont les 3 piézomètres de la

décharge contrôlée; du point de vue chimique, rares sont les analyses

complètes, mais d'après le pH et la résistivité les eaux pourraient

être potables à l'exception des échantillons recueillis dans les 3 pié¬

zomètres .

- la pollution bactérienne mesurée est caractérisée le plus souvent par

des. streptocoques fécaux, des Clostridia sulfito-réducteurs, des bac¬

téries coliformes, et Escherichia coli.

- une eau potable dans II puits : dans le contexte général de la nappe,

ces puits ne semblent pas se localiser dans des secteurs singulierset particulièrement favorables. Pour l'un d'entre eux, le puits n" 27

notamment, c'est bien le contraire puisqu'il se trouve à l'aval immédiat

du ruisseau de la Garde Adhémar, émissaire des eaux de la station d'é¬

puration communale, suspecté de polluer la nappe.

_ 19 -

Il est à noter que nous ne disposons pas des analyses faites à l'initiative

des particuliers.

Les prélèvements en vue d'analyses chimiques et bactériologiques réalisés à

plusieurs reprises dans le ruisseau des Echaravelles (septembre 1977, mai et juin

1980) ont porté sur l'amont, l'aval, de même qu'au point de rejet de la STOM dans

le ruisseau.

Des prélèvements ont été de même effectués en janvier 1976, dans le ruisseau

de la Garde Adhémar qui constitue l'émissaire de la station d'épuration de la

commune .

En conclusion, on dispose d'analyses bactériologiques (analyses chimiques peu

nombreuses et incomplètes) d'eaux de nappe et d'eaux superficielles dans le secteur

étudié et ses environs. La majorité de ces analyses concernent des points d'eau

situés à l'amont de la STOM et de la décharge contrôlée.

62 - LES RESULTATS OBTENUS

Les échantillons prélevés dans les 38 points d'eau (dont 3 piézomètres)

du secteur étudié (élargi) ont montré :

- une pollution bactérienne dans 27 puits, dont les 3 piézomètres de la

décharge contrôlée; du point de vue chimique, rares sont les analyses

complètes, mais d'après le pH et la résistivité les eaux pourraient

être potables à l'exception des échantillons recueillis dans les 3 pié¬

zomètres .

- la pollution bactérienne mesurée est caractérisée le plus souvent par

des. streptocoques fécaux, des Clostridia sulfito-réducteurs, des bac¬

téries coliformes, et Escherichia coli.

- une eau potable dans II puits : dans le contexte général de la nappe,

ces puits ne semblent pas se localiser dans des secteurs singulierset particulièrement favorables. Pour l'un d'entre eux, le puits n" 27

notamment, c'est bien le contraire puisqu'il se trouve à l'aval immédiat

du ruisseau de la Garde Adhémar, émissaire des eaux de la station d'é¬

puration communale, suspecté de polluer la nappe.

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- 20 -

63 - INTERPRETATION

Préalablement, il convient de formuler les remarques suivantes (dont cer¬

taines constituent un rappel) :

- les points d'eau qui ont fait l'objet de prélèvements pour analyses sont

des puits de particuliers -à l'exception de 3 piézomètres mis en place

à l'aval de la décharge- situés généralement dans la cour de la ferme,

presque systématiquement à l'aval de la fosse septique, et à l'aval ou

à proximité de tas de fumier ou de locaux pour animaux.

Lors de ses campagnes d'analyses, le CEA a procédé à une injection d'un

traceur (Rhodamine B à la concentration de 20 mg/l) dans 3 fosses sep¬

tiques de ferme. Le traceur a été retrouvé dans le puits de la ferme

(ainsi que dans certains puits à l'aval), mettant ainsi en évidence la

relation hydraulique entre les deux installations.

- ces puits sont pour la plupart protégés très sommairement, parfois

avec un couvercle amovible non étanche, posé à même lé sol. Des dé¬

pôts très divers sont parfois constatés à proximité immédiate.

- l'intérieur des puits n'est pratiquement pas entretenu.

- les résultats d'analyses sont fournis sans indication du mode de pré¬

lèvement, on ignore ainsi si le recueil d'échantillons a été fait après

pompage suffisamment long.

- les résultats des analyses effectués préalablement à la mise en service

de la décharge contrôlée sont donnés avec indications du mode de pré¬

lèvements. Ainsi dans les 3 piézomètres, l'échantillon fut prélevé au

moyen d'un préleveur, sans pompage. Dans ces conditions l'échantillon

prélevé n'est absolument pas représentatif de la nappe, particulière¬

ment du point de vue bactériologique et des teneurs en fer.

Ces remarques étant faites, nous adopterons certaines des conclusionsde l'étude du CEA, à savoir :

. "la pollution observée dans certains puits est une pollution due aux

matières fécales contenues dans les fosses septiques, celles-ci n'étanpas étanches".

. "il s'agit donc de phénomènes trës localisés, qui ne sont pas récents,mais qui ne pourront disparaître qu'avec la construction de véritablesfosses septiques, fonctionnant bien".

- 20 -

63 - INTERPRETATION

Préalablement, il convient de formuler les remarques suivantes (dont cer¬

taines constituent un rappel) :

- les points d'eau qui ont fait l'objet de prélèvements pour analyses sont

des puits de particuliers -à l'exception de 3 piézomètres mis en place

à l'aval de la décharge- situés généralement dans la cour de la ferme,

presque systématiquement à l'aval de la fosse septique, et à l'aval ou

à proximité de tas de fumier ou de locaux pour animaux.

Lors de ses campagnes d'analyses, le CEA a procédé à une injection d'un

traceur (Rhodamine B à la concentration de 20 mg/l) dans 3 fosses sep¬

tiques de ferme. Le traceur a été retrouvé dans le puits de la ferme

(ainsi que dans certains puits à l'aval), mettant ainsi en évidence la

relation hydraulique entre les deux installations.

- ces puits sont pour la plupart protégés très sommairement, parfois

avec un couvercle amovible non étanche, posé à même lé sol. Des dé¬

pôts très divers sont parfois constatés à proximité immédiate.

- l'intérieur des puits n'est pratiquement pas entretenu.

- les résultats d'analyses sont fournis sans indication du mode de pré¬

lèvement, on ignore ainsi si le recueil d'échantillons a été fait après

pompage suffisamment long.

- les résultats des analyses effectués préalablement à la mise en service

de la décharge contrôlée sont donnés avec indications du mode de pré¬

lèvements. Ainsi dans les 3 piézomètres, l'échantillon fut prélevé au

moyen d'un préleveur, sans pompage. Dans ces conditions l'échantillon

prélevé n'est absolument pas représentatif de la nappe, particulière¬

ment du point de vue bactériologique et des teneurs en fer.

Ces remarques étant faites, nous adopterons certaines des conclusionsde l'étude du CEA, à savoir :

. "la pollution observée dans certains puits est une pollution due aux

matières fécales contenues dans les fosses septiques, celles-ci n'étanpas étanches".

. "il s'agit donc de phénomènes trës localisés, qui ne sont pas récents,mais qui ne pourront disparaître qu'avec la construction de véritablesfosses septiques, fonctionnant bien".

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- 21 -

A ces causes éventuelles de pollution bactérienne, nous rappellerons

les tas de fumier, les infiltrations en provenance des écuries, de même qu'une

fermeture et un entretien insuffisant des puits. Rappelons également que tout

échantillon ne peut être représentatif de la nappe qu'après un pompage suffi¬

samment long pour renouveler très largement les eaux du puits et de la nappe à

la périphérie immédiate de l'ouvrage.

Les résultats d'analyses actuellement disponibles ne peuvent par consé¬

quent être représentatifs de l'état général de la nappe phréatique.

A fortiori, les indications fournies par ces analyses ne permettent pas

de conclure sur lès incidences de la qualité de la nappe de la STOM et de la dé¬

charge contrôlée.

Par ailleurs, est-il nécessaire de préciser que la pollution constatée

dans la plupart des puits (théoriquement au moins 26) ne peut être imputable à

la STOM et à la décharge vu leur situation amont par rapport aux écoulements de

la nappe ?. Les résultats obtenus ont été cependant analysés dans la mesure où

ils auraient pu témoigner d'un état de pollution général de la nappe en amont

de la STOM, ce qui ne semble pas être le cas puisque, comme cela a été déjàt.--'

précisé, 7 puits indiquent une eau de nappe tout à fait potable.

Par ailleurs, la pollution bactérienne constatée dans ces puits ne

peut être attribuée aux infiltrations dans , la nappe des eaux rejetées par la^ ¡". .

station d'épuration de la Garde Adhémar. Les résultats d'analyse du puits n° 27

en témoignent. Faut-il préciser de même qu'une pollution bactérienne ne se propage

pas. Les recherches faites à ce sujet et reproduites en littérature démontrent

qu'après quelques dizaines de mètres (30 à 80 m) de parcours en milieux poreux,

(sable, sable et gravier ...) une eau épurée des bactéries et germes courants.

Les caractéristiques bactériologiques des eaux phréatiques doivent être

considérées comme résultant essentiellement de l'environnement immédiat ou proche

du point d'eau, et ne peuvent constituer un indicateur de pollution "généralisée"

d'une nappe souterraine.

Les incidences sur la qualité des eaux phréatiques des deux installations

en question, ne seront appréhendées qu'au moyen d'analyses chimiques d'échantillons

d'eau prélevés dans les conditions requises, c'est-à-dire par des piézomètres placés

à l'aval hydraulique des installations et après un certain temps de pompage, afin

d'être sûr d'avoir un échantillon représentatif de l'eau de nappe.

- 21 -

A ces causes éventuelles de pollution bactérienne, nous rappellerons

les tas de fumier, les infiltrations en provenance des écuries, de même qu'une

fermeture et un entretien insuffisant des puits. Rappelons également que tout

échantillon ne peut être représentatif de la nappe qu'après un pompage suffi¬

samment long pour renouveler très largement les eaux du puits et de la nappe à

la périphérie immédiate de l'ouvrage.

Les résultats d'analyses actuellement disponibles ne peuvent par consé¬

quent être représentatifs de l'état général de la nappe phréatique.

A fortiori, les indications fournies par ces analyses ne permettent pas

de conclure sur lès incidences de la qualité de la nappe de la STOM et de la dé¬

charge contrôlée.

Par ailleurs, est-il nécessaire de préciser que la pollution constatée

dans la plupart des puits (théoriquement au moins 26) ne peut être imputable à

la STOM et à la décharge vu leur situation amont par rapport aux écoulements de

la nappe ?. Les résultats obtenus ont été cependant analysés dans la mesure où

ils auraient pu témoigner d'un état de pollution général de la nappe en amont

de la STOM, ce qui ne semble pas être le cas puisque, comme cela a été déjàt.--'

précisé, 7 puits indiquent une eau de nappe tout à fait potable.

Par ailleurs, la pollution bactérienne constatée dans ces puits ne

peut être attribuée aux infiltrations dans , la nappe des eaux rejetées par la^ ¡". .

station d'épuration de la Garde Adhémar. Les résultats d'analyse du puits n° 27

en témoignent. Faut-il préciser de même qu'une pollution bactérienne ne se propage

pas. Les recherches faites à ce sujet et reproduites en littérature démontrent

qu'après quelques dizaines de mètres (30 à 80 m) de parcours en milieux poreux,

(sable, sable et gravier ...) une eau épurée des bactéries et germes courants.

Les caractéristiques bactériologiques des eaux phréatiques doivent être

considérées comme résultant essentiellement de l'environnement immédiat ou proche

du point d'eau, et ne peuvent constituer un indicateur de pollution "généralisée"

d'une nappe souterraine.

Les incidences sur la qualité des eaux phréatiques des deux installations

en question, ne seront appréhendées qu'au moyen d'analyses chimiques d'échantillons

d'eau prélevés dans les conditions requises, c'est-à-dire par des piézomètres placés

à l'aval hydraulique des installations et après un certain temps de pompage, afin

d'être sûr d'avoir un échantillon représentatif de l'eau de nappe.

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- 22 -

7 - CONCLUSIONS

Les pollutions bactériennes constatées dans les échantillons prélevés aux puits

domestiques de la région étudiée (au sens large), ne traduisent pas un état général

de la nappe phréatique.

En effet, ces pollutions résultent soit de sources de contamination à pro¬

ximité des puits : fosses septiques fonctionnant plus ou moins bien, tas de fumier

ou écurie, protection insuffisante de l'ouvrage, absence d'entretien, soit de

la méthode de prélèvements (absence de pompage préalable de durée suffisante) ,

Sept puits, dont certains ont fait l'objet de plusieurs analyses, montrent

une eau de nappe qui répond aux normes de potabilité.

Par ailleurs, le ruisseau de la Garde Adhémar ne semble pas polluer d'une

manière sensible la nappe phréatique comme l'atteste les résultats d'analyses

d'un puits situé à l'aval immédiat.

Des nombreuses analyses d'eau de puits situés à l'amont de la STOM et de la

décharge contrôlée apportent la preuve -s'il le fallait- que la pollution bac¬

térienne constatée . dans les quelques puits situés à l'aval, n'est pas impu¬

table aux deux installations, la distance étant trop importante.

Les données actuellement disponibles ne permettent pas de répondre à la

question posée : à partir du site de la STOM et de la décharge contrôlée, y-a-t'il

des infiltrations d'eaux polluées susceptibles d'altérer la qualité des eaux sou¬

terraines ?

En effet, pour répondre à une telle question, il faudrait nécessairement dis¬

poser des éléments suivants :

- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'amont de la STOM.

- 22 -

7 - CONCLUSIONS

Les pollutions bactériennes constatées dans les échantillons prélevés aux puits

domestiques de la région étudiée (au sens large), ne traduisent pas un état général

de la nappe phréatique.

En effet, ces pollutions résultent soit de sources de contamination à pro¬

ximité des puits : fosses septiques fonctionnant plus ou moins bien, tas de fumier

ou écurie, protection insuffisante de l'ouvrage, absence d'entretien, soit de

la méthode de prélèvements (absence de pompage préalable de durée suffisante) ,

Sept puits, dont certains ont fait l'objet de plusieurs analyses, montrent

une eau de nappe qui répond aux normes de potabilité.

Par ailleurs, le ruisseau de la Garde Adhémar ne semble pas polluer d'une

manière sensible la nappe phréatique comme l'atteste les résultats d'analyses

d'un puits situé à l'aval immédiat.

Des nombreuses analyses d'eau de puits situés à l'amont de la STOM et de la

décharge contrôlée apportent la preuve -s'il le fallait- que la pollution bac¬

térienne constatée . dans les quelques puits situés à l'aval, n'est pas impu¬

table aux deux installations, la distance étant trop importante.

Les données actuellement disponibles ne permettent pas de répondre à la

question posée : à partir du site de la STOM et de la décharge contrôlée, y-a-t'il

des infiltrations d'eaux polluées susceptibles d'altérer la qualité des eaux sou¬

terraines ?

En effet, pour répondre à une telle question, il faudrait nécessairement dis¬

poser des éléments suivants :

- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'amont de la STOM.

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- 23 -

- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'aval de la STOM et de la dé¬

charge contrôlée, à des distances variables. Précisons en effet, que si

une contamination bactérienne persiste rarement dans un milieu aquifère au-

delà de quelques dizaines de mètres, les éléments chiraiques peuvent se dé¬

placer assez loin et à l'aval à la faveur des écoulements souterrains en

milieu poreux.

Les piézomètres n° 2 et 3 de la décharge contrôlée peuvent fournir des in¬

dications sur l'émission éventuelle de pollutions en direction de l'Ouest.

Par contre, on ne dispose pas d'informations sur les éventuels écoulements

souterrains vers l'Est, en direction du ruisseau des Echaravelles.

- le rôle de la rivière des Echaravelles qui peut constituer le vecteur de

pollution dans la mesure où le lit n'est pas complètement colmaté et où ses

eaux s'infiltrent dans la nappe pour la contaminer.

- enfin, les écoulements souterrains de la nappe phréatique qui renseigneront

sur le cheminement possible des eaux contaminées.

Les travaux à réaliser en phase 2 sont donc les suivants :

- réalisation de 2 piézomètres dont un à proximité de la STOM et un à proximité

de la décharge contrôlée.

- deux campagnes de mesures piézométriques après nivellement topographique des

puits et piézomètres.

- une campagne de prélèvements dans une douzaine de points d'eau après pompage

prolongé afin d'obtenir des échantillons représentatifs des eaux phréatiques

et l'analyse physico-chimique avec bilan ionique des eaux prélevées.

- deux séries d'analyses physico-chimiques d'échantillons prélevés dans le

ruisseau des Echaravelles a l'amont et à l'aval des installations.

- 23 -

- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'aval de la STOM et de la dé¬

charge contrôlée, à des distances variables. Précisons en effet, que si

une contamination bactérienne persiste rarement dans un milieu aquifère au-

delà de quelques dizaines de mètres, les éléments chiraiques peuvent se dé¬

placer assez loin et à l'aval à la faveur des écoulements souterrains en

milieu poreux.

Les piézomètres n° 2 et 3 de la décharge contrôlée peuvent fournir des in¬

dications sur l'émission éventuelle de pollutions en direction de l'Ouest.

Par contre, on ne dispose pas d'informations sur les éventuels écoulements

souterrains vers l'Est, en direction du ruisseau des Echaravelles.

- le rôle de la rivière des Echaravelles qui peut constituer le vecteur de

pollution dans la mesure où le lit n'est pas complètement colmaté et où ses

eaux s'infiltrent dans la nappe pour la contaminer.

- enfin, les écoulements souterrains de la nappe phréatique qui renseigneront

sur le cheminement possible des eaux contaminées.

Les travaux à réaliser en phase 2 sont donc les suivants :

- réalisation de 2 piézomètres dont un à proximité de la STOM et un à proximité

de la décharge contrôlée.

- deux campagnes de mesures piézométriques après nivellement topographique des

puits et piézomètres.

- une campagne de prélèvements dans une douzaine de points d'eau après pompage

prolongé afin d'obtenir des échantillons représentatifs des eaux phréatiques

et l'analyse physico-chimique avec bilan ionique des eaux prélevées.

- deux séries d'analyses physico-chimiques d'échantillons prélevés dans le

ruisseau des Echaravelles a l'amont et à l'aval des installations.

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- 24 -

ANNEXE 1

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU INVENTORIES

DANS LES ENVIRONS DE LA STATION DE TRAITEMENT D'OR¬

DURES MENAGERES ET DE LA DECHARGE CONTROLEE.

- 24 -

ANNEXE 1

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU INVENTORIES

DANS LES ENVIRONS DE LA STATION DE TRAITEMENT D'OR¬

DURES MENAGERES ET DE LA DECHARGE CONTROLEE.

Page 28: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 25 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

INDICE NATIONAL BRGM

ÜJ

<

>D0Ijuû

Z0

<u0

890 5X 1038

n° LOCAL 1

DEPARTEMENT -. l^^OME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : LE BOIS MAHON - COUVIERE

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP n°36 - ST PAUL TROIS CHATEAUX.

s'^'Â CONTACTER : (90) 34.34.42 ou [ (75) 04.71.11

COORDONNEES LAMBERTX .. 791.09 y. 232.11

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

<Cd

>

0

UJQ

(flliJD0.HH?

¬UJHU<

<u

CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF,

[ lyyy 6Z )

Couvercle

Tubem^ 0.30 m

So/

NATURE : piézomètre cadenassé

EQUIPE EN : t"^^ crépine ^ 6"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.70 m qatE : 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 8.47 m T° DATE: 22/05/81

NIVEAU CAPTE : "-^PPe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Olil NON

CARACTERISTIQUES:

UTILISATION- Contrôle (niveaux et chimie) de la nappe aux alentours de la déchargecontrôlée. Deux autres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.

DEBIT OU PUISSANCE :

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- situé en bordure Nord d'un chemin reliant la Route D.71 à la décharge contrôlée,â environ 100 m de la route.

- la STOM se trouve à 250 m environ au Nord.- la décharge contrôlée à 200 m au Sud-Est.- du point de vue hydrodynamique, le piézomètre se situe à l'amont, ou au plus, la¬

téralement à la décharge dans son état actuel, et latéralement, éventuellement àl'aval de la STOM.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 25 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

INDICE NATIONAL BRGM

ÜJ

<

>D0Ijuû

Z0

<u0

890 5X 1038

n° LOCAL 1

DEPARTEMENT -. l^^OME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : LE BOIS MAHON - COUVIERE

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP n°36 - ST PAUL TROIS CHATEAUX.

s'^'Â CONTACTER : (90) 34.34.42 ou [ (75) 04.71.11

COORDONNEES LAMBERTX .. 791.09 y. 232.11

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

<Cd

>

0

UJQ

(flliJD0.HH?

¬UJHU<

<u

CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF,

[ lyyy 6Z )

Couvercle

Tubem^ 0.30 m

So/

NATURE : piézomètre cadenassé

EQUIPE EN : t"^^ crépine ^ 6"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.70 m qatE : 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 8.47 m T° DATE: 22/05/81

NIVEAU CAPTE : "-^PPe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Olil NON

CARACTERISTIQUES:

UTILISATION- Contrôle (niveaux et chimie) de la nappe aux alentours de la déchargecontrôlée. Deux autres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.

DEBIT OU PUISSANCE :

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- situé en bordure Nord d'un chemin reliant la Route D.71 à la décharge contrôlée,â environ 100 m de la route.

- la STOM se trouve à 250 m environ au Nord.- la décharge contrôlée à 200 m au Sud-Est.- du point de vue hydrodynamique, le piézomètre se situe à l'amont, ou au plus, la¬

téralement à la décharge dans son état actuel, et latéralement, éventuellement àl'aval de la STOM.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

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- 26

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

INDICE NATIONAL BRGM

UJ

<a.>D0

ÜJQ

Zg

<u0

<et>

0

LuQ

(flUJ

DOH(fl

crUJHu<q:<u

890 5X 1039

n° LOCAL 2

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : LE BOIS MAHON

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP 36-26130 ST PAUL 3 CHATEAUX

¿^1. CONTACTER - (90)34.34.42

COORDONNEES LAMBERT

^791.85 '^- 231.95

(75) 04.71.11

PLAN DE SITUATION

SENS O ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE piezomêtre cadenassé

EQUIPE EN : tube crépine ^ 6"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.48 m DATE : 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 9 "05 j° DATE;

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

22/05/81

CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF

( ~ 265 )

N.e

&L S.O

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT qC/i NON

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION- ~ Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée.- fait partie d'un dispositif de 3 piézomètres.

DEBIT OU PUISSANCE ;

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- se situe à l'Ouest et à l'aval de la décharge contrôlée, à proximité de l'entréeet du local du gardien

- à proximité et à contrebas du canal d'amenée des eaux d'irrigation.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- le piézomètre est destiné a mettre en évidence une pollution éventuelle en pro¬venance de la décharge contrôlée, mais le canal d'irrigation pourrait être aussi une

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI : source de pollution.

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 26

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

INDICE NATIONAL BRGM

UJ

<a.>D0

ÜJQ

Zg

<u0

<et>

0

LuQ

(flUJ

DOH(fl

crUJHu<q:<u

890 5X 1039

n° LOCAL 2

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : LE BOIS MAHON

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP 36-26130 ST PAUL 3 CHATEAUX

¿^1. CONTACTER - (90)34.34.42

COORDONNEES LAMBERT

^791.85 '^- 231.95

(75) 04.71.11

PLAN DE SITUATION

SENS O ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE piezomêtre cadenassé

EQUIPE EN : tube crépine ^ 6"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.48 m DATE : 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 9 "05 j° DATE;

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

22/05/81

CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF

( ~ 265 )

N.e

&L S.O

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT qC/i NON

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION- ~ Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée.- fait partie d'un dispositif de 3 piézomètres.

DEBIT OU PUISSANCE ;

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- se situe à l'Ouest et à l'aval de la décharge contrôlée, à proximité de l'entréeet du local du gardien

- à proximité et à contrebas du canal d'amenée des eaux d'irrigation.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- le piézomètre est destiné a mettre en évidence une pollution éventuelle en pro¬venance de la décharge contrôlée, mais le canal d'irrigation pourrait être aussi une

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI : source de pollution.

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

Page 30: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 27 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU'

UJ

<a.>D0

UJQ

Z0

(fl_i<u0

<a.>D0

UJQ

tflUJ

DOH(fl

trmHU<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n LOCAL

890 5X 1040

COORDONNEES LAMBERT

X 792.00 Y: 231.51

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE ; ^T PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : COUVIERE

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT -Carrières et Décharge Contrôlée(C.D.C.)BP 36 - 26130 ST PAUL TROIS CHATEAUX

s'=1\ CONTACTER : (90) 34.34.42 OU (75) 04.71.11

PLAN DE SITUATION

3o/s Mahon

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

CROQUIS DUREPERE i

Z REPERE NGF !

( ~ 5/ )

sHf '"" n)

So/

0,30m

II IIIl IIil IIII II

NATURE : piézomètre cadenassé

EQUIPE EN : ^'"^^ crépine ^ 6"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.14 m pATE : 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 7.04 m T° DATE : 22/05/81t

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Ol/i NON

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION: Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée. Deuxautres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.DEBIT ou PUISSANCE :

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- située en rase campagne, en bordure du chemin, à l'aval de la décharge contrôlée.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe à l'aval dela décharge.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 27 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU'

UJ

<a.>D0

UJQ

Z0

(fl_i<u0

<a.>D0

UJQ

tflUJ

DOH(fl

trmHU<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n LOCAL

890 5X 1040

COORDONNEES LAMBERT

X 792.00 Y: 231.51

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE ; ^T PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : COUVIERE

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT -Carrières et Décharge Contrôlée(C.D.C.)BP 36 - 26130 ST PAUL TROIS CHATEAUX

s'=1\ CONTACTER : (90) 34.34.42 OU (75) 04.71.11

PLAN DE SITUATION

3o/s Mahon

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

CROQUIS DUREPERE i

Z REPERE NGF !

( ~ 5/ )

sHf '"" n)

So/

0,30m

II IIIl IIil IIII II

NATURE : piézomètre cadenassé

EQUIPE EN : ^'"^^ crépine ^ 6"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.14 m pATE : 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 7.04 m T° DATE : 22/05/81t

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Ol/i NON

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION: Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée. Deuxautres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.DEBIT ou PUISSANCE :

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- située en rase campagne, en bordure du chemin, à l'aval de la décharge contrôlée.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe à l'aval dela décharge.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

Page 31: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 28 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJ

Ü<cr>D0

UJû

z0

(̂fl_i<u0

UJ

<cr>D0_lUJQ

(flUDO1-

crUJI-u<Cï<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 4

890 5X 1041

COORDONNEES LAMBERT

X 792.02 Y: 231.33

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : ^^^^ ^ " ^^^ ^^^^^

PROPRIETAIRE : Mr ALBIN Charles

EXPLOITANT : Mr ALBIN

^'^% CONTACTER :

PLAN DE SITUATION-liasse sceptique

A

u

Ecurie

//angar^

, Jépendonces //

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : Puits de ferme ancien approfondi par CNR aumoyen d'un tube.EQUIPE EN : parois pierres ^gr 1 m puis 0.20 m -f tube

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.90 m d^j£ ; 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 5.92 m -^o ^^.^^ . 22/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(z/n

CARACTERISTIQUES: Pompe électrique.

UTILISATION- Alimentation de la ferme.

CROQUIS DU REFERE j

Z REPERE NGF |

( ~ 50 ) Í

4.Porte Fenêtre

(z) P/oque meta//i'guei,

Sol .

DEBIT OU PUISSANCE

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT:- puits sitiié à proximité immédiate de la façade de la maison, à gauche de la porte

d'entrée.- une simple plaque métallique recouvre le puits.- une fosse septique est située à l'arrière de la maison.- à 8 m environ, à l'Est (à gauche) une écurie.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- les risques de souillure locale ne sont pas à exclure.

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 28 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJ

Ü<cr>D0

UJû

z0

(̂fl_i<u0

UJ

<cr>D0_lUJQ

(flUDO1-

crUJI-u<Cï<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 4

890 5X 1041

COORDONNEES LAMBERT

X 792.02 Y: 231.33

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : ^^^^ ^ " ^^^ ^^^^^

PROPRIETAIRE : Mr ALBIN Charles

EXPLOITANT : Mr ALBIN

^'^% CONTACTER :

PLAN DE SITUATION-liasse sceptique

A

u

Ecurie

//angar^

, Jépendonces //

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : Puits de ferme ancien approfondi par CNR aumoyen d'un tube.EQUIPE EN : parois pierres ^gr 1 m puis 0.20 m -f tube

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.90 m d^j£ ; 22/05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 5.92 m -^o ^^.^^ . 22/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(z/n

CARACTERISTIQUES: Pompe électrique.

UTILISATION- Alimentation de la ferme.

CROQUIS DU REFERE j

Z REPERE NGF |

( ~ 50 ) Í

4.Porte Fenêtre

(z) P/oque meta//i'guei,

Sol .

DEBIT OU PUISSANCE

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT:- puits sitiié à proximité immédiate de la façade de la maison, à gauche de la porte

d'entrée.- une simple plaque métallique recouvre le puits.- une fosse septique est située à l'arrière de la maison.- à 8 m environ, à l'Est (à gauche) une écurie.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- les risques de souillure locale ne sont pas à exclure.

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

Page 32: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 29 -

FICHES SIGNALETIQUES .DES POINTS D'EAU

UJ

o<cr>D011

UJû

z0

(fl_j<U0

<cr>D0

UJQ

(flUJ

D0.I-(fl

CE

UJHU<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 5 COORDONNEES LAMBERT

890 5X 1042

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : La Dévalade

PROPRIETAIRE : Jacques VESIGNE

EXPLOITANT : " "

S"^1x CONTACTER : (90) 34.34.42

^ 792.38 Y; 231.25

A

PLAN DE SITUATION

Chemin accèsà /a ferme

Bosquet

Source

^ , Corriere\ I U£S/GfJ£

ancienne ferme ^"/o Déva/ade "

I / (en cours deremb/aiement)I/'/ y- .

SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE

DATE: 22/05/81

NATURE : Source

EQUIPE EN : déversoir ^

PROFONDEUR DU FOND/REPERE :

CREPINE DE : a

NP/REPERE:'^ 175 m -y" DATE:

NIVEAU CAPTE :

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON

CARACTERISTIQUES: débite en permanence .

UTILISATION: autrefois besoins de la ferme.

DEBIT OU PUISSANCE : ^ 0.1 à 0.5 1/s.

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

( ~'?'5 )

'"'S' m.\ 70/US l'Ill Xlii- c/eversoiril I'm lililí iKl ' ' "

source

j_ bassin .

1 1

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;

- carrière à l'amont dont la partie sud est en cours de comblement avec des ma¬

tériaux inertes : matériaux de démolition etc . . .

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : attention aux risques de contamination de l'eaupar suite du dépôt de matériaux à l'amont.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 29 -

FICHES SIGNALETIQUES .DES POINTS D'EAU

UJ

o<cr>D011

UJû

z0

(fl_j<U0

<cr>D0

UJQ

(flUJ

D0.I-(fl

CE

UJHU<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 5 COORDONNEES LAMBERT

890 5X 1042

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : La Dévalade

PROPRIETAIRE : Jacques VESIGNE

EXPLOITANT : " "

S"^1x CONTACTER : (90) 34.34.42

^ 792.38 Y; 231.25

A

PLAN DE SITUATION

Chemin accèsà /a ferme

Bosquet

Source

^ , Corriere\ I U£S/GfJ£

ancienne ferme ^"/o Déva/ade "

I / (en cours deremb/aiement)I/'/ y- .

SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE

DATE: 22/05/81

NATURE : Source

EQUIPE EN : déversoir ^

PROFONDEUR DU FOND/REPERE :

CREPINE DE : a

NP/REPERE:'^ 175 m -y" DATE:

NIVEAU CAPTE :

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON

CARACTERISTIQUES: débite en permanence .

UTILISATION: autrefois besoins de la ferme.

DEBIT OU PUISSANCE : ^ 0.1 à 0.5 1/s.

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

( ~'?'5 )

'"'S' m.\ 70/US l'Ill Xlii- c/eversoiril I'm lililí iKl ' ' "

source

j_ bassin .

1 1

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;

- carrière à l'amont dont la partie sud est en cours de comblement avec des ma¬

tériaux inertes : matériaux de démolition etc . . .

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : attention aux risques de contamination de l'eaupar suite du dépôt de matériaux à l'amont.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

Page 33: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 30 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo

>D0'_!UlÛ

Z0

(fl

<u0

<cr>D0_iUlD

(flUJ

D0-I-(fl

crUJHu<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 11

890 IX 0049

COORDONNEES LAMBERTX: 792.28 Y-. 233.05

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR

LIEU DIT l'Es FRERESSES

PROPRIETAIRE : Mr SALEL AlainIl II

EXPLOITANT :

s"^*Â CONTACTER : 04.22.69

PLAN [DE SITUATION

A

U

Mai'son^ d'habitoé/on

^Hangar

I.

4^^SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits domestique.

EQUIPE EN : puits en pierre 0 1.20 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11.50 m DATE : 21 /05/81

CREPINE DE : - a

NP/REPERE: 10.93 m j» p^TE : 21 /05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N0N

CARACTERISTIQUES: Pope électrique.

UTILISATION: alimentation dé la ferme.

DEBIT OU PUISSANCE :

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

( ~ 55 )

1

f^

' o.so'

\ abri-enci'erfes

Porte

Sol

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits situé à l'aval de la maison et de ses dépendances.- en pied de colline en dehors du domaine de la plaine.- en contrebas et à faible distance (20 m environ) du canal d'amenée des eaux

d'irrigation.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- puits non représentatif de la nappe vu qu'il se situe sur les bordures Est enpied de colline - risque de souillures locales.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 30 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo

>D0'_!UlÛ

Z0

(fl

<u0

<cr>D0_iUlD

(flUJ

D0-I-(fl

crUJHu<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 11

890 IX 0049

COORDONNEES LAMBERTX: 792.28 Y-. 233.05

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR

LIEU DIT l'Es FRERESSES

PROPRIETAIRE : Mr SALEL AlainIl II

EXPLOITANT :

s"^*Â CONTACTER : 04.22.69

PLAN [DE SITUATION

A

U

Mai'son^ d'habitoé/on

^Hangar

I.

4^^SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits domestique.

EQUIPE EN : puits en pierre 0 1.20 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11.50 m DATE : 21 /05/81

CREPINE DE : - a

NP/REPERE: 10.93 m j» p^TE : 21 /05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N0N

CARACTERISTIQUES: Pope électrique.

UTILISATION: alimentation dé la ferme.

DEBIT OU PUISSANCE :

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

( ~ 55 )

1

f^

' o.so'

\ abri-enci'erfes

Porte

Sol

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits situé à l'aval de la maison et de ses dépendances.- en pied de colline en dehors du domaine de la plaine.- en contrebas et à faible distance (20 m environ) du canal d'amenée des eaux

d'irrigation.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- puits non représentatif de la nappe vu qu'il se situe sur les bordures Est enpied de colline - risque de souillures locales.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

Page 34: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 31 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo<a.>D0-JUJQ

Z0

(fl

<u0

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL .12 COORDONNEES LAMBERT

890 5X 1045>^- 791.15 Y-. 7.31 .98

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ^T PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : FENOUILLET

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT ^^ HUGUES, cultivateur.

S'^^ CONTACTER : (75) 04.72.86

A

H

PLAN DE SITUATION

Chemin sans issu

TrrnTmi^'

ilOm

o

SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE

<a.>D0

UJQ

(flUJ

D0.H(fl

crUJHU<cr<u

NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant

EQUIPE EN : buses 0" 1.20m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 2.08 m DATE: 21/05/81

CREPINE DE : néant ¿

NP/REPERE: 1 .72 m T° DATE : 21/05/81

CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF

{ ^ 56 )

Couverc/e béton amovib/eCouverc/e fixe

Soi

Repère (Z) 4 |

Buses

/I I

I 1

I I

I I

NIVEAU CAPTE: nappe phréatique .

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT 0¿ll NON

CARACTERISTIQUES:

UTILISATION : Irrigation par aspersion.

DEBIT OU PUISSANCE :

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;

- situé en bordure d'un champ, en pied de tallus (graviers rapportés par suite destravaux de la C.N.R.) , éloigné de toute habitation (350 m au Nord).

- l'autoroute A7 passe à 45 m environ à l'Est.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- le site est favorable à un suivi de la nappe, sous réserve de pomper suffisammentvu la nature du puits et l'absence de pompage la majeure partie du teraps.

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

- 31 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo<a.>D0-JUJQ

Z0

(fl

<u0

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL .12 COORDONNEES LAMBERT

890 5X 1045>^- 791.15 Y-. 7.31 .98

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ^T PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : FENOUILLET

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT ^^ HUGUES, cultivateur.

S'^^ CONTACTER : (75) 04.72.86

A

H

PLAN DE SITUATION

Chemin sans issu

TrrnTmi^'

ilOm

o

SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE

<a.>D0

UJQ

(flUJ

D0.H(fl

crUJHU<cr<u

NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant

EQUIPE EN : buses 0" 1.20m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 2.08 m DATE: 21/05/81

CREPINE DE : néant ¿

NP/REPERE: 1 .72 m T° DATE : 21/05/81

CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF

{ ^ 56 )

Couverc/e béton amovib/eCouverc/e fixe

Soi

Repère (Z) 4 |

Buses

/I I

I 1

I I

I I

NIVEAU CAPTE: nappe phréatique .

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT 0¿ll NON

CARACTERISTIQUES:

UTILISATION : Irrigation par aspersion.

DEBIT OU PUISSANCE :

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;

- situé en bordure d'un champ, en pied de tallus (graviers rapportés par suite destravaux de la C.N.R.) , éloigné de toute habitation (350 m au Nord).

- l'autoroute A7 passe à 45 m environ à l'Est.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- le site est favorable à un suivi de la nappe, sous réserve de pomper suffisammentvu la nature du puits et l'absence de pompage la majeure partie du teraps.

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI

Page 35: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 32 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo<a.>D0

UlQ

Z0

(fl

<u0

<cr>

0

UJQ

IflUJ

D0.h-iflcrUJHU<a.<u

INDICE NATIONAL BRGM

890 5X 1046

n° LOCAL 13

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT ^^' quartier Fenouillet

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur

á'^^ CONTACTER : (75) . 04 .'72. 86

COORDONNEES LAMBERT

X -. 791.29 Y-.232.03

PLAN C3E SITUATION

Autoroute A7

Puitso

' Cana/ d'/rrigation

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant.

E(PUIPE EN : buses 0 1 . 20 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: " DATE: '° '

CREPINE DE : néant ^

NP/REPERE: 5.75 ra j" DATE : 21/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatiqueI

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT c/ui NON

CARACTERISTIOUES:

UTILISATION: irrigation par aspersion

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

( ~5Ô )

Couverc/e béton

do//ebéton (z)

3\ IC

Buses

DEBIT OU PUISSANCE ;

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- à 50 m environ à l'Est de l'autoroute.

- situé dans un champ.

- à proximité immédiate du canal d'irrigation.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

^ des infiltrations à partir du canal d'irrigation ne sont pas à exclure.

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl

PROFONDEUR CXJ NIVEAU MAXI :

- 32 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo<a.>D0

UlQ

Z0

(fl

<u0

<cr>

0

UJQ

IflUJ

D0.h-iflcrUJHU<a.<u

INDICE NATIONAL BRGM

890 5X 1046

n° LOCAL 13

DEPARTEMENT : DROME

COMMUNE ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT ^^' quartier Fenouillet

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur

á'^^ CONTACTER : (75) . 04 .'72. 86

COORDONNEES LAMBERT

X -. 791.29 Y-.232.03

PLAN C3E SITUATION

Autoroute A7

Puitso

' Cana/ d'/rrigation

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant.

E(PUIPE EN : buses 0 1 . 20 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: " DATE: '° '

CREPINE DE : néant ^

NP/REPERE: 5.75 ra j" DATE : 21/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatiqueI

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT c/ui NON

CARACTERISTIOUES:

UTILISATION: irrigation par aspersion

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

( ~5Ô )

Couverc/e béton

do//ebéton (z)

3\ IC

Buses

DEBIT OU PUISSANCE ;

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- à 50 m environ à l'Est de l'autoroute.

- situé dans un champ.

- à proximité immédiate du canal d'irrigation.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

^ des infiltrations à partir du canal d'irrigation ne sont pas à exclure.

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl

PROFONDEUR CXJ NIVEAU MAXI :

Page 36: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 33 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

Ulo<cr>D0"JUJû

z0

(fl_j<u0

<cr>D0_lUJQ

(flU

9H(fl

crUJHu<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 14

890 5X 1047

COORDONNEES LAMBERT

>^ -791.25 Y: 231.26

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : FENOUILLET

PROPRIETAIRE

EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur

¿""Â CONTACTER : (75)04.72.86

PLAN DE SITUATION

Poa/oi//erfé/evage)

Maison

Puits

i ilt

'Coar

Maison

\ ^ \\ Portai/ \> de'pendonces "

2^̂

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits de ferme AEP

E<;?UIPE EN : buses ¡^ 1.20 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: DATE:

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 5.20 m .^o ^^^^ . 21/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NQÍN

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION: besoins domestiques.

DEBIT OU PUISSANCE : 5 m3/h (max).

CROQUIS DUREPEREz REPERE NGF

( 57. 9/ )

Conduite pompe

P/aques m eta//icfuespose'es sur /e soi

So/ garage

Tr

Buses

fiepére(Z)

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits situé à l'intérieur de la ferrae, dans un hangar.- la protection immédiate du puits n'est pas satisfaisante : 2 plaques métalliques

posées sur le sol et non jointives recouvrent le puits. Sur ces plaques et àproximité sont déposés, des sacs et objets divers.

- canalisation eaux usées à proximité.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- environnement inimédiat et caractéristiques techniques du puits peu favorable à unsuivi des caractéristiques chimiques et bactériologiques des eaux.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

- le puits fait -parti du Réseau CNR actuellement relevé 2 fois par an, autrefoismensuellement.

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :

- 33 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

Ulo<cr>D0"JUJû

z0

(fl_j<u0

<cr>D0_lUJQ

(flU

9H(fl

crUJHu<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 14

890 5X 1047

COORDONNEES LAMBERT

>^ -791.25 Y: 231.26

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT : FENOUILLET

PROPRIETAIRE

EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur

¿""Â CONTACTER : (75)04.72.86

PLAN DE SITUATION

Poa/oi//erfé/evage)

Maison

Puits

i ilt

'Coar

Maison

\ ^ \\ Portai/ \> de'pendonces "

2^̂

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits de ferme AEP

E<;?UIPE EN : buses ¡^ 1.20 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: DATE:

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 5.20 m .^o ^^^^ . 21/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NQÍN

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION: besoins domestiques.

DEBIT OU PUISSANCE : 5 m3/h (max).

CROQUIS DUREPEREz REPERE NGF

( 57. 9/ )

Conduite pompe

P/aques m eta//icfuespose'es sur /e soi

So/ garage

Tr

Buses

fiepére(Z)

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits situé à l'intérieur de la ferrae, dans un hangar.- la protection immédiate du puits n'est pas satisfaisante : 2 plaques métalliques

posées sur le sol et non jointives recouvrent le puits. Sur ces plaques et àproximité sont déposés, des sacs et objets divers.

- canalisation eaux usées à proximité.

APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :

- environnement inimédiat et caractéristiques techniques du puits peu favorable à unsuivi des caractéristiques chimiques et bactériologiques des eaux.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

- le puits fait -parti du Réseau CNR actuellement relevé 2 fois par an, autrefoismensuellement.

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :

Page 37: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

UJ

o<cr>DO

UJû

Zo

(fl_i<uo

<a.>DO_IUJû

(fluD

(fl

crUlHU<cr<u

- 34 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

índice NATIONAL BRGM

890 5X 1048

n° LOCAL 15

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT :

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Mr LOUCHE Garde station depompage des Echaravelles.

¿'"Â CONTACTER : (75) 04.72.69

COORDONNEES LAMBERT

X -. 791.09 Y-. 232.31

NATURE : puits AEP particulier.

PLAN DE SITUATION

Dépendances (hangar)

C/oture

/liaison

Jard/'n potager

Autoroute fi 7

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

E(?UIPE EN tube 0 0.3 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 7.32 m DATE :23/05/81

CREPINE DE : . a

NP/REPERE: 5.92 m j" DATE : 23/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(^N

CARACTERISTIQUES: Pompe électrique

UTILISATION: Arrosage du jardin et besoins domestiques,

DEBIT OU PUISSANCE :

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

{ 'ySO )

0£0m

-^^^ Obri belon

1.10m

-Z. repère 1

^ Soi

fer'f--'-'i:----Jï ^' ''^P"' ^

Pompe

tube 0O.3OJ-l-

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- ouvrage situé dans un abri en béton avec porte métallique fermée à clef : pro¬tection immédiate très bonne.

- puits implanté au railieu du jardin potager, au Sud de la maison d'habitation, àune dizaine de mètres de la façade sud.

- il n'y a pas de dépôt visible de matières polluantes- l'autoroute A6 passe à 40 m environ à l'Est du puits.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- environnement et caractéristiques de l'ouvrage favorable a priori pour un suivide la nappe (niveau et chimie) .

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :

UJ

o<cr>DO

UJû

Zo

(fl_i<uo

<a.>DO_IUJû

(fluD

(fl

crUlHU<cr<u

- 34 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

índice NATIONAL BRGM

890 5X 1048

n° LOCAL 15

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT :

PROPRIETAIRE :

EXPLOITANT : Mr LOUCHE Garde station depompage des Echaravelles.

¿'"Â CONTACTER : (75) 04.72.69

COORDONNEES LAMBERT

X -. 791.09 Y-. 232.31

NATURE : puits AEP particulier.

PLAN DE SITUATION

Dépendances (hangar)

C/oture

/liaison

Jard/'n potager

Autoroute fi 7

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

E(?UIPE EN tube 0 0.3 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 7.32 m DATE :23/05/81

CREPINE DE : . a

NP/REPERE: 5.92 m j" DATE : 23/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(^N

CARACTERISTIQUES: Pompe électrique

UTILISATION: Arrosage du jardin et besoins domestiques,

DEBIT OU PUISSANCE :

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

{ 'ySO )

0£0m

-^^^ Obri belon

1.10m

-Z. repère 1

^ Soi

fer'f--'-'i:----Jï ^' ''^P"' ^

Pompe

tube 0O.3OJ-l-

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- ouvrage situé dans un abri en béton avec porte métallique fermée à clef : pro¬tection immédiate très bonne.

- puits implanté au railieu du jardin potager, au Sud de la maison d'habitation, àune dizaine de mètres de la façade sud.

- il n'y a pas de dépôt visible de matières polluantes- l'autoroute A6 passe à 40 m environ à l'Est du puits.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- environnement et caractéristiques de l'ouvrage favorable a priori pour un suivide la nappe (niveau et chimie) .

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :

Page 38: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 35 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJ

o

>D0IjUJQ

z0

(̂fl_i<U0

<cr>D0_lUJQ

(flUJDQ

10

crUJI-u<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° CNR S. 224

n LOCAL J7.890 5X 1050

COORDONNEES LAMBERT

X: 791.56 Y: 232.78

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : GARDE ADHEMAR

LIEU DIT : Bordure D 71

PROPRIETAIRE : Mr MARTIN

EXPLOITANT :

S^*^^ CONTACTER

Il II

iN

PLAN DE SITUATION. Cana/ d'irrigation

N

:i

A- Puits

Stp/ion

il3

yy Maison efy/l/,//:de'pendances

m1

SENS D' ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits en pierres.

EQUIPE EN : puits 0 1.10 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 'l 10 ra DATE;

CREPINE DE

NP/REPERE: 7.40 ra T° DATE : 25/06/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI

CARACTERISTIQUES: pompe électrique.

UTILISATION: besoins domestiques.

DEBIT OU PUISSANCE

CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF

( ^59.95 )

Bassin CouvercleamovibleI (repère Z)

T2

Pierres .

N6h/

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- à une quinzaine de mètres à l'Est de la route D 71

- au Nord-Ouest de la maison, donc à l'amont- dans un secteur non cultivé, occupé par des broussailles- absence de sources de contamination- présence toutefois du canal d'amenée des eaux d'irrigation situé du raême côté

de la route. ,, -^' '

APPRECIATIONS 'DE L UTILISATEUR ;

- environnement favorable, hormis' le canal d'amenée des eaux qui présentent desfui ces notables. Hais; protection insuffisante de l'ouvrage.

PHOrONDEUR DU NIVEAU MIPH:

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI :

- 35 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJ

o

>D0IjUJQ

z0

(̂fl_i<U0

<cr>D0_lUJQ

(flUJDQ

10

crUJI-u<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° CNR S. 224

n LOCAL J7.890 5X 1050

COORDONNEES LAMBERT

X: 791.56 Y: 232.78

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : GARDE ADHEMAR

LIEU DIT : Bordure D 71

PROPRIETAIRE : Mr MARTIN

EXPLOITANT :

S^*^^ CONTACTER

Il II

iN

PLAN DE SITUATION. Cana/ d'irrigation

N

:i

A- Puits

Stp/ion

il3

yy Maison efy/l/,//:de'pendances

m1

SENS D' ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits en pierres.

EQUIPE EN : puits 0 1.10 m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 'l 10 ra DATE;

CREPINE DE

NP/REPERE: 7.40 ra T° DATE : 25/06/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI

CARACTERISTIQUES: pompe électrique.

UTILISATION: besoins domestiques.

DEBIT OU PUISSANCE

CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF

( ^59.95 )

Bassin CouvercleamovibleI (repère Z)

T2

Pierres .

N6h/

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- à une quinzaine de mètres à l'Est de la route D 71

- au Nord-Ouest de la maison, donc à l'amont- dans un secteur non cultivé, occupé par des broussailles- absence de sources de contamination- présence toutefois du canal d'amenée des eaux d'irrigation situé du raême côté

de la route. ,, -^' '

APPRECIATIONS 'DE L UTILISATEUR ;

- environnement favorable, hormis' le canal d'amenée des eaux qui présentent desfui ces notables. Hais; protection insuffisante de l'ouvrage.

PHOrONDEUR DU NIVEAU MIPH:

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI :

Page 39: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 36 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UlO<a.>D011

UJQ

Z0

Ifl_l<u0

<cr>D0

UJQ

(flUJ3OHIflcrUJHO<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n' LOCAL 18

890 5X 1051

COORDONNEES LAMBERTX : 791.51 Y-. 232.70

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : GARDE ADHEMAR

LIEU DIT : GARRIGUE

PROPRIETAIRE :Mr CUCHET J^aurice

Il II

EXPLOITANT :

S'^^ CONTACTER : ^^5) 04.72.87

NATURE : (propriétaire absent)

A

N

PLAN DE SITUATION

oooooooooooooooooq^Cloture (arbres) vtttti P^miei

Fosse sceptitjue

Hangar

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

t.

EQUIPE EN : ?

PROFONDEUR DU FOND/REPERE

CREPINE DE : ' a

NP/REPERE: ? T°

NIVEAU CAPTE :

0

DATE25/06/81

DATE

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

[ ~ 60 )

Sol hangar Couvercle

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NC^^

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION :besoins de la ferme

DEBIT OU PUISSANCE

DESCRIPTION DE. l'environnement :

- puits à l'intérieur du hangar fermé- dépôts divers à proxiraité du puits- puits situé à l'aval de la fosse septique et du furaier à une distance de l'ordre

de 25 m.

APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI

- 36 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UlO<a.>D011

UJQ

Z0

Ifl_l<u0

<cr>D0

UJQ

(flUJ3OHIflcrUJHO<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n' LOCAL 18

890 5X 1051

COORDONNEES LAMBERTX : 791.51 Y-. 232.70

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : GARDE ADHEMAR

LIEU DIT : GARRIGUE

PROPRIETAIRE :Mr CUCHET J^aurice

Il II

EXPLOITANT :

S'^^ CONTACTER : ^^5) 04.72.87

NATURE : (propriétaire absent)

A

N

PLAN DE SITUATION

oooooooooooooooooq^Cloture (arbres) vtttti P^miei

Fosse sceptitjue

Hangar

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

t.

EQUIPE EN : ?

PROFONDEUR DU FOND/REPERE

CREPINE DE : ' a

NP/REPERE: ? T°

NIVEAU CAPTE :

0

DATE25/06/81

DATE

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

[ ~ 60 )

Sol hangar Couvercle

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NC^^

CARACTERISTIQUES :

UTILISATION :besoins de la ferme

DEBIT OU PUISSANCE

DESCRIPTION DE. l'environnement :

- puits à l'intérieur du hangar fermé- dépôts divers à proxiraité du puits- puits situé à l'aval de la fosse septique et du furaier à une distance de l'ordre

de 25 m.

APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI

Page 40: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 37 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo<a.>D0

UJû

Z0

Ifl_J

<u0

<tr>D0_1

UJQ

10UJ

DaH(fl

crUJHU<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 21

'890 IX 0052

COORDONNEES LAMBERT

X-. 791.96 Y-. 233.10

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT - ^^S FRERESSES

PROPRIETAIRE : Mr SALEL René

EXPLOITANT : " "

S'^^'Â CONTACTER : (75) 04.11.06

PLAN DE SITUATION

Fosse sceptique

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits de ferme approfondi au moyen d'un tube.

E(?UIPE EN : pierres 0- \ m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11 m DA'TE :21 /05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 6.85 ra j° DATE: 21/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique : niveau aquifëre sous couche peu perméableséparant semble-t-il le niveau capté par le tube du premier niveau peu épais.EQUIPEMENT .PRELEVEMENT PERMANENT OUI NON

CARACTERISTIQUES: PO^P^ électrique.^

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

[ ^ 58 )

UTILISATION: besoins domestiques

DEBIT OU PUISSANCE

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits à l'aval (12 m environ) de la fosse septique- eau trouble parfois à la saison des pluies et pollution olfactive et bactérienne

en 1976- moins de problème, semble-t-il, depuis la mise en place d'un tube permettant le

captage d'un niveau plus profond.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- une pollution locale n'est pas à exclure (fosse septique et canalisation d'exhaureà l'amont) .

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI -

PROFONDEUR, CXJ NIVEAU MAXI

- 37 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJo<a.>D0

UJû

Z0

Ifl_J

<u0

<tr>D0_1

UJQ

10UJ

DaH(fl

crUJHU<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 21

'890 IX 0052

COORDONNEES LAMBERT

X-. 791.96 Y-. 233.10

DEPARTEMENT -. DROME

COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT - ^^S FRERESSES

PROPRIETAIRE : Mr SALEL René

EXPLOITANT : " "

S'^^'Â CONTACTER : (75) 04.11.06

PLAN DE SITUATION

Fosse sceptique

SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : puits de ferme approfondi au moyen d'un tube.

E(?UIPE EN : pierres 0- \ m

PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11 m DA'TE :21 /05/81

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 6.85 ra j° DATE: 21/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique : niveau aquifëre sous couche peu perméableséparant semble-t-il le niveau capté par le tube du premier niveau peu épais.EQUIPEMENT .PRELEVEMENT PERMANENT OUI NON

CARACTERISTIQUES: PO^P^ électrique.^

CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF

[ ^ 58 )

UTILISATION: besoins domestiques

DEBIT OU PUISSANCE

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits à l'aval (12 m environ) de la fosse septique- eau trouble parfois à la saison des pluies et pollution olfactive et bactérienne

en 1976- moins de problème, semble-t-il, depuis la mise en place d'un tube permettant le

captage d'un niveau plus profond.

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :

- une pollution locale n'est pas à exclure (fosse septique et canalisation d'exhaureà l'amont) .

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI -

PROFONDEUR, CXJ NIVEAU MAXI

Page 41: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 38 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJ

<a.>D0

UJQ

Z0

(fl_l<u0

<cr>D0_JUJû

(flUJ

D0-H(fl

crUlHU<et<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 22

890 5X 1052

COORDONNEES LAMBERT

X- 791.77 Y: 232.55

DEPARTEMENT -.DROME

COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR

LIEU DIT : (NORD-EST DE LA STOM)

PROPRIETAIRE

EXPLOITANT :

S"^^ CONTACTER

Mr THURON

PLAN DE SITUATION

<>'. Puits

JardinECOULEMENT DE LA NAPPE

forêt

NATURE : puits domestique

EQUIPE EN : buses ^ 1.20 m -^ tube

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 16 m ^ DATE:

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 10.85 ra T° DATE: 22/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(Û^N

CARACTERISTIQUES: pompe électrique 2 m3/h

UTILISATION; besoins domestiques plus pompe à chaleur.

DEBIT ou PUISSANCE : 2 m3/h

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits situé à l'amont de la maison.

CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF

( ~ 62 )

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : P°i^t d'eau à retenir pour une campagned'analyses.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI

- 38 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJ

<a.>D0

UJQ

Z0

(fl_l<u0

<cr>D0_JUJû

(flUJ

D0-H(fl

crUlHU<et<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 22

890 5X 1052

COORDONNEES LAMBERT

X- 791.77 Y: 232.55

DEPARTEMENT -.DROME

COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR

LIEU DIT : (NORD-EST DE LA STOM)

PROPRIETAIRE

EXPLOITANT :

S"^^ CONTACTER

Mr THURON

PLAN DE SITUATION

<>'. Puits

JardinECOULEMENT DE LA NAPPE

forêt

NATURE : puits domestique

EQUIPE EN : buses ^ 1.20 m -^ tube

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 16 m ^ DATE:

CREPINE DE : a

NP/REPERE: 10.85 ra T° DATE: 22/05/81

NIVEAU CAPTE : nappe phréatique

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(Û^N

CARACTERISTIQUES: pompe électrique 2 m3/h

UTILISATION; besoins domestiques plus pompe à chaleur.

DEBIT ou PUISSANCE : 2 m3/h

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- puits situé à l'amont de la maison.

CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF

( ~ 62 )

APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : P°i^t d'eau à retenir pour une campagned'analyses.

PROFONDEUR DU NIVEAU MINI

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI

Page 42: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 39 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJO

>D0IjUJQ

Z0

(fl_1<u0

<cr>D0

"_!

UJQ

(flUJDqH(fl

crUJI-u<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 23

890 5X 1053

COORDONNEES LAMBERT

X: 791.55 Y: 232.35

DEPARTEMENT -.DROME

COMMUNE .-SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT :

PROPRIETAIRE : Syndicat Intercommunald'Etude, de Réalisation et de Gestion duEXPLOITANT : Triacastin.

Il

S"=^ CONTACTER : (90) 30.97.49

PLAN DE SITUATION

A SondageD'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : sondage de recherche d'eau

EQUIPE EN : tube PVC 0 8"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 1 9 m DATE:

CREPINE DE : a

NP/REPERE:? 19 m T° DATE:

NIVEAU CAPTE :

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON

CARACTERISTIQUES: f^-ii^i'.

UTILISATION- recherche d'eau. Forage à sec.

DEBIT ou PUISSANCE :

CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF

( ^ 6Z )

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- situé à l'aval de la STOM et des locaux du personnel de l'usine.

APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI

- 39 -

FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU

UJO

>D0IjUJQ

Z0

(fl_1<u0

<cr>D0

"_!

UJQ

(flUJDqH(fl

crUJI-u<cr<u

INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 23

890 5X 1053

COORDONNEES LAMBERT

X: 791.55 Y: 232.35

DEPARTEMENT -.DROME

COMMUNE .-SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

LIEU DIT :

PROPRIETAIRE : Syndicat Intercommunald'Etude, de Réalisation et de Gestion duEXPLOITANT : Triacastin.

Il

S"=^ CONTACTER : (90) 30.97.49

PLAN DE SITUATION

A SondageD'ECOULEMENT DE LA NAPPE

NATURE : sondage de recherche d'eau

EQUIPE EN : tube PVC 0 8"

PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 1 9 m DATE:

CREPINE DE : a

NP/REPERE:? 19 m T° DATE:

NIVEAU CAPTE :

EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON

CARACTERISTIQUES: f^-ii^i'.

UTILISATION- recherche d'eau. Forage à sec.

DEBIT ou PUISSANCE :

CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF

( ^ 6Z )

DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :

- situé à l'aval de la STOM et des locaux du personnel de l'usine.

APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR

PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl

PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI

Page 43: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 40 -

ANNEXE 2

QUELQUES RESULTATS D'ANALYSES D'ECHANTILLONS

D'EAU PRELEVES DANS CERTAINS PUITS OU PIEZO¬

METRES DU SECTEUR ETUDIE.

- 40 -

ANNEXE 2

QUELQUES RESULTATS D'ANALYSES D'ECHANTILLONS

D'EAU PRELEVES DANS CERTAINS PUITS OU PIEZO¬

METRES DU SECTEUR ETUDIE.

Page 44: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

""aporatoire Vétérinaire^''^°Sépartemental ;

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

- 41 -

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse: 1931

Département : DROME

Commune : SAINT PAUL TROIS CHATE.WX

Nature : TU3E 1

Observations :

Effectué le: 29/05/80

Par : ^^ONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

CRésistivité

2046

p H

7.5

Turbidité

-

Couleur

ROUILLE

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

)ANALYSE CHIMIQUE

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.5

T. H.

ai^s

T. A. C.

25*'

N h4 +mg/l

0.19

N 02 -mg/l

0-22

N 03 -mg/l

4.5

cr-mg/l

12

S 04 --mg/l

41

Fe + +mg/l

11

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 440)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)

après 24 heures à 37°

après 72 heures è 20°

NEANT

3190

NEANT

NEANT

240

par

par

par

par

par ml

par ml

100 ml

100 ml

100 ml

100 ml

CONCLUSIONDCO en mg/l 02 : 28 Métaux lourds (Plomb) ; 0,05 mg/l Pb++

Eau très ferrugineuse, turbide et colorée. ^

Présence de nitrites et d'ammoniaque en quantité trop importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques fécaux

- . Valence, le 03/05/80Le Dii

BRACHET ^^h^r^.

""aporatoire Vétérinaire^''^°Sépartemental ;

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

- 41 -

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse: 1931

Département : DROME

Commune : SAINT PAUL TROIS CHATE.WX

Nature : TU3E 1

Observations :

Effectué le: 29/05/80

Par : ^^ONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

CRésistivité

2046

p H

7.5

Turbidité

-

Couleur

ROUILLE

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

)ANALYSE CHIMIQUE

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.5

T. H.

ai^s

T. A. C.

25*'

N h4 +mg/l

0.19

N 02 -mg/l

0-22

N 03 -mg/l

4.5

cr-mg/l

12

S 04 --mg/l

41

Fe + +mg/l

11

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 440)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)

après 24 heures à 37°

après 72 heures è 20°

NEANT

3190

NEANT

NEANT

240

par

par

par

par

par ml

par ml

100 ml

100 ml

100 ml

100 ml

CONCLUSIONDCO en mg/l 02 : 28 Métaux lourds (Plomb) ; 0,05 mg/l Pb++

Eau très ferrugineuse, turbide et colorée. ^

Présence de nitrites et d'ammoniaque en quantité trop importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques fécaux

- . Valence, le 03/05/80Le Dii

BRACHET ^^h^r^.

Page 45: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

ÎORATOIRE VÉTÉRINAIREfg« DÉPARTEMENTAL

, ^fil'l ' ' , k0:., ' ' ':"Sé'S.-;.- 20, rue Leon-Blum.t|î.v.-^- 26000 VALENCE

. ^:*i^st- -

s' ' ...

->-li- Numéro d'analyse

:- 42 -agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31 . .

ANALYSE D'EAU

y¿>i "

ij?'î. Demandeur

'.cVi..

r-'

Point d'eau

Prélèvement

Département

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

1932

DROMB

SAINT PAUL TROIS CHATBAUX

TUBE 2 .

29/05/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUEr

Résistivité

1672

V

. P H

7.3

Turbidité Couleur

ROUILLS

Odeur

NULLE

. Saveur Dépôt

J

ANALYSE CHIMIQUE

02 cédé parMn 04 K mg/l

1

T. H.

40<»5

' T. A. C.

36»5

N h4 +mg/l

0.57

N 02 -; mg/l

1 : '0.31 ,

>

N 03 -mg/l

9

Cl -* mg/l

5

S 04- mg/l

30

Fe + -^. mg/l

..:, 12

J

ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane «filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu wiison-aïaîr)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

2970

NEANT

NEANT

430

. - par

par

. .'- par

par

par ml

par ml

100 ml

100 ml

100 ml

100 ml

CONCLUSIOND C 0 on mg/l 02 : 28 Métatix lourds (Plomb) t 0,05 mg/l Pb4+Eau très ferrugineuse, ttlrbide et colorée. ^

Présence da nitrites et d'ammoniaque en quemtitá trop impor-tante.Présence d'une flore assez importante en s-traptocoques fécaux

Valence, le 03/06/80

ÎORATOIRE VÉTÉRINAIREfg« DÉPARTEMENTAL

, ^fil'l ' ' , k0:., ' ' ':"Sé'S.-;.- 20, rue Leon-Blum.t|î.v.-^- 26000 VALENCE

. ^:*i^st- -

s' ' ...

->-li- Numéro d'analyse

:- 42 -agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31 . .

ANALYSE D'EAU

y¿>i "

ij?'î. Demandeur

'.cVi..

r-'

Point d'eau

Prélèvement

Département

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

1932

DROMB

SAINT PAUL TROIS CHATBAUX

TUBE 2 .

29/05/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUEr

Résistivité

1672

V

. P H

7.3

Turbidité Couleur

ROUILLS

Odeur

NULLE

. Saveur Dépôt

J

ANALYSE CHIMIQUE

02 cédé parMn 04 K mg/l

1

T. H.

40<»5

' T. A. C.

36»5

N h4 +mg/l

0.57

N 02 -; mg/l

1 : '0.31 ,

>

N 03 -mg/l

9

Cl -* mg/l

5

S 04- mg/l

30

Fe + -^. mg/l

..:, 12

J

ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane «filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu wiison-aïaîr)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

2970

NEANT

NEANT

430

. - par

par

. .'- par

par

par ml

par ml

100 ml

100 ml

100 ml

100 ml

CONCLUSIOND C 0 on mg/l 02 : 28 Métatix lourds (Plomb) t 0,05 mg/l Pb4+Eau très ferrugineuse, ttlrbide et colorée. ^

Présence da nitrites et d'ammoniaque en quemtitá trop impor-tante.Présence d'une flore assez importante en s-traptocoques fécaux

Valence, le 03/06/80

Page 46: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

- 43 -LABORATOIRE VÉTÉRINAIRE

DÉPARTEMENTAL

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

foùrvt <á''ea.u n° 3

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :

( DépartementDemandeur

Point d'eau

Prélèvement

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

1933

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

TUBE 3

29/05/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

2805

p H

7.45

Turbidité Couleur

ROUILLE

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

JANALYSE CHIMIQUE

02 cédé parMn 04 K mg/l

3.5

T. H.

21»

t!a. C.

12«'5

N h4 +mg/l

0.76

N 02 -mg/l

O.Ol

1

N 03 -mg/l

0

cf-mg/l

16

S 04 --mg/l

40

Fe + +mg/l

11.2

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante èr 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

216

8120

NEANT

NEANT

180

par ml

par ml

par 100 ml

. par 100 ml

par 100 ml

par 100 m.l/

D C O en mg/l 02 : 278

CONCLUSION

Métaux lourds (Plomb) : AbsenceEau très ferrugineuse, turbide et colorée.Presence d'ammoniaque en quantité importante.Présence de matières organiques dissoutes en quantité très importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques \^f^y^le 03/O6/80

Le Directeur,

Docteur G. BRACHET

- 43 -LABORATOIRE VÉTÉRINAIRE

DÉPARTEMENTAL

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

foùrvt <á''ea.u n° 3

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :

( DépartementDemandeur

Point d'eau

Prélèvement

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

1933

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

TUBE 3

29/05/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

2805

p H

7.45

Turbidité Couleur

ROUILLE

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

JANALYSE CHIMIQUE

02 cédé parMn 04 K mg/l

3.5

T. H.

21»

t!a. C.

12«'5

N h4 +mg/l

0.76

N 02 -mg/l

O.Ol

1

N 03 -mg/l

0

cf-mg/l

16

S 04 --mg/l

40

Fe + +mg/l

11.2

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante èr 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

216

8120

NEANT

NEANT

180

par ml

par ml

par 100 ml

. par 100 ml

par 100 ml

par 100 m.l/

D C O en mg/l 02 : 278

CONCLUSION

Métaux lourds (Plomb) : AbsenceEau très ferrugineuse, turbide et colorée.Presence d'ammoniaque en quantité importante.Présence de matières organiques dissoutes en quantité très importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques \^f^y^le 03/O6/80

Le Directeur,

Docteur G. BRACHET

Page 47: ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX …infoterre.brgm.fr/rapports/81-SGN-465-RHA.pdfsyndicat intercommunal d'Étude. de rÉalisation et de gestion du tricastin saint-paul

44

LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 1934

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

Département :

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS MONSIEUR ALBIN -'

29/05/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

1804

p H

7.3

Turbidité

' 4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISFAISANTE

J

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.6

V

T. H.

33«5

T. A. C.

24''5

ANALYSE CHIMIQUE

N h4 +rng/l

O

N 02 -,' mg/l

0 -

N 03 -mg/l

50.5

ci'-mg/l

18.5

S 04 --. mg/l

46

Fe + +- mg/l

0

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante i 37°)-

Escherichia Coli (membrane filtrante à" 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante h 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

67

21

NEANT

NEANT

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 m\ J

CONCLUSION

CHIMJLQUE : EAU CXDNFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE

EAU OONFORME A LA LEGISEATION

'e 03/O6/80

Docteur G. BRACHET

44

LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 1934

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

Département :

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS MONSIEUR ALBIN -'

29/05/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

1804

p H

7.3

Turbidité

' 4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISFAISANTE

J

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.6

V

T. H.

33«5

T. A. C.

24''5

ANALYSE CHIMIQUE

N h4 +rng/l

O

N 02 -,' mg/l

0 -

N 03 -mg/l

50.5

ci'-mg/l

18.5

S 04 --. mg/l

46

Fe + +- mg/l

0

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante i 37°)-

Escherichia Coli (membrane filtrante à" 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante h 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

67

21

NEANT

NEANT

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 m\ J

CONCLUSION

CHIMJLQUE : EAU CXDNFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE

EAU OONFORME A LA LEGISEATION

'e 03/O6/80

Docteur G. BRACHET

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LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

- 45 -

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :

( DépartementDemandeur

Point d'eau

Prélèvement

Commune :

Nature :

Observations

Effectué le :

Par :

5544

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS N<»2

24/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

2046

p H

7.2

Turbidité

4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISPAIS2.NTE

J

'

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.6

T. H.

3105

T. A. C.

24<'5

ANALYSE CHIMIQUE

. N h4 -f-mg/l

0

N 02 -mg/l

0

N 03 -mg/l

11

Cl -* mg/l

21.5

S 04 --mg/l

47

Fe + -mg/l

0

J

ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane. filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

1 . .-

96

7

NEANT

105

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

CONCLUSION

CHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION

3ACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE

EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION

Valence, le 28/11/80

LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

- 45 -

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :

( DépartementDemandeur

Point d'eau

Prélèvement

Commune :

Nature :

Observations

Effectué le :

Par :

5544

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS N<»2

24/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

2046

p H

7.2

Turbidité

4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISPAIS2.NTE

J

'

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.6

T. H.

3105

T. A. C.

24<'5

ANALYSE CHIMIQUE

. N h4 -f-mg/l

0

N 02 -mg/l

0

N 03 -mg/l

11

Cl -* mg/l

21.5

S 04 --mg/l

47

Fe + -mg/l

0

J

ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane. filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

1 . .-

96

7

NEANT

105

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

CONCLUSION

CHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION

3ACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE

EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION

Valence, le 28/11/80

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v^c?.\':oz?.7. D<;'j.';.LïSE3 ;nrac.->L:s * et deCUri'.-KiLL'J.'CS. CZo r.'UxSj".iiCiI3 D2 L'HOÎC-IE

E7 DC 5o;c z?.ir.Q'.r.:z's-.à:

/>::.'iI,YS3 DS POT/lBIUTE D'U:î ECriaüILLOKD'E,\U POriELE D'AUrS.T.'.TIOK

3) Ah'M.Y.'^E BACTEPJOIOGIO.im

Ecrionbrc-.jpV. ânr. tci-t.c.t r.;:r ".-^-Iosg nutritive. ' :

. noûbre do colonies après 24 heures à 57° :

. nocbro Ûa colonies après 72 heures à 20-22° :

. H'h. par I ni

par I ni

Coliristrio, : .

. bactéries coliforaes : '. ^ par IOO e1

, Escherichia Coli : ,.....

Pfnor-brcrnnt tien StrsTitococv.ss FccauT:

. noabrc do colonies :

16 par IOO ml

56 par IOO ni

i;° de l'oialyse I SS5

provon:..tde : ..- '. . 1 .'^.^^.T^'^. .^:^^?:^ . . .{ .^^,^^1 .1 .í?>?.\^écha:,tilloa prclcvé le ; :..:.-J;^Ji^V}^J^

P=r ' :

é:^is U.T ilacon :

ESC/CrCD

ñ7-r?jjj;

.- rjr.cmbri::jq!rt .¿e:: Clor.tridi?lco Sjlfito-Téàuctrlces' :

. noùibrc de colcnics : . . . . r

a) ' 'co;:C).uSîO:r,s'

par IOO ni

prélèvGL-.cit non potable au point do vue tactiriolociquo |

Ci po-iatlo au pjiïi'l; do VUa" chiiiiqtje' ' ' "

; 0^

1 ) Dl'.::;:: j-ia'ajQUE

. Hcsistivitcí éleotricue (cn OKS/cn à 20°C) 2.100.

; F:ik-2C°C : là.... A:p-ct :

. Odeur Pierrelatte, lo 22 I^éoccbre ISÎS

2) Ai'Aa-S3 CS:3QUB

. 0:rj¿^:ie cede pnr /^-^O , à chaud 10 oinutos(en Eiiiou alcalin)

. Az.i-.o.iiaruo (en ÎHî ).

. ¡iiti-itc3 (on '.:0.)

* îr.rc^stré cous le n° 2528t.'jv¿¿ CGUû ie r.° 2479

... mc/l.Tljf..îi.ÇO ./, c/l

...y-.e/iInT. a 50

.../...

Lo Chef du Laboratoire

J.C-L'i/a'îEïSSU

O

T

PF

I';

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3) Ah'M.Y.'^E BACTEPJOIOGIO.im

Ecrionbrc-.jpV. ânr. tci-t.c.t r.;:r ".-^-Iosg nutritive. ' :

. noûbre do colonies après 24 heures à 57° :

. nocbro Ûa colonies après 72 heures à 20-22° :

. H'h. par I ni

par I ni

Coliristrio, : .

. bactéries coliforaes : '. ^ par IOO e1

, Escherichia Coli : ,.....

Pfnor-brcrnnt tien StrsTitococv.ss FccauT:

. noabrc do colonies :

16 par IOO ml

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i;° de l'oialyse I SS5

provon:..tde : ..- '. . 1 .'^.^^.T^'^. .^:^^?:^ . . .{ .^^,^^1 .1 .í?>?.\^écha:,tilloa prclcvé le ; :..:.-J;^Ji^V}^J^

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é:^is U.T ilacon :

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. noùibrc de colcnics : . . . . r

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par IOO ni

prélèvGL-.cit non potable au point do vue tactiriolociquo |

Ci po-iatlo au pjiïi'l; do VUa" chiiiiqtje' ' ' "

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1 ) Dl'.::;:: j-ia'ajQUE

. Hcsistivitcí éleotricue (cn OKS/cn à 20°C) 2.100.

; F:ik-2C°C : là.... A:p-ct :

. Odeur Pierrelatte, lo 22 I^éoccbre ISÎS

2) Ai'Aa-S3 CS:3QUB

. 0:rj¿^:ie cede pnr /^-^O , à chaud 10 oinutos(en Eiiiou alcalin)

. Az.i-.o.iiaruo (en ÎHî ).

. ¡iiti-itc3 (on '.:0.)

* îr.rc^stré cous le n° 2528t.'jv¿¿ CGUû ie r.° 2479

... mc/l.Tljf..îi.ÇO ./, c/l

...y-.e/iInT. a 50

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Lo Chef du Laboratoire

J.C-L'i/a'îEïSSU

O

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PF

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/ÍABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

- kl -1 cLUL a ecu», n^ 15

agréé tx)ur le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

Numéro d'analyse

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

Département :

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

ANALYSE D'EAU5545

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS N^S MONSIEUR HUGUE BORD AUTOROUTE

24/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

/)

fRésistivité

1848

V

p H

7.1

Turbidité

4 -

Couleur

0

Odeur

NULLE '

Saveur Dépôt

SATISFAIS. ^NTS

ANALYSE CHIMIQUE

~ 02 cédé parMn 04 K mg/l

0.2

T. H.

ae^s

T. A. C.

28»5

N h4 -1-

mg/l

0

N 02 -mg/l

0

N 03 -mg/l

25

Cl -mg/l

15

S 04 --mg/l

46

Fe + +mg/l

0

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT ,

175

NEANT

NEANT

133

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

CONCLUSION

CHIMIQUE : EAU CQNFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE

EAU KON CONFORME A LA LEGISLATION

Valence, le 28/11/80Le Directeur,

'i^o TT. . .

/ÍABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

- kl -1 cLUL a ecu», n^ 15

agréé tx)ur le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

Numéro d'analyse

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

Département :

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

Par :

ANALYSE D'EAU5545

DROME

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS N^S MONSIEUR HUGUE BORD AUTOROUTE

24/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

/)

fRésistivité

1848

V

p H

7.1

Turbidité

4 -

Couleur

0

Odeur

NULLE '

Saveur Dépôt

SATISFAIS. ^NTS

ANALYSE CHIMIQUE

~ 02 cédé parMn 04 K mg/l

0.2

T. H.

ae^s

T. A. C.

28»5

N h4 -1-

mg/l

0

N 02 -mg/l

0

N 03 -mg/l

25

Cl -mg/l

15

S 04 --mg/l

46

Fe + +mg/l

0

)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose \

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT ,

175

NEANT

NEANT

133

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

CONCLUSION

CHIMIQUE : EAU CQNFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE

EAU KON CONFORME A LA LEGISLATION

Valence, le 28/11/80Le Directeur,

'i^o TT. . .

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- 48 -

LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

?¿>iní d'eûLi 0(\« 1 4

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 5543

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

Département : DROME

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS N"! FERME HUGUE

Par

24/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

1804

p H

7.2

Turbidité

4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISFAIS. Í.NTE

J

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.2

T. H.

37°5

T. A. C.

27°

ANALYSE

N H^ +mg/l

0

N

CHIMIQUE

02 -mg/l

0

N 03 -mg/l

31

Cl -mg/l

21.5

S 04 --mg/l

58

Fe + .+mg/l

0

ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose ¡

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wllson-Blair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

22

4

NEANT

NEANT

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par-WO ml

par 100 ml

CONCLUSIONCHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE

EAU CONFORME A LA LEGISLATION

Valence, le 28/11/80 /J.\3'

- 48 -

LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL

?¿>iní d'eûLi 0(\« 1 4

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 5543

Demandeur

Point d'eau

Prélèvement

Département : DROME

Commune :

Nature :

Observations :

Effectué le :

SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

PUITS N"! FERME HUGUE

Par

24/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUE

Résistivité

1804

p H

7.2

Turbidité

4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISFAIS. Í.NTE

J

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.2

T. H.

37°5

T. A. C.

27°

ANALYSE

N H^ +mg/l

0

N

CHIMIQUE

02 -mg/l

0

N 03 -mg/l

31

Cl -mg/l

21.5

S 04 --mg/l

58

Fe + .+mg/l

0

ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose ¡

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wllson-Blair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

22

4

NEANT

NEANT

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par-WO ml

par 100 ml

CONCLUSIONCHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE

EAU CONFORME A LA LEGISLATION

Valence, le 28/11/80 /J.\3'

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Aboratoire vétérinaire^ / départemental - 49 -

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :

Demandeur

5546

Point d'eau

Prélèvement

Département : DROME

Commune : SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

STATION DE POMPAGE LES ECHARAVELLES ROBINET CHEZ :-X)NSIEUR LOUCHENature :

Observations :

Effectué le :

Par :

23/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUEr

Résistivité

2310

V

P H

7.1

Turbidité

.4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISFAISJ lNTE

)

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.5

V

T. H.

27''5

T. A. C.

23''5

ANALYSE CHIMIQUE

N H4 +mg/l

0

N 02 -mg/l

0.03

N 03 -mg/l

2

Cl -mg/l

15.5

S 04 --mg/l

35

Fe + +mg/l

0

JANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose <

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

208 - -

NEANT

NEANT

126

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

CONCLUSION

CHIMIQUE ; EAU COÎnFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE PRESENCE DE BRMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE

EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION /?¿i-«..^: --".-.,

Valence, le 28/11/80Le Directeur,

Docteur G. BRACHET

Aboratoire vétérinaire^ / départemental - 49 -

agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31

20, rue Léon-Blum26000 VALENCE

ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :

Demandeur

5546

Point d'eau

Prélèvement

Département : DROME

Commune : SAINT PAUL TROIS CHATEAUX

STATION DE POMPAGE LES ECHARAVELLES ROBINET CHEZ :-X)NSIEUR LOUCHENature :

Observations :

Effectué le :

Par :

23/11/80 APPORTE LE 25/11/80

MONSIEUR ROUSSON

EXAMEN PHYSIQUEr

Résistivité

2310

V

P H

7.1

Turbidité

.4

Couleur

0

Odeur

NULLE

Saveur Dépôt

SATISFAISJ lNTE

)

02 cédé parMn 04 K mg/l

0.5

V

T. H.

27''5

T. A. C.

23''5

ANALYSE CHIMIQUE

N H4 +mg/l

0

N 02 -mg/l

0.03

N 03 -mg/l

2

Cl -mg/l

15.5

S 04 --mg/l

35

Fe + +mg/l

0

JANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE

Dénombrement total des germes sur gélose <

Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)

Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)

Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)

Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)

après 24 heures à 37°

après 72 heures à 20°

NEANT

208 - -

NEANT

NEANT

126

par ml

par ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

par 100 ml

CONCLUSION

CHIMIQUE ; EAU COÎnFORME A LA LEGISLATION

BACTERIOLOGIQUE PRESENCE DE BRMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE

EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION /?¿i-«..^: --".-.,

Valence, le 28/11/80Le Directeur,

Docteur G. BRACHET

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L-j-.crj.Tcrr>s d'.v;.'.lï3î3 moicxis » et de

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par M. ;

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... 15. Bcoo:

E3CL*U!I)3

:tre I9'i5a «<

1) EM'iJS:: ?.-r;sir.uB

. F.é.-.istivité électricuo (er. OHlS/ca à 20°c)

. pH à SCC :

. Acp-ct :

. Occur :

2 240

7,3

2) AJ^iYSE c-ü:s:que

. 0;:j'(7.-ne c¿QÓ per yj-^'.O., à chaud 10 minutos(cn Lâlleu alcaliii) : ¡:ic/l

^t:.^.^ .Ae/i î?fr.?.5? /,eA

. /c.-jT.oniac^ue (ei; IVA.)

. üitritcG (en -Og)

* Er.rcf:Í2tr¿sous lo n" 2523/-crcií COUD le n" 2479

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19

3) 'AK.g.Y.SI! B.'.CTr:.r(-OLCr.IC-JS

Ec:'.o-^ro-..?i'.t Uer. reiric.T .':ur c;ilogo rutriti-zo :

. noabrc de oolor.ios après 24 heiu-as- à 57° : nb. par I ni

. noE-bre de colonies après 72 hoiires h. 20-22" : par I d1

Colir.ét-io :

. bactéries coliforaes : ^ par IOO ni

. Escherichia Coli : ''... .' 20 par IOO ni

, D¿nor:cr:r,:gr.t cJcs Strentoccnu3S P-jc-iut: : ...

. nosbrc de coloràes : ^^ par IOO ol

,E3noj'br.::i.-er:t dar. .Clostr.ídí.?les Sulfi-!:o-réd;:ctricos :

. nombre de colonies .:. ? par IOO al

4) .C0:îCI.U£I0",S rA'ôlèvor.ent non poisblo ::u point de yuo baotdjri.olo£;iquect potable ou point ûe vue chimique I

' ' ' " '. Ln. O

I

Piei-rolatte, le 22 Dácesbre 1975

Lo Chef du Laboratoiro

^-^J. CïiALAB.'uîrSSE

^

L-j-.crj.Tcrr>s d'.v;.'.lï3î3 moicxis » et de

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. noabrc de oolor.ios après 24 heiu-as- à 57° : nb. par I ni

. noE-bre de colonies après 72 hoiires h. 20-22" : par I d1

Colir.ét-io :

. bactéries coliforaes : ^ par IOO ni

. Escherichia Coli : ''... .' 20 par IOO ni

, D¿nor:cr:r,:gr.t cJcs Strentoccnu3S P-jc-iut: : ...

. nosbrc de coloràes : ^^ par IOO ol

,E3noj'br.::i.-er:t dar. .Clostr.ídí.?les Sulfi-!:o-réd;:ctricos :

. nombre de colonies .:. ? par IOO al

4) .C0:îCI.U£I0",S rA'ôlèvor.ent non poisblo ::u point de yuo baotdjri.olo£;iquect potable ou point ûe vue chimique I

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Piei-rolatte, le 22 Dácesbre 1975

Lo Chef du Laboratoiro

^-^J. CïiALAB.'uîrSSE

^

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co;:a:s3ArviAT A l'e;fjíciií; atomcîubCS'lTliE DK JïKPJïELAWE

SERVTCl'S VECilMQiitr;

UrORjMOIHB D'jVl.'AL-i'31-ô i-ÔLniÇ.xLES * ET 33GUIîVEILLiu.'CE BrS !;'JI3.'û.'CE.-3 DB L'iiOîàlE

ET DE co;i Ejrvir.OÎMiEEiJi;

/JiiVLYSE D3 POTj'iBIUTS D'UK SCa'J.TILLOiiD'EAU PûT/l5L3 D '/JjrS.VATION

W de l'analyse ?1.^J.^ ^^.,.,.^ ,, , ÍA C/XDH ADUâ-.'ûl ( SALEL Rend )('Yio 2,.V)

échantillon prélové lo ; ...-.. .¥. .".C^.^feu. .1.9.75 par tcr.ps :

K;C/d;D3p.ir U. :

*aana un rlaccn : ...*«.....

i) e::.'uü;m PiuSiQUE

. né.nisti-/itú électrique (en OIÏÏS/cB ù 20''C) ?.}??....

. p}I tl .20°C ^Á

. Aspect :

. Odeur ; ' - .

' 2) pALY.'-iE C.'JI'rCO.UB

. O.-cj'cè'ic cédé j>3r KJCrO., ù chaud 10 minutes(cn milieu alcalin) : mc/l

. Arx'.oniaquo (cn \VA^ ..JlT^.O:^?. ' cA

. ¡litiitcs (on OTg) .. Î'H:.^.50. /...c/l-

I

3) -AjyLLTCE BACT?:r<I0L0CIC!ü3.

. Dcr.oabrezent don rorr.o." cur /réioso nutritive :

. nor.îbre i:z colonies après 24 heures, à 57° : ..» '^' par I ol

. noübro <.a colonies après 72 heures i ? ')-22'' ; ' par I cl

. ColiiTetrie, :

. bactéries colif ornes : '. ^"^inn P^^ ^CO ni -

. Escherichia Coli : ig par IOO ni '

. Dénosbrcr.or.t ¿es Strejtoconucs Fécaux ; . ' . .

. nonbre do colonies : ...; '. ^ par IOO ni

. Dt'npnbrgijent des ClcstridiiXes S-Jlfito-rédxx-tricss ;

. noLibro de colonies :' '....,..-.....,.-.,..'.-.,'.'.'.'.'.'.'.".".'.. .' 8 par IOO cl

4)' - CO!.'CliVSIO"S - - p".'«lèvc:;cn\;- noa' jotable' au point dû' vue bactcriolo:;ique . . et po-iable au .poin-t do vuo chiiûique- '

Pierrelatte, lo 22 D¿ecribw 1975

Lo Chef du Laboratoiro

"^X.Ja CfînIiABiSïSSC

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* P'jircfrisLró sous lo n° 2G28A/n.-íü Lou-'j lo n° 2479

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ET DE co;i Ejrvir.OÎMiEEiJi;

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W de l'analyse ?1.^J.^ ^^.,.,.^ ,, , ÍA C/XDH ADUâ-.'ûl ( SALEL Rend )('Yio 2,.V)

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K;C/d;D3p.ir U. :

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. Aspect :

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3) -AjyLLTCE BACT?:r<I0L0CIC!ü3.

. Dcr.oabrezent don rorr.o." cur /réioso nutritive :

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Pierrelatte, lo 22 D¿ecribw 1975

Lo Chef du Laboratoiro

"^X.Ja CfînIiABiSïSSC

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* P'jircfrisLró sous lo n° 2G28A/n.-íü Lou-'j lo n° 2479

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74

COiíüSS/iKLVT A L'E:."ERCIE ATor-acus 'CE.-.TùE DE ?IEri3L/.TT3SE.-încns tía;¡i";;io;uí-3

L'j-o.wroins D'/j.'alyses îcdic.ues » et deSUiîTCILL'J.'CE- DES iruIS/J.'Ciij DE L'iiOiwiS

. ET DE soH E;^r.o;.':;E;3:,T .

/Ji.liYSE DE FOTi'iBILITE D'Uí;ECH.ümLÍyO¡í. . D'EiVJ rOS'iSLE D'ALIíE.-TATIOIí

K" de 1'a.nalyso .'. . . ÍW. provenant do : i;^ ^Aim ¡^J^'l^ .(. M??. X . .(. V.°. ."35.")l ...

- cc.^-nntillon prélevé le '; ..'....}^ ?/-?.''?:!>?.''. I?7?....;'par temps ; par H. :...:....:..,...... JfP!^ .-...dans un flocon .' .' ??^}f.. ...'....

1) EX.'J3;if ?;n'.qic;u3

. Résistivité éleotriquo (en OliïS/on à 20oc) .^.}??. ; pJl ù 20<'C .7.c2 . Aspect t

Odeur : .- i

2) /uVALY.'-JS Cigi-rrCUE

0;:yGÍne cédé par Kii.'O,, à chaud 10 rônutos ' .. ,

(cn nilieu alcalin) : mc/l. iUr.oniaquo (cn ¡.7!^) : J.ilC\.il.ÇQ..,. .'-c/l. llitritea (en W^) : ". .V^.'..h.^.°...../>.c:/l

3) '.'lis'ALj'SE ?ACT?:RI0L0GIC!ü3

Dén-b''-j-rr;t do..-, .-or-cr. r'rc .T;"lose nutritiva :'

. noiubre do colonies après 24 heures à 57° : ^ par I cl

. Ecnbre do colonies après 72 heures à 20-22° : par l ni

Colipétrie : ...

. bactéries colif ornes : 0 pa^ loO ni

. Escherichia Coli : ". .- 0 par IOO ni.... . . I ,

Djriorornre'.'.t des Stror)tocoe'>'.3? ?c-e;'ii :

. r.onbrc d3 colonies : ...' ^ par IOO £Û

E?ne:::bre'-.?:-.t des .03 cstridiales Sulfite-réductrices ' ;

. nos'ûfe dé -colonies ; ,-. 0 par ICO niI

4) 'CO::üi:usIÓ:'S- ' -prcli-zcnü-i;' potable' au point do vae baotériolocique et- potable au point' de vue ohàuqùé

Pierrelatte, lo ' ^2 Dáccnbre 1975

Lo Chef du Laboratoiro

r'\/:L da. bl t^lABÎlEYSSE

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Eni'c¿lstré cous le n° 2528AcTcé cous lo n° 2479 .../...

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. ET DE soH E;^r.o;.':;E;3:,T .

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3) '.'lis'ALj'SE ?ACT?:RI0L0GIC!ü3

Dén-b''-j-rr;t do..-, .-or-cr. r'rc .T;"lose nutritiva :'

. noiubre do colonies après 24 heures à 57° : ^ par I cl

. Ecnbre do colonies après 72 heures à 20-22° : par l ni

Colipétrie : ...

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Djriorornre'.'.t des Stror)tocoe'>'.3? ?c-e;'ii :

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. nos'ûfe dé -colonies ; ,-. 0 par ICO niI

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Pierrelatte, lo ' ^2 Dáccnbre 1975

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