etude des incidences sur la qualite des eaux...
TRANSCRIPT
SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATIONET DE GESTION DU TRICASTIN
ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES
DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES
ET DE LA DECHARGE CONTROLEE
RAPPORT PRÉLIMINAIRE
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
Service géologique régional RHONE-ALPES
Rapport du B . R . G . M .
81 SGN 465 RHA JUILLET 1981
j..: :,:i:,:-..- . - > : • ly,:.,
SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ÉTUDE. DE RÉALISATIONET DE GESTION DU TRICASTIN
SAINT- PAUL TROIS CHATEAUX (26)
B.P. 36 - 84500 BOLLENE ANNEXE 1
Téléphone: (90)30.97.49
ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES
DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES
ET DE LA DECHARGE CONTROLEE
RAPPORT PRÉLIMINAIRE
par
A. GRAILLAT
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX - Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.
Service géologique régional RHONE -ALPES
B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX - Tél. (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.
Rapport du B.R.G.M,
81 SGN 465 RHA JUILLET 1981
SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ÉTUDE. DE RÉALISATIONET DE GESTION DU TRICASTIN
SAINT- PAUL TROIS CHATEAUX (26)
B.P. 36 - 84500 BOLLENE ANNEXE 1
Téléphone: (90)30.97.49
ETUDE DES INCIDENCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES
DE LA STATION DE TRAITEMENT D'ORDURES MENAGERES
ET DE LA DECHARGE CONTROLEE
RAPPORT PRÉLIMINAIRE
par
A. GRAILLAT
BUREAU DE RECHERCHES GÉOLOGIQUES ET MINIÈRES
SERVICE GÉOLOGIQUE NATIONAL
B.P. 6009 - 45060 ORLEANS CEDEX - Téléphone (38) 63.80.01 - TELEX : BRGM 780258 F.
Service géologique régional RHONE -ALPES
B. P. 6083 - 69604 VILLEURBANNE CEDEX - Tél. (7) 889.72.02 - TELEX : BRGM 380966 F.
Rapport du B.R.G.M,
81 SGN 465 RHA JUILLET 1981
ETUDE DES INCIDBCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES
DE LA STATION DE TRAITE-BIT D'ORDURES feiAGERES ET DE LA
DECHARGE COriTROEE
- RAPPORT PRÉLIMINAIRE -Par A. GRAILLAT
81 SGN ¿165 RHA
RÉSUMÉ
Ce travail a été exécuté par le B.R.G.M. SGR/RHONE-ALPES pour le compte du Syndi¬
cat Intercommunal d'Etude, de Réalisation et de Gestion du Tricastin qui gëre sur
la commune de SAINT PAUL TROIS CHATEAUX une station de traitement d'ordures ménagères
et une décharge contrôlée.
Le présent rapport rend compte des résultats acquis au terme d'une première phase
d'étude qui a pour objet d'appréhender les incidences des deux installations ci-dessus
mentionnées, sur la qualité des eaux phréatiques.
Bien que l'on dispose de trës peu de données sur les caractéristiques chimiques
de l'eau, la pollution constatée dans de nombreux puits, "semble être exclusivement
bactérienne. Cette pollution a pour origine, soit l'environnement immédiat du puits,
soit des conditions de prélèvements non satisfaisantes.
Seules des investigations complémentaires supposant notamment la mise en place
de deux piézomètres supplémentaires, permettront d'apprécier la nocivité des deux
installations vis à vis des eaux phréatiques.
Interlocuteur du SIERGT Monsieur le Président C. DUVAL
Ingénieur responsable de 1 ' étude A. GRAILLAT
Dessinateur C. DIALLO
Secrétaire G. BARROUE
Ce rapport contient : 20 pages de texte, 3 figures, 2 annexes.
ETUDE DES INCIDBCES SUR LA QUALITE DES EAUX PHREATIQUES
DE LA STATION DE TRAITE-BIT D'ORDURES feiAGERES ET DE LA
DECHARGE COriTROEE
- RAPPORT PRÉLIMINAIRE -Par A. GRAILLAT
81 SGN ¿165 RHA
RÉSUMÉ
Ce travail a été exécuté par le B.R.G.M. SGR/RHONE-ALPES pour le compte du Syndi¬
cat Intercommunal d'Etude, de Réalisation et de Gestion du Tricastin qui gëre sur
la commune de SAINT PAUL TROIS CHATEAUX une station de traitement d'ordures ménagères
et une décharge contrôlée.
Le présent rapport rend compte des résultats acquis au terme d'une première phase
d'étude qui a pour objet d'appréhender les incidences des deux installations ci-dessus
mentionnées, sur la qualité des eaux phréatiques.
Bien que l'on dispose de trës peu de données sur les caractéristiques chimiques
de l'eau, la pollution constatée dans de nombreux puits, "semble être exclusivement
bactérienne. Cette pollution a pour origine, soit l'environnement immédiat du puits,
soit des conditions de prélèvements non satisfaisantes.
Seules des investigations complémentaires supposant notamment la mise en place
de deux piézomètres supplémentaires, permettront d'apprécier la nocivité des deux
installations vis à vis des eaux phréatiques.
Interlocuteur du SIERGT Monsieur le Président C. DUVAL
Ingénieur responsable de 1 ' étude A. GRAILLAT
Dessinateur C. DIALLO
Secrétaire G. BARROUE
Ce rapport contient : 20 pages de texte, 3 figures, 2 annexes.
- 1 -
TABLE DES MATIERES
Pages
1 - INTRODUCTigN^-^PROBLEME^POSE 3
11 - MODALITES ADMINISTRATIVES 3
12 - PROBLEME POSE 3
21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL 4
22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL 6
23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES 7
231 - Domaine alluvial de la basse terrasse 7
232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse 7
233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée 8
234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination 9
éventuelle de la nappe
3 - LA^STOM^ET^LA^DECHARGE^CONTROLEE 10
31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT 10
311 - La STOM ' 10
312 - La décharge contrôlée 11
32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU 12
SOUTERRAINES
321 - La STOM- 12
322 - La décharge contrôlée 13
4 - Lli^POINTS^D^EAU^EXISTANTS 13
41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES 13
- 1 -
TABLE DES MATIERES
Pages
1 - INTRODUCTigN^-^PROBLEME^POSE 3
11 - MODALITES ADMINISTRATIVES 3
12 - PROBLEME POSE 3
21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL 4
22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL 6
23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES 7
231 - Domaine alluvial de la basse terrasse 7
232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse 7
233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée 8
234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination 9
éventuelle de la nappe
3 - LA^STOM^ET^LA^DECHARGE^CONTROLEE 10
31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT 10
311 - La STOM ' 10
312 - La décharge contrôlée 11
32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU 12
SOUTERRAINES
321 - La STOM- 12
322 - La décharge contrôlée 13
4 - Lli^POINTS^D^EAU^EXISTANTS 13
41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES 13
- 2 -
Pages
411 - Préliminaires
412 - Les résultats
15
15
5 - LA PIEZOMETRIE DE LA NAPPE DANS LE SECTEUR ETUDIE 16
6 - LA_QyALITE_DES_EAUX_i_ÇHIMIE_ET^BAÇTERIOLOGIE 17
61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES
62 - LES RESULTATS OBTENUS
63 - INTERPRETATION
17
19
20
7 - CONCLUSIONS 22
LISTE DES FIGURES
Fig. 21 - Les conditions géologiques du secteur étudié. 5
Fig. 4 - Les points d'eau existants - piézométrie de la nappe phréatique 14
établie en juillet 1969.
Fig. 6 - La qualité bactériologique des eaux prélevées dans les puits et 18
piézomètres du secteur étudié.
Points de prélèvements avec indications de la potabilité des
échantillons prélevés.
LISTE DES ANNEXES
Annexe 1 - Fiches signalétiques des points d'eau inventoriés dans lesenvirons de la station de traitement d'ordures ménagères etde la décharge contrôlée.
Quelques résultats d'analyses d'échantillons d'eau prélevésdans certains puits ou piézomètres du secteur étudié.
Annexe ' 2 -
24 à 39
40 à 52
- 2 -
Pages
411 - Préliminaires
412 - Les résultats
15
15
5 - LA PIEZOMETRIE DE LA NAPPE DANS LE SECTEUR ETUDIE 16
6 - LA_QyALITE_DES_EAUX_i_ÇHIMIE_ET^BAÇTERIOLOGIE 17
61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES
62 - LES RESULTATS OBTENUS
63 - INTERPRETATION
17
19
20
7 - CONCLUSIONS 22
LISTE DES FIGURES
Fig. 21 - Les conditions géologiques du secteur étudié. 5
Fig. 4 - Les points d'eau existants - piézométrie de la nappe phréatique 14
établie en juillet 1969.
Fig. 6 - La qualité bactériologique des eaux prélevées dans les puits et 18
piézomètres du secteur étudié.
Points de prélèvements avec indications de la potabilité des
échantillons prélevés.
LISTE DES ANNEXES
Annexe 1 - Fiches signalétiques des points d'eau inventoriés dans lesenvirons de la station de traitement d'ordures ménagères etde la décharge contrôlée.
Quelques résultats d'analyses d'échantillons d'eau prélevésdans certains puits ou piézomètres du secteur étudié.
Annexe ' 2 -
24 à 39
40 à 52
- 3 -
1 - INTRODUCTION^-^PROBLEME^POSE
1 1 - MODALITES ADMINISTRATIVES
Le SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATION ET DE GESTION DU TRI¬
CASTIN (SIERGT) gère, sur la commune de ST PAUL TROIS CHATEAUX, au quartier "le ,
Bois Mahon" :
- une station de traitement des ordures ménagères (STOM) sur les parcelles
de terrain cadastrées sous les numéros : 140 à 144 et 137 de la section
A.B.
- une décharge contrôlée sur les parcelles de terrain cadastrées sous les
numéros : 136, 130 a et b et 44 de la section A.B.
La STOM, autorisée par l'arrêté préfectoral n° 6904 en date du 3/11/1975
fonctionne depuis juin 1976. La gestion de l'usine était alors assurée par le
DISTRICT DU TRICASTIN, jusqu'à la création du Syndicat qui s'est substitué à lui
en janvier 1981 .
La décharge contrôlée a été autorisée par l'arrêté préfectoral n' 3701
en date du 19 juin 1979.
12 - PROBLEME POSE
Suite à différentes analyses d'eaux du ruisseau des Echaravelles et de
la nappe phréatique constatant une nette pollution bactérienne, et considérant
le souhait exprimé par Monsieur le Préfet de la Drôme, la DIRECTION INTERDEPARTE¬
MENTALE DE L'INDUSTRIE (D.I.I.) Subdivision de Valence, a demandé au Syndicat
que soit effectué une étude géologique des sols afin de déterminer la nature et
les origines de la pollution constatée.
Le Syndicat s'est alors adressé au B.R.G.M, SGR/RHONE-ALPES qui lui a
proposé de procéder en deux phases :
- 3 -
1 - INTRODUCTION^-^PROBLEME^POSE
1 1 - MODALITES ADMINISTRATIVES
Le SYNDICAT INTERCOMMUNAL D'ETUDE, DE REALISATION ET DE GESTION DU TRI¬
CASTIN (SIERGT) gère, sur la commune de ST PAUL TROIS CHATEAUX, au quartier "le ,
Bois Mahon" :
- une station de traitement des ordures ménagères (STOM) sur les parcelles
de terrain cadastrées sous les numéros : 140 à 144 et 137 de la section
A.B.
- une décharge contrôlée sur les parcelles de terrain cadastrées sous les
numéros : 136, 130 a et b et 44 de la section A.B.
La STOM, autorisée par l'arrêté préfectoral n° 6904 en date du 3/11/1975
fonctionne depuis juin 1976. La gestion de l'usine était alors assurée par le
DISTRICT DU TRICASTIN, jusqu'à la création du Syndicat qui s'est substitué à lui
en janvier 1981 .
La décharge contrôlée a été autorisée par l'arrêté préfectoral n' 3701
en date du 19 juin 1979.
12 - PROBLEME POSE
Suite à différentes analyses d'eaux du ruisseau des Echaravelles et de
la nappe phréatique constatant une nette pollution bactérienne, et considérant
le souhait exprimé par Monsieur le Préfet de la Drôme, la DIRECTION INTERDEPARTE¬
MENTALE DE L'INDUSTRIE (D.I.I.) Subdivision de Valence, a demandé au Syndicat
que soit effectué une étude géologique des sols afin de déterminer la nature et
les origines de la pollution constatée.
Le Syndicat s'est alors adressé au B.R.G.M, SGR/RHONE-ALPES qui lui a
proposé de procéder en deux phases :
- 4 -
- une première phase d'étude portant essentiellement sur le recueil et
l'analyse de l'information disponible complétée par un inventaire des
points d'eau, et un examen de leur représentativité en vue d'analyses
d'échantillons.
- une deuxième phase comportant notamment des mesures sur le terrain et
des analyses d'eau sur le réseau de points choisi, éventuellement com¬
plété par des ouvrages piézométriques à mettre en place. Au terme de
cette étude, il devrait être proposé des moyens à mettre en oeuvre
pour réduire les pollutions éventuelles.
Le présent rapport élaboré au terme de la première phase, fait le point
sur les données acquises et les conclusions qui en découlent. Il permet de fixer
au mieux l'objectif à résoudre dans la phase suivante.
2 - tii,,CONDITIONS^HXD|gg|gtQGIQyES
21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL
La carte géologique de Valréas à 1/50.000 met en évidence trois domaines
bien individualisés (voir figure 21) :
, la plaine alluviale du Rhône à l'Ouest, de Donzère à Bollène, compre¬
nant d'Ouest en Est :
- les alluvions récentes jusqu'au Canal de Donzère-Mondragon.
- les alluvions de la basse terrasse (Würm) formant un placage
continu du Nord au Sud de la feuille à l'Est du Canal.
- les alluvions de la moyenne terrasse (Riss) présentes du Nord au
Sud de la feuille mais entrecoupées par les ruisseaux, affluents
du Rhône, tels que la Berre, le ruisseau de la Garde-Adhémar, des
Echaravelles, le ruisseau de St Paul-trois-Châteaux.
- enfin, les alluvions de la haute terrasse (Villafranchien) repré¬
sentées seulement par le lambeau du sommet de la colline de Saint
Restitut.
- 4 -
- une première phase d'étude portant essentiellement sur le recueil et
l'analyse de l'information disponible complétée par un inventaire des
points d'eau, et un examen de leur représentativité en vue d'analyses
d'échantillons.
- une deuxième phase comportant notamment des mesures sur le terrain et
des analyses d'eau sur le réseau de points choisi, éventuellement com¬
plété par des ouvrages piézométriques à mettre en place. Au terme de
cette étude, il devrait être proposé des moyens à mettre en oeuvre
pour réduire les pollutions éventuelles.
Le présent rapport élaboré au terme de la première phase, fait le point
sur les données acquises et les conclusions qui en découlent. Il permet de fixer
au mieux l'objectif à résoudre dans la phase suivante.
2 - tii,,CONDITIONS^HXD|gg|gtQGIQyES
21 - CONTEXTE GEOLOGIQUE GENERAL
La carte géologique de Valréas à 1/50.000 met en évidence trois domaines
bien individualisés (voir figure 21) :
, la plaine alluviale du Rhône à l'Ouest, de Donzère à Bollène, compre¬
nant d'Ouest en Est :
- les alluvions récentes jusqu'au Canal de Donzère-Mondragon.
- les alluvions de la basse terrasse (Würm) formant un placage
continu du Nord au Sud de la feuille à l'Est du Canal.
- les alluvions de la moyenne terrasse (Riss) présentes du Nord au
Sud de la feuille mais entrecoupées par les ruisseaux, affluents
du Rhône, tels que la Berre, le ruisseau de la Garde-Adhémar, des
Echaravelles, le ruisseau de St Paul-trois-Châteaux.
- enfin, les alluvions de la haute terrasse (Villafranchien) repré¬
sentées seulement par le lambeau du sommet de la colline de Saint
Restitut.
- 5 - Fig.21
CONDITIONS GEOLOGIQUESDU SECTEUR ETUDIE
PLAN DE SITUATIONECHELLE 1/25 000
Alluvions recentes
Basse terrasse (Wurm) duRhône
Moyenne terrasse (Rise)du Rhône
Molasse gréseuse verdàtre
Albien (sablas marnaux )
8I5GN 465 RHA
'•#. v *
Ruísieau des Eciaravelles
^.a&E
6 -
. l'auréole des collines crétacées, éocènes et oligocènes, qui s'abaisse
au Sud à Bollène, et s'adosse par contre dans l'angle Nord-Est aux
chaînons redressés du Diois. Ces collines ont pour assises des terrains
variés compris entre l'Urgonien et le Burgalien.
. enfin, la cuvette miocène, couvrant plus de la moitié de la feuille.
Ses couches conglomératiques terminales forment au Sud-Est le massif
de Visan, ses couches molassiques de base s'égrènent à la périphérie
sur les hauteurs des collines de la région précédente; entre elles, un
vaste placage alluvial, traversant la feuille en diagonale, recouvre
les couches meubles du Miocëne moyen.
Dans cet ensemble, la STOM et la décharge contrôlée se situent dans la
zone de transition entre le domaine central des collines et le domaine ouest des
alluvions du Rhône.
- 22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL
La STOM est en effet implantée au pied de la colline dite du "Bois Mahon"
qui est constituée d'alluvions anciennes de la moyenne terrasse du Rhône, mais
dont le soubassement est formé de terrains crétacés représentés par les marnes
de 1' Aptien surmontées par les sables marneux de l'Albien, l'ensemble formant
un substratum à structure synclinale érodée, à pendage Nord-Est.
L'ancienne carrière, visible à l'Est de l'usine, et partiellement comblée
par les refus d'ordures ménagères broyées, a été creusée dans les sables gréseux
du crétacé moyen. Le fond de la carrière est constitué de marnes apparemment très
peu perméables.
La décharge contrôlée, quant à elle, est située dans une carrière abandon¬
née, creusée dans la colline du Bois Mahon pour l'exploitation des alluvions anciennes
de la moyenne terrasse du Rhône. Le front de taille est trës caractéristique de ce
type de forraations d'origine fluviatile : lentilles de sable fin, trës homogène
dans un ensemble sablo-graveleux.
ri» Jwr - --
6 -
. l'auréole des collines crétacées, éocènes et oligocènes, qui s'abaisse
au Sud à Bollène, et s'adosse par contre dans l'angle Nord-Est aux
chaînons redressés du Diois. Ces collines ont pour assises des terrains
variés compris entre l'Urgonien et le Burgalien.
. enfin, la cuvette miocène, couvrant plus de la moitié de la feuille.
Ses couches conglomératiques terminales forment au Sud-Est le massif
de Visan, ses couches molassiques de base s'égrènent à la périphérie
sur les hauteurs des collines de la région précédente; entre elles, un
vaste placage alluvial, traversant la feuille en diagonale, recouvre
les couches meubles du Miocëne moyen.
Dans cet ensemble, la STOM et la décharge contrôlée se situent dans la
zone de transition entre le domaine central des collines et le domaine ouest des
alluvions du Rhône.
- 22 - CONTEXTE GEOLOGIQUE LOCAL
La STOM est en effet implantée au pied de la colline dite du "Bois Mahon"
qui est constituée d'alluvions anciennes de la moyenne terrasse du Rhône, mais
dont le soubassement est formé de terrains crétacés représentés par les marnes
de 1' Aptien surmontées par les sables marneux de l'Albien, l'ensemble formant
un substratum à structure synclinale érodée, à pendage Nord-Est.
L'ancienne carrière, visible à l'Est de l'usine, et partiellement comblée
par les refus d'ordures ménagères broyées, a été creusée dans les sables gréseux
du crétacé moyen. Le fond de la carrière est constitué de marnes apparemment très
peu perméables.
La décharge contrôlée, quant à elle, est située dans une carrière abandon¬
née, creusée dans la colline du Bois Mahon pour l'exploitation des alluvions anciennes
de la moyenne terrasse du Rhône. Le front de taille est trës caractéristique de ce
type de forraations d'origine fluviatile : lentilles de sable fin, trës homogène
dans un ensemble sablo-graveleux.
ri» Jwr - --
-7 -
L'extraction a permis de mettre à nu, dans la partie centrale et sud
de la carrière, les terrains sablo-marneux de l'Albien qui peuvent éventuellement
constituer un substratum relativement peu perméable avec les terrains marneux
sous-jacents de l'Aptien.
23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES (voir fig, 21 et 4)
231 - Domaine alluvial de la basse terrasse
Le domaine alluvial de la basse terrasse est le siëge d'une nappe
phréatique apparemment continue, recouverte par endroit (semble-t-il, vu la ra¬
reté des coupes' géologiques disponibles), d'une couche de limons de 1 à 3 m d'é¬
paisseur. Il est limité à l'Ouest par le Canal de Donzère-Mondragon (qui se super¬
pose assez fidèlement à la frontière - alluvions récentes du Rhône - alluvions
de basse terrasse), à l'Est par les premiers reliefs de la moyenne terrasse. Sa
base est constituée par le soubassement argilo-marneux du Plaisancien.
La nappe phréatique est alimentée par les infiltrations des pré¬
cipitations atmosphériques, par les ruisseaux qui la recoupent d'Est en Ouest,
ainsi que par les apports superficiels et souterrains en provenance de la moyenne
terrasse, au pied de laquelle on peut observer des sources. Notons de même l'exis¬
tence pendant plusieurs mois de la période chaude, de 1' irrigation par immersion
à partir des eaux du Rhône amenées par un réseau de canaux.
t»
Cette nappe, située à quelques mètres de profondeur (5 à 6 m du
sol entre la route D. 71 et le Canal, 6 à 11 m à l'Est, vers le pied de la moyenne
terrasse), s'écoule sommairement du Nord-Est au Sud-Ouest jusqu'au contre-canal où
elle est drainée. Dans le domaine de la plaine, sa pente est de l'ordre de 0,6 %,
elle s'accroît sensiblement, vers l'Est à proximité du relief.
232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse
Au droit des alluvions anciennes de moyenne terrasse, la nappe
phréatique (quand elle existe), se distingue de .l' ensemble aquifère de la basse
terrasse de par sa position dominante, et parfois même de par sa situation perchée.
-7 -
L'extraction a permis de mettre à nu, dans la partie centrale et sud
de la carrière, les terrains sablo-marneux de l'Albien qui peuvent éventuellement
constituer un substratum relativement peu perméable avec les terrains marneux
sous-jacents de l'Aptien.
23 - LES CONDITIONS HYDROGEOLOGIQUES (voir fig, 21 et 4)
231 - Domaine alluvial de la basse terrasse
Le domaine alluvial de la basse terrasse est le siëge d'une nappe
phréatique apparemment continue, recouverte par endroit (semble-t-il, vu la ra¬
reté des coupes' géologiques disponibles), d'une couche de limons de 1 à 3 m d'é¬
paisseur. Il est limité à l'Ouest par le Canal de Donzère-Mondragon (qui se super¬
pose assez fidèlement à la frontière - alluvions récentes du Rhône - alluvions
de basse terrasse), à l'Est par les premiers reliefs de la moyenne terrasse. Sa
base est constituée par le soubassement argilo-marneux du Plaisancien.
La nappe phréatique est alimentée par les infiltrations des pré¬
cipitations atmosphériques, par les ruisseaux qui la recoupent d'Est en Ouest,
ainsi que par les apports superficiels et souterrains en provenance de la moyenne
terrasse, au pied de laquelle on peut observer des sources. Notons de même l'exis¬
tence pendant plusieurs mois de la période chaude, de 1' irrigation par immersion
à partir des eaux du Rhône amenées par un réseau de canaux.
t»
Cette nappe, située à quelques mètres de profondeur (5 à 6 m du
sol entre la route D. 71 et le Canal, 6 à 11 m à l'Est, vers le pied de la moyenne
terrasse), s'écoule sommairement du Nord-Est au Sud-Ouest jusqu'au contre-canal où
elle est drainée. Dans le domaine de la plaine, sa pente est de l'ordre de 0,6 %,
elle s'accroît sensiblement, vers l'Est à proximité du relief.
232 - Domaine alluvial de la moyenne terrasse
Au droit des alluvions anciennes de moyenne terrasse, la nappe
phréatique (quand elle existe), se distingue de .l' ensemble aquifère de la basse
terrasse de par sa position dominante, et parfois même de par sa situation perchée.
- 8 -
Elle peut donner alors naissance à des sources qui émergent en pied de terrasse,
au niveau des terrains peu perméables du Crétacé. Ce type de sources est ren¬
contré à la Dévalade, ou à la ferme Délaye au lieu-dit "Les Fréresses".
Cette nappe peut localement être drainée par les ruisseaux qui dé¬
coupent la moyenne terrasse tels que les Echaravelles. Pratiquement, elle est
très peu connue, probablement peu performante comparée à celles des alluvions de
la basse terrasse.
233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée
Rappelons que la carrière du site de la STOM a été creusée dans
les terrains du Crétacé, et que le fond est constitué de marnes sans doute trës
peu peinnéables.
Par ailleurs, un forage de recherche d'eau réalisé en 1976, au
Sud-Ouest de la STOM, à proximité immédiate du bâtiment de la réception, a été
arreté à 18 m de profondeur dans le substratum marneux, après avoir traverse 7 m
d'éboulis, 2,5 m de grës et 8,5 m de sables marneux. Ce forage, à sec, n'a pu
mettre en évidence la présence d'une nappe d'eau souterraine.' Alors que la cote
altimétrique du fond est d'environ 47 m,' les niveaux piézométriques dans les en¬
virons immédiats (Nord, Ouest ou Sud) sont de l'ordre de 52 à 53 m.
Le soubassement de la STOM, du moins dans sa partie sud et sud-est
semblerait donc constitué de terrains trës peu perméables, formant un appendice
isolé du point de vue hydraulique par rapport aux alluvions encaissantes aquifères
de la basse terrasse.
En ce qui concerne la décharge contrôlée, bien que les terrains
alluvionnaires aient été extraits jusqu'aux terrains sablo-marneux de l'Albien,
il n'y a pas eu apparition de nappe phréatique. Toutefois, celle-ci a été atteinte
dans le piézomètre mis en place à l'Ouest immédiat de la décharge.
- 8 -
Elle peut donner alors naissance à des sources qui émergent en pied de terrasse,
au niveau des terrains peu perméables du Crétacé. Ce type de sources est ren¬
contré à la Dévalade, ou à la ferme Délaye au lieu-dit "Les Fréresses".
Cette nappe peut localement être drainée par les ruisseaux qui dé¬
coupent la moyenne terrasse tels que les Echaravelles. Pratiquement, elle est
très peu connue, probablement peu performante comparée à celles des alluvions de
la basse terrasse.
233 - Au droit de la STOM et de la décharge contrôlée
Rappelons que la carrière du site de la STOM a été creusée dans
les terrains du Crétacé, et que le fond est constitué de marnes sans doute trës
peu peinnéables.
Par ailleurs, un forage de recherche d'eau réalisé en 1976, au
Sud-Ouest de la STOM, à proximité immédiate du bâtiment de la réception, a été
arreté à 18 m de profondeur dans le substratum marneux, après avoir traverse 7 m
d'éboulis, 2,5 m de grës et 8,5 m de sables marneux. Ce forage, à sec, n'a pu
mettre en évidence la présence d'une nappe d'eau souterraine.' Alors que la cote
altimétrique du fond est d'environ 47 m,' les niveaux piézométriques dans les en¬
virons immédiats (Nord, Ouest ou Sud) sont de l'ordre de 52 à 53 m.
Le soubassement de la STOM, du moins dans sa partie sud et sud-est
semblerait donc constitué de terrains trës peu perméables, formant un appendice
isolé du point de vue hydraulique par rapport aux alluvions encaissantes aquifères
de la basse terrasse.
En ce qui concerne la décharge contrôlée, bien que les terrains
alluvionnaires aient été extraits jusqu'aux terrains sablo-marneux de l'Albien,
il n'y a pas eu apparition de nappe phréatique. Toutefois, celle-ci a été atteinte
dans le piézomètre mis en place à l'Ouest immédiat de la décharge.
- 9
Vu le pendage des terrains crétacés (vers le Nord-Est), les eaux
souterraines aprës leur percolation au travers des alluvions de moyenne terrasse
pourraient s'écouler par endroit vers le ruisseau des Echaravelles par suite de
l'effet de topographie du substratum.
A 700 m environ au Sud de la décharge, au lieu-dit "La Dévalade",
une source est captée en pied de terrasse pour les besoins en eau.de la ferme
proche (actuellement inoccupée). L'exploitation partielle des matériaux de terrasse
à l'amont immédiat de la source ne semble pas avoir affecté d'une manière sensible
le régime de la source.
Ainsi les eaux qui s' infiltrent aux' travers des alluvions de moyenne
terrasse s'écoulent vers l'Ouest pour se déverser dans la nappe phréatique de la
plaine, comme en témoignent le piézomètre proche de la décharge et la source de
la Dévalade, mais par endroits, les eaux pourraient s'écouler en partie vers l'Est
par suite de l'effet de pente du substratum.la
234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination éventuelle
de la nappe
Le ruisseau des Echaravelles aura tendance à alimenter ou à drainer
la nappe selon le tronçon en jeu, par suite de sa position par rapport au niveau
des eaux phréatiques. A l'amont de la STOM, dans le vallon situé à l'Est du Bois
MahOn, le ruisseau aura un rôle de drain. A l'aval de la STOM, sa position haute
accentuée par le seuil mis en place pour le franchissement de l'autoroute favori¬
sera les infiltrations dans la nappe, dans la mesure où le fond et les berges ne
sont pas complètement colmatés.
L'état de stagnation des eaux constaté courant mai et juin, témoigne
d'une tendance au colmatage. Toutefois, il est trës peu probable qu'il soit total,
notamment en hautes eaux de la riviëre.
- 9
Vu le pendage des terrains crétacés (vers le Nord-Est), les eaux
souterraines aprës leur percolation au travers des alluvions de moyenne terrasse
pourraient s'écouler par endroit vers le ruisseau des Echaravelles par suite de
l'effet de topographie du substratum.
A 700 m environ au Sud de la décharge, au lieu-dit "La Dévalade",
une source est captée en pied de terrasse pour les besoins en eau.de la ferme
proche (actuellement inoccupée). L'exploitation partielle des matériaux de terrasse
à l'amont immédiat de la source ne semble pas avoir affecté d'une manière sensible
le régime de la source.
Ainsi les eaux qui s' infiltrent aux' travers des alluvions de moyenne
terrasse s'écoulent vers l'Ouest pour se déverser dans la nappe phréatique de la
plaine, comme en témoignent le piézomètre proche de la décharge et la source de
la Dévalade, mais par endroits, les eaux pourraient s'écouler en partie vers l'Est
par suite de l'effet de pente du substratum.la
234 - Rôle du ruisseau des Echaravelles sur la contamination éventuelle
de la nappe
Le ruisseau des Echaravelles aura tendance à alimenter ou à drainer
la nappe selon le tronçon en jeu, par suite de sa position par rapport au niveau
des eaux phréatiques. A l'amont de la STOM, dans le vallon situé à l'Est du Bois
MahOn, le ruisseau aura un rôle de drain. A l'aval de la STOM, sa position haute
accentuée par le seuil mis en place pour le franchissement de l'autoroute favori¬
sera les infiltrations dans la nappe, dans la mesure où le fond et les berges ne
sont pas complètement colmatés.
L'état de stagnation des eaux constaté courant mai et juin, témoigne
d'une tendance au colmatage. Toutefois, il est trës peu probable qu'il soit total,
notamment en hautes eaux de la riviëre.
- 10 -
3 ~ tA^iIQi=il=LA^DECHARGE^CONTROLEE
31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT
311 - La STOM
Elle comprend :
- une fosse de réception des ordures ménagères dans laquelle elles
sont vidées à partir des camions qui assurent la collecte. Cette
fosse a une profondeur de 6 m environ à partir de la surface du
sol, elle est bétonnée.
- une unité de chargement qui achemine les ordures de la fosse à
l'unité de broyage.
- une unité de broyage : '
. à partir de là, les ordures ménagères qui ne passent pas dans
le tamis, sont acheminées pour y être stockées dans l'ancienne
carrière à proximité immédiate, ce sont les refus. A noter
qu'en l'absence de mise en oeuvre de mesures adaptées (com¬
pactage, tri ...), la capacité de stockage de l'ancienne car¬
rière sera bientôt insuffisante.
. l'autre partie des ordures broyées est acheminée dans la tour
de fermentation ou "digesteur", où elle séjourne 8 jours en-
viron. Le compost ainsi obtenu est alors stocké sur l'aire
bétonnée existante derrière l'usine (au Nord-Est); il est
commercialisé en l'état.
Le tonnage des entrées enregistré depuis la mise en oeuvre de
- 3673 t (à partir du 1er juin) pour l'année 1976.
- 8454 t pour l'année 1977.
- 9837 t pour l'année 1978.
- 10150 t pour l'année 1979.
- 9764 t pour l'année 1980.
l'usine est :
- 10 -
3 ~ tA^iIQi=il=LA^DECHARGE^CONTROLEE
31 - CARACTERISTIQUES PRINCIPALES - FONCTIONNEMENT
311 - La STOM
Elle comprend :
- une fosse de réception des ordures ménagères dans laquelle elles
sont vidées à partir des camions qui assurent la collecte. Cette
fosse a une profondeur de 6 m environ à partir de la surface du
sol, elle est bétonnée.
- une unité de chargement qui achemine les ordures de la fosse à
l'unité de broyage.
- une unité de broyage : '
. à partir de là, les ordures ménagères qui ne passent pas dans
le tamis, sont acheminées pour y être stockées dans l'ancienne
carrière à proximité immédiate, ce sont les refus. A noter
qu'en l'absence de mise en oeuvre de mesures adaptées (com¬
pactage, tri ...), la capacité de stockage de l'ancienne car¬
rière sera bientôt insuffisante.
. l'autre partie des ordures broyées est acheminée dans la tour
de fermentation ou "digesteur", où elle séjourne 8 jours en-
viron. Le compost ainsi obtenu est alors stocké sur l'aire
bétonnée existante derrière l'usine (au Nord-Est); il est
commercialisé en l'état.
Le tonnage des entrées enregistré depuis la mise en oeuvre de
- 3673 t (à partir du 1er juin) pour l'année 1976.
- 8454 t pour l'année 1977.
- 9837 t pour l'année 1978.
- 10150 t pour l'année 1979.
- 9764 t pour l'année 1980.
l'usine est :
-ll
ll est prévu une augmentation des tonnages pour les années 1882/
1883 (12000 t/an environ).
Lors des pannes de fonctionnement d'une des unités, les ordures
ménagères sont directement acheminées en l'état à la décharge contrôlée; la durée
cumulée de telles pannes était estimée à 12 j/an environ, c'est donc de l'ordre
de 400 t/an d'ordures qui seraient ainsi déposées sur la décharge.
312 - La décharge contrôlée
La décharge qui couvre une surface de 3,7 ha environ, fonctionne
depuis juin 1979. Selon les dispositions de l'arrêté préfectoral d'autorisation,
en date du 19 juin 1979, seuls sont admis les résidus suivants :
- les ordures ménagères
- les déblais et gravats
- les cendres et mâchefers refroidis
- les déchets industriels et commerciaux solides à condition qu'ils
ne soient non toxiques , ni explosifs, ni susceptibles de s'enflammer
spontanément
- les boues pelletables, non toxiques, en provenance de stations
d'épuration
Enfin, il est précisé que le dépôt de toute substance, soluble ou
non, pouvant présenter un danger de contamination chimique vis-à-vis des eaux
souterraines ou superficielles est formellement interdit.
Depuis la mise en fonctionnement de la décharge, 55000 m3 de ré¬
sidus ont été déposés, actuellement le rythme est de l'ordre de 5000 m3/mois.
Ils comprennent des déchets urbains (hors poubelles), des boues de curage de
fossés (500 m3/mois) , des déchets de l'usine proche Gerflex (rouleau gerflex et
copeaux solides), des boues d'égouts (30 m3/mois) des réseaux des voies publiques,
enfin des gravats de démollitions .
-ll
ll est prévu une augmentation des tonnages pour les années 1882/
1883 (12000 t/an environ).
Lors des pannes de fonctionnement d'une des unités, les ordures
ménagères sont directement acheminées en l'état à la décharge contrôlée; la durée
cumulée de telles pannes était estimée à 12 j/an environ, c'est donc de l'ordre
de 400 t/an d'ordures qui seraient ainsi déposées sur la décharge.
312 - La décharge contrôlée
La décharge qui couvre une surface de 3,7 ha environ, fonctionne
depuis juin 1979. Selon les dispositions de l'arrêté préfectoral d'autorisation,
en date du 19 juin 1979, seuls sont admis les résidus suivants :
- les ordures ménagères
- les déblais et gravats
- les cendres et mâchefers refroidis
- les déchets industriels et commerciaux solides à condition qu'ils
ne soient non toxiques , ni explosifs, ni susceptibles de s'enflammer
spontanément
- les boues pelletables, non toxiques, en provenance de stations
d'épuration
Enfin, il est précisé que le dépôt de toute substance, soluble ou
non, pouvant présenter un danger de contamination chimique vis-à-vis des eaux
souterraines ou superficielles est formellement interdit.
Depuis la mise en fonctionnement de la décharge, 55000 m3 de ré¬
sidus ont été déposés, actuellement le rythme est de l'ordre de 5000 m3/mois.
Ils comprennent des déchets urbains (hors poubelles), des boues de curage de
fossés (500 m3/mois) , des déchets de l'usine proche Gerflex (rouleau gerflex et
copeaux solides), des boues d'égouts (30 m3/mois) des réseaux des voies publiques,
enfin des gravats de démollitions .
- 12 -
32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU SOUTER¬
RAINES
321 - La STOM
Cette installation peut engendrer une pollution des eaux pour les
raisons suivantes : . .
- les refus stockés dans la dépression formée par l'ancienne car¬
rière produisent un lessivât polluant par suite de l'action com¬
binée de leurs fermentations et de leurs décompositions d'une part,
et de l'action de la pluie d'autre part. Ce lessivât pourrait alors
s'infiltrer dans le sous-sol, en fait, jamais totalement imperméable,
atteindre la nappe et la polluer vers l'aval.
- le compost issu du "digesteur" est stocké sur une aire bétonnée.
Les eaux issues de cette aire étaient autrefois collectées dans
un caniveau réceptacle qui se déversait dans une fosse de décan-
"^ tation avant rejet dans le ruisseau. A la demande de la DDASS et
de la DU, le rejet a été supprimé, les eaux sont alors envoyées
dans le "digesteur" et sont ainsi utilisées pour l'humidification.
. Par ailleurs, le lavage des véhicules qui se _ pratiquait autrefois
dans le périmètre de l'usine a été supprimé. Si les risques de
pollution n'ont pas totalement disparu , ils sont toutefois sen¬
siblement diminués.
Nous avons pu constater à trois reprises courant mai- juin, que la
canalisation de rejet au ruisseau ne débitait pratiquement pas.
- le compost et l'aire sur laquelle il est stocké, ainsi que les
aires goudronnées autour de l'usine sont a l'air libre et donc
soumis à l'action des pluies. Les eaux qui en résultent sont col¬
lectées par suite de l'effet de pente des aires et conduites au
ruisseau.
En temps de pluie, il peut donc exister un rejet polluant dans
le ruisseau qui contaminerait à son tour la nappe phréatique. On
peut cependant escompter un effet de dilution des eaux superfi¬
cielles contaminés par suite de l'augmentation des débits du ruis¬
seau dont le bassin versant est d'extension relativement réduite.
- 12 -
32 - LES CAUSES EVENTUELLES DE POLLUTION DES EAUX SUPERFICIELLES OU SOUTER¬
RAINES
321 - La STOM
Cette installation peut engendrer une pollution des eaux pour les
raisons suivantes : . .
- les refus stockés dans la dépression formée par l'ancienne car¬
rière produisent un lessivât polluant par suite de l'action com¬
binée de leurs fermentations et de leurs décompositions d'une part,
et de l'action de la pluie d'autre part. Ce lessivât pourrait alors
s'infiltrer dans le sous-sol, en fait, jamais totalement imperméable,
atteindre la nappe et la polluer vers l'aval.
- le compost issu du "digesteur" est stocké sur une aire bétonnée.
Les eaux issues de cette aire étaient autrefois collectées dans
un caniveau réceptacle qui se déversait dans une fosse de décan-
"^ tation avant rejet dans le ruisseau. A la demande de la DDASS et
de la DU, le rejet a été supprimé, les eaux sont alors envoyées
dans le "digesteur" et sont ainsi utilisées pour l'humidification.
. Par ailleurs, le lavage des véhicules qui se _ pratiquait autrefois
dans le périmètre de l'usine a été supprimé. Si les risques de
pollution n'ont pas totalement disparu , ils sont toutefois sen¬
siblement diminués.
Nous avons pu constater à trois reprises courant mai- juin, que la
canalisation de rejet au ruisseau ne débitait pratiquement pas.
- le compost et l'aire sur laquelle il est stocké, ainsi que les
aires goudronnées autour de l'usine sont a l'air libre et donc
soumis à l'action des pluies. Les eaux qui en résultent sont col¬
lectées par suite de l'effet de pente des aires et conduites au
ruisseau.
En temps de pluie, il peut donc exister un rejet polluant dans
le ruisseau qui contaminerait à son tour la nappe phréatique. On
peut cependant escompter un effet de dilution des eaux superfi¬
cielles contaminés par suite de l'augmentation des débits du ruis¬
seau dont le bassin versant est d'extension relativement réduite.
- 13 -
322 - La décharge contrôlée
La décomposition des ordures ménagères qui sont déposées par suite
de panne de la STOM, peut éventuellement produire une pollution chimique et loca¬
lement une pollution bactérienne par suite de l'infiltration des lessivats résul¬
tant des eaux de pluie non évapotranspirées (pluie efficace) et de l'écoulement
des eaux souterraines. De même que les boues et les déchets urbains de station
d'épuration et certains déchets industriels peuvent être à l'origine d'une conta¬
mination.
Cependant, il n'existe pas d'émissaire qui acheminerait loin à
l'aval la pollution. La totalité des lessivats s'infiltrent donc à la verticale
du site de la décharge où elle vient alimenter et polluer la nappe.
Le ruisseau des Echaravelles pourrait cependant jouer le rôle de
vecteur de la pollution si les eaux souterraines infiltrées sur le site étaient
drainées (en totalité ou en partie) vers l'Est par ce ruisseau. Précisons cependant
que la distance que devraient parcourir dans ces conditions les eaux souterraines
serait de l'ordre de plus de 100 m, distance non négligeable qui assurerait une
épuration bactérienne des eaux souterraines issues de la décharge.
4 - LEi=SQMïi=2liM=i^iilèSï§ (^°^^ fig- 4)
Un inventaire systématique des points d'eau existants dans le secteur étudié
a été réalisé courant mai-juin, dans la perspective d'un suivi de la piézométrie
et de la qualité des eaux souterraines.
La détermination de la piézométrie de la nappe est indispensable pour appré-
hender notamment la répartition des écoulements.
41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES (voir annexe 1)
- 13 -
322 - La décharge contrôlée
La décomposition des ordures ménagères qui sont déposées par suite
de panne de la STOM, peut éventuellement produire une pollution chimique et loca¬
lement une pollution bactérienne par suite de l'infiltration des lessivats résul¬
tant des eaux de pluie non évapotranspirées (pluie efficace) et de l'écoulement
des eaux souterraines. De même que les boues et les déchets urbains de station
d'épuration et certains déchets industriels peuvent être à l'origine d'une conta¬
mination.
Cependant, il n'existe pas d'émissaire qui acheminerait loin à
l'aval la pollution. La totalité des lessivats s'infiltrent donc à la verticale
du site de la décharge où elle vient alimenter et polluer la nappe.
Le ruisseau des Echaravelles pourrait cependant jouer le rôle de
vecteur de la pollution si les eaux souterraines infiltrées sur le site étaient
drainées (en totalité ou en partie) vers l'Est par ce ruisseau. Précisons cependant
que la distance que devraient parcourir dans ces conditions les eaux souterraines
serait de l'ordre de plus de 100 m, distance non négligeable qui assurerait une
épuration bactérienne des eaux souterraines issues de la décharge.
4 - LEi=SQMïi=2liM=i^iilèSï§ (^°^^ fig- 4)
Un inventaire systématique des points d'eau existants dans le secteur étudié
a été réalisé courant mai-juin, dans la perspective d'un suivi de la piézométrie
et de la qualité des eaux souterraines.
La détermination de la piézométrie de la nappe est indispensable pour appré-
hender notamment la répartition des écoulements.
41 - INVENTAIRE - ELABORATION DE FICHES SIGNALETIQUES (voir annexe 1)
" l« - Fi«.4
POINTS D'EAU EXISTANTS
PIEZOMETRIE DE LA NAPPEPHREATIQUE ETABLIE EN
JUILLET 69ECHELLE 1/25 OOO
Puits domestique etsonn0
local
Puits pour l'irrigation etson numéro local
Piézometre et son n°local
Point d'eau son numérol a P r o f o nd6ur [m) de l'eau
mesurée par rapport au repèreen mai 81
Sondage géologique
Isopiéze et sa valeur en m .
Sens d'écoulement dtla noppt
- 15 -
41 1 - Préliminaires
L'élaboration des fiches signalétiques comprend notamment la des¬
cription de l'environnement du point d'eau répertorié. Cette rubrique est pri¬
mordiale dans la perspective d'une campagne de prélèvements d'échantillons en
vue d'analyses chimiques (et surtout bactériologiques si nécessaire).
En effet, la grande majorité des points d'eau existants dans le
secteur est constituée de puits domestiques, implantés dans la cour des fermes.
Il est. donc capital de s'assurer que la pollution éventuellement détectée dans
l'échantillon prélevé, n'a pas une origine locale : infiltrations en provenance
du tas de fumier ou d'une écurie, de la fosse septique (présente dans toutes les
maisons vu l'absence de réseau d'assainissement collectif), ou encore mauvaise
protection immédiate du puits (fermeture insuffisante) . '
41 2 - Les résultats
Une quinzaine de points d'eau ont été inventoriés et visités à
l'intérieur du périmètre du secteur étudié dont : *
- 9 puits domestiques : à noter que tous ces puits sont en état de
fonctionnement, ils sont utilisés pour les besoins en eau de la
maison (maison individuelle ou ferme) .
Ces puits pénètrent partiellement l'aquifère alluvial, leur pro¬
fondeur est de l'ordre de la dizaine de mètres.
L'équipement de la majorité des puits est celui généralement ren¬
contré pour ce type d'ouvrage : une colonne de buses de 1,20 m
de diamètre ou un soutènement en pierres sèches et un dispositif de
prélèvements avec pompe électrique.
Il est à préciser cependant que lors des travaux de la CNR pour
la mise en place des aménagements de Donzère-Mondragon-Bollène,
(vers les années 52-54), la plupart des puits ont du être appro¬
fondis par suite de l'abaissement généralisé du niveau de la nappe.
La CNR a alors mis en place des pointes crépinées au fond des
puits approfondis de cette façon de 3 à 4 m.
- 15 -
41 1 - Préliminaires
L'élaboration des fiches signalétiques comprend notamment la des¬
cription de l'environnement du point d'eau répertorié. Cette rubrique est pri¬
mordiale dans la perspective d'une campagne de prélèvements d'échantillons en
vue d'analyses chimiques (et surtout bactériologiques si nécessaire).
En effet, la grande majorité des points d'eau existants dans le
secteur est constituée de puits domestiques, implantés dans la cour des fermes.
Il est. donc capital de s'assurer que la pollution éventuellement détectée dans
l'échantillon prélevé, n'a pas une origine locale : infiltrations en provenance
du tas de fumier ou d'une écurie, de la fosse septique (présente dans toutes les
maisons vu l'absence de réseau d'assainissement collectif), ou encore mauvaise
protection immédiate du puits (fermeture insuffisante) . '
41 2 - Les résultats
Une quinzaine de points d'eau ont été inventoriés et visités à
l'intérieur du périmètre du secteur étudié dont : *
- 9 puits domestiques : à noter que tous ces puits sont en état de
fonctionnement, ils sont utilisés pour les besoins en eau de la
maison (maison individuelle ou ferme) .
Ces puits pénètrent partiellement l'aquifère alluvial, leur pro¬
fondeur est de l'ordre de la dizaine de mètres.
L'équipement de la majorité des puits est celui généralement ren¬
contré pour ce type d'ouvrage : une colonne de buses de 1,20 m
de diamètre ou un soutènement en pierres sèches et un dispositif de
prélèvements avec pompe électrique.
Il est à préciser cependant que lors des travaux de la CNR pour
la mise en place des aménagements de Donzère-Mondragon-Bollène,
(vers les années 52-54), la plupart des puits ont du être appro¬
fondis par suite de l'abaissement généralisé du niveau de la nappe.
La CNR a alors mis en place des pointes crépinées au fond des
puits approfondis de cette façon de 3 à 4 m.
- 16 -
3 piézomètres mis en place pour la surveillance de la décharge
contrôlée : ils sont équipés d'un tube crépine implanté jusqu'à
une dizaine de mètres de profondeur, munis d'un couvercle cade¬
nassé.
A noter que la CNR dispose d'un réseau de points d'eau pour la
surveillance de la nappe depuis les aménagements évoqués plus haut.
Dans le secteur étudié, elle ne possède aucun piézomètre vu la
présence de puits domestiques en nombre suffisant.
enfin, 2 puits en rase campagne pour l'irrigation par aspersion,
équipés de buses de 1,2 m de diamètre, mais non munis d'un dispo¬
sitif de pompage.
Rappelons l'existence du sondage foré dans l'enceinte de la STOM,
La carte de la fig. 4, indique la position des différents points
d'eau existants dans le secteur étudié.
5 - LA^gliZOMETRIE^DE^LA^NAPPE^DANS^LE^SECTEUR^ETUDIE (voir fig. 4)
La piézométrie a pu être établie approximativement d'après les mesures effec¬
tuées lors de l'inventaire sur le terrain complétées par celles effectuées par
la CNR.
Cette piézométrie reste très approximative car la cote altimétrique des puits
ne faisant pas pas partie du réseau CNR, a été seulement estimée d'après la carte
IGN au 1/25.000. Une mesure de la cote altimétrique de ces puits devra donc êtreprévue dans la deuxième phase d'étude.
La carte de la figure 4 indique la profondeur mesurée et la cote altimétrique
déduite du toit de la nappe dans les différents points d'eau, ainsi que la directiodes écoulements.
Il nous a paru prématuré de tracer toutes les courbes isopièzes (courbe d'égal
niveau du toit de la nappe) vu l'imprécision de la cote altimétrique du repère des
points d'eau.
- 16 -
3 piézomètres mis en place pour la surveillance de la décharge
contrôlée : ils sont équipés d'un tube crépine implanté jusqu'à
une dizaine de mètres de profondeur, munis d'un couvercle cade¬
nassé.
A noter que la CNR dispose d'un réseau de points d'eau pour la
surveillance de la nappe depuis les aménagements évoqués plus haut.
Dans le secteur étudié, elle ne possède aucun piézomètre vu la
présence de puits domestiques en nombre suffisant.
enfin, 2 puits en rase campagne pour l'irrigation par aspersion,
équipés de buses de 1,2 m de diamètre, mais non munis d'un dispo¬
sitif de pompage.
Rappelons l'existence du sondage foré dans l'enceinte de la STOM,
La carte de la fig. 4, indique la position des différents points
d'eau existants dans le secteur étudié.
5 - LA^gliZOMETRIE^DE^LA^NAPPE^DANS^LE^SECTEUR^ETUDIE (voir fig. 4)
La piézométrie a pu être établie approximativement d'après les mesures effec¬
tuées lors de l'inventaire sur le terrain complétées par celles effectuées par
la CNR.
Cette piézométrie reste très approximative car la cote altimétrique des puits
ne faisant pas pas partie du réseau CNR, a été seulement estimée d'après la carte
IGN au 1/25.000. Une mesure de la cote altimétrique de ces puits devra donc êtreprévue dans la deuxième phase d'étude.
La carte de la figure 4 indique la profondeur mesurée et la cote altimétrique
déduite du toit de la nappe dans les différents points d'eau, ainsi que la directiodes écoulements.
Il nous a paru prématuré de tracer toutes les courbes isopièzes (courbe d'égal
niveau du toit de la nappe) vu l'imprécision de la cote altimétrique du repère des
points d'eau.
- 17
^ ~ M=Qyè^iïl=2i§=ièM5=i=2Si^ii=iï=ièSïiii2i22ii=^'^°^^ ^^S- 6 et annexe 2)
61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES
Des analyses chimiques et bactériologiques ont été effectuées depuis
quelques années sur échantillons d'eau de nappe prélevés dans les puits domestiques.
Les analyses d'eau existantes dont nous disposons ont été faites, soit à
l'initiative de particuliers, soit à la demande des Maires de la Garde Adhémar etde Saint Paul-trois-Châteaux, soit encore à la demande de l'Administration notam¬
ment avant la mise en service de la décharge contrôlée.-
Ainsi, des analyses relativement nombreuses ont été réalisées dans le ,
secteur étudié depuis le jour où Monsieur René SALEL, exploitant agricole, installé
à 0,8 km au Nord de la STOM, a enregistré une mauvaise odeur dans son eau de boisson. .
J .
L'analyse bactériologique réalisée alors avait mis en évidence la non potabilité
des eaux. C'est à la suite de ce constat que le Maire de la Garde Adhémar a demandé
au laboratoire d'analyses du CEA de Pierrelatte, d'effectuer des analyses sur tout
un secteur de la plaine. Le secteur couvert se situe au Nord et donc à l'amont de *
la STOM et de la décharge contrôlée.
. Ces analyses ayant révélé une eau non potable du point de vue bactériolo¬
gique dans un certain nombre de puits (20 sur 27 contrôlée) , certains particuliers
font depuis contrôler assez régulièrement les eaux de leur puits. Par ailleurs,
l'Administration ou le District du Tricastin (actuellement le Syndicat) ont fait
procéder à des analyses dans les puits situés à l'aval de la STOM et de la décharge,
ainsi que dans le ruisseau des Echaravelles.
Au total, 38 points d'eau de nappe ont fait l'objet d'analyses une fois
au moins, depuis 1975, dont certains, tels que les puits appartenant à Monsieur
LOUCHE (garde de la station de pompage des Echaravelles) et à Monsieur HUGUES,
exploitant agricole, ont fait l'objet de 4 séries d'analyses au moins.
- 17
^ ~ M=Qyè^iïl=2i§=ièM5=i=2Si^ii=iï=ièSïiii2i22ii=^'^°^^ ^^S- 6 et annexe 2)
61 - LES DONNEES D'ANALYSES DISPONIBLES
Des analyses chimiques et bactériologiques ont été effectuées depuis
quelques années sur échantillons d'eau de nappe prélevés dans les puits domestiques.
Les analyses d'eau existantes dont nous disposons ont été faites, soit à
l'initiative de particuliers, soit à la demande des Maires de la Garde Adhémar etde Saint Paul-trois-Châteaux, soit encore à la demande de l'Administration notam¬
ment avant la mise en service de la décharge contrôlée.-
Ainsi, des analyses relativement nombreuses ont été réalisées dans le ,
secteur étudié depuis le jour où Monsieur René SALEL, exploitant agricole, installé
à 0,8 km au Nord de la STOM, a enregistré une mauvaise odeur dans son eau de boisson. .
J .
L'analyse bactériologique réalisée alors avait mis en évidence la non potabilité
des eaux. C'est à la suite de ce constat que le Maire de la Garde Adhémar a demandé
au laboratoire d'analyses du CEA de Pierrelatte, d'effectuer des analyses sur tout
un secteur de la plaine. Le secteur couvert se situe au Nord et donc à l'amont de *
la STOM et de la décharge contrôlée.
. Ces analyses ayant révélé une eau non potable du point de vue bactériolo¬
gique dans un certain nombre de puits (20 sur 27 contrôlée) , certains particuliers
font depuis contrôler assez régulièrement les eaux de leur puits. Par ailleurs,
l'Administration ou le District du Tricastin (actuellement le Syndicat) ont fait
procéder à des analyses dans les puits situés à l'aval de la STOM et de la décharge,
ainsi que dans le ruisseau des Echaravelles.
Au total, 38 points d'eau de nappe ont fait l'objet d'analyses une fois
au moins, depuis 1975, dont certains, tels que les puits appartenant à Monsieur
LOUCHE (garde de la station de pompage des Echaravelles) et à Monsieur HUGUES,
exploitant agricole, ont fait l'objet de 4 séries d'analyses au moins.
- 18 -
QUALITE BACTERIOLOGIQUEDES EAUX PRELEVEES DANSLES PUITS ETPIEZOMETRES
DU SECTEUR ETUDIE
POINTS DE PRELEVEMENTS AVECINDICATIONS DE LAPOTABILITEDES ECHANTILLONS PRELEVES
ECHELLE 1/25 OOO
Fig. 6
Point d'eau ayant fournides échantillons non potablesbactériologique ment
Point d'eau dons lequel leséchantillons prélevés ontmontré une eau potablebactériologique ment
l̂ij£ /PAUL-
à - • ' • • ^ k ' ••-•
_ 19 -
Il est à noter que nous ne disposons pas des analyses faites à l'initiative
des particuliers.
Les prélèvements en vue d'analyses chimiques et bactériologiques réalisés à
plusieurs reprises dans le ruisseau des Echaravelles (septembre 1977, mai et juin
1980) ont porté sur l'amont, l'aval, de même qu'au point de rejet de la STOM dans
le ruisseau.
Des prélèvements ont été de même effectués en janvier 1976, dans le ruisseau
de la Garde Adhémar qui constitue l'émissaire de la station d'épuration de la
commune .
En conclusion, on dispose d'analyses bactériologiques (analyses chimiques peu
nombreuses et incomplètes) d'eaux de nappe et d'eaux superficielles dans le secteur
étudié et ses environs. La majorité de ces analyses concernent des points d'eau
situés à l'amont de la STOM et de la décharge contrôlée.
62 - LES RESULTATS OBTENUS
Les échantillons prélevés dans les 38 points d'eau (dont 3 piézomètres)
du secteur étudié (élargi) ont montré :
- une pollution bactérienne dans 27 puits, dont les 3 piézomètres de la
décharge contrôlée; du point de vue chimique, rares sont les analyses
complètes, mais d'après le pH et la résistivité les eaux pourraient
être potables à l'exception des échantillons recueillis dans les 3 pié¬
zomètres .
- la pollution bactérienne mesurée est caractérisée le plus souvent par
des. streptocoques fécaux, des Clostridia sulfito-réducteurs, des bac¬
téries coliformes, et Escherichia coli.
- une eau potable dans II puits : dans le contexte général de la nappe,
ces puits ne semblent pas se localiser dans des secteurs singulierset particulièrement favorables. Pour l'un d'entre eux, le puits n" 27
notamment, c'est bien le contraire puisqu'il se trouve à l'aval immédiat
du ruisseau de la Garde Adhémar, émissaire des eaux de la station d'é¬
puration communale, suspecté de polluer la nappe.
_ 19 -
Il est à noter que nous ne disposons pas des analyses faites à l'initiative
des particuliers.
Les prélèvements en vue d'analyses chimiques et bactériologiques réalisés à
plusieurs reprises dans le ruisseau des Echaravelles (septembre 1977, mai et juin
1980) ont porté sur l'amont, l'aval, de même qu'au point de rejet de la STOM dans
le ruisseau.
Des prélèvements ont été de même effectués en janvier 1976, dans le ruisseau
de la Garde Adhémar qui constitue l'émissaire de la station d'épuration de la
commune .
En conclusion, on dispose d'analyses bactériologiques (analyses chimiques peu
nombreuses et incomplètes) d'eaux de nappe et d'eaux superficielles dans le secteur
étudié et ses environs. La majorité de ces analyses concernent des points d'eau
situés à l'amont de la STOM et de la décharge contrôlée.
62 - LES RESULTATS OBTENUS
Les échantillons prélevés dans les 38 points d'eau (dont 3 piézomètres)
du secteur étudié (élargi) ont montré :
- une pollution bactérienne dans 27 puits, dont les 3 piézomètres de la
décharge contrôlée; du point de vue chimique, rares sont les analyses
complètes, mais d'après le pH et la résistivité les eaux pourraient
être potables à l'exception des échantillons recueillis dans les 3 pié¬
zomètres .
- la pollution bactérienne mesurée est caractérisée le plus souvent par
des. streptocoques fécaux, des Clostridia sulfito-réducteurs, des bac¬
téries coliformes, et Escherichia coli.
- une eau potable dans II puits : dans le contexte général de la nappe,
ces puits ne semblent pas se localiser dans des secteurs singulierset particulièrement favorables. Pour l'un d'entre eux, le puits n" 27
notamment, c'est bien le contraire puisqu'il se trouve à l'aval immédiat
du ruisseau de la Garde Adhémar, émissaire des eaux de la station d'é¬
puration communale, suspecté de polluer la nappe.
- 20 -
63 - INTERPRETATION
Préalablement, il convient de formuler les remarques suivantes (dont cer¬
taines constituent un rappel) :
- les points d'eau qui ont fait l'objet de prélèvements pour analyses sont
des puits de particuliers -à l'exception de 3 piézomètres mis en place
à l'aval de la décharge- situés généralement dans la cour de la ferme,
presque systématiquement à l'aval de la fosse septique, et à l'aval ou
à proximité de tas de fumier ou de locaux pour animaux.
Lors de ses campagnes d'analyses, le CEA a procédé à une injection d'un
traceur (Rhodamine B à la concentration de 20 mg/l) dans 3 fosses sep¬
tiques de ferme. Le traceur a été retrouvé dans le puits de la ferme
(ainsi que dans certains puits à l'aval), mettant ainsi en évidence la
relation hydraulique entre les deux installations.
- ces puits sont pour la plupart protégés très sommairement, parfois
avec un couvercle amovible non étanche, posé à même lé sol. Des dé¬
pôts très divers sont parfois constatés à proximité immédiate.
- l'intérieur des puits n'est pratiquement pas entretenu.
- les résultats d'analyses sont fournis sans indication du mode de pré¬
lèvement, on ignore ainsi si le recueil d'échantillons a été fait après
pompage suffisamment long.
- les résultats des analyses effectués préalablement à la mise en service
de la décharge contrôlée sont donnés avec indications du mode de pré¬
lèvements. Ainsi dans les 3 piézomètres, l'échantillon fut prélevé au
moyen d'un préleveur, sans pompage. Dans ces conditions l'échantillon
prélevé n'est absolument pas représentatif de la nappe, particulière¬
ment du point de vue bactériologique et des teneurs en fer.
Ces remarques étant faites, nous adopterons certaines des conclusionsde l'étude du CEA, à savoir :
. "la pollution observée dans certains puits est une pollution due aux
matières fécales contenues dans les fosses septiques, celles-ci n'étanpas étanches".
. "il s'agit donc de phénomènes trës localisés, qui ne sont pas récents,mais qui ne pourront disparaître qu'avec la construction de véritablesfosses septiques, fonctionnant bien".
- 20 -
63 - INTERPRETATION
Préalablement, il convient de formuler les remarques suivantes (dont cer¬
taines constituent un rappel) :
- les points d'eau qui ont fait l'objet de prélèvements pour analyses sont
des puits de particuliers -à l'exception de 3 piézomètres mis en place
à l'aval de la décharge- situés généralement dans la cour de la ferme,
presque systématiquement à l'aval de la fosse septique, et à l'aval ou
à proximité de tas de fumier ou de locaux pour animaux.
Lors de ses campagnes d'analyses, le CEA a procédé à une injection d'un
traceur (Rhodamine B à la concentration de 20 mg/l) dans 3 fosses sep¬
tiques de ferme. Le traceur a été retrouvé dans le puits de la ferme
(ainsi que dans certains puits à l'aval), mettant ainsi en évidence la
relation hydraulique entre les deux installations.
- ces puits sont pour la plupart protégés très sommairement, parfois
avec un couvercle amovible non étanche, posé à même lé sol. Des dé¬
pôts très divers sont parfois constatés à proximité immédiate.
- l'intérieur des puits n'est pratiquement pas entretenu.
- les résultats d'analyses sont fournis sans indication du mode de pré¬
lèvement, on ignore ainsi si le recueil d'échantillons a été fait après
pompage suffisamment long.
- les résultats des analyses effectués préalablement à la mise en service
de la décharge contrôlée sont donnés avec indications du mode de pré¬
lèvements. Ainsi dans les 3 piézomètres, l'échantillon fut prélevé au
moyen d'un préleveur, sans pompage. Dans ces conditions l'échantillon
prélevé n'est absolument pas représentatif de la nappe, particulière¬
ment du point de vue bactériologique et des teneurs en fer.
Ces remarques étant faites, nous adopterons certaines des conclusionsde l'étude du CEA, à savoir :
. "la pollution observée dans certains puits est une pollution due aux
matières fécales contenues dans les fosses septiques, celles-ci n'étanpas étanches".
. "il s'agit donc de phénomènes trës localisés, qui ne sont pas récents,mais qui ne pourront disparaître qu'avec la construction de véritablesfosses septiques, fonctionnant bien".
- 21 -
A ces causes éventuelles de pollution bactérienne, nous rappellerons
les tas de fumier, les infiltrations en provenance des écuries, de même qu'une
fermeture et un entretien insuffisant des puits. Rappelons également que tout
échantillon ne peut être représentatif de la nappe qu'après un pompage suffi¬
samment long pour renouveler très largement les eaux du puits et de la nappe à
la périphérie immédiate de l'ouvrage.
Les résultats d'analyses actuellement disponibles ne peuvent par consé¬
quent être représentatifs de l'état général de la nappe phréatique.
A fortiori, les indications fournies par ces analyses ne permettent pas
de conclure sur lès incidences de la qualité de la nappe de la STOM et de la dé¬
charge contrôlée.
Par ailleurs, est-il nécessaire de préciser que la pollution constatée
dans la plupart des puits (théoriquement au moins 26) ne peut être imputable à
la STOM et à la décharge vu leur situation amont par rapport aux écoulements de
la nappe ?. Les résultats obtenus ont été cependant analysés dans la mesure où
ils auraient pu témoigner d'un état de pollution général de la nappe en amont
de la STOM, ce qui ne semble pas être le cas puisque, comme cela a été déjàt.--'
précisé, 7 puits indiquent une eau de nappe tout à fait potable.
Par ailleurs, la pollution bactérienne constatée dans ces puits ne
peut être attribuée aux infiltrations dans , la nappe des eaux rejetées par la^ ¡". .
station d'épuration de la Garde Adhémar. Les résultats d'analyse du puits n° 27
en témoignent. Faut-il préciser de même qu'une pollution bactérienne ne se propage
pas. Les recherches faites à ce sujet et reproduites en littérature démontrent
qu'après quelques dizaines de mètres (30 à 80 m) de parcours en milieux poreux,
(sable, sable et gravier ...) une eau épurée des bactéries et germes courants.
Les caractéristiques bactériologiques des eaux phréatiques doivent être
considérées comme résultant essentiellement de l'environnement immédiat ou proche
du point d'eau, et ne peuvent constituer un indicateur de pollution "généralisée"
d'une nappe souterraine.
Les incidences sur la qualité des eaux phréatiques des deux installations
en question, ne seront appréhendées qu'au moyen d'analyses chimiques d'échantillons
d'eau prélevés dans les conditions requises, c'est-à-dire par des piézomètres placés
à l'aval hydraulique des installations et après un certain temps de pompage, afin
d'être sûr d'avoir un échantillon représentatif de l'eau de nappe.
- 21 -
A ces causes éventuelles de pollution bactérienne, nous rappellerons
les tas de fumier, les infiltrations en provenance des écuries, de même qu'une
fermeture et un entretien insuffisant des puits. Rappelons également que tout
échantillon ne peut être représentatif de la nappe qu'après un pompage suffi¬
samment long pour renouveler très largement les eaux du puits et de la nappe à
la périphérie immédiate de l'ouvrage.
Les résultats d'analyses actuellement disponibles ne peuvent par consé¬
quent être représentatifs de l'état général de la nappe phréatique.
A fortiori, les indications fournies par ces analyses ne permettent pas
de conclure sur lès incidences de la qualité de la nappe de la STOM et de la dé¬
charge contrôlée.
Par ailleurs, est-il nécessaire de préciser que la pollution constatée
dans la plupart des puits (théoriquement au moins 26) ne peut être imputable à
la STOM et à la décharge vu leur situation amont par rapport aux écoulements de
la nappe ?. Les résultats obtenus ont été cependant analysés dans la mesure où
ils auraient pu témoigner d'un état de pollution général de la nappe en amont
de la STOM, ce qui ne semble pas être le cas puisque, comme cela a été déjàt.--'
précisé, 7 puits indiquent une eau de nappe tout à fait potable.
Par ailleurs, la pollution bactérienne constatée dans ces puits ne
peut être attribuée aux infiltrations dans , la nappe des eaux rejetées par la^ ¡". .
station d'épuration de la Garde Adhémar. Les résultats d'analyse du puits n° 27
en témoignent. Faut-il préciser de même qu'une pollution bactérienne ne se propage
pas. Les recherches faites à ce sujet et reproduites en littérature démontrent
qu'après quelques dizaines de mètres (30 à 80 m) de parcours en milieux poreux,
(sable, sable et gravier ...) une eau épurée des bactéries et germes courants.
Les caractéristiques bactériologiques des eaux phréatiques doivent être
considérées comme résultant essentiellement de l'environnement immédiat ou proche
du point d'eau, et ne peuvent constituer un indicateur de pollution "généralisée"
d'une nappe souterraine.
Les incidences sur la qualité des eaux phréatiques des deux installations
en question, ne seront appréhendées qu'au moyen d'analyses chimiques d'échantillons
d'eau prélevés dans les conditions requises, c'est-à-dire par des piézomètres placés
à l'aval hydraulique des installations et après un certain temps de pompage, afin
d'être sûr d'avoir un échantillon représentatif de l'eau de nappe.
- 22 -
7 - CONCLUSIONS
Les pollutions bactériennes constatées dans les échantillons prélevés aux puits
domestiques de la région étudiée (au sens large), ne traduisent pas un état général
de la nappe phréatique.
En effet, ces pollutions résultent soit de sources de contamination à pro¬
ximité des puits : fosses septiques fonctionnant plus ou moins bien, tas de fumier
ou écurie, protection insuffisante de l'ouvrage, absence d'entretien, soit de
la méthode de prélèvements (absence de pompage préalable de durée suffisante) ,
Sept puits, dont certains ont fait l'objet de plusieurs analyses, montrent
une eau de nappe qui répond aux normes de potabilité.
Par ailleurs, le ruisseau de la Garde Adhémar ne semble pas polluer d'une
manière sensible la nappe phréatique comme l'atteste les résultats d'analyses
d'un puits situé à l'aval immédiat.
Des nombreuses analyses d'eau de puits situés à l'amont de la STOM et de la
décharge contrôlée apportent la preuve -s'il le fallait- que la pollution bac¬
térienne constatée . dans les quelques puits situés à l'aval, n'est pas impu¬
table aux deux installations, la distance étant trop importante.
Les données actuellement disponibles ne permettent pas de répondre à la
question posée : à partir du site de la STOM et de la décharge contrôlée, y-a-t'il
des infiltrations d'eaux polluées susceptibles d'altérer la qualité des eaux sou¬
terraines ?
En effet, pour répondre à une telle question, il faudrait nécessairement dis¬
poser des éléments suivants :
- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'amont de la STOM.
- 22 -
7 - CONCLUSIONS
Les pollutions bactériennes constatées dans les échantillons prélevés aux puits
domestiques de la région étudiée (au sens large), ne traduisent pas un état général
de la nappe phréatique.
En effet, ces pollutions résultent soit de sources de contamination à pro¬
ximité des puits : fosses septiques fonctionnant plus ou moins bien, tas de fumier
ou écurie, protection insuffisante de l'ouvrage, absence d'entretien, soit de
la méthode de prélèvements (absence de pompage préalable de durée suffisante) ,
Sept puits, dont certains ont fait l'objet de plusieurs analyses, montrent
une eau de nappe qui répond aux normes de potabilité.
Par ailleurs, le ruisseau de la Garde Adhémar ne semble pas polluer d'une
manière sensible la nappe phréatique comme l'atteste les résultats d'analyses
d'un puits situé à l'aval immédiat.
Des nombreuses analyses d'eau de puits situés à l'amont de la STOM et de la
décharge contrôlée apportent la preuve -s'il le fallait- que la pollution bac¬
térienne constatée . dans les quelques puits situés à l'aval, n'est pas impu¬
table aux deux installations, la distance étant trop importante.
Les données actuellement disponibles ne permettent pas de répondre à la
question posée : à partir du site de la STOM et de la décharge contrôlée, y-a-t'il
des infiltrations d'eaux polluées susceptibles d'altérer la qualité des eaux sou¬
terraines ?
En effet, pour répondre à une telle question, il faudrait nécessairement dis¬
poser des éléments suivants :
- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'amont de la STOM.
- 23 -
- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'aval de la STOM et de la dé¬
charge contrôlée, à des distances variables. Précisons en effet, que si
une contamination bactérienne persiste rarement dans un milieu aquifère au-
delà de quelques dizaines de mètres, les éléments chiraiques peuvent se dé¬
placer assez loin et à l'aval à la faveur des écoulements souterrains en
milieu poreux.
Les piézomètres n° 2 et 3 de la décharge contrôlée peuvent fournir des in¬
dications sur l'émission éventuelle de pollutions en direction de l'Ouest.
Par contre, on ne dispose pas d'informations sur les éventuels écoulements
souterrains vers l'Est, en direction du ruisseau des Echaravelles.
- le rôle de la rivière des Echaravelles qui peut constituer le vecteur de
pollution dans la mesure où le lit n'est pas complètement colmaté et où ses
eaux s'infiltrent dans la nappe pour la contaminer.
- enfin, les écoulements souterrains de la nappe phréatique qui renseigneront
sur le cheminement possible des eaux contaminées.
Les travaux à réaliser en phase 2 sont donc les suivants :
- réalisation de 2 piézomètres dont un à proximité de la STOM et un à proximité
de la décharge contrôlée.
- deux campagnes de mesures piézométriques après nivellement topographique des
puits et piézomètres.
- une campagne de prélèvements dans une douzaine de points d'eau après pompage
prolongé afin d'obtenir des échantillons représentatifs des eaux phréatiques
et l'analyse physico-chimique avec bilan ionique des eaux prélevées.
- deux séries d'analyses physico-chimiques d'échantillons prélevés dans le
ruisseau des Echaravelles a l'amont et à l'aval des installations.
- 23 -
- la qualité chimique des eaux de la nappe à l'aval de la STOM et de la dé¬
charge contrôlée, à des distances variables. Précisons en effet, que si
une contamination bactérienne persiste rarement dans un milieu aquifère au-
delà de quelques dizaines de mètres, les éléments chiraiques peuvent se dé¬
placer assez loin et à l'aval à la faveur des écoulements souterrains en
milieu poreux.
Les piézomètres n° 2 et 3 de la décharge contrôlée peuvent fournir des in¬
dications sur l'émission éventuelle de pollutions en direction de l'Ouest.
Par contre, on ne dispose pas d'informations sur les éventuels écoulements
souterrains vers l'Est, en direction du ruisseau des Echaravelles.
- le rôle de la rivière des Echaravelles qui peut constituer le vecteur de
pollution dans la mesure où le lit n'est pas complètement colmaté et où ses
eaux s'infiltrent dans la nappe pour la contaminer.
- enfin, les écoulements souterrains de la nappe phréatique qui renseigneront
sur le cheminement possible des eaux contaminées.
Les travaux à réaliser en phase 2 sont donc les suivants :
- réalisation de 2 piézomètres dont un à proximité de la STOM et un à proximité
de la décharge contrôlée.
- deux campagnes de mesures piézométriques après nivellement topographique des
puits et piézomètres.
- une campagne de prélèvements dans une douzaine de points d'eau après pompage
prolongé afin d'obtenir des échantillons représentatifs des eaux phréatiques
et l'analyse physico-chimique avec bilan ionique des eaux prélevées.
- deux séries d'analyses physico-chimiques d'échantillons prélevés dans le
ruisseau des Echaravelles a l'amont et à l'aval des installations.
- 24 -
ANNEXE 1
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU INVENTORIES
DANS LES ENVIRONS DE LA STATION DE TRAITEMENT D'OR¬
DURES MENAGERES ET DE LA DECHARGE CONTROLEE.
- 24 -
ANNEXE 1
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU INVENTORIES
DANS LES ENVIRONS DE LA STATION DE TRAITEMENT D'OR¬
DURES MENAGERES ET DE LA DECHARGE CONTROLEE.
- 25 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
INDICE NATIONAL BRGM
ÜJ
<
>D0Ijuû
Z0
<u0
890 5X 1038
n° LOCAL 1
DEPARTEMENT -. l^^OME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : LE BOIS MAHON - COUVIERE
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP n°36 - ST PAUL TROIS CHATEAUX.
s'^'Â CONTACTER : (90) 34.34.42 ou [ (75) 04.71.11
COORDONNEES LAMBERTX .. 791.09 y. 232.11
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
<Cd
>
0
UJQ
(flliJD0.HH?
¬UJHU<
<u
CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF,
[ lyyy 6Z )
Couvercle
Tubem^ 0.30 m
So/
NATURE : piézomètre cadenassé
EQUIPE EN : t"^^ crépine ^ 6"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.70 m qatE : 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 8.47 m T° DATE: 22/05/81
NIVEAU CAPTE : "-^PPe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Olil NON
CARACTERISTIQUES:
UTILISATION- Contrôle (niveaux et chimie) de la nappe aux alentours de la déchargecontrôlée. Deux autres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.
DEBIT OU PUISSANCE :
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- situé en bordure Nord d'un chemin reliant la Route D.71 à la décharge contrôlée,â environ 100 m de la route.
- la STOM se trouve à 250 m environ au Nord.- la décharge contrôlée à 200 m au Sud-Est.- du point de vue hydrodynamique, le piézomètre se situe à l'amont, ou au plus, la¬
téralement à la décharge dans son état actuel, et latéralement, éventuellement àl'aval de la STOM.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 25 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
INDICE NATIONAL BRGM
ÜJ
<
>D0Ijuû
Z0
<u0
890 5X 1038
n° LOCAL 1
DEPARTEMENT -. l^^OME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : LE BOIS MAHON - COUVIERE
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP n°36 - ST PAUL TROIS CHATEAUX.
s'^'Â CONTACTER : (90) 34.34.42 ou [ (75) 04.71.11
COORDONNEES LAMBERTX .. 791.09 y. 232.11
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
<Cd
>
0
UJQ
(flliJD0.HH?
¬UJHU<
<u
CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF,
[ lyyy 6Z )
Couvercle
Tubem^ 0.30 m
So/
NATURE : piézomètre cadenassé
EQUIPE EN : t"^^ crépine ^ 6"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.70 m qatE : 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 8.47 m T° DATE: 22/05/81
NIVEAU CAPTE : "-^PPe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Olil NON
CARACTERISTIQUES:
UTILISATION- Contrôle (niveaux et chimie) de la nappe aux alentours de la déchargecontrôlée. Deux autres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.
DEBIT OU PUISSANCE :
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- situé en bordure Nord d'un chemin reliant la Route D.71 à la décharge contrôlée,â environ 100 m de la route.
- la STOM se trouve à 250 m environ au Nord.- la décharge contrôlée à 200 m au Sud-Est.- du point de vue hydrodynamique, le piézomètre se situe à l'amont, ou au plus, la¬
téralement à la décharge dans son état actuel, et latéralement, éventuellement àl'aval de la STOM.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 26
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
INDICE NATIONAL BRGM
UJ
<a.>D0
ÜJQ
Zg
<u0
<et>
0
LuQ
(flUJ
DOH(fl
crUJHu<q:<u
890 5X 1039
n° LOCAL 2
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : LE BOIS MAHON
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP 36-26130 ST PAUL 3 CHATEAUX
¿^1. CONTACTER - (90)34.34.42
COORDONNEES LAMBERT
^791.85 '^- 231.95
(75) 04.71.11
PLAN DE SITUATION
SENS O ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE piezomêtre cadenassé
EQUIPE EN : tube crépine ^ 6"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.48 m DATE : 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 9 "05 j° DATE;
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
22/05/81
CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF
( ~ 265 )
N.e
&L S.O
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT qC/i NON
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION- ~ Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée.- fait partie d'un dispositif de 3 piézomètres.
DEBIT OU PUISSANCE ;
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- se situe à l'Ouest et à l'aval de la décharge contrôlée, à proximité de l'entréeet du local du gardien
- à proximité et à contrebas du canal d'amenée des eaux d'irrigation.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- le piézomètre est destiné a mettre en évidence une pollution éventuelle en pro¬venance de la décharge contrôlée, mais le canal d'irrigation pourrait être aussi une
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI : source de pollution.
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 26
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
INDICE NATIONAL BRGM
UJ
<a.>D0
ÜJQ
Zg
<u0
<et>
0
LuQ
(flUJ
DOH(fl
crUJHu<q:<u
890 5X 1039
n° LOCAL 2
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : LE BOIS MAHON
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Carrières et Décharge Contrôlé(C.D.C.)BP 36-26130 ST PAUL 3 CHATEAUX
¿^1. CONTACTER - (90)34.34.42
COORDONNEES LAMBERT
^791.85 '^- 231.95
(75) 04.71.11
PLAN DE SITUATION
SENS O ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE piezomêtre cadenassé
EQUIPE EN : tube crépine ^ 6"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 9.48 m DATE : 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 9 "05 j° DATE;
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
22/05/81
CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF
( ~ 265 )
N.e
&L S.O
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT qC/i NON
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION- ~ Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée.- fait partie d'un dispositif de 3 piézomètres.
DEBIT OU PUISSANCE ;
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- se situe à l'Ouest et à l'aval de la décharge contrôlée, à proximité de l'entréeet du local du gardien
- à proximité et à contrebas du canal d'amenée des eaux d'irrigation.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- le piézomètre est destiné a mettre en évidence une pollution éventuelle en pro¬venance de la décharge contrôlée, mais le canal d'irrigation pourrait être aussi une
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI : source de pollution.
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 27 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU'
UJ
<a.>D0
UJQ
Z0
(fl_i<u0
<a.>D0
UJQ
tflUJ
DOH(fl
trmHU<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n LOCAL
890 5X 1040
COORDONNEES LAMBERT
X 792.00 Y: 231.51
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE ; ^T PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : COUVIERE
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT -Carrières et Décharge Contrôlée(C.D.C.)BP 36 - 26130 ST PAUL TROIS CHATEAUX
s'=1\ CONTACTER : (90) 34.34.42 OU (75) 04.71.11
PLAN DE SITUATION
3o/s Mahon
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
CROQUIS DUREPERE i
Z REPERE NGF !
( ~ 5/ )
sHf '"" n)
So/
0,30m
II IIIl IIil IIII II
NATURE : piézomètre cadenassé
EQUIPE EN : ^'"^^ crépine ^ 6"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.14 m pATE : 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 7.04 m T° DATE : 22/05/81t
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Ol/i NON
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION: Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée. Deuxautres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.DEBIT ou PUISSANCE :
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- située en rase campagne, en bordure du chemin, à l'aval de la décharge contrôlée.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe à l'aval dela décharge.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 27 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU'
UJ
<a.>D0
UJQ
Z0
(fl_i<u0
<a.>D0
UJQ
tflUJ
DOH(fl
trmHU<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n LOCAL
890 5X 1040
COORDONNEES LAMBERT
X 792.00 Y: 231.51
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE ; ^T PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : COUVIERE
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT -Carrières et Décharge Contrôlée(C.D.C.)BP 36 - 26130 ST PAUL TROIS CHATEAUX
s'=1\ CONTACTER : (90) 34.34.42 OU (75) 04.71.11
PLAN DE SITUATION
3o/s Mahon
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
CROQUIS DUREPERE i
Z REPERE NGF !
( ~ 5/ )
sHf '"" n)
So/
0,30m
II IIIl IIil IIII II
NATURE : piézomètre cadenassé
EQUIPE EN : ^'"^^ crépine ^ 6"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.14 m pATE : 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 7.04 m T° DATE : 22/05/81t
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Ol/i NON
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION: Contrôle de la nappe aux alentours de la décharge contrôlée. Deuxautres piézomètres complètent le dispositif de surveillance.DEBIT ou PUISSANCE :
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- située en rase campagne, en bordure du chemin, à l'aval de la décharge contrôlée.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- piézomètre particulièrement intéressant pour le suivi de la nappe à l'aval dela décharge.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 28 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJ
Ü<cr>D0
UJû
z0
(̂fl_i<u0
UJ
<cr>D0_lUJQ
(flUDO1-
crUJI-u<Cï<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 4
890 5X 1041
COORDONNEES LAMBERT
X 792.02 Y: 231.33
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : ^^^^ ^ " ^^^ ^^^^^
PROPRIETAIRE : Mr ALBIN Charles
EXPLOITANT : Mr ALBIN
^'^% CONTACTER :
PLAN DE SITUATION-liasse sceptique
A
u
Ecurie
//angar^
, Jépendonces //
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : Puits de ferme ancien approfondi par CNR aumoyen d'un tube.EQUIPE EN : parois pierres ^gr 1 m puis 0.20 m -f tube
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.90 m d^j£ ; 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 5.92 m -^o ^^.^^ . 22/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(z/n
CARACTERISTIQUES: Pompe électrique.
UTILISATION- Alimentation de la ferme.
CROQUIS DU REFERE j
Z REPERE NGF |
( ~ 50 ) Í
4.Porte Fenêtre
(z) P/oque meta//i'guei,
Sol .
DEBIT OU PUISSANCE
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT:- puits sitiié à proximité immédiate de la façade de la maison, à gauche de la porte
d'entrée.- une simple plaque métallique recouvre le puits.- une fosse septique est située à l'arrière de la maison.- à 8 m environ, à l'Est (à gauche) une écurie.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- les risques de souillure locale ne sont pas à exclure.
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 28 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJ
Ü<cr>D0
UJû
z0
(̂fl_i<u0
UJ
<cr>D0_lUJQ
(flUDO1-
crUJI-u<Cï<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 4
890 5X 1041
COORDONNEES LAMBERT
X 792.02 Y: 231.33
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : ^^^^ ^ " ^^^ ^^^^^
PROPRIETAIRE : Mr ALBIN Charles
EXPLOITANT : Mr ALBIN
^'^% CONTACTER :
PLAN DE SITUATION-liasse sceptique
A
u
Ecurie
//angar^
, Jépendonces //
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : Puits de ferme ancien approfondi par CNR aumoyen d'un tube.EQUIPE EN : parois pierres ^gr 1 m puis 0.20 m -f tube
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 8.90 m d^j£ ; 22/05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 5.92 m -^o ^^.^^ . 22/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(z/n
CARACTERISTIQUES: Pompe électrique.
UTILISATION- Alimentation de la ferme.
CROQUIS DU REFERE j
Z REPERE NGF |
( ~ 50 ) Í
4.Porte Fenêtre
(z) P/oque meta//i'guei,
Sol .
DEBIT OU PUISSANCE
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT:- puits sitiié à proximité immédiate de la façade de la maison, à gauche de la porte
d'entrée.- une simple plaque métallique recouvre le puits.- une fosse septique est située à l'arrière de la maison.- à 8 m environ, à l'Est (à gauche) une écurie.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- les risques de souillure locale ne sont pas à exclure.
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 29 -
FICHES SIGNALETIQUES .DES POINTS D'EAU
UJ
o<cr>D011
UJû
z0
(fl_j<U0
<cr>D0
UJQ
(flUJ
D0.I-(fl
CE
UJHU<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 5 COORDONNEES LAMBERT
890 5X 1042
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : La Dévalade
PROPRIETAIRE : Jacques VESIGNE
EXPLOITANT : " "
S"^1x CONTACTER : (90) 34.34.42
^ 792.38 Y; 231.25
A
PLAN DE SITUATION
Chemin accèsà /a ferme
Bosquet
Source
^ , Corriere\ I U£S/GfJ£
ancienne ferme ^"/o Déva/ade "
I / (en cours deremb/aiement)I/'/ y- .
SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE
DATE: 22/05/81
NATURE : Source
EQUIPE EN : déversoir ^
PROFONDEUR DU FOND/REPERE :
CREPINE DE : a
NP/REPERE:'^ 175 m -y" DATE:
NIVEAU CAPTE :
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON
CARACTERISTIQUES: débite en permanence .
UTILISATION: autrefois besoins de la ferme.
DEBIT OU PUISSANCE : ^ 0.1 à 0.5 1/s.
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
( ~'?'5 )
'"'S' m.\ 70/US l'Ill Xlii- c/eversoiril I'm lililí iKl ' ' "
source
j_ bassin .
1 1
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;
- carrière à l'amont dont la partie sud est en cours de comblement avec des ma¬
tériaux inertes : matériaux de démolition etc . . .
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : attention aux risques de contamination de l'eaupar suite du dépôt de matériaux à l'amont.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 29 -
FICHES SIGNALETIQUES .DES POINTS D'EAU
UJ
o<cr>D011
UJû
z0
(fl_j<U0
<cr>D0
UJQ
(flUJ
D0.I-(fl
CE
UJHU<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 5 COORDONNEES LAMBERT
890 5X 1042
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : La Dévalade
PROPRIETAIRE : Jacques VESIGNE
EXPLOITANT : " "
S"^1x CONTACTER : (90) 34.34.42
^ 792.38 Y; 231.25
A
PLAN DE SITUATION
Chemin accèsà /a ferme
Bosquet
Source
^ , Corriere\ I U£S/GfJ£
ancienne ferme ^"/o Déva/ade "
I / (en cours deremb/aiement)I/'/ y- .
SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE
DATE: 22/05/81
NATURE : Source
EQUIPE EN : déversoir ^
PROFONDEUR DU FOND/REPERE :
CREPINE DE : a
NP/REPERE:'^ 175 m -y" DATE:
NIVEAU CAPTE :
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON
CARACTERISTIQUES: débite en permanence .
UTILISATION: autrefois besoins de la ferme.
DEBIT OU PUISSANCE : ^ 0.1 à 0.5 1/s.
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
( ~'?'5 )
'"'S' m.\ 70/US l'Ill Xlii- c/eversoiril I'm lililí iKl ' ' "
source
j_ bassin .
1 1
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;
- carrière à l'amont dont la partie sud est en cours de comblement avec des ma¬
tériaux inertes : matériaux de démolition etc . . .
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : attention aux risques de contamination de l'eaupar suite du dépôt de matériaux à l'amont.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 30 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo
>D0'_!UlÛ
Z0
(fl
<u0
<cr>D0_iUlD
(flUJ
D0-I-(fl
crUJHu<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 11
890 IX 0049
COORDONNEES LAMBERTX: 792.28 Y-. 233.05
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR
LIEU DIT l'Es FRERESSES
PROPRIETAIRE : Mr SALEL AlainIl II
EXPLOITANT :
s"^*Â CONTACTER : 04.22.69
PLAN [DE SITUATION
A
U
Mai'son^ d'habitoé/on
^Hangar
I.
4^^SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits domestique.
EQUIPE EN : puits en pierre 0 1.20 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11.50 m DATE : 21 /05/81
CREPINE DE : - a
NP/REPERE: 10.93 m j» p^TE : 21 /05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N0N
CARACTERISTIQUES: Pope électrique.
UTILISATION: alimentation dé la ferme.
DEBIT OU PUISSANCE :
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
( ~ 55 )
1
f^
' o.so'
\ abri-enci'erfes
Porte
Sol
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits situé à l'aval de la maison et de ses dépendances.- en pied de colline en dehors du domaine de la plaine.- en contrebas et à faible distance (20 m environ) du canal d'amenée des eaux
d'irrigation.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- puits non représentatif de la nappe vu qu'il se situe sur les bordures Est enpied de colline - risque de souillures locales.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 30 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo
>D0'_!UlÛ
Z0
(fl
<u0
<cr>D0_iUlD
(flUJ
D0-I-(fl
crUJHu<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 11
890 IX 0049
COORDONNEES LAMBERTX: 792.28 Y-. 233.05
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR
LIEU DIT l'Es FRERESSES
PROPRIETAIRE : Mr SALEL AlainIl II
EXPLOITANT :
s"^*Â CONTACTER : 04.22.69
PLAN [DE SITUATION
A
U
Mai'son^ d'habitoé/on
^Hangar
I.
4^^SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits domestique.
EQUIPE EN : puits en pierre 0 1.20 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11.50 m DATE : 21 /05/81
CREPINE DE : - a
NP/REPERE: 10.93 m j» p^TE : 21 /05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N0N
CARACTERISTIQUES: Pope électrique.
UTILISATION: alimentation dé la ferme.
DEBIT OU PUISSANCE :
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
( ~ 55 )
1
f^
' o.so'
\ abri-enci'erfes
Porte
Sol
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits situé à l'aval de la maison et de ses dépendances.- en pied de colline en dehors du domaine de la plaine.- en contrebas et à faible distance (20 m environ) du canal d'amenée des eaux
d'irrigation.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- puits non représentatif de la nappe vu qu'il se situe sur les bordures Est enpied de colline - risque de souillures locales.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 31 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo<a.>D0-JUJQ
Z0
(fl
<u0
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL .12 COORDONNEES LAMBERT
890 5X 1045>^- 791.15 Y-. 7.31 .98
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ^T PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : FENOUILLET
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT ^^ HUGUES, cultivateur.
S'^^ CONTACTER : (75) 04.72.86
A
H
PLAN DE SITUATION
Chemin sans issu
TrrnTmi^'
ilOm
o
SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE
<a.>D0
UJQ
(flUJ
D0.H(fl
crUJHU<cr<u
NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant
EQUIPE EN : buses 0" 1.20m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 2.08 m DATE: 21/05/81
CREPINE DE : néant ¿
NP/REPERE: 1 .72 m T° DATE : 21/05/81
CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF
{ ^ 56 )
Couverc/e béton amovib/eCouverc/e fixe
Soi
Repère (Z) 4 |
Buses
/I I
I 1
I I
I I
NIVEAU CAPTE: nappe phréatique .
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT 0¿ll NON
CARACTERISTIQUES:
UTILISATION : Irrigation par aspersion.
DEBIT OU PUISSANCE :
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;
- situé en bordure d'un champ, en pied de tallus (graviers rapportés par suite destravaux de la C.N.R.) , éloigné de toute habitation (350 m au Nord).
- l'autoroute A7 passe à 45 m environ à l'Est.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- le site est favorable à un suivi de la nappe, sous réserve de pomper suffisammentvu la nature du puits et l'absence de pompage la majeure partie du teraps.
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 31 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo<a.>D0-JUJQ
Z0
(fl
<u0
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL .12 COORDONNEES LAMBERT
890 5X 1045>^- 791.15 Y-. 7.31 .98
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ^T PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : FENOUILLET
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT ^^ HUGUES, cultivateur.
S'^^ CONTACTER : (75) 04.72.86
A
H
PLAN DE SITUATION
Chemin sans issu
TrrnTmi^'
ilOm
o
SENS D ECOULEMENT DE LA NAPPE
<a.>D0
UJQ
(flUJ
D0.H(fl
crUJHU<cr<u
NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant
EQUIPE EN : buses 0" 1.20m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 2.08 m DATE: 21/05/81
CREPINE DE : néant ¿
NP/REPERE: 1 .72 m T° DATE : 21/05/81
CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF
{ ^ 56 )
Couverc/e béton amovib/eCouverc/e fixe
Soi
Repère (Z) 4 |
Buses
/I I
I 1
I I
I I
NIVEAU CAPTE: nappe phréatique .
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT 0¿ll NON
CARACTERISTIQUES:
UTILISATION : Irrigation par aspersion.
DEBIT OU PUISSANCE :
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT ;
- situé en bordure d'un champ, en pied de tallus (graviers rapportés par suite destravaux de la C.N.R.) , éloigné de toute habitation (350 m au Nord).
- l'autoroute A7 passe à 45 m environ à l'Est.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- le site est favorable à un suivi de la nappe, sous réserve de pomper suffisammentvu la nature du puits et l'absence de pompage la majeure partie du teraps.
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI
- 32 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo<a.>D0
UlQ
Z0
(fl
<u0
<cr>
0
UJQ
IflUJ
D0.h-iflcrUJHU<a.<u
INDICE NATIONAL BRGM
890 5X 1046
n° LOCAL 13
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT ^^' quartier Fenouillet
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur
á'^^ CONTACTER : (75) . 04 .'72. 86
COORDONNEES LAMBERT
X -. 791.29 Y-.232.03
PLAN C3E SITUATION
Autoroute A7
Puitso
' Cana/ d'/rrigation
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant.
E(PUIPE EN : buses 0 1 . 20 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: " DATE: '° '
CREPINE DE : néant ^
NP/REPERE: 5.75 ra j" DATE : 21/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatiqueI
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT c/ui NON
CARACTERISTIOUES:
UTILISATION: irrigation par aspersion
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
( ~5Ô )
Couverc/e béton
do//ebéton (z)
3\ IC
Buses
DEBIT OU PUISSANCE ;
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- à 50 m environ à l'Est de l'autoroute.
- situé dans un champ.
- à proximité immédiate du canal d'irrigation.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
^ des infiltrations à partir du canal d'irrigation ne sont pas à exclure.
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl
PROFONDEUR CXJ NIVEAU MAXI :
- 32 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo<a.>D0
UlQ
Z0
(fl
<u0
<cr>
0
UJQ
IflUJ
D0.h-iflcrUJHU<a.<u
INDICE NATIONAL BRGM
890 5X 1046
n° LOCAL 13
DEPARTEMENT : DROME
COMMUNE ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT ^^' quartier Fenouillet
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur
á'^^ CONTACTER : (75) . 04 .'72. 86
COORDONNEES LAMBERT
X -. 791.29 Y-.232.03
PLAN C3E SITUATION
Autoroute A7
Puitso
' Cana/ d'/rrigation
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : ouvrage creusé par l'exploitant.
E(PUIPE EN : buses 0 1 . 20 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: " DATE: '° '
CREPINE DE : néant ^
NP/REPERE: 5.75 ra j" DATE : 21/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatiqueI
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT c/ui NON
CARACTERISTIOUES:
UTILISATION: irrigation par aspersion
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
( ~5Ô )
Couverc/e béton
do//ebéton (z)
3\ IC
Buses
DEBIT OU PUISSANCE ;
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- à 50 m environ à l'Est de l'autoroute.
- situé dans un champ.
- à proximité immédiate du canal d'irrigation.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
^ des infiltrations à partir du canal d'irrigation ne sont pas à exclure.
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl
PROFONDEUR CXJ NIVEAU MAXI :
- 33 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
Ulo<cr>D0"JUJû
z0
(fl_j<u0
<cr>D0_lUJQ
(flU
9H(fl
crUJHu<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 14
890 5X 1047
COORDONNEES LAMBERT
>^ -791.25 Y: 231.26
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : FENOUILLET
PROPRIETAIRE
EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur
¿""Â CONTACTER : (75)04.72.86
PLAN DE SITUATION
Poa/oi//erfé/evage)
Maison
Puits
i ilt
'Coar
Maison
\ ^ \\ Portai/ \> de'pendonces "
2^̂
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits de ferme AEP
E<;?UIPE EN : buses ¡^ 1.20 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: DATE:
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 5.20 m .^o ^^^^ . 21/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NQÍN
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION: besoins domestiques.
DEBIT OU PUISSANCE : 5 m3/h (max).
CROQUIS DUREPEREz REPERE NGF
( 57. 9/ )
Conduite pompe
P/aques m eta//icfuespose'es sur /e soi
So/ garage
Tr
Buses
fiepére(Z)
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits situé à l'intérieur de la ferrae, dans un hangar.- la protection immédiate du puits n'est pas satisfaisante : 2 plaques métalliques
posées sur le sol et non jointives recouvrent le puits. Sur ces plaques et àproximité sont déposés, des sacs et objets divers.
- canalisation eaux usées à proximité.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- environnement inimédiat et caractéristiques techniques du puits peu favorable à unsuivi des caractéristiques chimiques et bactériologiques des eaux.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
- le puits fait -parti du Réseau CNR actuellement relevé 2 fois par an, autrefoismensuellement.
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :
- 33 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
Ulo<cr>D0"JUJû
z0
(fl_j<u0
<cr>D0_lUJQ
(flU
9H(fl
crUJHu<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 14
890 5X 1047
COORDONNEES LAMBERT
>^ -791.25 Y: 231.26
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT : FENOUILLET
PROPRIETAIRE
EXPLOITANT : Mr HUGUES, cultivateur
¿""Â CONTACTER : (75)04.72.86
PLAN DE SITUATION
Poa/oi//erfé/evage)
Maison
Puits
i ilt
'Coar
Maison
\ ^ \\ Portai/ \> de'pendonces "
2^̂
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits de ferme AEP
E<;?UIPE EN : buses ¡^ 1.20 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: DATE:
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 5.20 m .^o ^^^^ . 21/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NQÍN
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION: besoins domestiques.
DEBIT OU PUISSANCE : 5 m3/h (max).
CROQUIS DUREPEREz REPERE NGF
( 57. 9/ )
Conduite pompe
P/aques m eta//icfuespose'es sur /e soi
So/ garage
Tr
Buses
fiepére(Z)
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits situé à l'intérieur de la ferrae, dans un hangar.- la protection immédiate du puits n'est pas satisfaisante : 2 plaques métalliques
posées sur le sol et non jointives recouvrent le puits. Sur ces plaques et àproximité sont déposés, des sacs et objets divers.
- canalisation eaux usées à proximité.
APPRECIATIONS DE L UTILISATEUR :
- environnement inimédiat et caractéristiques techniques du puits peu favorable à unsuivi des caractéristiques chimiques et bactériologiques des eaux.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
- le puits fait -parti du Réseau CNR actuellement relevé 2 fois par an, autrefoismensuellement.
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :
UJ
o<cr>DO
UJû
Zo
(fl_i<uo
<a.>DO_IUJû
(fluD
(fl
crUlHU<cr<u
- 34 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
índice NATIONAL BRGM
890 5X 1048
n° LOCAL 15
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT :
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Mr LOUCHE Garde station depompage des Echaravelles.
¿'"Â CONTACTER : (75) 04.72.69
COORDONNEES LAMBERT
X -. 791.09 Y-. 232.31
NATURE : puits AEP particulier.
PLAN DE SITUATION
Dépendances (hangar)
C/oture
/liaison
Jard/'n potager
Autoroute fi 7
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
E(?UIPE EN tube 0 0.3 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 7.32 m DATE :23/05/81
CREPINE DE : . a
NP/REPERE: 5.92 m j" DATE : 23/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(^N
CARACTERISTIQUES: Pompe électrique
UTILISATION: Arrosage du jardin et besoins domestiques,
DEBIT OU PUISSANCE :
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
{ 'ySO )
0£0m
-^^^ Obri belon
1.10m
-Z. repère 1
^ Soi
fer'f--'-'i:----Jï ^' ''^P"' ^
Pompe
tube 0O.3OJ-l-
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- ouvrage situé dans un abri en béton avec porte métallique fermée à clef : pro¬tection immédiate très bonne.
- puits implanté au railieu du jardin potager, au Sud de la maison d'habitation, àune dizaine de mètres de la façade sud.
- il n'y a pas de dépôt visible de matières polluantes- l'autoroute A6 passe à 40 m environ à l'Est du puits.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- environnement et caractéristiques de l'ouvrage favorable a priori pour un suivide la nappe (niveau et chimie) .
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :
UJ
o<cr>DO
UJû
Zo
(fl_i<uo
<a.>DO_IUJû
(fluD
(fl
crUlHU<cr<u
- 34 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
índice NATIONAL BRGM
890 5X 1048
n° LOCAL 15
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT :
PROPRIETAIRE :
EXPLOITANT : Mr LOUCHE Garde station depompage des Echaravelles.
¿'"Â CONTACTER : (75) 04.72.69
COORDONNEES LAMBERT
X -. 791.09 Y-. 232.31
NATURE : puits AEP particulier.
PLAN DE SITUATION
Dépendances (hangar)
C/oture
/liaison
Jard/'n potager
Autoroute fi 7
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
E(?UIPE EN tube 0 0.3 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 7.32 m DATE :23/05/81
CREPINE DE : . a
NP/REPERE: 5.92 m j" DATE : 23/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(^N
CARACTERISTIQUES: Pompe électrique
UTILISATION: Arrosage du jardin et besoins domestiques,
DEBIT OU PUISSANCE :
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
{ 'ySO )
0£0m
-^^^ Obri belon
1.10m
-Z. repère 1
^ Soi
fer'f--'-'i:----Jï ^' ''^P"' ^
Pompe
tube 0O.3OJ-l-
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- ouvrage situé dans un abri en béton avec porte métallique fermée à clef : pro¬tection immédiate très bonne.
- puits implanté au railieu du jardin potager, au Sud de la maison d'habitation, àune dizaine de mètres de la façade sud.
- il n'y a pas de dépôt visible de matières polluantes- l'autoroute A6 passe à 40 m environ à l'Est du puits.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- environnement et caractéristiques de l'ouvrage favorable a priori pour un suivide la nappe (niveau et chimie) .
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR DU NIVEAU MAXI :
- 35 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJ
o
>D0IjUJQ
z0
(̂fl_i<U0
<cr>D0_lUJQ
(flUJDQ
10
crUJI-u<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° CNR S. 224
n LOCAL J7.890 5X 1050
COORDONNEES LAMBERT
X: 791.56 Y: 232.78
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : GARDE ADHEMAR
LIEU DIT : Bordure D 71
PROPRIETAIRE : Mr MARTIN
EXPLOITANT :
S^*^^ CONTACTER
Il II
iN
PLAN DE SITUATION. Cana/ d'irrigation
N
:i
A- Puits
Stp/ion
il3
yy Maison efy/l/,//:de'pendances
m1
SENS D' ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits en pierres.
EQUIPE EN : puits 0 1.10 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 'l 10 ra DATE;
CREPINE DE
NP/REPERE: 7.40 ra T° DATE : 25/06/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI
CARACTERISTIQUES: pompe électrique.
UTILISATION: besoins domestiques.
DEBIT OU PUISSANCE
CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF
( ^59.95 )
Bassin CouvercleamovibleI (repère Z)
T2
Pierres .
N6h/
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- à une quinzaine de mètres à l'Est de la route D 71
- au Nord-Ouest de la maison, donc à l'amont- dans un secteur non cultivé, occupé par des broussailles- absence de sources de contamination- présence toutefois du canal d'amenée des eaux d'irrigation situé du raême côté
de la route. ,, -^' '
APPRECIATIONS 'DE L UTILISATEUR ;
- environnement favorable, hormis' le canal d'amenée des eaux qui présentent desfui ces notables. Hais; protection insuffisante de l'ouvrage.
PHOrONDEUR DU NIVEAU MIPH:
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI :
- 35 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJ
o
>D0IjUJQ
z0
(̂fl_i<U0
<cr>D0_lUJQ
(flUJDQ
10
crUJI-u<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° CNR S. 224
n LOCAL J7.890 5X 1050
COORDONNEES LAMBERT
X: 791.56 Y: 232.78
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : GARDE ADHEMAR
LIEU DIT : Bordure D 71
PROPRIETAIRE : Mr MARTIN
EXPLOITANT :
S^*^^ CONTACTER
Il II
iN
PLAN DE SITUATION. Cana/ d'irrigation
N
:i
A- Puits
Stp/ion
il3
yy Maison efy/l/,//:de'pendances
m1
SENS D' ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits en pierres.
EQUIPE EN : puits 0 1.10 m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 'l 10 ra DATE;
CREPINE DE
NP/REPERE: 7.40 ra T° DATE : 25/06/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique.
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI
CARACTERISTIQUES: pompe électrique.
UTILISATION: besoins domestiques.
DEBIT OU PUISSANCE
CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF
( ^59.95 )
Bassin CouvercleamovibleI (repère Z)
T2
Pierres .
N6h/
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- à une quinzaine de mètres à l'Est de la route D 71
- au Nord-Ouest de la maison, donc à l'amont- dans un secteur non cultivé, occupé par des broussailles- absence de sources de contamination- présence toutefois du canal d'amenée des eaux d'irrigation situé du raême côté
de la route. ,, -^' '
APPRECIATIONS 'DE L UTILISATEUR ;
- environnement favorable, hormis' le canal d'amenée des eaux qui présentent desfui ces notables. Hais; protection insuffisante de l'ouvrage.
PHOrONDEUR DU NIVEAU MIPH:
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI :
- 36 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UlO<a.>D011
UJQ
Z0
Ifl_l<u0
<cr>D0
UJQ
(flUJ3OHIflcrUJHO<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n' LOCAL 18
890 5X 1051
COORDONNEES LAMBERTX : 791.51 Y-. 232.70
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : GARDE ADHEMAR
LIEU DIT : GARRIGUE
PROPRIETAIRE :Mr CUCHET J^aurice
Il II
EXPLOITANT :
S'^^ CONTACTER : ^^5) 04.72.87
NATURE : (propriétaire absent)
A
N
PLAN DE SITUATION
oooooooooooooooooq^Cloture (arbres) vtttti P^miei
Fosse sceptitjue
Hangar
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
t.
EQUIPE EN : ?
PROFONDEUR DU FOND/REPERE
CREPINE DE : ' a
NP/REPERE: ? T°
NIVEAU CAPTE :
0
DATE25/06/81
DATE
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
[ ~ 60 )
Sol hangar Couvercle
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NC^^
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION :besoins de la ferme
DEBIT OU PUISSANCE
DESCRIPTION DE. l'environnement :
- puits à l'intérieur du hangar fermé- dépôts divers à proxiraité du puits- puits situé à l'aval de la fosse septique et du furaier à une distance de l'ordre
de 25 m.
APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI
- 36 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UlO<a.>D011
UJQ
Z0
Ifl_l<u0
<cr>D0
UJQ
(flUJ3OHIflcrUJHO<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n' LOCAL 18
890 5X 1051
COORDONNEES LAMBERTX : 791.51 Y-. 232.70
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : GARDE ADHEMAR
LIEU DIT : GARRIGUE
PROPRIETAIRE :Mr CUCHET J^aurice
Il II
EXPLOITANT :
S'^^ CONTACTER : ^^5) 04.72.87
NATURE : (propriétaire absent)
A
N
PLAN DE SITUATION
oooooooooooooooooq^Cloture (arbres) vtttti P^miei
Fosse sceptitjue
Hangar
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
t.
EQUIPE EN : ?
PROFONDEUR DU FOND/REPERE
CREPINE DE : ' a
NP/REPERE: ? T°
NIVEAU CAPTE :
0
DATE25/06/81
DATE
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
[ ~ 60 )
Sol hangar Couvercle
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI NC^^
CARACTERISTIQUES :
UTILISATION :besoins de la ferme
DEBIT OU PUISSANCE
DESCRIPTION DE. l'environnement :
- puits à l'intérieur du hangar fermé- dépôts divers à proxiraité du puits- puits situé à l'aval de la fosse septique et du furaier à une distance de l'ordre
de 25 m.
APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI :
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI
- 37 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo<a.>D0
UJû
Z0
Ifl_J
<u0
<tr>D0_1
UJQ
10UJ
DaH(fl
crUJHU<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 21
'890 IX 0052
COORDONNEES LAMBERT
X-. 791.96 Y-. 233.10
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT - ^^S FRERESSES
PROPRIETAIRE : Mr SALEL René
EXPLOITANT : " "
S'^^'Â CONTACTER : (75) 04.11.06
PLAN DE SITUATION
Fosse sceptique
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits de ferme approfondi au moyen d'un tube.
E(?UIPE EN : pierres 0- \ m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11 m DA'TE :21 /05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 6.85 ra j° DATE: 21/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique : niveau aquifëre sous couche peu perméableséparant semble-t-il le niveau capté par le tube du premier niveau peu épais.EQUIPEMENT .PRELEVEMENT PERMANENT OUI NON
CARACTERISTIQUES: PO^P^ électrique.^
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
[ ^ 58 )
UTILISATION: besoins domestiques
DEBIT OU PUISSANCE
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits à l'aval (12 m environ) de la fosse septique- eau trouble parfois à la saison des pluies et pollution olfactive et bactérienne
en 1976- moins de problème, semble-t-il, depuis la mise en place d'un tube permettant le
captage d'un niveau plus profond.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- une pollution locale n'est pas à exclure (fosse septique et canalisation d'exhaureà l'amont) .
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI -
PROFONDEUR, CXJ NIVEAU MAXI
- 37 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJo<a.>D0
UJû
Z0
Ifl_J
<u0
<tr>D0_1
UJQ
10UJ
DaH(fl
crUJHU<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 21
'890 IX 0052
COORDONNEES LAMBERT
X-. 791.96 Y-. 233.10
DEPARTEMENT -. DROME
COMMUNE : ST PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT - ^^S FRERESSES
PROPRIETAIRE : Mr SALEL René
EXPLOITANT : " "
S'^^'Â CONTACTER : (75) 04.11.06
PLAN DE SITUATION
Fosse sceptique
SENS D'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : puits de ferme approfondi au moyen d'un tube.
E(?UIPE EN : pierres 0- \ m
PROFONDEUR DU FOND/REPERE: 11 m DA'TE :21 /05/81
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 6.85 ra j° DATE: 21/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique : niveau aquifëre sous couche peu perméableséparant semble-t-il le niveau capté par le tube du premier niveau peu épais.EQUIPEMENT .PRELEVEMENT PERMANENT OUI NON
CARACTERISTIQUES: PO^P^ électrique.^
CROQUIS DUREPEREZ REPERE NGF
[ ^ 58 )
UTILISATION: besoins domestiques
DEBIT OU PUISSANCE
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits à l'aval (12 m environ) de la fosse septique- eau trouble parfois à la saison des pluies et pollution olfactive et bactérienne
en 1976- moins de problème, semble-t-il, depuis la mise en place d'un tube permettant le
captage d'un niveau plus profond.
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR :
- une pollution locale n'est pas à exclure (fosse septique et canalisation d'exhaureà l'amont) .
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI -
PROFONDEUR, CXJ NIVEAU MAXI
- 38 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJ
<a.>D0
UJQ
Z0
(fl_l<u0
<cr>D0_JUJû
(flUJ
D0-H(fl
crUlHU<et<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 22
890 5X 1052
COORDONNEES LAMBERT
X- 791.77 Y: 232.55
DEPARTEMENT -.DROME
COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR
LIEU DIT : (NORD-EST DE LA STOM)
PROPRIETAIRE
EXPLOITANT :
S"^^ CONTACTER
Mr THURON
PLAN DE SITUATION
<>'. Puits
JardinECOULEMENT DE LA NAPPE
forêt
NATURE : puits domestique
EQUIPE EN : buses ^ 1.20 m -^ tube
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 16 m ^ DATE:
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 10.85 ra T° DATE: 22/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(Û^N
CARACTERISTIQUES: pompe électrique 2 m3/h
UTILISATION; besoins domestiques plus pompe à chaleur.
DEBIT ou PUISSANCE : 2 m3/h
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits situé à l'amont de la maison.
CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF
( ~ 62 )
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : P°i^t d'eau à retenir pour une campagned'analyses.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI
- 38 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJ
<a.>D0
UJQ
Z0
(fl_l<u0
<cr>D0_JUJû
(flUJ
D0-H(fl
crUlHU<et<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 22
890 5X 1052
COORDONNEES LAMBERT
X- 791.77 Y: 232.55
DEPARTEMENT -.DROME
COMMUNE : LA GARDE ADHEMAR
LIEU DIT : (NORD-EST DE LA STOM)
PROPRIETAIRE
EXPLOITANT :
S"^^ CONTACTER
Mr THURON
PLAN DE SITUATION
<>'. Puits
JardinECOULEMENT DE LA NAPPE
forêt
NATURE : puits domestique
EQUIPE EN : buses ^ 1.20 m -^ tube
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 16 m ^ DATE:
CREPINE DE : a
NP/REPERE: 10.85 ra T° DATE: 22/05/81
NIVEAU CAPTE : nappe phréatique
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT OUI N(Û^N
CARACTERISTIQUES: pompe électrique 2 m3/h
UTILISATION; besoins domestiques plus pompe à chaleur.
DEBIT ou PUISSANCE : 2 m3/h
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- puits situé à l'amont de la maison.
CROQUIS DU REPEREZ REPERE NGF
( ~ 62 )
APPRECIATIONS DE L'UTILISATEUR : P°i^t d'eau à retenir pour une campagned'analyses.
PROFONDEUR DU NIVEAU MINI
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI
- 39 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJO
>D0IjUJQ
Z0
(fl_1<u0
<cr>D0
"_!
UJQ
(flUJDqH(fl
crUJI-u<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 23
890 5X 1053
COORDONNEES LAMBERT
X: 791.55 Y: 232.35
DEPARTEMENT -.DROME
COMMUNE .-SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT :
PROPRIETAIRE : Syndicat Intercommunald'Etude, de Réalisation et de Gestion duEXPLOITANT : Triacastin.
Il
S"=^ CONTACTER : (90) 30.97.49
PLAN DE SITUATION
A SondageD'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : sondage de recherche d'eau
EQUIPE EN : tube PVC 0 8"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 1 9 m DATE:
CREPINE DE : a
NP/REPERE:? 19 m T° DATE:
NIVEAU CAPTE :
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON
CARACTERISTIQUES: f^-ii^i'.
UTILISATION- recherche d'eau. Forage à sec.
DEBIT ou PUISSANCE :
CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF
( ^ 6Z )
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- situé à l'aval de la STOM et des locaux du personnel de l'usine.
APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI
- 39 -
FICHES SIGNALETIQUES DES POINTS D'EAU
UJO
>D0IjUJQ
Z0
(fl_1<u0
<cr>D0
"_!
UJQ
(flUJDqH(fl
crUJI-u<cr<u
INDICE NATIONAL BRGM n° LOCAL 23
890 5X 1053
COORDONNEES LAMBERT
X: 791.55 Y: 232.35
DEPARTEMENT -.DROME
COMMUNE .-SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
LIEU DIT :
PROPRIETAIRE : Syndicat Intercommunald'Etude, de Réalisation et de Gestion duEXPLOITANT : Triacastin.
Il
S"=^ CONTACTER : (90) 30.97.49
PLAN DE SITUATION
A SondageD'ECOULEMENT DE LA NAPPE
NATURE : sondage de recherche d'eau
EQUIPE EN : tube PVC 0 8"
PROFONDEUR DU FOND/REPERE : 1 9 m DATE:
CREPINE DE : a
NP/REPERE:? 19 m T° DATE:
NIVEAU CAPTE :
EQUIPEMENT PRELEVEMENT PERMANENT Op\ NON
CARACTERISTIQUES: f^-ii^i'.
UTILISATION- recherche d'eau. Forage à sec.
DEBIT ou PUISSANCE :
CROQUIS DU REFEREZ REPERE NGF
( ^ 6Z )
DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT :
- situé à l'aval de la STOM et des locaux du personnel de l'usine.
APPRECIATIONS DE L UTILI SATEUR
PROFONDEUR DU NIVEAU MIMl
PROFONDEUR CXI NIVEAU MAXI
- 40 -
ANNEXE 2
QUELQUES RESULTATS D'ANALYSES D'ECHANTILLONS
D'EAU PRELEVES DANS CERTAINS PUITS OU PIEZO¬
METRES DU SECTEUR ETUDIE.
- 40 -
ANNEXE 2
QUELQUES RESULTATS D'ANALYSES D'ECHANTILLONS
D'EAU PRELEVES DANS CERTAINS PUITS OU PIEZO¬
METRES DU SECTEUR ETUDIE.
""aporatoire Vétérinaire^''^°Sépartemental ;
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
- 41 -
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse: 1931
Département : DROME
Commune : SAINT PAUL TROIS CHATE.WX
Nature : TU3E 1
Observations :
Effectué le: 29/05/80
Par : ^^ONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
CRésistivité
2046
p H
7.5
Turbidité
-
Couleur
ROUILLE
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
)ANALYSE CHIMIQUE
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.5
T. H.
ai^s
T. A. C.
25*'
N h4 +mg/l
0.19
N 02 -mg/l
0-22
N 03 -mg/l
4.5
cr-mg/l
12
S 04 --mg/l
41
Fe + +mg/l
11
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 440)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)
après 24 heures à 37°
après 72 heures è 20°
NEANT
3190
NEANT
NEANT
240
par
par
par
par
par ml
par ml
100 ml
100 ml
100 ml
100 ml
CONCLUSIONDCO en mg/l 02 : 28 Métaux lourds (Plomb) ; 0,05 mg/l Pb++
Eau très ferrugineuse, turbide et colorée. ^
Présence de nitrites et d'ammoniaque en quantité trop importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques fécaux
- . Valence, le 03/05/80Le Dii
BRACHET ^^h^r^.
""aporatoire Vétérinaire^''^°Sépartemental ;
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
- 41 -
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse: 1931
Département : DROME
Commune : SAINT PAUL TROIS CHATE.WX
Nature : TU3E 1
Observations :
Effectué le: 29/05/80
Par : ^^ONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
CRésistivité
2046
p H
7.5
Turbidité
-
Couleur
ROUILLE
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
)ANALYSE CHIMIQUE
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.5
T. H.
ai^s
T. A. C.
25*'
N h4 +mg/l
0.19
N 02 -mg/l
0-22
N 03 -mg/l
4.5
cr-mg/l
12
S 04 --mg/l
41
Fe + +mg/l
11
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 440)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)
après 24 heures à 37°
après 72 heures è 20°
NEANT
3190
NEANT
NEANT
240
par
par
par
par
par ml
par ml
100 ml
100 ml
100 ml
100 ml
CONCLUSIONDCO en mg/l 02 : 28 Métaux lourds (Plomb) ; 0,05 mg/l Pb++
Eau très ferrugineuse, turbide et colorée. ^
Présence de nitrites et d'ammoniaque en quantité trop importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques fécaux
- . Valence, le 03/05/80Le Dii
BRACHET ^^h^r^.
ÎORATOIRE VÉTÉRINAIREfg« DÉPARTEMENTAL
, ^fil'l ' ' , k0:., ' ' ':"Sé'S.-;.- 20, rue Leon-Blum.t|î.v.-^- 26000 VALENCE
. ^:*i^st- -
s' ' ...
->-li- Numéro d'analyse
:- 42 -agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31 . .
ANALYSE D'EAU
y¿>i "
ij?'î. Demandeur
'.cVi..
r-'
Point d'eau
Prélèvement
Département
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
1932
DROMB
SAINT PAUL TROIS CHATBAUX
TUBE 2 .
29/05/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUEr
Résistivité
1672
V
. P H
7.3
Turbidité Couleur
ROUILLS
Odeur
NULLE
. Saveur Dépôt
J
ANALYSE CHIMIQUE
02 cédé parMn 04 K mg/l
1
T. H.
40<»5
' T. A. C.
36»5
N h4 +mg/l
0.57
N 02 -; mg/l
1 : '0.31 ,
>
N 03 -mg/l
9
Cl -* mg/l
5
S 04- mg/l
30
Fe + -^. mg/l
..:, 12
J
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane «filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu wiison-aïaîr)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
2970
NEANT
NEANT
430
. - par
par
. .'- par
par
par ml
par ml
100 ml
100 ml
100 ml
100 ml
CONCLUSIOND C 0 on mg/l 02 : 28 Métatix lourds (Plomb) t 0,05 mg/l Pb4+Eau très ferrugineuse, ttlrbide et colorée. ^
Présence da nitrites et d'ammoniaque en quemtitá trop impor-tante.Présence d'une flore assez importante en s-traptocoques fécaux
Valence, le 03/06/80
ÎORATOIRE VÉTÉRINAIREfg« DÉPARTEMENTAL
, ^fil'l ' ' , k0:., ' ' ':"Sé'S.-;.- 20, rue Leon-Blum.t|î.v.-^- 26000 VALENCE
. ^:*i^st- -
s' ' ...
->-li- Numéro d'analyse
:- 42 -agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31 . .
ANALYSE D'EAU
y¿>i "
ij?'î. Demandeur
'.cVi..
r-'
Point d'eau
Prélèvement
Département
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
1932
DROMB
SAINT PAUL TROIS CHATBAUX
TUBE 2 .
29/05/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUEr
Résistivité
1672
V
. P H
7.3
Turbidité Couleur
ROUILLS
Odeur
NULLE
. Saveur Dépôt
J
ANALYSE CHIMIQUE
02 cédé parMn 04 K mg/l
1
T. H.
40<»5
' T. A. C.
36»5
N h4 +mg/l
0.57
N 02 -; mg/l
1 : '0.31 ,
>
N 03 -mg/l
9
Cl -* mg/l
5
S 04- mg/l
30
Fe + -^. mg/l
..:, 12
J
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane «filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu wiison-aïaîr)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
2970
NEANT
NEANT
430
. - par
par
. .'- par
par
par ml
par ml
100 ml
100 ml
100 ml
100 ml
CONCLUSIOND C 0 on mg/l 02 : 28 Métatix lourds (Plomb) t 0,05 mg/l Pb4+Eau très ferrugineuse, ttlrbide et colorée. ^
Présence da nitrites et d'ammoniaque en quemtitá trop impor-tante.Présence d'une flore assez importante en s-traptocoques fécaux
Valence, le 03/06/80
- 43 -LABORATOIRE VÉTÉRINAIRE
DÉPARTEMENTAL
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
foùrvt <á''ea.u n° 3
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :
( DépartementDemandeur
Point d'eau
Prélèvement
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
1933
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
TUBE 3
29/05/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
2805
p H
7.45
Turbidité Couleur
ROUILLE
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
JANALYSE CHIMIQUE
02 cédé parMn 04 K mg/l
3.5
T. H.
21»
t!a. C.
12«'5
N h4 +mg/l
0.76
N 02 -mg/l
O.Ol
1
N 03 -mg/l
0
cf-mg/l
16
S 04 --mg/l
40
Fe + +mg/l
11.2
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante èr 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
216
8120
NEANT
NEANT
180
par ml
par ml
par 100 ml
. par 100 ml
par 100 ml
par 100 m.l/
D C O en mg/l 02 : 278
CONCLUSION
Métaux lourds (Plomb) : AbsenceEau très ferrugineuse, turbide et colorée.Presence d'ammoniaque en quantité importante.Présence de matières organiques dissoutes en quantité très importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques \^f^y^le 03/O6/80
Le Directeur,
Docteur G. BRACHET
- 43 -LABORATOIRE VÉTÉRINAIRE
DÉPARTEMENTAL
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
foùrvt <á''ea.u n° 3
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :
( DépartementDemandeur
Point d'eau
Prélèvement
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
1933
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
TUBE 3
29/05/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
2805
p H
7.45
Turbidité Couleur
ROUILLE
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
JANALYSE CHIMIQUE
02 cédé parMn 04 K mg/l
3.5
T. H.
21»
t!a. C.
12«'5
N h4 +mg/l
0.76
N 02 -mg/l
O.Ol
1
N 03 -mg/l
0
cf-mg/l
16
S 04 --mg/l
40
Fe + +mg/l
11.2
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante èr 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
216
8120
NEANT
NEANT
180
par ml
par ml
par 100 ml
. par 100 ml
par 100 ml
par 100 m.l/
D C O en mg/l 02 : 278
CONCLUSION
Métaux lourds (Plomb) : AbsenceEau très ferrugineuse, turbide et colorée.Presence d'ammoniaque en quantité importante.Présence de matières organiques dissoutes en quantité très importante.Présence d'une flore assez importante en streptocoques \^f^y^le 03/O6/80
Le Directeur,
Docteur G. BRACHET
44
LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 1934
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
Département :
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS MONSIEUR ALBIN -'
29/05/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
1804
p H
7.3
Turbidité
' 4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISFAISANTE
J
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.6
V
T. H.
33«5
T. A. C.
24''5
ANALYSE CHIMIQUE
N h4 +rng/l
O
N 02 -,' mg/l
0 -
N 03 -mg/l
50.5
ci'-mg/l
18.5
S 04 --. mg/l
46
Fe + +- mg/l
0
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante i 37°)-
Escherichia Coli (membrane filtrante à" 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante h 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
67
21
NEANT
NEANT
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 m\ J
CONCLUSION
CHIMJLQUE : EAU CXDNFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE
EAU OONFORME A LA LEGISEATION
'e 03/O6/80
Docteur G. BRACHET
44
LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 1934
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
Département :
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS MONSIEUR ALBIN -'
29/05/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
1804
p H
7.3
Turbidité
' 4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISFAISANTE
J
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.6
V
T. H.
33«5
T. A. C.
24''5
ANALYSE CHIMIQUE
N h4 +rng/l
O
N 02 -,' mg/l
0 -
N 03 -mg/l
50.5
ci'-mg/l
18.5
S 04 --. mg/l
46
Fe + +- mg/l
0
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante i 37°)-
Escherichia Coli (membrane filtrante à" 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante h 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blalr)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
67
21
NEANT
NEANT
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 m\ J
CONCLUSION
CHIMJLQUE : EAU CXDNFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE
EAU OONFORME A LA LEGISEATION
'e 03/O6/80
Docteur G. BRACHET
LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
- 45 -
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :
( DépartementDemandeur
Point d'eau
Prélèvement
Commune :
Nature :
Observations
Effectué le :
Par :
5544
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS N<»2
24/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
2046
p H
7.2
Turbidité
4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISPAIS2.NTE
J
'
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.6
T. H.
3105
T. A. C.
24<'5
ANALYSE CHIMIQUE
. N h4 -f-mg/l
0
N 02 -mg/l
0
N 03 -mg/l
11
Cl -* mg/l
21.5
S 04 --mg/l
47
Fe + -mg/l
0
J
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane. filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
1 . .-
96
7
NEANT
105
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
CONCLUSION
CHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION
3ACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE
EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION
Valence, le 28/11/80
LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
- 45 -
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :
( DépartementDemandeur
Point d'eau
Prélèvement
Commune :
Nature :
Observations
Effectué le :
Par :
5544
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS N<»2
24/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
2046
p H
7.2
Turbidité
4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISPAIS2.NTE
J
'
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.6
T. H.
3105
T. A. C.
24<'5
ANALYSE CHIMIQUE
. N h4 -f-mg/l
0
N 02 -mg/l
0
N 03 -mg/l
11
Cl -* mg/l
21.5
S 04 --mg/l
47
Fe + -mg/l
0
J
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane. filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Blair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
1 . .-
96
7
NEANT
105
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
CONCLUSION
CHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION
3ACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE
EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION
Valence, le 28/11/80
v^c?.\':oz?.7. D<;'j.';.LïSE3 ;nrac.->L:s * et deCUri'.-KiLL'J.'CS. CZo r.'UxSj".iiCiI3 D2 L'HOÎC-IE
E7 DC 5o;c z?.ir.Q'.r.:z's-.à:
/>::.'iI,YS3 DS POT/lBIUTE D'U:î ECriaüILLOKD'E,\U POriELE D'AUrS.T.'.TIOK
3) Ah'M.Y.'^E BACTEPJOIOGIO.im
Ecrionbrc-.jpV. ânr. tci-t.c.t r.;:r ".-^-Iosg nutritive. ' :
. noûbre do colonies après 24 heures à 57° :
. nocbro Ûa colonies après 72 heures à 20-22° :
. H'h. par I ni
par I ni
Coliristrio, : .
. bactéries coliforaes : '. ^ par IOO e1
, Escherichia Coli : ,.....
Pfnor-brcrnnt tien StrsTitococv.ss FccauT:
. noabrc do colonies :
16 par IOO ml
56 par IOO ni
i;° de l'oialyse I SS5
provon:..tde : ..- '. . 1 .'^.^^.T^'^. .^:^^?:^ . . .{ .^^,^^1 .1 .í?>?.\^écha:,tilloa prclcvé le ; :..:.-J;^Ji^V}^J^
P=r ' :
é:^is U.T ilacon :
ESC/CrCD
ñ7-r?jjj;
.- rjr.cmbri::jq!rt .¿e:: Clor.tridi?lco Sjlfito-Téàuctrlces' :
. noùibrc de colcnics : . . . . r
a) ' 'co;:C).uSîO:r,s'
par IOO ni
prélèvGL-.cit non potable au point do vue tactiriolociquo |
Ci po-iatlo au pjiïi'l; do VUa" chiiiiqtje' ' ' "
; 0^
1 ) Dl'.::;:: j-ia'ajQUE
. Hcsistivitcí éleotricue (cn OKS/cn à 20°C) 2.100.
; F:ik-2C°C : là.... A:p-ct :
. Odeur Pierrelatte, lo 22 I^éoccbre ISÎS
2) Ai'Aa-S3 CS:3QUB
. 0:rj¿^:ie cede pnr /^-^O , à chaud 10 oinutos(en Eiiiou alcalin)
. Az.i-.o.iiaruo (en ÎHî ).
. ¡iiti-itc3 (on '.:0.)
* îr.rc^stré cous le n° 2528t.'jv¿¿ CGUû ie r.° 2479
... mc/l.Tljf..îi.ÇO ./, c/l
...y-.e/iInT. a 50
.../...
Lo Chef du Laboratoire
J.C-L'i/a'îEïSSU
O
T
PF
I';
v^c?.\':oz?.7. D<;'j.';.LïSE3 ;nrac.->L:s * et deCUri'.-KiLL'J.'CS. CZo r.'UxSj".iiCiI3 D2 L'HOÎC-IE
E7 DC 5o;c z?.ir.Q'.r.:z's-.à:
/>::.'iI,YS3 DS POT/lBIUTE D'U:î ECriaüILLOKD'E,\U POriELE D'AUrS.T.'.TIOK
3) Ah'M.Y.'^E BACTEPJOIOGIO.im
Ecrionbrc-.jpV. ânr. tci-t.c.t r.;:r ".-^-Iosg nutritive. ' :
. noûbre do colonies après 24 heures à 57° :
. nocbro Ûa colonies après 72 heures à 20-22° :
. H'h. par I ni
par I ni
Coliristrio, : .
. bactéries coliforaes : '. ^ par IOO e1
, Escherichia Coli : ,.....
Pfnor-brcrnnt tien StrsTitococv.ss FccauT:
. noabrc do colonies :
16 par IOO ml
56 par IOO ni
i;° de l'oialyse I SS5
provon:..tde : ..- '. . 1 .'^.^^.T^'^. .^:^^?:^ . . .{ .^^,^^1 .1 .í?>?.\^écha:,tilloa prclcvé le ; :..:.-J;^Ji^V}^J^
P=r ' :
é:^is U.T ilacon :
ESC/CrCD
ñ7-r?jjj;
.- rjr.cmbri::jq!rt .¿e:: Clor.tridi?lco Sjlfito-Téàuctrlces' :
. noùibrc de colcnics : . . . . r
a) ' 'co;:C).uSîO:r,s'
par IOO ni
prélèvGL-.cit non potable au point do vue tactiriolociquo |
Ci po-iatlo au pjiïi'l; do VUa" chiiiiqtje' ' ' "
; 0^
1 ) Dl'.::;:: j-ia'ajQUE
. Hcsistivitcí éleotricue (cn OKS/cn à 20°C) 2.100.
; F:ik-2C°C : là.... A:p-ct :
. Odeur Pierrelatte, lo 22 I^éoccbre ISÎS
2) Ai'Aa-S3 CS:3QUB
. 0:rj¿^:ie cede pnr /^-^O , à chaud 10 oinutos(en Eiiiou alcalin)
. Az.i-.o.iiaruo (en ÎHî ).
. ¡iiti-itc3 (on '.:0.)
* îr.rc^stré cous le n° 2528t.'jv¿¿ CGUû ie r.° 2479
... mc/l.Tljf..îi.ÇO ./, c/l
...y-.e/iInT. a 50
.../...
Lo Chef du Laboratoire
J.C-L'i/a'îEïSSU
O
T
PF
I';
/ÍABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
- kl -1 cLUL a ecu», n^ 15
agréé tx)ur le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
Numéro d'analyse
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
Département :
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
ANALYSE D'EAU5545
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS N^S MONSIEUR HUGUE BORD AUTOROUTE
24/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
/)
fRésistivité
1848
V
p H
7.1
Turbidité
4 -
Couleur
0
Odeur
NULLE '
Saveur Dépôt
SATISFAIS. ^NTS
ANALYSE CHIMIQUE
~ 02 cédé parMn 04 K mg/l
0.2
T. H.
ae^s
T. A. C.
28»5
N h4 -1-
mg/l
0
N 02 -mg/l
0
N 03 -mg/l
25
Cl -mg/l
15
S 04 --mg/l
46
Fe + +mg/l
0
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT ,
175
NEANT
NEANT
133
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
CONCLUSION
CHIMIQUE : EAU CQNFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE
EAU KON CONFORME A LA LEGISLATION
Valence, le 28/11/80Le Directeur,
'i^o TT. . .
/ÍABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
- kl -1 cLUL a ecu», n^ 15
agréé tx)ur le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
Numéro d'analyse
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
Département :
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
Par :
ANALYSE D'EAU5545
DROME
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS N^S MONSIEUR HUGUE BORD AUTOROUTE
24/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
/)
fRésistivité
1848
V
p H
7.1
Turbidité
4 -
Couleur
0
Odeur
NULLE '
Saveur Dépôt
SATISFAIS. ^NTS
ANALYSE CHIMIQUE
~ 02 cédé parMn 04 K mg/l
0.2
T. H.
ae^s
T. A. C.
28»5
N h4 -1-
mg/l
0
N 02 -mg/l
0
N 03 -mg/l
25
Cl -mg/l
15
S 04 --mg/l
46
Fe + +mg/l
0
)ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose \
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT ,
175
NEANT
NEANT
133
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
CONCLUSION
CHIMIQUE : EAU CQNFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE GERMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE
EAU KON CONFORME A LA LEGISLATION
Valence, le 28/11/80Le Directeur,
'i^o TT. . .
- 48 -
LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
?¿>iní d'eûLi 0(\« 1 4
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 5543
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
Département : DROME
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS N"! FERME HUGUE
Par
24/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
1804
p H
7.2
Turbidité
4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISFAIS. Í.NTE
J
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.2
T. H.
37°5
T. A. C.
27°
ANALYSE
N H^ +mg/l
0
N
CHIMIQUE
02 -mg/l
0
N 03 -mg/l
31
Cl -mg/l
21.5
S 04 --mg/l
58
Fe + .+mg/l
0
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose ¡
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wllson-Blair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
22
4
NEANT
NEANT
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par-WO ml
par 100 ml
CONCLUSIONCHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE
EAU CONFORME A LA LEGISLATION
Valence, le 28/11/80 /J.\3'
- 48 -
LABORATOIRE VÉTÉRINAIREDÉPARTEMENTAL
?¿>iní d'eûLi 0(\« 1 4
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse 5543
Demandeur
Point d'eau
Prélèvement
Département : DROME
Commune :
Nature :
Observations :
Effectué le :
SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
PUITS N"! FERME HUGUE
Par
24/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUE
Résistivité
1804
p H
7.2
Turbidité
4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISFAIS. Í.NTE
J
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.2
T. H.
37°5
T. A. C.
27°
ANALYSE
N H^ +mg/l
0
N
CHIMIQUE
02 -mg/l
0
N 03 -mg/l
31
Cl -mg/l
21.5
S 04 --mg/l
58
Fe + .+mg/l
0
ANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose ¡
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wllson-Blair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
22
4
NEANT
NEANT
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par-WO ml
par 100 ml
CONCLUSIONCHIMIQUE : EAU CONFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE : PRESENCE DE QUELQUES COLIFORMES SANS SIGNIFICATION PEJORATIVE
EAU CONFORME A LA LEGISLATION
Valence, le 28/11/80 /J.\3'
Aboratoire vétérinaire^ / départemental - 49 -
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :
Demandeur
5546
Point d'eau
Prélèvement
Département : DROME
Commune : SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
STATION DE POMPAGE LES ECHARAVELLES ROBINET CHEZ :-X)NSIEUR LOUCHENature :
Observations :
Effectué le :
Par :
23/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUEr
Résistivité
2310
V
P H
7.1
Turbidité
.4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISFAISJ lNTE
)
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.5
V
T. H.
27''5
T. A. C.
23''5
ANALYSE CHIMIQUE
N H4 +mg/l
0
N 02 -mg/l
0.03
N 03 -mg/l
2
Cl -mg/l
15.5
S 04 --mg/l
35
Fe + +mg/l
0
JANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose <
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
208 - -
NEANT
NEANT
126
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
CONCLUSION
CHIMIQUE ; EAU COÎnFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE PRESENCE DE BRMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE
EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION /?¿i-«..^: --".-.,
Valence, le 28/11/80Le Directeur,
Docteur G. BRACHET
Aboratoire vétérinaire^ / départemental - 49 -
agréé pour le Contrôle Sanitaire des EauxTéléphone (75) 44.33.31
20, rue Léon-Blum26000 VALENCE
ANALYSE D'EAUNuméro d'analyse :
Demandeur
5546
Point d'eau
Prélèvement
Département : DROME
Commune : SAINT PAUL TROIS CHATEAUX
STATION DE POMPAGE LES ECHARAVELLES ROBINET CHEZ :-X)NSIEUR LOUCHENature :
Observations :
Effectué le :
Par :
23/11/80 APPORTE LE 25/11/80
MONSIEUR ROUSSON
EXAMEN PHYSIQUEr
Résistivité
2310
V
P H
7.1
Turbidité
.4
Couleur
0
Odeur
NULLE
Saveur Dépôt
SATISFAISJ lNTE
)
02 cédé parMn 04 K mg/l
0.5
V
T. H.
27''5
T. A. C.
23''5
ANALYSE CHIMIQUE
N H4 +mg/l
0
N 02 -mg/l
0.03
N 03 -mg/l
2
Cl -mg/l
15.5
S 04 --mg/l
35
Fe + +mg/l
0
JANALYSE BACTÉRIOLOGIQUE
Dénombrement total des germes sur gélose <
Bactéries coliformes (membrane filtrante à 37°)
Escherichia Coli (membrane filtrante à 44°)
Streptocoques fécaux (membrane filtrante à 37°)
Clostridia sulfito-réducteurs (milieu Wilson-Slair)
après 24 heures à 37°
après 72 heures à 20°
NEANT
208 - -
NEANT
NEANT
126
par ml
par ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
par 100 ml
CONCLUSION
CHIMIQUE ; EAU COÎnFORME A LA LEGISLATION
BACTERIOLOGIQUE PRESENCE DE BRMES TEMOINS DE CONTAMINATION FECALE
EAU NON CONFORME A LA LEGISLATION /?¿i-«..^: --".-.,
Valence, le 28/11/80Le Directeur,
Docteur G. BRACHET
L-j-.crj.Tcrr>s d'.v;.'.lï3î3 moicxis » et de
ïr s:j so;: £;?/7r:û:;;3;z:rp
/ùi-'iLYsa DE ?û7:.5iij:ts d'u:: ec:--i;;tillo:iD'S.VJ POCVBLE D';jJîSrr.'iîTOH
i;° de l'ii.'.:.iyco ...
prcv3:m'.t de : ....
cc!-^..tillc:l prélevé
par M. ;
dcns U.T flacG.-i : ...
le
_ JÇ.ÎO
... 15. Bcoo:
E3CL*U!I)3
:tre I9'i5a «<
1) EM'iJS:: ?.-r;sir.uB
. F.é.-.istivité électricuo (er. OHlS/ca à 20°c)
. pH à SCC :
. Acp-ct :
. Occur :
2 240
7,3
2) AJ^iYSE c-ü:s:que
. 0;:j'(7.-ne c¿QÓ per yj-^'.O., à chaud 10 minutos(cn Lâlleu alcaliii) : ¡:ic/l
^t:.^.^ .Ae/i î?fr.?.5? /,eA
. /c.-jT.oniac^ue (ei; IVA.)
. üitritcG (en -Og)
* Er.rcf:Í2tr¿sous lo n" 2523/-crcií COUD le n" 2479
«/ »
19
3) 'AK.g.Y.SI! B.'.CTr:.r(-OLCr.IC-JS
Ec:'.o-^ro-..?i'.t Uer. reiric.T .':ur c;ilogo rutriti-zo :
. noabrc de oolor.ios après 24 heiu-as- à 57° : nb. par I ni
. noE-bre de colonies après 72 hoiires h. 20-22" : par I d1
Colir.ét-io :
. bactéries coliforaes : ^ par IOO ni
. Escherichia Coli : ''... .' 20 par IOO ni
, D¿nor:cr:r,:gr.t cJcs Strentoccnu3S P-jc-iut: : ...
. nosbrc de coloràes : ^^ par IOO ol
,E3noj'br.::i.-er:t dar. .Clostr.ídí.?les Sulfi-!:o-réd;:ctricos :
. nombre de colonies .:. ? par IOO al
4) .C0:îCI.U£I0",S rA'ôlèvor.ent non poisblo ::u point de yuo baotdjri.olo£;iquect potable ou point ûe vue chimique I
' ' ' " '. Ln. O
I
Piei-rolatte, le 22 Dácesbre 1975
Lo Chef du Laboratoiro
^-^J. CïiALAB.'uîrSSE
^
L-j-.crj.Tcrr>s d'.v;.'.lï3î3 moicxis » et de
ïr s:j so;: £;?/7r:û:;;3;z:rp
/ùi-'iLYsa DE ?û7:.5iij:ts d'u:: ec:--i;;tillo:iD'S.VJ POCVBLE D';jJîSrr.'iîTOH
i;° de l'ii.'.:.iyco ...
prcv3:m'.t de : ....
cc!-^..tillc:l prélevé
par M. ;
dcns U.T flacG.-i : ...
le
_ JÇ.ÎO
... 15. Bcoo:
E3CL*U!I)3
:tre I9'i5a «<
1) EM'iJS:: ?.-r;sir.uB
. F.é.-.istivité électricuo (er. OHlS/ca à 20°c)
. pH à SCC :
. Acp-ct :
. Occur :
2 240
7,3
2) AJ^iYSE c-ü:s:que
. 0;:j'(7.-ne c¿QÓ per yj-^'.O., à chaud 10 minutos(cn Lâlleu alcaliii) : ¡:ic/l
^t:.^.^ .Ae/i î?fr.?.5? /,eA
. /c.-jT.oniac^ue (ei; IVA.)
. üitritcG (en -Og)
* Er.rcf:Í2tr¿sous lo n" 2523/-crcií COUD le n" 2479
«/ »
19
3) 'AK.g.Y.SI! B.'.CTr:.r(-OLCr.IC-JS
Ec:'.o-^ro-..?i'.t Uer. reiric.T .':ur c;ilogo rutriti-zo :
. noabrc de oolor.ios après 24 heiu-as- à 57° : nb. par I ni
. noE-bre de colonies après 72 hoiires h. 20-22" : par I d1
Colir.ét-io :
. bactéries coliforaes : ^ par IOO ni
. Escherichia Coli : ''... .' 20 par IOO ni
, D¿nor:cr:r,:gr.t cJcs Strentoccnu3S P-jc-iut: : ...
. nosbrc de coloràes : ^^ par IOO ol
,E3noj'br.::i.-er:t dar. .Clostr.ídí.?les Sulfi-!:o-réd;:ctricos :
. nombre de colonies .:. ? par IOO al
4) .C0:îCI.U£I0",S rA'ôlèvor.ent non poisblo ::u point de yuo baotdjri.olo£;iquect potable ou point ûe vue chimique I
' ' ' " '. Ln. O
I
Piei-rolatte, le 22 Dácesbre 1975
Lo Chef du Laboratoiro
^-^J. CïiALAB.'uîrSSE
^
co;:a:s3ArviAT A l'e;fjíciií; atomcîubCS'lTliE DK JïKPJïELAWE
SERVTCl'S VECilMQiitr;
UrORjMOIHB D'jVl.'AL-i'31-ô i-ÔLniÇ.xLES * ET 33GUIîVEILLiu.'CE BrS !;'JI3.'û.'CE.-3 DB L'iiOîàlE
ET DE co;i Ejrvir.OÎMiEEiJi;
/JiiVLYSE D3 POTj'iBIUTS D'UK SCa'J.TILLOiiD'EAU PûT/l5L3 D '/JjrS.VATION
W de l'analyse ?1.^J.^ ^^.,.,.^ ,, , ÍA C/XDH ADUâ-.'ûl ( SALEL Rend )('Yio 2,.V)
échantillon prélové lo ; ...-.. .¥. .".C^.^feu. .1.9.75 par tcr.ps :
K;C/d;D3p.ir U. :
*aana un rlaccn : ...*«.....
i) e::.'uü;m PiuSiQUE
. né.nisti-/itú électrique (en OIÏÏS/cB ù 20''C) ?.}??....
. p}I tl .20°C ^Á
. Aspect :
. Odeur ; ' - .
' 2) pALY.'-iE C.'JI'rCO.UB
. O.-cj'cè'ic cédé j>3r KJCrO., ù chaud 10 minutes(cn milieu alcalin) : mc/l
. Arx'.oniaquo (cn \VA^ ..JlT^.O:^?. ' cA
. ¡litiitcs (on OTg) .. Î'H:.^.50. /...c/l-
I
3) -AjyLLTCE BACT?:r<I0L0CIC!ü3.
. Dcr.oabrezent don rorr.o." cur /réioso nutritive :
. nor.îbre i:z colonies après 24 heures, à 57° : ..» '^' par I ol
. noübro <.a colonies après 72 heures i ? ')-22'' ; ' par I cl
. ColiiTetrie, :
. bactéries colif ornes : '. ^"^inn P^^ ^CO ni -
. Escherichia Coli : ig par IOO ni '
. Dénosbrcr.or.t ¿es Strejtoconucs Fécaux ; . ' . .
. nonbre do colonies : ...; '. ^ par IOO ni
. Dt'npnbrgijent des ClcstridiiXes S-Jlfito-rédxx-tricss ;
. noLibro de colonies :' '....,..-.....,.-.,..'.-.,'.'.'.'.'.'.'.".".'.. .' 8 par IOO cl
4)' - CO!.'CliVSIO"S - - p".'«lèvc:;cn\;- noa' jotable' au point dû' vue bactcriolo:;ique . . et po-iable au .poin-t do vuo chiiûique- '
Pierrelatte, lo 22 D¿ecribw 1975
Lo Chef du Laboratoiro
"^X.Ja CfînIiABiSïSSC
I
Ln
S^
>-m
* P'jircfrisLró sous lo n° 2G28A/n.-íü Lou-'j lo n° 2479
«/;5
co;:a:s3ArviAT A l'e;fjíciií; atomcîubCS'lTliE DK JïKPJïELAWE
SERVTCl'S VECilMQiitr;
UrORjMOIHB D'jVl.'AL-i'31-ô i-ÔLniÇ.xLES * ET 33GUIîVEILLiu.'CE BrS !;'JI3.'û.'CE.-3 DB L'iiOîàlE
ET DE co;i Ejrvir.OÎMiEEiJi;
/JiiVLYSE D3 POTj'iBIUTS D'UK SCa'J.TILLOiiD'EAU PûT/l5L3 D '/JjrS.VATION
W de l'analyse ?1.^J.^ ^^.,.,.^ ,, , ÍA C/XDH ADUâ-.'ûl ( SALEL Rend )('Yio 2,.V)
échantillon prélové lo ; ...-.. .¥. .".C^.^feu. .1.9.75 par tcr.ps :
K;C/d;D3p.ir U. :
*aana un rlaccn : ...*«.....
i) e::.'uü;m PiuSiQUE
. né.nisti-/itú électrique (en OIÏÏS/cB ù 20''C) ?.}??....
. p}I tl .20°C ^Á
. Aspect :
. Odeur ; ' - .
' 2) pALY.'-iE C.'JI'rCO.UB
. O.-cj'cè'ic cédé j>3r KJCrO., ù chaud 10 minutes(cn milieu alcalin) : mc/l
. Arx'.oniaquo (cn \VA^ ..JlT^.O:^?. ' cA
. ¡litiitcs (on OTg) .. Î'H:.^.50. /...c/l-
I
3) -AjyLLTCE BACT?:r<I0L0CIC!ü3.
. Dcr.oabrezent don rorr.o." cur /réioso nutritive :
. nor.îbre i:z colonies après 24 heures, à 57° : ..» '^' par I ol
. noübro <.a colonies après 72 heures i ? ')-22'' ; ' par I cl
. ColiiTetrie, :
. bactéries colif ornes : '. ^"^inn P^^ ^CO ni -
. Escherichia Coli : ig par IOO ni '
. Dénosbrcr.or.t ¿es Strejtoconucs Fécaux ; . ' . .
. nonbre do colonies : ...; '. ^ par IOO ni
. Dt'npnbrgijent des ClcstridiiXes S-Jlfito-rédxx-tricss ;
. noLibro de colonies :' '....,..-.....,.-.,..'.-.,'.'.'.'.'.'.'.".".'.. .' 8 par IOO cl
4)' - CO!.'CliVSIO"S - - p".'«lèvc:;cn\;- noa' jotable' au point dû' vue bactcriolo:;ique . . et po-iable au .poin-t do vuo chiiûique- '
Pierrelatte, lo 22 D¿ecribw 1975
Lo Chef du Laboratoiro
"^X.Ja CfînIiABiSïSSC
I
Ln
S^
>-m
* P'jircfrisLró sous lo n° 2G28A/n.-íü Lou-'j lo n° 2479
«/;5
74
COiíüSS/iKLVT A L'E:."ERCIE ATor-acus 'CE.-.TùE DE ?IEri3L/.TT3SE.-încns tía;¡i";;io;uí-3
L'j-o.wroins D'/j.'alyses îcdic.ues » et deSUiîTCILL'J.'CE- DES iruIS/J.'Ciij DE L'iiOiwiS
. ET DE soH E;^r.o;.':;E;3:,T .
/Ji.liYSE DE FOTi'iBILITE D'Uí;ECH.ümLÍyO¡í. . D'EiVJ rOS'iSLE D'ALIíE.-TATIOIí
K" de 1'a.nalyso .'. . . ÍW. provenant do : i;^ ^Aim ¡^J^'l^ .(. M??. X . .(. V.°. ."35.")l ...
- cc.^-nntillon prélevé le '; ..'....}^ ?/-?.''?:!>?.''. I?7?....;'par temps ; par H. :...:....:..,...... JfP!^ .-...dans un flocon .' .' ??^}f.. ...'....
1) EX.'J3;if ?;n'.qic;u3
. Résistivité éleotriquo (en OliïS/on à 20oc) .^.}??. ; pJl ù 20<'C .7.c2 . Aspect t
Odeur : .- i
2) /uVALY.'-JS Cigi-rrCUE
0;:yGÍne cédé par Kii.'O,, à chaud 10 rônutos ' .. ,
(cn nilieu alcalin) : mc/l. iUr.oniaquo (cn ¡.7!^) : J.ilC\.il.ÇQ..,. .'-c/l. llitritea (en W^) : ". .V^.'..h.^.°...../>.c:/l
3) '.'lis'ALj'SE ?ACT?:RI0L0GIC!ü3
Dén-b''-j-rr;t do..-, .-or-cr. r'rc .T;"lose nutritiva :'
. noiubre do colonies après 24 heures à 57° : ^ par I cl
. Ecnbre do colonies après 72 heures à 20-22° : par l ni
Colipétrie : ...
. bactéries colif ornes : 0 pa^ loO ni
. Escherichia Coli : ". .- 0 par IOO ni.... . . I ,
Djriorornre'.'.t des Stror)tocoe'>'.3? ?c-e;'ii :
. r.onbrc d3 colonies : ...' ^ par IOO £Û
E?ne:::bre'-.?:-.t des .03 cstridiales Sulfite-réductrices ' ;
. nos'ûfe dé -colonies ; ,-. 0 par ICO niI
4) 'CO::üi:usIÓ:'S- ' -prcli-zcnü-i;' potable' au point do vae baotériolocique et- potable au point' de vue ohàuqùé
Pierrelatte, lo ' ^2 Dáccnbre 1975
Lo Chef du Laboratoiro
r'\/:L da. bl t^lABÎlEYSSE
to
^
Eni'c¿lstré cous le n° 2528AcTcé cous lo n° 2479 .../...
0
-\
74
COiíüSS/iKLVT A L'E:."ERCIE ATor-acus 'CE.-.TùE DE ?IEri3L/.TT3SE.-încns tía;¡i";;io;uí-3
L'j-o.wroins D'/j.'alyses îcdic.ues » et deSUiîTCILL'J.'CE- DES iruIS/J.'Ciij DE L'iiOiwiS
. ET DE soH E;^r.o;.':;E;3:,T .
/Ji.liYSE DE FOTi'iBILITE D'Uí;ECH.ümLÍyO¡í. . D'EiVJ rOS'iSLE D'ALIíE.-TATIOIí
K" de 1'a.nalyso .'. . . ÍW. provenant do : i;^ ^Aim ¡^J^'l^ .(. M??. X . .(. V.°. ."35.")l ...
- cc.^-nntillon prélevé le '; ..'....}^ ?/-?.''?:!>?.''. I?7?....;'par temps ; par H. :...:....:..,...... JfP!^ .-...dans un flocon .' .' ??^}f.. ...'....
1) EX.'J3;if ?;n'.qic;u3
. Résistivité éleotriquo (en OliïS/on à 20oc) .^.}??. ; pJl ù 20<'C .7.c2 . Aspect t
Odeur : .- i
2) /uVALY.'-JS Cigi-rrCUE
0;:yGÍne cédé par Kii.'O,, à chaud 10 rônutos ' .. ,
(cn nilieu alcalin) : mc/l. iUr.oniaquo (cn ¡.7!^) : J.ilC\.il.ÇQ..,. .'-c/l. llitritea (en W^) : ". .V^.'..h.^.°...../>.c:/l
3) '.'lis'ALj'SE ?ACT?:RI0L0GIC!ü3
Dén-b''-j-rr;t do..-, .-or-cr. r'rc .T;"lose nutritiva :'
. noiubre do colonies après 24 heures à 57° : ^ par I cl
. Ecnbre do colonies après 72 heures à 20-22° : par l ni
Colipétrie : ...
. bactéries colif ornes : 0 pa^ loO ni
. Escherichia Coli : ". .- 0 par IOO ni.... . . I ,
Djriorornre'.'.t des Stror)tocoe'>'.3? ?c-e;'ii :
. r.onbrc d3 colonies : ...' ^ par IOO £Û
E?ne:::bre'-.?:-.t des .03 cstridiales Sulfite-réductrices ' ;
. nos'ûfe dé -colonies ; ,-. 0 par ICO niI
4) 'CO::üi:usIÓ:'S- ' -prcli-zcnü-i;' potable' au point do vae baotériolocique et- potable au point' de vue ohàuqùé
Pierrelatte, lo ' ^2 Dáccnbre 1975
Lo Chef du Laboratoiro
r'\/:L da. bl t^lABÎlEYSSE
to
^
Eni'c¿lstré cous le n° 2528AcTcé cous lo n° 2479 .../...
0
-\